Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

Tous les soirs dans RTL Bonsoir. Retrouvez Marc-Antoine Le Bré dans Le Bré.

King News.

Tu n'as pas rêvé, c'est bien moi. Je ne crois que du boss.

Vous réviserez l'Allemand avec Jürgen, un camping-carriste allemand avec Bob Short

avec la quête chaussette. Non pas lui, je n'étudie en lui, c'est Alex Vizoré

qu'en vacances. On invite tendance à confondre le style de l'Allemand et du belge.

Alors, petite astuce pour les différenciers. L'Allemand a des étoiles sur son maillot.

Le Bré avec Marc-Antoine Le Bré, c'est juste après le journal de 18h sur RTL.

Les grosses têtes répondent aux auditeurs.

Et on va tenter de répondre à Thierry qui nous a envoyé un message plutôt sympathique.

Bonjour Thierry.

Bonjour Laurent.

Vous me faites rire depuis des années, ça me fait beaucoup de bien m'écrivez-vous.

Il y a cependant une chose qui m'intrigue, c'est se rire ridicule et quasi permanent

pendant vos émissions. Est-ce que ça ne serait pas Jean-Fy, demandez-vous ?

Ah si, c'est Jean-Fy, c'est sûr.

Diclui de rire plus intelligemment.

Oh, j'essaye.

Mais comment, comment...

Vas-y, rire Jean-Fy.

Comment on rire intelligemment ?

Est-ce que c'est bien celui-là ? Est-ce que c'est bien celui-là ?

Refaites-le Jean-Fy.

Oh non non.

C'est ça, c'est ça, c'est bien ça ?

C'est ça, j'ai essayé de l'imiter mais c'est difficile.

Essayez encore une fois.

Essayez encore oui.

On s'approche hein.

Vous l'avez gagné une montretière.

Oui.

Dominique, maintenant, est au téléphone.

Bonjour Dominique.

Bonjour Laurent.

Bonjour tout le monde.

Ah oui, bonjour.

Ils sont tous tout ensemble.

Ils sont tous tout ensemble.

Un pêche Dominique.

Ouais.

Et en plus, vous êtes Jans Dominique.

Oh oui, il perd Jans, oui.

Bah quel âge vous avez Dominique ?

Je suis 72 ans.

Bah oui, elle s'appelle Dominique.

Oui, mais vous savez pourquoi je pensais ça ?

Parce qu'elle m'écrit « Quel kiff de vous écouter chaque jour ? »

Parce qu'elle voit plus rien que ces fonds d'ivice qui a écrit le mail.

C'est vous qui avez écrit le mail Dominique ?

Ou c'est votre petit fils ?

Non non non, c'est moi, je suis toute seule.

On dirait Daniel et nous.

C'est pas Daniel et nous.

C'est vrai là, c'est vrai.

La même voix.

Quel kiff de vous écouter chaque jour ?

Je suis une grande...

Là on voit que vous, finalement, je comprends.

Elle a écrit « Je suis une grande femme » au lieu d'une grande femme.

Ah oui, oui, d'accord.

Donc là, effectivement, ça se gâte au bout d'une phrase.

Je ne suis pas la seule, nous dit Dominique.

La France entière vous aime.

J'aime tout le monde, mais c'est vrai.

Que j'aime particulièrement Ariel, Ariel Dombal.

Qui est très très drôle et de plus,

elle est la définition du mot « grâce ».

Mais pas avec deux S, hein.

Avec un C, évidemment.

Et un accent qui est complexe.

Bien sûr.

Et bien Dominique, vous me faites chaud au cœur.

C'est vrai, vous pouvez dire « vous me faites chier » Dominique.

Non, j'aime beaucoup qu'on kiffe sur moi, Dominique.

Bon, vous kiffe aussi, nous, Dominique.

Valérie, maintenant.

Bonjour, Valérie.

Bonjour à tous.

Ah ben Valérie aussi s'adresse à Ariel.

Elle veut savoir si mademoiselle Ariel Dombal

a enfin goûté la crème Montblanc en boîte.

Ah oui.

Parce que c'est vrai, elle ne savait...

Non, c'est un sous-entendu, c'est un jeu de monde.

Non, c'est parce que d'autres jours,

quand on a parlé de la crème Montblanc,

Ariel ne savait pas ce que c'était.

Mais personne lui en a offert depuis,

donc je pense pas qu'elle en ait mangé.

Mais toujours pas, mais j'attends.

Valérie, faut envoyer des boîtes, Valérie.

Ben voilà.

Ben ça me ferait grand plaisir, un bon petit Montblanc.

Vous êtes trop bien.

On est trop bien, Valérie.

Faites quoi dans la vie, Valérie ?

Oui, acheteuses en grande distribution.

Ah, très bien.

Acheteuses.

Et je voudrais faire un coup à ma fille,

que Jini a écouté votre invitation.

Ben vous l'appellerez alors, madame.

Vous l'appellerez.

Appelez-la, ce n'est pas une ligne.

Ben non, on a autre chose à faire.

Moi aussi, je dois aller à la pharmacie.

Je n'en mêle pas à mon monde.

Au revoir, madame.

Ne l'écoutez pas, ne l'écoutez pas.

Ce vilain grinchot belge.

Valérie, c'est bien que vous ayez dit

à votre fille Virginie d'écouter les grosses.

Elle s'appelle Valérie, mais c'est pas Virginie.

La Virginie, c'est bien aussi.

Ah non, mais attendez, je ne comprends pas.

Vous appelez Valérie, elle aussi ?

Non, non.

Elle s'appelle Léa, je récolte.

Ah, Léa, Léa.

Léa.

Et bon, on embrasse Léa, qui nous écoute.

Merci, Valérie.

Gaëtan.

Tiens.

Un belge qui connaît peut-être

ta mère-la-gaufre.

Bonjour Gaëtan.

Oui, bonjour Laurent.

Bonjour les côtes têtes.

Bonjour Gaëtan.

Parce que vous êtes allé applaudir

Liane Folie au Théâtre Royal de Namur.

Effectivement, c'était une excellente soirée.

Je la remercie.

Merci.

C'est une super artiste.

Et franchement, elle nous a pris par la main

du début, jusqu'à la fin, sans me glacher.

Elle vous a pris seulement par la main ?

On vous dis donc.

Enfin.

Enfin, toi-même.

Malheureusement, tu n'étais pas là.

Est-ce que vous connaissez plus que c'était à Namur ?

Est-ce que vous connaissez ta mère-la-gaufre,

l'établissement ?

Encore, je n'en ai entendu parler, mais non.

Ah non, on va pas parler.

Faut venir.

On va y vivre.

Mais on va y vivre.

Mais le plus facile, c'est de se garer au parking de la Confluence.

Voyez, on va pas dire.

Je vois, je vois.

Là, vous mettez au moins deux et vous prenez la rue des bouchées.

En fait, personne ne connaît.

Ça sert à rien.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie galetant, vous ?

Je suis rendu dans la Grande Distribution.

Ah bah, dessiné.

C'est une grande distribution.

Il y a du monde dans la Grande Distribution aujourd'hui.

Il y a des temps.

Je peux avoir une montre pour mon papa qui fait de la dernière erreur.

Non, parce qu'ici, ce n'est pas la Grande Distribution.

Non, parce qu'ici, ce n'est pas la Grande Distribution.

Allez, on va lui envoyer quand même.

Mathieu, maintenant.

Bonjour, Mathieu.

Salut Laurent.

Salut les grosses quêtes.

Salut Mathieu.

Aller, Mathieu s'adresse à Jérémie Ferrari.

Jérémie, que vous aimez.

Dans ses duos improbables, il arrive à intégrer des comiques

issus des minorités, dites-vous.

Vous le regardez souvent, j'imagine.

Oui, tout à fait.

J'adore Jérémie.

Oui.

Et c'est ça ?

Oui, c'est ça.

Oui, c'est ça.

Oui, c'est ça.

Oui, c'est ça.

Oui, c'est ça.

Oui, c'est ça.

Oui, j'adore Jérémie.

Et c'est ce qui vous donne cette joie de vivre.

Mais toujours, mes auditeurs, ils sont comme ça, c'est pas possible.

Mais on est un peu tétés derrière.

À chaque fois, ils sont dépressifs.

Ils ont l'air d'être tellement mal.

Mathieu, faites-moi plaisir.

Dites-moi que vous n'êtes pas dans la Grande Distribution.

Pas du tout.

Je suis glacial-empirateur.

Ah ben voilà.

Ça fait plaisir.

Vous ouvrez le droit d'une montre RTL.

Naïma, maintenant.

Ça, c'est intéressant.

J'ai bien aimé le mail et le message de Naïma.

Vous m'entendez, Naïma ?

Oui, oui.

Bonjour, tout le monde.

Bonjour, Naïma.

Alors, le message est très court de Naïma.

C'est bonjour.

Je voudrais savoir pourquoi Sébastien Toen ne participe plus que

une fois par semaine à l'émission,

ou voir plus du tout.

Merci de me répondre.

On ne me parle pas comme ça, Naïma.

On ne me parle pas, Naïma.

On me parle gentiment.

On me dit s'il vous plaît, pourriez-vous me dire

que pour quelle raison M. Toen vient un peu moins souvent

en ce moment.

Naïma, la raison est simple.

J'ai demandé à Laurent.

J'ai dit à Laurent, c'est lui ou moi, et j'ai gagné.

Non, c'est simplement que Sébastien Toen est en tournage

en ce moment.

Il prépare sa nouvelle émission pour Canal Plus.

Ah, d'accord, d'accord.

Mais la prochaine fois, vous me parlez sur un autre ton, Naïma.

J'aime bien les auditeurs qui font merci de me répondre.

En plus, vous adorez Laurent.

C'est une raison.

Ça n'en avait pas l'air, Naïma.

Merci de ne pas me répondre.

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