Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL, les grosses têtes répondent aux auditeurs.

Delfine est au téléphone, Delfine est très ennuyée parce qu'elle écoute régulièrement

les grosses têtes depuis plus de 6 ans.

Elle n'a jamais rit.

Mais à part quelques rares grosses têtes qu'elle apprécie moins que les autres, c'est surtout

Sébastien Tohenn qui l'a fait chier.

Voilà, qui non, qui la dérange parce que Sébastien Tohenn.

Même moi je me dérange, je mets à sa place.

Et devenu littéralement son chouchou, c'est bien ça Delfine ?

C'est tout à fait ça, bonjour à tous.

Oh, une jeune, cool.

Ça s'entend tout de suite.

Dites ça mes filles que je suis jeune, ça me traduit bien.

Mais c'est pas très grave d'avoir un chouchou dans l'émission, Delfine.

Ah non, pas du tout, mais c'est juste que du coup, maintenant quand Sébastien n'est pas là,

j'ai moins de plaisir à écouter.

Eh ben moi c'est pareil.

Bah merci à vous en tout cas, c'est une super émission, on rigole bien.

On en t'a mérite, on est payés.

C'est bien de bien faire son travail.

Delfine, on vous embrasse et on passe à Amandine.

Bonjour, Amandine.

Amandine.

Allô, Amandine.

Doris.

Enlevez le kit malibre de l'horifice.

Pardon, excusez-moi, j'avais ma montre dans l'horifice.

Dans quoi ?

Elle s'adresse à la mienne.

Alors.

Voilà, excusez-moi.

Oui non, mais moi j'appelais parce que j'adore Monsieur Tohaine.

Oh non.

Oh non.

C'est pas vrai.

C'est bon, alors.

Ah si, je suis désolé, un mépris.

Je pensais que vous vouliez une montre RTL qui s'accroche nulle part.

Mais vous savez que vous m'avez appelé au mois de mai pour la valise que j'ai perdu.

Ah merde.

Et j'attends toujours les montres.

Ah ben, on va vous les envoyer.

Je les cherche du coup.

Parce qu'on est en rupture de stock de montres, pour tout vous dire.

Il faut attendre qu'elles arrivent pour qu'on puisse vous les envoyer.

Quel succès.

Et vous êtes portugais en plus.

Oh non, non, non, non.

C'est ça.

Oh non, non, non papa, ça va à la maman ?

Ça va tout bien, c'est le beau-deux-deux-deux.

Et vous n'avoulez même pas Tohaine de se moquer de votre accent ?

Non, je ne sais rien, je ne l'en veux pas.

Bah non, pas d'accent là-bas.

Il faut pas être susceptible des accents.

Mais vous aimez sa voix, mais vous l'avez déjà vu physiquement, il est repoussant.

Vous l'avez vu physiquement ?

Oui, j'ai vu physiquement.

Ah d'accord.

C'est pour ça en fait.

C'est un mec à sortir de prison qui vous dit ça.

Je suis comme Bolloré, je vous l'excuse tout.

Ah...

A Mandine, on vous embrasse aussi.

Et en tout cas, merci d'avoir accroché votre montre qui n'était pas encore une montraire telle.

Non, j'attends.

À votre combinaise, on vous envoie les autres.

C'est promis, là, pourquoi ?

Une, ça suffira.

Brigitte, maintenant, est au téléphone.

Bonjour Brigitte.

Bonjour, bonjour les auditeurs, bonjour le public.

Bonjour Brigitte.

Bonjour Brigitte.

Bonjour.

Et moi, je vais encore rentrer dans le club de M. Toen.

Ah, mais c'est dingue.

Mania s'a appelé, ma cousine, mais non, c'est ma grand-mère.

Non, peut-être pas quand même, il ne faut pas exagérer.

Non, mais j'adore M. Toen.

Mais pas seulement, vous aimez bien aussi Paul Alcarat.

Ah oui.

Ah, ma deux comiques.

Exactement.

Oui, mais non, mais Paul, il est plus discret.

Mais maintenant, il se lâche, il tâcle aussi.

Donc c'est un réel plaisir de voir le changement de Paul.

Ah, mais je suis très discret, moi, c'est vrai.

Il devient con, quoi.

Ah non, non, non.

Ça s'appelle la puberté.

Non, non, non.

Et aujourd'hui, il doit être particulièrement, alors, content,

parce que Joyce est vers lui.

J'ai une grosse pensée pour lui, avec le peuple marocain,

donc je pense à lui aussi par rapport à ça.

C'est gentil.

Merci, en tout cas, Brigitte, pour ces quelques mots.

Et j'ai quelqu'un aussi qui veut parler à Paul Alcarat.

C'est Christine, bonjour Christine.

Ah, ma tante.

Bonjour.

Et pourquoi vous aimez particulièrement Paul Alcarat ?

Ah, j'ai aimé admiration sans bonnes pour toutes ces réponses

et comme l'auditrice précédente, voir son changement.

Quand je l'ai entendu raconter la blague,

un peu salace au jour, j'ai bien ri.

C'est fou, comme la régression excite les vieilles.

Merci pour la vieille.

C'est la régression des blagues du...

Elle est pas vieille, Christine.

Pas du tout.

Quelle âge vous avez, Christine ?

365.

C'est pas vieux.

Non, c'est pas vieux.

C'est 50 mois que Laurent.

Il n'a aucun respect, le prépubère.

Excusez-moi, excusez-moi, Christine.

C'est pas grave.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Christine ?

Vous êtes à la retraite ?

Oui, je suis retraitée, oui.

Bon.

Et avant, faisez quoi ?

Je travaille à l'hôpital.

On va vous embrasser, Christine.

Merci beaucoup.

Et merci pour les compliments, Paul.

Les premiers, on lui donnera d'autres blagues salaces.

Si ça vous fait plaisir, on se retrouve après les infos de saison.

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