Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

Et oui, nous avons gardé cette formidable rubrique, un peu une sorte de bureau des plaintes ou courriers d'électeurs dans la presse,

mais au téléphone, c'est encore mieux d'avoir ceux qui nous écoutent comme Muriel. Par exemple, bonjour Muriel.

– Bonjour Laurent. – Alors vous êtes une auditrice assidue, dis-tu-vous ?

– Pas plus ou moins. – Non, non, elle nous adore Muriel, mais vous en adorez plus, certains plus que d'autres, j'imagine.

– C'est ça. Alors j'adore Caroline Diamant, je profite qu'elle soit là, Laurent Bafi, Thébatien Toël. – Bonjour.

– Et désolé pour les autres, ils font partie de l'équipe, mais bon. – Yoran Ryu, ne vous crée pas, je parle pas physique.

– Il a sa personnalité. – C'est ça. – Ah, c'est sûr. – Merci madame.

– Et vous faites quoi, vous, dans la vie Muriel ? – Alors je suis invité indéviablement. – C'est-à-dire ?

– Et bien c'est-à-dire qu'on fait appel à moi lors de soirée, et lors de ces soirées, on est toujours contraint d'inviter des personnes dont on n'a pas envie,

par exemple si vous n'avez pas envie d'inviter Yoran Ryu, je suis là pour faire en sorte qu'il ne soit plus là.

– Vous êtes escortes ? – Non, pas du tout, je suis invité indéviable.

– Mais attendez, est-ce que toute l'émission est une caméra conçue ?

– Non, moi j'ai envie de savoir et de comprendre ce que vous faites exactement, donc on vous invite, et alors ? – Je peux peut-être le faire aussi.

– Et alors, je fais en sorte que les invités qui sont un peu enquitinants, pour pas dire chiant, partent au plus vite de la soirée pour vous passer une excellente soirée.

– Et comment vous faites pour qu'il part ? Vous les embêtez, alors ? – Ah ben je parle de cul, je fais des choses un peu confiées, et puis voilà.

– Mais donc on sait à l'avance qu'il y aura des gens qu'on ne veut pas voir parce que... – Je vais vous donner le téléphone de Sophie Davant,

si vous pouviez lui faire la même blague, ça serait parfait. Au revoir Biria, Nicolas, maintenant, on a des auditeurs curieux aujourd'hui.

– Bon, les auditeurs qu'on mérite, vous me direz Nicolas, bonjour ! – Bonjour Laurent, bonjour, toutes les qui dégrotent la tête.

– Ah ben vous, vous aimez Yoann Rioua, Nicolas ? – Eh oui, pas comme Muriel.

– Eh oui, vous adorez sa bonne humeur, ses blagues, même s'ils disent où elles ne sont pas toujours reconnues, alors juste valeurs !

– Merci beaucoup, c'est gentil. – En l'accueil est casseuse.

– Et vous espériez pouvoir lui parler un jour ? Bien voilà, je vous laisse avec Yoann.

– Vous habitez où, monsieur ? – Oui, très bien, vous habitez où, monsieur ?

– Entre Saint-Etienne et Lyon. – Ah, magnifique. – Vous adorez le foot, alors ? – Ah oui.

– Très bien. – Ah ben oui, comment il t'attendait ? – Non, non, non, ne gâche pas cette belle conversation.

– Vous êtes très... – Non, faire pas une miette, s'il te plaît. On vit un grand jour, on a la chance d'être là.

– Allez-y, continuez. – Vous êtes sûrs qu'Artaï, vous avez dit que vous ne succéderiez un jour, là ?

– Oui, mais je suis très timide avec les gens. – Vous êtes plutôt Saint-Etienne ou Lyon, alors ? Les Vs ?

– Moi, je suis mordiste de base, donc je suis femme du Hercélance et de Saint-Etoustie. – Ah, magnifique.

– OK. – Il n'y a pas de relance, là, ça. – Il n'y a pas de relance, là.

– Et vous faites quoi dans la vie ? – Je suis ingénieur d'un réglementation nucléaire.

– Ah ben ça, on comprend. – Dans la vie.

– T'es vous qui avez abattu l'avion de Prigogé ? – Il ment, il est fromagé.

– Merci pour votre appel, en tout cas, Nicolas. C'est Olivier, Olivier, maintenant, qui nous appelle.

– Bonjour Olivier. – Bonjour Laurent, bonjour les grossettes.

– On a hâte de découvrir le point. – Oui.

– Ah ben non, on est très impatients de savoir quel est votre métier.

– Olivier nous écoute depuis très longtemps en podcast, c'est bien ça ? – Exact, oui.

– Et vous questionnez sur le fait que ce soit moi qui prépare les questions,

et vous demandez même si, au fond, parfois je ne donne pas les réponses à Paul Elcarat, c'est ça ?

– Ou même si c'est Laurent Roquier ? – Non, c'est pas tout à fait ça.

Bon, alors je vais répondre à Coralini Diamant, j'ai un métier tout à fait standard,

je suis opticien, je suis optique et rare à ou d'un cours, pof, fume.

Et en fait, je pense que quand vous avez Paul Elcarat dans l'émission,

il faut que vous prépariez à peu près 2500 questions en plus.

– C'est pas faux. – J'aimerais savoir si c'est vous qui les préparez toutes,

parce que vous vous levez à 3h du matin quand Paul est avec vous.

– Eh ben c'est ça, mais c'est vrai que ce matin, j'étais là très très tôt

pour imaginer les questions historiques qui vont peut-être permettre de coller Monsieur Ferrand.

En plus quand j'ai les deux, en même temps, Monsieur Ferrand et Monsieur Elcarat,

c'est très compliqué, vous avez raison, absolument Olivier.

– Vous voyez Laurent, moi, je ne nécessite pas que vous vous leviez plus tôt que pour moi.

– C'est vrai, Caroline, vous avez fait beaucoup pour moi.

– Et que je choisis l'éroulement de tambour à 3h du matin.

– Caroline, vous avez fait beaucoup pour ma santé, voilà pourquoi vous êtes toujours ici depuis 20 ans.

– En tout cas, je voulais juste rajouter quelque chose si vous le permettez.

– Vous êtes vraiment un soleil pour beaucoup, beaucoup de gens, sachez-le,

ça fait énormément de bien de vous écouter et vous avez un choix de sociétaires énormes,

Joyce de Natan est un soleil, il y en a bien d'autres.

Vraiment, vous êtes tous extraordinaire. – Merci Olivier.

– Vous aussi voulez vous la faire.

– Qu'est-ce que vous faites comme métier Olivier ?

– Je suis donc optifiant. – Ah oui, optifiant, c'est vrai, pardon.

– Avant que vous lui disiez que j'étais toute chamboulée,

bah oui, c'est dans un coup que je me suis intéressée.

– Je vois bien, tout à coup je réactive un petit peu.

– Sinon, vous êtes dans quelle branche ?

– Ah mais c'est pour ça qu'il parle de solaire, il dit que je suis solaire,

rapport à son métier. – Il aimerait être au petit soin.

– Est-ce que vous avez une jumelle ?

– N'oubliez jamais une chose, Yvan, c'est que vous êtes un sportif.

Peut-être arrêter de faire le comique de temps en temps et ça ira très bien.

– Allez, on va terminer avec Maïva maintenant, bonjour Maïva.

– Oui, bonjour, je voulais annoncer à Franck Ferrand

que la petite soirée qu'on a passée il y a 9 mois en arrière

va donner un petit bébé à ma permissé.

– Je ne suis pas persuadé d'identifier la personne en question

parce qu'il y a eu plusieurs soirées il y a 9 mois.

– Est-ce que vous aviez une casquette et une moustache ?

– Parce que vous essayez de nous piéger, le début, pardon, Franck,

le début du mail de Maïva, je me permets de vous écrire

pour exprimer toute ma sympathie à l'égard de monsieur Ferrand.

– Oui, c'était il y a plusieurs mois et aujourd'hui

vous m'appelez pendant que je suis à maternité.

– Je crois qu'aujourd'hui on a eu les eniteurs les plus spéciaux

dans cette réglage.

Mais en tout cas, merci pour votre coup de fil.

On transmet votre numéro de sécurité sociale à Franck Ferrand.

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