Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Le Best of du dimanche 8 octobre 2023

RTL RTL 10/8/23 - Episode Page - 1h 37m - PDF Transcript

Vous vous êtes connu un enfant, Benichou et Marnie ?

Non, il est beaucoup plus vieux que moi, mais c'est un ami de mes parents.

J'étais en première, quand il était renvoyé en 6e du lycée.

Non mais sérieusement, vous êtes connu un enfant ou pas ?

Non, on a juste 70 différences.

Oui, mais il était d'une autre classe sociale.

Ah oui, moi j'étais un juif pauvre, lui c'était quand même l'aristocratie.

On y est les Benichous, les amis d'Albert Camus.

On l'avait les tas de gens comme lui, près de la maison.

Non, parce qu'un jour Pierre m'a dit, c'est incroyable,

le nombre de connaissances que tu as à toi qui vient d'un petit milieu.

Il m'a dit ça, un petit milieu.

Mais oui, il y a deux personnes qui m'ont dit ça, Pierre et ma femme.

Daniel et nous, vous êtes contents de revoir Benichou ?

Oui, je suis très content de voir Benichou, s'il vous plaît.

Ça vous écorcerait la gueule de dire M. Benichou.

Mais nous nous connaissons depuis 50 ans, on peut le dire.

Tu dois confondre avec mon grand-père.

On sortait en boîte ensemble.

Est-ce qu'il y a eu une aventure entre vous ?

Ah oui.

Maintenant, vous pouvez y aller, ils sont tous morts, les ex de Daniel.

Il y a prescription, il y a un squelette dans le placard.

Non mais c'est vrai.

Moi j'ai pas voulu pour pas faire de la peine à Jacques Brel.

Ah c'est vrai qu'elle a été la maîtresse de Jacques Brel.

Ah non.

Oui, oui, oui.

Mais c'est une nuit qui a duré longtemps.

Tu vois, toi qu'il a écrit ne me quitte pas.

Non, non, non, il a écrit quitte moi mais il l'a pas sorti.

Non, ne me quitte pas, on le sait tous, c'était pour Suzanne Gabrielo.

Enfin, qu'est-ce qu'il a écrit comme chanson ?

Quand il a écrit comme chanson ?

Non, c'est Jacques Brel, pardon, à la barrière qui avait écrit une chanson.

Plus j'aime entendre ta voix.

Tu dis des mots, encore des mots, toujours les mêmes.

Tu dis parfois, tu dis souvent, n'importe quoi.

Plus je t'entends, oui oui ça.

À la barrière, donc vous avez tapé tous les chanteurs de l'époque, alors.

Oui.

D'abord, les sonaliers, ça a pas duré longtemps.

Parce qu'ils voulaient prendre sa retraite.

Et Charles Trenet, elle a pris un râteau.

Ah oui, pas tout le monde.

Ah c'est vrai qu'il avait un dentier.

Mais oui.

Charles Trenet, pas Ben Guigui.

Moi aussi, il n'y a pas de raison.

Moi aussi, j'ai un dentier, mais comme je fais pas de pique, moi c'est pas ça.

Bonfois Pierre.

J'ai arrêté les pips.

Je dois dire qu'aujourd'hui, j'ai sélectionné les questions spéciales là-dessous et venus.

Ça va quand même vous désigner un peu le niveau de l'émission.

Qui garde le troupeau ? Le lion, le char, le tiens.

Au service militaire, le premier des trois jours, comme on dit.

J'étais allé, je me suis dit putain, il faut que je fasse un baisseil pour être réformé.

Et la première question, c'est qui garde le troupeau ?

Et il y avait trois photos.

Un lou, un lion et un chien.

Avec le lion, le lou, le chien.

Et j'ai dit, est-ce que je peux dire le lion ou le lou ?

Et j'ai mis le chien.

Eh ben j'étais le seul à mettre le chien.

Et c'était la bonne réponse ?

Une citation pour Julie Rutt, qui habite Saint-Maclou de Folville en Seine-Maritime.

Qui a dit, en cas de morsures de vipères, sucez-vous le genou, ça fera toujours marrer les écureuilles.

C'est joli ça.

C'est français ?

C'est français.

C'est quand même pas popèque ?

Ce n'est pas popèque.

C'est Jean-Yann ?

Ce n'est pas Jean-Yann.

Jacques Martin.

Est-ce qu'il nous a quittés ?

Je sais pas si vous a quittés vous parce que je crois qu'il s'en foutait.

En tout cas, il est parti.

Et il est parti il y a longtemps ?

Donc il est mort.

Ah oui ?

Je vous l'avais prévenu.

Coluche ?

Alors Coluche, non.

Ah c'est pas Déproge.

Jean-Yann.

Pierre Déproge.

Pierre Déproge, bonne réponse de Florian Gavant.

Une citation culturelle pour Emmanuel Arnaud, qui habite le lion, qui a dit,

je voudrais bien mourir, ne serait-ce que par curiosité.

Jules Renard, non.

Tristan Bernard.

C'est assez joli, je trouve.

Toutes curieux de savoir comment ça se...

Mitterrand ?

Comment ça...

Je sais pas, Dieu sait que je suis curieuse, mais là, honnêtement, j'attendrai.

Oui, mais on est quand même curieux de savoir.

Jésus ?

Jésus, non.

Jean-Normeçon.

Jean-Normeçon, pas du tout.

C'est un écrivain ?

C'est un écrivain.

Français ?

Alors Français, oui.

Et mort ?

Alors quelqu'un qui effectivement est mort.

Mais est-ce qu'il était quand même du 20e siècle cet homme-là ?

Quelqu'un qui...

C'est une femme.

C'est une femme.

Collette.

Collette, non.

Georges Sand.

Georges Sand, excellente réponse de Caroline Diamand.

Bravo.

Alors là, est-ce que vous...

Vous pouviez accepter ma démission ?

Pourquoi ?

Parce que si elle prouve Georges Sand, je pense que je fous ici.

Ça, c'est vrai que c'est une surprise.

Comment ça se fait que vous connaissiez Georges Sand ?

Oh, ça va pas, quoi.

Il y a un score comme ça à côté de chez toi ?

Eh bien, Mitterrand, un jour, sachant qu'un de ses amis était en train de mourir,

au Val de Grasse, il est allé, et le type est presque en train de mourir.

C'était un sanateur, il se met à son oreille, il lui dit,

« Quelle chance vous avez, vous allez enfin savoir. »

Mais c'est vrai !

Mais c'est tout un félicitations.

Quelle chance vous avez ?

C'est joli de dire ça à un mec qui va mourir.

Eh bien, oui, ça aide.

Vous connaissez, il y a monsieur, il y a Marius, qui est en train de mourir.

Alors on appelle ton copain, Olivier.

Qu'est-ce que c'est Marius, lui ?

Oh non, mon dieu.

Moi, j'ai connu Toto, mais Marius, non, jamais, jamais.

C'est l'ancêtre.

Ne me dites pas qu'on en est là.

Allons-y, allons-y.

Alors il arrive, il est décomposé, il dit,

et sa femme lui dit, « Mais non, il ne faut pas faire cette tête.

Il sait qu'il va mourir, mais il ne faut pas le faire une tête à l'intervain.

Il faut être, on a dit, c'est difficile.

Et puis là, il ne faut plus de six, cinq minutes,

il dit, je crois que j'ai trouvé.

Il ouvre la porte, il dit, alors, on agonise !

Allez, joli.

Ah oui, oui.

Une question pour monsieur Zahan,

monsieur Zahan, habiteur de Carcassonne.

C'est une question historique, puisque je vais vous demander, évidemment,

qui était le petit-fils de Charles Martel ?

Il est connu donc.

Ah bah oui, c'est ma question.

C'est Clovis ?

Ah non, c'est pas Clovis.

Est-ce qu'il est devenu, il était seigneur de quelque chose ?

Comment ça seigneur de quelque chose ?

Il était maire de Poitiers ?

Non, non, non.

Charles Martel, est-ce qu'il avait un surnom,

le connaissait sous un autre nom ?

Ah, non, non, on connaît son nom.

Bah c'est Robert Martel peut-être ?

Ah non, non, non.

Kevin Martel ?

No, no, no.

Claude Franck Bouillon ?

No, no, no.

Kilian Martel ?

Donovan Martel ?

Non, non, non, non.

Jeune d'arc ?

Ah non.

Est-ce que c'était un homme ?

Bon, écoutez.

Est-ce que vous en avez vérifié ?

Le petit-fils de Charles Martel.

Alors pourquoi vous ne nous demandez pas

qui était le fils de Charles Martel ?

Est-ce qu'on connaît mieux le fils ?

Oh, vous pouvez aussi me dire

le fils de Charles Martel ?

Bah non, j'ai pas revi, vous l'avez pas demandé.

Mais effectivement, on connaît mieux le petit-fils

que le fils, vous voyez.

Est-ce qu'il est devenu écrivain ?

Est-ce que vous pouvez nous donner

les années de Charles Martel ?

Oh, si vous voulez.

Charles Martel, on va dire qu'on est entre 688

en Belgique, il est né en Belgique.

Oh, ça ne m'étonne pas, hein, ça ?

Il a saut le Belgique

et il est mort en 741, Charles Martel.

Oh, lui-donc.

Dans son petit-fils, il est né en...

Après ?

800.

Après, voilà, exactement.

Mais c'était un guerrier, ou pas ?

Ah bah, guerrier, comme le grand-père.

Comme le grand-père.

Le mec, il faisait pas de la broderie.

Comme souvent, elle n'est pas...

Exactement.

Est-ce que c'était un artiste également ?

Ah non, non, mais si vous voulez,

son petit-fils à Charles Martel

est encore plus connu que Charles Martel.

Charles Magne ?

Et c'est Charles Magne, bien sûr.

Bonne réponse.

François Listoire.

Oui, c'est Charles Magne.

Sacré Charles Magne.

Sacré Charles Magne.

Eh oui, Charles Magne est le petit-fils

de Charles Martel, fils de...

Il parle rarement de son grand-père.

...fils de Pépin le bref.

Ah oui.

Si vous voulez, Pépin le bref.

Père sur grand pied, non, c'est pas...

Pépin le bref est un des enfants de Charles Martel.

Le fils de Pépin, c'est Charles Magne.

Comment on peut appeler son fils Pépin ?

Encore, c'est la mode.

Oui, c'était...

Sur Internet, ça cartonnait.

Oui, d'ailleurs, Charles Magne a eu lui-même

un fils qui s'appelait Pépin le bossu.

Oh, c'est pas de chance.

Il n'y a pas eu Pépin le long,

parce que c'est celui que j'aurais préféré.

Et est-ce qu'il avait vraiment la barre fleurie ?

C'est vrai que vous avez raison.

Entre Pépin le bref et Pépin le bossu.

Parce qu'il y a Pépin le bossu,

il était prévu qu'il soit long, puis il est bon.

Il s'est bloqué.

Il était long, mais pliant.

Il s'est bloqué.

En tout cas, Charles Magne...

Il y a eu Pépin le gros, sinon...

Non, non, non.

Ce qui s'appelait Noyau.

Non, mais j'en ai connu qu'il y a eu des gros Pépins.

Franchement, n'enlevez pas le mérite de Caroline Diamant.

Bravo, Caroline.

Qui, pour une fois, a répondu à une question historique.

Effectivement, Charles Magne,

eh bien le petit-fils, ou si vous voulez, Charles Martel,

était bien le grand-père de Charles Magne, voilà.

Bravo.

Ça marche dans les deux sens.

Il est bouleversé par ton culture.

Tiens, une autre question de vocabulaire

pour Gregory Couturier,

qui habite Syrdonis en charante maritime.

Ah, j'aime bien ce mot, qui est féminin, d'ailleurs,

et qu'on utilise encore parfois en littérature

et qui signifie une personne,

affectant des manières douceuse et hypocrite,

qui tente de tromper ou de séduire quelqu'un.

Cette personne fait là, là...

La côte-leuse ?

Non.

Alors on pourrait croire que c'est une association

de deux animaux qui se seraient croisés,

mais pas du tout, hein.

Ah, des animaux qui se sont...

Des animaux sauvages ?

Je vous aide un peu, parce que...

Ah, genre...

Lyon y bout ?

Oui.

Pourquoi ça fait pas un mot ?

Non, mais là, effectivement, c'est un mot,

qui est, on va dire,

à une sorte de mauvalise entre deux animaux,

qui n'ont absolument rien à voir entre eux.

Est-ce que ce sont des animaux sauvages, Laurent ?

Alors, non, non, non.

N'il en il haut.

Châ, alors, y a le châ.

Ah, y a le châ ?

Pas tout à fait un châ, mais la châ fouine.

Non, le châ.

Il y a pas le châ, le châton ?

Bah, c'est un mauvalise châ fouine.

Alors, c'est quoi ?

Il y a le châ, il a fouine...

Pardon, les banquets.

Oui, c'est vrai, c'est pas mal, le châ.

Le champ.

Où je vais faire l'épondée ?

Non, mais pardon,

quand on vous dit le châ vous dites pas tout à fait le châ.

Qu'est-ce que c'est un animal,

qui n'est pas tout à fait un châ ?

Si c'est un gros chat, ça peut être le puma, ça peut être le tir, non, non, non, il dit non.

Et ça peut être la pentelle. Arrête-toi, c'est la femelle du chat.

La chatte. La chatte et me cantare.

Des chateries. Des chateries.

Comment vous dites ? Des chateries.

Châteries, non.

Bah non, parce que riz, c'est pas là.

Ça commence par chat, ou ça se termine par chat.

On dit faire ça.

Ça chatte, ça chatounette.

Non, non, non, non.

Avoir un ton de...

De chat.

De chat.

De chat.

De chat.

De chat.

Un regard de...

Mais non, chat, qu'on vous a dit.

De vieille chatte.

Non, non. Je vous jure, monsieur Lévi, vous connaissez ce mot.

Est-ce que ça se termine par chat ?

Je le connais, moi. Alors si moi, je le connais, vous ne pouvez pas ignorer.

Est-ce que ça se termine par chat ?

Non, ça commence par chat.

Ça se termine par chat.

Ça se termine par chat.

Et avoir un ton de chat.

De chat. Tu rends toi brûlant.

De chat.

De chat.

Faire ça chat.

Est-ce que c'est un animal à quatre pattes ?

C'est une bonne question.

Je pense qu'il n'y a que de patte.

Ah, c'est un oiseau, c'est un...

Chat boule.

Est-ce que ça, des pattes ?

Je ne suis même pas sûr.

Ah, c'est un chat.

Vous avez un poisson ?

Un chat vert.

Un chat vert.

Un chat de ton.

Chat vert.

Chat vert.

Chat brûlant.

Chat brûlant.

Chat roulette.

Mais je vous jure, vous connaissez ce mot.

De chat.

Peut-être c'est un insecte de chat fourmis.

Chat mouche.

Alors la chat mouche.

Pas la chat mouche.

La chat...

La chat...

La chat mouche.

La chat mouche.

Par contre, si vous êtes un peu gêpe...

Non.

Chate mouche.

Chate mouche.

Chate mouche.

Non.

Ah, oui je l'ai.

Ça ne peut arriver avec un chat mouru.

Mais non.

J'ai déjà dit chat mouru.

Je connaissais ce mot, alors franchement, je ne me serais jamais permis de vous poser

la question.

Chat moustique.

Mais non.

Chat TZC.

Vous qui êtes sorti du placard, vous devriez répondre à ça.

Chate bite.

Chate bite.

Ah, c'est ag удоб.

Ah, c'est vieux.

Faire sa chatomite, c'est avoir des manières douceuse, hypocrite, pour tromper, séduire quelqu'un.

C'est ce que fait Isabelle Mergo, vous avez de Monsieur Marc Lévis depuis le début de cette émission.

Elle fait sa chatomite.

Une question pour Monsieur Francis Grosjean, qui habite marre.

Comme devant.

Oui, dans le Loire, comme devant, s'il vous voulez.

Il habite dans le Loire, et cher.

On nous parle beaucoup, dans la presse, aujourd'hui.

Et ces gens-là font pas de manières, M.A.M., s'il vous plaît.

Donc, attention à la question.

Dans le Loire-et-Cher.

Ah oui.

Référence à Michel Delpèche.

Mais moi, je vais vous parler de...

Voilà, vraiment, c'est la première fois que je vois ce mot-là.

Mais peut-être que M.Dutch va savoir mieux que les autres grosses têtes.

Moi aussi, mieux que tout le monde.

Me dire ce qu'est le play-stop-scene dont on parle dans la presse, aujourd'hui.

Bah c'est une période...

Le play-stop-scene, c'est une période...

Il y a de géologiques, ouais, proto-historiques, non ?

Oui, et pour quelle raison, on en parle aujourd'hui dans la presse, du play-stop-scene ?

Parce qu'on a retrouvé l'ange de Mme Macron.

Pfff !

Peut-être, c'est pas...

C'est pas un loup...

Un Macron-magnon.

C'est pas un loup qui a été retrouvé en Russie énorme.

Un truc incroyable qui ressemble à la fois à Mammouth, un sanglier et un loup.

Excellent, réponse de M.Dutch.

Effectivement, le play-stop-scene, c'est la première époque géologique du quaternaire,

l'avant-dernière sur l'échelle des temps géologiques.

Je vous parle d'un truc...

Je comprends rien à ce que je vous dis.

Le rock n'était pas inventé, à l'époque.

Le rock n'était peut-être pas inventé, mais enfin, en tout cas, on a retrouvé une tête de loup

qui date du play-stop-scene.

Elle fait 40 cm, elle est vieille de 48 000 années.

Et c'est vrai que c'était un loup géant figé dans la glace.

Ça conserve la glace.

Ah ouais, c'est ça qui est flippant, parce que moi j'ai lu...

Ok, il y a la tête de loup, c'est plutôt rigolo.

Mais il y a aussi des virus qu'on avait oubliés, qui ont disparu, qui vont réapparaître à cause de ça.

Ils étaient figés dans la glace.

Ah bon ?

C'est une nouvelle maladie qui arrive.

Ah oui ?

Donc fais-t-on ça ?

Non, c'est vrai que ça conserve la glace, c'est bien.

Ben oui, regarde, t'as un truc dans ton frigo.

Tu dis tiens, il va s'avancer.

Tu ne me congélateurs pas, t'arrives à le garder, c'est incroyable.

C'est pour ça que j'ai essayé de m'enfermer dans mon frigo, mais je ne suis pas rentré dedans.

Ben maintenant, moi, je fais de la cryothérapie.

Oui, sur le visage, c'est bien.

J'essaie de nouveaux trucs.

Ils te mettent allongé, et ils passent de la vapeur froide.

Froide, comment la vapeur, elle peut être froide, je ne sais pas, mais c'est froid.

Pendant 20 minutes, et après, ils te mettent ton corps dans un caisson à moins 150 degrés qu'on te descend.

Pendant 3 minutes.

C'est hibernatus avec de la fumeche.

On te met des gars au main et des moumoutopiers, et puis...

Les petits cartons slip quand même, parce que...

C'est non, ça tombe.

C'est non, c'est trop.

Mais alors, ça reviguerait, filt le corps, et ça détend les muscles, et puis ça...

Ça a raffermi des coups.

Mais où est-ce que vous faites ça, alors ?

Ben, près de chez moi, en place, en toute Paris, là, où il n'y a pas d'herpotillage.

Tu aimerais bien vous voir, avec cette tenue, tu vois dire.

Il ressent du truc, il est touché, mais il s'avance pas à Paris.

Non, c'est les jambes qui bougent plus.

C'est peut-être vous qui ne pouvez pas avancer, en fait, avec votre tenue à la con.

Mais c'est pas une tenue à la con, hein, c'est bien.

Mais combien de temps vous devez rester là-dedans ?

Trois minutes.

C'est les trois minutes les plus longues de votre vie, hein.

Ah oui ?

À moins 150 degrés.

Mais tu ressens, alors les résultats sont impeccables.

Ah ben, c'est génial.

Oui.

Et en fait, le corps réagit, quand vous êtes soumis à une telle température,

donc vous vous montez à la montée.

Oui, réagit.

Et quand vous sortez, vous avez l'impression que vous pouvez faire des galipettes.

Ah oui ?

Sauf que c'est une illusion qui dure à peu près une demi-heure.

Une demi-heure.

Et après, vous avez mal parce que vous avez fait des galipettes.

Les stones sont les amis au congélateur ?

Non, non, ils se mettent des glaçons sur la bite.

Une question maintenant pour Monsieur Clément, le page qui habite Laval.

Et c'est à l'occasion d'une nouvelle biographie sur Moïse.

Biographie de Moïse, je veux dire que ce n'est pas la première,

mais il paraît qu'elle est très très réussie celle-ci.

C'est en tout cas dans l'Express qu'on nous conseille Moïse Fragile,

signé Jean-Christophe Attias.

280 pages chez Alma Éditeur.

Et on nous rappelle, évidemment, dans cette biographie,

que Moïse était beg, ça, j'imagine.

J'ai cru qu'elle était beg.

Tu raps point une fois.

Moïse était beg.

Si il était beg, oui, il y avait que cinq commandements, en fait.

Et oui, Moïse était beg.

Mais quand on peut savoir ça ?

Parce que la mer rouge s'est écartée, elle s'est refermée, elle s'est écartée,

mais non, mais c'est connu que Moïse était beg.

Mais justement, ma question, c'est comment est-il devenu beg ?

Il s'est brûlé la langue dans le buisson ardent.

Alors il s'est brûlé la bouche et la langue, ça, c'est vrai.

Et comment, vous savez, alors ?

Avec le buisson ardent ?

Non, pas avec le buisson ardent.

Avec vos dors ?

Quand il était bébé.

Ah, il était, il était en Egypte.

Dans son berceau, sur le Nil, là ?

Ah non, là, il a déjà sorti du berceau.

Il a été recueilli à ce moment-là.

Il est devenu beg.

Il est en train de jouer sur les genoux du pharaon.

Ah, c'était Bérou, le pharaon.

Viens ici, Mo-mo-moïse.

En l'autre, il a appris à parler comme ça.

Non, écoutez, c'est que...

Bérou premier.

Non, on peut pas toucher, là.

Bérou, on peut pas toucher à Bérou.

Et puis c'est que Bérou, c'est lui qui a inventé le générique de Motus.

C'est bon, Motus, c'est lui qui l'a éclaté.

Non, écoutez, faites pas.

Alors c'est Nicolas Sarkozy qui se moque toujours

de François Ballirou.

Alors on se fait pas bien.

Je vous fais de l'histoire.

Vous voyez, Moïse était beg lui-même

et ça l'a pas empêché de réussir.

Lui.

Lui.

Non, mais c'est vrai, il est quand même dans les...

Il a été lu, Moïse.

Non, mais il a quand même été dans les trois...

les trois grandes religions, il faut dire ce qu'il y a.

Ah oui, il est en top 3.

C'est Moïse et Moussa pour le Coran.

Et c'est comment pour...

Moché.

Moché, voilà.

Moïse, Moché et Moussa, il est quand même dans les trois grandes...

Ils sont dans un bateau.

C'est nous et ça.

Non, mais je vais écouter.

Vous savez quoi, je vais accorder la bonne réponse

à Fabrice Deoué parce que c'est effectivement

ce brûlant, la bouche et la langue

qu'il est devenu beg.

C'était pas si évident.

Bonne réponse de Fabrice Deoué.

Mais alors...

Comment ? Comment ?

Je vais vous donner le détail maintenant.

Donc effectivement, il est sur les genoux du pharaon.

Et là, le petit Moïse est encore un enfant.

Il dérobe la couronne du pharaon.

Alors là, évidemment, le pharaon voit un mauvais présage

et l'image du monarque suggère

au pharaon la mise à mort immédiate de l'enfant.

Bon.

Et puis, fermement dit, non, on va peut-être pas le faire mourir tout de suite.

Franças de Tours, Franças de Tours, il est rigolé.

Non, non, il y a un prêtre qui propose

de mettre l'enfant à l'épreuve.

On faisait ça à l'époque.

Et voilà, les ordaliers, exactement.

Et on lui présente un plateau de diamant

et un plateau de braise ardente.

Et il doit choisir.

Et Moïse précipite vers le plateau de diamant.

Mais il trébuche, suite à l'intervention de Gabriel,

il trébuche vers les braises ardentes.

Et dans sa frayeur, il porte ses doigts à la bouche,

se brûle la langue et les lèvres.

Et c'est de là que vient le célèbre béguément de Moïse.

Ah ouais, c'est plus que un béguément.

Il est très mal adroit.

Il fallait pas prendre Charlton Estone pour le jouer,

mais c'était Richard.

Tu te rends compte que Isabel Mergo

aurait vu qu'elle est trop faite quand même, hein ?

Vous avez vu l'ambiance ici, M. Jonsen ?

Oui, ça va, c'est délu récent.

Je m'y sors bien, moi.

C'est comme une grande fête dans le Nord.

Tu fais une farandolle et tout ça.

Non, j'aime bien.

On va bientôt faire la chenille, j'en suis sûr.

Il y a des farandoles dans le Nord ?

Oui, ils ont l'esprit festif, c'est convivial, c'est vrai, je trouve.

De quelle région du Nord vous êtes exactement ?

La Frossière-Belge, toute cette grande région,

j'appelle ça comme la Pédophilie, là.

C'est énerve, Pierre.

Il est très drôle.

Pierre Benichou est très énervé.

Si tu veux savoir quelqu'un,

c'est un nouveau ébon,

tu regardes la tête de Pierre Benichou.

C'est pas compliqué.

Ça tente de te donner le numéro du Pôle emploi, Pierre.

Il faut quand même dire, effectivement,

on peut le dire, que sur scène, Jean-Phi,

vous faites un tout petit peu votre coming out,

vous expliquez en tout cas comment vous avez annoncé

à votre papa et à votre maman que vous étiez steward.

On va dire ça comme ça.

Racontez comment ça s'est passé.

Oui, je l'ai raconté avec mes parents

qu'il n'y avait pas du tout la référence de ce que c'était.

En tout cas, c'était pas...

Parce qu'il y a 20 ans, c'était moins facile qu'aujourd'hui,

je pense qu'à annoncer.

La réaction, elle a été surprenante.

Moi, je l'ai craignée.

Il faut que je dise que j'ai une sœur

qui m'a ouvert la route avant

parce que j'ai une sœur lesbienne.

T'as dû les consoler, vos parents ?

Non, mais en réalité,

ce qui a dû les conforter,

c'est que le steward, il a un joli petit costume.

Non ?

Oui, alors que...

Tout de suite, c'est un champ.

Alors que...

Avec une camionnette, oui.

Avec une camionnette, oui.

Et là...

Les gens Philippe,

parlez-nous de tournoi brodeur qui se prend pour un chat.

Attendez, votre sœur est vraiment camionneuse ?

Oui, si elle a été fermée de transport frigorifique,

quand le routier faisait barrage il y a très longtemps,

et qu'elle ne voulait pas faire grève

parce qu'elle avait ses carcasses de moutons à livrer,

elle s'est battue parce que tout le monde croit que c'est un homme

parce qu'physiquement, elle s'en a pas.

C'est pas comme toi !

Et pour passer les barrages,

elle donnait des coups de carcasses de moutons aux autres routiers.

Ah oui, c'est une famille, on est là, on va te dire quoi.

Mais Jean-Philippe, comment...

Alors, t'annonces comment à tes parents ?

D'abord, c'est elle qui annonce comment ça s'est passé.

Oui, c'est elle qui, un jour, elle arrivait, elle a dit,

bon moment, je suis Gwyn, voilà.

Elle avait bien préparé son discours.

En fait, il y a une inversion, si tu veux.

Elle, c'est moi et moi, c'est elle.

Ton père qui est travlo, il a pris sa commande.

Et mon père, il s'appelle Pacardach.

Et alors, comment ils ont réagi vos parents ?

D'abord pour elles.

Ah bah, mal au départ, et puis après,

avec beaucoup d'amour, forcément, c'est leur fille.

Ah oui, c'est l'un, c'est l'un.

Quand c'est un mot de le dire, c'est vrai,

quelques années plus tard,

c'est ma mère qui l'a sentie,

parce qu'une maman, elle sent bien les choses, quand même.

Ah, il y avait des petits signes qui ne pouvaient pas tromper,

mais elle me l'a demandé, elle a dit,

est-ce que t'es, elle n'osait pas dire le mot, t'as dit,

est-ce que t'es comme ça ?

C'est sûr, quand elle t'a repassé les slips en dentelles,

elle a dit, il se passe quelque chose de curieux, quand même.

C'est sûr.

Bah, j'ai dit oui, je suis comme ça, quoi.

La première réaction, elle a fait, ça recommence.

Alors, c'est tout ça, il le raconte sur scène,

quand j'ai vu des extraits, c'est la première fois

que je le vois physiquement, Jean-Philippe Jansen,

je ne connaissais pas, j'ai vu des vidéos de son spectacle.

Mais où tu l'as trouvé ?

À Avignon, c'était pendant le festival d'Avignon,

ma collaboratrice Sophie, qui nous écoute peut-être,

m'a dit, il y a un type qui fait beaucoup rire sur scène,

en racontant sa vie, s'appelle Jean-Philippe Jansen,

j'ai regardé les vidéos et je me suis dit,

celui-là, il fera les grosses têtes.

Et voilà, et vous êtes là aujourd'hui,

vous nous raconterez par épisode,

tout d'un coup ?

Oui, non, on va laisser un petit peu comme un mot,

mais c'est les gens sur la fac.

Mais t'as d'autres frères et sœurs ?

Oui, on est quatre.

Et alors, les autres ?

Ah, normaux, normaux.

Ils sont tout à fait normaux, ils sont mariés, les deux.

Ils n'ont peut-être pas dit leurs derniers robots.

Arielle, vous êtes surprise un peu ?

Non, mais je trouve que le mot comme ça est très mignon.

Oui, comme ça, ça laisse une espèce d'entre-deux, de trône.

C'est poétique, quoi.

Vous n'êtes pas entré dans le vif du sujet, c'est resté poétique.

Il peut y avoir un malentendu.

Je t'en prie.

T'as dit pas quel sujet ?

T'es pas dit avant, tu te fais maître.

C'est moins délicat chez les bravaux, tout de suite.

Alors ma fille, là, mon fils...

Enfin, je peux peut-être nous dire, il y a un mot que je ne connaissais pas.

Vous dites comment chez vous dans le nom ?

Ma mère appelle ça une Marie-Toutoule.

Une quoi ?

Une Marie-Toutoule.

Il y a une Marie couche-toi là, Marie salope, machin.

Mais moi, c'est Marie-Toutoule.

Mais ça veut dire quoi, Marie-Toutoule ?

Marie, faux-folles.

Oui, c'est une faux-folles, c'est une tapette, quoi.

Marie-Toutoule, c'est pour le garçon et pour la fille.

Marie-Toutoule, c'est pour le garçon et pour la fille.

Marie-Toutoule.

Mais est-ce que...

Dernière question sur ce sujet.

Est-ce que tu lui as déjà présenté un fiancé ?

Oui.

Et alors ?

Ah ben ça l'a contrarié.

Ah oui, ça vous doit raconter sur scène,

parce qu'en plus, vous pouvez dire...

Oui, parce que mon premier fiancé,

il s'appelait Mustafa, donc ça aussi, ça...

Oui, ça fait beaucoup, oui.

Oui, ça fait beaucoup pour la même personne, quand même.

À la gata !

Oui, oui, oui.

Donc je veux dire qu'ils ont un seuil de tolérance très élevé.

Une question zoologique pour faire plaisir à mon ami Laurent Baffy.

Merci Laurent.

Et pour Lise Guillemot, qui habite Bruxerole,

c'est dans la vienne.

Quelle transformation s'opère chez Languy

au moment de sa reproduction ?

Elle change de sexe.

Elle change de sexe.

Elle perd de peau, elle change de peau.

Elle change de peau, non.

Elle vient aveugle.

Elle meut.

Elle meut, non.

Elle devient aveugle.

Elle change de voix.

Elle perd son squelette.

Le squelette de Languy.

Sa peau ?

Oui.

Elle est pas...

Non, non, attention.

Attention.

Il y a trop d'animaux qui perdent leur peau.

Non, elle vient.

Elle devient aveugle.

Attendez, Daniel Evnu va nous faire une conférence sur Languy.

Elle en a vu.

Elle en a vu.

Parce que je suis drôle !

C'est Languy, sous roche !

C'est pas drôle ?

Attention, il y a Languy, sous roche !

C'est bien que vous vous rendez compte de vous-même, Daniel.

Mais non, c'est pas drôle.

Si ça les a fait dire.

Elle ne supporte que l'eau douce.

Non.

Vous pouvez répéter, pardon.

Mais bien sûr, je répète quand vous voulez, monsieur Boulet.

Quelle transformation s'opère chez Languy au moment de sa reproduction.

Elle change de couleur ?

Elle change de couleur.

Bonne réponse de Yoann Avignon.

C'est tellement facile que...

Alors, c'est quoi les couleurs, en fait ?

Il peut être bleu, bleu en rouge si ça se passe en France.

Pendant juste la reproduction.

Nous aussi, on change de couleur quand on...

Attendez, comment ça s'appelle ?

L'animal qui se confond avec la nature.

Le caméléon.

Bravo.

Et bien, elle aussi change de peau.

Oui, mais pas quand il fait l'amour spécialement.

C'est en fonction du terrain.

Et vous, vous changez de peau quand vous faites de l'amour ?

On change de couleur.

Ça, c'est vrai que quand on fait l'amour, vous êtes d'accord ?

Ah bon, Rougi.

Dans les souvenirs que j'ai, oui.

Oui.

Il y a encore certaines chansons qui font Rougi.

Il n'y a pas si longtemps on a parlé ici d'une chanson avec des fausses rimes.

Ah oui.

Et vous m'aviez promis.

Je suis déçu parce que vous m'avez rien ramené.

Si.

Ah, c'est vrai ?

Je voulais ramener.

Je voulais ramener.

Raconter, alors.

Ça s'appelle l'été dansant.

Elle a été créée par Fernandelle.

La mode dans la bonne société, c'est d'aller chaque jour danser.

Et prendre le thé.

Petit bourgeois, mondaine très riche.

Viens de le titre très mousser les pieds.

Causée fleurtée.

On dure une dame un peu boulotte ayant tout un air de goûter.

Dites en prédant le thé.

Depuis que j'ai la vue basse, je confesse.

J'ai pris l'habitude d'épince.

Né.

Pour mieux regarder.

J'adore l'été.

Comme le jazz se mettait en branle.

Elle lui dit chaque jour je me rends.

Haute et dansant.

C'est une excellente gymnastique depuis que ma jeunesse je mastrain.

Ha ha ha.

À danser bien.

C'est sans doute pour ça qu'avant là j'avais perdu mon.

Non bon point.

C'est le vrai moyen.

Le monsieur avoir scrim scandé quand je vous tiens ça me fait grêter.

Si mal danser.

Vous m'excuserez.

Alors un visant, un monsieur en passant lui pris la main.

Gestanodin.

Puis l'entraînat dans le tourbillon.

Le jeune homme qui suivait l'air câlin.

Ce démon mutin.

Parmi les coupes, il se faufile et dans un coin craque.

Il l'enlasse.

Sans bouillet de place.

Et comme on joue et un chimie.

Elle dit voulait vous me faire danser.

J'adore fleurter au dancing.

Comme on te semblait les épillés la dame dit.

Je prendrais bien mon thé vous permettez.

Et même je l'avoue sans biaiser.

Si vous voulez me revoir un de ses soirs.

Venez chez moi.

Vous serez convaincu.

Que je possède un très joli.

Ni tout près d'ici.

Il y a 8 pages.

Si parfois la conciage rouspète.

Vous lui montrez vos papiers.

Disant que vous venez.

Bravo.

J'ai une dernière question zoologique.

Pour Nicolas le duriste qui habite qu'un père.

Dans quelqu'un animal est-il dipnust.

Il respire à l'air libre et en mer.

C'est-à-dire.

Il est amphibien.

C'est-à-dire.

Quand il a les deux respirations.

Il a les deux poumons.

Il peut respirer de l'air ou dans l'eau.

Il a des branches et des poumons.

Bonne réponse.

Il a des branches et des poumons.

Bonne réponse.

Il s'agit souvent de poissons.

Ou de battres raciens.

Quand ils sont sur la plage.

Ils continuent à vivre.

Exactement.

La grenouille.

Comme la morue.

Pardon.

Pas du tout.

Non.

Il y a un acte qui drague à la piscine.

Mais ça n'a rien à voir.

Les Atlantes.

Puisque vous êtes si fort.

Je pensais que c'était la dernière.

Mais vous allez trop vite.

Encore une dernière question.

Comment je fais des efforts ?

Vous avez vu pour pas répondre.

Zoologique.

Pour Philippe Gras.

Qui habite Pérols.

Dans l'héro.

Quel animal possède une bosse de polychinelle ?

Un chameau.

Un poisson.

Un poisson.

Un dromadaire.

Non.

Je comprends pas la question.

Un an.

Un an.

On va dire une bosse de toutes les couleurs.

Une bosse de polychinelle.

Un mammifère.

Un mammifère.

Non.

La bosse de polychinelle.

C'est devant la bosse de polychinelle.

La fois devant et derrière.

Polychinelle, il a deux bosses.

Il a une bosse devant et une bosse derrière.

Le personnage.

Non.

Elle est où la bosse ?

On n'a pas trouvé la catégorie.

C'est un reptile ?

Un reptile, non.

Est-ce qu'on l'en trouve en France ?

Est-ce qu'il y en a en France ?

Ces animaux-là, oui.

Est-ce que c'est un animal qui tient dans la main ?

Oui.

Est-ce que quelqu'un ici a pu en toucher ?

C'est un amphibien.

C'est un amphibien.

C'est un amphibien.

C'est un amphibien.

C'est un amphibien.

C'est un amphibien.

Une châte ?

Une châte ?

Une moule.

Une moule !

Ah !

De réponse de Stevie !

Et pourquoi c'est lui qui trouve ça ?

Ah bah parce que...

La vie est mal faite.

Dans la moule, la bosse de Polychinelle,

ce sont les deux gonades,

parce que les gonades sont blancs,

châtres chez les mâles,

jaunes, orangées chez les femelles.

Il y a ça, effectivement, dans...

Je prends des choses.

Ah bah oui, dans ce...

Ah, ça me donne envie d'en manger.

Dans ce molusque bival...

De faire un métaculote et on travaille.

Oh !

Oh !

Oh !

Non !

Non !

Non !

Non !

Tout n'est pas possible,

parce que...

Le monde a évolué,

parce que...

Aujourd'hui, c'est pas Noël,

mais c'est Cirque.

Je pense que si vous avez vu

et nos téléspectateurs,

puisqu'on le dit,

pour les auditeurs de RTL,

nous sommes filmés par Paris Première,

cet après-midi.

C'était les villes grognées

de Cirque Javata.

Ah mais c'est ça.

Alors, et Ariel Dombal.

Incroyable.

Et Stevie Boulet.

Et Roselyne.

Oh !

Oh non !

Attends, attends,

je mets mon slip,

ils ont le chapitaux.

Mais pourquoi vous êtes déguisés

comme ça, Ariel et Stevie ?

Mais on s'est donné le mot.

Voilà.

Oui, c'est mignon.

Elles sont belles, les deux pétasses.

C'était les Beatles,

ce qui était comme ça.

Sérieusement, vous êtes prévenus,

vous voulez être anti-soldat,

anti-soldat de plomb.

De quoi il s'agit exactement ?

Et bien moi,

il s'agit d'un costume taille 12 ans

pour Farce et Attrap.

De 12 ans ?

Oui.

Qu'il n'a coûté que 22 000 euros.

C'est un costume de soldat,

en général, ils ont le bonnet à poil au-dessus.

Quel écouturier qui fait ça ?

Non, non, c'est pas écouturier,

je vous assure que c'est Farce et Attrap.

Le type de jouet,

l'oiseau du paradis.

Oh ça y va !

L'oiseau du paradis.

Et vous chantez, alors,

toujours une hausse ?

Oh mon pull est très jolie !

Oh non, on dirait ça,

non, non, ça vient d'assurer plus le mâque.

Très belle, chanteille, très belle.

Elle a un truc qui ressemble à un rideau,

c'est l'espoir de se faire tringler.

Je trouve qu'elle a perdu 10 ans,

chante à la tchouche.

Je sais pas ce qu'elle a fait,

si c'est le maquillage,

de quoi que ce soit.

Mais je l'ai dit, mais je l'ai dit.

Ah non, mais tu fais...

Il ne me soit toujours.

Ah non, non, non, non, non, non.

Tu es un pire, Rosé,

mais je suis toujours comme ça.

Elle a perdu 10 ans,

encore 50, et c'est bon.

Ils sont forts à la maison bistourée.

Avouez que vous êtes passés

par la maison bistourée, chante.

Mais non, je bois des jus.

Tu bois des jus,

tu te fais ramaler.

Des jus d'avocats,

des jus de spiruline,

des jus, des jus.

Des jus d'avocats,

vous sucez colars ?

C'est pas moi, alors.

Un peu de culture,

tout de même pour renonter le niveau.

Ah oui, moi, j'aime bien.

Ah oui.

Ah ben vous,

votre niveau,

il y a longtemps qu'il est remonté, hein.

Oui.

J'aime bien la culture.

Je la n'apprends tous les jours.

Vous ne trouvez jamais

d'autor des citations.

Oh, c'est pas vrai.

J'avais vu trouver des citations.

C'est vrai, merci Roséne.

Il y a 3-4 mois,

j'ai trouvé une citation.

Et j'étais là.

Pascal.

Qui a dit,

et ce sera pour Claude Alain Guéry,

qui habite d'Elais en Suisse,

qui a dit,

les adolescents qui se couchent

avec un problème sexuel

se réveillent avec la solution en main.

Oh, c'est pas bon.

C'est pas bon.

Non.

Mord ?

Mord, oui.

C'est un docteur ?

Ah non, c'est pas un docteur.

Un français mort, donc.

Jacques Martin.

Un français mort.

Jean-Yann.

Jean-Yann, non, encore avant.

Encore avant.

Pierre-Dac.

Pierre-Dac.

Bonne réponse de Chantal là-dessous.

Ah !

Une autre citation,

Chantal,

on sait jamais,

un coup de deux,

ça peut arriver.

Ça m'étonnerait pour le suivant.

On m'en va essayer quand même.

En Suisse blanche.

Une citation pour Christophe Cheruot,

qui habite chante-pille

dans Lille et Villaine,

qui a dit,

je suis pratiquant,

mais pas croyant.

Ah !

C'est le français.

Ce n'est pas français.

Alors, anglais.

Anglais, non.

Ça ressemble à quelque chose

qu'on aurait pu dire.

Oscar Wilde.

Sioran, non.

Oscar Wilde.

Oscar Wilde.

Non, c'est américain.

C'est anglais.

Il n'est ni anglais, ni américain.

Mord, en quelle année ?

1989.

Peter Hustinoff.

Peter Hustinoff, non.

Il était européen.

Il est mort en 1989.

Il était européen.

Un autre.

Il parlait français couramment ?

Alors, oui.

Oui, il parlait français couramment.

Il était italien.

Italien, non.

Mais la phrase-là était traduite,

ou elle est de...

Peut-être qu'il a pu la dire en français.

D'accord.

Je suis pratiquant,

mais pas croyant.

Ah !

C'est un italien.

Non.

Un espagnol.

Vous avez fait l'exo italien, non ?

Un espagnol.

Dali.

Salvatore dali.

Merci de reconnaître mes imitations,

Laurent Bafi.

C'était via Salvador dali.

Ah !

C'est bien.

Et je m'éritais.

Et je m'éritais un petit coup de Bourville.

Ah bah, là !

Donc, il n'est pas espagnol,

il est catalan.

Oh oui, enfin bon.

Pardon.

Mais pour l'instant,

quand même, la Catalogne fait

encore partie de l'Espagne.

Dans la Cranica y Scouille,

je voudrais la merde.

Une autre citation plus difficile,

encore pour Monsieur Jacques Vergius,

qui habite Belleville,

sur Barre, dans les Ardennes,

qui a dit,

« Faites attention,

parce que les ratés ne vous rateront pas ».

C'est pas mal.

C'est pas mal.

C'est pas mal.

C'est militaire.

Non, c'est pas militaire.

Politique.

C'est quelqu'un qui était plus

porté sur la religion,

que sur l'armée.

Un auteur religieux.

Un auteur religieux,

un peu de blondelle.

Alors Daniel Robs ?

Daniel Robs, non plus.

Peut-être Bernanos.

Et c'est Georges Bernanos.

Bonne réponse,

Daniel Gromball,

bravo, Daniel.

Pour Joseph Pio,

qui habite plus haut en côte d'or.

La deuxième question

d'actualité du jour,

cette approche,

on n'a jamais été

si près de Noël,

je le rappelle, chaque jour.

Bonjour.

Et c'est vrai que la mode,

cette année,

est au furoshiki.

Mais qu'est-ce que le furoshiki ?

Alors ça doit être

un sushi ?

Non, pas du tout.

Parce que les sushis,

c'est pour Noël, vous.

Non, c'est vrai.

Ah oui, c'est une décoration

dans la maison ?

Non, c'est pas

une décoration

dans la maison,

mais c'est l'art

de quelque chose.

C'est l'art de quelque chose ?

De s'pluguer les serviettes ?

Non, c'est l'art

de l'emballement des cadeaux.

Avec quoi aussi ?

Avec du ruban.

Avec du tissu.

Avec du tissu.

Avec du tissu.

Bonne réponse,

Julio Ferrand.

Paul Haykarat.

En effet,

on n'emballe plus les cadeaux

avec du papier,

mais maintenant,

on les emballe les cadeaux

avec du tissu.

Ah, parce que ça veut

servir.

Moi, j'ai trouvé

moins cher et plus écologique.

Qu'est-ce que vous faites ?

Pas de cadeaux.

Oui, mais ça m'emballe pas.

Vous avez pas un petit

scout à la maison qui...

Enfin, un petit scout.

Un petit scout.

Oh, ça vous en bruit.

Ça va pas.

Mais avant,

dans les magasins,

il y a toujours des petits

scouts qui...

Oui, même un petit scout.

Oui.

Je le garde, effectivement.

Je le nourris toute l'année.

Il y a partie de début des 100.

Je lui dis,

emballe, emballe, emballe.

C'est vrai que

dans les grands magasins,

c'est des petits scouts

qui emballent.

Non, il y a longtemps

que c'est fini.

C'est fini ?

Oui.

Depuis,

le scandale d'écurer,

tout ça, c'est fini.

C'est vrai ?

Les scouts, tout ça, c'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

C'est fini.

Alors ça marche pour nos oreilles

pour un anniversaire, peu importe.

Mais c'est vrai qu'au pied du sapain,

si vous avez effectivement

des emballages...

Ça me dégoute.

Enfin,

excusez-moi, je sais pas,

vous avez des bouts de tissus

qui traînent chez vous.

Bien sûr qu'on a des bouts de tissus

qui traînent à la maison.

Et puis on tombe

en une vieille culotte à vous avec qui ?

Et que quelle vous avez emballé

la tour Eiffel ?

Comment vous avez de bilet ?

C'était the solarm de Triomphe.

Passons, c'est télécu séquarté.

Ça s'appelle le furonchiki, en tout cas.

L'emballage des cadeaux avec du tissu.

Une question historique parce que je vois bien que M.Ferrand

commence à s'impatienter.

N'est-ce pas, Franck ? Et vous aussi, Paul ?

Ah non mais moi, je réponds, je suis bien là, ça va ?

Vous êtes bien à vous maintenant, vous êtes bien quand vous foutez rien à vous.

Je vais passer la nuit avec Jean-Phi, qu'est-ce qui vous est arrivé ?

Bah il ne se réporta.

Ça c'est vrai.

Charles Gravier, c'est son nom et quelqu'un à qui on rend hommage

à chaque fois qu'on nomme un nouveau ministre des affaires étrangères.

Car en effet, dans ce cas-là, on dit qu'il gagne le fauteuil de qui ?

Je vais vous dire, moi, je n'ai pas compris la question.

Je vais être franché honnête parce que je n'ai décidé de ne rien vous casser.

C'est la troisième fois que ça arrive en trois questions.

Le fauteuil de Vergène.

Mais c'était son vrai nom.

Parce que c'est Charles Gravier de Vergène.

Excellent ! Prépose de Frank Perron.

Ah voilà.

Et oui, moi je ne connaissais pas cette expression.

Le fauteuil de Vergène, oui.

Quand un ministre des affaires étrangères est nommé, qu'est-ce qu'il y a, Caroli ?

Non, non, il y a Frank.

Oui, le fauteuil de Vergène, oui.

Ah, parce qu'en fait, le Gravier, en question, il a été ministre des affaires étrangères.

Et la raison de poser la question, Valérie, vous pouvez nous donner un petit cours d'histoire,

quand même, ça servait à quelque chose, monsieur Perron.

Au lieu de faire, oh, oui.

C'était le grand ministre de Louis XVI qui a notamment essayé de permettre à la France

de prendre sa revanche sur l'Angleterre grâce à la guerre d'indépendance américaine.

Le compte de Vergène, et manifestement, vous ignoriez son vrai nom.

Charles Gravier, compte de Vergène, diplomate, ministre français.

Le plus sage ministre que la France, lui rencontré depuis longtemps,

et plus habile, qui se trouva aux affaires en Europe,

son nom reste attaché à la fonction de ministre des affaires étrangères,

au point que, même encore aujourd'hui, on dit du ministre du Quai d'Orsay,

puisqu'on peut appeler ça aussi le Quai d'Orsay,

on dit du ministre du Quai d'Orsay, il vient de gagner le fauteuil de Vergène.

Vous ne connaissiez pas Charles Gravier de Vergène ?

Ah, si.

Bah alors pourquoi vous répondez pas aujourd'hui ?

Vous êtes en grève ?

Non, parce que je l'appelle le compte de Vergène.

Je savais pas qu'il s'appelait Charles Gravier.

Alors moi, je le connaissais Gravier, mais pas Vergène.

Ah, on apprend des choses ici au moins.

Une question pour Marie Stoll, qui habite conflant dans les Yvelines.

Quels célèbres belges obtint le prix Nobel de littérature en 1911 ?

Une question culturelle, littéraire, importante, qu'on ne pose qu'à des grosses têtes.

Aujourd'hui, on en a des vrais grosses têtes, avec Mme Julie, avec M. Fabrice.

Enfin, tout le monde s'offnit, il s'abalonne.

Son nom commence par un V.

On n'est pas au chiffre et au latrice.

Ah bah il faut essayer.

M. Fabrice, vous voyez.

Il vivait en belgeugique.

Ah bah écoutez, il vivait en belgeugique.

Il est célèbre, parce qu'en tant qu'écrivain, ou alors il a...

Abastin écrivain francophone, oui.

Mais il a découvert autre chose, il a découvert un truc.

Et pour répondre à votre question, M. Maby.

Il est à la mienne.

Oui, mais chaque chose en son temps, il est né en belgeugique, à Gand, d'ailleurs,

pour être très précis si vous le souhaitez.

Je suis allé en boîte à Gand.

Mais il est mort à Nice, vous voyez.

Il est mort à Nice.

Il est mort à Nice en 1949.

Il a pris autre chose que d'écrire.

Non, son nom commence par un M.

Exact.

Oui, mais je ne retrouve pas son nom.

Il a même d'ailleurs les initiales du bonheur, comment on les appelle.

Ah oui, M. M.

Voilà.

M. M.

C'est Michel.

Non.

Maurice.

Ah oui.

Maurice.

Méterninque.

Maurice Méterninque.

Bonne réponse de Fabrice.

Il a pris Nobel de littérature en 1911.

Il est suicidé, lui, non?

Il est resté célèbre pour Péleas et Mélissande,

mis en musique par Debussy.

On lui doit aussi la vie des abeilles, la vie de la nature, la vie de l'espace,

la vie des fourmis à Maurice Méterninque.

Il doit avoir un lambago parce que la vie des fourmis.

Les fourmis, c'est quand même passionnant.

Pourquoi vous aimez les fourmis, M. Boulin?

Parce qu'en ce moment, je suis en train d'enlever des motes.

Enfin, vous savez, je dis...

Tu tapes la moe?

Non.

Mais tu sais, je ne peux pas passer la tondeuse à Rale et Rocher.

Vous avez Rocher chez toi?

Oui, j'ai des Rocher.

C'est un rocher de Fontainebleau.

Vous mérintez, je veux dire.

Bon, bref, continue.

À mon avis, il poussait le prince réunier et Paris Match ne le sait pas encore.

Alors, parfois, des fois, quand j'ai le temps, je prends une paire de ciseaux

et je fais tout au ciseau.

Et vous coupez les rochers.

Je coupe l'herbe auprès des rochers au ciseau.

Cisif, Boulin.

Sinon, parfois, j'arrache la touffe d'herbe.

Et la dernière fois, je n'avais pas la patience de prendre les ciseaux,

surtout que je ne les trouvais pas,

parce que dès que je pose quelque chose dans mon jardin pour le retrouver,

tiens, mes couilles.

Que vous retrouvez plus facilement.

Et donc, je ne trouvais pas mes ciseaux,

donc j'arrache les touffes.

C'est passionnant.

Et là, une fourmilière.

Mais je n'avais jamais vu ça.

Ah oui, ah oui.

Vous savez, ça fait comme des petits oeufs blancs.

J'arrache ça, mais j'envoie pas.

Vous savez, ça fait comme des petits oeufs blancs.

J'arrache ça, mais j'envoie partout.

Et toutes ces fourmis que j'ai pris soin de ne pas écraser,

parce que moi, j'adore les fourmis.

Ils étaient en train de travailler, en train de ramener tous les oeufs.

Mais non, mais c'est fabuleux.

C'est quoi, le cri des fourmis ?

Croonde.

Elle croonde.

Elle croonde.

Les fourmis croondent.

Mais vous les avez déjà entendu ?

Ben oui, elles croondent, les fourmis croondent.

Oui, j'ai dit les...

J'avais jamais entendu une fourmi croondée, moi aussi.

Fabrice, si tu reviens demain, ça ira.

C'est quoi ?

Les fourmis croondent.

Ben oui, j'ai vécu jusqu'ici sans le savoir.

Monsieur Fabrice, regardez-moi bien.

Venez lui, le bordelou.

Monsieur Fabrice, les fourmis croondent.

Excusez-moi, oui.

Mais il faut pas me réveillant sur soi, mon âge.

Bon alors, après, alors, vous fourmis.

Non mais c'est passionnant, regardez.

Le monde des fourmis.

Oh là.

Ah non, non, je vous assure, c'est incroyable.

Elles prennent tout, elles font tout.

Elles aient d'aliminer le caca des chiens aussi.

C'est pas vrai.

Ah mais si, si, si.

Il s'appelle son mien.

Il faut juste du temps, alors.

Ouais, non, c'est un écosystème essentiel à cet écosystème.

Mais oui, mais les gens se plaignent d'avoir des mouches

dans leur cuisine.

Mais il y a une bonne croque de chiens dans votre jardin.

Elles n'viendront pas sur votre viande dans votre cuisine.

Non mais c'est vrai, il faut occuper,

il faut occuper la nature et chacun sa place.

Après les fourmis, vous n'avez rien sur les mouches.

Pour ceux qui n'ont pas de jardin, mettez une croque de chiens

au milieu du salon, c'est pareil.

Vous n'aurez pas de mouches dans votre chambre.

Il faut occuper ces animaux-là.

Il faut les occuper.

Si tu as mis les yaines dans la chambre à coucher,

tu peux laisser tranquille les lions dans le couloir.

Parce que tu passeras rien.

Tu te souviens d'odule ?

Et la vitée mystère qui dépérille ?

Non mais t'invitais mystère.

Et si t'arrives, t'as 18 ans, tu repartes en avant-deux.

Une question pour Monsieur Marc Doverny,

qui habite Tremblay en France.

C'est en Sensen.

Une photo vient d'être retrouvée

qui a coûté peu cher.

D'ailleurs, 7 livres, à peu près 8 euros,

a un anglais qui l'a acheté

grâce à un eBay,

car il a vu cette photo sur eBay,

une photo datant du XIXe siècle.

Il s'est dit, tiens, ça me dit quelque chose.

Cette photo, il l'a acheté 8 euros,

à peu près 7 livres,

si vous préférez,

puisque c'est en Angleterre.

Et cette photo, en fait,

représente quelqu'un

qui fait qu'aujourd'hui elle vaut 2 millions d'euros.

Ça vaut le coup d'acheter une photo sur eBay.

La famille royale, la famille royale.

Qui peut-on voir sur cette photo ?

Une femme.

Ah, Bernadette Soubirou.

Bernadette Soubirou, non.

Famille royale.

Un homme.

Famille royale, non, un homme, oui.

Homme politique.

Homme politique, non.

C'est un physicien.

C'est un physicien.

Alors, attention, je vous ai dit

que c'est un anglais qui a acheté la photo.

C'est pas pour autant, forcément,

qu'il a acheté cette photo.

Ah, bien sûr, c'est un anglais.

Voilà.

Qu'est-ce que vous dites ?

Forcément.

Que quoi ?

Que c'est pas un anglais, forcément.

Forcément, c'est pas un anglais.

Oui, vous, la phrase.

Viagule.

Ça ne peut pas être un anglais

obligatoirement.

Elle me fait peur.

Oui.

Ça serait pas la photo

de Jisker Destin-Jeune.

Non, enfin.

C'est un artiste qui est pris en photo.

C'est Jésus-Christ qui est apparu

sur un Suède.

Non, pas quand même.

Alors, c'est un français ?

Alors, c'est pas un français.

Non.

Un Américain.

Un Américain.

Ah, OK.

Buffalo Bill.

Buffalo Bill, non.

Jéronymo.

Jéronymo, non.

Un Indien.

C'est une bulle.

C'est une bulle, non.

C'est un Indien.

Un Indien, non.

A Cowboy, non.

A Cowboy, non.

No.

Un acteur.

Un acteur, non.

Un président des...

Un animal.

Roosevelt.

On était tout prêts à m'en donner.

Un animal.

Un animal, non.

Un homme.

Billy Zekid.

Billy Zekid, oui.

Billy Zekid, non.

A Cowboy.

A Cowboy.

On se rapproche.

La naga.

A Cowboy.

Bonnie Parker.

Bonnie Parker.

Non.

Bonnie Parker.

On voulait chanter ça.

Jécy James.

Avec Santal Latsoub.

Ça peut te dire ?

Bonnie and Clyde.

Bonnie and Clyde.

Une belle chanson.

Elle en fait un film d'horreur.

Je vais te dire, tu filmes l'argent tout de suite.

Oui, c'est Jécy James, ça raison.

C'est Jécy James.

Est-ce que c'était une légende du far-west ?

Ah oui.

Jécy James, alors.

Et je crois que j'ai entendu la bonne réponse déjà trois fois.

Jécy James ?

Bonne réponse de Gérard Juliot.

Non, la première question est en fait plus facile que qu'on l'imagine.

Puisque c'est l'extrait d'un poème très célèbre que je vais vous donner à vous de retrouver.

Et l'auteur et le titre de ce poème qui date.

Le poème vous donnez l'année de 1871.

Je vous donne deux verres au hasard.

Des peaux rouges criards les avait pris pour cibles.

Les ayant cloués nus au poteau de couleur.

Euh, je sais pas Hugo.

Non.

C'est Berlin.

Berlin non plus.

Il est pas connu ton poème.

Ah non, il est pas connu mon poème.

Guillaume Apollinaire.

Apollinaire.

Rimbaud.

Malarmé.

Ah oui, c'est Rimbaud.

Eh ben, c'est Rimbaud.

C'est Pulture de Rimbaud.

Ah non, non, non.

C'est bien Rimbaud, oui.

Ah oui.

Et alors, c'est Rimbaud.

Rimbaud.

Rimbaud.

Rimbaud 2.

Je m'en allais dans mes poches.

Non, je m'en allais.

Des peaux rouges criards les avait pris pour cibles.

Les ayant cloués nus au poteau de couleur.

La bohème.

Mais une poche.

Jamais entendu.

La bohème.

Ça, c'est Charles Navour.

Mais non, c'est un poème d'art Rimbaud.

Je m'en allais les points dans mes poches crevées.

On pas le tout devenait idéal.

J'allais sous le ciel, musé, j'étais ton féal.

Oh là là, que d'amour splendide, j'ai rêvé.

Vous pas serez me voir après la rétréation.

Et ça, c'est la bohème de Rimbaud.

Là, c'est pas la bohème.

C'est le plus connu de Rimbaud, franchement.

Allez Christiane.

C'est le troisième et le quatrième verre.

Des peaux rouges criards les avait pris pour cibles.

Les ayant cloués nus au poteau de couleur.

Vous connaissez que ça.

Pourquoi vous donnez pas les deux premiers verres, il y a le titre dedans ?

Si vous voulez, mais c'est un peu plus facile.

Ça va, mais trois verres...

Parce que c'est trop simple si je vous donne les deux premiers verres.

C'est le poème le plus connu d'Arturo Rimbaud, je vous jure.

J'ai un trou.

Non, non, non, non.

Le plus connu, c'est aussi celui de Stevie.

Le bateau ivre.

Le bateau ivre, pas la réponse de Dari Boutboul.

Je vous explique.

Si Dari Boutboul se met à répondre, on est très, très mal.

Alors je te signale, ce vendredi dernier,

j'ai donné cinq bonnes réponses.

Si le bateau ivre, ça n'est pas le poème le plus connu d'Arturo Rimbaud,

alors franchement, et ça commence par,

comme je descendais des fleuves impassibles,

je ne me sentais plus guidé par les allers,

des peaux rouges criards les avaient pris pour cibles,

les ayant cloué nus au poteau de couleur.

J'étais insoucieux de tous les équipages,

porteurs de bléflamands ou de cotons anglais.

Quand avec mes allers, on finit des tapages,

les fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.

Ça dure des plans, je vais pas vous le dire en entier.

T'aurais pu trouver, Christine, le bateau ivre.

Ben oui, c'était deux sujets que vous connaissiez très bien.

T'as beaucoup navigué là-dessus.

Une autre question.

Ben oui, on reste sur Rimbaud,

et ce sera une question pour Véronique Mortier,

qui habite Gélinville dans L'Orellois.

C'est quelqu'un qui s'adresse à Arthur Rimbaud,

et qui lui dit, tu as bien fait de partir, Arthur Rimbaud.

Verlaine ?

Ben non, ben non.

Tu as bien fait de partir, Arthur Rimbaud,

tes 18 ans réfractaires à l'amitié,

à la malveillance, à la sautise des poètes de Paris,

ainsi qu'au ronronnement d'abeilles stériles

de ta famille Ardénèses, un peu folle.

Tu as bien fait de les éparpiller au vent du large,

de les jeter sous le couteau de leurs précoces guillotines.

C'est un pote Rimbaud qui crée.

Tu as eu raison d'abandonner le boulevard des paresseux,

les estaminer des pisselires pour l'enfer des bêtes,

pour le commerce des rusées et le bonjour des simples.

C'est beau quand même.

Il l'a écrit bien après.

C'est ça.

Bien après.

Il est au 20e siècle, en tout cas.

Il est né en 1907.

Il est mort en 1988.

Il a écrit ça dans un poème

qui s'appelle La Fontaine Narrative.

La Fontaine Narrative, dans un recueil

intitulé « Fureur et mystère ».

Oui, mais c'est quoi la question ?

C'est aussi un poète.

C'est qui qu'a dit ça ?

Je me disais aussi si elle fait un doublé, ça sort.

La question, c'est qui qu'a dit ça ?

Sur Arthur Rimbaud.

Ça ressemble à René Char.

Et c'est René Char.

Excellente réponse de Christine Bravo.

C'est bien René Char.

La Versailleste a soufflé.

Non, c'est bien.

Ça a voyé Christine René Char.

Je n'ai jamais lu René Char.

C'est bien.

C'est lui qui a écrit baignure.

Non, mais c'est joli, en tout cas.

Ce qu'il a écrit, qu'est-ce que vous dites ?

Vous.

Je lui demande de ne pas insulter baignure.

Pourquoi qu'est-ce que vous avez qu'elle pour baignure, vous ?

J'adore baignure. Ça, un de mes films préféré.

Mais quoi, il y a Pharaon et baignure ?

On parle de Poésie, elle parle de Sinoche.

Moi aussi, je suis très pépelum.

Mais t'aimes quoi dans baignure ?

Oh oui, il est pépelum.

Oh mais qu'est-ce qu'il est pépelum ?

Ah mais moi, c'est kiff.

J'aime que ça.

Mais quoi, t'aimes les tenues ?

Mais non, j'aime tout.

Tout ce qui...

À partir du moment où il y a de l'électricité, j'aime pas trop.

Donc moi, je suis plutôt moyennade.

Les clés de mecs, elles m'en appuient trop.

Épochromènes, ça.

Non, mais la série Spartacus,

c'était juste énorme.

Si t'aimes pas l'électricité, tu vas être gâté bientôt.

Mais moi, j'aime bien.

Bah écoutez, je vous laisse avoper de l'ôme.

Et on se retrouve après la pub pour d'autres questions.

Une question pour Vanessa Ducro,

qui habite Foucarmon.

Ah, j'espère qu'il va se décarcasser.

C'est à vous de vous décarcasser.

Pour Kaigan, 300 euros.

Vanessa Ducro de Foucarmon en Seine-Maritime.

Un sondage, YouGov,

pour le site de partage de logement AirBnB.

Je sais pas si vous connaissez ce site de partage.

Oui.

Quelqu'un vient chez vous, vous allez chez l'autre.

Et on retrouve plus rien.

On n'a pas augmenté l'électricité de cuillère.

Et bien, cette société a demandé un sondage.

Et ce sondage nous montre

que 37% des Français partent en vacances.

Où ça ? Que précise ce sondage ?

En France.

Ça peut être en France, ça peut être à l'étranger.

En famille.

Il faut compléter la phrase.

Dans la maison de la famille.

Non, en famille recomposée.

Avec tous leurs enfants.

En famille décomposée, parce qu'ils sont tous morts.

En famille, dans une location, ils partagent tous.

En camping, en famille.

Non, 37% des Français partent en vacances.

Et là, je vous demande de compléter cette phrase.

En camping car.

En outre.

Très content.

Est-ce que la réponse commence par « en » ?

Non.

Est-ce que c'est « a » ?

C'est lié au lieu, tout en étant pas lié au lieu.

Les lieux, vous parlez des lieux des cabinets ?

Non.

Il n'y a pas que des échecs.

Alors partent en vacances,

et on ne dit pas « en » après, vous dites ?

Non.

À train ?

C'est bon.

À vélo ?

Non.

37% des Français choisissent de partir,

ou ça ?

Ces œufs, ils restent.

Ces œufs, ils forment bien les volets.

Ils font croire qu'ils ne sont pas partis.

Ils mettent les musiques.

Ils mettent 4 routes de bagnole autour de la maison.

Non, mais quelque part,

quelque part, vous n'êtes pas si loin.

Ils vont chez les grands-parents,

ils vont chez les grands-parents.

Dans une seconde résidence ?

Non, ça peut apporter, c'est possible, tout ça.

Ce n'est pas la caravane dans le jardin.

C'est possible que ce soit en caravane, mais ce n'est pas ça, la question.

Ce n'est pas une question de lieu,

tout en étant une question de lieu.

À poil, naturel.

37% des Français partent en vacances.

Est-ce que nous faisons partie des 37% ?

Je ne vais pas réfléchir, mais réfléchis dans ta tête !

Tu parles trop !

Je ne vais pas réfléchir !

Est-ce qu'on fait partie des 37% ?

Philippe Geluc fait partie des 37%.

Moi, plutôt aussi, mais pas toujours.

Et moi, et moi, et moi.

Vous ne partez pas en vous, alors ?

Si, je sais où vous allez.

Vous faites partie des 37%, vous aussi.

On est en vacances chez soi, non ?

Pas chez soi.

37% partent chaque année au même endroit.

Partent au même endroit que l'année précédente.

Bonne réponse !

Bravo !

C'est évident.

37% des Français partent au même endroit que l'année précédente.

Sauf qu'il y a une année où ça change.

Comment ça ?

Si l'année d'avant, on était ailleurs.

Oui, d'accord.

Là, vous faites plus partie des 37%.

Mais non, il faut commencer, il faut bien commencer.

Mais vous faites partie des 37%.

Et voilà, vous, Gisbert, vous changez chaque année ?

Non, non, jamais.

Vous faites partie des 37%.

Si, Isabelle, vous allez en Charente tous les ans.

Non, non, il ne fait plus.

Ah, vous y allez plus.

Les puits de famille, là-bas.

Vous avez gaffe, Laurent.

Respectez sa douleur, la puits de famille en Charente.

Qu'est-ce que vous voulez ?

Vous n'allez même pas vous recueillir.

On ne pouvait pas savoir, excuse-nous.

En novembre, au moins, alors.

37% des Français qui partent au même endroit,

ça fait effectivement beaucoup de Français

qui partent pas au même endroit.

63%, la majorité.

Et ça, on n'en parle pas.

Mais là, je suis sûr qu'il y en a qui partent pas.

Oui, mais alors oui, il y en a qui vont les 63 qui restent.

Mais je suis sûr que parmi les 63% qui restent,

il y en a qui vont là où les autres vont chaque année.

Oui.

Mais il a raison.

Et ça fait partie d'un autre truc.

Jamais.

La question pour Stéphanie,

l'héricie, attention, elle n'est pas simple,

cette question, même l'héricie habiteur.

Bielorussia, Minsk.

Très exactement.

Et il s'agit d'une épreuve sportive

que vous devez retrouver.

Épreuve sportive qui a lieu seulement

deux fois par an, qui dure seulement

90 secondes

et qui existe depuis 1238.

De quelle épreuve sportive

s'agit-il ?

Un accessoire.

Oui, il y a des accessoires.

Il y a deux personnes qui s'affrontent, ou plus ?

Plus.

Ah, c'est pas de la corde ?

De la corde, non.

Il y a une autre, c'est l'ancêtre du rugby.

C'est pas le coupage de bûche, là ?

C'est pas le coupage de bûche, là ?

Le coupage de bûche.

La tronçonneuse, là.

Il doit faire ça.

Une épreuve de force.

Une épreuve de force.

C'est surtout un travail d'équipe, vous avez dit.

Des équipes, ça c'est vrai.

Des équipes qui s'affrontent, tirage de corde, non.

Ça se tira sur une table ?

Sur une table, non.

Cours de sac, c'est très célèbre.

Deux fois par an seulement, et ça dure, c'est ça qui est étonnant,

seulement 90 secondes.

Ah, on dévalle la pente avec des fromages ?

Non, je sais.

Tu me tiens par la barbichette.

Du tout.

Vous en connaissez des sports à la con, quand même.

Laurent, c'est en plein air ou en intérieur ?

C'est en plein air.

Le 90 secondes, c'est la durée de la partie,

ou c'est parce que c'est un record ?

C'est la durée du jeu,

de la partie de la compétition.

On lance quelque chose.

Attention, c'est une compétition très sérieuse.

Ça n'a rien à voir avec les sports à la con,

que vous êtes en train de me donner.

C'est de la glisse ?

De la glisse, non.

Le lance est nain.

Est-ce qu'on doit transmettre quelque chose ?

Non. Est-ce que ça a lieu d'un endroit très précis ?

Oui, monsieur.

Ça ne pourrait pas se passer à un autre endroit.

Ça ne pourrait pas se passer à un autre endroit.

Vous escaladez un truc ?

Non. Est-ce que c'est lié à une cascade ?

Une cascade ? Non. Le concours des menteurs.

Le concours des menteurs, vous finiriez 1er Bernard.

On t'a dit que c'était pas un peu calacon ?

Est-ce que c'est lié à la neige ou au froid ?

Est-ce que c'est lié à la neige ou au froid ?

Du tout. Est-ce qu'il y a des animaux ?

Des animaux ? Oui.

Il faut tomber les moutons ?

Non plus. Il faut se taper une chaise.

Il faut châtrer les moutons.

Vous faites ça en 90 secondes.

Il faut qu'il y ait des pâques de bière.

Non. Il faut châtrer les animaux.

Il faut châtrer un chameau.

Avec deux pierres.

Vous savez comment ça se fait, c'est anciennement.

Ça se fait avec deux briques.

On tape ici et ça peut faire horriblement mal.

Si on laisse un des deux doigts entre les briques.

J'ai entendu monsieur Bafi poser une question intéressante.

Il y a des chevaux ?

Il y a des chevaux.

C'est-à-dire une sorte de Rodeo ?

Il y a plus longtemps possible sur le cheval ?

Ça de toute façon, c'est mieux de rester sur le cheval.

C'est débourré un cheval.

C'est débourré un cheval.

C'est pas une course de cheval.

Une course de chevaux, genre le grand prix d'Amérique avec des petites retraites.

On se rapproche.

On se rapproche.

C'est en Italie sur la place.

C'est le palio.

C'est le palio qui a lieu à...

à Rome.

A Sienne.

Le palio de Sienne.

Bonne réponse de Philippe Geluc et Valérie Mérisse.

Aidez par Bernard Mabin.

Le fameux palio de Sienne.

Sur la Piazza del Campo.

Dans cette ville italienne.

Deux fois par an.

C'est en juillet et août.

Il y a une course.

Courses qui durent.

Ça génirait qu'elle était aussi courte.

Elle dure seulement 90 secondes.

Elle existe depuis 1238.

C'est très brutal.

Il y a une polémique.

Il y a beaucoup de chevaux en sorte parfois blessés.

Il y a beaucoup de chevaux en sorte parfois blessés.

Mais ce sont différents quartiers de la ville

qui s'opposent

dans cette course.

Qui durent seulement 90 secondes.

Mais il y a tout un cérémonial

avant, après.

Il arrive tous les quartiers à chevaux.

Chacun avec ses couleurs, ses armes.

Il peut être un Spanghero qui passe pour faire des raviolis.

Avec l'avion de mort.

Pourquoi c'est si dangereux passer à ce cours

sur les pavés ?

Il y a une compétition très célèbre à travers le monde.

Ça date du XIIe siècle.

Du XIIIe ?

Je vous ai dit 1238.

C'est très rapide comme épreuve.

Oui, ça dure, je crois.

Pas plus d'une minute et demi à chaque fois.

C'est deux fois par an.

En même temps, ça t'occupe pas non plus beaucoup

sur l'année.

Ça fait 3 minutes sur l'année.

Qui n'est jamais allé sur cette place

à Sienne rate quelque chose.

On est allés ensemble.

C'est un des plus beaux souvenirs de ma vie en gros.

La failloté.

J'aime bien l'en gros.

Florence Sienne

en voiture des capotables

et on découvre cette place.

T'étais à côté de Laurent ?

J'étais avec Laurent.

Vous étiez voisins de Palio ?

Ah, elle est bonne.

Vous connaissez cette région, monsieur ?

Bien sûr.

Vous étiez tous les étés.

Vous n'allez pas dans ce genre d'endroits.

Vous faites les baffons en Thaïlande

mais alors en revanche.

Mais quelle était cette réputation ?

Si j'aimais bien les endroits,

mais le problème c'est que j'étais pas...

c'est des régions qui ne sont pas très loin

et j'étais pas sur moyen courrier.

Donc moi j'ai vu plus loin, plus loin.

À Daupleur, vous ne connaissez pas.

Quand j'ai commencé, en tant que jeune hôtel,

j'ai fait tous les Florence,

toutes ces petites villes.

J'ai découvert des endroits sympas, très romantiques.

Effectivement, je n'ai pas été haciène,

ni je n'ai pas vu le Palio.

Voilà, j'ai déclaré.

Je n'ai pas vu le Palio, je m'appelle Palio.

Et heureusement, est-ce que t'as été vacciné contre la Palio ?

Ben, en tout cas, c'était une excellente

réponse collective, on va dire.

Sous quel nom connaît-on mieux

Charles de Bats de Castelmore,

qui écrit « Mes parents étaient si pauvres,

qu'ils ne me purent donner qu'un bidet

de 22 francs avec dix écus dans ma poche

pour faire mon voyage ».

Ok, c'est dans quel siècle ça ?

Ah ben, si, en plus, il faut que je donne le siècle.

Alors d'accord, 16e.

Alors, non, on est plutôt...

18e.

Charles Baudelais.

Voilà, on est plutôt 18e.

Est-ce que c'est quelqu'un qu'on connaît quand même

sous le nom de Charles, quelque chose ?

Non.

Oh, dites-le, Charles de Bats de Castelmore.

Merci.

Comment vous avez retenu ?

J'écris.

Il est à cheval entre le 17e et le 18e.

Et il a complètement pris un autre nom

pour être célèbre.

Ah, c'est pas ça.

Il a été célèbre, comment dirais-je ?

Contre son gré en quelque sorte.

Ah, c'est un héros de roman.

Alors oui et non, Charles de Bats de Castelmore

a vraiment existé, lui.

Est-ce qu'il a été l'un des personnages

utilisés par Dumas ?

Oui.

Un mosqueterre d'Artagnan ?

Non.

A Thos Porto, Saramis, un de cela ?

Est-ce que c'est pas un des alias

du Conte de Montécristaux ?

Non, vous avez donné la bonne réponse.

Florian Ghazan, allez-y.

C'est D'Artagnan ?

C'est D'Artagnan, bonne réponse,

de Florian Ghazan.

Comment il t'a tué la bonne réponse ?

Charles de Bats de Castelmore,

c'est le vrai nom de D'Artagnan.

On pense, d'ailleurs, qu'Alexandre Dumas

s'est inspiré de ce Charles de Bats

de Castelmore qui a vraiment existé, lui.

Le nom de Quatrivé Dumas

est quand même plus exi.

Quoi donc ?

Le nom de Charles de Bats de Castelmore, c'est joli.

Non, D'Artagnan, ça le fait.

Ça fait épais, ça fait...

Ah mais il n'a pas trouvé le nom

de D'Artagnan d'humain.

C'est aussi le nom qu'ensuite

Charles de Bats de Castelmore a porté

parce que c'était de sa famille,

la famille de D'Artagnan.

Oui, le Conte de D'Artagnan.

Ah, d'accord.

C'est pas fictif, D'Artagnan.

C'est son vrai nom.

Ah, OK.

C'est écrit choli,

il a vraiment existé carrément.

Mais t'as raison, non ?

Et si, c'est un pératrice aussi.

Non, mais voilà.

Alexandre Dumas s'est inspiré

de personnages qui ont réellement existé

parmi lesquels Charles de Bats

de Castelmore,

qui, d'ailleurs,

a écrit ses mémoires,

les mémoires de M. D'Artagnan.

Et c'est dans ses mémoires,

c'est pas d'humain qui a écrit ça.

C'est dans les mémoires de M. D'Artagnan

qu'on lit

« Mes parents étaient si pauvres

qu'ils ne me purent donner

qu'un bidet de 22 francs

avec dix écus dans ma poche

pour faire mon voyage.

Mais s'ils ne me donnaient

guerre d'argent,

ils me donnaient en récompense

quantité de bons avis.

C'est lui qui a fondé Jacob de Lafond ?

Pourquoi ça ?

Bidet.

Bidet.

Oh non, écoutez enfin.

Roseville Vachelot.

Qu'est-ce que c'est qu'un bidet ?

Oui, à l'époque, c'est quoi un bidet ?

Un bidet.

C'est un cheval, c'est un cheval

qui rend l'âme,

un bidet ou un âme.

Ah, c'est ça.

C'est quelque chose qu'on chevauche.

Un bidet aussi, hein.

Et ça, on l'âme.

Ben oui, c'est pour ça.

Si je vous parle, évidemment,

de D'Artagnan,

c'est parce que

l'album de la comédie musicale

sort aujourd'hui

les trois mousquetaires

à la rentrée au palais d'espoir,

vous pourrez faire retourner

dans sa tombe

et Alexandre Dumas

et le vrai D'Artagnan

puisque les chansons,

qui aurait imaginé un jour

D'Artagnan en comédie musicale,

on marquait les charlots,

on bien fait les charlots

trois mousquetaires, après tout.

Pourquoi pas Damien Sark,

Olivier Dion,

Brahim, quoi, au nom ?

Brahim Zéba.

Si c'est pas D'Artagnan.

Mais si c'est D'Artagnan,

Damien Sark,

Brahim Zahiba,

c'est le danseur de Madonna,

c'est bien sûr.

Alors lui, il va jouer Portos.

Non, non, non.

Ah oui.

Non, Atos.

Brahim, il joue Atos.

David Banjou, Portos.

Damien Sark va jouer Aramis.

Et le québécois Olivier Dion

va jouer D'Artagnan.

Les trois mousquetaires,

qui sont quatre comme tout le monde le sait,

sont sur scène

à la rentrée au palais d'espoir.

Vous irez Pierre Benichu,

je sais que vous adorez Alexandre Dumas

et les trois mousquetaires.

Surtout qu'il va jouer Milédy.

Non, non, non, non.

J'aime beaucoup, j'aime beaucoup.

Je ne vais pas pas y aller.

C'est une comédie musicale.

Il n'y a pas M. Pokora, là, en tout cas.

Il peut pas être.

Il peut pas faire tout le monde.

Il peut pas faire tout le monde.

Oui, mais alors une comédie musicale

sans M. Pokora,

ce n'est pas une comédie musicale.

Il y a votre fiancée,

remarqué Damien Sark.

Oh, mais c'est pas mon fiancée.

Si vous avez eu une avancée.

C'est pas mon fiancée.

Ah bah si.

Non.

Vous l'avez eu.

Tu as eu une avancée

avec Damien Sark.

Mais pas du tout.

Mais oui,

parce que c'est un bel homme.

C'était à l'époque de Romeo et Juliette.

Mais oui, il l'a dit un pour tous,

tout sur elle.

C'était vrai ou c'était pas vrai, en fait ?

C'était pas vrai.

Non, mais en série,

parce qu'elle m'a fait croire ça

pendant un mois.

Non.

Qu'elle était avec Damien Sark.

Non, je vous le sais,

j'étais totalement mytho.

Si il nous écoute,

vraiment, ça doit le flatter.

Quel promo.

C'est sourire.

Il a fait les croonards,

il pourra pu faire les craneurs.

C'est horrible.

Mais tout le monde a couché

avec la honte, hein.

Enfin.

C'est le sœur de Christine.

C'est le sœur de Christine.

C'est ça.

Ça, c'est pas très gentil,

Roselyne, encore.

Je pense pour moi.

Tout le monde a eu des aventures.

Mais le problème,

c'est que c'est toi,

à chaque fois.

C'est que toi,

tes poids communs

entre tous ceux

qu'on couche avec toi.

J'ai juste tapé

les sœurs d'Almasien.

En fait,

elle n'a pas eu du tout

sa sœur.

En revanche,

elle a eu deux doigts de portos.

Qu'est-ce qu'on entend, ici, là ?

Ça vous a tout arrivé

de vous taper un moche.

C'est bien.

Mais vous vous tapez personne

de temps en temps.

Bah, excuse-nous, nous,

on n'a pas les moyens

de payer.

Dans 20 ans,

dans 20 ans,

il y a des mecs compliqués

et qui vous mettent un coup,

puis c'est tout.

Qu'est-ce qui a commencé ?

Il y a 90 ans,

le 12 mars 1930

et qui s'est terminé

le 6 avril 1930.

Ça a donc mis, vous voyez,

on va calculer

18 et 6, à peu près,

24 jours.

Un règne ?

Un règne, non.

L'exposition universelle ?

L'exposition universelle, non.

Ça s'est passé en France ?

Ça ne s'est pas passé en France.

Ça a été arrêté par contrainte,

se déco-signer ?

Non, non,

ce n'est pas par contrainte

que ça s'est arrêté.

Ça a duré donc

du 12 mars 1930

au 6 avril 1930,

il y a pile 90 ans.

Les six jours m'ont pris ?

Pardon ?

Les jours m'ont pris ?

Ah oui, c'est pas con.

Non, c'était prisunique, à l'époque.

C'est bien, parce qu'on a tellement

entendu le gars de super russe

maintenant sur la Terre,

que ça fait de la pub

pour les autres.

C'est gentil.

Est-ce que c'est aux États-Unis ?

Non.

En France ?

En France, non plus.

En Europe ?

En Europe, non.

En Afrique ?

En Afrique, non.

En Nouvelle-Calédonie ?

En Nouvelle-Calédonie, non.

En Australie ?

En Australie et sur Mars, non.

C'était il y a 90 ans,

on célébrera donc

le 12 mars prochain,

c'est-à-dire là,

dans deux jours,

le début de ce qui a commencé

à cette date-là

et qui s'est terminé

le 6 avril de la même année.

Est-ce que c'est la Longue-Marche ?

En Chine.

1930, la Longue-Marche de Mao.

Non, non.

Mais, mais, mais.

On se rapproche.

C'est Gandhi ?

Donc c'est une marche.

C'est Gandhi ?

Le jaune de Gandhi.

Alors qu'est-ce que, comment on appelle ça ?

Le Grand Dimancheau,

à Las Vegas.

Le Grand Dimancheau.

Celui qui n'a...

Mais Gandhi,

c'est bien d'avoir trouvé Gandhi.

Oui, c'est là, c'est la marche,

la révolution...

Alors qu'est-ce que c'est quoi ?

C'est...

La révolution indienne.

Il avait jauné.

Non, c'est pas le jaune.

Non, c'est pas le jaune.

Non, c'est pas le jaune.

Il avait fait la Grave de la fin.

La marche...

La marche indienne ?

La marche, la marche...

Elle a un nom cette marche.

Oui, c'est vrai.

La marche, la marche gondienne.

La fameuse marche gondienne.

Non.

La marche de la paix.

La marche de la paix.

Il part effectivement le 12 mars 1930.

Bon.

De Bombay.

Oui.

Alors il part où il veut.

Oui, voilà.

C'est sûr.

Ce qui compte, c'est où il va, surtout.

Il va en Angleterre.

Non !

Il reste en Inde.

Il se baigne dans le gange.

Oui, mais qu'est-ce qu'il fait ?

Il baignit tout le monde.

Non !

La marche de je me lève ?

Non !

La marche de ma chauffe ?

Non !

Il abatisait plein de gens.

D'ailleurs, c'est pas dans le gange qu'il arrive.

Il fait quelque chose qui a donné son nom à la marche.

Le gange, c'est une autre fois le gange.

Il va voir les autorités britanniques.

Je suis effondré.

Moi aussi.

La part de Marc Lombon.

Oui.

Je suis...

Il monte sur un éléphant ?

Bien sûr.

Il chante...

Je sens que vous avez fait ça, vous comme tous les touristes en Inde.

A moins que ce soit l'inverse.

Je ne suis jamais allé en Inde.

Oui, puis Valérie, sans défense.

Et ce qu'il chante...

Avec Valérie, il faut un éléphantot.

Il chante un truc en arrivant.

Tiens, voilà du boudin, un truc comme ça.

Non, écoute-tu.

Un peu de respect pour Monsieur Gandhi.

On va fêter les 90 ans.

Et là, il se marie.

Il se marie.

Mais non.

Il se marie.

Il se marie.

Il se marie.

Il se marie.

Il se marie.

Il se marie.

Mais non, il se marie pas.

Il se fait tuer.

Il se fait pas tuer.

Non, non.

Il se rase la tête.

Ah non, il se rase pas la tête.

Il se marge de l'immigration.

Pour jouer panse-pilates avec...

C'est délicieux.

Avec Jean-Gabain.

Il est devenu un peu le président de ce pays.

C'est ça, oui.

Il offre quelque chose.

Est-ce qu'il offre quelque chose ?

Sans jamais.

Il quitte son H-Ram.

Le 12 mars 1930, Gandhi.

Au nord-ouest du pays.

Il a quelques disciples.

Une courte de journalistes.

Mais plus ça va aller.

Plus ils vont être nombreux à le suivre pendant cette marche.

Il y a un nom, cette marche.

Pourquoi il a un nom ?

Parce qu'après 386 km quand même.

Il fait à pied 386 km.

Qu'est-ce qu'il fait quand il arrive

au bord de l'océan indien ?

Il s'avance dans l'eau.

Il recueille dans ses mains.

De l'eau salée ?

Du sel, effectivement.

Et oui, c'est la marche du sel.

Parce qu'il va distribuer ce sel.

Or, ce sel, il n'appartient pas

évidemment à la population.

Il appartient au Britannique.

Tout le monde va faire le même geste.

Collecter le sel au vu des Britanniques.

Puisque l'eau s'évapore et que le sel reste dans leurs mains.

Ça va s'appeler la marche du sel.

Monsieur Lambron.

Bah pourquoi l'aurez-je su ?

Ah bah, non !

Ah bah, l'auti nous dit qu'il est jugulatif et académique.

On n'a pas passé l'examen.

Mais vous êtes gentils.

C'est comme The Boy, c'est à moins de niveau maintenant.

Allez bien, Isabelle.

Oui, court bien.

Vous êtes un peu chafoué.

Je ne suis pas chafoué d'arrêter de dire ça.

Je ne sais pas, tout va bien.

Je suis dans l'optimisme, le sourire.

Tout va bien.

Non, l'autre con m'avait énervé.

Ah voilà, c'est reparti.

C'est Titov qui vous a énervé ?

Oui, oui.

Tu m'as pris pour ton taxe-sous.

Il m'appelle, attendez, juger de la situation.

Il m'appelle, on devait se rendre à un certain endroit.

Et il me dit...

Comment on fait pour la voiture ?

Parce que lui, il n'a pas de voiture.

Ça veut dire que je vais aller le chercher.

Oui, parce que je me dépasse beaucoup en courant.

Et donc, c'est terminé.

Il n'y a pas marqué taxi.

Vous pourriez quand même dépanner vos camarades,

comme ils n'ont besoin de vous.

Mais ça, j'en ai marre.

Moi, je n'arrête pas de fréquenter des gens

qui ont des mots dans le champ la plupart du temps,

qui n'ont pas de voiture.

Et donc, il faut que je les trimballe.

Donc ça, c'est terminé.

La Christine Bravo, là.

Attends, j'ai pas de bagnole et je t'emmerde pas.

Non, toi au moins, c'est bien.

Voilà.

Christine Bravo, quoi, qu'est-ce que vous avez fait ?

La Christine Bravo, pareil.

Elle me prend toujours pour son chauffeur quand on va chez vous.

C'est normal.

Quelle est pas de bagnole.

Et ça fait combien de temps que...

Ça fait combien de temps que t'as pas vu un mec ?

Quel rapport.

Non, t'as un peu chafouine, quoi.

Ça vous ferait du bien, c'est vrai.

Une rencontre amoureuse.

Ça vous remettrait de bonnes humains.

Qu'est-ce que t'en saînes, ma vie sexuelle, crétin désal?

Non, non, moi, je suis marseille.

La tête où tu me vois te les baiser toute la nuit, OK ?

Pauvre chien.

J'imagine qu'il n'y avait pas la voiture non plus.

Et tu l'as accompagné, non ?

Il m'a honoré.

Toute la nuit.

Mais qui ça, alors ?

Le cacaillé, ça s'est fait avec le cacaillé.

Oh non, le cacaillé, c'est fini.

Ah, c'est...

Oh, bah ouais, non, c'est une...

Moi, je vous raconterai plus tard, mais...

Ah non, mais non, non, on va savoir.

Ah non, s'il y a vraiment un nouvel homme dans votre vie,

on veut le connaître.

C'est jamais des internaux, j'ai remarqué.

Non, j'ai eu beaucoup d'internaux.

Ah ouais ?

Ouais, ouais, bon.

C'est pas le meilleur.

Pourquoi ils sont pas restés ?

Parce qu'ils étaient internaux ?

Ah oui, c'est ça.

Ils ont envie de comprendre.

Non, mais c'est vrai, c'était Kisgar,

ce que vous avez rencontré,

qui vous a fait l'amour toute la nuit.

Bah oui, mais...

Bon, c'est intime pour connaître son prénom, encore.

Allez, une première citation, si vous le voulez bien.

Une citation pour François Le Lanner,

qui habite Saint-Sébastien sur Loire,

qui a dit,

«Cet homme qui depuis deux ans dit de moi

«pique pendre» et «mort» hier soir,

je n'en demandais pas tant».

Sacha Guitry !

Attendez, j'ai pas terminé.

Ah merde !

Quel est con !

Vous voyez bien que c'est pas drôle pour l'instant,

ça peut pas être terminé.

Oui, oui, il y a un moment donné,

il y a une chute,

il y a une chute,

il y a une chute,

il y a une chute,

il y a un moment donné, il y a une chute.

Voilà !

«Cet homme qui depuis deux ans dit de moi

«pique pendre» et «mort» hier soir,

je n'en demandais pas tant.

Et d'autre part, je veux espérer

qu'ils ne vont pas tous chercher

à s'en tirer de cette façon-là.

Sacha Guitry !

Bonne réponse, Lisabelle Mersault !

T'as compris le but, Caroline ?

Tu pourras m'en accompagner après émission,

c'est plus important.

Une autre citation,

et ce sera pour Guillaume Tremblay,

qui habite près dans le Loire-et-Cher,

un peu plus difficile.

Celle-ci, évidemment,

qui a dit «la mort»

pour «vu que je vive jusque-là».

Oh, elle est belle, ça, là.

Ah, pas mal !

Est-ce que c'est quelqu'un qui nous a quittés ?

Ah oui, c'est quelqu'un qui nous a quittés.

Il est des Français ?

Ah, français, oui.

George Brassens ?

George Brassens, non.

Non, parce qu'il en a parlé là.

Des proches ?

Des proches, non.

De l'époque des Lumières ?

Pardon ?

De l'époque des Lumières ?

De l'époque des Lumières ?

Ah oui, c'est ça.

Ah oui, c'est ça.

Ça fait du bien.

Ça me fait du bien de la Lumière.

Ça fait du bien de la Lumière.

À la Rière.

Parce qu'il était du Moyen-Ordre.

De l'époque de la Lumière, Eric Judo.

Oh là, là.

Là, mes diderots, vous vous sauf.

Oh là, là !

Oh là, là !

Oh là, va je peux...

Vous avez baisé toute la nuit, moi aussi ?

Eh ben...

J'ai approuté votre navire en bout de phare.

C'est peut-être lui ?

Oh là, là.

C'est le frère...

C'est le frère moins crevé, hein.

Alors, là, ma fille...

Est-ce que c'est un humoriste ?

Il est du XIXe siècle ?

Non, il est contemporain.

Il écrivait dans un journal régional.

C'était un journaliste.

Alexandre Vialard.

Merci, Jean-Jacques Péroli.

Ah !

Une question pour Jérémie Joblin,

qui habite molette dans les Yvelines.

Question qui fera plaisir à monsieur Ferrand.

Car c'est historique, mais aussi à monsieur Geluc.

Car il s'agit de la reine Élisabeth de Belgique.

Et de son fils à l'époque, le futur Léopold III.

Qu'ils sont partis faire un voyage important.

Il y a pile 100 ans.

Quel voyage important ?

Il y a 100 ans, la reine Élisabeth de Belgique et son fils...

Bah, le Titanic...

Non, le Titanic...

Non, non.

Ils sont allés au Congo, non ?

Le Titanic, c'était en 1912.

Donc, ça aurait été il y a 110 ans, vous voyez ?

Bah oui, je me souviens pas.

Pardon, hein, de remettre les choses à leur place.

Je vous en prie.

Et le Titanic...

Ils sont allés au Congo ?

Non, au Congo, non.

Je répète ce qu'a dit Franck.

J'avais peut-être un histoire de parler...

Une bonne réponse, hein.

Je s'en parle à la bande.

Il a copié par-dessus mon épaule.

Mais non, ils sont pas allés au Congo.

Ils sont allés aux États-Unis.

Aux États-Unis, non.

Ils sont venus en France.

Ils sont pas venus en France.

Ils sont allés en Russie.

À Moscou.

Mais en Russie, non.

C'est pas le voyage qui a coûté la vie à la reine, hein.

Non, non, non, non.

En Ukraine.

Parce qu'elle est morte en voyage de la même voiture.

Non.

Ah, mais non, ça, c'est la reine Astrid.

La reine Astrid, oui.

Elle en parle d'Elisabeth, pardon.

Il confond toutes les reines.

Il lui m'attend son truc, c'est la petite reine, il était...

Ah oui, pardon, pardon.

Je suis sur une autre reine.

Non, Elisabeth, elle est morte sous le pont de l'Allemagne.

Ah non, elle est revécue sous le pont de l'Allemagne.

Le voyage est important parce qu'il a eu des conséquences politiques ?

Ah, politiques, non.

Mais c'était quand même quelque chose d'assez exceptionnel.

Parce que c'était loin ?

Ils avaient été invités.

C'était loin.

Putain, un gros événement.

Ils sont allés au quai.

Alors, ils sont allés en Égypte, oui.

Oui, pour faire la bise à Momy.

Non.

Quasiment.

Quasiment.

C'était quoi ?

C'était, je sais pas, pour l'inauguration.

Voilà, c'est parce qu'on venait de découvrir la tombe de tout en camon.

Pour la découverte, l'ouverture du tombon de tout en camon.

Bonne réponse de Julie Leclerc.

Julie qui est ressortie ce jour-là, il faut bien le dire.

Alors, mais on a découvert, pile, le 3 novembre, 4 novembre, enfin,

un jour près, il y a 100 ans, un jour pour jour,

le tombeau de tout en camon dans la vallée des Rois.

C'était la 62e tombe à être découverte dans la vallée.

C'est un chercheur.

A Ouarte Carter.

Voilà, bravo.

A Ouarte Carter.

Ah, vous savez ça, monsieur ?

Oui, quand même.

Oui, c'est les trucs.

C'est un historien, merde.

Un minimum, il n'y a pas pour rien quand même.

Déjà qu'il confoie Astrid et Elizabeth.

Alors, il a découvert le tombeau,

mais il n'a pas ouvert tout de suite la tombe.

Il a attendu.

L'arrivée de Lord Carnarvon.

Voilà.

Parce qu'il y avait une date de ne pas ouvrir avant Noël.

Et, ils ont invité...

Et mangé avant telle date de préférence.

Et ils ont invité plusieurs personnes,

dont la reine Elisabeth de Belgique.

Ils pensaient que c'était un cousin El.

Et son fils, le futur, Léopold.

Pourquoi ils ont invité les Belges

à venir voir l'ouverture du tombeau tout en Camon ?

Pourquoi ?

Je pense que la reine devait être en voyage en Égypte

pour qu'on invite, hein, mon avis.

Elle n'a pas fait le grand voyage exprès

pour venir voir l'ouverture.

Mais ils l'ont ouvert.

Ils l'ont ouvert devant les invités.

Il était resté fermé.

Oui, absolument.

Et on ne savait pas s'il y avait rien dedans,

ou un squelette de chèvre,

ou n'importe quoi.

On ne savait pas.

Mais ça s'appelait à prendre ou à laisser.

On savait ce qu'il y avait dedans,

puisque Carter avait vu,

il avait dit en ouvrant,

j'ai le souvenir d'une émission d'Alain Decault là-dessus,

il racontait, Decault disait,

« Je vois des merveilles ! ».

Et c'est vrai que Carter avait vu,

il avait vu par le trou

qu'il avait pratiqué dans l'ouverture du tombeau.

Ah, il avait fait un trou.

Dans le mur.

Il avait fait un trou pour voir ce qu'il y avait dedans.

On avait mis des lampes pour voir ce qu'il y avait dedans.

Mais avant d'ouvrir,

on a attendu que les messaines soient là.

Oui, ils n'ont pas ouvert,

ils ont fait un trou pour regarder.

C'est pareil, pourquoi ?

Je suis désolé.

Pourquoi c'est pareil ?

On va juste faire un trou

pour regarder, mais on n'ouvre pas.

On garde la surprise.

C'est un peu comme l'écographie.

C'est un garçon.

On n'ouvre pas.

Il y avait quoi dedans ?

Tout en camon.

Il y avait l'extraordinaire mobilier.

Vous imaginez ?

Il y avait du mobilier.

Il y avait un chiot.

Oh non !

Mais ça a été le premier Ikea du cœur.

Et quand je dis mobilier...

Je ne peux pas savoir, je suis anti-caire.

Mais alors Franck,

c'est à la suite de cette découverte-là

qu'il y a eu cette espèce de malédiction.

Oui, tous les gens qui ont participé à cette expédition,

cette découverte, sont morts dans les 3 ans

qui ont suivi.

Donc évidemment...

Ils avaient 90 ans.

Le gars à un moment, il fallait bien mourir, quand même.

Même ceux qu'on regardait par le trou, ils sont...

Oui, ça ne leur a pas porté chance.

Pour ça, je ne suis pas allé voir le truc de Tantan Camon

quand il s'est venu à Paris.

Pourtant, ça aurait fait plaisir de revoir la famille.

Ça, vous fait quel âge, vous ?

Quelle ça peut vous foutre ?

Je sais pas, c'est parce que je vous pose la question,

parce que je n'ai pas encore été livré en carbone 14.

Alors, j'en ai une sur les chiottes en or.

Ah oui ?

Oui, tout en Camon.

C'est le mec, il dit, à son pote,

ils sont un peu bourrés,

il dit, je vais t'emmener dans un bar,

ils ont des chiottes en or.

On lui dit, tu déconnes ou quoi ?

Bah, il dit, je déconne, tu viens avec moi.

Ils arrivent dans le bar, ils disent, vas-y,

les toilettes, c'est là-bas,

au fond, là, du couloir.

Il y va, il revient 5 minutes après,

il dit, non, c'est des chiottes normales,

il n'y a pas de chiottes en or.

Alors, il s'adresse au patron,

il dit, ils sont où ?

Vos chiottes en or que j'avais vu la semaine dernière.

Et là, le patron, il se tourne vers la salle

et dit, vraiment,

j'ai trouvé le mec à chier dans ton trombone !

Ah, il est bien !

Le 19 octobre 1977.

Ah, c'est moderne, ça.

Un avion s'écrasait,

avec à son bord 26 personnes.

Oui, c'est ceux qui se sont mangés ?

Non, c'est pas du...

On peut répondre ?

L'avion s'est écrasé à 18h52 par manque de carburant

dans un marais.

Oui, fortement arboret.

L'enquête établira un fonctionnement anormal

des moteurs entraînant une surcombe,

sommation élevée du carburant.

Qui y avait-il à bord de cet avion ?

Il y avait le groupe...

Linerd, Skinnerd, voilà.

Avec les trois guitaristes.

Et donc, je peux vous dire que le chanteur,

Ronnie Van Zendt, est mort dans l'accident.

Le guitariste numéro 1, Steve Gaines aussi.

Une décoriste, voilà.

Linerd, Skinnerd, excellent,

réponse de Philippe Manoeuvre.

Vicarlier la connaissait, attention.

Il n'est jamais entendu parler de ça.

Ah, merci, c'est le vrai.

C'est eux qui ont écrit suite aux Malabamas.

Retournés par Johnny à l'idée,

sous le titre Carte Postale dans l'Abama.

Vous voulez dire ça, par exemple ?

Ça, c'était avant le crash de l'Asia Marie.

Ils ont pu continuer à chanter, après ?

Oui, ils ont continué.

Ils ont continué avec les survivants.

Ils étaient quand même très nombreux dans l'avion.

Il y a eu des morts, mais il y a eu des survivants.

Et les survivants ont continué.

Et l'idée, c'est qu'il y ait toujours un membre

du groupe original des débuts,

qui soit à l'intérieur de Linerd, Skinnerd.

Parce qu'après...

À votre avis, pourquoi j'en ai parlé, là, aujourd'hui ?

Parce que le guitariste,

c'est un élément,

c'est un élément,

et j'en ai parlé, là, aujourd'hui.

Parce que le guitariste vient de mourir, Ed King.

Parce que sinon, Philippe, il n'aurait pas...

Quand vous dites que le guitariste vient de mourir...

Il est mort il y a 15 jours.

Pas un guitariste qui était dans l'avion.

Il était pas dans l'avion. Il s'est écrasé en 1977.

Il avait déjà quitté le groupe en 1977.

C'est un guitariste fondateur,

et c'est lui qui avait écrit suite au Malabama, c'est Ed King.

Bravo, Ed King.

Et il savait donc que l'avion allait s'écraser ?

Non, pas du tout.

Il avait quitté le groupe pour les raisons habituelles,

trop d'alcool, trop de figues.

Charlie avait baisé sa femme.

En plus, c'est un groupe qui symbolise le rock sudiste.

C'est vraiment, aux États-Unis,

un groupe symbolique, quoi.

C'est fou, presque politique.

C'est fou, ce que l'aviation a fait du mal à la chance.

Ah bah oui, autiste rédistanique.

Non, parlons pas.

Ben Laden.

Ben Laden.

Une question pour Mme Pascal Bordé,

qui habite Rontalon.

C'est dans le Rhone, Rontalon.

Ah, une question comme vous les aimez,

Peyronie Gisbert et Ben Ischou,

puisque c'est une question poétique.

C'est une question de vieux, c'est ça ?

Non, je vais commencer à vous lire un poème,

mais il faut évidemment en retrouver.

L'auteur, c'est assez facile.

110, je vous donne quand même

une indication, poème très très célèbre.

Si tu peux voir, détruis l'outrage

de ta vie et sans dire un seul mot...

Reviarcupling.

Reviarcupling.

Et le titre du poème...

Tu seras le monfils.

Tu seras le monfils excellent, très bon.

C'est impossible de pas le faire.

Le titre anglais, c'est if.

C'était pas la réponse.

Non, mais j'apporte une précision.

Alors, tu peux dire aussi, Ridouard,

c'est lui qui a inventé...

C'est un des poèmes les plus nuls que je connais.

C'est pas vrai, c'est pas vrai.

Non, c'est très bon.

C'est très bon.

C'est exactement comme ça t'exupérit.

Ah ouais, tu d'accordes.

Tu le primes, comme le p'tit primes.

Oh, le p'tit primes, ça tombe des mains.

Ça tombe des mains, le p'tit primes.

C'est nul, c'est nul.

Si je vous donne une texte quand même, c'est pas si nul.

Non, c'est vachement bien.

Si tu peux l'enlarge, si tu peux aimer

dans notre foudre, d'amour.

Oui, c'est beaucoup mieux, Enrico Macias, évidemment.

T'as mieux ça, mais c'est normal.

Donnez, donnez, donnez, donnez, donnez, donnez-moi.

Donnez, donnez, donnez, donnez, donnez-moi.

Je suis beaucoup plus en train de commencer.

Dans toute la ville en ma belle.

Vous connaissez pas l'oeuvre de Gaston.

Je le donne à Isabelle Mergo pour que nos auditeurs

quand même sachent ceux qui ne connaitraient pas bien

le poème de Monsieur Kipling,

qui sachent de quoi on parle.

Si tu peux voir détruire l'ouvrage de ta vie

et sans dire un seul mot, te mettre à rebâtir

ou perdre en un seul coup le gain de 100 partis

sans inglaisses, t'es sans soupir.

Si tu peux être amant, sans être fou d'amour.

Si tu peux être fort, sans cesser d'être tendre.

Et te sentant haï, sans haï, à ton tour.

Si tu peux, si tu peux.

C'est ce qu'on appelle l'anaphore.

C'est ce qu'on appelle, c'est ce qu'on appelle.

L'anaphore.

Moi, moi c'est l'anaphore.

C'est toi un gros effort.

C'est ce que je disais à mon mec hier soir,

si tu peux, si tu peux.

Alors, les rois, les dieux, la chance et la victoire

seront à tout jamais tes esclaves soumis.

Et ce qui vaut mieux que les rois et la gloire,

tu seras un homme, mon fils.

Et voilà, c'est le titre du père.

Non, non, non.

Ça veut dire, ça veut dire quoi un père

qui dit à son fils, tu seras un homme.

C'était un homme, lui.

Non, c'était pas un homme au sens sexué,

mais beaucoup plus général, un homme,

un être, les mains dignes de ce...

Je préfère la version chinoise,

tu seras un homme, mon fils.

Mais oui, moi, je trouve ça beau.

C'est la transmission, vous comprenez bien sûr.

Vous connaissiez, et du reste,

ce poème avait été très bien mis en musique

par Bernard Levillier.

Je regrette de pas être assez allé à l'école

quand j'entends toutes ces émissions.

Ouais, un petit peu quand même.

Je me dis, tiens, quand même,

de temps en temps, un petit peu plus de culture.

Tu pourrais être autodidacte.

Ça sera un bon truc, faire un rile autodidacte.

Ah, c'est joli.

Une question pour Augustin Joubert,

qui habite Saint-Etienne.

J'imagine que vous connaissez toutes les professions

de cuisine, et peut-être

tous les métiers qui

composent une brigade de cuisine.

Cuistot.

Oui, d'accord.

On dirait qu'elle appelle son personnage cuistot.

Viens me servir.

Non, mais Ariel, il n'y a pas qu'un cuistot

dans une brigade de cuisine.

Vous avez le chef de cuisine.

Vous avez le chef de parti, le garde-manger,

le boucher, le socié, le poissonnier,

l'entre-métier, le rotisseur, le brocheur,

le potager, le grillardin, le cocotier,

le friturier, le confiseur,

le glacier, le pâtissier,

le trancheur, l'apprenti, la boyeur,

le plongeur, qui fait la vaisselle.

Il y a aussi dans cette longue liste

des métiers qui peuvent

composer une brigade de cuisine

le communard.

Mais que fait le communard ?

Il est pluche.

Non, il n'est plus, je parle communard.

Ah, il have des légumes.

Non, plus.

Est-ce qu'il arrache les pommes de terre ?

Non.

C'est un rapport avec les légumes ou pas, alors ?

Non, pas les légumes particulièrement.

Il découpe quelque chose ?

Non.

Il fait tout ça, oui.

Ah, je sais.

Comme c'est communard commun commune,

il ramasse les épluchures par terre.

Non, par terre.

Et il en fait une barricade.

C'est un stagiaire ?

Non, le communard, il fait partie de la brigade.

Est-ce qu'il a un rôle important ?

Ah, quand même, le communard,

il a un rôle important.

C'est quelqu'un qui a bois sur les gens

qui ne font pas bien leur métier ?

Je serai un communard, moi.

Est-ce que c'est lui qui écrit l'ardoise

avec le plat du jour ?

Non.

Ah, c'est quelqu'un qui goûte

tous les plats de la cuisine ?

Non.

C'est quelqu'un qui fait ça aussi, c'est vrai,

mais c'est pas le communard.

C'est pas le communard.

Il a un goûteur dans les cuisines ?

Parfois, oui.

Est-ce que lui, il a une profession transversale

dans la cuisine ?

Ah, ça, c'est pas bête.

C'est pas bête.

Donc, il fait un peu le tour de tout le monde.

C'est plus que transversale.

C'est le joker ?

Non.

C'est le traducteur ?

Non plus.

C'est celui qui va à la cave ?

Non.

C'est le dillier des chants de la cuisine ?

Non.

Oh, bien au contraire...

Celui qui ramasse sans sourciller...

Tout sans sourciller ?

Oui, il ne sourcit pas.

Il n'a pas de sourciller, mec.

Non, mais...

Elle n'a jamais eu pied.

Il y a un point.

Elle n'a jamais foutu les pieds en cuisines.

Il faut la comprendre.

Elles voient des gens qui ramassent sans sourciller.

Voilà.

Ni vu ni connu.

Est-ce qu'il a fait l'école au tolière,

oui.

C'est aussi bien cuisiné que les autres, je dois dire.

Est-ce qu'il faut une compétence particulière ?

Non.

Il éguise ?

Il n'éguise pas.

Il nettoie les fours...

Non plus.

Ça, c'est Alissa Pritch.

Ah oui.

Est-ce qu'il a un peu surveillant général ?

Pas tout à fait, mais j'aime bien le mot général,

qui va très bien avec commun, d'ailleurs.

Il fait l'appel, celui qui...

Non.

Mais en fait, il sait tout faire dans une cuisine.

C'est la pointeuse.

Je sais pas si c'est tout faire,

mais il sait forcément aussi bien cuisiné que les autres.

Oui.

Est-ce que c'est le grand juge suprême ?

Non.

C'est celui qui vient de filer un coup de main

quand il y en a un qui est un peu en galère ?

Non.

Non.

Quand on est malade, il remplace ?

Non.

Il est en blanc comme les autres cuisiniers ?

Enfin, on est des fours...

Ah bah !

Non.

Ah.

C'est un être humain.

C'est le patron de Raston.

Ah non, le communard, c'est un être humain, ça, Julien.

Oui, c'est pas un rat.

C'est lui qui tient la caisse ?

Non.

Il est donc en civilité.

Il est en cuisine, il est pas en dehors de la cuisine.

Il est en cuisine.

Il y a un truc sur la tête, il a une toque.

Oh, ça, je sais pas, je suis pas dans toutes les brigades de cuisine,

mais je...

Il peut être toqué comme les autres.

Un peu comme vous ici.

Si la cuisine, c'était les grosses têtes,

qui serait communard, par exemple ?

Ah, ça, c'est une basse.

Ah bah, cette floringuesande, c'est une bonne question, bien sûr.

Ce serait plutôt...

Ce serait plutôt moi, le communard.

Ah, donc il y a une notion de cesse.

C'est le cascouille de cuisine.

Eh bien, non.

C'est celui-là, c'est celui qui...

C'est une notion de chef, quand même.

Il est au-dessus des autres, quand même.

Non, justement, il n'est pas forcément au-dessus des autres.

Des sites démenus.

Ah non, géométriquement, il est au centre.

Non, ce n'est pas ça.

Il est là tous les jours ?

C'est une sorte d'aiguilleur du ciel.

Comme les autres.

Il est néo-avre.

Enfin...

Non, écoutez, vraiment, tant pis.

Le communard, c'est celui qui nourrit les autres.

Il fait la cuisine pour ceux qui travaillent dans la brigade.

Mais enfin, vraiment.

Mais enfin, il coûte tellement toute la journée.

Mais non, il faut bien...

Une brigade, dans un grand restaurant où il y a une vraie brigade,

il y a beaucoup de monde, il faut bien qu'ils mangent eux aussi.

Eh bien, il y a quelqu'un qui fait la cuisine pour tous les autres.

On appelle ça le communard.

Et vous nous nourrissez, c'est vrai, là.

Bah oui, c'est vrai.

Je vous nourris en quelque sorte de caché, gracieusement,

refaire par la comptabilité de RTL.

Mais non, le communard, il est à part avec une très, très grosse casserole.

Ça fait Balkanis.

Oui, et en plus, la cuisine, sans sourciller.

Il y en a que j'ai trop nourris ici.

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Écoutez ou réécoutez l'émission des Grosses Têtes avec Laurent Ruquier du dimanche 8 octobre 2023.













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