Les Grosses Têtes: PÉPITE - Quand Darie Boutboul s'essaye à une histoire drôle

RTL RTL 10/9/23 - Episode Page - 5m - PDF Transcript

Vous allez bien, madame Boudboud, vous n'avez encore rien dit et ça me surprend.

Non, mais parce que justement, j'aime pas du tout comme vous me présentez, parce que

je ne parle pas tant que ça, et il y a dix jours, j'ai fait un naïté, c'est un truc

que mon oeil s'est voilé blanc d'un coup, bref, dans les symptômes, le médecin me

dit...

La première fois que tu dis, bref.

Un quoi ?

Un naïté, c'est ce qu'il y a juste avant l'aïté, c'est juste avant l'aïté.

Je savais pas.

Je savais pas.

Je savais pas.

Un naïté.

Oui, ça s'appelle un naïté.

C'est une préfigurière au l'aïté.

Et tu le fais un IRM cérébral, où ils m'ont dit, on vous met la radio, j'ai dit, mettez

les grosses têtes.

C'est celle qui présentait la cuisine des musquetteurs aïtés.

Mais attends, et en fait, ils mettent pas les grosses têtes parce que les gens rigolent

et bougent.

Elles continuent, quoi qu'on dise, vous avez remarqué.

Bon, donc si quelqu'un fait un naïté.

Même si elle se rend compte que ça ne nous intéresse pas du tout.

Bah si, c'est intéressant.

Le problème, là, on ne l'intéresse pas non plus.

Mais si, parce que comme ça, vous avez appris ce qu'était un aïté.

Il y a peut-être des gens qui savent que quand un oeil se voile, eh bien il faut appeler

le 15.

Bon, écoutez, je crois qu'on a bien compris d'arriver au bout.

Non, mais il faut parler, c'est ça.

Vous allez mieux.

Vous allez mieux.

Il faut dire qu'il va me parler.

Mais tu n'as pas fait l'aïté.

Mais il y a une petite pièce à côté où tu peux parler, tu sais, si tu veux.

C'est bien fermé et tout, c'est un sonorisme.

Vous avez vous confesser de...

Je ne sais pas, effectivement, si la confession fait partie de vos rites religieux, chers d'arrivés.

Mais est-ce que ça vous est déjà arrivé d'aller à Confesse ?

Bah quand j'étais petite, moi j'étais chez les bonnes sœurs.

Ah bah voilà !

Tout à l'heure, quand vous serez embellé dans vos papiers, j'ai justement une petite

histoire de bonnes sœurs.

Ah bah non, les y commençons.

Franchement, les temps ne sont pas forcément joyeux en termes d'actualité, mettons-nous

de bonne humeur tout de suite, allez-y.

Oui, alors, mais elle est longue, hein.

Oh non !

On peut peut-être la garder pour 18 heures !

Alors, tout à l'heure, tout à l'heure, tout à l'heure, d'accord, après l'émission.

Non, parce que y'a des questions...

Non, elle est bien, elle est bien !

Oui, oui, mais vers 18 heures, ça...

Le laitur ne vend pas trop !

Bon alors, allez-y, allez-y.

Allez-y, vas-y.

Alors, c'est dans un couvent, la mère supérieure qui se réveille de très, très bonne humeur.

Et elle se dit, tiens, je vais faire l'inspection des cellules.

Je ne sais pas si ça appelle comme ça pour les nômes.

Enfin bref, je vais faire l'inspection des cellules.

Des chambres ou des chambres ?

Non, c'est pas des chambres, hein.

De mes petites nômettes.

Allons au fait.

Mais si vous m'interrompez tout le temps, j'arriverai jamais, Laurent.

Bonjour, c'est Marie-Joseph !

Vous êtes très bien ce matin.

C'est ravissant ces petites broderies que vous faites, etc.

Oh oui, ma mère, oui.

Mais alors vous, je pense que vous êtes descendu du mauvais côté du lit.

Ah bon ?

Bon, elle passe à la suivante.

Sœur Marie-Caroline, vous êtes très, très, très jolie ce matin.

Vous avez léré pas de nous, vous avez bien dormi.

C'est beau ces petites étiquettes pour les pots de confiture.

Il est 15 heures sur construction.

Oui, ma mère.

Oui, ma mère, c'est très beau.

Mais il me semble quand même que vous êtes descendu du mauvais côté du lit.

Elle se dit, c'est quand même bizarre.

Bon, elle en passe, elle passe toutes les autres.

Elle arrive à la quinzième.

Elle lui dit, là, sœur Marie-Joseph, elle est un peu énervée.

Je voudrais quand même savoir, parlez-moi franchement.

C'est-à-dire, j'ai oublié.

Alors là, je suis le commentateur.

Elle sort tranquillement.

Non, non, non.

C'est ma chute, c'est ma chute.

Alors je continue.

C'est ta chute, ça, c'est sûr.

C'est comme pour le tiercer.

Faut pas surmiser sur elle.

Non, donc...

Parlez-moi franchement.

Est-ce que vous trouvez ?

Elle a fait la chute avant d'arriver, dis donc.

Non, alors je reprends.

On est arrivés à la quinzième.

Elle était énervée.

Non, tu reprends où ?

Tu reprends laquelle nun ?

Ah, elle aurait bien continué, mais elle est comme moi, elle a rien compris.

La dernière nun.

Dites-moi, Sœur Marie-Noël,

est-ce que vous êtes vraiment sûre

que je suis descendue du mauvais côté du lit ?

Elle me dit oui, oui.

Et alors vous le voyez à quoi ?

Ma mère, vous avez mis les sandales du père Émile.

10 minutes pour en arriver là.

Elle est quand même mieux que les histoires pourries

que j'ai dû lire.

Une blague que j'ai dû lire pour la première fois.

Je suis né en 1963, on va dire, en 1967,

dans l'Allemagne à Gvernon.

Franchement, ma boue de boule.

Elle est mignonne et l'élite.

Et encore quand vous l'avez lu,

Laurent l'a fêté ses 30 ans, la vanne.

Mais elle a été particulièrement bien racontée.

Ah ben oui.

C'est vrai.

Le saviez-vous ?

Les grosses têtes vous offrent chaque jour

des contenus inédits accessibles uniquement en podcast.

Tous les jours, Laurent Ruequier et son équipe

vous plongent dans les coulisses de l'émission

grâce à des podcasts exclusifs.

L'intégralité des grosses têtes

et ses bonus, c'est sur l'appli RTL.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.

En grande forme ce 9 octobre, Darie Boutboul s'est essayée à une histoire drôle... Mais c'est toujours aussi compliqué !


Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.