Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL RTL 9/4/23 - Episode Page - 9m - PDF Transcript

RTL, les grosses têtes, répondent aux auditeurs.

Nous avons Florian au téléphone pour commencer,

qui a 16 ans et qui est grand fan de l'émission.

On a des jeunes auditeurs, bonjour Florian.

Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes.

Bonjour Laurent !

On parlait du bac tout à l'heure, vous passez le bac français cette année, c'est bien ça ?

Tout à fait.

Mais t'es pas à l'école là ?

Pas du tout, je rentre demain.

Ah voilà, ils rentrent demain, comment ça se fait que vous rentrez que demain vous ?

Bah c'est les profs qui reviennent de l'idée.

Pour voir avec eux.

Ah on sent que vous écoutez les grosses têtes, vous avez de la répartie, vous tout de suite.

C'est ça.

Et vous êtes dans quelle région Florian ?

En Gironde.

En Gironde.

Ah, Amérique.

Et vous me dites, vous m'écrivez, je voudrais vous remercier pour toutes les questions littéraires

et grammaticales qui m'aident à préparer les profs finales.

Bah oui, les grosses têtes ça sert à ça aussi.

Je voudrais savoir si ça vous intéresserait de suivre mon parcours cette année pour

avoir la vie de la nouvelle génération sur la littérature classique.

Voilà.

Qu'est-ce que vous voulez nous raconter sur la littérature classique, Florian ?

Eh ben cette année on va étudier de nombreux livres.

Oui.

Eh ben pour avoir la vie des jeunes sur ces livres.

Ah oui, oui.

Par exemple, qu'est-ce que vous avez comme livre à étudier cette année, vous le savez

déjà ?

Je n'en sais rien, on verra demain.

D'accord.

Donc en fait, tu nous appelles pour parler de livres que tu n'as pas encore lu.

C'est ça.

D'abord, tu me parles sur un autre ton.

Ah, la nouvelle génération, aucun respect.

Non mais la dernière, par exemple, Kennedy, vous avez étudié la dernière.

La dernière, par exemple, on a lu Don Juan de Molière, que j'ai beaucoup payé.

Ah ben voilà.

Et comment s'appelle le personnage principal de Don Juan ?

Don Juan.

Mais non.

L'autre.

Là, son valet.

L'autre, c'est le Gannarelle.

Eh ben voilà.

C'est lui qui commence.

Parce que ce Gannarelle est quasi tout aussi important que Don Juan.

Quand on disarise notre toute la philosophie, il n'est rien d'égal au tabac.

C'est la passion des honnêtes gens et qui visent en tabac et t'indignent de vivre.

Eh oui, c'est le début.

Eh ben bravo, Philippe Claudel.

Vous voyez, ça, c'est de la culture.

Marie, maintenant, est au téléphone.

Bonjour Marie.

On rappellera pendant l'année, peut-être, quand même Florian, pour savoir où il en est.

Avec les livres de son programme de première.

Alors ensuite, Marie, elle est tout près de l'Anse, un noyel et des vermelles.

Bonjour Marie.

Bonjour Laurent.

Bonjour à tous.

Bonjour.

Bonjour Marie.

Fidèle auditrice grâce au podcast.

Vous m'accompagnez tout au long de la journée.

Nous écrivez Marie.

Quand je cuisine, quand je fais le ménage, quand je me prépare pour aller au travail.

Non, non, on n'en rajoutait pas, Marie.

Mais d'autant que votre petite fille, qui a 7 ans, vous a demandé, racontez-moi,

qu'est-ce qu'elle vous a dit, votre petite fille ?

Donc ma fille de 7 ans entend toujours au loin, comme vous dites, l'émission.

Et une fois, elle me dit, maman, pourquoi on ne t'entend jamais, toi, dans les grosses têtes ?

Donc elle explique, bah non, ce sont des personnes connues qui participent aux grosses têtes.

Bah, maman, papa et moi, on te connaît, alors tu es connue.

Et puis alors là, encore plus, parce que vous passez aujourd'hui, elle va être fière.

Ah bah je pense qu'elle va dire que finalement, elle avait raison et que je suis connue.

Voilà.

Elle apprend que vous êtes connue aujourd'hui.

Et on vous remercie pour votre appel, même si on a une pensée pour les joueurs Lancioura,

moi qui suis le football, dit Donker Sarama, pour le club de Lancioura.

Vous suivez le foot un peu ou pas, Marie ?

Moi, pas spécialement, mais ma famille, oui.

Pourquoi est-ce qu'il s'est passé hyper, de juste ?

Bah, ils sont dans les profondeurs du classement.

Ah, mais c'est que le début !

L'en soi, alors que le 1, c'est tout au milieu.

Merci.

Et un, deux, et trois, zéro pour le 1.

Au revoir, Marie.

Bonne journée.

Merci beaucoup.

Au revoir.

Johan, le Normand maintenant.

Bonjour Johan.

Johan.

On dit Johan.

Voilà.

Johan.

Ok, c'est clair ?

Je pense qu'on gueulait déjà là.

Johan.

C'est une problème avec les Johans.

C'est qu'on le sait qu'à l'oral, mais à l'écrit, ça s'écrit pareil Johan.

Vous ne m'avoulez pas alors ?

Non, non, non.

Et pourquoi vous m'appelez-vous Johan ?

Pourquoi vous nous emmerdez là ?

On était tranquilles là.

Il a envoyé un mail pour redynamiser un peu les audiences cette année.

Oui.

Pour réaliser l'émission en province, mais chez les particuliers.

Ah, c'est-à-dire ?

Bah, que vous venez avec votre bande à la maison.

Chez vous.

Mais il y a la place pour mettre tout le monde ?

Oui.

Peut-être Bermar Maby.

La grosse phobie.

La grosse phobie.

On les mettra dans une chambre à part.

Mais on les mettra pas dans la même émission.

Mais pourquoi vous voulez qu'on fasse une émission chez vous, Johan ?

Bah, en province pour changer un peu des salles de spectacle.

Ou des mairies.

Oui, au plus près des éditeurs.

Du côté de Nantes.

Vous êtes du côté de Nantes.

C'est ça qui veut dire quoi ?

Du côté de Nantes.

Là, à Haute-Goulaine, près du Muscatel aussi.

On rêvait d'y aller.

À Haute-Goulaine ?

Je peux pas mieux vous dire.

On rêvait d'y aller.

On va organiser ça, mais peut-être qu'on va trouver une salle des fêtes.

Ce sera pas plus mal pour faire l'émission un de ces jours.

Maintenant Patrick est au téléphone.

Bonjour Patrick.

Oui, bonjour Laurent.

Bonjour les grosses têtes.

Bonjour Patrick.

Bonjour Patrick.

Adeptes des grosses têtes depuis de nombreuses années, ma femme et moi,

nous avons plaisir à participer aux enregistrements de temps en temps.

Nous y passons un agréable au moment seul, Bémol.

Notre placement.

Que se passe-t-il ?

On vous place mal dans la salle, c'est ça ?

Non, on place pas mal.

Mais disons que j'ai remarqué que c'était souvent les moins de 40 ans

qui étaient placés devant en priorité.

Les moins de quoi ?

Je peux pas voir.

Non, en fait, il y a les jeunes au premier rang.

C'est vrai qu'il y a quand même pas mal de jeunes quand même.

À part deux, trois exceptions.

Il y a quand même des jeunes au premier rang.

Les moins de 40 ans, c'est ça vous dites ?

Oui, à peu près.

Alors je me suis dit que bon, même si on est de la même tranche d'âge,

vous d'aviez peut-être peur des odeurs du rythme,

mais bon, on s'en venait au courge.

Non mais regardez, on a tous les âges au premier rang.

Les sorties de secours sont derrière, c'est pour ça.

C'est pas ça.

En fait, surtout, je crois que j'ai la réponse dans votre email,

parce que vous dites que vous venez souvent.

Non, c'est le...

Je suis venu 7 ou 8 fois.

Or, c'est vrai qu'on met plutôt les nouveaux au premier rang,

parce qu'autrement, les anciens ont plutôt tendance

à squatter toujours les premières places.

Les mêmes qui se retrouvent au premier rang.

Voilà pourquoi on met plutôt les gens qui viennent

pour la première fois dans les premiers rang.

Il y a un autre problème,

parce que peut-être, par exemple, aujourd'hui,

on a mis au premier rang comme Isabel Mergo,

et là, on a mis les gens qui avaient un kawai,

par exemple, au premier rang.

Il faut être écouté.

J'ai des caries dans ma vie, comme ça.

Comme ça, rarement.

Patrick...

Mais peut-être que vous êtes très grands, monsieur.

Non, justement.

Alors, premier rang, Patrick,

on va prendre votre nom et vous serez au premier rang.

La prochaine fois.

C'est super gentil.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Patrick ?

Écoutez, je suis retraité.

Vous avez le temps de revenir.

Exactement.

Si vous êtes...

Alors, les retraités, on les met au 4e rang.

Allez, on vous embrasse.

Premier rang, la prochaine fois.

Manuela, maintenant.

Bonjour, Manuela.

Bonjour.

Alors, Manuela, elle nous écoute tous les jours.

Elle note le contenu de la valise,

mais on ne l'appelle jamais.

Voilà ce que vous nous reprochez, Manuela.

Ben oui.

La preuve là où vous vous appelle.

Oui, c'est gentil.

Mais on ne va pas vous demander pour la valise.

Est-ce que vous avez le contenu de la valise,

justement, Manuela ?

Oui.

Eh ben, c'est pas la peine.

Oui, j'ai bien compris.

Désolé.

Vous avez le contenu.

Rappelez-le, tiens pour ceux que nous appellerons tout à l'heure,

mais ce ne sera pas vous, forcément, Manuela.

Il y a quoi dans la valise aujourd'hui ?

Vous avez la bonne valise.

Elle ne gagnera rien.

C'est cruel.

C'est cruel.

Voilà.

Que vous ne gagnerait pas, non ?

Un quartable.

Voilà.

Que vous ne gagnerait pas non plus.

Un casque.

Non plus, voilà.

Ne mettrez jamais.

Un rouleau de PQ.

Eh ben non, vous avez torché les côtes-chose.

Comme ça.

Un blender portable.

Mais non, il n'y a pas un rouleau de PQ.

Il n'y a pas de rouleau de PQ.

Où est-ce que vous avez trouvé un rouleau de PQ ?

Il n'y a pas de rouleau de PQ dans la valise.

C'est juste que vous avez confondu avec votre liste de course,

c'est Philippe Gueluc, il l'a.

Ah Philippe Gueluc, mais il a dit ça pour présenter Gueluc.

Ah bah écoutez, moi je l'ai noté.

Eh ben vous avez perdu la valise herdelle.

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