Hondelatte Raconte - Christophe Hondelatte: Lionel Cardon, la traque - La phrase choc

Mais réveillez-vous les gars ! Vous n'avez jamais joué aussi mal !

Le sourire là, tu crois qu'il va le garder longtemps ?

Non, au moins trois mois.

Préparez-vous à garder le sourire.

Pendant les portes ouvertes Volkswagen du 13 au 16 octobre,

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éligible aux bonus écologiques.

Elle est le 37 mois, premier loyer 4000€

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Pensez à covoiturer.

Tous les jours, le meilleur de l'histoire des jours en une minute.

Deux jours plus tard, se déroulent les obsèques du brigadier au char.

Au même moment, Lionel Cardon s'introduit arme au point

dans le cabinet de maître Nicole Dreyfus, avocate dans le 16e arrondissement de Paris.

Qu'est-ce que vous faites là, vous ? Je m'appelle Lionel Cardon.

Vous ne vous souvenez pas ?

Quelques années, vous étiez participé dans une affaire contre moi.

Non, je ne me souviens pas, qu'est-ce que vous voulez ?

Je veux vous convoquer ici une journaliste du quotidien de Paris.

Annette Kahn.

Bon, écoutez monsieur, moi je ne suis pas à votre service

et je n'ai aucune intention de téléphoner à Annette Kahn.

Alors faites-le si vous voulez, étirez-moi dessus si ça vous chante.

Moi, de toute façon, j'étais résistante pendant la guerre,

alors je suis en sursite depuis 1945, d'accord ?

Alors je n'ai pas peur.

Ça vous a plu ?

Écoutez le récit intégral sur votre plateforme de podcast.

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