Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL RTL 10/31/23 - Episode Page - 9m - PDF Transcript

Tous les soirs dans RTL Bonsoir. Retrouvez Marc-Antoine Le Bré dans Le Bré.

King News.

Tu n'as pas rêvé, c'est bien moi. Je ne crois que du boss.

Vous réviserez l'Allemand avec Jürgen, un camping-carriste allemand avec Bob Short

avec la quête chaussette. Non pas lui, je n'étudie en lui, c'est Alex Vizoré

qu'en vacances. On invite tendance à confondre le style de l'Allemand et du belge.

Alors, petite astuce pour les différenciers. L'Allemand a des étoiles sur son maillot.

Le Bré. King News.

Avec Marc-Antoine Le Bré, c'est juste après le journal de 18h sur RTL.

RTL.

Les grosses têtes répondent aux auditeurs.

Direction Biarritz, soit un auditeur qui se prénomme François, nous appelle.

Bonjour François.

Bonjour Laurent, bonjour les sociéteurs et bonjour au public.

Bonjour François.

Vrai professionnel, bonjour François.

Il a une belle voix.

Alors François, vous avez remarqué en regardant les grosses têtes sur Paris Première,

c'est quelque chose qui vous interroge, je crois.

Je les vois noter sur des carnets, sur des papiers, et je me demande ce qu'ils font.

Tout simplement, si vous pourriez nous éclairer un petit peu.

Vous voulez dire que pendant l'émission, ils notent des choses sur des papiers avec des stylos.

Oui, c'est vrai que M.Geluc fait ça.

Oui, c'est un petit peu comme les croquettes téléphones.

On dessine un petit peu machinalement quand on parle quelconque téléphone.

Mais ce que notre auditeur oublie peut-être, c'est que c'est une émission de radio qui est filmée

et non pas une émission de télévision.

Voilà pourquoi, effectivement, chacun fait un peu ce qu'il veut, vous voyez.

Moi, j'ai noté le champ d'éxical qui me faisait penser à M.Balk.

Écreur, chiant, râleur, bougon, chapeauin, énervé.

C'est moi.

Vous voyez, chacun fait un peu ce qu'il veut.

Mais j'aimerais vraiment connaître qu'est-ce qu'il écrit sur ces carnets.

Peut-être que M.Geluc est en train de me préparer un petit chat dédicacé qui va m'envoyer par la poste.

Je sais pas.

Je regarde à Valérie à la dessiner une grosse bite.

Comment il s'appelle notre auditeur ?

François.

Je le dis.

Je vous dessine un chat sur la feuille qui est devant moi.

Je vous l'enverrai et comme ça, ça fait moins de timbres que pour un album.

Au revoir François.

Encore un François.

C'est la journée des François.

Bonjour François, pardon Valérie.

Bonjour François.

C'est assez commun.

Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes et bonjour mes deux compatriotes.

Ah, vous êtes belles, je vous aussi.

Et vous m'écrivez, j'ai un message pour M.Geluc.

Même si aucune allusion n'a été faite à son album,

le chat et ses 40 bougies,

dans aucune émission des grosses têtes.

Je confirme.

Je me suis quand même procuré l'album.

Ah bah, Tommy, vous avez déjà l'album.

Vous, au moins, vous n'avez pas le réclamé.

Un dessin vous a choqué, dites-vous.

C'est vrai ?

Oui, vous l'avez fait.

Lequel ?

Sur le dessin, c'est venu à Mardi Gras

et restait Gras le mercredi, le jeudi, les autres jours.

Oui.

Et moi, je suis né à Mardi Gras

et malheureusement, la médication était lancée par M.Geluc.

Je suis Gras.

Ah, vous êtes un peu enveloppé vous-même.

Oui, oui, tout à fait.

Est-ce que pour laver cet enfant, M.Geluc,

pourrait m'envoyer ce dessin délicaté ?

Je vais vous le faire de l'autre côté de la feuille.

Annoncez-com.

Parce que, sur une feuille.

D'accord, je vous le fais sur une feuille et je vous l'envoie.

Il n'y a que les Belges pour téléphoner et dire bonjour, je suis Gros.

Merci, enfoiré.

Jean-Philippe est un téléphone.

Bonjour Jean-Philippe.

Oui, bonjour les gros chefs.

Alors, ce que je vous ai envoyé,

c'est que, quand M.Touen est arrivé,

vous vous rappelez ?

Oui.

Vous disiez qu'il...

C'était un peu le replacement de M.Bénichou.

Oui.

Et M.Obal, franchement,

le remplace beaucoup mieux avec son sens de l'impro.

Ah ben voilà.

Qu'en pensez-vous ?

Ben, moi je propose qu'on ouvre un chapitre sur l'alcoolisme.

Moi je propose qu'on fasse un séminaire.

Vous dites à propos de M.Obal qu'il a une imagination hors-père,

une drôlerie de situation,

un sens de l'improvisation,

un côté grande gueule,

le côté vie festive de Pierre Ménichou.

Ah, vous êtes noctambule aussi, M.Obal ?

Oui, je m'en dois vers 6h du matin.

Ah oui, c'est ça qui les bougons.

Il y a des points comme...

Mais vous allez en discothèque ?

Non, non, je reste chez moi et je fais sans part...

C'est ma vie horrible.

Mais ça s'appelle pas une vie de noctambule, ça-ci ?

Non, ça s'appelle une vie de...

Ça s'appelle une vie de...

Ça s'appelle une vie de déprétif.

Mais Pierre Ménichou faisait mieux,

il s'endormait à 4h30 ou 5h d'après-midi, lui.

Mais ça s'appelle une vie de merde, ça, en fait.

Ah ben si, en plus, elle répète ma vanne derrière.

Elle est un peu sourde.

Et comme on l'avait pas entendu...

Bon, en tout cas, vous aimez bien, M.Obal, qu'on a compris, Jean-Philippe.

Et en plus, personne ne répond au téléphone

notre temps du matin, ni à 4h, ni à 5h.

Ma vie est un enfer.

Je cherche toujours à déjeuner avec des gens.

Vous êtes libre à déjeuner ?

Moi-même.

Et voilà.

Et aujourd'hui, non.

Et l'autre aussi, ça va me dire aujourd'hui, non et tout ça.

Non, non, moi, je suis libre.

Bon, ben, on déjeune ensemble.

On déjeune ensemble.

Est-ce que vous êtes libre à déjeuner ?

Ah non, pas du tout.

Non, non, non, mais ça me fait très bien,

avec M.Ditoff.

Non, non, je suis...

J'ai rendez-vous chez mon proctologue.

C'est mon proctologue.

Ah, oui, oui.

Ah, ben, je serais curieux de visiter.

Non, non, non, surtout,

ça serait dommage de déjeuner avant.

Pour tout vous dire,

je suis un individu solitaire

qui souffre de sa solitude.

C'est aussi bête que cela.

C'est incroyable.

Il fait parler que de lui, monsieur.

Non, mais il l'a dit.

Moi-jeu, et moi-jeu, et moi-jeu.

Il l'a dit qu'il faisait sa psychanalyse.

Je l'ai dit, je l'ai dit.

Alors, qu'est-ce que vous avez...

Non, non, excusez-moi, M.Obal.

Non, excusez-moi, excusez-moi.

Avec s'il vient de dire...

Finalement, j'ai oublié,

j'avais un rendez-vous au ami.

Non, tu vas vraiment déjeuner avec lui ?

Mais bien sûr, je le décide.

Mais bien sûr, je le décide.

Pour une fois qu'il y a quelqu'un qui m'invite...

Ah oui, ça, c'est intéressant.

Vous payez ou pas, M.Obal ?

Toujours, c'est thématiquement comme mon père.

D'accord.

Mon père, c'était un réactionnaire,

mais pas au petit pied, hein.

C'est vraiment un réactionnaire.

Putain, on a pas des parents, là.

La grande classe.

C'est-à-dire, pour lui, si vous voulez,

après le XIXe siècle, c'est déjà la décadence.

Oui.

C'est pas réactionnaire.

Ah, c'était mieux les années 50, non.

Oui, oui.

Lui, c'est le XVIIIe siècle,

du gentilhomme français, lui.

C'était ça, le vrai réactionnaire.

Et j'ai tenu un peu de lui

pour ce qui est du côté gentilhomme.

Je vais vous donner quand même

l'adresse du restaurant au cas où,

s'il faut venir me chercher.

De toute façon, j'aimais beaucoup, mon père.

Mais il est mort.

La dixante.

Je peux faire d'ailleurs juste...

Oui, oui.

M.Obal...

J'ai mis les mains, pour cet exemple.

Vous avez une famille nombreuse, ou...

Oui, on est...

J'ai une sœur, et puis voilà...

Y a-je...

Si on...

Si on...

Surtout...

Si on fait entrer plein de cerf.

M.Obal, surtout,

à cette particularité de vivre,

encore chez sa maman.

Ah, oui.

Et ça...

Et peut-être vous la connaissez, Roselyne,

la maman de M.Obal,

n'est-ce pas, mais M.Obal ?

Oui, c'est Réthvalter,

c'est une sorte de linguiste.

C'est connu.

Vous avez dit quelque chose, ou pas ?

Donc, Héctor Obal ?

Non, mais j'aime bien,

quand vous êtes semblant de savoir,

c'est bien, c'est bien.

Héctor Obal, que ce n'est pas votre vrai nom ?

Non, moi, j'ai tout inventé,

quand j'avais 15 ans,

OB à LK.

Et pourquoi vous avez choisi Héctor Obal ?

Par...

Pure...

Mais la...

Mégalomanie, on va dire.

Je pensais que je serais tellement connu,

que ça va...

faire une petite gêne pour mes parents.

Ah ouais, ouais, ouais.

Obal, que c'est...

Obal, c'est parce que c'est beau,

tout seul, vous voyez.

Il y a des gens, ils ont un surnom,

parce que je ne sais pas quoi,

ils sont nostalgiques,

ils sont malins à leur peau,

ils ont aimé le roman de

je ne sais pas qui,

avec Julien Sorrel, ils se font appeler

Julien Sorrel et comme ça.

Moi, pas du tout.

Moi, c'est pure, moi, c'était...

Il fallait que les gens fassent un effort

pour prononcer mon nom.

Oh non, non, non, non, non, non, non, non, non.

Putain, je vais prendre un cassoulet, moi.

Comme ça, je vais dormir.

Comme ça, je vais faire un sieste après,

là, je vais être épujet, là.

Allez, on se retrouve

après les infos de 16 heures.

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Plaintes, compliments, interrogations... Cette saison encore, les Grosses Têtes répondent aux différentes questions et messages des auditeurs à l'antenne.

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