Coran de Ton coeur: [REDIFFUSION] - Ton commerce avec ALLAH

Nous sommes tous des commerçants, papa Adam et maman Hawa, paix sur eux,

sont descendus sur terre en tant que commerçant.

On a hérité ça à deux.

Mais de quelle commerce sommes-nous devenus un jour les commerçants ?

D'un commerce des plus merveilleux et des plus juteux.

Le commerce avec Allah.

Bienvenue sur Coran de ton coeur, le podcast qui t'aide à reconnecter ton coeur à ton

Coran.

Je suis Zainab et je suis passionnée par les deux médecines indispensables à tout

du sur-terre, celle de l'âme et celle du corps.

Je suis donc enseignante de Coran et interne en médecine générale.

Voilà plus de 10 ans maintenant que j'enseigne aux femmes à lire, à apprendre, à comprendre

et surtout à vivre leur Coran au quotidien en reconnectant leur coeur au Coran.

Car oui, j'ai la ferme conviction qu'un coeur connecté au Coran est capable de redistribuer

à tous les organes du corps l'amour pour Allah, l'envie de lui plaire et d'agir

dans le bien.

C'est pourquoi à travers ce podcast, je compte redonner chaque semaine un nouveau

souffle à diverses pans de ta vie au regard de ton Coran.

Prends cet emportoir et belles écoutes.

Salaamu alaikum warahmatullah, j'espère que tu te portes bien, heureuse de te retrouver

une nouvelle fois en ce vendredi pour un nouvel épisode de podcast et pas démoindre

un sujet très important.

On va parler de commerce aujourd'hui, mais pas de n'importe quel commerce, le commerce

de tous les commerces, celui que tu dois louper pour rien nos mondes.

Et comme à notre habitude, on ne change pas les bonnes habitudes, on va se délecter

de la ayah qui a motivé cet épisode.

C'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c

c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c

c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit, c'est ce que j'ai dit

Certe, Allah a acheté des croyants, leurs personnes, et leurs biens en échange du paradis, ils combattent dans le sentier de Allah, ils tuent et se font tuer, c'est une promesse authentique, qu'il a prise sur lui, dans la Taura, dans l'Evangile et dans le Coran.

Et qui est plus fidèle qu'Allah à son engagement ?

Réjouissez-vous donc de l'échange que vous avez fait avec Allah.

Et c'est là le très grand succès.

Ils sont ceux qui se repentent, qui adorent, qui loupent,

qui parcourent la terre, ou qui jeûnent,

qui s'inclinent, qui se prosternent, qui commandent le convenable,

et interdisent le blamable, et qui observent les lois d'Allah.

Et fait la bonne annonce au croyant.

Ces deux magnifiques Hayyat sont tirés de surat Attauba.

Et il s'agit des Hayyat 111 et 112.

On est d'accord que ces Hayyat sont majestueuses.

C'est l'iversité du commerce, comme j'aime bien les appeler.

C'est là le son de base de tout commerçant à mon imblavie.

Et au fait, au cas où, on est tous des commerçants.

Karla Subhanatala parle de ce commerce pour appuyer encore ça

dans un autre passage, dans Soilat Fadir, pour les Hayyat 29 et 30,

où il dit, ce qui récite le livre de Allah,

qui accomplisse la salat, et dépense en secret et en public

de ce que nous leur avons attribué,

et espère ainsi faire un commerce qui ne périra jamais.

Afin, Karla les récompense pleinement et leur ajoute sa grâce.

Il est celui qui pardonne et reconnaissant.

Je ne sais pas si tu rends compte qu'Alna Subhanatala nous a donné

et accordé le grand privilège de commercer avec lui.

Dans ce commerce, il nous fait donc de biens qu'on peut investir dès le départ.

Et ensuite, il nous donne la récompense d'un commerce qu'on a fait avec lui.

Et il nous accorde tous les bénéfices finaux.

Pour te mettre bien dans le contexte, on va parler factuel

et prendre directement le vocabulaire commercial.

L'investissement de départ, c'est Allah qui le donne.

On est d'accord ?

Eh bien, la personne, tout cet investissement de base,

pour démarrer le commerce, c'est Allah qui le met sur la table.

Celui qui va faire fructifier aussi les bénéfices de ce commerce, c'est Allah.

Le créancier, c'est Allah.

De l'autre côté, le débiteur, c'est toi, c'est moi, c'est nous.

Le dépôt de garantie ou le chèque de caution finalement qu'on dépose,

eh bien c'est notre propre personne et c'est nos biens

qui, soit dit en passant, sont tous deux offerts par Allah,

les biens et notre personne.

Les bénéficiaires, au final, c'est nous.

Les employés de toute cette entreprise commercial, c'est nous.

En fait, je vois un petit peu la vie, notre vie ici bas,

comme une entreprise, dont le CEO, le directeur financier,

le chef de projet et Allah, subhanahu wa ta'ala.

Le gérant, l'exécutant, l'ouvrier, l'employé dans tout ça, c'est nous.

Mais tous les bénéfices qui vont être faits par l'entreprise,

imaginent une grande entreprise, une grande chaîne,

où il y a un PDG, etc.

Tout le monde de la chaîne du directeur commercial

a la personne qui fait le ménage dans les salles.

Eh bien tous les bénéfices de l'entreprise reviennent à l'employé.

C'est du jamais vu.

Dans une grande entreprise, tous les bénéfices de l'entreprise,

eh bien ce n'est pas l'employé, normalement, qui les touche.

Celui qui a la tête de l'entreprise,

à la tête de toute cette pyramide commerciale bâti,

ça revient au PDG.

Eh bien là, quand tu fais un commerce avec Allah,

tous les bénéfices faits par l'entreprise te reviennent à toi.

Il y a une condition proposée et même imposée par Allah, subhanahu wa ta'ala.

C'est la suivante.

Les bénéfices, les dividendes, le chiffre d'affaires, etc.

Ce sera dans plusieurs années que tu pourras le toucher.

Pas avant dix ans, cinquante ans, soixante ans.

En fait, pas avant que la terre n'est recouverte,

ton corps la tombe, la mort.

C'est le même exemple qu'une maison.

J'avais entendu cet exemple dans un cours de Rollin que j'avais pris.

Il me semble que c'est un cours de nom à la léthane,

aussi que dans lequel j'ai déjà entendu ça.

Un grand enseignant de Rollin, soit dit nom passant.

L'exemple d'une maison, en fait,

pour décrire le commerce avec Anna.

Et en plus, il s'agit vraiment d'une maison.

C'est vraiment le sens propre, parce qu'il parle du paradis.

Il nous échange notre bien, notre personne compte le paradis.

Donc le paradis, c'est notre maison.

C'est la maison qu'on est censé retrouver.

C'est la maison de base, de départ.

La seule qui est connue, au départ,

papa Adam et mama Hawa, paix sur eux.

Donc c'est notre maison, c'est notre héritage,

et c'est là-bas qu'on peut retourner.

Il ne faut jamais oublier cet objectif final.

Et en fait, dans l'exemple d'une maison,

il faut s'imaginer que la maison qu'Allors Fontaine nous propose,

donc le paradis, c'est la meilleure.

Il y a tout dedans, elle est parfaite.

Il y a tout ce qu'on peut espérer.

Toute la technologie, toute l'aisance,

tout, tout, tout, tout, tout, tout.

La maison de tes rêves, en fait.

Elle a une valeur inestimable.

Et bien, imagine quelqu'un qui vient te proposer ça.

Il te dit, il y a tout dedans.

Il n'y a rien à faire dans cette maison.

Il n'y a rien que tu dois faire comme effort, en tout cas,

dans cette maison.

Il y a tout.

C'est la maison des rêves de n'importe qui.

Et on te dit, en fait,

que tu peux avoir cette maison.

Et tu peux avoir même bien plus.

En échange, de ta personne,

était bien.

Ton argent, tout ce que tu possèdes.

Et on te dit que tu ne gagneras le pactole,

tu ne gagneras pas avant que la terre ne t'est recouverte.

Et on te dit, ah oui,

au fait, tu ne pourras pas la voir

ni la visiter avant ce délai.

Donc, on me propose,

soit une maison, la maison de mes rêves,

mais on me dit, tu ne pourras pas la voir tout de suite.

Et tu vas devoir dépenser, maintenant.

Toi, tu dois dépenser maintenant

ce que tu possèdes, ta personne et tout ta vie durant.

Et en plus, ce que je te propose,

tu ne peux pas le visiter.

En général, quand on entend un truc comme ça,

on a envie de poser la question à la personne et dire,

je peux regarder ce que c'est.

Je peux visiter. Est-ce que je peux l'admirer

de mes propres yeux ?

Là, on te dit, non.

Tu ne pourras pas visiter,

tu ne pourras pas regarder,

mais je veux bien te la décrire.

Je peux la décrire si tu veux.

Et là, je te renvoie à tous les passages

de Pro-N qui parlent du paradis.

Et ils sont nombreux.

Tu pourrais me faire un livre livré

avec tous les passages du paradis.

C'est un exercice très intéressant,

soit dit en passant à faire toute seule

ou même avec tes enfants.

C'est très passionnant.

Là, je te promets de te donner plein de détails.

Tu ne pourras pas la voir, tu ne pourras pas la visiter,

mais je peux te donner tous les détails.

D'ailleurs, les détails qui sont donnés du paradis,

les descriptions qui sont faites, sont spectaculaires.

Si tu prends le temps de voir,

il va jusqu'à décrire la couleur,

du brocard, des vêtements luxueux

de soi qui seront portés.

La phrase Pintala parle de soi verte,

par exemple, dans quelques passages.

C'est magnifique.

D'ailleurs, à partir, le vert est ma couleur préférée.

Alors, je ne te dis pas

ma joie

quand je vois autant

de mentions de la couleur verte

dans le Pro-N.

Je me suis dit que c'est peut-être pas pour rien

que c'est ma couleur préférée.

C'est peut-être pas pour rien que c'est la couleur préférée

et plébiscité par le professe Asseline.

C'est une couleur prédominante au paradis.

La verdure, le vert

autour de soi, etc.

a un grand effet

sur le corps, sur l'énergie.

Et donc, le paradis est

gorgé de verre.

Et ce détail

sur la couleur

verte

parmi les vêtements

qu'on va porter au paradis,

je ne sais pas si tu te rends compte de la précision.

C'est assez intéressant.

Et donc,

le professe Asseline te donne plein de détails.

Le professe Asseline

aussi te donne plein de détails.

Je ne vais pas te la montrer.

Mais je peux te la décrire.

Et tu auras aussi la description

du professe Asseline

parce que Mohammed Asseline a visité le paradis.

Donc lui aussi pourra te donner des détails.

Donc quelque part, tu auras une visite

virtuelle divine

du paradis par Allah

lui-même dans son corps N.

Tu auras une visite

humaine donc décrite par un être humain

comme ça tu as la version divine

et tu as la version humaine

le professe Asseline a traversé

à Hadith.

Et si tu acceptes les conditions

et bien Allah te dit que tu dois

signer le contrat de vente

parce que c'est un contrat de vente en quelque part.

C'est un échange en tout cas. Il y a un troc.

Il y a un échange d'une chose

pour une autre chose.

Deux grandes choses de grande valeur.

Il te dit qu'on doit signer le contrat maintenant

de contrat de vente.

C'est maintenant, c'est pas après.

Et tu ne pourras emménager

donc dans ce bien, dans ce paradis

que dans un certain nombre d'années.

Un nombre d'années, Carlos Prentala

lui aura choisi.

Et toi, tu dois faire don

de ta personne et de tes biens

pendant toute cette durée. Est-ce que tu acceptes ?

Celle est la question.

Et sache

que le meilleur commerce que tu feras

dans toute ta vie

c'est celui-ci.

C'est le meilleur commerce que tu feras

toute ta vie durant.

C'est le plus fructueux.

C'est le plus sage.

C'est le plus gratifiant.

C'est le plus gagnant.

C'est le plus durable.

Et surtout, c'est le plus sécur.

Il n'y a pas de risque

en fait dans un commerce avec Arna.

Il n'y en a pas.

Il n'y a pas de risque de faillite,

de risque de défaite.

Les coups bas, la faillite

sont exclus d'un commerce avec Arna.

En tout cas, du côté d'Arna

ça ne viendra jamais.

Ça ne viendra jamais de lui.

Rappelles-toi que tu es débiteur.

Tu as une dette.

Tu as signé un contrat avec

la charte qui va avec.

Et tu as déjà encaissé le montant

de la dette soit dit en passant.

Ta personne, tes biens, tout ce que Arna te donne

et que tu dépenses tous les jours

et dont tu bénéficies.

Ce qui est bien dans ta vie

et bien ce sont des biens,

des choses, des biens faits

que tu as encaissé.

Et tu continues d'encaisser.

Donc tu es déjà endetté

de base.

Et ce sera tout le job

de Satan, le maudit,

de te faire passer pour un mauvais partenaire commercial

ou un mauvais employé.

Par exemple, en te faisant manquer

à tes piliers d'islam

et à tes actes d'adoration.

Tu te démonnes que tu aurais pu faire

et que tu ne fais pas.

C'est du vol.

C'est une entrave à ton contrat avec Arna.

Une salade que tu manques

ou que tu négliges

en la faisant en retard

ou tout simplement la faisant mal.

C'est un rendez-vous.

C'est comme une réunion d'équipe,

une réunion d'entreprise

que tu manques volontairement.

Tu ternis ton image.

Tu ternis l'image de ton entreprise.

Tu ne participes pas au décision d'entreprise.

Donc tu ne participes pas au décision

de ta propre vie.

C'est une autre entrave

au contrat avec Arna.

Les jours de jeûne obligatoires

que tu ne fais pas.

C'est des jours de purification, on est d'accord ?

Le jeûne, c'est comme une purge.

C'est une purification, c'est un nettoyage

en profondeur.

C'est un risette qu'on fait.

C'est

une purge que tu ne respectes pas.

C'est des jours de stratégie pour ton entreprise

que tu décides de supprimer.

C'est la mort lente de ton entreprise

parce qu'elle n'a pas le temps de se régénérer.

Elle fait que bosser et bosser

et elle n'a pas cette station

d'essence que le jeûne est censé lui apporter.

C'est une entrave

encore une fois, à ton contrat avec Arna.

Le mauvais comportement

que tu as avec ton entourage,

que tu as avec tes parents,

le mauvais comportement que tu pourrais avoir

avec ton entourage,

tes parents, ta famille,

ton voisin, l'automobiliste

qui t'a pas cédé la priorité

tout à l'heure.

Ça c'est un exemple ciblé parce que je sais que

ce n'est pas évident de rester calme au volant

quand quelqu'un fait n'importe quoi

et c'est souvent sur la route

avec les automobilistes au volant

que les plus grandes insibilités

arrivent malheureusement.

Donc avec tout ça

on peut dire que ce sont des manquements

que tu as

à travers les prestataires de services

qu'Aldar Spartala a mis dans ton parcours

l'entreprise

pour la mener à bien.

Tu traiterais donc mal

des gens choisis par Allah

dans ta vie.

C'est donc contraire à la clause

de la charte qui te demande

de toujours bien traiter autrui.

C'est une entrave à ton contrat avec Allah.

Si jamais tu oublies

tes devoirs, comme Cheyton se tue

à te faire faire du matin au soir

le risque est de tomber dans le vol

dans le mensonge

et dans des promesses non tenues

envers Allah.

Rappelles-toi toujours

que tu as échangé ta personne

contre le paradis.

Si tu n'investis pas

physiquement et moralement ta personne

dans la voix qui plaît à Allah,

tu voles.

Rappelles-toi que tu as échangé tes biens

donnés par Allah au départ, je le précise encore,

contre le paradis.

Si tu n'investis pas assez bien

dans la voix qui plaît à Allah,

tu voles.

Une personne qui s'en va avec la dette

qu'elle a volé

a aussi menti

sur sa promesse de restitution

de dette.

Elle a trahi le contrat

et elle a trahi la confiance.

Ce sont des mots très forts que j'ai employés

depuis tout à l'heure, je suis d'accord.

Et bien sûr, ça ne te vise pas

personnellement. Je fais exprès

pour que ça te parle,

pour que ça me parle

également, pour que ça nous parle,

pour qu'on se rende compte en fait

des enjeux de ce grand commerce

et que si on loupe ce commerce

on en réussira

jamais d'autres. Mais quand tu signes

ce contrat, tu l'as signé

le jour où tu as fait Ta Shahada,

le jour où tu as réitéré

tes voeux à Allah

Soyantallah. Et là je te renvoie

à l'épisode 4 de la saison 2

Ta Shahada ou l'art

de te reconvertir à l'islam.

Il y a un aspect

d'investir sa personne et c'est

bien que je trouve

bien trop souvent négliger

mal vu ou mal compris

et c'est le fait de dépenser

pour apprendre sa religion

dépenser pour apprendre

sur Allah, dépenser

pour apprendre sur les stratégies

qui te mèneront sur la bonne route

vers le paradis.

Parce que c'est difficile pour un serviteur

d'Allah de mettre son argent

c'est bien dans un cours d'arabe

un cours de courant

un cours de fir, jurisprudence

islamique. Alors qu'il lui semble

normal et logique

de dépenser

pour un abonnement au sport

même quand il ne s'y rend pas régulièrement

un abonnement sur une plateforme

de vidéo à la demande

je ne vais pas citer de nom

un abonnement à des magazines

obis qu'il suit, des pensées

pour compléter une collection

de choses qu'on aime collectionner

des pensées pour une énième tenue

des pensées pour le dernier

appareil photo, le dernier aspirateur

un robot de cuisine

performant, un nouveau portable

alors que l'ancien marchait très bien

une voiture en leasing

ou la dernière SUV, une séance

de manu cure

une prépa ou une grande école

réputée. Pourquoi est-ce qu'on

paye sans rechigner ces choses-là

parce qu'on leur donne

de la valeur. On perçoit

en ces choses

une valeur ajoutée à notre vie

on leur attribue une fonction

de valeur

et l'être humain naturellement

dépense pour ce qui a de la valeur

à ses yeux. Tu sais

je n'ose même pas imaginer

le triste constat

de celui ou celle

qui réalise parfois ne se rend

même pas compte du peu de valeur

qu'il attribue à la parole d'Allah

la parole d'Allah qui sont

ces lettres privilégiées

écrites pour nous

comme destinataires

alors que le Quran

la parole d'Allah c'est la carte

routière qui est sûre

qui est certaine

de te mener au paradis

ta maison. Je m'attriste

du peu de valeur qu'une

personne attribue

au fait d'apprendre la langue

d'Allah. La langue Karlas Funtala

a choisi pour correspondre

de la plus éloquente des manières

avec nous. Je suis triste

du peu de valeur qu'une personne

attribue

aux faits de connaître les règles

de jurisprudence. L'héritage

de notre Muhammad sallallahu alaihi

wa sallam qui nous aide à paramétrer

notre vie, à faire ce

Karla, notre CEO

avec qui on commerce

aime et s'éloigner

loin, loin, loin

très loin de ces

Karla n'aiment pas. Parfois

j'entends par ici ou par là

qu'autant du prophète sallallahu alaihi wa sallam

les gens ne payaient pas pour apprendre

leur religion. Et bien

j'ai envie de te dire, oh que si

ils ont dépensé

ils ont beaucoup dépensé

ils ont dépensé de leurs personnes

comme on ne dépensera jamais

de notre personne. Ils ont

dépensé de leur vie. Ils ont

dépensé leur nourriture.

Ils ont dépensé leur argent. Ils

ont dépensé en guerre.

Ils ont rempli toutes leurs parts

du contrat commercial avec Karla.

Les grands savants

d'antan, quand ils étaient élèves

ils voyagaient des kilomètres

au péril de leur vie pour

apprendre quelques hadiths à la fois.

Ils ont dépensé pour leur paradis.

Nos parents pour la plupart

sont venus en Occident en faisant

beaucoup de sacrifices

pour nous offrir les meilleures chances de réussite.

Ce n'est pas

ce n'est pas un investissement

de leur personne et de leur bien. Et toi

et moi et nous on a

investi quoi concrètement ?

Je peux pas te parler

de l'investissement des autres

mais je peux te parler de mon propre investissement.

Je ne peux même pas compter

ce qui a été investi pour me rapprocher

d'Allah. Ça commence par

l'investissement de mes propres parents pour moi

en école d'arabe

de Colen

dans mon enfance. Toutes les fournitures

pour l'apprentissage.

Je me rappelle

de mon premier courant que mon papa m'a acheté.

Je me rappelle

de mes années

passées. Je me rappelle

de mon année d'interna passée

à l'Institut de Château Chinon

en campagne où je logeais

et qui a coûté pas moins de 3000 euros

à mon papa. Je me rappelle

de ces étiquets de trains

de bus pour aller réciter

des pages de Colen à mon enseignante.

Je me rappelle de ces nombreux billets de TGV

pour aller assister

à des hijazates. C'est

une licence que quelqu'un passe

lorsqu'il termine la mémorisation

du Colen et qui

certifie qu'il l'a mémorisé

par coeur sans faute

ni de mémorisation

ni de tajouid. Et il se trouve

qu'assister à des assises

où le Colen est parachevé

en hijaza,

en Khatma, lorsque le Colen

est terminé en récitation

et qu'on assiste

aux dernières sourades de ces récitations

ce sont des moments

où les invocations sont exaucées.

Donc dès que j'entendais

qu'il y avait une hijaza

que je connaisse la personne ou non

je faisais le déplacement. Je me rappelle

avoir fait des kilomètres

des kilomètres en France

pour aller juste assister

à la clôture de récitation

de Colen d'une personne

de personne

parfois que je ne connaissais même pas.

C'est une dépense, un investissement

pour mon paradis.

Aujourd'hui, je peux dire que

ma dépense m'amise

à doubler, à tripler

et même plus. Je

continue d'investir du temps

de l'argent de ma personne

pour apprendre plus

encore et encore plus.

J'essaye de faire le même investissement

que mes parents pour mes enfants.

Je dépense

sans compter pour leur apprentissage.

Je dépense

aussi sans compter

pour celle que je forme

celle à qui j'enseigne.

J'investis de mon temps

avant toute chose. Et le temps

c'est la chose la plus précieuse

qu'on possède. C'est la chose

qu'on dépense

pour pouvoir le retrouver.

Toute personne qui te donne de son temps

que ce soit en bien ou en mal

t'a donné quelque chose de grande valeur.

Elle t'a donné quelque chose

qu'elle ne pourra jamais, jamais

récupérer le temps.

On en perd tous, tous les jours

parce que chaque jour

qui passe, c'est un jour

de plus qui nous rapproche de notre fin.

Prenons soin de notre temps.

J'investis de mon temps

pour celle que je forme. J'investis

ma voix que tu es en train

d'écouter. J'investis mon argent

dedans et passé

l'argent que je dépense

pour ma plateforme

de formation, pour l'hébergement

de mon site internet.

La plateforme

par laquelle je t'envoie

chaque vendredi, une lettre, la lettre

du vendredi, me coûte

de l'argent tous les mois.

Ce pot de casque

que tu as le plaisir d'écouter

me coûte de l'argent pour être hébergé

tous les mois. Le matériel

qui me permet d'enregistrer

m'a coûté

pas moins de mille euros au total.

Car je voulais du matériel

de bonne qualité, de pointe

pour te permettre d'écouter

en toute sérénité, des bonnes choses

pour ta vie, des bonnes choses

pour leur courant. Parce que

si on réfléchit en termes de paradis,

si on réfléchit

en termes de commerce avec Adela,

il faut proposer de la bonne qualité.

Il faut investir

de la grande qualité.

Ce que je dépense, c'est pour mon paradis.

Je me rappelle

même que récemment, en période

d'éménagement, il y avait tellement

de bruit chez moi par rapport au

travaux, etc. que je louais

des cocoonspace à la défense

par journée

pour aller enregistrer des épisodes

de podcast. C'était des dépenses

en carburant, des dépenses

en location des dépenses de temps

pour t'offrir

de la bonne qualité.

Et tu n'as pas à dépenser pour ça.

L'hébergement, zoom

ou autre en présentiel

que je fais pour pouvoir écouter

réciter mes élèves, me coûte

de l'argent tous les mois. Et

chaque sous dépensé par une

élève est immédiatement

réinjecté pour travailler

encore plus pour ses élèves,

pour mieux enseigner

et pour investir dans un grand

projet que je garde secret pour le moment

et qui sera à viser

des élèves et que j'espère

de tout cœur, voire, s'accomplir

de mon vivant en Charles.

Sache que personne

n'est devenu millionnaire ici bas

en transmettant la parole d'Allah

ou en enseignant. Mais demain au paradis

les millionnaires auprès

d'Allah, tu les côtoies déjà

aujourd'hui dans cette vie. Il

dépense pour ton bien, il t'enseigne

avec passion. Comme je suis

étonnée de voir des personnes

questionner des écoles et des enseignants

sur le fait de devoir dépenser

pour apprendre. Donc ça veut dire

qu'Allah ne serait pas assez digne pour que

tu dépenses pour lui. Il n'aurait pas assez

de valeur dans ton cœur pour que tu ne

dépenses pas un apprentissage

qui te rapproche de lui.

Ou ça veut dire que notre Muhammad

sallallahu alaihi wa sallam

ne mérite pas qu'on dépense

pour le suivre alors qu'il a tant

fait pour notre salut d'aujourd'hui

et qu'il a pleuré de ne pas avoir pu

encore nous rencontrer. Ou ça veut dire

que papa Adam et maman Haohape

sur eux sont descendus du paradis

pour rien. Leur maison qu'ils aimait

tant, le paradis, la seule maison

qu'ils ont connue à la base

eux ont vraiment dépensé

de leur personne et leur

bien pour retourner au paradis.

Et ils l'ont aussi fait

pour que nous nous fassions de même.

Donc en refusant de dépenser

nous aussi, on refuserait

donc leur héritage. On refuserait

le retour de leur descendance

entière au paradis et pas récocher.

On refuserait cette merveilleuse

opportunité de commerce avec Adla

à notre descendance.

Rappelles-toi que tu es

déjà une ancêtre.

Je te renvoie à l'épisode 9

de la saison 2, où je te pose

la question, quel ancêtre

es-tu ? En refusant

d'investir en toi,

d'investir dans ton paradis,

tu refuses ce paradis

aux générations futures de ta lignée

qui ne sont pas encore là

mais qui, à distance, risquerait

de souffrir de mauvaises

décisions que tu aurais prises

aujourd'hui. Et dis-moi

ces personnes de ta descendance, ils ont

de la valeur à tes yeux ? Encore une

fois, j'emploie des mots forts

pour qu'ils résonnent dans ton

cœur et que tu mesures

l'ampleur de ce commerce fait

avec Adla. Et tout ceci,

tout ce que je viens de citer, peut

se renverser dans le bon sens.

Si tu investis pour Adla aujourd'hui

et ta vie durant, celui

qui investit dans un commerce avec

Adla pour son propre paradis

ne pourra jamais se ruiner,

jamais faire faillite.

Ce qu'il dépense lui appartient

et ce qu'il garde, il a bel et bien perdu.

Investis ce que tu as,

même le peu que tu as, juste

investis. C'est pour ça qu'Adla

Sprintala a fait preceder

dans la haïa ta personne

avantée bien.

Parce que s'il avait dit qu'il a

acheté des croyants, le paradis

en échange de leurs biens

et de leurs personnes,

eh bien

cette haïa aurait exclu d'ores et

déjà une bonne partie des habitants

de la terre. Parce qu'il y a des

personnes qui ne possèdent que

très peu, d'autres qui ne possèdent

rien. Rien que leur

personne. Et tout le monde

possède sa propre personne. Si tu es vivant

si tu es sur terre, c'est que tu possèdes

ta personne dans l'état

dans lequel tu te trouves, mais tu possèdes

toujours ou moins

ta personne. Et c'est déjà énorme.

Donc Adla Sprintala

dans d'autres passages du Quran

il a déjà mentionné des gens

qui investissent. A chaque

fois il parle de leurs biens

et leurs personnes.

Notamment quand il parle de la guerre.

Mais pour aller dans une guerre, il faut

de l'argent, il faut des armures,

il faut des denrées, il faut

des armes. Il faut

beaucoup, beaucoup de dépenses pour

une guerre. Et les gens

doivent pouvoir investir

de leurs biens pour pouvoir

aller en guerre. Et après, quand tout est

prêt, ils ont leur armure,

il y a ce qu'il faut, il y a

tout le matériel nécessaire, toutes les

infrastructures nécessaires, toutes

l'armure et l'artillerie nécessaires,

ils investissent leurs personnes dans cette

guerre. Sauf dans ce passage

Adla Sprintala a inversé les

deux mots en disant qu'il a

acheté en échange du paradis

au croyant

leurs personnes

et leurs biens.

Comme pour dire à l'humanité

vous êtes tous inclus

dans ce commerce. Si vous n'avez pas

de biens, vous avez votre personne.

Et si vous avez votre personne

et vos biens, alors vous devez investir

les deux.

Regarde juste la l'éloquence

dont fait preuve ton problème.

Tu auras donc toujours ta personne

à investir. Personnellement

j'ai échangé tout ça

mais bien ma personne

pour le paradis.

J'ai déjà signé le contrat.

Je réalise que j'ai déjà

signé le contrat.

J'ai déjà encaissé

les biens qu'Adla Sprintala a mis

à ma disposition. Mon compte est

débiteur vis-à-vis d'Allah.

Alors je fais ma part du contrat.

Je dépends ce que j'ai.

Ce qu'il m'a donné

au passage pour retrouver

un jour ma maison

mon paradis, bâti

par la grande rahma d'Allah

aménagé par sa générosité.

Et les dernières petites

finitions de la maison au paradis

et bien

je me dis que ce sera le résultat

de la sueur de mon front ici bas.

Ce sera ma part de l'aménagement.

Et toi, qu'est-ce que tu as fait

pour remplir ta mission ?

Qu'est-ce que tu as fait pour remplir

ta part de contrat avec Adla ?

Qu'est-ce que tu as aménagé pour ton paradis ?

Qu'est-ce que tu as décidé

d'investir ? Quel commerçant

tu veux être ?

Un bon commerçant ?

Ou un pietre commerçant ?

Quand on commerce avec Adla

on peut être qu'un bon commerçant.

On n'a qu'une seule option

de le faire. Et rappelle-toi toujours

qu'au bout de ce commerce

si tu l'as bien mené

c'est toi le gagnant.

Merci d'avoir écouté cet épisode

et comme toujours si ce podcast

t'a apporté du bien

alors une chose à faire

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pouvoir être utile à d'autres personnes

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que ce podcast doit continuer

et être écouté par le plus grand nombre.

Je confie à Adla Subhanahu Wa Ta'ala

le soin de préserver ta foi

ton honneur et ton coeur

je te laisse à présent passer

un bon moment avec ton courant

et je te dis à vendredi prochain

pour un nouvel épisode.

Salam alaikum warahmatullah

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