Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Le Best of du samedi 7 octobre 2023

RTL RTL 10/7/23 - Episode Page - 1h 38m - PDF Transcript

Et alors en plus maintenant, Yohann Rios se laisse pousser la barbe, comme vous Jean-Bène

Guigui.

Maintenant, j'ai juste une petite truc de jour à l'italienne, mais lui, c'est parce

qu'il n'a pas d'hygiène.

Non, c'est pas mal.

Je viens de faire le barbier pour la première fois pour moi.

Vous êtes allés chez le barbier.

C'est génial, et toi on prend soin de moi, la peau et tout, regardez, la belle ligne

en haut, en bas et tout, Anne, est-ce que vous en mets un petit peu mon nouveau look ?

Oui, on dirait un prof.

J'aimerais vous faire la leçon.

C'est la première fois que je vais réussir à la caiser.

Je serais d'accord, 1000% je l'adore.

D'accord.

D'accord, on essaie d'y batter, non plus.

Non pas.

Pas vraiment.

Je vous ai connu Maquée pendant des années, et alors depuis quelques années, maintenant

vous êtes divorcés, je vous savais tout seul, et je me suis dit, il faut que j'invite

Anne Romanoff pour qu'elle rencontre Yoann Riou.

Ça c'est un cadeau.

Sans méchanceté, mais même sur une île désert, il y a plusieurs.

Non, vraiment, c'est pas possible.

Enfin, Anne, vous qui avez été traumatisé par ça pendant des années avec un mec pareil,

il n'a même plus besoin de faire de régime.

De toute façon, il faut qu'elle me dire, depuis qu'elle a quitté son mari, elle est épanouie.

Il y a des années que je la vois de plus en plus épanouie, Anne Romanoff.

Plus épanouie et même plus jolie, je dois dire.

Oui, plus dents.

Et là, elle est toute bronzée en plus.

Elle est bronzée, bronzée, rouge à la fois, t'es rare.

Ils sont quand même con chez Bolloré.

Ils la virent quand elles commencent à être belles.

Non, non, non, non, non, tout le monde, tout le monde.

Attends, je pas te fais loin.

T'as pas de concurrence à l'organiserie, tu comprends ?

Voilà, c'est tout.

Et ses filles sont magnifiques, ses filles sont d'une beauté.

Il n'a pas pu avec la bête, il va essayer avec les filles.

Et tout, et tout pour connaître ses filles.

Mais parce que je m'intéresse.

Non, j'étais expliqué.

Il a fait une fille sur toi, il a fait une entête.

Il a tout sur toi, et il va tout ressortir.

Anne, je vous adore. Est-ce que je peux vous appeler Titanne ?

Non, mais c'est la Palme d'Or, Titanne.

T'es épouvantable.

Non, mais non.

Il m'en ferait plus de Kiribet avec une baignonne.

C'est ça, le film.

En plus, excusez-moi.

Vous avez dit que vous étiez nuls au lit, vous l'avez dit ça ?

Oui, mais on s'améliore.

Et puis j'ai vu une enquête du Parisien,

en fait, il y a de plus en plus de femmes qui sont insatisfaites au lit

et qui le déclarent maintenant en plus.

C'est complètement obsédés, c'est malheureux.

Dans le public, qui est satisfaite ?

Il y a trois reactions qui viennent d'enlever la presse.

Et il y a les deux du premier rang qui sont intéressés par d'autres nés.

Vous allez bien, Ariel ?

Mais oui, je me disais que Anne peut être satisfaite

parce qu'on a le public le plus hype.

Et ça, les grosses têtes s'affleurent à mort.

Ah oui, au premier rang, vous avez tous les restes de bénichoux.

Non, mais c'est vrai que le public est assez beau.

Et voilà, et en short.

Pour notre plus grand bonheur.

Avec des belles jambes ?

Monsieur, la prochaine fois, vous vous épilez quand même.

Parce que les jambes croisées, poilues, comme ça, c'est pas beau.

Non, mais elles sont pas poilues du tout, elles sont glabres.

Vous avez raison, Ariel. Les jambes, non, mais les couilles, quand même.

On est partis sur une émission culturelle.

Je crois que je vais peut-être passer à la première Citadel.

Pour Benoît Somme, qui habite très vingt dans les Ardennes,

qui a dit en temps de paix, le kamikaze s'étiole.

N'ayant nul porte-avions sur lequel s'abattre,

ils se sentent inutiles à la société

et l'envie de se suicider, les trains.

Et croyez-moi, pour quelqu'un dont la raison de vivre et de mourir,

l'idée de mort est invivable.

C'est signé quasiment.

Des proches.

Des proches, évidemment.

Bonne réponse de Jean Ben Guigui.

Pour Martin Vasé, qui habite Moyenne-Ville, dans le Pas-de-Calais,

qui a dit, je suis assez méfiant, j'ai toujours une longueur de recul.

Coluche.

Non, plus récent encore.

Ah, plus récent ?

Et bien, vivant.

Commandeur ?

Gaz Parproust ?

Gaz Parproust, non.

Pierre Palman ?

Pierre Palman.

Non, quelqu'un d'ailleurs, qui va nous rejoindre bientôt.

Aussi au Grosse-Tête, qui va faire son retour.

Un retour ?

Gadelle Malais ?

Gadelle Malais, excellente réponse de Jean Ben Guigui.

Pour Nadine Duhamel, qui habite Coudekerk...

Oh, je n'arrive pas à le dire.

Coudekerk.

Merci, Coudekerk Branche.

On voit qu'elle a fait de la radio, Anne-Romanin.

Enfin, vous avez vu comme j'ai pris un coup de vue en 30 ans, un an.

Mais non, vous n'avez pas changé.

On a démarré il y a 30 ans avec Anne-Romanin.

On n'est compte, rien n'a siré.

Septembre 1991, sur France Inter.

Ça fait 30 ans qu'on se tient par la main, qu'on se sert les couilles.

En 30 ans, il m'a jamais dragué, vous m'avez jamais dragué.

Ah, non, ça, alors.

Oh, le râteau.

J'avais l'impression que je l'ai connu, il était hétéro, Laurent.

Mais non, c'est bon.

Il faut le dire, fait le vote coming-up, vous avez été hétéro un moment.

C'est pas que j'ai été hétéro, c'est que je n'avais pas réalisé encore exactement...

Voilà.

Vous voyez.

Mais je vous ai vu.

Non, mais Laurent...

Entre vous et Jacques Ramad, bon.

Allez, encore une citation pour Nadine Duhamel, qui habite coup de cercle branche.

On était là, donc, qui a dit, quand on est jeune, on est mal dans sa peau,

mais on a mal nulle part.

Quand on est vieux, on est bien dans sa peau, mais on a mal partout.

Ah oui, c'est joli.

Churchill, Churchill.

C'est vrai.

Churchill, non.

20e siècle.

Alors c'est français, c'est du 20e siècle.

Est-ce que c'est une chanteuse ?

Une chanteuse, non.

C'est un garçon ?

C'est un garçon et c'est quelqu'un, peut-être, qui bat le record de participation,

au grosses têtes.

Jean-Yann, Jean-Yann ?

Non, pas Jean-Yann.

Jacques Martin.

Non plus.

Vous êtes vraiment...

Mais c'est un académicien.

Jean-Dutour, Jean-Dutour.

Voilà.

Jean-Dutour, évidemment.

Jean-Dutour.

Bonne réponse de Yoann Riou.

Qu'est-ce qui pousse ?

Beaucoup plus vite, même trois à quatre fois plus vite en haut qu'en bas.

Les cheveux.

Non.

En haut de la montagne, en haut de la montagne.

Non.

Sur le corps humain ?

Sur le corps humain.

Ouais, c'est les poils.

Les poils, les oreilles.

Ça pousse plus en avion, c'est en avion.

Qu'est-ce qui pousse trois à quatre fois plus vite en haut qu'en bas ?

Les ongles.

Bonne réponse de Florian Gazan.

C'est bizarre, Laurent, parce que quand on sort quelqu'un de la terre, quand on exume un cadavre,

il y a des ongles très longs, et il est en bas.

Parce que ça continue peut-être à pousser aux pieds et pas aux mains.

Qu'est-ce qui se passe ?

Ça pousse plus dans les mains que dans les pieds.

Exactement.

Ah, j'ai l'impression que c'est pas le cas.

Ça pousse plus vite dans les mains, dans les pieds, en l'air.

Mais non, pas en l'air.

Normalement.

Je pense que c'est en l'avion.

Oui, tes mains sont en l'air par rapport à tes pieds,

sur ce qui fait le poirien.

Qu'est-ce qui pousse plus vite en haut qu'en bas ?

Les ongles.

Attends, ici, on a des bras qui tombent très bas.

Mais non, parce que les ongles sont en haut par rapport aux pieds.

Ah, mais non, les mains.

Quand je me gratte les pieds, mes mains sont en bas.

Oui.

Quand tu fais le poirien aussi.

Mais oui.

Ça veut dire que les ongles des mains poussent plus vite que les ongles des pieds.

C'est ça que ça veut dire.

Si j'étais le contraire, toute la ménicure serait ménicure.

Mais Laurent, je voudrais savoir pourquoi ça pousse plus vite en haut qu'en bas ?

Non mais c'est important, les filles, imaginez.

Parce que c'est à l'aliment.

Il y a les chaussures avec les ongles qui dépassent de 10 mètres.

Des chaussures ouvertes.

Peut-être est la raison, cher Chantal.

Peut-être parce que les ongles des mains effectivement sont plus souvent à l'air libre que les ongles des pieds.

Et chez les chèvres, comment ça se passe ?

Je veux dire, chez les chèvres.

C'est comme une ménicure pour chèvres.

J'ai vu Anand dans un champ.

Il avait déjà une grosse bite, c'est vrai.

Mais il avait des ongles complètement retournés comme ça très long.

C'est des sabous.

C'est ça, ces ongles.

Ils marchent à 4 pas, donc il n'y a pas de haut et de bas.

Ça dépend, si c'est en passant par la Lorraine.

C'est un sac, c'est normal.

Avec mes sabous, en passant par la Lorraine,

avec mes sabous,

avec mes sabous,

avec mes sabous,

c'est vrai là.

Vous avez ouvert un Asile RTL.

Ils ont fait du vernis à sabous, très joli.

Moi, je connais une chèvre qui fait une French.

En tout cas, grâce au magazine Néan,

il y a toujours cette fameuse rubrique.

Ah oui, les savoirs inutiles et tant qu'ils osent que Néan.

Moi, j'adore ça, je m'en donne Néan.

Vous saurez désormais que les ongles des doigts

poussent trois à quatre fois plus vite.

Des doigts de main ?

Oui, des doigts de main.

Non, c'est pas de main.

Il a dit l'ongle des doigts.

Non, c'est les ongles des orteils qu'on a au bout des mains.

Les ongles des doigts poussent trois à quatre fois plus vite

que ceux des orteils.

Moi, l'été, j'ai les ongles sortis des orteils des pieds.

Et ils poussent pareil que mes ongles des lois.

Mais est-ce que tu as les mains qui puent des pieds ?

Je ne sens pas des pieds.

C'est un sujet qui intéresse Pierre Benichou

parce que Pierre se fait faire les ongles et des mains et des pieds.

Non, pas des mains, des pieds et des pieds.

Vous allez chez régulièrement, chez le...

C'est monsieur Tangeman.

C'est qui ça ?

Monsieur Tangeman.

Pédicure, un peu de loge.

Pédicure, pas de loge, monsieur les deux.

Parce que tu as des oignons, tu me l'as dit un jour.

J'ai pas d'oignons.

J'ai pas d'oignons.

Alors, j'ai des pieds de rêve.

D'ailleurs, pourquoi vous allez chez monsieur Tangeman ?

Parce que c'est grâce à monsieur Tangeman que j'ai des pieds de rêve.

Si je me faisais faire ça par ma mère, comme font les gens,

j'aurais pas des jolies pieds, regardez ça.

Ah oui donc, c'est super bon.

C'est vrai, il a des beaux pieds.

Ah ouais, c'est pas mal.

Ça se rapproche de gens avec les pieds.

J'ai des pieds de mâtre.

Le petit orteil est un peu sale.

Non, le petit orteil n'est pas sale.

Non, il y a un petit champignon.

Mais t'sais, c'est normal, c'est un pied noir.

C'est normal, mais il se ronge les bois de pied.

Non, non, non, non.

Il y a un petit champignon là.

Mais il se ronge les oignes de pied.

Il y a du noir, à la suite, dans le choc.

Ah oui ?

C'est un bleu, comme tu dirais, tu vois.

Et comment le choc ?

Le pied du lit.

Ah oui, on faisait vraiment...

Non, tu peux remettre ça dans ta... dans ta...

Dans ta queue.

Une question pour Karine Mouissot,

qui habite Strasbourg, dans le...

Pardon ?

Strasbourg, ça fait plaisir.

Oui, mais Mouissot espère 300 euros dans le bar, hein.

Enfin, pas dans le bar, hein.

Dans Portemonnaie, vous m'avez dit.

C'était le prix d'une passe.

C'est cher, hein.

C'est cher, il doit, Strasbourg.

C'est important de dire la région au bon endroit, Laurent.

Qu'elle gagne ou pas, elle aura dans le cul, allez-y.

Mouissot nous écoute.

Elle espère un chèque RTL.

Et la question de la voici.

On dit qu'il fut dévoré par un lion,

alors qu'il était en train de sculpter.

De qui s'agit-il ?

Moi, je pense que c'est un sculpteur.

Ah bah oui, c'est un sculpteur.

C'est de la romantique.

Un des plus célèbres sculpteurs,

on a même dit de lui,

grâce à l'excellence de son talent,

un, un, un, n'est inconnu d'aucun homme,

un temps soit peu cultif.

C'est lui qu'elle parle de...

Pardon ?

Paxitel ?

Paxitel !

Bonne réponse, Roselyne Bachelot.

Attardons-nous un peu sur Paxitel.

Ah oui, c'est vrai.

Pour qu'il dirait comme le plus grand

de tous les sculpteurs de la mythologie.

Ah bah oui, les fameuses canons

de la beauté grecque et tout ça,

c'est à partir des statues de Paxitel,

de Phidias, tout ça.

Mais surtout Paxitel,

qu'on s'y dirait comme le maître étalon.

Comment il a été bouffé par un lion ?

Quelle occasion ?

Ah bah, le lion, il était en train de le sculpter.

Ah, il sculptait le lion.

Tu sais, c'est qu'un lion, ça,

il coûte pas toujours.

Ah bah oui.

Ah, lui, il bouge pas.

C'est pas facile de sculpter

avec un fouet dans l'autre main.

Ah bah oui, oui, oui, oui, oui.

Vous voyez le cirque, vous voyez ?

Pourquoi il n'est pas commencé

par un chaton ?

Oui !

Et puis le gros,

si c'est un petit peu,

ça marche.

Ça aurait été génial.

Imaginez qu'on soit

autant des jeux du cirque à l'époque.

Oh là là.

Non, non, non, ça va.

Je sais ce que vous allez dire.

Quoi ?

Je passerai derrière vous

parce que le lion n'aura plus rien à manger.

Enfin, je connais votre histoire,

votre humour.

Il sera rassasié.

Mais vous nous avez raconté, Laurent,

quand on a visité Rome,

une histoire avec le...

Vous êtes allés en Italie ?

Je me casse, hein.

Ah non, c'est quoi cette histoire ?

On s'en va ?

Il y a deux ans.

Il y a longtemps.

Combien le gladiateur

qui doit faire l'amour ?

Qui doit faire l'amour à 100 femmes.

A 100 femmes !

Oui, j'aurais aimé cette histoire.

Vous voulez nous la raconter ?

Si vous voulez, alors.

Il y a 100 femmes qui sont alignées

au milieu du cirque.

César, tout le monde est là.

Tout Rome est réuni.

Et le gladiateur

sera évidemment rassié uniquement

s'il réussit à faire l'amour

aux 100 femmes.

Mais bon, c'est quand même...

Évidemment, un type...

Il n'y a pas de Viagra à l'époque.

Mais quand même, c'est le plus...

Un mec comme moi, quoi.

Le meilleur coup de Rome.

Si j'ose dire, vous voyez.

Le meilleur coup de Rome.

Une femme, deux femmes,

trois, quatre, cinq, dix.

Les femmes n'en peuvent plus.

On se douse-tres, va.

Il est applaudi.

La foule de la clame.

40 femmes.

Ils commencent un petit peu

à fatiguer.

41.

45.

50 femmes.

Ils continuent encore là.

Ils bonnent toujours.

Et 70.

On rêve.

80.

Le cadeau est là.

La foule de la clame.

Ouais !

Ouais !

Bravo Bernard !

Bravo Bernard !

Bravo Bernard !

Bravo Bernard !

En que vous me faites plaisir, Laurent.

95.

J'ai jamais pu arriver

après quatre ans.

Là, il a un peu de mal.

La 96e.

C'est peine s'il arrive

encore avant une réaction.

96e.

Mais quand même,

il arrive encore.

Et devant la 98e,

il s'écroule.

Et là, dans le public,

il y a quelqu'un qui crie PD.

Je comprends pourquoi

vous dis bravo Bernard.

J'adore cette histoire.

Ah oui.

Vos désirs sont des ordres, Roselyne.

On était partis de Praxithènes.

Et on arrive à Pédé.

Est-ce que vous êtes fisculté

ou pas ?

Bon, mais fais peur.

Non, mais Roselyne,

quand on a des hautes fonctions,

j'imagine qu'on est...

Non, je n'ai pas de statut

mon effigie, non ?

Et vous, Caroline ?

Non, non.

Non, pas de vanne, non ?

Bien sûr.

C'était à dire que Rubin,

c'était déjà mort.

Je m'en rhabillais

à appeler la Vachyrie

en la prenant pour modèle.

Bothero, c'est pas vous.

La Vachyrie, elle a

un très joli petit piercing

dans le nez.

Il y a une autre histoire, d'ailleurs,

que j'adore

justement,

le sculpteur

et son modèle

amandonnés, voilà.

Elle commence à fatiguer.

Vous la connaissez bien, hein ?

Ah non, mais vous vous faites rire,

déjà.

Tu seras payé

quoi qu'il arrive, hein ?

Elle n'est pas hyper...

T'as pas besoin de l'échelle-cu

maintenant, hein ?

Attends la chute.

Elle est hyper drôle,

mais elle est de circonstance.

C'est un sculpteur.

Il y a une jeune femme

qui est en train de poser pour lui.

Alors, voilà,

il commence à travailler.

Mais évidemment,

au bout de quelques heures,

elle commence à en avoir mort.

Et lui aussi,

parce que c'est un peu fatigant,

quand même de sculpter.

Alors, il lui dit,

je vous propose qu'on fasse une pose.

Alors, elle est toute nue.

Elle dit,

oui, d'accord.

Elle se rhabille.

Et là,

la femme du sculpteur arrive

et lui dit,

ma femme,

si elle, ma femme,

déshabillez-vous.

Ah oui.

J'ai pas compris,

mais moi,

je la pousse 13,

mais elle dit,

je vois que c'est très joli.

Voilà.

Une question pour Michel Nélias,

qui habite loin-nec

et dans les côtes d'armor.

Je vais vous demander

de retrouver le nom

d'un grand compositeur.

C'est une question culturelle.

Là,

mademoiselle Chackeloff,

vous voyez,

vous avez vos chances.

Mais oui,

mon amour,

j'ai toujours la pour toi.

Vous avez fait beaucoup d'études.

Que vous avez fait comme études,

Galèle ?

Mais j'ai pas fait beaucoup d'études.

Ah oui ?

Elle a toujours été sauvée.

Elle a été sauvée à l'oral.

J'ai fait du droit

et après j'ai fait

des deux troisième cycles,

mais j'ai pas beaucoup d'études.

C'est pas mal quand même.

Vous avez quand même vos chances.

Tout le monde,

de toute façon,

connaît le nom d'un compositeur.

Il n'y a pas d'études.

Allez, la question.

Tout le monde,

de toute façon,

connaît le nom d'un compositeur.

Alors t'attends,

parce que j'ai fait un test

de réserve ovarienne.

Et en fait,

j'en ai encore pour longtemps.

T'as une réserve ovarienne.

Réserve ovarienne.

Il y a des gens

qui font des safari.

Ouais, c'est le parc de toiri là-dedans.

Parce que je voulais savoir

pendant combien de temps

je pouvais encore avoir des enfants.

Il reste combien de douzaines d'eux ?

J'ai déjà eu deux enfants,

mais bien toujours un troisième enfant,

sans doute.

C'est pas trop inflamé,

parce que moi,

quand le feu est ouvert,

je passe.

La question donc,

concerne un compositeur,

dont il s'agit de retrouver le nom.

Compositeur dont je vais vous suiter,

tiens,

si vous voulez,

quelques opéras

où vous pouvez les chanter plutôt, non ?

Non.

La Vestale,

les Danaïdes,

les Horaces,

Tarrar aussi.

Voilà autant d'opéras

signés par ce grand compositeur.

Puccini ?

Non.

Il n'est pas italien, donc.

Alors si.

Parce qu'il connaissait que Puccini,

encore.

C'est un logicien italien,

justement.

Il est né dans la province de Véronne,

en revanche,

La petite Véronne,

ou la grande ?

Dans la grande Véronne,

parce que c'est dans la province.

Bellini ?

Bellini, non.

Bon, on est au 19e siècle.

Monté-verdi ?

Non.

Monté-verdi, non.

Ça finit par I ?

Ça finit par I ?

Rossini.

Il est mort,

il avait 74 ans,

mais attention,

il n'est pas mort en Italie.

Non.

Il est mort ?

En Suisse.

Non.

Comme beaucoup de compositeurs,

qu'est-ce qu'il a fait ?

Il est allé à Vienne,

et il est mort à Vienne.

Bellini ?

Bellini.

On l'a déjà dit.

On l'a déjà dit.

On l'a déjà dit.

Bah, elle connait.

Que quoi ?

Bah elle connait.

Non.

Non, pas du tout.

Non, non, non.

Un nom de fromage.

C'est quelqu'un, on va dire,

dont le nom est là,

ça a été injustement sali,

voyez-vous,

mais qui reste un grand compositeur,

un compositeur peut-être trop méconnu.

Mais sali, comment ?

C'est-à-dire qu'on le connaît,

et à la fois, on le méconnait.

Sali, sali.

Salieri, non.

Pardon ?

Salieri.

Salieri.

Salieri.

Bonne réponse de Michel Gernier,

François Relin.

Une question maintenant

pour Grégory Merlan,

qui habite Rince.

Monsieur Merlan est dans la marne.

Enfin, si tôt dit.

En tout cas, il y est bien.

Parlons de Victor Hugo.

Victor Hugo a reçu un cadeau incroyable

pour son 79e anniversaire.

Lequel ?

Un éléphant ?

Un éléphant, non.

C'est vivant ?

Non.

On est donc calculé,

puisqu'il est né en 1802,

ce siècle avait donné.

Il est né en 1802.

Il est né en 1802.

Il est né en 1802.

Ce siècle avait deux ans.

Oui.

Ça fait plusieurs semaines

que je vous répète cette phrase.

Une voiture.

On est donc en 1881.

Et qu'est-ce qu'on offre

à Victor Hugo

pour son 79e anniversaire ?

Une cadeau.

Quelque chose d'étranger.

Quelque chose d'étranger ?

Non.

C'est un truc français.

On le ramène en France

parce qu'il avait été exilé

à cause de Napoléon.

Non, non, non, non.

On lui offre.

Est-ce que c'est un rasoir ?

Ah si.

On lui offre

une avenue à son nom.

Excellent.

Réponse, Deli.

C'est nous.

Tout le monde le sait.

Bravo.

Qu'est-ce que vous dites, vous ?

Tout le monde le sait.

Comment ça ?

Tout le monde le sait.

Oui, on avait vu Victor Hugo

en son avenu.

Oui, mais avec...

Excuse-moi,

parce qu'on savait qu'on lui avait offert

de son petit corps.

Tu lui as dit quand, hier ?

On savait pas

qu'on savait pas que c'était

un cadeau d'anniversaire.

Et on ne savait pas forcément

qu'il était vivant.

Mais oui.

Sauf qu'effectivement,

vous avez raison.

Il a vécu

dans l'avenue

qui portait son nom

les dernières années de sa vie.

Pas son domicile.

Il était à l'hôtel

quand il était avenu Victor Hugo.

Mais en tout cas,

effectivement,

dans ces cas-là,

les gens qui lui écrivaient

écrivaient un Victor Hugo

en son avenu.

Ce que c'est chique.

C'est beau.

Oh là là.

Mais qu'est-ce que c'est joli ?

Mais moi, j'ai bien vécu.

Moi, j'ai dormi

Caroline Diamant

en son périphère.

Attends.

Mais moi, j'ai plein d'avenues,

le clair,

mais pas sous.

Ah oui, oui.

C'est génial.

En barrière,

général,

on va mettre Julie.

Julie,

le clair dans son centre.

Faites attention,

d'ailleurs,

à l'adresse

que vous choisissez.

Par exemple,

quand vous devez déménager...

Ah oui, mais c'est vrai

que c'est important.

Ah oui.

Oui, parce que par exemple,

quand t'es chez moi,

il y a une rue

qui s'appelle Fléchier,

bah on n'a pas envie d'y habiter.

Ah oui,

d'un rue fléchier.

Bah oui.

C'est très bien,

elle monte vers mon main.

Voilà.

C'est une rue,

on hésite,

on n'a pas envie de...

Mais tu d'accordes

qu'il y a des rues pas illégantes.

Bah au moins,

on a la rue de la truie

Bah tu vois,

là, j'irai pas habiter non plus.

Mais l'avenue Victor Hugo

à l'époque,

était une rue à prostituer.

Ah bon ?

Ah oui, on entendait beaucoup

Javal Jean.

Oh non !

N'importe quoi.

Alors là, vraiment...

C'était la chersoie, celle-là.

Oh y a un...

Il fait ta ouaille

dans son coin.

Il fait ta ouaille

dans son coin.

Il fait ta ouaille

dans son coin.

Il fait ta ouaille

dans son coin.

Il fait ta ouaille

dans son coin.

Il fait ta ouaille

dans son coin.

Ils ont fait

l'adresse de la maison

de mon père

et de ma grand-mère.

Il y a une plaque

Professeur Choron.

Ah ça, c'est chouette.

Je peux écrire,

si je veux m'écrire.

Par exemple,

je peux mettre Michel Bernier

place du Professeur Choron.

Ah c'est chouette.

Ah c'est chic.

C'est très chic.

Moi, je donnerai pas

le nom de ma rue.

Du coup,

ce que je vais dire

n'a aucun intérêt.

Pourquoi c'est comme en votre rue ?

J'aime pas du tout

le nom de ma rue.

Tant qu'on sait pas

que tout le monde sait

que j'habite le Valois-Péret.

Ah ben oui, maintenant,

qu'on sait.

Tant qu'on sait.

Mais on le savait pas.

Ah, t'es rue Balcani.

Je ne pense pas

qu'ils sont sur le point

d'avoir une rue

dans le Valois.

S'il y a bien une ville

où il risque d'avoir

un jour une rue

Balcani,

c'est bien le Valois.

Il y a une rue par ailleurs.

Bon oui, quand même,

un jour.

Vous aimeriez avoir

une rue,

une impasse,

une avenue,

une école,

un peu important que

c'est loin de chez vous.

Mais j'ai failli habiter.

J'ai visité

un appartre Louis-Rouquier.

Ah oui.

Et je me suis dit

si je travaille

avec Laurent-Rouquier

et que je deviens

Rue-Louis-Rouquier,

ma vie va être un enfer.

C'était qui Louis-Rouquier ?

Alors, je ne sais pas

parce que,

comme je n'ai pas pris la part,

je me suis dit

que je n'allais pas chercher.

Vous êtes vraiment

pas curieuses.

Moi, j'ai habité

dans une chambre de bonne

rue Amelin.

40 de rue Amelin,

là où est mort

Marcel Proust.

Ah oui.

J'étais très fière de ça.

Et vous avez encore

mes belles anecdotes

comme ça,

justement,

je me suis amusé à ça.

Il n'y a pas longtemps.

Parce que c'est vrai

que parfois,

on oublie des adresses

où on a vécu.

Et avec l'âge,

on en a fait quand même

pas mal des adresses.

Ça dépend

si on a les moyens

de déménager souvent ou pas.

Bah non, justement,

on déménage

parce qu'on commence

petit.

Et puis on gagne

un peu plus d'argent.

Moi, j'ai fait l'inverse.

Je vais de plus en plus

petit.

La prochaine,

ça devrait être

une tombe.

Moi, c'est le nom

des ponts.

Et tu sais

qui est ce qui vient

d'être épileuse.

Oh, elle me manque.

Je peux pas savoir

avec elle,

j'avais un travail.

Ça me prenait

à chaque fois 2 heures.

Moi,

j'ai habité, vous voyez,

rue Paul-Louis-Courier,

ouavre.

Je savais de la gueule.

Après,

rue Annès-Mont-Léry,

rue Mogador,

rue Massieu-De-Claireval,

rue Écuillère,

rue Henri-Martin,

rue Ravignan,

rue Colencourt,

rue La Pérère,

rue Dorchon.

À quel numéro

rue Colencourt,

j'ai habité

rue Colencourt.

Au 120.

Combien d'adresses

vous avez...

Un paquet aussi.

Eh ben oui, bien sûr que pas.

Je suis né.

Moi, j'ai la rue Pierre-Harré,

où je suis né.

C'était un radiologue

qui donnait sans la place

Adolphe-Pac,

en haut de la rue Vintimie,

derrière le lycée Jules-Féry,

où j'ai fait mes études.

Attends, je prends des notes

parce que ça va trop vite.

Et ben dites donc,

moi, je serais épileuse

à Washington,

j'attendrai votre retour.

Une question

pour Marie Coaco,

qui habite au Magne,

en Charente-Maritime,

dans le Figaro.

Aujourd'hui,

on nous parle d'un livre

qui s'appelle

Napoléon et de Gaulle,

signé Patrice Guenifret,

édité chez Perrin,

416 pages

qui comparent

ces deux génies

de l'histoire de France,

Napoléon et de Gaulle.

Et on nous rappelle,

évidemment,

le nom

de celui

qui fut général chouant,

Maréchal de France,

à titre postume,

et qui voulait tuer

Napoléon.

En 1804,

il organisa un attentat.

Et d'ailleurs,

il fut lui-même guillotiné

à Paris

le 25 juin 1804.

Quel est le nom

de celui

qui voulait

attenter

à la vie

de Napoléon

et qui fut

ensuite guillotiné ?

C'est pas qu'à Doudal.

Excellente réponse

de Bernard Bernard.

Je n'avais plus

envie

que vous fassiez

5 minutes

sur cette question.

Alors là,

bravo Bernard.

On ne sait même pas

qui c'est.

La machine infernale.

Qu'est-ce que c'est qui ?

Adodane.

Pas Adodane.

Cadoudal.

Ah, Cadoudal.

Il n'avait jamais entendu

parler de Cadoudal.

Cadoudal ?

Non, non.

Ça remplaît ça en foot, non ?

Non, c'est pas un...

Diclit Bernard.

Bernard est un ancien

Maréchal Chouanc.

Il peut être Maréchal Chouanc.

C'est un chouanc

qui a tenté

à la vie de...

Napoléon.

Oui, ça c'était

dans la question.

George Cadoudal.

La machine infernale

de George Cadoudal.

Voilà, la machine infernale.

Évidemment, ils étaient...

Ah, c'était Cadoudod.

Ils étaient une petite bande.

Vous voyez, vouloir tuer

Napoléon.

Bon appart.

Vous connaissez des choses

sur Napoléon quand même,

Jean-François Jansen ?

Oui, ça fait bon appart.

Non, mais en dehors

de ça, quand même.

Il a été...

Il a été sur

l'île

de Saint-Hélène.

Oui, il est mort.

Ça peut avoir

de l'Hélène, non ?

Et puis, quoi d'autre ?

Il était le décès préféré.

Il était petit, il avait un petit lit.

Un petit lit.

J'avais vu

une maison de Napoléon.

Où est-ce que vous avez

vu une maison de Napoléon ?

Je suis prêt d'attendre.

Dans son village,

Napoléon tonne.

Napoléon tonne.

En Corse, t'y as vu ça ?

En Corse, oui peut-être.

C'est ça, voilà.

Mais ça, c'était son berceau.

C'était pas son lit

que t'y as vu ?

Non, je fais un différent

sur un berceau qu'il a dit.

Il avait un lit

parce qu'il dormait demi assis.

J'ai su ça.

Parce qu'il avait du mal

avec le sommeil,

il avait du mal avec

le sommeil.

Vous voyez, on apprend des choses.

Moi, j'ai plus mal

à retrouver Alain de Co.

C'est comme Jean-Marie Bigard

qui nous disait

avant l'émission

qu'à bord de l'avion,

il n'arrivait pas à dormir

parce que vous dormez,

ça, j'ai pas compris,

vous dormez sur le ventre.

Oui, je dors sur le ventre.

Pourquoi ?

C'est clair,

les gens qui dorment

sur le dos,

Florian Gazan

et moi, on dors sur le ventre.

Les gens dorment

facilement à bord des avions,

M. Jansen.

Oui, je trouve.

Oui, ils s'endorment.

Quand vous voyez qu'il y a

quelqu'un qui dors pas,

vous faites quoi ?

Je vais y parler.

Je m'en décide des choses.

Je...

Et quand il y en a

qui lâchent une caisse,

tu viens avec la petite bombe.

Il y en a plein des gens

qui font des proutes

comme ça dans les avions,

tu sais.

Oui, parce que

dans l'avion,

la particularité,

c'est que tout ce que tu manges

fermement, en fait.

Une expansion des gaz,

ce qui fait que les gens

font des petits proutes.

Mais des fois,

tu ouvres la fenêtre.

Non, mais les gens...

Oui, mais là,

les gens, ils se plaignent

à moi en disant,

oui, ça sent le prout,

je fais mon...

Alors je dis,

il n'y a pas de problème,

j'en ai fait tous les quos

à trouver le coupable.

Le plus vexant,

c'est comme quand l'hôtèse,

je viens mettre le petit,

d'ailleurs que tu n'as même pas pété.

Non, mais moi,

franchement, je suis désolé,

mais ça sent pas un prout

à bord d'un avion.

Ah, non, non, non, non.

Un prout, ça sent pas tout.

Pardon ?

Un prout,

ça sent pas tout.

Ah, non, moi, je croyais

que ça sentait pas,

alors je faisais.

C'est le pévisseux, celui-là.

Mais non,

parce qu'il y a

une sorte d'air un peu...

Oui, un air un peu vicier.

Oui.

Alors de toute façon,

qu'est-ce que ça change ?

Et puis,

il y a un avion,

c'est une boîte,

donc c'est condensé.

Tu sais que les gens au sol,

quand on arrive à Roissy,

selon les destinations d'où on arrive,

ils parient pour savoir

qui va venir ouvrir la porte.

Parce que quand on ouvre

la porte de l'avion,

après l'envol,

celui qui ouvre la porte au sol,

mais il se prend

une espèce de relan

de toutes les fermentations

de la nuit.

Ah bon,

je savais pas ça.

Alors,

celui qui est dehors,

l'avion, alors.

Ah, t'as l'air.

Ah, t'as l'air.

Comme un proutier.

Et surtout,

sur les vols Indes,

tu reviens,

mais tu te prends un nuage

de curie en pleine fête.

Il y a des gens qui sont

nés à Air France,

ils ouvrent la porte.

Ah, Jean-Marie Bigard.

Jean-Marie,

on dirait que vous vivez

dans l'avion.

Vous êtes tout le temps

en train d'épreindre les avions.

Elle te cherche.

Je l'écoute parler,

je sais même pas

ce qu'elle m'a dit,

mais elle me regarde

avec le sourire et tout.

Et après,

on va impressionner.

Mais je te jure,

je me demande

s'il veut pas me mettre dedans

et me calmer.

Ça sent aussi l'enfermée.

C'est comme dans des portes.

La porte,

elle est ouverte

depuis un moment.

Ça sent beaucoup moins.

Mais viez-vous, Jean-Marie.

Tu partages le lit

avec le chien.

Mais c'est vrai, c'est fou.

J'ai jamais vu

une idyle naître

comme ça

entre deux grosses têtes.

C'est assez impressionnant à voir.

Et Marcela,

il va te dormir

sur le vent ce soir.

Alors, mais c'est étonnant.

Mais en fait,

c'était le genre d'homme.

Je vous en ai présenté

des hommes ici.

Pierre-Béni,

Jean-François,

Jean-Saine,

Bernard-Marie.

Non, c'est qu'est-ce que c'est beau.

Non, mais non,

je n'ai pas avec Jean-François

et Pierre-Béni.

C'était beau.

Jean-Jacques Perronnier.

Et là,

d'un seul coup,

je vous présente Bigard.

On vous tient plus.

Chérie, si tu nous écoutes,

c'est une bande de déconneurs.

Il y a Laurent Ruquier

essaye de nous faire passer

pour des gens intelligents

devant toute la France.

Et puis, en fait,

non, quoi,

tu vois.

Non, mais ça,

c'est pas une question

d'intelligence,

Jean-Marie.

Bah non,

ça se saurait.

Ce qui est pratique,

c'est qu'à la radio,

on ne voit pas la main

sur ta cuisse.

Aller, salaud.

Non, mais c'est vrai,

j'ai rarement vu

Jean-Marie, les gars.

Mais arrête.

Une petite idée comme ça.

Et oui,

tu as ta guaille et tout,

là,

moi,

je suis impressionné.

Et bien,

il y a Ghanou,

on a Valéricien,

on voit des petits papillons

qui voient la gare.

Dans son démite.

Une question pour

Monsieur Guillaume Veil,

Rénal,

qui habite à Paris.

La question concerne

une petite bourgade,

à peu près 5 000 habitants

dans le département de Lyon,

pas loin de Montargis,

Dosserre,

Dessence,

je vous donne

la région.

Et ma question

va être toute simple.

Qui fut le maire

de cette ville

entre 1926

et 1931 ?

Et vous trouvez

votre question simple ?

Alors attendez,

on n'a pas...

Déjà, elle n'est pas la région.

Elle n'est pas simple,

elle est toute simple.

Est-ce que c'est un assassin ?

Ah oui, absolument.

Il a été condamné après ?

Comment ça,

il a été condamné après ?

Après d'être maire ?

Ah oui, oui.

C'est souvent comme ça, d'ailleurs.

Vous avez condamné à mot ?

Il a même été guillotiné,

pour tout le dire.

Et c'était longtemps après

1931 ?

Peut-être travaillant, alors.

Il a été guillotiné

en carb,

travaillant.

Il a été guillotiné

en quelle année ?

Il a découragé.

Je confonds les aînés, Laurent.

Oui, je vois bien

m'en faire travailler.

Non, je sais,

il a assassiné...

Louis XVI.

Et sinon,

il a fait un bon mandat,

il est un bon maire.

Isabelle Mergo,

il démona,

parce que j'ai honte, parfois.

Moi aussi,

j'ai très honte.

Vous,

au moins,

vous intéressez à la danse.

Non, il ne violait pas.

Non, non.

Il tue vraiment.

Oui, le Docteur Petitot.

Bonne réponse.

De Bernard Mabille.

Il empoise le maire,

il a tout réussi.

Le Docteur Petitot, effectivement,

a été

avant d'être un grand criminel,

maire

de la ville de Villeneuve, Surionne.

Une question pour vous.

Il faut être content

que vous les ayez rappelés

pour ça va faire monter l'immobilier.

Enfin,

entre 1926 et 1931.

Et bien même,

maintenant que je le sais,

il y a presque 100 ans,

alors rendez-vous compte quand même.

Néanmoins.

Mais c'est vrai qu'on confond souvent

l'Andrew et Petitot,

l'Andrew.

Facile, c'est la première guerre mondiale

et Petitot, c'est pendant

la deuxième guerre mondiale.

Ah, c'est un bon moyen.

Ah oui.

Merci.

Parce qu'on ne savait pas.

Bah oui, c'est vrai,

parce que...

Et puis, c'est pas

les mêmes crimes.

Non, mais c'est vrai que les grands criminels

ont souvent profité des guerres

pour, effectivement,

commettre leur méfait.

Et l'Andrew la fait

en 14-18,

alors qu'effectivement,

Petitot, c'est

dans les années 39-40.

Alors pardonnez-moi,

je ne me rappelais plus,

parce que dans ma famille sauvée

qui se passait d'autres trucs,

qu'est-ce qu'il a fait Petitot ?

Oh, bah il a tué Brûlé,

lui aussi, des Juifs.

D'accord.

Il voulait les faire passer

à la frontière,

à l'étranger, etc.,

pour les sauver.

Et puis, en fait,

il prenait tout leur fric

et puis il est tué.

Il est torturé aussi, hein.

Ah bon, merde.

Il est torturé, pourquoi ?

Et les gens se plaignent

de Balkany.

Une autre question.

Une question pour Mme Véronique Zan,

qui habite Carcassonne.

Il s'agit de retrouver

une plante,

donc du genre montagnard,

qui se développe essentiellement

dans les régions tempérées,

dont les pétales

et les fleurs sont jaunes.

Tout le temps, tout le temps.

Et qu'on a commencé

à utiliser au 17e siècle,

cette plante,

avec les pétales,

au 17e siècle,

cette plante,

avec les petites fleurs jaunes,

qu'on trouvait essentiellement

dans les montagnes,

à l'étranger, d'ailleurs.

C'est pas chez nous en France,

qu'on l'a trouvée,

qu'on l'a trouvée surtout

en Amérique du Nord, vous voyez.

Bon, alors maintenant,

depuis, on en trouve un peu ailleurs,

parce que...

Je crois que je vais démissionner.

Au début, j'avais de l'ambition.

Au début, j'avais de l'ambition.

Je devais faire de la culture

à France Inter.

Je suis sûr qu'on peut le faire craquer,

si on s'y branvait.

Il a un peu fatigué, là.

Oui, on peut y arriver.

Je suis pas fatigué, c'est vous qui me fatigez.

C'est pour ça que vous nous aimez,

parce qu'on me fatigue.

Alors...

Et on a qu'un date

du 17e siècle.

Oui, oui.

Mais c'est quoi la bonne question ?

Il est au bout du rouleau.

L'oranger est capitule.

Non, non, non.

Récapitule.

C'est à l'étranger,

dans l'Amérique du Nord.

On en trouve ailleurs.

Oui.

Alors posez votre question,

s'il vous plaît.

Et au 17e siècle,

on l'utilisait comme poudre apprisée,

pour faire éternuer

ou purger le nez.

Ah, ça, ça nous aide bien.

Du croc, du croc.

Non, non.

Est-ce que...

Est-ce que maintenant ils en font...

Est-ce que maintenant ils en font

quelque chose de médicinal ?

Bien sûr.

Bien sûr.

Voilà.

Vous pouvez pas mieux dire, monsieur.

Ah !

C'est de la plan...

Nicolas.

Nicolas.

Nicolas.

Nicolas.

Vos maldines.

Non, non.

De fiches et vos.

Peut-être.

C'est de la dynamite.

Ah, mais...

C'est la...

C'est la plus consulter dans la gueule.

Valdar.

Le mieux calyptus.

C'est de la valdain.

Ah, non, de la valdain.

C'est de la valdain.

C'est le pastelis.

C'est du pétanier.

Qu'est-ce qu'on fait ?

Le nom du médicament ?

Est-ce que c'est du pastel, Laurent ?

Non.

Est-ce qu'on achète des bouquettes,

cette fleur,

dans des chêles et fleuriers ?

J'adorais d'ailleurs cette blague

d'un humoriste qui s'appelait Jean-Jacques Vanie

et qui disait, on sait pourquoi

Garou, qui joue Quasimodo,

mal à la gorge, il est là,

il est là dans Notre-Dame et il crie,

est-ce mes valdains ?

Est-ce mes valdains ?

Ah, j'adore ça les valdains.

Mais ce ne sont pas les valdains.

Laurent, est-ce que les fleuristes,

est-ce que les fleuristes vendent

des bouquettes, ces fleurs ?

Non, c'est moche,

c'est moche, c'est moche.

Non, M. Ferrari, vous l'avez dit,

ça se vend aujourd'hui en pommade,

en baume.

Oui, mais par exemple,

oui, mais la lapin,

on peut faire un bouquet de lapin.

La vaseline.

La vaseline.

La simulette.

Le tigre.

Et du médicament,

est-ce qu'on aura la paix ?

Mais oui, du canfrant.

Le vix vaporup.

Non, le...

Ah !

Vous l'achetez effectivement,

vous l'achetez sous le même nom

que la plante.

A t'effède ?

Non.

Mais non, l'arnica.

L'arnica !

Bonne réponse,

le plus stuppe beau grand,

l'arnica.

C'est vrai que, d'un seul coup,

ça ne vous fait pas l'impression

d'avoir Dieu donné à côté de vous,

à nous.

Ah oui, un peu, oui.

Vous n'avez pas l'impression

de les attirer, un peu ?

Et vous, vous avez l'impression

de niquer ma carrière ?

C'est impossible.

Pardon, encore.

Ça ne t'en dit pas que je sois juif.

Non, c'est juste comme ça,

je lui pose des petites questions,

comme ça, c'est...

Oui, vérifiez maintenant.

Oui, je vérifie.

Vous n'auriez d'y le faire.

Vous n'auriez d'y le faire avant.

Vous n'auriez d'y le faire avant.

Disons qu'au début,

ça l'est dérange pas.

C'est à cause de moi

qu'il est devenu antisémite.

Ah oui, oui.

Ah bah oui,

parce que je volais tout l'argent

et qu'il y avait une pièce

qui tombait,

je me jeteais dessus.

Ah non, mais c'est normal.

Pierre Benichou fait pareil

au niveau des salaires, ici.

Oui, c'est ça.

Et puis nous,

les juifs,

on fait des soirées

pour dominer le monde.

Ah oui, ah oui.

C'est ça.

Alors on décide

quel pays va tomber

dans les médias,

on se place.

Vous voyez,

il y a toujours un juif

dans les médias.

C'est dangereux.

La preuve,

encore aujourd'hui.

Allez,

il est temps de passer

à une citation

pour David Mushambled,

qui habite

Vatinny,

dans le Nord,

qui a dit

presque tous les sports

dans les cliniques.

Et quand les autres nations

deviennent meilleures que eux,

ils se dépêchent d'inventer

un nouveau sport.

Donc c'est pas un sport.

Churchill?

Churchill, non.

C'est un sportif,

qui a dit ça?

Non,

il était pas très sportif.

Il aurait plutôt été

un peu comme Churchill,

du genre à dire nos sports.

Pierre Menace.

Qui a dit Peter Ustinoff?

Peter Ustinoff.

Peter Ustinoff,

va à la réponse

de Florian Gazan.

C'est hyper grand.

C'est très grand.

C'est pas grand.

Une autre citation

pour David Deromas,

qui habite le tout

en charante maritime,

qui a dit,

franchement,

non,

Mélanie...

Oui,

mais habitez le tout

qu'habitez le rien.

Alors, qui a dit

délibérer le fait

de plusieurs agir

et le fait d'un seul?

Clemenceau?

Clemenceau, non.

Pétain?

Pétain, non.

François Hollande.

Non.

François Biterrand.

C'est un homme politique.

Il a dit le contraire?

Si il savait qu'agir

et le fait d'un seul,

ça saurait Hollande.

C'était un grand politique.

Un grand politique, oui?

Roosevelt.

Dans quelqu'un qui a embrassé Roselyne Bachelot, français, de Gaulle, bonne réponse de Roselyne Bachelot.

De Gaulle vous a embrassé Roselyne.

Il ne savait pas vraiment qu'il embrassait Roselyne Bachelot. Tandis que Roselyne Bachelot savait que c'était de Gaulle.

J'avais neuf mois.

Ah, il les aimait jeunes ?

Non, il les aimait petites.

Ah, vous étiez bébé alors ?

Oui, j'étais dans les bras de mon père.

Donc, ils savaient que vous étiez Roselyne Bachelot puisqu'ils connaissaient votre papa ?

Oui, ils savaient que j'étais Roselyne Narquin.

Qui a été embrassé par des personnes sédèbres quand il était jeune ?

Moi, j'ai raté Chantal Goya de peu.

Ah oui, ouais.

Moi, j'ai été embrassé par Dave quand j'étais jeune.

Ah, c'est pas vrai.

Et ça n'avait aucun incident sur ma sexualité.

Eh ben moi, j'ai été embrassé par Michel Simon.

C'est pas vrai.

Et vous ?

Moi, j'ai été embrassé par mon curé, mais je voulais pas.

C'est pas vrai.

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slash audio.

Quelle oeuvre, sur Nomethon, la pièce écossaise ?

Parce qu'il y a une superstition

à ne pas prononcer son nom sur scène.

Quelle oeuvre, sur Nomethon, la pièce écossaise ?

La corde.

Ah, la corde, non.

Le lapin.

Le lapin, non, non, ça c'est du superstition.

Ma rythme.

Bah non, le vert, le vert, la verte.

Le vert, non.

Le kilte.

Non plus.

Donc c'est une connexion,

c'est une connexion,

c'est une connexion,

c'est une connexion,

Donc c'est une pièce d'anoteur écossais.

Alors c'est une pièce d'anoteur écossais, non.

Anglais.

Anglais, oui.

Cette pièce, on l'appelle

pour ne pas dire le titre de la pièce,

La pièce écossaise, parce que...

Ah, pour... pour pas que ça porte Paris.

Ça cause de cette...

Exactement.

C'est une pièce de Shakespeare?

D'accord.

Alors...

Et dans laquelle il y un mot...

Ah non, la vie est un songe, non.

Dans laquelle il y a un mot.

qui portent malheur, on ne le prononce pas sur scène.

– D'une manière générale ou uniquement au théâtre ?

– Au théâtre.

– En anglais ou en français ?

– Comment ça ? En anglais ou en français ?

– Bah, en anglais ou en français ?

– En anglais ou en français, dans le titre,

est-ce que c'est un mot qui porte malheur ?

En français ou qui porte malheur en anglais ?

– Ah, le mot est le même en français ou en anglais ?

– Et vous voyez que la superstition est donc internationale ?

– C'est une superstition d'acteurs.

On évite de prononcer le mot sur scène.

– Oui, normalement c'est le mot cordon dont on parle.

– Ah oui ? – Oui ?

– Non, on évite de prononcer le titre de cette pièce sur scène.

– Oui, oui, je comprends bien, mais...

– Il n'y a pas le mot cordon dans le titre.

– Je connais un petit peu le théâtre et je ne connais pas beaucoup de mots interdits au théâtre.

– Et bien si, le titre de cette pièce...

– Les lapins...

– Non, non, mais il n'est pas interdit au théâtre.

Vous ne comprenez pas ce que je veux dire.

– Il porte malheur.

– Non, dans le titre de la pièce,

il y a un mot qu'on doit éviter de prononcer sur scène.

– Il n'y a pas un titre... Non, il n'y a pas un mot, putain.

– C'est le mot, c'est le titre.

– C'est le titre lui-même.

– Exactement.

– Ah ! Putain !

Mais quand on nous joue une autre, on peut dire la corde.

– Mais quand on joue, mais...

– Mais si c'est dans une autre pièce comme la salle de bain, c'est bon ?

– Sim.

– C'est une pièce maudite,

dont on évite de prononcer le nom, le titre, parce qu'il y a une super...

– Et vous savez ce qu'on dit ?

On dit la pièce écossaises.

– À la place, voilà.

– Ah oui, d'accord, donc ce n'est pas un mot de...

– Ah !

– Non, non, mais c'est vrai.

Non, c'est la pièce qui est maudite, ce n'est pas le titre.

– C'est la pièce qui est maudite.

– Ah, mais il n'y a pas de superstition, là.

– Si, autour de la pièce, pas du titre de la pièce.

– On ne prononce jamais le titre.

Par exemple, on va dire, je vais jouer ma chambre.

– Bonne façon, pour qu'on le cherche, on ne le prononce jamais ce titre.

– Pourquoi elle porte malheur ? Pourquoi elle porte malheur ?

– Par exemple, je vais vous dire, tiens,

à partir du mois prochain, je vais jouer...

– Le lapin.

– Macbess, bon. – Mais non.

– Pardon ? – Macbess.

– Bonne réponse de François Roland !

– Oui, mais toutes les tordues,

vous l'avez posé d'une façon tellement tordue,

on a dû faire 10 fois le tour du pâté de maison pour revenir.

– Ah bah je suis désolé !

– Moi, je préfère la réponse d'Arthus, c'est Sim, voilà.

Avec ça, je suis tort bien.

– Macbess est une pièce maudite.

On dit qu'à chaque fois qu'on monte cette pièce,

il y a soit des morts parmi les acteurs,

soit la pièce, finalement, ne va pas...

– C'est l'une des pièces du répertoire de Shakespeare,

la pièce jouée au monde.

– Absolument, sauf que les acteurs, entre eux, ne disent jamais,

« Tiens, à partir du mois prochain, je vais jouer Macbess »,

ils disent « Je vais jouer la pièce écossaises ».

– Pardon, mais vous ne l'avez pas présenté de manière à ce qu'on puisse comprendre tout de suite.

– Tous les parfums de l'Arabie !

– Oui, mais alors si on part de là,

il n'y a pas beaucoup de choses que je puisse présenter de manière

à ce que vous puissiez comprendre tout de suite.

– Oh, vous savez, vos colibés, ne m'attendez pas...

– Si vous avez dit « Tous les parfums de l'Arabie »,

nous, ça aurait été facile, cette petite tâche de sang intellectuel.

– Il est où, là ? – Macbess.

– Il est dans Macbess ?

– Vous avez joué Macbess, vous, Monsieur Benishou, manifestement.

– Non, je n'ai pas joué Macbess, non, non.

– Comment tu connais le texte par cœur ?

– Parce que je connais tous les textes par cœur.

Au moins, je ne suis pas pris en défaut comme ça.

Non, je suis resté longtemps passionnaire du royaume de Shakespeare.

– À la vérité.

– Du royaume de Shakespeare, le hospital.

– Et j'étais avec Clérance Olivier.

– On était... – Sœur, sœur.

– On avait le même...

Un peu le même emploi.

– Voilà, voilà.

– Je commence à fatiguez.

Moi, il y a des...

C'est pas l'heure, non ?

– Allez, je continue le duel.

Franck Ferrand, Paulet, Karat...

– Les prix d'aubelles, oui.

– Vous pouvez sortir les jeux de cartes, Junior, Mamy.

Méresse et Toël.

– C'est la guerre entre les deux Mac Plus 2.

– Là, il s'agit de retrouver le nom d'un général...

– Enfin...

– Ah bah oui, oui.

– Un général et homme politique...

– De Gaulle !

– Romaine !

– Boulanger !

– Boulanger !

– Non, non.

Général et homme politique romain qui...

Qui est mort d'une drôle de façon, on lui a fait couler de l'heure fondue dans...

– Ah, c'est Crassus !

– Crassus !

– Bah, la réponse de Paul Elkarat !

– Je crois que...

– Ferrand, il a...

– Le pire, c'est que j'ai raconté ça il y a deux mois.

– Oui !

– Expliquez-en, quand même.

– La bataille de carcans de Surena, c'est contre les Perces.

Il a décidé tout seul, en moins 53, de faire un raid en Perce.

Sauf que bien mal lui en a pris.

Ces troupes ont été défaite par Surena, le général, part.

Et ensuite, ils ont pris le général romain déchu en otage.

– Non, il fait très déchu.

– Bien sûr.

– Frédéric est déchu.

Et ils l'ont dit, toi, qui aime l'or, eh bien, en voici, ils lui ont coulé de l'or.

– C'est simple.

– On sait même pas si c'est vrai, s'il...

– C'est un peu le Stéphane Plaza de l'époque, parce que...

Ah bah oui, il avait amassé une immense fortune grâce à la spéculation immobilière.

Et d'ailleurs, quand on dit riche comme Crassus, il faut le savoir, en fait, c'est riche comme Crassus.

Crassus était, c'est riche.

L'homme le plus riche de l'histoire de Rome, on disait riche comme Crassus, et c'est devenu riche comme Crassus.

– C'est l'occasion d'aller relire Corneille sur Enna, ma vie.

– Le chanteur, là ?

– Le chanteur, mais qu'est-ce qu'il y a là ?

– Bon, bon, franque.

– Non, mais c'est vrai que là, il était sur son cheval, le pauvre Crassus, quand on l'a arrêté,

l'ennemi, effectivement, l'a tué en lui mettant de l'or fondu dans sa bouche, en faisant allusion à sa cupidité,

et ils m'ont dit...

– C'était l'ancêtre du plombage.

– Oui.

– Il a inventé la dent d'or.

– Ils ont dit rassasie.

– Non, c'est quand même terrible, ils sont salauds à l'époque.

Rassasie-toi de ce métal dont tu es si avide et paf !

– Ah, non, non, non.

– Il y a pris le coupé la tête.

– On dit beaucoup de la tête, mais les roues et romains, c'était ouf, hein.

– Après, ils ont coupé la tête, ils ont ramené la tête à Octodis.

– Mais ils ont récupéré l'or, quand même.

– Orodès II.

– Orodès II.

– Ils ont ramené la tête à Orodès II.

– Ça devait être lourd !

– C'était plein d'or, vous avez raison.

– Orodès II.

– On tient, dans cette époque, à quelque chose près.

– Quelle belle époque.

– Ah ben oui.

– Belle époque.

– Il s'avérit à l'époque.

– Vous demandez le nom.

Oh, allez, ça devrait aller vite, là, pour Jean-Pierre Metzger,

qui habite là au bac, dans le barin.

Je vais vous demander le nom d'un empereur romain

qui est mort assassiné dans sa baignoire.

– Acoumode.

– Acoumode.

Vain !

Réponse de Paul Al-Kharat.

– Mais non !

– Alors que l'emport baignoire a été assassiné dans sa commode.

– Acoumode.

– Merci.

– Vous connaissiez commode, monsieur.

– Mais non seulement que je le connaissais,

mais lui aussi, j'ai raconté sa vie à quelque temps,

monsieur Pasizin.

– La vie de commode, oui ?

– Oui.

– Et moi, la vie de Guéridou.

– Il ne l'était pas comme son nomlaine de vie à Tyroir.

– Mais le temps que ça remonte à ton cerveau,

France, le tuy a déjà dit,

ça prouve que tu commences à vieillir, mon chien.

– Ouais.

– Il s'idente, il...

– France va finir sa vie en présentant des filets de mode

de paralysie.

– C'est pas un décon.

– Touche recoupe, enfin, touche recoupe.

– Vous allez nous le vexer.

– Oui.

En plus, il aimait bien se trimballer en hieraclésie

pendant les combats de gladiateurs.

– Alors oui, c'est vrai.

– Il y participait.

– Oui, il part comme Laurent dans les soirées.

– Il s'identifiait à RQ,

en se faisant représenter sur les monnaies

portant des peaux de lion et une masseuse.

– Vous savez un peu comme Ilios Gabal pour Ilios,

quoi.

– Il s'était tous un peu...

– J'allais le dire.

– Oui, sûrement, il a raison.

Il raconte n'importe quoi tout à l'heure.

– Avec le recul, je me dis le nombre de gens

qui sont morts dans l'orbeignoire.

– C'est fou.

– Que de François.

– Que de François.

– Rastignac.

– Marat.

– Ah ben moi, je prends plus de bain.

– Ah, Gamemnon est mort dans sa bénoire.

– Selon d'autres versions, il est mort dans l'Iliotite.

– Le nombre de gens qu'on faut y mourir dans l'orbeignoire.

Laurence Bocolini, Fialier,

tous ces gens qu'on faut y mourir dans l'orbeignoire.

– On dirait que c'est pas en or.

– On dirait que c'est pas en or.

– Avec cette voix, avec cette voix.

– Avec cette voix, bien trouvée, je trouvais.

– En fait, il s'est foutu de ta gueule.

– C'est pas en or.

– T'es ventriloque aussi.

– Ouais.

– J'ai une autre forme de citation.

Ça va être une nouveauté dans les grosses têtes.

De temps en temps, je vous donnerai

un extrait de poésie

et vous devrez en retrouver l'auteur.

– Ca, c'est bien.

– C'est pas mal, ça.

– C'est une bonne idée.

– C'est un très bon exercice.

– Petit moment de poésie dans les grosses têtes.

J'ai eu cette idée.

Je me suis dit, tiens, pourquoi pas.

Je vais même vous donner le début de la poésie.

Je commence, évidemment,

puisque c'est la première fois que j'ai le fait aujourd'hui,

par une poésie facile que tout le monde connaît.

Se toi tranquille.

– Le symtère marin de Paul Valérie.

– Excellent réponse.

– Ouais, mais non.

– De Pierre Benichou.

– Bravo, il a été rapide.

– Ah là, là, là, bravo, Pierre.

– Ah oui.

– Se toi tranquille.

Nous marchons les colombes

entre les peintres palpites,

entre les tombes.

Midi, le juste,

il compose de feu la mer, la mer.

Toujours recommencé au récompense,

après une pensée qu'un long regard

sur le calme des dieux.

– Quelle pure travail de Saint-Zéclerc.

Consume.

On va pas le dire en entier,

parce qu'il est très long le symtère.

– C'est le pire des plus beaux poèmes du monde.

– Oui, mais bravo, bravo.

Vous en voulez un autre?

– Bien sûr.

– Alors allons-y.

– Mais papa, où t'es?

– Mon beau Zigan, mon amant.

– Apollinaire, apollinaire.

– Excellent, votre réponse

de Pierre Benichou, là encore.

– Mon beau Zigan, mon amant.

Écoute l'éclage qui sonne.

– Je recommencerai cet exercice.

– Ah oui?

– Ah ça vous plaît bien.

– C'est bien, c'est bien.

– Mais, mais, mais,

j'ai évidemment une autre citation

à vous proposer pour terminer.

J'ai peur qu'elle soit involontaire.

Une citation pour David Tulou,

qui habite Saint-Rémy en Rola dans l'Allié.

J'adore les enfants.

D'ailleurs, j'en étais un étant petit.

Bon, il nique.

– Ça c'est un humoriste récent.

– Ce n'est pas un humoriste.

– Nikos.

– Nikos, non.

– Benichou, non?

– Non.

– Est-ce que c'est français?

– J'adore les enfants.

D'ailleurs, j'en étais un étant petit.

Ce n'est pas français.

– Ce serait pas Winston Churchill.

– Ce n'est pas Winston Churchill.

C'est plus récent.

– Woody Allen?

– Woody Allen, non.

Je vais vous dire, c'est un acteur.

Mais on ne peut pas dire qu'il a un sens de l'humour.

– C'est Van Damme.

– Particulièrement éguleux.

Non, il est plutôt drôle, Van Damme.

– Dustin Hoffman.

– Dustin Hoffman, non.

– C'est un américain, non.

– Il est plutôt drôle.

– Dustin Hoffman, dans les interviews.

– George Clooney?

– George Clooney, non.

– Bruce Willis?

– Bruce Willis, non.

– Al Pacino.

– Comment?

– Al Pacino.

– Al Pacino, non.

– Sean Penn.

– Sean Penn.

– Yes.

– It is not Sean Penn.

– Ah, est-ce qu'il est chauve?

– Sean Penn.

– Est-ce qu'il est chauve?

Non.

– Il est jeune.

– Est-ce qu'il a joué dans les Westerns?

– Il est jeune, il a à peu près mon âge.

– Kudit Beach, Johnny Depp.

– Il est jeune, alors.

– Je vais pas dire qu'il était aussi beau coin.

Je dis qu'il avait à peu près mon âge.

– Brad Pitt.

– Brad Pitt.

– Mais c'est vrai qu'il est plutôt pas mal pour son âge.

Il est encore très, très bien.

Attention.

– Brad Pitt, non, on l'a dit.

– Brad Pitt, non.

– Il est blanc, il est blanc et noir.

– C'est pas Brad Pitt, c'est l'autre.

C'est un nain.

– J'ai été aidé par Pierre Benishu.

– Ah, jamais comme ça.

– Il faut quand même objet de se mettre à deux pour trouver une connerie pareille.

– Non, mais il est quand même bien Tom Cruise, finalement, Pierre.

– D'accord.

– C'est dommage qu'il soit scientologue.

– Ben oui, c'est pour ça qu'il disait qu'il manque un peu d'humour.

On peut pas dire que ça le caractérise quand il répond aux questions,

à des interviews, il est pas vraiment brosse.

Mais en revanche, il a une superbe filmographie.

– Ah oui.

– Franchement, entre les missions possibles,

Néan 4 juillet, Top Gun, le film avec Paul Newman,

La couleur de l'argent, magnifique film.

Non, je vous jure, Pierre, vous passez à côté d'un grand acteur.

– Non, mais je pense que c'est un bon acteur.

Pourquoi est-ce que je m'ennuie ma chère maman ?

Je crois que c'est parce que je perds mon temps que c'est qu'on a dit.

– Là, il va s'agir de retrouver

de qui Fenena et Abigaï sont-elles les deux filles,

l'une réelle et l'autre présumée.

– Ah, Fenena, on est dans la fiction.

– On est dans la fiction.

Fenena et Abigaï.

– C'est la chanson de Dave.

Fenena, rappele-toi.

Et Abigaï.

Donc, c'est américain.

– Non, Abigaï.

– Abigaï.

– A-B-I-G-A-I,

avec un tréma sur le Y, deux L-E.

Alors, rien d'autre, c'est sa fille présumée seulement.

Mais la fille de qui ?

Tandis que Fenena, elle, on en est sûr.

– Est-ce qu'on cherche un homme ou une femme ?

– Ah, on cherche un homme.

– Est-ce que c'est la mythologie grecque ?

– Ah non, c'est pas la mythologie grecque.

– C'est un roman américain ?

– Fenena, dans la mythologie grecque.

– Je n'ai pas un roman.

– J'apprécie votre assurance, M. Elmalé.

Mais, mais, ne s'agit pas de Fenena.

– Est-ce que c'est un opéra ?

– Un opéra, oui.

– Ah, un opéra.

– Alors, qui est le père d'Abigaï et de Fenena ?

– L'opéra porte le nom du père.

– Ah oui, oui, tout à fait.

– Don Juan ?

– Don Juan, non.

– Oh, Don Juan.

– Don Giovanni.

– Je connaissais les filles Don Juan, vous.

– Bien sûr.

– Ah, je peux vous dire qu'il en a même plus que deux.

– C'est un opéra italien ?

– Un opéra...

Alors, un opéra italien, oui.

Un opéra qui fut même créé.

Là où je crois, vous avez chanté, chère Ariel,

à la Scala de Milan.

Vous avez chanté à la Scala de Milan ?

– Oui.

– Scala de Milan.

– J'ai, j'ai, j'ai...

– Dans les toilettes ?

– Ah, c'est...

– Oh, non !

– Oh, fin caroline !

– Oh !

– Oui, oui, oui, c'est drôle.

– Non, c'était drôle.

– C'était drôle.

– Mais oui, c'était drôle.

– Elle a chanté l'opéra la dame Pipi.

La dame Pipi de Verdi.

– C'est un seul mot, c'est-je ?

– C'est un opéra signé Auguste Anice Bourgeois

et Francis Cornu.

– Orpheus.

– Mais évidemment, adapté en musique, par...

– Oui.

– Et qui est, alors, adapté en musique, par qui ?

– Ah, ben ça, c'est à vous de nulle part.

– Par Claude Debussy.

– Debussy, non, on a dit italien.

– Ah, non, on est italien.

– Verdi, donc...

– Verdi !

– Et c'est Verdi, effectivement, Verdi.

– Ah !

– Nabucco, pardon, Nabucco.

– Nabucco.

– Nabucco, bonne réponse de Florian Gazan.

C'est Nabucco.

– Bonne réponse.

– Avec les fameuses trompettes...

Tantin.

Tantin, tantin.

– Non, ça, c'était dans la hida.

– Ah oui, c'est vrai.

– Mais Nabucco, Nabucco, qu'elle est le grand-terre, déjà.

– Mais vous avez résonté le cœur des égards.

– Nan, nan, nan.

Nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan, nan...

– C'est N'Allez-Moussouris.

– Si c'est Chard des Esclaves.

Non, non, non.

Non, non, non.

C'est même la classe à missions !

C'est le cœur des esclaves.

Et Lala...

Hain dans ! Hain au-…!

Écoute-lui moi !

Comme si il existait moins…

C'est le cœur des esclames les brots !

E Photoshop !

Comme si…

Ca c'est vrai que ça chante bizarrement dans l'E不好意思.

On chante pour des drames, même quand elle est mort.

La mort, l'amour, la passion.

Et vous notez que dans les opéras, bien souvent, l'histoire, le livret,

sont passés derrière la musique, bien loin derrière.

C'est-à-dire, Nabuco, tout le monde s'est freudonné, quelques-hères de Nabuco,

en revanche, que ça raconte.

Mais François, j'ai vu que vous étiez très bon dans le cœur des esclaves.

Vous voulez pas nous en faire un petit bout ?

J'ai eu une petite âme d'esclaves.

Mais ce que dit François sur la teneur intellectuelle des opéras,

il y a eu un très très grand débat au XVIIIe siècle,

les gluquistes contre les pichinistes.

Les gluques disaient, il faut revenir à l'opéra, chanter.

Non mais c'est vrai, où on comprend les choses.

Gade, gade, gade.

Non, alors, c'est pas vraiment ça.

Je comprends, je pense que c'est plutôt les pointillistes qui, à ce moment-là...

Non mais les gluquistes et les pichinistes, parce que pichinistes, c'est pichinistes.

Non, non, c'est des gars qui pichaient des vies.

Oui, pichinistes.

Alors ils disaient, c'est les pichinistes de Vitz.

C'est les pichinistes, ils agabent de la pichine.

Alors on disait, oui, mais les chanteurs peuvent tous permettre,

donc oui, faire des fioretures, et peu importe qu'on comprend pas ce qu'ils disent.

Et Gluc a dit, non, il faut qu'à l'opéra, on comprenne de quoi il est question.

Et Philippe Gluc, il fait le gâteau.

Le gâteau, le château.

Non mais c'est un débat très intéressant, très bien sûr.

On est tous en train de le reprenner après l'émission même.

Parce que sinon, on n'est pas couché.

Tiens, encore une question cinéma pour Jean-Louis Courtein, qui habite à Yicourt dans le Pas-de-Calais.

C'est un film que vous pourrez peut-être revoir, ou revoir sur Arte, dimanche soir prochain.

Un film qui dure, attention, quand même 3h10, c'est rare.

Un film qui dure 3h10, et qui a pile 60 ans,

puisqu'il est sorti en 1960, ce film.

Un film réalisé par celui qui réalisa aussi La Rivière sans retour,

et aussi d'ailleurs l'adaptation du livre de François Sagan.

Bonjour Tristesse. De quel film s'agit-il ?

Anatole Liedwijk.

Pas du tout.

Le metteur en scène.

Autopremminger.

Autopremminger, oui.

Le pont de la Rivière-Quay.

Le pont de la Rivière-Quay, non.

Un film de 3h10 sorti à 60 ans pile.

Apocalypse.

Apocalypse, non.

Un des films les plus connus d'autopremminger.

Ce n'est pas Cleopatra.

Cleopatra, non.

Autopremminger, c'est un des plus grands réalisateurs, évidemment.

Américain, certes, d'origine autrichienne, d'où son nom.

Autopremminger, il a réalisé l'homme au braderre,

La Rivière sans retour,

Il a réalisé la dame au manteau d'Hermine,

Les ventailles de Lady Windermere,

Il a réalisé un cidou visage,

La lune était bleue.

Scandal à la cour aussi,

Il a réalisé Bonjour Tristesse,

Porgyon Bess aussi.

Voilà, des films réalisés par Autopremminger,

Mais un des films les plus célèbres qu'il est réalisé,

Qui dure 3h10, qui date de 1960.

En fait, les 60 ans de ce film

Seront diffusés sur Arte dimanche soir et c'est...

Est-ce que c'est le cardinal ?

Le cardinal, non.

Est-ce que c'est un sujet religieux ?

Un sujet religieux, un peu, oui, mais pas seulement.

Ce n'est pas Exodus.

Exodus, bonne réponse de Marc Lambron.

C'est Exodus.

Et oui, avec Paul Newman, évidemment.

Exodus, 3h10.

Et va Marie-Sainte.

J'ai une autre question cinéma pour Liddy Oudin,

Qui habite pour sur Meuse, c'est dans la meuse évidemment.

Et là, il s'agit de Western.

D'ailleurs, il a réalisé un seul Western,

Autopremminger, c'était la fameuse rivière sans retour,

Avec Marinele Monroe et Robert Mitschou.

Mais là, on oublie Marinele, on oublie Mitschou,

Mais on oublie Autopremminger,

Puisque je vais vous demander le nom du célèbre Cowboy,

Qui a été le plus de fois porté à l'écran,

Si on accepte évidemment Bufalobyl,

Billy Zuckid, ou même le général Custer,

Et même Jesse James.

Quel est le cowboy, donc ayant existé ?

Lucie Luc.

Lucie Luc, non.

Wyatt Orphe.

Wyatt Orphe.

Bonne réponse de Jean-Luc Le Moine.

Alors là, bravo.

Il fallait connaître Wyatt Orphe.

Le chérif.

Le chérif, le marchal Wyatt Orphe,

Qui a participé à la fusillade d'Ok Coral,

Et il y a eu des tas de films,

Dans lesquels on a pu voir Wyatt Orphe,

Henry Fonda, James Stewart,

Et même Bruce Willis et James Garner,

Dans Mortra Hollywood, en 1988.

Kevin Costner aussi peut-être.

Kevin Costner, exactement plus récemment,

En 1994.

C'est un des cowboys,

Qui a été le plus porté à l'écran,

Wyatt Orphe.

Et il se trouve que John Wayne,

Quand il était jeune à Hollywood,

A rencontré Wyatt Orphe,

Parce qu'il se trouve qu'il est mort,

Très tardivement,

Il est mort en 1929,

Wyatt Orphe.

Il avait 80 printemps,

Quand il est mort.

Et il est mort,

En tombant de son cheval.

C'est pas Goya, vous voyez.

Vous aimez les westerns,

Monsieur Jean.

Ah non, jamais.

J'ai essayé de m'intéresser,

Comme ça,

Mais les cowboys, les indiens,

J'aime bien jouer à ça,

Oui, mais...

Tu es dans quelqu'un.

Je comprends jamais rien.

Les méchants, les chériques,

Les margements...

Comment s'appeler celui de Kevin Costner,

En...

Danse avec les loups, par exemple.

Moi, je vois bien,

Elena Noguera,

Dans un western.

Ah, c'est cool.

Ah ouais, vous pourriez faire

Une indienne,

Je trouve avec vos cheveux bruns.

Oui.

Une pute dans la saloon.

Pocahontas.

On sait...

On peut dire ce qu'on veut,

On sait accueillir.

Non, Monsieur Jean,

Ça, on dit pas ça,

Elle est Noguera.

Je la vois plus,

Dans un Pocahontas, effectivement.

Oui, moi, je la vois aussi

Avec De Colt.

Ouais, voilà.

Ça, oui.

De Colt,

De part et d'autre,

Ça, ça pose une femme.

Ouais, Jessie J.

Et Pierre Benichoux

Serait le John Wayne.

Oh, bon.

Oh, bah, si vous avez un côté...

Non, s'il a besoin

Un peu de protection,

Papa, elle a...

Parce que vous,

Monsieur Jansen,

Vous voyez, je vous vois pas

Dans un western part.

Si, moi, je vois bien.

On pue dans un saloon aussi.

En tout cas,

C'était une bonne réponse

De Monsieur Le Moine.

Wyatt,

Il fallait quand même le connaître.

Ce chasseur de bisons.

Les grosses têtes sur RTL.

Question littéraire du jour.

Ah oui.

Là, c'est une séquence très difficile,

Monsieur Boudair.

Je vais faire une clope.

Non, non, non.

Mais, écoutez,

Vous avez publié vous-même un livre.

Oui, oui.

Donc, vous faites partie

Des écrivains contemporains.

Bien sûr,

Je suis pas loin d'Émile Zola.

Tu veux dire qu'est pas loin d'Émile

L'exemple, la station,

Émile Zola.

Oui, c'est ce que je veux dire.

Plus gorgon qu'Émile Zola.

Vous allez encourager les gens.

Je vous rappelle la maison du fromage.

Alors, en tout cas...

En tout cas, il s'agit

De faire preuve

De sa culture littéraire

Pendant ces 7-8 minutes

Consacré au livre d'hier

Et d'aujourd'hui,

Là, j'ai plutôt envie de dire

Car il s'agit d'un roman publié

Pour la première fois en feuilleton.

A l'époque, c'était dans la presse

Qu'on publie les romans par épisode.

Le premier épisode

A été publié en octobre 1899.

En anglais,

Je vous demande de retrouver

Le titre de ce roman, évidemment.

Si je vous donne le nom

De l'écrivain,

Ce serait, évidemment,

Trop facile.

Mais il s'agit de l'histoire

D'un jeune officier

De Marine Marchand britannique.

Ah, ben c'est...

Et pris de rêves héroïques.

C'est Joseph Conrad.

Ah, c'est Joseph Conrad.

C'est Joseph Conrad.

L'autre.

Et c'est...

C'est Oncle Jim.

Oncle Jim.

Non.

Non.

Il a perdu.

T'as... T'as Jim ?

Non.

T'as Jim Lévis ?

C'est Joseph Conrad.

Julie Jim.

C'est effectivement

Un roman de Joseph Conrad.

Ah, Julie Jim ?

Non.

À quoi Jim ?

Officier.

Colonel.

Captain Jim.

Bien dit, à quoi Jim ?

C'est moi.

Eh ben vous êtes...

Ecoutez.

Je peux avoir un pot pour la vanne ?

Peu importe les mauvaises réponses,

mais pas trop de Tathroniser,

grosse tête.

Hahahaha...

Hahahaha...

Hahahaha...

T'as quelqu'un là ?

Hahahaha...

Vous d'ailleurs,

ne te réjouis pas trop vite,

C'est Jean-Phil qui s'occupe

de Tathroniser.

Hahahaha...

Parce que moi,

à quoi Jim ?

Ça me fait rire.

Pardon, mais c'est rôle.

Vous pourrez pas avoir un pot

pour les bonnes valles ?

Non, non, non.

Non, non, non.

Mais effectivement,

Jim, c'est le 2e mot.

Eh oui ?

Si.

Du sergent Jim.

Ah non, pas sergent.

C'est un grade.

C'est un grade.

Ecoutez.

– M. Jim ! – M. Jim !

– M. Jim ! – M. Jim !

– M. Jim ! – M. Jim !

– M. Jim ! – M. Jim !

– M. Jim ? – M. Jim !

– M. Jim ! – M. Jim !

– M. Jim ! – M. Jim !

– M. Jim ! – M. Jim !

– Bonne réponse de Florian Guizard !

Aidez par Paul Aycarat, il s'agit bien…

– J'avais vu l'autre Jim Tonic.

– Il s'agit bien de Lorde Jim, célèbre roman,

un des romans les plus importants de la littérature britannique.

– Oui, avec au cœur des télèbres.

– Lorde Jim, et c'est maintenant un roman d'honoré de Balzac,

que je vous demande de retrouver.

– 1837, vous avez au moins un point commun avec Balzac,

c'est d'être honoré.

– C'est agoglio !

– Et il s'agit cette fois d'un roman, d'ailleurs,

un roman dont le premier titre était « La haute banque ».

Car en effet, il était question dans ce roman,

il faut le dire, du père Gorio,

réconcilié par l'intermédiaire de son caissier.

Mais comment s'appelle ce roman ?

Il y a eu une adaptation cinématographique

avec Elza Ziberstein et Jean-Marc Barre,

en 2008, c'est plus récent, c'est un film sortant.

– Le glan bleu ?

– Non, avec un film de Raoul Ruiz,

avec Elza Ziberstein, Jean-Marc Barre et Laurent Malle.

– Et le roman est reconnu connu.

– Pardon ?

– Le roman est reconnu connu.

– Ah ben très très connu,

vous voyez, je vais pas vous donner non plus des questions trop faciles.

– Est-ce que ça porte le nom d'un personnage ?

– Ça porte le nom d'un personnage,

– César Biroto ?

– Ah non, Biroto, non.

Ça porte le nom de Delfine,

Delfine qui est la maîtresse de gêne de Rastignac.

– Elle a du chaise de Longé ?

– Non, écoutez, je vous ai donné une partie de la réponse,

puisque ça a failli s'appeler la haute banque.

Bon.

– Delfine, la fille de l'auberpigne ?

– Non, non, non, non, non.

– La taille à récol ?

– Non, c'est...

– Il y a l'argent dedans ?

– Il y a pas l'argent, c'est le nom d'un baron

qui apparaît pour la première fois, effectivement,

dans le...

– Ruban Pré ?

– Ruban Pré, non.

– Et le film portait le nom de la banque,

le nom de un morceau ?

– Il y avait un curé, il y avait un curé.

– Le film portait le même nom que le roman.

– Il y a un curé dedans, au morceau ?

– Mon sous, c'est le nom de la banque.

– Il y a toujours un curé.

– Alors, c'est la BNP.

– Non, enfin.

– Ah, bien.

– Mais c'est pas le...

– Est-ce que c'est un nom de titre ?

– C'est un prénom et un nom.

– C'est en trois mots.

– Ah, le baron des villes et le baron des chiens.

– C'est le...

– Baron de quoi ?

– Non, il n'y a pas de baron là-dedans.

– Il y a le.

– Le nom du baron est dans le titre.

Ça, oui.

Mais il n'y a pas le mot baron dans le titre.

– C'est quoi les premiers mots ?

– Ah non, non, non.

– Est-ce que vous pouvez le dire,

celui qui le redit vite ?

– Laurent, c'est le nom de l'établissement,

en fait, le titre.

– Oui.

– Ah !

– C'est genre la maison-machin, quoi.

– La maison-machin, bravo.

– Ah, comment ça s'appelle ?

Ah, Messie.

Ah, comment ça s'appelle,

ce qu'ils ont la banque, là ?

– La maison de la monnaie.

– La maison de Rothschild.

– Non, non, non, non.

Mais c'est vrai que vous avez raison,

c'est clairement la description

de l'ascension en Europe

de la maison Rothschild.

– Ah, vous avez raison.

– Mais je le savais.

– Oh, tu parles.

– Avec le fameux coup de bourse

lors de la bataille.

– Ah oui, un coup de bourse,

ça fait mal.

– Ah oui.

– La maison…

lors de la bataille de Waterloo,

parce que c'est comme ça

que la maison-père,

la maison Rothschild

a connu son succès, vous voyez-vous ?

– La maison de Rothschild.

– Et donc, c'est une parodie

de la maison Rothschild.

– Ah, ça sonne comme Rothschild un peu ?

– Non, ça sonne pas comme Rothschild.

Et c'est la maison,

la maison, j'espère que quelqu'un

dans le public aura la réponse.

– La maison de Toutou ?

– Non.

– Bataza.

– Pour tout vous dire,

ce roman dans la comédie humaine

est juste après César Biretto

et avant Splendeur et misère

des courtes isanes.

Et c'est la maison, la maison.

– La d'Ajio ?

– Non.

300 euros qui s'en vont,

tant mieux pour notre auditeur.

Est-ce que quelqu'un a le nom

de cette maison dans le public ?

– Ah, quand même.

– Il y a quand même deux mains

qui se lèvent.

Monsieur Gazan, je vous demande

de vous déplacer.

– Et je me déplace avec grand plaisir.

– Alors il y a quelqu'un

qui a dû lire ça dans le fond de la...

Alors voilà, regardez,

il y a une dame.

– Il y a un jeune homme.

– Une dame qui apparemment est

dans cette banque.

– Ou un monsieur, d'ailleurs,

je vois pas.

– Bonjour, madame.

– Une dame avec le moustache ?

– Bonjour, monsieur.

– Ah, non, ça ne va pas.

– Alors c'est un monsieur,

j'étais une dame et c'est devenu

un monsieur.

C'était un jeune homme.

Monsieur, vous appelez comment ?

– Michel.

– La maison du singe.

– La maison du singe.

Excellentes réponses.

Vous gagnez 100 euros, monsieur.

– Ok, je vous remercie.

– La semaine prochaine,

on verra tous et dans tous les journaux

les photos de Kaspar Philipsson,

un acteur danois qu'on ne connaît pas.

Et pourtant,

pour quelle raison

verra-t-on beaucoup la photo

de Kaspar Philipsson,

acteur danois,

dans les journaux la semaine prochaine ?

– Pour un film ?

– Pour un film.

Oui, Chantal, on ne peut rien vous cacher.

– Il va interpréter le biopic

d'un personnage connu ?

– Alors, indirectement,

je suis obligé de vous répondre, oui.

Mais c'est pour sa ressemblance physique

qu'il a été choisi,

ce qui est assez curieux,

puisqu'il est danois, je vous le rappelle.

– Et c'est un personnage français

qui va incorporer ?

– Français, non.

– Européen ?

– Européen, non.

– Américain ?

– Américain, oui.

– Ah, John Kennedy.

– Il joue John Kennedy

dans le film qui sort la semaine prochaine

sur Jackie,

joué Jackie par Natalie Portman,

mais l'acteur qui joue

le président des États-Unis,

c'est un danois,

Caspar Phillipson.

Bonne réponse de Florian Dazin.

– Et qui interprète

la sœur de Jackie Lee ?

– Ah non, moi,

écoutez, je ne vais pas

toute la famille devant les yeux, là.

– Et qui interprète

la décapotable ?

– Non, non, non,

parce que moi,

je suis une amie de Lee Radziville.

C'est moi qui lui ai donné

sa légion d'honneur.

– Une amie de qui ?

– De Lee Radziville,

la sœur de Jackie Kennedy.

– Ah bah vous nous en direz tant,

mais racontez-nous,

alors, Arielle.

– Et bien voilà,

Lee Radziville

et donc la sœur

cadette de Jackie,

c'est elle qui a introduit Jackie

en lui faisant faire

ce tour de l'Europe

et qui était une très grande

amie

de beaucoup d'artistes

et qui est ravissante.

– Et qui a couché

avec un assis avant Jackie.

– Et qui a couché

avec un assis avant Jackie.

– Ah ben non ?

– Oui, c'était sa gouteuse.

– Et on a t'infecté un, quoi.

– Et on assis,

c'est à dire,

amène-moi ta sœur.

– Mais oui !

C'est comme ça que ça passe.

– Attendez, attendez, vous voulez dire

qu'un assis,

il s'est tapé la sœur de Jackie

avant Jackie.

– Oui, la sœur de Jackie,

elle était...

– Si elle avait connu

les sœurs Williams.

– Et une femme ravissante.

– Et une femme ravissante

qui avait beaucoup d'aventures,

beaucoup d'amants

et un assis

s'il était content

et elle dit

« T'as pas une frangine, toi ?

Ouais, je peux l'amener ?

Oui, mais seulement.

Elle est mariée avec un mec.

Alors,

oui, mais il est président

des États-Unis.

Que ça peut foutre,

on va le tuer.

– C'est vrai qu'il est blanc buton !

– Oh non !

– Si, s'il était très cochon,

il parait qu'il faisait

des porno-armateurs.

– Chantin, il voulait dire quoi ?

– Il parait qu'on peut l'avoir

très souvent

au restaurant de l'étoile.

– La sœur de Jackie

qui l'a dit ?

– C'était vrai qu'elle

habite à plus montée.

– Et au bistro du coin,

il y a le beau frère

de Galabru.

– Pendant les publicités,

mademoiselle Marseillaille

à Coupe demandait

à Patrick Sébastien

s'il chantait.

– Vous ne connaissez pas

le petit bonhomme en mousse,

Marseilla ?

– C'est pas des sardines,

mais c'est des chef-d'oeuvre

de la France.

– Et voilà, c'est ça,

la France Marseillaille.

– Oui, c'est ça.

– Tu vas voir,

tu vas voir,

tu vas voir,

tu vas voir,

tu vas voir,

tu vas voir,

tu vas voir,

tu vas voir,

tu vas voir,

tu vas voir,

au fond de cette boîte,

tu t'entends des sardines ?

– Et ça, c'est la chanson.

– Tu as pensé à postuler ?

– C'est là qui est...

– Ah ben, je suis désolé,

tu es là.

– Tu as pensé à postuler

à l'Académie Française,

ou pas ?

– Mais tu sais que ces chansons-là,

là, je suis en train

de faire mon nouvel album,

c'est les plus difficiles à écrire,

et là, je suis dans le festival,

à fond.

J'en ai une qui est très jolie,

qui s'appelle

« Fais-nous voir tes balloches, patoches ».

– Mais le bonhomme en chante,

on a un peu la chantée.

– Excuse-moi, mais le bonhomme

en mousse.

– Mais tu veux pas que Marc Chéla

ait effondré ?

– Non, mais tu sais pourquoi,

parce que dans mes spectacles,

dans mes spectacles,

il y a des milliers de personnes,

il y a des gamins,

j'ai un nouveau public

de gamins qui est entre 14 et 25 ans,

et c'est eux qui, un soir,

j'étais sur scène,

comment c'est à me faire ?

Patoches, tes balloches,

j'ai dit, je vais faire la chanson.

– Et elles ressemblent beaucoup

à Patrick Tabith, ou pas ?

– Non, ça n'a rien à voir,

ça n'a rien à voir.

Mais tu sais que je fais pas...

Non, non.

– Les chansons...

Les chansons festive,

pourvu que c'est à dur, etc.

Il n'y a pas de cul de danser,

c'est juste ça-là.

– Mais attendez,

que je vais chasser Marc Chéla

pour savoir si d'un seul coup,

vous montez encore dans son estime,

ou si vous descendez.

– Je m'en fous complètement.

– Armes, comment tu t'en fous ?

Ou mon thème ?

Et toi, tu t'en fous ?

– Mais oui, écrit lui,

il accupe ton cul.

– Mais alors...

– Ah !

– Ah !

– Ah !

– Ah !

– Ah !

– Le nouveau duo,

Gaspour Bardot.

– Non, l'autre jour,

ensemble,

avec Patrick Sébastien,

cette rencontre,

un troisième type d'entre nous.

– Bien sûr.

– Et alors,

tout mon quartier,

c'est la première fois

que je suis au gros stade,

mais dit,

t'as vu les prêts,

Patrick Sébastien ?

J'ai jamais,

on m'avait demandé ça

pour personne,

non !

– Ah !

– Ben oui.

– Alors,

c'est là,

ce qu'il faut que vous fâchez,

c'est la prochaine fois que vous allez,

parce que c'est en allant

chez vos commerçants,

j'imagine.

– Oui, oui.

– Vous allez faire vos courses,

Marcel.

– À la rue de la guerre.

– Ah, voilà,

à la rue de la guerre,

bon, alors vous allez...

– Avec les petits nains

qui habitent,

près de chez moi,

qui habitent ici.

– Le petit nain,

c'est...

– Le petit nain, c'est...

– Petit nain, c'est souvent,

hein, Marcel.

– Non, les petits nains.

– Il y a un rayou ?

– Non, non,

l'autre, plus vieux.

– Non,

pas de tout,

de qui on voit.

– Ah !

Mais si,

genre Ben Guy Guy.

– Oui,

c'est ça.

– Vous me demandez

quand vous cherchez un nain.

– Vous savez que...

– Genre,

on adore, il nous écoute

et on embrasse.

– Je pense qu'il se l'adore,

mais il n'appêche qu'il a

une petite taille.

– Oui,

il n'est pas nain du tout.

– Vous savez

qu'il m'est arrivé un truc

incroyable.

J'étais dans une soirée,

je me branche avec un nain,

très sympathique.

Je lui dis,

viens, je t'emmène

dans une autre soirée.

J'avais mon scooter,

je le mets derrière moi

et je discute

et à un moment,

je suis au feu rouge

et je discute

et il ne me répond pas.

Et je me tourne

plus de nains.

Mais oui,

je l'ai vu derrière

et c'est vrai.

Et je vous jure,

je l'ai retrouvé,

il était un peu plus loin.

Il était vraiment

très énervé.

La histoire d'amitié

avec le nain

était terminée.

– Allô,

Geneviève.

– Non mais c'est terrible.

– Alors donc,

quand vous allez

aller chez vos commerçants,

qui est Jean-Baptique

ou pas Jean-Baptique,

on embrasse au passage.

– Parce que je les trouve

toujours,

là-bas,

au même...

– Ah bon,

vous vous rencontrez.

– Quand je les vois,

quand j'arrive

à les percevoir.

– Surprenez votre...

– Et c'est moi

qui suis ma chante.

– Surprenez votre monde

la prochaine fois

et commencez

à fraudonner

le petit bonhomme en mousse.

Patrick,

vous voulez pas lui

apprendre la chanson

à Marseilla?

– Je lui apprendrai,

je lui apprendrai

le petit bonhomme

en mouche,

en mousse.

– En mouche.

– J'ai ma langue

qui a forché.

Non,

c'est des trucs

très difficiles à écrire

parce que,

paradoxalement,

je préfère écrire

un bouquin

qui marche très bien d'ailleurs.

Plutôt que de...

La chanson simple

populaire

qui va dans la rue,

elle est très difficile.

– Ah ben oui,

Montévaloche Patoche.

– Ah ouais?

– Attends.

– Ben oui, mais...

– Il faut travailler

pour la trouver,

ça a l'air...

– Elle est pas si simple.

– Ah non, elle est pas simple.

– Est-ce que c'est toi

qui a écrit la phrase

« mes couilles sur ton nez

», ça n'a pas des lunettes?

– Non, c'est pas moi.

Si c'est vrai,

je l'ai mis

dans une chanson.

– Je voulais

vous emmener moi

à l'Hôtel des peupliers.

Mais pour quelle raison

l'Hôtel des peupliers

est régulièrement cité

dans les journaux

aujourd'hui?

C'est une question

d'actualité,

mademoiselle Boutbull.

– Alors c'est une maison close,

une ancienne maison close?

– Et c'est une question

pour Amandine Dorey

qui habite suis-perce

dans la marre.

Non, c'est en France.

– C'est un vrai hôtel?

– C'est un vrai hôtel?

– C'est un vrai hôtel?

– C'est un vrai hôtel?

– C'est un vrai hôtel?

– C'est un vrai hôtel?

– C'est un vrai hôtel?

– C'est un vrai hôtel?

– C'est parce que c'est à Vierzon.

– Pourquoi? À Vierzon?

– Eh ben parce que à Vierzon

il n'y a pas un truc incroyable

aujourd'hui à Vierzon,

on fout de Vierzon

et il n'y a plus une chambre d'hôtel

à Vierzon.

Parce qu'il y a...

– Oui, il y a la Coupe de France.

– Je pense que c'est pas ça,

d'ailleurs.

– Avoir le Véjac de Laurent

et les autres...

– Mais parce que bien...

– Non, c'est pas ça,

t'as été...

– Non, non,

c'est un événement

plus fort encore.

Hier c'était la fête

à l'Hôtel des peupliers

et effectivement...

– Il y a eu la visite de quelqu'un?

– On est plus près de Lyon

mais il faut encore aller

un peu à l'Est, vous voyez.

– À Saint-Etienne.

– Ah mais je sais,

c'est là où il a gagné

la Coupe du Monde,

c'est à Courchevel.

– C'est l'Hôtel du Monde.

– C'est l'Hôtel du Monde.

– C'est Alexi Pinturo,

c'est l'hôtel de sa famille,

l'hôtel des peupliers,

notre champion du monde,

le ski.

– Ah oui.

– Alexi Pinturo,

bonne réponse

de Nari Boudmouli,

et Patrick Sébastien.

– Ouais, bonne réponse.

– T'avais pas dit Alexi Pinturo,

quand même.

– C'est moi qui l'ai dit.

– Oui non,

ça s'appelle une jupe boule.

– Ah, voilà.

– Ah mais il faut dire,

mais c'est pour ça.

– C'est la culotte

qui avait les pages d'Henri 3.

– Oui, voilà.

– Mais sans les crever.

– Voilà, c'est ça, c'est ça.

– On tente de voir,

on a envie de jouer au million de balles clés.

– Sans les souffler.

Mais, mais...

– Ça se gonfle, là, les Lyons.

– Non, elle a pété, c'est tout.

– Oh!

– Oh!

– Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non.

– Laurent Baffi, taisez-vous.

– Non, non, non, non, non, non.

– Laurent Baffi, enfin.

– Enfin, si t'as besoin

de rebond flétaculote,

j'ai la vache.

– Non, mais...

– Arielle.

– Mais comment ça se repasse

une robe boule?

– Mais écoute, je dois dire

que je ne me suis pas

encore posée la question.

– Ah, mais il faut.

– Elle a des gens.

– Non, je viens de la jeter hier

pour tout vous dire.

– Ah, c'est pour nous,

c'est la première fois

que vous la portez.

– Vous!

– Je voulais faire sensation.

– Allez, je crois qu'il est temps

de passer à une première citation,

une citation pour Vincent Barberot

qui espère 300 euros à voisins,

le Bretonneux, c'est dans les Yvelines,

qui a dit,

« L'objet d'une guerre n'est pas

de mourir pour son pays,

mais de faire en sorte

que le salaud d'en face

meurt pour le sien ».

– Boris Vian.

– Boris Vian, non.

– Français.

– Français?

– Non.

– Mais américain?

– Alors américain, oui.

– DCD?

– Alors DCD, oui.

– WC Field.

– 45.

– Ah oui, c'est...

– Pendant la guerre, après la guerre?

– Bah écoutez,

après la guerre, manifestement.

– Peut-être à l'aspect, non?

– Peut-être que c'était

le dernier mort de la guerre.

– Le 21 décembre, 45...

– Il faisait partie

des troupes américaines

en Allemagne en 45.

– Exact.

– Patton.

– Patton, Georges Patton,

bonne réponse!

– Bravo!

– Bravo!

– Ah oui, ah bah oui, quand même!

– Elle est Paton.

– Elle en sait des choses, Michel.

– Elle est Paton, la patoche.

– Elle n'est pas l'air comme ça.

– Les grandes familles militaires,

Michel Bernier, il faut dire.

– Ah bah oui, ah bah ça!

– Non!

– Non!

– Bah ton père,

il était dans les bandages.

– Mais oui, j'ai même,

j'ai même, j'ai même,

j'ai même joué quelque chose

que ton père a écrit.

Yvre mort pour la patrie.

– Le général Patton,

en tout cas, c'est bien lui

qui a dit cette fameuse phrase.

– C'est drôle.

– L'objet d'une guerre

n'est pas de mourir pour son pays,

mais de faire en sorte

que le salaud d'en face

meurt pour le sien.

Une autre citation.

Pour Adrien...

– Je sais pas Patton

qui a dit ça.

– Oui.

– Regas, c'est dans l'arriège.

Qui a dit, j'ai souvent remarqué

que les gens qui sont en retard

sont de bien meilleures humeurs

que ceux qui ont dû les attendre.

– Qui toffent?

– Non!

– Ça c'est vrai,

il a raison.

– Mais c'est vrai en plus.

– Ah oui, moi aussi à l'heure.

– Vaut mieux être en retard,

finalement que celui qui attend.

– Oui, parce que celui

qui attend range son frère.

– C'est un Suisse?

– C'est pas un Suisse.

– Christian Bernard?

– Non.

– Alfonso Salet?

– Non.

– C'est un français?

– Un français.

– Vivant?

– C'est un français.

Meurant 1987.

– Titof?

– Ah ben Fernandel, Fernandel.

– Fernandel, non.

– Non.

– André Roussin?

– André Roussin.

Bonne réponse de Gérard Gignot.

– Il était marseillais, Roussin.

– Ousseigne.

– Une citation,

tiens, qui va faire plaisir

à Gérard, justement

pour Nicolas Haudag,

et qui habite Bruxelles,

qui a dit,

« Une troupe de Scout

consiste en 12 gamins habillés

en Crétin,

qui suivent un grand Crétin

habillé en gamins.

– C'est barbarin.

– Ah oui!

– Oh non!

– Qu'est proche?

– J'ai entendu hier,

à la télévision,

puis je t'ai invité

là sur BFM TV,

aujourd'hui,

« Monsieur Monseigneur Barbarin

fait son méa culpable.

»

Heureusement que son méa

coule pas,

parce que,

si son méa coule...

– C'est Baden-Powell?

– Non.

– Mais c'est un...

– Des proches?

– Il a été Scout?

– Jean-Yann?

– Je sais pas s'il a été Scout,

mais on l'a souvent vu

en Scout, je dois dire.

– Ha?

– Ha?

– Ha?

– Ha?

– Ha?

– En Scout?

– On l'a vu en Scout.

– Ah oui, on l'a vu

en Scout, toi.

– Dans un film?

– Dans un film, non.

– Sim!

– Sim!

– Vous avez souvent vu

Sim en Scout, vous?

– Toi, t'as su c'est Sim?

– Ha?

– C'est une alliterration.

– Non, mais comment s'appelle

ce film,

où il est en Scout,

il fait de la bicyclette,

le tricycle?

– Ah, c'est Dari Kohl.

– Ah bon, pardon.

– Ha?

– Tréporteur.

– C'est vrai, c'est Dari Kohl.

– Roger Pierre Jean-Martibaud.

– Mais c'est pas en Scout, hein,

Riel, la radio.

– Riel, la radio.

– Riel, la radio.

– Non.

– Ah ben, c'est bouffant,

en haut, c'est bouffé.

– Riel, c'est...

– Non, mais...

– Riel, elle a tout de mes dents

au désordre, hein.

– Oui.

Non, mais là, c'est vrai

que j'ai confondu

pardon, Sim et Dari Kohl.

– C'est un Français mort, Laurent.

– C'est pas un Français.

– Bon.

– Donc c'était un acteur?

– Un acteur, pas Français.

– Ah...

– Bob-Op.

– Bob-Op, non.

– Tristrock.

– Pas Américain.

– Anglais.

– Anglais.

– Il était en Scout.

– Souvent, déguisé en Scout.

– Oui.

– Ah, le gros Benille.

– Benille, Benille.

– Benille, évidemment.

Benille, Benille.

– Benille.

– Ça, c'est peut-être...

– Et comment s'appelle

son petit copain chauve,

tellement drôle,

à qui il tape son copain?

– À l'injupé.

– Vous savez que c'est un des événements

les plus médiatisés et télévisés au monde,

des millions de téléspectateurs

regardent le Super Bowl.

Bon, pas chez nous en France,

on n'a pas vraiment l'habitude

de se relever la nuit

pour regarder ça.

– Non.

– Alors attention,

la question va être toute simple,

toute bête, parce que vous savez

qu'au Super Bowl,

un peu d'ailleurs comme de nombreux stades

aux États-Unis et aussi parfois chez nous,

il y a ce qu'on appelle des pomme-pomme girls,

des cheerleaders, on appelle ça,

là-bas aux États-Unis.

Évidemment, elles sont importantes,

vous imaginez, au Super Bowl,

au Stade, immense stade,

comment on appelle ça

ce qu'elles ont dans les mains

et qu'elles agitent, là ?

– Des cheveux de Valérie Mérisse.

– Vous avez été pomme-pomme girls, Valérie ?

– Non, mais j'aurais pu.

– Si vous regardez le Super Bowl,

donc dimanche prochain,

qu'il y a lieu à Atlanta...

– Super Bowl.

– Eh bien,

j'imagine vous verrez quelque chose

de différent par rapport d'habitude

en regardant de près

les pomme-pomme girls,

ou les cheerleaders,

comme on les appelle.

– Il y aura un pomme.

– Il y aura un pomme.

– Ils ont une culotte.

– Il y aura un pomme-pomme boy

avec des Super Bowl, il paraît.

– Eh bien, écoutez,

pas un, deux Philippe Geluc.

Il y aura pour la première fois

à Atlanta des pomme-pomme boys.

Bonne réponse de Philippe Geluc.

– Jean-Pierre, tu t'entraînes un peu comment tu es ?

– Oui, mais je fais ça, je m'entends.

Je fais, nous sommes autaises, nous sommes autaises,

O-T-S.

– Ils seront en fame ou en homme ?

– Ah non, ils seront en homme.

J'ai même leur nom, si vous voulez.

Clinton, Pérone et Napoléon de Ginis.

Mais quoi c'est-ce qu'il y a ?

– C'est des noix.

– Quand tes parents ont fait le Napoléon de Ginis,

tu peux pas devenir autre chose que pomme-pomme boy.

J'en suis quand ils t'appellent José Kine, c'est un garçon.

– Non mais ce qui est génial,

c'est quand même les parents qui disent

qu'ils donnent à leur enfant un prénom.

Super prestigieux, Napoléon, tu vois.

On a un fils, on va l'appeler Napoléon,

parce qu'il leur a une belle carrière.

Et là, il leur annonce, quand il a 18 ans,

je vais faire pomme-pomme boy.

– En même temps, Napoléon aux États-Unis,

ça rende pas compte.

– C'est sûr.

C'est sûr.

Alors pourquoi elle a appellé un C ?

En tout cas, les deux copains de lycée

ont été sélectionnés parmi 76 candidats,

il y a quel ?

– 76 candidats.

– 76 candidats.

– Ils sont guénons.

– Et pour ça, j'en sais rien, écoutez.

– Ils sont joyeux.

– Pour la première fois,

il y aura des pomme-pomme boys

au sein des pomme-pommes garons.

– Eh ben tu vois, ça ouvre la voix,

c'est bien, c'est des nouveaux métiers qui naissent.

Et c'est bien, moi, je vais...

– Ah, ça va bien ouvrir la voix.

– T'es la photo d'ailleurs,

d'un des pomme-pomme boys, si vous voulez.

– Ah oui, je veux bien voir moi.

– C'est très sérieux, c'est dans le journal

et l'équipe, que j'ai trouvé ça aujourd'hui,

parce que l'équipe, c'est normal,

parle du Super Bowl, qui aura lieu dimanche, vous voyez.

– Ah oui, très viril.

– Ça prouve que les esprits s'ouvrent

et les mentalités...

– Tu vois, tu devrais lire l'équipe.

– Il est mignon, Génis Napoléon.

– Et ça aura évolué quand tu auras des gonzesses

dans le Super Bowl.

– Qu'est-ce que vous voulez dire par là ?

– Bah, dans un sens, on donne des trucs

qui étaient... des rôles,

qui étaient pour les filles,

on les donne même...

– Il va faire une manif pour les pomme-pomme girls.

– Écoutez, écoutez.

– Est-ce qu'on donne aux femmes

la possibilité d'être dans le Super Bowl ?

Est-ce qu'il y a un Super Bowl féminin ?

– Ah, la question.

– Ahah !

– Qu'est-ce qu'on cache ?

– Il doit mettre en temps

que tu dois partir à la roche, elle, non ?

– Sors de ce corps, Simon de Beauvoir.

– Une question pour Joanna Gruit,

qui habite le fringue-couque.

On connaissait ça.

– Le fringue-couque.

– Ah, le fringue-couque.

– Oui, pas le fringue-couque.

– Le fringue-couque, c'est où ça, le fringue-couque ?

– C'est dans le nord.

– C'est dans le nord.

– Le fringue-couque.

– Le fringue-couque, c'est pas en province.

– Oh, tu entends les cigales à le fringue-couque.

– Eh ben, vous allez ranger votre fringue-couque

pour trouver la réponse à cette question

qui concerne céleste albarée.

Je ne vous ferai pas l'injure

de vous demander qui était céleste albarée,

Monsieur Gelluc.

– Ah ben non, vous avez intérêt.

Allez, posez la question.

– Ah, ce soir...

– Ah, si ça y est, je me rappelle.

– Ouais !

– C'était le séproust ?

– Bien sûr.

– Bien sûr.

– C'était ça, la gouvernante.

– Elle s'occupe de lui, enfin.

– La gouvernante.

– La gouvernante.

– La gouvernante de Marcel Proust.

– Quelle culture, le Fabian.

– Ah oui.

– Quelle culture.

– Ce soir...

– Elle habitait place de la Madeleine.

– Ce soir sur France 5.

Ce soir sur France 5,

il y a un documentaire qui lui est consacré

à cette madame céleste albarée.

Parce qu'elle est morte assez âgée.

Il n'y a pas si longtemps.

Il n'y a pas si longtemps tout est relatif.

Mais par rapport à Proust,

qui est décédé en 1922,

elle est morte dans les années 1980.

Elle avait 92 ans.

– Oui, oui.

– Pour quelqu'un qui est malbarée, c'est quand même...

– C'est l'est albarée par malbarée.

En tout cas, elle est même albarée.

Elle est morte, effectivement,

à Montfort-la-Maurie en 1984.

Elle a eu le temps de se confier un journaliste

de raconter ses souvenirs.

Elle était très jeune

quand elle était au service de Proust.

Elle a eu 72 ans pour le faire.

Quand vous direz, elle a eu le temps de se confier

entre 1922 et son truc.

Mais elle parlait très lentement.

– Oui, c'est un problème.

– Mais vous ne croyez pas si bien dire

avec son mari, qui était chauffeur,

qui s'appelait Odilon, lui.

– Odilon.

– Chauffeur de taxi.

– C'est pas français ça.

– Pardon ?

– Il faut que j'en parle à Zemmour, c'est pas français ça.

– Il était chauffeur de taxi en tout cas, Odilon.

– Oui.

– Et...

– Hubert, son prénom, c'était Hubert.

– Non, puisque c'est Odilon.

– Odilon, vous aimez le prénom.

– Odilon, albaré et céleste.

On m'aime tenu à un hôtel,

rue des Canettes,

dans le 6e arrondissement de Paris.

Ça s'est après, évidemment, que Proust soit mort.

Et ensuite, la pauvre céleste,

elle a toujours finalement servi les grands hommes,

puisque elle a été la gardienne

du bel Védère,

une maison à Montfort, la Maurice.

Mais la maison de qui, à Montf...

– Maurice Ravel.

– Ravel.

– Maurice Ravel.

– Excellent, très beau.

Comme vous nous faites le beau héros, monsieur...

– Avec plaisir.

– Grande taille, alors, hein.

– XXL.

– C'est le bel héros de Vérol.

– Ah, c'est dégueulasse.

Et je tombe dans le pied.

– Le beau héros de Vérol.

Non, mais c'est quand même bien de voir un documentaire

sur cette dame albarée,

qui a servi Proust,

puis ensuite,

qui a été la concierge de...

– De Ravel.

– De Ravel.

Ça fait du monde, vous voyez.

C'est ce soir, sur France 5,

ce magnifique documentaire

où on va entendre sa voix

à céleste albarée,

parce que, je vous dis,

elle s'est confiée, elle attendra 1973

pour, à l'âge de 82 ans,

raconter la relation unique

qu'elle entretenait avec l'auteur

de La Recherche du Temps Perdue.

C'est un témoignage incroyable

que vous entendrez ce soir.

C'est marrant d'avoir la voix de cette dame.

– Oui, relation très chaste.

– Ah, mais bien sûr.

– Ah, elle pensait pas qu'il était homosexuel.

– Ah bon ?

– Elle s'en était pas rendu compte.

– C'est ben lui, non plus.

– Oh, tu vois quelle relation intime.

Mais c'était pas...

Je vois non plus qu'elle lui suçait les doigts du pied.

– Oui, il paraît qu'elle lui suçait les doigts du pied,

mais surtout celui situé entre les deux gros orteils.

– Elle était naïve, hein.

Elle disait, c'est bizarre, plus je suisse, plus ça s'allonge.

– Non, mais elle était extraordinaire,

parce que lui, il dormait pas la nuit.

Donc elle le réveillait en pleine nuit, parce que...

– Elle la réveillait en pleine nuit ?

– Oui.

– Pour écrire, parce qu'en fait,

il avait des problèmes pour écrire.

À la fin, il était malade.

C'est lui qui écrivait, c'est elle qui écrivait,

il lui dictait.

– Oui, c'est elle qui a eu l'idée de ces fameux...

Comment on appelait ça, d'ailleurs ?

– Bah, des post-its, c'était la...

Elle a inventé des post-its avant, là.

– C'est elle qui a eu l'idée de la recherche,

il t'a perdu, c'est ça, hein ?

– Non, mais...

– Mais elle mettait où les post-its ?

– Pas de frigo à l'époque.

– Ça, c'est les mani...

Tu comprends avec les maniettes.

– Oh, tu contes ça sur ton frigo.

– Mais si ça vous intéresse,

vous pouvez toujours voir

la chambre de Marcel Proust à Cabourg.

– À Cabourg ?

– On rentre au tels,

on peut même dormir dans cette chambre,

et il y a beaucoup de...

– Moi, je suis à la Saint-Anne,

voir la chambre de...

La chambre de Marcel à proutes.

– Ça veut dire quoi, proutes ?

– Marcel Proust, pas rien.

– Ça veut dire proutes.

– À proutes.

– Expliquez-lui ce que ça veut dire.

– Qu'est-ce que ça veut dire proutes ?

– Qu'est-ce que ça veut dire proutes ?

– Je le fais en sonore,

je le fais en sonore,

tu parles.

– Oui.

– Un proutes, c'est un rond

qui a mal tourné.

– Proust, on s'est manqué des luches,

c'est Marcel Proust, c'est ça ?

– Peut-être.

– Oui, oui, oui.

– Troublant.

– À l'école, il y a eu de ronde,

c'est Marcel Proust.

– Franchement, vous manquez,

vous manquez de respect.

– À la recherche du vent perdu.

– Il est en front total de cacabours.

– Je serais quand même curieux de savoir

qui a lu à la recherche du tempére.

– À moi, moi, moi, excuse-moi,

moi j'ai léli quand j'avais 20 ans, tu vois.

– Bah tu devrais le relier.

– Je l'ai relier aussi.

– Moi aussi.

– Du côté de chez Swan,

il a tout piqué à Dev.

– Et d'ailleurs, la chair,

d'ailleurs, la servante de Dev

n'a jamais su elle non plus.

– Qu'est-ce qui peut avoir une tige

allant jusqu'à 2 mètres

– Ah ça, je sais.

– Et dont on peut manger le capitule.

– Le capitule.

– Un végétal.

– Oui, une plante.

– La rhubarbe.

– La rhubarbe, non.

– La canne à sucre ?

– La canne à sucre, non,

c'est de la famille des astéracés.

– Ah bah non !

– Du lourd !

– C'est cultivé en France.

– Ah, c'est cultivé en France.

– Le maïs ?

– Le maïs, non.

– Le riz.

– Qu'est-ce qui peut avoir une tige allant jusqu'à 2 mètres

et dont on bouffe le capitule ?

– Tourne-sol.

– Le tourne-sol.

Non, vous bouffez le capitule du tourne-sol, vous ?

– Non.

– Du professeur, éventuellement.

– Arrêtez-je.

– C'est sa plante préférée,

parce qu'elle se retourne souvent.

– C'est une céréale ?

– Non, c'est pas une céréale.

– C'est un fruit ?

– Ah, c'est pas un fruit,

mais tu fais une vraie plante de la famille des astéracés.

– Et on en fait quoi de cette plante ?

– On en bouffe le capitule.

– Le capitule, ça rentre dans quelques compositions.

Par exemple, dans la moutarde, il y en a un ?

– Ah, dans la moutarde,

peut-être que dans certaines moutardes très élaborées,

on peut mettre un peu de capitule.

– Le houblon ?

– De capitule, de la...

– De la vende.

– De la vende, non.

– C'est l'origine asiatique.

– Alors c'est...

Écoutez, on en trouve un peu partout en France,

mais plus partout...

– En Allemagne beaucoup.

– On en trouve en Turquie.

– En Allemagne.

– Le bambou, le bambou.

– On en trouve dans une certaine région française

que je ne vous dirais pas,

parce que ce serait trop facile.

– Le son ?

– Non.

– La dernière fois que vous en avez mangé, c'était quand ?

– Je n'aime pas ça du tout.

– Le quinoa ?

– Non.

– Le bamboule ?

– Non, comment ça s'appelle ?

– Le cornichon ?

– Le bamboule, il adore, il vend vacances.

– Le cornichon ?

– Oui, oui.

– Non.

– Des coco ?

– Ah, des coco, non, non.

– Vous trouvez ça amer, Laurent ?

– J'aime pas ça.

J'ai jamais aimé ça.

– Mais qu'est-ce que vous reprochez ?

– Ça m'emmerde.

– C'est vert.

– Les artichauts ?

– Les artichauts, bonne réponse !

– C'est bon, les artichauts ?

– Je n'ai jamais aimé les artichauts.

– Quoi, Pierre et Nichoux ?

– J'adore les artichauts.

– Les coeurs d'artichaut, c'est magnifique.

– J'adore les artichauts.

– Ben oui, mais moi, je n'aime pas ça.

Je ne vais pas manger si je n'aime pas.

– C'est vrai que c'est chiant.

– Vous avez mangé les feuilles.

Il faut gratter.

– Laurent, avec les pognons que vous gagnez,

il ne mangeait que le cœur.

– Moi, j'aime bien manger un truc qui se mange directement.

Vous voyez ce que je veux dire ?

– Le cœur, le cœur d'artichaut.

– Mais pourquoi on dit un cœur d'artichaut ?

Pour un cœur, je veux dire.

– C'est une fois que tu as enlevé toutes les feuilles,

tu tombes là-dessus.

C'est le cœur.

– Quand tu as un fidèle.

– Non, quand tu tombes facilement amoureux.

– Mais pourquoi je demande ?

Parce que, comme dans un artichaut,

on donne aux uns et aux autres un peu de son cœur.

– Je ne sais pas que ça grimpait à deux mètres.

– C'est hyper erotique, les mangés, artichaut.

– Pourquoi c'est hyper erotique ?

– Parce que vous prenez comme ça,

vous les mordiez un peu,

c'est hyper erotique.

– C'est comme toi et les hommes,

tu les mordies et tu les gestes.

– C'est comme les harons, ça donne des gaz.

– C'est ça, ça fait pétérone.

– Mais non, il y a des matures distinguées

qui ne pèdent jamais.

Il y a des gens qui disent,

« Tu bois du périlet, tu pèdes ».

Non, je ne pède pas.

– Je ne pète pas, je n'ai pas été élevé comme ça.

– Vous pétez comme tout le monde, M. Benichoux.

– Je pète de peur quand tu t'es l'air.

– Il en voit beaucoup pété, par contre.

– Ne faites pas malheur, qu'est-ce qu'il rentre ?

– Il faut bien que le corps exulte.

– Je veux bien avouer d'autres péchés,

celui-là, je ne l'ai pas.

– Pierre, on pète en moyenne une quinzaine de fois par jour

et on rejette dans l'atmosphère 1 m3 de CO2.

– C'est intéressant, mais c'est dans néon.

– C'est peut-être simplement que vous êtes sourds, Pierre.

– Je pète, d'ailleurs, mais pas comme vous.

– Ah oui ? – Ah oui ?

– Non, je pète sans odeur, moi.

– Ah oui ?

– Voyez, on progresse déjà.

– Faut que ça boit. – Je pète musical.

– Ah oui ?

– C'est la trompette. – La trompette.

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du samedi 7 octobre 2023.











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