Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL RTL 10/24/23 - Episode Page - 9m - PDF Transcript

RTL, les grosses têtes, répondent aux auditeurs.

– Jean-Christophe nous a écrit un mail très rigolo d'ailleurs, bonjour Jean-Christophe.

– Bonjour, bonjour à tous.

– Oh, ça raisonne chez vous.

– Ah oui, il y a de l'écho à la maison.

– Vous avez pas beaucoup de mâbles.

– Vous êtes dans les chiottes.

– C'est parce que quoi vous dites ?

– C'est parce que je suis caché, je suis au travail.

– Ah, vous êtes au travail.

J'ai écouté, ça va être rapide parce que je vais lire le mail

que vous m'avez envoyé qui est très drôle

sur les grosses têtes à robasrtl.fr, vous avez écrit

« Je trouve cette rubrique face aux grosses têtes complètement nul

dès que j'en ai l'occasion, je la zappe et c'est pas la peine

de me téléphoner pour en parler. »

– C'est ma limite.

– J'adore.

– L'explique qui croyait prendre.

– Avrait un malin vous Jean-Christophe.

– Je me suis dit à la camille comme ça, on va aller forcément en appeler.

– Eh ben oui, ben bravo, vous avez gagné.

On vous souhaite une bonne journée Jean-Christophe.

– Christophe, maintenant est au téléphone après Jean-Christophe.

Bonjour Christophe.

– Bonjour.

– Bonjour.

– On va tenir tous les mains comme ça.

– Bonjour Monsieur.

Bonjour les grosses têtes et bonjour public.

– Ah ben les publics.

– Ah.

– Et ravi que vous le saluiez.

Vous m'écrivez Monsieur.

Tout d'abord je vous ai vu sur BFM pour votre 20h

et je tiens à vous dire que c'est le jour et la nuit

entre les grosses têtes et le 20h.

Mais ça vous va bien, je vous remercie, c'est très gentil.

De plus, si Mme Mergo était célibataire,

ça m'intéresse.

– Ça aussi.

– Parce qu'elle a un charme fou.

– Mais vous avez tellement bon goût.

Jean-Christophe.

– Eh oui, bonjour Isabelle.

– Mais comment il parle ?

– Eh bien moi dis-moi, Jean-Christophe,

vous habitez dans quelques points.

– Christophe, pas Jean-Christophe.

– Malheureusement, je n'habite pas sur Paris.

J'habite Nantes.

– Aïe.

– C'est pas loin.

– Près de Saint-Nazaire, elle a confondu sa rafelle

et Saint-Nazaire hier.

Alors elle a failli venir vous voir, je vais vous dire.

– Et vous faites quoi dans la vie ?

– Je suis chauffeur routier.

– Ah dommage.

– Ah mais si, ça c'est bien.

– C'est bien ?

– Oui, ça donne beaucoup de temps libre pour la compagne.

– Et je suis retraité de pompier, j'ai fait 18 ans.

– 18 ans de pompier, c'est moins que moi.

Je vais vous donner un poster de moins

que vous accrocherez sur votre camion.

– Dans la cabine du camion.

– Dans mon camion ?

– Oui, comme ça vous penserez, quand vous déchargez.

– Ah, je le suis choqué.

– Ah oui, ben oui.

– Enfin, il est camionneur.

– Bah oui, il est camionneur.

– Je suis désolé, il est camionneur.

– Ah ben oui.

– J'ai rien dit de ça.

– Qu'est-ce que j'ai dit de choquant ?

– Je trouve quand même que vous êtes quand même méchant avec elle

parce qu'à chaque fois qu'elle doit dire quelque chose,

ou autre chose, il faut toujours qu'en fait,

ça soit par rapport à son souci de cheveux sur la dentine.

– Non, non, non.

Elle est tellement drôle sans ça.

– Non, on me laisse jamais parler.

– Vous avez remarqué ?

– Vous avez remarqué, on me laisse jamais parler,

je peux jamais finir mes phrases.

– Ça, c'est vrai.

– Tout le jour, personne n'écoute.

Vous vous m'écoutez.

– La question…

– Je pourrais faire bien plus si vous le souhaitez.

– C'est pas entendu.

Articulez, j'ai rien compris.

– Il est prêt à venir vous voir comme vous voulez.

Il pourra faire beaucoup plus, dit-il.

– Non, non, non, pas du tout.

Je ne suis pas chaud comme une baraque.

– Mais il va bien.

Mais vous voyez que sexuel, il m'a placé en tout.

Il a beaucoup d'admiration pour mon travail.

– Pour l'œil ?

Mais en face sexuel, il vous intéresse aussi, n'est-ce pas ?

– Non, non.

Il est marié.

– Il y a eu une longue hésitation.

– Je suis pas marié, j'ai 46 ans.

– C'est lousse.

– C'est mon âle tant de désordre, alors non.

On va rester…

– C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleurs soupes

avec les 40 nouvelles.

– Je ne connaissais pas la fin.

– Il s'est parlé aux femmes.

– Je ne connaissais pas les 40 nouvelles.

– Il s'est parlé aux femmes.

– On a des auditeurs qu'on mérite.

On vous embrasse, Christophe.

Et on vous envoie une photo de…

de Isabelle Mergo.

Encore quelqu'un qui voulait vous féliciter.

Stéphane, bonjour Stéphane.

– Bonjour, bonjour.

– Vous avez loué le film

« Isabelle Mergo des mains en or ».

Et vous avez aimé et voulait la félicité, c'est bien ça ?

– Exactement, exactement.

Ça m'a donné envie de pouvoir la voir en direct

pour la félicité de ce film.

J'ai beaucoup aimé à l'idée

qu'avoir mal au dos, c'est aussi en avoir plein de dos.

– Et c'est vrai que le film est sur les plateformes actuellement.

J'ai vu ça, on avait le choix.

– Oui, oui.

– Vous n'êtes pas au courant.

– Je ne m'en reconnais pas, alors.

– Ben oui, oui, oui.

– Depuis la semaine 2, là, je ne sais pas.

– Ben oui, oui, bien sûr.

– Il n'y a pas de droit d'auteur là-dessus, alors vous savez, je ne sais pas.

– Ah non.

– Non, mais attendez pas, c'est un grand film.

– Mais l'important, l'important, c'est que ça vous plaise, voilà.

– Ouais, beaucoup.

– Stéphane, vous voulez une montre RTL, vous ?

– Ah ben, avec plaisir.

– C'est parti, elle est par maintenant Angelina.

Maintenant, bonjour Angelina.

– Bonjour Laurent, bonjour les gros têtes.

– Bonjour Angelina.

– Bonjour Angelina.

– Je suis un petit coucou à Réelle et Isabelle que j'adore.

– Ah !

– Je trouve qu'elle, c'est deux femmes qui ont trop la classe et chacune à leur manière.

– Oui, ça, ça a la manière.

– Ça, vous avez remarqué que tout est dit.

Chacune a sa façon d'avoir la classe.

– Exactement, il y a une façon d'avoir la classe.

– Ce qui est intéressant, ce serait de savoir quelle est la classe de Réelle et quelle est la classe d'Isabelle.

Alors, la petite différence à chacune et leur façon.

Vous voulez dire quoi ?

– Moi, je pense que ce sont deux femmes très intelligentes,

mais qui parfois se font passer un petit peu pour peut-être un petit...

– Ce qu'elles ne sont pas.

– Voilà, voilà, un petit peu moins intelligente qu'elles ne sont.

– Mais oui, bien Angelina, vous avez tout compris.

– Oui, parce qu'il faut donner la vedette aux hommes.

Vous voyez, on a bien compris que ce n'était pas la peine.

Vous vouliez avoir l'air un peu con pour qu'ils aillèrent intelligents.

– Exactement, c'est une technique.

– Mais c'est une technique.

– Moi, qui fréquente les deux dans la vie, non.

– Bon, ils voulaient nous dire d'autres choses, je crois,

Angelina, à passer un bon anniversaire, c'est ça ?

– Exactement.

Alors, Laurent, écoutez, je suis au tribunal de DAX.

J'ai une collègue à moi qui est originaire du Havre

et qui fait ses 60 ans piles aujourd'hui.

Elle est à côté de moi.

Elle est un peu surprise parce qu'on n'y avait rien dit.

Donc, on l'a un petit peu séquestrée dans mon bureau.

Donc, on aimerait, Laurence, si vous le voulez bien,

lui souhaiter un très bon anniversaire.

– On lui souhaite ?

– Ah ben oui, passez-nous-là, comme elle s'appelle.

– Ne quittez pas.

– Laurence.

Elle s'appelle Laurence puisque vous, c'est Angelina.

Bonjour, Laurence.

– Bonjour.

– Bonne anniversaire, Laurence.

– Elle ne va pas nous passer toute la famille, non plus.

– Laurence, vous êtes du Havre comme moi,

alors je vous souhaite un bon anniversaire.

On a le même âge, en plus, Laurence.

– Oui, en effet, oui, oui.

– Vous étiez à l'école au Havre ?

– Non.

– Ah ben alors ?

– Vous êtes pas du Havre alors ?

– J'étais mon civilier.

– Ah, mon civilier.

– Bon, au revoir, Laurence.

– Au revoir.

– Un bel ami.

– Bon, vous souhaitez un bon anniversaire à d'âge, Laurence.

Thomas maintenant, bonjour Thomas.

– Bonjour les gros têtes et bonjour à Guillaume, notamment,

qui est un compatriote.

– À vraie de belge, Thomas.

– Et là, oui.

– Pourquoi ?

– Pourquoi est-ce, Thomas ?

– Et parmi vos chouchous, il y a Guillaume, mais il y a aussi Jean-Fy.

– Oui, bonjour Marie-Toutoule.

– Bonjour.

– Ah ben gamin, ça va bien, oui.

T'es doué à magique.

– Alors, c'est Thomas Turillon.

Est-ce que tu vois qui ?

– Ah oui, c'est le journaliste Thomas Turillon.

Je le connais bien, je le connais bien.

Un beau journaliste.

Tu t'es rabillé depuis.

– Y a Moucron.

– Les mecs passent leur coup de fil privé

pendant les missions, quoi, en fait.

Alors que moi, je me tape une l'orange

du tribunal de Nantes.

– Y a pas de justice !

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Plaintes, compliments, interrogations... Cette saison encore, les Grosses Têtes répondent aux différentes questions et messages des auditeurs à l'antenne.




























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