Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Le Best of du samedi 30 septembre 2023

RTL RTL 9/30/23 - Episode Page - 1h 37m - PDF Transcript

— Bernard, il m'a ainsi fort, fort, fort. — Ouais, je t'avais beaucoup mérité.

— Mais c'est quoi ? C'est le sport ? C'est la chimie ou c'est quoi ?

— Non, j'étais faire... J'étais faire dans la balle Néo, alors voilà.

— Non, oui, j'étais... — Attend, la phrase, j'étais faire dans la balle Néo.

— Non, pas faire. — J'espère pas faire dans la balle Néo.

— J'espère qu'il y a quelqu'un qui a passé à part.

— Il a dit « de » pas « dans ». Il a dit « j'étais faire dans la balle Néo ».

Mais là, il n'arrive pas à se retenir.

— Non, non, non, non, non. — Il avait géré les gens qui viennent faire un soir.

— Ça fait... — Deux dans la balle Néo.

— T'as l'impression d'être en un jeu à Cousine, et ça fait un ban de brouh.

— Non, non, non. — Mais c'est fou, parce qu'on les confond de plus en plus avec Caroline.

En arrivant, j'ai cru que c'était...

J'ai vu Caroline, j'ai cru que c'était Bernard avec une perruque.

— T'as bouché, t'as bouché, t'as parlé. T'as vu le tour de Tine Cutoff ?

— Je serais de vous, monsieur Cutoff. — C'est vrai que...

— Je n'irais pas sur ce terrain, c'est vrai qu'il n'y a pas de maigri. — Vous avez voulu enlever votre pilon vert devant tout le public.

Il y a le bead qui est ressorti il y a les trois premiers ans.

— Mais parce que je ne les ai pas le très large, ça te tire sur le t-shirt.

— Ce qui est sûr, en tout cas, c'est que notre mergouillette, comme l'appelle Olivier de Caerceson,

est d'une beauté exceptionnelle aujourd'hui. — Ah oui, on dirait que notre PDG.

— Non mais ce décolleté, elle a quand même un décolleté jusqu'au nombril, c'est impressionnant.

— Mais tu sais où elle nombrit des femmes, toi ?

— C'est à peu près au même endroit que le nombril des hommes, à priori.

— Bah oui, mais alors là, en l'occurrence, c'est pas entre mes 200.

J'ai les sacs qui tombent d'accord, mais pas jusqu'au nombril, quand même !

— C'est ouvert jusqu'à la moitié, mais c'est très, très ouvert quand même.

— C'est très ouvert, le premier rang est ravie d'ailleurs à messieurs, regardez.

— Et en plus, elle s'est coiffée. — Ah bon ? — Ah oui, parce que...

— J'ai une première citation, parce que le physique...

Le physique d'Isabelle Mergo, c'est bien, mais enfin, pas nous faire deux heures trente, ce n'ont plus.

La première citation, c'est pour Mathieu Forre, qui habite sous-bise,

qui a dit que le verre soit à moitié plein ou à moitié vide, on s'en fiche.

Ce qu'on veut savoir, c'est dans lequel des deux, il y a le plus à voir.

— Blondins ! — Blondins !

— Blondins ! — Non, francistes-blanches !

— Non plus. — Des proches, non.

— Alors, est-ce que c'est bon, ça ? — Il y a un alcoolo, un alcoolo.

— C'est pas tout à fait français.

— Gueluc, Philippe Gueluc. — Philippe Gueluc, bonne réponse !

Le Jérémy Ferrari, c'est Philippe Gueluc.

Une citation pour Mathieu Forre, qui habite sous-bise.

— Toujours ? — Oh, c'est...

— C'est la région ? — Non, non, mais c'est...

— Ça peut être à vous ? — Non, c'est parce que j'ai inversé de nom, et...

— Sinon, il n'y a plus qu'un village qui nous écoute en France, quoi.

— Bah, merci, monsieur Forre, l'auditeur d'RTL.

— Non, pardon, pardon, c'est Jean-Paul Louvier, monsieur Louvier habite...

Ouzoué, le vulgi.

Ouzoué, le vulgi, hein, monsieur.

— Il faut ouzoué, le vulgi. — Il faut ouzoué, le vulgi.

— Qui a dit, généralement, les gens demandent des conseils, et puis après, ils ne les suivent pas.

— Sacha Guitry ! — Sacha Guitry, bah, la réponse !

— Isabelle, merci beaucoup. — C'est pas une citation, c'est une phrase.

— Il y avait un piège, quand même.

— J'en ai une autre, et celle-ci, ce sera pour monsieur Bernard Maby.

— Ah... — Oui, c'est un vieux chansonnier.

— Ah, c'est pas que c'était le nom de l'auditeur !

— Non !

— J'en suis pas encore là ! — J'en suis dit, putain, il est sur tous les tableaux !

— Non ! — Le maire qui rentre chez lui, il est écrit au gros stade.

— Non, galère de thune ! — Non, non, non.

— C'est pour Bernard Maby, ce son. — C'est pour Mathieu Fort, qui habite sous bise,

en Charente Fabétique.

— Ça me rappelle un film. — Un, deux, un, deux.

— J'ai fait exprès, cette fois, et je suis malin.

— Il est drôle, hein. — Je suis d'accord.

— Il est fort, hein, pour sa première année de radio, quand même, il a tué.

— Pour Kloch Nader, qui habite étrée en Charente Maritime,

qui a dit « Une encyclopédie permet d'accumuler la poussière par ordre alphabetique ».

— Oh ! C'est un vieux chanson, vous dis, Alain ?

— Un vieux chanson. — Robert Roca.

— Robert Roca, bah, la réponse !

Parce qu'il dit toujours « Robert Roca », Bernard Maby, je sais pas qui sert,

mais je répète. — J'oublie toujours.

— Robert Roca. — Mais vous faites très bien, M. Beaugrand.

— En fait, émission, c'est pas seulement de la culture,

c'est aussi de la mémoire, de la propos, de l'esprit,

et vous êtes tout ça, tout à l'heure.

— Mais qu'est-ce qui vous arrive, Laurent ? Il se passe quelque chose.

— Il se trouve que tu vieillis bien, il vous prêtez.

— Il m'a dit, j'étais... Ah bah oui, il a...

— Mais qu'est-ce qui se passe, Laurent ? — Non, mais surtout qu'en plus,

je vieillis vraiment, Laurent, je viens d'apprendre que j'étais presse-beat.

— C'est pas vrai. — C'est pas vrai.

— On n'a pas le droit d'employer ce mot.

— Heureusement, je suis bien, alors. — Ça y est, j'ai des lunettes.

— Elles sont où ? — Bah là, juste pour lire, là.

— Vous allez me plaire encore plus, parce que j'adore les gens qui ont des lunettes.

— Ah bah je les ai pas comme hommes.

— J'en ai, Laurent, j'en ai.

— Oui, mais il y a des limites.

— Oui, mais là, pour le coup... Là, pour le coup, c'est les lunettes qu'ont pas eu de bol.

— Il s'est assis dessus. — Je suis assis dessus.

— Je vous les mettrais de la prochaine fois qu'on se verra.

— Les lunettes ? — Les lunettes ?

— Pour Valérie Ludien, qui a mis de crépis en valois,

qui a dit, à propos de son sexe,

« Si tu l'avais dans la bouche, tu pourrais pas dire Strasbourg ».

— Pierre Vélichoux. — Pierre Vélichoux.

— Pas la réponse.

— La finesse, c'est l'écran.

— Il avait dit aussi, si tu l'avais dans la bouche,

tu pourrais pas chanter la Marseillaise.

— Ah non, mais j'ai quelques phrases de Pierre Vélichoux,

qui nous font vraiment rire.

J'ai connu un mec qui était tellement avare

qu'il baisait sa femme.

— C'est drôle, ça.

— Ah oui, une fois dans l'émission, il a dit,

« Ceux qui sont pas contents, je leur pisse à l'arrêt,

à 15 mètres, en zigzag, sans toucher les bords ».

Il avait quand même le sens de l'expression.

Un jour, il a même dit à Christine Bravo,

« Elle est tellement con, elle mériterait d'être belle ».

Une question pour Aurélie Illéré,

qui habite Les Herbiers, en Vendée, en 1984.

Qu'est-ce qui dura 5 mois et dû être recommencé en 1985 ?

— La restauration d'une oeuvre d'art. — Du tout.

— Un vaccin ? — Un vaccin, non plus.

Un vaccin qui durerait 5 mois.

— Bah oui, parce qu'il serait gouré de vaccin,

donc après, on en aurait fait un autre.

— Ce que j'apprécie, c'est de vous essayer, vous voyez.

— Un événement sportif. — Un événement sportif,

on peut considérer que ce soit un événement sportif.

— C'est du bateau. — Du bateau, non.

— Est-ce qu'il s'agit du premier tour du monde,

dans le sens contraire des vents ?

— Les aiguilles d'un monde. — Qu'est-ce qu'elle raconte ?

— Non, c'est pas ce qu'elle a dégazé.

— Elle va vite tourner, c'est une poupille.

— Je vous confirme parce que moi, je suis pas dans le sens contraire.

— C'est une randonnée. — Une randonnée, non.

Qu'est-ce qui dure à 5 mois en 1984 et dû être recommencé en 1985 ?

— J'ai une question qui va nous faire avancer.

Est-ce que ça a repris en 1985 parce que 5 mois,

c'était pas suffisant en 1984 ?

— Ça a repris en 1985 parce qu'il faut le dire,

on avait peur pour les participants.

— Le pari d'accord ? — Ah, c'est pas le...

— Le pari d'accord ? — Le pari d'accord, non.

— La sans-sons-de-les-vrestes ?

— Pour préserver la santé des participants,

on a dû recommencer en 1985.

— L'escalade de régine par la face, non ?

— Non. — C'est des problèmes de température

ou de sécurité ?

— Du tout, ni l'un ni l'autre. — C'est un rapport avec les astronautes.

— De géopolitique, ah, il y a peut-être un peu de géopolitique.

— Il traversait des pays dangereux. — Non.

— Est-ce qu'il s'agit d'une sorte de course ?

— Pas du tout. — C'est pas à cause de l'URSS ?

— Oui. — Ah, le mur de fer peut-être, non ?

— Non. — C'est les géos ?

— Non. — Est-ce que c'est un seul homme

qui a fait quelque chose où c'est une série d'hommes ?

— Deux hommes. — Ah, ils étaient pas beaucoup.

— Ok, est-ce qu'ils n'ont pas traversé... — Est-ce qu'ils étaient ensemble ?

— ...avec des... le... le... le... — Le Pôle Nord ?

— ...avec traîné par des chiens dans un chien de traîneau.

— Euh, dans un... — Pfff !

— Elle n'a pas tous les mots dans l'ordre, hein.

— C'est les premiers à avoir atteint le Pôle Nord, non ?

— Quand j'écoute Caroline, j'ai l'impression d'entendre

les débuts de Stevie.

— Non, est-ce que c'est une... — J'ai régressé, à ce point.

— Est-ce que c'est une compétition... est-ce que c'est une compétition d'échec ?

— Oui. — À Karpov-Kasparov.

— C'est le match Karpov-Kasparov.

Bonne réponse de Florian Gazan.

— Eh oui ! — Je n'étais pas loin.

— Après cinq mois et 48 parties,

aucun des deux joueurs ne parvenait à obtenir les six victoires nécessaires.

C'était un match interminable,

cinq mois de partie d'échecs,

finalement interrompu par la Fédération Internationale des Échecs,

pour préserver la santé des joueurs,

et celle de Kasparov, et celle d'Anatoli Karpov,

et en 85, ils ont recommencé une nouvelle partie avec des nouvelles règles,

et c'est là, effectivement, que Kasparov est devenu champion du monde.

— C'est fascinant le cerveau des joueurs d'échecs, je trouve.

— Ah oui ? — Ouais, c'est une discipline qui m'a... qui m'a...

— Qui m'a... qui m'a... — Qui m'a... qui m'a intrigue.

Non, non, j'ai beaucoup d'admiration pour les joueurs d'échecs.

— C'est vrai ? — Parce que ça tend, ça tend...

— Non, parce que ce sont souvent... — J'en ai dit des banins, des banins, des banins, l'idée !

— Jamais, tu finis tes, tu finis tes... — Si !

— Connard, regarde, tu vois, là, je l'ai finie.

— Karine, tu sais quel est la seule pièce du jeu d'échec alcoolique ?

— Non. — C'est le cavalier, parce qu'il avance d'abord tout droit et après en biais.

— Vous jouez aux échecs, Jean-Pierre ? — Non, pas du tout. Je joue aux dames.

— Ah oui ? — Je vous demande pas ce que vous faites la nuit.

— C'est rendez-vous en terrain connu ? — Mais je peux... Qui joue aux échecs, ici ?

— Karoline ? — Non, sans rire.

— Bien sûr, mais vous savez bien que je fais semblant d'être con, quand même.

— Ça, alors... — Je vous m'allais jamais gagner une partie, là.

— Merci, même si... — Elle va éliminer une émission bientôt.

À la télévision, ça s'appellera Le Gros Échiquier.

— Et vous, Stevie, vous jouez ? — Moi, je vous assise.

— Ah, j'étais sûr, vous voyez ? Oui, c'était ce privilif brillant.

— Mais t'arrives à toucher. — Je ne me provoque pas une ernie mentale non plus

quand je joue aux échecs, hein. Tu vois, c'est d'une bouffe mon pion.

Je n'ai pas trouvé la technique pour aller trebaisser un pion.

Et t'aimes bien quand te bouffe ton pion ?

— Mais t'arrives à toucher la dame ou cette dégoutte, là ?

— Je savais pas que vous jouiez aux échecs, Stevie. — Ah, si, j'aime bien, moi, les échecs.

— Ah ouais ? — Ah ouais, franchement, c'est vrai.

— On vous rendait compte, quand même. On a une tête, là.

— Ben, c'est pas parce que tu sais jouer aux échecs que tu t'es forcément intelligent, je pense pas.

— Non mais, avant plus... — Je te joue avec un ou deux dés.

Auteur de plusieurs attentats, il fut guillotiné en 1892.

Et on l'avait surnommé le Christ de l'anarchie. De qui s'agit-il ?

— Euh, pas le... — Lucere ?

— Je peux même vous dire son vrai nom, hein.

Son vrai nom, c'était François Claudius Connigstein.

Mais on lui avait donné un surnom, le rock-en-bol de l'anarchisme.

On l'appelait du nom, en fait, de... — Bonneau ! Bonneau !

— Bonneau, non. Le nom de John Fitt, sa mère.

— François Claudius Rolingstein. — Connigstein.

— Lassner. — Lassner, c'est ça.

— Lassner. — Lassner. — Lucere, non.

— Connigstein. — Connigstein.

— Euh, oui, est-ce que... Alors, est-ce que c'était...

Oui, c'était en France, puisqu'il était guillotiné.

— Ah oui, bien sûr, c'était en France. — Il était guillotiné.

— Et il avait un nom à consonants sales-assiennes ?

— Son père était, évidemment, d'origine... — Allemande ?

— Non, pas Allemande, mais Hollandaise des Pays-Bas.

On l'appelait l'Allemand chez nous, en France.

— D'accord. — Mais il avait épousé une Française.

Et c'est leur fils, dont on parle, leur fils,

qui portait, qui a pris le nom de sa mère comme surnom,

alors que toute la France le recherchait,

jusqu'à, évidemment, ce qu'il se fasse attraper.

Et donc, guillotiné...

— Il était connu, donc, sous un seul nom. — Ah oui, un seul nom.

— On l'appelait, genre, le machin. — Non, même pas le...

— C'était un garçon qui avait 21 ans, 22 ans.

— Ah, il est mort, guillotiné, à 32 ans, voyez-vous ?

— Ah oui, c'est pas vieux quand même. — Ah ouais.

Mais il y a eu des films sur ce monsieur ?

— Ah, on le connaît, Parker, voyez-je ?

— Il est très connu, j'en fends la tulipe, ou j'en sais rien.

— Ah, c'est pas fanfan la tulipe, mais on connaît son nom.

Vous avez tous entendu parler de...

— C'est un cartouche. — Al-Battor.

— Mais non, pas Al-Battor.

— Est-ce qu'on a fait un film ou un livre à partir de ce...

— Alors, je suis pas sûr, voyez-vous, qu'il y ait eu un film ou un livre ?

— Je crois pas, même. — Est-ce qu'il y a une expression ?

On dirait, allez, tu fais ton, je sais pas quoi.

T'as perdu la tête comme...

— Non, en revanche, il y a eu un verbe.

Oui, on a créé un verbe qui voulait dire tuer, voyez-vous.

— Oxyr. — Oxyr.

— Non, on l'utilise toujours, ce verbe. — Non, pas du tout.

— Ah, bon, d'accord. — On ne ça nous fiert pas du tout.

— Le personnage est plus connu que le verbe. — Ah, oui, d'accord.

— Le Christ de l'anarchie, voyez-vous.

Un Christ violent, évidemment.

Il a adhère publié ses mémoires qu'il a dicté en prison,

avant d'être guillotiné le 11 juillet 1892,

à Mont-Brison.

Il a quand même fait des attentats contre des magistrats.

— Il a donné son nom à quelque chose. — On est dans les années 1880-1890.

— Ouais, bah je maîtrisse pas bien.

— Il y a eu un attentat boulevard Saint-Germain aussi.

— C'est Vido... — Le premier...

— C'est Vidox qui l'a arrêté ? — Non.

— Ah non, Vidox. — C'est un nom à un consonance féminine ?

— Non. — Puisque c'était sa mère non.

— C'est un nom de famille. — Oui.

— C'est un nom de famille de consonance française.

— L'arrestation a eu lieu en 1892.

Il allait au restaurant Véri à l'armée,

par les propos tenus quelques jours plus tôt,

et reconnaissant en lui l'auteur des attentats décrits par la presse.

On alerte la police, il est interpellé avec difficulté

par le commissaire Dresch.

— Vous pouvez pas nous faire un rébut, plutôt, non ?

— Un rébut, non. — Est-ce qu'on peut avoir le nombre de syllabes,

s'il vous plaît, patron ? — Oui, bien sûr, trois syllabes.

— Voilà, je t'ai dit, c'est le regret.

On fait des traits maintenant.

— Et ça commence par un quel de lettre ?

— Il avait 32 ans, quand il a été guillotiné.

— Ça commence par un C ? — Non.

— Par un B ? — Non.

— Par un Q ? — Non.

— Par un P ? — Non.

— Ça commence par un L ? — Écoutez, on n'est pas...

Écoutez, c'est pas pyramide, ici, hein.

— Il est devenu... Il est devenu comme un ressort d'héros

pour des mauvais garçons ou tout.

— Il a été condamné à mort et il a crié,

au moment du verdict, « Vive l'anarchie ».

— Est-ce qu'il est assez amusant ?

Enfin, amusant, je ne sais pas si c'est le mot,

mais au moment où il a été guillotiné,

il a crié...

— Oui, amusant au moment où il a été guillotiné.

— C'est assez rigolo, oui.

— Sans deux phrases qui ne vont pas bien, non ?

— Il y avait une bonne ambiance, ce jour-là.

— Non, mais il a crié « Vive la ré »,

et paf, le couper est tombé.

— Oui, c'est amusant, effectivement.

— Et tout le monde a dit qu'il a voulu crier « Vive la République »,

alors qu'évidemment, il a voulu crier « Vive la Révolution »,

ça va de soi, oui.

— Peut-être « Vive la Ré »,

c'était un ami de l'encrier, ça, nous.

— Mais c'est vrai qu'on l'a coupé,

on l'a interrompu comme ça,

pas un plein de phrases.

— C'est pas très poli, il n'y avait plus de réseau.

— Il n'y a pas d'éducation.

— Il y a sa tête qui a dit,

« J'en ai marre qu'on me coupe la parole, hein ! »

— Aucune éducation.

Cuisette, cuisette.

— On va quand même pas donner...

Qu'est-ce que vous dites, nous ?

— Cuisette.

— Comment ça, Suzanne ?

— J'ai perdu la tête depuis que j'ai vu Cuisette.

Je perds la raison chaque fois que je vois Susan.

— Non, mais par exemple,

au moment de l'abolition de la peine de mort en 1981,

M. Badinter, le Garde des Sceaux,

a déclaré regretter la condamnation à mort

de, justement, estimant qu'une peine de prison

lui aurait été plus appropriée

pour expliquer que la peine de mort

n'était pas toujours utile.

— Est-ce qu'on se parle en S ?

— Ah ouais, non, mais c'est...

— S, non.

— Oh là là !

— C'est sûr que quand je vais vous donner son nom, madame...

— Si, si, si, si, si, si.

Ça commence par T.

— Pas du tout même.

— Vachelot.

— Ça commence par un V.

— Clos de gueux ?

— Oh, la voyant qu'on voit.

— Clos de gueux ?

— Non, non.

— Par quelle lettre ça commence ?

— Ça commence par un R.

— Un R.

— Ravaillac.

— Non, Ravaillac.

— Rocambol.

— Rocambol.

— Rocambol, non.

— Rattentat.

— Ravachol.

— Ravachol.

— Ravachol.

Mais c'est trop tard.

C'était bien Ravachol.

Bravo quand même à Marcela Yacoude.

Pour Yoann Potoxny, dis-moi plutôt,

il habite à Belleville en Beaujolais,

dans le Rhône,

le nom de ce célèbre suédois

qui a été le premier à mesurer

l'intensité des étoiles.

— Chris Prolls.

— Angstrum.

— Non.

— Comment vous avez dit vous ?

— Chris Prolls.

— Est-ce que c'est le nom ?

— Anders Celsus.

— Anders Celsus.

Bonne réponse.

Ah bah si elle tue ça.

— Ah oui.

— Ne pas l'alcarate.

Bah oui, c'est le nom suédois le plus connu au monde.

— Oui, c'est si.

— Ah, il y a Fahrenheit, évidemment,

vous me direz, aux États-Unis.

Mais en tout cas, en Europe,

les degrés Celsius, ça vient bien,

ça vient bien de ce suédois

Anders Celsus,

qui était astronome,

qui a voyagé à travers toute l'Europe.

— C'était un astronome en culotte courte.

— Ah bah écoutez, en tout cas,

il a observé les orores boréales,

et il en a écrit, évidemment,

des catalogues et des catalogues,

jusqu'à, évidemment,

aussi faire un thermomètre.

Ça, c'est formidable.

— Oui, excellent.

— Ah bah oui, ça vous intéresse tout de suite.

— Thermomètre, oui.

— On est encore en degrés Celsius, alors.

— Oui, oui, oui, Ariel.

— Dans l'avion, dans les deux,

on dit bienvenue à Paris,

il fait 21 degrés Celsius,

et puis après on dit en Fahrenheit.

— Et pour Fahrenheit,

il faut multiplier par 3 et diviser par 2.

— Oui, et remitiplier par 12.

— Je crois que c'est divisé par fond de...

— Parlons de Jodie Foster, si vous voulez bien.

— Ah oui.

— Pour Christine Carle,

ah oui, il y a des questions vraiment variées

dans cette question.

— Ah oui, raison, j'adore Jodie Foster.

— C'est pour faire plaisir à tout le monde.

Vous aimez beaucoup de Jodie Foster.

— Ah oui.

— Eh ben vous voyez, il y a un documentaire

dimanche prochain sur Arte à 22h45.

Hollywood dans la peau,

c'est le titre de ce documentaire,

signé Camille Jusa et Al Sadat.

55 minutes consacrée à Jodie Foster,

et ma question est toute bête.

Quel célèbre animateur de RTL a eu la chance

de tourner, certes, une scène assez courte,

mais tout de même,

de tourner avec Jodie Foster ?

— Bruno Guillaume.

— Bruno Guillaume.

— Philippe Labron ?

— Est-ce qu'il est toujours RTL, ce monsieur ?

— Ah non, il n'est plus RTL.

— C'est un vieux monsieur.

— Bah euh...

— Il est plus là, il est mort.

— Il est mort.

— Ah oui, c'est une bonne raison.

— Et Max Ménier ?

— Pardon ?

— Max Ménier ?

— Max Ménier, bonne réponse !

— Bonne réponse de Jean-Phi, Jean-Seth.

— Vous savez comment j'ai trouvé ?

— Jodie Foster, Jodie Foster, lesbienne,

lesbienne, masseur, masseur,

masseur, routine, routine Max Ménier.

— C'est la petite fille au bout du chemin ?

— Non, c'est moi Fleur Bleu,

un film que Jodie Foster a tourné chez nous en France

aux côtés de Jean-Yann et Bernard Giraudot

dans les années 70, en 1977,

même précisément,

et dans ce film, effectivement, oui,

l'année d'après Taxidriver,

dans ce film, outre Jean-Yann et Bernard Giraudot,

et Eau d'Eclore aussi, d'ailleurs,

bien, il y a Max Ménier qui joue son propre rôle,

il joue le rôle de l'animateur des routiers...

— Les routiers sont sympas.

— Des routiers sont sympas,

et effectivement votre sœur a sûrement écouté

pendant longtemps.

— Oui, moi je connais Max Ménier,

grâce à ma sœur,

on écoutait à la maison,

et à la maison...

— Elles ont la même moustache !

— À l'époque, il n'y avait pas de porte,

ma sœur, elle n'avait pas encore son camion,

qu'elle était adolescente,

elle avait une cibi dans sa chambre,

elle parlait avec la cibi,

elle parlait avec tous les routiers,

et moi aussi, je leur parlais,

sur quelle heure vous êtes,

je peux dire, vous dépanez ?

Mais il disait, avec leur langage,

« attention, beau taimage,

attention, papa 22, au carrefour... »

— Mais vous écoutiez,

vous aviez la même chambre

avec votre sœur, alors ?

— La chambre attenante,

on avait une chambre communicante.

— Chambre attenante !

— Oui, oui, une communicante.

Mon père, il avait amenagé les combes

dans le grenier,

on avait les chambres en infilade.

— Ah, il fallait passer

par la chambre de ta sœur

pour aller dans la tienne ?

— Oui, oui.

— Ah, voilà.

— Ah ben oui, c'était comme ça,

il faisait videur au même temps, hein.

Une question, maintenant,

pour M. Éloing-Toyer,

qui habite Nantes,

en 1868,

dans quel cas,

un A, a-t-il remplacé un Q ?

— Dans un acronyme...

— Ah, pour les ordinateurs,

sur Querti, Hazerti,

l'anfamètre...

— En 1868 !

— Bonne réponse !

— La chambre de la machine à essais !

— La machine à essais !

— La machine à essais !

— Oui ?

— Eh oui, c'est aussi vieux que ça.

— Au début, c'était Querti,

les premiers essais de clavier

réalisés sur des secrétaires

ont été réalisés en 1865,

et la disposition des touches

qui commençaient par un Q,

Querti a été breveté,

sa fenêtre des États-Unis,

en 1868,

étudiée pour éviter à l'époque,

évidemment,

les blocages des premières machines

à écrire mécaniques,

c'était pour éviter, évidemment,

que les bars qu'on utilisait

les plus fréquemment les lettres,

les plus utilisés,

se mélangent avec les autres lettres.

Voilà comment on a calculé

la première barre, évidemment,

et c'était Querti-Sauf,

qu'évidemment,

on n'utilisait pas les mêmes lettres

aussi fréquemment aux États-Unis

que chez nous, en France,

ou en Europe...

— C'est vrai qu'en France,

— Et non, justement, on utilise...

— On préfère le A, oui.

— On préfère le A,

on utilise plus le A que le Q.

— On est azerty, nous.

— Eh oui, et nous, on est azerty,

et non pas Querti,

dès 1800.

— Et le Z.

— Et oui.

— Et le Z aussi, effectivement,

— Et à la place du W.

— Du W.

— On utilise plus le Z

que le W chez nous.

— Eh oui.

— On a plein de mots en Z.

— Une secrétaire azerty,

en beau-deux.

— Tant discrète.

— Bravo, bravo, bravo.

— Bravo, bravo.

— Sauf qu'aujourd'hui,

tout ça ne sert plus à rien, au fond.

— Si, sur les claviers des ordinateurs,

parce qu'il tape très, très vite,

puisque j'étais secrétaire,

il y a une logique dans l'azertie.

— Ça devait être génial,

quand vous étiez secrétaire.

Alors, par exemple,

j'étais directeur, là.

— Ça n'est...

— Alors, je...

— Mais vous l'avez dit pas, ça, je...

— Je ne fais plus le sein, genre.

— Très bien.

J'ai arrêté.

— J'arrive, j'arrive.

— Voilà.

— Mane-moi Zabel.

Mane-moi Zabel.

J'ai une lettre à vous dicter.

— Hum, hum, hum.

— Moi, là, si j'étais secrétaire...

— Si j'étais en plusieurs exemples,

il y avait du carbone, hein.

— Ah oui, oui.

— Il y avait la feuille rose

pour la comptabilité,

la feuille 99.

Enfin, c'était un truc de fou.

— Ah, je savais pas

que vous aviez fait ça.

— Ça devait être sympa

quand tu répondais au téléphone.

— Ah oui.

— Bah oui, parce que la secrétaire

répond pour son...

Elle filtre les appels.

— Elle était couchée

avec les patrons aussi.

— Ah ben, c'est vrai qu'une bonne secrétaire.

— Ah, oui.

— Ah, non, non.

— C'est la norme.

— C'est terrible.

Je changeais de patron

tous les deux jours.

— Ouh !

— T'as baisi beaucoup

à l'époque, hein.

— Tu t'endris.

— Autre chose à faire.

Ah ben, tu étais en train

de faire un remplacement

de trois jours.

Je partais ailleurs.

— À faisir des missions,

en fait.

— Ouais.

— Ah, c'est chouette.

Ça, j'ai fait ça, moi.

Si j'ai bice,

le travail corporel.

— J'avais été secrétaire.

— Non, pas secrétaire.

— Un télémère.

— Non, moi, j'étais pointeau,

vous savez.

— Ça veut dire quoi ?

— En pointeau, c'était…

— Ah ouais, c'est…

— Il y avait une…

— C'est capot, en fait.

— Il y avait une pointeuse

et j'étais devant la machine

à pointer et je devais

relever les fiches

des gens qui pointaient

après l'heure.

— Oh là là.

— Oh là là.

— Oh là là.

C'est pas bien.

— Vous deviez revoir plein

de cadeaux, non ?

— Et d'ailleurs, je le suis

toujours.

— Oh là là.

— Oh là là.

— Il n'y a pas d'hitoff.

— Non, mais je vous jure

qu'au début…

— Ça existait comme boulot, ça.

— Ah ben oui, moi,

j'étais pointo

et je dois dire que c'était assez

terrible, parce que

au début, vous avez envie

d'être gentil, vous dîtes

« Ah, je vais pas relever

sa fiche pour une minute

ou deux minutes, trois minutes

que le type a pointé

derrière ».

On va dire 7h37,

à 7h37 à peu près.

C'était 7h37,

il fallait que la personne

ait pointé.

37, je sais pas pourquoi 37.

7h38, hop, normalement,

c'était un quart d'heure,

comme on disait,

un quart d'heure en bas.

Vous voyez, un quart d'heure

en bas, ça veut dire

un quart d'heure de salaire

en moins.

Au début,

vous êtes gentil,

pour une minute,

deux minutes, trois minutes.

Pour une minute,

on enlève un quart d'heure.

Sauf que vous apercevez

tous les jours que c'est

toujours les mêmes

qui arrivent à mes deux

ou trois minutes.

Les mauvais sujets,

les mauvais faits.

Alors au bout de

deux ou trois jours,

t'as dit pas

que je l'apprenais la fiche,

tiens.

Après, ça t'a plu.

On prend plaisir,

on prend plaisir après.

C'est ça.

Après, je dis bien.

Ça digue,

ça digue.

Mais là, moi,

je l'ai fait des études

de secret terme,

mais vous avez fait

des études de pointo.

Il faut simplement détester

son prochain.

Vous avez une blouse grise

avec 12 ans.

J'avais un brassage

avec une croix gamée.

Une petite guérite.

Cette petite moustache.

Et la petite moustache.

Alors ça marchait à l'allée.

Evidemment, j'étais là

au retour.

Vous étiez des poitaux ?

Ah ben oui.

Vous pochiers,

genre, une heure le matin,

et tu me le demandes.

Bravo.

Entre temps,

je faisais les salaires,

tout de même.

Les salaires devaient être

un quart d'heure en moins.

Il ne devait pas avoir

une énorme différence.

Justement.

Justement.

Plus ton salaire est bas,

et plus le montant

du quart d'heure

est moins important que

plus ça compte.

Mais plus ça compte.

Bien sûr que plus ça compte.

Mais c'est hyper incroyable,

comme tu es insensible

de la souffrance des prolétaires.

Une question

pour matière cerveau

C'est dans les deux sèvres.

Qu'est-ce qu'on ne trouve plus

en Belgique

depuis quelques semaines

car c'est désormais interdit

à la vente.

Les pétins ?

Non.

Les capotes à la fraise ?

Non plus.

C'est un alcool ?

Le ketchup ?

Le ketchup, non.

Ça se mange ?

Ça ne se mange pas.

C'est un objet ?

J'ai entendu dire

et j'ai oublié.

Ça se fume.

D'ailleurs,

quand je dis qu'on ne trouve plus,

c'est pas que ça se vendait,

mais c'est un service

qu'on pouvait...

C'est la prostitution,

la prostitution.

On en trouve encore

en Belgique.

On en a de la pute,

on en a beaucoup.

On en a de la chair,

on en a de la pancheur,

on en a tout.

Il y a des messieurs

vendus de pute sur tout.

Oui,

Josiane vendus de pute,

Ernest vendus de pute.

Comment il s'appelait

d'aider la sommure ?

D'aider la sommure.

C'est un alcool ?

Un alcool ?

Non, c'est pas alimentaire.

Vous vous dites

ça ne se vendait pas ?

Non, ça ne se vendait pas.

C'était un service

qu'on pouvait trouver.

À taxi.

Et qui n'existe plus.

Mais c'est en France ?

Ça existe.

Alors je pense

qu'en France,

on peut utiliser ce service

si il est grosse.

Vous,

ça m'étonnerait.

On l'a interdit,

on en a de la dignité humaine ?

Exactement.

Le lancement ?

Non.

Ça touche à l'esclavagiste ?

Ça touche aux animaux ?

On l'a interdit

parce qu'on a jugé

ça inutile pour la santé

et sans pertinence scientifique.

Oui,

on a tout droit

d'expérimenter les rats,

sur les rats.

Non.

L'homéopathie ?

L'homéopathie, non.

Est-ce que c'est un rapport

avec les animaux ?

C'est le Conseil national

de l'ordre des médecins belges,

le Conseil de l'ordre national

des médecins belges.

Ah, le jeune ?

Médecins belges.

Olivier, le jeune.

On l'a interdit

là-bas depuis très longtemps.

La cuponcture,

l'hypnose ?

Non.

L'ostéopathie ?

Non plus.

Avec les rebouteux ?

Non.

C'est la FEC ?

Non.

La FEC,

n'a rien de médical,

Marfella.

Ah, c'est médical ?

Bah,

oui, un petit peu.

Mais c'est lors des médecins,

je ne suis pas du tout.

Ah, la saignée ?

Oui,

le touche érectale.

Oh,

il consulte régulièrement.

C'est bien qu'on se rapproche tout de même.

Ah.

On se rapproche avec le cul

ou avec le cul ?

Ah,

savoir si on est bien par avec les excréments.

C'est un rapport.

C'est chinois, ça.

Allez-y.

Il y a un grand professeur chinois

qui a ribetté son embonnefanteur

en regardant nos excréments.

Il lit dans la merde, oui.

Il reconnaît les gens.

Parce que dans le besoin,

on reconnaît ces hommes-là.

Voilà.

Ce n'est pas la circoncision.

Pardon.

La circoncision.

La circoncision ?

Oh non,

la circoncision.

Si la circoncision était interdite

en Belgique, quand même,

ça se saurait.

Mais vous voulez l'interdire

en Europe ?

La circoncision,

c'est vrai.

Donc en France, c'est désuit,

mais dans les autres pays européens,

ça se pratique toujours aussi ?

Non, mais écoutez,

je ne sais pas si ça se pratique

encore en France,

mais en tout cas,

en Belgique, c'est...

Ah !

Boire son urine.

Non.

En Belgique,

c'est désormais interdite.

Vous l'avez fait,

vous, Laurent.

Mais non, mais non.

Mettre fin à sa vie ?

Non.

Vous l'avez jamais fait ?

Non,

à la pensionneuse ?

Non.

Oh !

La Belgique a dit,

stop à ça.

Je ne sais pas si en France,

c'est encore autorisé.

Ah !

Vendre le verre solitaire ?

Non.

C'est pas les abortements

dans les bouches ruches et valines ?

Non.

Oh !

Avec quel ordre ?

C'est pas l'effet des coudres,

les femmes,

pour qu'elles soient comme vierges ?

C'est ce que j'ai dit.

Alors, on se rapproche.

La reconstruction de l'hémène ?

Non, tout simplement, donc...

Le point du mari ?

Mais non, mais...

Le point g...

La géogie esthétique d'imagins ?

Mais avant d'en arriver là...

Reconstruction de l'hémène ?

La reconstruction de l'hémène ?

Non,

le...

Remusclé,

le péronné ?

Le péronné ?

Pas pareil.

Là,

tu l'as dans l'os là.

Je suis remusclé

dans les pires élus.

Mais oui !

On met un doigt

et on doit serrer

pour remuscler,

c'est pas ça.

Alors,

c'est la géogie esthétique ?

Non,

mais vous étiez tout près.

La géogie esthétique vaginale ?

Non,

mais vous étiez tout près,

vous brûliez,

si j'ose...

Ah,

oui,

3 fois.

Blanchiment de l'anis ?

Des lèvres,

des lèvres.

Ah oui,

vendre la virginité

de son enfant

sur le net.

Mais non !

Mais il est fort,

elle a fait peur.

Je suis dit,

il a fait peur.

Ben,

il me fout la trouille.

L'avant d'en arriver là,

il y a un truc

qui fait...

Les lèvres,

les lèvres,

les lèvres,

les lèvres,

les lèvres,

les lèvres,

les lèvres,

les lèvres,

les lèvres,

les lèvres,

Vous étiez tout près de la bonne réponse.

On n'a plus le droit de chanter

tout ifrotipe

en un examen.

Vous avez quasiment,

vous n'avez pas disrespect pour la bonne réponse.

On ne peut pas

être bon près de la bonne réponse

que ce que vous avez étés,

de l'acouchement,

Vriginité

får,,,

les,

le test.

C'était classique,

exactement,

même pas que ça existait moi. Je ne savais pas que ça existait, avant.

Vous me parlez de recoudre l'hymène, mais avant de recoudre l'hymène, il faut bien

constater que la femme en question est vierge ou pas, voyez-vous, qu'elle n'en

tout cas, qu'elle n'en est plus dans ce cas-là. Donc il existait encore en Belgique

les tests de virginité que pouvait pratiquer certains médecins, et maintenant l'ordre

des médecins belges a décidé n'est-ce pas le président ?

Non, ça suffit, on va arrêter de mettre des spéculoses n'importe où, en des jeunes

filles qui n'ont rien fait ! Non mais écoutez, la Belgique en tout cas pratiquait

encore les tests de virginité jusqu'au 16 février dernier, chez nous je ne pense pas

que ça existe encore. Non mais c'est-à-dire, je pense qu'ils ont compris que c'était

inutile parce que ça ne prouve rien. Pourquoi pratiquer-t-on ce test ? Pas pour le bien

de la personne, pourquoi pratiquer-t-on ce test ? Pour que les pères ou les parents

puissent marier une jeune fivière. Voilà, donc pour des raisons religieuses et

morales, donc… C'est surtout aux entiers, évidemment, que c'est…

Mais ça veut vraiment dire ça ? Mais non ! En revanche, en France, les tests

d'intelligence sont toujours autorisés. Et ça s'appelle les grosses têtes.

Pendant cette époque de la collaboration, de l'occupation, vous aviez évidemment

Radio Paris ici à Paris et à Londres, Pierre Dac qui animait sur Radio Londres, ici

Londres, les Français parlent aux Français, et les deux hommes qui sont donc opposés

à travers les deux radios sont d'un côté Pierre Dac à Londres, et en France, est-ce

que vous avez le nom… Bien sûr, Jean-Héron le Paquis.

Non, pas Jean-Héron le Paquis. Philippe Henriot.

Philippe Henriot. Mais ça n'était pas la question. La question, pour monsieur le

bras de Plou Arzel, qui lui permettra peut-être d'emporter 300 euros, c'est que justement,

monsieur Henriot, qui était le collaborateur qui travaillait sur Radio Paris, s'intéressait

à quelque chose dont il avait toute une collection qui est toujours exposée actuellement

au musée de Karlsruhe en Allemagne. Une collection de quoi ?

De couteaux ?

De couteaux, non.

De tondeuses ?

De tondeuses, non.

Est-ce que c'était fabriqué en France ?

C'était pas fabriqué.

C'est des oeufs humains.

Des oeufs humains, non.

C'est un squelette.

Ah non, c'est pas un squelette.

Des mommies ?

Des mommies, non.

Des animaux empaillés ?

Des animaux empaillés, on se rapproche.

Des animaux morts, mais pas empaillés.

Des têtes du varot ou des têtes réduites ?

Non, mais c'est pas empaillé.

Le mot n'est pas empaillé.

Empaumé.

Empaumé, non.

Formolé ?

Ça commence par an.

Il avait une collection de...

De fetus, sauf bien formant.

Quel horreur.

Radio BoCal.

Quel horreur.

Une collection de papillons.

Une collection de papillons.

Bonne réponse, dis-je à Valmerdo.

Et oui, ce monsieur Philippe Henriot, qui fut d'ailleurs exécuté par un commando du mouvement de résistance,

était un spécialiste des lépidopters, autrement dit des papillons.

D'ailleurs, il avait publié et travaillé pendant très longtemps dans une revue qui s'appelait l'amateur de papillons.

Sa phrase la plus célèbre, c'est de l'Angleterre comme cartage sera détruit.

Parce qu'il pensait au bombardement de Jean.

L'Angleterre comme cartage sera détruit.

C'est un type sympathique.

Mais moi, je n'aimais pas beaucoup.

Vous connaissez ces dernières phrases avant d'être exécuté ?

Non.

Minutes, papillons.

Vous avez déjà assez collectionné les papillons, Isabelle, puisque c'est vous qui avez trouvé la réponse.

Non, mais je me souviens que dans les années 70, c'était la grande mode chez les gens.

Il y avait tous le jour soit un aquarium, soit des papillons collés, punaisés.

Quand je pense qu'il y a des gens...

Pas chez nous, pas chez nous.

Il y avait une orange, nous, c'est nous.

Je pense qu'on a confondu Jésus avec un papillon.

Et pour garder les couleurs du papillon, on les tuait avec un peu de cianure.

Ah oui ?

Oui, ça gardait les couleurs.

Moi, j'allais aller à la chasse aux papillons quand j'étais en France.

Avec ton défilé ?

Il n'y avait pas un filé, je faisais ça avec...

Avec une pelle, c'est pour ça qu'il n'a jamais pu...

Il n'a jamais pu ramener...

On avait des cartons, on connait les feux...

Oh mon dieu, qu'ils étaient pauvres, regarde, ils étaient pauvres !

Oui, c'est vrai.

Avec son petit chien noir !

Non, il n'y avait pas encore le chien, mais j'avais un champ à côté de chez moi,

et on allait avec des cartons, puis on essayait...

Évidemment, les pauvres étaient assez souvent écrasés par le carton,

mais on arrivait quand même à les attraper.

Exactement, les attraper avec les doigts, ça laissait des couleurs.

Exactement.

Oh, c'est tout le temps l'enfance qui revient !

Fais-moi un café, j'ai rien...

Et la fête, oui !

Ce qui était génial, c'est qu'on leur coupait une aile,

et puis après, ils volaient en rond.

Ok, alors...

Oh la la, espèce de résistant !

J'en suis Jansen, vous connaissez Monsieur Fabrice ?

Bien sûr que moi, je le connais, lui, je ne me connais pas, c'est sûr,

mais moi, je le connais !

Il est trop jeune pour me connaître, il fait semblant, il est gentil, mais bon...

Bah non, non, je l'ai suivi quand j'étais jeune...

Il est pas si jeune que ça...

Dans quoi vous l'avez vu Fabrice ?

Dans plein d'émissions télé.

Ah oui ?

Alors attends, qu'est-ce qu'il y avait comme émission télé ?

Bah tu l'as vu, je me demande !

Allez, cherche !

C'est pas lui qui va vous aider sans s'ouvrir plus d'eau, vous !

C'est absolument différent !

Et tu l'as vu dans la classe, ça a déterminé...

C'est ça, oui !

Bah oui, ça a déterminé ta sexualité, tout le monde s'éclate à la queue de l'eau.

Je vois que Monsieur connaît ses classiques !

Bah oui, la classe, enfin, vous ne souvenez pas de la classe !

Bien sûr que si tout le monde est sorti de la classe, les gens Marie-Bigard,

les Muriel Robins, les Pierre Palma...

Et peut-être que tu vas de là-dessous...

Ouais, il y a toute une génération qui est sorti de la classe, hein !

Ah ouais ?

Ah ouais, tu les virais aussi...

Avec vous, ça fait même plusieurs générations !

Ah ouais, c'est gentil, ouais...

Et vous avez déjà eu Fabrice à bord d'un avion, peut-être ?

Non, je n'ai pas eu cette chance, est-ce que tu prends la vie ?

Je prenais beaucoup, l'avion, c'est fini.

Ah pourquoi ?

Bah 1, j'ai peur, 2, je ne suis pas très bien dedans, je suis un peu claustro, moi, alors je ne suis pas fanat de ça.

Bah qu'est-ce que vous pourriez lui donner comme conseil pour qu'il n'ait plus peur à Fabrice, Jean-François ?

Bah de rester chez moi, franchement !

Bah non, non, de le dire déjà, quand on a peur d'un avion et qu'on rentre, il faut le dire à l'équipage qu'on a peur.

Ah bon ?

Parce que nous, on le prend en compte !

Ah !

Et des fois, on a des calmants légères bases de plantes, mais ça, il y a des gens...

Il n'y a pas qu'on...

Des pétards, quoi !

Moi, quand j'ai envie de baiser, je le dis, ils n'en tiennent pas con.

Ah bah moi, si tu me l'avais déjà n'aurais-tu con ?

Laurent, une question, moi, que le tarot d'assez souvent, qui a réussi à faire l'amour en avion ?

Ah bah, il peut vous répondre, ça, Jean-François.

Coup de jaune.

Moi, j'ai essayé, bah c'est pas comode, hein.

Bah c'était tout seul.

Ah bah non !

En général, je me débrouille pour qu'on soit au moins deux.

On se fière avec quelqu'un.

Mais dans les toilettes ?

Bah c'est pas un tas, t'as vu la taille des toilettes ?

Bah ça se passe, il faut que tu ailles vite, il faut que tu prévois d'aller avec ton partenaire, t'as un partenaire dans les toilettes,

et puis tu peux pas prendre trois heures non plus, hein.

Vraiment, enfin, tout les passagers te regardent, ils voient bien où tu vas.

Et c'est bien plus...

Maintenant, dans tous les avions dans les toilettes, t'as remarqué, il y a des miroirs tout le tour.

T'as l'impression qu'on est plusieurs.

Non mais Fabrice a conseil, quand tu baisses dans les toilettes, ferme la porte.

Mais c'est ça le problème, c'est qu'on n'arrive pas à la fermer, c'est un espèce de truc comme ça.

Mais je peux pas, je fais que l'ostro, si je ferme la porte, j'arrive à rien.

Quand il y en a qui font l'amour, vous leur dites d'arrêter quand même ?

Bien sûr.

Comment vous leur dites de façon diplomatique ?

Bah...

Désarmer votre tobogol ?

Lâche ta lunette, c'est la dame.

Non, non, mais tu leur dis simplement, écoutez, madame, monsieur, je vous prierai pour le savoir-être et le savoir-vivre de cette cabine,

de ne pas vous exposer à des rites sexuelles en plein vol.

Parce que ça excite les autres passagers !

Ah oui !

Si tout l'avion s'y met...

Ça c'est un rayon bécu !

Ça t'est déjà arrivé de dire je prends le gagnant ?

Une première citation pour Thierry Del-Dael, qui habite mouss-cron, qui a dit...

Mous-cron, Duitque, pardonnez-moi de vous reprendre, cher madame.

On prononce pas le S en Belgique.

Oui, on prononce pas le S.

Oui, mais si vous me reprenez, moi je vais pas le faire avec vous.

Une question donc de M. Del-Dael, de Mous-cron, c'est en Belgique, c'est bien central.

Oui, la frontière belge, près de Tourcoing, oui, dans les villes.

Qui a dit, et vous verrez, ça a un lien avec la première conversation de cette émission,

qui a dit, nous allons atterrir à l'aéroport de Dallas,

merci d'attacher vos ceintures, la température au sol est de 12 degrés,

et vous pouvez reculer vos montres de deux siècles.

Vous dis Allen, vous dis Allen, non ?

J.R.

J.R., non.

Un Américain.

Alors un Américain ou quelqu'un des États-Unis ?

Une femme.

Une femme.

Comique.

Comique, drôle en tout cas, oui.

Hélène de Générès.

Hélène de Générès.

Hélène de Générès, bonne réponse !

De Florian Gazan.

Une citation maintenant pour Patricia de Comble,

qui habite Erky dans les côtes d'Armor,

qui a dit si le créateur n'avait pas placé la salle des fêtes

si près des cabinets,

Freud n'aurait jamais fait fortune.

C'est drôle.

Ce n'est pas que l'uche.

Des proches.

Des proches, non.

C'est un français.

C'est un français,

et je pense que vous avez dû le connaître, M.Fabrice.

Vivant.

Vivant, non.

Mémor, il n'y a pas si longtemps.

Il est mort en 2015, à 87 ans.

Galabrué.

Galabru, non.

Humoriste.

Humoriste, non.

Acteur.

Acteur, non.

Écrivain, il a publié de nombreux recueils,

de ses penseurs.

Parfois, c'est vrai qu'il en piquait à droite à gauche.

José Artur.

José Artur, bonne réponse de Laurent Batu.

C'est un français.

Oui.

Pour Claudine Vochel, la question suivante.

Pour quelle raison le cinéma international a retenu le nom

de Tamara de Trou?

C'est une actrice.

Comment vous écrivez de Trou?

C'est une actrice.

Elle a joué dans la guerre des Titans.

Non, elle n'a pas joué de Trou.

Comment vous écrivez de Trou?

Une actrice porno.

Ah non, Tamara de Trou, à la tête.

C'était Tamara de Trou.

Heroine de Western.

Heroine de Western, non.

Ah, c'est l'Indienne qui a refusé l'Oscar...

Un panneau de Bambambo...

Et c'est l'actrice d'aujourd'hui ?

Comment vous écrivez deux trops ?

Alors, il y a deux orthographes possibles...

Qu'est-ce que ça ne va nous donner ?

Il y a combien de lettres ?

Déothère...

Comme dans deux vers, six...

Déothère...

Oh, ça, ça fait cinq, d'ailleurs.

Oh, ça fait...

Il y a un gros problème.

Mais il y a jamais une lettre de trop.

Et Tamara, deux trops, D-E, et plus loin, T-R-E, A-U-X...

Il y a deux orthographes en fonction.

Si on écrit son nom, on va dire à la française ou à l'américaine,

mais c'est une actrice américaine.

Est-ce qu'elle est vivante ?

Elle est actrice d'aujourd'hui ?

Non, elle est morte en 90.

Elle est morte jeune, elle est morte à 31, non.

On la connaît sous un autre nom ?

Non, non, non, elle est autogénérique sous le nom de Tamara de Trop.

Dans un film légendaire, j'imagine.

Pardon ?

Dans un film légendaire.

Dans un film légendaire, oui.

Et vous demandez pourquoi on en parle aujourd'hui, c'est-à-dire ?

Non, j'ai demandé pourquoi elle a laissé son nom dans le cinéma international.

Elle a pas laissé son nom, puisque personne ne le connaît.

Parce qu'elle est morte avant de tourner le film.

Quand je vais vous dire, ce qu'elle a fait,

vous saurez que son nom est dans les archives du cinéma international.

Est-ce qu'elle a tourné genre avec James Dean ?

Non, non.

A mon avis, j'ai une idée de ce qu'elle a fait, c'est-à-dire.

Elle a joué dans Frix, la monstrueuse parade, et c'est la femme à barbes.

Alors non, elle va vous rapprocher.

Mais je ne la rapproche toujours.

Elle est née.

Oui, bah tu ne rapproches pas trop de mots, par contre.

Je vais vous dire, elle ne peut pas avoir tourné dans Frix, parce que c'est un très vieux film.

Oui, c'est 1939.

Et là, elle était née en 1959, et elle est morte, je vous l'ai dit, à l'âge de 31 ans.

Ah non, pas 31 ans, à quel âge elle est morte, attendez.

Oui, c'est ça, 31 ans.

Vous prenez des calculettes quand même.

Décidément, 31, et là, je devrais vous aider.

31 est un nombre qui, manifestement, l'a poursuivi toute sa vie.

Elle était dans la main de King Kong ?

Dans la main de King Kong, non, elle est morte en 1990.

Ah bah elle faisait 31 cm.

Exact.

C'était la plus petite femme du monde.

Alors, c'est pas la, enfin, effectivement.

Ah bah 31 cm, c'est pas la plus grande.

31 cm.

Non, mais c'est pas une...

Ah oui, mais ma vie, elle a du sens, elle en faisait 52.

Alors, c'est pas 1 cm, c'est 31 pouces.

Elle faisait...

Ah oui, alors, elle avait plusieurs mains, alors...

31 pouces ?

Ça fait beaucoup, hein.

31 pouces, ça fait quoi ?

78 cm, elle faisait.

Elle jouait mini ?

Mais non, elle jouait Alice.

C'était la saison qui rentrait dans le costume.

Chérie, j'aurais dû les gosses.

Est-ce qu'on la voyait ?

Où elle était, elle était dans un costume.

Ah non, bravo Michel.

Oui, oui, Yoda.

R2D2.

Elle était Yoda.

Elle jouait dans La Guerre des Étoiles.

Non, dans La Famille Adam, c'est un peu de la chose.

Non plus, un rôle-titre.

Milou, ne faute.

Le Seigneur des Anneaux.

Ah, elle était les Tb.

Comment ça s'appelle, les...

Ah non, non, non.

Les Gremlins.

Les Gremlins.

Non, elle avait le rôle vedette.

Oui, en La planète de Seigneur.

Non.

Des petits singes, la petite planète des petits singes.

Le rôle-titre, c'est pas plusieurs personnages.

Ce titre, il évoque quelque chose de petit.

Hermite, la grenouille.

Non, Alice, au pays des merveilles.

Alice.

Oui, ils ont pris une nette pour la vie, au pays des merveilles.

Est-ce qu'à l'écran, on voyait qu'elle était vraiment petite par rapport aux autres ?

Parce que des fois, regardez Tom Cruise.

On a l'impression qu'il fait 1,95 m, qu'il perd 1,60 m.

Non, non.

Parce que...

Non.

Bah si, c'est vrai.

Ça va, il fait ma taille.

Il est tout petit.

Oui, bah...

Dans Tom Gunn, c'était des avions de manège, alors.

Mais non, tu rigoles, mais tu sais qu'ils ont retravaillé le haut des portes pour qu'il fasse plus grand.

Regardez, là, je l'ai loué sur une plateforme.

Il y a quelques jours, c'est pas mal.

Au début, c'est chiant tous ces avions, et finalement, ça marche.

Enfin, quand il joue sur la plage, c'est ridicule.

Ah oui.

Ouais, mais enfin, c'était beau mec.

Ouais, mais enfin, bon ça...

Ça nous fait passer un bon moment.

Non, moi, j'ai fait pause.

Ah ouais ?

Ah, moi, j'étais content.

C'est quand même pas Lolita.

Pardon ?

Non.

Elle est monstrueuse.

Non, mais on est d'accord que cette tamara, elle était dans un déguisement.

On va encore donner 300 euros.

Est-ce que vous pouvez nous dire si le titre est en un seul mot ?

Oui, et j'ai déjà donné la réponse.

Iti, Iti.

Iti !

Ah ! La réponse, félicité.

Sérieux ?

Vous répondez en bas.

Tamara de Tro, c'est elle qui est dans Iti.

Je vous demandais si elle était dans un déguisement.

Iti, un film de Schpilberg.

Je n'ai jamais vu.

Sorti en 82, et c'est vrai qu'elle était émouvante.

Ah oui, ça oui.

C'est un conseil qu'on savait pas que c'était elle.

Bah oui.

Bah oui.

Ah non, ce qu'elle ne vous a pas dit, c'est qu'elle n'était pas costumée.

Quelle horreur !

On nous a appris, dans la presse,

qu'il y a deux ans, l'exagération était à peu près de 34%.

Puis ça a baissé.

La moyenne d'exagération est passée maintenant à 21%.

Mais de quelle exagération s'agit-il ?

Sur la taille des pénis des hommes.

Oh non, écoute !

C'est pas la première chose qui me met en tête.

Ah bah oui.

Il ne s'agit pas de la taille de votre sexe, Steve.

Une exagération.

Oui, une exagération bien connue

et des calculs ont été faits.

Effectivement, c'est dans le parisien

qu'on nous a appris que jusqu'à l'heure 2013,

l'exagération était de plus de 30%, 34% en moyenne.

Et là, on a refait les calculs l'année dernière.

Ça s'est un peu calmé.

L'exagération est tombée à 21%.

Sur les Marseillais.

C'est-à-dire ?

Bah on dit que les Marseillais,

ils ont tendance à en rajouter.

Quelles rapports vous pouvez calculer ça en pourcentage ?

Je ne sais pas, c'est les gens de là-bas,

du midi libre, je ne sais pas.

Est-ce que ça concerne des humains ?

Comment ça ?

Est-ce que les 34%,

les chiffres qui sont un petit peu exagérés,

concernent des comportements humains ?

Non, comportements humains, non.

Et ce, c'est par rapport à la consommation d'alcool ?

Dut !

C'est pas la taille du Mont-Blanc.

La taille du Mont-Blanc, non, mais on se rapproche.

Le taux d'endormissement de vos vivements dimanches.

Ce n'est pas gentil pour Michel Drutier.

Ça concerne un monument.

Un monument, non.

Le résofement climatique.

Non, on était tout près.

Sur la fonte des neiges.

On se rapproche.

Sur la fonte des glaciers.

Non, mais on se rapproche.

Sur le pôle Nord.

Sur la banquise.

Je sais ce que c'est, je sais ce que c'est.

C'est la longueur des pistes skiables.

Excellente réponse de Pierre Benichou.

Qu'il ment, vous savez qui c'est.

C'est ça marrante.

Oui, c'est marrante.

Quand on se parle d'une station

qui n'a jamais vu, qui est toute petite,

on dit 492 km de piste.

Vous avez raison Pierre Benichou.

L'exagération des directeurs de station de ski

et des offices de tourisme

a été mesurée, calculée et tous exagéré

de 34% jusqu'à il y a deux ans,

comme ils sont un peu faits réprimandés.

Ils exagèrent maintenant une exagération

kilométrique, vous l'aurez compris.

Ils exagèrent de 21% par rapport

aux kilomètres exacts de piste skiable.

Et c'est vrai que ça dépend des stations.

Il y a certaines stations qui sont un peu défendues.

C'était un excellent papier de Florence

de Gwenn, le parisien, qui expliquait que par exemple

en haute savoie, certaines stations

argumentaient sur le nombre de kilomètres

de piste skiable en disant

oui mais nous on ne compte pas en ligne droite,

on compte les virages que font les skis.

Et quand tu te casses la gueule et tu remontes

pour aller chercher ton ski, ça compte aussi.

C'est un bleu de la longueur.

J'habite à 500 mètres de mon café tabache

et moi j'ai beau prendre des virages,

faire des machines.

Je ne peux pas dire que j'habite à 18 km.

C'est quand tu reviens ça.

Mais c'est ce qu'ils font, c'est ce qu'ils font pourtant.

C'est des voleurs.

Et certains justifient aussi le fait

que ce n'est pas tout à fait les pistes skiables,

c'est la glisse possible.

Est-ce que tu prends de l'élance ?

Je t'en foutre ce truc, j'aime la glisse.

T'as eu une bonne glisse.

Vous partez dimanche, vous-même, Karine ?

Et vous skiez bien ?

Je n'ai pas de technique mais je n'ai pas peur, alors je vis tout droit.

Ah ça, c'est pas mal !

C'est vrai, j'ai appris tard mais j'adore aller vite.

Ah oui ?

Mais j'ai pas de style.

Vous avez un moniteur avec vous ?

J'aime bien prendre, temps en temps, un cours

pour me remettre à niveau, mais sinon non, je skie avec mes amis.

Parce que Pierre, franchement,

Pierre n'aime pas la neige mais il peut vous donner des cours.

Oh non, j'étais chez moi d'or à 8 ans.

Ah oui ?

Il planque le bâton comme personne.

Vous avez été chez moi d'or, Pierre ?

Non, c'est vrai.

Chaque mois d'or met le fromage, hein.

C'est marrant dès qu'on dit la vérité, on n'est pas cru.

J'ai été chez moi d'or.

Il va arrêter de m'emmerder que j'ai question, là.

Je dis, j'ai été chez moi d'or.

Vous dites bien que vous avez été animateur de radio.

Bah chacun s'instation.

Une question pour Bertrand Bonne,

qui habite à Nouvelle-sur-Layon, dans le Mène-et-Loire.

Qu'est-ce qui mesure en moyenne 10 cm de long ?

Ah, non, non, non, non, c'est plus.

Et que les hommes ont plus long que les femmes,

en sachant que chaque exemplaire est absolument unique.

Chaque exemplaire ?

Oui.

Il y a des écoffinaires.

Ils empruntent.

Alors justement, c'est comme...

Ils empruntent de 10 cm.

Alors justement, ce dont je vous parle

et que je vous demande de retrouver,

possède une emprunte unique.

Est-ce que c'est la langue ?

La langue.

Bonne, la réponse.

Le Jérémy Ferrari.

La mienne est plus longue.

Quand ça, là, elle vaut très plus l'eau.

Je peux toucher mon nez avec mon nez.

Non, mais c'est que t'as le nez très long.

Montrez, montrez, montrez.

Je peux même fouiller à l'intérieur.

Il y a un homme qui, pour draguer les femmes,

déchait les sourcils en terrasse.

Ah oui, alors là, je ne vais pas jusque là.

C'est le Premier Ministre.

Non, c'est impossible.

C'est ça plaisant ou femme ?

C'est Henry Emanuelli.

Celle qui avait un peu d'imagination, oui.

Ça laisse augurer.

Mais ce qui est important, c'est pas la taille de la langue.

C'est la rapidité.

C'est pas pour entrer.

La rapidité.

Comment ça, la rapidité ?

C'est la façon dont on est femmes.

C'est la rapidité de la langue.

Mais on est pas en sex-toy, bien sûr.

Il n'y a pas que la rapidité.

Il y a quand même avec une longue langue.

Ah ben non !

Vu la taille du clitoris, la partie extérieure du clitoris.

Oui, mais il faut y arriver !

Ah non !

C'est trouvé.

Si vous ne m'achetez pas !

Prendez soin !

Non, mais si t'as une langue qui ressemble à un énorme steak,

ça ne change rien.

C'est ça ?

C'est qu'il faut, c'est être...

Allez glamour, cette émission.

Ça tue l'amour.

Il y a un côté glamour dans cette émission.

Bernard n'aime pas qu'on touche au steak.

Si on parle de bouffe, il va pas être content.

Ah oui, il faut pas de mal.

Je suis désolé, une belle langue.

Oui, mais pour ça, il n'y a pas de femme, non ?

Pour vous peut-être, mais c'est la façon de s'en servir.

C'est comme le sexe, c'est comme tout.

Ah non, parce que pardon, mais une toute petite quiquette,

c'est pas terrible, une toute petite langue non plus.

Non, ça, t'en sais rien.

Mais une petite quiquette, je confirme ça.

Si tu veux, ça n'a pas d'intérêt.

Vous, par exemple, avec votre langue.

Les mecs, ils rigolent.

Quand vous les chattouillez, comment ça se passe ?

Chattouille avec sa langue.

Alors, généralement, ils rigolent pas.

Quand Chambreuse...

Mais arrête-tu, Laurent.

Mais elle a une spécialité.

Elle enroule son poil autour.

Ça le fait rire.

Ça le fait rire.

C'est vrai, c'est rigolo.

Ma petite chattouille, arrête.

Non, c'est vrai que ça va faire bizarre.

Mais vous, par contre, elle est habillée aujourd'hui tellement divinement.

Je suis, je suis.

D'accord, enfin.

Je suis, je suis.

C'est vrai qu'elle est très joliment habillée.

Enfin, elle a porphyne intérieure, vous voyez.

Elle est belle.

Elle est très belle.

C'est la première fois que je te vois pas en survette à l'émission.

Oh, là, ça va.

Vachement.

Mais t'es magnifique.

Oui, mais oui, merci.

On veut que tu sois comme ça tout le temps.

D'accord.

Mesdames et messieurs, ne ferais pas qu'elle est belle.

Voilà.

Voilà.

C'est bon.

J'ai fait ce que j'ai pu.

Je suis désolé.

Quand c'est spontané, comme ça, c'est bon.

Essayez.

On a bien fait de l'ordi 300 euros avant.

Et encore, c'était mou, là.

Mesdames et messieurs, vous trouvez pas qu'elle est belle ?

T'as pas dit le prénom.

Ils ont peut-être confondu.

Isabelle.

Certains ont prétendu.

C'est la question suivante.

Pour Monsieur Duchemin, qui habitait dans le château, dans l'allié.

Certains ont prétendu qu'il y en avait 666.

Et en réalité, c'est faux.

Voilà, encore une théorie du complot qui ne fonctionne pas.

Il y en a 673.

13.

De quoi s'agit-il ?

Est-ce que ce sont les marches d'un escalier ?

Non.

Qui descend vers l'envers de Dieu?

Est-ce que c'est des humains, des personnes, un groupe ?

Non.

Est-ce que c'est un rapport avec le vaccin ?

Mais vous avez raison, Monsieur Moran, d'avoir noté, évidemment, que la théorie du complot tourne autour des chiffres du diable.

Voilà pourquoi certains.

Je dis bien certains.

On dit qu'il y en avait 666.

Heure, on en a bien compté.

En réalité, il y en a 673.

Est-ce que c'est le nombre de cathédrales dans un endroit ?

Non.

Le nombre d'enfants de cœur.

On ne parle pas d'être humains.

Non.

Est-ce que c'est dans les étoiles ?

Non.

Est-ce que c'est un chiffre qui est mouvant ?

Pardon.

Est-ce que c'est un chiffre qui est mouvant ?

Mouvant, non.

Ça ne bouge pas une fois que ça a été fait.

C'est fait depuis...

On a constaté où ?

C'est depuis les années 80.

Est-ce que c'est...

Est-ce que c'est architectural ?

Oui, Monsieur.

Est-ce que c'est lié à la pyramide du Louvre ?

Oui, Monsieur.

Le nombre de...

Le nombre de barrettes.

Le nombre de...

Le nombre de carreaux.

Le nombre de carreaux.

Le nombre de carreaux.

Le nombre de carreaux.

Le nombre de losanges de verre à la pyramide du Louvre.

Bravo !

C'est évidemment Dan Brown.

Oh bah, excusez-moi.

Ah, Dan Brown.

Mais c'est vrai que c'est tendancieux.

C'est Dan Brown dans le Da Vinci Code,

effectivement, qui raconte que la pyramide du Louvre

est composée de 666 losanges de verre.

C'est faux.

Il y en a en fait d'ailleurs,

pour tout vous dire,

et très précis,

il y a 603 losanges et 70 triangles,

ce qui fait au total 673,

mais en tout cas,

jamais 666 comme Dan Brown l'a prétendu,

mais c'était plus drôle.

C'était mieux pour le livre, évidemment.

Il paraît qu'il y a des symboles maçonniques, par contre.

C'est-à-dire ?

Bah, il paraît qu'il y a des triangles.

C'est bourré de symboles maçonniques,

la pyramide du Louvre.

Il y a beaucoup de Portugais qui ont fait le mur.

Moi, je ne sais pas.

Moi, je ne sais pas à quoi ça ressemble.

Mais si, tu vois,

il y a des Portugais,

il y a la Trudelle qui font les murs.

Plantaloche ?

Il n'y a pas beaucoup de maçonne,

donc il y a beaucoup de maçonne.

Et pour une fois qu'il n'y avait pas de Toéennes,

et que nos amis portugais,

qui nous écoutaient...

A moins, tu ne peux pas faire les belles

j'ai les portugais, hein.

Je ne peux pas avoir trop d'ennemis, hein.

Pour une fois que nos auditeurs portugais

étaient tranquilles,

il faut que vous rameniez du Portugal

dans la pyramide du Louvre.

C'est au déjeuner.

Une question pour Marie Nogueuroll,

qui habite Bangkok.

Et la question concerne non pas la Thaïlande,

mais la Hongrie,

puisqu'on parle beaucoup de la Hongrie,

à la une des journaux.

Ces jours-ci, vous l'aurez remarqué,

chère Christine O'Crent,

vous qui lisez la presse.

Je compte sur vous, d'ailleurs,

madame O'Crent,

et sur vous, mademoiselle Dambal,

pour retrouver le nom de ce ongrois célèbre

qui déclara,

pour ma part, durant ma vie entière,

en tout lieu,

en tout temps,

et de toute façon,

je veux servir une seule cause,

celle du bien de la patrie

et de la nation ongroise.

Ah, France.

Quoi ?

France.

Lequel ?

Bah, l'empereur.

La France, pas le mec des chiottes.

J'y ai pas de France dans les chiottes chez moi,

parce que...

L'empereur, France.

Bah oui, le mari de Cici.

Ah, le mari de Cici.

C'est l'Autriche chien.

Autriche chien.

Ah non, mais c'était l'Autriche ongrie.

Bah oui.

Oui, c'était l'Autriche ongrie.

Ah bah...

Non, mais regardez,

le couple O'Crent,

mais c'était l'Empire au Sron.

Qui se tient, les coudes ?

Mais non, mais c'était l'Empire au Sron.

Écoutez, c'est plus récent que ça,

tout de même.

Ah bon, d'accord.

Ah, mais non.

Un écrivain ?

Mais non, c'est quelqu'un

qui, évidemment, est de nationalité ongroise.

Pour ma part,

durant ma vie entière,

en tout lieu,

en tout temps et de toute façon,

je veux servir une seule cause,

celle du bien de la patrie

et de la nation ongroise.

C'est quelqu'un qui était né en Hongrie,

mais qui est mort à New York en 1945.

Je vous aide un peu.

Ah, c'est un écrivain.

Un écrivain, non.

Un acteur ?

Un acteur, non.

Un scientifique ?

Un scientifique, non.

Un politiciens américain ?

Un politiciens, non.

Un sportif ?

Un sportif ongrois.

Vous en connaissez beaucoup.

Un cinéaste ?

Ah non, il était pas...

Un cinéaste, un cinéaste.

Un cinéaste, non.

Un cinéaste, non.

Un cinéaste, il était autrichien.

Un inventeur ?

Un inventeur, non.

Sa façon, à la limite,

mais pas au sens où vous l'employez.

Un industriel, alors ?

Un industriel, non.

Non.

Non, un artiste.

Un ciné...

Un metteur en scène ?

Un metteur en scène, non.

Un peintre, non plus.

Un sculpteur ?

Un sculpteur, non.

Un acteur.

Qui dit mieux ?

Un acteur, non.

C'est l'homme invisible.

Morts en 45.

Un producteur.

Un homme invisible.

On croit qu'on le voit,

et on le voit pas.

Mais on le voit pas.

Un dessinateur ?

Un dessinateur, non.

Vous êtes tout...

Zazagabor.

Zazagabor, non.

Vous êtes tout dit, sauf...

Un musicien.

Un musicien.

Bellabartoc.

Bellabartoc.

Bellabartoc.

Oui.

Bonne réponse de Jean-Jacques Perrony.

Bellabartoc.

Je ne sais même pas qui c'est.

Alors expliquez-lui à Riel,

qui est Bellabartoc.

Et bien,

il y a eu une rupture musicale,

à un moment donné,

avec le groupe des six.

Jermaine Taïfer,

enfin...

Madeleine Susbite.

Oui.

Bon.

Bon.

Non, maintenant,

Riel,

Riel, je te rappelle

que tu parles à Stevie.

Bon, bon.

Alors,

ce n'est pas de la Dodecaphonie,

Bellabartoc,

mais on veut dire

que c'est de la...

de la musique...

C'est le début de la musique sérielle,

voilà.

C'est de la musique sérielle,

c'est quoi ?

Eh ben...

Comme on n'aurait jamais fini.

Voilà aussi,

c'est le dernier dossier.

Mais c'est une musique

qui n'est pas structurée

sur l'harmonie classique.

En tout cas, je note

que Jean-Jacques Perrony

fréquente même le Bartoc.

Bravo !

Bravo !

Une question pour Sophie Bécu,

qui habite dans Lyonne.

Sur TF1 dimanche soir,

vous pourrez revoir

ce qui est arrivé

le 15 janvier 2009.

Mais qu'est-ce qui s'est passé

le 15 janvier 2009 ?

Ah !

Moi, j'ai été au nature alia.

Et je me rappelle,

les choufleurs,

je rappelle que les filles,

ils avaient augmenté.

C'est marrant que vous disiez ça,

parce que c'est vrai que souvent,

quand je vois dans les films,

les interrogatoires,

tu savais de quelqu'un

qui doit trouver absolument un alibi,

qu'est-ce que vous faisiez ?

Telle date ?

Oui.

Je me dis,

mais jamais je saurais répondre.

Ah, ben d'accord.

C'est comme ça qu'ils vous pierrent,

genre vous demandant,

vous faisiez quoi ?

En fait, vous vous trompez,

si c'est vous l'accusé,

vous faites avoir.

Non, mais là,

je vous parle quand même

d'un événement important

le 15 janvier 2009.

La preuve,

vous allez le revoir dimanche soir.

Un événement français ?

Sur TF1.

Français ?

Non.

Américain ?

Américain, oui.

La sortie d'un film ?

Un bo...

Un bo...

Peu...

Peu...

Alors,

pour répondre à votre question,

il y a eu un film

sur ce qui s'est passé le 15 janvier.

Je le sais, c'est celui.

Expliquez.

L'avion.

Ah, c'est l'avion

qui a tiré sur

l'oeuvre.

Excellente réponse

de Christine Bravo.

Et oui.

Et oui,

parce que,

eh ben,

je me souviens

de ce que je faisais

ce jour-là.

Parce que c'est tellement

sidérant

un avion qui se pose

sur l'Utson.

Bonne.

Et oui,

je me souviens de ce que je faisais.

Chez les burnettes

Solenberger,

dit celui Solenberger,

qui effectivement

a été joué

à l'écran,

c'est par qui quand même ?

Tom Hanks.

Tom Hanks.

Il dit bien le rôle

de l'avion ?

Non.

Il fait...

Il fait le rôle

de celui,

le célèbre commandant,

qui prend la...

Qui aura des ennuis.

Ah ben oui.

Oui, ils vont l'embêtir.

C'est tout le sujet du film.

Parce qu'il a picolé un peu,

c'est ça ?

Du film de Clint Eastwood.

C'est ouche, ça.

Diffusé dimanche soir

sur TF1,

on va revoir,

évidemment,

tous les passagers

effrayés

en même temps,

applaudir,

quand même,

ce commandant.

Mais pourquoi ?

Qu'est-ce qui s'est passé ?

Franchement, je sais pas.

Eh ben,

il a réussi à atterrir

l'avion,

à la rivière.

À la rivière,

ou à la fleuve hier,

je sais pas comment vous dites.

Mais en tout cas,

effectivement,

le Sunriver

est un des fleuves

qui traverse New York,

vous voyez.

T'as qui traverse

la côté,

il n'y a pas de fleuve

dans New York.

Vous confondez avec Meudon ?

Oui.

Non mais je vous le dis,

parce que là,

on se poute la gueule des gens.

Et tous les New Yorkers

qui nous écoutent,

dans ce moment,

c'est hallucinant.

Vous avez quand même deux rives.

Oui, mais c'est le côté.

Il y a deux rives,

mais c'est au New York,

qui est au milieu.

Il y a un de haut,

on dit oui monsieur,

et on continue.

Merci Olivier.

C'est Manhattan,

d'un côté.

Et vous avez...

Qu'est-ce qu'il y a ?

Parce qu'il veut,

tout d'un coup,

se mettre

plus belle que la mariée.

On parle de Sully,

on s'en fait...

C'est sympa pour Jean-François Jancen ?

Toujours est-il,

qu'effectivement,

il a réussi

à...

Dites ça comme vous voulez.

D'accord.

À mérir.

C'est miraculeux,

c'est miraculeux.

Pourquoi est-ce qu'on a dit

que c'était pas bien

ce qu'il avait fait ?

Parce qu'il a trouvé

d'autres solutions.

En attendant,

tout le monde était ça

et sauf,

et puis les passagers,

vous avez cette photo

où les gens sont sur les ailes,

et il avait une avarite technique,

et la seule solution

qu'il a trouvé,

c'est d'amérir sur le son,

mais il l'a bien fait.

Mais ça te prend.

Il n'avait plus les tuyaux,

il n'avait plus les tuyaux.

Tout le monde serait mort

s'il n'était pas là-dessus

sur le son.

Il y a huit raisons,

c'est une ancienne hôtesse

qui vous parle.

Ben oui, ben...

Tant.

Quand même,

faut pas déconner,

on lui reproche.

Je pense que

on lui a conseillé

de faire autre chose

que d'essayer

cet amérissage improbable,

et c'est pour ça

qu'il a pu avoir des ennuis après.

Vous savez,

M. Toené,

les conseillers ne sont pas les payeurs.

Et alors,

pas ça,

il est toujours,

il est toujours pilote

ou on lui a retiré sa licence ?

Non,

il est à la retraite.

Ce qui était compliqué.

D'accord, là,

du jour d'aujourd'hui.

Maintenant,

il y a monétorte de planque.

Il y a monétorte de planque

dans d'un clou.

Il a arrêté la bière son,

tout.

Un oiseau,

qui a été rentré

dans les réacteurs.

Oui,

dans les réacteurs.

C'est très dangereux,

les oiseaux pour les réacteurs.

C'est très dangereux,

ils ont des boues

dans le réacteur.

Mais c'est vrai.

Surtout les aéroports,

il y a toujours des voitures

qui sont là

pour chasser les oiseaux.

Avec des cris,

ça fait partie à les oiseaux.

Parce que

un avion

qui rentre dans le réacteur,

ça peut vous bousiller

en obligateur de m'y trouver.

La preuve.

Tu as dit

un avion

qui rentre dans le réacteur.

Un oiseau.

Elle est contelle,

parce que

tout un hôtel,

un oiseau,

tout ce truc-là.

Un oiseau,

si petit soit-il,

il rentre

dans le réacteur,

ça peut vous bousiller

l'avion.

On a l'objet

de faire demi-tour.

Un avion qui rentre

dans un oiseau,

ça fait mal aussi.

Les gens,

ils croient qu'on fait ça

pour les emmerder

quand on fait

demi-tour au parking

parce qu'il y a un oiseau.

Mais non.

Il y en a une fois,

il m'a dit,

oui,

moi,

j'ai un contrat signé,

j'ai perdu des millions

d'euros.

Il m'a dit,

il m'a dit,

j'exige de voir l'oiseau.

Vous lui avez montré

un morceau de poulet.

J'ai ramené un poulet grillé,

voilà.

Mais je comprends pas

pourquoi ils mettent pas

des petites grilles devant.

Pour empêcher les oiseaux.

C'est pas radiateur

qu'on a.

Moi,

j'irais même un chasseur

sur chaque...

s'il y avait un chasseur

sur chaque réacteur.

Un chasseur

avec un fusil.

Il nous faut chier ici

sur Terre.

J'ai pas le temps

parce qu'ils chassent

en forêt

alors qu'on les foutrait.

Un chasseur

par réacteur.

Le problème serait réglé.

Non, franchement,

oui.

Une question

pour Gislène Monier

qui habite Sartreauville

dans les Yvelines

et la question

qui était née à Budapest

en Autriche-Hongry

à l'époque.

Je dis à l'époque

parce que c'était en 1874.

Mais lui, il a toujours menti

sur son lieu naissance

et même sur son âge

puisqu'il prétendait

être né

aux États-Unis

à Appleton

dans le vis-consens.

Je sais pas comment on dit

vis-consens.

Moi, j'aurais pas été

aussi doué que lui

pour mentir, vous voyez.

J'aurais gardé Budapest.

C'est pas Eric Von Strem.

Eric Von Strem, non.

Kafka.

Kafka, non.

S'agit-il d'un acteur?

Un acteur.

Alors, il a commencé comme acteur,

mais il n'était pas tout à fait acteur.

Metteur en scène?

Metteur en scène, non.

Un clown, non.

Un clown, non.

Scénariste.

Scénariste, non.

Dans le milieu du cinéma?

Producteur.

Alors, il a fait un peu de cinéma,

mais on peut pas dire

qu'il était...

Connu pour ça.

Non.

Chanteur.

Chanteur, non.

Milliardaire.

Milliardaire, non.

Artiste.

Artiste.

Il était artiste.

Pintre, non.

Il est pas mort

sur le Titanic.

Allons-y, expliquez pourquoi.

Il était dessus

comme il a coulé

et qu'il avait de l'argent

et que les gens

qui avaient de l'argent

étaient en première classe

et qu'il paraît

que les hommes de première classe

sont morts.

Elle a...

Elle a morphlé

qu'est Twinslet.

Elle aurait pas tenu

sur la planche, là.

Elle aurait coulé avec, hein.

On vient de retrouver

l'agis vert.

On vient de retrouver

l'agis vert.

Attends, t'aurais fait zodiac.

S'il avait été

sur le Titanic,

certainement,

il en serait réchappé.

Il aurait fait partie de ça.

Un nageur?

Vesmilaire.

Vesmilaire.

Vesmilaire.

Non.

Bombard.

Bombard.

Non.

C'est un navigateur?

Un navigateur.

Non.

C'est un nageur.

Un aventurier.

Je suis content de voir

que ça ne vous aide pas,

finalement.

Marchpitz.

Ah bah non,

c'est beaucoup plus simple.

C'est quelqu'un

qui a échappé

à des tragédies, déjà?

Non.

C'est pas la raison

qu'il a échappé.

Un aventurier.

Un aventurier.

Un aventurier.

Un aventurier.

Un aventurier.

Un aventurier.

Un aventurier.

Un aventurier.

Un aventurieren.

Un inaug Nobel!

Un aventurier.

Un aventurier.

entscheiden et entret wodine.

Un aventurier.

Un aventurier.

C'est Neptune Itve blueberries?

Il il n'est pas hôpée.

Il a été échappé déомуha.

Il a été échappé déомуha.

C'est Mario Zierz,

ganst socialargien du

endings.

Mais c'est pas leif,

mais il n'est pas leif.

Il n'est pas

unmashere.

Il n'est pas la layer d'étranger

C'est vrai que lui, il aurait peut-être réussi à sortir d'une cabine pleine d'eau,

puisque c'était évidemment ce qu'il arrivait à faire sur scène.

Et s'il s'appelait Houdini, c'est effectivement un hommage aux prestidigitateurs français.

Robert Houdin, il avait rajouté un i à Houdin pour faire Houdini.

Mais au départ, il était autrichien et il s'appelait Erich Weiss, Harry Houdini.

Il a toujours fait croire qu'il était américain.

Son père était même rabin pour tout vous dire.

Il est mort d'une péritonite.

Comment vous savez ça ?

Parce qu'il a demandé à quelqu'un du public de lui donner un coup de poing dans le ventre.

Exact.

Et ça a déclenché une péritonite, il en est mort.

Et effectivement, parce qu'il demandait souvent aux gens dans le public de lui infliger des

coups de poing dans le ventre pour prouver qu'il était invincible.

Et un jour, il y a un étudiant qui a frappé un peu plus violemment que les autres.

C'est dingue.

Et il en est mort.

Vous allez travailler avec Feshner, Christian Feshner, qui était un réalisateur de cinéma,

qui connaissait tout ça par que grand magie.

Il mettait au point des tours pour...

Et votre fils d'ailleurs.

Il a fait des tours de magie à la maison ?

Plus beaucoup.

C'est lui qui a fait lisse pas à tes cheveux ?

C'est lui qui a mis en scène un spectacle formidable au futuroscope d'ailleurs.

Ah oui, c'est vrai ?

Oui.

Il est assez balèze.

Mais par exemple...

C'est mon fils donc...

Il y a des trucs que vous connaissez, que vous pourriez nous dire par exemple.

Je n'ai pas le droit.

C'est vrai, mais vous les connaissez.

Oui, un petit peu.

Mais la fin de coupée en deux, elle n'est pas vraiment coupée en deux en fait.

Non, c'est Mimi Mathieu, une copine.

C'est souvent très décevant les tours de magie en fait.

Comment ça ?

Mais parce que j'avais fait une émission de télé avec Gérard Majac.

C'est une après-midi.

Il était venu nous expliquer des tours de magie pour voir si vous comprenez ou pas dans

l'émission.

Vous n'avez qu'à l'âge trois, quatre ans, elle n'est pas venue.

Non, non.

Et c'était infligent.

Quand il vous le faisait, c'était waaah, génial.

Et derrière, non, là, j'ai mis un bout de scotch.

Ah merde.

C'est toujours très décevant.

C'est vrai, c'est simple.

Mais il y a un truc qui est assez beau que disait.

Il y avait ce spectacle de divination Myrémiroska au Sous-Denais, peut-être.

Vous êtes avec moi, Myron.

Et le type présentait le truc, disant, si il n'y a pas de truc, c'est fort.

Si il y a un truc, c'est encore plus fort.

Mais la femme coupée en deux, moi, j'ai toujours...

Là, je ne m'en ai plus jamais compris.

C'est des jumelles.

Non, comment on commence ?

Non, c'est des jeux de miroirs, je crois.

Enfin, j'ai des jeux de miroirs quand tu sais par la boîte et que les pieds bougent

d'un côté, là.

Eh ben, c'est une femme bluetooth, ça va ?

Non, moi, ça m'a toujours dit.

C'est les nerfs qui bougent, c'est normal.

C'est des bois de trucs, mais c'est fort.

Ce sont des effets de...

Non, mais pas des bois de trucs.

Et c'est pas vrai, parfois, il tourne les boîtes et on se demande où aller la dame.

Parfois, il passe une lame entre les deux.

C'est pas grave, c'est des miroirs.

Mais oui, mais c'est pas une lame dure, elle, elle se plie.

Et vous, Carini, vous font des tours de magilés agriculteurs, parfois ?

Oui, la baisse est disparaissante.

La question pour Sophie de Bono qui habite porc dans l'un.

Et la question concerne un texte qui est devenu, d'ailleurs, une chanson qui s'appelle

« Le Concert n'a pas été réussi ».

Une chanson que je ne connaissais pas, le Concert...

C'est Chaim, c'est de Chaim quand elle est tombée.

Ah non !

C'est un poème, non ?

Alors, c'est un poème.

C'est une vieille chanson, c'est une chanson...

Oui, oui, oui.

J'aurais dû jouer.

J'aurais dû jouer.

Du machin, c'est une musique qui plaît.

Je laisse...

Je prie deux cigarettes dans le paquet.

Machin, je m'en vais.

C'est un poème de Prévert.

Et c'est de Jacques Prévert.

Bonne réponse de Pierre Benichou.

Si vous voulez avoir la chanson dans son intégralité,

il faut aller au tas du rond-point.

C'est Elan de Moreau qui chante Prévert.

Elle reprend les poèmes et les textes de Prévert.

C'est un poème magnifique.

Jacques Prévert, vous connaissez quand même ?

Les violons, monotones, tout ça, là.

Ah non.

Il est une équipe, pendant ce temps.

Oui, ça va, j'habite loin, en cité.

L'intresse, les cités d'Ortoires.

Ça va, déjà, j'ai eu le bac.

Déjà, je suis venu à vous.

C'est vrai, monsieur Benichou.

Au lieu de l'engueuler...

Vous ne m'encouragez jamais.

Pour ça qu'après, on part en Syrie.

C'est affreux.

Oui, un petit toit.

Oui, monsieur Benichou, c'est à cause de gens comme vous.

Ah oui !

L'absence d'un regard aidant, tu vois.

Il y a une autre chanson qu'elle chantait Elan de Moreau,

qui s'appelle La Grasse matinée.

Ça, c'est assez joli aussi.

C'est au théâtre du rond-point actuellement, ça me permettait.

C'est comment, La Grasse matinée ?

Ah, vous voulez...

C'est la vue de la première phrase.

C'est comment, La Grasse matinée, vous devriez le savoir.

Il est terrible, le petit bruit de l'œuf dur,

cassé sur un comptoir.

Il est terrible, ce petit bruit, quand il remue

dans la mémoire de l'homme qui a faim.

Bravo, quand il fait le texte par coeur.

Café la la la la, café crème arrosé sans.

Ah oui, il manquait.

Non, après, c'est...

Oui, il faut écouter la fin.

C'est la fin.

À la fin, le type devient fou.

Ah ouais ?

Et il prend le scouteau, il tue quelqu'un.

Le scouteau ou le scouteur ?

Parce que là, il y avait deux...

Vous devriez faire de la radio, c'est drôle.

Non, mais c'est vrai qu'à la fin,

un homme très estimé dans son quartier

a été égorgé en plein jour

l'assassin, le vagabond, lui a volé 2 francs,

soit un café arrosé, 0 francs 70,

2 tartines beurrées et 20 centimes

pour le pourboire du garçon.

Voilà le texte exact de Jacques Prévert.

Si je vous donnais le texte de la Grasse matinée,

monsieur Beaugrand, pourriez me faire la Grasse matinée.

Faites passer, Harry.

Oh, avec la voix de Carlin Bruny.

Je n'ai pas l'air, hein.

Non, mais vous n'avez pas l'air.

Vous n'avez rien à voir.

Il est en poème.

Il est en poème.

Juste un poème, mais avec les voix.

Alors avec la voix de Fanny Ardon.

Alors, il est terrible.

Alors, je vais vous chanter.

J'ai vous déclamer la Grasse matinée.

Il est terrible.

Le petit bruit de l'œuf dure cassé

sur un cantoir l'étain.

Il est terrible ce bruit

quand il remue dans la mémoire

de l'homme qui a faim.

Et c'est Jeanne Moreau qui continue.

Elle est terrible.

On signe la teinte de l'homme.

La teinte de l'homme qui a faim

quand il se regarde à 6 heures du matin

dans la glace du grand magasin.

Et c'est Ségolaine qui poursuit.

Ils sont fous de sa tête, l'homme.

Ils n'y pensent pas.

Ils sont.

J'y l'imagine une autre tête.

Une tête nouveau, par exemple.

La tête de François Hollande.

Des pom-pom-pom.

Et Ariel Dombal aussi.

Il est terrible.

Le petit bruit de l'œuf dure

cassé sur un cantoir l'étain.

Il est terrible ce bruit.

Qu'est-ce que vous limitez bien, Christophe ?

Ah, les propres gris.

Une question musicale,

mais pour Monsieur Manœuvre,

peut-être cette fois.

Et pour Mohammed Ligali,

qui habite Bourre-en-Bresse,

c'est dans l'un qui

a réalisé un record

sur la plage de Copacabana

au Brésil en 1994

en réunissant le plus grand nom

de spectateurs,

à savoir entre 3,5

et 4 millions de personnes.

Les Rolling Stones.

Sur la plage.

Jean-Michel Zard.

Est-ce que c'était un Brésilien ?

Les Guns & Roses.

C'est un groupe ou un chanteur ?

Un chanteur tout seul.

Freddie Mercury.

Il avait des musiciens avec lui,

évidemment, mais

il s'agrope pas.

Il était tout seul.

Et c'était un Brésilien.

Ce n'était pas un Brésilien.

Un Américain.

Il est toujours vivant

et on vient de reparler de lui

dans l'actualité ces jours-ci.

Harvey Winston John.

Pardon ?

Harvey Winston.

Elton John ?

Elton John ?

Non.

En anglais alors.

Or Monsieur Manœuvre.

Attendez, attendez.

Est-ce qu'il est américain ?

Américain ?

Non.

J'ai les photos.

En anglais.

Paul McCartney.

Non, regardez.

Regardez la plage de Copacabana.

Regardez les photos.

C'est appareil incroyable.

C'est en 94 ans.

Est-ce qu'il est anglais ?

Le record n'a jamais été battu.

Baye George.

Baye George.

Du Royaume-Uni en tout cas.

Il est George Michael.

George Michael.

Non, il est toujours vivant,

que je vous ai dit.

Rod Stewart.

Rod Stewart.

Bon !

La réponse de Louis Manœuvre.

Vous ne savez pas anglais

parce qu'il a tapé quelqu'un.

Rod Stewart.

On dit qu'il a tapé quelqu'un.

Oui, il faut se le réveiller aussi.

Et qu'il est atollique.

Et alors ?

Expliquez ce qui s'est passé Philippe.

Il a eu une petite altercation

dans un très grand hôtel.

Il était avec son fils.

Et puis il s'en a un peu battu.

Son fils qui a 39 ans.

Oui, c'est comme ça.

Les vieux rockers.

Il y a des enfants.

Il a la réputation de pète comote.

Il paraît qu'il...

Oh non !

Moi, je dîne avec lui

à l'ambassade d'Angleterre.

Il était très aimant.

C'est pas vrai.

Elle voulait dîner avec Rod Stewart.

Moi aussi.

Il y avait Jean-Pierre Jancen que le Stewart.

Il y avait quand même 3,5 millions de personnes.

C'est incroyable.

Pour un concert de Rod Stewart à Copacabana,

je pensais pas qu'il faisait autant de monde.

Mais si.

Do you think I'm sexy ?

Do you think I'm sexy ?

Surtout Maggie Mae.

C'est Maggie Mae,

le grand morceau de Rod Stewart.

C'est quoi ça Maggie Mae ?

Wake up Maggie.

Enfin ça, c'était très connu

dans les années 70.

Mais on peut pas entendre quelque chose

de Rod Stewart.

Bien sûr.

Ah voilà, c'est ça.

Ça c'est bon, ça.

On est presque 3,5 millions.

Il y a Baby Jane aussi, quand même.

Oui.

Ça a pas mal marché sa Baby Jane.

Ah oui.

Ah ouais, ça c'est bien.

Ah, I know.

It's not bad, it's forever.

Ah c'est bien, il y a Celine.

Il y a Celine aussi.

Mais oui, Celine.

Celine bien.

I'm Celine.

I'm Celine.

Je croyais que vous misiez Celine.

Danses-le au lit.

Je m'appelle Celine.

Ah oui, oui, oui.

Chantale de danse.

Ça c'est les briquets, là.

Ouais, ça c'est chouette.

J'ai eu le budget de sortir le briquet.

Ouais, t'as au moins 3 gros tubas.

Et il a un peu sanguin,

Rod Stewart, Monsieur Manon.

Non, mais enfin, c'est un rocker.

Voilà.

Donc si on l'a énervée,

le réveillon, il a dû ouvrir la boîte à gifle.

Enfin non, mais si ils avaient rendez-vous,

en même temps, je comprends,

ça peut l'énerver.

Ah oui, vous feriez ça aussi,

vous frappez.

Ah mais moi, ça m'énerve,

tout à l'heure.

Le gars, elle a entré,

elle voulait pas me laisser rentrer,

parce que mon code, il marchait pas.

Je sais pas, je vois quoi, là.

Il a demandé, mais on a renouvelé

votre contrat, mais c'est vrai.

Ah, je suis arrivé.

Je suis arrivé, je t'ai vénère.

Alors, je suis rassuré,

parce que moi, il n'a pas voulu

me laisser rentrer non plus.

Je pensais que j'étais dans le public,

il m'a dit, c'est une fois,

vous êtes arrivés trop tard.

Je me suis dit, non,

mais je suis une grosse tête, en fait.

Donc, ils ont bien eu les consignes.

Donc, tu m'as tout seul, ça me plaît.

Mais non, mais non, nul, le mec.

C'est pas vrai, Valérie,

qu'ils n'ont pas voulu vous laisser rentrer.

Et non, déjà, à trouver le battre,

j'en fous de mon sac,

j'ai mis du temps devant la porte,

donc je finis par le trouver.

Et puis, je fais comme ça,

sur le truc, ça marche pas.

Bah oui, parce qu'il faut le mettre

dessus, il faut pas le mettre sur le côté.

Oui, enfin, je le fais comme ça.

Et puis, heureusement,

il y a quelqu'un qui sortait,

donc je me suis introduit

dans la porte.

Donc, coincé.

Et non, je n'ai pas été coincée.

Et là, je dis aux gars,

alors je vis sur le gars, je lui dis,

excusez-moi,

mais là, ma carte,

là, ne marche pas.

Alors, je me fais,

votre contrat a été renouvelé.

Et donc, je disais,

puis je fais partie des grosses têtes,

je viens pour l'émission et tout ça.

Mais je fais ce histoire.

Si votre contrat n'a pas été renouvelé,

vous ne pouvez pas rentrer.

Mais monsieur,

enfin, je...

On m'enfonce.

Mais tout le monde me connaît.

Mais tout le monde me connaît.

La force, m'attends.

Mais tout le monde me connaît.

Je comprends pas.

Ces gars-là,

ils se connaissent pas

les stars des années 80.

Monsieur Jérémie Samuel,

va peut-être gagner,

grâce à vous, un chèque de 300 euros.

Si vous ne répondez pas

à cette question,

un restaurant de Londres,

a proposé,

et elle a accepté au mannequin

Kate Moss,

de faire la même chose

que Marie-Antoinette.

Quoi donc ?

Se faire des capitées ?

Oui.

Non.

Se faire des capitées.

Ça veut dire que le rapport anglais

officierait dans ce restaurant.

Avoir une petite ferme,

avoir une ferme.

Comment ça, une ferme ?

Marie-Antoinette,

elle avait sa petite ferme.

Ah oui, Kate Moss,

donc deviendrait fermière.

Je sais pas de certes,

je ne sais pas obligé de trouver,

je cherche.

Bien sûr, Isabelle Machéry.

Alors...

De manger de la brioche.

De manger de la brioche ?

Non.

Ah ah !

C'est un restaurant.

De faire du fromage

avec le...

une forme de son sein.

Alors, vous vous êtes très,

très proche.

C'est un moule de sa poitrine.

Exact.

Dans lequel...

Il va pas y avoir d'eau.

Il va pas y avoir d'eau.

Dans lequel on faisait

du fromage blanc.

Alors, vous avez une partie

seulement de la réponse.

Effectivement,

Kate Moss a accepté,

comme Marie-Antoinette,

en son temps,

qu'on lui prenne la forme

de son sein

pour faire quelque chose

du fromage.

Un gâteau ?

Non.

Du pain.

Ils vont faire des scelladiets

avec les sains de Nabila,

il paraît.

Non, non.

Ils vont faire un double.

Le double.

Laurent.

Un hamburger.

Non.

Des jelis.

Des quoi ?

Des jelis, les jelis,

en anglais.

Ah, jelis.

Ah, jelis.

Ah, jelis.

Ah, vous parlez bien,

anglais.

Ah, jelis.

Et quand je dis jelis,

on comprend.

Et comment tu dis pizza

en italien ?

Coupé de...

Quelques happy feux,

comme on les a fait.

Des soufflets.

Non, ce n'est pas

quelque chose d'alimentaire.

Des abajous.

Ah.

Des abajous.

On se rapproche,

mais ce ne sont pas des abajous.

Des bol à manger.

Pas des bol à manger.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Des acier.

Effectivement,

Quetmos a prêté...

Enfin, prêté,

elle n'a pas donné.

Ah, ne c'est ça.

Mais on a pris,

on a moulé la forme

d'une coupe de champagne

sur un dessin

de Quetmos

pour créer

une nouvelle ligne

de coupe de champagne

qui seront servies

dans ce restaurant.

C'est très joli.

Comme Marie-Antoinette.

C'est plus disomne.

J'ai bu un 2000 autre phase

dans une chope de bière au Coussi-Fredi.

C'était super.

Ah ouais.

T'étais bourré tout de suite.

Alors...

Tu es brouillé.

Tu es brouillé.

Tu es brouillé.

T'étais bourré tout de suite.

Alors...

Il n'a pas pu la terminer.

Il n'a pas pu la terminer.

Comment on va le tenir,

ce truc-là?

C'est une paga, mais c'est une coupe.

Alors, il a des bouts de sainte raie.

Mais non, on n'a rien compris.

Mais non, on n'a rien compris.

Ça tient sur le téton?

J'ai déjà vu un sac en même,

Jean-Vierge.

C'est ça le problème, en fait.

Une question de Monsieur Jean-Paul Joyeux

de Mont-sur-Gaine.

Auguste Rodin

fut le premier sculpteur

à en sculpter.

Quoi donc?

Des hommes nus.

Non.

Des pieds?

Non.

C'est une partie du corps?

Une partie du corps.

Ah, des oreilles.

Des oreilles, non.

C'est que parfois, évidemment,

vous avez uniquement un buste,

c'est-à-dire la tête

de la personne sculptée.

Oui.

Vous pouvez voir la personne...

Les fesses.

La personne en pied.

Mais lui, Rodin,

il a fait tout ça, évidemment,

on le sait.

Le penseur, il est dans son intégralité,

par exemple.

Mais il a aussi été le premier

à sculpter juste une partie

du corps.

Personne ne l'avait fait avant lui.

Ça avait été fait

dans l'intégralité du corps,

mais pas tout seul.

Ah!

Des fesses.

Des fesses, non.

Une oreille.

Le nombril.

Le nombril, non.

Des orteils.

Des orteils.

Les orteils, non plus.

Un pied.

Un pied, non.

Le menton.

Le nez.

Le nez.

Le nez, non.

Et la tête.

Et la tête.

On va tout faire.

Moi, je l'ai dit,

l'oreille, c'est pas l'oreille.

Moi, je suis pas dans haut.

Alors, les oreilles.

Le seins.

Le seins de Quetemosse.

Alors, on y reste?

Non.

Je veux la barbe.

Alors, il y aurait donc comme sculpture

uniquement des cheveux.

Oui.

Une sculpture de cheveux.

Ça n'a pas facile à faire.

Non, c'est la moderne.

C'est un paillasson, quoi.

Mais tu confonds avec Jean-Luc David.

Un sexe d'homme.

Non, Jean-Pierre.

Jean-Pierre, excuse-moi,

mais ça fait quatre ou cinq fois

que je le dis, quand même.

Apparten, excuse-moi.

Non, non, non.

Tu fantasmes.

Il y a un problème, là.

Non, il n'y a pas de problème.

Il y a quelque chose d'évident.

C'est quelque chose d'évident,

mais...

Une main.

Une main.

Bravo.

Chantal.

Je partage avec toi, Chantal.

Merci.

Il parait que vous l'avez dit avant, Chantal.

C'est vrai que j'ai dit avant.

Le public était moins...

Oui, mais il a dit la main droite

et il avait sculpté une main gauche.

Ouh, vous voyez, vous êtes hué.

Ah oui, oui, j'aime ça.

Eh oui, Chantal.

Bravo.

Alors, si vous avez dit la main,

avant Jean-Pierre Corse.

Oui, je sais bien, mais ça fait rien.

Vous savez, je te le laisse, Jean-Pierre.

Non, mais je partage.

Je te donne un moitié.

Je te donne trois doigts.

C'est perdu, en tout cas,

pour Monsieur Jean-Paul.

Joyeux.

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Bon, c'est aussi la rencontre, évidemment,

entre Olivier de Causson et Karine Le Marchand

et Olivier me confiait

avant l'émission

qu'il regardait régulièrement

l'amour et dans le prêt.

C'est vrai, vous aimez bien ça,

l'amour et dans le prêt.

C'est quand même...

Non, je ferai autant.

Je peux faire aucun commentaire.

Pourquoi ?

T'as regardé, vraiment ?

Oui, je...

Il adore.

Je ne loupe jamais une émission.

Pourtant, vous êtes habillés comme eux,

je comprends pas.

Oh là là, oh là là, oh là là.

Attention, attention.

Oh là là, il prépare la mayonnaise

pour la crovette.

Non, mais...

Il a me cuisiné, là.

Vous essayez d'être agriculteur

avant d'être marin.

Je me souviens, j'ai lu votre livre.

Vous êtes porté vers l'agriculture,

monsieur...

Oui, oui, j'adore, oui, j'adore.

Vous voyez ?

C'est un monde que je connais bien,

en plus.

T'as eu des trucs, toi.

Je suis compétent.

J'ai élevé des ports, même.

Ah, voyez ?

Avant de les fréquenter.

Non, je vais...

Non, attention,

j'ai toujours été passionné

par ce monde-là que je connais

très bien, donc ça me faisait

un peu marrer

de voir...

la truc, là.

C'est moins la truc, là.

Arrivée, je suis venu à la campagne

avec chez des mecs,

soit disant seuls.

Ben oui, sans seuls.

Dans le mec, il est tout seul,

il se plaît.

On lui envoie deux bouddles

le même jour.

Ah, non !

Ah, vous n'avez pas gardé.

Donc le mec, pendant 4 jours,

il peut se guinfrer les deux

tranquillement.

Il organise une régâte,

il les emmène tout à l'heure

sur le tracteur,

dans le fond de l'étable

et tout ça.

C'est bourré de petits pièges ruraux,

délicieux,

tout en cas de...

Mais j'ai adoré le truc.

Et elle est là,

tu vois,

sa belle tête d'ange confident,

elle s'en fout.

Elle pense qu'à la monnaie

qu'elle va prendre...

Elle prend un petit air,

un petit air,

qu'on passait...

Alors, vous aimez ces potiers,

on le dit,

bah,

il y a une qui est bonne,

elle doit être bonne aussi,

mais on peut essayer

deux quand même.

C'est horrible.

Il a bien regardé

l'émission.

En plus,

c'est une navrance terrible,

tu vois.

Eh ben moi,

je suis très fière,

parce qu'on en a 75 mariages,

47 enfants.

Combien de divorces ?

Pas de divorces.

Depuis 12 ans,

pas de divorces.

Et franchement,

voilà,

les résultats,

c'est ça,

c'est que les gens trouvent

l'amour,

alors qu'il se ferait solitude,

là.

Hé !

Ils sont fortes,

donc on veste quand même...

Il va mieux se faire coller.

Fin puis quandCONN...

C'est un des enquêtes

très bien que vous trouviez,

justement,

une nouvelle dulcinée

à notre amiral...

Il n'y a pas besoin.

Non, c'est vrai,

remarquer, j'ai vu sa compagnie...

Oui, ça se voit.

Je ne veux pas dévoiler

sa vie privée...

Je me suis parfaitement

entendu avec elle...

Je me demande même

s'elle va pas restée avec moi,

votre fiancée...

Votre femme...

Votre femme car vous êtes mariées.

C'est ma femme.

Ah oui.

Ah, mais si c'est la même, je la connais.

Ah oui ?

Oui, elle est venue voir mon spectacle à Brest.

Non, non, c'est pas la même.

C'est pas la même ? Ah d'accord, bon bah ça va.

Non, c'est celle de Brest, celle-là.

J'ai eu peur.

À toi, tu parles de la Big Wooden.

Non, je parle de la Bretonne, la jolie blonde aux yeux bleus.

Ah, il est gros ça, non, c'est pas celle-là.

Ah, c'est pas celle-là, ça a changé.

Ah bah ça va, je peux te le dire, maintenant j'ai couché avec elle.

Tu veux le tenir ?

Moi aussi.

Une question pour Camille Waller, ce qui habite rongie, c'est en Belgique.

Qui a dit, j'ai demandé à cette jeune femme, est-ce que je suis ton premier homme,

elle m'a répondu peut-être, ton visage me dit quelque chose.

Doris ?

Pierre Doris, non.

Des proches.

Des proches, non.

C'est français.

C'est très français, oui.

Et c'est vivant ?

Ah, et là, c'est quelqu'un qui nous a quittés,

il serait là parmi nous autrement.

Jean-Yann.

Monsieur de Kersosan.

Sim.

Martin.

Jean-Pierre Coffre.

Monsieur de Kersosan, la sous-enféquentée, vous avez dit ?

Sim.

Anne-Yane, bonne réponse de Laurent Duffy.

Une citation maintenant pour Monsieur Alain Groulard,

qui habite Brest, qui a dit « Notre père qui est dossieux reste zy. … »

Jacques Prévert.

Jacques Prévert.

Jacques Prévert.

Jacques Prévert, bonne réponse, Deliss Moom.

Une question pour Isaac Lo Beux, qui habite Bergerac,

s'étende d'ordogne.

Je vais vous donner quelques noms de villes qui apparaissent et de lieux

qui apparaissent sur cette carte de France, un tour de France qui d'ailleurs a été dessiné par Aurélie Boissière.

Je vous donne son nom parce que c'est une carte de France assez rare, et je peux citer sur cette carte les villes de Malsa,

de Coudainou, de Sabaudet, de Grand-Deuilot, de Maglan, Molen aussi, Jarjo, pour quelle raison toutes ces villes ou ces villages

ou ces lieux-dits se retrouvent sur cette carte de France.

C'était lieux-dits où il y a eu des crimes ?

Des crimes, non.

Non, parce que c'est à la montagne.

A la montagne, non, pardonnez-moi, ce sont des vrais noms de villes françaises.

Alors oui, je vous ai dit, il y a des villes, des villages, des lieux-dits, des communes en tout cas.

Ah, c'est des villes qui ont été évacuées ou inondées ?

Non, Maglan, c'est celles qui vont boycotter les Jeux Olympiques.

Non, Maglan, c'est dans la haute salle.

On peut répondre à Julie, pardon, parce que ça me paraît important de savoir que Maglan va boycotter les Jeux.

Non, parce que c'est les villes qui refuse de mettre de grands écrans.

Ce sont des villes qui me laissent.

Oui, c'est vrai que Maglan, ils renoncent à mettre de grands écrans.

Est-ce que ce sont des étapes, pardon, quelque chose ?

Julie, il dit quoi à votre mari le soir quand vous lui sortez des valories pareilles ?

Il me dit, mon amour, on va dormir.

Est-ce que ce sont des étapes, Laurent ?

Des étapes ? Non, non, non, des villes qui me laissent.

Molaine, c'est dans le Finistère, Jarjo, je sais pas si vous connaissez Jarjo,

c'est dans le département du Loiré.

Ce sont des villes sans éoliennes.

Appare avec la route de Compostel.

Non, c'est des villes qui n'ont pas de mer.

Grand-Deuilot, c'est dans la région de Fougerelle, en Haut-de-Saône.

C'est une spécialité cul d'hinaël ?

Oui, monsieur.

La même ?

Non, c'est le tour de France.

Des vins ?

Des liqueurs.

Des baguettes ?

Ça se boit ou ça se mange ?

Ça se mange, madame.

C'est un légume ?

C'est de la charcuterie.

Alors des saucissons ?

Des saucissons.

Le tour de France, des saucisses et saucissons.

Ah, la réponse de Michel Dernier.

Ah, ça, elle a pas trouvé le chemin.

Ah, c'est marrant.

Les saucisses de Molaine, j'aurais pu vous donner l'endouille de vie.

Quelle forme d'un de la saucisson de Magland.

Tu veux pas savoir.

C'est la saucisse de Magland.

Et on dit pas mon gland.

C'est une petite saucisse.

La saucisse de Magland, c'est près de Salange.

Les Maglanchards et les Maglanchards,

qui nous écoutent, connaissent bien leurs saucisses.

Il y a le coup d'un noir de mon cul.

Elle fait leur réputation.

Je suis surpris, dans le tour de France,

des saucisses et saucissons en tout genre.

Il y a le bout d'un blanc à vrai.

Je savais pas que le bout d'un blanc...

Du havre.

Attendez, excusez-moi.

Dans quel moment, dans sa vie,

à quelle étape de vie,

on décide de faire la route du saucisse ?

Parce qu'Aurélie Boissière,

elle a fait la classe de la France incroyable,

vue de différents domaines.

Et pourquoi pas le tour de France de la saucisse.

Ça vous permet de découvrir

l'endouille de Jargeau,

l'endouillette de Trois,

l'endouillette de Cambrai,

le malsain, le boudin galabar,

l'endouillette du Périgor,

vous avez aussi l'endouillette provençale,

le boudin noir marseillais,

le salamu,

ça c'est...

Le salamu, ça vous connaissiez,

le salamu.

C'est encore le salamu.

C'est le samedi soir.

Le cerveau-là, Lyonnais, aussi.

Attendez, excusez-moi.

C'est du saucisse ou c'est d'importe quoi ?

Mais tout ce qui est long est...

Ton cerveau-là, il est pas long.

Ce qui est long est mou.

Non, c'est pas forcément mou,

l'endouillette margignonne.

Mais moi, ça me bien dure.

Le Grand-Deuilodet, le knack,

le knack en Alsace.

Le gendarme est un saucisseur.

Ah oui, beaucoup en Europe de l'Est,

dans les restaurants de l'Europe de l'Est.

Voilà, l'endouillette de Charlieu.

La saucisse de Bantan.

En tout cas, je sais pas la tronche qu'on a quand on revient,

mais ça doit ressembler à quelque chose comme moi.

Il n'y a personne qui fait le tour de France

des saucisses.

Pourquoi elle a fait la carte alors ?

Ah mais les Maglanchards,

les Maglanchards qui nous écoutent sûrement,

doivent être fiers

qu'on parle enfin

de leur saucisse.

C'est une spécialité.

Le saucisson de Maglanchard

a un bout très particulier.

Malheureusement, cette salaison

ne peut se trouver que dans l'air de production

et quasiment nu par ailleurs.

C'est un saucisson qui peut être fumé

ou nature.

Comme on veut.

Mais non, si on veut manger ce saucisson.

Ils n'exportent même pas ailleurs en France.

Non, non, non, non.

Il y a des visites guidées.

Mais c'est des petits producteurs, Laurent.

Ce n'est pas des industriels.

Ah mais à Maglanchard, vous avez de quoi vous amuser ?

Oui, il n'y a pas que le saucisson.

Non, il y a un cinéma.

Je suis en train de voir les associations.

Vous avez la pétanque Maglanchard.

Vous avez le Magland Manbigneton.

La tu jettes des saucissons.

Vous avez le ski club de Maglanchard.

Vous avez le saut de falaise

depuis la vallée de Magland.

Et on embrasse tous les Maglanchards.

Et les Maglanchards qui nous écoutent.

La question la plus difficile

de la journée pour les grosses têtes.

Autant vous le dire.

Madame Latour se frotte déjà les mains au moment.

Elle prend garde.

Je crois que c'est une vanne.

On va sûrement toucher un chèque.

Il y a longtemps, je crois que je n'ai pas posé une question.

C'est une question de Ben Laden ?

Non.

La nique Latour n'a rien à voir

avec monsieur Ben Laden.

Madame Annique Latour.

Elle est bonne.

Elle est quand même bonne.

Elle est très bonne.

Elle a quitté New York pour le monde.

Madame Annique Latour.

Elle espère un chèque RTL.

Et la question écoutez bien

est une question qui porte sur un moyen

mémo technique.

Il y a une phrase qui vous permet

de vous rappeler des choses

qui sont parfois difficiles

à se souvenir.

Par exemple les conjonctions

de coordination.

Les planètes.

J'ai oublié.

Il y a une phrase mémo technique.

C'est un moyen mémo technique.

Mais si je vous dis

ma petite thérèse me fait à

grand peine,

cela vous aide à retenir

ma petite thérèse

me fait à grand peine, si gosse.

C'est avec un H au début ?

Non, c'est avec un O.

Ma petite thérèse

ma petite

thérèse

me fait

C'est un rapport à votre éclivage ?

Pas du tout.

Ah grand peine, si gosse.

J'ai mis les...

Je vous dis ce que ça fait les initiales.

C'est pas anachronime.

Je pense que c'est pas la réponse.

Il s'agit effectivement

de prendre les initiales de chaque

Mais ça ne donne pas

anachronime en revanche à la fin.

Ça donne une liste de...

Une liste de quelque chose.

En France, en France.

Ah ça donne une liste en France dans le monde entier.

C'est les initiales ?

Ah oui, je viens de le dire.

Alors les initiales, on est d'accord, c'est bien

O, O, M, P, T, M, F, A, G, P, S, G.

Exactement. Ah c'est pas l'hymne du PSG,

on a gagné, on est des gros cons.

On est d'accord, un truc comme ça ?

Non.

Pas du tout. Ah, ça rapport avec Donald Trump ?

Du tout. Ça rapport avec la géographie ?

La géographie, non. L'histoire ?

L'histoire, non. Le français ?

Le français, non. Le prix Nobel.

Les mathématiques ? Le ciel.

Est-ce que ça pourrait définir

un point sur une carte ?

Une carte, non, ce n'est pas géographique.

Ah oui, c'est pas un ciel non plus alors.

C'est très utile.

Pour ceux qui les utilisent, oui.

Ça fait partie, on va dire, des sciences générales, voyez-vous.

Ah oui, des sciences naturelles.

Sciences naturelles aussi, oui.

Le corps humain ? Le corps humain, oui.

Les os. Ce ne sont pas des os.

Les muscles. Les muscles, non.

Et non, ce sont des viscères. Des glandes.

Des viscères, non. C'est dans le corps humain ?

Oui, il y a des muscles.

Calmos. C'est pas assez facile.

Oreille, oreille, menton,

euh, pied.

On a des oreilles et des mentons.

Les nerfs.

Alors oui, mais lesquelles ?

Les nerfs.

Les nerfs.

Les neurones.

Non, les neurones ne sont pas des nerfs.

On est tout près, tout près.

Dans l'oeil, dans l'oeil.

Les nerfs.

Sans itif.

Dans le cerveau.

Dans le cerveau.

Les nerfs craniens.

C'est dîtes,인-bachelon.

Et l'oran富ille.

Oui, on a... On ne sait pas

ce qu'il serait.

Alors vous avez, voire haut...

Its character of the films Fall Scar,

ma petite thérie Jaumefarms,

Feige Beethoven,

vous retenez le nom

au phat aircraft,

readily optical,

hein...

Olfactif optique...

用 des ø fazer,

facial, auditif, glosopharagien, pneumogastrique, spinal et grand hippogloss. Voilà les différents

nairs. C'est pour les gens qui font médecine.

Oui, mais Mme Bachelot qui a été ministre de la Santé, savait ça.

Je n'étais que docteur en pharmacie, il ne faut pas se lever dessus de sa condition.

D'ailleurs, il a été prévu une variante plus convenable, oh Scar, ma petite théière

me fait à grand peine si grogues, parce qu'on trouvait que c'était un peu faire si gosse,

c'était un peu, vous voyez. C'est les nerfs craniens, je ne sais pas si vous les avez

tous, vous chantal ?

Je ne sais pas si.

Ça vous fera moins loin repire.

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