Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL, les grosses têtes, répondent aux auditeurs.

Et Olivier de Carre-Sousson s'est installé par Olivier !

Bonjour Olivier !

Qu'est-ce qui vous est arrivé Olivier ? Vous n'êtes jamais en retard d'habitude ?

Jamais, jamais, mais je ne possède pas la SNCF.

Ah, c'est un train qui est arrivé en retard alors.

Pourtant il est parti jeudi soir.

Mais avec un conducteur qui connaît des gens dans la campagne,

nous n'avons qu'après, pour venir jusqu'ici, avec les travaux de la merde,

j'ai fait un machin, j'ai fait six fois le tour de Paris avant d'arriver ici.

Tous ces barrières blanches, roses, blanches, roses,

tous ces sens interdits, j'ai adoré le festival du panneau.

Vous savez que quelque soit alors à laquelle vous arrivez ici,

nous sommes ravis dans tous les cas, monsieur.

Oui, moi aussi, j'ai parti aussi, à bientôt.

Continue ton émission Cochonne, c'est simple.

Ce n'est pas une émission Cochonne du tout,

on donne la parole à nos auditeurs juste avant les infos de Cézeur.

Par exemple, Loriane est au téléphone.

Bonjour Loriane.

Bonjour.

Bonjour, vous allez bien Loriane ?

Très bien, merci vous aussi.

Donc vous êtes peut-être chez vous.

Elle a dit très bien merci et elle ajoutait ta gueule.

Non mais elle est professeur, donc elle a un ton professe,

vous êtes prof d'anglais en plus,

donc ce n'est pas pour me satisfaire totalement,

parce qu'on ne peut pas dire que j'ai une relation formidable

avec les profs d'anglais.

Mais vous vouliez nous dire quoi, chère Loriane ?

Et bien que contrairement à ce que Luc l'a dit,

il est belge, je connaissais bien le jeu du loup-garou.

Je ne me suis pas engagé au nom de mon peuple,

j'ai simplement dit le point même, j'y ai entendu.

Alors les belges ne connaissent pas le jeu du loup-garou,

mais à quoi j'utilise ?

Nous jouons au loup-garou,

nous jouons même en classe d'anglais, d'ailleurs.

D'accord.

Encore un bon moment de maradre.

Alors là, merci, il y a un formidable...

Je vais vous faire chier chez moi, je vais vous faire chier chez vous.

Non mais madame, vous les rectifiez,

ce qu'avait dit que Luc,

qui pensait qu'on ne jouait pas au loup-garou en Belgique,

lui, il joue à Chaperge, forcément.

Loriane, on va vous envoyer un mug,

pour ce rectificatif.

C'est normal, vous nous écoutez tous les jours, Loriane.

Oui, oui, bien sûr, en voiture.

En voiture.

Ah bah ouais, peut-être vous avez croisé Olivier de Curse-Jean.

Vous êtes où exactement, Loriane ?

Alors là, je me balade dans les bois avec mes élèves.

Là, on joue au loup-garou.

C'est normal.

On est pas perdus.

C'est pour ça que vous jouez au loup-garou dans le bois.

Alors, combien vous avez d'élèves dans votre classe ?

Ça dépend des classes, en général, plus de moins de vingt-cinq.

Après la promenade, il n'y a plus le même nombre.

Là, il n'y en a plus que deux.

On a perdu la douleur.

Ah bah voilà.

La Lille, maintenant, au téléphone.

Bonjour, La Lille.

Bonjour à tous.

Bonjour.

Alors, La Lille n'est pas contente,

parce qu'on a supprimé l'invité mystère.

C'est bien ça, La Lille.

Enfin, on n'a tué personne.

Moi, j'aimais bien ça, moi.

Ah là, là, La Lille.

Vous aimiez bien chercher l'invité mystère, c'est ça ?

C'est à peu près le seul vivant que vous citez dans votre émission,

pour comment on était un peu sûr de tout de suite.

Allez, écoutez, tout à l'heure,

on aura un pop-ec comme invité,

qui n'est donc pas un invité mystère.

C'est spécial, car on est une diamant à la fin de l'émission.

Vous restez quand même pour pop-ec tout à l'heure.

Ah mais je reste quoi qu'il arrive, il n'y a pas de soucis.

Alors, vous êtes adorable.

Vous êtes adorable, La Lille,

et non, mais on trouvait que les questions

vous venaient toujours les mêmes, à la fin.

Est-ce que vous êtes un homme ? Est-ce que vous étiez une femme ?

Non, c'était bien, mais ça permettait de sortir plus tôt.

Déjà, et en plus, ça permettait de voir que Rosine Baschot

n'était pas très douée dans ce domaine-là, donc c'était intéressant.

Ah bon, bon, bon, bah écoutez.

Et puis, Laurent, ce que vous dites n'est pas tout évavra,

avec le wokism actuel, vous êtes un homme, vous êtes une femme,

on n'aurait pu évoluer dans nos questions.

C'est vrai, mais là, ça n'était pas tout.

Pourquoi vous l'avez supprimé, d'ailleurs, La Lille ?

Parce que c'est vrai que c'était un peu...

Redondant !

Non, mais c'est du comment ça supprimait,

ce qui n'est pas terrible dans cette émission ?

Bah, par contre, c'est grand chose.

Non, mais écoutez, on va essayer de réfléchir,

en fait, s'il y a une grosse pétition,

ça marche les pétitions...

Au-delà de 250 000, je ne peux pas vous dire,

mais en dessous, en vrai, c'est un flexible.

Sébastien, maintenant, est au téléphone.

Bonjour, Sébastien.

Bonjour.

Alors, Sébastien est éleveur laitier d'Anne de Rasse,

un peu comme moi ici.

On n'est pas de Rasse.

Dans le département de l'Ode.

Et vous faites des savons et des cosmétiques au lait d'Anne S.

C'est bien ça ?

Ah, comme clé ça.

Exactement.

Et vous les posez vos produits pour la valise RTL ?

Voilà, tout à fait.

Bah, écoutez, on va en prendre.

Mais alors, c'est combien vous avez d'Anne pour faire du lait des savons ?

Alors, le troupeau, on a une quarantaine d'Anne,

ce sont des andes des pyrénées.

Ah oui, quand même.

Et nous avons 17 pémelles reproductrices.

Et alors, donc, on peut faire du lait d'Anne S

pour faire des bains.

On peut pas prendre des douches de lait d'Anne S.

Et si, si tu te mets en dessous pendant qu'il traite.

Ça fait envie tout de suite.

Ça se boit le lait d'Anne S ou pas ?

Ça se boit.

Ça se boit.

Aujourd'hui, c'est fréquonisé pour traiter les problèmes...

Oui, ça ramollit le mythe.

La mythe était les oreilles qui poussent.

Sébastien, regarde vos coordonnées.

Et on est transmets à France Inter.

Allez-y.

On vous embrasse, Sébastien.

Laure, maintenant.

Bonjour Laure.

Bonjour.

Alors Laure, je n'ai pas bien compris ce que vous venez.

Vous avez été, en tout cas, choqué par Isabel Mergo

et François Berléan, c'est ça ?

Oui, parce qu'hier, Berléan a dit

des tech news au mauvais moment de votre émission.

Oui.

Quand il a parlé du voyage de Greta,

quand elle était à Lowamy,

il a dit qu'elle avait dépensé plus d'émissions CO2

dans la traversée en bateau.

Et c'est faux.

Et donc, je voulais rappeler que...

Mais qu'est-ce qu'il vient faire là-dedans, moi ?

Vous êtes très nerveux contre François Berléan,

mais il n'est pas là.

Et qui d'autre vous avez fait chier cette semaine ?

Ils auraient excès de votre faute, ça.

Oui, ils auraient...

Depuis que vous m'avez arrêté,

on a récupéré les anditeurs de France Inter.

Moi, je suis avec vous et je suis d'accord incadable.

Alors, il faudrait que tu chiées,

une erreur qu'on a pu dire.

Et cette rubrique est faite pour ça.

Arthur, maintenant.

Bien sûr.

Bonjour, Arthur.

Bonjour, Laurent.

Bonjour, tout le monde.

Bonjour, Laurent.

Arthur, lui veut nous inviter.

Ça, c'est plutôt sympa parce qu'il a ouvert un restaurant.

C'est bien ça ?

C'est ça, Laurent.

J'ai cru comprendre que vous étiez un grand amapéor

de pas de fraîche.

Pas de fraîche italienne.

Ah non.

Oh là, oh là, oh là !

Oh malheureux.

Oh malheureux.

Il n'est pas fraîche.

Je déteste les pas de fraîche.

Ah bon ?

Je veux faire son rédavis.

Ce que j'aime, c'est les pâtes sèches,

les pâtes normales, les pâtes fraîches.

Attendez, vous les suisez tout de même ?

Oui.

D'accord.

Vous savez pourquoi, Laurent ?

Parce que vous n'avez jamais goûté des vraies pâtes fraîches.

Si, si, si, je trouve ça chiant les pâtes fraîches.

Non, mais il n'y a pas que des pâtes fraîches

dans votre restaurant, dites-moi.

Ah si, c'est une spécialité des pâtes fraîches.

On fait toutes les pâtes sur place.

Vous ne me verrez jamais.

Ça s'appelle Sugo.

S-U-G-O.

Sugo, ce qui veut dire sauce en Italien.

Exactement.

On vous a quand même fait votre petite pub.

Voilà, un restaurant de pasta fresca italiana

chez Sugo, donc c'est bien ça.

C'est ça.

Et moi, j'irai dans la pizzeria à côté.

Merci Arthur.

Les grosses têtes vous proposent une chaîne premium.

Si vous êtes fan des grosses têtes,

cette chaîne premium est faite pour vous.

Chaque jour, retrouvez le replay de l'émission

en intégralité et sans aucune coupure.

C'est aussi des archives de l'émission

depuis 1977.

Les meilleures histoires drôles,

les moments cultes,

mais aussi des contenus inédits et exclusifs

produits par les grosses têtes

uniquement accessibles aux abonnés.

C'est à retrouver dès maintenant

pour 1,99€ par mois

sur Apple Podcast.

Tous les ingrédients des grosses têtes sont là.

Répartis, humeur, humour,

culture et coûts de folie.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.