Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL RTL 9/29/23 - Episode Page - 7m - PDF Transcript

RTL, les grosses têtes, répondent aux auditeurs.

Agnès avait envie de nous parler aujourd'hui, c'est plutôt pour nous faire des compliments, j'ai l'impression Agnès.

Même si vous dites que vous aimez la déconnade. Bon, alors le mot est un peu... Comment dire ?

Un peu vert.

Ah voilà, un peu vert, merci. Oh comme vous êtes... Vous savez trouver les mots au voix monsieur de l'Agnès.

Mais oui, j'ai des carrières comme ça.

Mais c'est vrai que vous aimez la plaisanterie, l'amusement, les réditions aussi, tout de même Agnès.

Oui, oui, bonjour. Effectivement, on passe un très bon moment avec vous tous les jours.

Et d'où vient ce délicieux accent que j'entends ?

Et de tous les fans, voilà, je suis tous les fans. Escalquinoisse.

Et quoi d'autre ?

Escalquinoisse, j'habite Escalquense, c'est la banlieue de l'Agnès.

Ah mais bien sûr.

Escalquense.

Escalquense.

Escalquense.

Escalquense.

Et sans accent, ça, ça fait quoi ?

Je ne sais pas parler sans accent.

Et faites quoi dans la vie Agnès ?

C'est secrétaire.

Ah, secrétaire, très bien.

Bon, vous avez un petit message à faire passer aux grosses têtes.

Une chouchoute, un chouchoute parmi notre équipe.

Oh, j'en ai plein.

J'ai Michel Dernier, Arielle Domba, le que je trouve un peu décalée, perchée.

Y'en a plein.

Je ne ferai pas, la vie est très longue.

Je vous adore aux tous.

Même Christine, bravo.

Oui, et oui, justement.

J'aime beaucoup Christine.

Et Yoann Riou aussi, Yoann Riou.

J'avoue que j'ai un petit peu plus de mal avec Arnaud.

Ça va changer.

Il me porte un petit peu sur l'énergie.

Ah bah nous aussi.

C'est normal.

Même ses parents n'ont pas supporté.

Ils ont divorcé.

C'est pas grave, madame.

Je vous adore quand même.

On va vous envoyer une photo de Christine.

Bravo, alors.

Pourquoi pas, oui ?

On vous embrasse.

Merci beaucoup.

Arnaud, maintenant, est au téléphone.

Bonjour Arnaud.

Oui, c'est bonjour Laurent.

Bonjour les grosses têtes.

Bonjour Arnaud.

Ça fait plaisir de vous entendre.

Arnaud, je ne sais pas si vous êtes loin de Paris,

mais en tout cas, vous aimeriez qu'on vienne vers vous.

Et vous m'en voulez, d'ailleurs,

qu'on ait pas encore fait les grosses têtes au Havre, c'est ça ?

Bah oui, exactement.

Vous connaissez bien le Havre.

Vous venez de là, donc...

Oui.

Ce serait sympa que vous fassiez une émission là-bas.

Oui, mais c'est pas moi qui décide.

Vous voyez, c'est...

Il faut demander au maire du Havre.

Pas comment il s'appelle.

Ah bah j'ai demandé.

Ah bah j'ai demandé lui.

Ah bah j'ai demandé lui.

On est à Caen, ou en Normandie aussi ?

Mais vous êtes où en Normandie alors ?

Moi je suis à Caen.

À Caen.

Mais je suis originaire du Havre.

Bon, alors donc on est à Caen,

Rouen-le-Havre, ça vous va ?

Ouais, ouais.

Mais c'est vrai qu'on est rarement demandé en Normandie.

C'est pas pourquoi.

Ah oui.

Mais c'est comme ça.

Nul, il n'est prophète en son pays.

Vous connaissez l'expression.

Mais Laurent pourrait vraiment le faire.

C'est vrai, ça ferait une super idée

de le faire au coeur du stade océan,

le stade de foot du Havre.

Ah oui.

Il y a 20 000 personnes,

on serait au milieu dans le rond central et tout.

Il y a 20 000 personnes qui viendraient te voir.

Selon la CGT.

Arnaud, on va faire la demande.

En tout cas, il n'y a pas de problème.

Et on a maintenant Tony,

qui veut nous parler lui aussi.

Bonjour, Anthony.

Bonjour, Laurent.

Bonjour, les grosses têtes.

Bonjour, le cul de lit.

Bonjour, Laurent.

Voilà quelqu'un de poli.

Je travaille à domicile.

Mon boulot ne me permet pas

d'avoir de contact avec d'autres personnes.

Ah, vous faites du télétravail, Anthony.

Alors je suis artiste illustrateur.

Du coup, derrière ma planche,

je fais un dessin.

En fait, je n'ai pas le temps

de voir du monde.

Je n'ai pas de contact social.

Et c'est vrai que vous écoutez,

c'est vraiment un plaisir

de vous réécouter depuis la rentrée.

C'est vraiment un petit bonheur.

C'est...

Je ne savais pas quel point...

Bon, mon petit Anthony,

vous avez quel âge ?

Vous êtes dans quel région ?

Moi, je vais venir vous aider

à dessiner.

Et vous n'aime pas trop ?

Il préfère Caroline Diamant.

Roselyne Bachelot.

Ah non, j'aime bien tout le monde.

J'aime bien tout le monde.

Et qui ?

Et qui ?

Et Yoann Riouf.

Eh ben, il est prêt.

En fait,

en fait,

il préfère les gros, quoi.

C'est vrai.

C'est pas faux.

C'est vrai que vous avez manifestement

une petite...

une petite tendance

à aimer les personnes rondes,

on va dire.

En cher.

Non, mais on va dire ça,

on va dire ça.

Peut-être c'est plus facile à dessiner.

Vous dessinez quoi ?

Des rondes.

Moi, je suis vachement dans le sport.

Je suis vachement dans le sport

et le sport automobile.

Et bien, Pierre va donner

votre numéro à Yoann Riouf.

Et décidément,

tout le monde veut parler à Yoann.

Isabelle, aussi.

Maintenant, bonjour, Isabelle.

Bonjour.

Je ne me trompe pas, Isabelle.

Vous devez bien parler à Yoann Riouf.

Oh oui, c'est super.

Je suis vraiment heureuse

de vous avoir retelephone.

C'est un honneur.

Oh.

Mais c'est pas moi,

Yoann Riouf,

c'est celui-là-bas.

Oui, je vous reconnais bien.

Bonjour, Isabelle.

Comment allez-vous ?

Pourquoi vous vous appelez ?

Très bien.

Écoutez,

je vous avais envoyé un mail.

Il y a quelques temps,

vous faisiez toujours bâcher

avec vos chemises.

Tout le monde s'est dit

qu'est-ce que vous,

avec vos chemises,

rideaux.

Ah ouais, ben allez.

Et donc,

ça me faisait m'émoir

de rire,

parce que je vous avais envoyé

un petit mail en vous disant

que,

en tant que couturière,

si vous voulez,

une autre chemise,

qui est ressemblée à un rideau,

c'était dans mes cornes.

Je vous avais besoin

de s'arrêter.

Oh, c'est gentil.

À mon avis,

surtout,

vous apportez la train.

Là, vous savez.

Oh non, non, non.

Non mais,

je me souviens de vous,

je suis timide.

Pourquoi ?

Mais c'est vrai,

je n'ose pas trop.

Mais t'étais timide,

quoi,

tu n'as pas besoin

de les voir.

C'est vrai,

ben je vais vous répondre,

parce que je vais le retrouver,

madame.

Vous vous en avez un bravo,

que j'entends ?

Oui, pourquoi ?

La concierge est dans l'escalier.

On vous en a,

si vous avez.

Merci beaucoup.

Merci,

si vous avez.

Ah,

tiens,

ça tombe bien,

Christy.

Jean-Marc,

lui,

il voulait vraiment vous parler,

il vient de le récupérer

?

Bonsoir et grosse tête,

bonsoir Christine

Bonsoir à tout.

Je lis votre mail,

Jean-Marc.

Oui, allez-y.

J'ai découvert avec stupeur,

que j'étais né le même jour,

que l'incompérable Christine Bravo.

Ça m'a fait un choc,

parce que je n'étais pas

très emballé par sa présence,

mais objectivement,

depuis que je sais ça,

j'ai changé,

et je l'apprécie,

même si elle fait,

trop rarement,

de bonnes réponses.

Oui, c'est exact.

Vous en knez le 13 mai

de quelle année ?

1, 2, 3 ans près et c'est le même, hein.

Mais je peux savoir quelle année ?

50 ans.

En 1950 ?

Bah c'est pas du tout à 2 ans près !

Ouais, c'est pas du tout.

Quel quel âge vous avez fait, c'est-à-dire ?

C'est un vieux chneu, tout le temps.

On vous rappelle le 13 mai, comme ça,

vous fêtera un anniversaire à tous les deux en même temps.

Merci beaucoup.

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Plaintes, compliments, interrogations... Cette saison encore, les Grosses Têtes répondent aux différentes questions et messages des auditeurs à l'antenne.
















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