Coran de Ton coeur: [REDIFFUSION] - Ramadan' Naissance : Le premier homme de sa vie

Bienvenue dans Ramadan naissance, la série du podcast Coran de ton coeur qui t'accompagne avec douceur pendant les jours bénis de Ramadan.

Je suis Zeyneb, enseignante et éternelle étudiante du Coran.

Chaque jour de ce mois béni, du lundi au vendredi, prépare-toi à voyager à travers les histoires de ton Coran à la recherche de belles leçons de vie pour toi et tes proches Ramadan naissance.

Parce que chaque Ramadan est censé être ta Renaissance et chaque Ramadan est censé être ta station d'essence.

Puis l'une des deux femmes vint à lui.

Puis l'une des deux femmes vint à lui d'une démarche timide et lui dit, mon père t'appelle pour te récompenser pour avoir abreuvé pour nous et quand il fut venu auprès de lui et qu'il lui eut raconté son histoire, il, le vieillard, dit, n'est aucune crainte tu as échappé aux gens injustes.

L'une d'elles dit, oh mon bien et mes pères, engage-le à ton service, moyennant un salaire, car le meilleur à engager c'est le fort et le dignes de confiance.

Il dit, je voudrais te marier à l'une de mes filles et que voici, à condition que tu travailles à mon service durant huit ans. Si tu achèves dix années, ce sera de ton bon gré. Je ne veux cependant pas t'imposer quelque chose d'excessif.

Tu me trouveras une chat-Allah d'une ombre des gens de bien. C'est conclu entre toi et moi, dit Musa. Quel que soit celui des deux termes que je m'assigne, il n'y aura aucune pression sur moi et Allah est garant de ce que nous disons.

Surat al-Qasas, ayah 25 à 28. Alors cette histoire, laisse-moi te dire, c'est une des plus belles du Quran, littéralement. C'est un passage où Musa al-Salaam est arrivé à Madien, donc c'est après cette longue traversée du désert, après être cet enfuit d'Egypte, parce qu'il a tué accidentellement un homme et quelqu'un est venu le prévenir au fond, du fin fond de la ville en disant,

les notables se réunissent à ton sujet et la sentance est tombée. S'ils te retrouvent, c'est la peine de mort. Et Musa al-Salaam qui sort et qui s'enfuit littéralement, qui sort craintif du pays et qui va dans le désert.

Il arrive à Madien. Il entrevoit une scène de loin avec deux jeunes femmes qui attendent, avec leurs troupeaux, bien en arrière, avec d'autres hommes, d'autres hommes qui eux aussi abroivent leurs troupeaux et accaparent un petit peu le puits et ne s'en vont pas, et ne laissent pas ces deux femmes puisées.

Et Musa al-Salaam, il assiste à la scène et il se rapproche du puits. Et il regarde ces femmes, il leur dit « quel est votre problème, de quoi avez-vous besoin? » « Ma hâte en boucouma ».

Elles qui répondent, en gros, on doit abrover nos bêtes. Notre père est vieillard, donc c'est à nous de le faire, il n'a pas de fils, et nous ne voulons pas nous mélanger, assez berger.

Donc on attend qu'il termine et après on le fera, sachant déjà que c'est un travail pénible. Elles s'imposent d'attendre jusqu'à ce que ces hommes s'en aillent, parce que c'est rapporté dans l'histoire que c'était des hommes, on va dire, ni très galants et qui n'ont pas un super comportement avec l'agente féminine, et donc voilà, qui n'étaient vraiment pas bien veillants.

Et donc, pour toutes ces raisons-là, Musa alaihi salam, il entend l'information, il a posé une question, on lui a répondu, il retrouve ses manches, et il commence à puiser.

Il fait le travail de plusieurs hommes, il fait ce qu'il a à faire, il puise, il leur donne, et il retourne sous l'ombre de son arbre.

Et là, il profère une très belle invocation parmi les plus belles du Qur'an.

Robbi inni lima anzalta ilayyam ilrayim faqir, oh mon Robb, j'ai grand besoin du bien que tu as fait descendre vers moi.

Juste après, une défi arrive, donc sûrement elles sont entrées après à la maison, elles ont dû raconter à leur père, le père qui est étonné.

C'est bizarre, vous êtes rentrés plus tôt que d'habitude, vous avez abrové toutes les bêtes, et il a dû voir sur leur visage, il n'y a pas d'étrace de la fatigue, il y a une certaine joie, il y a un enthousiasme.

Donc elles racontent tout, et bien il y a un monsieur, il a fait ça, c'est ça, c'est marrant, il n'a pas l'air d'être d'ici vu son accoutrement, il vient pas de la région, c'est peut-être l'Egypte ou quelque chose comme ça, il avait l'air très fatigué, il a fait ça, il a puiser, etc. et il est reparti sa soir.

Et le père, naturellement, il faut me le trouver, il envoie une de ses filles, est-ce que tu peux aller le rechercher?

Tu lui dis que j'ai d'invite à manger à la maison pour le remercier de ce qu'il a fait pour vous.

La fille s'exécute, une des femmes s'exécute, et elle va aller chercher Moussa avec la Ayah qui parle de ça, elle dit, voilà, mon père veut te remercier pour ce que tu as fait, Moussa Aleyhissalem, qui s'en va suivre et aller voir le vieillard.

Et en arrivant chez le vieillard, il lui raconte son histoire, donc Moussa Aleyhissalem, il est en face d'être prophète, c'est quelqu'un qui avait de la sagesse, Allah s'en a dit, qu'il lui a donné sagesse et science, donc il lui a donné ce discernement, cette capacité à prendre des bonnes décisions et la connaissance.

Donc il a su qu'il pouvait se confier à cet homme, c'était un homme pieux, donc il lui a raconté les détails.

Donc clairement, il lui a expliqué qu'il a tué un homme, qu'il est infugitif, qu'il était un prince en Égypte, et qu'il a fui, et il a rien, il n'a pas d'argent, il n'a pas de toi, il n'a pas de travail, il n'a rien, donc voilà, il dit voilà la situation.

Le vieillard qui entend ça, qu'il accueille avec bienveillance, lui dit, t'inquiète pas, ici t'as un pied à terre, tant que t'es là en tout cas, et tu es sauvé des injustes, ne pense plus à eux, là t'es arrivé à bon port.

Donc déjà, on voit que c'est un homme qui est tolérant, qui est ouvert, qui ne juge pas, parce que qui hébergerait sous son toit quelqu'un qui a tué un autre homme, qui l'accusait de meurtre quand même, et Moussa al-Salem ne n'y pas à l'effet, même s'il a fait dans une bonne intention sauver quelqu'un d'un autre, bah il n'en reste pas moins que c'est un crime parce qu'il a tué un homme.

Et pourquoi je te parle de cette histoire? Je te parle de cette histoire pour que tu apprennes, et que j'apprenne aussi, de la relation qu'a eu ce vieillard avec sa fille, c'est très beau.

Sa fille dit, papa, emploie-le à ton service, en lui donnant un salaire, parce que le meilleur que tu peux employer, c'est le fort, le dignes de confiance.

Et il y a juste après, on entend le vieillard qui propose effectivement le poste à Moussa al-Salem, voilà, le travail, mais juste avant il lui dit, je veux te marier à une de mes filles, et on échange, et bien tu travailles pour moi.

Là, normalement, si tu lis attentivement, tu te dis, j'ai loupé quelle case, à quel moment il était question de mariage? On a parlé de salaire, on a parlé de travail, on a parlé de quelqu'un qui est fort, quelqu'un qui est dignes de confiance, à quel moment en fait il propose sa fille en mariage comme ça?

Je me rappelle, il y a des années quand je disais, cette soir-là, j'étais avec une amie, elle disait, mais il ne l'a même pas, elle disait, mais c'est quoi ces mariages-là?

Il n'a même pas demandé à sa fille son avis, elle, elle lui a dit, emploie-le, et lui, il parle de mariage entre temps, pourquoi?

Bon, on était très jeune à cette époque, je lui ai dit, non, mais si ça s'est passé comme ça, c'est qu'il y avait une raison, et effectivement, il y a une très belle raison.

Ici, tu vas vraiment apprendre dans cette histoire l'importance du père dans la vie d'une jeune fille, dans la vie d'une fille, dans la vie d'une femme, et l'importance de la confiance mutuelle, de l'écoute aussi mutuelle.

Il faut se dire que le futur beau-père, du coup, de Moussa al-Islam, lui a donné sa fille en mariage parce qu'elle a eu le courage de lui dire qu'elle a trouvé l'homme de sa vie.

Oui, tu as bien entendu.

Elle n'a pas eu de gêne à exprimer son envie de se marier avec Moussa al-Islam, elle n'a pas eu de gêne de dire à son père pourquoi est-ce que c'est l'homme élu de son cœur?

Et bien, elle lui a expliqué qu'elle a trouvé en lui des critères indispensables pour elle. Chacun a des critères, hormis la religion, le comportement, tout le monde a des choses chez l'autre, c'est non en fait, c'est éliminatoire, comme si on passait le permis.

Il y a des choses, en fait, si la personne le fait ou si la personne là dans son comportement ou autre, pour certains ça passe, pour d'autres, c'est lignes rouges. On a tous des lignes rouges et on a tous des choses qui sont tolérables.

Et d'autres choses, si la personne là ou là pas, ça nous est égal.

Eh bien, elles peut-être que sont, qui étaient indispensables pour elles, c'est-à-dire que si ces éléments n'apparaissent pas chez un homme, elle n'est pas intéressée, eh bien Moussa al-Islam avait ces qualités-là qu'elle recherche avant tout ses bases et c'est pour ça qu'elle parle de l'homme fort et de l'homme qui est digne de confiance.

Donc elle a observé Moussa, elle a vu qu'il l'a aidé, elle et sa soeur, sans demander quelque chose en retour. Il s'est imposé devant ses hommes, il a fait le travail de plusieurs hommes et il n'a pas cherché à engager la conversation avec elle. Il a fait son travail et il est parti.

Pour elle, sûrement, quand elle dit que le meilleur que tu peux employer c'est le fort, pour elle, un homme doit être fort parce qu'elle veut se sentir protégé, elle veut se sentir en sécurité, elle veut à ses côtés un homme qui va assumer ses responsabilités.

C'est ce qu'elle sait, quelqu'un avec qui elle n'aura plus qu'à se concentrer sur son statut de femme et pour être une vraie femme dans toute sa féminité parce qu'elle n'a pas endossé malgré elle des responsabilités d'homme et aujourd'hui malheureusement c'est quelque chose de très fréquent.

Et quand elle dit que le meilleur qu'elle peut employer, que son père peut employer c'est le digne de confiance, là, ça se voit que c'est un critère important pour elle, lui qu'elle le mentionne, c'est sûrement un homme avec qui elle peut se sentir en sécurité, devant qui elle peut se sentir en sécurité, devant qui elle peut être vulnérable,

à qui elle peut se confier, sur qui elle peut se reposer, quelqu'un avec qui elle pourra être elle-même sans filtre, qui l'acceptera comme elle est et qui la respectera et qui cachera en fait ses affaires et ses défauts, du regard en fait des autres.

C'est quelqu'un qui lui sera fidèle, Moussa alai salam, elle a bien vu qu'il ne parle pas aux femmes inconnues, il parle pas juste pour parler, il parle pas pour faire la pluie et le beau temps et il ne demande pas en retour de ce qu'il a fait.

Et en plus, elle dit, le meilleur que tu peux employer c'est le fort et le digne de confiance.

Elle a dit un homme fort et un homme digne de confiance, comme pour dire, elle ne veut pas seulement ces critères-là, elle veut ces critères-là chez Moussa alai salam.

C'est le digne de confiance qui est chez Moussa qui l'intéresse et c'est le fort qu'elle a vu chez lui qui l'intéresse.

Donc elle sait exactement ce qu'elle veut. Il y a une telle confiance émotionnelle avec son père qu'elle lui a fait une suggestion complète.

Le message principal qu'elle voulait lancer à son père, c'est « papa je veux me marier avec cet homme, j'ai des sentiments pour cet homme ».

Il remplit tous les critères que je recherche, je l'ai observé, il me suffit en tout cas en tant qu'époux, c'est ça le message principal.

Mais elle sait que Moussa alai salam ne possède rien, n'a pas de bien, il n'a pas de toi, il n'a pas de famille pour le soutenir,

il n'a pas de délégation qui vont pouvoir l'accompagner pour demander la main de cette femme.

Donc elle suggère à son père en plus la solution. Est-ce qu'on doit pas de dire « bah je veux me marier avec lui ».

Non, elle dit cette information et elle va la masquer indirectement par suggérer à son père d'employer Moussa alai salam à son service en guise de dot,

d'accord, et de l'héberger et de lui donner un toit.

Donc c'est vraiment quelqu'un de, cette femme machinage, je trouve qu'elle est classe, elle est élégante, elle est pudique en même temps

et il y a ce côté où elle a confiance en son père. Et si elle a confiance en son père, c'est parce qu'il lui a montré qu'elle pouvait lui parler,

qu'il était digne de confiance. Donc il y a une confiance mutuelle. Donc elle, elle s'est sentie à l'aise de parler à son père

et son père, on va étudier sa réponse, a eu l'intelligence de montrer à sa fille qu'il a compris.

Donc le père, sa réponse, Allah ne nous a même pas donné la partie où il répond à sa fille sur ça.

On a tout de suite Moussa alai salam et ce vieillard qui sont en train de discuter et lui dit « bah j'aimerais te donner ma fille en mariage

en l'échange de 8 années de travail ou 10 si tu veux, mais je ne veux pas t'imposer quoi que ce soit. Tu es chez toi ici, tu es en toi et voilà ».

Là, c'est très beau les enchaînements qu'Allah s'pente à la fée, ça donne beaucoup de poignes en fait.

Il occulte en fait la réponse du père qui aurait pu dire « ah tu veux vraiment qu'on l'emploi, ah tu veux te marier avec lui »

ou « d'accord je vais lui dire que tu veux te marier avec lui ou je vais faire de sorte qu'il demande ta main et sans lui dire que ça vient de toi par exemple ».

Tous ces discussions on les a pas, on a tout de suite.

Ecoute, je te propose une de mes filles en mariage, qu'est-ce que tu en dis?

Et je sais que tu n'as pas de quoi payer la dot comme de toute façon t'es pas amené à partir,

eh bien pourquoi, qu'est-ce que tu dirais de travailler?

Tu as un toit, tu auras un travail et tu pourras te marier avec une femme intelligente machin.

Et dans la réponse en fait du père qui parle directement à Moussa,

donc qui répond à sa fille en demandant à Moussa al-salam,

eh bien on voit que le père il répète en fait,

quasi exactement la proposition de travail qu'a suggéré sa fille,

mais la raison c'est parce qu'il veut marier sa fille,

c'est-à-dire qu'il ne cherche pas seulement à employer Moussa al-salam,

employer Moussa al-salam c'est parce qu'il veut lui donner sa fille en mariage.

Et il présente les choses comme si la décision venait de lui,

comme si l'idée venait de lui en disant je voudrais, je veux te marier à une de mes filles.

Donc là quelque part il préserve un petit peu sa fille.

On voit que c'est une petite discussion entre père et fille,

tout le monde n'a pas besoin de savoir que c'est toi qui l'a demandé en mariage quoi,

t'inquiète pas je vais le faire passer par moi.

Donc une femme qui a eu la subtilité de dire de manière très élégante à son père,

papa j'ai trouvé l'homme de ma vie et qu'il le dit de façon un peu déguisée,

mais clair aussi parce qu'elle sait que son père va comprendre et son père a compris effectivement.

Et bien son père la préserve, il se dit je vais faire de sorte que c'est moi qui vais te proposer en fait.

C'est beau ce père parce qu'il a su avoir l'humilité d'écouter la suggestion

de quelqu'un qui est beaucoup plus jeune que lui, sa fille en plus de surcroît.

Et il faut se dire que c'est de cette acceptation de mariage du père

et la proposition de cette fille, donc le courage qu'elle a eu,

c'est de ça en fait qui est née le nouveau Moussa alaihi salam.

C'est ce Moussa qui a évolué à Mahdiyan, qui a pris des forces,

qui a pris de l'assurance, qui a fondé une famille, qui a eu un travail, qui a été bergé.

Et bien c'est tout ça en fait, c'est tout ce cadre-là

qui a permis à Moussa alaihi salam de découvrir son âme

et de recevoir la prophétie et de recevoir l'ordre de libérer son peuple de l'esclavage.

Donc si le père de cette jeune femme n'avait pas été exemplaire

en répondant favorablement à la demande de sa fille, il aurait peut-être privé

toute une nation de la lumière de Moussa alaihi salam.

Il faut se dire que cet homme a beaucoup de mérites

parce que tout ce qui va découler de bien et de craig dans la mission de Moussa alaihi salam

il aura sa part en fait, de Hassanat, il aura sa part.

Lui et aussi sa fille pour avoir eu le courage de parler de ses sentiments envers Moussa alaihi salam à son père.

Et entre nous, je pense que Moussa alaihi salam a dû également voir en elle

des qualités qu'il recherche et qu'il trouve admirable chez une femme

et son acceptation immédiate de la proposition montre que lui aussi était satisfait en fait.

La leçon que je veux que tu emportes avec toi aujourd'hui

c'est d'apprendre à mettre ta fille si tu en as et là je parle au papa en confiance.

Mettre ta fille en confiance en l'écoutant, en lui montrant de l'affection pour de vrai

il faut qu'elle sente que ça c'est de l'affection, ça doit pas être un message qu'elle doit deviner.

Il faut lui faire savoir qu'elle compte énormément pour toi

en lui disant que tu l'aimes, en lui disant que tu l'apprécies

en lui disant qu'elle est intelligente, en lui disant qu'elle est importante.

Le père, il faut vraiment avoir ça en tête, c'est le premier homme dans la vie d'une fille.

L'homme de ma vie quand je suis une petite fille c'est mon père.

L'homme de ma vie quand je suis une jeune fille pas encore mariée c'est mon père.

Et même une femme qui se marie, qui a un époux dans son cœur,

le premier homme de sa vie, ce sera toujours son père.

Alors comme le père est le premier homme dans la vie de sa fille

eh bien son comportement avec elle est très important.

Son comportement avec elle, avec sa fille et le comportement avec la mère de sa fille, donc son épouse

parce que tout ça va conditionner la vision qu'elle se fera plus tard d'un époux.

Un homme doit comprendre sa fille, il doit apprendre la personnalité de sa fille

ce qu'elle aime, ce qu'elle n'aime pas, ses sensibilités, ses émotions.

Il doit apprendre comment nourrir l'intelligence émotionnelle de sa fille.

Il doit apprendre à écouter, apprendre à écouter pour qu'elle puisse parler.

Et c'est ce qu'elle cette histoire avec Moussar, l'Islam et son épouse nous montre à quel point

la relation entre un père et une fille est capital.

Que Dieu préserve tous ces liens, pères, filles dans notre communauté.

Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org

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