Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Le Best of du samedi 28 octobre 2023

RTL RTL 10/28/23 - Episode Page - 1h 43m - PDF Transcript

...

Marcela, vous pouvez vous présenter à Elie Sémoune.

Ah, c'est compliqué, c'est présenté, je sais pas.

C'est une impuise !

Ah !

Ne t'es pas bien, quoi !

Ca va.

Ca m'intéresse.

J'écris, j'écris bien, toi.

D'accord.

En plus, c'est lié, c'est libataire, je crois.

Voilà, oui, oui. Je te remercie.

J'écris, te sort des choses.

Elle est chercheuse, ça tourne bien.

Oui, j'écris aussi des articles pour les journaux et tout.

Je suis graphomane, je sais pas comment on dit graphomane.

Nymphomane.

Nymphomane, ouais.

Alors, t'en sais parce que...

Tu m'as dit ton vrai métier, parce que là, tu l'es...

Elle est chercheuse, on sait l'air, oui, oui, d'accord ?

Vous cherchez dans quoi ?

Sur le sexe.

Non !

Bah si !

Non, non, c'est pas ça, c'est l'histoire d'Ivroy, en fait, mais bon.

C'est cool qu'il y ait pas une caméra, parce que la tête d'Elie est intéressée.

Non, mais je me demande si je peux coucher avec elle ou pas.

Je sais pas, j'hésite.

Oui, mais sauf qu'après, on risque de lire vos aventures.

Ah, d'accord.

Ah, tant mieux, alors.

Si vous dites, ça, vous allez m'éloigner tous les mêmes potentiels, Laurent.

C'est vrai qu'où à Lidia, vous avez moins de chance.

Je vous ai installé à côté de Christine Bravo.

Moi, je sais pas qui c'est, donc je vous ai dit...

Alors, c'est un humoriste, on a fait le marraquage du rire ensemble, là, il y a quelques jours.

Moi, je connais les intellectuels et toi, tu connais les humoristes.

Ça veut dire que je suis con, c'est ça ?

Je ne sais pas du tout qui vous êtes, je ne peux pas...

Non, mais lui, non plus, c'est pas que vous êtes...

Je suis en train de chercher encore.

Mais vous êtes drôles.

J'ai peur de cette dame, vraiment, depuis tout à l'heure.

Pourquoi ? Je sais pas, regarde, vous êtes qui ?

Ça fait 8 fois qu'elle pose la question, ça commence à faire flipper.

C'est parce que ça n'imprime pas, chez vous, vous savez.

Il est temps de passer à une première citation,

car je sens Gérard Junyaux et Jean-Jacques Perrony,

un patient de briller, c'est vrai qu'il ne faut pas trop compter sur les autres.

Surtout avec cette première citation, je dois dire, pas facile.

Pour Christine, vers ce puits qui habite Rium, dans le puits...

ou Rion, dans le puits de Dôme, Rion, pardon.

Vers ce puits dans le puits de Dôme ?

Non. Christine, vers ce puits qui habite Rion, dans le puits de Dôme.

Qui a dit, c'est à force de boire à la santé des autres

qu'on fiche en l'air la sienne ?

Jean-Jacques Perrony.

C'est pas Perrony. C'est mort ?

Ah, c'est mort, oui. Depuis longtemps.

Mais c'est français ? Alors, ce n'est pas français, non ?

Et c'est mort au 19e ?

C'est mort au 20e, mais c'est quelqu'un qui a surtout vécu au 19e.

C'est américain ?

Non, ce n'est pas américain.

Anglais ? Anglais, oui.

C'est un auteur dramatique ?

Auteur dramatique, c'est vrai.

Oscar Wilde ? Oscar Wilde, non.

C'est à force de boire à la santé des autres...

Charles Morgan ?

Non. C'est à force de boire à la santé des autres

qu'on fiche en l'air la sienne ?

Bernard Shaw. Il est alcoolique ?

Alcoolique, j'en sais rien.

C'est un homme.

C'est un homme, oui. C'est un homme, oui.

Mais ce n'est pas un romancien, en fait.

Ah, c'est surtout quelqu'un qui a été, on va dire,

connu pour une pièce de théâtre, mais un roman aussi.

Une seule ?

Ah, non, plusieurs.

Il est né en quelle année ?

Il est né en 1859 et mort en 1927, en Angleterre.

Né en Angleterre, mort en Angleterre.

Très connu, très connu.

Très connu, très connu.

Qu'est-ce que je dis ? Je ne sais pas ce que vous connaissez, moi.

Je ne connais rien, je ne connais personne.

Non, c'est pas le Joe, je ne connais pas lui.

C'est pas le Joe ?

Le roman très connu, c'est un roman social ou de science-fiction.

De science-fiction, non, social.

Tout est social, vous allez me dire, mais pas vraiment.

Comique ?

Comique, oui, c'est assez drôle.

C'est quelqu'un qui, d'ailleurs...

Jonathan Swiss ?

Non, quelqu'un qui avait une plume plutôt amusante.

On va quand même pas déjà dépenser 300 euros.

Ben, c'est...

Touch a Guthrie ?

On a une chercheuse du CNRS, ici, quand même.

C'est pas celui qui a écrit nos petits lords,

font le roi, là.

Ah, oui, oui, oui, je vois très bien, tu voulais dire.

Mais c'est pas lui.

C'est pas lui.

Je ne vais pas le chercher plus loin.

Non, voilà.

Alors, qu'est-ce que c'est, le gars ?

On ne le connaît pas, votre mec.

Mais disons qu'il n'est pas considéré...

Henry James ? H.C. Wells.

Pardon ? H.C. Wells ?

Non plus.

Henry James ?

Non plus.

Franchement, j'ai honte.

H.C. Wells ?

Non plus.

J'ai écrit des poèmes.

Des poèmes, non, pas à ma connaissance.

S.O.S.O.

Il reste 30 secondes, je prépare le chèque pour madame Versepuie.

C'est pas Conan Doyle.

Maintenant, on va faire qu'on sache si c'est Arion ou Ariame.

Conan Doyle, non.

Elle habite 17 Ruvianad au Castello.

Donc, ce n'est pas clairement ferrance, hein.

Alors, il y a un glissement de terre sur la Madrid.

Ça, c'est vrai, c'est curieux.

Je n'avais pas de côte dans le puits de dos,

mais il y avait des Ruvianad au Castello.

Bon.

Ils sont bizarres, les auditeurs.

Ah ben, il y a bien...

Je suis en train de faire le chèque, hein.

C'est normal que...

On reste à le chercher, là.

Je sais, on ne sait pas.

Mais alors, là, c'est bizarre.

Christian Versepuie, 17 Ruvianad au Castello, à Rion.

Bizarre.

Il y a une rue de Lisbonne, à Paris.

Oui, j'avais raison.

Il y a même une rue de Budapest aussi, si tu veux, par là.

Un chèque de madame Ertel serait bienvenue, dit-elle.

Et ben voilà.

On va se faire exprimer ou pas, à gagner.

C'est à force de boire à la santé des autres

qu'on fiche en l'air la sienne.

J'y sais, de l'auteur de Trois Hommes dans un bateau.

J'ai pas...

Jérôme Kajérou.

Jérôme Kajérôme.

Tu n'es pas chanteur, là ?

Jérôme Kajérou.

Ah non !

Pierre, je ne vous trouve pas bon, camarade.

Vous pourriez, quand même, je ne sais pas, être sympathique,

avec Baptiste Lecaplin, lui sourire de temps en temps.

C'est sa deuxième émission seulement.

C'est un petit jeune.

Peut-être qu'un jour, il vous fera tourner dans un de ses films.

Non, il sera réalisateur un jour.

Si j'écris le biopic de Ron Jannin, vous le jouez dedans.

C'est drôle.

La vérité, il est amusant, le petit, hein.

Il est rigolo.

C'est vrai que vous pourriez reprendre la suite de...

Oui, oui, ta gueule.

Vous n'aimez pas qu'on se moque de vous, Pierre.

Ah non, moi, je pense qu'on pourrait, de tout, sauve de moi.

Voilà, c'est une question pour Monsieur Jannin,

de la membreuse sur Choisil.

Oh, j'adorerais habiter la membreuse sur Choisil.

Ah oui, c'est bon.

Vous êtes où ?

Vous êtes de Paris, 13e ou non, la membreuse sur Choisil ?

Pas le coup.

Je sais pas comment ils appellent les habitants de la membreuse sur Choisil.

Les foyers ronds, la membreuse, ça fait...

C'est dans le 37, c'est quoi le 37 ?

Oh, c'est une bonne année de naissance, je ne sais pas.

C'est dans l'Inde, voilà, la membreuse sur Choisil.

C'est là où on est gandis, dans l'Inde.

Non, non.

Franchement, cette blague, vous n'en ressortez pas gandis, justement.

Bon, alors, ma question pour Monsieur Patrick Jannin,

de la membreuse sur Choisil concerne Julien Aubert,

qui, en ce moment, doit se dire

qu'il aurait peut-être dû chanter plus souvent

là, là, là, pour éviter de payer 1378 euros.

Est-ce que vous comprenez cette question ?

Est-ce que vous pouvez y répondre ?

Il a été accusé de plagiat ?

Non. Il aurait dû chanter plus, là, là, là.

Ah oui, je n'ai pas dit qu'il aurait dû plus chanter, là, là.

Il aurait dû fraudonner, réfléchir un peu plus souvent.

Alors, est-ce que c'est la chanson ?

Là, là, là, là, là, là, là, là, là, là, là, là, là...

C'est ça ?

Ah, c'est bien, qui a écrit ces paroles ?

Lady Gaga ?

Rien à voir avec ça.

Je pensais que le nom de Monsieur Julien Aubert

vous ferait penser à quelque chose, François de Vieja.

Oui, absolument, d'ailleurs, je connais la réponse,

mais j'ai l'esprit d'escalier, donc je pourrais vous la donner

à peu près une semaine.

Ah bah, il est dans l'escalier tout de suite,

et revenez avec la réponse.

Bien entendu, je connais cette histoire.

Aubert, oui, aubert.

Aucun rapport avec Jean-Louis Aubert, évidemment.

Alors, Julien Aubert, on va essayer de savoir qui c'est.

Oui, évidemment.

C'est un journaliste ?

Non. C'est un député.

C'est un député, oui.

C'est un député, et il a été mis en cause récemment,

parce qu'il a appelé madame...

Oui, voilà, c'est cette histoire toute bête,

où il a appelé la vice-présidente de l'Assemblée nationale,

qui est présidée madame la présidente.

Je veux dire madame la présidente.

Il a dit madame le président.

Madame le président, il faut dire madame la présidente.

C'est une excellente réponse de France,

Olivier Aubert.

Et oui, il a dit madame le président,

il aurait dû dire la présidente,

et ça lui est arrivé trois fois de suite,

donc totale amende de 1378 euros.

C'est très très court.

Il se serait dit plus souvent.

C'était une astuce, évidemment, la question.

Il se serait dit plus souvent,

là, là, là, là, ça serait rentré à la fin.

C'est très court quand même.

Qu'est-ce que t'as, t'es vraiment con ?

Non, c'est pas une question, c'est pas une question.

Chantal !

S'anctionner quelqu'un, parce qu'il s'exprime comme ça,

de toute façon, il n'y a rien d'insultant.

C'est-à-dire, il a parlé français,

comment on le parlait, il y a 10 ans ou 20 ans, voilà.

Non, il a bien voulu montrer

que toutes les nouvelles règles

inspirées par le féminisme, c'est de la connerie.

C'est pour ça qu'il l'a fait quatre fois de suite.

Je trouve ça dégueulasse,

qui se plie aux usages nouveaux,

puisque la loi existe, il faut s'y conformer.

Un point de souci.

On dit Mme le juge, quand même, encore, non ?

Mme le juge, on le dit.

Et qu'est-ce que vous en pensez, vous, chantal, de dessus ?

De dessus ?

Allez, donc c'est suivant.

Une question pour Elisa Ménard,

qui habite royaume, c'est en gironne.

Il s'agit de retrouver quelqu'un qui raconte,

et est arrivé à Philadelphia le 10 juillet 1791,

ensuite, il était à New York, puis Boston...

Il a même rencontré George Washington à Philadelphia.

George Washington, qui lui aurait dit

« Wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa-wa... »

Non, bon, je n'ai pas si parlé, vraiment.

Oh, il l'a fait bien au lendemain.

Mais que va-t-il, Maxime ?

Ah ben oui, mais je fure au terme, si c'est vrai.

Faites-le avec Bourville.

Ah ben, oui, y a pas !

Ah bien, c'est bien.

C'est bien, c'est bien.

Après, il a remonté l'Otson River en bateau jusqu'à Albany,

puis il a continué jusqu'au chute du Niagara.

Et puis, voilà, et puis ensuite, il est revenu, finalement.

Il est revenu à l'Archelle, par...

Tout qui s'agit-il ?

Château brillant.

Château brillant, excellent réponse !

De Georges-Jacques Perrony, ça, c'est de la culture.

Et d'ailleurs, j'en mange très souvent.

Comme j'aime point de serre.

Vous connaissez donc l'œuvre de Château brillant par cœur, M. Perrony.

Moi, j'aime beaucoup les mémoires d'outretombes.

Alors là, c'est le voyage en Amérique du Nord.

Ça s'appelle le voyage en Amérique de Château brillant.

Effectivement, il nous raconte son voyage de huit mois,

à travers ce qui n'était pas encore les États-Unis à l'époque, évidemment.

Mais il a rencontré les Indiens.

Il est allé vivre le Mississippi.

Il a fait les grands lacs, les chutes du Niagara.

Moi, je ne pensais pas qu'à l'époque, on voyagait autant.

Château brillant, il faut quand même avoir du courage pour faire ça.

Il y avait pas l'avion à l'époque.

Il y avait des bateaux.

Mais c'est long, quand même.

Mais non, mais les gens avaient beaucoup plus le temps dans leur tête.

Parce qu'ils ne savaient pas qu'on pouvait aller plus vite.

Parce que nous, on voyait aller vite,

parce qu'on sait qu'il y avait les moyens d'aller vite,

mais à l'époque, ils ne savaient pas qu'il y avait les moyens d'aller vite,

puisqu'on allait doucement.

Donc ils continuaient à aller doucement.

Ils ne savaient pas qu'il y avait l'avion qui pouvait aller vite.

Alors ils prenaient le bateau en disant que c'était le plus rapide.

L'écriture, c'est quand même un métier dans lequel on voyage beaucoup.

Ils compris maintenant.

Il y a un monde écrivain qui voyage.

Quoi ?

Vous voyagez-vous beaucoup en tant qu'écrivain ?

Alors moi, je pars bientôt, oui.

Dans quelques mois.

Le cercle polaire.

Oh, le cercle polaire.

Oh là là, on va la congerir là-bas.

Alors vous allez suivre ces Golanais royales ?

Non.

Je pars avec un aventurier.

Ah !

Il va faire un livre sur les Inuites.

Un livre sur les Inuites ?

Vous allez faire un livre sur les Inuites ?

Oui.

C'est le grand Inuites.

Vous allez t'installer dans un igloo ?

Elle va être déchue parce qu'elle va voir qu'il n'y a pas de magnètes sur les igloos.

Non, mais combien de fois vous allez rester chez les Inuites ?

Je ne sais pas.

Je pense 6 mois.

Oui !

Une nuit ?

Oui.

Donc non, mais on a le projet effectivement de partir...

Vous pensez son nom à cet aventurier ?

Alban Michon.

Alban Michon ?

Ah oui, ça se complète bien avec toi.

Ah oui.

Mais non, mais il est hyper connu.

Il est hyper connu.

Ils vont se marrer.

Ça va être la dernière blague chez les Inuites.

Michon et Michon sont dans le bateau.

Il faut être en bonne santé.

Ça m'effive.

Oui, j'ai déjà été un...

Ah bon ?

un toxiqué par Inuites.

Oh non, non, non, non.

Vous voulez voir une show d'un sérieux ?

Ça va faire con les Inuites.

Mais ça ne va pas non, toi.

Ça veut dire que pendant 6 mois, on ne va plus vous voir.

Oui, mais attendez, il faut le temps qu'on monte l'expédition.

Ah oui, donc c'est...

Ah oui, il n'y en a jamais.

Il y en a un temps.

Non, mais t'as commencé à lire dans quelques mois

et maintenant, tu dis que c'est pas mon...

Non, mais on veut partir au mois de juin,

mais en fait, au mois de juin, comme j'ai mon livre qui va sortir

et tout, on a décalé à l'année prochaine, voilà.

Ah, d'accord.

Vous faites une belle partie de la base au livre.

Elle nous fait des fausses joies.

Il n'y aura plus de banquise, dis-je.

Et en plus, elle avait loué au Trépor pour juillet.

Alors, sort de ce corps, hibernatus.

Ah non, mais ils vont être surpris,

c'est des inuits de vous voir arriver avec monsieur Michon, là.

Pourquoi ?

Je crois que c'est un drôle de couple, ça.

T'as attendu Frédéric Lopez ?

Regardez, télécharger la photo d'Albert Michon,

il est beau comme un dieu.

Qu'est-ce qu'il dit votre mari, comme ça,

que vous partiez avec un...

Ah oui, il est content que je m'amuse dans mon travail.

Et ça se dit comment, on inuit, bon, débarras.

Oh, j'adore ceci, là.

On est péronis avec vous.

C'est le spécialiste de Higloo Higloo Higloo Higloo.

Ah !

Une question pour François Laurent,

qui habite étrées en Charente-Maritime,

dans quelle célèbre chanson

trouvent-on les villes de Nanterre ?

Pas les eaux dès le premier couplet.

Des universités.

Pardon.

Mes universités.

La chanson de Philippe Claix.

Oui, mes universités, pas du tout.

C'était pas Justus.

C'était pas Sancier, c'était pas Nanterre.

Oui, mais il n'y a pas les eaux.

C'est dans le deuxième couplet.

C'est pas dans My Way ?

Dans My Way, non.

Le chanteur est mort.

Dans My Way, pas les eaux et Nanterre.

Le chanteur est mort.

Alors le chanteur est mort, je vais même vous dire,

il est mort récemment.

Non, mais il n'a même pas terminé de chanter la chanson

quand il est mort.

Il est mort sur scène en chantant la chanson ?

Alors oui, quasiment.

Renaud, Renaud.

Il meurt chaque chanson.

Quand j'écoute sa dernière chanson,

je me dis qu'il est mort depuis un moment donné.

Moi, je me désolidarise de ce genre de vannes.

On adore Renaud, alors.

Oui, mais ça n'empêche.

Justement, c'est parce qu'on l'aime.

Dans quel célèbre chanson

trouvent-on les villes de Nanterre

et Palaiso dès le premier couplet ?

C'est très, très célèbre.

C'est pas là qu'habitaient Tatayoyo.

Ils sont grands chapeaux.

Tatayoyo de Palaiso.

Et de Nanterre à Rio de Janeiro.

C'est une chanson d'Adi Cordy ?

Non, pas du tout.

Est-ce que c'est une chanson que ça appellerait « Aimez-nous vivants » ?

« Aimez-nous vivants » de François Valérie.

Voilà, puisque vous l'avez pensé.

« Aimez-nous vivants,

n'attendons pas que les meurs nous trouvent du talent.

» A Nanterre !

« Aimez-nous vivants,

s'il faut danser, je danse maintenant. »

Non, non, non.

Où est-ce que vous mettez Nanterre et Palaiso là-dedans ?

« Aimez-nous vivants,

tu vois la chanson qui s'appellerait « Aimez-nous vivants » ?

« Aimez-nous vivants,

est-ce que c'est un chanteur antélo ? »

C'est pas un chanteur antélo, non ?

C'est une femme ?

C'est un homme qui chantait ça.

Il est mort très célèbre.

C'est un jeune homme, on va dire.

Il jouait de la guitare.

Un Jordi ?

Un Jordi, non.

« Hurdure d'être aménée à Palaiso ou à Nanterre,

sur qui d'être aménée ? »

Est-ce que je peux savoir « Il est mort camp » ?

Si je vous donnais la date de la mort du chanteur,

ça vous aiderait trop.

Mon avis, c'est Molière qui chantait dans une de ses pièces.

Oulaf.

Oui, bien sûr.

Alors écoutez.

« Nanterre et Palaiso ! »

Alors écoutez, écoutez, écoutez.

Ce qu'elle dit n'est pas si idiot.

Merci.

Mais on va dire qu'elle se trompe à quelques siècles près.

C'est avant.

On part d'avant.

C'est donc un auteur de théâtre.

Un auteur de théâtre.

Auteur de théâtre.

C'est une opérette ?

Non.

De sketch ?

De sketch, non.

C'est Mariano ?

Non.

On connaît mieux le dernier couplet de la chanson que le premier.

Ne me quitte pas.

Ah oui, ne me quitte pas.

« Nanterre et Palaiso ! »

Poussez, poussez l'escarpolette.

T'as voulu voir Nanterre, t'as vu Palaiso ?

C'est Palénis, Cudero.

Ah oui, Pierre-Péry.

Comme Palaiso.

Il n'est pas mort, Pierre-Péry.

Tout, tout, tout.

Vous serez tout sur Palaiso.

Oui, de Nanterre.

Et non, il n'y a jamais eu d'album, il n'y a rien d'autre.

Ah non, il n'y a jamais eu d'album, non, non.

On est en 1900.

On est un peu avant.

Ah, il n'a pas fait de disque, alors.

Il est très connu.

Ah oui, très, très connu.

Alors, 1900, je l'ai connu.

Ah oui.

Est-ce que c'est de Victor Hugo ?

C'est Milton.

Pardon.

Est-ce que c'est de Victor Hugo ?

Oui, c'est de Victor Hugo.

Dans Notre-Dame.

Et qui chante dans Notre-Dame ?

Eh ben, c'est...

Il est venu le temps de Palaiso.

Eh ben, c'est le carillonnaire.

Ah, c'est Casimodo ?

Casimodo, non.

Ah non.

Esmeralda.

C'est le gamin.

C'est le gamin dans...

Gavroche.

Gavroche.

C'est Gavroche.

Et alors, c'est quoi la chanson ?

Ah, c'est de Valetier.

Eh, tais-toi !

Il me pose la question.

Ah, il va lancer la délai.

Je suis dans les parterres.

C'est la fautein de Valetier.

Le nez dans le ruisseau, c'est la fautein rouge.

Et ça, c'est le dernier couplet.

Bonne réponse !

Bonne réponse de Christine Bravo, aidée par Jeremy Ferrari,

quand même, qui a dit Victor Hugo.

Ah, merci.

Et s'il n'avait pas dit...

Ah, et moi, je servis à rien.

C'est qu'un arisotante...

Ah, vous avez dit Maulière.

Vous avez dit Maulière, vous.

Quelle rapport.

Et moi, j'ai compris, Laurent,

à votre façon de vous avoir dit vivant.

J'ai compris que c'était au siècle dernier.

D'ailleurs, ils ne chantent même pas le mot rousseau,

parce qu'ils mordent avant de pouvoir dire rousseau.

Oui, c'est vrai.

Si il tombait par terre, c'est la faute à Voltaire.

Le nez dans le ruisseau, c'est la faute...

Il n'a même pas le temps de dire rousseau.

Alors comment on sait qu'il l'a dit ?

Voltaire rousseau.

C'est une fiction.

Ah, d'accord.

Ah oui.

Ah oui.

Mais du coup, c'est quoi la chanson ?

Eh ben, la chanson en entier,

parce qu'on connaît effectivement le dernier couplet,

mais ce n'est pas du tout le début de la chanson.

Dans l'œuvre de Victor Hugo,

il commence par chanter le petit gavroche.

Il ramasse des munitions, vous voyez.

On est en 1832.

Il ramasse des munitions.

On est à Nanterre.

C'est la faute à Voltaire.

Et ben, t'as pas les os, c'est la faute à Rousseau.

Ça, c'est le premier couplet, vous voyez.

Après, il dit, je ne suis pas de nos terres.

C'est la faute à Voltaire.

Je suis petit oiseau.

C'est la faute à Rousseau.

Et puis après,

je vois mon caractère.

C'est la faute à Voltaire.

Misère et mon trousseau.

C'est la faute à Rousseau.

Voilà.

Et quand est-ce qu'il meurt du tout ?

Après, il y a le quatrième couplet.

Je suis à Léo, ou à Terre.

Il y a la faute à Rousseau.

J'étais comme un bravo.

Il y a la faute à Rousseau.

Mais vous la connaissiez, cette chanson, Chris ?

Oui, mais je ne suis pas,

surtout, quel soit de Victor Hugo.

Ah ben, non.

Ça, c'est vrai.

Il la reprise.

C'est une chanson de la Révolution Française.

Il la reprise dans les miserables.

Vous avez raison.

C'est une chanson qui a existé avant.

Vous avez raison.

Mais c'est vrai qu'on connaît plutôt le dernier couplet.

Pas les premiers.

Le premier, c'est...

On est les à Nanterre.

C'est la faute à Voltaire.

Et bête à Palaiso.

C'est la faute à Rousseau.

Quel est le nom de famille de Gavroche ?

D'ailleurs, ce sera ma question subsidiaire.

Cozette.

Non.

Le nom de famille de Gavroche.

Ça n'avait pas.

Ah, merci.

Eh ben, Ténardier ?

Ténardier, puisque c'est le fils Ténardier.

Bonne réponse, Dérick Gérias.

Ténardier.

Dérick Gérias.

Ah non, c'est le père de Cozette.

Je l'ai mis sur ma computer et je suis allé à ethoslife.com.

En juste 10 minutes, je l'ai couvert.

Et boum.

La famille a été protégée.

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Pas de muguette dans votre jardin ?

Non, non, pas de muguette.

Du miel, simplement du miel.

Non, non, il y a plein de fleurs, mais il y a pas de muguette.

Mais quelle genre de fleurs, alors ?

Eh ben, si je vous donne des noms en latin, ça vous dira.

Si, on en veut.

Ah bon, Rodo d'un dron.

Azaline, Caméliane.

C'est une chanson de cime, les Rodos d'un dron.

Ah oui, c'est bon.

Bien, les Rodos d'un dron.

Vous n'aurez pas marché autant si vous l'aviez fait avec cette voix.

C'est pas du latin, en plus, Rodo d'un dron.

Non, non, non.

Mais après, j'ai des...

Et lui, là, ça va mal.

On veut du latin.

Oh, mais...

Non, j'allais l'insulter, mais...

Moi, il est au poiton dernier.

Euphorbe Melifera, par exemple.

J'ai planté des petites graines de putier.

Et là, au 5 ans, ouais, je commence à avoir des bâtons de rouge à lèvres qui écoulent.

Malheureusement, je mets des graines de connardier un peu partout.

Et je suis envahi par les voisins, ça, c'est terrible.

Moi, j'ai planté du chasqueux et ça marche, c'est un peu sans l'accès.

Moi, j'ai du stringier aussi.

J'ai du slipier, j'ai plein de choses.

Ah oui, c'est vrai ?

Du soutien gorgier.

Alors le slipier, le stringier, on trouve vous les...

Ah, ça pousse bien, en ce moment.

Dès qu'il fait chaud, ça...

Où est-ce que vous achetez les oignons ?

Ça fait des fruits...

Ça fait des fruits bicolores.

Pour le stringier, faut que la terre soit bien humide, normalement.

C'est tropical, là.

Je peux passer à la première citation, si vous voulez bien.

Non.

Une citation pour monsieur Lowe, qui habite Bérini dans la Manche.

Et c'est une poésie dont il faut retrouver l'auteur.

Oh, là.

Ça, c'est pour Jean-Jacques Perrony, généralement.

Non, non, non, non.

Ah, les premières fleurs.

Évidemment.

Ah, vous avez vu un peu l'animateur ?

C'est nous, les premières fleurs.

Ça, c'est ta lanchillette, monsieur Rukier.

Exactement.

C'est pour nous, c'est pour nous.

Ah, les premières fleurs, qu'elles sont parfumées.

Oui.

Qu'il bruit avec un murmur charmant, le premier oui qui sort d'élèves.

Elle est bien aimée.

Oh, ben on a presque deviné.

On disait des oui, on a ponctué de oui.

Oui, c'est du 18e siècle.

De vignée.

Alors, c'est pas de vignée.

Non, c'est de Joestar, ça.

Non, c'est pas.

Non, il faut retrouver le point.

Quelle époque, Laurent ?

19e.

Alors, Victor Hugo.

Non.

C'est une femme.

Ah non, c'est un homme.

Romantique, oui.

Je peux le redire, si vous voulez.

Ah, les premières fleurs, qu'elles sont parfumées.

Et qu'il bruit avec un murmur charmant, le premier oui qui sort d'élèves.

Bien aimée.

Alfred de Musée.

Non.

Vigny.

Vigny, non.

Plus simple, hein.

Victor Hugo.

Hugo, non.

Maud Pastan.

Non.

Maud Pastan, un poète.

Oui.

Bah quand même.

Qu'est-ce qu'ils sont cons, c'est noir, alors.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Heureusement que c'est Éboué qui dit ça, le marchand.

D'ailleurs, vous avez la même couleur, là, et l'autre.

Les poêles de cul, je les ai pas sur la tête.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Hahahaha.

Karine.

Elle est surbrochée, attends.

Je tiens plus, je tiens plus de maman qu'être papa.

Si il pleut quand on va sortir, on va rigoler, à tout cas.

C'est vrai, un répond.

Bon, dites bon poète, là.

Alors.

Vous pouvez être les communautés...

Boutière.

Poète Française et Amès.

Ah oui.

Amès.

Un beau.

Non.

L'autre.

Une réponse de Jean-Jacques Perronnier, t'étends.

Une citation pour oui.

Vous savez non, j'allais juste dire que Verlaine a écrit un texte sur le...

En plus d'un même.

Oui, mais sur le cinéma pornographie.

C'est pas vrai.

Oui, c'est incroyable.

J'ai découvert ça ce week-end.

Ah, c'est un petit week-end pornographie.

Hahahaha.

Non, non, mais je...

C'est pour ça que le muguette est un peu flétrique.

Hahahaha.

Mais alors, je feuilletais un livre.

Je feuilletais un livre sur de la poésie erotique.

Ça alors.

Voilà.

Et justement, il y avait ce texte de Verlaine qui a trouvé que ça lui faisait le plus

grand effet de sa vie que de voir les fameuses parties en grand sur les grands.

Mais Rimbaud aussi.

Attendez, je comprends pas.

Mais il y avait pas Verlaine.

Attendez, attendez.

Attendez, vous êtes en train de me dire que Verlaine matait des films de Rocco Sifredi.

Mais justement, c'est très étonnant.

Il y a tout ce texte où il dit que...

Mais il n'y avait pas de films pornos.

Il est mort en 1896.

Oui, mais il y avait des films amateurs.

Oui, c'est vrai.

Et qu'on regardait dans des petits trucs, peut-être, vous savez.

Et ben lui, il parle de projection, déjà.

Hahahaha.

C'est un peu normal avec elle, vous voyez.

Elle le fait.

C'est à la fin du film.

En tout cas, elle est toute étoilée aujourd'hui.

Je sais pas si vous avez vu un peu.

Elle a un fou là, rétoilée autour du cou.

Oui.

Et son mari qui l'oblige.

C'est magnifique.

Alors là, attends.

Ça suffit.

Arrêtez-vous.

Là, ça passe pas.

Là, vous avez le droit de vous foutre de votre gueule entre noirs.

Mais...

Une allusion au juif.

Non, non, j'en perdis ça.

Une citation pour Giorgette Floridi, qui habite Nice.

Et Giorgette espère évidemment 300 euros.

Qui a dit, le livre prêté ne se rend jamais.

Il est plus facile de retenir un livre que ce qu'il y a dedans.

20e siècle.

Oui.

Pierre Dac.

Un poète, non.

Pierre Dac, non.

Francis Blanche.

Mais quelqu'un qui aimait bien les jeux d'eau.

Francis Blanche, non.

Jacques Martin.

Il a travaillé avec tous ces gens-là.

Sacha Guitry.

Non.

Sacha Guitry, Jacques Martin.

Maurice Biro.

Maurice Biro.

Bonne réponse de Laurent Bafi.

Vous êtes très forts aujourd'hui.

Plus difficile, peut-être, pour Mathieu Courtein.

La citation, c'est le superflu.

C'est comme une Bible au Ritz.

C'était une femme.

Une femme, non.

Quelqu'un qui avait l'habitude d'y aller.

Exact.

Hemingway.

Et c'est Hemingway.

Excellente réponse de Jean-Jacques Pérodi.

Une question maintenant pour Sylvie Lachan,

qui habite clairement Féran, c'est dans le puits d'hommes.

Un homme avait perdu ses airpods.

C'est ce que c'est des airpods ?

Une petite oreillette sans fil, connectée justement.

Une oreillette sans fil qu'on met

pour écouter de la musique dans ses oreilles.

Et il avait perdu effectivement

un de ses deux airpods, pas les deux,

un de ses deux airpods,

mais grâce au système de géolocalisation

d'Apple.

Je ne sais pas que ça existait,

mais il y a une fonction de géolocalisation

des équipements Apple

qu'on peut installer sur son iPhone.

Il a retrouvé, où était, son airpod,

où était-il ?

À l'Elysée.

Ah non.

Dans un nid oiseau.

Est-ce que c'était sur lui,

dans un endroit US,

ou c'était dans un lieu particulier ?

Alors pas dans un lieu, sur lui.

Je suis obligé de vous répondre non.

Et puis tu ne peux pas localiser...

Non mais dans un vêtement.

Dans un vêtement.

On ne va pas dire votre airpods

et dans votre slip par exemple.

Parce que peut-être que tout à coup

il a fait pipi.

Mais non, la localisation,

c'est pas ça.

T'as un point qui affiche

où est, ça ne va pas te dire

où est-il pris ?

Est-ce qu'il a mangé sans faire exprès ?

Pardon.

Est-ce qu'il a mangé sans faire exprès ?

Il l'a valé pendant la nuit

sans faire exprès.

Bonne réponse de Laurent Bassi.

Alors donc...

Donc Apple lui a dit

que c'était dans son estomac.

Non, pas dans son estomac,

mais sur lui,

t'as qu'il se déplaçait.

Et on voit bien que le poids

se déplaçait pour tant plus.

Ah oui, OK.

Ça c'est...

Réfléchissez monsieur Boulet.

Vous voyez.

Ça fait stupé.

Et alors il l'a récupéré ?

Ah ben oui, oui, oui.

Bah alors il paraît que...

Bah toi il écoute de la merde.

Il y a quelqu'un qui avait

avalé son œil de verre comme ça.

Racontez.

Ah vous connaissez pas l'histoire ?

Non.

C'est une histoire que Roger Pierre

racontait régulièrement

ici au Grosse Tête.

C'est une de mes histoires

préférées, celle-là.

Ah.

C'est Roger Pierre qui raconte

c'est un type qui a un œil de verre.

Il va dans un cocktail.

Et puis dans ce cocktail,

il y a un grand,

comme on fait parfois,

vous savez, un grand bol de sangria...

Pas un bol, mais comment dire...

Oui, comme un bol.

Une bassine.

Une bassine de sangria

où chacun, vous savez,

vient verser son...

Ta petite louche.

Ta petite louche.

Et puis chacun vient prendre

son verre de sangria.

Et lui, pas de bol

au moment où

il vient pencher

pour prendre son verre.

Hop !

Son œil de verre tourbe.

Dans la bassine de sangria.

Au même moment,

il a beau essayer de chercher.

Il y a plein de gens

qui servent en même temps,

vous voyez où ?

Et effectivement,

il y a quelqu'un

qui part de la soirée.

Et qui a avalé l'œil.

Et qui a attendé !

Il y a quelqu'un

qui part de la soirée.

Puis qu'il...

Toute la soirée,

toute la nuit,

il dort pas,

il sent un truc qui monte,

puis qu'il redescend

dans son ventre,

qu'il monte,

qu'il redescend,

qu'il monte,

qu'il redescend.

Puis il me dort le malier.

C'est pas possible.

Il faut que j'y aille chez le médecin.

Alors il va chez le médecin.

Et il dit,

« Docteur, je comprends pas.

J'ai pas pu dormir de la nuit.

Il y a un truc qui monte,

qui redescend,

qui redescend.

Le docteur fait bon,

écoutez,

ouvrez grand la bouche.

Je vais regarder.

Dites-moi quand ça monte

ou quand ça descend.

Ah bah là, ça monte,

ça me...

Il voit rien.

Dites-moi quand ça descend.

Alors il se met

d'ailleurs, on va dire.

Il se met de quoi la nue ?

Et là le type dit

« Ça descend, ça descend,

ça descend, ça descend,

ça descend, ça descend,

ça descend.

Et là,

Tobi, vous avez un œil arrivé

et dit « On n'a pas confiance »

Je m'en ai bien compris.

On a beaucoup parlé dans la presse de Monsieur Gilbert Dumottier.

Pour quelle raison ?

Il est français ?

Ah oui, Gilbert Dumottier.

C'est pas celui qui a couru à Arculon.

C'est-à-dire ?

Il a fait un machin, il a fait 5 kilomètres en courant, mais à Arculon.

Vous avez vu ça, voilà.

Oui, j'ai vu un déroulant, comme ça, ça sert à rien.

Mais le déroulant était dans le bon sens.

Aucun rapport.

Parce que les courses à Arculon, ils avaient essayé de lancer ça aux Olympiades,

mais en Grèce, ça a été abandonné.

Dieu, Luc.

Surtout pour le passage du témoin.

Au royaque, 4 fois 100 mètres, c'est dangereux, oui.

On peut même pas le bâton.

En plus, on ne sait pas parce que vous...

Souvenez-vous, elle n'est pas qu'on avait un français au royaque 4 fois 100 mètres

qui s'appelait Trois-Bâles.

Oui, c'est fort.

Bien plus, ce qui est formé avec les courses à Arculon,

c'est que vous les filmez, après vous passez le film à l'endroit,

vous ne remarquez rien.

Ils ont l'air de croire dans le bon sens.

Puisque je vous dis que c'est pas ça, à toute façon.

C'est le passe-parti.

Le héros d'un fait d'hiver.

Vous allez reprendre les grosses têtes,

il faut faire des questions d'actualité,

mais fais aussi faire des questions culturelles.

Alors, vous voyez, je m'amuse à...

Là, c'est culture, là.

Ah ben oui, c'est rapport à des musées, ça.

C'est le nouveau directeur du Louvre.

Non, non.

De l'Orchestre Philharmonique de Strasbourg.

Ça va voir avec l'air, il a penteur.

Avec l'air, non.

Mais on a beaucoup reparlé de Gilbert Dumottier.

Ça va voir avec le Festival de Venise.

Du tout, et là, je suis très déçue.

Est-ce que ça va voir avec la littérature ?

Ah, il est mort, Gilbert Dumottier.

C'est le vrai nom de Picasso.

C'est pas le vrai nom.

Est-ce que ça va voir avec la littérature ?

Avec la littérature, non plus.

Avec le cinéma.

C'est la rire petit-fils de Molière.

Non.

Gilbert Dumottier, dipoclin.

C'est pas lui.

Non.

Non, mais il était dit quelque chose, ça.

Non, c'est vrai.

Dis corneille.

Non, non, non.

C'est le fils caché du Général de Gaulle et de Madame Dumottier.

Parce qu'il ne l'avait pas connu.

Il avait un pseudonyme.

Un pseudo, en tout cas.

J'ai son état civil complet.

Oui, allez-y.

Marie-Joseph-Paul Yves-Roch, Gilbert Dumottier.

C'était pas la faillette.

Non, parce que...

C'était la faillette.

Ah !

Il y a un papier intéressant.

Il y a un propos d'un livre qui vient de sortir chez Flamarion.

Un livre signé, Madame Frédéric Lacheter Flac, qui est professeur, spécialiste de littérature,

d'humanité politique, d'humanité médicale.

Vous allez voir pourquoi je dis que le livre est intéressant.

Rien qu'avec le titre du livre.

Pourquoi le mal frappe les gens bien ?

C'est une question qu'on se pose souvent.

C'est le mal, le mal.

Le sous-titre était les Ramanou.

On l'explique très bien.

C'est peut-on accepter que les enfants, les gentils, souffrent.

Voilà.

Et de la Bible jusqu'à Primo-les-Vistes, un essai que publie Frédéric Lacheter Flac,

qui explore, effectivement, l'empathie salvatrice de la littérature.

Ça a l'air génial.

Je trouve que c'est un joli sujet.

C'est un sujet, c'est le sujet.

Ça me rappelle le sujet de un mec qui voulait sortir un super bouquin sur les guichets.

C'est vraiment un beau sujet.

Mais c'est vrai qu'on se dit toujours, pourquoi les gens qui n'ont jamais fait de mal,

ou les enfants même.

Pourquoi la justice ?

On dit toujours que c'est les meilleurs qui partent les premiers.

Ça pourrait être le titre plus compréhensible en France.

C'est toujours les meilleurs qui partent les premiers.

Le mal, il peut frapper aussi les gens qui font le mal.

Bien sûr.

Mais on se demande toujours quand c'est un enfant ou quelqu'un vraiment de très gentil,

pourquoi il est frappé sur le hasard de la vie.

Mais encore, ils sont pas gentils, forcément.

Il y avait monstre.

Il y a quelques témoignes chez Ova ou un scientologue pour répondre.

Ça, c'est le hasard de la vie.

Pourquoi Franco meurt dans son livre ?

Mais je te parle pas, toi !

En tout cas, cet essaiiste dans ce livre,

moi, je trouve le sujet très intéressant.

Le titre, joli.

Donne différents exemples de littérature,

parmi lesquels un livre qui s'appelle « L'œuvre au noir ».

Qui a écrit ce roman « L'œuvre au noir ».

Marguerite Ursena.

Marguerite Ursena.

Excellente réponse de Marcela Yacoub et...

...Dariel Vismar.

C'était pas soulage ?

Non, c'est un roman de Marguerite Ursena

qui raconte l'histoire d'un homme qui ne peut pas atterre la vérité,

qui est un homme bien, un homme droit,

et qui va effectivement...

Ça va lui coûter la vie au fond.

Voilà, c'est exactement le thème du livre.

« L'œuvre au noir ». Bravo !

Vous connaissiez le roman de Marguerite Ursena.

Pour Olivier Rehm, une autre question littéraire.

Monsieur Rehm habite Berkoltzel dans le « Ora ».

Et j'aimerais vous parler de Nathalie Sorokin.

De qui Nathalie Sorokin fut-elle la célèbre maîtresse ?

C'est un livre qui vient de sortir, là aussi, 294 pages.

Et d'ailleurs, le titre du livre, c'est « Nathalie Sorokin le nom »

de cette personne qui a réellement existé

et qui était la maîtresse célèbre de qui ?

La maîtresse à l'école ou la maîtresse...

Non, la compagnie sexuelle.

Ah oui.

Un homme politique.

Non.

C'était dans quel période ?

T'es quel périphétoir ?

Les années 20, non ?

Alors là, on est dans les années 60.

Ah, c'est pas Zitronne.

C'est pas Zitronne, j'ai jamais...

C'est pas le mec de Jamie, là.

C'était un artiste, les mecs.

Nathalie Sorokin.

C'est un artiste.

Alors, elle était la maîtresse.

D'un artiste, je suis obligé de vous répondre.

D'un groupe, des compagnons de la chanson.

Un pape.

Elle a été la bande de quelqu'un de célèbre.

Pendant 30 ans, hein.

Entre 1938 et 1968.

C'est un poète ?

Non, non.

Un écrivain ?

Écrivain, oui, je suis obligé de vous répondre, oui.

Un chancelier.

C'était un professeur.

Elle est triste.

Non, mais vous posez pas la question essentielle.

C'est une femme.

C'est une femme.

C'est une femme.

Sagan ?

L'autre.

Anaïs Nyn ?

Non, non, non.

Ah, la meuf de Sartre.

Exact.

Comment j'y vais ?

Simone de Beauvoir.

Simone de Beauvoir.

Bonne réponse.

La meuf de Sartre.

Bonne réponse de Jean-François Jean-Saint.

C'est moi qui l'avais la réponse.

La meuf de Sartre, comme vous dites.

Mais oui, mais encore fallait-il dire Simone de Beauvoir.

Il faut dire aussi que, d'ailleurs,

cette Nathalie Sorokin,

à qui un livre entier

est consacré, c'est Julie Duchâtel,

qui consacre un livre à Nathalie Sorokin.

C'est-à-dire que cette femme,

Nathalie Sorokin,

n'était pas seulement la maîtresse

de Simone de Beauvoir,

mais aussi, parfois,

de Sartre.

La meuf de Sartre.

Il bouffait à tous les râteliers.

Il se la passait, vous voyez.

C'est un trouble.

C'est un trouble.

Ça causait problème au départ,

parce qu'elle était l'élève

de Simone de Beauvoir.

Il faut se rappeler

que Mme de Beauvoir

a été suspendu

de son poste d'enseignante

à l'époque,

parce qu'elle avait séduit

une élève

du lycémolière

de 17 ans.

Régis-t-il pas con ?

Non, non.

Mais vous mélangez

toutes les histoires.

Ça n'a pas du tout pas con.

Vous lisez

deux journaux,

en même temps,

vous mélangez.

Mais c'est pas pour Nathalie

Sorokin

qu'elle a été suspendu.

C'est pour une autre élève

du lycémolière.

En tout cas, c'est de femme,

Nathalie Sorokin

et Simone de Beauvoir.

On traversait la guerre

ensemble

et Julie du Châtelet.

Elle est tranchée.

Et en plus,

Sion de Warnet

s'est lavé jamais.

Tous les gens

qui l'ont rencontrée

disaient qu'elle avait

les ongles noires,

qu'elle sentait mauvais,

qu'elle sentait mauvais.

Alors Sophie Marceau,

ça, c'est pour Jean-Fils.

Sophie Marceau,

un junior,

tu m'as raconté.

Oh non.

Elle n'a jamais vu

une femme plus jolie,

en vrai.

Alors je la connais un peu, Sophie.

Non, t'as vu la tête

de Claude Branson dans la boum

dès qu'il s'approchait de l'ifflet.

Je suis désolé.

J'ai eu la chance

de la croiser.

Mais non, elle est dégueulasse.

Je n'ai jamais vu

une femme plus jolie,

en vrai.

Et moi, c'est un cas de plus.

Vous voulez que je vous dise

un truc ?

Vous voulez que je vous dise

un truc ?

Je l'ai vu plusieurs fois

et qui, au réveil,

est aussi belle que coucher.

Absolument.

Et moi, je la connais un peu

dans le privé

parce qu'on a un ami commun.

Ah, qui ça ?

Qui ça ?

Ça doit pas être un vendeur

de sa vône,

à mon avis.

C'est sûr.

C'est pas un mec qui poche

ses forêts, hein.

Et Sophie Marceau,

mais c'est la femme la plus

jolie au moins.

Elle n'a pas de quoi

à l'interruque.

Elle n'a même pas

le même perruquet.

Elle ne peut pas

être jolie.

Vous racontez ?

Non, mais elle peut

être jolie,

mais simple.

Non, c'est vous.

Vous voulez pas y avoir

l'héritage français,

mais les Français sont pas durs.

J'ai un copain qui vend

des yeux de verre

et c'est sa meilleure clé.

Mais bien sûr.

J'ai un pote qui a vendu

son pied bon en bois.

Alors, t'as du procote.

Ah oui ?

Sophie Marceau qui a acheté.

Je vais vous dire,

elle a une pièce

spéciale

pour ses jambes de bois.

C'est certain.

Non, mais tout le monde

le sait.

Elle est pas plus jolie

que Sophie Marceau.

Elle est comme un coeur.

Ah oui, on adore.

Mais alors, vous mélangez.

C'est vrai que c'est sûr de

dans la boume avec des tomes de poing.

Elle a du poing à nos pattes.

On l'appelle l'ourson

dans le cinéma.

On l'appelle Bouma

dans le cinéma.

Elle a du poing à nos pattes

dans le cinéma.

Elle dit Marceau.

Mais sûr que si.

Mais pourquoi il y a

cette légende

comme quoi Sophie Marceau

serait sale ?

Mais non.

Non.

Elle est pas du tout.

Elle est plus du bec.

Elle est plus du bec.

On dirait que la vie sonniette.

Mais Marcelle Ayakoube,

n'écoutez pas ce que dit Tohaine.

Il est comme vous.

Il raconte n'importe quoi.

Une question pour Amory Fournier

qui habite l'ampon

sur Orges dans les sonnes.

Et la question,

la voici.

Pour quelle réseau

entend-on un peu plus

en ce moment

dans toutes les radio

et les télé,

le champ des faucheurs ?

C'est pas un hymne à Mélenchon.

Un hymne à Mélenchon,

comme vous dites.

Non.

Un hymne à Mélenchon.

Un hymne de désinsoumis.

Un hymne de désinsoumis.

Non.

Non, Monsieur Stevie.

Mais ça touche à la politique ?

Oui, directement.

Ah, c'est...

C'est les OGM.

Du tout.

Est-ce que ça a un rapport

avec le Sénat ?

Du tout.

Est-ce que par faucheur,

c'est l'acception

argotique du mot faucheur ?

Pas du tout.

On pourrait appeler ça

ou aussi le chant des moissonneurs,

si vous préférez.

Ça va voir avec Josée Beauvé.

Aucun rapport avec Josée Beauvé.

Est-ce que ça ne serait pas

ce qu'on met comme musique

pour l'ouverture de la chasse ?

Bien sûr.

Les chasseurs...

Oui.

Savez-vous ce que c'est que Fanny ?

C'est la plus belle chose au monde.

Non, c'est la plus jolie chose du monde.

Bon, merci.

Et c'est, bleu, madame...

De Sévinier.

De Sévinier.

À sa fille...

Madame Mekouillos.

Elle avait marre.

Elle avait marre.

Elle avait marre.

Elle avait marre.

Elle avait marre.

Elle avait marre.

C'est pas qu'il fallait dans les foies

une fourche à la main,

et ainsi de suite.

C'est pas ça.

C'est pour ça, mon grand-père,

qu'à y voyer une fille

qui avait des belles jambes

et disait, elle a une belle fourche

à fanner les couilles.

Oui, oui, nous l'avons.

Nous l'avons pas le même.

C'est gentil de nous faire comprendre

la réalité de ton code génétique.

Nous n'avons décidément pas

le même genre de famille.

Votre truc, là, ça va avec le monde agricole.

Directement, pas tout à fait.

Est-ce que c'est...

Alors, attendez.

On va prendre par...

Mais c'est pas...

On l'a chanté qu'à cette période-là,

en ce moment?

Non, pas en ce moment.

C'est une vieille chanson.

C'est une chanson qui date de 1899.

Oui, mais pourquoi est-ce qu'elle est remise

au goût du jour?

C'est ma question.

Est-ce que quelqu'un l'aurait utilisé

comme générique

pour une émission de télé?

Bien sûr.

C'est le chant des moissonneurs

qui interprète Karine Le Marchand

tous les noms du soir,

dans le bonheur et dans le prêt.

Ça va de soir.

Alors pourquoi vous dites en ce moment?

Le chant des moissonneurs

par James Blunt.

Mais oui, ça y est.

Je l'ai, je l'ai.

Je l'ai de gros aïe ou de...

C'est à cause du beau gelet nouveau.

Pas du tout.

Mais c'est pas maintenant le beau gelet nouveau.

Qu'est-ce que j'enseigne, je bois pas.

On fausse pas la vigne.

Ça se moissonne pas vraiment le peanut.

Ça se moissonne avec une saille.

Ça sent que c'est une fille de la terre ou pas?

Pas du tout.

Ah non?

Mais tu sens la terre.

Est-ce qu'on célébrerait-t-il pas

un anniversaire quelconque?

Du tout.

Une fête païenne?

Non, non plus.

Les focheurs, ça a quelque chose à voir

avec la focheuse.

Les moissonneurs.

On aurait pu traduire ça

par les moissonneurs aussi, vous voyez.

Est-ce que c'est quelque chose

qu'on voit aux GT?

Comment ça aux GT?

Est-ce qu'on a entendu...

Oui, c'est surtout aux GT.

Surtout aux GT.

C'est pas les gars qui récoltent des médailles.

Ils moissonnent les médailles.

Non, c'est sûr que c'est aux GT.

Les moissonneurs, c'est janvier, février, non?

Est-ce que c'est pas comme ça qu'on appelle

l'opération crocodile...

Non, l'opération escargot.

L'opération escargot.

L'opération crocodile.

Remarque, pour la défense,

je dirais crocodile et escargot.

Ah, il y a quand même un cousinage.

Non, mais l'opération escargot des camions.

En ce moment, entre la loi travail.

Je te ferai un sac en escargot pour...

Ça va voir avec les éoliennes.

Du tout.

Mais je comprends pas, on trouve même pas d'agricoles.

C'est agricole.

Je vous ai donné un indice.

Il y a même pas deux minutes

qui aura dû quand même vous faire tilter.

Dilez-le, tu vas voir si ça tilt.

Je vous ai dit, on pourrait aussi le traduire

par le chant des moissonneurs.

Ok.

Contraté.

The song of the...

Of the...

C'est un truc anglais, en fait.

Pas du tout.

C'est allemand.

La moisson, c'est harvest, en anglais.

Oui, mais ce n'est pas en anglais.

Mais oui!

Eh bien, c'est ce chanteur de Saul

qui est mort et qui s'appelait

Bradley, quelque chose.

Charlie Bradley,

ou Bradley Charlie,

ou Bradley, quelque chose.

De toute façon, c'est pas ça du tout.

Mais en fait, vous l'avez traduit.

Je l'ai traduit pas moi-même.

Non, mais c'est allemand.

Non, non plus, non.

C'est de l'italien?

Non plus.

Moi, j'ai tout tenté.

Les Spagnols.

Pardon.

Les Spagnols.

C'est les Spagnols.

C'est le machin de la Catalogne.

Allez-y.

C'est l'hymne des Catalans.

Excellentes réponses.

A 10 secondes prêts.

Aïe, aïe, aïe, aïe, aïe.

Je suis désolé pour notre auditeur

parce qu'à 10 secondes prêts,

à Maurice Fournier, toucher un chèque aptel

de 300 euros, et grâce à vous,

c'est ce chèque, M. Péroni,

car El Seigado, ça veut dire

les moissonneurs ou le chant des faucheurs,

c'est l'hymne national officiel

de la Catalogne.

Vous, par les Spagnols,

je crois M. Kersoson.

On ne me regardait pas avec ses yeux

battus d'Espagnol-Breton.

Non, mais est-ce que...

Non, je le comprends, oui, pourquoi?

Vous comprenez, les Spagnols.

Et vous, M. Boulay, rien?

Non, quelques mots, mais...

C'est un prénom.

C'est un prénom typiquement espagnol.

Typiquement espagnol.

Couchifritin.

C'est un prénom espagnol.

C'est bien foutu de ta gueule.

C'est un nom de position.

C'est un nom de position.

C'était mon premier cours d'Espagnol.

C'est Couchifritin à bras français

pour qu'il bibidot une Francia.

Ce qui veut dire, viens coucher avec moi

et t'auras la biaque fraîche.

A qui Radio de Luxembourg?

Avec l'animateur préférential,

c'est le nom de Rukier,

le meilleur ordre du monde

en radio de Luxembourg.

Je parle de Spagnol, c'est vrai.

Et on va s'encouler sur le sommeil.

Non, non, non, non, non.

Ijodé...

Putain!

Ijodé, la grande putain.

Ah, non, mais...

Je connais Ijodé la Luna, mais...

Vas-y, j'ai qu'à s'entraîner.

Une question

pour Monsieur Ludovic Galand

de Ville-Franche

dans le Rhône

et là, vous allez encore vous moquer de moi

parce que je vais chercher

mes questions dans toute la presse.

Figuaro, le parisien, direct matin.

Mais là, c'est dans France dimanche

que j'ai trouvé ce...

Vous appelez ça de l'information.

Vous allez voir, c'est une information incroyable

qui concerne Arnaud Montebourg.

Puisqu'on vous dit

que Montebourg est habité par quelqu'un

et ça, on l'ignorait.

Il faut dire qu'il y a une biographie

qui va paraître aux éditions de l'archipel

le 10 septembre prochain.

Une biographie écrite par Valentin Spitz.

Le titre en est Montebourg, moi président.

Alors évidemment, il ignorait

l'auteur de cette biographie

que Monsieur Montebourg ne serait plus au gouvernement

quand le livre sortirait.

Il n'empêche qu'il est encore intéressant

de se pencher sur la vie

et les passions d'Arnaud Montebourg.

Là, il y a France Dimanche.

On apprend qu'Arnaud Montebourg est habité

par mes parquilles.

C'est une jeune femme

qui s'adresse à Hollande.

Non, mais t'as rien compris.

Il est habité par un...

Par un personnage historique.

Par un personnage historique,

ce serait peut-être un peu trop fort

que de dire qu'il s'agit...

Il y a Julien, là, le...

Stendhal, c'est ça ?

Il pense à une réincarnation.

Ah, Tintin.

Allez-y.

Non, non, non.

Et d'ailleurs Claude Leblanc,

le journaliste de France Dimanche, écrit

« Et qui est donc, me direz-vous,

le modèle carnaud Montebourg vénère

depuis sa plus tendre enfance ?

»

Jean-Jaurès, Léon Blum, François Mitterrand.

Pas du tout.

Dans cette biographie, on apprend que c'est...

J'en ai l'idée.

Non, mais on se rapproche.

Comment il s'appelle, avec la banane ?

Plastique de France.

Ce serait vraiment le premier à avoir Arnaud Montebourg.

Je sais, moi, je sais.

Claude François.

Claude François.

Bonne réponse de Jean-Tin Leblanc.

Ça, c'est dingue.

Claude François.

Arnaud Montebourg connaît tout le répertoire

de Claude François.

Il fait des caracôtes.

C'est parce qu'il a notre âge.

D'ailleurs, il parait que Dimanche Chantier

s'en va.

Moi, je l'ai entendu chanter.

Je suis mal aimé.

Et d'ailleurs, il a dit à Benoît Amon,

viens à la maison, ça lui a coûté cher.

Ah non, non, c'est quand même pas...

Il n'a pas dit, il a dit au sommet.

Non, mais en revanche, Audrey Pulvar

m'a dit qu'il avait un jouet extraordinaire.

Ah !

Enfin.

C'est un ex-ministre.

Et d'ailleurs, il parait que Manuel Valls

lui a dit même si tu revenez.

Ah !

Mais il a fait que des tubes, Claude François.

Je le comprends.

Il s'est fait piéger Montebourg.

Et surtout Benoît Amon.

Benoît Amon, lui, ne voulait pas partir du gouvernement

et maintenant, il est parti.

Et Filippetti aussi.

C'est le plus grave Filippetti.

Vous connaissez l'histoire.

Un canne Aurélie Filippetti

avait interdit à Fleur Pellrin

de monter le marche.

C'est peut-être faux maintenant.

Et donc, finalement, elle a monté les marches.

Aurélie Filippetti et Fleur Pellrin

étaient obligés de rentrer dans la salle

des festivals par rapport de derrière.

Donc, c'est comme incroyable la passation

de pouvoir l'autre matin.

Il avait une saveur délicieuse.

Peut-être qu'elle lui a dit, Fleur Pellrin,

Aurélie Filippetti, pour sortir,

tu passes par derrière ce qui serait formidable.

Et Montebourg.

Il parait qu'il va finir au parti communiste.

Il le dit.

Quand tu es ministre et que tu es viré,

c'est ton salaire de ministre.

Pas les à côté.

Si un jour, il est président,

il pourra faire comme Giscard.

Je viens dîner ce soir.

C'est formidable.

J'adorerais, car nous, Montebourg,

vient de nous chanter du Claude François.

Il y aurait peut-être sûrement les ailleurs.

En tout cas, Claude François nous a prouvé

par sa mort, qui était meilleure conducteur

que Sacha Distelle.

Ah oui.

Moi, un peu de l'électricien.

Eureka.

Que signifie cette phrase ?

« My day, Claude, is in immortality.

Mon jour, c'est Claude en l'immortalité. »

Et c'est quoi votre question ?

Ma question, c'est à quoi correspond cette phrase

pour Elisabeth Premier ?

Un jour, c'est dernier mot ?

Non.

Est-ce que c'est un jour où elle sait le sacrement ?

Non.

Est-ce que c'est eux ?

Non, mais je dois dire que là, vous brûlez tout de même.

À quel niveau ?

Pourquoi vous me parlez de la mort de l'Elysée ?

Parce que je vous parle d'Elysabeth Premier.

Peut-être qu'elle a dit ça.

De son chien ?

Non, mais vous êtes sur la mort.

La mort de sa mère ?

Non.

De son mari.

C'est ce qui figurera sur sa tombe.

Vous êtes tout prêts ?

Sa propre mort.

En quoi cette phrase ?

Maïdae Klos, d'immortalité, correspond à la mort

d'Elisabeth Premier.

C'est une phrase qu'elle voulait qu'on dise à sa mort ?

Non.

Est-ce que c'est un poète qui a écrit ça sur elle ?

Non. Est-ce que c'est une coutume

que toutes les rennes d'Angleterre

soit la mort soit lancée comme

le roi et mort vivent le roi

et peut-être qu'à chaque fois qu'il y en a un qui mord,

on dit ça.

Qui meurt ?

Elle dit que ça concerne toutes les rennes.

C'est une belle métaphore.

Caroline Brûle.

Non, ça ne concerne qu'Elisabeth Premier d'Angleterre.

Est-ce que ça rapporte avec une guerre ?

Du tout.

Oui. Est-ce que ça n'est pas...

Ok, j'ai compris.

C'est un rapport avec le fait qu'elle vient

de représenter en Angleterre

le plus long règne

d'une majesté vivante.

C'est Elisabeth Premier qu'on vous dit.

Là, on a Elisabeth II d'Angleterre.

Oh putain, je ne suis pas du tout.

C'est comme ça.

Il n'y a juste pas comme une siècle d'écart.

Laurent, est-ce que cette phrase

est telle qu'il a dicté ou est-ce qu'on lui a...

Non, ce n'est pas elle.

Elle, je vais vous dire, elle ne pouvait pas donner cette phrase.

Elle était déjà morte.

Oui.

C'est le jour de sa mort qui est important. La date.

My day closed is an immortality.

Ça fait quand Elisabeth Premier ?

Il n'y a pas un rapport avec Shakespeare ?

Du tout.

C'est le jour de l'immortalité. C'est ça le truc, non ?

C'est ça, ouais.

Je vais me cacher sur la porte.

Est-ce que la date

de sa mort est très important ?

Très important. Bravo, Elisabeth.

C'est quoi la date ?

Je vous le dis depuis tout à l'heure, mais vous ne me répondez pas.

Mais je vous le dis oui, c'est très important, Elisabeth.

Alors, cherchons une date. Elle est morte quand ?

Je peux vous le dire.

Est-ce qu'elle est morte en donnant naissance

à un enfant ?

Voilà.

Elisabeth 1 et la mère d'Elisabeth 2.

Mais non !

C'est bien ça.

C'est bon, non ?

Pourtant, on pourrait croire.

La date était importante en Angleterre,

cette date-là.

En Angleterre comme en France, oui.

Est-ce que c'est parce qu'on dit à chaque fois

qu'une souveraine qui porte le mot

premier après son nom meurt ?

Parce que du coup, le nom

rentre dans l'immortalité.

La date de sa mort est importante.

Vous n'aurez pas dit ça un autre jour ?

Ah non.

Voilà.

Encore que le jour

ne soit pas forcément important le jour même.

Mais la date ?

Le mois non plus.

La saison, c'est le printemps.

Il vous reste 30 secondes.

On va quand même atteindre 1 500 euros.

Non combien ?

1 500 ?

Je pense que les intelligents de la bande

vont donner la moitié.

Ah non mais je ne sais pas.

Vous pouvez donner les initiales.

Non, c'est la...

Qu'est-ce que vous dites Chantal ?

Donnez-nous les initiales.

Elle n'a pas compris la question.

Il reste 15 secondes.

Je vais vous dire, on ne comprenant pas la question.

Elle n'est pas loin.

Elle n'est pas loin.

Elle n'est pas loin.

C'est un rapport avec la mort de quelqu'un d'autre ?

Non, pas du tout.

La nouvelle année.

500.

C'est le 4ème check.

C'est un record cette année dans les grosses fêtes.

1200.

1200.

4 fois 300.

1200 euros distribués déjà.

My day closed is an immortality.

Oui, l'ordre est important.

Is après closed.

Parce que c'est M-D-C-I-I-I.

Si vous prenez évidemment l'initial de chaque mot.

Et cela correspond

en chiffres romains à la date de sa mort.

16-103.

On appelle ça un chronogramme tout simplement.

J'avais raison.

Les initiales.

Bravo Chantal.

My day closed is an immortality.

Vous prenez l'initial de chaque mot.

M-D-C-I-I-I.

Et ça vous fait 16-103.

Tout simplement.

Sans additionner évidemment les initiales.

C'est un chronogramme.

C'est un chronogramme naturel.

Autrement vous avez les chronogrammes additionnés.

Ou là il s'agit d'avoir à chaque fois d'additionner

les chiffres romains.

C'est tout autre chose.

Moi je préfère quand ils ne sont pas additionnés.

Moi aussi.

C'est à se pisser dessus.

C'est la femme de M-D-C-I-I-I-I-I-I.

C'est vraiment ça.

C'est pas que je ne l'ai pas trouvé la réponse.

M-D-C-I-I-I-I.

C'est les chiffres romains.

Étranger ça oui.

C'est une immortality tout simplement.

C'est un moyen mémotechnique.

Un chronogramme.

Ça vous donne évidemment la date

d'essai d'Elisabeth 1er.

Moi je vais plutôt retenir 1603.

C'est ça dérange personne.

En fait ce sont les moines.

Ce sont les graveurs.

En inscrivant un si des lettres mettaient des codes.

Vous voyez ce que je veux dire.

C'est comme ça qu'Alfred de Lucé et Georges Sondes

sont envoyés des lettres cochonnes.

Exactement.

Mais là c'était une excuse de...

Non, non pas tout de suite.

Peut-être vous avez lu dans Libération aujourd'hui

deux pages consacrées.

C'est un reportage.

C'est un reportage assez amusant.

Intéressant anecdotique certes mais amusant.

Signé Marlène Thomas.

Qu'est-ce qu'elle a fait cette journaliste de Libé ?

Elle est allée une journée dans un hall de gare.

La Gare de Lyon pourrait être très précise.

La Gare de Lyon pourrait écouter ce que les gens jouaient

au piano.

C'est que le piano de la Gare de Lyon

il y en a dans toutes les gares maintenant quasiment.

Mais évidemment il y a un piano

où il y a le plus de monde qui passe.

Dès 10h du matin jusqu'à tard le soir

on joue du piano.

Les gens se succèdent.

Alors ce sont souvent des passagers

ou des gens qui viennent exprès pour jouer du piano.

Alors ce qui est intéressant évidemment dans cet article

c'est qu'elle a noté ce que jouaient les gens.

Et curieusement il y a eu trois fois

qu'il y a un gros compositeur.

Lequel compositeur ?

La trahélise.

La trahélise c'est pas mal ça.

Mais c'est pas la trahélise.

La petite sonate de nuit ?

La petite sonate de nuit, non.

Le beau héros.

Un classique.

C'est du piano.

Mais c'est pas joué du piano debout.

C'est pas Michel Berger par exemple.

Non c'est pas Michel Berger.

C'est un compositeur qu'on peut appeler classique.

Un compositeur, est-ce qu'on peut l'appeler ?

Eric Satie.

Encore après Eric Satie.

Musique de film ?

Oui Michel Le Grand.

Et Neo Morricone.

C'est contemporain on est d'accord.

C'est contemporain.

De la rue ?

Non un compositeur français vivant encore.

C'est parce qu'il est rare ce morceau

parce que trois fois c'est pas énorme.

Dans une journée ?

Si trois fois dans une journée le même compositeur

trois fois de suite, on ne savait pas quel point c'est rare.

Faites l'expérience.

Faites l'expérience.

La voiture la plus connue

de la plus courante en France.

Vous envoyez souvent

deux collés comme ça

et pour en trouver trois

vous faites...

Je joue là tout seul.

C'est bien que tu n'es pas besoin d'un ami.

C'est bien que tu fises à toi-même.

La voiture du même modèle.

Oui c'est ça.

Par exemple il y a deux chevaux

et jamais trois.

C'est rare les deux chevaux.

Il y a longtemps qu'il n'est pas sorti dans la rue quand même.

Pierre, s'il y a trois

voitures de la même marque

c'est que c'est un concessionnaire.

Oui.

Oui c'est pour le commerce.

Je pense qu'on peut faire ça sur le camion

qui transporte les voitures.

Dites en s'éloigner de mon compositeur.

Moi j'ai deviné.

C'est la musique d'Amélie Poulain.

Oui.

C'est pas du pianiste Chineau.

C'est tellement tellement.

La cantine d'un autre été

mais le nom du compositeur.

Yann Thiersaine.

Yann Thiersaine.

Bonne réponse

de Jean-François Jansen.

Yann Thiersaine.

Ça s'appelle

Contine d'un autre été de Yann Thiersaine.

On l'a.

Le TGV

32.47

On va un retard

de 30 minutes

voire eux.

Le petit Pierre Benichaud

est attendu par sa maman.

C'est beau.

Le TGV

57.28

va entrer en garde.

Je vais rater mes mères.

Tu connais abandonner

sera considérée comme tu espètes.

Les valises abandonnées sur le quai

seront détruites.

Détruites de Choubert.

C'est beau.

Mais c'est très très beau.

Le son est bizarre.

On dirait que ça restait vraiment dans la colle de gare.

On le prend ce train.

J'adore.

Une fois que c'était à la gare de Lyon,

il y a un monsieur qui jouait ce morceau.

Trois fois.

Ça a mis une bonne ambiance.

Pour faire rire après.

Alors Garcelle Azar,

il y a souvent une fanfare,

une chorale gospel.

On peut nous faire une chorale.

Gospel ?

En polonais.

Assistons.

Bravo!

Bravo.

Vous avez eu une voix humaine aux金 fasting.

En pain ?

God pas.

Oui, ça va, on le sait maintenant, on va parler que c'est bon.

Oui, ben oui, ben...

Est-ce que vous l'avez eue comme cliente ?

Non.

Ah non, j'aurais adoré, j'aurais adoré, euh...

Mais bon, vu comment qu'elle n'a pas l'air froid, il m'ape quand même, hein, euh...

Oh du don !

En passagère et donc...

Mais l'air, c'est pas la chanson, l'air, euh, c'est pas pareil.

T'as jamais fait le train, non plus ?

Le point sonore ?

Non, ne lance pas là-dessus, s'il vous plaît, Philippe !

Qu'une doucement, s'il vous plaît.

Une doucement, s'il vous plaît.

Vous m'avez raconté qu'une fois ça, alors écoutez, je suis assez surpris,

pendant la nuit, parce qu'il a fait des longs courriers, hein, oui,

ce que je veux dire, eh ben pendant la nuit, il se passe des trucs absolument incroyables,

il y a une dame qui a vomis sur le passager de la côté.

Oui, quand les lumières de l'avion sont fermées la nuit,

les gens, ils dorment, ils en bisettent, nous on veille au confort des gens,

alors on fait le tour, on fait des veilles comme ça,

et il y a une dame, elle se lève, elle vaut aux toilettes,

une vieille dame, trichée, qu'enchannelle, comme ça, et que c'est juste comme ça,

et puis elle vaut aux toilettes, elle dit, elle lui dit, euh...

Il y a eu un problème là-bas, elle s'en le vaut mis ici quand même,

et l'autest, elle dit, oui, mais les lumières l'étaient fermées,

alors on regarde, on cherche un peu,

et puis on voit qu'à côté, la dame était à six-là,

et à côté, il y avait un passager, et la dame, elle avait vomis dessus.

Mais tu penses qu'elle, tu penses qu'elle nous aurait...

Elle dormait toujours !

Mais il dormait, le passager était comme ça,

il s'en était pas, il s'en était pas perçu,

et je dis, mais qu'est-ce qu'on fait ?

Il y a l'autest, qu'est-ce qu'on fait ?

On réveille le passager, et machin, elle dit, bah, il dort, c'est compliqué,

et puis je dis, bah, moi, il faut y dire qu'on y a vomis dessus quand même,

c'est pas évident.

Alors on étoile tout ce qu'on peut avec des serviettes,

on étoile fauteuil, un peu, on lui retire un petit peu sur la boue,

mais c'est...

Ça a peut-être beaucoup à Gérard Gignot !

Et le monsieur dormait toujours, il avait dû prendre un cachet,

et il dormait, et il serait comme ça,

et le matin, elle sort des toilettes, elle va se rasseoir,

comme si il n'aurait rien été, tout va bien,

elle s'était rafraîchie, tout va bien.

Et elle avait eu la chiasse dans les toilettes.

Oh non, mais qu'est-ce que c'est que cette émission ?

Ce que nous attendons tous, c'est le nom de la personnalité très connue

sur laquelle on a vomis.

Moi, je sais qui c'est, parce que moi, j'ai une personnalité

qui m'a vomis dessus une fois.

Qui vous a vomis dessus, c'est pas vrai, Josiane ?

Pourquoi vous a vomis dessus ?

Bah, elle n'était pas bien, et on était dans le même endroit,

je lui ai dit, coude Josiane, vas-y,

c'est pour vous mieux que ce soit sur moi,

et chaque fois qu'on voit Josiane, elle me dit,

quand je pense que je t'ai vomis dessus.

Et en plus, moi, je voulais te m'acheter un truc,

un vêtement un peu au-dessus de mes moyens,

un truc que j'avais payé, donc je faisais un peu la craneuse,

je n'étais pas trop grosse à ce moment-là.

Elle m'a flingué le yashima-momoto,

le truc à 600 balles.

Et c'est comme ça que t'as inventé des iguas, là ?

Le pire, c'est qu'au petit matin,

quand on a rallumé lumières pour s'en faire un petit déjeuner,

le monsieur, il s'est réveillé,

et il a fait ça, il a fait ça,

et il s'est demandé, sa première réaction,

je me suis vomi dessus, donc il regarde,

il voit bien que ce n'est pas lui qui a pu faire ça,

donc il regarde la dame, elle, elle se recoiffait,

elle regardait même pas, il dit comme ça,

et puis moi, je me sens obligé de lui dire,

je lui dis, écoutez, il y a un petit problème cette nuit,

je dis, la dame, elle n'a pas été bien,

puis visiblement, elle vous a vomi dessus,

elle met qui fait quoi ?

Et donc, il regarde la dame comme ça,

il faut dire, mais qu'est-ce que tu m'as fait connasse ?

Et elle a fait, oui, j'étais pas bien.

Et elle s'est même pas excusée,

rien du tout, c'est quand même incroyable,

elle n'a pas voyagé pour rien non plus,

on contrôle pas ce genre d'émotions,

vous voyez, elle a repu vomir dans la lit.

Mais on est pas obligé de faire

toute l'émission sur ça, non plus,

après, parce qu'on a déjà bouffé pas mal de temps,

là, quand même, hein. Mais c'était qui, alors ?

Le vomi dessus, c'est un très bon plat,

japonais.

J'ai rares, il est temps, je crois.

Il y a le vomi dessus,

que je passe. Il y a le chiatu.

Il y a le vomi dessus,

est-ce qu'on peut sortir des toilettes d'air France ?

Et le jujitsu, si.

Surtout que je reviens un autre dame de Paris.

On vous connaissait l'histoire, Jean-Phil a connu certainement.

C'est le type, c'est un pilote d'avion,

c'est comme ça qu'on dit, le chauffeur d'avion.

Qui annonce dans le truc,

« Mesdames et messieurs, c'est aujourd'hui mon dernier vol,

demain je prends ma retraite

et je voudrais tenter quelque chose

que je n'ai jamais fait,

il n'y a aucun danger, je vous le certifie,

j'ai quelques or de vol. Alors, simplement,

je vais vous demander d'attacher les ceintures,

parce que je vais tenter un looping.

Les gens sont un peu inquiets,

l'othèse dit, pas de problème,

il est bon, tout le monde s'attache,

le mec, il enche le truc, il fait le looping,

magnifique, les gens applaudissent,

ovations pour le truc,

sauf un mec furieux qui sort des toilettes.

Ah oui, on reste dedans.

Je voulais donc revenir

à Notre-Dame de Paris, et ce sera la première citation

pour Patrick Bardon, qui habite l'Orient.

Qui doit-on ces célèbres phrases

en propos de la cathédrale parisienne

qui n'a pas vu le jour se lever sur la Seine,

ignore ce que c'est

que ce déchirement qu'en prie sur le fait

la nuit qui se dément se défend,

se défait les yeux rouges obscènes

et Notre-Dame sort des eaux comme un aimant.

Victor Hugo,

Victor Hugo, non,

Rimbaud, non, Gerard de Nerval,

Gerard de Nerval, non plus,

Verlaine, non, il est mort,

il est mort, oui.

Il est mort et malin, du coup.

Ah, ça se passe mieux dans les chiottes d'air France.

Moi, c'est les Alexandreins.

Non, ce ne sont pas les Alexandreins.

Ah, quoi que non, il y a quand même ça arrive.

Non, non, ça arrive.

Qui n'a pas vu le jour se lever sur la Seine,

ignore ce que c'est que ce déchirement

qu'en prie sur le fait la nuit qui dément

se défends, se défait les yeux rouges obscènes

et Notre-Dame sort des eaux comme un aimant.

Non, ça arrive, ça arrive.

Les morts en 1982.

Guillaume Apollinaire.

Pichette. Qui c'est sa pichette ?

Pichette, c'est un poète.

Pichette, c'était le pape.

Il y avait le pape Pichette,

guillaume Apollinaire, Napoléon.

Mais je ne vois pas l'écrivain.

Dut bon poète,

grand romancier français.

Romain Garry.

Non, pas Romain Garry.

On connaissait aussi ça.

Oui, on connaissait aussi ça.

Guy Descartes.

Guy Descartes, non.

Ça peut être chanté en plus,

mis en musique et raconte.

Ah, merde.

La réponse de Gérard Juniot.

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C'est une question culturelle.

Mme Michon habite morto et...

Eh oui!

J'habite avec M.Morto, ils s'entendent très bien.

C'est un prénom masculin ou féminin?

Je suis.

C'est masculin ou féminin?

M.Michon peut-être habite morto,

et la question est une question

qui concerne encore une tombe,

d'ailleurs, puisqu'il s'agit de l'épitaph

de cette tombe que je vais vous donner,

et évidemment, à vous de retrouver

à qui appartient cette tombe,

avec, on peut y lire

sur cette tombe, exactement cette phrase,

le corbeau dit

jamais plus.

Edgar Poe.

Edgar Poe, c'est Marc Lambron,

un peu du test.

Eh oui, en original,

en version originale,

cause de Raven, Nevermore.

Pourquoi cet épitaph sur la tombe

d'Edgar Poe?

Parce que ce sont plus célèbres poèmes

le corbeau, et le corbeau dit toujours

jamais plus de manière lugubre.

Et voilà, donc la célébrité

du poème a fait l'épitaph de...

Si je vous en parle, c'est parce qu'il y a un troisième

et dernier tome des nouvelles intégrales

d'Edgar Allan Poe, qui va être publié

chez Féblus le 17 octobre prochain.

Il est mort de la lèpre,

rappelons-le.

Une maladie de Poe, oui, bien sûr, oui.

Je vous ai vu venir, Bati.

Oui, oui.

Vous m'aurez pas.

Il est mort à 40 ans à Baltimore

et on ne sait pas trop les causes de sa mort.

Est-ce que c'est l'alcool, une drogue,

le choléra, la rage?

Une maladie du coeur, une congestion cérébrale,

toutes les hypothèses courtes.

En tout cas, bravo.

Vous avez retrouvé l'épitaph de sa tombe.

Une question maintenant pour Grégory.

Il paraît que la rage est éradiquée du monde.

Bravo. Allez, mes points.

Alors écoutez, Ariel, c'est intéressant.

Non, parce que c'est pas mal, c'est pas mal.

Ah, quand l'herpé, j'ai vu qu'il était...

Non, non, mais le fait que les très grandes maladies

comme la peste et la rage

y existent plus, c'est quand même formidable.

On a encore la grippe comme grande maladie.

Je peux poser ma question pour Monsieur Rouget,

donc de chapelles sur où donc...

Ah, je crois qu'il y a été de l'île.

Non, dans le Mané Loire.

On l'avait oublié. Il n'est pas capable

de dormir seul dans le noir,

de sortir quand il y a un orage

ou même de croiser un chien.

De qui s'agit-il?

Il n'est pas capable de dormir seul dans le noir,

de sortir quand il y a un orage

ou même de croiser un chien.

Les chiens lui font peur.

C'est un... c'est un... un personnage...

Villani.

C'est une... un énorme star.

Ce n'est pas Villani.

C'est un énigme.

Non, c'est pas un énigme, c'est une vraie personnalité.

En vrai, c'est Peter.

Pas Brad Pitt.

C'est un acteur.

C'est un acteur.

C'est un acteur qui adore les chiens.

Oui, oui.

Oui, oui.

Oui, oui.

C'est un acteur.

Ce n'est pas un acteur.

Un romancier.

Il est américain.

Il n'est pas américain, il n'est pas réalisateur.

Il est européen.

Il est belge.

Espagnol.

Almodovar.

Il est toujours vivant.

Oui, évidemment, c'est un homme assez costaud.

Un homme qui n'a pas peur, qui n'apporte de rien.

Manuel Valls.

Pas Manuel Valls.

Le corps de Valls.

Non, il vit encore.

Il est plus jeune.

Il a peur de croiser un chien, vous vous rendez compte.

Le roi d'Espagne.

Est-ce qu'on peut réveiller la dame au deuxième rang ?

Elle est morte, elle est morte.

Je voyais que je ne calmanais pas morte.

Mais non.

En tout cas, madame, vous faites bien marrer votre copine.

De temps en temps, elle vous donne des coups de coude

parce qu'elle ronfle en plus.

Ça vous rappelle l'académie, l'embron.

C'est mieux chauffé.

Est-ce que c'est un acteur ?

Un torero non.

Un homme politique.

Un artiste dans son genre.

Un chanteur, un écrivain.

Dans son domaine, mais ça n'est pas un artiste.

C'est un artiste parce que oui, c'est un artiste.

Parce qu'il est doué dans son genre, mais c'est un...

C'est un peintre.

Non, pas un peintre.

Un écrivain.

Un scientifique.

L'espagnol le plus connu aujourd'hui.

Franco, courant cycliste.

Ah oui, le footballeur.

Non, pas un footballeur.

Un cycliste.

C'est Raphaël Nadal.

Bonne réponse.

Il est bourré de toques.

Bonne réponse de Laurent Baffier.

Oui, c'est Raphaël Nadal.

Il est bourré de toques.

Mais enfin, quand il pédale sur son vélo, il en fait un peu.

Il n'y a que un peu à expliquer le...

C'est un ténisme à l'arrêt.

Bonne affaire.

Dix points en moins.

Dix points en moins.

A une question pour Maxime Juteau,

qui habite Pierre-Fique.

Oui, dans les Hautes-Pyrénées.

Ça plairait.

Catherine Glavasse.

Je ne sais pas si vous connaissez.

Glavasse est pas Glavasse en place.

Mme Glavasse,

60 ans après la mort

de son frère,

continue à gérer

des droits...

C'est comme Orlando, mais à l'envers.

Mais elle ne gère pas les droits de son frère,

elle gère les droits de sa belle-sœur

Catherine Glavasse.

Mais qui était la belle-sœur de Catherine Glavasse

qui continue à gérer la mémoire

donc de sa belle-sœur ?

C'est une armada mergée ?

Non, c'est dans Galac...

Un magazine scientifique ?

Oui, c'est dans Galac que j'ai trouvé cette info.

Et je devais que je ne savais pas

que celle qui gérer les droits de cet artiste

c'était sa belle-sœur Catherine Glavasse.

Est-ce que c'est une chanteuse ?

Catherine Glavasse ?

Edith Piaf !

Bonne réponse !

C'est Piaf, c'est vraiment que les tueurés

qui savent pas.

Pourquoi ? Parce que Catherine Glavasse

est la petite-sœur de Théo-Sarapot.

Le dernier mari, Edith Piaf

et Gignorek, c'était la famille de Théo-Sarapot

qui géraient les droits...

Il a gagné au loto,

là ils ont gagné au loto.

Il était très amoureuse de Théo-Sarapot, Edith Piaf.

La Chimène Badi, leur fila-millon par an.

Alors justement,

vous parlez de Chimène Badi,

c'est pour ça qu'il y avait un article d'Angala

parce qu'elle a eu l'autorisation,

elle a été agrée Chimène Badi

en quelque sorte par cette dame, Catherine Glavasse

qui est la petite-sœur de Théo-Sarapot

qui est effectivement

le vœuf de Piaf.

Moi, il est mort pas longtemps après,

d'ailleurs Théo-Sarapot.

Il est mort en 1970

dans un accident de la route.

Le deuxième mari d'Edith Piaf

et c'est vrai qu'on se souvient tous de l'ordio

à quoi ça sert l'amour.

A quoi ça sert l'amour

On raconte toujours

les histoires insensés

A quoi ça sert l'aimer

L'amour

ne s'explique pas

C'est une chose comme ça

qui vient

qu'on ne sait d'où

et vous prends tout d'un bout

Moi, j'ai hommant du dit

Théo-Sarapot qui était plus jeune

en quelle... Ah bah oui

Il beaucoup plus grand

En même temps, elle n'était pas si vieille

mais elle avait l'air d'avoir 80 ans

Et puis elle avait sucer de pâques les glaçons

Oui, elle avait une vie bien remplie

Elle picolait, elle se droguait

Qui ça ? Marie-Ange Nardy ?

Pourquoi Marie-Ange Nardy ?

On ne touche pas Marie-Ange Nardy

Non, on ne touche pas parce qu'on n'a pas envie

Mais non, elle est géniale

Tu es dégueulasse, elle est formidable

C'est pas vrai, d'abord elle est très jolie Marie-Ange

Elle est sublime, elle a 93 ans

Monsieur Fabrice a travaillé avec elle

Oui, on l'adore

Les jeux sans frontières

Absolument, j'en ai un souvenir ému

C'est une très belle femme

Et elle était chargante

Elle était très bonne

Comment peux-je dire très bonne animatrice ?

Attaquez-vous, je sais pas

Elle est vache sacrée

Mais pas Marie-Ange Nardy

C'est vraiment pitoyable

Comment elle va sans une quétier ?

Elle va très bien

Et elle t'emmerde

C'est bien Valérie

C'est vrai monsieur

Monsieur toi, vous êtes pitoyable parfois

C'est mon métier monsieur

Autant quand vous attaquez la limite à Pierre Ninet

Même si le pauvre... Pierre qui ?

Le pauvre

Il a rien demandé, c'est un excellent acteur

Brion, beau, intelligent

Et je comprends que vous soyez jaloux

Au moins vous attaquez à quelqu'un

Vous voyez qu'il a du pouvoir

Là vous êtes en train de dire que

S'attaquer à Marie-Ange Nardy

S'attaquer à quelqu'un qui en bat sa carrière

C'est pas très gentil

Mais non, c'est au sommet le télé-shopping

C'est pas ça que je dis

S'attaquer à Marie-Ange Nardy

Il a rien demandé à personne

Le mec qui l'a démarré en faisant le journal du hard

Il nous donne des leçons

Carine, rebelons-nous

Contre toi

Contre toi

Ça me excite encore plus

Bravo

C'est beau collinique

C'est Carine qui me l'a dit

On s'enforrait

On s'enforrait

Ça, d'accord

Non, mais moi je la connais pas

Arrêtez, elle est très gentil

Non, la pire c'est à l'essence d'un public

Quelle panier de crabe

Mais c'est lui le crabe le seul

Mais toi tu détestes tout le monde

Mais c'est pas ça, j'adore les gens connus

Mais vous n'avez aucun respect pour les gens connus

Est-ce que tu m'as dit que tu étais hier sur Nicosal Yagas

Mais j'ai rien dit, Nardo

Tu nous emmerdes

Il veut nous fâcher 4h30

Bon alors donc Chimène Badi reprend

Edith Piaf alors

C'est bon comme là-bas, dis

C'est bien, c'est bien

On reproche beaucoup

à David Cameron

Quelque chose à propos de ce référendum

Quoi donc ?

De dire qu'il n'y aura pas de retour en arrière

Ça veut dire que s'il est cosgarde

Prend son indépendance, ça sera à jamais

Bah encore heureusement

Non parce que s'ils ont leur indépendance

Ils vont les bombarder

Ils vont envoyer la bombe atomique

Qu'ils proposent peut-être

Au partisan du oui

Genre d'aller les chercher

Non c'est au départ

C'est lié au référendum

Il n'y a pas vraiment porté d'intérêt

C'est quand il y a eu les premiers sondages qui s'est inquiété

C'est parti là-bas

C'est vrai qu'il s'est un peu réveillé tard

Mais c'est quand même lui aussi à qui on doit

L'idée de ce...

En tout cas, l'accord de ce référendum

Il s'est tiré une balle dans le pied

Un moment donné, il a commis une erreur

Qu'on lui reproche aujourd'hui

C'est tout simplement d'avoir proposé de faire un référendum

Et là c'est madame Hélodie Noël

De Laurent Fonte dans le pas de calais

Qui touchera peut-être 300€

Et mon avis c'est bien parti aussi

Quand j'asse TV

L'idée d'avoir fait un référendum

Non ça on peut pas lui reprocher

Mais on se rapproche

Qu'est-ce que c'est dans la terminologie ?

Ah bravo Laurent Bafi

Il a employé les mauvais mots

Non c'est la façon dont la question est posée

C'est-à-dire que

Au lieu de dire

Ils auraient dû dire

Souhaiter vous continuer à rester

Dans le Royaume-Uni

Et au contraire on a posé la question

Excellente réponse de Caroline Diamant

Et oui

Et oui

Stevie je vous ai donné quelques blagues

Ecossaises racontez-nous

J'essaie de faire le nouveau Castelli

Est-ce que vous pouvez nous raconter ?

Stevie allez-y

C'est un écossais de pur sucre

Ça démarre bien

Je l'avance qu'à fourcer désolé

Un écossais de pur sucre

Fus un beau jour obligé de sexe patrier

à Londres poursuivre ses études secondaires

Après son premier mois

De ce que leur était

Il reçoit une visite de sa maman

Dans sa chambrette universitaire

Alors comment sont les autres étudiants anglais Angus ?

Ce sont vraiment des gens bruyants et s'engènent

Tous les soirs par exemple

Mon voisin de la chambre à ma droite

N'arrête pas de se cogner la tête contre l'apparoi

Quand à mon voisin de chambre est situé de l'autre côté

Tout ce qu'il sait faire c'est hurler

Et hurler encore

Oh mon pauvre Angus

Comment arrive-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?

Maman je ne fais rien du tout

Il m'a calmement assis sur mon lit

à jouer de la cornemuse

Heureusement qu'elle est courte

Attends, attends, attends

C'est marrant d'envoyer Steve au casque pipe

Ah non mais attends c'est super marrant

J'en avais une autre, là ces deux amis un écossais

et un anglais ils sont au guichet d'une banque

lorsqu'un gangster pénètre dans la banque

et menace tous les clients

Alors là évidemment tout de suite l'écossais met la main à sa poche

et dit à son pote anglais

qu'il y a un livre que je t'avais emprunté

Des moyens aussi

Elles sont plus à la mode

les blagues écossaises

On se demande même si elles ont déjà été

Essayez-en une, Titoff

Deux écossais quittent Edimbourg

pour le vol le plus économique pour aller aux Etats-Unis

Au-dessus de l'Atlantique

un terrible orage éclate et l'avion menace

de s'abîmer dans l'océan

L'un des deux écossais tremble de peur

et se met à pleurer

L'autre lui dit mais pourquoi pleure-tu John

cette avion

Elle est un peu mieux

Elle est un peu mieux

Donnez-moi les listres

On va en donner une à Chantal

Je peux l'apportre

Je t'ai raconté tu vas voir je te l'enfilme

Alors lors d'une vente de charité

un riche écossais fait un gros chèque

Mais ne le signe pas

Vous oubliez la signature monsieur

Il répond non ? C'est un douanonyme

C'est un c'est moyen

Ah c'est moyen

Moi je suis d'accord c'est moyen

Mais j'en ai une pour Laurent Baffi

qui va peut-être être mieux

Toujours une blague écossais

Deux écossais font du camping

À un moment donné 3h du matin

les deux dorment tout tremblent dans la tente

Un écossais se réveille et dit à l'autre

John que fais-tu ?

L'autre bah je me branle

Et l'autre du répond bah t'es gentil

tu prends ta bite

Non mais c'est pas celle là que je vous ai donné

Pardon mais ça ne s'avante pas

Je n'ai pas du tout la blague que je vous ai donné

Laurent

Celle-ci on l'a entendu quelquefois

Pardon

Monsieur Dodienne

Mais je profite de la présence de Frank Ferrand

pour poser quelques questions historiques aujourd'hui

Mais vous êtes chez vous

Merci monsieur Ferrand

Je sais que vous aimez aussi vous-même

beaucoup l'histoire de France donc certainement

Je suis friand aussi

un célèbre qui fut prononcé

le 21 juillet

1798

Messieurs du Haut de ces pyramides

40 siècles vous content

Excellente réponse de Frank Ferrand

C'était Bonaparte en l'occurrence

Et oui c'est Napoléon Bonaparte qui a disait

bah alors il paraît qu'il n'a pas vraiment dit en fait

Non on l'a arrangé, peut-être il a dit simplement

bah disons il y a des pyramides dans le coin

Et ça s'est transformé

en soldat, songeé

que du haut de ces pyramides

40 siècles vous contemplent

Non il paraît que c'est un peu plus tard

en 1801

qui a eu une histoire de Bonaparte

qui a été publiée par un auteur anonyme

d'ailleurs on n'a pas le nom et c'est danse

C'était probablement Redrair mais on sait pas

Parfait donc c'est dans ce livre

l'histoire de Bonaparte

qu'avant donné il est raconté

l'importance et les difficultés de l'entreprise

en Egypte marqué par cette réflexion

qu'inspire le recueillement d'une âme grande

et élevée qui se regarde dans la

posterité de points

du haut de ces pyramides 40 siècles

nous contemplent c'est ce que dit Bonaparte

en apercevant et là Bonaparte

il voit ça dans le bouquin et dit

c'est pas mal oui mais il n'a pas dit en fait

Non mais ce qui est terrible

c'est que Bonaparte dans cette affaire

il a quand même perdu tout ce qu'il a voulu

en Egypte il s'est enfui

il a abandonné son armée

qui prend le pouvoir en France

et à partir du moment où vous avez le pouvoir

c'est ce qu'on dit c'est les vainqueurs qui écrivent l'histoire

à partir de là tout devient magnifique

et la campagne d'Egypte est un très grand succès

Bien sûr parce qu'il me semble que sur la place

de la Concorde

Ah non mais ça c'est autre chose

Ah bon il n'y aurait pas une obélisse de luxe

ça c'est un cadeau à Louis-Philippe c'est bien plus tard

Ah merde

Je vais vous parler maintenant

d'un roman unique

un roman écrit par Davis Grubb

et dans ce roman on peut entendre cette phrase

pendu pendu pendant

pendu pendant

Ce n'est pas un romancier français

c'est donc traduit mais dans la traduction

française on lit

pendu pendu pendant

Voilà ce qu'a fait celui qui pend

pendu pendu pendant

Vous faites vos petits exercices de l'occupation là

Vous vous nous posez une question

Je vous demande le nom de ce roman

C'est pas anglais

C'est américain

Davis Grubb est américain

Absolument il est mort en 1980

En anglais c'était hang

hang exact

Verbi régulier donc

Il a de bon reste du lycée

Pendu pendu pendant

Voilà ce qu'a fait celui qui pend

pendu pendu pendant

C'était pas un auteur pour enfants alors

Non mais il y a des enfants

dans ce roman

un roman qui fut adapté à l'écran

C'est qui fut adapté à l'écran par un réalisateur

célèbre ?

Oui alors réalisateur célèbre d'ailleurs

j'ai pas trop vous en dit

Il y a toute une page d'ailleurs concernant

ce réalisateur dans Télérama cette semaine

C'est pas le Seigneur des mouches

Non et le roman de Davis Grubb

est connu parce qu'il a été effectivement

adapté au cinéma

C'est un film

Bah Rambo

Bah si c'est un film occul

Vous arrêtez maintenant

de pas donner les points à Caroline

C'est pas les yeux de la colline

Les yeux de la colline non

C'est un film qui date de 1955

C'est pas la monstrueuse

La nuit des morts vivants

La nuit des morts vivants non

La nuit du chasseur

Excellent réponse de Franck Ferrand

Robert Mitchum

D'où le Ang

Ils sont les enfants qui chantent

Les enfants qui chantent

Pendu pendant voix

Ce qui a fait celui qui pendu

Pendu pendant voix le voleur

En se balançant ils sont poursuivis en plus

par le fameux prêtre

Robert Mitchum

Le film culte

par excellence

Charles Auton c'est lui

Le réalisateur c'était un acteur

dans sa vie c'est la nuit du chasseur

Il avait des meurs un peu bizarres

Charles Auton

On apprend dans un livre

qui n'est pas à mettre entre toutes les mains

sur les coulisses d'Hollywood

qu'il était coprophage figurez vous vous imaginez ça

Alors coprophage c'est quoi c'est se taper des mommies

Non ça veut dire qu'il mangeait ses propres excréments

Oh faites pas les dégoûter

J'ai une question pour Pascal Quintard

qui habite au Luxembourg

et la question concerne Zula Zazu

Je sais pas si vous connaissez Zula Zazu

mais c'est une danseuse du Créziers

Ah vous la connaissez monsieur Tito

Ah vous connaissez Zula Zazu

Eh bah écoutez c'est quelqu'un qui dans la presse

cet été a avoué que

s'il n'y avait pas eu Zula Zazu au Créziers

peut-être elle ne serait pas montée à Paris

parce que c'est la seule personne

qu'elle connaissait dans la capitale

Mais de qui s'agit-il

qu'est-ce qu'il est monté à Paris

Ah bah il était du côté de Marseille

d'ailleurs je crois bien

Ah c'est une actrice

Une chanteuse

Oui Jennifer

Ah c'est pas un mec

Je l'adore

Clara Luciani

La chanteuse de la Grenade Clara Luciani

Clara Luciani

Qu'est-ce qu'il y a monsieur Benisho

Je l'ai trouvé d'un coup

Tout de suite je l'ai trouvé

Elle chante la Grenade

La Grenade

La Grenade

La Grenade a fait la paix à fruits

Qu'on fonde avec Grenada

Grenade a tirani la la

Il est

Almonia

Non moi tu n'avais pas chanter merde

Non je m'étais dit que j'arrêterais de chanter

mais là je reprends parce que

même les deux pérolènes là-bas ils sont contents

Alors vous n'aimez pas votre pierre

on vous met

On regarde les

ils vont rentrer

on s'est fait un copain

Alors la Grenade vous connaissez ça a été un grand succès

évidemment de l'été Clara Luciani

Vous connaissez ça quand même monsieur Benisho

On ne sait pas Grenada mais c'est bien

donc elle est

Cousine par Allianz ou Niesb

comment on dit dans ces cas là si son père était cousin

de Zula Zazu

elles ont des noms marrants quand même

les filles du crazier

Flamarrosa, anatomique

Fastiwiz, Divaterminus

Fifi Stonbaï

Le Vamour évidemment

Bertha Funparaboum

Stella Patschouli

et Zula Zazu

Comment il s'appelait votre femme

Visa Est

Visa Est

Visa Est

Mais c'est pas les pseudonymes tout ça

Non c'est les noms

Non c'est les vrais noms

Je confirme c'est leurs pseudonymes

Non c'est leurs noms d'eau

Moi la mienne s'appelait Paule du Pont

ça n'a pas marché

Je n'aime pas les deux

Pourtant

pourtant je ne sais pas la quelle est la mieux

celle en kaki ou celle en blanc

la quelle

vous êtes les fiancées là-bas les deux

C'est deux sœurs j'imagine

vous êtes deux sœurs mesdames

deux collègues

Collègues dans quoi ?

Elles sont pas très belles participées

Comment ?

Ils sont deux assistantes sociales Pierre

Elles sont minutes de chercher

Alors là

ça ne pouvait pas

ça ne pouvait pas mieux tomber

Je dois dire que je suis bien tombé

J'ai perdu l'usage de mes jambes

l'usage de ma voix

Mais pas de...

Mais pas de mon content banque

On mène ça quand même Pierre

ça n'aurait pas là autrement

Je sais bien, moi je pensais que vous reveniez pour moi

pour le plaisir de me revoir

puis vous m'avez dit ah

tu me manques un peu

mais t'es tellement volage

tu vas être tellement volage

un jour c'est moi

le lendemain c'est non bon

Non mais vous êtes là pour l'argent

Je l'avais dit tu me manques combien

Moi je pensais que vous étiez revenu

parce que vous entendiez le public qui vous réclamait

Oui dans les jambes au public

Dès que j'arrive près de la porte maillot

j'attends

La crumeur qui monte

ou est-il

ou est-il

mais tu vas revenir quand Pierre

parce que normalement avec un seul cachet

tu peux vivre au moins pendant 6 mois non

Si payez normalement

Si payez au mot

on en paye pas

alors tu n'aimes pas pas non pas

Pierre je vous ai dit

vous avez le droit de revenir

parce que c'est vrai que voilà

vous nous avez quitté pendant un long moment

trop long moment je tiens à le dire

Ah oui mais quand même la direction de RTL

m'a fait savoir que ce serait mieux

si vous ne harceliez plus

les dames du premier rang

Ah merde il va être encore viré

parce qu'on est en 2019

il y a eu des plaintes

Marlène Schiappa et secrétaire d'Etat

auprès de la protection féminine

hashtag balance ton pied

et ça c'est vrai que maintenant

vous pouvez plus parler comme ça aux dames

aux deux dames qui sont là assistantes sociales

il y a petite dame en rouge là aussi qui est juste

de moi que j'ai bien vu

que vous avez repéré chère Pierre car c'est

tout à fait votre thème

elle est trop mignonne

elle est à croquer

il te passe ta gada

ça pourrait être en arrière petite fille surtout

on va encore être obligé de te dénoncer

Pierre je suis désolé

ça fait rien

je suis parti 7 ans

les 4 premières années

les 4 premières années elle était cachée au Vietnam

c'est rombo

c'est rombo

c'est rombenichou

la jeune femme

elle est 25 ans

je suis sûr qu'elle a joué madame

19 ans

on se fait toujours avoir

ça continue

ça continue

donc vous promettez

et les autres 3 années

parce que les premières c'est au Vietnam

c'est mon parlance

la jungle

et la dernière année

la dernière année j'étais en parbatte chez toi

tu m'as même pas vu

c'est une question pour Jean-Marie Pierre

qui habite à ça

en pyrénée atlantique

qui a-t-on surnommé la fusée italienne

dont on peut voir toute une exposition

qui lui est consacrée au musée des avelines

à Sainte Clou

pas du tout

Gino Bartali

un coureur cycliste

c'est une exposition

qui a lieu au musée d'art et d'histoire de la ville

de Sainte Clou

jusqu'au 21 janvier prochain

et l'exposition est consacrée à un seul homme

un seul homme qu'on a surnommé

la fusée italienne

Ascari

alors évidemment quand on l'a surnommé

la fusée italienne c'est l'époque

où il faisait du sport

il n'en fait plus

on l'a connu pour autre chose

il est moru là maintenant

pour avoir une expo c'est très rare

les expos sont vivants quand même

un gars qui courait

un gars qui courait qui faisait du 100 mètres

un athlète vous voulez dire

peut-être qu'il était tennisement

il n'a pas été que sportif

il a été acteur

c'est un grand acteur italien

un grand acteur pas italien

Gino Ventura

une bonne réponse

de Chantal Laxu

en plus

je vous ai dit Sainte Clou il habitait à Sainte Clou

c'est Jean du Jardin qui a acheté sa maison

exactement et la fusée italienne

c'est le surnom qu'il avait quand il était

catcher au cirque du verre

il a été luteur dans un premier temps

puis il a entamé une carrière de catcher

qui était plus rémunératrice

que la lutte, le catch

la fusée italienne vous connaissiez son nom quand même

alors monsieur Benichaud

on pouvait le comparer

à un destructeur

à une grosse machine

mais une fusée on voit quelqu'un de très mince

c'est un drôle de surnom

pour un catcher

il va très vite, très rapide

il fonçait, oui, il fonçait

comment vous appelez quand vous faisiez du catch

au rang mécanique

une question pour monsieur Georges Guillet

qui habite très rieu dans l'un

cette caisse date de 1673

et elle fut la première

de quoi s'agit-il ?

une caisse pour ramasser

des impôts

une caisse

la caisse d'épanne

pas la caisse de dépôt et constatation

non mais effectivement on est tout près

grâce à Sophie d'avant

une caisse qui date de 1673

c'est la première

quand on la lâche

c'est pas vrai

il pète en plus

la caisse

la caisse d'épanne

mais non mais écoutez de quoi en parlons

c'est fou parce que la première date

de 1673

la caisse retraite

la première caisse de retraite

c'était pour les marins de la marine royale

à l'époque

la première caisse de retraite date

de 1673

on se ferait en gasant

vous êtes pour la retraite à quel âge

vous monsieur rio

je sais que je vais mourir sur scène

je t'ampe tout à mon public

il a pris un bouleard le mec

j'ai fait exprès marquise

c'est pro pour Dalida le gars

laissez moi chanter

danser en liberté

il faut le relâcher

on va te suicider

c'est au LIDA plutôt

J'ai envie de chanter de danser !

Ah oui ? Allez-y, allez-y !

Viens au minute.

Chantez-nous du Marc Lavoine.

Il va être content, Marc.

Non, non, non, non.

Non, non, non.

Ne laisse pas là-dessus !

Pour notre première rencontre, vous ne pouvez pas faire, Marc.

Non, non, non. Je n'aurai rien faire avec toi.

3 phrases, 3 phrases !

Ce qu'on va faire, c'est qu'on va faire une petite compile pour vous, Marc Lavoine.

Interpréter par Joann Riou, un peu comme Bob Castel avec Sim.

Ah oui, c'est Génération Lavoine,

Ah oui, c'est Génération Lavonne, l'album.

Un des premiers grands succes, ça ne marque, c'est pour une biguine avec toi, Lézi, Johan.

Allez, vas-y.

Pour une biguine avec toi !

Non, me touche pas.

Allez, viens, approche-toi de moi, on va être bien là.

Allez, viens, montre tes jambes, montre tes folles, notre temps de corps.

Allez, ma... Allez, viens, la main.

Vous me biguez là avec toi !

Laurent, il approche son poste derrière.

Là, il y avait Laurent Bouzzi, il y avait Laurent Bouzzi.

Il y avait Alain, il y avait Alain Souchon.

Non, il y a Marc Lavonne.

Dis-moi, remets ta chemise, là, c'est pas possible.

C'est pas grave, c'est plus j'ai envie d'aller attendre...

Remonte ton pantalon.

J'ai un public, je vous quitte, je vais aller danser, je vais aller danser.

J'ai un deuxième succes, les yeux revolvèrent, en fait, nous les yeux revolvèrent.

Elle a les yeux revolvèrent, elle est publique, on se lève là.

Elle a les yeux revolvèrent, elle a le regard qui tue.

Elle a tiré la première, elle m'a touché, c'est foutu.

Un peu seul, un peu seul sur la sable.

Ah non, ça c'est rock boisine, ça.

Ah non, laissez-vous avoir le frein, je vais faire un sacribelle.

Est-ce qu'on peut mettre un silencieux sur le révolver ?

Pardon Marc, pardon, mais je trouve qu'il les interprète.

Oui, il est magnifique.

Je trouve qu'il est magnifique.

Le Marc, je me pardonne.

Sur le parking des Angers.

N'insiste pas.

Non, Sophie, faut faire quelque chose pour lui.

Laurent, je suis aussi épuisé que Marc.

Et moi aussi, je suis épuisé de ma connerie.

Dans une heure, il y a un cheffard de TF1 qui vient me chercher pour aller danser.

Ah oui ?

Ouais, c'est génial.

Mais alors, ils sont dans quel état, la production ?

Je suis très sage, je suis vraiment un bon petit soldat, on danse comme des fous.

T'as une loge capitonnée ?

Déjà, il va falloir une semaine pour mettre le colant.

Et à part Clara Morgan, y a qui d'autre alors ?

Alors, Moundir qui a gagné colantin, y a Destin.

Coulantin.

Ladidou Couré, champion du monde en 2005, comme qui a faillé.

Qui ça ?

Ladidou Couré, qui avait eu une sorte de drame.

Il a bien dansé lui.

Il a failli gagner la médaille d'or aux Jeux olympiques en 2004.

Et sur la dernière E, en voulant rattraper un superbe chinois,

il s'est un petit peu affalé sur la dernière E.

Un superbe chinois.

Un superbe chinois.

Avec un très beau petit cul.

Mais le mec, il est fou quoi.

Il dit n'importe quoi.

Il a perdu du dents parce qu'il a sauté brus de taille.

Il est tombé parce qu'il a regardé le cul.

Un superbe chinois.

En courant les Jeux olympiques.

Il est dangereux.

Il faut l'enfermer dans une pièce capitaine avec une camisole.

Mais pourquoi peut-être ça lui plaît les culs des chinois ?

Pourquoi il ne fait pas les blers ?

Il était magnifique, c'est lui là.

Mais alors tu vois, laisse-moi te faire un diagnostic.

C'est parce qu'effectivement, entre les culs des chinois

et les culs des chinois, enfin, tu ne sais pas très bien.

Alors, tu es perdu.

Tu devrais essayer avec plusieurs...

Non, pas du tout.

J'ai du mal, déjà, tout seul à l'heure.

À trois à l'heure.

Oh putain, je n'ai jamais autant rigolé.

Non, mais putain, c'est Marcel.

Comment tu connais mon deuxième prénom ?

C'est quoi ton deuxième prénom, Marcel ?

Putain.

Mais Laurent, merci de m'avoir convié à cette fête.

Ça fait cinq mois que je n'arrête pas de rire.

Tout le monde s'est foutu de ma gueule, mais je suis tellement heureux.

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du samedi 28 octobre 2023.



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