Au coeur de la mode: LE TANT ATTENDU DÉFILÉ BALENCIAGA! AYA NAKAMURA CHEZ ATLEIN!

Loic Prigent Loic Prigent 3/6/23 - Episode Page - 18m - PDF Transcript

Au Cure de la Mode et on est vraiment au Cure de la Mode, salut Julien Dacosta.

Salut Loïc Prigent.

On est toujours dans l'ADS, on court de défiler en défiler dans l'ADS, l'ADS qui

partenaire de la Paris Fashion Week depuis quelques années déjà et tout, et aujourd'hui

j'avoue que le massage pâte de chat du siège avant, il servait à quelque chose, ça

m'a fait du bien.

Tu as enfin essayé? Oui, j'ai enfin essayé, c'était une légende urbaine pour moi et

j'ai bien essayé et ça m'a bien détendu, il y a certains défilés qui sont parfois

un peu...

Tu peux ressortir un peu tendu, certains défiler tellement, il y a du monde et tout.

J'ai l'impression que des fois, on fait cinq anniversaires par jour.

Oui, c'est un peu ça, ouais.

Tu vois, c'est vraiment beaucoup de monde, des grappes de gens, des toutes sortes de choses.

Ouais, des applaudissements, des gens qui pleurent, c'est vraiment ça, mais c'est des anniversaires

chez des gens très différents à chaque fois, c'est épouvant.

Et donc, au cœur de la mode, aujourd'hui, on vous débrieffe la journée qui a commencé

avec un petit Balenciaga qui est une petite marque créée en 1917, je ne sais pas si vous

avez entendu parler, qui est le joyau du groupe Kering, de Lux Kering qui est aussi Gucci et

Saint-Laurent et joyau qui a beaucoup souffert depuis...

Quand est-ce que c'est, de quoi on date le problème?

Octobre? Depuis octobre, il y a eu Octobre ou novembre, sorti de deux, simultané de deux

campagnes publicitaires, l'une pour des objets, pour Noël, et une autre pour une marque,

pour une ligne, pardon, qui s'appelait Garderobe, qui était une ligne un peu plus classique,

et deux campagnes extrêmement problématiques pour lesquelles la marque s'est excusée à

plusieurs reprises, qui a fait une polémique peu qualifiée de mondial, inédite, qui a

engendré une communication de crise, elle aussi complètement inédite, on n'a jamais

vu une crise pareil dans la mode, parce que les accusations étaient extrêmement sévères

et ça a été un peu le chaos pour Balenciaga depuis quelques mois, Balenciaga qui a arrêté

de communiquer, c'est-à-dire en dehors des communiqués d'excuse, il n'y avait plus

trop d'images, donc c'était le premier défilé depuis l'énorme crise, donc forcément très

attendu, avec ne se reste que guest list qui allait venir au défilé, parce que la polémique

était telle qu'il y avait qui va accepter de venir au défilé Balenciaga, et donc le

dernier défilé Balenciaga de septembre, il y avait tous les Kardashian, tout le rap américain,

pas mal d'artistes contemporains, il y a beaucoup de gens de la chanson, de la telle

réalité, il y avait une grosse A-list, on va dire, et c'est vrai que là aujourd'hui,

c'était réduction de la voilure, déjà on était le lieu du défilé, tu connaissais

celui-là, tu as déjà fait des défilés là? Non je crois pas non, tu n'avais jamais

fait, c'est voilà où on voit la génération, donc c'est au caroussel du Louvre, le caroussel

du Louvre, je pense qu'ils ont dû l'ouvrir un moment de la pyramide du Louvre, c'est-à-dire

que c'est le truc central idéal des défilés parisiens au milieu des années 90, donc moi

quand j'ai commencé la mode, c'était le premier défilé que j'ai jamais vu de ma

vie, c'est au caroussel du Louvre, un défilé d'hior, et la salle donc c'est multissalle,

c'est un espèce de lieu vraiment très près de l'entrée, vous savez la pyramide inversée

qu'il y a sous le Louvre, il y a trois ou quatre salles assez polyvalentes qui permettaient

des défilés, nous étions dans la salle qui a vu par exemple le défilé Chanel avec

Nicole Kidman, le tapis rouge, des défilés un peu mythiques, et d'ailleurs Assize à

la place de Nicole Kidman, il y avait la chanteuse Isolt, dans un grand manteau noir,

haute couture, dans des grandes lunettes, comment on appelle ça, rapper round, miroir

ou mouche, or, et des chaussures très impressionnantes aussi, Isolt était comme ça, elle tronait

en imperatrice du défilé Balenciaga, donc le décor a été voulu par Demna, alors je

dis Demna, c'est donc le créateur qui est derrière Balenciaga, et je dis pas ça par

familiarité, c'est juste qu'il souhaite vraiment être appelé Demna, comme vous

appelez Prince Prince ou Madonna Madonna, c'est un choix artistique, c'est une revendication

à lui d'être appelé comme ça, donc il a baissé le plafond du caroussel de l'ouvre

de la salle où on était, donc on était dans un, je pense ça aurait pu être une

pièce normale de studio, d'un studio de mode, et absolument tout sauf les photos

étaient noires, photos individuelles, pas des bancs, podium très large, et tout est

beige, c'est-à-dire que c'est pas, enfin c'est blanc mais pas blanc optique, un beige,

et donc tout étant en toile, c'est-à-dire le tissu qui vous sert quand vous êtes en

haute couture, quand le grand couturier donne ses dessins et que les ateliers font la première

ébauche, la première esquisse en volume, elle est faite en toile donc dans un tissu

qui est d'une cotonade en gros, et donc cette cotonade était partout, voilà on vous rappelle

qu'on est dans une maison fondée en 1917 par Christopher Balenciaga qui est une maison

de haute couture, on revient pas à zéro mais on remet à plat l'histoire de la maison quoi,

c'est pas une maison ni en 2015 à l'arrivée de Demna, c'est une maison fondée en 1917,

oui c'est ça là, c'est un décor totalement à l'opposé de ce qu'on a pu voir auparavant,

auparavant on était sur des mises en scène assez spectaculaires, et là on était sur

quelque chose de très discret et très sobre puisque effectivement ce matin Balenciaga marchait

sur des oeufs.

Complètement, le premier morceau de musique c'est, d'habitude les derniers morceaux

de musique de Balenciaga étaient, soient très très très forts, vraiment des attaques

nerveuses, enfin moi j'ai, térifiant, c'était le mot qui eux-mêmes employait, moi le défilé

d'il y a un ampil qui correspondait à la première offensive de Poutine contre l'Ukraine,

c'était un défilé qui était un assaut sur l'essence, c'était vraiment une énorme

turbine avec une tempête de neige, les mannequins qui étaient vraiment lâchés comme ça

dans Contre les éléments, avec une musique qui était complètement d'une tristesse infinie

et ensuite d'une violence infinie, j'avais fait littéralement des exercices de respiration

pour pas paniquer moi, ça m'était jamais arrivé quoi.

C'était une mise en scène très très impressionnante et là on était dans quelque chose de l'opposé,

voilà l'opposé très minimal des chaises qu'il y aurait pu être des chaises de bureau,

noire, toute simple, et pas mal de rangs quand même, on était sur plus de quatre rangs

je crois, donc quand même pas mal, tout le monde se regardait, oui il y avait pas mal

d'invité et beaucoup de gens sont venus.

Oui, il y avait de la presse américaine.

Toutes la presse américaine était là quasiment, on a vu les plus grands journalistes de l'industrie,

donc on a pu croiser Vanessa Friedman du New York Times, Cathy O'Reen, Hannah Wintour

du Vogue américain, tout le monde s'est déplacé.

Et Hannah Wintour ostensiblement habillée en Balenciaga, une robe fleurie, il m'a

semblé plissée avec son Starbucks, c'est ça? Elle n'avait pas son Starbucks mais

en tout cas, oui, effectivement elle avait son latte à la main, elle avait sa petite

boisson.

Donc, et le défilé, la collection pendant la collection, alors moi j'avais vu, j'avais

eu la chance, j'avais assisté à des essayages qui ont lieu dans les bureaux de Balenciaga,

donc dans l'hôpital de la Enèque qui est près du bon marché pour les Parisiens.

Il me semble qu'il y a quatre grandes catégories dans le défilé, il y a une partie pantalon,

qui est pour moi la partie la plus réussie, qui est une partie très longue, vraiment

il a une idée, qu'il exploite, et qu'il exploite, et qu'il exploite, et donc c'est

le pantalon.

Donc ça il explique aussi dans la note qui était, il y avait une note posée sur les

fauteuils, et donc il, Demna explique à six ans, je suis en jorje, et mes parents

me payent un pantalon chez un tailleur, et j'ai même deux essayages, et donc c'est la première

fois que je crée un vêtement selon moi, c'est ce pantalon à l'âge de six ans, et donc

quand cet hiver, il s'est retrouvé dans la tourmente, enfin apparemment il a commencé

cette réflexion sur le pantalon avant que la polémique ne commence, mais quand la

polémique battait son plein, apparemment Demna se est un peu réfugié dans l'essence de

ce qu'il aime le plus, c'est-à-dire couper des vêtements, et donc il est revenu à ce

point de départ qui était le pantalon, et donc le pantalon se retrouve comme un trompe-l'œil

sur d'autres pantalons, donc vous avez des pantalons qui sont doubles, vous avez des

vestes qui ne sont faites qu'en pantalon, en plein de pantalons, donc vous avez les

passants du pantalon, les poches du pantalon qui se retrouvent dans le mauvais sens en

bas d'une veste, comme ça un espèce de jeu sur le haut du pantalon, un peu partout dans

tous les sens, c'est assez étonnant, moi je crois que ça marchait vraiment hyper

bien, c'est comme une nouvelle signature Balenciaga, comme un logo Balenciaga discrète

sans écrire Balenciaga, sans faire non plus, sans faire des caisses, pour moi ça va très

bien avec cette espèce d'héritage haute couture que la maison se remet à martelé

depuis qu'il y a eu deux défilés haute couture, donc depuis deux ans, toi t'as pensé

quoi de ce premier passage avec Elisabeth Douglas qui est la muse de Demna?

C'est quelque chose de très safe, c'est quelque chose qu'on a déjà vu et je pense

que c'est une volonté de commencer avec des classiques de la maison, de commencer

avec des premiers passages noirs pour justement marteler cette envie d'être discrète cette

saison et de ne pas commencer avec un passage aussi fort que la saison passée qui leur

a quand même posé beaucoup de problèmes.

Oui c'est ça, et donc après il y a plusieurs catégories, enfin catégories, partie de

collection, il y a une partie qui est, donc ça commence par des, c'est comme des airbags

en fait, c'est-à-dire que ce sont des vests, des vests de motocross ou des vests de,

qu'on pourrait dire de jogging, des vestes à capuche, des rouleys et qui semblent être

habitées par une structure intérieure gonflée.

Alors si j'ai bien compris au fitting, ce qu'on m'a dit au fitting c'est que tu

peux la dégonfler et tout ça et que c'est vraiment des airbags et donc je pense que

là c'est vraiment un commentaire sur les chocs qu'on se prend, la violence du monde

etc.

Ensuite il y a vraiment une partie avec des trenchs, du trompe-l'œil, c'est-à-dire

qu'il y a un trench par exemple qui est vraiment imprimé comme une fourrure, donc ça c'est

des trompe-l'œil, c'est pareil, ça ressemble vraiment à cette ligne qui s'appelle garde-robe

je pense, c'est-à-dire des vêtements que vous pourrez porter en toute situation et

sans être un influenceur ou un hipster, mais une pédégière de grosse boîte du CAC 40.

Et ensuite la dernière partie, moi j'appelle ça les contesses griffules, la grande muse

de Marcel Proust, c'est-à-dire des grandes robes qui pouvaient être du worst selon moi,

des grandes robes, des grands volumes, très brodés, archi-brodés, il y a une robe qui

était vraiment, c'était des milliers de pompiers noirs, il y avait une robe en dentelle

noire transparente qui avait beaucoup plu à Iseult avec des épaulettes assez impressionnantes

de la fameuse épaulette Balenciaga et toute une série comme ça de robes très brillantes,

très stracées, très lumineuses, très tapis-rouge, très pareil, voilà un Balenciaga qui n'est

pas le Balenciaga terrifiant.

Non voilà, un Balenciaga qu'on connaît et qui rassure.

Voilà, donc c'était vraiment, je pense que c'était mission faire du grand Balenciaga

de la couture, quelque chose de statutaire, de pas non plus trop édualcoré ou quoi mais

bon.

Sacré exercice, il me semble que journalistiquement c'était un des défilés vraiment capital

de cette saison parce que c'est un exercice de communication de crise qui était vraiment

intéressant à voir.

C'est comment on récupère, comment on retourne sur ses pieds après un moment aussi violent

quoi.

C'est un des effets boomerangs les plus violents qu'on ait vu dans la mode ces dernières

années.

Ah oui c'est clair là, c'est vraiment, l'avion Balenciaga a été beaucoup beaucoup beaucoup

secoué quoi.

Et donc maintenant on va voir comment quels sont les réactions du monde de la mode mais

quels sont aussi les réactions à l'extérieur parce que je pense que c'est un défilé qui

est scruté par le monde extérieur et pas forcément par des que, par des gens qui s'y

connaissent en mode et qui d'habitude s'intéressent à la mode.

Journée montage aussi puisque 5 minutes de mode ça commence demain, enfin ce lundi,

donc ça commence tout de suite pour vous parce que vous vous écoutez ça lundi a priori.

Journée montage pour nous parce que 5 minutes de mode commence sur TMC à 19h20 à peu près

justement quotidien, il y a une version 1 minute qui est après quotidien aussi pour

les retards d'atère et il y a du replay.

Donc voilà et surtout le défilé qu'on a attendé beaucoup, moi j'étais hyper

impatient de le voir c'est le défilé ATLINE, A-T-L-E-I-N, petite structure, on est dans

une maison indépendante voire très très indépendante, moi je me souviens j'étais

à son tout premier défilé, c'est une maison que je suis depuis vraiment le tout début,

marqué très soutenu par le vogue américain aussi parce que le vogue américain ne fait

pas que soutenir les gros annonceurs, faut pas croire ça, le vogue américain défend

des jeunes barraques françaises et parfois dès le début, il me semble qu'ils ont eu

leur premier papier dans le vogue en vogue de septembre, en plus le vogue de septembre

c'est très très important, ils avaient eu leur premier papier dans vogue avant même

d'avoir fait leur premier défilé, donc chapeaule vogue américain il faut quand même

le boulot sur la mode et le défrichage, comment on dit, c'est quand tu défriches,

quand tu recherches quoi, pas voilà et donc défilé très attendu parce que la saison

passée ça a été assez remarqué et tout et qui débarque au défilé ATLINE, micro

maison, pas du tout groupe de luxe, qui débarque? Ayan Akamura, sublime, sublime-sime, rayonnante,

portant déjà la collection, elle avait une robe de la collection qui était noire,

drapée dans un drapé bouillonné très contrôlé et un haut asymétrique, la salle en joie de

l'avoir. Oui c'est ça le grand privilège de célébrité ces derniers temps, c'est

pour pouvoir arriver au défilé avec un look de la collection qui va défilé, c'est-à-dire

que ça avant c'était pas forcément automatique, maintenant ça le devient. C'était même

interdit avant. C'est ça ouais, donc maintenant en fait le défilé commence déjà au moment

où les célébrités arrivent donc il faut rester alerte et bien regarder ce que les

célébrités portent et c'est comme ça qu'on comprend qui est la célébrité la plus

importante de la pièce et en tout cas celle qu'il faut observer c'est celle qui porte

la collection qui va défilé dix minutes après, c'est quand même un sacré privilège.

Parce qu'avant en fait les maisons avaient peur de la copie donc faire sortir du studio

un vêtement avant le défilé pour qu'il soit porté par une célébrité, ça équivalait

à le donner à un fossaire quasiment pour eux. C'était vraiment impensable. Hubert

de Givenchy décirait les vêtements, découpait les vêtements à la fin de la saison pour

pas être copié, c'est pour ça qu'ils n'ont pas trop d'archives chez Givenchy. On est

passé de ça à non, non c'est bon vous pouvez poser dans les fringues avant même le défilé.

Ça c'est un changement qui a eu lieu depuis pas très longtemps. Défilé hyper body conscious

inspiré par une sculpture, on a parlé avec Antoine Nintron le créateur de Atline et

c'est inspiré par une sculpture d'une femme en marche dans un grand trappé très très

beau qui est à Pompéi. C'est une sculpture qui a un nom que j'ai oublié alors qu'il

est.

Oui c'est vraiment un héritier de Asin Alaya ou Hervé Légé. C'est très très près du

corps, très sensuel, il maîtrise totalement tout ce qui est drapé.

C'est le créateur.

C'est un jeune créateur prometteur qui aujourd'hui tient ses promesses et je pense que ça va

être un des temps forts de la jeune création à Paris cette saison.

C'était tellement beau les couleurs et tout. À Atline, ça veut dire Aline, donc seul

en allemand et Atlantique, donc parce qu'il est surfeur et qu'il se retrouve seul sur

l'Atlantique. C'est un peu chic comme idée de nom.

Je crois que ça a un des seuls designers de la Paris Fashion Week qui fait du surf

qui est surfeur.

Et du coup les couleurs étaient selon lui inspirées par les couleurs de l'Atlantique

en hiver et aussi ce que tu vois quand tu plonges sous l'eau parce que quand tu surfes

apparemment tu dois à un moment donné te retrouver sous l'eau et quand tu l'ouvres

les yeux sous l'eau, c'est ces couleurs là donc c'est toutes sortes de bleu, de

verre, il y a des algues, des verres, oui il y a des laminaires, non franchement c'était

très beau, très sensuel. Il y avait une robe, l'avant-ternière robe en velours frappé,

robe colonne mais pas vraiment colonne parce qu'il y a des francais dans tous les sens

et elle avale la lumière, elle renvoie la lumière, tu sais pas ce qui se passe, c'était

beau. Franchement sur une fille qui était un mannequin qui portait ça magnifiquement

et tout, il y avait plein de choses très belles, très belles couleurs et tout ça.

C'est bien, c'est ça aussi Paris, c'est pour ça que c'est les choses olympiques

à Paris, c'est que t'as des bonnes surprises, t'as des valeurs sûres, t'as toutes sortes

de choses quoi, c'est trop bien. Demain, grosse journée encore.

Mais c'est ça la fashion week, c'est que des grosses journées.

C'est que des grosses journées. Demain il y a Louis Vuitton au Louvre.

Alors Louis Vuitton qui a changé de jour dans le calendrier de la fashion week, c'est

défilé pas lundi, Louis Vuitton est défilé le mardi.

Louis Vuitton traditionnellement termine la semaine des défilés et là tout d'un coup

le Louis Vuitton ne termine pas la fashion week, ça perturbe beaucoup.

Non non, on n'a pas encore fini, il nous reste quand même des gros défilés.

Il y a encore Chanel, il y a encore Mimio, il y a encore du Matos.

Au Cure de la Mode, c'est le podcast quotidien avec Julien de Costa, ceux qui restent de

moi. Merci de nous écouter, merci Anagimou Barré qui fait le montage, tout ça, c'est

si bien.

Et merci à tous les hardcore qui nous écoutent et qui nous marquent sur les stories.

On voit et nous plein de stories et de commentaires, on adore ça.

Ouais, on vous kiffe, on vous aime, des bisous, salut, ciao!

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Loïc Prigent et Julien Da Costa vous débriefent la 7e journée de fashion week, assis dans la DS ! Au menu du jour : le défilé attendu par toute la presse internationale suite au scandale de leur dernière campagne : Balenciaga. Et le jeune créateur Antonin Tron de Atlein !