Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL, les grosses têtes répondent aux auditeurs.

Jean-Philippe est au téléphone, il nous appelle depuis l'Irlande, c'est ça Jean-Philippe, bonjour.

Oui, bonjour Laurent, bonjour sur les grosses têtes et bonjour le public.

Ah ben le public, bonjour, il est tout en Irlande.

Tu es dans la campagne perdu au milieu du parc, à une heure de Dublain.

À une heure de Dublain.

Ah, est-ce que tu nous chroules ?

On peut écouter les grosses têtes partout dans le monde maintenant, et évidemment on envoie ces commentaires

sur notre site internet, lesgrossetêtesarobasertl.fr, c'est ce que vous avez fait,

et qu'est-ce que vous vouliez nous dire, alors Jean-Philippe ?

Écoutez Laurent, je vous écoute depuis très longtemps, depuis que je suis arrivé en Irlande,

en fait je vous ai découvert en seconde trajet, France-Irlande,

et j'ai le souvenir que vous racontez cette blague de la sanglia à peu près 2-3 fois par an.

J'aimerais partager votre fourrière mais malheureusement je ne comprends pas la blague.

Et à chaque fois je répète, je rappelle que effectivement je l'ai déjà raconté,

je ne le fais pas par omission, vous voyez ce que je veux dire,

je me souviens que je l'ai déjà raconté tout de même, mais on me la réclame à chaque fois.

Et là, le fait d'en parler, c'est ça qui est terrible,

c'est que la fois que je la raconte pour ceux qui ne la connaissent pas, vous voyez.

Moi je ne la connais pas.

Qu'est-ce que vous dites ?

Je veux la comprendre pour partager votre fourrière, mais je ne la comprends pas,

c'est quoi la suite à ton plat ?

Tu ne comprends pas celle-là ?

Elle est très compréhensible.

Mais pourtant elle est très compréhensible cette histoire.

Récontez-la, racontez-la.

Après, on va encore dire que je la raconte.

La sangria, la sangria.

On ne l'a jamais, moi je n'ai jamais entendu.

C'est une histoire de Roger Pierre, c'est Roger Pierre quand il faisait partie des grosses têtes

qu'il a raconté régulièrement et voilà pourquoi je me suis mis à la raconter moi aussi dans cette émission.

C'est comme un grand classique, vous voyez, et c'est un type qui est dans un cocktail.

Non mais je l'ai raconté la semaine dernière.

C'est un type dans un cocktail, il y a une sangria,

et puis lui il a un oeil de verre et puis pas de chance au moment

où il vient servir la sangria,

son oeil de verre tombe dans la sangria

et tout le monde continue à servir,

il abouissait de le repérer, il ne le retrouve pas.

Et pendant ce temps-là, les gens continuent à boire la sangria

et parmi les gens invités ce soir-là,

il y a quelqu'un qui le lendemain,

non pas souffre de botulisme,

mais sans comme un truc qui remonte, qui redescend dans son ventre,

ça monte, ça monte, ça redescend, ça redescend.

Alors il va y avoir un médecin évidemment,

il va voir le médecin et il dit,

« Ecoutez le docteur, je ne comprends pas,

j'ai un truc dans le ventre qui monte, qui monte,

puis qui tendent en part, redescend, redescend, qui monte, qui monte,

alors le docteur dit, « Ecoutez, ouvrez grand la bouche,

hein, le docteur, je ne vois rien, je ne vois rien,

ah mais là ça descend, ça descend, ça descend,

et là évidemment, il demande d'écarter les fesses,

l'autre regarde et le type lui dit,

« Oui, ça descend, ça descend, ça descend, ça descend,

et le docteur fait, ah, on n'a pas confiance. »

Je n'ai pas compris.

Vous savez Laurent, Laurent j'ai compris.

Mais pourquoi ?

Parce que le médecin, il voit un œil arriver,

donc c'est comme...

Je crois qu'il y a quelques années, je la racontais mieux.

J'ai dû me lasser moi-même.

Je crois Laurent que vous avez omis au fur et à mesure

du temps de dire que le médecin voit un œil arriver.

Oui, mais j'essaie d'être plus rapide,

mais comme ce n'est pas fréquent de voir un œil sortir d'un cul,

c'est vrai que je pense que les gens ne font pas forcément le lien tout de suite.

Mais c'est une blague visuelle finalement.

Il y a la radio, ça marche parfaitement.

Peut-être, peut-être en le mimant.

Jean-Philippe, j'espère que vous allez quand même continuer,

malgré cette blague dont on n'en peut plus,

cette blague, j'en peux plus.

J'espère que vous allez continuer à nous écouter sur ertel.fr.

Dominique maintenant.

Alors Dominique, son chouchou, heureusement.

Ouf, ça me fait du bien.

C'est Jérémie Ferrari.

Bonjour Dominique.

Bonjour Laurent.

Bonjour les grosses têtes et bonjour le public.

Bonjour Dominique.

Qu'est-ce que vous appréciez chez Monsieur Ferrari précisément ?

J'ai eu la chance de le rencontrer dans les loges.

Oh la la, merci Dominique.

Non, non, non, tout le monde est au courant.

Vous allez avancer, tout va bien.

Et là, il vous a dit alors, on n'a pas confiance.

Non, mais j'ai rencontré quelqu'un très humain

et bienveillant avec son équipe.

Ah bah oui.

Un autre contraire de ce qu'il est sur scène en fait.

Mais oui.

C'est un compliment, j'ai du mal à...

Bah écoutez Dominique, ce témoignage montre qu'effectivement

on ne se trompe pas sur notre camarade Jérémie Ferrari.

Contrairement à Katira qui nous a écrit mais qui ne veut pas être au téléphone.

Julie, Sébastien, le mail de Katira c'est

« Tohaine, ferme ta grande gueule ».

Bah écoutez.

Elle a bien résumé la pensée collective.

Non, parce que beaucoup d'auditeurs se sont plats.

L'autre jour j'ai passé que des gens qui vous admiraient.

On m'a dit, c'est trop, c'est trop.

Là maintenant, il faut passer aussi des messages négatifs.

Mais pourquoi elle ne veut pas parler ?

Ah bah parce que, vous savez, elle n'avait pas envie d'être confronté.

Vous avez un mail, c'est courageux.

Ah bah oui, oui, oui.

Tu fais peur aux gens, tu fais peur aux gens Sébastien.

C'est vrai ?

Rien de plus à ajouter Dominique.

Non, continuez comme ça.

Moi je ne vois que le positif.

C'est bien.

Éric maintenant est au téléphone, il est ambulancier.

Bonjour Éric.

Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes.

Bonjour Madame.

Alors, vous rigolez tout seul pendant les trajets ?

Faites pas tomber le branquard j'espère quand même.

Non, c'est l'heure que je conduis donc ça va.

Ah bah c'est encore pire.

Mais vous conduisez bien malgré les grosses têtes sur votre radio alors.

J'essaie de faire mon mieux et les pannexions ne s'enclenient pas.

Et Tohaine vous fait rire, je vois que vous dites c'est un homerdeur de haut niveau.

C'est bien ça ?

Exactement, je me trouve offensif, corrosif et c'est ce qui me plaît.

Vous êtes dans l'ambulance là en ce moment ?

Oui, je suis dans l'ambulance.

On est sur le retour là, avec mon collecte BEC.

Là il y a un mourant qui est en train de vous entendre vous marrer au téléphone.

Alors rien.

Non, non je suis tout seul, on est tout à l'actualité.

Vous voulez pas mettre un coup de frein qu'on rigole ?

On n'a pas des clients tous les jours, il y a des tensions dures.

On vous remercie Eric en tout cas et on passe à Christian maintenant.

Bonjour Christian.

Ah bonjour Laurent.

Ah bonjour Crustin.

Ah ben Christian.

Christian adore l'émission mais quand même il a un petit reproche à faire.

Je crois sur les best-ofs, c'est bien ça ?

Oh c'est les best-ofs, les meilleurs moments.

Il y a toujours Pierre Benichou.

C'est pas que j'ai quelque chose contre Pierre Benichou.

Mais Pierre Benichou il nous a coûtés, il y a trois ans.

Ça il nous a coûtés, qu'est-ce qu'il nous a coûtés ?

Ça il nous a coûtés.

J'aimerais mieux réécouter l'émission de la veille,

ou les émissions qui viennent de passer cette semaine,

ou la semaine dernière par exemple,

que des vieux trucs avec Pierre Benichou.

Mais c'est insultant, c'est insultant pour les grosses têtes.

Je suis d'accord.

C'est complètement d'accord.

Laurent vous avez trouvé des gens exceptionnels,

comme moi, comme Tohaine, etc.

Oui mais dans dix ans, c'est vous qu'on écoutera.

C'est l'ensemble des articles de la rédaction de RTL.

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