Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

Et c'est Sébastien qui est dans le public aujourd'hui, qui ne peut peut-être pas parler,

mais Monsieur Riou, vous lui tendrez un micro s'il est bien présent, comme il nous avait prévenu,

puisque Sébastien nous avait envoyé un mail pour nous dire je vais assister à l'émission ce jeudi 17 septembre 2023

et je viens de voir que Christine Bravo serait présente. Je voudrais juste lui rappeler qu'elle me doit 20 euros de taxi depuis plusieurs années.

Il est où Sébastien ?

Bonjour Sébastien.

C'est quoi cette histoire encore ?

Mais je veux d'épreuve.

Moi ça remonte à longtemps, on n'a qu'à faire court, j'étais dans un hôtel place de la concorde tard le soir

et Christine est rentrée dans l'hôtel en un petit peu titubant, on va dire.

Ça peut pas être elle.

Elle a beaucoup de sosies malheureusement.

Et qui a dit qu'il faut m'aider, je suis une célébrité, je suis une célébrité, il faut m'aider.

Alors là c'est elle, c'est pas possible.

Et donc elle avait certainement perdu ses papiers et tout ça, elle avait besoin d'argent pour entrer chez elle.

Et donc il est dépanné de 20 euros.

C'est en quelle année ?

Oh ça remonte, c'était début des années 2000.

20 euros c'est beaucoup elle.

J'étais habillé comment ?

Alors je me rappelle plus de Christine.

20 euros pour une gâterie de Christine, c'est cher.

Quel hôtel c'était Monsieur ?

C'était au Crayon.

Au Crayon, carrément.

Alors qu'est-ce qui nous prouve que c'est vrai ?

Est-ce que vous allez rendre les 20 euros à ce monsieur ?

Stéphane, oui, il est mon mari.

Juste à côté.

Vous allez vous arranger avec le monsieur en chemise bleue derrière.

Il y a les intérêts aussi maintenant.

Ah bah oui, oui.

20 euros c'est énorme.

On vous remercie en tout cas pour ce témoignage monsieur.

Merci monsieur, on va vous les rendre avant la fin.

Très vite, tout à coup.

Sylvie est-ce que...

Il va dire à d'autres auditeurs qui nous écoutent

si Christine, bravo, vous doive l'argent, écrivez-nous.

C'est bon, excusez-moi.

Sylvie maintenant est au téléphone.

Et Sylvie, c'est à Bernard-Mabye en particulier.

Je t'ai sous comme un cochon.

Bonjour Sylvie.

Bonjour Monsieur Rutule.

D'abord je tenais à vous dire que je suis très très aimée.

Et de pas être contene.

Je sais que j'ai très très peu de temps.

Donc du coup je voulais aussi faire un petit message à Mme Bravo.

Alors qu'elle sera sûre que je n'ai rien réclamé.

Mais je veux lui dire aussi

que j'adore ça à douce folie.

Et que je lui ressemble beaucoup.

Donc voilà, j'adore ça.

En revanche.

En revanche.

Cette confession je lui ressemble beaucoup.

Quelle désespoir.

En revanche.

En revanche.

Je pense que je suis pas trop mal non plus.

Et voilà.

Moi je vous trouve très bien en tout cas.

Et donc vous avez un enfant caché de Bernard-Mabye.

Non pas tout à fait.

Vous voulez un peu à Bernard parce qu'il a dit un truc pas sympa l'autre jour.

Qu'est-ce que je dis ?

Je vous avoue qu'en fait il fallait avoir l'auraille très très attentive

d'une auditrice particulièrement fidèle

pour entendre ces petits mots

qu'il a prononcés en disant, en rétorquant.

Enfin en écoutant un auditeur qui venait parler d'un de ses livres

en disant, ça sent l'auto-édité.

Et je voulais justement lui défendre un petit peu l'auto-édition

parce que moi-même je viens de sortir en roman.

J'ai réalisé un de mes rêves de sortir en roman

en auto-édition.

Et je voulais simplement dire

qu'effectivement il y a peut-être des mauvaises choses

en auto-édition comme des bonnes.

Mais je pense que dans l'édition classique

il y a aussi des très mauvaises choses.

Voilà, donc je voulais lui dire ça.

Moi qui parlais de voiture à l'origine.

Vous avez raison, il y a autant de bons et de mauvais livres

que dans l'auto-édition, que dans les éditions.

Vous n'en pensez pas un mot, arrêtez.

Les éditeurs quand même des gens qui savent ce qu'ils font.

Vous avez sorti combien de livres ?

Je suis pour une demi-dousaine.

C'est bien ce qu'on dit.

Sylvie vous avez raison en tout cas

mais Bernard Mabille a été méchant

avec les romanciers

qui ont au moins le courage de s'auto-éditer

et prennent un risque.

Et souvent ils ne sont pas forcément remboursés

pour leur talent parce que certains en ont.

Vous avez raison Sylvie.

Donc on peut demander à Sylvie le titre

de son roman auto-édité.

C'est très gentil Madame O'Chan, c'est très gentil.

Je crois que je vous l'avais envoyé,

l'olive, ça s'appelle ce con de Mabille.

Non, non, écoutons religieusement.

Ecoutons le nom de l'auteur, le titre.

Alors comment ça s'appelle ?

S'il vous plaît en moins de 14 secondes.

Alors c'est ma 49e année de Sylvie et Nody.

Eh ben très bien.

Et pour Amazon, excusez-moi pour l'instant.

Bien sûr.

Et quelle est le prix TTC ?

Donc c'est 8,49 euros.

Je sais pas ce qu'on va faire, c'est que Mabille

va emprunter 20 euros à Christine.

Bravo.

Il va m'en acheter 2.

Et il va commander votre livre, d'accord Sylvie ?

Il va m'en acheter 2 dans ses magnifiques.

Sophie maintenant, bonjour Sophie.

Bonjour Laurent.

Alors Sophie est déçue.

Paris-O'Henri où vous êtes déçue ?

C'est ça ?

Ah, encore une.

J'étais un peu sachée contre lui

parce qu'il a dit qu'il avait passé des vacances

seules sans compètes féminins.

Alors que moi ça fait plusieurs mois

que j'ai lui écrit que je voudrais bien le rencontrer

parce que je suis en première ligne.

On en tient une.

On en tient une.

Ça fait 10 vies à comprendre ça.

Alors en revanche, si vous le rencontrez,

il va s'échafler lourdement.

Si vous le rencontrez, soyez vraiment prêtes

parce que je vous préviens, il a la dalle.

Sophie, qu'est-ce qui vous plait tant

chez Yoann Riou ?

Alors que plein d'autres possèdent les bataires en magasin ?

Ça, spontanéité, ça, joie de vie.

C'est gentil.

Il a une façon d'être...

Vous voyez, quand on regarde l'amour et dans le prêt,

on n'y croit pas.

Voilà la preuve.

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