Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL, les grosses têtes, répondent aux auditeurs.

Alors on va commencer par Maxime qui veut parler à Caroline Diamand. Bonjour Maxime.

Bonjour.

C'est votre rayon de soleil, m'écrivez-vous, un plaisir de l'entendre à chaque fois,

une auto-dérision folle, vos plus grands fourrirs, c'est grâce à elle.

Et vous dites aussi que vous avez même appris à aimer Jean-Phi.

Ah oui.

Ah oui.

Ah oui.

Mais les deux sont pas liés.

Au début, pourquoi c'était compliqué ?

C'est dur.

Trop exubérant.

Oui, parce que Caroline elle est très sobre.

Oui.

Et d'ailleurs Caroline m'a appris l'illégance.

Alors moi je suis beaucoup plus sobre, mais c'est parce que je parle le français de

Paris.

Ah c'est ça, vous n'aimez pas l'action ?

Je dis ça, mais je suis de la même région que Jean-Phi.

Ah !

Ah bah c'est content, la faite ta phrase.

Alors en tout cas on va vous envoyer évidemment une photo de Caroline Diamand puisqu'elle

est votre rayon de soleil.

Un grand poster, un peu ta place.

Vous voyez Guernica, elle m'a ça un peu pas la même taille.

Ah, vous trouvez qu'elle pourrait être dans un tableau de Picasso, Caroline Diamand

avec ta robe alque ?

Non.

Non, pourquoi ?

Parce que je suis bien apportionné.

Bah voilà.

Eh oui.

Bah voilà.

Picasso c'est un expressionniste qui après que les fauves aient mis des couleurs un peu

outre-cuidentes en peignant des arbres violet et des visages verts, Picasso il arrive

et il fait un dessin outre-cuident qui est très fort, très puissant.

Mais on ne peut pas dire que...

Il me fait un compliment ou il insulte ?

Non.

Non, qui ne correspond pas à ma voisine, c'est tout.

Il n'est pas outre-cuident ?

Non, parce que...

Non, mais franchement c'est une femme extrêmement belle.

Oui, oui, oui.

Oui, oui.

Moi je trouve.

Je ne peux pas le dire tout à l'heure.

Elle vous fait penser aux demoiselles d'Avignon, du coup, pour reprendre Picasso.

Et c'est laquelle, celle du centre ?

Non, non, non, non, non, non, non.

Alors si c'est pour me sortir un Rubin, si j'étais chanteur.

Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,

non, non, non, non, non, non, non.

Pourquoi pas Rubin, ça ?

Abuffé !

Vous avez de la chance, il n'y a pas ni un boudin !

Pierre est au téléphone maintenant, bonjour Pierre.

Bonjour Laurent.

Merci de me reprendre après cet épisode du Champagne.

Quel épisode du Champagne ?

Ah, c'est vous Pierre, vous êtes le même Pierre.

Ah mais vous l'appelez maintenant.

Vous allez appeler tous les deux jours, alors Pierre ?

Si on me prend tous les deux jours, bien sûr.

Ah mais on peut observer qu'il n'y a plus d'un Pierre.

Donc on ne peut pas savoir si c'est le même Pierre qu'il y a deux jours.

C'est bien moi.

J'avais appris qu'il y avait Isabelle Mergo dans votre émission avant Pierre.

Oui.

Et puis, alors comme j'ai marqué dans mon mail, j'ai été frustré de ne pas pouvoir lui parler,

parce que vraiment cette femme m'inspire beaucoup.

Oui.

Elle est intelligente.

Ah, pour le finale, je vous inspire.

Non, non, non, non.

Et puis, et puis moi j'ai un petit souci, enfin, non pas un souci,

je craque pour les femmes avec un défaut de prononciation,

un accent, des choses comme ça.

Toujours là-bas.

Donc là, elle couche toutes les cases cette dame.

Voilà.

Vous avez entendu la phrase ?

Elle couche toutes les cases cette dame.

Elle couche, enfin.

Elle couche, elle a dit, elle couche.

Elle couche toutes les cases cette dame.

Alors, écoutez, rappelez-nous, rappelez-nous dans deux jours

et on couchera d'autres cases ensemble.

Marina maintenant, bonjour Marina.

Oui, bonjour, bonjour à tous.

Alors Marina n'était pas contente, parce qu'hier on a plaisanté sur certains agriculteurs,

c'est ça Marina ?

Oh, pas content Pierre et Grand Bourb, mais...

Ah bon, rassurez-moi alors, vous n'êtes pas fâché, fâché.

Pas fâché, mais je suis péné pour les agriculteurs

qui se sont peut-être sentis blessés.

Qu'est-ce qu'on a dit ? Qu'est-ce que j'ai dit, peut-être, je vais assumer ?

Eh bien que certains étaient sous-titrés et qu'on ne les comprenait pas.

C'est la vérité, c'est vrai.

Vous ne regardez pas les missions, parce que je vous jure que dans l'amour et dans le prêt,

il y a parfois des agriculteurs qui sont sous-titrés.

C'est vrai.

Je n'ai pas dit tout les agriculteurs.

On se parle d'un malgame,

pas d'un malgame, il y en a qui parlaient comme vous et moi,

puis là, on dit...

Il y a les deux, vous voyez, et quand je le redrave, ils sont sous-titrés.

C'est vrai.

Voilà, on n'a rien dit de plus que ça, vous voyez.

C'est un constat.

C'est un constat, mais on ne parle rien à l'heure d'heure.

On ne parle rien à l'heure d'heure.

On ne parle rien à l'heure d'heure.

On ne parle rien à l'heure d'heure.

On ne parle rien à l'heure d'heure d'heure.

On ne parle rien à l'heure d'heure d'heure.

Quand il y a au plait, il faut prendre partie pour, hein.

Non, mais bien sûr que ça, on en l'avait rien à l'heure d'heure.

Mais maintenant, on ne peut plus rien dire.

C'est vrai que parfois, on ne comprend pas bien le chant, quand il me parle.

Ha, ha, ha.

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