Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du vendredi 6 octobre 2023
RTL 10/6/23 - Episode Page - 1h 40m - PDF Transcript
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Bonjour, heureux de vous retrouver.
...
Avez-vous aujourd'hui une grosse tête dans le Nouveau-Livre.
Pénie Sorribilis n'est pas dure à trouver.
Marcela Yacoube.
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Une grosse tête qui n'est plus facile de voir au cinéma
dans les secrets de la princesse,
de cadignants que dans les grenins d'un match de rugby arrière.
D'en bas.
...
Une grosse tête ex-championne de France,
de triple-saut et devenue loin d'être une triple-sotte.
...
Bonjour.
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Une grosse tête qui est l'homme le plus rapide du monde
pour éplacer son nom,
Azz.
...
Une grosse tête qui, dans un avion comme au théâtre,
aime voir les gens bien assis dans un fauteuil.
Jean-Françer.
...
Et une grosse tête.
Il est en train de raccoler.
...
Une grosse tête dans les histoires au-dessous de la ceinture,
sur au-dessus du lot.
Jean-Marie Bigard.
Merci.
...
Merci.
...
Vous voulez qu'on démarre par une petite histoire
pour faire rire Henri El-Dombal, Jean-Marie ?
Oui, c'est trois vampires.
Ils sont au bar, ils commandent un verre de sang chaud
et l'eutain un verre de sang froid.
Et le troisième, il dit,
moi, j'ai prendre juste un verre d'eau chaude.
Et les deux autres, il dit,
si il t'arrêve, il sort un tampon de sa poche
et dit, moi, je préfère les infusions.
...
C'est pour toi, Henri El-Dombal.
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Ah non, alors là...
...
Je suis désolé, Henri El-Dombal.
Ah oui, oui, oui, là, là, là, là.
Quand je pense qu'il y a pas cinq minutes,
il me disait, j'aimerais bien que t'écrives une pièce
pour Henri El-Dombal et moi.
...
Si ça va être comme ça, bon.
Non, non, jamais de l'avis.
Justement, c'est là qu'on va se surprendre.
Ah oui, parce que si j'écrivais une pièce pour vous,
je ferais dire à Henri El-Dombal les pires cochonneries.
Ah oui, moi, je serais effusqué.
...
Non, mais écoutez, Monsieur Bigard,
j'espère que vous nous réservez des histoires...
Ah oui.
... un peu plus, comment dire, un peu plus...
Bah, raffiné.
Voilà, voilà.
Bon, c'est vous qui allez donner le modèle.
...
Heureusement qu'on a quand même M. Azqui, là,
qui est l'homme l'humoriste le plus élégant de Paris, n'est-ce pas ?
Absolument.
Il y a un cuban qui m'a arrêté dans la rue il y a deux jours
et qui m'a raconté une blague pour de vrai
qu'on trouvait très bonne.
C'est l'histoire d'une mère et son mari,
qu'ont trois filles qui sont maintenant très grandes
et qui habitent toutes dans leur appartement.
Et la mère décide d'aller visiter ces trois filles.
Donc elle va voir sa première fille, elle toque,
et sa première fille lui ouvre toute nue.
Et elle lui dit, mais qu'est-ce que tu fais et tout ?
Elle lui dit, bah écoute, c'est comme ça, maman,
maintenant, ça, c'est la tenue de l'amour.
Sa mère a dit bon, ok, elle comprend pas trop et tout.
Elle part et elle va voir sa deuxième fille.
Elle toque sa deuxième fille.
Sa deuxième fille lui ouvre la porte
et elle lui ouvre la porte toute nue aussi.
Elle lui dit, mais qu'est-ce que tu fais et tout ?
Et elle lui dit, bah c'est ça, maman,
c'est la tenue de l'amour, en fait.
C'est la nouvelle tenue, c'est la tenue de l'amour.
Sa mère a dit bon, ok et tout.
Elle va voir sa troisième fille, elle toque sa troisième fille,
lui ouvre pareil, à poil et tout.
Elle dit, mais c'est pas possible, qu'est-ce que c'est ?
C'est quoi cette histoire ?
Elle dit, mais maman, ça, c'est la tenue de l'amour.
Elle rentre chez elle et elle dit, bon, ok,
son mari va bientôt rentrer et tout.
Elle se met toute nue et elle attend son mari.
Son mari, il arrive comme ça, il ouvre la porte.
Il dit, mais qu'est-ce que tu fais ?
Et elle dit, bah écoute, c'est la tenue de l'amour.
Son mari, il dit, ok, mais t'aurais pu repasser quand même.
Bon, bah écoutez, je crois qu'il est temps de passer
aux premières citations.
On va attendre tout à l'heure le concours des histoires drôles
avec un auditeur pour remettre ça en attendant.
J'ai une citation pour Gérard Stéquer, qui habite ville juive,
qui a dit, moi, je ne connais pas encore le Christ,
parce que ça ne fait pas longtemps que je suis dans le showbiz.
Alors est-ce que c'est un français ?
C'est Conuch, bah, la réponse.
Le monsieur Asse, une autre citation pour Sabine Mortier,
qui habitait que sans Provence, qui a dit,
le lotus, c'est une position qui nettoie la tête et le cul.
Dépreuve, Jean-Marie Biga.
Non, mais pas loin.
Laurent Bafi.
Laurent Bafi, bah, la réponse.
Le Jean-François Jean-Séne.
Oui, je me souviens.
Pour Louise Duhault, qui habite Saint-Homère dans le Pas-de-Calais,
qui a dit, si Darwin avait raison, alors qu'il est,
mon chien serait capable de se servir d'un ouvre-bois.
Vous dis Allen, non ?
Non, non, non, mais c'est un humoriste...
Américain.
Alors, est-ce qu'il est américain ou britannique ?
Non, il est britannique au départ.
Vicky Gervais.
Vicky Gervais, bonne réponse.
Le ponton, il est né avant le pont.
Eh oui.
Une situation maintenant pour Mickael Lam, qui habitant Mayenne,
qui a dit, un académicien, c'est un type qui a un pied dans la tombe
et qui écrit avec l'autre.
Dac, Pierre Dac.
Pierre Dac, non, c'est très méchant.
C'est vrai pour les académiciens français.
C'est proche, c'est proche.
C'est pas Jean-Yann, mais on n'est pas loin.
Comme Jacques Martin.
Jacques Martin, bonne réponse.
Le Jean-Marie Bigard.
Plus difficile pour François de Fourni, qui habite près,
alors Belgique, qui a dit, c'est un extrême malheur
d'être sujet à un maître duquel on ne peut jamais assurer
qu'il soit bon, puisqu'il est toujours en sa puissance
d'être mauvais quand il voudra.
Ça, c'est 18e ou 19e ?
C'est la fontaine.
Joseph de Maestre.
Non, c'est du XVIe siècle.
C'est lui qui a écrit Gargantua ?
Non, Rabelais.
Montaigne.
Alors on n'est pas loin.
La Boécy.
La Boécy, bonne réponse.
Parce que c'était lui, parce que c'était moi.
C'est trop beau.
Montaigne et la Boécy.
Ils n'étaient pas un peu Montaigne et la Boécy.
Oui, mais je pense.
Elles couchent ensemble ?
On ne sait pas, on ne sait pas.
Oui, c'était très proche.
Il n'y avait pas Grindr, à l'époque, et pourtant.
Oui, mais tu vois, c'est vieux, vieux, l'homosexualité.
On n'a rien inventé.
Etienne de la Boécy, discours de la servitude volontaire.
Oui, tout magnifique.
Et c'est de là, évidemment, qu'il a extrait ce texte.
On comprend mieux.
C'est un extrême malheur d'être sujet à la Maître,
duquel on ne peut jamais s'assurer qu'il soit bon,
puisqu'il est toujours en sa puissance d'être mauvais,
quand il voudra.
J'imagine, effectivement, que c'est extrait
du discours de la servitude volontaire.
Et c'était bien Etienne de la Boécy.
Bravo, Rachel Kahn !
C'est comme nous, ici, hein.
D'accord.
On ne conteste pas l'autorité du chef.
On obéit, hein.
Je vous fais peur, monsieur Bigard, vraiment.
Oui, parfois, oui.
Vous êtes craint, vous êtes craint.
Pardon, vous êtes craint.
Je suis quoi ?
Vous êtes craint.
Je suis craint.
La vie, on va vous craint.
Dans le monde du choubis, on vous vous êtes craint.
Du craint.
Ah ben, je suis craint.
Regarde, il y en a plein.
Ça vient de ça, qu'il a une bide de cheval.
Oh, non !
Oh, non !
Ben, écoutez, finalement, les deux vont très bien.
Une question d'actualité pour Yohann Cournier,
qui habite Ison.
Pour quelle raison les ex-Écoliers que nous sommes
avons été très déçus hier
par l'annonce de monsieur Denis Borel ?
Il n'y aura pas d'uniforme à l'école.
Non, pas du tout.
Hier, monsieur Denis Borel a fait une annonce importante
qui a déçu beaucoup de vieux écoliers.
Quand je dis vieux écoliers,
des gens de notre âge qui ne sommes plus écoliers,
il y a une discipline qui n'aura plus lieu à l'école.
Ah non, c'est pas ça.
C'est un livre.
Ah non, c'est pas un livre.
C'est par rapport à la récré ?
Ah, la récré, non.
Il faut peut-être trouver le métier de monsieur Denis Borel.
Il est ministre de...
Ah non, il n'est pas ministre.
Pas dans l'éducation nationale.
Non, pas du tout.
Il écrivait pas les manuels ?
Pardon.
Est-ce qu'il écrivait les manuels ?
L'écrit pas de manuels, mais en tout cas, sans travail,
on le retrouvait et on le retrouve dans les...
Des ardoises, des ardoises.
On a supprimé le bled.
Comment ça ?
Le fameux bled qu'on a tous connu.
Ah non, non, non.
Le livre de grand-mère.
Est-ce qu'il était dans les livres d'histoire, ce monsieur ?
Pas d'histoire.
Mais c'est pas lui.
C'est pas lui directement.
C'est son travail qu'on retrouve dans les manuels.
Des dessins, des illustrations, non ?
Non, mais vous avez dit quelque chose d'intéressant avant.
Ah, c'est rare.
Avant, il a bâpouillé.
Donc, je n'ai pas compris.
Il y en a un qui a dit dans les livres
des géographies.
Géographies, j'ai dit.
Vous avez dit géographies.
Les cartes.
Non, les cartes, des rivières.
Les dessins.
Les dessins.
C'est plus précis que ça.
Vous voyez, vous kaffez monsieur Borel,
dont il a fait l'annonce hier.
La matemonde.
Pardon ?
La matemonde.
Non, la carte de vente.
La dernière carte de vente.
Mais tout ça, ça a déjà été fait.
Mais oui, oui.
Qu'est-ce qu'il fait régulièrement, monsieur Borel ?
L'horoscope.
Non.
Vous aviez l'horoscope à l'école.
Une fois, j'ai ouvert mon livre de géos,
je suis tombé sur Gémo, vous êtes en forme.
Alors, est-ce qu'il mettait les mots importants
en caractère même ?
Non.
Est-ce qu'il calculait quelque chose,
comme il n'y a plus, et on ne peut plus le mettre
dans le livre ?
On se rapproche.
Une mesure de distance, les mailles, c'est des kilomètres.
Non.
Des nœuds.
Des nœuds.
C'est pas des nœuds.
Pensez à autre chose, vous.
Il faisait les équivalences de mesures.
Des conversions.
Mais non, non.
Dans la géographie, tu te convertis, quoi.
Qu'est-ce qui mesure ?
Qu'est-ce qui mesure tous les deux ans, il fait ça ?
Les péripéties.
Mais non !
Quelles péripéties ?
Tous les deux ans.
Je voulais dire les précipitations.
Alors, c'est une mesure, et c'est tous les deux ans.
Oui, tous les deux ans, il mesure quelque chose.
Eh ben, le sommet du Mont Blanc.
Eh ben, voilà !
Bonne réponse de Jean-Fu Jansen !
Alors, il a perdu deux mètres.
Alors, attendez, je vérifie combien vous aviez appris à l'école, vous.
Alors, 4807.
Bravo !
4807.
On a tous appris ça.
Sauf que maintenant, il ne fait plus que 4805 mètres de Mont Blanc.
Mais non, mais il paraît que justement,
heureusement, la calotte n'est pas touchée.
Ouais !
Non !
Parfois, effectivement, il est plus haut.
Parfois, il est plus bas.
Il faut pas trop qu'on s'inquiète.
Je comprends pas pourquoi.
Pourquoi il l'a lève, alors ?
Parce qu'il a perdu deux mètres.
Alors là, il a perdu deux mètres.
Maintenant, il faut apprendre, en ce moment, 4805 au lieu de 4807.
Mais la calotte est toujours là.
Sachez qu'en 2011, c'était l'inverse.
Il avait pris deux, trois mètres.
Il était à 48010 mètres de Mont Blanc.
Oui, oui, c'est vrai.
Bon, il y va pas tous les jours à M....
Il est géomètre.
M. Borel.
Géomètre expert en haute savoie,
président de la Commission pour la mesure du Mont Blanc.
Et effectivement, tous les deux aurons.
Alors, ils sont deux,
parce qu'il faut qu'il y en ait un haut qui tienne deux mètres.
Et il y a celui qui est en bas qui tienne le bout.
Il y a un gros rouleau.
Mais qui est le premier qui est en bas ?
Je ne dis pas quand il remballe le rouleau.
Ça, si tu le prends dans la gueule, ça va vite.
Mais t'imagines qu'elle mette, il y a la conne de faire ça, non ?
Eh ben oui, mais ça prend deux ans, on faut monter là-haut.
Et alors, il y a celui qui est là où il fait
« ne bouge plus, tu m'entends, tire de ton côté pour voir ».
Non, parce que c'est vrai qu'il faut que ce soit précis.
Oui, vous imaginez bien.
Mais maintenant, il y a le GPS, c'est le toit de l'Europe.
Bravo, monsieur.
J'aime bien les montagnes.
Moi, le Mont Blanc, ma mère, elle le mettait à 3 mètres pour pas que je l'attrape.
C'était la crème au chocolat.
Le Mont Blanc, ce n'est pas la crème au chocolat, le Mont Blanc.
Non, c'est du marron.
C'est du marron, crème de marron avec crème fraîche au-dessus.
Mais non, c'est le Mont Blanc.
Non, c'est le Mont Blanc.
Mais ça, c'est chez Angelina.
Oui, c'est chez Angelina.
Mais oui, enfin, vous ne parlez pas de Louis Courrier.
Le Mont Blanc, il était en boîte de conserve.
Ah, d'accord.
Enfin, bah oui.
Chacun, on en fasse un réel.
Le Mont Blanc, le Mont Blanc.
On allait boire à 17h au chocolat.
Non, mais je n'ai jamais...
Avec la crème du marron.
Je n'ai jamais entendu quelqu'un qui mange un Mont Blanc en boîte de conserve.
Non, non.
En tout cas, dans l'art de la grande tradition culinaire française.
Oui, madame.
Un Mont Blanc.
C'est toujours de la crème de ma boîte, de la crème fraîche au-dessus.
Mais non, pour les gens, les Français qui nous écoutent, les Français que je suis, madame.
Et bien, le Mont Blanc, c'est une boîte de conserve avec de la crème.
Et vous, les joudis arriels, vous êtes passés à côté de quelque chose.
Ah, oui, oui.
Demain, je vous apporte une boîte de Mont Blanc.
J'ai déjà goûté un petit suisse.
Non, mais c'est la première fois que j'entends.
Et elle a dit, oh, c'est bon, un catalogue.
Non, franchement, moi, je l'ai acheté encore avec un...
Moi, je savais pas qu'il y avait de la pâtisserie en boîte.
C'est pas de la pâtisserie, c'est de la crème.
En fait, écoutez, vous ne connaissez rien.
Mais vivez un peu...
Soyez pauvre.
Oui.
C'est des vrais valeurs.
Remarquez-moi, j'en ai encore.
Maintenant, j'ai une boîte de Mont Blanc, mais c'est trois stylos.
Ha, ha, ha.
Comme quoi, voyons, on ne change pas.
Ha, ha.
RPL.
C'est vrai.
Répondent aux auditaires.
Bonjour, Philippe.
Philippe qui est dans son camion, peut-être.
Oui, bonjour, Laurent.
Moi, c'est Laurent.
Ha, ha, ha.
Vous, c'est Philippe, moi, c'est Laurent.
Et vous êtes Normand, vous aussi, je crois.
Oui, oui.
Mais la basse Normandie.
Oui, vous m'écrivez, j'habite la vraie Normandie.
Je ne suis pas de la vraie Normandie, moi.
Oui, non.
La haute Normandie, c'est la Normandie des Parisiens.
Ha, ha, ha.
Pardon, mais je dirais plutôt l'inverse.
La haute Normandie, c'est le Havre, Dieppe, Etreta, c'est la vraie Normandie.
Et la Normandie des Parisiens, c'est Deuville, Enfleur, Cabourg.
Pardon de vous dire.
Cherbourg.
Oui, mais le Touquet plage, c'est Paris plage.
Mais le Touquet, c'est plus...
C'est plus en Normandie.
C'est plus en Normandie.
C'est tant que vous êtes routiers chez qui, vous ?
Oui.
Vous n'êtes pas l'air de bien connaître la géographie,
parce que le Touquet, c'est pas en Normandie.
Ah, bon.
Bah non.
C'est à où ça, c'est à la...
Philippe, fuck, qu'est-ce que c'est que ça, Philippe ?
Ah bah oui, mais je fais du petit parcours, moi.
Ah bah...
Oui, excusez-moi.
Oui, je le constate, parce que c'est tout le contraire de ce que vous dites.
La Normandie des Parisiens, pardon de vous dire,
mais la Normandie des Parisiens, c'est Deuville, C'est Enfleur, C'est Trouville,
C'est Cabourg, vous voyez, alors que la vraie Normandie, celle où les Parisiens ne vont pas,
c'est justement le Havre, vous voyez, la Hôte Normandie, Rouen.
Oui.
Moi, je suis de Grandville, donc Grandville, c'est plus loin.
Je crois pas que ça serait plus simple de demander pardon.
Oh...
Alors, là, Philippe, d'habitude, c'est nous qui...
Vous allez être obligés de nous donner votre montre, Philippe.
Bon, vous êtes camionnord, où et qu'est-ce que vous faites exactement ?
Qu'est-ce que vous travaillez ?
Enfin, quand je dis qu'est-ce que vous travaillez, c'est une question, pas une constatation.
Je promène des voitures.
Ça, c'est toujours la hantise quand on est derrière, un camion.
Mais ça ne s'appelle pas camion, ça s'appelle remorque.
Non ?
Vous êtes toujours là, Philippe ?
Oui, bien sûr.
Vous voulez vous demander, qu'est-ce que vous pensez de Marseille à Petiteville, à côté Deuville ?
Philippe, on va quand même vous envoyer une montre RTL, vous voulez ?
Oui, si vous voulez.
Mais par contre, tout le monde voudrait, surtout, recevoir RTL.
Pourquoi recevoir ?
Ah, vous captez mal dans votre camion ?
Oui, je capte très, très mal.
Ah, oui, il va pas changer de poste.
Surtout en basse normandie, dans la foule.
Ah, oui.
C'est ça.
Quand on sera tous les huit dans le camion,
tu vas voir que ça sera moins facile de conduire.
On vous embrasse, en tout cas, Philippe, et on vous envoie une montre RTL.
Alexandre, maintenant.
Bonjour Alexandre.
Oui, bonjour Laurent, bonjour les kits.
Vous allez bien, Alexandre ?
Alexandre réclame un vaccin parce qu'il a chopé le virus des grosses têtes, c'est ça ?
Oui, exactement.
En fait, c'est à cause ou grâce, on va dire grâce, surtout de mon père.
Oui.
Totalement un seigne de vous depuis gamins.
Toutes les émissions que soit télé, radio, soit ils venaient vous voir,
soit on les regardait à la maison.
Ah oui, et ça commence à faire.
Et ça fait que je me régale et surtout les grosses têtes quand je travaille, c'est génial.
Et vous êtes traiteur de 28 ans à Cannes, c'est bien ça ?
Oui, je travaille sur le marché fourville à Cannes, je sais pas si vous vous voyez.
Oui, je vous vois bien.
Et comme vous êtes traiteur, vous pouvez nous traiter de quoi alors ?
Bah traiter d'excellentes.
Oh, c'est gentil.
Oui, gentil.
Oui, gentil.
Je fais tout ce qui est produit de la mer sous deux poissons bouillabaisse.
Et d'ailleurs, M. Bigard l'a déjà goûté.
Ah d'accord, oui, c'est bien possible, mais ça me revient, maintenant vous me le dites.
Souvent, la bouillabaisse, ça revient, oui.
Comment s'appelle votre service de traiteur à Cannes ? Faites votre pub, profitez-en.
Alors moi, c'est Las Gourmets. Je suis carrément à côté des pêcheurs, c'est Las Gourmets.
Très bien, Las Gourmets.
Et vous allez nous voir à Saint-Rafael quand on viendra à la fin octobre.
J'ai essayé, mais j'ai pas réussi à avoir de plat.
On va s'arranger, attends.
On va vous prendre au-dessus des poils.
On va prendre votre nom, Alexandre, et puis on va s'arranger.
Si vous nous amenez de la bouillabaisse, c'est parce que souvent on a du mal à trouver un restaurant.
Ah oui, et la rouille, surtout, là, c'est bon.
Ah oui, la rouille, en plus, moi, elle est faite maison et je vous certifie que quand vous la mangez, il n'y a qu'une moustique, il n'y a plus rien.
Ah ouais, c'est pour ça, j'en veux, j'en veux pas de la rouille.
De la rouille, on en aura parce qu'on vient avec Roselyne Bachelot et Isabelle Nersgo.
Ah oui, donc vous avez six fois, vous avez six fois.
Et on sera à Saint-Rafael le 20 octobre, à 19 heures, à l'Estérel Arena, avec Jérémie Ferrari, Sébastien Toen, Roselyne Bachelot, Stevie Titoff et Isabelle Mergo.
Voilà l'équipe de Saint-Rafael pour le 20 octobre.
On vous remercie, Alexandre, on vous met de place.
Pierre.
Bonjour Laurent.
Bonjour Pierre, vous vous êtes à Bruxelles ?
Absolument une fois, et je suis un fan de Rachel Kahn.
Ah !
Ah bon, ça va lui faire plaisir à la petite Rachel.
Vous dites vous a retrouvé.
Ah !
Bervilleuse.
Je voudrais vous dire le plaisir d'écouter Rachel Kahn, ses interventions toujours brillantes, elle est cultivée, rayonnante,
un bon équilibre avec Marcela Yacoube, Ariel Dombal, qui, elles, sont plus explosives.
Bon, en tout cas, moi, Pierre, ça me touche beaucoup vos mots, vraiment, je suis très touché.
Non, vous êtes formidable, vous êtes courageuse, j'aime bien vous lire, j'aime bien vous entendre.
Courageuse, elle a la radio, c'est tout.
C'est agiré nos bulles, elle.
Courageuse, elle ne peut pas nous entendre plus, quoi, la radio.
Vu d'où elle part, c'est vrai qu'elle est courageuse, hein.
Sinon, si tu veux venir me voir, Pierre, je suis à Liège, le 26, et à Louvain, la neve, le 28.
Mais tu vas faire quoi ?
Je vais jouer mon nouveau spectacle.
J'arrête les conneries.
Je ne peux pas avoir de place, ah ben oui.
Ah ben, tu as des places, Pierre, je te mets des places, sans problème.
Ah, merci beaucoup.
Pour Liège ou pour Louvain, Pierre ?
Pour Louvain.
Ah, pour Louvain.
Alors, tu veux combien de places, Pierre ?
28.
C'est un peu beaucoup.
C'est le nouveau spectacle de Jean-Marie, j'arrête les conneries.
Mais on n'était pas au courant.
C'est Monsieur Ruequeux qui a trouvé le titre de mon nouveau spectacle.
J'arrête les conneries.
Oui, c'est vrai, oui.
Parce qu'il était temps.
Mais pourquoi on ne savait pas ?
Pourquoi on n'était pas au courant, nous ?
Moi, je n'étais pas au courant.
Mais qu'est-ce que je suis en tournée dans toute la France ?
Je serai à Genève, le 13, par exemple.
Tu vois, le 13 prochain et le 14, je serai à Lausanne.
Toujours, on va en Suisse pour aller planquer l'argent qu'on a gagné.
Exactement.
On termine avec François, maintenant.
Bonjour François.
Bonjour Laurent, bonjour l'équipe et bonjour à tous les auditeurs.
François est là, s'il est au chômage depuis maintenant une semaine.
Mais il n'y a pas du mauvais dans le chômage.
Maintenant, je peux vous écouter tous les jours en direct, c'est ça ?
C'est bien ça.
Et d'ailleurs, si vous recherchez à un membre dans votre équipe,
je suis disponible dès lundi.
Quel genre de membre ?
Oui, faut préciser.
Pourquoi vous êtes niveau grosse tête, cultivé ou drôle ?
Très bien.
Ecoutez François, c'est un peu compliqué.
Faisiez quoi avant ?
Je travaillais dans le domaine bancaire.
Ah oui, vous devez travailler.
C'est drôle.
C'est drôle.
Ce mec, généralement, ils sont fonda.
On nous embrasse, François.
Les grosses têtes avec Laurent Rukier,
c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.
Toujours avec Cariel Dombal,
Jean-François Jansen,
Rachel Cannes, Marseille à Coupe,
Aze et Jean-Marie Bigard.
Une question pour Isabelle Ervo, qui habite mon Sainte-Aignan,
c'est en scène maritime.
On reparle pas mal.
Quand je dis « on reparle », je dois dire que j'ai découvert
pour la première fois ce mot dans la presse depuis hier,
depuis 24h.
On parle beaucoup du Ninorsque dans la presse.
Mais qu'est-ce que le Ninorsque ?
La punesse de lit ?
Non, pas du tout.
C'est une langue, c'est une langue.
Alors que vous êtes obsédé vous aussi par les panneaux de lit.
Non, c'est une prise en coisse.
Non, mais c'est vrai, on peut pas ouvrir un journal
sans tomber sur une pudée.
Qu'est-ce qu'on en a à battre des funèles ?
Parce que je vous souhaite d'en avoir chez vous.
Vous allez voir que ce que c'est un enfer.
Qu'est-ce que ça provoque comme effet ?
Alors, la journée, rien parce que ces petites mers d'elles dorment.
Médé le soir venu, elles le sentent.
Et là, elles ont besoin de sens, une nourrice de sens,
c'est des bêtes vampires.
Donc, en général, elles se mettent là où couche, dans ton lit.
Et plaignez-vous.
Et là, t'es piqué là, t'es piqué là, t'es piqué là, t'es piqué.
Tu n'arrives pas à dormir, t'es angoissé parce que ça,
tu les vois pas parce que c'est grand comme un pépin de pomme.
Et puis, il y en a partout.
Et ça coûte super cher pour le départ.
Mais c'est pas des moustiques, ça.
Une fois, écoute, j'en avais dans mon lit.
Donc, j'en pouvais plus d'être...
Mais quelle différence avec les moustiques ?
Bah, un moustique, ça vole, une punaise, non.
Et j'en avais dans mon lit.
Je change parce que j'étais piqué de partout, j'étais angoissé.
Je vais dans mon canapé.
Écoute-moi bien, je vais les voyer,
faire comme des fourmilles, faire une colonne, comme ça, de mon lit.
Vite comme un canapé pour me piquer les...
Alors...
Ah non, non, non, c'est très, très mouvel.
Je ne veux pas revivre ça, ni moi, ni ma chatte.
Non, non, non, non, non, écoutez, franchement.
De là, à faire une psychose autour des punaises.
30% des foyers sont infectés.
C'est beaucoup quand même un foyer sur le disque.
À vous aussi, alors, vous vous y mettez sur les punaises.
Mais bon, c'est vrai que quand tu regardes 11%,
c'est beaucoup, c'est-à-dire, un foyer sur le disque.
C'est-à-dire là, il y a forcément des gens dans le public...
Non, mais...
...qui sont venus avec une punaise de lit dans la pâche.
Mais bon, c'est la question de punaise.
Retirez vos culottes !
En plus, sa vie...
En plus, sa vie dans les fauteuils comme ça,
un peu... avec la pouce et tout, là.
Non, mais pourquoi ?
Les fauteuils qu'on n'a pas été nettoyés depuis Philippe Bouvard !
Est-ce que c'est...
Apparemment, Philippe Bouvard est une ancienne punaise de lit.
Est-ce que c'est lié la punaise ?
Est-ce que c'est parce que les gens ne font pas les ménages ?
Non, c'est pas...
Ça n'a rien à voir...
...avec l'hygiène.
Rien à voir avec l'hygiène.
C'est comme ça.
Voilà, voilà, il y a le bon vacance.
Voilà, voilà.
Ça me rappelle le mec qui bouffe une pute à 10 euros.
Et il voit des trucs qui sautent dans les poils.
Elle dit à la pute, disons, ce ne serait pas des morpions, ça.
Et la pute, elle dit, pour 10 euros, tu ne voulais pas des gambasques.
Ah oui.
Oui.
C'était pour en arriver là, hein.
Oui, oui.
Et 11% des foyers sont infectés.
Et tout ça, c'est de votre sorte, madame.
Je ne parlerai pas du tout du bon nom, c'est ce mot.
Mon inorsque n'a rien à voir avec les pudesses.
Est-ce qu'il fait partie de l'espèce animale ?
C'est pas un animal.
C'est une langue, c'est une langue.
C'est une langue de l'inorsque.
Ah, bravo, monsieur.
Alors, oui, c'est une langue danoise.
Pas danoise.
C'est pas une langue qu'on parle dans la balue du crêne ?
Non, c'est pas une langue.
Pas comme le morce, vraiment.
Ce n'est pas le morce.
C'est européen, comme langue.
C'est européen.
N'inorsque.
Le n'inorsque...
Ça vient de Norvège ?
Ça vient de Norvège.
Ah oui, c'est ça.
Et le prix Nobel de littérature vient de Norvège
et il parle en inorse.
Il écrit en inorse.
C'est bon !
La réponse d'Ariel Dombal et d'Eparaz.
Oui, oui, oui.
Et oui, le prix Nobel de littérature est norvégien.
Il s'appelle John...
Oui, il ne va pas en vendre beaucoup.
Mais vous avez raison.
John Foss, d'abord, on nous dit...
Bon, le prix Nobel de littérature.
Attention, il est traduit dans le monde.
Heureusement qu'il est traduit.
Parce qu'effectivement, on nous dit...
Il est écrit en norvégien.
Après, on regarde les articles.
Attention, il ne écrit pas en norvégien,
parlé par tous les norvégiens.
Il écrit en inorse, qui est parlé seulement
par 10% des norvégiens.
Il a dit plus de lit aussi, c'est ça ?
Il a dit 80%.
Non, mais vous vous rendez compte un peu.
Il est écrit en inorse.
John Foss, le prix Nobel de littérature.
Ça me permet de vous poser une petite question.
Subsidière pour Mme Salès, d'Asté Béon,
dans les Pyrénées-Atlantiques.
J'ai regardé un peu la liste
de tous les prix Nobel de littérature depuis 1901.
C'est d'ailleurs un Français
qui obtient le premier prix Nobel de littérature.
Je ne vais pas vous interroger là-dessus.
Genre, ce serait trop dur.
C'est celui pris d'homme.
Personne ne l'aura retrouvé.
Ah, j'allais le dire.
La dernière, ça, c'est plus facile, vous le savez.
C'est Modiano.
Mais non.
Agnerno a obtenu donc le prix Nobel de littérature en 2022.
Certes, c'est Modiano avant elle qui l'a eu en 2014.
Je vous donne les prix à Nobel Français.
Qui l'a refusé en 1964 ?
Un Français l'a refusé.
Jean-Paul Sartre, ça, c'est très bien.
Pourquoi l'a refusé ?
Parce qu'il était chic.
Est-ce que tu comprends ça ?
C'est un peu...
Ce n'est pas dans mon dictionnaire chic.
Excuse-moi.
Et Pierre, je vais vous demander
qui a obtenu le prix Nobel de littérature.
On est chez les Français.
Attention, il y en a eu deux Français dans les années 50.
Alors, il y a eu Camus.
Albert Camus, en 1957.
Bravo à Riel.
Mais pas de chance, ma question.
On porte sur celui qu'il a obtenu en 1952.
Est-ce que son nom de famille, ça commence par un V ?
Pas du tout.
Proust, non.
Proust était mort en 1922.
Son fils, c'était son fils qui écrivait.
Alors...
Mais 57 Camus, je rappelle.
Oui, ça en a compris, à rien.
Je le rappelle.
C'est quelqu'un d'amusant.
Pourquoi vous avez choisi cette personne ?
C'est quelqu'un d'amusant.
Ah non, c'est pas amusant du tout.
C'est rare que les prix Nobel de littérature soient amusants.
Non, mais c'est une chose que je veux dire.
C'est surprenant, c'est surprenant.
Ah non, non. Je l'ai pris parce qu'effectivement,
c'est celui, peut-être le plus difficile à retrouver,
parce que Camus...
Gide.
Gide, je l'ai dit.
Jean-Jacques Rousseau.
Non, non.
Non, mais là, tu l'as dit exprès
pour que j'étais fouette avec ma langue.
Ah !
Je n'ai pas du douzi pour ça.
Non, alors je vais vous donner quelques titres
écrits par ce grand écrivain français,
qui fut aussi académicien.
Ah, Montérlan ?
Non, Montérlan, non.
Il a écrit Thérèse Desquéroux,
le nœud de Vipère, le baiser au lépreuil.
Vipère au point ?
Non, le nœud de Vipère.
Montriac, Montriac.
François Montriac.
François Montriac.
Bonne réponse de Marcela Yacou.
Bravo, Marcela.
Bravo, Marcela.
Une question pour Guillaume Calque,
qui habite Paris à 17e.
Vous savez qu'en ce moment,
Mathilde Emmanuel Seigney joue sur scène,
Simone Seigneuré et Marilyn Monroe,
dans un spectacle écrivain.
Éricame Emmanuel Schmit,
ça s'appelle Bengalo 21,
si ma mémoire est bonne,
puisque dans le Bengalo 20,
ces journées, dans ces totels
aux Lywoodiens Yves-Montan et Simone...
Qui est le Beverly Hills ?
Oui, j'allais dire, Arielle.
Ces journées dans le Bengalo 21,
Simone Seigneuré et Yves-Montan,
et dans le Bengalo 20,
c'était à moins que ce soit l'inverse,
en tout cas, les deux Bengalos étaient voisins,
et c'est comme ça qu'Yves-Montan
est passé discrètement d'un Bengalo à l'autre
pour tromper Simone avec Marilyn.
C'est toute l'histoire de la pièce.
En montant ?
Pardon.
C'est l'étage au-dessus, en fait.
Mais ma question porte sur l'hôtel,
dont le nom vient de vous être dévoilé
par Arielle Dombal,
mais pas de chance pour Arielle.
Ça n'était pas ça la question.
Effectivement, cet hôtel,
c'est le Beverly Hills Hôtel,
où il y a le Bengalo 20, le 21,
où il y avait toutes les stars de Hollywood
à l'époque qui s'éjournaient.
Mais cet hôtel a été encore plus célèbre
en 1976.
Pour quelle raison ?
Il y a eu un meurtre devant.
Non, non, non.
Pour quelle raison ?
Est-ce que c'est quelqu'un qui s'y est caché,
genre Al Capone ?
Non plus.
Il y a eu un événement.
Un événement, c'est pas le mot.
Une enquête judiciaire.
Non plus.
L'hôtel a été encore plus célèbre en 1976
à travers le monde entier.
Tu peux aller sur le tour des Eagles, là ?
Hôtel california.
Bonne réponse !
C'est gentil, gentil.
Bravo, gentil.
Ouais.
Comment, comment vous avez trouvé ça ?
Welcome to the hotel california.
Parce que je...
C'est de la clé magnifique chanson.
Bah oui, c'est un slogan.
T'es nuantière de ramasser là-dessus, moi.
Effectivement, l'hôtel qu'on voit
sur la pochette des Eagles,
Hôtel california,
c'est le même hôtel
dans lequel Marine Monroe,
il vous m'entend, et Simone Signoré,
on va dire, on jouait à un fédot, à la biche.
Je pensais que c'était un hibis, moi.
Pardon ?
Je pensais que c'était un hibis sur la pochette.
Ah non, non, c'est pas un hibis.
Vous la connaissez tous cette chanson, évidemment.
Welcome to the hotel california.
Such a lovely place, such a lovely place,
Such a lovely place,
If you live in a hotel,
And you made it up at the hotel california.
Speak English.
Allez, allez.
Ils ont chanté enregistrer la chanson,
puis après, il fallait trouver un hôtel
pour mettre sur la pochette.
Et là, ils ont cherché un hôtel Hollywood,
puis ils ont trouvé celui-là, c'est quelqu'un qui a dit aux Eagles,
bah on en a un, car il y a pas mal,
on peut faire la photo, Sunset Boulevard,
et ils ont carrément, enfin, le photographe,
a carrément pris une, comment ça s'appelle, une nacelle,
un peu bancale, d'ailleurs,
de 18 mètres de haut en face de l'hôtel
pour le prendre vu-du-dessus, vous voyez.
Oui, il n'y avait pas de drone à l'époque.
Pardon ?
Il n'y avait pas de drone à l'époque.
Il n'y avait pas de drone !
Ah, c'est vrai, il n'y avait pas de drone !
Il n'y avait des puissances, mais il n'y avait pas de drone !
Je ne vous souhaite pas d'en avoir une puissances.
Non, mais la signature de l'hôtel, c'est qu'il est vert héros.
Ah, vous y êtes, allez-vous, forcément ?
Ah, bah oui.
Ah, bah oui, oui, oui.
Ah, bah oui, c'est vrai, c'est vrai.
Oui, oui.
Non, mais j'ai...
Quel bain gallo, vous vous étiez alors ?
Non, j'étais pas dans un bain gallo,
j'étais dans une suite.
Oh, ouais, pas ça !
Avec Robert de Niro, j'imagine.
Non, non, mais je tournais un film, en voilà...
C'est quand vous avez tourné...
The Lace ?
Non.
De Flick & Miami ?
Non, Miami, ce n'est pas en Californie !
Oui, ça, je le sais, merci, Colin !
C'est pas avec lui que je fais du coup, ici !
Non, c'est quand j'ai tourné un film qui s'appelait The Boss' Wife,
avec Christopher Plummer.
Ah, oui, c'est normal.
C'est normal.
J'adore ton accent.
Ah bah, forcément, si elle avait dit...
Ryan is in the chicken !
Chicken !
Alors que j'apprends l'anglais à mes enfants !
Alors que moi, j'aurais dit que j'étais dans un hôtel
avec Christopher Plummer !
Oui !
Ça n'aurait pas fait pareil !
Mais je suis un peu déçu, parce que moi, j'ai été persuadé
que cette histoire, donc, qui se joue,
actuellement, je crois que c'est au théâtre de la Madeleine,
un bain gallo 21, avec les sorts saignés
qui jouent, effectivement, Simon le Seigneuré
et Marilyn Monroe.
J'étais persuadé que ces histoires de bain gallo,
c'était dans un hôtel à Los Angeles, à Hollywood,
puisque Hollywood, c'est Los Angeles,
dans un hôtel qui s'appelait le Château Marmont.
Ah non !
Je pensais que c'était ça l'hôtel le plus chic
de Los Angeles.
Le Château Marmont, c'est le plus décadent,
et c'est le plus rock'n'roll.
Ah bon ?
Voilà, voilà, voilà.
Mais c'est un côté vieux château gothique, voilà,
avec...
Avec un donjon, les gens attachés, tous les...
Des alligateurs dans les douvres !
Des canapés poussiéreux, une très vieille moquette...
Des punaises !
Mais des punaises !
Voilà, c'est vraiment des punaises !
Mais...
Donc, attendez, que je comprenne,
parce que j'ai envie d'y retourner un jour,
j'y suis allé à peu près à maintenant six mois,
là, c'était au fait de fin d'année dernière, à Los Angeles,
et j'étais ni dans l'un, ni dans l'autre,
ni dans le Château Marmont, ni au...
Comment vous dites ?
De Beverly Hills.
De Beverly Hills !
Beverly Hills !
Il faut que Beverly soit très contractée.
Et de Beverly !
Beverly !
Beverly !
Et les tels des deux, est-elle mieux, alors ?
Non, c'est tout de même,
le Beverly Hills, il y a une piscine incroyable,
et puis, il y a les fameux Bungalows,
et puis, autour de la piscine,
les Bungalows !
Bungalows !
Parce que tu repars à cheval, c'est un Bungalow !
Les fameux Bungalows,
et puis, bon, la piscine est géniale,
et il y a des petits temps, tout au long !
Ah, ça, ça m'intéresse !
Ah bah oui, quittez ! Quittez, quittez !
C'est le soir, quand on prend une ou deux !
Voilà, non, mais les gens aiment beaucoup
les petites tentes autour de la piscine,
parce que c'est un...
Ça, c'est au Beverly Hills, voilà !
Moi, j'étais à Malibu, vous voyez ?
À Malibu, oui, donc ça, ça ne se fait pas !
Ah bah, c'est quand même pas mal, on est sur la plage,
on est sur la plage !
Mais c'est une plage infracticable !
Ah bah, voilà, autre chose, c'est...
Maintenant, la mer est méchante, mauvaise, comme tu dis,
elle est froide !
Ma mère a toujours été méchante, alors je suis habituée !
C'est la belle mère qui est méchante,
c'est pas la mère, normalement !
Non, mais on ne peut pas nager, donc ça n'a pas beaucoup d'intérêt !
Mais non, parce qu'il fait froid, d'accord !
Mais vous avez bien vu la série avec les sauveteurs,
chaque fois qu'il y en a un qui se baigne, après...
Mais j'étais là, j'étais là !
À La Tamalibu !
Pile, là, j'étais !
Voilà !
Et je cherchais, mais...
Arlette, à Malibu !
Arlette !
Ah non, c'était chouette quand même,
donc il faut plus que j'aille là, alors...
Non, non, non, non, non !
Ah voilà !
Et il y a des vagues méchantes, hein !
Ah oui, méchantes !
Oui, oui !
Oui, mais pour le surf, puisque je suis surfeur !
Sur la Playstation, quoi !
Oui, c'est une plage qui est dans la chambre !
Une question pour Christelle Kouble, qui a vécu à Chambéry,
Christelle Kouble, si je vous dis de Ticcarelle,
l'iféra, rigarbise et neigrie...
Oui, c'est l'équipe d'Italie de ce soir !
Bonne réponse de Rachel Canne !
Ah voilà, quelqu'un qui...
Je suis le rugby !
Mais oui, ce soir, on va jouer contre les Italiens,
quand je dis on gisterait pas, hein, mais...
Effectivement, ce match est attendu,
parce qu'on doit absolument battre !
Il paraît quand même que c'est plutôt joué d'avance, quoi !
On devrait les battre, les Italiens !
Vous jamais vendre la peau de l'ours avant de la peau...
Mais dure combien de temps, c'est que du monde ?
C'est un supportable, ça !
Mais non, mais non, Christian !
Ça fait deux mois, ça fait deux mois !
Mais je crois pas, il y a un match tous les deux mois !
Je comprends rien !
Mais t'as vu ce qu'ils se fêtent dans la gueule,
et puis les commos sont cérébrés,
il faut bien six jours pour exercer,
un peu comme au foot...
Oui, mais le truc place Vendôme, là, où il ferme tous les soirs, là,
il faut qu'il enlève, alors !
Mais vous avez raison, monsieur Jean-Fy,
et vous avez raison aussi, monsieur As,
la coupe du monde, on l'a déjà dit ici,
mais je me répète, tant pis !
La coupe du monde de rugby dure, effectivement,
bien plus longtemps que la coupe du monde de football,
pour la raison simple,
qui, effectivement, doit y avoir un écart de plusieurs jours
entre les matchs, parce que...
À cause des bleus !
Parce que les joueurs, effectivement...
Allez, les bleus !
Des contusions, oui !
Un peu comme Céline Dion, qui peut pas chanter de soir dessus,
tu vois, oui !
C'est pareil, là, Céline Dion, c'est plus Dion, mais c'est pareil !
Et donc voilà pourquoi ça dure, c'est...
Non, mais vous avez raison,
il devrait mettre moins...
Il devrait mettre moins de pays, voilà, dans les phases finales,
c'est pas à peine de faire venir un pays
pour qu'il repart 90 à 0, vous voyez...
Eh bien, ils ont l'impression d'avoir fait quelque chose !
Voilà !
Oui, comme vous ici, alors !
En tout cas, ce sera sur Hertel, ce soir, hein !
En direct, la coupe du monde de rugby, Hertel, rugby,
avec Olivier Magne et Jean-Michel Rascolle au commentaire,
et puis vous avez les podcasts à les pourquois du rugby,
notre camarade Arnaud Krampon,
un nom qui va bien avec le rugby,
qui me signale d'ailleurs que M. Labite, l'entraîneur adjoint...
Oui !
Oui, alors il faut savoir que M. Labite,
fera peut-être rentrer M. Cuyou à la place de M. Lucu !
Lucu !
Absolument !
Mais c'est vrai !
Tout ce que je voulais éviter !
Voilà ! Et ça, vous le saurez en écoutant les podcasts,
les pourquois du rugby d'Arnaud Krampon...
Mais Laurent, quand vous dites qu'il y a trop de pays,
qui sont les plus mauvais joueurs de rugby ?
Des pays, ça doit être les Eskimos, par exemple !
Allez, maintenant, je vais vous demander de trouver au Kickle Sport
le nom d'une octogénère...
Octogénère depuis aujourd'hui,
puisqu'elle est née le 6 octobre 1943 à Toulouse,
une Toulousane, non !
L'inrono !
Ah non !
Jani Longo !
Ah non !
Alors, elle est âgée, Jani, mais...
Elle n'a pas 80 encore !
Elle n'a pas encore 80 ans !
Elle fait même encore de la compétition !
Elle est incroyable, elle est incroyable !
La semaine dernière, elle était encore sur son vélo !
Bien sûr !
Elle est incroyable, elle est incroyable !
Alors, une octogénère...
D'ailleurs, Cariel Durbal connaît bien...
Ah !
Ah oui, oui, oui !
Elle est dans les grosses têtes ?
Non, non, non !
Elle aurait pu être pour elle,
parce qu'elle est plutôt marrante !
C'est l'inrono !
Non, non, non !
C'est pas de Véronique, de Véronique et d'Amixem !
C'est une actrice !
Laissez qu'elle termine !
Oui, les commentaires...
Alors, quoi, d'ailleurs ?
Ah ben, là, j'avais terminé !
Pour une fois, j'avais terminé !
Ah non !
Alors, il s'agit d'une actrice ?
Alors, elle a été un peu actrice,
mais elle est plutôt derrière que devant la caméra.
C'est Roland ?
Ah non !
Je vous ai d'ailleurs !
Et c'est Jean-Zayant !
Bonne réponse !
De Jean-Marie Bigard !
Oh là là, Jean-Marie !
Eh oui, elle a...
C'est qu'on avait, vers hier,
il a trouvé...
La réalisatrice de Capitaine Marlowe, vous voyez,
mais aussi, évidemment, du Conte de Montécristaux,
avec de part Dieu, les misérables,
enfin, toutes ces grandes séries, Millet...
Mon acteur, il a joué dans un film de José, d'ailleurs.
Pardon ?
Mon acteur que j'aime bien, vous savez, mon acteur, mon acteur.
Vous êtes toujours avec votre acteur ?
Oui, c'est beau, c'est une partie.
C'est génial, bravo !
Moi, je suis content, quoi.
Allez, viens, viens, viens !
Je ne m'en connais pas encore !
Eh non, non, non, j'attends.
J'attends que ça se fasse.
Si tu te donnes toutes ces limites, on va te trouver.
Pour une fois, vous êtes discret, hein ?
Oui, ben oui, pour une fois.
Mais attends, mais moi...
Il doit pas être très beau.
Ah oui !
Si, si, si, si.
Attends, attends, je l'ai vu, là.
Mais elle a...
Elle l'a vu, Rachel.
Moi, je l'ai vu, si, si, il est très mignon.
Ah oui, ah oui.
Ah, il a dû tourner dans Capitaine Marlowe, votre acteur.
Ah, si c'est vrai.
T'as tourné, t'as tourné, la main ?
Moi, moi, j'ai tourné, mais ce n'était pas avec une caméra.
Ah oui !
Non mais c'est vrai, tu tournes un film, hein, ces moments ?
Non, non, ces moments, non, non, non.
Non, il est avec un acteur, qui vous dit.
Ah oui !
Et vous, vous le connaissez, alors Rachel, l'acteur ?
Je les ai vus tous les deux, dans un café à Angoulême.
Mais c'est un vieil acteur, ça ?
Non, pas du tout.
Un jeune acteur ?
Un jeune, un jeune.
Plus jeune que Jean-François ?
Euh, oui.
Ah, c'est de la 35.
35 ans ?
Pierre Nilet, c'est Pierre Nilet !
Mais il est connu au point que si tu nous donnes son prénom, on sache qui c'est ?
Oh, vous l'identiferez plus vite, oui.
Ah oui, ah oui.
Bon, maintenant, on n'a plus qu'à trouver des acteurs qui ont un prénom à la con.
Et on devrait trouver, hein.
Rachel, vous allez me le dire, à moi, si vous voulez revenir.
La pression !
Rachel, qui revient de la matière, il lute.
Non, à mon avis, c'est un fantasme que tu as dans la tête.
Non, non, non, il dit.
Non, mais toi, tu les as vus, tu prends un café,
tu les as pas vus dans d'autres situations.
Ah, je suis d'accord avec Marcela.
Je suis d'accord.
Je suis d'accord avec Marcela.
Quoi ? Bah si que... Quoi ?
Il est blanc ?
Oui, oui, oui.
Ce n'est pas logique, il y a des arabes et des noirs en France.
Oui, j'y ai fait tout, j'y ai dit tout.
Mais là, je suis dans ma période blanche.
Ah, le coup.
Il a raison de se renseigner, monsieur As.
Il a la trouille.
Une question pour monsieur Lionel, qui habite Clairois, dans l'Oise.
Et la question concerne Paul Newman, qui nous a quittés il y a 15 ans.
C'est les mecs des fées de l'amour, déjà ?
Paul Newman.
Monsieur Newman.
Les victors Newman dans les fées de l'amour.
Alors rien à voir.
Non mais tu ne connaissais pas Paul Newman ?
Paul Newman, c'est un grand acteur, monsieur, oui.
Oh non, mais là, tu exagères.
T'es exagère, là.
Non, je dois connaître le...
Si on voit le visage, oui, mais je ne connais pas les noms.
C'est les plus beaux visages du monde.
Oui, oui, oui.
Paul Newman, c'est aussi pour Robert Redford.
Il y avait Robert Redford et Paul Newman.
C'était les deux plus beaux acteurs des États-Unis à une époque.
Peut-être vous l'avez vu avec, par exemple, Tom Cruise, dans...
Ça, il joue au billard.
Comment ça s'appelle, Sophie, ou il joue au billard ?
Comment ?
Et voilà, exactement.
C'est lui, Paul Newman.
Je viens d'inventer le nom du film.
J'ai bleu et tout, c'est la star.
Je suis totalement inventé le nom du film, il m'a dit, oui, c'est ça.
La couleur de l'argent.
C'est un film de Scorsese et la couleur de l'argent.
The color of money, si vous préférez.
Voilà.
Beverly Hills.
C'est lui qui joue là-dedans.
Ah oui, je l'adore cet acteur.
L'arnaqueur, l'arnaqueur, tiens, voilà.
Ah oui, oui.
Il regarde par Internet.
Tu vois qui c'est, maintenant ?
Acteur, acteur, je l'adore. Il est mort ?
Bien sûr.
Il est mort il y a 15 ans, déjà, vous voyez.
Ah, mais c'est pour ça que je ne le voyais plus dans les films.
Et son fiole doit être bien triste, parce que c'est ça, la question.
Vu qu'on peut... Ah ben, ça va être ça, la question.
Parce qu'effectivement, c'est un acteur célèbre
qui a eu pour, par un Paul Newman, un des acteurs les plus célèbres aujourd'hui.
Et bien, alors, Tom Cruise, Tom Cruise et Gabriel.
Non, un acteur qui, donc, avait pour, par un Paul Newman.
Ah oui, mais son par un ou son par un dans le métier ?
Par un, par un.
Ben Affleck.
Par un dans le métier, par un, par un.
Robert Pattinson.
Robert Pattinson, non.
C'est un acteur très célèbre.
C'est un acteur qu'à quel âge ?
Ah, des plus célèbres d'Oliveau, dans ce moment, oui, oui.
Ah !
Bradley Cooper.
Ryan Gussley.
Bradley Cooper.
Non, il est né en 1980, vous voyez.
Tom Cruise.
Mais non !
Tom Cruise, il est plus vieux que ça.
Ah oui.
Non, on est de la génération.
C'est quelqu'un qui a percé dans les années 2000, vous voyez.
Mais il fait des...
Daniel Radcliffe.
Non, non, non.
Des Black Busters.
Ah oui, oui, il fait des Black Busters.
Et il a joué dans un des parents.
Ah non, non, mais c'était...
Ah non, ça, c'est bien avant, monsieur.
Il n'est pas notion du temps.
Non, mais pas ça.
Ah, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a...
Est-ce qu'il joue dans un film qui a la fiche en ce moment ?
Ah, il est toujours à la fiche, au moins une fois par an.
Et il y a un film qui a du vous plaire.
Tiens vous, d'ailleurs, monsieur...
Maintenant que j'y pense, monsieur Jean-Phi Jansen.
Ah !
Parce qu'il joue à l'épée des...
Il joue à l'épée des...
Non...
Dans un avion, un...
Non, non, non, effectivement,
un fameux western qui avait beaucoup fait parler.
Ah, ouais. C'est Brokebroke Mountains.
C'est le Coboye de Brokebroke.
Exactement.
– Oui, oui. – C'est qui ça ?
– Comment il s'appelle ? – Le secret de Brokeback Mountain.
– Oui, oui. – Mais il a joué dans plein d'autres films à succès.
– Non, parce qu'il y en a un des deux qui est mort, et donc il reste lui.
– Il a joué dans, voilà, dans Spider-Man. – Ah, oui, c'est...
– Oui, Spider-Man aussi, oui. – Parker, comment il s'appelle ?
– Non, Peter Parker. – Mais non, mais non.
– Ben, Spider-Man, c'est Peter Parker. – Il a joué dans la rage au ventre, dans...
– Qu'est-ce que je pourrais vous... – Ah, mais comment il s'appelle ?
– Je l'ai vu la dernière fois. – Dans Zodiac, dans...
– Dans Zodiac, ah oui. – Dans Zodiac, il faisait les policiers.
– Dans la preuve irréfutable. – Édouard Norton.
– Non, mais non, dans le jour... – Ben, Jeff.
– Dans le jour d'après, The Deft. – Ah oui.
– C'est quand New York est inondée. – Oui, oui, oui.
– Chaya Lebeuf, Chaya Lebeuf, mais non. – Il n'a pas joué dans des Guilty.
– Mais non, The Guilty, oui, aussi. – C'est celui qui a tué au téléphone.
– The Guilty, exact. – Et il était l'inspecteur des Zodiacs.
– The Guilty, The Guilty. – C'est celui qui joue Spider-Man avec Mario Cotilla ?
– Euh... Non, mais non.
– Moi, je vois cette tête. – Ambulance, les hurbulences.
– Mais oui, ambulance. – Ça n'a rien de bien sûr.
– Mais non, mais non. – Est-ce que c'est le...
– Je peux poser une question ? – Oui.
– Est-ce que c'est le vrai gars de Spider-Man, ou c'est un mec qui l'a joué dans Spider-Man ?
– Mais arrête avec Spider-Man !
– Non, mais t'es nos égards !
– Mais non, vous avez dit Spider-Man... – On voit la tête du mec,
on voit que c'est un moche acteur, c'est excellent.
– Il joue mystérieux dans Spider-Man. – Ah, mais il joue pas Spider-Man !
– Non, je ne lui ai pas dit qu'il jouait Spider-Man.
– Je lui ai dit qu'il jouait dans Spider-Man. – Ah oui, mais...
– Spider-Man, on ne connaît que Spider-Man. – Alors que dans Zodiac, c'était lui l'inspecteur...
– D'ambulance, aussi. – Il était les mafieux d'ambulance.
– Dans Everest, dans Demolition, dans Prisoner, dans Sof-Code,
dans Prince of Persia, dans Détention Secrète...
– Oui. – Oui, oui, oui.
– Ah, il est génial. – Et je vois... Comment c'est, le film où il est boxeur,
là, comment ça s'appelle, ça, alors ?
– Rocky, Rocky. – Mais non, fin.
– Et son nom est pas facile à prononcer pour moi. – Ah, voilà, voilà.
– Ça, c'est vrai. – Beverly Hills ? – Ouais, Bungalow.
– Bungalow. – Bungalow, Bungalow.
– Mais c'est vrai que c'est le film les plus... – Bungalow, Bungalow, Bungalow, Bungalow, Bungalow.
– C'est le film les plus connu, c'est le jour d'après,
le secret de Brockbuck Mountain, Prisoner, Zodiac, Mountain.
– D'ambulance récemment, vous voyez. – C'est pas Chris Kitchos ?
– Non, non, non. – Mais non, mais je le connais, c'est acteur,
– Comment il s'appelle, il est exérencé. – Un petit Tadis, un petit Tadis de prévenus.
– Non, mais oui, monsieur As, quand je pose des questions sur François Moriaque,
vous me faites, « Ah, ben j'étais porné, François Moriaque, Tata Tita, Tata, Ragnania. »
Là, je suis quand même en train de vous parler d'un acteur qui est à la fiche des plus grands
block blasters américains depuis 20 ans, et vous savez pas plus, vous voyez.
– Mais il a 43 ans, j'en ai 28. – Oh !
– Un petit insolent ! – Vous allez voir, il va y avoir au moins 10, 15 mains
qui vont se lever dans la salle. – Mais oui, oui, oui, oui.
– On a un Ryan, un Brian. – Non, Brian, non.
– On peut s'en remettre pour la première fois. – Arthur, Arthur.
– Chicken. – Il y a des mains qui se lèvent,
la station va perdre des centaines. – C'est pour la première fois que c'est des mains de très jeune.
– Si vous me donnez le prénom du vôtre, je vous donne le prénom du mien.
– C'est un Mathieu, c'est pas un Mathieu. – Mathieu dans Chyne, Chyne.
– Non, non, Chyne. – Chyne, non, je sais pas.
– C'est entre Kévin et Mathéo, quoi, du tout. – C'est terrible, c'est affligeant, même.
– Ah non, mais ça, c'est injuste de traiter comme ça, parce que...
– 300 euros qui s'en vont, et regardez. – 1, 2, 3, 5, 6, 7, 8, mille, mille.
– Humains qui se lèvent dans le public.
– Bonjour, monsieur. Comment vous vous appelez ? – Christian.
– Bonjour, Christian. Quelle est, selon vous, la bonne réponse ?
– Jack Gyllenhael. – Et en plus, vous le prononcez bien.
– Bravo, monsieur. C'est Jack Gyllenhael qui nous coûte 400 euros.
– À le livre du jour, il signé Jean-Louis Fournier, un auteur qu'on aime bien, qui est assez fidèle,
parce que souvent, ces livres sont des best-seller, et là, à nouveau, nous parler d'un des membres de sa famille,
parce que c'est quelque chose où il s'est fait un peu de la spécialité, pas seulement.
Là, ça s'appelle « Mon petit frère », le nouveau livre de Jean-Louis Fournier,
et c'est vrai qu'on lui doit des livres ou sur son père, ou sur sa femme, ou sur parfois ses enfants.
Et il avait d'ailleurs beaucoup touché, il faut le dire, avec un livre qui était consacré à ses enfants handicapés,
et ce livre avait fait un tabac, ça s'appelait « Où on va, papa ? ».
Il avait aussi publié « Vœuf, cherche femme immortelle » ou encore « À propos de son père, il n'a jamais tué personne, mon papa ».
Jean-Louis Fournier a été aussi le réalisateur de « Pire des proches » pour la minute de monsieur Cyclopède,
et on est dans ce livre qui est consacré à son frère, son petit frère.
Il y a une photo des deux frères quand ils sont enfants, et il écrit sur les photos de nous enfants,
il y a toujours côte à côte, un Jean-Kyrie et un Jean qui pleure.
Le Jean-Kyrie, c'était Yves-Marie, facile à vivre, disait ma mère.
Moi, j'étais le Jean qui pleure, difficile à vivre, enfrony et jamais content.
Et j'ai transmis mon mal de vivre à une vache, vache devenue célèbre à la télévision.
La vache qui rit.
Non, non.
La vache inventée par Jean-Louis Fournier, qu'on a vu dans les années 70, pendant longtemps, à la télévision.
La noire haute.
La noire haute.
La noire haute.
La noire haute.
Bonne réponse de Rachel Kahn.
Ah ben évidemment.
Vous connaissez la noire haute.
Ah oui d'accord.
Allô docteur, c'est la noire haute à l'appareil.
Il y avait toujours des problèmes.
Oui oui.
Il y avait toujours des problèmes.
Allô docteur, il y avait toujours des problèmes.
D'ailleurs, je ne savais pas que c'était Jean-Louis Fournier qui prêtait sa voix à la noire haute.
Bonjour Jean-Louis Fournier.
Bonjour Monsieur Ruquier.
C'est vrai, c'est Jean-Louis Fournier qui prêtait sa voix à la vache.
Oui, c'est Jean-Louis Fournier qui prêtait sa voix à la vache.
La noire haute.
La noire haute.
C'était dans l'île aux enfants.
Il y avait quasi-mille.
Dans l'île aux enfants de Isar, oui.
Et voilà.
Et la noire haute, elle était au téléphone.
Et on entendait la voix du vétérinaire qui faisait la voix du vétérinaire.
C'était Jacques Mono.
Je vous jure, une fois, il se baladait dans un bled.
Et puis il y a des gens qui l'ont vu passer.
Et puis il y a des gosses qui ont dit « Tiens, regarde, c'est la noire haute ».
Ils avaient fait une espèce d'amalgame avec comme il y avait sa voix dans le film.
Vous avez écrivé dans votre livre que ce mal de vivre, que vous avez donné à votre vache la noire haute,
c'est vous qui l'aviez, ce mal de vivre plus que votre...
Je crois que c'est un mal de vivre.
Je crois que c'est mon fonds de commerce.
Je voulais à tout malheure et bon.
Mais c'est ça.
C'est-à-dire que moi, je pense que pour le fait d'être malheureux,
c'est pas forcément négatif.
Ça peut être incombustible.
Tous les grands humoristes, vous en savez quelque chose,
ne sont pas des gens gays.
Ce sont des gens qui essaient d'être gays.
Ce qui est tout à fait différent.
Quand vous regardez les yeux, vous regardent le surplus ton.
Il y en a qui essaient d'être gays et qui réussissent.
On n'est pas frappés par la joie de vivre de ces gens-là.
C'est vrai.
Les humoristes sont des gens qui essaient d'être de rire.
Aujourd'hui, vous avez 84 ans, Jean-Louis Fournier.
Votre petit frère est parti assez âgé aussi.
À quel âge il est parti ?
Il avait 80 ans quand il est parti au ciel.
Parce qu'il était au ciel, bien évidemment.
On avait 13 mois de différence.
J'écoutais de dire qu'il était bon,
il était très intelligent, il a fait polytechnique.
Oui, mais il est mort.
Il est mort et puis quand il est mort,
moi, je n'avais de lui que 13 mois de plus.
C'est la seule chose que j'avais de plus.
Quelque part pour utiliser le titre d'une émission.
Lui, c'était les chiffres et vous, c'était les lettres.
On peut dire ça ?
Et si vous voulez, il n'aimait pas parler.
Il n'aimait pas parler, il n'aimait pas le langage.
Il aimait les chiffres.
Il avait une théorie qui était tout à fait juste.
Il disait les mots se dégradent avec les intonations.
C'est-à-dire un mot, ça n'est jamais exact.
On peut dire beau d'une façon où on veut dire lait.
Il me dit un chiffre de quel que ton que tu le modifies jamais.
Et d'ailleurs, vous dites qu'il est au ciel.
J'aurais envie de vous dire plutôt qu'il est sous terre.
Puisqu'il avait calculé, ça, ça m'a beaucoup plu dans les livres.
Il avait calculé le nombre de personnes qui sont sous terre.
Il y en a plus qu'au-dessus.
Et oui, il y en a bien plus qu'au-dessus.
Et son calcul s'était arrêté à 64,688,314 milliards, c'est ça ?
Oui, oui, oui, ça aussi.
Mais est-ce qu'il a compté l'homme de Néanderthal et l'hérectique ?
Depuis le début, il a pris tout.
Il a pris depuis le départ, depuis Adam.
Il était polytechnicien, c'est ça ?
Oui, il était polytechnicien, ça veut dire qu'il n'était pas trop bête.
Et vous, vous ressembliez plus à votre mère, qui était artiste ?
Ma mère, elle voulait jouer du piano, elle était prof de lettres, elle adorait verlaine.
Elle peignait, elle lisait beaucoup, écrivez-vous.
Et lui, il était plus intiré par l'univers scientifique comme votre père.
Pour lui, il y a une chose, c'est que les mathématiques, c'était une science exacte.
Son peintre préféré, c'était Excel.
Et il a eu comme professeur d'université, professeur de...
Revel, oui, le mari de votre collaboratrice.
De Claude Sarotte, Jean-François Revel, c'est bien ça ?
Oui, oui, donc il gardait un souvenir formidable, c'était un petit peu tout à fait étonnant.
Parce qu'il lui a mis Revel, lui a mis un 19 sur 20, un devoir,
où en une seule page, il avait détourné avec humour un sujet qui ne l'inspirait pas.
Ça prouvait que l'un et l'autre avaient de l'humour.
Exactement.
Vous dites généralement, quand on demande, et c'est avec des proches,
j'ai vu ça dans une interview où vous avez accordé à la voix d'une heure,
vous dites, c'est facile de savoir si quelqu'un a de l'humour ou pas.
Vous demandez à quelqu'un s'il a de l'humour,
et généralement, il vous répond oui.
Si vous répond oui, c'est qu'il n'en a pas.
Bien évidemment, ça me paraît, mais flagrant,
et quand je dis tout le monde est complètement d'accord,
qu'un humoriste ne dit jamais qu'il a de l'humour.
Et vous aimez bien les gens d'une heure ?
J'adore les gens du Nord, et j'adore surtout les ciels du Nord,
parce que les ciels du Nord ne sont pas comme ces ciels bleus,
imperturbables du midi, ils changent tout le temps,
ils se passent des choses extraordinaires dedans,
et d'ailleurs, tous les grands peintres, eux, quand ils auront été dans le Nord.
M. Jansen Keishti, ici, adore ce que tient.
Ah oui, c'est de la peinture.
Vous dites, j'aime bien les gens du Nord, ils sont discrets,
alors que les gens du midi ont trop de mots,
ils disent même des choses qu'ils ne pensent pas.
Oui, je pense que le baratin et tout ça, les gens du Nord sont plus discrets,
si vous voulez, les déclarations d'amour dans le midi,
c'est que je t'adore, dans le Nord, je t'aime tout pas.
Alors, il fait un truc qui faisait quelque chose, votre frère,
que je fais parfois moi aussi, parce que je suis gourmand,
et que je n'ose pas, et que je n'assume pas toujours chez les commerçants,
vous racontez, moi, ce n'est pas à propos du bifidacaché,
parce que, pas sûr que je mangerais un stacaché de 300 g,
vous racontez que votre frère, vous, Jean-Louis Fournier,
il allait chez le boucher, il achetait du stacaché, parce qu'il adorait ça,
et comme il en consommait d'énormes quantités,
il demandait 3 stacachés de 100 g, alors qu'il était seul,
et qu'il engloutissait les 300 g.
Mais il avait honte, il voulait pas se faire remarquer.
Et moi, ça m'arrive, ça.
Quand je suis dans un restaurant italien avec quelqu'un,
ça m'arrive de prendre deux plats de pâte,
ou une pizza et des pâtes.
Et j'ai tellement honte que je dis à l'autre personne,
prendre une salade et des pâtes, pour que ça fasse pour deux.
Vous voyez, comme votre frère, ça m'a touché ce passage.
C'est bien, mais vous n'avez pas fait polytechnique.
Non, voilà.
Moi, je suis comme vous, je suis un artiste Jean-Louis Fournier.
Absolument.
Moi, je l'aurais pas bien pris.
Encore que ce soit pas vrai, parce qu'au fond,
j'ai commencé par les chiffres aussi.
Moi, j'étais comptable, vous voyez, avant de devenir artiste.
Comme mon Dieu.
Ah oui, oui.
Comme vous dites.
Vous dites, votre tombe est au père-la-chaise,
vous y serez avec votre femme,
en face de celle de Pierre Desproches,
comme ça vous retrouverez,
votre complice de la minute de monsieur Cyclopède.
Je l'ai choisi volontairement en cause de ça,
j'ai tout le moins la probabilité.
Et vous dites joliment,
alors l'entretien que vous avez accordé à la voix d'une heure,
c'est pas mal d'être avec sa femme dans la tombe
ou à au père-la-chaise d'avoir Pierre Desproches en face.
Parce que l'éternité, c'est long,
mieux vaut être bien entouré.
Ce sera le mot de la fin, votre livre est magnifique.
C'est aux éditions Philippe-Près,
ça s'appelle Mon Petit Frère.
Tous les fans de Jean-Louis Fournier vont courir
dans les librairies pour acheter son nouveau livre.
C'était le livre du jour,
Mon Petit Frère signé Jean-Louis Fournier.
A une question pour Charles Jax,
maintenant qui habite tout le monde.
Ça se fait de plus en plus aux États-Unis,
ça arrive chez nous tout doucement,
mais c'est une mode qui ne fait pas que des heureuses,
titrait le journal Le Monde,
le week-end dernier.
Mais quelle est cette mode qui ne fait pas que des heureuses
et qui nous vient des États-Unis ?
Donc ça concerne les hommes.
Les hommes et les femmes.
Est-ce qu'il faut un homme et une femme pour faire ça ?
Oui absolument.
Alors que ça devrait, la logique,
ce serait que ça ne fasse que des heureuses.
Mais ça ne fait pas que des heureuses.
C'est les féministes qui ne sont pas contents ?
Non, ça n'a rien à voir avec les féministes.
C'est physique ou c'est spirituel ?
Alors c'est les deux, c'est l'attitude.
Ça se voit, ça se filme même,
et c'est même ça le problème d'ailleurs.
Les sex tapes, les sex tapes.
Non, non, non.
Les sex tapes, non.
C'est sur les réseaux sociaux ?
Alors ça se voit aussi sur les réseaux sociaux bien sûr,
mais ça existait avant les réseaux sociaux.
Mais c'est vrai que les réseaux sociaux
n'arrangeent rien évidemment.
C'est une manière de se tenir ?
Oui, c'est vrai qu'il y a une position pour ça aussi.
Parce que c'est une nouvelle sorte de date.
Mais...
On se rapproche.
Un langage particulier.
Qu'est-ce que c'est ?
Quoi, quoi ?
Ils sont clairs vos arguments.
Ah ouais, c'est un genre de date.
Ça a l'air de faire quiner en tout cas.
Ça me rappelle quand j'habitais près de Roissy.
Pourquoi ça veut dire un genre de date ?
C'est-à-dire qu'il y a une nouvelle application
dans laquelle...
Non, il n'y a pas d'application dans cette affaire-là.
C'est une mode qui devient courante.
Alors c'est des gens qui prennent des positions.
Alors, on n'est pas obligés de prendre une position.
Mais c'est vrai que généralement,
c'est lié aussi à une position, c'est vrai.
Est-ce que c'est quelque chose qu'on peut faire
quand on va dîner avec une fille ou avec un quelqu'un ?
Oui, absolument.
Ce n'est pas se mettre à quatre pattes.
C'est pas se mettre à quatre pattes.
Alors c'est pas se mettre à quatre pattes.
Mangez par terre.
Non, non, non.
Mangez debout.
Mais tu vois, quatre pattes au restaurant.
C'est payé ?
Payer l'addition ?
Payer l'addition, non.
Boire dans le verre de l'eau.
Non, non, non.
Donc ça se passe au restaurant.
On n'est pas face à face.
Pas forcément au restaurant.
Vous m'avez demandé si ça pouvait se passer au restaurant.
Je vous ai dit oui.
Mais ça se passe pas forcément au restaurant.
Et même d'ailleurs, la plupart du temps,
c'est pas forcément au restaurant que ça se passe.
Et c'est même ça le problème, d'ailleurs.
Parce que quand ça se passait au restaurant,
bon, on va dire que c'était plutôt discret.
C'est le faire du pied.
Non.
Vous avez à la maison, on en dit.
Pas des huberites.
Non, mais non.
Mais je ne sais pas manger une glace à deux boules.
Ouf, non.
Ça veut dire que si quelque chose t'entend le restaurant,
ça se voit pas.
Mais quand on le fait à l'extérieur du restaurant, ça se voit.
Quand il fait au restaurant,
ça peut aussi gêner la jeune femme.
Mais c'est vrai que...
Draguer, draguer.
Non, non, non, non, non.
Mais vous dites que ça peut être à quatre pattes.
Non, je n'ai pas dit à quatre pattes.
Mangez la bouche ouverte.
Non, non, non.
Vous faut bien ouvrir la bouche pour manger un monde.
Non, mais les gens qui te disent...
Amâchez, vous les dites.
Oui, les gens qui te disent ferme la bouche quand tu manges.
Ah oui, vous avez eu des filles qui faisaient ça à vous.
Non, mais qui m'ont dit ferme la bouche quand tu manges.
Ah, vous avez toute l'égalité des filles.
Parce que j'ai dit, bah écoute,
ça vient des Etats-Unis,
tu ne connais rien.
Là aussi, ça vient des Etats-Unis.
Mais on le fait aussi à la maison.
Ah non, la maison,
ça, si vous faites ça à la maison,
il n'y a aucun problème.
Là, ce qui dérange les jeunes femmes,
justement, c'est cette mode qui vient des Etats-Unis.
Alors, ça doit être quelque chose d'un peu impudique.
Est-ce que c'est quelque chose qu'on fait sous la table au restaurant ?
Alors, impudique.
Quelque part, c'est un peu...
Oui, certaines trouvent que c'est impudique.
Ça gêne que les femmes et pas les hommes, en fait.
Oui, parce que c'est une décision de l'homme, généralement.
Et c'est vrai que...
Alors, certaines femmes en sont très heureuses,
mais certaines, eux,
n'en sont pas, de partager la distance.
Alors, qui se serait, par exemple,
faire une petite table sur les fesses ?
Non, vous êtes très loin.
Vous êtes vraiment loin de tout ça,
et on va perdre encore un chèque à terre.
Et c'est pourtant la question la plus simple à la porter.
Par rapport à la cuisine.
Non, non, non.
Est-ce que c'est rapport physique ?
Non, physique, pas vraiment.
Donc, c'est du parallèle, c'est du talking.
C'est quelque chose qu'on dit à la fille.
Oui, absolument.
On propose.
Oui, absolument.
On propose.
Est-ce que tu voudrais peut-être que, à la fin de ce dîner,
toi et moi, on...
On rentre ensemble.
La conclusion d'année.
On vient de perdre 300 euros.
Regardez.
Ah oui, il y a des mains qui se laissent.
Monsieur Jansen, on a au moins
deux mains qui se laissent,
trois, quatre, même.
Alors, attention, ça me paraît assez simple.
Bonjour madame, comment vous appelez-vous ?
Joanne.
Alors, Joanne, j'espère que vous avez la bonne pause.
J'en peux plus courir, hein.
Faire sa demande en mariage devant tout le monde ?
Faire sa demande en mariage en public
devant tout le monde, évidemment.
Oui.
Et oui.
C'est une mode.
C'est vrai ?
C'est une mode qui vient des États-Unis.
C'est vrai qu'à demande en mariage,
on peut la faire discrètement au restaurant
entre deux personnes et ça,
ça ne dérange évidemment personne.
Ce qui dérange les jeunes femmes aujourd'hui,
c'est qu'elles sont soumises, évidemment,
à la pression des gens qui regardent cette scène
et, en plus, c'est souvent diffusé
sur les réseaux sociaux.
Et elles n'osent pas dire non.
Ça vient des États-Unis.
Et voilà, elles n'osent pas dire non.
Mais oui.
Et elles n'ont pas forcément envie de dire oui.
Ah oui, c'est ça.
Mais oui, on leur force le main.
Et voilà, on leur force un peu la main.
Les demandes en mariage en public
devant témoins deviennent courantes.
C'est une mode qui vient des États-Unis.
C'est nul.
Non, mais c'est pour ça qu'il faut la demander.
Estelle Denis, on avait été victimes elle-même
par Raymond Doménec,
souvenez-vous, à la fin d'un match à la télévision.
D'ailleurs, elle, elle avait osé dire non.
Mais c'est vrai que...
Elle a dit non ?
Ah oui, elle a dit non.
Ah bon ?
Ah bah oui, elle a dit non.
Même ça, il l'a perdu.
Je vous...
Je vous confirme.
Mais en tout cas...
Il s'est pris un râteau, du coup, on directe.
En tout cas, nous, on a perdu 300 euros
à cause des demandes en mariage en public.
Les grosses têtes de Laurent Ruchier,
c'est de 15h30 à 18h sur RTL.
Toujours avec Jean-François Jansen,
Marcel Ayakoub, Jean-Marie Biga,
Rachel Kahn, Aze et Ariel Dombal.
Ariel, qui me dit, mais pourquoi vous nous avez dit
qu'il faisait leur demande en mariage à quatre pattes ?
Alors, ils ne sont pas quatre pattes
quand ils font leur demande en mariage, Ariel.
Mais vous nous avez dit une certaine position.
Oui, ils mettent un genou à terre.
Souvent, l'homme qui fait la demande en mariage en public
met un genou à terre.
Il fallait dire une patte à terre.
Alors, est-ce que vous savez pourquoi ?
Ah non, allez-y.
Moi non plus.
Je ne sais pas du tout en plus, on va savoir.
Ariel, mais c'est un principe de chevalerie.
Monsieur Bernard-Henri Lévis,
quand il vous a demandé en mariage,
il a fait ça comment, alors ?
À quatre pattes.
Non, il me l'a su serait à l'oreille.
Et vous, ça, dans le métron ?
Et vous, Rachel Kahn, puisque vous êtes fiancée,
quand est-ce qu'il va vous demander en mariage ?
Je ne sais pas, mais moi, c'est moi qui ai demandé,
qu'il ait demandé en fiançaille.
Comme ça, ça évite...
Comme ça, au moins, ça évite d'être...
Mais moi, je suis deux fois que j'étais mariée,
c'est moi qui avais demandé.
Avec tes mariées ?
Oui.
Je les sens.
Je ne savais même pas que vous aviez été mariée.
Mais combien de fois, je vous le raconte ?
Ah non, non, non.
Deux fois, trois fois, j'étais mariée quatre fois.
Mais ici, en France ou en Argentine ?
Mais ici, je suis venue très jeune,
même si ma manière d'épargner ne le montre pas.
Mais je suis venue très jeune, alors, toujours ici,
avec des Français.
Et mais ils sont devenus quoi ?
Ils sont suicidés tous les quatre.
Mais tu t'es mariée pour de vrai ?
Tu t'es mariée pour de vrai ?
À la mairie et tout ?
Tu t'es mariée comme ça ?
Non, non, non, vraiment, des vrais mariages.
Mais à chaque fois, c'est moi qui avais demandé.
Tu es parti, à chaque fois ?
Oui.
Avec l'assurance-vie ?
Avec la bagnole ?
Non, mais c'est normal que tu...
Pourquoi c'est les hommes ?
C'est pas vrai que ce sont les hommes qui demandent un mariage.
Voilà.
Ils vous écoivent au mariage ?
Ils étaient des grands intellectuels, évidemment.
Evidemment, oui.
Ils étaient passés intelligents pour pas se mettre avec ton truc.
Moi, j'ai fait une demande extrêmement romantique.
Ah oui, Monsieur Mida.
Avec l'Ola.
Avec l'Ola ?
Oui, oui, je l'ai cherché dans une grande limousine blanche.
J'avais mis mon costume.
J'avais fait venir des clowns qui sont...
Sous sa fenêtre.
Elle ouvre la fenêtre, elle me voit en costume.
Elle rigole, elle se demande d'où ça vient.
Elle descend, j'avais caché la limousine,
qui faisait la longueur de la rue, d'ailleurs, un peu près.
Et je l'emmène et nous allons au Grand Vefour.
Figure-toi que j'avais préparé.
Donc, j'avais donné un texte au maître d'hôtel
qui devait dire à l'Ola, au moment du dessert,
Mme Adroit a un dessert supplémentaire
et il devait lui emmener sur un plateau d'argent
une fleur, une rose blanche,
avec une petite boîte.
Et je te jure, il y a eu tout d'un coup un silence...
Je ne voulais pas ça du tout.
Mais il y a eu un silence de mort dans le resto.
Tout le monde suspendu.
Avec le maître d'hôtel qui dit
Mme a un dessert supplémentaire.
On entendait une mouche volée.
Elle prend la boîte, elle l'ouvre.
Elle me regarde pendant une semaine.
C'était très long, tu vois.
Et elle m'a fait juste un petit signe de tête et un sourire.
Et tout le restaurant a applaudi.
C'est mignon.
Et nous n'avons même pas parlé.
C'était très très beau que j'y repense.
Même pas un gros mot, rien.
Rien, pas une couille, pas une bite, rien.
C'est beau.
Je suis désolé d'être un peu émouvante, t'as entendu ?
Mais Jean-Marie,
Jean-Marie, t'y est toujours émouvant.
Même quand t'y est très vulgaire.
Oui, c'était tout ça.
C'est le mec qui va chez le pharmacien.
Et il dit, je voudrais,
vous avez des préservatifs au goût de Pomme ?
Et le mec il dit, oui mais pourquoi ?
Il dit, parce que ce soir je tire un boudin.
Tu vois, comme on peut redescendre de plusieurs étages.
Moi, j'attends que ce qu'on me demande en mariage.
Mais on ne détient jamais des mandemars.
On m'a demandé en Pax,
parce que c'était pas le mariage pour les pédéastes.
Et on m'a demandé en Pax, c'est pas pareil.
Non mais les Pax, c'est pas du tout romantique.
C'était notre mariage à nous, madame.
Moi maintenant, je veux faire un Pax.
Avec qui vous voulez Pax ?
Mais avec un homme qui n'aime pas les femmes.
On s'en doutait.
Vous devriez trouver plus facilement.
M. Jansen, alors votre acteur va vous demander en mariage ?
On n'en est pas là, c'est chelou, on n'en est pas là.
Alfred, mais brûle-on pas les étapes,
vous savez sur qui vous voulez aller trop vite.
Oui mais ça arrivera, ça arrivera.
Il y a une voyante qui m'a dit ça.
Elle m'a dit deux choses, elle m'a dit que j'allais mourir
à 59 ans d'une mort violente,
mais j'allais trouver l'amour à Angoulême.
A 58 ans.
Oui ça va, il me reste dix ans.
Mais pourquoi tu vas avoir les voyantes ?
Elle m'a demandé à moi.
C'est ma mère qui m'a transmis ça, oui.
Et qui dépense son argent, c'est connerie-là.
Alors je dépense pas forcément mon argent
parce que c'est des gens qui ont un vrai don
souvent dans des villages des campagnes.
C'est pas un cabinet parisien
qui te demande des milliers d'euros.
Et qui te la ramène des poulets morts
et tout ça pour leur payer.
Oui, on fait des sacrifices.
Mais vous faites des séances de spiritisme, madame.
Non mais moi j'ai un don, c'est vrai.
Ah oui, c'est voir quoi ?
Toutes les réponses de Laurent Rivier.
Toutes les réponses littéraires.
Au téléphone dans un instant,
nous aurons le metteur en scène
d'un spectacle musical.
Je ne vous donne pas le nom du spectacle,
mais je peux vous dire que
ce spectacle a un lien
avec un certain
monsieur qui fut assassiné,
un certain Louis Leplé
que Gérard Depardieu a d'ailleurs incarné
au cinéma, ce Louis Leplé
qui fut assassiné.
Louis Leplé fut assassiné
dans son appartement
à l'avenue de la Grande Armée.
Quatre hommes lui ont tiré
une balle dans la tête
et c'était le 6 avril 1936.
Quatre balles, donc il a pris
quatre balles dans la tête.
Il y avait quatre hommes en tout cas
chez lui ce jour-là
qui lui a tiré une balle dans la tête
et c'était
effectivement, il avait 53 ans
Louis Leplé en 1936
quand il a été tué à son domicile
à l'avenue de la Grande Armée. Mais qui était
Louis Leplé ?
C'est son vrai nom ça ?
Oui, c'est son vrai nom Louis Leplé.
Il n'y aura pas un spectacle sur lui
mais sur quelqu'un qui a énormément compté
évidemment, ou plutôt
lui a énormément compté pour cette personne
qui est, on va dire, le centre du spectacle
dont on va parler.
C'est un copain de Mozart ?
Un copain de Mozart.
Là, tu vois, ça relève de la psychose
c'est même pas de l'ignorant.
Mais non, c'est bien.
Mais non, mais parce que vous avez dit un spectacle musical
je pensais à l'opéra Mozart.
Ah oui, d'accord, mais non, ça n'a rien à voir.
Alors, est-ce que ce M. Leplé ?
Leplé, pas Leplé.
Il était peut-être, mais...
Leplé était un politicien.
Pas du tout, non, non.
Je vous ai dit, il était dans le spectacle
que le M. Leplé, il était homosexuel.
Ah, c'est un producteur de quelqu'un.
C'était le producteur de quelqu'un.
Et on imagine peut-être, d'ailleurs,
que c'est à cause, évidemment,
de pratique homosexuelle un peu déviante.
Quand je dis déviante, je parle pas
des pratiques homosexuelles, mais je parle du fait
que peut-être, il se faisait attacher
baïonnée ou des choses comme ça.
Voilà qu'il s'est retrouvé, que ça s'est mal terminé
et que, en tout cas, ce jour-là,
on l'a retrouvé morte dans son appartement
et celle qui est l'objet du spectacle
dont on va parler a d'ailleurs été interrogée
par la police judiciaire
au cas des Orphèves, parce qu'on suspectait
les mauvais garçons de son entourage
d'être peut-être ceux qui avaient
assassiné Louis Leplé.
Ah oui, donc c'est 1936,
donc ça peut être
Mr. Gett.
Ah, Mr. Gett, non, non, non.
C'est-à-dire que la personne connue,
c'est la... Lui, il était le producteur
d'une femme connue, c'est ça ?
Ça rappelle, ça va en arrêter
à bien avant. Mais on est au début.
Édite Piaf. Édite Piaf.
Bonne réponse.
Voilà !
Et oui, Louis Leplé
est l'homme qui a fait débuter
Édite Piaf après l'avoir entendue
dans la rue, c'est même lui
qui a donné son nom de scène.
La môme Piaf.
Et dans le célèbre film
ou Marion Cotillard joue Piaf, c'est effectivement
Gérard Depardieu qui jouait le rôle
de Louis Leplé.
Bonjour, Serge Jureau.
Bonjour. Évidemment, vous vous auriez trouvé
la réponse bien plus rapidement que mes camarades.
Mais je ne pense pas qu'on voit
Louis Leplé dans votre spectacle.
Non, on ne le voit pas mais on le voit
dans une exposition
qui entoure notre théâtre
sur les murs extérieurs du théâtre à la Villette
où on voit toute une histoire
en 11 tableaux de Piaf
par la grande dessinatrice Cattel.
On ne le voit pas mais il est très important
que celui qui va lui donner, vous avez raison,
son nom. Il lui dit, comme je t'ai trouvé
dans le cas niveau, on va t'appeler
la môme Piaf. La môme Piaf
qui est donc à l'affiche du hall de la chanson.
Vous dites hall ou hall vous d'ailleurs ?
Le hall de la chanson dit, parce qu'on se rappelle
que le mot musical a été créé
non pas aux Etats-Unis mais en France,
à Paris. Et c'est à la Villette
qu'on célèbre les 60 ans
de la disparition
des dits Piaf comme d'ailleurs celle
de Jean Cocteau. Jean Cocteau qui a été
aussi lui, c'est important.
À une journée près, parce qu'on sait
que Piaf a été ramené de province, on l'a dit
18 fois ici au Grosse-Tête
jusqu'à Paris. Ils ne sont pas encore ensemble ?
Non, non, non, ils n'étaient pas ensemble.
Mais en tout cas, il se connaissait, Cocteau a écrit
à propos de la môme Piaf, elle nous
dépasse l'âme de la rue pénètre
dans toutes les chambres de la ville.
Ce n'est plus madame Edith Piaf qui chante,
c'est la pluie qui tombe, c'est le vent qui souffle,
c'est le clair de l'une qui met sa nappe,
la bouche d'ombre,
le terme a l'air d'avoir été inventé
pour cette bouche oraculeuse.
Voilà ce qu'avait écrit Cocteau
à l'époque à propos de la môme Piaf.
Elles sont trois à chanter Piaf
dans votre spectacle, c'est bien ça ?
Trois femmes d'âge différents qui sont remarquables
qui sortent de très grandes écoles
de théâtre ou de musique
et trois hommes, et on l'a appelé
Edith la petite fille de la maison close.
Parce que ce que nous avons retenu
c'est ce moment de la vie de Piaf
ou de l'âge de 2 ans jusqu'à 8 ans
elle va habiter chez sa grand-mère
sauf que sa grand-mère
tient une maison close
à Bernay dans l'heure
d'ailleurs le jour anniversaire le 10 octobre
on ne jouera pas dans notre théâtre
mais à Bernay dans l'heure
et c'est vraiment étonnant
parce que ce qui nous a intéressé c'est
qu'est-ce qu'elle a gardé de cette enfance
où elle a vu des prostitués d'abord
un amour, une affection pour les prostitués incroyables
et puis bien sûr elle a le chanté
les chansons réalistes qui racontent toujours
des histoires, l'héroïne
d'une senson réaliste c'est une prostituée
généralement c'est écrit par des hommes
premier couplet elle rencontre un mec pas mal
deuxième couplet il n'a pas de travail il boit
troisième couplet il la tape un peu
quatrième couplet il la met sur le trottoir
et ensuite elle meurt
donc nous on a pris certaines de ces chansons là
mais on a pris les autres
celle que Piaf a chanté
où elle parle de son désir qui est incroyable
Piaf c'est une femme qui a eu un tas d'hommes
à qui elle apprenait à devenir chanteur
les mecs étaient autour d'elle c'est incroyable
les compagnons de la chanson ils vous montant
Charles Aznavour et on en passe
exactement ceux qui couchaient
ou qui ne couchaient pas
elle elle leur apportait un truc incroyable c'était
une pigmalione mais elle elle a eu des pigmalions
elle a eu le plé, elle a eu Rémoisson
mais cette femme c'est un coup en renverse
le jeu et c'est elle
qui soutient les gens
c'est elle qui est souteneuse
c'est elle par exemple qui va soutenir Georges Moustaki
Moustaki qui va lui écrire Milord
Milord
je l'ai choisi parce qu'elle est dans le spectacle
cette chanson
il y a des chansons de Piaf
d'autres qui ne sont pas de Piaf mais qui sont interprétés
parce qu'elles ont un lien avec votre histoire
l'histoire que vous racontez autour de Piaf
c'est le cas aussi de cette chanson
qui elle a été interprétée par la môme Piaf
je m'en fous pas mal
je m'en fous pas mal
je m'en fous pas mal
il peut m'arriver n'importe quoi
je m'en fous pas mal
j'ai mon dimanche qui est à moi
cette tête banale
mais ce que les gens pensent de vous
ça m'est égal
je m'en fous
Edith la petite fille
de la maison Clause
c'est Hol de la chanson à la Villette
pour célébrer les 60 ans
de la disparition de Piaf
mais oublier que le fameux bordel
tenu par sa grand-mère c'était effectivement
en Normandie à Bernet
comment il s'appelait
c'est bordel je sais pas moi
c'était le nom de sa famille
c'était le nom de sa famille
sa grand-mère avait été épicière
et puis après c'est dit je vais vendre autre chose
à Bernet ils ont carrément
leur théâtre
ils l'ont appelé le Piaf
depuis 1971
ils assument à fond
le jour même de l'anniversaire à Bernet
et puis après on revient dans notre théâtre
jusqu'au 19 octobre
à la Villette
c'est vraiment le rôle de la chanson facile
le rôle.com
ou le rôle de la chanson.com
et c'est Pia la grande
Manon Landowski et Mathilde Martinez
qui joue les Piaf
accompagné par un guitarriste, un contrebassiste
et un accordéoniste
vous êtes le metteur en scène avec Olivier Usné
merci Serge Jureau
c'est mon piaf
STL
qui sera la meilleure histoire ?
Direction le Nord à Kievre-Chin
je prononce mieux
dès que j'ai un professeur
de ch'ti
ça va mieux, bonjour Aurélie
bonjour Laurent
bonjour les sociétaires
vous comprenez bien Jean-Phi
évidemment le public qui s'est endormi
vous applaudit quand même
il y a une dame qui vous dit bonjour
répondez-lui
vous comprenez bien tout ce que dit Jean-Phi
vous aurais dit forcément
globalement ça va
mais tu pars quand c'est bel
moi j'écoute l'étard
je crois qu'il y aura peut-être une histoire belge
oh mon dieu c'est tombé sur moi
parmi celle qu'on a proposé
à nos grosses têtes du jour
votre but à vous Aurélie
c'est de deviner celle ou celui
qui sera le mieux raconté son histoire
il y a un séjour valdis resort
à gagner et vous pourrez choisir
entre la Vendée, la Loire Atlantique
la Bretagne
un des magnifiques hôtels Talasso et Spa
que talasso.com
vous offre
tout simplement c'est l'endroit idéal
pour choisir sa Talasso
un des quatre valdises resort
vous attend un condition de misé
sur la bonne grosses têtes
qu'est-ce que vous faites dans la vie Aurélie ?
alors je suis connu le projet dans une ambiance de pub
donc vous avez envie de vous amuser de temps en temps
et à votre avis qui peut raconter
le mieux son histoire aujourd'hui
on a des spécialistes il faut dire
ben oui j'attendais un petit tour de sable
pour faire un peu...
on peut demander à Jean-Fy son histoire c'est quel genre
ah il est bonne, il est drôle
Jean-Marie Bigard
pas mal, c'est un déconnée d'habitude
je prends une histoire à moi mais là on m'a proposé
une blague que je trouve très bien
ah très bien donc il va la faire
maman Yacoupe
moi je ne la comprends pas
et bien moi j'ai échangé
ma blague contre une autre
ah oui parce que vous ne vouliez pas dire
la blague qu'on vous a donnée
yacoupe vous l'avez refilé alors
et bien c'est Rachel qui va la dire
la jolie Rachel qui est contente
merci pour le cadeau
et vous me soise alors
ben moi j'ai le seul problème c'est que je vais devoir
faire l'accent belge
alors à votre avis Aurélie
ben à la base j'aurai l'idée de ce reste
parce que j'avais envie de lui donner 15 ans
mais si dans une direction belle je crois
vous n'y croyez pas
alors un peu moins du coup
je vais être contente au nord
honnêtement je vais l'idée sur Jean-François
Jean-François j'enseigne
oh mais alors
Marcela Yacoupe est triste
parce qu'elle pensait que vous alliez
miser sur le spécialiste
oui bien sûr le champion du monde
de l'histoire drôle Jean-Marie Bigard
le pétaman préféré des français
mais on réalisait votre choix
et peut-être que le public rira
plus à la blague de Jean-François
que celle de Jean-Marie on va commencer
par Rachel Cannes je rappelle
que c'est l'histoire qu'on avait donné à Ariel
et qu'elle n'a pas voulu lire
dans le lit conjugale un homme dit
à son épouse
chéri je voudrais faire l'amour par derrière
non chéri je t'en supplie et c'est
je te lui dis je ne veux pas
alors bon ils font l'amour normalement
dans la position du missionnaire
et voilà qu'à la suite d'une contraction
de la jeune femme il se retrouve
bloqué impossible de se séparer
l'homme réussit
à atteindre le téléphone sur la table de nuit
une ambulance vient les chercher
on les roule dans une couverture
et direction hôpital
on les décoince la semaine suivante
toujours dans le lit conjugale
le mari dit chéri
j'ai envie de faire l'amour par derrière
non non non n'insiste pas
mais écoute chéri
la dernière fois si tu m'avais écouté
on aurait pu aller à l'hôpital à pied
pourquoi vous n'avez pas voulu
la raconter Ariel
mais parce que je trouve que Rachel
la raconte très bien
racontez-nous la votre alors Ariel
bon alors là la
blague de Rachel alors une blonde
s'adresse à une copine
oh mon dieu
mon dieu
fais moi
penser envoyer un sms
à ma mère
mais qu'est-ce qu'il se passe
d'accord tout va bien
mais oui mais c'est juste pour lui dire
de ne pas chercher son portable
elle l'a oublié chez moi
j'en ai dit débile
non mais franchement Ariel
échanger la blague
de Rachel contre la tienne
non je l'aurais pas fait
j'échangerais pas ma blague d'Ariel
contre deux barilles d'Ariel
donc on rédit
elle a bien fait de pas miser sur vous en tout cas
voilà exactement alors une fois
dans un restaurant à terrasse
par un beau jour d'été un client belge entre furieux
à l'intérieur et apostrophe le patron
dites moi chef
dites moi chef
alors avec ma femme et voilà qu'au beau milieu du repas
elle vient de recevoir en plein sur le front
une grosse crotte de pigeons
ça est dégoutant à une fois
monsieur Balbucile patron
je suis tout à fait confus
je vais vous donner une serviette en papier pour les suyer
mais mon pauvre ami c'est trop tard
et c'est envolé
je suis sûr que
c'est l'accent de mon aide bec
la suite
de l'histoire
après la pub
qu'elle suffit
qu'elle sera la meilleure histoire
bon Aurélie pour l'instant tout va bien
parce qu'on peut pas dire que ce soit les trois histoires
qu'on est entendues qui soient les gagnantes
à l'avance
à moins que monsieur As vraiment a eu
la meilleure mais je pense qu'on va avoir encore mieux
avec Marcelas, Jean-Marie et Jean-Phi
vous êtes confiants Aurélie
oui oui je crois Jean-Phi
bon alors d'abord Marcelas y a courant
on va se débarrasser de
par la pire à la pire
j'espère qu'elle n'a pas comprise
moi j'ai dit textuel
deux blondes sont en train d'essayer
des vêtements
au fait, tu savais qu'il fallait
trois moutons pour faire un pull à laine
non
je ne savais pas qu'il savait
tricoter
très mauvais
non c'est pas ça
elle a vraiment très très mal raconté
c'est ça mais sinon c'est assez joli
elle est bonne cette blague
je m'arrêle raconté
quand c'était de saloperie
moi j'ai un cesse de téléphone
et là tu me descends comme ça
non non je t'ai pas descendu
mais sur la dernière base
ça aurait pu dire il faut trois moutons
pour faire un pull
j'ai pensé que c'était suffisamment clair
oh oh oh
pendant une heure les gens sont partis
et tout
c'est dur de faire marcher la boutique
quand il n'y a plus personne tu comprends ?
montrez lui monsieur bigard comment il faut faire
montrez lui
voilà ça c'est un mec qui dit à son bob
il t'en fait une tête
il me parle pas ma femme veut divorcer
bah il dit qu'est ce que tu lui as fait
mais rien je ne comprends pas
figure toi hier soir
je sors du café
un peu bourré mais pas trop tard
tu vois je rentre
et pour une fois
ma femme m'accueille
toute nue
avec juste
un petit sous-vêtement extrêmement sexy
elle me dit allez
chéris si tu veux tu peux m'attacher
et tu pourras faire tout ce que tu veux
après
et là tu dis alors
bah il dit alors je vais
l'attacher
et bah dis après je suis retourné
boire une bière
je trouve
pas mal
mais
elle est pas mal mais la mienne avec le mouton
c'est mieux
et je l'ai mieux raconté que toi excusez
de toute façon
de toute façon
de toute façon Aurélie a misé
sur Jean-Phi alors on encourage
Jean-Phi Jean-Saine
du Jean-Phi
c'est deux copains qui se retrouvaient une sause soirée
ils se sont pas vus depuis très très longtemps
et ils sont contents de se retrouver
il dit bah alors c'est bien du coup
une femme des enfants dit oui je m'arrive
mais dans mes souvenirs
tu t'étais chimiste, tu t'étais dans la chimie
t'avais fait des études de chimie et l'autre il dit oui oui
d'ailleurs j'ai fait fortune grâce à ça
il dit ah bon qu'est-ce que tu fais
bah il dit j'ai trouvé un procédé chimique
tout ça qui me permet de transformer de la merde
en beurre
c'est incroyable ça
j'en ai tout le temps donc j'ai fait fortune grâce à ça
et il dit ah ouais
il dit c'est un procédé très secret
de chimie que j'ai mis au point
et l'autre il dit ah bah écoute
bah ici tu veux ce week-end je vais en Bretagne c'est là que j'ai mon usine
viens chez moi je t'emmène je te montre comment ça marche
alors il dit curieux il dit bah oui je veux bien voir
le processus de transformation de la merde
en beurre quoi tu vois
alors il va en Bretagne tout ça
et l'autre il monte sa maison
une super vie là il a fait fortune grâce à ça
et là il dit bah là tu vois c'est mon usine
avec effectivement il y a des grosses silos
tu vois il y a un tout un procédé chimique
qui rentre dans l'usine
il montre il dit ouais c'est grand
c'est immense il dit oui oui on sert le monde entier
tu sais on sert le monde entier
donc il dit bah bien je te montre
alors il l'emmène dans une salle
où il y a la matière première
des grosses silos de merde
et puis effectivement il y a une dose de merde qui va sur la tapis
et puis ils font tout le tour de l'usine comme ça
ils arrivent de le côté effectivement bah c'est une mode de beurre
alors tu dis c'est incroyable
il dit mais tu peux faire toutes les tailles
il dit oui plus que je mets de la merde plus que ça fait du beurre
c'est dingue et puis effectivement
c'est du vrai beurre il faut une grosse mode
alors l'autre il dit bah tiens
il fait une tartine avec la mode qui vient de sortir
de la merde transormie il fait une tartine comme ça
il donne à l'autre il dit tiens il goûte tu vas voir
et l'autre il dit ah ouais il goûte
effectivement c'est bien du beurre
et dit par contre il y a quand même
un petit arrière goût de merde
et l'autre il dit je sais
c'est que
c'est que
bon
c'est du beurre
mon premier spectacle
s'appelait oh ben oui
parce que c'était la vraie chute de cette blague
bah oui
et ça a quand même un petit goût de merde
oh bah oui
on la connaissait
franchement je ne l'ai pas compris
on la connaissait mais
elle était marrante quand même
tu t'es bien battu
j'en suis
Aurélie va pouvoir partir
et moi j'aimais bien c'est qu'on vous avait donné
vous avez préféré raconter une histoire
oui je peux la raconter
je vais la faire puisque je n'avais pas voulu la faire
monsieur Jansen
moi je l'aimais bien c'est un
je sais pas si vous la connaissez monsieur Bigard
c'est un Yvron mais vraiment il est bourré
et il monte dans un autobus
il s'installe dans l'autobus
et puis là ce coup il se met à crier
les pédés
ceux qui sont à droite c'est
cocu et celui qui conduit le bus
c'est un connard
alors le chauffeur il entend ça
il est indigné il freine merde brusquement
il freine
il se retourne vers l'autocard
et vers l'ivron et il fait un répète
un peu ce que t'as dit
c'est qu'il est pédé les cocus et les connards
et la livrone répond
qu'est ce que j'en sais moi maintenant
avec ton freinage à la con
on a tous mélangé
à l'invité du jour reprend au théâtre
un succès
un succès qui
qui a déjà vu 50 000 spectateurs
se précipiter pour applaudir ce duo
un duo avec Michel Lebes
et celui qui joue les pigeons avec Michel Lebes
c'est notre camarade Francis Uster
qui est notre invité du jour
ça se joue
au théâtre des nouveautés
avec Chloé Lambert et Philippe Vieux
miansen
par Jean-Louis Bonoît
et c'est une comédie
écrite par Michel Lebes
lui-même on peut même dire c'est la première pièce écrite par Michel Lebes
c'est la reprise au théâtre des nouveautés
de cette pièce avec Francis Uster
barbu qui vient d'embrasser
Arielle Dombal
toujours séducteur
bonjour Francis
bonjour Lan
ça veut dire que vous êtes amusé pendant toutes ces représentations
vous avez joué déjà la saison dernière
avec Michel Lebes
pour lui dire oui on continue
ah ouais mais c'est
c'est un coup de bol absolument incroyable
parce qu'en fait on ne devait pas du tout jouer la pièce
on devait uniquement
faire une captation au théâtre
Edouard Sette et puis
Pascal Le Gros nous a offert
de continuer la pièce pour quelques mois
et en fait ça a tellement marché
qu'on la reprend encore toute une saison
au théâtre des nouveautés les pigeons
alors les pigeons ce sont ces deux acteurs
pardon Francis mais un peu ringard
complètement ringard
des mecs qui ont aucune chance
ils ont tout raté
on va dire le salon d'attente
d'une boîte de production
parce qu'ils ont rendez-vous pour un casting
un casting ça veut dire que tu passes
on te donne une scène et puis tu la lis
et tu la passes devant la caméra
c'est ça qu'on appelle un casting
et eux ils sont concurrents pour le même petit rôle on imagine
ouais ils espèrent qu'enfin
ils ont un rôle qui dure au moins 2 minutes dans le film
alors ils sont là ils attendent
pendant un moment ils se racontent des conneries
pices de rire et puis ça avance pas
ça avance pas puis tout d'un coup
le coup de théâtre la porte s'ouvre et là
alors là faut venir voir la pièce
pour savoir ce qui se passe
on ne peut pas raconter la suite parce que si on dévoile
la deuxième partie de la pièce on perd
une grosse partie du plaisir à vous voir
mais c'est vrai que déjà la première partie
voir ces deux comédiens ringard
interprété par deux comédiens qui ne le sont pas
gentils merci
en tout cas au moins un des deux
et f...
dis non
je vais dire à Michel
d'écouter les grosses telles
il parait que c'est vrai cette histoire
un jour quelqu'un a dit alors qu'il sortait de
scène à Roger Pierre et Jean-Marc Thibault
il y en a un de vous deux qui est très bien
oui absolument
oui oui oui oui oui
pourquoi je me suis assuré
c'est parce qu'il y en a un qui est un
c'est un d'autres qui est un d'autres
c'est Michel
Michel Lebes qui a écrit la pièce
oui oui on s'attendait pas du tout
ça fait longtemps qu'il osait pas
écrire lui-même une pièce et puis en plus
Michel c'est quelqu'un de particulier
parce qu'au dehors de nos mondes son talent
de comédie un de comédie c'est un peu justement
comme Jean-Marie c'est-à-dire que c'est quelqu'un
qui prend dans la vie de quoi
s'émotionner
il y a quand même une grande tendresse
il y a quand même des genres, le public s'en vient
comme à l'époque tu vois de
de Bourville, de l'Amoureux, de Fernando
qu'il y a plus que simplement le fait
d'être un comique, il y a vraiment
et vraiment je le dis, non mais c'est la vérité
c'est un peu le coeur sur la main
mais c'est vrai, c'est vrai, sinon tu en serais pas
ou tu en es
les pigeons au théâtre
des nouveautés, vous connaissez Gilbert
Montagnier Francis
alors lui il est extraordinaire
bonsoirm
bonjour Pierre Harditi
bonjour au public du télémattin
non c'est Francis Suster
alors Francis moi je suis un grand
fan de votre carrière, j'ai entendu
tous vos films, mon préféré
c'est l'homme et son chien
ça aurait pu être le titre de mon biopic
il n'y a rien à faire
cacher mais, non
Au revoir Olivier Minéphoboyard J'imagine Francis Suster pour ce que
vous croisez tous les grands de ce monde que vous avez déjà rencontré Nicolas Sarkozy
Oui absolument
Et le voici Nicolas Sarkozy
Bonjour monsieur le juge, mesdames les messieurs les jurés, vous êtes tous l'air plus sympa
qu'à mon dernier procès, d'ailleurs monsieur Ruquier avec les grosses têtes, je crois que
vous avez un million d'audience par jour, c'est bien ça
Plus même
Et bien comme moi
Dis non monsieur Uster, je vous avais adoré dans le diner de con où vous étiez juste le blanc
C'est juste, et bien là vous jouez avec Philippe Vieux qui n'est pas vraiment vieux
mais vieux n'est pas vraiment jeune non plus
C'est marrant qu'il y aurait cru glâme d'un auteur de comédie sommeiller en moi
Rien n'est impossible, écrire des pièces, animer les grosses têtes, présenter le vingtur
sur BFM, je suis chaud patate monsieur Ruquier
Vous voulez vous inspirer de moi, voici monsieur Uster, un de vos anciens élèves, car il faut
rappeler, vous enseignez toujours d'ailleurs ou pas Francis ?
Oh non je sais pas le temps, parce que je suis entre des tournages, les pièces
Mais pendant longtemps vous avez enseigné au cours florent, et vous avez eu Édouard Baer au cours florent
Ah oui, et Isabelle Lentier était très importante pour Édouard
Édouard Baer, il est là, Édouard Baer
Oui, puis je parlais à maître Uster, c'était une bonne situation pour le théâtre
Et je sais déjà que vous allez me répondre qu'il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises situations
et que si vous deviez résumer votre vie aujourd'hui avec moi, vous direz que c'est d'abord des rencontres
Peut-être un moment où vous ne pouviez pas, où vous étiez pénard aux grosses têtes
à parler de votre nouvelle pièce, et qu'un ancien élève est venu vous l'ébriser
C'est bien, c'est bien, c'est la première fois de l'entente, Édouard Baer, bravo
Mais puisque Francis, vous venez de complimenter Jean-Marie Bigard, et bien sachez qu'on a un deuxième Jean-Marie Bigard
Ça veut, mon Francis ?
C'est génial
Alors, j'ai appris que t'avais failli pas exister
Parce que tes grands-parents maternels étaient sur le Titanic, mais comme ta grand-mère se sentait pas bien
Non, je te jure, les gonzelles, c'est pas bon !
Elle est descendue du bateau parce qu'elle était enceinte, c'est vrai
C'est vrai, c'est totalement vrai
Ça veut dire qu'on a un point commun, Francis, moi aussi, j'ai failli pas venir au monde
Bah mon grand-père paternel a été blessé au testicule pendant la première guerre
Un accident de vélo, tu vois ?
Les médecins ont réussi à en sauver une sur deux
Mais pauvre, ma grand-mère l'a appelé Motus toute sa vie
Parce que quand elle fouillait dans le sac et pouvait tomber sur la bouleloir, tu vois ?
Vous pouvez applaudir Marc-Antoine Lebré
Et en attendant d'applaudir Francis Luster au théâtre des nouveautés avec Michel Lab
Francis, on vous retrouve après la pub pour faire la valise Ertelle
La valise Ertelle
La valise Ertelle, vous connaissez le principe Francis ?
Parce que vous avez fait les grosses têtes avec nous de temps en temps
Je vous en veux d'ailleurs, de ne pas venir nous voir plus régulièrement
Mais je viendrai, je viendrai
Je vous crois plus
Ah non, je vous crois plus
Ah non, je suis fâché
En tant que vous vous voyez, je suis fâché
Bon d'accord
Je fais la promo, c'est mon métier
Moi, je suis fâché
Alors, la valise Ertelle, un numéro de 1 à 20, Francis
Francis ?
Il est fâché, alors j'ose plus répondre
Allez, de 1 à 20, alors je vais dire 1
1, très bien
Corinne Etienne
Alors Corinne, j'imagine que c'est son prénom et Etienne, c'est son nom
À moins de ce soir, monsieur qui s'appelle Etienne et dont le nom soit Corinne
Enfin, on va laisser Corinne Etienne
Et on l'appellera Yel
Et se trouve au
Courbevois dans les Hautes-Sais
Ça va sonner déjà là, à Courbevois
Voici la première sonnerie, comme vous l'entendez vous-mêmes, chère Francis
Allez, allez
Allez Corinne
Allez, Chême
Oui, allô ?
Oui, bonjour Corinne
Vous êtes en direct dans les grosses têtes
Laurent Ruchier, toute l'équipe est autour de moi
C'est Francis Huster qui vous parle
À propos de la valise Ertelle
Alors je vous écoute
Je suis désolée, j'ai pas du tout écouté
Corinne
Ben oui, ben oui
Vous vous rendez compte que Francis Huster s'est déplacé ici, à Ertelle
Pour vous appeler pour la valise
Vous aimez bien Francis Huster
Ah oui, j'aime beaucoup Francis Huster
Ah oui, bien sûr
Ah oui, mais Francis là, il a pour nous parler de sa pièce au théâtre des nouveautés
Comme vous êtes à Courbevois, j'imagine que si monsieur Le Gros
n'est pas trop radin, le producteur
Évidemment, vous serez invité, bien sûr
J'en suis pas sûre, enfin...
Mais si bien sûr
Faites nos signaux au théâtre des nouveautés
On vous invitera, Corinne
On vous met deux places, Corinne
Attention, les représentations, les jeudis, vendredis, samedi, deux représentations
16h30 et 21h et le dimanche 16h
Vous avez le métro peut-être, si Francis
Le métro, c'est grand boulevard
Oui, ben oui, quand même, je le mets trop
Non, je demandais à Francis, il avait le nom de la station de métro
C'est grand boulevard
Oui, grand boulevard, oui
Venez, vous rigolez pendant une heure et demi
On vous met deux places, madame Etienne, qu'est-ce que vous faites dans la vie ?
Je suis infirmière, et je suis devenue à la mission des grosses têtes
Et j'avais gagné un voyage
C'est pas vrai
Ah ça, alors ben, vous êtes chanceuse, oui
Non, parce que là, pour le coup, vous n'y gagnez pas une deuxième fois
Mais où est-ce que vous avez envoyé ?
Pardon, écoutez, c'était juste avant le Covid
Je devais partir à Copenhague
Et l'agence de voyage m'a quand même payé
Une suite au bord de la mer en Bretagne
Ah oui ? Ah ben c'est pas vrai
Ah oui, écoute, la Bretagne, c'est notre Copenhague à nous
Si c'était pas dans le Covid, effectivement, les voyages étaient interrompues
Il y a l'agence, ça a été quand même sympa de nous proposer autre chose
Mais ils sont comme ça, c'était quel agent ?
Ah ben moi non plus
Ah ben, c'est pas très grave
Ce qu'on va faire, écoutez, c'est qu'on va vous offrir les deux places
Pour applaudir Francis Suster au Théâtre des Nouveautés
Vous applaudirez les pigeons, venez avec votre boîte de petits pois
Ah d'accord, ok
Mets-y-moi au premier rang, comme ça je dirais bien
Ah ben d'accord
Ah ben merci
Faudra pas louper que Loëlle Amber et Philippe Vieux
Commencez-leur aussi
Vous êtes une rigolante, Corinne
Bah oui, bah oui
Et vous écoutez les grosses têtes quand même tous les jours, j'espère
Sauf aujourd'hui
Ah ben tous les jours, là j'étais partie à l'Amérique Courbevois
Faire ma pièce d'identité, donc là je n'ai pas écouté
J'ai le désolé
C'est chiant, ça y manque toujours un papier au dernier moment
En plus c'est vrai, c'est vrai, il manquait toujours un truc
Bah Corinne, en tout cas, on va vous embrasser très fort
Est-ce que je pourrais avoir une petite ponte vertèle ?
Mais bien sûr, on va vous embrasser une ponte vertèle
Et on remercie Francis Suster à la fiche du théâtre des nouveautés
Avec Michel Lep
Dans les pigeons, bravo aussi
A Marc-Antoine Lebré que vous retrouvez dans un instant, évidemment
C'est pas, c'est pas comment, c'est pas Julien Selyer ce soir
On est vendredi, c'est Vincent Parisot avec vous
Alors c'est ça, bah vous pourriez me le dire
Vincent Parisot
Bah oui
Alors bonsoir Vincent Parisot
On vous envoie Marc-Antoine Lebré
Applaudissements
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Avec Rachel Khan, Marcela Iacub, AZ, Jeanfi Janssens, Jean-Marie Bigard et Arielle Dombasle.
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