Les Grosses Têtes: PÉPITE - Le concours des histoires drôles

RTL, quelle sera la meilleure histoire ?

On s'en va dans le nord à Bavet.

C'est Hélodie de Jésus, c'est joli comme nom dite donc.

Comment je dois prononcer d'ailleurs ?

De Jésus, tout simplement.

Hélodie de Jésus, ça a l'air dite donc vous la petez-vous.

Qu'est-ce que vous faites dans la ville, Hélodie de Jésus ?

Alors je suis gréfié.

Ah oui, ça, c'est très sérieux.

Ah oui, tout à fait.

Mame de Jésus, ça me fait drôle.

C'est mon nom d'épouse, c'est mon nom d'épouse.

Ah ben vous avez épousé Jésus ?

Eh ben tout à fait.

Ça, et qu'est-ce qu'il fait de votre pari Jésus ?

Il est infirmié.

Ah ben c'est normal.

Oui, c'est normal.

Il fait des miracles, tous les jours des miracles.

Hélodie, on va venir ensemble, en tout cas je le souhaite et je l'espère.

Vous allez tenter de deviner à l'avance

laquelle de mes grosses têtes va mieux raconter son histoire.

Certains peut-être vont raconter une histoire qu'on leur a donnée,

d'autres peut-être une histoire de leur cru, je ne sais pas Monsieur Hase.

Moi c'est une histoire qu'on m'a donnée.

Très bien.

Vous faites confiance en cette histoire.

Totalement, totalement.

La Votre Allé-de-Rose, Jean-Bène Guigui.

Elle est pas mal, elle est pas mal du tout.

Ça va, ça va.

Monsieur Benamy.

Moi elle m'a fait beaucoup rire.

Ah, Dari Boudmoul.

Moi j'ai dû demander à Antony l'explication.

Ça me faisait pas rire.

Et vous Monsieur Rior ?

Si vous voulez Laurent, j'en ai une de la rédaction, elle est fantastique,

elle fait parler aussi vulgarement, et une de moi.

Et l'audit de Jésus, vous misez sur quelle apôtre ?

Allez, sur Christine.

Christine, bravo.

Elle est formidable, ça va raconter bien les histoires.

Ça va très bien avec son nom.

Alors on va d'abord écouter celle de Monsieur Rior pour commencer.

C'est quoi la différence entre un moustique et une femme ?

Le moustique ne fait chier que l'été.

Mais quelle horreur.

Elle est bonne, elle est bonne.

Elle rigole pendant ses blagues.

On est consternés.

Non mais elle est franchement, et c'est vrai en plus.

Dans les citis.

Vous en avez donné une, très bien.

Vous allez préférer en faire une autre, top y pour.

Madame Boudmoul.

Bah moi c'est...

C'est de Grenzap qui arrive à la plage.

Il y en a un qui dit, c'est blindé aujourd'hui.

Et ben voilà.

Et ben personne ne la comprend.

Et ben moi non plus, tu la comprends pas.

Il y a trop de monde, il y a trop de touristes.

Il y a de Grenzap pour la plage.

J'adore cette histoire, je la trouve au contraire.

Très fine, surréaliste.

Il y a de Grenzap partout.

Vous la racontez mal.

C'est de Grenzap qui arrive sur la plage.

Et donc c'est blindé aujourd'hui.

Dis donc c'est blindé aujourd'hui.

Oui.

Pour l'instant c'est de four.

Parce que vous ne savez pas les raconter.

Tenez, prenez exemple sur Monsieur Bellamy.

Alors c'est un type qui entre dans un bar

et qui se met à gueuler.

Bon, tous ceux qui soient à gauche sont des connards.

Et tous ceux qui soient à droite sont des merde.

Client, excusez-moi monsieur, mais je ne suis pas une merde.

Alors met-toi à gauche connard.

Elle est bien, elle est bien.

Ça c'est raconté.

C'est vrai, c'est vrai.

Il n'y croire.

Pour que le public crée à une histoire,

il faut y croire soi-même.

Si vous n'y croyez pas vous, personne ne rira évidemment.

Prenez exemple sur Monsieur Bellamy.

Alors sont deux vieux amis qui ne sont pas vus depuis un certain temps

et se rencontrent par hasard dans la rue.

Dis-moi, le premier parle et dit, mais dis-moi,

tu n'as pas l'air dans ton assiette toi-là ?

Qu'est-ce qui t'arrive ?

Dis-moi, je ne sais pas.

Je déprime, je broie du noir,

plus rien ne m'intéresse dans la vie.

Mais tu passes ça.

Si tu es libre à midi.

Je t'invite au restaurant,

puis on va se faire un petit galeton.

Bon, manger, toujours manger.

Bon, alors tu viens prendre un verre.

Bon, boire, toujours boire.

Mais fais un effort et agis.

Cette semaine, tiens, tu viens à la maison,

ma femme sera ravie.

Bon, baiser, toujours baiser.

Elle est bien.

Monsieur Hase.

C'est deux puces qui viennent d'arriver quelque part.

Dans une qui dit à l'autre,

j'ai froid, je suis frigorifié et tout.

L'autre puce, elle lui dit, mais t'es venu comment ?

Elle lui dit, je suis venu dans la moustache d'un motard.

L'autre, elle lui dit, je suis pas froid du tout.

Je suis venu dans la culotte d'une jeune jolie fille.

Elle lui dit, tu devrais essayer.

Tu verras que tu n'auras pas froid la prochaine fois.

Elle se recroise une autre fois.

Elle lui dit, alors, elle lui dit,

je suis toujours frigorifié, je comprends pas.

Elle lui dit, mais t'es venu comment ?

Elle lui dit, j'ai fait comme tu m'as dit,

je suis venu dans la culotte d'une jolie fille.

Mais j'ai quand même fini sur la moustache d'un motard.

Elle est bien.

Mais maintenant, celle sur qui vous avez misé,

elle lui dit, Christine Bravo.

Elle va tout donner pour vous.

C'est dur de passer après ça.

J'aurais dit vous faire passer après bout de boulet.

Et Rio.

Alors, c'est trois femmes qui sont reçues

par Saint-Pierre au paradis

et donc, vous savez, ils doivent leur donner

à chacune les clés d'un appartement.

Alors d'abord, il leur demande

comment

elles auraient mérité

cette place au paradis exceptionnel.

Alors, la première dit, ben moi,

j'ai eu qu'un homme

dans ma vie et je l'ai jamais

trompé.

Saint-Pierre, il dit alors, toi,

allez, voilà la clé d'or.

Il voit la deuxième et vous.

Alors, ben moi, j'ai eu

un homme dans ma vie

et je l'ai trompé une fois.

Saint-Pierre, il est allé

une fois clé d'argent

et elle arrive

la troisième et alors là,

il dit, ben moi, c'est un peu différent.

J'ai couché avec un garçon

à 12 ans.

Puis après, plein de garçons,

puis après, plein de filles

et parfois plusieurs en même temps.

Alors, il y a Saint-Pierre qui la regarde

et qui lui dit

qu'on lui donne la clé de ma chambre.

C'est pas mal.

C'est pas mal.

Allez.

Allez.

Elodie.

Oui.

C'est un peu truqué, mais on va dire

que vous n'avez gagné.

Super.

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