Les Grosses Têtes: PÉPITE - Le concours des histoires drôles

RTL RTL 10/20/23 - Episode Page - 12m - PDF Transcript

RTL, quelle sera la meilleure histoire ?

Gérôme est un téléphone, bonjour Gérôme !

Bonjour Laurent, bonjour les grands spets !

Bonjour Laurent !

Vous habitez la tourette dans la Loire, Gérôme,

dans tous les cas, sur qui que ce soit, vous miserez,

vous gagnerai de toute façon un livre magnifique qui vient de sortir.

C'est Jean-Marie Bigard et 50 dernières phrases avant de mourir.

Juste avant de mourir !

Ah oui, la dernière phrase juste avant de mourir,

sont des exemples très marrants, c'est dessiné par Chaunu,

mais c'est Jean-Marie qui, d'ailleurs, nous avez donné parfois en avant première

quelques phrases ici, des phrases vraiment qui ont été prononcées par certaines personnes,

juste avant de mourir.

Par exemple, chérie, ton chauffeur pue l'alcool, c'est la dernière phrase de Lady Diana.

Oui, voilà, oui, par exemple.

Puisque je te dis que c'est un dauphin, alors que c'est un requin.

Celle-là aussi tiens pour vous, Monsieur Jean-François Jansen,

qui avait travaillé à Air France, la dernière phrase d'un passager,

j'imagine, Rio Paris en avion, c'est un saut de puce.

Les dernières phrases, juste avant de mourir,

dessiné par Chaunu avec Jean-Marie Bigard, c'est en librairie.

Et nous, on vous l'envoie Gratos, Gérôme.

C'est dans les marchands de journaux, c'est chez les marchands de journaux.

Ce n'est pas en librairie, c'est en boulot.

C'est encore mieux.

Et très bientôt chez les bouquinistes.

Alors, Gérôme, sur qui allez-vous miser pour la meilleure histoire ?

Ce n'est pas tant la meilleure histoire,

c'est qui va mieux la raconter ?

Vous connaissez le principe, Gérôme ?

Oui, d'accord.

Je vais miser sur le tolier, sur la vigueur,

et puis, si ce n'est pas possible, on y va.

C'est vrai, c'est long.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Gérôme ?

Alors, je suis cuisinier dans une cantine scolaire.

Je fais un manger pour des petits bouts, c'est super.

Je me casse bien.

Cuisinier, et c'est bien, on vous donne les moyens de leur donner bien à manger,

que ce soit plutôt sain, bio et tout.

Oui, ça va, je vais faire dans une commune qui met les moyens

et on arrive à faire des bonnes choses.

Et tant mieux, c'est rassurant.

Merci, Gérôme.

Pas de poisson panée tous les jours avec des épinards.

C'est bon.

Ah non, le poisson, enfin, si il fait du poisson panée,

c'est qu'il est pané par moi-même.

Ah bah, vous pannez vous-même le poisson.

Et je vous donne une petite astuce,

vous mettez un petit peu de semoule d'eau dans votre panure,

ça vous fait un super panier croustillante.

Ah, vous pensez qu'on va paner notre poisson ?

Bien sûr.

Je vais vous dire, celui-ci,

celui-ci qui va faire ça ici est pané, hein.

Gérôme, attention,

c'est Caroline Diamant qui va raconter la première histoire.

Alors, c'est Simon Ben-Sousson,

il a un rendez-vous d'affaires qui est très important,

mais il trouve pas de place pour se garer sa voiture.

Alors, il s'adresse à Dieu.

Fais, mon Dieu, si tu me trouves une place dans la minute qui se vit,

je te promets de manger toujours cachère,

de faire le charbat tous les vendredis

et de faire toutes les fêtes juives.

Et, miracle, une place se libère juste devant lui.

Alors, si mon lève alors les yeux au ciel et dit,

ne cherche plus, mon Dieu, je viens de trouver une place !

Jean-Phi, Jean-Seth.

Oui, alors, c'est un homme qui a un détresse affectif

et il décide d'aller passer une soirée dans un bar

pour voir s'il peut éventuellement draguer

et puis, auquel cas, faire un plan avec une dame, tu vois.

Et il arrive dans le bar et dans le bar où il voit

et il y a qu'une dame qui a une nijambiste qui est là.

Alors, il se dit bon,

il est tellement détresse affectif qu'il va avoir la dame,

il est commencé à la draguer.

Et alors, la dame, elle a un peu de surprise

et puis, elle lui dit, c'est gentil, tout ce que vous me dites, monsieur,

parce que je vois que vous me faites plein de compliments,

vous me regardez avec des yeux de biche,

mais elle dit, je tiens à vous signer les que j'ai un handicap quand même,

je suis nijambiste.

Il dit non, non, je sais, je m'en suis aperçu,

mais ça ne me pose pas de problème.

Alors, elle dit, bah oui, donc il va discuter,

la dame est flattée et je dis, bah, ça ne s'est lui pas arrivé depuis longtemps,

non plus, elle était très stèle.

Alors, il commence à discuter et puis, il lui dit, excusez-moi,

mais j'aimerais danser un slo avec vous.

Alors, la dame, elle dit, oh, tu as bon, mais un slo avec moi.

Il dit, bah oui, alors, elle est tout émoustillée, tu vois,

ça fait longtemps que ça lui n'a pas arrivé,

il apprend comme ça, il apporte comme ça,

et puis, tu vois, il danse avec elle, comme ça, il est content, tu vois.

Et puis, après, il lui dit, oh, j'ai, si j'osais,

j'ai envie de vous ramener chez vous.

Alors, la dame, elle dit en l'eau.

Et il me dit, écoutez, bah oui, oui, tu vois, elle dit oui,

ramenez-moi chez moi.

Donc, il l'a mis dans la voiture, tu vois.

Il l'a placé dans la voiture et puis, il la ramène.

Il la ramène, il traverse, il traverse une forêt.

Et puis, là, il arrête la voiture, il a dit, écoutez,

je peux pas attendre ce que chez vous, j'ai très envie de vous, là,

maintenant, puis, j'aime bien la nature.

Faisons ça dans la forêt, elle dit, oui, mais c'est compliqué.

Enfin, je peux pas n'importe qui épouser.

Il dit, non, non, mais j'ai envie.

Elle dit, écoutez, on peut faire un truc,

c'est avec ma bretelle de corsage, vous pouvez m'accrocher à un arbre.

Et puis, il dit, comme ça, ça sera pratique.

Alors, le mec, ouais, alors il revend un arbre

qui est un peu hauteur avec une branche,

il peut l'accrocher, il l'accroche avec sa bretelle,

tu vois, il fait qu'un truc, puis il va, il va et tout ça.

Puis après, il la reprend, tu vois, il la décroche,

puis il la ramène dans la voiture,

puis là, elle le fond en larmes, tu vois.

Là, il véhicule ecstasy, puis elle le fond en larmes.

Et le mec, il dit, mais pourquoi c'était pas bien, ça ?

Pourquoi vous pleurez, c'était pas bien ?

Elle dit, si, mais c'est la première fois qu'on me décroche.

Elle est mignonne, pas mignonne, c'est pas le mot, mais elle est bien.

Chantal, là-dessous.

Allez, courte.

Pour savoir si t'as de la fièvre,

tu te mets un épis de maïs dans le cul.

Si ça fait du popcorn, c'est que t'as de la fièvre.

Bernard Mabin.

Chérie, dis-moi ce que tu préfères,

une femme jolie ou une femme intelligente ?

Ni l'une, ni l'autre, chérie, tu sais bien que je n'aime que toi.

C'est du vécu, ça.

Alors, attention, mesdames et messieurs,

ce qui vive vous laisse le lance dans une histoire drôle.

Alors, c'est un bûcheron belge.

Il en a marre de couper ses arbres à la hache.

Il se rend donc dans un magasin pour acheter une tronçonneuse.

Bonjour, monsieur, je voudrais une tronçonneuse, mais la meilleure,

parce que j'en ai marre de couper mes arbres à la hache et à la scie.

Oh, mais pas de problème, monsieur, nous avons tout ce que vous voulez ici.

Celle-ci, par exemple.

Celle-là est parfaite, puissante, liable.

Vous allez couper au moins 30 arbres par jour avec ça.

Oh, mais c'est parfait, je vous l'apprends.

Il paye 1500 euros, il rentre chez lui avec sa tronçonneuse,

il dit à sa femme.

Tu vois, chérie, avec cette tronçonneuse,

je vais couper 30 arbres demain.

Le lendemain aux Euror, le bûcheron part dans la forêt.

Il revient, le soir, à la hache.

Le lendemain aux Euror, le bûcheron part dans la forêt.

Il revient, le soir, mais alors, épuisé.

Alors, mon amour...

Mon amour, mon amour.

Alors, mon amour, combien on a tout coupé d'arbres ?

Trois.

Quoi ?

Seulement trois ?

Mais tu m'avais dit 30.

Mais je ne comprends pas.

J'ai bossé toute la journée, t'as ma fous.

Il est revenu de ma sable.

Je n'ai même pas de jeûner, et je ne coupais que trois arbres.

Mais enfin, ce n'est pas possible.

C'est un casale, maintenant.

Écoute, je ferai mieux demain.

Le lendemain, le bûcheron repart en forêt.

Il revient, le soir, épuisé.

Alors, mon amour, combien on a tout coupé d'autres ?

Combien on a tout coupé d'arbres ?

Non, moi, je n'en peux plus.

On a Paris comme ça en même temps.

Non, mais pour moi, c'est un sipliçant.

C'est le petit petit.

Arrêtez, arrêtez.

Il ne faut pas concentrer.

Le lendemain, le bûcheron repart en forêt.

Il revient, le soir, épuisé.

Alors, mon amour, combien on a tout coupé d'arbres ?

Deux.

Quoi ?

Seulement deux ?

Trois hier ?

Mais tu aurais déjà dû en couper 60.

Alors, ce n'est pas possible.

Mais tu t'es fait arnaquer.

Demain, tu me ramènes ça au magasin.

Quoi, ça ? La tronçonnée ?

La tronçonnée au magasin.

Le lendemain, le bûcheron arrive au magasin furieux.

Monsieur, je ne comprends pas.

Vous m'avez vendu une tronçonneuse 1 500 euros

en m'asturant que j'allais couper 30 arbres par jour.

Et résultat, j'en ai coupé 5 en deux jours.

Le vendeur est désolé.

Bah écoutez, je suis désolé, je ne comprends pas.

Mais vraiment pas.

Je suis navré, attendez.

Donnez-la à moi, cette tronçonneuse.

Le vendeur l'apprend, tire sur le démarreur

et pa pa pa pa pa pa pa pa pa pa pa !

Et elle démarre.

Et le bûcheron belge s'écrit.

Oh putain, mais c'est quoi ce bruit ?

Vraiment m'en ment de seliti.

Jean-Marie, je crois que vous n'avez toutes vos chances.

Bah je vais continuer sur les belges.

Vous êtes toujours là, Gérôme.

Oui, oui, je n'en peux plus.

Ah bah c'est peut-être gagné alors.

Bah oui, voyez, finalement.

C'est un couple de belges qui se promènent sur la plage.

Et ils regardent les moettes qui passent.

C'est un moment où il y a une moette qui chie,

pile sur la gueule du belge.

Alors la femme, elle couvre à la voiture,

cherchait un rouleau de papier cul.

Elle le ramène à son mari.

Le belge est dit, c'est trop tard, elle est partie.

Ah si ?

Elle est pas là, là.

J'en avais une que je trouvais marrante,

quand vous avez donné, mais la vôtre était très bien,

monsieur Jean-Cel.

Vous permettez que je la raconte ?

Ça se passe au Moyen-Orient.

Il y a trois touristes français qui sont totalement bourrés,

ils sont méchés.

Et puis comme ils sont totalement bourrés,

ils escaladent en pleine nuit, dans le noir,

le mur d'un harem, parce qu'ils savent qu'il y a un harem.

Ils escaladent le mur du harem,

mais là, il y a, je ne sais pas, 40 filles.

Ils passent une nuit d'orgie.

Ils font l'amour avec toutes les femmes du harem,

sauf qu'ils sont épuisées,

et ils ne repartent pas.

Ils oublient de quitter le lieu, ils s'endorment sur place.

Sauf que le lendemain, évidemment,

les eunuches, les gardes, qui travaillent pour l'émir,

à qui appartenaient le harem, les arrêtent.

Et ils se retrouvent tous les trois touristes français

devant l'émir, qui leur disent,

l'offense que vous m'avez faite est impardonnable.

Vous serez punis par où vous avez péché.

Toi, par exemple, le premier touriste,

quel est ton métier ?

Moi, Bucheron, qu'on lui coupe le sexe à la hache.

Et toi, quel est ton métier, là, le deuxième cuisinier ?

Qu'on lui grille le sexe.

Et toi, alors, moi, Marchand Sussette.

Jérôme, de toute façon,

vous aviez gagné le voyage qu'on vous propose,

en plus du livre de Jean-Marie Bigard,

les 50 dernières phrases juste avant de mourir.

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Afin de faire gagner un voyage à un auditeur, les Grosses Têtes se lancent dans un concours d'histoires drôles. Pour les départager, un jury impitoyable : le public de l'émission.







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