Les Grosses Têtes: PÉPITE - Paul El Kharrat écoeure Philippe Claudel et les Grosses Têtes

RTL RTL 9/11/23 - Episode Page - 7m - PDF Transcript

Monsieur Touen, je comptais sur vous pour réprimander vos camarades Guillaume et Paul

Aycarat, parce que je les ai vus arriver en short, et madame O'Crain et moi-même

étions un peu, non pas choqués, mais nostalgiques de la période où Pierre Benichaud interdisait

tout short dans cette émission, et totale, vous arrivez, vous êtes aussi en short, vous

aussi.

Oui, mais moi, moi j'ai mis un slip.

Alors que Claudèle, qui vient d'arriver, que déjà je peux pas blérer.

Le Philippe Claudelle, il est en pantalon lui, sans slip.

Levez-vous, il est en érection depuis le début là, heureusement on a la radio, c'est un écrivain

Monsieur Claudelle.

Ça arrive que les écrivains soient en érection, oui bien sûr, ça arrive.

En tout cas là, il y a quelques pages qui collent comme on dit, en tout cas, bienvenue

Monsieur Claudelle.

Merci Monsieur, merci.

Vous verrez, ça passe très vite, hein, une carrière.

Oui, trop vite même, mais avec vous ça risque d'être long quand même.

Il n'était pas là quand vous avez fait votre première fois ?

Non, non, non.

On fait ça au fur et à mesure.

Il répond bien, il est drôle ?

Alors écoutez, d'abord il est très cultivé, Philippe Claudelle.

Il a le bac et tout ?

C'était une grande discussion l'année dernière, le bac et qui avait le bac ?

Effectivement, Monsieur Claudelle est une vraie grosse tête.

D'accord.

Si je comptais sur vous pour répondre aux questions, je serais mal toi, vous voyez.

Je ne suis pas là pour ça, moi je suis là pour amener un peu de hauteur.

Oui, on parle.

Monsieur Claudelle, ça fait quoi d'être jugé par un trou de balle ?

On reste dans le noir, en fait.

Une première citation pour Florian Dupéty, qui habite Hormes dans le Loiret,

qui a dit un patron, c'est quelqu'un qui est en retard quand vous êtes en avance

et qui arrive en avance quand vous êtes en retard.

Pierre Duc, Jean-Yann, est-ce que c'est un patron ?

Alors c'est pas un patron, c'est un philosophe.

Un philosophe vivant ?

Un philosophe mort.

Alors je peux vous faire une petite démonstration d'un numéro de cirque que vous ne connaissez pas encore ?

Philippe Claudelle, je vais donner la date de naissance de ce philosophe

et la date de sa disparition.

Vous allez voir.

Un seul des deux suffit.

On va avoir la réponse.

Vraiment ?

Oui, je préférerais la mort ou la naissance ?

Allez, on change la naissance.

La naissance.

Alors il est né en 1772.

Fourier.

Charles Fourier.

Bon !

La réponse de Paul Alcarac.

Charles Fourier, c'est bien lui, philosophe français.

Utopiste.

On devait cette citation sur les patrons.

Deuxième citation, un peu difficile aussi.

Mais je vais vous aider parce qu'on parle beaucoup des millionnaires,

voire même des milliardaires en ce moment.

Et c'est quelqu'un justement qui était très très riche.

Multi-milliardaires.

Rockefeller ?

Laissez-moi poser la question.

Pardon.

Allez-y.

Mais c'est comme une otarie.

Vous voulez filer une sardine.

Ça y est, il plonge à chaque fois.

Laissez-moi terminer la question pour Monsieur Maire,

donc d'apilie dans l'oise.

Il s'agit de retrouver un milliardaire.

Je suis obligé de préciser que c'est un milliardaire,

parce que le moment de l'assistation serait moins drôle.

Et c'est un milliardaire qui dit,

« Demandez-moi tout ce que vous voulez,

sauf de l'argent.

C'est le seul souvenir que m'est laissé mon pauvre père.

Est-ce qu'il est vivant ?

Alors français, non.

Vivant, non.

Américain.

Américain, oui.

Frick.

Frick, non.

Andrew Carnegie ?

Non.

Son père est tout autant connu ?

Alors son père effectivement devait être quelqu'un

qui lui a laissé, j'imagine, un peu d'argent.

Mais c'est lui ?

Melon ?

Andrew Melon ?

En fait, son père lui avait donné 10 000 dollars

pour investir dans le forage des champs pétroliers

dans l'Oklahama.

Donc vous voyez ce qu'il raconte ?

Ah, c'est Jerry Wing ?

Non.

Est-ce que c'est le colonel Titus ?

Ah non, non, non.

Oula, oula, oula.

On l'a perdu là.

Oula.

Non, je vous parle d'un...

Ah, c'est pas Charles Winston ?

Non, c'est Titus Ville.

Je vous parle d'un milliardaire américain.

Charles Winston.

Moran en 76.

Charles Winston.

Est-ce que c'est Jean-Paul Guéti ?

Et c'est Guéti !

Bon !

La réponse de Paul Alcarradre.

C'est Guéti.

Pour Nicolas Joliot,

qui a du 3e yaillis court dans les Ardennes,

qui a dit,

« Quand tu roules vite,

tu es moins dangereux,

car tu restes moins longtemps sur la route ».

Dohaine ?

Non.

« Quand tu roules vite,

tu es moins dangereux... »

Philippe Geluc ?

Non, mais c'est à Belge qui a dit ça.

Sacha Christelle.

Ah non.

Jean-Claude Van Damme.

Jean-Claude Van Damme.

La réponse...

de Guillaume.

Par le beau pays.

Pardon.

Quel beau pays.

La Belgique.

La Belgique.

C'est génial d'avoir des mecs comme Van Damme.

On n'a pas de Van Damme, nous, en France.

Van Damme et Guillaume, vous vous rendez compte.

C'est fou.

Je ne sais pas quel plus.

En parlant de Belgique,

j'ai ouvert un bar à Gaufres,

en Belgique,

puisqu'en Belgique,

il y a la célèbre gaufre de Liège,

puis la gaufre de Bruxelles,

et donc je viens de créer la gaufre de Namur

pour concurrencer les deux grosses pays.

Et la différence ?

Ou ça vous viendrait,

pour goûter.

Pourquoi, Christine,

vous n'avez pas le même accent belge

que Monsieur Guillaume ?

Bah parce que...

Elle a une dignité.

Tout simplement.

C'est quelqu'un, Christine,

qui a une carrière,

qui sait ce qu'elle veut,

qui ne se laisse pas faire,

qui n'est pas esclave d'une culture à la cône.

J'aurais adoré, pendant des années,

un torment de Monsieur Boursway.

Enfin, j'ai pas du tout cet accent-là.

Pas du tout.

Pas du tout.

Pas une seconde.

J'ai travaillé.

Tu as dit qu'il avait disparu, là, non ?

Pas tout à fait.

Pour Franck-Méry,

qui habite trop assez en bris,

la question suivante,

la citation suivante,

est plus difficile,

parce que c'est quelqu'un

qu'on n'a jamais cité au respect.

Mais en revanche,

on connaît plus ou moins

sa phrase,

cette longue phrase,

cette citation que je vais vous donner.

On la connaît sans forcément savoir,

effectivement,

qui a pu la prononcer.

Tout homme qui dirige

et qui fait quelque chose,

à contre lui,

ceux qui voudraient faire la même chose,

ceux qui font précisément le contraire,

et surtout,

la grande armée de gens

d'autant plus sévère

qu'ils ne font rien du tout.

Ah !

Bruno Le Maire !

On la connaissait, cette réflexion.

Non, ce n'est pas Bruno Le Maire.

Jean-Claude Van Damme ?

Non.

C'est un homme politique ?

C'est un contemporain.

Est-ce qu'il est mort ?

Alors, il est mort,

il est mort en 1913,

et c'était un romancier dramaturge,

critique dramatique,

mais assez peu connu,

je dois dire, moi...

Ça tombe bien, on va le trouver.

En dehors du fait qu'il fut académicien français,

j'avoue que je ne le connaissais pas.

À l'académie des Neufs ?

Louis-Émond ?

Louis-Émond, non.

Jules Claréti,

excellent, très bon !

Oh là là là là !

Le Paul El Carrate !

Le Maire m'avait dit

s'il y a Paul El Carrate,

n'y va pas, surtout pas.

Mais voilà, toujours écouté, ça même.

Plus il n'y a pas, plus il est chiant, là.

Jules Claréti,

c'était la première fois qu'on le citait

aux grosses têtes,

alors bravo, Bruno.

Oh ouais.

Merci beaucoup.

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Philippe Claudel n'avait pas encore fait d'émission avec Paul El Kharrat. C'est chose faite, et il a découvert les talents de ce dernier sur les questions posées... De quoi une nouvelle fois écœurer toute la bande.

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