Les Grosses Têtes: LE SAVIEZ-VOUS ? - Trouvez la réponse avant les Grosses Têtes
RTL 10/2/23 - Episode Page - 5m - PDF Transcript
– Question suivante pour Michel Barry, qui habite dans les Yvelines au Clais-Soubois
précisément. Voilà quelqu'un qui a écrit une œuvre d'anticipation qui se passait
en 2440. D'ailleurs, c'est-à-dire à quel point ces d'anticipations, c'est qu'on
n'est même pas encore en 2440. Et pourtant, ça a été écrit en 1770, qui a écrit l'an
2440 en 1770. – Jean Crébillon ? – Non, il s'agit effectivement d'un
écrivain français, romancié, dramaturge, philosophe, critique littéraire, journaliste,
qui se qualifiait lui-même, je vais vous aider, un peu, de plus grand livrier de France.
– Ah oui, c'est pas Victor Hugo ? – Victor Hugo, non.
– Diderot, non. – D'Alembert, c'est plus tard.
– D'Alembert, c'est plus tard. – C'est plus tard, 1770. C'est pas Fontenel ?
– Fontenel, non. – Non, il était déjà mort.
– Beaumarché ? – Beaumarché, non.
– Non, il a pas écrit ça, là. – Attendez, attendez, je l'ai trouvé.
– Il parle comme Bourville, hein. – Il a une petite jouissance, hein.
– Attendez, je l'ai trouvé. – Est-ce que c'est ça ? Est-ce que la personne…
– Est-ce que c'est le moment du Sopalin ? – Est-ce que la personne qu'on cherche
a écrit plusieurs romans d'anticipation ou un sol ?
– Ah non, c'est une chronie, comme on appelle ça, l'an 2440, publié en 1770.
Il a effectivement été aussi député de la Convention nationale. Il a même, il faut
le dire, été contrôleur de la loterie nationale, parce qu'à l'époque, pendant la révolution,
a été créé la loterie. Il était contre dans un premier temps.
– C'est Christophe Beaumarché ? – Il avait écrit contre la loterie.
Et puis quand la loterie a été rétablie, eh bien, il a finalement accepté d'être
contrôleur général de la loterie. – On va retourner ça, là.
– M. Ruequier, il a retourné sa veste et il a même dit, il a eu cette phrase assez jolie,
il a dit, « Depuis quand n'est-il plus permis de vivre aux dépens de l'ennemi ? »
– M. Ruequier, est-ce que c'est restif de la Bretonne ? – Non, non plus.
– Fabre des Glantines ? – Non plus.
– C'est quelqu'un de connu ? – Ah ben, est-ce que c'est quelqu'un de connu ?
– Nous, on peut savoir où c'est que les deux du Goulard. – Est-ce que c'est dans le Dictionnaire ?
– Est-ce qu'il est dans le Dictionnaire ? – Ah ben oui, bien sûr qu'il est dans le Dictionnaire.
– Ah bon ? C'est pas colo des rois ? – Est-ce qu'il y a quelque chose que je le connaisse,
Laurent Ruequier ? – Vous, non.
– Il est mort quand ? – Il est mort, il est mort en 1814.
– Pless Pascal ? – Il est né en 1740.
– Le Marquis de Sade ? – Le Marquis de Sade, non.
Il a écrit aussi « Rêve s'il en fût jamais ».
– C'est qui lui ? – Ah, « Rêve s'il en fût jamais ».
– Ouais, c'est quoi ? – La brouette du vignet grillé.
– Oh là là. – Il est némou, il est némou.
– Il est némou, c'est le destin. – La brouette du vignet grillé.
– Oh, le bel homme à brouette.
– Ah, M. Le Vignet grillé, encore du vignet grillé.
– Merci à… – Non.
Alors, il s'est mis en ménage avec une Louise-Mariane Machard, si ça peut vous aider.
– Ça va de nous aussi. – Voilà.
– Ça nous met sur des pistes, c'est vrai. – Après, un présentateur du loto du 17e siècle,
c'est pas facile. – Il a quand même osé dire à Robespierre,
« Vous êtes l'ignorance personifiée ».
– Il n'avait pas sa lente dans sa presse. – Il n'avait pas sa lente dans sa presse.
– On est sur quelqu'un de prétentieux quand même. – Ouais.
– Moi, je l'aime pas. – C'est quoi ces prénoms ?
– Nicolas Bilovarene. – Non, non plus, non.
– Oh, le faux blase encore. Je suis sûr qu'il existe même pas Nicolas Bilovarene.
– Il a écrit des dizaines de pièces, des pièces en verre.
– Vous n'avez pas restif de la Bretonnerie ?
– Jean-Marc Chaloupé ? – Non, non, non, non.
– Est-ce qu'il a les mêmes dates que le Marquis de Sade ?
– C'est quoi, M. Ruequier ? C'est quoi ces prénoms ?
– Il reste 30 secondes. Non, sûrement pas, vous n'avez pas les prénoms.
– Fustel de Coulange ? – Non, non, non.
– C'est après, ça, c'est une histoire. – Après, oui.
– Fustel de Coulange. – Dumas.
– Il n'y a même pas un prénom là-dedans.
– Dans ces cas-là, à l'époque, Jacques Martin ajoutait Juryne de Fontencombe.
– Ah, blague !
– Ouais, mais c'est pas mal.
– Eh ben voilà, 300 euros, M. Barry, au clé soubois, touche un chéquer tel.
Est-ce que quelqu'un aurait la réponse dans la salle ? Personne.
– Et son prénom, c'est quoi son prénom, M. Ruequier ?
– Ils ont sa culture, ils sont pas assis ici.
– Et son prénom, c'est quoi ?
– Louis Sébastien, de prénom. – Mercier.
– Eh ben oui, mais c'est trop tard.
– Oh !
– Louis Sébastien, mercier.
– De rien, de rien.
– 300 euros, qui s'en vont.
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Saurez-vous retrouver le nom de ce personnage, auteur de "L'an 2440", une œuvre écrite en 1770 ?
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