Les Grosses Têtes: PÉPITE - Sébastien Thoen a vu Gérard Jugnot pendant les vacances

– Vous avez fait quoi de vos vacances, M. Tholme ? – J'ai passé un été sublime. Je vous raconte ? – Oui !

– J'entends rien, je vous raconte ? Allez, mais en bien, c'est si on se croit sur Skyrock !

– Non mais il se prend pour Bruel. – J'étais dans mon domaine provençal, que j'ai acheté avec l'argent de Vincent Bolloré, comme tout le monde.

Il y avait mes vignes, mes champs de cannabis et tout, et j'étais en famille. Alors c'était l'été, on buvait du rosé, on partousait, et j'ai reçu Gérard Junio, figurez-vous. Il est venu manger.

– Vous m'avez envoyé une photo ? – Voilà ! – Mais il l'a partousé aussi ou pas ? – Oui, non, lui, non. Mais sa femme, oui.

Et il est venu avec sa femme très sympa, Patricia très jolie, son âge, environ 35 ans. Très belle bite, c'est rare. C'est rare pour une femme, hein. C'est rare pour une femme quand même.

– M. Berria, en fait, quelque chose. Vous êtes ainsi à côté d'hier, mais je t'avais oublié. – Il a peur ! – Ça fait trois mois que je l'ai pas vu, je t'avais oublié.

Je peux me confier, c'est la confidence d'un homme, c'est très... Et donc je raconte, donc moi je l'ai bien reçu parce que c'est quelqu'un du cinéma, donc il y avait du taramai.

– C'est en plus qu'il va travailler avec vous sur Canal Plus. – Oui, oui, oui. On est obligés d'être copains maintenant. Donc j'avais du taramai, il y avait de la cocaïne, on n'a parlé que de lui, c'était quelqu'un du cinéma.

Voilà, un acteur, il faut parler que de lui, il faut faire ça. Donc, et il était un peu choqué Junio, j'en parle parce qu'il n'est pas là, donc c'est d'autant plus courageux, parce qu'avec ma femme, on est un petit peu...

Vous savez, on est naturistes, mais pas vraiment, on est demi-naturistes. Donc moi j'ai un milieu de bain, on ne voit qu'une couille. Tu vois, c'est coupé en deux.

– C'est intéressant, ça. – Voilà, et ça l'a choqué parce qu'il dit « Ouais, les gens comme ça, les gens des médias, oh Berlin, on ne fait pas demi-naturistes, on ne voit qu'une couille ou pas. Quand vous êtes en milieu de bain chez vous... »

– Je ne sais pas de quoi il parle, je comprends pas. – Ça tombe bien parce que la première citation, et je vais vous demander d'en retrouver l'auteur, c'est pour Marine Esther qui habite brouillée dans les sonnes.

La première citation, c'est « Si on ne peut pas faire ce qu'on veut chez les autres, il n'y a qu'à rester chez soi. »

– J'en ai un. – Non. – Pierre Dac. – Non.

– François Blanc. – À qui a dit Pierre Dac ? – Moi.

– Ah ben j'aurais dû dire oui, car c'est Pierre Dac. – Ah !

– Bonne réponse. – Ah il commence aussi.

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