Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Le Best of du samedi 14 octobre 2023

RTL RTL 10/14/23 - Episode Page - 1h 40m - PDF Transcript

On peut penser qu'un influenceur va nous aider à choisir notre voiture,

où on peut décider de faire confiance aux 800 000 conducteurs de Dacia Sandero.

La voiture la plus vendue au particulier depuis 7 ans en France,

à partir de 6 euros par jour, avec 4 ans d'entretien inclus,

est à découvrir pendant les jours essentiels du 12 au 16 octobre.

Monsieur Pierre, je vous ai installé, regardez.

Entre Jean-François Jansen et Mme Okren.

Oui, c'est cohérent.

En face de vous, un professeur éminent, M. Relin.

Ah ben j'ai beaucoup de respect pour M. Relin.

Un des chanteurs les plus populaires qui soit,

et puis Christophe de Chavannane, animateur,

qui fait son retour aux grosses têtes de...

Ah, mes parents l'adorent !

Mes parents étaient fou !

Vous aimez bien Marc Lavoine, Christophe de Chavannane, c'est vrai ?

Ah, j'adore Marc Lavoine, on se voit jamais, mais on s'entend très bien.

C'est peut-être pour ça !

On s'interse pas, c'est pas impossible.

Ah, il s'ajoute, il s'ajoute.

Non, mais Marc fait partie des personnes qui racontent le mieux,

et je suis fieru de ça, les histoires drôles.

Ah, c'est vrai, vous en avez une pour nous, Marc.

Ah non, alors je dis pas que c'est un disquebeteur automatique,

il n'y a non plus, hein.

Vous en avez une petite nouvelle, M. Lavoine ?

Bon, je sais ce qui s'est passé en 1111.

En 1111, non.

L'invasion des 1.

Oui, oui, oui.

Qu'est-ce que je vous disais ?

C'est pas mal.

Oui, oui, oui, oui.

C'est matinale.

La tonalité de l'émission, il est au nez.

Pourriez peut-être danser sur du Marc Lavoine samedi,

comme je viens de le suggérer.

Mais j'en rêve.

Ah, voilà.

J'en rêve, parce que déjà je suis en phase

avec toutes les chansons, on se trouve que

ils racontent pas les histoires drôles,

pour moi, ils racontent les meilleurs histoires d'amour.

Ah, oui, oui, voilà.

Et quand tu niques l'émission...

Vous avez traîné sur le parking des gens, on se voit.

Ah, oui !

Et voilà, donc je rêverais de danser,

en plus, ça aurait un truc familier.

Je le connais, je l'aime bien, ils m'aiment bien,

on s'aime bien.

Et vous avez la même voix ?

Vous pouvez me chanter pour une big in avec toi,

histoire de vérifier.

Big in avec toi,

pour une big in avec toi,

émitateur.

Non, on t'a pas demandé de te foutre de sa gueule,

on t'a dit chante.

Monsieur Lavoine, je t'ai à vous le dire,

Pierre Benichur est-ce d'être un peu jaloux de vous,

parce qu'il considère que le chanteur,

au gros stade, c'est lui, évidemment, c'est lui.

Non, on t'en va le temps, on en met à l'autre,

enfin, en général, il s'en va pas très content.

Quel est la dernière chanson que vous devez interpréter,

la plus moderne que vous connaissiez ?

Vous la connaissiez pas, celle-là, Marc Lavoine ?

Je sais qu'il y a trois nouvelles chansons sur votre album,

mais celle-là, non, pas celle-ci.

Pas celle-ci, hein.

Vous voyez, Pierre, il faut faire un effort,

il faut être un peu plus dans le cou, quand même.

Mme Ocraine, t'attends mieux de vous.

Mme Ocraine, c'est ce qu'elle attend,

elle attend la première citation pour pouvoir bier.

Absolument.

Et je compte sur elle, évidemment, aujourd'hui,

pour répondre aux questions.

La première citation, la voici.

Qui a dit, et ce sera pour Marie Thérèse, Henri,

qui habite reine,

la guerre de 14-18 avait fait un civil tué pour dix militaires.

La guerre de 39-45, un civil tué pour un militaire.

Le Vietnam sans civil pour un militaire.

Pour la prochaine guerre,

les militaires seront les seuls survivants.

Engagez-vous !

T'es un français ?

Un français.

Un politique ?

Un politique, ah, il a voulu, c'est le milieu de coluche.

Et c'est coluche, bonne réponse, Mme Ocraine.

Ben voilà !

Une autre citation pour Maxime Verlaine,

qui habite à Bocair,

qui a dit, en virant le mur de Berlin,

tout ce qu'on a gagné, c'est des courants d'air.

C'est très con, comme phrase.

Pourquoi ?

Parce qu'on a gagné bien plus de choses que ça,

que des courants d'air.

Oui, c'est de l'humour, vous voyez, M. Roi.

C'est de l'humour, non, c'est pas de l'humour.

Il faut que ça fasse sens pour que ce soit de l'humour.

Il faut qu'il y ait quelque chose derrière.

Là, c'est un mot.

C'est même pas un mot d'esprit, c'est un mot.

Ben ça fait sens, si tu fais ton bas à Murth,

il passe.

Ben oui.

Il a raison, il a raison.

Alors d'accord, Jean-Phi, je m'incline, d'accord.

Non, non, non, moi je suis entièrement d'accord avec M. Roi.

En plus Mme Ocraine, vous pourriez lui faire confiance.

Elle y était au mur de Berlin quand il s'est...

Je t'en prie, je t'en prie.

Bah si, c'est vrai.

Ah bon, après qu'il était à Berlin...

Vous étiez au pied du Murth ?

Absolument.

Oui, quand j'étais gamin, j'étais allé avec l'école à Berlin

quand il y avait un mur de Berlin.

C'est pas vrai.

J'avais pris allemand première langue, donc c'était un voyage de classe.

Donc il y avait Berlin-West et Berlin-Est,

et j'avais eu une petite aventure à Berlin-Est.

Ah oui, plutôt...

Non.

En uniforme.

Vous avez plutôt eu une aventure à Berlin-Gau.

Mais c'était...

On n'a jamais pu se revoir à cause du mur,

mais quand le mur est tombé, je les cherchais, je les mets retrouvés.

Bon, dites l'auteur.

En plus M. Roi là, au lieu de protester,

il est mieux de retrouver son nom,

parce que c'est quelqu'un avec qui vous avez travaillé.

Environ le mur de Berlin,

tout ce qu'ils ont gagné sont des courants d'air.

Les chiens étaient perdus aussi.

Comment ça, les chiens avaient été perdus ?

Ils pissent tous sur les murs, non.

Ah, c'est vrai, les chiens.

Les bergers allemands, c'est très perdu.

Il a raison d'avoir un...

Non, ça doit être un communisme, c'est-à-dire ça.

C'est Thierry Ardisson, alors ?

Ah non, c'est pas Thierry Ardisson.

Non, c'est quelqu'un avec qui vous avez travaillé,

comme exemple la Palace, vous voyez, quand vous avez...

Jean-Michel Rive.

Non, c'est pas Jean-Michel Rive.

Ce n'est pas Jean-Michel Rive.

Thierry, on n'est pas sûr que ce soit vraiment lui

qu'il ait donné...

Ah, mais c'est intéressant, alors.

Cette phrase.

Si c'est...

On doit trouver quelqu'un

qui n'a pas dit la phrase que vous avez dit.

Oui, oui.

C'est lui qui l'a publié, en tout cas,

ça, c'est certain.

Ah.

Il aime.

Dans les brèves de contres.

Pardon ?

Dans les brèves de contres.

Ah, oui, Gouriot, oui.

Et c'est Jean-Marie Gouriot.

Bonne réponse de Marc Lavoie

et François Rola.

Non pas comme le dit Jean-Michel Rive,

qui essaye de vendre la sauce,

que les brèves de contres,

c'est la parole populaire,

la sagesse populaire.

Non.

Il dit bien, c'est des conneries

qu'on dit au bistro.

Il y avait une brève

qui était formidable, d'ailleurs, de...

Gouriot.

Vous voyez, un type qui dit

quand tu dors,

les yeux, ils continuent à regarder,

mais ils se font chier.

Une question, donc, disais-je,

qui devrait normalement satisfaire

M. Fabrice,

puisque vous êtes toujours

supporter du Paris Saint-Germain.

Ah bon, cher, toujours.

Alors voilà.

Donc vous allez sûrement me dire

et Thierry Lanusel,

qui habité Chirol,

espère tout de même un chèque

de 300 euros.

Vous allez peut-être pouvoir me dire

pour quelle raison

les supporters du Paris Saint-Germain

sont contre le choix

de William Grigacine.

Bon, alors...

William Grigacine...

C'est un joueur, ça ?

Ce n'est pas un joueur.

C'est pas un joueur.

C'est pas un entraîneur.

Toujours est-il

que, on va dire,

la direction du Paris Saint-Germain

a choisi William Grigacine

et certains supporters

ne sont pas contents de ce choix.

C'est un...

Il a un rapport avec la santé,

avec la médecine ?

Non.

Bon, il a rapport

avec le sport, quand même.

Avec le sport ?

Là, parce que...

Avec le maillot ?

Avec le maillot, non.

Avec la trésorerie du club,

le prix des places ?

Non plus.

On le connaît sous un autre nom,

son nom de scène.

Vous me direz

que je ne suis pas certain

que vous connaissiez non plus.

Ah, c'est le chanteur.

Alexandre Benalla ?

C'est pas un chanteur.

Un acteur.

Un acteur.

Un acteur.

Un acteur.

Non.

Un speaker.

Un speaker.

Un musicien.

Un musicien, oui.

Voilà.

Ils ne sont pas du tout contents

de la musique qu'il a faite.

Ils ont changé la musique.

Ils ont changé la musique

de l'entrée

dans notre stade.

Bonne réponse

de Fabrice.

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Le nom de William Grigacin,

c'est le vrai nom.

Non.

Le nom d'artiste,

c'est Digi Snake.

Et c'est sa musique à lui

qui a été choisie désormais

quand les footballeurs

du Paris Saint-Germain

entrent

au Parc des Princes

et les supporters sont

pas contents

parce que depuis des années,

c'était la musique

de Phil Collins

qui signifiaient

l'entrée des joueurs

sur le terrain.

Ah !

C'est ça,

Monsieur Fabrice.

C'est ça.

Et là,

le public fait

mon culet !

Alors,

Calo-Limpique de Marseille,

c'est la musique

de Van Halen.

Ah !

Elle est mieux,

celle-là.

C'est mieux à Marseille, hein.

Non, mais vous vous présentez, non ?

C'est quoi, la musique ?

Ah, c'est plus à Marseille.

Vous avez vu l'équipe

qu'on a à Marseille.

Ça attaque, ça attaque.

Pour des joueurs pas chers,

prêtés, même parfois.

Et la musique de William

c'est ça ?

Et la musique de

DJ Snack, c'est quoi ?

Alors justement, voilà,

au PSG,

ils ont relevé Philippe Collins.

Les supporters ne sont pas contents.

Désormais,

les joueurs entrent

sur la danse des calmeurs.

Non,

non, sur à la queue, non, non.

Ils entrent

sur une musique

de DJ Snack.

C'est pas mal,

pour l'ambiance.

Pas mal.

C'est bien,

c'est mieux que Philippe Collins.

Ah, c'est mieux,

je crois, que Philippe Collins.

Oh non, ça fait moins...

C'est affreux, c'est affreux.

On va voir que ça démarre un peu,

parce qu'il va pleurer un peu,

en vrai.

C'est bon, très non.

Accroche tes mains à ma taille

pour pas que la chenille déhaille

tout ira bien et s'occupe

vive la chenille et le bongeur.

Ça marche,

dans la batterie.

Oh, les supporters du PSG.

Oh, c'est moi, cette musique,

c'est insupportable.

Mais elle démarre pas.

Oh non, c'est quand même mieux,

à Marseille, on a.

C'est mieux.

Ouais.

À Paris.

À Paris.

Il n'y a pas de photos, ouais.

Ah, il n'y a pas de photos.

Et paf, et 3, et 4, 0.

Allez les gars, ouais.

Il y a le pic.

Ouais, mais la meilleure musique,

c'est celle de l'entrée

des grosses têtes,

c'est celle-là,

évidemment, la meilleure musique.

Les gros chips.

Et maintenant,

entre sur le terrain,

l'avance entre Paris.

Dans la surface

de réparation,

il vient de se casser la gueule.

Marseille Aliacou.

Le Mercato

nous a permis

de l'acheter au club d'enfance.

Julien Claude.

Il représente

l'île,

champion de France.

Jean-François Jean-Saint.

Il joue avec des chaussures bateaux.

Olivier de Cersoso.

On a l'impression

qu'elle a avalé la plouze.

Isabelle Mercato.

Ça, vous voyez,

ça, c'est du générique.

La plus grosse

a pesé jusqu'à 922 kg.

Caroline Diamant.

Non.

922 kg.

Alors qu'en moyenne,

c'est 5 kg.

Mais aux États-Unis,

on en a trouvé

une de 922 kg

en 2013.

Elle fut même exposée

à New York.

De quoi s'agit-il ?

Ça fait même un gros

du différentiel,

entre 5 et 920 kg.

Oui, mais la moyenne,

c'est 5 kg.

Et c'est vrai qu'on a une,

la plus grosse du monde,

en Californie,

qui a pesé 922 kg.

Alors,

est-ce peut-être

une météorite ?

Une météorite, non.

Moi, je pense à un fruit.

Allez-y.

Un potiron.

Un potiron, pas loin.

Ah, un citrouille.

Un citrouille.

Un citrouille pour Halloween.

Évidemment,

une citrouille.

Et oui,

une citrouille,

telle la citrouille

de Sandrillon,

évidemment, vous vous souvenez.

Ah oui.

Oui, oui.

Mais comment c'est possible

qu'il y a un tel écart ?

Il y en a une qui est plus grosse

que l'autre, c'est sûr.

Non, mais ça veut dire

qu'il y a un mec

qui l'a génétiquement modifié.

Oui, ça y est, aux États-Unis.

Ils ne sont pas trouvés

dans la nature.

Ils font de façon

des plus grosses citrouilles que nous,

parce que le record

en Europe, c'est 617 kg.

Une citrouille

qui avait poussé

pendant 129 jours

et avec

une tonne et demi de fumier.

Oui, évidemment,

c'est des records

que tente d'obtenir.

Des concours en rien à foutre.

Non, pas des concours

en rien à foutre.

Des Américains

qui veulent avoir

la plus grosse citrouille

de la région.

Elle est commissible,

ou pas ?

Évidemment, oui.

Il y a les plus grosses

à 922 kg,

vous imaginez,

un peu la taille de...

Ça ne peut rien dire,

on peut être très lourds

et prendre très peu de place.

Les deux ne sont pas corrélés.

Elle n'a pas la citrouille,

mais l'almonon, elle, alors.

Alors justement,

connaissez-vous

cette fable de la fontaine,

et ce sera la question suivante

pour Monsieur Jean Ménoni,

qui habite chahier les marais.

C'est la quatrième fable

du livre de Jean de la fontaine

du second recueil

des fables de la fontaine.

Le 1.1 est la citrouille.

Le quoi est la citrouille ?

Le muleau.

Le muleau.

Non.

S'agit-il d'un animal ?

Non.

J'avais posé la question.

D'un aliment.

D'un aliment,

oui, on peut considérer

qu'il s'agisse d'un aliment.

Ah, le oignon.

Le poichiche.

Le poichiche.

Non.

Le roseau.

Le roseau, non.

On peut dire

que c'est un aliment,

ça veut dire

qu'il ne se cuisine pas

telle qu'elle.

On en mange pas tous les jours.

Le caviar est la citrouille.

Non.

On en mange pas tous les jours.

Pourquoi ?

Parce que c'est cher ?

Parce que c'est pas nous

forcément qui en mangeons,

puis ça dépend

de quoi il s'agit exactement,

évidemment.

Les animaux en mangent,

les animaux en mangent.

Certains animaux en mangent.

L'orge.

L'orge, non.

Le maïs.

Le maïs, non.

Le marron.

Le marron, non.

Le blé.

Stevie devrait trouver.

Ah, les bananes.

Il n'est pas loin

d'en manger tous les jours.

Les concombres.

Le roseau.

Non.

Il n'est pas loin

d'en manger tous les jours.

La rillette,

la rillette et la citrouille.

Non.

La rillette et la citrouille.

Oui, j'aimerais bien

connaître la morale, moi.

Le jaune.

Un jaune.

Mais non.

C'est que le champignon.

Le champagne.

Bon, il n'a pas de champignon,

Stevie.

Est-ce que ça pousse

à la même saison que la citrouille ?

Mais s'il avait des champignons,

ce serait justement...

Des sapins.

Ah, le pied de louton

et la citrouille.

Le...

La trompette de la mort.

La maïs.

La citrouille et la citrouille.

Mais non.

Le sapin.

Oui, là, les champignons,

Stevie.

Ah, bah merci.

Vous en avez pas.

Il va dans la forêt

pour ramasser les champignons.

Allez, bien, pour les enfants, ça, là.

Je vais la raconter à ma fille.

La nuit, c'est la citrouille.

Le trou de balle et la citrouille.

Mais non, de l'autre côté.

La verre, c'est la citrouille.

La verre, c'est la citrouille.

Mais non.

La pine.

La pine et la citrouille.

La verre.

Les noisettes et la citrouille.

Non, on se rapproche.

Les noix.

Les noix.

Le blanc et la citrouille.

Le blanc et la citrouille.

Le blanc et la citrouille.

Ben, elle répond.

C'est un collective.

C'est vrai que lundi, c'était très bon, quand même.

Vous ne connaissez pas le blanc et la citrouille.

Non.

C'est une faible de la fontaine.

Ça m'étonne pas que ce soit pas la plus racontée aux enfants.

Et on a trouvé grâce à Stevie.

Dieu fait bien ce qu'il fait.

Sans en chercher la preuve,

en tout cet univers,

il allait parcourant dans les citrouilles.

Je la trouve.

Un villageois,

considérant combien ce fruit est gros

et sa tige menut.

À quoi songeait,

dit-il,

l'auteur de tout cela.

Il parle de Dieu, évidemment.

Il a bien,

mal placé cette citrouille-là.

Et, par bleu,

je l'aurais pendu

à l'un des chaînes,

que voilà,

s'eût été, justement,

l'affaire,

tel fruit et l'arbre,

pour bien faire.

C'est dommage, Garot,

qu'une tue des points entrés

au conseil de celui

que presche ton curé.

Tout en hut était mieux.

Car pourquoi, par exemple,

le gland,

qui n'est pas gros,

comme mon petit doigt,

ne pentille pas

en cet endroit ?

Dieu s'est mépris.

Plus je contemple

ces fruits ainsi placés,

plus il semble

qu'il s'en va.

Il s'en va.

Il s'en va.

En framlingadolaga

On hiproco.

Cette réflexion,

embaraçant notre homme,

on ne dort point,

quand on attend d'esprit.

C應hê no cytô

qui va prendre son somme.

Un gland thombe

le neit du dormeur empati,

il s'éveille et,

portant la main

sur son visage,

trouve encore le gland

pris au poil du menton.

Son nez mortrit

le force à changer de langage.

Oh, dit-il, je saigne !

et que serait ce donk

s'il fut tombé de l'arbre ?

glan ut été gourde, Dieu ne l'a pas voulu, sans doute il a raison, j'en vois bien

à présent la cause, en louant Dieu de toutes choses, Garot retourne à la maison.

Il y a un peu, ça peut être une métaphore aussi pour les grands mecs qui ont des petites

bites et les nains qu'ont des grandes bites, que la nature est bien faite, non mais que la nature

est bien faite.

Non mais il a raison.

Bah si.

Je l'ai mal eue peut-être.

Non moi j'ai adoré.

Mais toi de toute façon t'es viré l'année prochaine, je l'adore.

Une question pour Pierre, dû à en parler de prigoncours, vrai que c'est unique évidemment

à un écrivain qui a eu deux fois le prigoncours en piégeant les bambos du jury puisqu'il

avait pris un pseudo, Émile Agard, après l'avoir eu évidemment sous son vrai nom celui

de Romain Garry, mais aujourd'hui c'est un autre prix qu'on desserne, c'est le prix

Nobel de littérature.

Ce sera donc l'objet de ma première question pour Pierre Duan, il y a tout l'historique

dans le journal La Croix, aujourd'hui si vous avez lu La Croix vous saurez répondre parce

qu'on nous dit quand même qu'il y a eu pas mal de Français qui ont eu le prix Nobel

de littérature, le premier c'était Sully Prudhomme en 1901, il y a eu Frédéric

Mistral en 1904, Romain Roland en 1915, Anatole France en 1921 et moi je vous demande

tout simplement le nom du Français qui a obtenu le prix Nobel de littérature en 1927,

le cinquième Français a avoir obtenu le prix Nobel de littérature, il y en a eu d'autres

depuis évidemment.

C'est l'ordre.

Il n'y a pas plus précis comme quoi.

Roger Martin Dugard.

C'est vrai Moriac.

Moriac, non.

Martin Dugard.

Martin Dugard, non.

Non.

Il était né à Paris.

C'est gide, non ?

Et alors du coup il a un métro ?

Ah non, il n'y a pas de métro.

Il a une avenue.

Mais cette émission lui rend hommage régulièrement, je dois dire.

Ce n'est pas gide.

Ah oui, ce n'est pas gide.

Et c'est vrai qu'en plus son œuvre est entrée dans le domaine public en 2012, vous voyez.

Et qu'est-ce que je peux vous dire d'autre ?

Il est mort, il avait 80 ans quand il est mort en 1941.

Et tu dis à l'école évidemment avec une œuvre majeure ?

Non.

Pas étudier à l'école.

Ah bon ?

Saint-Jean Perce.

Mais on peut dire qu'il y a une de ses œuvres ici à qui on rend hommage régulièrement.

Ah, il est écrit sur le cul alors ?

Sur le cul, non.

Il a écrit un roman qui s'appelait La Valise.

La Valise, non.

La Valise.

Sur l'amour, c'était assez d'histoire d'amour ?

Non, sur l'amour.

Non, on peut dire que c'est un philosophe aussi si ça peut vous dire.

Ah oui ?

Alain ?

Alain, non.

Henri Bergson.

Henri Bergson.

Bonne réponse de Florian Gazon.

Bergson.

Richard G Scoutner.

Attends.

Il a fait un essai sur la signification du comique.

Il est l'auteur du rire, le rire Bergson.

Voilà.

Je n'ai besoin de Bergson.

J'en ai besoin de Berc sonore les David

Je ne connais plus Berc sonore les David

Non, non, non, non, non, non

La la la la la la la la la la

Des crépidations de ma machine

Que la boite de sourire

Mais sur le dans le savant

Valérie elle fait mieux le moteur que Bardo

Life insurance, what's your excuse for putting it off? Can't afford it? Too much hassle? Think

your work coverage is enough? There's a lot of excuses for putting off life insurance,

but one big reason why you shouldn't. If the unexpected were to happen to you, who

would pay the mortgage, the kid's tuition, and all the other bills? In a time of grief,

the last thing you would want is for your family to have to sell the house and struggle

to survive financially. At Ethos, we could get you covered in just ten minutes, and boom,

family protected. Rates can increase the longer you wait, so no more excuses. Take ten minutes

today and discover the modern way to get the life insurance coverage you need. Ethos, fast

and easy online term life insurance, up to two million dollars in coverage with no medical exam.

Some policies as low as a dollar a day. Answer a few health questions and get your free quote

at ethoslife.com slash audio. That's ethoslife.com slash audio.

Tu sais quoi, c'est un problème? J'arrive plus à boire. Toi aussi? Moi, j'arrive une

sbierre à la limite, mais c'est tout. Moi, huit ricards par jour, après, je peux

le dire. Huit ricards par jour. Elles sont folles. Elles sont drôles. Alors, puisque

c'est vendredi 13 aujourd'hui, c'est une question pour Monsieur Marc Gé qui habite

à Paris 20e question. Il y a aux 12 apôtres réunis autour de Jésus, évidemment, puisqu'on

est un vendredi 13 et que vous savez chez les Chrétiens, on se souvient du dernier repas

du Christ, ils étaient 12 apôtres et le lendemain, vendredi, le Christ était crucifié.

On connaît évidemment Judas qui fait partie des 12 apôtres autour de Jésus, mais justement,

vous pouvez vous me donner le nom, à part Judas des 11, 12, enfin plutôt des...

Alors Pierre Jean Mathieu, pas trop vite. Et les Évangiles. Pierre s'en fait un. Marc

Jean Mathieu. Raphael. Raphael, non, non. Gabriel. Thomas, Marc. Antoine, non, non, non. Jean

Baptiste. Marc. Il n'y a ni Baptiste ni Jean Baptiste. Comment ça il n'y a pas de

Pierre? Il n'y a Kevin, je crois. Il n'y a pas Marc, non. Il m'avait dit Pierre,

il m'avait dit Jean, il m'avait dit Thomas. Est-ce qu'Alsine est digne où je me prends

Marc? Il n'y a pas Luc dans la scène. Il n'y a pas Michel, non plus. Mais Jean

Baptiste, il n'est pas là, c'est mon frère. Il n'y a pas Jean Baptiste. C'est le cousin.

Il te dit Laurent. Pardon? Laurent. Oui. Quoi Laurent? Eh ben Laurent. Il comprend pas

que dit Laurent, Laurent, quoi. Ah non, mais moi, je n'étais pas là, non, non. Il n'y

a pas de Laurent. Est-ce qu'il y avait des gonzesses? Ah non, non. Est-ce qu'il y avait

la bida? C'est quand même une des scènes les plus connues.

Ah bah là, la pâte. Alors, on a Juda. On a Mathieu, on a Thomas, on a Jean, on a Pierre.

Il en manque 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, il en manque 7. Il n'y a pas Thomas. Thomas, on l'a

dit déjà. Il n'y a pas Marc. Il n'y a pas Marc, non.

L'évangile de saint Thomas, il a été retrouvé tard, qui dit, je ne suis pas dans des palais

de bois et de pierre, soulève la pierre et tu me trouves range.

Oh là là là. Paul, c'est bien. On va chanter tous les cantiques.

2023, ça a tout changé. On sent que j'ai bien fait en catéchiste.

Oh non. Oh non. Je suis tellement d'accord. Ah non, il était tellement gentil, mon curé.

Il était tellement gentil, mon curé. Il m'a juste mis la main une fois dans les cheveux,

mais rien de... Pour dire bonjour, ça va les gamins. Il deviait les cheveux d'eau à

l'eau. Oh non, mon curé était génial. Bon, dites, ça ne me fait pas mes 12 apôtres

là. C'est lui qui ressuscite les morts, là. Comment il s'en va ?

Alors, on m'a dit Pierre, on m'a dit Jean, on m'a dit Thomas.

Ah, Jacques. Jacques, très bien.

Alors, il y a Jacques. Comment on le reconnaît ?

Alors, je veux dire, comment... Je vais même vous aider, il y a deux Jacques.

Il y a Jacques le Majeur et Jacques le Mineur.

Jacques, Jacques. Il vous en manque 5, quand même.

Et des trucs connus, merci. C'est quand même fou, hein.

Il les connaît-il vous ? Il n'y a pas un Bernard.

Non, il n'y a pas de Bernard. Vous le connaissiez-vous ?

Vous le disiez bien.

Caroline, demande s'il les connaissait, lui.

Laurent, est-ce que vous les connaissiez, les 12 ?

Non, je suis en train de me rendre compte que...

Parce que moi, comme vous, bêtement, j'aurais dit Luc, j'aurais dit Marc, vous voyez,

mais on confond les Évangiles.

Et la Lézart, quand ?

Benoît.

Non, il n'y a pas de Benoît, non plus, non.

Jordan.

Mais il y a un prénom que je n'aime pas.

Parce que là, c'est...

Kilian.

Non, non, non, non.

Il y a un prénom un peu plus bizarre, il me semble.

Non, mais c'est des prénoms assez simples, hein.

Mais enfin, il y en a en tout cas...

François.

Non, vraiment.

Paul et les autres.

Enfin, non, enfin.

Paul, oui, il ne s'aurait plus.

Il vous en manque 5, hein.

Et François, c'est...

Est-ce que c'est des prénoms, genre Edouard ?

Oui, c'est vrai qu'il y en avait beaucoup à l'époque, sur des prénoms de Patre.

Il n'est pas cher pas comme Edouard.

Oh non, Maurice.

Il faut sure qu'elle ramène tout à sa religion, hein.

Oh, excusez-moi.

Vous avez des Maurice aussi.

Ah, Maurice, Nathan et David, on s'est temps que vous y êtes, hein.

Bah, excusez-moi, mais Jésus, c'est juif, hein.

Donc, ils sont tous juifs.

Comment ça ? Jésus était juif.

Mais oui, après, il s'est égaré.

Bon, il y en a un, c'est une célèbre marque de choses.

Non, mais les gens...

Ah, il y a un ram.

André.

André.

Et voilà, il y a André.

Ah, il y a André.

Ah, on a tous dit ram.

Bah oui, parce que la scène,

Christian Louboutin, il n'y a pas un géoxe, le putain.

Alors, André, pas où je suis obligé de passer, quand même.

Ah ouais, bah passez par où vous voulez, mais...

Bon, après, il y a un prénom...

Par où vous pouvez ?

Un prénom cher à cette émission pendant plus de 30 ans.

Philippe !

Philippe, voilà, il y a...

Quelle Philippe est chère, Agathe ?

Il y avait un Philippe.

Philippe qui ?

Oui, il y avait un Philippe autour de la table.

Ah non, Philippe.

Eh ben, moi, j'en réponds.

Il n'y avait pas de Robert ?

Non, il n'y avait pas de Robert.

Alors, il vous manque...

Alors, il nous en manque trois.

Un prénom, d'ailleurs, plutôt associé généralement à la religion juive, je dois dire.

Simon.

Simon, bravo, il y a un Simon.

Vous avez des bons indices, moi, je trouve.

Simon, le zélote.

Voilà, il vous en manque plus que deux maintenant.

Alors, il y en a un peu plus compliqué.

On va dire que c'est dans une chanson des Beatles.

Michel !

Jude !

Jude !

Jude ! Bravo, Caroline !

Yellow Submarine !

Il en manque plus qu'un.

Oh là là !

On en a dix sur ce, là.

Alors, ce prénom-là, il est plus compliqué.

C'est un prénom qui revient à la mode, je dois dire.

En quatre syllabes.

Aristide.

Aristide.

Non, mais en revanche, on connaît le diminutif de ce prénom.

Tim.

Claude François.

Non, dans les Simpsons, je crois qu'il y a le diminutif de ce prénom.

Barthélemy.

Barthélemy.

Bravo !

On a les douze !

On a les trouvés trois !

Il y en a le reste.

Vous voyez, on les connaissait pas si bien, les apôtres.

On les connaissait pas.

Bien !

Pierre, André, Jacques le Majeur, Jean, Philippe, Barthélemy, Thomas, Mathieu, Jacques le Minor,

Jude, Simon le Zélote et Judas Iscariot, évidemment.

Voilà les douze apôtres de la scène.

Une question pour Mokran Seloum, qui habite la Dr Sylvie Abram.

On nous dit que c'est surtout fréquent chez des sportifs, les pompiers, les policiers,

mais aussi, et ça on le savait peut-être moins, les informaticiens.

Mais qu'est-ce qui est fréquent chez ces catégories professionnelles ?

C'est la crampe de quelque chose.

Non.

Une tendinette.

Une tendinette, non.

Le micro pénis.

Alors, on est pas loin.

Je sais, Sylvie Abram, elle est chirurgien du sexe.

Les pannes sexuelles.

Comment vous savez ça ?

Parce que j'ai déjà interviewé.

Sylvie Abram, effectivement, est chirurgienne plasticienne.

Alors expliquez.

Elle fait notamment des opérations qui permettent d'allonger le pénis.

Bonne réponse de Karine Le Marchand.

C'est marrant.

C'est elle qui a opéré John Lennon.

Où ont-elles les petites bits ?

Mais elle dit en tout cas que ces clients sont soit des sportifs, soit des pompiers,

soit des policiers.

Vous savez pourquoi ? Parce qu'ils sont dans les vestiaires avec d'autres hommes.

Par comparaison, s'ils ont un trop petit sexe, ils ont un peu honte.

C'est pas parce qu'ils ont plus de petites bits que les autres.

C'est que ça se voit davantage.

Exactement.

Vous imaginez les ravages de Macky Lélet ?

Non, c'est pas ça l'histoire.

C'est qu'ils ont plus honte.

Non, c'est pas qu'ils ont plus honte.

C'est qu'ils ont quand même un petit truc au départ.

Mais que c'est pas les femmes avec lesquelles ils ont des relations sexuelles qui leur

font sentir que leur engin est trop petit.

Parce que d'abord, on peut avoir au repos un petit sexe qui a une forte déploiement

en direction.

Et on peut avoir à l'inverse des déceptions, ça m'est arrivé.

Mais en revanche, les hommes entre eux sont très méchants.

Parfois, on voit trucs énormes.

Non, mais parfois, on imagine.

Mais en revanche, ce dont les hommes souffrent le plus, parce qu'ils se moquent beaucoup

de ça, c'est effectivement dans les vestiaires quand ils voient quelqu'un.

Donc, évidemment, le repos en train de se laver, c'est là où ils vont se moquer.

Le syndrome du vestiaire.

Alors, entendons-nous, on ne dit pas qu'il y a plus de petites bits chez les sportifs,

les pompiers, les policiers, que chez les autres.

C'est simplement que dans ces catégories professionnelles-là, il y en a autant

que dans les autres métiers.

Mais ils ont les couilles de se faire opérer.

Ce sont des petites bits qui complexent davantage.

Oui, qui vont plus souvent que les autres se faire opérer, parce que les autres n'ont

pas spécialement besoin de...

Oui, boulanger, on passe à top à tous.

C'est les vestiaires ou je ne pense pas ensemble.

Alors, vous allez me dire, parce que je vois que vous ne me posez pas la question.

Quelle est la taille moyenne ?

Non, mais vous oubliez un truc.

Oui, mais pourquoi alors les informaticiens ?

C'est parce qu'ils sont obsédés par la mesure statistique.

Ah, ils veulent être dans la moyenne.

Ils veulent être dans la moyenne, les informaticiens.

Oui, mais alors quelle est la moyenne ? C'est ça la vraie question ?

Alors, moi, je vais vous le dire, parce qu'elle donne la réponse là-dedans.

Il va être assuré, bougant.

Non, non, je suis que je maîtrise déjà pas mal.

Pourquoi il n'y a pas les charcutiers dans votre truc ?

Ben, les charcutiers ne montrent pas.

Attendez, ils sont entourés de son schizophe toute la journée.

Ça lui, il fout quand même quelque chose, non ?

C'est vrai qu'un gros salami, ça te fout des complexes, quand même.

Bien sûr.

Ben, les éleveurs d'Anne aussi, hein ?

Oui, bien sûr.

Les marins, les marins.

Pour un homme, j'ai une petite bite.

Mais pour un homme, elle est énorme.

Je suis pas sûr que ce soit une bonne idée d'emmener mon fils au gros statistique.

Vous connaissez l'histoire du gars qui est...

Il est au bistro, ils sont copains, pis il y a un bossu qui rentre.

Un bossu ?

Souvent, il y a des bossus qui rentrent au bistro.

Ouais, ouais, ouais.

Il regarde le gars, il fait, tiens, t'as eu un bossu.

Vous êtes bossu là, ouais, ouais, je suis bossu.

Vous pouvez nous montrer votre enjeun, parce qu'il paraît que les bossus,

souvent, ils en ont une grosse.

Le gars, il leur montre, putain, un appareil.

Oh, les gars, il fait, oh la vache.

Mais alors, vous pouvez, vous sucer tout seul,

il vous fait, bah oui, c'est pour ça que je suis bossu.

Ah oui, elle est bien, elle est bien.

Je la connaissais pas.

Je la connaissais pas.

J'aime bien qu'il y en a une nouvelle comme ça.

Elle est bien, ouais.

La taille, elle le dit, le docteur Abraham.

Ah oui, c'est combien ?

C'est votre copine, alors le docteur Abraham.

Non, pas ma copine, mais je la connais.

C'est sabitologue.

Je peux même vous dire comment on opère et tout, mais je suis super calé.

Ah, c'est vrai, Sylvie Abraham explique qu'une taille satisfaisante,

c'est un sexe de 10 cm de longueur environ,

et en érection, il atteint généralement 15 cm de longueur.

Vous avez un centimètre, mais on est d'arrivée chez vous.

Non, c'est honnête.

Non, mais ça rassure tout le monde, ça, parce qu'on est toujours là,

à dire que ça fait 30 cm, pas du tout.

Il y a beaucoup de gens qui disent 30 cm de longueur.

C'est en dit Capon.

Et vous voyez, Rocco Sifredi, on s'en fait des sujets, mais c'est...

Ah, c'est plus 30 cm.

Mais non, mais non, même pas.

C'est 26 cm de longueur.

C'est 26 cm, Rocco Sifredi.

Oui, oui, oui.

Alors là, franchement, si j'avais su, j'aurais fait du cinéma.

C'est très rare de tomber sur un retit de porc pour 10 personnes.

D'ailleurs, il me reste un peu plus, je vous le mets quand même.

Là, mon fils, il se dit donc qu'on peut gagner Sylvie en parlant de bit à la radio.

Non, c'est papa acheter sa maison grâce à ça, surtout.

Si tu sais, on raconte des trucs comme ça, quel canton papa est là ?

D'habitude, on se tient vachement bien.

Je suis véné.

Ah, vous nous emmerdez tous.

Allez, maintenant, on a un coup, il sort la chatte.

Qui fait moins le mariole quand il y a son fils.

Ah, vous nous emmerdez tout le temps à nous dire des ordres.

C'est vrai qu'il fait moins de bacs que d'habitude.

Ah, sous prétexte qu'il y aurait le garçon.

Quel âge il a, votre fils ?

Sous prétexte qu'il y aurait votre fils ton 12-13 ans, d'un seul coup.

Eh ben, on va se venger tous.

Pute, pute, pute, pute, chatte.

J'en chatte un violent.

Salope.

Putain, tu dis l'ingénie, c'est chien.

Ah, vous nous emmerdez à la sous prétexte que M. Bafi Junior serait là.

Il faudrait que d'un seul coup, on fasse de la poésie.

T'inquiète pas, Bacien.

Dans 20 minutes, je t'en mets la dace.

En tout cas, cette interview de Dr Abram,

pour ceux que ça concerne, est évidemment très intéressante.

On appelle ça, évidemment, une pénoplastie.

Vous l'ignorez.

Et c'est une intervention dans laquelle la France est en pointe.

Il faut le savoir.

C'est vrai.

Et donc, ceux qui sont intéressés,

c'est souvent à cause du complexe du vestiaire.

On appelle ça le complexe du vestiaire.

Pourquoi ? Non, je me répète, c'est pas que les sportifs,

les pompiers, les policiers soient les charcutiers.

En tout cas, merci d'avoir fait cours sur le sujet.

Quoi que les culturistes, avec les gonflets,

ça leur fait un courtier un peu le bazar.

Ah oui ?

T'es vraiment venu le bon jour, Bastien.

Vous avez bien fait de venir aujourd'hui, Olivier de Caerce aux Ours.

Pourquoi vous nous emmenez pas vos enfants, vous, Olivier ?

Ils sont des sports de vieillesse.

Vos poupos vont me faire penser pour raffiner, moi.

C'est vrai que moi, pour une fois que j'ai une bonne réponse,

c'est bon.

La lourde entre tous.

Une question cinéma pour Ludovic de Caerce et mercredi,

aujourd'hui, Valérie Mares,

qui suit l'actualité cinématographique.

C'est normal, c'est une actrice.

Évidemment, elle est intéressée par des sorties de films,

aujourd'hui, et un film québécois,

ou canadien, un drame canadien,

qui s'appelle Antigone qui sort.

Alors, c'est évidemment une version très moderne,

d'Antigone.

Evidemment, vous pouvez me citer Jean-Hannou,

vous pouvez me citer Claudel.

Il y a eu des tas d'auteurs qui ont repris le thème d'Antigone,

mais quel était le premier auteur ?

Sophocle.

C'est vous qui avez dit ça ?

Mais oui, mais évidemment.

Excellente réponse de Yoann Rion.

C'est Yoann qui l'a chopé Pablo Mianard.

Il s'appelle Myrat, pas Miro.

Sophocle, vous pouvez me raconter l'histoire d'Antigone,

alors peut-être M. Rion.

Je peux la raconter ?

Alors, Antigone, c'était quelqu'un qui avait un frère,

qui avait transgressé les lois de la cité,

alors Crayon, qui était le roi,

voulait...

Tu peux prendre le relais ?

Le condamné Amor, il n'est pas l'intérêt...

Il voulait l'intérêt son frère,

alors il s'y opposait à la loi de la cité.

C'est son oncle qui ne voulait pas.

Crayon.

Le frère de sa mère chocaste.

Il a transgressé les lois de la cité pour intérer son frère.

D'accord.

Qui avait lui-même transgressé les lois de la cité.

Ça donne vachement vie.

Parce que de moi, tu n'as pas un sens moral.

Parce que c'est justement l'importance qu'il y a.

Plus important que la loi, c'est la morale.

Et toi, tu m'as dit tout à l'heure que tu voulais travailler l'incante.

Il ferait une superbe Antigone, fille de dip, évidemment.

Notre ami Valérie Mérez.

Et c'est vrai qu'il y aurait Crayon, il y aurait Ismen.

Et je vous vois bien, j'en fie aussi jouer.

Je sais pas, moi, le...

Un arbre ?

Un petit buisson ?

Non, non.

Un truc, ok.

Un gland, plutôt.

Un gland.

Il y a la nourrice.

Il y a Eurydice.

Eurydice.

Crayon, vous pouvez jouer le frère de Jocaste.

Crayon.

Oui, voilà.

Vous connaissez les grands classiques, quand même.

C'est moi, je joue Jocaste.

Alors, il y a Antigone d'Anou, il y a Antigone de Sophocles.

Il y a Claudel.

Il y a plein d'Antigones.

Autant vous dire, ça a vraiment inspiré de nombreux auteurs.

Mais là, vraiment, je suis épaté, monsieur Rihou.

Oui, mais il ne connaissait pas l'histoire, alors...

C'est pas qu'il connaissait l'histoire.

Désolé, mais c'était facile de le dire, Sophocles.

C'est qu'on n'ait pas l'histoire.

Là, la peluche, elle existe plus.

Là, c'est...

Là, il va se faire arracher les poils.

Il y a eu Bertrand Gresh.

Il y a eu Cocteau.

Il y a eu Marguerite Ursonnard, qui s'est intéressé aussi à Antigone.

Voilà, autant d'auteurs qui se sont effectivement inspirés de l'œuvre de Sophocles.

C'était une excellente réponse de Johan Rihou.

Une citation qui permettra peut-être à Pascal Dubernet, qui habite Villeneuve-Dornot

en Gironde de toucher 300 euros, qui a dit

« Un synonyme est le mot que vous utilisez quand vous ne savez pas écrire

le premier mot qui vous vient à l'esprit ».

Je n'ai pas l'idée !

Jean-Claude Van Damme.

Avec qui ôtes et bateaux ?

Non, non, non.

C'est assez malin.

Un linguiste ?

Un linguiste.

En tout cas, quelqu'un qui aimait la langue.

La langue française.

D'ailleurs, il était, je vais vous aider tout de suite, académicien français.

Maître Capélo ?

Maître Capélo n'en a jamais été.

Julien Greene ?

Julien Greene, non.

Jean Dutour ?

Jean Dutour, non.

C'est qu'il est mort depuis longtemps ?

Ah, il est mort, je vais vous donner l'année.

Si vous voulez, il est mort en 2007.

Dramaturge ?

Dramaturge, non.

Remancier, oui.

Remancier, séilliste, pas seulement.

Philosophe ?

Détachos ?

Jean-Roi ?

Philosophe, non.

Il a écrit des scénarios ?

Bricoleur ?

Bricoleur.

Il a connu beaucoup de bricoleurs à l'académie française.

Il y a des plattriers aussi.

Il n'était pas très drôle.

Il était à l'académie ?

Ce n'était pas sa cadité.

Non mais non, regarde Orsena et Marant, il était à l'académie aussi.

On peut avoir la deuxième question et revenir sur celle-là après.

Non, Fabri, ça n'est obligé de...

Vous dites que tout le monde le connaît, il a été adapté au cinéma ?

Oui, il n'était pas seulement écrivain, pas seulement séilliste.

Il passait de la télé ?

Il passait régulièrement de la télé.

Il avait émission à la télévision ?

Il a même été ministre, je vais vous aider, vous voyez.

Mais on va finir par de gauche.

De gauche ?

Non.

Il était ministre de quoi de la culture ?

Non mais alors écoutez plus quoi encore.

Il est ministre de droite, on peut se dire droite.

Plutôt à droite.

C'est celui qui faisait du bateau.

Maurice Drillon.

Maurice Drillon, pas du tout.

C'est celui qui faisait du bateau, de nos, de nos, de nos.

Jean-François De Nio, bonne réponse de Gérard Mignot,

aidé par Bernard Maby et François Lévié-Jouisbert.

L'air de Bourges.

Il a été l'air de Bourges, non ?

Jean-François De Nio, effectivement président du conseil général du chair.

Je ne sais même pas de quel ministère il a eu droit à...

Il était notamment ministre de l'Europe.

Une question plus historique, mais toujours une citation pour Gauthier Verdié,

qui habite la panousse dans l'Aveyron,

qui a dit...

Quoi ?

Pourquoi vous riez ?

La panousse.

Ça peut être pas vous faire marrer,

vous faites tous des blèdes de France avec votre émission d'agriculteur.

Moi, tout ce qui se finit en ousse, ça me fait rigoler.

La bourse.

La bourse.

Pas seulement, on sait où elle passe ces soirées.

Avec des tentoves ?

Merci.

Merci.

Comme on sait.

On l'a sur les perlozes.

Ça n'a rien à voir avec ma question.

Historique, je vous ai dit ma question.

Cambrone à Waterloo a enterré le premier empire dans un mot où est né le second.

Est-ce que vous comprenez déjà la citation ?

Il a enterré le premier empire dans un mot.

Cambrone à Waterloo a enterré le premier empire dans un mot, le mot merde,

où est né le second.

Le second.

Le second tantiste, un peu, la merde.

Qui a dit ça ?

C'est Victor Hugo, qui aurait dit ça ?

Et c'est Victor Hugo, bonne réponse, le François Olivier Gilbert.

Je n'ai pas tout compris, mais ça passe en replêle.

bills.

Even things like our annual summer vacation would be out of reach.

I had heard about life insurance through ethos and how easy it was to get coverage.

They were right.

I knew it was time to stop putting it off and get life insurance right now.

I got on my computer and went to ethoslife.com.

In just 10 minutes I was covered and boom, family protected.

Thanks to ethos, my family won't have to worry about the bills if the unpredictable

happens to me.

Ethos, fast and easy online term life insurance, up to $2 million in coverage with no medical

exam.

Some policies as low as $1 a day.

Answer a few health questions and get your free quote at ethoslife.com slash audio.

That's ethoslife.com slash audio.

Right now, during Ram Power Days, get 4,000 retail cash allowance on the purchase of most

2023 Ram 1500 trucks.

Don't miss this great offer.

See your local Ram dealer today.

Excludes Ram 1500 classic and TRX models.

Contact dealer for details.

Take retail delivery from dealer stock by October 31st 2023.

Une question pour monsieur Olivier Éthèvre qui habite sur l'île de la Réunion au

Tempon précisément.

Et c'est une question pour monsieur Benichou là, je pense que de temps en temps, c'est

normal d'essayer de faire briller Pierre parce que là il y a le mois que vous l'avez

grillé sur Blessandre-Arre.

Donc là, la chanson française, je pense que c'est lui.

D'avant 1930.

Oui mais ça tombe bien parce que c'est effectivement d'une chanteuse, on va dire, des années

50, 60, dont on va parler maintenant.

Un peu moderne.

C'est un peu la nouvelle scène française pour lui là.

C'est assez intéressant parce que de son vrai nom, elle s'appelait Jeune Vieve Collin.

Elle est née à Marfeille, elle est mort en 2011 et c'est un musicologue historien

de la chanson qui s'appelle Martin Péné qui dans Télérama parle d'elle cette chanteuse

qu'on a peut-être trop oublié et qu'il aimerait réhabiliter, en tout cas faire connaître

au plus jeune aujourd'hui.

Évidemment, on ne la connaît pas sous le nom de Jeune Vieve Collin, mais on la surnommait

et là, normalement Pierre Benichou va nous donner la réponse illico, on la surnommait

la dame blanche de Saint-Germain-des-Prés.

Mais dit-mais s'il-plaît.

Non, on m'a dit m'ais s'il-plaît, c'était une quantatrice, m'a dit m'ais s'il-plaît.

Non, non, non, non, non, non.

C'était toute une chanteuse.

C'était la créatrice des feuilles mortes d'une émission de télévision très célèbre

et elle s'appelait « Merde ! »

Ça fait merde !

En fait, si on est un peu comme un laboratoire.

C'est le... c'est la mireille, un laboratoire.

Mireille, non, non, non, mais il a raison, Pierre, c'est elle qui a créé les feuilles mortes

parce qu'elle a été la première à interpréter les textes de Jacques Prévert en musique.

Elle est donc la créatrice de la célèbre chanson « Les feuilles mortes » bien avant Yves-Montin.

Elle chantait même des chansons de Barbara avant que Barbara ne les chante elle-même.

Par exemple, dit qu'en reviendra-tu, c'est elle qui a créé la chanson avant Barbara

et voilà pourquoi on l'appelait « La dame blanche »

contrairement à Barbara qui fut la dame noire,

« La dame blanche » de Saint-Germain-des-Prétroits-Montins-Gricots.

T'étais un seul nom ou un prénom et un nom ?

Il y avait un prénom et un nom.

Mais c'était la nom de poisson encore ?

Pouf !

Jeune vielle fcolin, oui.

Non, quand tu t'appelles « Jeune vielle fcolin », tu te fais pas appeler Raymond de Moru.

Ouais.

Jacqueline Cabillot.

Non, mais Raymond de Barre, c'est pas Barre, c'est pas Barre.

Raymond de Barre.

Raymond de Barre.

Est-ce que c'est...

Marceline Maillard.

Voilà.

Micheline Cabillot.

Non, écoutez, voilà une chanteuse interprète française, qu'on essaie de réhabiliter.

Et effectivement, en plus peut-être diffuser même un de ses célèbres succès,

puisque c'est elle qui, dans le film « French Cancans » de Jean Renoir en 1955,

interprétait la célèbre chanson « La Complainte » de...

Corave au Caire.

Corave au Caire.

Excellent, réponse de Caroline Guillaumeur.

Vous connaissez cette chanson, monsieur Artus, à traverser les générations.

Oui, alors parce qu'elle a été reprise,

elle faisait partie de la bande originale du film « Moulin Rouge ».

Oui, exact, vous avez raison.

Pierre Benishoir, si je commence à poser des questions pour vous

et que vous n'êtes même pas capables de retrouver le nom de Corave au Caire,

qu'est-ce que je vais faire, moi ?

Ah ben oui, ça fait pas, moi.

Il y avait toujours des petits tremolots dans la voie,

des aies, scanniers,

et puis ils roulaient les airs aussi.

Ils étaient sur Vibreur à l'époque.

Non, mais c'est vrai.

Vous venez ça des chanteuses réalistes, vous, hein ?

Ah, je l'adore, je l'adore.

Vous-même, vous êtes une chanteuse réaliste.

Ah ouais, alors j'ai pu mettre texte, hein.

Ah ouais, une chanteuse réaliste, quand même.

Ah non, détruis de toi.

Tu veux pas nous faire la complète du erreur ?

T'es toujours du dimanche

qu'elle a fait à maman

voici ses roses blanches

toi qui les aime tant

et dans son p'tit lit blanc

À l'hôpital, c'est l'heure de la visite

médecin fève passe devant les lits

Numéro 13, qu'est-ce qu'elle a, cette petite

trois couteaux près du coeur, y'a plus de sang ?

Je sais plus, en tout cas.

Ah, c'est bien.

Ce que je sais, c'est qu'elle a le même colier

que le médecin

et il dit, mais ton papa, c'est moi, mon enfant.

Il y a mon vieux pâteau.

C'est quoi, mon vieux pâteau ?

Mon vieux pâteau.

Tu le connais, mon vieux pâteau, Pierre ?

Mon vieux pâteau, toi, quelqu'un de maître,

t'as plus le coeur.

T'es bien meilleur que certaines, là.

Allez, on a tous trop bu, on arrête.

Les questions littéraires,

je sais que vous attendez ça avec impatience,

mais là...

Oui, j'ai été en terminale, elle,

j'attends que ça.

C'est vrai, vous êtes une littéraire au départ.

Oui, de base, après, c'est à dégénérer.

Quel est le dernier livre que vous ayez lu ?

Votre livre de chevet, mais là...

Il y a un problème.

Il n'est pas que c'est bien écrit.

Franchement, c'est mieux que le tiens.

Pour Véronique Routtot, ma question littéraire,

elle habite Shony Menil, c'est dans les Vosges.

La question concerne un roman de François Sagan,

dont je vous demande de retrouver le nom,

roman de François Sagan,

qui fut adapté au cinéma

avec, dans les principaux rôles,

Anthony Perkins.

Aimez-vous Brahms !

Aimez-vous Brahms !

Aimez-vous Brahms !

Bonne réponse !

Excellente réponse, évidemment,

de Michel Garnier.

Mais c'est pas le même titre que son livre.

Non, lui, c'est pas Aimez-vous Brahms.

C'est comment votre livre à vous ?

Est-ce que tu kiffes ?

Ça, c'est...

Quand tu n'écris pas un livre,

c'est compliqué de se rappeler du titre.

C'est toujours pas...

Lui, ça s'appelle

Est-ce que tu kiffes Brahms ?

Est-ce que tu aimes Brahms ?

Aimez-vous Brahms,

c'est un roman de François Sagan,

qui raconte l'histoire d'une femme de 39 ans,

décoratrice d'intérieur divorcée,

et elle rencontre un jeune homme

qui veut lui faire croire

qu'en gros, il s'y connaît en musique

et va l'inviter à un concert Brahms,

donner ça le play-ale,

d'où le titre Aimez-vous Brahms

et c'est Yves Montan,

Ingrid Bergman et Anthony Perkins,

qui ont joué l'héro le principal

de l'adaptation au cinéma,

de ce roman signé François Sagan.

Autre question,

littérature contemporaine, cette fois,

enfin François Sagan,

c'est pas si vieux que ça,

ça reste contemporain.

Quand même, ça finit par dater.

Là, je vous parle vraiment de littérature

du XXIe siècle maintenant.

Pas qui au Musso, j'espère.

Non, pour Thierry Salvaudron,

Cabit Vilaire, l'une ancienne meurte et mauselle,

j'aimerais vous aussi aller la sortie

là le 10 novembre prochain,

donc dans quelques jours,

dans une semaine pile,

du Royaume des Unis,

c'est le titre de ce nouveau roman

signé d'un romancier anglais

très très réputé,

à qui on doit des livres

comme Testament à l'anglaise,

La Maison du Sommeil,

La vie très privée de M. Sim

ou M. Sim, si vous préférez.

Quel est le nom de ce grand romancier britannique

dont on attend le nouveau roman ?

Jonathan Co.

Jonathan Co.

Excellent, réponse d'Olivier Bellamy.

Bon, heureusement qu'il est là.

On sent qu'il y a une bibliothèque à la maison.

Il connaît pas le nom de son livre,

mais les autres.

Vous êtes fiers quand vous trouvez

une bonne réponse, M. Bellamy.

Oui, c'est une jouissance.

Partiez pas qu'un jour,

vous seriez là,

où Grosse Tête a brillé.

Sauf que là, aujourd'hui,

il y a les grosses et il y a les têtes.

Mais quel roman ça ?

Il a pris la croissance de faire.

Ce livre sera brûlé.

On vous parle beaucoup

des Grosse Tête, M. Bellamy.

Oui, alors c'est très drôle.

Pour certains, c'est le graal.

Je suis enfin arrivé

au sommet de ma carrière professionnelle.

Et pour d'autres, ils me regardent

avec un dédain.

Et ça, c'est des hétéros.

Ils font chier tout le temps.

Et comment ça ?

Ils me disent,

comme si j'étais tombé de caribre

dans s'ils l'avent.

Vous avez un nom ?

Qui, par exemple, vous vous dites

que ça m'intéresse ?

Par exemple, ma mère,

pour elle,

c'est pas très glorieux

que je sois aux gens.

Quel chier, ça l'a aussi.

C'est pas vrai.

Qu'est-ce que vous avez dit

votre moment ?

Non, elle est contente.

Pour moi, tant que je ne le prends pas,

je le sens.

Vous ne vous droguez pas.

Pardon, à laquelle âge vous, maman ?

Donc, je bois 80 ans.

Elle a dit sur un ton,

elle a dit, ah, c'est bien.

Mais sur un ton qui voulait dire,

oui, tu peux mieux faire, quand même.

Quel réacte.

Mais peut-être qu'elle croit

qu'il y a encore bouvard, peut-être.

Bon bah écoutez, nous,

on est contents

que vous soyez parmi nous.

En tout cas, je m'amuse beaucoup.

Trouver Jonathan Coase,

c'était pas évident, vous voyez.

Non, c'est vrai.

J'ai dit waza.

Et effectivement,

il y a un nouveau livre qui s'appelle

Le Royaume des Unis,

qui va sortir dans une semaine,

pile,

qui va raconter

dans la petite ville de Birmingham,

célèbre pour son immense chocolatrie

fondée par les quatre buries.

Vous connaissez ça, quatre buries.

Ah ouais, ça, deux.

Pose-moi des questions

sur les confideries, bordel.

À la fin de la guerre,

en mai 45,

une fillette qui a 11 ans,

va fêter la victoire avec son papa,

et elle va rencontrer

un garçon de son âge,

puis ça va aller jusqu'au couronnement

d'Elisabeth II,

où ils vont se financer.

En fait, c'est l'histoire de l'Angleterre

à travers,

on va dire,

une histoire plus intime.

C'est souvent comme ça.

C'est chouette les romans

qui traitent à la fois

et de la grande histoire.

Ça me rappelle un bouquin

que j'ai sorti hier.

Et de la petite histoire.

Non, rien à voir.

Pour même Richard Cabit,

moristel dans l'Isère,

il s'agit de retrouver le nom

d'une célèbre bande dessinée,

on nous d'air.

On aussi, elle a sorti

d'un tout nouvel album

et l'héro

de cette bande dessinée

très connue.

La retrouverai-vous.

Saint-Antoine Perron,

Pierre Mayou

et Émile Carabignac.

Ce n'est pas Lucille Luc ?

Le dernier Lucille Luc

avec son animal.

Non, non.

Les pienni-clés ?

Les pienni-clés, non plus.

Mais c'est une...

Bibi Fricottin

et Razibus Zouzou.

Ah non.

C'est les martines ?

Non, non.

Pas du tout.

C'est beaucoup plus récent.

C'est pas les tuches ?

Non, non.

Le premier album est sorti en 2014.

Oui.

Et là, il y a un nouvel album

qui sort.

Les pienni-clés, c'est...

Comment ça s'appelle ?

Ils ont fait un film avec Pierre-Richard.

Exact.

Les vieux fourneaux.

Les vieux fourneaux.

Ah ouais.

Bonne réponse de Caroline Diamant.

C'est les vieux fourneaux.

Non, mais c'est vrai.

Les vieux fourneaux.

Laurent Baffu, le plus calore,

me réclame une question zoologique.

Alors, là, voici la question zoologique.

Qu'est-ce qui vient de battre

le record d'un kilomètre heure

de vitesse ?

L'escargot.

Non.

Une animale ?

Un animal.

La tortue.

Une tortue !

Putain !

Bonne réponse de Cristina Cordula.

Non, mais ça, c'est très fort.

Est-ce qu'arrivent...

Arrivent à battre Laurent Baffu

sur une question zoologique,

c'est un problème.

Pendant, mais quelle tortue ?

Bertie.

Elle s'appelle Bertie.

C'est de la race.

Non, c'est de la race.

C'est de la race.

C'est de la race.

C'est de la race.

Non, Bertie, pas Bernie.

Pardon.

Je pense qu'elle a triché la Candula.

C'est une tortue anglaise

qui a tenu la tortue la plus rapide du monde.

Oui, mais quelle espèce ?

En atteignant la...

En atteignant...

Pour en atteignant...

La lumière.

Non, pas la lumière.

La vitesse de la lumière.

En atteignant la vitesse de la lumière.

En atteignant la vitesse de 1 km.

C'est une tortue léopard.

Ah, d'accord.

Ah, d'Amixem.

C'est une extensueur.

Ouais.

Comment ça, c'est pas une tortue ?

Si ça allait au part.

J'en jure, j'ai la photo,

c'est parce qu'elle a des tâches sur sa carapace.

C'est en disparition, ça.

C'est en disparition ?

Ah oui.

Pour vite, elle a peur de disparaître elle aussi.

Il faut pas les pêcher, alors.

Elle a atteint...

On pêche pas la tortue.

Bien sûr, bien sûr.

C'est pas non.

Mais non.

La tortue, on fait des lunettes avec.

Ou des hamburgers.

Ouais.

La tortue léopard vient de battre le record du monde de vitesse.

Mais il y a un contrôle anti-dopage, ou pas ?

Elle a atteint, non mais quand même,

deux fois la vitesse supérieure à celle qui détenait le titre

depuis 1977.

Elle doit être malheureuse.

Ah, c'est les tortues de concours.

Ah ben oui, oui.

C'est la plus sainte-bolte de...

Il y avait quelqu'un qui courait de ventelle

pour qu'elle allait plus vite.

Elle avait un lièvre.

Ou un morceau de salade.

Moi, je me suis dit que j'avais une tortue.

On a tous eu une tortue.

Moi, j'avais une...

Elle s'appelait Leonie, je crois, la mienne.

Ah, la mienne aussi.

Ah oui ?

Moi, Caroline, et je l'ai peinte au minium, elle est morte.

Oh, la peau.

Vous, qui aimez les animaux ?

Je savais pas que c'était toxique.

Je trouvais qu'elle manquait de couleur.

Ma petite sœur, elle avait une tortue.

Un jour, on est entrés tard avec mes parents,

et elle était morte, la tortue.

Alors, on a dit, il faut pas qu'elle...

Il faut pas qu'elle...

Que la petite sœur sache ça.

Elle avait 4 ans, ma petite sœur.

Alors, voilà.

Ils m'ont envoyé à 7 heures du matin

à jeter une autre tortue.

Et j'ai pas trouvé une aussi petite.

J'ai amené une grande.

Elle s'est amenée.

Elle a dit, mais qu'est-ce que c'est que cette tortue ?

C'est pas la mienne, elle a dit, oui, oui.

Elle a dit, non, j'aurais préféré qu'elle crève.

La, la, la, la, la, la.

C'est pas la famille Bénichoux.

Bertille, la tortue la plus rapide du monde tortulée

au part à atteindre un kilomètre heure.

Vous avez eu votre question zoologique,

Laurent Baffi et ses Cristina Cordula

qui a trouvé la bonne réponse.

On parle beaucoup en ce moment de la bande dessinée,

qui est le 9e art.

On sait que le cinéma, c'est le 7e art.

Mais quel est le premier art ?

La beauté, la beauté.

La littérature.

La littérature.

La peinture.

La littérature, c'est le 5e art, ainsi que la poise.

La musique.

La musique, c'est le 4e art.

La danse.

La danse, non.

La baisse.

La baisse.

La baisse.

La baisse.

La baisse.

La baisse avec vous, c'est le premier art.

Vous vous rendez compte, si je m'aigris,

je perds mon emploi.

Le théâtre.

Le théâtre, non, c'est le 6e art.

Tous les arts de la scène, c'est le 6e art.

Donc les arts du cirque, c'est pas...

C'est aussi dans le 6e art.

Donc la danse, c'est dans la musique.

La danse, le mime, le cirque, le théâtre, c'est dans le 6e art.

Tout ça, ce sont des arts de la scène.

La mode.

La mode, le stylisme, les costumes.

Le chant, c'est dans la musique, c'est le 4e art.

Le chant des oiseaux.

Non.

Les costumes, non.

Les costumes, non.

Peinture.

La peinture, c'est le 3e art.

Je vous ai dit les arts visuels.

La peinture, c'est le 3e art.

Je vous ai dit les arts visuels.

La peinture.

La peinture.

La prière.

La prière.

C'est un art pour vous, la prière.

Ah ben oui.

Tout de même.

Oui.

Ben oui, faut savoir prier.

Alors, allez-y, montrez-moi comment on prière.

Rien.

Osanaïne.

Et tuberculose.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Osanaïne.

Les « arts » prévenus.

Les arts.

Les cultures.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

AhHHHHHHHHHH!

Les arts.

clearly.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Les arts.

Desutes.

Les arts visuels, peintures dessins, c'est le 3e, la musique le 4e, la littérature poésie et dramaturgie, le 5e, les arts de la scène, le 6e, le 7e, c'est le cinéma, le 9e, c'est la bande dessinée et la photographie ainsi que la radio et la télévision, c'est le 8e, tout ce qui est visuel, médiatique, c'est le 8e.

La radio, c'est de l'art.

Même quand on dit des insanités, c'est de l'art.

Ah oui, c'est de l'art, ou du cochon, mais c'est de l'art.

Le 1er art, c'est bien l'architecture, en tout cas, le 9e, c'est la bande dessinée et voici donc justement une...

Bonne réponse d'Ariel Dombard.

Je crois à Riel que vous allez pouvoir répondre à la question suivante aussi,

puisqu'elle concerne là encore Tintin, mais là plus particulièrement sur un personnage évidemment de Tintin,

qui s'appelle tout le monde la connaît, la Casta Fjord, chère Ariel, vous connaissez la Casta Fjord.

Quelle est le prénom de la Casta Fjord ?

Bianca.

Bianca, bonne réponse de Laurent Bafi et Bernard Mabille.

Bianca, c'est un album avec Mabille.

Ah oui ?

Bernard, Bianca, c'est très con.

Mais qu'est-ce qu'elle chante alors ?

Oh !

Mais qu'est-ce qu'elle chante alors ?

Oh !

Je rie de me voir s'ébêlons ce miroir

Oh !

Je rie de me voir s'ébêlons ce miroir

Pourquoi quand il chante aigu, c'est grave.

Est-ce toi ?

Et vous n'avez pas la suite, c'est est-ce toi Marguerite ensuite ?

Ah ça y est, il faut qu'on chante.

Ah bah oui, on va chanter.

Un point d'accord.

Elisabeth, je crois que vous auriez pu chanter à l'opéra.

Oui, tout à fait.

J'ai le physique.

Il n'y a aucun problème.

T'as pas chanté sur le cas du métro opéra, déjà ?

Oui, c'est ça.

Oh !

Je rie de me voir s'ébêlons ce miroir

Oh !

Je rie de me voir s'ébêlons ce miroir

On fait le 1 parce que...

On dirait qu'on vient de te faire une piqûre.

Moi, je vous fais milou.

Waouh, waouh.

Une question pour Evelyne.

Véran, si je ne vous dérange pas, Olivier de Corson.

D'accord, pour l'instant.

Mais j'irai bien que tu parles.

Tu veux plus ?

Moi fort.

Ou en langage des signes ?

Un peu plus.

Oui, voilà.

Tout à fait.

Je fais de la radio.

Je suis payé pour est-ce-t-elle ?

Je me fasse des filmés aussi.

Donc, si tu fais en langage des signes, ça va plaire.

Pour madame Véran,

qui espère un chèque de 300...

Madame Véran, c'est quel nom ?

Qu'est-ce qui a été créé en...

Pas Véran, Véran.

Ah, Véran ?

Véran est très monté.

Très bien monté.

Vous aimez bien les petits cochons, hein, Géran ?

Oui.

Oui, oui, oui.

Surtout les petits cochons.

La question concerne tout simplement la SLN-LN.

Ah ben oui.

Qu'est-ce que la SLN-LN

qu'on connaît mieux sous un autre nom aujourd'hui

qui fut créée d'ailleurs en 1933 ?

Alors, SLN-LN.

Ça commence par société.

Alors, ça commence par société.

Bon, j'ai trouvé une lettre à désir pour les autres.

Est-ce qu'il y en a...

Est-ce qu'il y en a la société de libération ?

Non, pas la libération.

Il y en a val dans les deux N ?

Non.

La SLN-LN, on la connaît sous un autre nom.

Mais j'arrive pas...

Les lettres, c'est SLN-LN.

M ?

Non, N, que des nœuds.

Est-ce qu'il y a national dans les N ?

Il y a national dans les N.

Non, c'est le premier ou le deuxième N ?

C'est les deux N.

Les deux N, c'est deux fois national ?

Deux fois national.

Genre, la société des lignes nationales.

Nationales.

Exactement.

Donc le Front national national, le FNN.

Ils ont bien fait de donner un autre nom.

Donc, il n'y a que le L qui nous manque.

Exactement, il y a les deux L.

La litrie, non ?

Et attendez, les deux L, c'est pareil aussi.

Non, c'est presque.

Logistique.

Non, mais c'est vrai que les deux L sont pas tout à fait pareils.

C'est presque pareil.

Vous parlez de ça parce que c'est d'actualité ?

Mais bien sûr, M.Junior.

Oui.

Ah...

C'est politique ?

Oui, il est malin.

Est-ce que c'est politique ?

Ce n'est pas...

Ah, un peu quand même.

Tout c'est politique.

Ça rapporte à un mode de transport ?

Du tout.

La Française des Jeux ?

Bonne réponse de Gérard Juniors.

Bravo.

Et que veulent-ils les L ?

La Lothrie.

La Lothrie.

La Lothrie et le Lotto Société de la Lothrie nationale et du Lotto national.

La SLNLN, qui s'est d'abord d'ailleurs appelée en 1933.

La Lothrie nationale française.

Mais comme après, en plus de la Lothrie, il y a eu Lotto.

Ils ont appelé ça la SLNLN.

Et puis, c'est devenu aujourd'hui la Française des Jeux dont vous avez acheté quelque part, peut-être...

Non, j'ai acheté un billet à gratter, mais perdons, malheureusement.

Et vous, M.Kershawon, parce que je sais que vous êtes un boursicoteur, vous regardez beaucoup...

Vous touchez les bourses ?

Ne regarde, ne passe pas.

Non, ne regarde pas le radio, mais il était noir.

Oui, un regard noir.

Vous préférez avoir les bourses en action que des acteurs en bourse ?

Ça ne va pas être facile.

C'est Laurent Ruchier, la citation.

À mon avis, il va falloir passer par un lifting pour le dérider aujourd'hui.

Un fou, Botox.

Il boit de l'eau, en plus.

Il prépare son offrage.

Non, mais j'ai une question.

C'est le sommet.

Il va parler, il va parler.

Il a attiré tellement fort que ça te fait une tête de cul.

C'est pas trop ça.

Il se mythique, il se mythibatise.

Je préfère avoir une tête de cul qu'avoir l'odeur quand je parle, comme quoi.

C'est pas ce que dit ta voisine.

Eh ben...

Vous voulez pas faire un Octogoun, ça changera de Bouba et Karris.

J'ai une question culturelle à laquelle M.Kershawon, normalement, parce que...

Mais pourquoi tu ne pouvais pas éviter de me parler ?

Non, mais je connais vos lectures d'enfants, vous voyez M.Kershawon.

Playboy !

Et je suis certain que vous allez répondre.

Ah ben ça a été un Playboy, Olivier de Kershawon.

Bien sûr.

Quand il est arrivé à Paris, entre deux courses.

Dans les années 25.

Non, non, non, non.

Moi je le préfère maintenant.

Ah oui, c'est vrai.

Il a bien muri.

Ah oui ?

C'est un temps qui tombe.

Moi j'ai vu des photos de l'époque chez Castel, vous voyez, avec Pierre Benichou et les autres,

Sacha Distel et compagnie.

Croyez-moi, c'était un séducteur, c'était un Playboy, il arrivait.

Les femmes se paimaient.

Absolument, les femmes tombaient.

La plus grosse vedette que vous ayez eue à votre palmarès.

Après Valérie.

Carlos !

Mais fiez-vous, je suis tout prêt.

Ne parlez pas de grosse vedette, c'est un autodidacte.

Il a appris sur le tas.

Mais vous avez du quand même avoir un beau palmarès à une époque, Olivier.

Ça vous ne parlez pas dans vos livres, jamais.

Ben non.

On peut deviner peut-être française morte.

Bon alors, j'ai une question culturelle pour vous, Olivier.

Putain, vous allez me l'archer.

Augustin Joubert, qui habite ça, t'étienne.

Les jumeaux Landry et Sylviné sont des jumeaux célèbres de la littérature française.

Mais dans quel oeuvre les retrouvent-on ?

Une oeuvre de la Contesse de Sigur.

Non.

Landry et Sylviné sont des jumeaux célèbres des baissons, comme on disait d'ailleurs à l'époque.

C'est vrai qu'on n'a plus beaucoup ce terme baisson.

C'est pour au cinéma.

Oui, l'enfant à la maman et les derniers baissons.

D'ailleurs, t'as la poisson qui sont deux.

Il y a Luc Baissant, Éric Baissant, Patrick Baissant, Philippe Baissant.

Il y a beaucoup de baissons.

Collette Baissant.

Mais à l'époque, ça voulait dire jumeaux des baissons.

Les baissons c'était des jumeaux.

Et moi, je vous donne les prénoms de jumeaux.

Donc Landry et Sylviné...

C'est dans un conte ?

Pardon.

Dans un conte pour enfants ?

Alors un conte, oui.

On peut considérer qu'une femme a un roman, en tout cas.

Un roman de George Sand.

Un roman de George Sand, oui.

Pas la Maraudiable.

Le bon petit diable.

La Maraudiable.

Non.

La petite fadette.

La petite fadette.

Excellente réponse de Gérard Junaud.

Bravo Gérard.

Une question pour Pascal Paris.

Il y a du chenille ménile dans les vouches.

Sur l'actualité, c'est même à la une des pages économiques.

Page saumon, si vous préférez, du Figaro.

C'est Margot Rueau qui titre à propos des trains en Corse.

Et particulièrement dans les villes de Mémac,

Pérol sur Vésère, Montagnac sur Doustres et même Mémac.

Dans ces villes corésiennes,

eh bien les usagers de la SNCF, les passagers,

si vous préférez, qu'est-ce qu'ils font dans les gares,

dans ces gares corésiennes que je viens de citer ?

C'est génial.

Vous avez cité, vous avez dit deux fois Mémac,

une fois au début, une fois à la fin.

Alors c'était intentionnel,

ou c'est encore un pain de la montagne ?

Alors non, c'est parce que le train fait demi-tour.

Florence, c'est une histoire géniale.

Ça me fait plaisir de voir que vous suivez,

peut-être pour piéger les autres.

Mais vous avez raison, j'ai dit deux fois Mémac.

C'est beau la Corse.

Pardon ?

C'est beau la Corse.

Ah oui, ah oui.

Ma mère avait un tonton curé épicé sur ses fromages,

on allait jouer un truc les uns.

Comment ça, épicé sur ses fromages ?

C'est vraiment beau, c'est le maquis, c'est beau.

Mais pourquoi épicé sur le fromage ?

Parce que ça leur donnait du goût.

Ah ouais, c'est curieux.

C'est comme qu'on a froid sur un bateau qu'on allonglait,

on fait pipi sur les doigts.

Ah oui, j'ai souvent fait ça quand j'étais...

Il y a la verse aussi.

Il y a votre qui sent le rocfort.

Oh non !

C'est pas fou !

Ah non !

C'était du coup de temps.

Il y a du rocfort.

Laurent, est-ce que je peux répondre à la question ?

Calmez-vous.

Est-ce que je peux répondre à la question ?

Non, on s'en fout.

Mais attends, tu te pisses sur les doigts ?

Non, mais...

Il y a du trop mal.

Il y a des marins pêcheurs quand ils sont sur un bateau,

quand il fait moins 5 degrés,

quand tu pars pendant 10 jours en mer...

Mais attends, il y a des goulottes, il y a autre chose que...

Il y en a des gants.

Oui, mais quand on est en pleine mer,

tu sais, on n'a pas le temps, il faut pêcher et tout,

il faut ramener de poisson à la maison.

Et d'accord.

Il se prend pour qu'il y aure saison, machin.

C'est vrai ?

On a le cirer et tout,

et puis on sort ça,

t'as t'as qu'il fait en fait pipi.

Non, mais vraiment, c'est...

C'est...

Pardon.

C'est pour réchauffer les doigts, c'est ça ?

Oui, c'est pour réchauffer les doigts.

Il n'y a pas d'autre moyen.

Il y a des gants ?

Non, il y a des gants.

Vous savez, quand t'es en pleine mer et tout,

on m'y a redire l'ordre,

on m'y a redire l'ordre,

t'as le vent devant toi,

t'as le vent dans la gueule,

t'as le force de 7,

t'as pas le temps de...

T'as même pas de...

Mais pourquoi tu mets pas tout simplement

tes mains dans ton slip ?

Mais lui aussi,

était-elle la température de...

Il faut tenir de...

Surtout qu'il y a de la place.

Honnêtement,

si tu avais le même ventre,

t'arriverais jamais à atteindre le slip.

Mais je peux raconter

une petite anecdote,

ou parce qu'il va être arrivé

la semaine dernière.

Ça va encore, je l'écoute.

Je sens, je sens la fraîche,

je l'arrive.

Non, mais c'est bizarre.

Alors, j'ai tenté à l'assaut

la semaine dernière.

Oh merde !

Je suis sûr qu'il a fait pipi

dans la binoyage.

Et à un moment donné,

vous savez, j'avais un truc

qui s'appelait les affusions dynamiques.

Et donc, t'es allongé sur le dos,

sur le ventre,

et il y a une dame qui s'occupe

de toi

et qui te fait des massages.

Et elle te dit, au début,

mettez donc ce string là,

parce que...

Un string en papier.

Un string en papier.

Et puis, je suis revenu

dans 30 secondes.

Mais moi, vous savez,

je suis mal adroit,

donc tu ne sais pas

qu'est-ce qu'il y a de vent derrière.

Mais quand même, si tu t'assures.

Tu as raison, ça.

On ne sait jamais

où elle est derrière.

Je suis d'accord avec lui

quand on va se faire masser.

C'est pareil, on vous donne

un truc.

Je pense que moi, d'ailleurs,

finalement je le mets plus,

je garde toujours mon calçon.

C'est sérieux.

On ne sait jamais

où elle est devant.

Vous vous mettez tout nu aussi,

des fois.

Surtout quand ta mère

est bien montée.

Elle regarde.

Voilà, tu l'as mis

quelque côté, là.

J'ai réussi,

mais comme j'ai...

En ce moment, je suis un peu

peu donnant.

Il y avait quelques poils

qui dépassaient.

Juste en ce moment.

Voilà, c'est fini.

C'est la fin de l'histoire.

Attends, c'est pas vrai.

C'est ça, l'anecdote.

Une belle histoire.

Je quitte l'émission.

À quel t'as la sautue va

qu'on y est?

Ah, à Saint-Malo.

C'est génial.

Ça marche terrible.

Ah, c'est parce que

t'as des prix.

Pardon.

On a quand même

oublié la question.

Non, deux fois à Mémac.

Deux fois à Mémac.

Et une fois, je ne sais plus

où encore.

À Perolle, sur Vezère

et à Montaignac, sur...

Est-ce que c'est embêtant?

Je crois que, monsieur...

Oui.

Réu, vous l'avez proposé.

C'est génial, en fait,

parce que contre la désertification,

en fait, et le manque de train,

c'est qu'il y a le train qui passe.

Et en fait, si t'as envie

de prendre le train,

tu lèves la main

et là, le train s'arrête.

C'est une forme de...

C'est comme le taxi.

Tu lèves la main.

Oh, tu fais du stop sur le quai.

Effectivement, signaler au chauffeur

qu'on veut que le train s'arrête.

Bonne réponse !

Géloal, Géloal.

Mais c'est génial !

C'est génial !

Avec le TGV,

il faut faire un gare.

Avec le TGV,

ça marche aussi,

mais pour qui s'arrête,

il faut se mettre sur la voie.

Ça a marché avec un char récemment.

Mais vous trouvez ça génial,

vous, Réu,

moi, je ne trouve pas ça génial.

Jamais les gars vont s'arrêter.

Il ne va pas vous voir faire signe.

Non, mais ça s'appelle

ne pas fermer les petites gares.

C'est déjà ça.

Parce qu'en fait,

la gare reste fermée,

tu ne peux pas prendre de billets,

d'acheter de billets.

Il n'y a que un, deux passagers par jour.

Enfin, t'imagines,

les gens sont là sur le quai.

C'est génial !

Mais pardon.

C'est bien !

Arrêtez-vous, arrêtez-vous !

Mais qu'est-ce que ça change,

que ça s'arrête une fois de temps en temps,

pour que la gare reste,

ou ne reste pas,

ça change quoi ?

Parce que comme ce sont des gares

très peu utilisées,

si le train s'arrête à chaque fois,

ça fait perdre du temps à tout le monde.

Donc là, on considère ça

juste comme un stop.

D'accord.

Je vais, ce week-end, encore aise.

Je me fous sur le quai.

On paraît tout de suite,

toi et Grotin !

Il y a un train qui passe faire.

Juste pour faire chier.

Ah non, je ne voulais pas monter,

je disais juste bonjour.

Je ne voulais pas monter,

j'ai pas qu'il me sonne.

Pardon, mais je trouve ça débile, alors.

Non, mais c'est débile.

Il y a deux trains par jour,

sur ces lignures.

Ah, vous pouvez que je vais m'ennuyer

entre les deux trains.

Et attention,

ça marche aussi, évidemment,

si vous êtes dans le train,

parce qu'il faut qu'elle

pourrait pouvoir en descendre aussi.

Alors là, c'est pareil,

si vous oubliez

la fausse sautée par la fenêtre.

Mais il faut taper

sur les pôles du chauffeur,

ça pratique.

Parce que c'est vrai, comment on fait ?

Non, mais c'est complètement con.

Et bien, il faut signer

aller au chauffeur, absolument.

Il faut que vous alliez voir

le chauffeur pour lui dire

que vous descendez là.

Ah, mais Mac, a priori.

Non, mais enfin, écoutez franchement.

Vous imaginez,

vous imaginez, vous êtes dans

le Vagone Que.

Ça m'étonne pas de vous.

Dans la voiture.

Et pardon, mais si vous êtes...

Dans la voiture, docteur.

Dans la voiture, docteur.

Ah !

Laurent, est-ce que je peux partir ?

Est-ce que je peux m'arrêter là ?

Je peux sortir, Laurent ?

Pourquoi ?

Parce que c'est...

Là, c'est sympa.

Il a envie de s'en réchauffer les mains.

Pour descendre,

ils doivent se signaler

au contrôleur.

Voilà.

Ah bah voilà.

Il faut bien...

Alors voilà, il faut bien...

C'est compliqué.

Ah, c'est compliqué.

Ah, on s'égarre.

Je trouve on s'égarre là.

C'est bien, c'est bien.

Oui, c'est, c'est bien.

Non, c'est mieux là.

Pour une fois que c'est pas vulgaire.

C'est pas vulgaire.

Non.

Tchou, tchou.

Vous êtes fier de votre poula, Laurent ?

Pas du tout.

Franchement, j'ai vu assez d'horreur

pendant la gare.

Une question pour monsieur Lancelot Boulet

qui habite Roi.

Dans quel cas touche-t-on un ardillon ?

C'est-à-dire qu'il s'appelle Lancelot

de son prénom.

Oui, Lancelot de son prénom.

Ah, c'est incroyable.

C'est le frère de Stevie ?

Je sais ce que c'est qu'un ardillon.

C'est la petite pointe de la ceinture

pour le mettre dans le trou.

Excellente réponse de Chantal Lassoud.

Elle aurait pas trouvé Bachelot, hein, ça ?

Je le savais bien.

Il y a tout ce qu'il peut mettre dans le trou.

Non, on dirait ça en français.

C'est la petite pointe de métal

qui ferme la boucle d'une ceinture.

Voilà.

Tout simplement.

Ah, ça prouve que vous en avez touché

beaucoup des ardillons, Chantal.

Ouais, ça n'est ouvert pas mal.

Mais comment vous savez ça,

alors que ça s'appelle un ardillon ?

Tout le monde le sait, non ?

Personne ?

Moi, je le sais.

Non, je fais comme Mme Bachelot.

Je dis, c'est tout de fait simple.

C'est ce que c'est qu'un ardillon.

Même j'arrive, on avait.

Moi, j'aurais dit que c'était un acteur

du X qui débute.

Ah, c'est pas mal.

Ah oui, c'est joli.

Petit ardor.

Non, non, ça, c'est le dardillon.

Monsieur Kerso, réveillez pas le dord.

Non, mais...

C'est le patron d'Hertel qui m'a dit

dès que vous apercevez qu'il s'obnole,

vous lui adressez la parole

au prix où on le paye.

Il doit quand même dire une phrase

à peu près toutes les 3 minutes.

Bonjour.

On est pédar pour 3 minutes.

Ils veulent me faire fonctionner comme un coucou.

Vous vous donnez l'heure,

tous les quart d'heure, si vous voulez.

Ben non, mais vous êtes un homme

qui avait, j'imagine,

donné des coups de ceinture.

Non, pour moi, un ardillon,

c'est pas ça.

C'est le point supplémentaire

qui est à l'inverse de la courbe d'un amçon.

Ça va, bonne journée.

Ah, mais c'est vrai que ça ressemble

à un amçon.

Ça s'appelle un ardillon.

Ben oui, mais c'est la même chose.

Oui, c'est ce qui...

Déjà, en fait, c'est vrai

que tu me menaces toujours

de me ruiner

parce que je suis pas train

de bavarder.

C'est la Saint-Pipelette.

Aujourd'hui, il y a de la bonne femme achetée.

J'ai pas besoin de parler.

Fous-moi la paix.

Putain, je viens là.

Ne faites pas preuve de mise au-de-je.

C'est un papyginio

qui dit des trucs néodrôles

tous les cinq minutes.

Ça m'appelle la maison de retraite

dans lesquels je suis pas encore allé.

Tu vas bien.

Vous laissez pas faire, Gérard.

Non, non, mais il m'emmerde gros.

Je chante gros.

T'as tué vu, toi ?

Vous avez raison, Gérard.

Olivier est exagère.

Vous n'êtes pas gros, Gérard.

En plus, il y a une...

Il a énormément maigri.

Et plus vieillé, plus il est beau.

Je l'ai confondu avec Elie Semoun

tout à l'heure quand il est arrivé.

Je me suis fait circoncir.

J'ai pensé que t'as perdu du poil.

J'ai perdu du poil.

Vous habilez pas toutes les buts

de ceux qui arrivent dans les missions ?

Des bruyettes, des bruyettes.

Mais quelques-unes, quand même.

La vôtre, madame Machinot.

Je vous raconterai bien une histoire,

mais elle n'est pas...

Ah bah si, allez-y.

Ah bah si, il y a bien un endroit.

Il y a bien un endroit, c'est celui-là.

Franchement.

C'est pas sur il séit

que vous allez la raconter.

C'est une superbe blonde

avec une magnifique poitrine

qui arrive devant son médecin

et qui lui dit,

écoutez docteur, je suis très ennuyé.

J'ai du poil entre les seins.

Le médecin lui demande

d'ouvrir son chemisier.

Effectivement, elle est quand même

assez velue et...

Il lui dit, mais ça va jusqu'où ?

Elle lui dit, jusqu'au couille, docteur.

Une question pour Bruno Sauvac.

Habite Livron,

dans les Pirénées Atlantiques.

Monsieur Fernand Lopez,

mais aussi Cyril Diabatté.

S'oppose à Jean-Luc Rouget,

qui lui, pour l'instant,

n'est pas d'accord

et freine des cas de fer,

comme on dit.

Mais sur quel sujet,

pourquoi sont-ils opposés ?

C'est du football.

Du football, non.

C'est sportif, quand même.

C'est sportif.

Alors, c'est un rapport

avec la Formule 1, Laurent.

La Formule 1, non.

Avec les Jeux Olympiques.

Les Jeux Olympiques.

Les Jeux Olympiques, non.

Le rugby.

Mais non qu'on est bêtes,

c'est un rapport avec le tennis.

Le tennis, non.

Est-ce que c'est un sport

que vous faites ?

Non, et que je ne ferai plus,

mais que j'aurais pu faire.

Ah, de l'escrime.

De l'escrime.

De l'escrime, non.

Le badminton.

Badminton.

Vous ne faites plus, vous avez fait du squash, Laurent.

Du squash, non ?

Ce n'est pas allié au squash.

La box.

J'en ai jamais vraiment fait.

Le tricot.

On se rapproche avec la box.

La box.

Du judo.

Du judo.

Quel est le gros con qui a dit tricot ?

C'est moi.

C'est bien ce que j'avais entendu.

Est-ce que c'est le judo, alors ?

Jujutsu.

Ça, il ne faut pas taper avec les pieds.

Par l'eau et la baronne.

Jujutsu.

Jujutsu, non.

Est-ce que c'est la box anglaise et il refuse que ce soit au jeu olympique ?

Non.

Jean-Luc Rouget.

C'est le judo, Jean-Luc Rouget.

Il est grand patron de la fédération de judo.

Ils ont voulu rajouter une catégorie.

Il est contre quoi ?

Il est contre que Teddy Reiner fasse une émission, non ?

Pas du tout.

Qu'on rajoute une ceinture.

Non.

Oh non, mais vraiment, vous ne connaissez rien.

Des gens ne connaissent rien en rien, mais dans un judo...

Une chose à foutre quand tu es occupé du judo.

Ce n'est pas lié judo, justement.

C'est la fédération des sports de combat.

Ils voudraient faire entrer une nouvelle discipline au jeu olympique.

Pas au jeu olympique.

Alors qu'il soit reconnu au championnat du monde.

Ou au championnat du cours.

À la télé, à la télé.

Les passages télé, radio.

Moi, j'ai fait mon maximum.

J'irai pas plus loin dans le jeu.

Je m'arrête là.

Attends, je vais prendre le relais.

Finissez ce temps-moi, je vais vous ralentir.

Alors, c'est une histoire de langue.

Ah oui, parce qu'il ne veut pas de ponçoring.

Il n'y a pas une histoire de fric derrière.

Non.

Ce n'est pas une histoire de langue.

Je crois qu'on n'a pas bien trouvé le sport.

C'est le judo, mais ce n'est pas le judo.

Non, c'est un sport de combat.

Ils ne veulent pas qu'on mélange le sport de combat

et les plan-sauces, parce que le judo y tue.

Oui.

Je l'ai.

Alors, pour deux coups, je l'ai.

Pour le coups, je l'ai.

Il ne faut pas mélanger les hommes avec les femmes.

Pas du tout.

C'est un autre sport que le judo.

Ah oui, oui.

Oui, le patron de la Fédération de judo est contre quoi ?

Il n'a pas besoin de désagréer.

Il n'a pas besoin de garater qu'on lui retire un sport.

Non.

Non, que ce soit reconnu un nouveau sport.

Que ce soit reconnu un nouveau sport.

C'est ce que je dis.

Voilà.

Mais vous voulez le nom du nouveau sport.

Ah oui, tout le monde le connaît.

Le fight.

La savate.

La savate.

Vous êtes doué pour la savate.

Non, ce n'est pas la pantoufle.

Ce n'est pas un sport où on se...

On se répète le kickboxing.

Le kick, je ne sais pas quoi.

Oui, bien sûr.

Ce n'est pas le fight.

Je sais.

Le...

Le ultimate fighting.

Le ultimate fighting.

Parce que c'est...

Tout les coups sont permis.

Oui, ça s'appelle.

Ah oui, il y a vraiment pour ça.

Fight club.

Il y a fight.

Il n'y a pas fight.

C'est en français.

On sait avec des noms en A.

C'est un nom double avec deux A.

C'est ça.

Oui, oui, je connais ce nom.

C'est un juif qui a inventé ça.

Ah, le craft maga.

Craft maga.

Craft maga.

Allez-y.

C'est le craft maga.

Non, pas du tout.

Craft maga.

Non, non.

Le castanet.

Laurent, c'est en deux mots.

On commence par A.

C'est pas en deux mots.

Non, mais je suis triste.

C'est en un seul mot.

Aikido.

Pardon?

Aikido.

Non, ça y est.

Oui, bien sûr.

Le maraca.

Le macana.

C'est nouveau le Aikido.

C'est pas le craft maga, c'est-à-dire.

Ah, mais je suis sûr.

C'est pas le craft maga.

C'est viole craft maga, Ellie.

Est-ce que c'est un nom français?

On l'a vu.

En plus, ça a été interdit.

Et puis, la ministre d'espoir.

En plus, il me semble qu'elle a dit non.

La petite, comment ça s'appelle?

Elle a dit non, parce que c'est violent.

Ça se passe dans la rue.

C'est caché.

Non, justement, ça se passe pas dans la rue.

Oui, dans des salles, mais c'est caché, quoi.

Ça se passe pas dans des salles de sport.

C'est craft maga, non?

Non.

Tu comprends avec le craft maga depuis 20 ans.

Est-ce que...

C'est vrai que ça n'est pas autorisé chez nous en France?

Oui, c'est interdit.

Alors, c'est autorisé ou aux États-Unis?

C'est autorisé partout dans le monde, sauf chez nous en France.

Et voilà pourquoi, effectivement, des tas de fédérations font pression sur la ministre

des Sports pour qu'enfin soit autorisé ce sport chez nous.

Il n'y a pas de raison.

Il s'est autorisé partout dans le monde.

Mais pour l'instant, celui qui résiste et qui ne veut pas que ce sport soit autorisé,

parce qu'il a peur...

Il n'y a pas de raison.

Ah, j'ai peut-être trouvé.

Il te regarde.

Le black blocks K.

Ah non.

On dirait une danse.

Bon, écoutez, vous savez qu'il y a un sport qui existe partout dans le monde.

Oui.

Qui n'est pas encore autorisé chez nous.

Bon, le président de la Fédération Française de Judo, M. Jean-Luc Rouget,

est contre le fait qu'on autorise ce sport chez nous.

Pourquoi tout simplement ?

Parce qu'il y a des tas de parents qui inscrivent leur enfant au judo.

Et si...

Parce que les enfants aujourd'hui, qu'est-ce qu'ils veulent faire ?

Ils veulent faire ce sport-là.

Parce que ce sport-là, c'est celui-là qui est à la mode.

C'est celui-là qui est à la mode.

C'est pas de faire du judo qui est à la mode aujourd'hui.

Mais il y a un héros.

Il y a un héros.

Comment ça ?

Sur ce sport, il y a un héros.

Oui, Bernard Maby, oui, le roi du cimour.

Non, mais de bande dessinée.

De bande dessinée.

Je sais pas quoi.

En fait, on cherche la traduction de l'ultimate fighting.

Oui, parce que c'est dans tous les journaux.

Écoutez, ou moi...

Mais je lis pas les pages des sports, moi.

C'est en trois lettres, je peux pas vous dire.

C'est un acronyme.

Ça se passe derrière une cage, en plus.

Voilà.

Mais oui, c'est comme dans les X-men, là.

On se met dans une cage, tout le monde se...

Tu te bats à deux et...

Mais non, c'est pas le catch, monsieur Maby.

C'est un acronyme.

C'est comme au catch, dans les...

C'est un acronyme, Laurent, ou c'est un mot ?

Le catch, c'est truqué, alors que ça, ça n'est pas truqué.

C'est truqué, le catch.

Ah bah l'autre, elle arrive, elle.

Ah bah l'autre, elle arrive, peut-être, mais là, je suis déçu, alors.

L'autre, elle est vraiment déçue.

La jambe ?

Alors, la particularité de ce sport, c'est qu'ils peuvent se frapper au sol.

Ah ouais, mais c'est violent.

Oui, oui, oui.

Il y a pas de limite, en gros.

Tout n'est pas permis.

Attention, quand même.

Non, non, non, non, non.

Il y a quand même des endroits qu'on n'a pas le droit de toucher.

Le jav.

Ecoutez, franchement.

Le nab.

Le rami.

Le rami.

Est-ce que c'est un acronyme ?

C'est le scrabble.

Bon, bah là, on ne sait pas.

Garde, on n'est pas violent, nous.

Ah oui, on est...

Laurent, est-ce que c'est un acronyme ou un mot ?

C'est trois lettres, effectivement.

C'est pas un acronyme, parce qu'un acronyme...

Ça correspond à quelque chose.

C'est un mot nouveau, alors.

La PC.

C'est pas un mot nouveau, puisqu'on donne les trois initiales, là, vous voyez.

Le gun.

Oui, c'est donc un mélange de jugis de succa raté, GFK, allez hop.

C'est un sigle qui représente, effectivement, trois mots.

Vous connaissez, dans le public.

Étranger.

Levez la main, ceux qui connaissent.

Regardez, regardez, regardez, regardez, regardez.

Il y a un enfant qui nous humile.

Ah oui, oui.

Bah, tous les gamins.

Saint-Gosse, Saint-Gosse.

Ah, les gamins.

Tout le monde connaît ça.

Attendez.

C'est ce qu'on va faire.

On va humilier les grosses têtes.

On va humilier les grosses têtes.

Tu vas aller dans le micro des lycémunes.

Va au micro des lycémunes.

Et tu vas donner la réponse derrière la cloche à l'envie.

Quelle âge tu as ?

Onze ans.

Peux-tu te donner la réponse que les grosses têtes ont été incapables de donner ?

M.M.A.

Je suis déjà assuré.

Ce sont des bons bons.

M.M.A.

Le M.M.A.

M.M.A.

C'est les mutuels du mot assurance.

M.M.A.

Oui, c'est les assurances.

C'est le mot tracteur d'éroplaire.

M.M.A.

Mettement brûlé.

Mettement remboursé.

M.M.A.

Absolument.

Le M.M.A.

Le Mixte Martial Arts.

Ça veut dire.

Ça veut dire tous les arts martiaux réunis en insoles, sport.

Bonne réponse d'un enfant de 11 ans.

Qui humilie les grosses têtes.

M.M.A.

M.M.A.

M.M.A.

Et vous, Marcella ?

Vous connaissiez Gérard Junio ?

Pour dire qu'il est célèbre,

que même moi je ne vous connais,

que je ne connais personne.

M.M.A.

C'est gentil.

C'est un joli compliment.

C'est gentil.

Et vous avez vu dans quel film, Marcella ?

J'ai vu beaucoup de films.

Non, parce que moi je n'ai pas la télé.

Alors, du coup, je ne suis pas très au courant.

Non, on n'a pas la télé.

Non, mais là, c'est fait...

Je ne sais pourquoi.

J'ai acheté une.

Il y a trois semaines,

j'ai regardé deux semaines

et après j'ai arrêté.

Non.

Mais tu l'as revendu ?

Non.

Non, mais lui...

Et vous avez vu dans quoi, lui, alors ?

Non, beaucoup de films.

Il incarne la bofitude

préwell-becquienne dans les bronzées.

Les bronzées, je n'ai pas vu.

Ah.

Vous n'étiez pas née.

Mais vous êtes trop gentil.

Mais...

Oui, Marcella.

Il va avoir un bouquin sur lui, lui.

Il cherche un bouquin.

Je peux passer.

Peut-être à une première citation, vous êtes d'accord ?

Mon week-end tout le long de 100 fois.

Vous ne faites rien.

Vous ne sortez pas de chez vous, Isabel.

Vous avez de ne pas changer.

Très casanière.

Absolument, oui.

Un peu misentrant.

Mais elle pouponne maintenant.

C'est vrai qu'elle pouponne.

Elle est maman.

C'est vrai maintenant.

Au grammaire.

Vous n'aurez pas d'une, Marcella.

Ça va être la guerre du clé.

Je ne jamais fait ça.

Écoute, laisse-moi, laisse-moi une bonne heure.

Et je te réponds du tacotac.

Alors, une première...

Une première citation pour...

J'enchaîne, j'enchaîne.

Une première...

Salope !

Mais donne-moi une réplique, toi !

Vas-y !

Des imagines.

Une première citation pour Morgan Alsieu,

qui habite Tokyo car on a

des auditeurs...

J'ai le mec jusqu'en Chine.

Fait un peu clé, c'est que j'apprends.

Mais oui !

Ça, c'est très bon, voilà.

Voilà ce qu'il s'en va.

Voilà ce qu'il s'en va dans une émission.

Dans la vie de Tokyo, on a des auditeurs jusqu'en Chine.

Ça, c'est bien.

Qui a dit, je suis si fatigué

que je baille en dormant.

C'est la chaguiterie.

Bonne réponse de Yann-Marce.

C'est pas bien.

C'est pas bien piquer la seule question

à laquelle Isabel Mergo pouvait avoir une réponse.

Ça va, je suis grand-mère, je suis complètement con.

Ça va, je...

Je tiens de jolies t-shirts.

Oh, je t'en mets, on va...

Ça prend un tour populaire.

Je suis même étonné qu'elle parle pas de sa chaîne.

Non, non, mais ce qu'il y a entre les seins,

c'est pas une chaîne, c'est son ombris.

Ça, ça veut dire que t'as les seins qui tombent,

de fois que...

C'est une vraie chaîne.

Tu veux que j'étais morte ?

Elle a une chaîne de vélo.

C'est pas une chaîne de vélo, c'est une chaîne d'anti-vol.

On va t'inquiètes pas, on va pas l'appliquer.

C'est une chaîne de chiennes.

Ah, une chaîne de chiennes ?

C'est lourd, non ?

Non, non, vous voulez s'appliquer ?

Si tu veux que la faire, propose-lui des croquettes.

Elle est propre, elle va dans le caniveau.

Vous laissez pas faire, Marcella.

Qui a dit, et ce sera une question pour M. Vernier,

qui habite la Teste de Buche, dans Gironde,

il y a un peu de testicules au fond de nos sentiments les plus sublimes.

Il y a un peu de testicules au fond de nos sentiments les plus sublimes.

C'est un français.

Un philosophe.

Un français mort, philosophe.

Montagne.

Montagne, non, mais, vous voyez, c'est pas bête.

Ha, ha, ha, la grand-mère est là.

C'est vrai, non ?

C'est un humaniste, ça.

Alors, humaniste, philosophe.

18e siècle.

Écrivain du 18e.

Ça existait de mon testicule.

Eh bien, oui, oui.

Diderot.

Diderot, bonne réponse !

Doyane Watts.

C'était bien Diderot.

C'est des choses qu'on apprend à l'école, ça.

Les sources de nos grands fleurs.

Ah, oh la la.

Le mot, j'ai un des mots.

Ah.

Alors, le mot, j'ai compris, je comprends que vous connaissiez la source de la loi.

Moi, quand même, j'étais présidente du Conseil en mâtoire.

Le plateau de l'angre.

Le plateau de l'angre.

Le plateau de l'angre pour la scène.

Très bien, tout ça, c'est très facile.

Oh, c'est facile.

Mais où la Garonne prend-elle sa source ?

Ah, la Maladéta ?

J'ai Francisca Brown.

Pixela Maladéta.

Comment vous dites ?

À la Maladéta.

À la Maladéta.

Non.

C'est du côté de Bordeaux, non ?

Ah, non, pas du tout.

Non, non, non.

Non, je sais pas.

Dans les pirénées espagnoles.

Dans les pirénées espagnoles ?

Oui, mais où précisément ?

Au Cirque de Gavarni.

Oh, bah non, c'est...

Non, non, le Cirque de Gavarni, c'est en France.

C'est une vallée.

C'est une vallée.

Spagnoles ?

Ça dépend, il est utiliéron.

Oui.

Oui, c'est ça.

Le pic d'Annetto.

Pardon ?

Le pic d'Annetto.

Non, non, non.

Là, honnêtement, je peux pas vous répondre, nous, en Belgique, on a...

C'est la source secondaire, le pic d'Annetto.

Oui, c'était pas mal quand même.

C'est pas mal, oui.

Il y a une source principale.

Oh non.

Et elle est en Espagne ?

Oui, ah bah oui, je viens de le dire, Chantal.

C'est bien de répéter ce qu'on vient de dire.

Pas loin de chez Zara ?

Pardon ?

Pas loin de chez Zara, il y a un Zara en Espagne qui est très, très bien.

Je n'ai rien compris avec votre Zara, Chantal.

Parce que c'est espagnol ?

Zara, oui.

C'est la Gibraltar, la maison mère.

Et alors, quand même...

Non, rien, parce que c'est...

La garante.

Parce que ça, c'est Gibraltar sur pal.

Je vais essayer de vous expliquer, Chantal, vous avez parlé d'Espagne.

Donc elle fait une connexion neuronale.

Zara.

Espagne, alors elle aurait pu dire Corrida, Paella...

Chorizo.

Chorizo.

Et elle m'a dit Zara.

Zara, elle a dit Zara.

C'est du côté de Pamplune.

Quoi, de Rosara ?

Non, la source.

La source.

Non, la source est dans les pyrénées espagnoles.

Exactement.

Pas très loin.

Dans le Val d'Aron.

Ils auraient-tu ?

Alors je demande le nom exact, hein.

C'est des choses qu'on apprend à l'école, ça, je vous rappelle.

C'est vrai, mais pas chez nous.

Je les ai pas mal avec la source secondaire du pic d'Annetto.

Pourquoi c'est pas la question ?

C'est où la source secondaire ?

Où prend...

Où...

Enfin, où ça est merde ?

Ah, y'a Chantal qui détache Roselyne.

Peut-être que vous pouvez sauver l'honneur avec la source...

La source du Rhône, non ?

Le Saint-Gothard.

Comment vous dites ?

Le Saint-Gothard.

Non, non plus, non.

Non, non.

Et le Mont attendait...

La source du Rhône, bah ça parle du lac Clément.

Alors, y'a la source du Rhône et y'a la source du Rhône.

Attention.

Le Rhône, c'est pas le lac Clément.

La source du Rhône, c'est la vessie, non ?

On l'a écouté, on l'a vraiment fait.

C'est la chapelle s'estite.

Bon, alors le Rhône, c'est le lac de Thomas.

Ah, oui.

On peut dire pas ah oui, puisque je ne savais pas.

Je n'ai jamais entendu ce nom, là, à l'acte de Thomas.

Et le Rhône, c'est en Suisse, c'est à Gletch.

Mouchez-vous, Laurent.

Mais où est la Gletch ?

Quant à la garonne, j'ai vous le donné dans 30 secondes.

Ça fera donc 300 euros pour Marina de Simonin,

qui habite là en grand plus, ça tombe bien.

Ah oui, ah oui.

Y'a du favori.

Et alors, c'est quoi ?

Eh ben, c'est quoi ?

Dans 20 secondes.

Dans 20 secondes.

Attendez encore 10 secondes.

C'est peut-être que ça démarre vraiment d'un magasin Zara ?

En dessous ?

C'est du plus grand dos.

Alors écoutez la garonne, donc...

Prends sa source en Espagne à plat de bérettes.

Plat de bérettes.

Vous le retiendrez, Roselyne ?

Non, non.

Eh bien, chez Zara,

il y a une fontaine au milieu dans la boutique.

C'est pour ça que vous suivez.

Voilà, bah écoutez,

on a révisé au moins les sources de nos grands fleuves.

C'est déjà pas mal.

Qu'est-ce qu'un courrier d'entreprise

a distribution exceptionnelle ?

Attendez, vous voulez être entrepris ?

Lettre recommandée ?

Une lettre recommandée ?

Non.

Répétez la question.

Mais bien sûr.

Qu'est-ce qu'un courrier d'entreprise

a distribution exceptionnelle ?

Une lettre de licenciement ?

Non.

Une lettre d'entreprise ?

Qu'est-ce que vous pouvez répéter ?

Mais bien sûr,

ce ne sera que la troisième fois.

Qu'est-ce qu'un courrier d'entreprise

a distribution exceptionnelle ?

Un tract militant.

Un tract militant ?

Non.

Distribution exceptionnelle,

ça veut dire tous les combien ?

Une lettre de licenciement.

Non.

Élasse, pas exceptionnelle.

Une carte de Noël ?

Qu'est-ce que vous appelez une carte de Noël ?

On les veut.

Une carte de vœu.

Bien sûr, les patrouilles.

Une carte de vœu.

Une carte sur laquelle vous écrivez

Joyeux Noël.

C'est exceptionnel.

Un paiement.

Un paiement entre le paiement

d'un salaire.

Vous savez que ça,

c'est assez incroyable.

Quatrième épisode de mon voyage

au Japon.

Au Japon,

j'ai voulu envoyer

une carte postale.

Un oncle et une tente.

Qui aime bien

que je leur envoie des cartes

postales.

Ils sont japonais,

vous avez des oncles et des tentes.

Mais...

T'as pas trouvé de trou ?

Mais non.

Qu'on vous trouve ?

Le trou de la boîte.

La fente.

Non.

Il n'est pas trouvé de cartes

postales.

C'est fini maintenant.

Tout le monde,

évidemment, envoie des mails,

envoie un Instagram,

un texto,

un SMS.

On ne trouve plus.

Mais il n'y a pas un magasin

de cartes postales.

C'est pas vous aussi.

C'est que l'été où,

évidemment,

c'était dans un village,

dans une risière.

Tokyo.

C'est un petit village.

Tokyo,

c'est connu.

C'est un peu mieux.

Tokyo.

Je vous mets au défi

de trouver une carte postale

de Tokyo.

C'est incroyable.

Mais non,

et c'est normal.

On envoie une propre photo.

Aujourd'hui,

il y a un truc qu'on fait soi-même.

Vous savez ce qui manque

sur les photos qu'on envoie ?

C'est qu'on ne peut plus

écrire au bic

la fenêtre.

Par exemple,

avec une photo de l'hôtel,

c'est écrit à la chambre

dans laquelle on loge.

Ah oui ?

Ah oui, ça, c'était bien.

Faire poit de poit avec aussi.

Ah oui.

C'est marrant.

Parce que moi,

j'étais à Lisbonne.

Oui.

J'ai envoyé des photos

de morue à toute ma famille.

Des cartes postales.

Ça fait des selfies.

Ah !

Ah !

Regarde le Caplan,

la vent Sleeptrade.

Le Caplan,

tu me rajoutes un prénom

et t'enlèves des lettres.

Mais attendez,

on n'a pas trouvé encore

ce que c'était.

Le courrier des entreprises

en distribution exceptionnelle

c'est.

Par

du PQ ?

Non, c'est un courrier.

C'est un courrier papier

Avec mes histoires japonaises, j'ai fait gagner 300 euros, je suis un courrier papier.

Non mais réfléchissez, écoutez bien ce que je vous dis.

C'est une entreprise qui l'envoie à ses employés.

10 secondes courriers d'entreprises à distribution exceptionnelle.

C'est pour le patron.

Mais non, enfin voyons.

300 euros pour Monsieur Godin.

Mais c'est quoi ?

SEDEX, le SEDEX.

Qu'est-ce que c'est ?

Courrier d'entreprises à distribution exceptionnelle.

Tu mets SEDEX, Paris SEDEX 15 là.

Oh la vache, SEDEX ça veut dire ça.

Et oui, Paris SEDEX, courrier d'entreprises à distribution exceptionnelle.

300 euros pour Monsieur Godin, des ponts de sé.

C'est une question qui concerne Monsieur Maby, mais pas Bernard Maby.

Gérard Maby, c'est peut-être quelqu'un de votre famille d'ailleurs Bernard.

Je ne peux pas vous dire.

Il est conservateur, il y a plusieurs Mabys.

Il est conservateur au château de Versailles, Gérard Maby.

C'est intéressant à connaître.

Mais alors sauf qu'il vient de se faire arnaquer d'après le journal Le Monde.

Et de la famille alors.

En effet, Le Monde a consacré une page entière dans son édition d'aujourd'hui,

publiée hier à Paris,

une page entière où on nous explique que c'est la page entière,

deux marchands d'un réputé ont été placés en garde à vue margie 7 juin dernier

pour avoir vendu au château de Versailles.

Donc c'est Monsieur Maby qui se serait fait avoir, le conservateur,

pour avoir vendu des fausses quoi ?

Statues ?

Des fausses poignées de porte.

Des fausses perruques de Marie-Antoinette ?

Non.

Fausses commodes.

Des fausses poignées de porte.

Des fausses perruques de Marie-Antoinette ?

Non.

Fausses commodes.

Des fausses chaises.

Des fausses chaises.

La bonne réponse exacte, c'est des fausses chaises d'époque.

C'est des Ikea.

C'est des vraies chaises, il n'y a pas de problème.

Mais évidemment, elles ne sont pas de l'époque indiquée.

Elles ont été vendues comme des chaises du XVIIIe siècle,

alors qu'elles auraient été fabriquées tout simplement il y a quelques années seulement.

Mais non, Marie, il paraît que c'est très facile de truander dans le domaine du mobile.

Pourquoi ?

Je vous explique, c'est un très bon article du journal Le Monde,

c'était le nom du journaliste qui s'appelle Harry Bellet,

qui nous explique qu'au fond, on peut tout à fait vendre des chaises

qui ont été fabriquées dans les années 1915-1920,

ou même l'année dernière,

en les faisant passer pour des chaises du XVIIIe siècle.

Tout simplement, il suffit de récupérer du bois de l'époque.

Et avec le bois de l'époque, vous faites évidemment,

vous pratiquez, vous essayez de faire la même technique d'ébénisterie que l'époque,

et il n'y a aucun moyen d'dater, évidemment,

parce que le moyen d'dater un mobile, c'est évidemment le bois.

Mais pardon, mais pour récupérer du bois de l'époque,

quand même, ce n'est pas si évident que ça.

Si, c'est beaucoup plus facile dans l'écharpante,

par exemple des difficultés.

Voilà, du XVIIIe.

Oui, du XVIIIe, si vous prenez des charpantes de chez Phoenix.

Merci, vous ne comprenez pas mon même...

Vous ne me comprenez pas.

C'est plus facile de trouver des boiseries du XVIIIe que du XVIe,

voilà, c'est ce que je voulais dire.

Et le meuble finit, vous tirez dessus avec une carabine à plomb,

avec une cartouche, ce qui fait les petites roues de verre.

Bah donc, c'est vraiment ton cousin, alors.

C'est toi qui l'as, Naki, en fait.

Le calcul de l'âge...

Le calcul de l'âge d'un mob se fait en fonction des cernes du bois.

Mais sauf qu'elle n'est pas utilisable,

toujours car elle demande effectivement des sections de bois

bien supérieures à celles utilisées dans le mobilier.

C'est effectivement des petites fractions de bois

qu'on utilise pour une chaise ou pour un mob.

Et M. Maby, lui, le conservateur du château de Versailles,

dit qu'il est persuadé qu'elles sont du XVIIIe.

C'est un autre spécialiste des chaises

qui a soulevé ce lièvre.

On dit ça à soulever ce lièvre.

On peut soulever un lièvre.

En général, on le tire, mais on peut le soulever.

On souleve le lièvre et on pose le lapin.

Et il a dit que les chaises qu'on a refinées au château de Versailles

sont des fausses chaises.

C'est une guerre entre deux spécialistes des chaises.

La guerre des chaises.

Les experts s'affrontent.

Il y en a un qui dit que c'est un fou.

C'est un de mes anciens étudiants.

Il veut faire croire que je n'y connais rien en chaise.

C'est un combat d'Antiquaire.

C'est un combat d'Antiquaire.

Il y en a un qui dit que c'est pas la vraie chaise.

Et qui peut les départager alors ?

Plouplouplou.

Il y a la Mabie qui a pris une mauvaise chaise.

La Mabie, elle se fait avoir.

Elle est sur le cul.

Elle n'y connaît rien en charpente.

Il est tout vermouli.

Autant poutre, elle maîtrise mon charpente.

C'est un combat d'Antiquaire.

Il y en a un qui dit que c'est pas la vraie chaise.

Et qui peut les départager alors ?

Autant poutre, elle maîtrise mon charpente.

Pourquoi, d'ailleurs, on dit que...

Elle a pas le barreau.

Pourquoi on dit que les Antiquaires,

pourquoi se clichés sur les Antiquaires ?

C'est pas un cliché.

Moi, j'ai de plein d'Antiquaires qui ne sont pas au mot.

Ah c'est vrai ?

Ils sont danseuses.

Je me suis fait coiffer par l'Antiquaire.

Pêcher de chaise, c'est le titre de cet article.

En effet, ces Antiquaires

sont soupçonnés d'avoir vendu comme authentique

des faux sièges du 18e au château de Versailles,

ce qui évidemment est embêtant

pour une chaise datée.

Elle est vraiment course, ma vie.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.

Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du samedi 14 octobre 2023.













Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.