Les Grosses Têtes: PÉPITE - La culotte "très sexy" de Karine Le Marchand

...

Ca peut être plaisir, c'est la rentrée de Jérémy,

la rentrée de Karine Le Marchand, la rentrée de Christine Bravo,

de Titov, de Michel Fou.

Y a que vous, Gueluc, qui êtes un ancien,

vous étiez déjà là-hier.

Et la semaine dernière, c'est ma quatrième, cette saison.

Mais oui, vous rendez compte, mais on profite de vous, monsieur Gueluc.

Oui, j'ai relu mon contrat et je vois que vous profitez bien.

Rires

Madame Le Marchand nous a fait profiter de sa jolie culotte

en puissant coulisse.

Ah, elle a mis la culotte aujourd'hui.

Non, non, merci.

Elle est habillée de plus en plus court.

Et j'ai été obligée de la prévenir,

parce que quand je suis arrivé, il faut que je vous explique.

Y a une petite salon,

y a un petit salon, y a un café,

les grosses têtes sont en train de discuter.

Moi, je suis arrivé, la plupart étaient là,

à part, évidemment, monsieur Titov,

qui ne faillit jamais à sa réputation.

Mais les autres étaient déjà là.

Oui, vous avez loupé la culotte.

Et moi, je m'installe et je vois, évidemment,

que cette pauvre Karine, elle ne se rend pas compte

que tout le monde voit sa culotte.

Les autres ne m'ouvraient pas.

Il y en a un, il y en a un qui prend...

Il fait vous dire, je vous jure,

il y en a un qui prenait des photos.

Mais non !

Laurent, c'est faux, c'est faux.

Je cherchais un numéro de téléphone sur mon écran.

Et moi, et moi, banamique, je suis parce que je suis un ami

pour Karine Amarchand.

J'ai dit, Karine, on voit ta culotte.

C'est bon, vous êtes un ami, c'est un ami.

Vous pouvez vous dire, elle est noire, transparente en dentelles.

C'était vrai.

Moi, c'est pas témoin la culotte, c'est surtout la culotte.

Elle est très sexy, d'ailleurs.

C'est pas que vous êtes un ami,

c'est que ça ne vous intéresse pas, la culotte de Karine.

Bah si.

Si, si, si.

T'en aimes.

Et on était très contents, du coup,

que Christine soit en survêtement.

Ha !

Ce qui s'est vrai, que ce survêtement est surprenant,

quand même, il faut bien dire.

Pourquoi vous venez en survêtement bleu ?

Parce que je suis le plus sport.

C'est la marque de vos chaussures.

Le coq, non, c'est un dinasme.

Eh ben moi, et tu...

A d'ici, je voyais le coq sportif.

Et comment vous pouvez voir le coq sportif ?

Parce que je voyais le pool qu'il n'est pas.

De toute façon, Christine est arrivée énervée.

Mais ça existe encore, le coq sportif ?

Bah oui, c'est encore.

Et nous, on est Laurent et moi, on est très à d'idace.

Et parce que vous savez que...

Qu'est-ce qu'elle va être, comment elle va être tentée ?

Regardez, il y a toutes...

Et vous ferez gaffe, parce que la meuf, je vais repartir chez moi dans un...

Bah, après-demain, là, mais...

Vous ferez attention.

Il y a quand même des bonnes nouvelles en 7 mois près.

Il a toutes les couleurs de gazelle à d'idace.

Vous allez voir.

J'ai une paire de chaussures à d'idace, c'est bon.

Ça, c'est pas vrai.

Mais puisque je vous le dis, c'est quand même ce que j'aime comme chaussure.

Non, vendredi, vous aviez une paire d'adidace, c'est pas les mêmes.

Désblanche, mais je les ai plus, bon chien, des abouffés.

C'est vrai, en plus.

Moi, je veux savoir, Karine, la grosse maman de l'amour est dans le pré, là.

La méchante qui fait des listes.

Qu'est-ce qu'elle devient ?

Tu peux pas l'appeler comme ça.

Je vois très bien ce que tu veux dire.

Il y a une dame qui est ronde,

qui est avec un agriculteur et qui commence une histoire d'amour potentielle

avec un agriculteur patrice qui est handicapé.

C'est à elle que tu fais référence.

Ah oui, c'est une monsieur qui parle un peu difficilement, c'est ça.

Oui, c'est ça.

Il a deux prétendants qui sont arrivés chez lui.

Je les ai vus, je les ai vus.

J'ai regardé, je les ai vus.

Quoi, je pense que c'est pauvre gars.

Dans un premier temps.

Ça y est, ça me retombait.

Il voit débarquer Karine, le marquant.

Avec une jupe, un ras de la touffe.

Deux jambes, un cul comme on n'a jamais vu.

Et après, ce qu'on leur entre.

C'est messe, c'est messe.

C'est deux dragoons qui arrivent en campicapes.

Non mais franchement.

Moi, j'ai vu des bouts.

J'ai jamais vu des missions entières.

Je suis tombé sur des terrains cet été, c'est pas possible.

Cet extrait, là, du monsieur, qui leur parle comme à des labradors,

qui leur dit, assis-toi et dit, je sais que tu veux partir,

mais avant, tu vas m'écouter.

Ils l'entraînent dans la cuisine,

ils mettent une musique de celles indions sur une chaine Yfi de 1992,

et il la fixe comme ça.

Et elle, elle ne sait plus où c'était.

Qui fait ça ?

Mais comment tu quittes quelqu'un, toi, vas-y, raconte-tu ?

Je fais un chèque.

Ce qui est génial aussi, c'est quand les dames arrivent.

Je crois que c'est celui-là, d'ailleurs, non, peut-être un autre.

J'ai regardé, elles arrivent.

Alors là, il a deux chambres,

alors elles ont le droit de choisir chacune,

leurs chambres, les deux dames.

C'est une queue.

Ah, mais non, mais ils deusent.

Les chambres.

Et alors, elles arrivent chacune dans la chambre.

Oh, comme c'est charmant !

Tu as adopté une autre façon de regarder l'émission,

c'est-à-dire que je l'enregistre,

je ne la regarde jamais en direct,

et puis je me fais un montage,

et je ne garde que les séquences où Karine est seule à l'entraînement.

Ah ben, j'ai vu, vous avez essayé d'avoir un bonus tout à l'heure.

Bon, il est peut-être temps de poser une première citation, quand même.

Et ce sera pour M. Vessel, qui habite posée dans l'un.

Oh, une citation assez célèbre,

mais fort juste au fond,

puisqu'on parle souvent des régimes en cette rentrée.

Crevez gros, crevez maigres,

de toute façon, la différence sera pour les porteurs du cirqueurier.

Fernand Renault ?

Non, pas Jean-Yann.

Pas Jean-Yann, mais...

Francis Blanche !

Francis Blanche !

Bonne réponse, Philippe de Luc !

Retrouvez le replay de l'émission en intégralité et sans aucune coupure.

C'est aussi des archives de l'émission depuis 1977.

Les meilleures histoires drôles, les moments cultes,

mais aussi des contenus inédits et exclusifs

produits par les grosses têtes uniquement accessibles aux abonnés.

C'est à retrouver dès maintenant pour 1,99€ par mois sur Apple Podcast.

Tous les ingrédients des grosses têtes sont là.

Répartis, humeur, humour, culture et coup de folie.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.