Les Grosses Têtes: PÉPITE - Les Grosses Têtes répondent aux auditeurs

RTL, les grosses têtes, répondent aux auditeurs.

On commence par Marine, qui nous écoute tous les jours en podcast.

Bonjour Marine, dans le public.

Dans le public, vous salut ! Votre chouchou, là, votre chouchou, il est là aujourd'hui, c'est François Berlian.

Eh ben oui, c'est mon petit chouchou, oui.

Vous aimez les personnes âgées ?

Oui.

Vous êtes gérant au pied, Marine.

C'est gentil.

Non, vous rêvez d'aller voir la nouvelle pièce de François Berlian.

Elle veut juste une place gratte, au sein d'accord.

Avec Sophie Marceau.

Non, c'est...

Non, c'est...

Vous avez retéléphane, rien que ça, c'est un beau cadeau.

Je vais déjà aller voir Monsieur Berlian sur scène ou pas ?

Eh ben non, j'en cas, je vais aller.

C'est pour vous dire à quel point elle est fan ?

Y a de l'é...

Il y a de l'écho, il y a de l'écho, il y a de l'écho, il y a de l'écho, il y a de l'écho...

Vous êtes dans votre toilette, vous êtes au...

Ah non, je suis dans mon bureau.

Dans votre bureau, qu'est-ce que vous faites dans la vie, Marine ?

Je suis chargé de tir en tête dans une agence d'intérim.

Ah oui, ça va pas être facile de trouver de place,

parce que je crois que c'est blindé, blindé, blindé au bouffe parisien.

Eh ben oui, c'est ça le problème.

Je vais essayer, madame, mais je suis pas sûr.

Je vais essayer, hein, je vous promets.

On ne peut pas vous promettre.

On va demander à Monsieur Richard Cayate, qui est le professeur et directeur du théâtre.

Je suis une fan inconditionnelle de Sophie Marceau, donc au moins...

Ah, voilà, voilà, voilà, voilà, voilà, elle a vous, elle a vous !

Donc en fait, c'est pas Berlian, vous voulez aller voir, c'est...

Mais non, elle a fini par avouer.

Elle a fini par avouer.

C'est 2004, dans les choristes...

Ah, oui, à peu près, là.

Pour vous embrasser, en tout cas, Marine, c'est gentil.

Raphael, maintenant, est au téléphone.

Bonjour Raphael.

Bonjour Laurent, bonjour l'hégrostète, bonjour le public.

Bonjour Raphael.

Raphael, à noter que l'autre jour,

j'ai utilisé moi-même une expression qui n'était pas très jeune.

J'ai dit à monsieur Az, tu as le bonjour d'Alfred.

Je reconnais que c'est pas très moderne comme expression.

Non, oui.

On se voit bien.

J'ai fait une recherche sur Internet,

et ça vient d'une bande dessinée des années rares zigue et puce.

Je me rappelle d'une question que vous avez posée, je pense,

qui elle était la première BD à utiliser des phylactères, des bulles,

et c'était zigue et puce.

Oui, je crois que les camarades des grosses têtes avaient perdu 300 euros sur cette affaire,

enfin, c'est pas la qui perd, c'est la station, dans ces cas-là.

Mais effectivement, à cause de tal bonjour d'Alfred,

je crois qu'on avait perdu 300 euros.

Oui, il y a eu plusieurs questions sur zigue et puce, Raphael.

Autre chose, ajoutez mon bon Raphael.

Ben, écoutez, je vous écoute tous les jours,

beaucoup de vous, je l'adore.

Oh, bonsoir, Jean-Fel.

Vous voulez rien, pas une montre, pas un...

Une bidu ?

Vous savez quand même, il veut une bidu.

Sophie Marceau, une BD zigue et puce.

Il veut une bidu.

Non, il veut rien, il est content de nous avoir eu au téléphone.

Ça va nous coûter moins cher, cette très belle nouvelle.

Alors, vous avez le bonjour des grosses têtes, Raphael.

Alors, Vero, maintenant, est au téléphone.

Bonjour, Vero.

Salut, Vero 1.

Oui, bonjour.

C'est Vero de la content.

Bonjour, Vero.

Bonsoir.

Vous voulez dire quelque chose à Isabel Mergo, c'est ça ?

Oui, alors en fait, j'adore toutes vos grosses têtes,

mais la chouchoute, la vraie, vraie chouchoute, c'est Isabel.

Ah, c'est quoi ?

Alors, là, je suis contente,

parce que j'en prends plein la figure depuis le début de l'émission.

Ça me réchauffe le coeur.

Merci, Vero Nique.

Oui, non, mais c'est vrai que depuis ce matin,

c'est pas votre fête, effectivement.

Depuis ta vie, il faut le faire.

C'est vrai que ça l'a fait marrer, quand même.

Vous l'avez vu arriver à la fête, qu'elle fait.

Alors, pourquoi vous êtes fan d'Isabel ?

J'adore, j'avais toujours hôtel des variétés.

Sauf quand vous êtes absente, ça est arrivé une fois malheureusement.

Ah oui ?

J'espère que vous allez avoir une nouvelle pièce.

Oui, en février, au terre des nouveautés.

Il y avait Liane Folie, à sa place, peut-être, le soir, vous y êtes allée.

Non, non.

C'est un psalmante, non, non, c'était pas Liane.

C'est un psalmante, ah oui, c'est un psalmante.

C'est quoi ta pièce en février ?

Eh bien, c'est une pièce en février, mais comme personne s'intéresse à moi,

bah, je te dirai si.

Déjà vous, au théâtre des nouveautés, c'est une surprise.

C'est quoi le nom de ta pièce ?

La déconfigure.

Est-ce que c'est une pièce drôle ?

C'est avec qui, sur scène, toute seule ?

Je suis pas là pour faire ma promotion.

Après, toute seule ?

Alors, on va passer à Pierre, bonjour Pierre.

Oui.

Alors, lors d'une émission la semaine dernière,

je sais pas si c'est moi, c'est quelqu'un des grosses têtes

qui a dit que le champagne n'était pas un vin.

Vous dites si le champagne était un vin,

et vous résumez d'ailleurs ça très très bien

dans le mail que vous m'avez envoyé.

Vous dites tous les vins ne sont pas du champagne,

mais tous les champagne sont des vins, bien sûr.

Vous avez raison, Pierre.

Sauf le champagne.

Voilà, voilà, vous avez tout dit.

Vous avez tout dit.

Eh ben, voilà Pierre.

Je me fâche toujours un peu quand on fait cette distraction

entre champagne et vin.

Vous avez raison.

En tant qu'un viticulteur,

car vous êtes un ancien viticulteur.

Oui, Aljacin.

Je pense que c'est un coup des champenois.

Si vous demandez à un viticulteur champenois

de déguster son vin,

il vous regarde de haut,

moi je fais pas de vin,

monsieur je fais du champagne.

Donc ils ont bien joué leurs coups, les gars.

Ah oui.

Mais qu'ils nous lâchent la grappe maintenant alors.

Ben carrément, oui, oui, oui.

Vous avez des combats, monsieur ?

Ben écoutez, on a les combats de ses compétences.

Pierre, Pierre, on apprécie ce coup de gueule.

Je vais vous donner le téléphone de Pascal Pro.

Ah non, non, non, non, non.

Ah mais c'est un député.

Et on te l'embrasse très fort.

Vous aimez les grosses têtes ?

Découvrez dès maintenant les contenus inédits

et les bonus des grosses têtes

accessibles uniquement sur l'appli RTL.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.