Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du vendredi 29 septembre 2023
RTL 9/29/23 - Episode Page - 1h 43m - PDF Transcript
...
Les grosses têtes de Laurent Rucchier,
c'est de 15h30 à 18h sur RTL.
Bonjour !
On vous en trouve.
Avec pour vous, aujourd'hui...
Une grosse tête dont on fait le grand retour.
Elle n'a pas besoin d'avoir une bonne mémoire
puisqu'elle invente tout ce qu'elle vous raconte.
Christine Bravo !
Bonjour !
Une grosse tête qui, en plus de murmurer à l'oreille des chevaux, parle tout le temps à la radio.
Dari Boudboul !
Bonjour !
Une grosse tête qui hésite entre réaliser un nouveau film ou ouvrir une fromagerie.
Asse !
Bonjour !
Une grosse tête qui chez Yama préfère les pianos motos.
Olivier Bellamy !
Une grosse tête tellement cultivée qu'il s'arrache les cheveux s'il ne trouve pas la bonne réponse.
Jean Benignini !
Quel accueil !
Et une grosse tête qui, quand il commente un match de foot, bouge plus que certains joueurs sur le terrain.
Yohan Ryu !
Je ne reviens pas, je ne reviens pas de votre popularité, Monsieur Ryu.
Vous êtes arrivés, les gens vous acclamaient, vous leur avez donné un petit billet avant de venir.
Non mais les gens savent que j'ai une vie un peu compliquée, que je suis fragile.
Et donc les gens adorent le côté que je suis un peu croyant.
Et que j'ai du mal dans ma vie.
Et donc ça les gens apprécient.
En plus ils savent que vous êtes un enfant de divorcée.
J'ai appris ça, j'étais triste cette semaine.
Mes parents se sont séparés.
Après 30 ans d'amour.
Il y a quelques années.
C'est la vie, vous savez.
Mais c'est compliqué.
Le problème c'est qu'on gardait deux, vous voulez la garde.
Alors vous mettez dans mes 22 mètres la cheveuille.
C'est l'histoire de la vie, mais l'important c'est qu'ils se sont aimés 30 ans.
Mais vous préférez votre papa ou votre maman ?
Ah non, on ne demande pas ça.
Et Christine elle me regarde.
Mais vous ressemblez physiquement, à votre maman ou à votre papa ?
J'espère à son papa.
Le problème c'est Dylan.
Parce qu'en plus...
La barbe c'est maman ?
Non mais c'est vrai.
Et en plus j'ai deux parents qui sont très calmes.
Ah oui.
Et donc je suis le seul qui est complètement fadard dans l'histoire.
Et ta sœur jumelle elle est pareille ?
Non, elle est très différente, elle parle pas beaucoup, elle est très calme, elle ne dit rien.
Enfin elle est très pudique.
Et donc en fait on se complète merveilleusement bien.
Non mais dis-moi, qu'est-ce que je t'as fait avec ta voix ?
C'est quand je suis stressé et que Laurent me pose des questions intimes,
que je prends une voix un peu visable.
Oh, des questions intimes, des questions intimes, c'est juste sur...
Quand il est sur la céleste, il prend une voix de Cressel.
Voilà, c'est tout.
Il arrive au Mélanie.
Moi, ma voix préférée, ça reste celle d'Olivier Mélanie.
C'est une voix chique, vous voyez.
Mais il est chique.
Pas un peu comme ça, il a un côté.
Ah, vous êtes d'accord.
Après minuit, il change de voix, on l'a vu après minuit.
Oh, on l'a vu.
Tais-toi.
Après minuit c'est plus cette voix.
Ah oui, c'est vrai.
C'est le Lou Garou.
C'est plus Beethoven, c'est Bouba après minuit.
C'est vrai.
C'est vrai.
Vous n'étiez pas là, vous, Christine,
et Jean, on a fait un voyage à Londres
et il faut reconnaître que M. Mélanie nous a...
Fait un strip-tiz.
Nous a surpris.
Oh non, quand même pas.
Bah t'appelles pas comment quand on enlève ses vêtements ?
Ah oui, ben c'est ça, c'est ça alors.
C'est tout l'inverse de ce qu'on peut imaginer.
Cet homme-là, cet homme-chique qui vous parle de Chopin,
de Ravel, de la troisième...
Eh ben, passez minuit.
On était hors d'Europe.
On était hors d'Europe.
Eh ben voilà.
Mais hors d'Europe, on n'a pas droit d'embaisser Zaby
après 2h du matin.
Et c'était le roi du match de foot,
c'est ça qui est encore plus surprenant.
Même sur le terrain de Chichin, c'est énorme.
C'est pas faux.
Remisquez-moi aussi, quand je vous vois,
j'ai l'impression d'un gros poussin qui est passé chez nos petits siens.
Attention.
C'est quoi cette...
Maintenant, vous êtes monochrome.
Vous êtes de la police ?
Vous êtes tout en jaune des pieds à la tête.
Même les dents sont jaunes.
Mais tu ressembles de fils en fils à Jean-Pierre Coff.
Non mais c'est un compliment.
C'est lui qui dit ça.
Les lunettes rondes et tout.
Le mieux c'est peut-être que je commence
par une citation,
car je sens les auditeurs impatients
qu'on passe aux choses sérieuses.
Tiens, mais justement,
puisque vous avez du caractère,
on aime dire ça de vous, chère Christine,
voici une citation pour Mme Arc,
qui habite super, c'est dans la marne,
qui a dit, quand on a du caractère,
il est toujours mauvais.
C'est joli.
Ah oui, c'est joli.
C'est vrai, c'est vrai.
C'est un français ?
C'est un français ?
Un français ?
C'est quoi, c'est un humoriste ?
C'est un moraliste ?
Non, ce n'est pas un humoriste,
ni un moraliste,
un écrivain,
un homme politique, oui madame.
Mitterrand.
Mitterrand.
Non, Jacques Chirac.
Jacques Chirac, non.
De Gaulle.
C'est plus ancien que tout ça.
Edgar Ford.
Edgar Ford.
Et plus ancien que Ford.
Lavadier.
Raymond Poincaré.
Raymond Poincaré.
Clémenceau.
George Clémenceau.
Bonne réponse.
De Jean-Mainemie Guy.
Merci Jean.
Une citation plus récente
pour Lydia Combe, qui habite à Brest,
qui a dit, je me demande parfois si Dieu n'a pas Alzheimer
et s'il ne nous a pas complètement oublié.
Ah, Woody Allen ?
C'est contemporain.
Alors ce n'est pas Woody Allen, mais ça aurait pu.
C'est un juge américain ?
C'est vieux ?
Alors c'est un américain.
Effectivement, un américain qui vit encore,
qui a une cinquantaine d'années.
Ah, c'est jeune.
Bill Berg.
Non, non.
Il est écrivain.
Il n'est pas écrivain,
il est acteur,
il est humoriste,
il est scénariste.
Ah, c'est un de vos bandes.
Jimmy Fallon ?
Pas de Jimmy Fallon.
Jerry Seinfeld ?
Un spécialiste de l'humour noir,
proche de Richard Pryor.
Def Chapelle ?
Def Chapelle.
Bonne réponse de Aze.
Qu'est-ce qu'il fait ?
Qu'est-ce qu'il y a, qu'est-ce qu'il y a ?
Je ne sais pas qui c'est.
Dites-lui à Aze, qui c'est.
Je ne sais pas qui c'est.
C'est un humoriste noir.
Oui, oui, bien ça, merci.
Pour Nicolas Robinson,
qui habite là-bas de Laine,
une dernière citation avant qu'on passe aux choses sérieuses,
qui a dit, attention, c'est très difficile,
c'est très ancien, qui a dit, c'est en enseignant
que les hommes s'instruisent.
Charles Leban.
Non.
C'est plutôt orfussiste.
Les oeufs grecs.
Alors effectivement, c'est très ancien.
Pline, ou c'est sa faute.
Platon, socrate.
Pourquoi vous rigolez-le ?
Parce que je viens de voir
que quelqu'un qui était né dans le sud de l'Espagne,
il y a cordou et je n'aurais jamais imaginé ça,
mais c'est plus romain que grec pour vous aider.
Mais vous rigolez souvent à ça ?
Quand je me surprends, oui.
Est-ce que c'est vraiment un personnage
hyper important d'odyssoir ?
C'est très cool.
Il a un nom espagnol.
Je sais que je ne vous aime pas,
mais vous avez raison.
Est-ce qu'il a un nom espagnol ?
Ah non, pas du tout, non, justement.
D'où ma surprise ?
D'où mon émoire ?
Pline.
Mais c'est rond.
Pas si c'est rond, pas Pline,
mais un philosophe, un dramaturge,
un homme d'État, Romain, tout ça.
Platon.
Platon.
Titus.
Titus.
C'est en Huss.
Clovis.
Un homme d'État Clovis, non ?
C'est une marque de faune, vous pouvez aller.
Clovis.
Clovis.
Pourquoi il ne peut pas dire ça, Clovis ?
Tu connais Clovis.
Vous avez trop regardé
les émissions historiques
de Christine Bravo.
Ah non.
Alors Clovis, franchement.
C'est un nom Huss.
Non, c'est pas un nom Huss.
On l'appelait d'ailleurs.
C'est le fondateur
de la démocratie atteignée.
Et lui, on l'appelait le...
Toi, Toi.
Mais non, pas Toi, Toi.
J'ai entendu Stoic.
J'ai entendu Stoic.
J'ai tenté un truc.
Non.
Mais ton inculture devient géniale,
je trouve.
Et gênante.
Non, moi, ça m'arrange.
On le prend pour ça, le petit.
J'ai trouvé Devchappel, quand même.
Ah oui.
Ah oui, bravo.
Bravo.
Non, mais là, c'est un homme
d'État philosophe, Romain Der.
On le surnommait,
comme il était dramaturge aussi,
le tragique, parce que son père,
ou le jeune, parce que son père
était déjà connu.
Alexandre.
Non, non.
Mais ils sont tous comme ça,
il y a Plin le Vieux, Plin le Jeune,
ils sont tous en famille.
Voilà, exactement.
C'est un historien, plutôt.
Non, non, c'est un philosophe,
un dramaturge.
Quelle année ?
Quelle année.
Ça m'a vous aidé, vous,
l'année.
Ne doutez pas de mes performances,
d'aller voir, dites-moi l'année.
Alors, il...
Il est né entre l'an 4 avant Jésus-Christ
et l'an 1 après Jésus-Christ,
parce qu'à 5 ans près,
on n'était pas à cette époque-là.
C'est pas.
C'est comme les actrices.
Les registres étaient très mal tenus.
Mais il est mort.
En revanche, on a la date exacte de sa mort.
Le 12 avril 65 après Jésus-Christ.
Sénèque.
Sénèque.
Bye.
Bonne chance.
Heureusement qu'on a un homme cultivé.
Heureusement qu'il était là.
Dans la réponse de Olivier Bellamy,
c'est Sénèque.
Il était un peu long à venir,
mais bon.
Une question pour Francine Dupir,
qui habite à Beville,
dans la Somme,
et on va voyager dans le temps encore,
puisque je vous emmène en 1900,
à Paris.
Et ce jour-là,
Émile Loupbé,
le président de la République,
Émile Loupbé en personne,
va remettre une médaille
à Élie Lossoeur.
Élie Lossoeur,
qui vient de pécher
le plus gros poisson
qu'on pouvait pécher.
Elle était la meilleure,
parmi 57 pêcheurs.
Élie Lossoeur vient de...
Je dis elle.
Mais un poisson quoi, elle ?
C'est un monsieur peut-être.
Qu'est-ce qu'il y a vous ?
Mais un vrai poisson qui va dans l'eau ?
Oui, oui.
Vous avez des faux poissons
qui vont pas dans l'eau, vous.
Non, mais ça aurait péché un poisson.
On remet une légion d'honneur
pour un poisson.
J'ai pas dit que c'était
une légion d'honneur.
C'est une décoration
pour un poisson.
J'ai dit une médaille, justement.
Quand on péche un poisson
qui va dans l'eau.
De quelle médaille
s'agit-il ?
Le mérité agricole ?
Non.
Pas du tout.
Mais du gros poisson.
J'ai une médaille pour le poisson.
Du meilleur pêcheur.
Et là, effectivement,
péché le plus gros poisson.
La médaille de l'Amson ?
Non, non, non.
Éli Le Sœur vient d'Amiens
et le président de la République,
Émile Loubet en personne,
va lui remettre sa médaille
ce jour-là.
Alors oui, j'ai dit une femme,
mais je pense qu'Éli, c'est un homme.
Éli...
Éli Semoun, oui.
Éli Médéros, c'est quoi,
à votre avis ?
Eh ben...
Même Éli Semoun,
il y a un doute, tu sais.
Non, c'est...
Enfin, bon, j'imagine
que c'est plutôt un homme,
mais enfin, écoutez,
peu importe.
Mais cette médaille,
elle existe encore aujourd'hui,
on la remet encore aujourd'hui ?
Ah non !
Mais poissonniers !
Elle existe encore,
mais on ne la remettrait pas,
en tout cas,
à monsieur, ou même Le Sœur,
parce qu'il ou elle
a pêché le plus gros poisson.
La légion d'honneur ?
C'est le poireau !
C'est positif !
La légion d'honneur ?
C'est le poireau !
La médaille...
Médail épine ?
La médaille épine, non.
Le prix Nobel ?
Humérite !
Humérite !
Est-ce que c'est surprenant ?
Est-ce qu'on va être surpris,
c'est-à-dire que c'est un truc d'os ?
Ah, vous allez être surpris,
d'ailleurs, je suis là pour vous surprendre, moi.
C'est le médaille militaire ?
Militaire, non.
Alors effectivement,
ils ont pêché le poisson
dans la Seine,
au niveau de la place de la concorde,
d'ailleurs,
ils ont eu du mal,
parce que la veille,
30 tonnes de poisson
avaient été détruites,
c'est le cas de le dire.
La Seine,
la Seine, elle passait
sur la place de la concorde à l'époque ?
À cause d'une gigante...
La Seine, elle passe souvent à votre avis ?
Elle passe pas sur la place de la concorde.
Enfin quand même,
le pont de la concorde,
c'est quoi, à votre avis ?
Ah oui, je pensais...
Est-ce que c'est une médaille...
Ok, bon.
Est-ce que c'est une médaille religieuse ?
Est-ce que c'est...
Voilà, c'est ce que j'avais demandé.
Une médaille religieuse ?
Non !
Est-ce que c'est la première fois
qu'on mettait cette médaille ?
Non, il y a d'autres médailles
qui sont remises,
mais c'est cette année-là,
en tout cas,
une curiosité
de l'avoir remise.
Ah, voilà.
Est-ce que c'est lié au sport,
peut-être une médaille sportive ?
Hein ?
Alors qu'est-ce qu'il y a en médaille sportive ?
La médaille olympique !
Et oui, c'était les géos de 1900 !
Bonne réponse !
Bonne réponse de Jean-Bène Guigui,
aidé par Johan Riou.
Et oui, il y avait un excellent papier,
il n'y a pas longtemps,
dans l'OPS,
à propos des Jeux Olympiques en 1900,
parce qu'il y avait des épreuves
absolument hallucinantes
qui n'existe évidemment plus aujourd'hui.
Et oui, il y avait un concours de pêche.
On devrait le faire là pour Paris,
mais non, vraiment,
les Français au moins
gagneraient quelque chose.
Il y avait la chance aussi ?
Ah, il n'y avait pas la chance,
mais il y avait un concours de sauvetage.
On balançait des mannequins dans la sainte,
et il fallait se jeter dans l'eau
pour les récupérer au plus vite.
Mais ça, c'était une discipline olympique aussi.
Mais on peut y aller maintenant, c'est pour lui.
Attention, il faut savoir qu'en 1900,
à l'époque, peu de gens savaient de nager.
Et c'était donc un exploit que de savoir nager,
voyez-vous.
Et il y avait aussi des courses en ballons dirigeables
comme le sport olympique.
Ça, ça a disparu aussi, évidemment, depuis.
Mais c'était en tout cas une belle médaille olympique
qu'on a remis à monsieur ou madame Le Sœur,
ce jour-là.
Bravo, Jean-Bène Guigui !
Pour monsieur Duchemin,
une question historique.
Il habite dans les Pyrenees Atlantiques.
Monsieur Duchemin,
il s'agit de retrouver quelqu'un
qui est tombé de cheval
lors d'une partie de chasse.
Quelqu'un dont on ne sait pas d'ailleurs
où il est enterré.
Suite à cette chute de cheval,
son cheval s'est cabré,
ça l'a fait chuter.
Il en est mort ?
Il en est mort.
Il en est mort, pas tout de suite,
mais il a souffert pendant presque un an.
Ah bon ?
Et un an plus tard,
il est mouru, comme aurait dit Jean-Yann.
C'est un roi.
Oui, c'est un roi de France.
Alors roi, non.
C'est pas un roi.
C'est un dauphin.
Mais c'est quelqu'un dont le corps a été ramené
par des escorts qu'on a tués
tout au long du cortège.
Des escorts, pas des escorts de gueule.
C'est génial.
Une belle faim.
Ah moi, je rêverais de ça mon l'enterrement.
Mon cercueil porté,
faire des prostitués.
Bon, une fois que vous soyez raides.
Vous êtes trop forts.
Alors,
on a tué tous les témoins du cortège
et même l'escorte qui accompagnait le corps
a été tuée
afin que le lieu de la sépulture
reste secret.
Un anglais.
Un anglais, non.
C'est un français.
Ah non, non, c'est pas un français.
Un allemand.
Un allemand, non.
Un espagnol.
Ah non, c'est pas un espagnol.
Non, non, c'est plutôt...
C'est un espagnol.
Je vous en parle parce qu'il y a une exposition...
C'est en Afrique, ça.
En Russie, en Russie, non.
Il y a une expo au château de Nantes.
Un Breton.
Jusqu'au 5 mai, non, c'est pas un Breton.
Guillaume le conquérant.
Non, pas Guillaume le conquérant.
C'est pas un français.
Un russe, un russe.
C'est pas un russe.
Le pays bas, peut-être les pays bas.
Un chinois.
Vous allez mettre du temps avant.
Un italien.
Alors, chinois, non, mais il avait, en tout cas,
les yeux brisés.
Mon mogoli.
Un tatat.
Ah oui, c'est Cannes.
Jeannes Jisquane.
Jeannes Jisquane.
Jeannes Jisquane, bonne réponse.
De Christine Bravo et Diwan Riou.
FTL.
Les grosses têtes répondent aux auditeurs.
Agnès avait envie de nous parler aujourd'hui.
C'est plutôt pour nous faire des compliments.
J'ai l'impression, Agnès.
Même si vous dites que vous aimez la déconnade.
Bon, alors le mot est un peu... comment dire ?
Un peu vert.
Voilà, un peu vert.
Merci.
En comme vous êtes.
Vous savez trouver les mots au voie.
Mais oui, j'ai des carrières comme ça.
Mais c'est vrai que vous aimez la plaisanterie, l'amusement,
les réditions aussi, tout de même, Agnès.
Oui.
Oui, bonjour.
Effectivement, on passe un très bon moment avec vous tous les jours.
Et d'où vient ce délicieux accent que j'entends ?
Et de Toulouse.
Voilà.
Est-ce qu'elle quinoise ?
Et quoi, donc ?
Est-ce qu'elle quinoise ?
Elle habite ? Est-ce qu'elle quene ?
C'est la bande-dieu...
Est-ce qu'elle quene ?
Ah, mais bien sûr.
Est-ce qu'elle quene ?
Est-ce qu'elle quene ?
Est-ce qu'elle quene ?
Est-ce qu'elle quene ?
Et sans accent, ça, ça fait quoi ?
Je ne sais pas parler sans accent.
Et faites quoi dans la vie, Agnès ?
Je suis secrétaire.
Ah, secrétaire.
Très bien.
Bon, vous avez un petit message à faire passer au grosse tête.
Une chouchoute, un chouchout parmi notre équipe.
J'aime beaucoup Christine.
Et Yohan Ryu aussi, Yohan Ryu.
Alors, Yohan, j'avoue que j'ai un petit peu plus de mal avec Arnaud.
Il me porte un petit peu sur les nerfs.
C'est normal, hein.
Vous savez, c'est normal.
Même ses parents n'ont pas supporté.
Ils ont divorcé.
C'est pas grave, madame.
Je vous adore quand même.
On va vous envoyer une photo de Christine Bravo, alors.
Alors, mais pourquoi pas, oui ?
On vous embrasse.
Merci d'équipe.
Merci beaucoup.
Arnaud maintenant est au téléphone.
Bonjour Arnaud.
Oui, c'est bonjour Laurent.
Bonjour les grosses têtes.
Bonjour Arnaud.
Ça fait plaisir de vous entendre, Arnaud.
Je ne sais pas si vous êtes loin de Paris,
mais en tout cas, vous aimeriez qu'on vienne vers vous.
Et vous m'en voulez d'ailleurs,
qu'on ait pas encore fait les grosses têtes au Havre, c'est ça ?
Ben oui, exactement.
Vous connaissez bien le Havre.
Vous venez de là, donc...
Oui.
Ce serait sympa que vous fassiez une émission là-bas.
Oui, mais c'est pas moi qui dessicouillez.
Il faut demander au maire du Havre.
Pas comment il s'appelle, d'ailleurs.
Ah, pas demander.
Ah, pas demander les lieux ?
Qu'est-ce que tu veux ?
On est à Caen ou en Normandie ?
Mais Laurent, on pourrait vraiment le faire.
C'est vrai, ça serait une super idée
de le faire au cœur du stade océan,
le stade de foot du Havre.
Ah oui.
Il y a 20 000 personnes.
On serait au milieu, dans le rond central et tout.
Il y a 20 000 personnes qui viendraient te voir.
Selon la CGT.
Arnaud, on va faire la demande.
En tout cas, il n'y a pas de problème.
Et on a maintenant Tony,
qui veut nous parler lui aussi.
Bonjour, Anthony.
Bonjour Laurent.
Bonjour le public.
Ah, le public.
Voilà quelqu'un de poli.
Le travail à domicile.
Mon boulot ne me permet pas
d'avoir de contact avec d'autres personnes.
Ah, vous faites du télétravail, Anthony ?
Alors, je suis artiste illustrateur.
Du coup, derrière ma planche,
je fais un dessin.
En fait, j'ai pas le temps de voir du monde.
J'ai pas de contact social.
Et c'est vrai que vous écoutez,
c'est vraiment un plaisir.
Le petit bonheur, c'est...
Ouais, vache.
C'est pas quel point.
Bon, mon petit Anthony, vous avez quel âge ?
Vous êtes dans quelle région ?
Moi, je vais venir vous aider à dessiner.
Et vous aimez pas trop ?
Il préfère Caroline Diamant,
Roselyne Bachelot.
Ah non, j'aime bien tout le monde.
J'aime bien tout le monde.
Mais c'est vrai que c'est...
Et qui ? Et qui ?
Et Yoann Riouf.
Eh ben, il est prêt.
En fait,
en fait,
il préfère les gros, quoi.
C'est vrai.
C'est pas faux.
C'est vrai que vous avez manifestement
une petite...
une petite tendance
à aimer les personnes rondes, on va dire.
En cher.
Non mais on va dire ça, on va dire ça.
Peut-être c'est plus facile à dessiner.
Vous dessinez quoi ?
Des ronds.
Moi, j'ai suivi vachement dans le sport.
J'ai suivi vachement dans le sport
et le sport automobile.
Parfait.
Bien, ça va donner votre numéro
à Yoann Riouf.
Et décidément,
tout le monde veut parler à Yoann.
Isabelle Ossib.
Non, bonjour Isabelle.
Bonjour.
Je ne me trompe pas,
Isabelle.
Vous devez parler à Yoann Riouf.
Ah oui, c'est super.
Je suis vraiment heureuse
de vous avoir re-téléphone.
C'est un honneur.
Mais c'est pas moi, Yoann Riouf.
C'est lui là-bas.
Oui, je vous reconnais bien.
Bonjour Isabelle.
Comment allez-vous ?
Pourquoi vous vous appelez ?
Très bien.
Écoutez, je vous avais envoyé un mail
il y a quelques temps
parce que vous vous faisiez
toujours bâcher avec vos chemises.
Tout le monde se moqueait de vous
avec vos chemises rideaux.
Ah ouais, ben allez.
Et donc ça me faisait
mourir de rire
parce que je vous avais envoyé
un petit mail en vous disant
que en tant que couturière,
si vous voulez une autre chemise
qui est ressemblée à un rideau,
c'était dans mes cornes,
je vous avais vous en sérène.
Ah c'est gentil.
À mon avis,
surtout vous apportez la tranque,
là vous savez.
Oh non, non, non.
Je me souviens de vous,
mais comme je n'ose pas trop
répondre aux auditeurs,
parce que je suis timide.
Pourquoi ?
Mais c'est vrai, je n'ose pas trop.
C'était timide quoi,
tu n'es pas besoin de les voir.
C'est vrai, ben je vais vous répondre.
Parce que je vais le retrouver madame.
C'est un graveau que j'entends.
Oui, pourquoi ?
La concière, j'ai dans l'escalier.
On vous ordra, Isabelle.
Merci beaucoup.
Merci, Isabelle.
Ah, tiens, ça tombe bien, Christine.
Jean-Marc, lui, vous voulez vraiment vous parler ?
On vient de le récupérer au dernier moment.
Bonjour Jean-Marc.
Bonjour Jean-Marc.
Bonjour Jean-Marc.
Bonjour Jean-Marc.
Bonjour Jean-Marc.
Je lis votre mail, Jean-Marc.
Oui, allez-y.
J'ai découvert avec stupor
que j'étais né le même jour
que l'incomparable Christine Bravo.
Ça m'a fait un choc,
parce que je n'étais pas très emballé
par sa présence,
mais objectivement,
depuis que je sais ça,
j'ai changé
et je l'apprécie,
même si elle fait
trop rarement de bonnes réponses.
Oui, c'est correct.
Vous acné le 13 mai de quelle année ?
1, 2, 3 ans près,
et c'est le même, hein.
Mais je peux savoir quelle année ?
50.
En 1950 ?
Ouais, ouais.
Bah c'est pas du tout à 2 ans près.
Quel quel âge vous l'avez tristé ?
C'est un vieux chneu, tout le temps.
On vous rappelle,
on vous rappelle le 13 mai,
comme ça, on le fêtera
à l'anniversaire,
à tous les deux, en même temps.
Merci beaucoup.
Les grosses têtes avec Laurent Ruquier
c'est tous les jours de 15h30
à 18h sur RTL.
Toujours avec Dari Boudmoud,
Christine Bravo,
Aze,
Jean-Ben Ndii,
Olivier Belavi et Yoann Abiyou.
Une question culturelle,
littéraire,
même je pourrais dire historique,
tout ça à la fois pour salométiquer
qu'habite Villejuif
dans le Val de Marne.
Je vais vous demander
de retrouver le nom d'un écrivain
qui était fou amoureux d'une ballerine
qui s'appelait Carlotta Grizy.
Il allait l'avoir.
L'opéra d'ailleurs au début,
il avait fait une critique
un peu méchante sur elle
et puis plus ça avançait,
plus finalement il changeait d'avis
et il a placé très vite
au rang des plus grandes ballerines
de son temps.
Il a même écrit, à propos
de cette fameuse Carlotta,
elle rase le sol sans le toucher.
On dirait une feuille de rose
que la brise promet.
Ok, c'est 19ème siècle ça.
Oui, on est au début.
C'est Prosper Nérymé.
Ah non, ce n'est pas Prosper Nérymé.
Théophile Gauthier, non ?
Et c'est Théophile Gauthier.
Bon, la réponse d'Olivier Belavi.
Bravo.
C'est très bien.
Alors là, bravo.
La sexistoire d'amour est incroyable.
Il faut que je vous raconte la suite
parce qu'il s'extasie
sur les pieds de la ballerine.
Théophile Gauthier, il écrit
que ces pieds-là feraient le désespoir
de n'importe quelle andalouse.
Il en tombe amoureux au point vraiment
de faire tout pour la séduire
et elle ne lui dira jamais oui
dans un premier temps.
Il faut voir ce qu'il écrit
sur elle tellement qu'il est amoureux.
Son teint est d'une fraîcheur si pure
qu'elle n'a jamais mis d'autres fards
que son émotion.
Soyez pas d'hier des trucs comme ça
Zayn Jones.
Je n'ai rien compris déjà.
Et alors finalement, c'est ce qu'il va faire.
Et bien, il va épouser la sœur
de cette cantette.
Parce que comme il n'arrive pas à avoir
Carlota,
il va épouser Ernestas,
qui a les cantatrices.
L'autre est ballerine.
Et puis finalement,
une fois qu'il aura épousé la sœur,
il aura pour maîtresse
la ballerine.
C'est-à-dire que c'est
comme ça, il y avait la paix.
Non mais c'est quand même une belle histoire.
Bien sûr, et ta sœur.
C'est l'amour absolu, je trouve.
Ma sœur, elle nous écoute
et elle n'a rien à voir
avec cette affaire-là.
Elle va bien.
Je fais un truc, je l'ai pas vu
à la raconte.
Vous avez une sœur, Laurent.
Oui, j'ai une sœur.
Est-ce que Laurent,
vous vous confirvez que
en général, plus on va haut
et plus on est seuls,
c'est la solitude au sommet.
Il y a très peu de gens
qui arrivent au sommet.
Le philosophe.
Je suis effondré, je voudrais dire.
Qu'est-ce que je réponds ?
Votre sœur va bien.
Et à l'autre endouille
et à l'autre crétin, franchement.
J'aimais beaucoup votre sœur.
C'est votre mère que je n'aimais pas.
Elle n'est plus là, ma mère.
Laissez-la tranquiller.
Avec la vôtre.
Eh ben oui, je sais.
Tu ne fais pas longtemps la vôtre.
Ben oui.
Tu nous avais raconté ici, ouais.
Non, non, je ne sais pas.
Oui, enfin bon, là,
c'est difficile.
Bon, ça jette la froid.
Oui, ben on ne l'irgrète pas, quoi.
Je ne peux pas dire ça.
Bon, je regrette ma mère.
Oh oui.
Je regrette d'avoir eu celle-là.
On est deux !
Mais non, c'est pas vrai.
C'est honteux.
Raymond, je t'aime.
Là que je parle à l'eau de là, maintenant.
Je me prends pour Didier Van Kowlaert.
Qui parle au mort ici, hein ?
Qui parle au mort ?
Là, on est en train de le faire.
Ouais, j'ai très peur de la mort.
Moi, je parle pas au mort,
mais quand je parle à une araignée...
Oh non, elle est forte !
Non, mais c'est celle que vous avez au plafond !
Non, mais parce que je parle aux araignées.
Parce que c'est normal.
Non, mais avant de les aspirer,
je leur demande pardon.
Je commence à les aspirer.
Dans une maison d'autre,
je peux pas laisser des araignées.
Donc je suis obligé avec l'aspirateur d'aspirer les araignées.
Avec l'aspirateur, je pensais que vous les aspiriez.
Les araignées, c'est peut-être la réincarnation
de la maman de Christine.
Ah oui, celle avec des poids aux pattes !
C'est malade.
Il est malade.
Et vous, monsieur,
vous avez peur de la mort,
pourquoi vous avez peur de la mort ?
Depuis quelques temps, en fait,
j'étais hyper solaire.
Et depuis quelques mois,
il y a le temps qui passe.
Mais comment tu peux le mettre
dans un cercle ?
Je traverse une phase,
un petit peu de réflexion.
Ce n'est pas vrai.
Ce qui a toujours été dans l'action
à penser à faire, à faire, à faire.
Et maintenant, je commence
à cogiter sur ma…
Mais t'es quel âge ?
45.
Intéressant.
Je pensais que tu étais plus jeune que ça, moi.
C'est vrai.
Oui, mais parce qu'il a la peau
très tendue.
Donc il y a
absolument aucune ride
et il fait plus jeune.
Il y a un âge
où il faut choisir
entre sa tête et son cul.
Je pense jamais à mon cul.
Moi, je pense que vous allez finir
en couple avec Dari Bidboul.
Parce qu'il y a…
Je sais que depuis…
Mais moi, je l'aime beaucoup.
Je suis sûr qu'il est moelleux.
Oui, mais Dari,
c'est la vérité.
Franchement, dans l'absolu,
oui, on pourrait sortir ensemble.
Mais oui.
Parce que j'aime beaucoup Dari.
Moi, je le trouve
très attendrissant.
Pourquoi dans l'absolu ?
Mais faites-le.
Mais attendez,
laissez-vous que ça mate.
Il faut vous régler.
Mais pas ici.
On s'est encore…
On s'est encore écrits.
On s'est écrits hier,
encore sur Instagram.
Moi, je le trouve
très moelleux.
Qu'est-ce que vous lui avez…
Il était très attendrissant.
Qu'est-ce que vous lui avez écrit
sur Instagram ?
Attendez, je le retrouve.
Franchement,
commence-tu un petit resto
à l'diné et tout ?
Quand tu veux.
Mais tu connais rien.
Il faut le mettre
à la poubelle.
Mais on peut pas
faire d'enfant.
Donc on prend un chien.
Pourquoi ?
Ce serait…
Imagine un petit peu.
En une de Barrymatch,
Boudboul Ryu,
le couple surprise.
On va dire, ici, Paris,
ça y est, on est.
Moi, j'aime me dire
le courrier du centre-ouest.
Ou Paris, boom, boom.
Le trigger.
Le trigger.
Paris truffe.
La joquée
et le commentateur.
La joquée et le cochon.
Il vient de faire un reportage
chez nous et tout.
Alors on montrera la chambre,
on montrera la piscine,
on montrera le salon.
Ce serait énorme.
Il faut la battre.
Et après, on passerait
dans 50 minutes inside
et tout.
Ce serait génial.
Bon, on va déjà commencer
par se voir tranquillement
sans en parler à tout le monde.
Si vous voulez être
58 minutes inside,
il faut pas être
réjaculateur précoce.
Et je le suis.
Ah oui ?
Non.
En fait, la vérité,
c'est que je suis la verse.
C'est-à-dire ?
C'est mieux.
Ça avait du temps.
Écoute, on s'en fout.
Ah ben non.
Vous voulez que je vous dise ?
On n'est pas pressés.
Ah non.
Ah, une question culturelle, encore.
Pour Jean-Luc Rothert,
il y a une cirgonisce
en charante maritime
qui était le souffre douleur
des frères secrétants
dont on dit que c'est peut-être
à cause d'eux qu'il est mort.
Alors les frères secrétants,
on va se les remettre déjà.
Gaston et René secrétants.
Et c'est qui ?
Il y a quelque chose.
Ils étaient adolescents.
Et on...
C'est dans un livre, ça.
Ah, dans un livre ?
Non, c'est dans la vraie vie.
Ah, ils ont existé.
Ah, ils ont existé.
Les frères secrétants.
Gaston et René,
deux adolescents.
Et on dit,
on dit que c'est à cause d'eux
que cet homme,
dont je demande de retrouver
l'identité, est mort.
Et il aurait été,
pendant longtemps,
leur souffre douleur.
Il a existé le souffre douleur.
Absolument.
Et il était connu.
Ah oui.
Est-ce que c'était un écrivain ?
Ah non.
20e siècle.
20e siècle.
Non, non.
J'ai hésité,
parce qu'on est, on va dire,
à la fin du 19e.
Voilà.
Gérard de Nerval ?
Est-ce qu'ils étaient connus
sous un autre nom ?
Comment ça a connu
sous un autre nom ?
Les secrétants,
ils étaient pas connus.
Non, c'est des gens
qu'on connaît pas.
C'est des adostes à Paris.
Ah, c'est un fait d'hiver.
C'était pas à Paris,
et ça aurait pu tourner
fait d'hiver, oui.
Gaston et René,
secrétants.
J'ai suicidé le secrétant.
Deux adolescents,
qui jouaient souvent
au cowboy,
si ça peut vous aider.
Ils l'ont pris pour un indien.
Ah, poup !
Il leur soulait quoi ?
Le douleur,
c'était un quoi,
c'était un sportier,
c'était un acteur.
Un acteur, non.
Est-ce qu'il y avait un film
sur cette histoire ?
Il y a eu un film
sur l'homme qu'on recherche,
là,
enfin, que vous, vous recherchez.
Mais je suis pas sûr
qu'on ait vu dans ce film
les frères Gaston et René,
secrétants,
parce que c'est une histoire
un peu méconnue,
et voilà pourquoi.
D'ailleurs, je vous la soubais,
parce que c'est quelque chose
que j'ai appris
en lisant un propos
de cet artiste
qui l'a été le sous-artiste.
D'un peintre artiste.
C'est un peintre.
Un peintre.
Peintre ou sculpteur aussi ?
Peintre, surtout.
Peintre français ?
Monet.
Alors, français, non,
mais ça se passe en France.
Van Gogh.
Et c'est Van Gogh.
Bonne réponse.
Parce qu'il a une tête de victime.
Parce qu'il est...
Eh oui, il est un peu...
Enfin, il est pas bêtaçon,
le pauvre,
mais il a des gros problèmes.
Van Gogh aurait été victime
par accident d'une balle
tirée par les frères Gaston
et René secrétants,
deux adolescents qu'il connaissait.
Ces deux ados jouaient au cowboy
avec une arme, on va dire,
une mauvaise arme,
à proximité du champ
où Van Gogh se promenait
et avant de succomber
deux jours plus tard,
le peintre aurait décidé
d'endosser toute la responsabilité
de l'acte
en déclarant d'être visé
et lui-même
et d'avoir tiré lui-même.
Mais en fait,
ce serait peut-être,
peut-être, on n'en est pas certain,
les frères secrétants
qui, on va dire,
des déclarations posthumes,
enfin, posthumes par rapport
à Van Gogh,
auraient avoué, plus ou moins,
que Van Gogh était leur souffre d'houdreur.
C'est horrible.
Donc Van Gogh serait peut-être mort
à cause de ces deux sacripants.
Des sacripants !
Ça, c'est mignon !
Des sacripants, des sauvages.
Des chelapans !
Non mais c'est une histoire de dingue,
en fait, ce qu'on apprend là.
Donc c'est sa grandeur d'âme
d'avoir dit que c'était une autre question.
Une autre question.
Puisqu'on est dans le domaine
de la peinture
et que manifestement
vous y connaissez,
là, c'est carrément le nom
d'un peintre.
Je vous le dis d'avance.
Mais c'est pas le plus facile
à identifier.
Il est surtout connu
pour ces énigmes,
ce célèbre peintre.
Perforace ?
Non pas !
C'est bien, monsieur As.
C'est bien.
Vous ne me décevez jamais.
Non, c'est pas le perforace.
Énigme perforace.
Mais c'est extraordinaire,
toutes les narrations.
C'est un peintre né en Grèce,
mais mort en Italie,
à Rome, précisément,
peintre, sculpteur, écrivain.
Oui, il est connu
pour ces énigmes,
parce que ces toiles, ces tableaux
se sont souvent appelés
énigmes, énigmes d'un soir d'automne,
énigmes de l'oracle,
énigmes de l'or, vous voyez.
C'est pas le greco ?
Ce n'est pas le greco.
Il a un nom grec.
Alors oui, il a un nom qui sonne,
qui sonne un peu...
Oui, grec.
Silakis ?
Italo grec.
Non, non, non.
Qu'est-ce que t'as dit ?
Italo grec, ça veut rien dire.
C'est un peintre de la Renaissance ?
Ah non, non, non.
Je vous ai pas donné les notes ?
Non, non.
Il est mort,
il est mort en 1978,
donc vous voyez,
c'est assez récent.
Ah, d'accord.
Est-ce qu'on peut avoir
le nom d'une toile célèbre ?
Oui, l'incertitude du poète,
le cerveau de l'enfant,
et toutes ces énigmes
que je viens de vous donner.
Je t'ai un copain
de Guillaume Apollinaire.
Gustave Doré.
Ah non, non, non.
Si.
Ah bah non.
C'est bien.
C'était un peintre à énigmes.
Non, mais...
Si.
Gustave Doré peignait des énigmes.
Oui, d'accord.
Mais là,
c'est pas Gustave Doré.
Qu'est-ce que je peux vous dire ?
Il est né en Grèce,
en Thessaly,
pour être très précis.
Il est mort à Rome,
c'est un peintre,
un sculpteur...
Ce qu'il a connu le Grécon.
Un peu écrivain.
C'est un des fondateurs
du mouvement
de ce qu'on appelle
la peinture métaphysique.
Quiricot.
Giorgio de Quiricot.
Bonne réponse.
Bravo.
Bravo.
Alors là,
Dari Boudmou, bravo.
Oui.
Non, mais vous voyez,
finalement, comme ça,
je vous l'adresse au public,
parce que,
finalement, il n'y a que vous,
chers publics,
et mais qui m'intéressent.
Ils ont l'air con
avec leur gueule.
Mais...
Puisqu'on était en Grèce,
j'en profite.
Je vous demande
de retrouver
le nom
de l'île,
dont Mithylène...
Mykonos.
Et la capitale.
Mykonos.
Mykonos.
Non.
Héraclion.
Non.
Est-ce que c'est une île mythique?
Ah oui, c'est mythique.
Kiosse.
Et là,
on en parle régulièrement
dans l'actualité.
Il y a les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Les feux.
Le feu.
Y parlez,
parce que res-t-elle
par la foule?
Les f dibutchonais!
Monsieur Marie, mieux d'ailleurs, quand on utilise nos deux mains.
Quoi ? Attendez Marie ?
Attends excuse-moi.
Est-ce qu'on peut faire le geste Laurent ?
Il y a un geste particulier avec les deux mains.
Alors je répète la question.
Donc ça peut pas être ce à quoi on pense parce qu'on ne prend qu'une main.
On connaît mieux Monsieur Marie quand on utilise les deux mains.
Applaudissement.
De qui s'agit-il ?
C'est Bravo, c'est un...
C'est à voir avec un outil.
Aucun rapport avec un outil.
Qu'est-ce qu'on cherche là ? Qu'est-ce qu'on cherche ?
T'as rapport à la corrida ? À la corrida ?
Qu'est-ce qu'on cherche là ?
Je comprends même pas vos questions.
Mais non mais moi, on comprend pas la vôtre non plus.
Marie, ça s'écrit comment ?
Emma et Harry.
C'est un mouvement qu'on cherche.
On fait avec les deux mains.
Non, on peut laisser les mains.
Il suffit de faire le bon mouvement, mais on peut laisser les mains à plat.
Comme ça, un main qui rit.
Le main, la bateau qui rigole.
On avait compris.
Alors Marie rit.
Marie 10, Marie 10.
Quoi Marie 10 ?
Les deux mains, je sais pas, je charge des choses.
Je pense qu'il y a un piège.
Il y a un jeu de mots tordus de ce que vous savez faire.
Il y a un jeu de mots là-dedans.
Simplement, il suffit d'avoir un peu de jugeottes.
Le rang de sel, le rang de sel.
Quand on tricote, c'est forcément un personnage historique
ou avec ses des lettres, c'est l'alphabet latin.
Et donc M peut-être que c'est...
Mais si vous savez, comme on dit les rois, lui, 16.
Avec le X, le 5 et le 1.
Vous allez chercher trop de rois, car celui dont on parle, vit encore.
Et il a à peu près, on va dire aujourd'hui, 33 ans.
Quand on a qu'une main, c'est la veuve poignée.
Et quand on en a deux, c'est le mari.
C'est pas le rappeur Jules.
C'est ça, c'est Jules. Je sais que c'est Jules le Marseillais.
Comme ça, comme ça.
Bonne réponse de Yohann Riou.
Ah, monsieur As.
Vous réclamez des questions contemporaines.
Et quand j'en pose...
C'est pas le geste, il a mal fait le geste.
Et quand j'en pose des questions contemporaines,
vous n'êtes pas capables d'y répondre.
Je m'y attendais pas, ça fait deux heures qu'on est sur Jésus-Christ et tout.
D'un coup, il y a Jules.
En plein milieu, je m'y attendais même plus.
Parce que Jules, il s'appelle Marie.
Son vrai nom au rappeur Jules, c'est Julia Marie.
Et en fait, je fais ça avec les deux mains, et ça fait Jules.
Voilà.
Et avec les deux mains, on fait le signe du chanteur, le signe de Ralliement.
Montrez-moi comment on fait Jules.
Alors, radio, c'est très bien.
C'est très simple.
Les jeunes auditeurs qui nous écoutent savent très bien le faire.
Oui, les vieux.
Les vieux s'en foutent parce qu'ils savent pas qu'ils savent où.
Nous, on fait faire des petits corps.
Il a un succès, je peux vous dire, un truc incroyable.
On a commenté un match de foot de bienfaisance il y a quelques mois
où il y avait des grandes stars, des grands joueurs de foot.
Au stade Vélodrome, à Marseille, il y avait 25 000 personnes.
Et dès que ce chanteur touchait le ballon,
il était plus apodrique que Drogba, que des très, très grands joueurs.
Tu peux parler.
Est-ce que tu peux m'expliquer pour voir dans les matchs de foot maintenant,
il y a un joueur supplémentaire, un chanteur.
Mais j'adore, t'es tellement intelligente.
Parce que c'était un match de bienfaisance.
Lesquels des chambres.
Ils se foutent de moi.
Jamais de la vie, je vais te...
Mais tu vas jamais pécho.
Tu ne me pécho pas comme ça.
Tu sais que, à Londres,
j'avais le nir au tâche-chambre,
mais j'ai préféré être discret, j'y suis pas allé.
On était dans le VV-étage.
C'était un hôtel tellement incroyable,
il faisait 200 mètres de long le tâche.
Je ne pouvais même pas y aller, je me serais claqué.
J'ai préféré être discret, je suis pas venu.
Ça, j'adore.
Le courage.
J'ouvre le chante, par exemple, j'oublie tout.
Je mets de la musique pour vous faire plaisir.
C'est exceptionnel, franchement, je suis très content.
C'était d'un coup, je ne sais pas.
Regardez, il revit le petit.
Il reprend des couleurs.
C'est bien.
On en a une autre parce que c'est bien, mais...
Ah, voilà.
La faille, ça s'appelle la faille.
J'ai vraiment l'impression d'être l'animateur
qui ramène de la musique dans un épade.
Jules, tu deviens danser, Jules.
C'est pas Jules, ça.
C'est bon, ça va aller.
Sans un épade.
On en a une dernière, tropicale, comme ça.
Quatre, on arrête.
C'est la préférée, le bel ami, c'est la plus.
J'aime bien, moi.
J'ai des questions pour vous aussi, monsieur bel ami.
Soyez rassuré.
Non, mais je suis bien, ça va.
Tu connaissais Jules et Olivier ?
De nom, oui.
Je n'aurais pas pu te chanter.
Ma magasin de vêtements.
Comme tu connais Chopin.
Chacun son domaine,
et je vais vous demander plutôt, monsieur bel ami,
de répondre à cette question-là
pour Jisla Orsay, qui habite Hormes, dans le Loire.
C'est un autre musicien, mais pas tout à fait le même que Jules.
D'abord, lui, il est mort,
puisque sur sa tombe,
on peut voir, sur sa pierre tombale,
graver les variations Goldberg.
De quel musicien s'agit-il ?
Je ne sais pas si c'est un bac qui les a composés.
Oui, mais c'est pas sur la tombe de bac
qu'on peut lire les variations Goldberg.
Graver sur la pierre tombale.
C'est un compositeur,
ou c'est un avociniste ?
Pardon.
Glenn Gould.
Glenn Gould, bonne réponse.
Bravo.
C'est bien, monsieur bel ami.
Ça vous dit quelque chose, Glenn Gould ?
Non, mais ça a cassé l'ambiance.
C'est formidable.
C'est le frère de Barbara.
C'est une autre question pour vous, monsieur bel ami.
Puis après, ce sera fini.
Après, je pourrais dormir.
Non, là, il s'agit de trouver quelqu'un
qui a obtenu la nationalité française
en 1870
pour être nommé au conservatoire de Paris,
car il fallait être citoyen français
pour devenir professeur d'orgues
au conservatoire.
Au Fenback.
César Franck.
César Franck, encore une bonne réponse
d'olivier bel ami.
César Franck, n'importe quoi.
Mais c'est mon domaine, c'est facile.
Expliquez-lui qui s'était César Franck.
Il ne faut pas laisser les jeunes
au bord de la route.
César Franck, c'était un organiste, compositeur.
Qu'est-ce que je pourrais te dire ?
Bien, rien d'autre, par exemple.
Bel jeu au départ.
Ce qui a été naturalisé français, c'était la question.
Autant donné, effectivement, sa nationalité d'origine,
il était belge.
Voilà. Il a écrit une très belle sonate
pour piano et violon. Très belle.
Et pour Dari, je vous le dis, je vous ai pas au foot non plus.
Juste quelques années auparavant,
l'utilisation de l'air était difficile parce que de la paix de la main,
puis j'ai trouvé le facteur de la relif.
Une solution de la solution de drogue
pour les aigus et les pains.
within a week, j'étais sur ma route
pour être de la paix de la paix de la paix.
Maintenant, j'ai ma vie de la paix.
Je prends le facteur de la relif tous les jours.
Le facteur de la relif peut aider votre corps
à combattre la inflammation qui cause le joint
et la paix de la muscle et les autres aigus et les pains
qui viennent avec la vie de tous les jours.
Faites-le mieux.
Faites-le mieux.
Vous savez peut-être que la spécialité de notre amie
Aze, ce sont les fromages.
Eh oui, ça se voit pas.
Et donc je vais poser une question
sur un fromage qu'il faut identifier.
Monsieur Aze, je compte sur vous,
mais tout le monde connaît cette marque
déposée parce que c'est une marque
déposée au début des années 90
en Sonnais-Loire,
une marque qui regroupe 5 fermes
Caprines du département.
Parce que, oui, voilà,
parce qu'il s'agit effectivement
d'un mini-crotin de chèvre
d'environ 4 cm de diamètre
et de hauteur.
C'est un des plus petits fromages en France.
Ah, je sais.
Le cabicou.
Un bouchon.
J'ai délai qu'une en fromage de chèvre, en fait.
Qu'est-ce que vous faites du fromage de quoi ?
Je suis plus le fromage...
De quoi ?
Je suis pas allé être connu, à l'air d'hameur et tout.
Tu arrêtes de te connerie.
La masquerie.
Un truc comme ça, tu vois pas les trucs crotins de chèvre.
En fait, c'est la taille du fromage.
C'est plus petit qu'un cabicou.
Un mini-crotin d'environ 4 cm.
On l'appelle d'ailleurs parfois aussi le cabrillon
ou le chèvre-ton du maconnais.
Mais il a un nom plus officiel
puisque c'est une marque déposée.
On lui met une paille dans le chion, là.
Quand il est jeune, sa croutée blanche
et elle évolue vers le gris bleuté
tout au long de la...
Je vois très bien ce qu'est le fromage.
Je vois très bien ce qu'est le fromage.
Je le vois, je te jure, je l'ai en face de moi.
Apprenez-lui à parler français.
Parce que avec la paille,
tu vois très bien ce qu'est le fromage.
Non, mais il n'y a pas de paille.
Alors écoute, tu sais quoi ?
Mais je vois très bien ce qu'est le fromage.
De quel fromage il s'agit ?
Bah compris, on voit très bien de quel fromage il s'agit.
Est-ce que c'est le nom
d'une région ou d'un d'un coin ?
Non, c'est pas le nom d'une région.
C'est un nom qu'on n'oublie pas quand on le connaît, vous voyez.
C'est le bouchon de cul.
C'est le bouchon de cul ou le trou du cul ?
Ah, on y est !
On se rapproche.
Il y a le beau cul dedans.
Pas tout à fait, non.
Mais on se rapproche.
Le coup, le coup.
C'est un petit fromage au lait cru de chèvre,
à pâte molle et à croûte fleurie
originaire du maconnais et du haut-bojolais.
Mais oui, je vois très bien de quel fromage il s'agit.
En revanche,
je ne vois pas
ce qu'elle d'entre vous
qui va gagner.
C'est un joli nom,
ou c'est rigolo ?
C'est rigolo.
C'est plutôt amusant.
C'est parce qu'il est tout petit
qu'on a évidemment
baptisé et nommé ainsi
et que c'est devenu une marque déposée.
Un mini-cretin de 4 cm
sur 4 de haut et de diamètre.
Le Tiki, le Rikiki.
4 sur 4.
On ne peut pas le mettre d'un coup dans sa bouche,
c'est quand même un dégrosse.
Ça ne me regarde pas.
Non, mais je veux dire, c'est pas un petit truc
qu'on met à l'apéro.
Mais non, tu mets pas 4 sur 4 dans ta bouche, Christine.
Tu n'as pas vécu, toi.
Si moi, je mets pas 4 sur 4 dans la bouche.
Il n'y a pas 4 sur 4 dans la bouche.
Alors, ça dégage quand même.
Ça dégage une odeur de chèvre très marquée,
autant vous dire.
C'est un pu du cul, un pu du cul.
Mais il y a un peu un truc gaulois.
Il a une saveur poivrée typique
lorsqu'il est sec.
Il a un goût à caractère caprin prononcé.
Vous voyez, je peux pas vous dire mieux.
Il est assez d'âme Q, quelque chose.
Et comme il est tout petit,
il devient sec au-delà de 2 mois
et il s'affine rapidement.
Comme moi.
C'est un petit mot ou c'est un long mot ?
Je me demande d'ailleurs si c'est pas une chanson aussi.
J'ai un doute si c'est pas le titre d'une chanson.
Je vous ? Le zizi.
Ah non, non.
C'est un mot grossier.
Monsieur Bellamy, si vous avez un zizi
de 4 cm de hauteur sur 4 cm de diamètre.
Qui vous l'a dit ? Le Pellargon.
Le Pellargon.
Mais non, mais c'est le rond,
avec l'emballage comme ça.
Il n'y a pas le petit.
As, celui-là, c'est la pyramide
de Valencez.
C'est le Valencez, le fromage de chèvre
qui fait comme ça comme ça.
Le petit rond avec l'emballage comme ça.
C'est le Valencez.
C'est pas du tout dans le maquenet.
Et l'autre avec une paille dans le cul,
c'est le Saint-Mort de Touraine.
C'est pas le petit fioron.
C'est un petit peu vulgaire.
C'est gonoie, quand même.
C'est même pas gonoie.
On veut aller au bout des choses,
faire penser à des choses...
Le glan.
Pourquoi vous avez dit que
j'étais pas loin avec le trou du cul ?
Parce que je pense qu'il y a eu...
Le trou du cru.
Non, pas avec le trou, mais avec le cul,
j'ai dit oui, il passe si loin.
Avec le trou, mais avec le cul.
Le cul de sec.
C'est plutôt sec.
Dure ou mou ?
Est-ce que c'est meilleur ? Dure ou mou ?
Si vous attendez deux mois,
ça va plutôt être dur.
Le gras de cul, c'est comme Yoann Riouf.
On n'a que ça à foutre.
Le gras de cul.
Le gras de cul, non.
Le gras de cul, c'est une confiture.
On va donner 300 euros.
Laurence Calou, qui habite
à Marcolin, dans l'Isère,
touche un chacquerter.
Il y a Yoann Riouf pour 100 euros
dans la salune d'âme,
au milieu aussi.
Bonjour Monsieur, comment vous vous appelez ?
Pierre.
Alors Pierre, c'est quoi votre réponse ?
Je pense au bouton de culottes.
C'est le bouton de culottes.
Les blessures.
Elles ont très loin du trou.
Mais oui, le bouton de culottes.
Elle, on m'a dit le cul.
La culotte, c'est pas loin du cul.
Ou alors vous la mettez sur la tête
et ça ne nous regarde pas.
Oui, c'est la culotte.
Vous avez déjà goûté, Laurent ?
Non, je n'ai jamais goûté le bouton de culottes,
mais on me confirme qu'il y a bien une chanson
à propos du bouton de culottes.
C'est la môme au bouton,
au bouton de culottes.
Pauvre amour, mais pas là.
Ça vous change de Joe, là.
Ça vous change de Joe, là.
Le livre du jour,
c'est une bonne dessinée
qui s'appelle Les Kobayes
et sont toujours à l'ouest.
Un petit repli tôt rigolo.
C'est signé Damien Géfroy
pour les dessins Olivier Supiot
pour le scénar, le texte
et franchement je la conseille,
cette BD.
C'est plein d'histoires différentes
qui sont racontées par un Kobay devenu
milliardaire,
une femme qui se présente comme journaliste.
J'espère que j'ai fait le bon pitch,
on verra tout à l'heure avec Olivier Supiot
qu'on va avoir au téléphone.
Mais d'abord, la question,
une question qui peut permettre
à Mme Durieux de craque
dans le morbillant de toucher 300 euros
et je vous demande de retrouver tout simplement
l'État américain
sous le ciel duquel
la mémorable bataille de Little Big Horn
a eu lieu
au bataille opposant les sioux de Sitting Bull
au troupe du général Custer.
Oui, c'est le principe du livre.
La bataille de qui ?
La bataille du général.
Entre le général Custer
le Mississippi
et les sioux de Sitting Bull
on est en 1876
l'Arizona
et c'est une mémorable bataille
on l'appelle la bataille
de Little Big Horn
Dakota
Est-ce qu'on connaît la capitale
elle est très connue aussi ?
Je ne crois pas qu'elle soit très connue
c'est Elena la capitale
D'ailleurs Elena n'est pas la ville la plus peuplée
Elena c'est la capitale
mais la ville la plus peuplée
de cet état américain
c'est Billings
On l'appelle aussi
l'État du Trésor
mais c'est un état très connu
Michigan non
un état du nord-ouest des États-Unis
Ah non, je suis pas allé
Le nord-ouest c'est verrou
c'est un grand désert
Vous voyez le nord un peu à l'ouest
Il est mort Custer
Je ne sais pas si Custer comme vous dites
il est mort
Le Montana
Bon la réponse de Christine Bravo
Vous avez dit au nord du sud
Bonjour Olivier Supiot
Bonjour
Les Cobas ils sont toujours à l'ouest
et effectivement c'est un état
c'est une oroueste que le Montana
dans lequel vous faites
chevaucher ce pogni express
ce pauvre cowboy qui va arriver jusqu'à
jusqu'à une femme
qui on peut le dire, je ne vais pas dévoiler tous les secrets du livre
il y a plusieurs histoires de toute façon
qui vont on peut dire représenter la mort
parce qu'en fait
ce cowboy ce qu'il transporte c'est assez joli d'ailleurs
cette histoire c'est son âme
c'est vous qui avez inventé cette histoire là
Ben oui oui comme toutes les histoires
de ce livre mais ça
ça fait plaisir parce que tout à l'heure vous avez parlé
de petites nouvelles
et c'est vrai que
voilà c'est vraiment ça
c'est des petites histoires
des fois fantastiques, des fois
souvent avec de l'humour noir
et puis c'est vrai qu'on s'est beaucoup amusé
avec Damien Giffroy le dessinateur
Vous même vous dessinez parfois mais pas pour celui-là
Oui oui je suis dessinateur aussi
de bande dessinée
Et alors on n'est pas frustrés quand on est appelé
je ne sais pas comment ça se passe dans ces cas là
quand on dessine soi-même et que c'est un autre dessinateur qui dessine
je me suis toujours posé la question
Alors non, en contraire
c'est un petit plaisir sadique à faire
dessiner des choses difficiles
Ah ça c'est annousant
C'est une proposition
qui a été faite à fluide glacial
de raconter des histoires
de la conquête de l'Ouest
avec un décalage
et du coup
Damien Giffroy et quelqu'un avec qui j'aime beaucoup travailler
puis c'est beaucoup amusé aussi sur l'album
Et je dois dire que les dessins sont magnifiques
c'est pas toujours le cas mais c'est une très jolie BD
en termes de dessin et de couleur aussi
j'expliquais que c'était un ancien
cowboy devenu milliardaire
qui racontait ses nouvelles
ça commence comme ça, après on va pas en dire plus
parce qu'il y a une surprise un peu à la fin
mais c'est une journaliste qui vient
interviewer à interroger
ce cowboy devenu milliardaire
le dernier cowboy devenu milliardaire
et elle vient l'interroger
il va raconter ses différentes nouvelles
c'est combien il y en avait d'ailleurs
je sais plus exactement, je crois qu'il y en a une petite dizaine
voilà donc c'est vrai
qu'on a essayé de varier aussi
géographiquement
le lieu des histoires qui est vraiment
des choses différentes
l'idée c'était vraiment de s'amuser
un peu de casser
les côtes du western d'une certaine manière
mais vraiment l'idée c'était de se faire plaisir
et qu'on emmène
aussi dans un univers
qui est très codé
il y a un jeune mot sur le titre d'une des nouvelles
ça s'appelle fort bidon
et ce fort
est tenu par des
des militaires, des cowboys
des soldats, pardon, qui sont un peu particuliers
et en tout cas ils refusent
l'entrée du fort à quelqu'un qui veut venir
l'inspecter
et pourquoi c'est que à l'intérieur
ils sont tous déguisés en bonne femme dite donc
tout ça avec
des plumes sur la tête
des barésies, exactement
c'est un fort
un fort de cowboys
on peut dire oui travesti en quelque sorte
comment ça vous est venu cette idée là ?
oh bah voilà
je saurais pas dire en fait c'est vraiment
avec le principe
en fait de petites nouvelles comme ça
où il faut souvent finir
sur un gag ou une situation complètement inattendue
parce que toutes les histoires ne sont pas forcément drôles
en fait
je trouvais ça intéressant de prendre le contrepied
comme ça
les cowboys sont souvent
une image très virile
et je trouvais ça vraiment chouette
de s'amuser de ça
il y en a un d'ailleurs qui s'appelle John Owen
dans la bélet et ainsi Bufalo Yves
non pas Bufalo Bill
mais c'est parce que Bufalo Bill n'est pas libre
il était pas disponible non
d'ailleurs il est venu en France
il est venu à Paris à Bufalo Bill faire son récac
il a fait une tournée en Europe
mais là la légende de l'Ouest
devient la légende française
Bufalo Yves
ça s'appelle les cowboys
ils sont toujours à l'Ouest
c'est une bande dessinée publiée chez Fluide Glacial
merci Olivier Supiot
et bravo au dessinateur Daniel Géffrois
c'était le livre du jour
ça lui de retrouver le nom
dans l'inclamé mission Françaime
un peu de culture, quoi waf
c'est pas moi
si vous avez dit waf
non c'est Christine
c'est un couple qui est en train de naître
ils sont menteurs
c'est quand même les académiciens français
suicide très célèbre en plus
parce qu'il a cette particularité
d'avoir écrit des livres
et pas seulement des livres d'ailleurs aussi
d'avoir fait des interviews de Johnny à l'idée
il a par exemple écrit
véritable biographie imaginaire de Johnny H
il a fait régulièrement des portraits
de Johnny à l'idée pour le journal Le Monde
quel est cet académicien français
qui était à ce point
de Johnny, c'est pas si commun
il a été au Großtec
il est mort
il est toujours vivant
et il est toujours
à l'académie française
roi
Jean-Marie roi non mais c'est pas bête
c'est le même âge
il est né en 48
je connais pas l'âge de roi
l'embron
Marc l'embron
ça c'était une babidée mais c'est pas ça
parce qu'il a
l'était grosse tête
Marc l'embron c'est une bonne idée
parce qu'il s'intéresse au rock
à la pop music
film manoeuvre n'est pas académicien français
il a été diplôme
si vous me donnez la liste
de tous les fans de Johnny on n'est pas rendu
parce qu'il était quand même très populaire
notre Johnny national
il a été diplomate aussi
non ça c'est monsieur
ah oui vous avez raison il a été diplomate
il sort pas
et c'est vrai que vous avez raison
il a été diplomate
je vérifiais il a été ambassadeur de france
à malte
moi aussi
Daniel Rondo
excellente réponse
d'Olivier Belladier de Jean-Bengue
maintenant j'aimerais vous parler
d'une jeune femme
qui s'appelle Anne
Moté
elle travaille pour l'ONU
elle est assez discrète
et pourtant cette femme là
est une femme
dont le mari, le compagnon
est encore plus connu qu'elle
et elle pourrait peut-être profiter de sa notoriété
mais elle reste très très
discrète
mais elle profite pour son profit personnel
pour sa notoriété
il y a des épouses parfois
et c'est vrai dans les deux cas
d'ailleurs des maris de célébrités féminines
comme des femmes de célébrités masculines
évidemment tout aussi populaires
que leurs conjoints
c'est pas son cas et pourtant
c'est quelqu'un qui travaille
je vous ai dit à l'ONU à Rome
elle s'appelle Anne Moté
c'est Thomas Pesquet
la femme de Thomas Pesquet
bonne réponse
il est très fort
faut être patiente quand même
faut être patiente
faut être patiente
elle a du bol
elle est tranquille
franchement
les mecs qui te font des alibis
mais alors là l'autre
quand il est parti
tu t'es sûr qu'il est là où il est
il peut pas faire un retour
anticipé sans que tu le saches
si il y a une femme
dans l'avion
il part en avion
je crois qu'il y a eu des histoires
comme dans l'espace
c'est difficile avec la pesanteur
déjà que toi sur terre tu n'y arrives pas
la dernière fois c'était dans une baignoire
et ça a pas du tout
oh non
parce que l'eau ça ravolit
alors déjà
franchement je rentre un petit coup d'air
comment ça doit être donc
il a méchilé
moi si tu rentres dans la baignoire
c'est vrai que jamais il dit
c'est à nos plus grands passionnaux
c'est connu mais tu vois
moi ce que je voulais vous dire
c'est que j'ai toujours fermé ma gueule
j'en ai jamais parlé
c'est vrai qu'il a ramené
il fait des photos
il est là haut
moi j'aimerais bien qu'il soit un petit peu plus
il n'a pas d'espérité
non mais c'est vrai
tous ses avis sont normaux
pas des chemises comme toi
et tu es qui passe un coup de gueule contre quoi
la lune
ça n'asse trop d'autre
mais c'est quand même quelqu'un qui au moins
une fois qu'il était là haut a continué
a dialogué, a envoyé des photos
au moins sa femme avait des nouvelles
vous voyez c'était une
et en plus il dit bonjour
ça va me plusieurs fois par jour au dessus
juste au dessus de Rome
il fait ça bonjour
parce que le soleil se lève plusieurs fois par jour
et ben oui
il tourne pas bêtement
essayer de m'expliquer
je passe la parole à l'expert
à ce pronom
quand on est en orbite le temps va plus vite
je suis tenu par secret professionnel
donc je ne dirais rien
il tourne tout le temps
le temps va plus vite quand on est dans l'espace
il a plusieurs couches de soleil
il a plusieurs couches de soleil
oui
et ben c'est ce qu'il m'a dit en tout cas
la dernière fois je l'ai vu
c'est lui qui m'a parlé
ce que vous connaissez Thomas Pesquet
qui je ne connais pas moi
c'est vrai mais quand même
où est-ce que vous l'auriez rencontré
je l'ai rencontré en Corse
vous confondez pas avec Thomas Dutron des fois
oh mon Thomas Dutron
oh mon Thomas Dutron
je t'aime tellement
oh là je l'aime tellement
vous avez fait des concerts cet été
non mais non
c'est un volontaire en plus
c'est un volontaire
donc sur la 7 et 3-4 ans
tu avais fait un truc extraordinaire avec lui
et d'ailleurs on t'avait accueilli
à l'arrivée et tout
si si si si en 2019
c'était la fin de ma première année
Laurent vous avez organisé un repas de fin d'année en juin
et on était allé te voir
sur ta péniche
c'est pas une péniche
c'est un idiot
qu'est-ce qu'on rigole
aujourd'hui
vous peut-être
les grosses têtes de Laurent Ruchier
c'est de 15h30 à 18h
sur RTL
toujours avec Christine Bravo
Dari Goudmoule, Olivier Bellamy
Yoann Riou
Aze
Jean Benny
et au téléphone on va avoir dans un instant
Mathieu Lehanor
si vous ne le connaissez pas c'est un de nos meilleures designers
chez nous en France et Mathieu Lehanor
on lui a demandé, il a gagné le concours d'ailleurs
parce qu'il y a eu un appel d'offre
il a gagné le droit de faire
la fameuse torche olympique
pas seulement d'ailleurs la torche olympique
il faut une vasque aussi
et il a fait je crois les deux
on va l'avoir au téléphone dans un instant
mais d'abord une question justement
à propos de la flamme olympique
à l'attention de monsieur Dumangein
qui habite Exidoy en Dordogne en 92
c'était des J.O chez nous en France aussi
mais c'était évidemment les jeux olympiques
d'hiver
et le 8 février 1992
il a neigé
qui avait le flambeau olympique
dans sa main droite
et a donc effectivement
allumé la vasque
des J.O
Michel Platini
comment vous savez ça
j'étais petit et tout
ça a fait débat comme c'était pas un mec
de l'Olympie mais un mec du foot
surtout pas un mec des J.O
c'est ça, c'est pour ça que t'avais surpris
et c'était bien Michel Platini
bonne réponse de Johan Ryu
bonjour Mathieu Leano
est-ce que vous auriez su répondre
à cette question
est-ce qu'on est obligé d'étudier
toutes les flammes olympiques précédentes
avant de dessiner
celle qui va servir
aux 11 000 porteurs de flammes
parce que je crois qu'ils seront 11 000
en 2024, c'est bien ça 11 000
oui c'est ça
il faut surtout pas trop plonger
dans l'histoire des torches parce qu'il faut arriver
sur un sujet de façon assez vierge
donc j'avais une vague connaissance
mais en gros comme tout le monde
mais pas beaucoup plus précis que ça
la vôtre, d'abord elle pèse combien
tiens la flamme olympique
elle pèse 1,5 kg
et elle fait combien, à peu près de centimètres
elle fait 70 cm d'eau
70 cm, il y a des normes
vous avez été obligé de suivre un cahier des charges
alors il n'y a pas de normes
mais c'est vrai que ça faisait partie dans la phase concours
des seuls éléments
un peu contraignants du cahier des charges
c'est qu'il fallait effectivement être en hauteur
en gros en tour de 70 cm
parce qu'en fait il faut que la
la torche soit assez visible
du public et puis aussi
très concrètement il fallait pas que la flamme
enflamme les cheveux du relayeur ou de la relayeur
ah parce qu'il y a une vraie flamme
mais je pensais que c'était une fausse
ah non c'est vraiment vrai
aujourd'hui elle est où ?
en fait le truc c'est que
on imagine toujours qu'il y a une seule torche
que l'ensemble des relayeurs
en fait le nombre de relayeurs en gros
il aussi entre 8000 et 12000 relayeurs
en fonction des éditions
et on imagine toujours qu'ils vont tous se transmettre
la même torche
et non
ça alors
moi j'imagine rien
il a fallu faire plusieurs torches alors
en fait il va y avoir autour de 2000 torches
produites
ah oui donc c'est rentable
donc en fait le principe c'est que
vous avez un relayeur qui court
qui fait 200-300 mètres
et évidemment la torche est allumée
donc la flamme est en haut
et au terme
de cette petite course
il arrive et il y a un second relayeur
qui l'attend et donc il va allumer
la torche de l'autre relayeur
qui ensuite continue son parcours
donc en fait c'est la flamme qu'on se transmet
mais on se transmet pas la torche
comme on se transmettrait un témoin sur un relay
et qu'est ce qu'on fait des vieilles torches ?
on les donne à Colanta
c'est le candidat de Colanta qui les récupère
c'est vrai c'est
qu'elles sont où les torches précédentes ?
les torches précédentes elles sont
dans différents musées
sont musées des torches ?
elles sont souvent offertes
pour les principaux sponsors
elles sont
parfois dans les collectivités
les villes, les départements qui ont accueilli le relay
donc voilà
elles sont jamais vendues au public
et quand il y a eu l'appel d'offre, vous aviez combien de candidats concurrents
Mathieu Lehanor ?
on était je crois une petite dizaine
vous avez déjà gagné plein de grand prix
grand prix de la création
de la ville de Paris
il est exposé
aux arts décoratifs à Paris
au Museum of Modern Art de New York
au Museum of Modern Art de San Francisco
vous êtes bien français Mathieu Lehanor
je vous le confie
alors on est fiers
qui va porter la flamme ?
le dernier évidemment
à allumer la vasque
j'avais une autre question mais qui est très importante aussi
parce que cette année pour la première fois
la cérémonie de l'ouverture ne sera pas dans un stade
mais sur la scène
et on sait exactement où ça va
parce que là
je suis en train de négocier
avec mes potes qu'on dépéniche
et en plus
vous avez les bouquinistes avec vous
les bouquinistes et non mais attend
2700 balles la place
de la cérémonie d'ouverture
sur les kebas ça j'en ai rien à foutre
c'est pas mon pognon
désolé Mathieu Lehanor
mais la flamme vous ne la verrez pas
autant que vous le sachiez
vous risquez d'être déçus
restez de bravo dans une forme olympique
non
ils veulent simplement nous interdire
de rentrer chez nous
mais où s'est écrit quelque part
qu'on n'a pas le droit de rentrer chez soi
mais t'habites sur la scène ?
oui j'habite sur la scène
c'est qui qui m'a dit ça ?
c'est moi mais t'habites encore au début de l'émission
j'en prends plus rien
on a surement
la torche aussi
la torche elle connaît
en tout cas elle est très belle
elle est très très souvent torché
elle est très belle votre torche Mathieu Lehanor
parce que je...
et là donc aujourd'hui
alors on va dire une des torches
effectivement vous avez eu la gentillesse
de nous révéler qu'il y en avait 2000
mais il n'y en a pas une plus importante que les autres
la dernière par exemple celle qui va arriver
à Paris et qui allumera
et qui allumera la vasque finale
ça part toujours de l'Olympie
ça ne change pas évidemment
alors voilà c'est assez beau c'est que ça part toujours de l'Olympie qui est en Grèce
et en fait ce que j'ai découvert aussi
c'est que la première torche
en fait elle est allumée à partir des rayons du soleil
et oui ça se fait effectivement
de manière traditionnelle
avec des danseuses qui représentent
les déesses de l'époque et de l'antiquité
c'est bien ça et c'est le soleil
alors je ne sais pas comment on allume
exactement avec le soleil c'est quoi ce qu'elle m'a dit
quelle matière
en fait vous avez une sorte de petit miroir parabolique
c'est une sorte de...
et un briquet
qui concentre les rayons du soleil
et qui allume la première torche
donc en fait tout le soleil
écoutez en tout cas on est très fiers, très heureux
que les J.O et Lio chez nous en 2024
on ira l'avoir en Olympie votre flamme
mais Christine
écoutez vous n'aurez qu'à être en train
vous n'aurez qu'à être encore à ce moment là
c'est ça non
tu vas louer ta péniche comme ça
tu vas louer ta péniche non je ne loue pas ma péniche
j'invite des amis sur ma péniche
et j'ai appris que
oui vous êtes invité mon ami Laurent
merde
ah mais alors on n'arrive jamais seul
en tout cas on est très très heureux
que vous ayez accepté
notre conversation au téléphone
Mathieu Le Hanner et bravo
elle est très jolie cette torche pour les J.O. 2024
une question vocabulaire
pour Marie-Christine Chevalier
qui habite Villeneuve sur Ionne
comment appellent-on un religieux
qui mène retirer dans la solitude
une vie de sobriété, de contemplation
un hermite
un hermite ça c'est quelque chose
un anacorette
alors voilà la bonne réponse
un anacorette
excellente réponse
d'Olivier Bellamy
non non c'est pas un anaconda
ici un anacorette
et c'est des insultes préférées
du capitana doc
un anacorette effectivement
à ne pas confondre avec un sénobite
ah oui toi même
c'est quoi un sénobite
la anacorette il est vraiment seul
alors que le sénobite s'isole
mais il s'isole à plusieurs
mais oui comme son nom
je comprends pas sénobite
ça s'écrit
ça s'écrit
quand même vous connaissez pas ce mot sénobite
un anacorette si mais sénobite non
c-e-n-o-b-i-t-e
en tout cas l'anacorette est bien religieux
qui mène retirer dans la solitude
une vie de sobriété, de contemplation
vous avez raison c'est aussi un hermite
évidemment mais hermite est un peu plus commun
et si vous voulez faire un peu savant
vous voyez un prochain texte
monsieur Az
un anacorette
personne qui s'est retiré
du musical
c'est ça
c'est une exacte définition
en matière dans le même genre
pouvez-vous me dire comment on appelle
une personne qui aime le luxe
le raffinement en matière de plaisir
qui recherche le confort dans la vie
comme dans la pensée
un cybarite
un cybarite
c'est bien
alors là bravo
c'est
effectivement un cybarite
alors synonyme sensuel, délicat, jouisseur
voluptueux mais un cybarite
ça vient d'ailleurs d'une ville
au départ sont les habitants de cybaris
les cybarites
mais monsieur Ben Guy Guy
vous nous prouvez une fois de plus
que là on se fait des mots croisés régulièrement
de moins en moins parce que j'ai de l'art rose
moi aussi je fais beaucoup de mots croisés
ah je suis fan de mots croisés
pas du tout des mots fléchés avec des photons
les mots croisés dépendent de vrai j'en ai fait en cartes à l'heure
et tu finis les gris ou pas
conifères en deux lettres if
j'ai obligé de donner des preuves ici à chaque fois
je suis portable, personne ne me croit
c'est vrai que je ne m'imaginais pas que
faisiez des mots croisés
fais du crochet aussi
même pas mais par exemple
je regardais beaucoup cela m'avant
écoutez ça tourne bien puisque vous aimez
le vocabulaire français et que vous êtes doués pour
les mots croisés je vais vous demander
le pétricor
p-e-t-r-i-c-h-o-r
qu'est-ce que le pétricor
et j'ai même envie de vous dire
quand sentons le pétricor
ah ça sent ? c'est un gaz
ce n'est pas un gaz non
est-ce qu'on le sent à certaines heures de la journée
c'est pas en fonction de... c'est l'odeur du p tout simplement
ah non non
est-ce que ça rapporte
pas de ça ici monsieur As
est-ce que c'est un rapport avec les pierres
non non bah
oui et non
avec la terre
la pluie, l'odeur de la pluie
c'est-à-dire
c'est l'odeur de la pluie sur le béton
exactement c'est l'odeur de la terre
ou du béton mouillé c'est ce qu'on sent
après la pluie
excellence réponse le pristine bravo
de As
maintenant je vous emmène
à ville bleuvin
à ville bleuvin il y a une petite ville
petite commune
ville bleuvin mais
là-bas il y a un monument
un monument en hommage très très célèbre
pour quelle raison cette ville
est-elle connue
et pour quelle raison certains viennent parfois
se recueillir devant ce monument
dans quelle région
c'est dans Lyon ville bleuvin
par rapport à une guerre mondiale la première ou la seconde
ou qu'un rapport avec une guerre
par rapport à un écrivain
un écrivain oui
ce n'est pas un écrivain
il est de Lyon l'écrivain
Romain Garry
c'est un écrivain ou une écrivaine
c'est un écrivain
très connu
il a fait une oeuvre considérable
oui bien sûr et c'est vrai que
cette petite ville de ville bleuvin
d'un seul coup cette commune est devenue très célèbre
est-ce que c'est vraiment assez connu
pour vouloir s'arrêter si on passe à côté
si vous êtes dans Lyon
vous pouvez effectivement pousser
c'est après Ponsurion
à ville bleuvin vous verrez
cet hommage
il a tombé la sépulture
de cet écrivain ne se trouve pas à ville bleuvin
il est où enterré
ça vous aiderait peut-être un peu trop
il est mort en quelle année
ça aussi ça vous aiderait sûrement un peu trop
est-ce que le monument il y a une forme particulière
c'est un monument qui... oh non c'est un monument hommage
Saint-Exupéry
Cocteau
Laurent
ils vont en bâver les joueurs olympiques
oh putain
il est au père la chaise
non il n'est pas au père la chaise
la petite... la petite quoi
la petite ville de ville bleuvin
pour quelle raison une petite ville
Camus non
il s'est tué
sur le territoire
la réponse collective
enfin
d'accord
le 4 janvier 1960
évidemment
si vous avez dit l'année 1960
ça vous aurait trop aidé
c'était un gallimar là-bas
c'est là-bas que dans un accident de voiture
Albert Camus effectivement s'est tué
si vous avez dit aussi le cimetière
où il se trouve
ça vous aurait aussi trop trop aidé
et avec qui ?
avec deux femmes
et la voiture effectivement
il y a eu un accident sur la nationale 6
dans le trajet sens
Lyon sens ou sens pari
voilà sens pari
Michel gallimar conduisait
Albert Camus se trouvait sur le siège passager
avant de la voiture
et il y avait deux femmes Jeanine et Anne à l'arrière
et ça s'est passé sur la commune c'est un hasard
sur la commune de ville bleuvin
mais cette commune a tout de même
décidé de faire un monument
hommage à celui qui a eu
un accident de voiture
sur son territoire
bonne réponse collective
et c'est vraiment la meilleure histoire
on va dans le nord à Bavé
c'est l'audit de jésus
c'est joli comme nom dite don
comment je dois prononcer d'ailleurs
de jésus tout simplement
ça a alors dit donc vous la petez voie
qu'est ce que vous faites dans la vie
l'audit de jésus
alors je suis gréfié
ah oui ça c'est très sérieux
ah oui tout à fait
même de jésus ça me fait drôle
c'est mon nom d'épouse
vous avez épousé jésus
et bah tout à fait
ça et qu'est ce qu'il fait de votre paris jésus
il est infirmié
ah bah c'est normal
il fait des miracles tous les jours
des miracles
et l'audit on va vivre ensemble
je le souhaite et je l'espère
vous allez tenter de deviner
à l'avance la quelle de mes grosses têtes
va mieux raconter son histoire
certains peut-être vous raconter
une histoire qu'on leur a donnée
peut-être une histoire de leur cruche
c'est une histoire qu'on m'a donnée
très bien vous faites confiance
en cette histoire
la vôtre elle est drôle
elle est pas mal du tout
elle est pas mal du tout et vous christé
ça va ça va
moi elle m'a fait beaucoup rire
j'ai dû demander en tenu
l'explication ça me faisait pas rire
et vous monsieur rire
si vous voulez Laurent j'en ai une de la rédaction
elle est fantastique mais j'ai jamais parlé
si il vu le guèrement et une de
et une de moi
et l'audit de jésus vous misez sur quelle apôtre
aller sur christine
christine bravo
elle est formidable je te raconte très bien les histoires
ça va très bien avec son nom
alors on va d'abord écouter
celle de monsieur rio pour commencer
c'est quoi la différence entre un moustique et une femme
le moustique de fait chier que l'été
mais quelle horreur
elle est bonne
il rigole pendant ces blagues
on est consternés
c'est vrai en plus
on vous en avait donné une
très bien vous avez préféré en faire une autre
top hip hop madame bout de boule
bah moi c'est
c'est de grensab qui arrive à la plage
il y en a un qui dit
c'est blindé aujourd'hui
et bah voilà
et bah personne n'a comprend
et bah moi non plus
il y a trop de monde il y a trop de touristes
il y a du grensab pour la plage
j'adore cette histoire je la trouve au contraire
très fine
il y a du grensab partout
vous la racontez mal
c'est de grensab qui arrive sur la plage
et donc c'est blindé
dis donc c'est blindé aujourd'hui
oui
pour l'instant c'est de four
parce que vous ne savez pas les raconter
prenez exemple sur le monsieur Bellamy
c'est un type qui entre
dans un bar et qui se met à gueuler
bon tout ce qui soit à gauche
sont des connards
et tout ce qui soit à droite sont des merde
client
excusez-moi monsieur
mais je ne suis pas une merde
alors met toi à gauche
connard
elle est bien
elle est bien
ça c'est raconté
il n'y croit
pour que le public crée a une histoire
il faut y croire soi-même
personne ne rira évidemment
prenez exemple sur monsieur Bellamy
alors ce sont deux vieux amis qui ne sont pas vus depuis
un certain temps ils se rencontrent par hasard
dans la rue
dis-moi le premier parle et dit
t'as pas l'air dans ton assiette toi
qu'est-ce qui t'arrive
je ne sais pas je déprime
je broie du noir
plus rien ne m'intéresse dans la vie
mais tu passes ça
si tu es libre à midi
je t'invite au restaurant
toujours manger
alors tu viens prendre un verre
bof boire
toujours boire mais fais un effort
tu viens à la maison
ma femme sera ravie
baiser
toujours baiser
elle est bien
elle est bien
monsieur As
c'est deux puces qui viennent d'arriver
quelque part
j'ai froid
et l'autre puce elle lui dit
mais t'es venu comment
je suis venu dans la moustache
dans un motard
je suis venu dans la culotte
d'une jeune jolie fille
elle lui dit tu devrais essayer
tu verras que tu n'auras pas froid la prochaine fois
elle se recroise une autre fois
elle lui dit alors
je suis toujours frigorifié
je suis venu dans la culotte
d'une jolie fille
mais j'ai quand même fini sur la moustache
et donc
elle est bien
elle est bien
mais maintenant
celle sur qui vous avez misé
c'est Christian Bravo
il va tout donner pour vous
c'est dure de passer après ça
j'aurais dit vous faire passer après bout de boulet
et Rio
alors ces trois femmes qui sont reçues
par Saint-Pierre
au paradis
leur donner à chacune les clés d'un appartement.
Alors d'abord, il leur demande comment elles auraient mérité cette place au paradis exceptionnel.
Alors, elle première dit, ben moi, j'ai eu qu'un homme dans ma vie et je l'ai jamais
trompé.
Oh, Saint-Pierre, il dit alors toi, allez, voilà la clé d'or, il voit la deuxième
et vous.
Alors ben moi, j'ai eu un homme dans ma vie et je l'ai trompé une fois.
Oh, Saint-Pierre, il a allé une fois clé d'argent et elle arrive la troisième et alors là,
elle dit, ben moi, c'est un peu différent, j'ai couché avec un garçon à 12 ans, puis
après, il y a plein de garçons, puis après, plein de filles et parfois plusieurs en même
temps.
Alors il y a Saint-Pierre qui la regarde et qui lui dit qu'on lui donne la clé de ma
chambre.
C'est pas mal.
Allez.
Hélo dit.
Oui.
C'est un peu truqué, mais on va dire que vous n'avez gagné.
Super.
Ah, l'action se passe à Chamonix.
C'est pas une histoire drôle que je vous raconte, moi.
C'est une question pour Mélanie Milman qui habite Gap.
Et ça se passe effectivement près de Chamonix pour être très précis.
La ville-là des Argentières, on est le 7 janvier 1934.
Des policiers rentrent dans ce chalet, appeler le vieux logis et ils entendent des coups
de feu qui retentissent et ils vont trouver un homme atteint de deux balles dans la tête.
Quel est cet homme ?
Stavisky.
Excellent.
Très bon, ce Jean-Bendivi.
Alors extraordinaire, Jean-Bendivi.
Alexandre Stavisky, vous pouvez rappeler pour ceux qui ne connaîtraient pas cette histoire.
Stavisky est un homme qui était très répandu dans Paris et sur la France, surtout un escrow,
qui a écrit qu'un homme, mais en le genre, notamment le Crédit Municipal de Biarritz
sur une saison, il avait tiré des faux trucs, les gens ont été rubinés et il a fini par
se faire goder.
Et puis surtout, il avait beaucoup de secrets d'état avec lui, c'est pour ça que la
presse de l'époque l'avait dit, comment c'était, qu'il s'était civilé de deux
balles à bout portant.
Il y a eu un film évidemment, un film d'Alain Rénais avec Jean-Paul Belmondo qui jouait
le rôle de Stavisky et d'ailleurs plus récemment aussi, Thomas Cislet, a joué Stavisky, l'Escrow
du siècle.
C'est moins bien.
C'est un bon acteur, Thomas.
Vous êtes jaloux en fait, hein, vous êtes jaloux.
Après Belmondo, de toute façon, tout le monde est mauvais.
Oui, puis là, c'était un téléfilm où enfin, écoutez, l'autre datait des années
70, le film avec Belmondo.
Là, c'était plus récent, c'était, il y a quoi, on va dire, six, sept ans, le film
Stavisky, l'Escrow du siècle, un téléfilm réalisé par Claude Michel-Rôme, alors que
c'est vrai que le film de Belmondo était réalisé à l'époque par Alain Rénais.
Une dernière question avant nos invités, Marc-Antoine Lebré et notre invité du jour.
Là, je voudrais vous parler d'un renard, c'est pour s'il vient de Cardozo qui habite
l'Ausée en charante maritime, qu'est-ce que fait un renard quand il moulote ?
Mais il cherche des moulots ?
Non.
Il la couche, il la couche.
Ah non, il la couche pas.
Il fait des bruits ?
Alors, je vais vous dire, s'il cherche des moulots, il n'est pas loin, eh bien.
Il les trouve.
Il va dans l'hétérié.
Il les trouve.
Il va dans l'hétérié.
Il creuse, il creuse.
Quand il drague.
Il creuse dans l'hétérié.
Non, non, non, c'est une technique, le moulotage.
C'est sexuel un petit peu ?
Ah non, pas du tout.
Tout n'est pas sexuel, monsieur Rion.
Est-ce que c'est nécessaire pour sa survie ?
C'est vrai que mouloté, et madame Boudboul.
Oui, parce que les tekels, ils moulotent aussi.
Oui, les tekels moulotent peut-être.
C'est vrai que mouloté, ça peut vouloir dire aussi, fouiller les cavaux d'un moulot
pour se repettre du grain qui est amassé, et par exemple les sangliers.
Retourner la terre, voilà.
Mais moi, je vous ai demandé ce que fait un renard quand il moulote.
Et le renard quand il moulote, c'est pas ça qu'il fait.
Il a mangé des poules, il en prend plein, il les mange pas toutes, il les ramène, il les stocke.
C'est quand il chasse, on est d'accord ?
C'est quand il chasse.
C'est une technique de chasse.
Avec sa queue.
Non, pas avec sa queue.
Avec sa bouche.
Avec ses pattes.
Alors, qu'est-ce qu'il fait ?
Il saute, il gratte, il gratte, il saute.
Mais c'est-à-dire comment il saute ?
Eh ben il saute, il secoue dans tous les sens.
Mais fais-le, montre-nous.
C'est quoi, il fait des bons ?
Il saute, arrête Stéphane.
Elle m'appelle par le prénom de son mari.
C'est un chétan, non ?
Il fait des saletaux, il fait des saletaux.
Il saute, il saute, il saute.
Ça m'a fait penser à Stéphane.
Encore, il est dans la salle.
Il est là ?
Alors oui, il est là.
Il saute des poules, il saute des poules.
Vous ne tournez pas, il saute aux rouges, attends.
Vous rendez con, j'en fais ça.
Alors il saute.
En fait, il guette le muleau.
Ah non, non, non.
Il s'immobilise.
Et d'un seul coup, il fait des bons énormes, le renard.
Oui, il saute.
Oui, il saute.
Eh, vous n'avez pas lui accordé les bons ?
Et pas mon saut.
Il saute, il saute pour retomber.
Je vais vous le dire.
Sur le muleau.
Il saute pour retomber pas en avant sur sa proie.
Bah oui, c'est ce que je disais.
C'est ce que je disais, c'est toi, toi.
T'essaye de me piquer la réponse.
J'ai dit muleau.
Je lui ai dit qu'il saute et toi tu dis
il fait des bons et l'autre, il va dire oui.
Moi, c'est l'égalité.
C'est l'égalité.
Elle est en train de mûloter sur la question.
Mûloter, c'est sauter pour retomber pas en avant
sur sa proie, pas forcément un muleau
dans les bouts de bouts, vous voyez.
Les souris, pourquoi il le fait sur des bouts de souris ?
Le renard, ça chasse toutes sortes de choses, vous voyez.
Généralement un rongeur, mais pas toujours un rongeur.
Et effectivement, le renard mûlote.
Et oui, mon mari aussi.
Le renard mûlote, quand il bondit
sur sa proie, bonne réponse collective.
FTL, c'est l'heure de la vérité du jour.
À notre invité du jour,
nous apporte un livre où il se raconte
ou il raconte sur toute sa famille,
sans quelque sorte ses mémoires.
C'est un très joli titre, ça s'appelle
« Dites bien à mon fils que je l'aime ».
C'est la phrase que son père a prononcé,
pas devant lui, d'ailleurs,
à l'infirmière qui lui répétera un peu plus tard.
Cet animateur en question,
c'est quelqu'un que vous connaissez bien,
si je vous dis le millionnaire, le juste prix,
ou succès du football.
C'est fou.
Ah, je ne cherche plus qui c'est maintenant.
Pardon ?
Maintenant, je ne cherche plus qui c'est.
Ça a changé.
Vous avez le malheur
de donner une question.
Genre, est-ce qu'il a chanté
« J'ai perdu 25 kilos ».
L'autre, il devenait fou.
Mais maintenant, l'invité mystère,
on dit qui c'est.
C'est fini, c'est plus l'invité mystère.
Il n'y a plus d'invité.
Ça fait un moment déjà.
Je vous demande d'accueillir Philippe Risony.
C'est aux émissions de l'archipel
que Philippe Risony publie
« Dites bien à mon fils que je l'aime ».
Qu'est-ce que vous dites après ?
Je me disais peut-être que
comme personne va trouver qui c'est,
on me donne à moi son nom
pour qu'il ne soit pas trop humilier
si personne le trouve.
On aurait trouvé Philippe Risony.
Il suffit que je dise
effectivement le millionnaire, le juste prix.
Et c'est qu'il y a deux invités mystères.
Elle est folle.
C'est Marc Antoine,
qui est rentré.
C'est un invité mystère.
Pour l'instant, vous faites comme s'il n'était pas là.
D'accord ?
Pour l'instant, on s'intéresse à Philippe Risony.
Cela dit, je peux dire quand même
que la dernière fois que vous m'avez invité,
la seule personne commune, c'était Christine,
qui était là.
Vous aviez dit le juste prix, le millionnaire.
Elle m'a jamais trouvé.
Il y a longtemps qu'elle ne regarde plus la télévision.
Vous savez peut-être que j'aurais dû dire Star Quiz.
Ah oui ?
La première émission que vous avez animée
sur Canada.
C'est autre chose, mais ce n'est pas le vrai titre.
C'est quoi le vrai titre, appelez-nous ?
Ah oui, moi j'aimais bien.
C'est génial, c'est trop drôle.
On va y venir, pas tout en même temps.
On apprend des tas de choses dans ce livre,
qui n'est pas totalement centré
sur votre vie médiatique, Philippe Risony.
C'est plutôt votre famille.
Vous nous parlez de votre enfance, de votre famille.
Évidemment que parfois, il y a des anecdotes
qui concernent ce métier, particulièrement la radio,
parce que vous avez commencé par la radio.
J'ignorais même que vous aviez été,
non pas assistant,
une boîte secours pour Joseph Arthur
sur France Inter.
Oui, oui.
Et si je peux citer la radio,
parce que je vais vous faire ce que je faisais.
Donc j'étais payé 100 francs brut,
parce que souvent on vous dit,
mais tu gagnes combien ?
Tu gagnes combien ?
Je gagnais 100 francs brut à l'époque,
c'est-à-dire 15 euros.
Je me déplaçais en voiture.
Il était 22 heures.
J'arrivais donc dans cette station de radio.
J'arrivais et je disais,
vous écoutez, France Inter,
il est très précisément 22 heures le journal
Philippe Abid Boulebonsoir, Philippe.
Lui commençait, faisait son journal.
Merci Philippe.
Tout de suite le pop club avec Joseph Arthur,
Bonsoir Joseph,
qui ne me répondait jamais.
C'est tout ce que tu faisais ?
Non, non mais...
Parce que 15 balles c'est bien payé.
Non, non mais attend,
il fallait que je reste,
je reste deux heures en permanence,
au cas où il y avait une rupture de fesson,
tu croises les doigts,
tu dis il va y en avoir une,
il va y en avoir une,
et puis il n'y en a jamais eu.
Donc j'ai fait ça pendant six mois.
Et alors le hasard de la vie
a fait que l'année suivante,
du vraiment pré-animateur,
présentateur,
j'ai présenté toute une soirée,
la soirée de Noël,
avec en duo,
avec Joseph Arthur.
Quand même, quand même avec Joseph Arthur.
Ça c'est pour la partie médiatique,
je vais revenir dans un instant d'ailleurs,
à la partie familiale,
mais restons justement sur les émissions,
parce qu'il y a autre chose alors que j'ignorais,
parce que c'est vrai que le millionnaire,
ça on sait,
le juste prix,
on sait,
on sait,
succès fou,
on sait,
assistant de SIM,
j'en parle parce qu'il a été
une grosse tête énorme ici,
j'ignorais,
assistant de SIM.
Mais personne ne le savait,
c'est-à-dire que,
en fait TF1 avait lancé une émission d'été,
moi je cherchais un moyen de me faufiler,
pour essayer de rentrer à la télé,
et donc,
il y avait cette émission,
qui s'appelait Cocktail Maison,
et donc le présentateur,
c'était Sim qui recevait ses amis.
Alors, ses amis,
quand ils recevaient des amis,
des grosses têtes,
comme Gérard Juniot,
et comme d'autres,
bah ça marchait bien,
ça fonctionnait bien,
mais quand on attaquait Milaine Farmeur,
quand on attaquait,
enfin des gens qui démarraient,
à l'époque,
Marc Lavoine, etc.,
là, il était un peu perdu quand même, Sim.
Et donc, c'est comme ça,
que d'assistants de production,
je suis devenu vraiment
l'assistant à titrer de Sim,
quoi, voilà.
– J'en viens à la partie familiale,
c'est assez mouvant d'ailleurs,
parce que vous racontez,
évidemment, la disparition de votre papa,
votre maman était déjà
parti bien avant,
ça aussi vous l'évoquait,
mais c'est un peu plus tard.
Le livre commence, effectivement,
par l'histoire de cette phrase,
et du titre,
« Dites bien à mon fils que je l'aime,
parce que votre papa préfère
que vous ne soyez pas là
quand il va partir ».
– Et bon, c'est terrible,
parce qu'il me dit,
bon, mon père a décidé
à 93 ans,
mais il était en pleine forme,
sauf que
il a eu un cancer de la plèvre
qui est dû à l'amiante,
et c'est épouvantable,
parce que la plèvre
comprime le poumon
et on ne peut plus respirer,
quoi.
Et donc, vraiment,
sur la fin, il me donnait sans arrêt
pourquoi il me laisse pas partir,
je veux partir,
ce qui me permet de poser
la question d'ailleurs
de la fin de vie,
dans ce livre.
Et le dernier jour,
enfin, avant dernier jour,
je me suis approché de lui
et il m'a dit,
cette fois, c'est terrible,
va-t-en, je ne veux pas
que tu me vois mourir.
Et le lendemain,
l'infirmière m'a appelé en me disant,
« Votre père est parti,
apaisé selon elle ».
Et sa dernière phrase a été,
« Dites bien, mon fils,
que je l'aime ».
Ce qu'on ne s'était jamais dit
de son vivant.
– Comme souvent chez les tésœufs,
bien que les ritales,
normalement,
ne sont pas des tésœufs,
parce qu'il faut quand même
leur appeler,
votre papa était italien.
– À la base, oui.
– Et on vous traité
et on vous traité de ritales, parfois.
– Ah ben moi,
moi, j'ai eu le droit
à tout, à risolir,
à violir,
panzanib, buitony,
enfin tout ce qu'on peut,
tout ce qu'on peut imaginer,
imaginer, imaginer à l'école.
Mais ça,
ça m'a jamais vraiment affecté,
parce que moi,
où j'étais,
c'est ce que je raconte,
c'était une sorte de pari,
le 18e,
parce que je suis un vrai parisien.
– La zone,
vous dites que c'était la zone.
– Parce que ça s'appelait la zone.
Maintenant, c'est devenu
l'hôpital Bichat,
mais à cette époque-là,
il n'y avait pas encore le périphérique,
et c'était la zone,
et nous, on allait jouer,
on allait fumer des P4,
on allait...
– Vous dites même,
je suis né entre deux portes.
– Oui,
la porte de Clignan-Court
et la porte de Saint-Touan.
– Et justement,
restons dans ce quartier,
parce que ça aussi,
c'est un truc incroyable.
D'abord,
j'ignorais que vous aviez une passion,
c'est la photographie,
un peu comme Nico,
ça y a un gaz aujourd'hui,
mais
ce jour-là,
vous n'aviez pas
votre appareil photo avec vous,
en tout cas,
votre matériel
– Vous n'aviez pas sur vous,
mais vous assistez,
vous assistez,
on va dire,
à cette scène incroyable
de Messrine,
tu es flingué par les flics
dans sa voiture,
– Exactement.
– Avec sa fiancée
à côté à l'époque.
– C'est-à-dire que je...
j'avais loué
une petite chambre de bonne
près de la faculté d'Assas
où je faisais mes études,
et je prends le métro
à Eudéon
pour descendre
à Porte de Clignan-Court,
et au moment
où je monte les escaliers
pour sortir Porte de Clignan-Court,
là où mes parents habitaient
et là où étaient
mes appareils photos,
ils étaient pétarradés
de partout,
une scène absolument incroyable,
les gens se couchent par terre,
on lève un petit peu la tête,
on comprend qu'il y a un camion
et qu'il y a des...
Mais nous,
on ne savait pas
ce que c'était, évidemment.
Alors après,
évidemment,
il n'y avait pas encore
les portables,
il n'y avait pas tout ça,
mais on a pu s'approcher
très près de la voiture
parce qu'on ne comprenait pas
ce qui se passait
avant qu'il y ait
des cordons de police
et que
les différents radios
arrivent sur place.
– Des photos,
après,
particulièrement,
pour graphier
vos parents,
plus récemment, évidemment,
la dernière photo
où vous montrez
de votre papa
qui vous donne,
finalement,
indirectement,
le titre de ce livre,
sont vos mémoires publiées
chez l'archipel.
– Voilà,
c'est la première partie
parce qu'au départ,
je pensais m'arrêter là.
– Il y a des vacances
en Bretagne
où j'ai bien compris
qu'il y aurait une suite.
– Il y aura une suite.
– Parce qu'il n'y a pas
les grandes années TF1
là-dedans.
– Il n'y a pas TF1,
il n'y a pas RTL.
– Il n'y a pas RTL.
– J'ai été sur RTL
à la matinale.
– Il y a la première fois
que vous êtes contacté
par Raymond Castan,
qui était directeur
des programmes,
mais finalement,
ça ne se fera pas.
– Oui,
parce que j'étais
sur une autre radio
en Provinces,
c'était avant
l'arrivée des DFM.
Je reçois Raymond Castan,
qui était le patron
d'RTL à l'époque,
et qui m'aident
de sortir un bouquin.
Donc,
je l'interviewais,
je ne me disais
jamais d'interviewer
comme ça,
c'est formidable.
Je vous veux,
sur RTL,
vous imaginez,
et je reviens à Paris,
mais là, vous arrivez
un peu trop tôt,
ou un peu trop tard,
je ne savais plus
trop quoi faire,
je me suis retrouvé
un petit peu embêté,
mais c'est aussi parce que,
ça, je le raconte
dans l'if,
j'avais vu une voyante,
vous souvenez
de Martin Mercadier,
la comédienne,
et alors...
– C'était un peu devenu
presque son photographe
officiel à Martin Mercadier.
– Exactement.
Elle m'emmenait
avec elle,
RTL,
dans les autres sessions
de radio,
et donc,
Martin adorait les voyantes
et un jour,
dans ce truc,
là,
et après, j'ai réalisé après,
mais elle me dit,
je vois RTL
en lettres d'or.
Sauf qu'après,
je me suis rendu compte
qu'elle avait sa radio
qui était branchée
sur RTL.
– Elle voyait
son transistor,
en fait.
– Elle voyait
son transistor,
sûrement.
– Dites bien
à mon fils que je l'aime,
sans les mémoires
de Philippe Rizoli,
vous restez avec nous
jusqu'à 18h,
Philippe est dans un instant.
– Avec plaisir.
– Évidemment,
vous allez rencontrer
Marc-Antoine Lebré.
Salut, Philippe.
Il y a toujours
notre invité à l'occasion
de la sortie de son livre,
ses mémoires.
Première partie
de ses mémoires, on va dire.
– Vous serez sûrement
dans la deuxième, d'ailleurs.
– Ah, pourquoi
de ce que j'ai fait, moi ?
– Ah, ben, vous l'avez fait,
peut-être.
Je me souviens,
une des premières fois
où je suis venu,
c'était aux enfants de la télé,
j'ai à peine ouvert la bouche,
la première réflexion
que vous avez fait,
vous m'avez fait,
à quelle voie,
à cette voie.
– Je ne sais pas
si vous connaissez
Marc-Antoine Lebré,
monsieur Philippe Rizoli,
mais je l'apprécie.
– Et comme vous connaissez
tous vos collègues,
ce n'est pas tout à fait
Marc-Antoine Lebré
qui vous rejoint maintenant,
c'est Cyril Anouna,
mesdames et messieurs.
– Salut, mes petites beauté.
Ça va, les chéris ?
Ça va, toi ?
J'adore.
Eh, mon fifi, mon chère,
ça va, mon bébé ?
Quand j'étais jeune,
je vous le dis, mes chéris,
j'étais dans le public
du juste prix.
Et tu m'as fait
monter sur le plateau,
on a bien rigolé,
sans mettre
aucun féculant
dans notre slip.
J'adore, c'est magnifique.
C'est magnifique.
– Un autre truc
dont je me rappelle, mon chéri,
c'est ton lancer de micro.
Voilà, je me rappelle bien.
– Oh, sans fritin,
c'est pas un as.
Je me rappelle bien,
parce que le jour
où je suis venu,
je l'ai pris dans la gueule.
– C'est magnifique, ça.
– Il était vraiment
dans le public, Anouna.
– Il était vraiment dans le public.
D'ailleurs, si vous tapez
mon nom et le sien,
vous allez voir la séquence,
c'est sur Internet.
Et je l'avais remarqué,
parce que j'avais envie
de faire un peu le show
dans cette émission.
Il était avec un ami à lui,
je les ai fait descendre.
Il n'a pas été candidat.
Enfin, il n'a pas été retenu
pour être candidat.
Mais on s'est bien amusé
pendant ce moment-là.
– Et on a passé les images.
– Mais à cette époque,
on ne pouvait pas imaginer
quand même la carrière
qu'il fait par là-dessus.
– La carrière, à ce point.
– Mais justement, quelqu'un
qui fait partie
de l'équipe de Cyril Anouna
aujourd'hui,
c'est Bernard Montiel,
qui vous avez connu aussi
à TF1.
– Les amis, les amis,
chers amis.
Bonjour.
– Ah, c'est lui.
– C'est Bernard Montiel.
Alias le bronze écolo,
car je bronze
– On est dans les stars des années 90.
Bernard Montiel et Philippe Risoli,
Videogag et Géopardie,
une famille en or et le juste prix.
Je n'attends je n'y vais pas.
Starsky et Edge,
même si à force,
je ressemble de plus en plus
à Hugui les bons tuyaux.
– Laetitia,
c'est Laetitia Lidl?
– Oui, bonjour.
– Une admiratrice, je vois.
– Ah, c'est le plus beau jour
de ma vie, après celui
où j'ai reçu
les résultats de la biopsie
de mon Johnny.
Je vous adore,
Monsieur Risoli,
quand j'étais enfant,
je n'ai raté
aucune de vos émissions,
surtout le millionnaire.
Et à ce propos,
avez-vous gardé,
par hasard,
les coordonnées
de ceux qui ont remporté
le million?
Ce n'est pas pour moi,
c'est pour une amie de Saint-Barth,
c'est les bataires
qui doivent payer
sa taxe foncière.
– Salut tout le monde,
c'est Cyril Lignac.
– Oh, Cyril Lignac.
– Salut Philippe Risotto.
– Il ne l'avait pas faite,
celle-là.
– Ah non.
– Alors,
vous connaissiez Philippe Risoli?
J'imagine Cyril Lignac.
– Moi, je préfère Risotto,
parce qu'il est un peu gonflé.
– Qu'est-ce que vous préférez,
alors chez Monsieur Risoli?
– Voilà, c'est tout.
Voilà, c'est tout.
On n'a pas bien enchaîné,
Laura,
mais on va se caler.
– Vous n'avez pas chanté
« Cuitace les bananases »
ou alors...
– Non, merci.
– Vous l'avez saut.
– « Cuitace les bananases »
ou alors c'est fait.
– D'ailleurs,
cette chanson « Cuitace les bananases »
dans le livre,
elle vous dit
ce que vous vouliez à l'époque,
parce que c'était pas seulement
cette chanson-là,
tout l'album,
c'est un album façon chédide,
de vous dire.
– Oui, et c'est très marrant,
parce que là,
en ce moment,
je fais pas mal d'interviews,
et j'ai, comment dire,
la maquette que j'ai proposée,
qui a été entendue par Philippe Châtel,
et je dis,
parce qu'on s'est foutu un peu de moi
en me disant,
mais c'est pas du tout chédide,
ce que t'as fait.
– Ah non.
– Bah donc,
ce sont les aléas
quand on domine pas un truc,
c'est-à-dire que moi,
je suis rentré en studio
au paille des congrès,
il y avait les meilleurs musiciens
qui m'ont dit,
bah écoute,
tu nous laisses faire,
et voilà,
le résultat,
n'a pas été tout à fait
sur cette chanson-là,
c'était pas ce que je souhaitais faire,
mais il faut écouter l'album,
et l'album est pas mal,
et après, j'ai fait un autre album.
– Mathieu Chédid,
il est là pour vous en parler.
– Ah.
– Bonjour Philippe.
Bon.
Bonjour à toute la bande.
Oh !
Même à Ryu.
Oh !
Mais non, Philippe,
ça me bat droit au coeur
que vous définissez vos chansons
comme proches du style de mon père.
Oh !
En revanche,
j'ai beau chercher,
mais j'ai aucun souvenir de mon père,
disant que ces chansons
étaient proches du style de Philippe Briseau.
– On applaudit Marc-Antoine Lebré,
qu'on retrouve dans quelques minutes.
Dans le RTL, bonsoir.
C'est vrai que Philippe Briseauly
publiera sûrement la suite,
parce que ça s'arrête
avant les grands succès
à TF1, le Millionnaire,
et j'imagine qu'il y a des tas de choses
à raconter, succès fou aussi.
Il évoquait Patrick Roy,
qui n'est plus de ce monde,
mais avait fait partie de ses...
C'était quand même chouette,
ses présentateurs animateurs
en smoking.
Il y avait quelque chose de classe, quand même.
– Moi, j'adorais ça.
Là, j'ai des très grands souvenirs
de cette époque succès fou,
le côté effectivement smoké,
le côté, le trio,
on s'entendait parfaitement,
t'étais vraiment pote dans la vie,
on s'entendait très bien.
Et on avait une passion commune
pour la musique.
Et il y avait un deuxième aspect
de l'émission, c'est qu'on essayait
d'illustrer les chansons,
donc on tournait des scénètes, en fait.
C'était vraiment du chaud,
comme on aimait, quoi.
– Des bons souvenirs,
et aussi des moins bons, évidemment,
parfois, d'où ce titre.
Dites bien, mon fils,
que je l'aime, c'est chez l'Archipel.
Les mémoires de Philippe Risoli,
c'est en librairie.
Merci d'être venus nous voir
aux grossettes.
– C'est toujours un plaisir.
Merci à vous de m'avoir accueillie.
– Et Marc Antoine,
vous le retrouvez dans un instant.
Dans Hertel, bonsoir,
avec Vincent Parisot.
Bonsoir, Vincent.
– Merci beaucoup.
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Avec Christine Bravo, Darie Boutboul, AZ, Olivier Bellamy, Jean Benguigui et Yoann Riou.
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