Les Grosses Têtes: PÉPITE - Quand Isabelle Mergault rencontre Adil Rami

Pourquoi Isabelle a écrit mon prénom et non sur le papier ? Je ne sais pas qui

suis.

Non.

Non, parce que quand il est arrivé au Grosse-Tête, il y avait un vigil, enfin il y a quelqu'un

qui fumait sa clope, et il me dit, je pense que c'est sa première, je lui dis à qui ?

Il me dit votre nom ? Adil Rami ?

Et il se lui dit, qu'est-ce qu'il fait comme émission ? Il va animer quoi ? Il est quoi ?

Il me dit, tu ne connais pas ? Il me dit, mais c'est un grand oeuvre de foot.

Oui, de foot.

C'est le champion du monde en plus.

Écoutez, je ne le savais pas.

Voilà.

Et j'ai dit, mais il fait donc qu'il a une émission, il me dit, il va au Grosse-Tête.

Je dis, oh.

Et alors, j'étais avec la petite que vous avez vue, là, la sœur de Maya, et puis elle

me regarde, et puis elle me dit, hey, miam miam.

Et en plus, il a ce petit charme supplémentaire qui ne vous déplaira pas, cher Isabelle.

Voilà pourquoi je me suis permis, car autrement, jamais je ne me moque de votre défaut de prononcer.

Ce n'est pas le genre de la maison.

Ce qui n'est hétéro, Laurent.

Non, ce que je veux dire, c'est qu'il a ce petit défaut de prononciation.

C'est vrai ? Sur les quoi ? Les S ou les S ?

Non, pas sur l'ensemble.

Les deux, surtout, tout de toute façon.

Mais on va arrêter d'appeler les Grosse-Tête.

Bientôt, on va appeler les gros cheveux sur la langue.

Ah non, on dirait qu'il m'a embrassé au courant.

C'est mignon.

Non, je suis désolé.

Qu'est-ce que vous trouvez mignon ?

Ce tout ce qui se forme.

Non, mais non, il n'y a pas de raison pourquoi c'est elle qui en profite.

Parce qu'on a un cheveu ensemble.

Moi aussi, t'aimes le baiser mouillé ?

Non.

Alors, s'il suffit d'avoir une voix à la con pour se taper Adil Ramiz,

je veux bien essayer.

Non, moi, je n'ai pas de mâche malo dans la bouche.

Vous avez le paquet, vous.

Il suffit d'inviter Dominique Bessner un jour.

Adil, j'ai pensé depuis le début que tu ne limites pas, en fait.

Exactement.

Alors, moi, quand je vois Adil Ramiz,

c'est sûr que je vais lui faire faire du cinéma.

Adil, il est sensationnel.

Je trouve qu'il y a une voix sensuelle.

Il y a un truc, c'est incroyable.

Cette présence, cette virilité,

ses bras poilus avec cette grosse montre,

ça fait rêver.

Elle limite bien.

Elle limite très bien.

Mme Bachelot, vous souveniez que j'ai la photo.

Je ne sais plus quel mois c'était.

Ah, c'est vrai qu'il a fait le calendrier.

Adil, vous étiez vraiment dans le calendrier des dieux du stade.

Je suis allé le voir jouer à l'île, Adil Ramiz.

Il jouait quoi ?

Il a joué à l'île, précisément quand j'étais ministre d'espoir.

Parce que Adil, t'étais de 2007 à 2010 à l'île.

Exactement, bravo.

Oh, elle a révisé.

Non, non, mais j'ai été ministre d'espoir juste à ce moment-là,

espèce de crétin.

Oui, mais rappelle-toi la semaine dernière,

quand on parlait d'écologie,

je savais quelques oublis.

Elle ne sera pas une plus des vestiaires que des verres.

Je comprends.

ministre d'espoir.

Il est très beau maintenant,

il était déjà très beau à ce moment-là.

Il est mieux maintenant.

Je peux dévoiler quelque chose en coulisses

que vous nous avez dit, M. Ramiz,

c'est qu'il paraît que Mme Martine Aubry,

maire de l'île, vous aimait beaucoup, c'est vrai.

Je pense, oui.

T'as pécho Martine Aubry ?

Non, je n'ai pas pécho, non.

Mais il ne l'a pas gardé longtemps.

Ça change de Pamela Anderson, c'est super.

C'est un style plus français, vous voyez.

Moi aussi, j'ai un maillot de main rouge.

Pardon ?

Moi aussi, j'ai un maillot de main rouge.

Avec ou sans vos règles.

C'est salut, Maud.

Laurent, vous trouvez toujours que c'est un couple très mignon,

parce que ça ne va pas durer là.

Ah non, là ça y est, c'est fini.

Là, c'est terminé.

Et où est-ce que vous étiez, M. Augustine,

que je m'intéresse à l'autre ?

Aux autres.

Oui, aux autres.

Il fait son retour aujourd'hui à Augustine en grosse tête.

Est-ce que vous étiez pendant tout ce temps ?

J'étais en tournage, d'ici tout commence.

J'étais en train de préparer mon album.

Mais personne parle normalement ici.

Vous voulez qu'on fasse une pièce ?

Ça va cartonner.

Il faut que ce soit sous-titré.

Ah non, arrêtez-la.

Vous pourrez parler qu'il y a quelqu'un qui parle normalement ici ?

Oui, bien sûr.

Je suis venu en...

Je suis venu en France 2004.

Allez, je crois qu'il est temps de passer à une première citation.

En fait, pas une citation de Saussure-Guitry pour Isabelle.

Pourquoi ?

Ça fait très longtemps.

Mais elle est chalouante.

En tout cas, je vois Laurent, je suis très content,

parce que je vois que l'émission se rajeunit.

Ah oui ?

C'est moi, je ne participe pas.

Non, mais il y a beaucoup de jeunes,

et pour les questions, ça va être dur, je pense.

On a même Bachelot pour répondre aux questions aujourd'hui.

Vous ne la mettez pas dans la jeunesse, alors que ça...

Pour Corinne Grondin, qui habite dans le Morbillon,

qui a dit, il y a des gens qui parlent,

qui parlent, qui parlent,

jusqu'à ce qu'ils aient trouvé quelque chose à dire.

Saussure-Guitry !

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