Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Le Best of du dimanche 15 octobre 2023

RTL RTL 10/15/23 - Episode Page - 1h 41m - PDF Transcript

On peut penser qu'on n'a pas d'autre choix que de payer notre carburant toujours plus cher.

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Pensez à covoiturer.

Vous n'avez pas pensé à ça, vous invitez tout seul un jour, Christos ?

Oui, oui, oui, je me suffiais moi-même, voilà.

Même dit peu comme Chantal.

Chantal, c'est bien, mais vous pouvez me faire aussi Marcel Ayacoup qui n'est pas là aujourd'hui.

Marcel là, pourquoi pas, je ne le sais pas.

Et Pierre Benichou, vous savez faire ?

Non, parce que j'ai trop peur qu'il me tape.

Il est très dangereux, Pierre.

On doit te faire de trucs dans la bouche en même temps, je ne n'arrête pas.

C'est beaucoup trop compliqué.

Et il paraît que t'as une imitation de Rukier à mourir de Rire.

C'est vrai ?

Non, ben non, c'est pas vrai.

C'est, c'est, c'est, c'est, c'est, c'est.

Ah, mais non, je ne sais pas faire.

Celle que tu nous fais avant qu'il arrive.

Ben oui, oui, oui.

Ah non, il pense que c'est vrai en plus, il va être déçu.

Bien sûr.

Oui, non, j'ai pas rûlé.

J'adorerais franchement.

Vous savez imiter Bourville, par contre.

Allez, c'est parti.

Non, non, non, écoutez.

Allez, allez, Bourville, Bourville, Bourville, Bourville.

Vous lui demandez la moitié de son répertoire.

Il a Bourville et Gisca.

C'est pas vrai, je peux vous faire un emmène, si vous voulez.

Il fait un emmène très bien.

Non, mais écoutez, vraiment, vous exagérez.

Ah, c'est pas mal, c'est pas mal.

C'est pas mal.

C'est très pointu, hein.

C'est vraiment pour une niche, quoi.

C'était Anemone dans un film en 83.

C'est une niche, quoi.

Non, mais vraiment, vous exagérez.

Je fais très bien.

La fin d'Anemone était Bourvileuse.

Je peux faire marier à Paco, moi aussi.

Ah, allez-y.

Maman n'est pas contente.

Ah oui, pas mal.

On dirait Anemone vieille, c'est bien.

Je peux vous faire un recall.

Vous avez des gens vivants ou pas ?

Oui, Patrick Bruel.

Il peut faire Patrick Bruel.

Alors regarde, regarde ma bite.

Alors, regarde.

C'est pas mal.

Vous avez pas des questions à nous poser, Laurent, plutôt ?

On peut faire d'autres imitations.

Moi, j'adore quand Chantal fait Patrick Sébastien.

C'est génial, c'est que de l'amour.

Il est fabuleux.

François Rola, vous imitez-vous.

Alors, totalement incapable.

Je suis imité.

Et vous, Pierre Benichu, vous imitez ?

Non.

Si, Zizou.

Alors, c'est un peu long, c'est...

C'est un chef-d'oeuvre.

Bonjour.

On s'en lasse pas.

Il a bossé, il a bossé.

Pierre, il s'est surtout très bien imité, le chat.

Mais à où ?

Et le chat ?

Wow, wow.

Oh, génial.

La vache.

La vache.

Je me demande si Edine apparaît...

Après un téléphone, je peux boire un coup d'eau ?

Je me demande si Edine apparaît en propos des questions.

Peut-être si on faisait un jeu de questions.

Ouais, je sais pas.

Je me disais ça.

Une première citation, vous avez raison.

Et la vache.

Ah, j'avais oublié la vache.

C'est peut-être ce que je fais de vous.

C'est ce qui fait un rappel.

Vincent Brisset, qui habite Chambrelle et Tour,

espère 300 euros,

qui a dit,

« L'autre jour, j'ai déjeuné avec un type

qui doit être un champion d'échec.

Il a mis 20 minutes pour me passer la salière. »

Américain, ça.

Non, je t'asse français.

C'est pas Sacha Guittri quand même.

Non, c'est pas Sacha Guittri.

C'est Tasséressin.

Oh, Tasséressin, ça date des années 90.

80, peut-être.

C'est un humoriste ?

Non, ça peut pas être un humoriste.

Tu penses que t'es triste ?

C'est un mec qui dit ça.

C'est évidemment qu'il essaye de faire rire.

Non, mais ça pourrait être un écrivain.

Et c'est quelqu'un qui...

Je suis en train de te foutre de ma gueule, Pierre.

De qui ?

De moi, je suis là.

Je suis à côté.

Je suis à gauche.

C'est marrant.

Tu me cherches.

Je me cherchais une gonzesse.

Ah ouais, c'est vrai ?

C'est comme si j'aurai une voix de gonzesse.

Ah bon ?

Il m'a regardé.

Il m'a regardé.

J'ai plus un poil de sac.

Non, mais là, on n'est pas un poil...

Vous n'avez pas du tout une voix de gonzesse, monsieur.

Oh là là, Jacqueline, dis donc.

Jacqueline Semoun.

Bon goût, Jacqueline Semoun.

Bon goût, c'est Jacqueline Semoun.

Moi, j'ai assisté.

J'ai assisté à un retour de pêche de Breton

qui revenait de pêcher la morue en Islande.

Mais quel rapport ?

Ils sont revenus et il y en a un qui...

Ils étaient restés 9 semaines.

Il y en a un qui disait qu'on lui avait fait...

Un des autres marins, il avait fait des propositions

pendant le voyage.

Et il disait, j'étais couché tout d'un coup.

J'ai senti une main sur moi.

Il m'a dit, alors Jacqueline.

C'est fini ?

Alors, donc je...

Je sais pas si c'était un humoriste.

Vite donc, monsieur Semoun.

Vous inspirez de drôles, dis-je.

Ah, parce qu'il m'a regardé avec un air que j'aime pas trop.

C'est tout le dire que vous avez avec Olivier de Carre-Sausson pour habiter.

C'est marrant, j'ai l'impression qu'on a zappé sur votre radio pendant 10 secondes.

Je ne sais pas, je suis pas sûr.

Tout ça vous vient se souvenir de Bretagne, Pierre.

Vous voulez nous dire quelque chose ?

Je crois que j'ai oublié quelque chose.

Vous pouvez avoir une phrase qui range.

Au départ, tu te foutais de ma gueule.

Peut-être placer ma citation.

Oui, allez-y.

Un jour, j'ai déjeuné avec un type qui devait être un champion d'échec.

Il a mis 20 minutes pour me passer la salière.

Raymond Devos.

Raymond Devos.

Non.

Est-ce que c'est Francis Blanche ?

Non plus.

Est-ce que c'est quelqu'un qui faisait de la scène ?

De la télé, oui.

Et de la scène ?

Non.

De la scène au début.

Jacques Martin ?

Jacques Martin, bonne réponse de Lissémoun.

Une autre citation.

Cette fois, ce sera pour Jason Lavoie, qui habite la bouteille.

Tiens, ça tombe bien.

Un ami.

Jason Lavoie, la bouteille.

Oui, c'est dans l'aine.

Il habite la bouteille dans l'aine.

Monsieur Jason Lavoie.

Jason Lavoie.

Jason Lavoie.

Il habite 6 hameaux de l'arbalète.

Non, ce n'est pas une blague.

Qui a dit, vous aurez remarqué que tout ce qui se passe dans le monde au cours d'une journée

rentre parfaitement dans un journal.

Je la connais cette phrase.

C'est bien.

C'est français.

Ce n'est pas français.

C'est anglais.

Alors, c'est américain.

Américain.

Vivant.

Vivant.

Jerry Seinfeld.

Jerry Seinfeld, bonne réponse de Florian Gazan.

Et là, je vous emmène tout simplement à la cour de Catherine de Médicis, épouse du roi

Henri II, maire de trois futurs rois de France, et particulièrement, je vous emmène au château

de Bois le jour de la mort de Catherine de Médicis.

Elle est décédée le 5 janvier 1589.

C'était un mardi.

Elle est alitée au château de Blois.

Comme Johnny.

Johnny alitée, oui.

Douze jours.

Il n'y a pas de raison que je ne m'y mette pas, moi aussi.

Douze jours avant la veille de Noël.

Henri III a fait assassiner le Duke de Guise.

Et il y a du sang qui coule un peu partout en France.

Oui, en général, c'est comme ça.

Il faut le dire.

Elle va mourir.

Elle va mourir la maman.

La maman.

Elle va mourir.

Le 5 janvier 1589.

Elle va mourir.

Et elle ne croit pas pourtant qu'elle va mourir Catherine de Médicis.

Il raconte bien.

Mais il raconte bien.

Et c'est pourquoi elle ne croit pas qu'elle va mourir.

Parce que, bien des années avant,

elle s'était rendue à Salon de Provence.

Et oui.

Pour consulter Nostradamus.

Il avait fait des films cochons.

C'était Nostradamus.

Ah non, non, non.

Et Catherine de Médicis, lui-demand,

évidemment, son avenir.

Et Nostradamus lui dit qu'elle mourrait près de Saint-Germain.

Alors évidemment, comme ce jour-là,

elle est au château de Blois.

Elle ne croit pas qu'elle va mourir.

Juste pour un problème géographique.

Et puis, elle meurt quand même.

Et malgré tout.

Malgré tout.

Saint-Germain.

Elle avait raison.

Et malgré tout, la prévision de Nostradamus,

c'était exact.

Pour quelle raison ?

Parce que la chambre dans laquelle elle est morte,

s'appelait la chambre Saint-Germain.

Non.

Parce qu'à son chevet,

il avait le duc de Saint-Germain.

Excellent.

Réponds.

Ah, bien joué.

Il faisait un froid de gueux.

Ah non.

Mais c'est assez incroyable.

Elle se dit, je ne vais pas mourir aujourd'hui.

Je suis à Blois.

Je ne suis pas Saint-Germain.

Et là, la porte de sa chambre sous.

La reine est soulevée sur un coude.

Elle voit entrer un jeune prêtre

qu'elle n'avait jamais vu jusqu'à maintenant.

Oh, tu sais que tu es beau, toi.

Elle lui dit, je ne vous connais pas.

Comment vous appelez-vous ?

Et le prêtre lui répond,

Jules de Saint-Germain.

Et je suis venu pour vous tuer.

En fait, elle est morte de crise cardiaque.

Et là, oui.

Je suis morte.

Bah oui.

Et elle tombe en arrière.

Et voilà.

Nostra d'Amuse a fait raison.

Non, c'est une belle histoire.

Ah ouais.

C'est très beau.

C'est très beau.

Quand c'est bien raconté, en plus, ça fait...

Ah non, mais avouez quand même.

C'est pas de pite.

C'est bien.

C'est pas mal.

Vous qui aimez les rois et les reines.

Ah, c'était belle histoire.

Ah ouais.

Non, mais si ça se voit,

elle devait pas mourir jour là, effectivement.

Mais comme il y a eu cette espèce de truc

de duc de Saint-Germain,

elle est morte d'une crise cardiaque

alors qu'elle aurait peut-être pu vie

plus longtemps.

Et mourir à Blois.

À Blois, il peut y avoir des chiens.

Ah ouais.

Ah oui.

Il y a des chiens à Blois.

Et la caravane passe.

Voilà.

Il est en forme.

Mais mon dieu, mais mon dieu.

Mon dieu.

Mon dieu.

Mon dieu.

Mon dieu.

Laissez-le-moi.

Encore un peu.

Encore un peu.

Ah bah tiens.

Mord de chaval.

Michel Thor a chanté ça sur scène

pendant l'achetandre.

Ah ouais.

Et alors ?

À Capella.

Et alors ?

Quand c'était encore trop près.

Elle n'a pas chanté qu'à Capella,

elle a chanté à Poitiers aussi.

Ça reprend la tournée.

Ça reprendra.

À Achetandre et Galle de Blois.

En revanche, la Croisière reprend en novembre 2019.

Vous partez en Croisière.

Oui, il est noir.

Enfin.

Ah.

Croisière 2019.

C'est à cause de vous les 500 gastros sur le bâtiment.

Novant.

Et si vous voulez vous renseigner,

vous qui nous écoutez,

parce que la Croisière va être canon

et la liste des artistes est top,

vous allez sur la page Facebook.

Vous prenez que les...

La page Facebook.

Et vu le public, c'est là que ça se complique.

Non, parce que les seigneurs

ont beaucoup Facebook, mon pote.

Beaucoup plus que vous ne le pensez,

donc là, ils n'ont pas n'importe quoi.

Ils ont moins Snapchat, tu vois.

Oui, ils ont moins Snapchat.

Dis couillons.

En tout cas, c'est à partir de novembre.

Et vous allez dans quel lieu ?

Bassin Méditerranéen.

En part de Gêne.

En part de Gêne.

En part de Gêne.

En part de Gêne.

Bassin Méditerranéen.

Mais fais froid en novembre.

Comment il va à Gêne ?

Oui, mais fais beau.

Chacun aura son petit bassin Méditerranéen

au quart-pulli.

Et il aura qui, alors, sur votre croisière ?

Il va y avoir un grand nombre d'artistes.

C'est eux qui restent, hein.

Nicole Etat, Dave...

Les blagues sont les vieux,

les maîtres ne vous baisseraient pas.

Attends, attends, attends, ne donne pas de nom.

C'est en novembre.

Ben oui.

Ne t'avance pas.

C'est ça.

Une question pour Monsieur Thierry Michaud,

qui habite Evre.

Quelle est la particularité

des mois qui commencent par un dimanche ?

Les mois qui commencent par un dimanche.

Ils ont un nom particulier.

Ils sont en 31 jours.

Un nom particulier, non.

Ils sont plus longs que les autres.

Les mois qui commencent par un dimanche,

combien ils fraisent ?

33, 34, 35 jours.

31.

Ils font toujours un mot.

Et ça change.

Moi, j'ai eu le cerveau, hein.

Je sais qu'il y a un truc comme ça,

parce que, comment c'est reposé,

c'est plus long.

Par rapport à la ligne ?

Non.

Ils commencent bien.

On veut dire qu'ils commencent bien.

Ils commencent bien.

Ils finissent aussi par un dimanche.

Allez-y, allez-y, allez-y.

Ah ben voilà.

Vous voyez, à chaque fois,

ils voudraient que je m'étale et que j'analyse.

Non, c'est dépensé comme ça.

Oui, mais c'est une défigurance.

Défigurance, merci.

La particularité des mois

qui commencent par un dimanche.

Réfléchissez.

Par rapport à la messe ?

Pas du tout.

Pas le deuxième jour, ça a dit.

Mais ça change les mois, suivant les années.

C'est jamais le même mois qui commence.

Tous les mois qui commencent par un dimanche

ont un point commun.

Point commun.

C'est des changements de saison.

Comment ça ?

Par exemple, au mois de mars,

ça commence par un dimanche.

Ça veut dire que le mois de mars, c'est le printemps.

Pouf !

Tous les mois de mars,

ça commence par un dimanche.

Oui, oui.

Je n'ai jamais dit ça.

Je vous demande

quelle est la particule.

Quand un mois commence par un dimanche,

on dit, tiens, je fais la grâce matinée.

Mais non.

Chouette, on va rien foutre ce mois-ci.

Mais non.

Ça nous sert de le travail ?

Pas du tout.

La feuille de paille ?

Non plus.

Les vacances ?

Non plus.

Je suis sûr qu'il y a au moins 3

ou 4 personnes dans le public

qui connaissent déjà la réponse.

Levez la main, ceux qui connaissent

la réponse, regardez.

La messe ?

1, 2, 3, 4, 5.

C'est religieux.

C'est religieux, non ?

Ce n'est pas une histoire

de stationnement de voiture,

de côté de l'eau.

Ça, c'est intéressant.

Ce n'est pas ça.

Ce n'est pas ça.

La luminosité ?

La luminosité.

La luminosité.

Je suis démasqué.

Les mois ne commencent jamais

par un dimanche.

Pardon ?

Les mois ne commencent jamais

par un dimanche.

Dis-qu'on te pose la question.

C'est un rapport.

Par les mois,

comment jamais,

par un dimanche ?

Ça a été interdit.

Ça a été interdit.

Ça a été interdit.

Ça veut dire que

le mois d'avance...

Il y a 5 dimanches.

Quand le mois

commence par un dimanche...

Il y a 5 dimanches.

Pas du tout.

Ça veut dire que le mois

d'avance termine

par un samedi.

Ça, c'est bien.

Ça, on l'a écouté.

Je ne peux pas vous dire autrement.

Ça concerne la santé.

Mais vous devriez justement

poursuivre votre vie.

C'est le mois de...

C'est le mois de 5 semaines.

Non, non, non.

Mais attendez.

Bernard m'habille

avec son air un peu con.

Vous voyez ?

Les mois qui commencent

par un dimanche,

les feuilles de paix

sont moins...

sont moins grosses.

Non, non.

Le deuxième jour,

c'est à l'habit.

Bernard vient de dire

un truc intéressant.

Et Chantal,

un truc encore plus intéressant.

Le deuxième jour,

c'est à l'habit.

Alors allez-y, continuez.

Le troisième jour,

c'est à mardi.

Continuez, continuez.

Le quatrième jour,

c'est à mardi.

Vous allez trouver...

Le dimanche d'après,

c'est à dimanche.

Oui.

Continuez, Chantal.

Attendez, attendez.

Mesdames et messieurs,

si elle continue,

elle va trouver la bonne réponse.

Le deuxième jour,

c'est à vendredi.

Le septième jour,

c'est à samedi.

Il vous reste 30 secondes.

Continuez.

Le troisième jour,

c'est à dimanche.

Continuez encore.

Le deuxième jour,

c'est à l'habit.

Le deuxième jour,

c'est à l'habit.

Le neuvième jour,

c'est à mardi.

Dixième à mardi.

Tu vois pas que tu as marché,

Chantal.

Elle aurait dû continuer.

Chaque mois qui commencent

par un dimanche,

contient un vendredi 13,

évidemment.

Ah !

Conté,

le treizième jour,

c'est à vendredi,

Chantal.

Le treizième jour.

Vous étiez à deux doigts

de la réponse.

Mais après,

quand ça n'avait pas trop,

je ne sais plus.

Contez vous-même, hein.

Ouais, ouais, ouais, ça y est,

maintenant c'est fait.

Ah ouais, des doigts.

Il y allait jusqu'à 13,

c'était pas compliqué.

Ah mais oui,

il faut quand même s'en souvenir

et du jour et du numéro.

Regardez,

elle vérifie l'autre encore,

en plus.

Mardi,

mercredi,

jeudi,

vendredi 13.

Ah ouais.

On en est quand même

au cinquième chèque,

RTL.

C'est normal,

la journée de la femme.

La première citation.

Je ne comprends rien,

ce qu'elle a dit.

J'ai trouvé Coluche,

la première citation.

Non, c'était Jean-Yann.

Il y a quand même eu quelques questions

dont on a trouvé la réponse,

Chantal.

Oui, quelques-unes.

Ben oui.

C'est vrai que Bernard,

là,

tu réponds

beaucoup moins bien

que d'habitude, hein.

Ah bah les questions

sont très dures.

Est-ce que tu fais des prêts faux?

Non, non, mais c'est pas ça.

Moi je réponds rarement

et quand je réponds,

tout le monde est étonné,

c'est ce que lui,

il répond quand même.

Oui Bernard,

qu'est-ce qu'il se passe?

Petite absence.

Non, c'est surtout

Gisbert avec Victor Hugo.

Qu'est-ce qu'il se passe?

Il ne la touche pas une.

Ah non,

j'ai eu ma réponse,

j'ai eu ma réponse.

Ah oui?

Ah oui?

Toi, tu fais partie

des gens qui sont là

parce qu'ils peuvent répondre.

Tu comprends?

Alors t'as intérêt à répondre.

Alors que nous,

bon,

quand on répond,

c'est tellement exceptionnel

que...

Oui, mais j'amorce bien la pompe

à chaque fois.

Ah oui, ça t'amorce bien.

C'est vrai.

C'est comme des bijoux fantaisies.

On est là pour colorer l'espace,

mettre des paillettes aux yeux des gens,

tu vois.

Et toi,

t'es le savoir,

t'es le sage.

Et puis en plus,

t'es bien plus beau

quand tu réponds,

quand tu sais les choses.

Quand tu sais pas,

t'es moyen.

Mais qu'est-ce qu'il y a là?

Et vous donnez son prénom,

il s'appelait Gabriel.

Il a vécu essentiellement

au XVIe siècle, Gabriel.

Professeur d'anatomie

de chirurgie

dans une université en Italie

et puis plus précisément à Padoo

sur les dernières années de sa vie,

il disséquait jusqu'à sept cadavres par an.

Ce qui était quand même

une faveur à l'époque

parce qu'il fallait demander

l'autorisation du disséqué.

L'autorisation du disséqué.

Oui.

La famille ou du roi, vous voyez.

Il a aussi enseigné la botanique

qui était une matière médicale

à l'époque.

Il est le deuxième titulaire

même d'une chair botanique

à l'université de Padoo.

De qui s'agit-il?

De Anoncio.

Non.

Je pense.

Et il a un nom de...

Il a donné son nom à un hôpitalon

à Paris.

Non, mais tout le monde

connaît son nom à ce Gabriel.

Velpo.

Velpo, non.

Il a un nom de jambon.

De jambon, non.

Il a un nom de médicament.

Un nom de patte.

Un nom de patte, non.

Gabriel, non.

Il a donné son nom

à une plante.

A une plante, non.

Un médicament?

Non, mais c'est vrai

qu'il a un grand anatomiste

et...

Qu'à ta place?

Qu'à ta place, maintenant.

Il a donné son nom

à une partie de notre corps.

Oui, madame.

Bravo.

Être mon clavicule.

Il y a Gabriel, hein?

Ah, il s'appelle Gabriel.

Periné.

Periné.

Periné.

Pestomaphoire.

Couille droite.

La petite...

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

12 Chrs.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Periné.

Je monte sur moi, ben oui, mais j'en ai pas, évidemment, mais je sais que ça c'est...

Tu aurais dû les apporter !

Il a... Il a une trompe, mais pas de falope !

Ça fait comme un crabe !

Il a une trompe de salope !

Ça fait comme un crabe !

Ça fait comme un crabe ! Non, c'est ça, Roselyne !

Non, pas du tout !

C'est mon sématisme !

Bah montrez-nous, enfin !

Ah bah non !

À quoi, Roselyne ?

Ça nous sera en face, TV !

T'as l'ancien ministre quand même !

Vous savez, on est déçu !

Ça m'est dit tout ça à l'intérieur !

Oui, surtout quand on voit...

Je vous remets la poêle de ne me verra pas, mais t'en penses !

Je suis pas sûr qu'on voit ça comme ça tout de suite, quoi !

Ah non, on voit pas ça tout de suite !

Alors regarde, Isabelle !

Non, réponds pas, Isabelle !

Réponds-pas, Isabelle !

C'est caché, parce qu'il faudrait qu'elle soit épilée !

Mais par contre, oui !

Et t'as vu tous les poêles de ma chatte, c'est pas bon !

Bah écoutez, je suis en train de vous donner le nom d'un botaniste !

J'ai pas compris !

Un célèbre anatomiste, un naturaliste, Gabriel Fallopp, un chien au Falloppé !

Italien du XVIe siècle, effectivement !

Même Falloppio !

Euh, oui !

Falloppio, oui !

Non mais c'est vrai, en plus !

En Italien, on l'appelle Gabrielle Falloppio, ou Fallopia,

en fonction des dictionnaires, mais en tout cas chez nous,

c'est plutôt Fallopp,

connu aussi sous le nom latin, de Fallopius,

voilà !

Mais pourquoi il a donné ce nom-là ?

Parce que c'est lui qui les a découvertes, les trompes de Fallopp, vous voyez-vous ?

Non, il n'a pas découvert les trompes de Fallopp, il a découvert des trompes !

Oui, voilà !

Et puis après, on a dit bah ça va être les trompes de Fallopp !

Comment vous avez découvert votre appareil génital féminin à vous, Isabelle ?

Je me suis dit que ça s'adressait à Gérard Juniot !

On découvre rien du tout, c'est tout écassé !

On se dit maintenant avec les coloscopies, on voit plein de choses, hein !

Je vous montre à mon film, là !

La coloscopie, c'est pas mal, ce qui fait mal, c'est pas la caméra, c'est le clap !

Et le projet !

C'est quand il y a ma figuration, hein !

Bravo de ce film, bravo !

On peut penser qu'on n'a pas d'autre choix que de payer notre carburant toujours plus cher,

ou on peut choisir d'acier à duster écogé, avec motorisation, bicarburation et sans GPL,

le carburant le moins cher du marché, d'acier à duster.

À partir de 9€ par jour et 4 ans d'entretien inclus,

est à découvrir pendant les jours essentiels du 12 au 16 octobre.

Offre à particulier valable pour duster essentiel écogé sans or options,

à l'LD 49 mois, au 50 000 km, si à Cordiac.

Conditions sur dacier.fr et prix-carburant.gouv.fr au 30 août 2023.

Pensez à covoiturer !

...

Ah, vous allez être chère Roselyne en concurrence en librairie avec Sébastien Toit,

et bon, son livre est sorti depuis plus longtemps, mais...

Voilà, c'est ça.

C'est le moment qui m'écrit, par contre.

Oh, le salaud !

Arrête, tout le monde sait que c'est Martin Obré qui a écrit ton livre !

Mais c'est pas grave, c'est drôle aussi !

Ah, je m'entends très bien avec Martin Obré !

Non seulement, il a écrit... Ah oui, d'ailleurs, c'est dans le livre !

Vous voyez, je vous prouve que je l'ai lu,

parce qu'effectivement, je vois très bien que vous entendez bien avec Mme Obré,

et ça m'a surpris d'ailleurs en lisant ça.

Non, parce qu'on aime la culture, on aime la bonne bouffe,

et on réchigne pas à casser du sucre sur le dos des copains, donc...

C'est pas rare l'archer, t'as plutôt !

Ah ben, j'ai rare l'archer, il est aussi dans le livre,

et elle le dit, Roselyne, qu'il faut mieux l'avoir en photo qu'à table.

Ah oui, non, non, mais ça...

Non, mais moi, je sortais de Sarkozy,

il y avait un bol de fromage blanc avec des fraises,

et les gars qui étaient au bout de la table à l'Elysée,

ils avaient pas le temps d'avoir le dessert,

t'en dis qu'au moins, quand on va chez Gérard l'archer,

alors il y a fromage,

charlotte au chocolat...

Mais ça, c'est au petit déjeuner, ça, c'est au petit déjeuner !

Voilà !

Et puis, alors, ils sortent des bonnes bouteilles,

parce qu'au Sénat, il y a plutôt des bons bains.

Et la pécresse, elle est comment Valérie ?

Ah, moi, j'aime bien Valérie Pécresse.

Moi, j'aime bien la chanson,

Hey, ça va, Jean-Marie, je te dérange pas, c'est bon ?

Ah, vas-y, vas-y, c'est quoi ?

À cause de celle-là, là, c'est quand tu dis à ce moment-là, là...

C'est quoi, au niveau de la piste ?

À cause de celle-là, à cause de celle-là !

J'ai marché toutes les missions, oui ?

Non, il attend comme douille-bon une première histoire.

Oh, là, là, là...

Allez, alors, on y va.

C'est une dame qui est seule.

La puce de Marie, elle s'est libataire,

elle est en manque de sexe,

de petits câlins et tout,

d'un espèce de gros supermarché

où on vend tous les accessoires possibles

et imaginables, dont les plus sophistiqués,

et elle s'arrête au rayon

Godmicham,

il y a un vendeur qui arrive...

Mais c'est pas celle que j'ai racontée il y a quinze jours ?

On va voir, on va voir.

Il y a plusieurs sur ce sujet.

Ça, c'était un témoignage, Roselyne.

Non mais moi, c'est une histoire,

ça m'est pas arrivé en vrai,

comme toi.

Alors, le vendeur arrive et qu'est-ce que je peux faire pour vous ?

Et dit, voyons, on a tous les modèles,

y compris le dernier qu'on vient de recevoir,

qui est une merveille de la technologie,

il est malheureusement à 3200 euros,

un petit peu épaté,

mais elle dit 3200,

mais qu'est-ce qu'il a d'extraordinaire ?

Elle dit c'est un Godmichet

qui obéit à la voix, c'est ça, non ?

Non, pas du tout.

Ah, je soupe, je soupe.

Il obéit à la voix.

Ça va, il vous le prenez avec vous,

vous laissez votre sac ouvert,

parce qu'il peut sortir d'un moment à l'autre,

à la voix,

vous lui demandez,

par exemple, quel parti

vous voulez vous faire caresser, entre parenthèses,

et hop,

s'il s'appelle Le Zizi Vaudou,

c'est la marque de ce...

Le Zizi Vaudou.

Et voilà, l'histoire est finie, merci.

Le Zizi Vaudou, Ariel,

t'es un mauvais fond, tu finiras tout seul.

Je sens que t'as racheté, je sens que t'as racheté.

Et donc, bon,

elle l'achète et craque,

elle l'achète, ça a l'air d'être une merveille,

laisse son sac ouvert dans la bagnole,

elle roule, tu vois, et puis elle est quand même tentée,

j'ai un coup d'œil de temps en temps,

elle a la voix,

si je lui demandais et elle se lance,

elle lui a dit Zizi Vaudou,

mon clitoris,

Zizi Vaudou,

Zizi Vaudou, sort du sac tout seul,

il glisse

sous sa jupe,

il fouille, il écarte le slip,

et il se met à vibrer

sur le clito, mais vachement bien,

elle se met à râler,

elle râle, tu vois,

elle en revient pas, elle a un orgasme,

tu vois, et comme elle est en train

de conduire, elle fait tout d'un coup

des zig-zag.

Malheureusement, il y a un contrôle routier

qui est là,

le mec, il arrête, elle dit,

madame, s'il vous plaît, mettez-vous sur le côté,

vite, il dit que si vous faites,

vous êtes complètement folle,

enfin, vous zigzagez, comme ça, sur la route,

et elle lui explique, elle se dit tant pis,

je vais dire la vérité,

elle dit voilà, j'ai acheté un

vibromessor qui s'appelle Zizi Vaudou,

et il obéit

à la voix, et là,

comme une bétasse,

je pensais pas que ça allait marcher assez fort,

j'y ai dit, Zizi Vaudou,

mon clitoris,

il s'est jeté sûrement en clitoris,

il m'a déclenché un orgasme, c'est pour ça

que j'ai zigzagué, toi, et le flé qui dit

ouais, ouais, prenez-moi pour un con,

Zizi Vaudou, mon cul !

Et voilà.

Non mais elle est bien.

Allez, allez, frame-faire,

en une blague, allez !

Une question pour

Deborah Drake

à Bilt-Paris,

11e,

qu'est-ce qu'on appelle

aussi le syndrome de

Laurent ?

De Laurent ?

L-O-R-E-N-Z,

c'est qu'on rade Laurent.

Oui, le mec des ois.

Alors ?

Non, quelque chose qu'il y a à voir

avec l'instant.

Les voyageurs, les oiseaux,

voyageurs migrateurs ?

Non, c'est qu'il y aura un film bientôt,

un film qui sortira, je crois,

dans un mois avec Jean-Paul Rouves

et Mélanie Douté, qui s'appelle

Donne-moi des ailes, un film de Nicolas

Vagné.

Et dans l'abandonnance,

on voit effectivement

ce qu'est le syndrome de Laurence.

C'est de vouloir-tu retourner à son nid ?

Non, c'est de se jeter par la fenêtre.

C'est en tête sur le vol ?

C'est d'avoir le sang de l'entation ?

Non.

Mais il vole avec les ois dans le film, Laurent ?

Oui, il vole avec les ois grâce à une sorte de delta-plan

à moteur.

Ah, c'est de se prendre pour un oiseau, le syndrome de Laurence ?

Non, c'est plutôt les animaux qui ont le syndrome

de Laurence.

Ah, c'est quand ils font pareil que l'homme,

comme Laurent Outton, par exemple.

Non, c'est Laurent Rue qui est lui, c'est un vrai d'abord.

En disant.

J'ai vu un...

J'ai vu un...

C'est ça parce que vous allez avoir le cul rouge.

Vous préférez un...

Le babouin.

J'ai vu un vol d'Outton l'autre jour.

C'est lourd.

Attendez, est-ce que c'est un syndrome

qui se voit quand on regarde les voies ?

C'est un réflexe assez étonnant.

C'est quelque chose d'amusant.

Et te placer en V comme ça ?

C'est quand on en retire la queue, elles écartent les ailes ?

Non.

Quand on coupe la tête, ils continuent à marcher ?

Non.

Oui, oui. Est-ce que par exemple...

T'as dit oui à toi ?

Non, mais je les adore.

Mais peut-être quand ils ont perdu le sens magnétique

de leur bien-être ?

Ah, c'est le fait de toujours voler en V ?

Non. Ils s'endorment quand on leur met la tête sous l'aile.

Non. Est-ce que ça concerne toutes les espèces animales ?

La plupart, oui.

Et c'est plutôt masculin ?

C'est plutôt les oiseaux.

Est-ce que c'est de l'ordre du réflexe ?

Oui, c'est comme un réflexe.

Et bien voilà, et bien dès qu'ils soient en l'air, ils ont les ailes qui bougent.

Et c'est pour ça que les éléphants,

ils ont pas les mêmes réflexes, ils meurent.

Ils meurent ?

À part de mots.

À part, ils étaient seuls.

Est-ce que quand on regarde l'oiseau,

est-ce que quand on regarde l'oiseau,

on peut le voir où il faut vraiment l'observer

pendant, par exemple, un mois ?

Ah non, ça se voit tout de suite, mais ça arrive.

Ah, mais voilà.

Oui, il n'y a aucun oiseau qui voit leur culombe.

Elle est folle.

Oui, pour faire des créneaux.

Ça ne l'arrive qu'une fois, de toute façon.

Alors c'est suivre, suivre celui,

ce qui croit être leur papa, leur...

Voilà.

Excellente réponse d'Ariel Domballe.

Voilà.

C'est un docteur qui suit la personne, la première personne qu'on voit.

Voilà, voilà.

Tout animal dès sa naissance,

se dirige vers la première chose mobile

qu'il perçoit,

et l'adopte comme étant sa mère.

Ah, comme les dinosaures.

Quoi ?

Les dinosaures, c'est psychique, par contre.

Ah, oui.

Ah, bah oui. Dès qu'il y a le petit dinosaure,

il voit le mec qui l'a créé, c'est son papa.

Quand Stevie est sorti, tout le monde a joué un 2-3 soleils.

Personne ne pouvait bouger.

C'est pour ça que quand je jouais au zoo, j'ai vite les hippopotames.

T'as un coup de pernarose au zoo,

et tous les hippopotames qui font

popo, popo, popo.

Ha, ha, ha, ha.

Ha, ha, ha.

Mais c'est vrai, ce syndrome de Domballe.

Oui, oui, oui.

Mais c'est vrai, parce que M. Conrad Lawrence,

eh bien, quand il a fait

cette expérience avec des zois,

justement, il ne les a pas couvés.

Mais il a attendu le moment

où on a fait les zois sortes

du petit oeuf,

pour être la première personne.

Et les zois ont toujours suivi Lawrence,

au lieu de suivre leur vraiment.

Nous, on fait des expériences avec deux dindes,

mais on n'a toujours rien trouvé.

Ha, ha, ha.

Et elles nous suivent.

Les humains, c'est important aussi.

Regardez, on donne bien le bébé à sa mère tout de suite

pour qu'elle l'aide contre eux.

C'est parce que c'est là d'où il vient.

On lui donne tout de suite parce qu'elle est là.

Ah, sinon, partirez tous avec Yéjinéko, ça serait con.

La première personne que vous avez vu

quand vous êtes né, vous, Stevie,

à part Bourriquet.

Mais c'est de là que ça vient, on mette.

La première personne qui l'a vu, c'est Bourriquet.

Je ne vous rappelle pas du Pardi.

En tout cas, retenez

que Lawrence

est un mammifère

vie qui pond des ovipars.

C'est le seul. C'est le seul.

Mais pourquoi vous me dites ça ?

Parce que c'est assez extraordinaire quand même.

Et que c'est assez facile à placer en soirée.

Ha, ha, ha, ha.

Applaudissements

Pour Mme Gouttry,

qui habite colombe,

Marie-Charlotte Barron,

qui était fille de charcutier,

a épousé André

dans les années 40.

Le fils de la chaussure.

Ha, ha, ha.

Ha, ha, ha.

Elle était dans un petit village.

Je peux même vous dire où exactement,

en Aquitaine, a casté en dortale

la fille du charcutier.

Donc Marie-Charlotte Barron est là.

Passe un artiste qui s'appelle André.

Et ils vont devenir un couple célèbre.

Lequel ?

Mire et Miroska ?

Mire et Miroska,

excellente réponse.

On avait plein de conneries à dire Florian.

On peut le dire.

Expliquer à Stevie

qui était Mire et Miroska.

Il faisait un numéro.

Il faisait pas Stevie qui s'était Mire et Miroska.

À se connait Mire, à la télé.

Oui, tu connais les civres.

Monsieur propre.

Moi non plus, je sais pas.

C'était un numéro où elle faisait,

il faisait deviner, un truc de mentaliste un peu.

Transmission de pensée.

C'est les premiers mentalistes.

Ils ont été les premiers.

D'ailleurs, il y a eu le célèbre sketch

de Pierre Dac et Francis Blanche.

Le Czar, Rabine Dranat-Duval

qui se moquait à l'époque

de Mire et Miroska.

C'est elle qui avait

soi-disant des dons divinatoires.

Elle avait un masque sur les yeux.

Et lui qui s'appelait André Mire.

Elle s'appelait Marie-Charlotte Barron

de son nom de jeune fille.

Et elle s'est fait appeler ensuite

puisque lui s'appelait Mire.

Mire et Miroska, c'était mystérieux.

Je vois leur affiche, c'est incroyable.

Il est au-dessus de sa tête.

Il met les mains au-dessus de sa tête

comme s'il était magnétiseur.

Vous voyez, pour qu'elle devine, par exemple,

le nom de la dame qui est au troisième rang

ou le numéro de sécurité.

C'est formidable.

La personne qui était au quatrième.

Evidemment, il y avait des codes.

C'était ça l'astuce.

Des codes compliqués.

Des codes compliqués.

Depuis les mentalistes se sont divisés

en deux familles,

celles qui rebondient

que les pouvoirs surnaturels

et celles qui disent non, il y a un truc.

Mon ami Gouen a dû, un mentaliste exceptionnel

et il dit, il y a des trucs, c'est des trucs.

Vous savez d'ailleurs comment terminaient

Mire et Miroska.

Ils terminaient leurs spectacles par une phrase

à chaque spectacle, vous savez, quoi ?

Au revoir.

Non, non, ça rejoint

ce que vient de dire le professeur

Roland Mir et Miroska

terminaient toujours leurs spectacles

par cette phrase.

S'il n'y a pas de truc, c'est formidable.

Mais s'il y en a un, reconnaissez

que c'est encore plus formidable.

On pourrait faire Mire et Miroska

là, ici, hein, Stevie.

Par exemple, pouvez-vous me dire, cher Stevie ?

Moi, j'ai des pensées un peu cheloues aussi.

Et puis moi, j'ai un truc

qui est incroyable, c'est que dès que

tu mets ton point ou n'importe quoi,

un toit ou n'importe quoi.

Mais non, mais...

Mire et Miroska

Mais en fait,

c'est un truc qui n'importe quoi.

C'est très agréable.

Mais non, mais j'ai une zone

hyper sensible et très réceptive

qui te trouve juste entre les...

qui se trouve...

qui se trouve juste entre les deux yeux.

Au-dessus d'une et vous voyez là le point

où les autres renseignent.

Quand j'étais jeune pour m'endormir,

j'ai metté le museau de bourriquet ici

et ça m'a envoyé des ondes

et ça, je m'endormais.

Et aujourd'hui, je l'ai fait toujours.

Mais non, mais ici, c'est pas vous.

Par exemple, si je te touche là, tu sens rien ?

Non.

Donc tu sais comment s'appelle cette zone

que tu montres avec ton doigt

que les auditeurs ne voient pas ?

Non, c'est quoi ?

C'est la glabelle.

La glabelle ?

Eh ben, j'ai la glabelle hyper sensible.

C'est pour ça qu'on t'aime, Stevie, c'est pour ça qu'on t'aime.

La glabelle et la bête.

C'est sûr, j'ai apprécié autant qu'on mette le doigt là qu'ailleurs.

Je vois pas trop le rapport avec...

Est-ce que je peux avoir le rapport avec Mire et Mirozka ?

Ici, mes mains devant, je pense que cette zone-là,

il y a des gens qui sont réceptifs et d'autres pas.

Ça se trouve, eux étaient réceptifs.

Elle gêle, elle est réceptive à rien alors que moi, je suis un très bon récepteur.

Mais non, mais Mire et Mirozka,

c'était pas du tout des vrais magnétisors

ou des vrais...

Ils étaient réceptifs à rien, c'est juste qu'il y avait un code.

Si il disait trois fois, je voulais dire, n'importe quoi,

mais le mot « jeu », ça voulait dire que c'était la troisième lettre de l'alphabet,

et puis il y a un site suite.

Et ainsi, il trouvait la ville de Naissance et la personne,

parce que lui, évidemment, avait enquêté...

C'est comme ça que ça se passe, le mentalisme, monsieur Goulain.

Et les bouquins, avec une seule phrase dans tout le bouquin,

donc ils tombent juste à chaque fois.

Ah oui, vous, c'était vraiment des gros escrores, là.

J'avais passé, je me rappelle, une après-midi,

quand on faisait une émission avec Gerard Majax,

et il nous présentait cinq ans de tours, et c'était horrible de déco...

Et donner les trucs, genre, c'était un trombone,

un bout de ficelle, un élastique...

C'était nul, tu sais, mais c'est pas possible pour ça,

en fumer par des trucs pareils.

Est-ce que Gerard à Jacques se travaillait avec Mir ?

Il a fait disparaître, Arielle !

Et Homo, au Stévi, la glabelle.

Non, mais il faut y croire, la magie,

il y a quelqu'un qui a fait disparaître Gael Chacal.

J'espère qu'on va y approuver.

Je vais vous donner le titre d'une nouvelle,

une nouvelle qui se déroule en Alaska,

qui s'appelle Le Focke Blanc.

Dans quel livre,

on n'y voyait aucune allusion, monsieur Stévi,

dans quel célèbre ouvrage,

publié pour la première fois en 1894,

trouve-t-on cette nouvelle,

Le Focke Blanc, qui se déroule en Alaska.

Jack London ?

Est-ce que c'est un américain ?

Ce n'est pas un américain qui a écrit ce recueil de nouvelles,

non.

C'est un français ?

Ce n'est pas un français non plus,

ce n'est pas du julverne.

Alors c'est qui ?

Un anglais, alors plutôt le...

Alors effectivement, c'est plutôt un britannique,

comme vous dites.

C'est plutôt Stevenson ?

Du Royaume-Uni, en tout cas.

Stevenson, non.

Et Garpeau, non.

Ah, Bibi Focke ?

Ah, Bibi Focke.

Il se perdait s'alimer extraordinaire.

Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi, Bibi

Mais t'as bien vu pour lui Comme Pweet c'est mon sonné

Putain il n'aime pas mais non Un lotisie croyant

rit أن Christups un maitre

On l'a réussi le dernier

Mais comment il fait Georgeuse et moi un pour vous supporter tous les jours

Je sais pas du tout during Live Schule en module

Ce n'est pas de jeûte,oh mange on a volta

C'est que pour vous

Il vous les réserve

– Il vous les réserve. – Il vous les réserve.

– Bon alors donc quel est ce célèbre roman, un très célèbre, hein ?

– Il est mystérieux. – Croblant ?

– Croblant, non. – C'est un russe qui a écrit ?

– Ah, ce n'est pas un russe, non ? – Un anglais, un bris à lèche.

– Est-ce que c'est d'un voyageur ?

– En tout cas, c'est quelqu'un qui a effectivement voyagé,

puisqu'il a passé son enfance en dehors du Royaume-Uni.

– Est-ce que c'est Contrared ? – C'est Rudiard Kipling.

– Ah, c'est... pardon. – Rudiard Kipling ?

– C'est Rudiard Kipling. – Ah, déjà.

– Et donc quel célèbre livre de Rudiard Kipling ?

– Le livre de la jungle. – Le livre de la jungle.

– Dans le livre de la jungle. – Ah !

– Bonne réponse collective.

Aidez par monsieur Berléant.

– Non, je n'ai rien d'ibre.

– C'était le piège, effectivement. – Mais oui !

– Parce que dans le livre de la jungle, tout ne se passe pas...

– C'est pas dans la jungle. – Dans la jungle, en Inde, non.

Dans le livre de la jungle, en tout cas, le premier livre,

parce qu'on a eu deux livres de la jungle, les chapitres,

les nouvelles s'appellent les frères de Mougli, ça, c'est le premier.

La chasse de K, c'est le deuxième.

Au tigre, au tigre, c'est le troisième.

Et après, on part en Alaska.

– Oui, mais Balou, par exemple, donc Balou aussi, on...

– Balou, il est ici, Balou. – Je l'ai dit.

– Non, c'est Balour, ici.

– Pas de jeu de mot, on a dit, c'est fini. – Ça dépend qui.

– Si, d'abord, la première dame, elle a le droit.

Ensuite, c'est beaucoup plus drôle que les autres.

Et puis, c'est vrai que cette question littérale nous a permis d'apprendre

que le livre de la jungle ne se passe pas toujours dans la jungle.

– Il faut se méfier les titres. – Parfois, en Alaska,

effectivement, c'était le piège de cette question,

puisque la troisième nouvelle, c'est un recueil de nouvelles,

en fait, le livre de la jungle.

La quatrième nouvelle, pardon, s'appelle Le Focke Blanc,

et se déroule en Alaska.

Bravo, M. Berlian, d'avoir retrouvé le nom de Rudiart Kipling.

Bravo. Je sais pas pourquoi je vous dis bravo, d'ailleurs, vous,

mais dites-moi mon prénom et votre nom, mon nom.

– Pardon ? – Vous dites, pourquoi vous dites bravo,

mais sans aller jusqu'au bout ?

– Parce que je vous regarde, et là, ce coup, j'ai un mouvement de recul.

Un autre célèbre livre a identifié maintenant pour Francis Pandolfo,

qui habite vertous, en Loire Atlantique.

Tout le monde connaît vertous. – C'est vertous, c'est vertous.

– À sa côté de la Roche-sur-Ion.

– Loire Atlantique, on s'en fout, vous savez.

Ce qui compte, c'est la question qui vient derrière,

puisque je vais vous parler d'un monsieur qui s'appelle Humbert Humbert.

– Humbert. – Et on connaît moins Humbert,

Humbert que l'autre personnel.

– Si, moi, je sais qui c'est, c'est Nabokov.

– Alors, non. – Humbert Humbert.

– Oui, mais où va-t-il ? – Dans Lolita.

– Dans Lolita ? Bonne réponse derrière les donbals.

Effectivement, Vladimir Nabokov a écrit « Lolita »,

on connaît tous, évidemment, l'héroïne, Lolita,

mais on ne connaît pas le nom du personnage principal masculin,

enfin, on ne le connaît pas.

Si, la preuve, vous, vous le connaissez, chère Ariel,

mais peut-être parce que vous avez joué Lolita.

– Non, mais c'est Ariel. – Vous allez la jouer bientôt.

– Voilà, dans un futur proche.

– Non, non. – Écoutez, franchement.

– De loin, ça passe, hein.

C'est vrai, les belles, les magnifiques.

– Je suis d'accord avec Steve, vous n'avez pas d'âge, Ariel.

– Non, mais merci, merci. – Mais c'est une princesse de Disney, hein.

– Et puis, si on prend un monsieur très, très, très vieux…

– Ah ben voilà.

Ce qu'il compte, c'est la… – On prend Berléan, par exemple.

– Ah non, moi, je suis candidat, je suis candidat.

Je suis très vieux, franchement. – Et toi ?

– On n'a pas dit qu'on jouait Blanche-Neige et Les Sept Nains.

On a dit qu'on jouait Lolita.

Lolita, c'est effectivement la relation entre un monsieur plus âgé

et une jeune fille, vous pourriez jouer la jeune fille.

– Non, non, tout de même pas.

– Mais maintenant, malheureusement, dans ce politically correctness

dans lequel on est et dans le walk,

alors il y a des passages de Lolita qui sont censurés.

– En tout cas, Ariel Domba, la Lule Lolita, de Vladimir Nabokov,

un livre qui effectivement serait peut-être internu aujourd'hui

et le personnage principal, celui qui fait une longue confession,

effectivement, qui se présente comme un infolept,

et qui décrit la relation qu'il a avec la jeune de l'Aurès,

qui s'appelle bien Humbert Humbert, ou Humbert Humbert.

Bravo, Ariel Domba, la littérature.

– On peut penser qu'un influenceur va nous aider à choisir notre voiture,

où on peut décider de faire confiance

aux 800 000 conducteurs de Dacia Sandero.

Dacia Sandero, la voiture la plus vendue au particulier depuis 7 ans en France,

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Au quotidien, prenez les transports en commun.

– Votre podcast va démarrer dans un instant.

Mais juste avant, je voulais vous dire que mon nouvel album,

oh pardon, je me suis pas présenté, c'est Philippe Geluc,

et donc, mon 24ème album vient de sortir,

le chat et les 40 bougies, 64 pages de gags hilarants.

Vous voulez un exemple ?

Et en même temps, c'est un conseil.

Quoi que vous fassiez, faisez-le bien.

Bon, et les autres sont encore plus drôles,

c'est-à-dire, le chat et les 40 bougies aux éditions Casterman.

– La question concerne quelque chose qui a été construit,

et on a vu la photo 7 semaines dans toute la presse,

avec du poirier, du pommier, du noyé, du morisier et de l'orme.

De quoi s'agit-il ?

– C'est donc en arbre ?

– Ah oui, ça vous l'avez dit !

– Quelle intelligence, ce temps d'avance !

– Quelle déduction !

– Je veux dire, c'est pas avec les fruits, c'est pas une nature morte qui émerde.

– On a vu 7 semaines dans la presse,

quelque chose qui fut construit en poirier, en pommier, en noyé,

en morisier et en orme.

De quoi s'agit-il ?

– C'est une œuvre.

– Et si vous avez de la mémoire, vous devriez répondre,

car on avait eu à l'époque au téléphone

le monsieur qui avait décidé de construire...

– Une de chevaux !

– Une de chevaux !

Bonne réponse de Jean-François Jansen !

– Et là, oui, souvenez-vous, on avait eu une monsieur...

– Oui, c'est vrai.

– On l'avait eu au téléphone.

– Avant qu'il la construise, la de chevaux.

Et là, maintenant, ça y est, elle est construite,

on l'a vu en photo cette semaine,

dans le centre-ville de Loche, Michel Robillard,

et Beniste, à la retraite qu'on avait eu au téléphone.

Il y a quelques mois, il y est arrivé, monsieur Robillard.

– Il a réussi, c'est génial !

– Faut pas fumer à bord, mais c'est génial !

– Une de chevaux en bois, c'est chouette, monsieur Benish,

je sais où ça irait...

– Déjà, une de chevaux, c'est chiant, mais en bois, en plus...

– Ça irait avec votre bite !

– Tu te parles.

– Mais d'ailleurs, il a fourni le vieil de vitesse !

Vous vous dites toujours, j'ai une bite en bois, j'ai une bite en bois !

– Qu'est-ce que ça veut dire que c'est Français moyen, là ?

– Ça veut pas dire que vous êtes malmontés,

une bite en bois, ça peut être cool !

– Moi, quand on appelle bite d'acier, tu me dis « bite en bois ».

Regardez la photo de la de chevaux, alors, comme elle est magnifique.

Belle photo de deux chevaux en bois.

– Le volant, d'ailleurs, c'est moi qui ai dit « bite en bois », monsieur Benisho.

– Faut pas que vous l'étiez. – Je trouve ça bien trouvé !

– C'est vous qui dites toujours ça de lui !

– Il a dit « bite d'acier ».

– C'est un compliment, quand même !

– Regardez la de chevaux quand elle est jolie.

– Génial, bite en bois.

– Les roues et les farces sont d'origine, mais les enjoliveurs sont en bois,

tout comme les sièges qui sont en bois,

les coussins, évidemment, eux, sont confortables.

On a mis des vrais coussins sur les sièges en bois.

Le chevaux, tu fous une termite d'eau dedans, c'est fini !

– Voilà, on est Français, on veut toujours tout gâcher.

Le mec a bossé de ses mains.

– Vos bateaux, ils étaient bien en bois, monsieur.

– Non, ils étaient pas en bois.

– Ils étaient pas en bois, vos bateaux !

– Mais ça fait 70 ans qu'on fait plus de bateaux en bois.

– Et s'ils étaient comme en vos bateaux, alors ?

– C'est de la fibre.

– En carbone, en fibre, en aluminium, en tout ce que tu peux prendre.

– Oui, des matériaux légers.

– C'est héro-dynamique.

– Quelqu'un a une bite en carbone ?

– Pistorius.

– Du coup, il n'y a pas d'aluminium-cigar dans la bagnole.

– Ah bah non, non !

– Non, elle est limitée, évidemment, c'est de chou.

Mais elle roule, c'est ça qui compte, elle roule.

Et puis c'est joline de chou.

J'en ai vu une autre jour sur le périphérique.

J'étais surpris d'en revoir une.

– C'est très beau.

– Franchement, ça a de la gueule.

– Bon, non, pas non.

– Sur le périphérique, vous avez une de chou ?

– Oui, il y avait une de chou.

– Il y a encore des gens qui ont...

– Elle empane depuis 30 ans.

– Non, non, il y a encore des gens...

– Moi, j'en ai vu de nos débuts.

– Mais moi aussi, c'est ma première voiture, la de chou.

– Ah, c'est vrai.

– C'est pour ça que j'ai travaillé.

Je me suis dit, plus jamais ça.

– Ah non, c'est joli, les deux chou.

– Moi, j'avais une de chou avec des rédés.

Des sièges baqués à l'arrière, elle avait été customisée.

Je l'avais acheté comme ça.

À l'époque, 4000 francs, on était encore en franc.

C'était ma première voiture.

Je n'ai pas passé le permis que j'avais eu.

– Ah, c'était...

– Au début, je voulais...

– Les sièges étaient bonnes.

– Et vous l'avez réussi du premier coup,

mais vous avez insisté pour le repasser.

– Non, j'ai mis trois fois pour l'avoir.

– Il l'a passé en décapotable.

– Je comprends bien que...

– Elle avait des sièges en baquets

et des roues blanches sur-élevées, vous voyez.

– Elle était de quelle couleur ?

– Rouge.

– Elle était rouge aussi.

– Ah, deux chevaux, rouge.

– Avec les roues de toilette.

– Il y a des trucs, il y a des...

Un, deux, tu connais dans l'histoire.

Des mecs, ils vont avoir le docteur.

Il dit, docteur, j'aime mal partout.

J'aime mal surtout nos épaules et les nez.

Et les genoux, tout ça, le docteur dit,

écoutez, je vais vous examiner.

Il examine le porte.

Il dit, d'abord, il écoute le cas,

il dit trente-trois, il dit trente-trois, trente-trois,

trente-trois, trente-trois, trente-trois.

Et après ça, il écoute les poumons.

Il dit trente-trois, trente-trois, trente-trois,

trente-trois, trente-trois.

Je vais vous faire un touché rectal.

Un mec, il dit, bah oui, si vous voulez.

Bon, il fait un touché rectal.

Il dit trente-trois, le mec, il fait un, deux...

Mais quel rapport avec Madre Chouan ?

Qu'est-ce que l'épouse de Freud faisait tous les matins

pour lui faire plaisir ?

Elle lui taillait une pipe.

Non, non, non.

Est-ce que c'est sexuel ?

Ce n'est pas sexuel.

Elle faisait le café.

Non plus.

Alors ça, c'est vrai qu'elle faisait le café

parce qu'elle était très attentionnée

pour que Freud ait tout le temps qu'il lui convenait.

Elle s'appelait Martha, bravo, bravo chère.

Elle est USTQ sur moi.

Non, chère Jean-Jacques Perrony.

Et c'est vrai qu'elle tenait bien à la maison.

Elle préparait ses vêtements.

Elle lui passait un petit coup de plumeau.

Elle choisissait ses mouchoirs.

Est-ce qu'elle lui préparait quelque chose

de particulier à manger ?

Ah oui, c'est le matin.

Non, non, à manger, non.

Elle lui préparait son bain à température.

Quasi, mais mieux que ça encore.

Elle le prenait pour lui, le bain.

Non.

Elle lui brossait les dents.

Non, mais on n'est pas loin.

Elle le lavait.

Elle lui brossait la barbe.

Elle lui brossait les cheveux.

Non, on était tout près.

On est dans les dents ?

Oui.

Elle sortait du verre ?

Non.

Elle lui curait les dents.

Elle lui passait le fil d'enterre.

Non.

Elle brossait les dents avec un...

Avec comment vous appelez ça ?

Une brosse à ongle ?

Oui.

Vous avez des morts curieuses ?

Non.

Oui, mais c'est facile pour elle.

Elle peut les enlever.

Non, évidemment.

Elle lui passait un peu de temps.

Après le petit déjeuner.

Elle ne lui faisait rien à lui directement.

Elle préparait ça avant qu'il entre.

Elle lui mettait le dentifrice sur la brosse à dents.

Elle lui mettait le dentifrice sur la brosse à dents.

Bonne réponse, Christophe Borgrand.

Mais attendez.

Mais c'est pas ce qui fait pas le plus de temps.

Attendez.

C'est possible.

À Buckingham, il y a un gars qui est payé

pour faire ça pour la reine.

Oui, mais c'est Buckingham.

Alors que Mme Frode quand même,

c'est quand même étonnant qu'une épouse

mette jusqu'à mettre du dentifrice

sur la brosse à dents.

Non.

Mme Maby fait ça.

Oui, sinon c'est deux coups dans la tronche.

Ce qui était étonnant, c'est que tu te lave les dents.

Vous avez fait ça pour vos maris, vous Claude ?

Mettre la pâte dentifrice sur la brosse à dents ?

Non, mais tu es malade.

Pourquoi je suis malade ?

Moi je le sais, parce que j'en ai.

Il m'arrive même d'en mettre trop.

Quand je dois sortir, comme par exemple,

trop de dents ?

Oui, je prends toutes les dents qui traînent.

Elle a quatre rangées, il y aura un brochet.

Je les mets.

C'est ça qu'elle doit faire à Chida Nathie.

Je les mets.

Mais attends, en principe, il n'y a pas...

Et puis, par exemple...

Pourquoi les plus de dents qui vous en font ?

Ce n'est pas pourquoi pas.

Ce soir maintenant, il n'est pas très agréablement tard,

mais j'ai l'impression que j'ai trop de dents.

Il y a un dentier pour le bas et un dentier pour l'autre.

Et puis, pour le côté, il y en a plusieurs.

Il y a plusieurs morceaux, votre dentier.

Mais naturellement, ça s'appelle des bridges.

Mais ça, ça s'enlève pas, les bridges.

Elle a un jeu-carte, en fait.

Mais c'est très compliqué.

C'est bordel là-dedans.

Ben oui.

Ben oui, c'est toute une affaire.

Ça me rappelle encore une autre histoire,

décidément de Pierre Norris,

que vous la connaissez.

C'est la dame qui est dans la salle de bain,

puis elle prend un temps fou.

Elle prend un temps fou et le mari frappe à l'apport.

Mais qu'est-ce que tu fais ?

Tu sais bien qu'on doit s'en aller.

On a rendez-vous dans une demi-heure, 5 minutes après.

Il frappe encore à l'apport et il n'est toujours pas sorti.

Mais qu'est-ce que tu fais ?

Qu'est-ce que tu fais ?

Elle lui dit « Ben je me lave les dents ».

Et elle lui dit « Ben oui ».

Alors, ça te prend autant de temps.

Elle dit « Oui, mais je lave les tiennes en même temps ».

Je dois tout à Georges de Mestral,

cet électricien suisse,

en 1941,

alors qu'il se baladait dans les Alpes

et qu'il vit des fruits de Bardane.

C'est ces petites boules marrons.

C'est un truc à manger, tu sens.

Un truc à manger, non.

Mais non, c'est de l'électricité,

il est électricien.

Rien à voir avec l'électricité.

Il a eu des petites boules marrons.

Il s'appelle Georges de Mestral,

il se balade dans les Alpes,

on est en 1941.

Et là, il voit les petites boules marrons,

les fruits de Bardane.

Oh, il y a des fruits de Bardane.

Oui, je vais inventer les pastillericots-là.

Non, mais il les voit pas n'importe où

et pas n'importe comment.

Et parce qu'elles sont brillantes dans la nuit.

Et c'est là qu'il a l'idée d'inventer...

les cathadhiopes.

Un truc fluot.

Fluot, non.

Ah, non, il a inventé les velcro.

Parce que ça s'accrochait au vêtement.

Bravo.

C'est lui, c'est de Mestral, c'est Mestral.

Excellente réponse d'Eric Logérias.

C'est incroyable, hein.

Il n'est pas que con,

il est aussi formidablement malin.

Et oui, Georges de Mestral

voit en fait que son pantalon

et les poils de son chien

sont pleins de ces petites boules marrons

qui se sont accrochées.

Et c'est ainsi qu'il invente le velcro.

C'est ce que ça veut dire, velcro.

Parce qu'en fait c'est

deux syllabes velcro qui veulent dire...

Cro c'est crochet.

Velour, velour.

Velour, velour.

C'est la contraction de velour

et de crochet.

Velour d'un côté, crochet de l'autre.

Voilà, velour d'un côté, crochet de l'autre.

Ça veut dire velcro.

Alors que...

En fait c'était un génie,

parce qu'on a tous des petites boules marrons

qui s'accrochent dans nos poils,

par exemple de...

Et on n'invente rien.

Par de quel boule marron, toi ?

De quoi vous parlez, là ?

C'est du velcul, hein ?

Du velcul !

On a tous des petites boules marrons

dans les poils du cul, quand même.

On voulait pas faire les...

Pas moi !

Enfin, écoutez-moi, non ?

Oh non, du haut !

Jean-Marie, franchement...

Non, mais je vois pas pourquoi

on m'interroge là-dessus.

Je sais pourquoi un mec

a eu un genre de boule marron,

parce qu'il va voir son médecin

et lui il dit, voilà,

j'ai une trop grande bistouquette,

est-ce que vous pouvez me la...

me la raccourcir ?

L'autre, il dit, je suis origine,

je peux raccourcir ou je pourrais ?

Je peux pas ralonger, hein ?

C'est que c'est raccourci, c'est raccourci.

Il va, lui, raccourci de 7 cm.

Il revient le voin,

et quand je vois,

il dit, écoutez,

je suis encore un tout petit peu long,

il faudrait en retirer encore un petit peu.

Il repasse sur le bien,

et là, il revient,

il dit, alors, ça va ?

Bah, il dit, ça va, c'est con,

parce que, maintenant,

elle est un petit peu courte.

Bah, il dit, je vous avais prévenu, hein ?

Vous avez prévenu !

On peut retirer, on peut pas remettre.

Mais, il dit, il faut me trouver une solution,

j'étais tout près d'être pile, poil, bien.

Je suis origine, il dit, bon, il y aurait bien,

il y aurait bien une solution,

mais il dit, quoi ?

Allez-y, dites-moi !

Il dit, si je vous recule les couilles,

je peux gagner un centimètre et demi.

Bon, il dit, allez-y, alors, faites-le !

Il le fait,

le mec revient 15 jours avant,

il dit, génial, impeccable, nickel,

pile, poil, comme je voulais.

Il a juste un petit problème,

c'est que, quand je fais caca,

je m'éclabousse les couilles.

Et là, le mec, il dit,

bah, vous allez aller voir mon beau-frère,

il est juste en face.

Il lui dit, il est chérangien, votre beau-frère,

et dit, non, il est garagiste,

il va vous mettre un garde-boue.

Oh, oh, c'est pas possible !

C'est pas possible !

C'est à cause de vous, ça n'a rien à faire !

Je suis confus !

Pour l'instant, Medentin,

vous avez l'habitude de réserver

dans un restaurant,

votre compagnie est-vous ?

Je ne vais pas, non.

Il attend la 5 millions, lui !

Bravo, bravo !

Moi, je vais tout le faire,

le menu d'Amourot de la Saint-Valentin,

des moules de l'Andouillette-Kicolli,

c'est à une bonne tarte au poil,

au dessert et tout.

Non, non, non, non.

La pire, la tête.

Ouais, voilà.

C'est bien le conseil de romantisme.

On peut lui en prendre chez beaucoup de choses,

mais il est distinct.

Oh, là, mon dieu.

Et vous, alors, Monsieur Benichou,

avec votre compagnie,

vous avez prévu quelque chose pour ce soir ?

Avec quoi ? Avec ma quoi ?

Votre compagnie.

Votre compagnie.

Une compagne, moi ?

Oui, on est toujours là,

à avoir raconté des histoires

sur les Doms du 1er An,

mais c'est évidemment une légende,

jamais vous repartez avec qui que ce soit,

vous avez...

Non, non, non.

C'est pas possible d'essayer, mais...

Non, il n'y a rien à faire.

N'y arrive, n'y repart.

Vous avez votre compagnie

qui vous attend à la maison,

donc j'imagine que ce soir...

J'imagine que ce soir...

Mais c'est ma mère !

J'imagine que ce soir...

Mais c'est ma mère,

et depuis qu'on est ensemble,

je lui parle plus, alors...

Non, mais ce soir,

vous allez lui apporter

un petit bouquet tout de même.

À ma mère ?

Non, à votre compagne.

Elle vient le chercher en moto,

souvent devant RTL.

Ça compagne ?

Bien sûr.

C'est pas vrai.

Elle est moto-talaisée ?

Non, non, c'est pas vrai.

Elle est moto-talaisée ?

Elle est moto-talaisée ?

Non, non, c'est pas vrai.

Elle est moto-talaisée ?

Elle est moto-talaisée ?

Elle est moto-talaisée ?

Elle était je pestais

quand on a savant à l'antan

parce que j'étais allé

une fois à New York,

à Los Angeles.

J'avais invité des amis

à l'hune,

à Los Angeles.

Ils étaient huit, tout ça.

Trépidante.

À L.A., en plus.

Le môme de con.

Bon, et alors ?

Il y avait un cartouglas,

justement, en tout cas.

Ah, très bien.

Ne croyez soit ce qu'il dit.

Il me l'a vu.

Il a fait la...

Ne croyez pas à mot

de ce qu'il dit.

Ça devait être à ici,

les mouninots, mais bon...

Et puis, là...

Il a confondu, c'était Pierre Douglas.

Voilà, vous fermez mon gueule,

oui, je me parlais.

Et là, je vois qu'ils font

la fille de bouche.

Ils font cul-sérer.

Ils font, tu sais, comme ça,

maintenant.

Tu crois ce soir ?

Tu crois ?

Pourquoi ?

Pourquoi pas ce soir ?

Je comprends rien.

Eux, ils savaient.

Tu comprends rien parce que

t'es con.

Je crois que tu balles ça.

On est tous très cons, là.

On est tous, vous voyez,

je crois qu'on est nombreux.

Ils disent tous

mais pourquoi ce soir,

c'est de la folie ?

Pourquoi ce soir ?

Pourquoi ?

Pourquoi ?

C'est toujours un dîner.

Ah, oui.

Tu les invités.

C'est ça ?

Pardon, messieurs,

on ferme le bar, là.

Il va falloir rentrer chez vous.

Et je me tiens perçu

que les prix étaient 3,

comme les prix de réveillon

dans les grands hôtels.

Ah, oui.

Les menus sont plus chers

pour la Saint-Valentin.

C'est ça.

Et manque de pot, c'est le soir

ou tu as...

J'ai compris.

C'est un nouveau concept,

c'est des histoires en kit.

C'est ça.

Ils racontent un peu

dans les ordres

et c'est à toi de les remonter.

Toi aussi,

c'est la macinette des histoires.

Toi aussi,

tu peux jouer au bénichu

à la maison,

te rester des mots,

à toi de les mettre dans l'ordre.

C'est donc vrai qu'on ne comprends plus

quand je parle.

Oui, oui.

On peut s'amplir la maison.

Mais oui.

Mais c'est pas mal,

le concept de l'anecdote mystère.

J'ai habité des copains

où j'en ai pas voulu dire moi-même.

L'anecdote mystère.

Je suis allé.

Alors...

Allez, c'est reparti

pour l'anecdote mystère.

Française, morte.

Alors...

Moi, je me déshabille,

parce que je sens qu'il va faire...

Après, on part à San Diego.

Si vous déshabillez,

je me déshabille aussi, alors.

Allez, sympa, cette savonne.

Allez, voilà.

On a un bon public, en plus.

Tu n'en fais pas une partouce

pour la Saint-Valentine,

on l'a fait quand...

Romar, c'est pas bon, hein.

On pierre.

Et je suis content

qu'il y ait public,

parce qu'on te remancherait tout de suite.

Mais c'est pas mal, ce concept.

On enlève une fringue,

à chaque fois qu'on comprend rien,

ce qu'il dit.

Allez, là, on va tous

finir à poil avant 17h.

On comprend rien,

ce que je dis.

Non, rien du tout.

Non, non.

Non, mais ça dépend

dans quel quartier.

Toi, toi, tu comprends

que dans le 20ème,

et on comprend...

On comprend les mots,

mais c'est les uns

la suite des autres

qui ne veulent rien dire.

Oui.

Ah, tout ça, c'est la logique.

C'est rien.

C'est tout ce qu'ils voulaient.

Non, Pierre.

Pierre.

Si vous voulez mon conseil.

C'est toi, j'aime pas les cons.

Si moi, j'en ai un fou,

c'est le patron.

Il est très enfant.

Pierre, Pierre,

vous êtes très enfant

aujourd'hui.

Par exemple, ça, c'est très bien.

Ce qu'il faut faire,

c'est court.

Quand vous faites 3, 4 mots,

vous êtes le numéro 1.

Même sur un mot,

tu peux être génial.

Mais...

Deux phrases, c'est foutu.

On commence avec d'autres

dans le taxi, sinon.

Une autre,

ça va longtemps,

je le trouve.

Ou ça, alors.

Alors, là,

ça va vous faire marrer.

Ah, alors, on se prépare.

Dans l'équise.

Ah, là.

Prêt de New York.

Prêt de Miami.

C'est chic.

Prêt de Miami.

Mais dans sa tête,

il vit aux États-Unis.

Et l'équise, c'est là

où il y avait Hemingway.

Ouais.

Et qui est devenu maintenant

le paradis.

Et je ne le savais pas.

Et il lui fallut que je le suce.

C'est le cas de le dire, oui.

C'est le paradis des homos.

Ah, oui.

Non, c'est pas.

Et on se retourne

à la Saint-Valentin.

Et j'étais avec une fille.

On peut se tomber.

Alors.

Et je dis,

je voudrais une table pour 2.

Pour ce soir,

un tel restaurant,

il regarde la gronsesse.

Mais comme si ça avait été

une merde de chien.

Et ils disent,

par en un ou par en deux ?

Et ils disent,

vous voulez aller avec moi ?

Oui, pourquoi pas.

Avant, c'était les soirées diapo

qui étaient chiantes.

Vous voyez ?

Ça y est, je crois qu'on a décroché.

Non, mais là,

Laurent avait raison.

Au-delà de la deuxième phrase.

Et la fin, alors ?

La fin, alors.

Il n'y a pas de fin.

Alors, j'arrive.

Ah, non, non, non, non, non, non.

C'était en Amérique.

À Chicago.

Et là,

j'ai vu

ce que c'était

qu'un vrai,

parce qu'on l'était quand même

30 ans avant

que ça prenne en France

l'homosexualité.

Ah ouais, c'est vrai que...

Et puis ça vient de prendre

Robatico,

puis la semaine dernière.

Ah ouais, ça prend bien, là.

En France,

en France,

il y avait Jean Cocteau et Jean Marais.

Mais en France,

il n'y avait pas de PD.

Non, bien non.

Si, si,

le frère à Robert.

Il y avait de la tranche qui remue,

oui, oui, oui.

Et alors ?

Ah, ça, là, il s'est connu.

Il est de la tranche qui remue.

Alors, ça, oui, oui.

Ça veut dire quoi ?

Ça veut dire qu'il est de la contrôlé, quoi.

Mais ça, j'ai compris.

Ça, là, on l'a connaissée, oui.

Oui.

Ici, on voit

de temps en temps des couples.

Où ça ?

De temps en temps d'hommes.

Ah, mais...

Ah ouais, ouais.

Ça n'a pas...

Tu sais ce que c'est ?

Tu sais ce que c'est ?

Ça a bien pris ce truc.

Tu sais ce que c'est ?

120 couverts

avec des petites lambes comme ça.

Et 60 couples de l'ascar.

Ils s'embrassent la main.

Mais je te jure,

ta boîte pour la liberté,

il dit,

que font les juges ?

Pour quelle raison,

dans l'actualité aujourd'hui,

beaucoup de Français parlent

à nouveau des Matole.

Les Matole ?

Eh oui, M-A-T-O-L-E-S.

Ce sont des frics ?

Des frics, non.

C'est un nom commun ?

C'est un nom, bon, commun, oui.

Et la télé ?

Ah, en vidéo,

oui, la télé.

C'est français ?

C'est français ou c'est les Matole ?

Ah non, c'est français.

Une Matole.

Une Matole.

Est-ce que c'est des oiseaux ?

C'est des oiseaux.

Une Matole,

ce n'est pas des oiseaux.

Est-ce que c'est un rapport

?

Ce sont les pièges à peintons.

Ce sont les pièges à peintons.

Bonne réponse

de Bernard Mabin.

Avec le monsieur en flip.

Avec le monsieur en flip,

c'est extraordinaire.

Il faut expliquer

à nos auditeurs

qui n'auraient pas encore vu les images.

On voit un monsieur

qui est en flip,

qui est en train de donner des coups de pelle

à Alain Bougrandubourg.

Parce qu'Alain Bougrandubourg a voulu

enlever les Matole,

les pièges à peintons

qui sont dans son jardin.

Mais le vrai que c'est qu'ils l'ont fait

aux aurores

et le monsieur s'est réveillé.

Donc c'est pour ça qu'il est sorti de chez lui,

il était dans son lit

et il est sorti en t-shirt,

en slip et pieds nus,

avec sa pelle,

parce qu'on était en train

de lui défoncer son jardin.

C'est le slip gate.

Toute la France l'a vu

en slip à cause d'Alain Bougrandubourg.

Mais lui son peinton était en cave.

Et c'est vrai que ce monsieur

avait fait...

Pauvre monsieur.

Pauvre monsieur.

C'est une brûte.

C'est une brûte.

C'est une brûte.

Attends, m'en viens dans mon jardin,

piquez des trucs,

je sors et je m'appelle.

Un coup de pelle.

Oh ben tient,

le brésilien te voit

sortir au slip avec une pelle.

Moi je dormis.

Non mais écoutez,

d'abord,

hein,

ce monsieur n'a pas à mettre

effectivement des pièges

à peintons.

Pourquoi pas ?

Ben oui, mais s'il peint son

est protégé,

c'est un animal.

Il n'a pas le droit

d'entrer dans son jardin

seulement.

Oui mais là,

en l'occurrence,

on était dans son jardin.

Il braconne les peintons.

On n'a pas le droit

de braconner les peintons.

Oui mais on n'a pas le droit

d'entrer non plus chez quelqu'un.

Eh ben je comprends

qu'il va pas content.

Et chez toi,

t'as pas le droit

de massacrer un éléphant.

Mais y en a assez peu,

vers chez moi.

Eh ben y a peu d'éléphants,

mais s'il y avait

un éléphant chez toi.

Et tu commences

à le tuer,

est-ce qu'on viendrait

pas te dire,

arrêter de tuer

des peintons en liberté,

moi je crois que c'est

des animaux d'élevage.

Ah non non,

les peintons sont gays,

ils les bouillent.

C'est-à-dire pour ça

qu'on les protège,

parce qu'ils ont du mal

à se reproduire.

Mais les peintons,

les légalités.

Mais non mais

il y a bien des animaux

que les gens tuent

pour mettre au mur.

C'est vraiment pour les bouffer.

Et là,

où ils sont totalement

fauchentons,

c'est qu'ils disent

c'est pour les tourteurelles.

Oui.

Qui les tourteurelles,

qui ne sont pas protégées

et qui tombent

dans les pièges.

La louette des champs

est encore autorisée

à être attrapée.

La louette des champs,

ils disent voilà

ma matolle

puisque c'est le nom du piège,

ma matolle,

c'est pas pour les peintons,

c'est pour les alouettes des champs.

Alors je suis curieux,

j'aimerais savoir

comment un oiseau

décide,

tiens est-ce que ça

c'est un piège pour moi

ou pas ?

Pourquoi ces peintons-là,

ils vont dans ces pièges-là ?

Mais qu'est-ce que t'es con toi ?

Mais non mais

non,

il va jusqu'au bout de l'absurde.

Par exemple,

avec un piège comme ça,

tu ne peux pas attraper

les peintons dans le jardin.

Tu as mis un piège comme ça ?

Je dis pas ça

parce qu'ils n'ont pas d'éléphant.

Mais qu'est-ce qu'il a

de particulier

pour les peintons ?

Pourquoi c'est pas pour un oiseau ?

Mais c'est comme un piège à loup,

ça va tuer des renards,

ça va tuer un affrontement.

C'est un piège pour peintons

parce qu'il y a,

à l'intérieur,

le magazine t'es-tu ?

Mais oui, mais...

Mais si jamais le monsieur

dit que c'est pas pour les peintons,

mais pour les autres oiseaux,

c'est pour ça.

C'est une région de peintons.

Ah, d'accord.

On se comprend mieux.

C'est une région

où il y a que des peintons.

C'est extrêmement peintonné.

Alors là...

T'as vu, T'as vu,

t'as vu qu'il y a des religions

tourtoreliques.

Il y a des religions tourtoreliques.

Il tue ma vie.

Pigeoniques.

C'est le plus beau mot

de la leader de langue française

pour moi.

Quoi donc ?

Tourtorel.

C'est merveilleux,

tourtorel.

C'est les bières sans alcool ?

Oui, oui.

On va parler du grillon,

ce petit animal

que vous entendez

dans votre région,

cher Michel Drucker.

Quelle partie de son corps,

le grillon,

utilise-t-il

pour échapper

à ses prédateurs ?

Les pâtes,

les élites,

avec lesquelles il fait du bruit.

Du tout.

Non, c'est Zelle.

C'est Zelle.

Les couilles.

Les couilles du grillon.

C'est son abdomen.

Pourquoi pas ?

Son abdomen, non.

Vous pourrez

éloigner ses prédateurs,

c'est ça.

Ça bouche.

Ça bouche.

Non, ça langue.

Ça langue.

Mais il ne reste rien au grillon.

Le zizi du grillon.

C'est pas peut-être

qu'il a un très gros zizi,

il assomme les gens avec.

J'en ai connu qu'il vit ça.

Il y a des caissons d'air

qui pètent très fort.

C'est pas ça, non ?

Sans souffle.

Sans souffle.

Sa mauvaise haleine.

Sa mauvaise haleine.

C'est P ?

C'est P, non.

Ses yeux, non.

Est-ce que c'est

quelque chose,

une odeur

que j'ai ?

Non, plutôt un prénom.

Il crie autre chose.

Il montre son nez

et ça fait peur

au front national.

C'est le nez grillon.

Il chante.

Mais est-ce que c'est un bruit

qui fait ?

Il fait pas un bruit.

Que c'est ses antennes.

Ses antennes, non.

C'est une position

qu'il prend.

Un prénom,

c'était une petite aide

que je vous apportais.

Oui, je comprends pas.

Mais non,

mais vous comprenez

quand vous donnez la réponse.

Il lure l'un prénom.

Non, pas sûr.

Il est bien connu.

Marie.

Marie.

Il est bien connu.

John.

Au secours.

C'est terrible.

T'as un animal

qui appelle un autre animal.

Il y a un chat

qui s'appelle Léon.

Sauf qu'à côté,

il y a des pans

qui font Léon.

Le chat,

chaque fois,

il va la fenêtre.

C'est pour ça que je dis ça.

Je t'ai vu,

à chaque fois qu'il a eu

de baisonnisme à la fenêtre,

il fait Léon.

Léon.

Quelle est la partie

du grillon

qui permet

au grillon

d'échapper

à ses prédateurs.

Mais bien sûr,

les oreilles.

Les oreilles, non.

C'est elle,

le foie.

Les doigts.

Ces ongles.

Ces ongles, non.

Ces griffes.

Ces griffes, non.

Ces trous de nez, non.

Ces trous de nez, non.

Ces sourcils, non.

Ces pieds.

On est tout prêts.

Ces pieds.

Prêts des pieds.

Les chevilles.

Les cils.

Les cils.

Son nez.

Son nez, non.

Les paupières.

Non, vous l'avez dit.

Les cheveux.

Les cheveux, oui.

Les poils.

Les poils.

Non, vous l'avez dit.

Les sourcils.

Les paupières.

Les yeux.

Non, on m'a dit

ça.

Non, vous venez de le dire.

Célébre.

Sa gueule, je sais plus.

Vous venez de le dire.

Mais le mec, je sais plus que j'ai dit.

Les poils, le nez, les cils.

Pardon, c'est cil.

C'est cil.

Voilà le prénom.

C'est cil.

C'est cil.

Il faut pas expliquer nous, alors.

C'est cil.

C'est bien prénom, c'est cil.

C'est cil, là, mais comment il fait, alors?

Ah, comment il fait?

Est-ce que je ne suis pas grillon?

Non.

Il bat des cils.

À l'arrière de son corps, le grillon a des cils.

Ah bon?

Il a des cils à l'arrière.

Ah oui, oui, à l'arrière.

À l'arrière de son corps, le grillon a des cils.

Qu'est-ce que vous avez dit?

C'est des poils du cul, en fait.

C'est des cils.

C'est pas faux.

Je ne dis pas les clins d'œil.

Parce que ça des cils à l'arrière, c'est des poils du cul.

Mais non, c'est des cils.

Écoutez, je vous le dis.

Et ces cils perçoivent les moindres mouvements d'air autour de lui.

Des chercheurs français s'en sont même inspirés pour concevoir des poids d'artificiel

très sensibles qui pourraient servir à mesurer les mouvements des ailes, des futurs

micro-drônes inspirés des insectes.

Bien sûr.

Bien sûr.

Car le grillon a des cils à l'arrière.

Il a des poils du cul sur les yeux.

Tiens, deux questions sur l'académie française.

La première pour Julie, le riche qui habite ville juif.

Puisque j'aimerais que vous retrouviez le nom de celui qui s'était fermement opposé

à l'élection de Victor Hugo à l'académie française.

Et, ironie du sort, c'est à lui que Victor Hugo a succédé à l'académie française.

Quand il est mort, si bien que Victor Hugo s'y retrouvait à devoir faire puisque c'est

la tradition.

Ah oui, là !

Dans le fauteuil, alors que cet homme-là ne voulait pas qu'il entre à l'académie.

Bah il est connu juste pour ça en fait.

Saint-Bœuf ?

Non.

Alors allez-y, si vous le connaissez.

Népomucène le mercier.

Oh merde.

Ah !

Il est connu... Non, il est connu que pour ça !

Mais qu'est-ce que c'est que le prénom ?

Népomucène.

C'est la bonne réponse.

Non mais il est connu que pour avoir été le prédécesseur du go à l'académie.

Effectivement.

Népomucène.

Népomucène.

Alors, c'est son vrai nom.

Oui, oui.

Ça s'appelle Louis Jean Népomucène le mercier.

Népomucène, oui.

En fait, il était né à Paris en 1771.

Il est mort en 1840.

J'étais un poète et dramaturge français et c'est vrai qu'il s'était opposé fermement.

C'était le principal opposant à l'entrée de Victor Hugo à l'académie.

Et c'est à son fauteuil que Victor Hugo a été élu, c'est bien qu'il a dû faire le discours.

Je vous conseille, je ne vais pas vous l'y lire là parce que c'est...

Il y a un peu d'ironie dedans.

Parce que c'est passionnant.

Mais moi, je le connais.

J'ai voulu ce matin lire le discours de réception.

Moi, je le connais.

Ah, vous, il connaissez ?

Oui, oui.

Petit enculé, je prends ta place.

Ah non, ça, ce n'est pas du Victor Hugo.

Mais est-ce qu'il a réglé un petit peu ses comptes ?

Un peu.

Il ne nous connaît pas tant que ça.

Il est assez classe quand il est Victor Hugo.

Ah oui, je me doute.

Et vous dessus ?

Ça, non, il rappelle même que tout le monde s'inclinait devant Napoléon.

«Tout s'acceptait si poète», dit-il, dans son discours Victor Hugo.

«Permettez-moi de le dire et d'en être fiers dans cet enceinte.

Acceptez si penseur restait seul debout dans l'univers à genouiller face à Napoléon.

Donc...

Et c'est non glorieux, j'ai hâte de les prononcer devant vous.

Les voici.

Ducie de l'île.

Madame de Stel.

Benjamin Constant.

Chateaubriand.

Et Monsieur le Mercier.

Vous voyez, quand même, il lui rend...

Une forme d'hommage.

Après, on comprend qu'il n'aime pas vraiment le style de son prédécesseur,

mais il ne fait pas d'allusion, en tout cas,

au fait que celui-ci se soit opposé à son élection à l'académie française.

C'est pas, vous voyez, François Hollande avec Sarkozy à la sortie de l'Élysée.

J'ai une autre question, alors, sur l'académie.

Ni Lula avec Bolsonaro.

Qui ça, qui ça ?

Ni Bolsonaro avec Lula.

Exact.

Vous avez raison.

Ducas, ben c'est...

Vous avez un nouveau président, au Brésil.

Oui, nous avons un ex.

Un nouveau ancien.

Un nouveau ancien, nouveau.

Qui revient, oui.

Oui, mais c'est mieux qu'ils aient fait de la prison avant.

Et là, maintenant, si Bolsonaro revient au Brésil,

est-ce qu'il paraît valer un prison ?

Aussi.

C'est une catastrophe aussi, mais c'est mieux.

Ah, voilà.

En France, c'est la choléra, on choisit le moins pire.

Voilà.

Christian Christophe, est-ce que tu te souviens de cette chanson

quand on était petits, il y avait une émission ?

Les recettes de Lula, parce que tu aimes bien chanter.

Ah non.

Mais si, pour manger des tartines, dévaster le frigo,

danser dans la cuisine, faire valser les gâteaux,

et faire des galipettes sur un air de mambour.

C'est bon, c'est bon.

C'est Lula, la voisine, là, dis-va qu'il vous faut.

Pouf !

Alors, je ne la connaissais pas, celle-là.

Alors, Rachel Calvoire, je la fais venir

pour qu'elle nous parle de retour à race,

de Didier Ribaud.

C'est raté, hein.

Et elle vient nous chanter une chanson

que je ne connais pas non plus.

Les recettes de Lula.

Les recettes de Lula.

Mais c'est quand on était petits, dans les années 80.

Ah, je ne t'ai pas nés, je t'ai pas nés.

Moi, je suis passé à côté.

C'était une pub à la télé.

Non, c'était une émission.

On apprenait à faire des recettes.

Écoutez, on est contents que ça vous fasse plaisir

de la voir.

Parce que les gens ne sont pas belles.

Je le connaissais quand je fais de la purée.

Quand je fais de la purée, moussine,

je suis sûr que tout le monde en reprend.

En reprend.

C'était bien, ça.

Pour les confesses aussi belles des chants,

du bâgneau dans les pâturages,

au don de nous en belles des chants,

il est bon qu'il écrime ton fromage.

C'est un fromage boycoté par Benzema.

Alors...

Pour Laurent, c'est la forêt qui habite

Rémy Aïkour.

La forêt.

Marie, la forêt.

Ça y est.

C'est dans les Ardennes, Rémy Aïkour

et même la forêt Espérache et Kertel.

Là aussi, il s'agit de retrouver le nom de quelqu'un

que tout le monde ne connaît pas forcément

et pourtant, et celui grâce à qui,

en quelque sorte,

l'académie française a été créée.

Paul, vas-y.

Parce qu'il réunissait.

C'était juste avant que l'académie soit décidé

et créée par Richelieu,

parce que lui, il réunissait chez lui une fois par semaine

une dizaine d'hommes de lettres

qui formaient, on va dire,

le noyau de la future académie française.

Est-ce que c'est le premier académicien ?

Et il fut finalement le premier secrétaire

de l'académie française.

De qui s'agit-il ?

Valentin Conrad.

Je vous l'accorde.

C'est Valentin Conrad.

C'est pas Valentin Conrad.

Valentin Conrad, c'est l'accent.

J'ai pas l'accent.

Quelle nul.

Valentin Conrad.

Voilà.

Nul.

Valentin Conrad.

Ça fait deux fois qu'il prononce vraiment pas bien

du tout les...

Il est tel.

Bah ouais, mais c'est quoi ?

Tout à l'heure, il a dit...

On est d'accord qu'il est très décevant.

Qu'est-ce que vous racontez ?

C'est vous les français qui prononciez comme des pieds ?

Vous n'avez pas français ?

Mais non, mais il me dit j'ai mal prononcé.

Ça se dit Georg le prénom.

Ça se dit pas Georges.

Oui mais Conrad, c'est Conrad.

Oui, là j'ai l'erreur prononciation.

Voilà, bah tu vois.

Mais qui sait qu'il connaît ?

Ça va.

Ça c'est vrai, d'accord.

Je reprends.

On oublie tout, on va couper.

Non, non, non.

On ne coupera pas.

C'est scandaleux.

Regardez comment il se...

François, tu coupes l'erreur,

tu vas mettre Valentin Conrad.

Non, non, non.

C'est scandaleux.

Tout est truqué chez...

En fait, ça ne se frappe pas comme ça.

Moi, vivant, on saura que vous avez mal prononcé.

Tout est truqué chez Conrad.

Il m'a déjà enlevé des fois quand j'ai mal prononcé.

Il a mis la bonne prononciation.

C'est parce que vous êtes le petit chouchou du réalisateur.

Mais qu'est-ce que tu lui as fait pour qu'il en lève ?

Donc, il vous aime bien François Renoutier.

Oui, c'est ça.

Donc François, tu peux me le faire une fois.

Et François, tu ne...

Non mais parce que c'est comme c'est une bonne réponse

et comme c'est une belle réponse.

Mais c'est pas grave chéri,

que tu t'es trop avec la prononciation,

c'est assez grave.

Autrement, il serait pas...

Une question pour Florence Michard,

c'est dans le Gare.

Mais de qui s'agit-il exactement ?

Donc, il est connu sous un pseudo.

Exactement.

Ah bah, c'est un mec qui fait de la BD.

Ah, allez-y.

Ah bah, c'est pas lequel.

Mais c'était pour avancer.

C'est pour faire avancer de chimilée.

Ménée, ménée, ménée.

Alors effectivement, est-ce que c'est un dessinateur ?

Un dessinateur, non.

Il est mort ?

Ah oui, il est mort, il y a un moment.

Je peux même vous dire, il est mort en 1869.

Ah oui.

Il pollite Léon de Niza Rivaille.

Est-ce qu'il a pris un pseudo ?

S'il est reconnu au Brésil, est-ce qu'il a vécu au Brésil ?

Et du coup, pris un pseudo brésilien ?

Non, il a pris un pseudo chez nous en France.

Il est plus célèbre au Brésil qu'en France.

Parce qu'il avait un métier sérieux au départ

et qu'il continuait à écrire et à publier

certains livres sous son vrai nom

et d'autres sous son pseudo nîmes.

Est-ce qu'il était pharmacien de son métier sérieux ?

Non, il n'était pas pharmacien.

Il était marié à une Brésilienne ?

Non, il a épousé à Méliboudé,

une institutrice.

Il a écrit des romans qui sont très célèbres.

Or des romans, non.

Ah, pas de romans ?

Non.

Des manuels scolaires en tant qu'instituteurs.

Michelet, Jules Michelet.

Mais ce ne sont pas pour ces oeuvres pédagogiques

qu'on le connaît le mieux.

Et ce ne sont pas, en tout cas, ces oeuvres-là

qu'on lit au Brésil.

Des livres pour enfants ?

Des livres pour enfants, non.

Pour réussir les opérations ?

C'est-à-dire ?

Des opérations changées.

Genre la chirurgie pour les nuls ?

Non, on n'est pas dans la chirurgie esthétique.

Est-ce qu'on est peut-être dans la musique ?

Dans la musique, non.

Est-ce que c'est pour se divertir qu'on achète ce type de livre ?

Se divertir ce n'est pas le mot.

Ah, c'est genre le code de la route,

ou des trucs comme ça ?

Pas du tout.

C'est indictionnaire ?

Le code de la route, c'est-à-dire en 1869,

ça a dû changer depuis.

C'est calme.

Ah ben ça évolue.

Est-ce que c'est tout public ?

Tout public ?

Tout public a pas tout à fait.

C'est sexuel ?

Ce n'est pas sexuel.

Ce n'est pas réservé aux hommes ou aux femmes.

Vous connaissez tous son pseudonyme,

évidemment, à Hippolyte, Léon de Dida.

On a tous lu, c'est livre.

Est-ce qu'il a utilisé son vrai nom

pour chercher la base de son pseudon ?

Pardon ?

Est-ce qu'il y a un bout de son vrai nom ?

Par exemple, est-ce qu'il s'appelle...

Ipl...

Iplway...

Ah non, non, non, non.

Moi, je cherche des pistes, alors.

Mais je peux vous dire que ces livres,

publiés pour la première fois en 1857 et 1861,

sont toujours très courus aujourd'hui.

Est-ce que c'est à l'école qu'on lit ces livres ?

Et à ce point qu'au Brésil, on continue à les lire

et à le lire énormément.

Ailleurs, non.

Un peu moins.

Chez nous aussi.

Mais chez nous, il faut être amateurs,

alors qu'au Brésil...

Ils ont très amateurs.

Et voilà.

Alors c'est un rapport avec le carnaval.

Le carnaval...

Alors c'est un...

C'est un guide sur les masques.

Religieux, non.

Avec le sport.

On se rapproche.

Sur les croyances.

Sur les croyances.

Oui.

L'astrologie.

L'astrologie, non.

Il est venu à Lyon en 1804.

Hippolytléon de Niza Rivaille.

Il était effectivement dans un premier temps pédagogue.

Auteur de livres pédagogiques.

Il épouse une institutrice.

Pierre, d'un seul coup, il découvre quelque chose

dont il va devenir le spécialiste.

C'est là qu'il prend un nom d'empreint.

Oui.

Jésus.

Oh !

Ah bah oui.

Il l'a découvert.

L'hypnose pour des trucs d'hypnose.

Pas l'hypnose.

C'est pour...

C'est pas pour faire tourner les tables.

Exact.

Je sais pas comment il s'appelle, monsieur.

Il est très connu.

Alain Kardec.

Alain Kardec.

Bonne réponse.

Jean-Jacques Perrony.

Il a créé les tables.

Alain Kardec, c'est lui qui a écrit Alain Kardec

le livre des esprits et le livre des médiums

pour ceux qui sont adeptes du spiritisme

et qui font tourner les tables.

Et au Brésil, c'est quelque chose qui marche très, très fort.

C'est un des auteurs les plus lus au Brésil.

En France, on fait tourner les serviettes plutôt.

Alain Kardec, que vous connaissez manifestement.

Vous te faites tourner les tables, monsieur.

Non, mais j'ai pensé partie de mon enfance au Père Lachaise,

et ça tombe juste à l'entrée.

Ah oui ?

Eh oui.

Eh oui, oui, oui.

T'as passé ton enfance au Père Lachaise ?

Tout un livre pour faire tourner les tables,

une fois que vous avez fait tourner dans un sens,

puis dans l'autre.

Qu'est-ce qu'il reste à dire dans son bouquin ?

Non, mais c'est pour faire parler les esprits.

C'est pas un catalogue hiker.

Ah oui.

Tout se fait du spéridisme.

Ah, vous avez fait tourner, c'est génial.

Oui, quand on est au collège, on fait ça.

Ah oui ?

Il y a bien un moment où on éteint les lumières,

ou...

Il y a bien un moment où on se met à poil épée.

On se greppe les as sur les os.

Et on ne fait pas tourner que les tables.

Un tatouge, on appelle ça du spéritine.

Et voilà.

Une question pour Michel Charière,

qui habite Saint-Marc-Hair en moche dans le main des Loires.

Trotula de Salernes et Rebecca de Garnet furent les premières,

mais dans quelles catégories ?

Dans le sport ?

Dans le sport, non.

Au Créziors ?

Au Créziors, non.

C'est vrai que ça fait danser.

Trotula de Salernes.

Trotula.

Et Rebecca de Garnet.

Est-ce dans un roman ?

Dans un roman ?

Non.

Elles ont existé.

Trotula de Salernes.

Ah, c'est des chevaux ?

Ah, c'est des chevaux ?

Ah, des chevaux.

Non.

C'est des vaches ?

Non.

Ce n'est pas des vaches.

Ce sont des femmes, donc.

Ce sont des femmes.

Rebecca de Garnet et Trotula de Salernes.

Ce n'était pas une des premières femmes des papes ?

Les premières femmes des papes, non.

Alors, autant vous dire, on est au XIe siècle.

Oulala.

Oulala.

XIe siècle.

Ah oui, oui.

Ça nous ramène loin, comme dirait l'autre.

Ce sont des femmes qui ont escaladé un volcan

quand ils n'étaient pas en chauffe ?

En chauffe.

Tu l'as mis sur combien, le corps ?

En chauffe.

Je l'ai mis sur numéro 5, normalement.

On ne devrait pas trop se brûler.

On peut en fourner, oui.

Oulala.

Vous êtes vraiment dans un roue de tasse-y-êves

des grosses têtes, vous.

Ah non, mes familles, oui.

Il y a des cratères.

Non, mais il y en a qui sont...

Je vous souviens, d'ailleurs, que Trotula de Salernes

on pouvait l'appeler aussi au cas où ça vous aiderait.

Trotula de Rue de Gérot.

Est-ce que ce sont les Reines du Carnaval ?

La Reine du Carnaval, non.

Est-ce que ce sont des Saintes ?

Des Saintes, non.

Mais Rebeca de Garnas, effectivement,

est une femme rare à son époque,

de même que Trotula de Salernes.

Ah, elle s'était décurée.

Elle s'était décurée.

Vous voulez dire homosexuelle, monsieur ?

Oui, oui, mais je ne sais pas

comment ça n'existait pas à l'époque.

Ah bah si, tu parles que ça n'existait pas à l'époque.

Ah bon ?

Évidemment.

Pourquoi ça n'existait pas, du moins ?

On sait, comme ça ?

Articule que je jure, parce que...

Je me demande ce que tu veux, exactement.

C'est comme ça, les êtres humains, chérie ?

Oui.

Ça n'était pas officiel, ce qu'ils veulent dire.

Ça a toujours existé dans le monde.

Mais oui, c'est quoi ton truc ?

Ça s'appelle le safisme,

parce que ça faut être une poétesse

de sainte.

Le safisme antique.

Mais en tout cas, Trotula de Salernes,

d'abord, elle ne se connaissait pas.

Ah bon ?

Elle n'était pas évêque,

ou quelque chose comme ça ?

Pardon ?

Elle n'était pas évêque,

ou quelque chose comme ça ?

Papès, évêque, non, c'est politique.

C'est vrai qu'au XIe siècle,

Trotula de Salernes et Rebekah de Gardna

étaient des femmes rares.

Elles étaient militaires,

un peu comme gendarmes.

Militaires, non.

Mais un jouet sur scène,

et ça, c'était rare.

Ah, c'est vrai que les femmes

n'avaient pas le droit.

Pas le droit.

Ce sont les hommes

qui faisaient les rôles de femmes.

Exact.

Vous avez raison de leur appeler,

Monsieur Bigard,

mais ça n'est pas la réponse.

C'est les premières YouTubeuses ?

Des YouTubeuses.

Non.

Elles étaient médecins ?

Elles étaient les premières femmes

médecins qu'on connaisse.

Trotula de Salernes,

et même chirurgiennes

pour Rebekah de Gardna.

Bonne réponse

de Valérie Mérez.

Vous imaginez bien qu'au Moyen-Âge,

c'était très rare

des femmes qui étudiaient la médecine

et qui ensuite pouvaient en faire

un métier.

Trotula de Salernes,

non seulement étaient femmes médecins,

mais elle était même enseignante

et praticienne,

aux dispensaires,

des étrangers,

des croisés de retour d'Orient.

C'est elle qui les soignait.

Elle a même fait un ouvrage

qui s'appelle les maladies de femmes,

traitement pour les femmes

et soin cosmétique pour les femmes.

On l'appelait Trotula tout simplement.

C'est fou,

quand on les laissait exercer

parce que la plupart,

on leur disait que c'était des sorcières.

Exact.

Dans ces cas-là,

on les traitait souvent de sorcières.

Et on les brûlait.

Quand à Rebekah de Gardna,

elle était une chirurgienne,

italienne,

une des rares femmes

connues au Moyen-Âge pour ça.

Elle a étudié, elle aussi,

dans la même école de Salernes

que Trotula,

et elle appartient

à cette minorité d'étudiantes

de l'école de l'époque.

Et elle, elle a écrit

des ouvrages qui s'appellent

des urinis,

qui veut dire de l'urine,

de Fébrius,

qui veut dire de la fièvre,

et des Hommes bryonnais,

qui veut dire de l'Hambryon.

Et des cacas,

qui veut dire de la merde.

Ah !

Non, Monsieur Peroni.

Mais,

sans traiter des urinis,

a permis de comprendre

qu'on pouvait diagnostiquer

des maladies à partir

des échantillons urinaires.

Et à l'époque,

ça ne se savait pas forcément.

Non, mais surtout,

à l'époque,

il n'y avait pas de labo.

Il faisait comment ?

Il goûtait,

il buvait,

il regardait la couleur,

il faisait quoi ?

Ah oui,

c'est trop sucré,

il y a bête.

Ouais,

par exemple.

Vous en savez quelque chose,

tout de même,

Monsieur Rebekah.

C'est même les seuls examens

que vous réussissez

régulièrement.

Donc,

c'est un mec

qui rentre

complètement bourré

dans un bus.

Encore un ?

Il est ivre mort,

il se met à hurler

dans le bus.

Tous les mecs,

derrière moi,

c'est les pelés.

Tous les mecs,

à côté,

c'est les coqus.

Et les mecs devant,

c'est des manches-merdes.

Putain.

Le chauffeur,

il entend ça,

il met un grand coup de patin.

Tout le monde

se retrouve

aglutiné

à l'avant

du bus.

Et le chauffeur,

il les mange-merdes maintenant.

Et le mec,

bah oui,

j'en sais plus rien,

vous venez

de tout me mélanger,

là.

Le pire,

le pire,

c'est qu'il y a une dame

au premier rang

qui a amené ses deux fistons

aujourd'hui.

Elle a choisi son jour.

Elle est ravie.

Et alors,

celui qui se marre le plus,

c'est le plus petit des deux.

C'est pas le plus grand.

Le plus grand,

il les connaissait déjà.

Donc,

quel grand classique

vous le verriez

qui a amené chez vous, Francis?

Shakespeare.

Ah oui.

Staff.

Ah oui, il aurait été formidable.

Il a fallu staff.

Et joyeuse comme maire de Windsor.

Ah oui.

Bah joyeuse, joyeuse.

Le misentropeur.

Je jouais,

non, non,

j'ai joué.

Amelette,

j'ai joué moi.

Ouais.

Ah oui.

To be or not to be,

that's the question,

whether to be or not to be.

To be or not to be,

that's the question,

whether to be or not to be.

Vous connaissez

Amelette

en anglais,

dans le texte original.

To be or not to be,

that's the question,

whether to snap the mind,

to suffer slings and rows

of our treasure's fortune,

on to take arms against

the sea of trouble

by opposing and then to.

Ah oui,

Je...

Appelle point Fère?

Alors,

il sort quand même chapeau

parce qu'il en faut le faire.

Il faut le faire, oui.

Donc,

on à voulu dire,

c'est la réplique,

c'est le plus célèbre.

Oui, mais en anglais.

C'est bien ! Soyez pas jaloux ou pierre ? C'est un peu. Je suis jaloux de tout le monde.

C'est bien. Mais écoutez, ça va vous amuser la question qui vient, puisque c'est dans

la presse pipole que j'ai trouvé ce titre absolument incroyable. Un kilo de drogue retrouvée

chez elle. Mais chez qui ? Un kilo de drogue. C'est une question pour madame et l'aéonore

Harris qui habite nos gens sur Mars. Elle est en tour là ? C'est une chanteuse ? Alors

je vous le dis d'avance. Vous connaissez la presse pipole ? C'est pas vrai en fait. Alors

ce n'est pas tout à fait vrai. Elle n'y est pour rien là. Ça m'a fait un choc, je vais

vous dire quand j'ai vu qui c'était. C'est Loanna ? Ce titre, parce qu'en fait au fond,

elle n'y est pour rien, elle est juste propriétaire d'un appartement dans lequel le locataire,

lui, vient de se faire arrêter pour trafic dedans. Mais elle n'y est pour rien, elle

avait un kilo de cannabis, de hashish, de résine. C'est comme Pablo Escobar qui avait

des appartements à louer pour des gens qui stockaient de la drogue. Elle n'y est absolument

pour rien, mais sauf que ça fait un choc quand vous voyez un kilo de drogue retrouvée.

Elle n'est du péret. Non, pas ni du chanteuse. Une chanteuse, non. Une actrice. Une actrice,

non. Une femme politique. Une femme politique, non. Elle fait la météo ? Elle la presse

comme on ne connaît pas le gars qui louait à la maison, ça n'intéresse pas. Qu'est-ce

qu'ils font ? Bah ils font un, un, un kilo de drogue retrouvée chez elle. Alors qu'elle

n'y vit même pas dans cet endroit évidemment. Elle est plutôt ancienne pour avoir des appartements

à Paris alors. C'est vrai, il faut le temps d'une vie quand même. Je suppose qu'elle

n'a pas 25 ans. Oui, c'est une animatrice. Daniel Gilbert.

Non, pas Daniel Gilbert. Elle présente la radio. Elle a surtout été animatrice à

la radio, mais à la télévision aussi. À Boccolini. Et elle est toujours d'ailleurs

dans la radio. Boccolini.

Laurence Boccolini dans « Elle est à l'antenne » ? Je crois qu'elle est toujours à l'antenne

sur une radio privée. Sophie Favier.

Sophie Favier, non. Elle s'appelle Sophie quand même.

Pas du tout, non. Elle a une spécialité, vous voyez.

Ah, Brigitte Lai.

Brigitte Lai. Elle fait le horoscope ?

Non, pas le horoscope. À Catherine Ass.

La météo ? La mer Célaques.

Ah oui, la mer Célaques. On dit pas la mer Célaques. On dit Catherine Célaques.

T'es ou café ou drogue, alors ? Catherine Lai ?

Elle a un peu des trois. Catherine Lai ?

Catherine Lai, non. Mais de toute façon, je vous dis, elle n'est pas droguée. Pour rien.

C'est simplement la presse.

Non, c'est Catherine Lai non plus. On ne sait pas.

La cuisine ? C'est culturel.

Culturel, oui.

Elle est sur France Inter, sur France Culture.

Evrugiri.

Evrugiri.

Bonne réponse de Gérard Vignon.

Ah !

Alors, avouez franchement que la presse exagère.

Un jour, dans ce genre de journaux, il y avait Michel Drucker.

Il n'en a plus que pour deux ans.

Ah oui.

Avec sa tête un peu défaite.

En fait, vous ouvrez le magazine et vous voyez, il n'en a plus que pour deux ans avant d'avoir 60 ans.

Ah oui.

C'est imparable.

Moi, j'ai eu le droit, il n'y a pas si longtemps à Laurent Rue, qui échappe à un grave accident de voiture.

Je ne revenais pas. Je lis l'article. C'était en 1986.

Et tout est comme ça, en fait, évidemment.

Elle a quand même été entendue par la police, la pauvre Evrugiri.

Ben oui, elle est obligée de témoigner.

Ben oui, si elle est une prédéciaire.

Attendez-moi, honnêtement, je l'apprécie beaucoup, mais j'attends que l'enquête soit terminée pour...

Oh, enfin !

C'est quoi les chansons qu'on écoute quand on écoute boleurs de 20-30 ans aujourd'hui ?

Moi, j'écoute Snoop.

Ah oui, mais c'est du vieux rap, Snoop.

Mais moi, je ne suis pas jeune non plus, donc...

Snoop.

Vous écoutez Snoop, vous, Jean-Pierre.

Snoop au chou.

Jean-Pierre, il écoute Snoop Doggy Bug.

Expliquez à Isabelle, et même un peu à moi.

Et à Jean-Pierre, qui sait Snoop alors ?

Ben Snoop Doggy Dog, il est connu quand même.

Ah ! Ben oui, mais si vous ne dites pas son nom en entier, c'est comme pour l'adresse d'Angarna, vous comprenez.

Ah, ben, ben, ben, ben.

Non, mais j'aime bien ce qui est un peu tranquille, et bon, il fait des musiques qui sont pas trop...

C'est pas mal, oui.

Qui sont pas trop durs.

L'autre là-bas, Bernard Mabille, qui dit c'est pas mal, après.

Enfin, c'est...

Alors, Bernard, entre Kanye West et Jay-Z et Drake, à ton avis, qu'elle est plutôt la tendance de 2016 ?

Ils sont un peu ringards les trois, là.

Vous voulez faire John, Saint-Dernard ?

Mais non, mais j'aime bien, il y a des trucs que j'aime bien.

J'ai le droit d'aimer un peu de rap, quand même.

C'est pas vrai.

J'aime beaucoup mettre Guim, j'aime beaucoup Snoop...

Ah, du rap, tu es que sur les pattes, hein ?

Snoop Dog, Snoop Dog, Snoop Dog...

Snoop Dog, oui, Snoop Dog...

Non, mais Dick Hanegard, c'est quand même très, très joli, mais on vous passera un album, alors...

Ouais, ouais, d'accord.

Isabelle Mergo peut vous inviter, je suis sûr qu'elle a les disques à la maison, elle peut vous inviter chez elle.

Elle veut pas m'inviter, je crois.

Elle a bien un nom catégorique.

Non, il est marié.

C'est vrai, quand même, il peut venir écouter de la musique chez vous, sans qu'il passe...

Ah non, un mec qui vient sûrement cadaper, écouter de la musique, il va directement dans mon lit après.

Bah sinon, ça va, quoi, pourquoi lui là ?

Ah, c'est vrai, on peut pas venir juste écouter de la musique.

Vous savez pas, il y a des endroits pour ça.

C'est une approche de la musique.

Tu fais jamais de dîner chez toi.

Ça fait trop de monde dans ma chambre.

Ha ha ha, ça reste que...

Ha ha ha, t'es fou.

Et vous ?

Et tu écoutes pas de la musique avec tes enfants ?

Si, c'est un poli.

Et vous, Jean-Pierre, pareil, on peut pas venir écouter de la musique chez vous, sans qu'il se passe quoi que ce soit, alors...

Mais non, pourquoi vous venez nous embêter chez nous, à toute la musique ?

Restez chez vous, si vous venez chez nous, c'est pour baiser ou pas ?

Ah non, ça m'arrive d'aller chez des amis, sans pour autant.

Mais jamais, monsieur !

Enfin, je sais pas, Gérard, vous allez bien chez des amis, sans penser...

Oui, mais maintenant, j'écouterais plus de musique.

C'est quand même pas...

Regardez les footballeurs, ils font que ça, d'écouter de la musique ensemble.

Parce qu'on a que ça à faire, nous.

Non, mais ils sont au vestiaire ensemble, ils sont sous la douche ensemble aussi.

Ah, ça y est, voilà.

On y était pas encore, allez, sous la douche.

Qu'est-ce que vous voulez lui poser comme question ?

Rien du tout, mais je sais pas ce que je m'en fous.

Il fait ce qu'il veut, sous la douche.

Moi, chez moi, on écoute pas de musique.

On passe d'abord sous la douche.

Qu'est-ce qu'on doit se faire chier chez toi, les gens ?

C'est bien pour ça que je ne t'invite pas,

c'est pour que tu ne t'ennuies pas.

Ça se trouve, il a un pédilu, va l'entrer chez lui.

Non, mais vous savez que j'ai une douche pour 5-6.

D'abord, qui vient sous votre douche ?

Elle n'a pas les noms.

Je ne regarde pas, c'est bien ça.

Je n'ai pas de raison de vous dire ça.

Si vous voulez que ça soit...

Oui, quelquefois, mon chien...

C'est dégueulasse.

Mon chien n'aboie pas comme ça.

Après, si !

Tout le monde est vraiment un poil, si t'as du chien.

Après, si !

Sérieusement, vous prenez votre douche avec votre chien, Jean-Pierre ?

Ça peut m'arriver, oui.

C'est toujours les bassets...

Bassets haut de douée.

C'est pour ça que tu as une grande douche pour pouvoir te mettre à quatre pattes.

Il fait éponge, il vient se frotter sur ta jambe.

Il n'est pas très dur, le nono, aujourd'hui.

Les réflexions du chien, c'est un nono,

mais ce n'est pas un nono, ça moelle.

Quand tu lui lances la savonnette, il la ramène ?

Mais c'est de la botte.

Et après, il dort devant ta porte,

mais il n'empêche...

Mais non, les chiens ne rentrent pas chez moi.

Oui, mais il n'empêche pas.

Il rentre chez moi pour se faire doucher.

C'est tout.

Ça sert à quoi d'avoir un chien si c'est pour le laisser dehors et pas en profiter ?

Après, ils se ressalient, sinon ça sert à rien pour la vie.

Ça sert à rien de leur laver, c'est les propres.

Mais ça s'appelle l'éléphant bleu chez toi.

En fait, à l'entrée, il y a deux pour rouleau.

T'imagines s'ils parlent des chiens,

oh putain, c'est mon tour de la douche, merde.

D'hors, ils sont en liberté.

C'est des basséounes, tu vois ce que c'est ?

Il y a rien de plus lait.

Il y a les oreilles qui marchent par terre,

ils ont les yeux rouges,

et ça barbe.

Il y a les couilles qui traînent.

Ce n'est pas les boulons de porte.

Les gros bassets, tu sais ?

Non, très gros, qu'ont des grosses pattes

qui mettent trois heures à avancer, etc.

Ah mais ça va très, très vite, excuse-moi.

Ah oui, pas à toi, oui, oui.

De tout.

C'est le chat qui chasse le sanglier.

Oh, c'est la douche !

Mais ça ne chasse que le sanglier déjà mort.

Il se jette sur la brosse à dents,

parce qu'elle t'empoile le sanglier.

C'est ta faute au truc-là.

Je vous imagine avec vos trois chiens sous la douche.

Mais qu'elle aura.

Et c'est le chat qui tourne le robinet ?

Oh, je crois que j'ai fait le robinet !

Ah ah ah ah ah ah ah !

Une question pour Clara Fortier,

qui habite en Sonnaie de Loire-Sder,

à l'occasion de toutes les polémiques

autour du président, enfin ex-président,

puisqu'il est mis en repos

de la Fédération Française de football.

Je ne vais pas vous demander son nom.

Vous le connaissez à noms.

Le rugby, c'est le grec sport.

Oh là là là, mais c'est pas possible.

J'avais oublié un mot dans votre phrase.

Là, vous parlez de Noël Le Gret, en l'occurrence.

Exactement, Noël Le Gret.

Je n'en parle pas directement,

mais c'est ce qui m'a donné l'idée

de vous poser cette question,

parce qu'il est breton.

Alors vous savez forcément

comment on dit guet au pluriel en breton.

Comment on dit guet au pluriel en breton.

Vous parlez d'un guet pour traverser ?

Oui, pas d'un guet.

Non mais je te demande moi.

Vous pouvez m'aider

à aller de l'autre côté de l'avenue, Charles Devaule,

si vous voulez.

Un guet peut aider à traverser,

c'est vrai.

Ah, j'ai compris !

Comment on dit au guet au pluriel en breton.

C'est pas ribine ?

C'est un lien avec le nom de ce monsieur là.

Alors c'est un lien avec monsieur.

Le grec.

Le grec.

Le grec, il y a un direct,

puisque je vous dis c'est comme ça

que j'ai trouvé cette question

à destination de madame Carrafour.

Ah parce que lui ça veut dire autre chose,

lui ça veut dire la baie ou je sais pas quoi, c'est ça.

Ah, c'est d'ailleurs un guet.

Pourquoi on saurait ça ?

Alors c'est vrai que j'ai eu et.

Pourquoi est-ce qu'il faudrait savoir ça ?

Parce qu'on le sait.

On le retrouve dans le nom de plusieurs villes Breton.

De villes Breton, non.

Est-ce que ça fait Breton ?

On connaît ça en Bretagne.

Crêpe.

Complète.

Ça a donné son nom à autre chose.

Est-ce que c'est lié au sport ?

C'est lié au football.

Soutane ?

Soutane de Soutane, c'est petit pont en Breton.

Pelouse, pelouse.

Soutane c'est souvent guet au pluriel, c'est sûr.

Guet au pluriel, ça c'est pénalti.

Pénalti.

Pénalti, mec.

Libéros.

Est-ce que ça désigne un objet ?

Un objet, non.

Ah c'est un joueur, c'est un joueur.

Un joueur, non.

Ah, guet au pluriel, c'est carton jaune.

Non, pas du tout.

C'est du breton, comme on dit ton guet au pluriel.

Est-ce qu'on recommande un match de foot ?

J'utilise ce terme.

Ça dépend quel match de foot.

C'est le nom de la poule.

Quelle poule.

Playoff, playoff.

Barrage.

Quand on connaît pas Armand Carrel,

on n'aura rien à être pensé sur le football.

C'est un mot clairement de foot lié au football.

Bien sûr.

Est-ce que c'est lié au ballon ?

Vous êtes trop dans le jeu du football.

Ah, c'est plutôt une rencontre.

C'est du breton.

On n'utilise pas le breton.

Qu'est-ce qu'il y a à vous ?

Je ne comprends pas votre question.

Ah merguez, merguez.

Ah non.

C'est breton, merguez.

Il a faim, il a faim.

Vous allez avoir honte.

On a le temps.

On n'a pas que ça à faire.

Comment vous dites ?

Dis alcohol breton la prochaine fois.

C'est un lien avec l'organisation des matchs.

L'organisation pas tout à fait,

mais un peu comme elle.

C'est le nom d'un type de rencontre.

C'est le nom d'un type de rencontre.

Le toss, la tossaine.

C'est ça, c'est pas du tout.

Mais qu'est-ce que c'est ?

Parce qu'à Papeaule, il y a la plage de la tossaine.

Mais c'est pas Papeaule.

Il y a quand même un gros indice que je vous ai donné.

Avec le grec.

Il est dans un club.

Il faut trouver le club.

Gangon.

On dit le gangon.

On brûle.

Le gang, le gang.

Le gang.

Il s'appelle...

Le club de gangon.

C'est le club qu'il faut trouver.

Le club, c'est gangon.

Qu'est-ce qu'il se passe ?

Il y a un joueur.

Non, pas un joueur.

Le capitaine, Gangon.

Mais non.

Le estadounid, le Roudourou.

Le Roudourou.

Pas la réponse de Yoann Riou sur le fil.

J'ai joué le Roudourou.

J'assistais à un milliard de matchs sur Roudourou.

Roudourou.

C'est la quartier de Gargon.

Roudourou, ça veut dire gay au plus.

Roudourou aussi.

Merci Laurent pour cette question, j'ai appris un truc.

Roudour, ça veut dire gay.

Et on ajoute un ou quand il y en a plusieurs.

Roudourou.

Et le stade du Roudourou, ça veut dire gay au pluriel.

Ça devrait être des Roudourou normalement.

Pardon.

On a compris, mais c'est un pluriel.

Tu te prends pour le professeur Roland ou quoi ?

Il faut chercher le monde comme ça.

Comme tu le faisais pas.

Comment vous avez l'idée, Laurent ?

De quoi, donc ?

Cette question, c'est vrai que c'est...

Mais arrête de lui serrer les pompes, ça va.

Tu vas revenir la semaine prochaine, t'inquiète.

Le Roudourou, c'est le nom du stade de Gingan.

Et M. Le Graet a été, avant d'être président

de la Fédération Française de football,

longtemps évidemment président du club de Gingan.

C'est son club Gingan à M. Le Graet.

Il a tout fait.

Et quand on connaît Gingan, on pense au stade,

le nom du stade, c'est Roudourou.

Et on se dit, tiens, pourquoi Roudourou ?

On réfléchit, on regarde.

On fait une enquête, je suis ouvert mes 10 livres avant de trouver.

Et là, quand j'ai vu que c'était gay au pluriel,

je me suis dit, tiens, en présence de gros grands et rayous.

Ça va le faire.

C'est une question, c'est le jour où jamais pour la poser.

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