Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du vendredi 27 octobre 2023

RTL RTL 10/27/23 - Episode Page - 1h 45m - PDF Transcript

...

...

Bonjour, heureux de vous retrouver avec pour vous aujourd'hui

une grosse tête dont le trône est français,

l'humour british et les papiers belges,

Cristino Krent.

...

Une grosse tête qui pourra fraudonner la brave enceinte

en duo avec Cristino Krent.

Alex Visorek.

...

Une grosse tête qui fut athlète avant de montrer ce qu'elle avait en tête.

Rachel K.

Bonjour.

...

Une grosse tête dont l'ail frise, les cheveux frisent et elles frisent

parfois la bonne réponse.

Valérie Mériste.

...

Une grosse tête dont le vrai nom est Citroën,

mais il voulait aller plus vite que les autres.

Jérémy Ferraris.

Bonjour.

...

Une grosse tête.

Oh, c'est bon.

Après votre Citroën, non.

Une grosse tête qu'on n'a pas besoin de torturer pour qu'il se mette à tard.

Ah!

Bernard Maby.

Bonjour.

...

Arrêtez, vous allez faire part aux gens que je bouffe tout le temps.

Vous aimez bien les bons restaurants.

Hier soir, par exemple, vous êtes allé dîner où hier soir?

Chez moi.

Chez vous.

Tout seul en célibataire.

Maintenant que je sais, en plus, que madame est partie.

Tout seul en célibataire.

Oui.

Ah bon, la force de cuisiner.

Oui.

...

Non mais Bernard, attention.

J'ai mangé une délicieuse saucisse de mortaux avec une purée de carottes.

Oh!

Ah voilà.

Quand est-ce que tu m'emmènes chez Coutant Saute

deux, trois ans qui me disent je vais t'y emmener, mais en fait,

non, c'est parce qu'il est...

Non, mais attend, je vais de l'argent de côté.

...

Vous êtes le chancenier, pardon.

Oh!

Ah, il n'aime pas chanter.

Qu'est-ce que la plus grosse fortune de Paris depuis à peu près quatre...

La plus grosse quoi?

... fortune de Paris.

Bah, le reste aussi.

Depuis 40 ans maintenant, on ne va pas me dire que vous économisez

pour inviter la pauvre mairesse dans un 3N.

Non, mais je ne suis pas passée par la Rochelle depuis un moment.

Elle ne peut pas se le payer tout seul au restaurant, Valérie.

On peut se faire tout seul, hein.

On ira ensemble.

Toutes les deux.

On sera très bien.

On fait une descente un week-end dans la Rochelle.

Moi, je suis partant.

Moi, je ne demande que ça.

Un week-end dans la Rochelle.

Oh, oui.

Oh, allez.

Vous pouvez tous nous héberger.

Alors, bon.

Ça dépend lesquels, quoi.

Parce que je n'ai pas des chambres avec des salles de bain.

J'ai qu'une salle de bain, quoi.

Vous devez dire que vous n'avez pas une salle de bain par chambre.

Voilà, comme chez certains.

On continuera d'aller en week-end chez Laurent.

Comment nous faire pour nous débarrouiller?

C'est ça.

Et puis, j'aime autant que vous venez quand il fait beau.

Parce que j'ai une douche dans le jardin, aussi.

Ah, c'est génial, ça.

On ne va pas faire comme Fabien Galtier et Léna Noguera.

C'est un camping, quoi.

Est-ce que vous êtes au courant ?

Le sélectionneur du 15 de France.

Je ne sais pas pourquoi.

Qu'est-ce qu'il lui a pris ?

Il s'est foutu à poil sur la plage de Dieppe avec sa compagne.

Ça, on savait que c'était...

Elle était nue aussi ?

Oui.

Alors, non, elle a une culotte télé.

D'accord, mais on voit bien...

On voit bien l'eau.

Oui, on voit l'eau.

Ah oui, que lui n'a rien du tout.

Il est vraiment poil.

Il est sur une plage nudiste ?

Non, il est sur la plage de Dieppe.

Oh, la plage nudiste de Dieppe.

Il se fait obsoriser par piquers surgelés.

Non, mais ils ont raison de porter plainte,

parce que c'est vrai que quand même, c'est pas sympa de faire des photos.

En marqué, en même temps, il faut avoir l'idée

de se foutre à poil sur la plage de Dieppe.

Ils ne sont pas rendus compte.

C'était au mois d'octobre ?

C'est juste après la défaite du 15 de France.

Ah oui, ah bah oui, ils voulaient se suicider.

Là, je comprends.

Quand je pense qu'il y a 2 minutes, on était dans un 3 étoiles à Rochelle.

Maintenant, on est sur les...

Maintenant, on est en train de se payer sur la plage de Dieppe.

Ah là, le niveau baisse, hein.

Une première citation, une citation pour Christelle Maurizio,

qui habite après en Haute-Marne, qui a dit

qu'il y a 4 âges dans la vie de l'homme.

Celui où il croit au Père Noël,

celui où il ne croit plus au Père Noël,

celui où il fait le Père Noël,

et celui où il ressemble au Père Noël.

C'est une femme qui a dit ça ?

Non, c'est un homme.

Un chansonnier, un collègue de M.Mabye.

Ah ouais ?

Dans un Madou ?

Pas genre un Madou.

Jacques Grélo, Robert Roca.

Robert Roca, vous voyez ?

Bonne réponse de Bernard Mabye.

Il n'y a vraiment qu'un chansonnier qui pouvait savoir ta.

Absolument.

Une citation pour Marine Lamami, qui habite à Fijac.

Lamami, c'est rigolo.

Oui, c'est son nom, Lamami.

Lamami de Fijac, qui a dit

« La femme à la passion du calcul, elle divise son âge par 2,

double le prix de ses robes, triple les appointements de son mari,

et ajoute 5 ans à l'âge de sa meilleure amie ».

Gitry ?

Ça, c'est Gitry.

Ça, c'est Gitry.

Alors, non, mais c'est vrai que c'est un dramaturge,

mais qui n'est pas un dramaturge misogène, vous l'aurez compris.

Annouille.

Annouille, non, mais on n'est pas loin.

Gilles Renard ?

Non, non, non, non.

Bagnoles ?

Non, non, non, non.

C'est par là.

C'est par là.

C'est français, c'est français.

C'est français, l'auteur de Gugus, de Patate.

Ah, mais c'est la charte.

Marcel Achar, bonne réponse.

De Monsieur Mabye.

Dès que vous avez dit « Patate » tout de suite.

Ah bah oui, c'est Mabye.

Ça te réveille, toi.

La purée.

Ça les aurait été pointes.

Ça se frie.

Plus difficile, car c'est quelqu'un qu'on a rarement cité au Grosse Tête.

Ça a dû arriver une fois ou deux, en presque dix ans, en tout cas,

pour Chantal Abo, qui habite chalin à poterie dans le Ménéloir,

qui a dit « Si pour gagner deux fois plus,

il faut travailler deux fois plus, je vois pas où elle bénéfie ».

C'est un Macron.

Non.

C'est un politique ?

Ce n'est pas un politique.

C'était un journaliste écrivain, également dramaturge, scénariste.

Dormasson ?

Qui, d'ailleurs, a travaillé ici à RTL,

à l'époque où c'était encore Radio-Télé, Luxembourg,

et puis, il est devenu directeur général des programmes

dans les années 70, ici, à RTL.

Il vend aux doigts ?

Il vend aux doigts, non, non, non.

Mais c'est vrai qu'il a aussi...

Jean Ferrand ?

Jean Ferrand, non, non.

C'est l'autre, c'est l'autre.

C'est l'autre, oui, c'est ça.

Et il a également...

Il a été à Paris Match.

Il a été à Paris Match, bravo.

Oui, il s'appelle même.

Mesdames et messieurs, vous allez assister à une cascade mémorial.

C'est beau.

Tu le connais ?

Castex ?

Non, non, c'est dans le même style.

Ah, bravo, vous n'êtes pas loin, mais Jean Castex,

c'était le premier ministre.

Non, non.

Ça commence par Cast.

Cast-Grand ?

Non.

Castain.

Castain.

Castain.

Castain, non.

Castain.

Castain.

Raymond Castain.

Raymond Castain.

Raymond Castain.

On ne l'est arrivé.

Théorie est très surpris.

D'avoir donné la bonne réponse.

Ça a été loin de dire.

Ça ne sert plus à rien de vivre.

Oui, on pensait que c'était venu.

Raymond Castain.

C'est vrai que c'est pas tout jeune, Raymond Castain.

Non, mais je m'en souvenais.

Enfin, mais c'est un grand directeur de RTL,

auteur, scénariste, ami de Marcel Pagnol,

de Jean Cocteau, de Crassens, et de Fernandet.

Ça vous disait rien, Raymond Castain,

monsieur Vizorek ?

Rien du tout.

Il se peut le reprocher.

Il était directeur des programmes de RTL dans les années 70.

Vous avez vu ces jeunes qui nous regardent de haut.

Pas du tout, on se le reproche.

Parce que vous êtes jeunes, vous, peut-être Vizorek.

Pardon.

Je parlais avec Ferrari.

Je parlais à Ferrari.

Mais vous êtes plus âgés que Ferrari.

Bah, beaucoup.

On ressentit, oui.

Physiquement, oui.

Là, je vous avais vu.

42.

42.

En suite, moi.

Ah, ben voyez.

Ça va.

Mais c'est une génération.

C'est chouette, parce que je commence à avoir des camarades

avec qui j'ai partagé la scène, etc.

Il n'y a que Bernard, normalement, qui vit ça de...

Ah oui, dans les années 60, tu te souviens le sketch qu'on avait fait ?

Moi, je fais des sketches avec Alex, où je commence.

Mais ça viendra, tu sais.

Et moi, j'ai fait des sketches avec Bernard aussi.

Ah oui, tu vois.

J'ai fait des sketches avec Bernard Maby.

Mais il a présenté une émission sur Paris Premier.

Tu vois, t'es plus jeune, moi.

Des jeunes chansonniers.

Et je suis venu.

Il est popek aussi.

Bernard, est-ce que...

Est-ce que Bernard, on se souvient ?

Bernard était le chansonnière.

Tout à fait, tout à fait.

Mais c'est ça qui est merveilleux.

C'est qu'on mélange tous les âges dans notre métier.

Mais bien sûr, et sûr.

Je suis les grosses têtes.

On a maintenant tous les âges.

De plus en plus de jeunes, hein.

De plus en plus de jeunes, pas aujourd'hui, mais...

Une première question pour monsieur Pierre Messiaq.

Capitle-Clerroix dans Loise.

Hier sortait le nouvel Astérix.

Nouvelle album d'Astérix.

Vous savez, on avait les auteurs, d'ailleurs.

Monsieur Conrad et monsieur Fab Caro.

Invité du jour.

Enfin, des missions.

Ma question va être toute bête.

Puisque, évidemment, on a évoqué l'époque

où c'était Gossini et Uderzo qui, à eux deux,

faisaient, c'était peut-être la plus belle époque, d'ailleurs.

À eux deux, faisaient des albums d'Astérix.

Ils en ont fait 24 ensemble.

Uderzo et Gossini.

Et justement, quelle est le dernier album d'Astérix,

signé Uderzo et Gossini ?

La Serpe d'Or.

La Serpe d'Or, non.

Je crois que c'est Astérix aux Jeux Olympiques.

Astérix aux Jeux Olympiques, c'est le douzième.

Ils en ont fait 24.

Astérix eux-mêmes, les 24 eux-mêmes.

Oui, les 24 eux-mêmes.

Astérix et Cléoplâtre.

Astérix et Cléopâtre, c'était le sixième.

Ils vont dans un pays étranger.

Astérix et Obélix.

Ça, c'est une bonne question.

Bien, évidemment.

Et voilà, ça fait avancer, ça.

Oui, évidemment.

Ah, mais Tintin ou Cogon ?

Alors, effectivement.

Oui, ils vont dans un pays étranger, comme vous le dites.

En Ispani, en Ispani.

En Ispani, Tintin, en Ispani.

Ah non, pas Tintin.

L'azité sur Astérix.

C'est à cause de l'autre couillot, Cagliocogo.

D'ailleurs, je ne comprends pas qu'on n'ait jamais pensé

à faire un album qui aurait réuni Idéfix et Milou.

Ah oui, c'est vrai.

Je trouve que ça aurait été mignon, vous voyez.

Si vous avez les droits, vous pouvez essayer.

Idéfix et Milou, on s'envoyait les deux petits chants.

Ah oui, c'est sympa.

Ils rentrent en plantes qui traîneraient derrière.

Et Obélix, c'est Bernard Maby.

Votre album s'appelle Les 101 d'Almasien.

C'est moi, regarde.

Ah oui, elle a les bébés 101 d'Almasien.

Ah oui.

Elle a gardé son pyjama.

C'est ça, oui.

C'est chez les grands Bretons, non ?

Ah, Astérix chez les Bretons.

Ça, c'est l'huitième album.

Astérix, est-ce que c'est loin, ce pays-là ?

Chez les Belges.

Chez les Belges, bonne réponse !

Le Bernard Maby, là.

Ça me semblait tellement évident que ça arrive avant.

Le dernier album signé Gossini Uderzo, c'était bien Astérix chez les Belges.

Après Uderzo, on a fait tout seul scénario et dessin,

le grand fossé, l'odyssée d'Astérix, le fils d'Astérix.

Mais le dernier Gossini Uderzo, c'était bien Astérix chez les Belges.

C'est vrai que les 24 premiers sont les meilleurs.

Il faut quand même...

Et chez les Belges, il y avait Annie Cordy, dans...

Vous êtes sûr de ça ?

Ah oui, je suis sûr que...

Elle était dessinée, quoi, elle était...

Je vérifie, ce qu'elle dit.

Comme elle est à la place d'Ariel Dombal, c'est à Proxima-Pierre.

Ah mais je suis sûr de moi.

Elle faisait la femme du chef Belge.

Ah oui.

Ça, j'en suis sûr.

L'épouse de Geuselambics, Nicotine.

Nicotine !

Elle s'appelait Nicotine.

Je viens de vérifier. Bravo, Valérie Meret !

Bravo.

Tiens, on a des nouvelles d'Avidadolars.

En effet, on pourra à nouveau visiter la maison d'Avidadolars.

Mais qui est Avidadolars ?

Salvador Dali !

Salvador Dali !

Bravo !

À Cadakès.

Pardon ?

À Cadakès.

Non, à Figueras, c'est pour quoi on l'appelait Avidadolars, évidemment,

parce que c'était non seulement l'anagramme de Salvador Dali,

mais aussi sa...

Sa réputation.

Sa réputation.

Il était à vide de Dolar.

Exorbe !

Ah, mais vous parlez toutes les l'an.

Ah bon ?

Elle est incroyable.

Elle est incroyable, mais qu'est-ce qui lui arrive ?

Ah bah, c'est Vendredi, j'essaie d'être à fond.

Près de 120 ans après sa naissance, la maison natale de Salvador Dali

a ouvert ses portes à nouveau.

Vendredi, dans le centre de Figueras, en Catalogne,

on peut à nouveau visiter la maison où...

Bon, il a vécu jusqu'à ses 8 ans, les 8 premières années de sa vie.

Et Amanda Lir est toujours là ?

Ah, Amanda, elle a fait l'audio-guide.

Amanda Lir.

Ah, non, c'est pas vrai.

Est-ce qu'elle a laissé son slip kangourou ?

Quel rapport avec Amanda Lir ?

Parce qu'Amanda Lir a été la muse de Salvador Dali.

Ah, mais je croyais qu'il peignait que sa femme, comment elle s'appelait...

Oui, galâ, galâ, galâ.

Elle va être contente.

Galâ.

Ah oui, galâ, c'est ça.

Il était obstiné par galâ.

Mais non, mais pour le coup, c'est vrai.

Elle faisait partie de la famille.

Voilà.

Mais j'ai rémi, on peut apprendre des choses.

Oui, mais j'adore Dali.

Il n'y a pas un portrait d'air de galâ, de dos,

justement, dans cette maison de Figali, il me semble qu'il y a un tableau.

Bah, de dos, galâ.

Figueri, Figueri.

Figueras.

Amanda aussi.

Il valait mieux de dos, d'ailleurs.

On peut prendre des choses et les oublier très vite.

Amanda aussi, il y a effectivement un portrait de dos,

parce que de face, ils n'ont pas osé.

Il n'y avait pas assez de peinture.

Oui, mais on voyait encore le pinceau.

Vous êtes fiers de ça.

Vous êtes fiers de...

Trop pauvre.

Oh, Amanda, elle en plaisantait.

Bernard, vous, qu'il avait bien connu.

Elle est survivante, alors.

On l'embrasse, Amanda, si elle est bien rasée.

Elle n'est pas prête de revenir, en tout cas.

Elle venait pute.

C'est réglé.

Moi, j'aurais adoré qu'elle vienne...

Beaucoup d'esprits, elle est drôle.

C'est autre chose que les pinyoves qui sont là aujourd'hui.

Ah ouais.

Je suis d'accord, Bernard.

Non, puis elle est chic, elle est marrant.

C'est chic d'abord, d'abord, d'aller par Dali.

C'est classe, quand même.

Bien sûr.

Bernard, vous n'avez été pas...

D'esculter par potéreaux.

D'un seul croot.

Non, mais franchement,

vous devriez faire votre portrait.

Moi, j'aimerais bien avoir un portrait de vous à la maison.

Ah bon ?

Vraiment ? Attendez, parce que...

Rais du frigo !

Rais du frigo, comme ça, tous les jours, je me rappellerai,

qu'il ne faut pas que j'abuse.

Ça ne fait plus rire, Bernard.

Bernard n'a aucun nouveau.

Il n'y a plus que ça.

Il n'y a plus que ça.

Ça ne le fait pas rire.

Ça fait rire le public.

C'est obligé.

Moi, je veux bien essayer de te peindre, Bernard.

Oui ?

Vous peignez, vous ?

Pas du tout.

RTL.

Les grosses têtes répondent aux auditeurs.

Bonjour, de comment allez-vous ?

Bonjour, l'aventure est bien, merci.

Vous avez laissé un message sur notre adresse,

mais lesgrossetestertel.fr.

Mais ça, je dois dire,

plutôt destiné à Jérémie Ferrari,

j'ai bien compris.

Je ne veux pas faire mon jaloux, mais tout de même...

Le beau gosse.

Bonjour, Haud.

Bonjour, Jérémie.

Oulà !

Vous avez beaucoup de choses à vous dire, à part avant.

Quelle chance !

Oui, je suis...

J'avoue très émule de vous avoir tous au téléphone,

parce que, comme je disais dans mon mail,

je vous écoutais petit avec mon grand-père.

C'est plutôt pour moi, ça, alors.

De vous avoir tous en ligne aujourd'hui,

mais me beaucoup.

Mais c'est vrai que je voulais laisser un message

pour M. Ferrari aujourd'hui,

pour leur remercier, tout d'abord,

de nous prouver que, quand on traverse

une période très difficile et sombre dans nos vies,

avec de la détermination, on peut toujours se relever.

Mais oui, c'est ce que je disais à Bernard, encore.

Attention, il s'est relevé, il s'est relevé,

parce qu'il s'est jeté par la fenêtre du rez-de-chaussée.

On entend un petit accent dans votre voix, Haud.

C'est quoi, c'est belge ?

Un petit, oui, un petit.

Vous êtes belge ?

Oui, oui, oui.

Bravo, bravo.

Y'a Alex Visorette qui fait la gueule.

Je vous ai reconnu tout de suite.

J'ai suivi M. Visorette,

que je me suis expatrié en France.

Vous voyez que vous aussi, vous en êtes sorti.

Un amour pour lui.

Un amour pour Visorette.

J'espère.

Peut-être pas aller jusque-là.

Et vous êtes d'où en Belgique, et vous êtes arrivés où en France ?

Alors, je suis de Kézy,

une petite commune près de Monts,

et j'ai déménagé sur petite forêt.

Ou alors, peut-être vous laissez.

La question n'a pas amené grand chose d'intéressant derrière.

Mais en tout cas, vous embrassez, Haud.

Stéphane, maintenant.

Ah bah Stéphane, c'est pour Alex Visorette.

Eh ben, il vous écoute.

Chacun son tour.

Bonjour Stéphane.

Vous êtes fans ?

Oui, on va bien.

Et nous, à l'heure en vrai, ça fait plaisir de vous entendre aussi.

Parce que d'habitude, on ne vous entend pas même en faux.

Non, mais parce que je suis fan d'aller de Visorette,

parce que voilà, je trouve que c'est bien ce qu'il fait.

On se marre bien.

Et puis, toute l'équipe, avec les problèmes de santé que j'ai,

ça fait du bien de vous entendre tous les jours.

Eh ben oui, bien évidemment, toujours.

C'est l'horreur de Alex Visorette qu'on ne comprend pas ce qu'il y a.

Il a des soucis de santé,

et grâce aux grosses têtes, ça vous fait oublier vos soucis.

Moi, j'ai bien compris.

Je vais vous envoyer un almanac,

parce que vous m'avez écrit « J'aimerais un almanac des grosses têtes ».

Eh ben alors...

Je voulais embrasser maman.

Ah, vous l'avez embrassé maman, quel maman ?

Valérie ?

Ma maman Sonia pour tout ce qui a fait pour moi.

Ah bah tu joues.

On embrasse ma maman Sonia.

On embrasse très fort ma maman Sonia.

Pierre-Y, vous, maintenant, êtes au téléphone.

Bonjour Pierre-Y.

Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes et bonjour les publics.

Ah bah le public, il est déchaîné, aujourd'hui.

Il est pas beau.

L'année dernière, je suis passé à l'antenne,

vous m'avez offert deux montres, Ertel, me dites-vous.

Bah de quoi vous plaignez, vous alors.

Pourquoi deux ?

J'en ai donné une à mon papa, qui est un fan de l'émission,

elle est sur le buffet du salon,

comme si c'était un objet de grande valeur,

au milieu des photos de famille et des biblios.

Ça me fait beaucoup rire, parce que ça énerve beaucoup ma mère.

Est-ce que vous n'en auriez pas une deuxième ?

Non, une troisième.

Donc une troisième, en fait, alors.

En fait, on est, oui, je vais abuser, j'en aimerais bien deux autres.

Bon, en plus, maintenant, ils sont fabriqués en France,

vous allez voir la différence là, maintenant.

Ah oui, elles marchent plus vite.

Maintenant, parfois, elles s'arrêtent.

En tout cas, vous envoiez les deux montres.

Pierre-Y, c'est promis.

Biome.

Bonjour.

Biome a hésité, ça faisait plusieurs mois

qu'il voulait nous envoyer un petit coup de gueule.

Oui.

Et puis, finalement, vous n'hésitez plus,

vous nous envoyez ce coup de gueule, que se passe-t-il ?

Alors, j'avais un très gros coup de gueule qui s'est transformé en gros coup de coeur.

Ah !

Ça fait plaisir.

C'est justement à propos des montres.

Ah !

Qui étaient fabriqués en Chine, maintenant, en France,

j'ai appris ça la semaine dernière.

Mais c'est vrai, absolument, maintenant.

Parce que vous aviez déjà une montre RTL,

et vous avez vu qu'au dos, c'était « Cremade in China ».

Voilà, oui.

Donc, j'aimerais bien, si tu veux, on peut la changer.

Mais c'est la foire à la montre, aujourd'hui.

Alors, on reprend pas les vieilles montres.

Non, parce que si tous ceux qui en ont fait

une montre RTL chinoise,

depuis quand même 1965,

nous demandent maintenant d'échanger leur montre chinoise

contre les montres français, on va pas s'en sortir, monsieur.

Vous savez, il y a le trou de la sécu,

il faut pas qu'il y ait le trou de RTL.

Oui, ben, je veux bien s'envoyer.

Quand même, bien sûr.

Vous pouvez écouter ce qu'on a dit.

Il a rien affiché. Il veut la montrer, puis c'est tout.

Bon, ben, alors écoutez.

Rien que pour vous, alors, Guillaume.

Daniel !

Ah ben, Daniel, Daniel, c'est formidable,

parce que c'est un auditeur qui fait ce qu'on appelle du prosélytisme.

N'est-ce pas, Daniel ?

Oui, bonjour.

Bonjour, Daniel.

Bonjour, Daniel.

Ah, vous faites du prosélyt...

Bonjour les grosses têtes.

Bonjour, Daniel.

Vous faites du prosélytisme, Daniel.

Et, du quoi ?

Du coup, donc...

Ah oui, ça, c'était sûr.

Laurent, il a répondu 4 fois, bonjour, quand vous avez dit prosélytisme.

On avait tous compris qu'il n'avait pas compris le mot, hein.

On a tous compris que c'était préparé d'avant.

Il n'y a rien de religieux là-dedans, monsieur Daniel.

Oui, bon, c'est oui.

Du prosélytisme, ça veut dire que vous faites écouter RTL...

Ah !

Aux autres, c'est ça faire du prosélytisme.

Ça veut dire...

On entend vous écouter, là.

Bonjour, Daniel.

Oui, parce qu'en fait...

Bonjour, bonjour.

Oui, et ça, c'est simple, hein.

Bonjour.

Bonjour, Daniel.

Vous voulez combien de montres ?

C'est vrai que...

C'est vrai que, pas tant que je trahi à des femmes,

j'ai appris des nouveaux mots.

Oui, mais l'orthographe...

Pas très facile, prosélytisme.

Non, mais c'est vrai que...

Enfin, je pensais que prosélytisme, c'était à mon courant, quand même.

En bas, comment ?

On va mettre de l'auto écran.

Oui, c'est ça.

En tout cas, on vous embrasse, Daniel.

Bisous, Daniel.

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Ah, tiens, voilà, une question pour Charles Clément,

question culturelle, temporelle,

parce qu'on va dire qu'on fait souvent une faute

avec cette recette, une recette culinaire

dont je vous demande de retrouver le nom,

nom de recette qu'on retrouve aussi dans la fameuse chanson

« Malbrou, ça va tant guère ».

De quel célèbre ?

Myronton.

Un Myronton Myronton.

Le buff Myronton.

Le buff Myronton.

Alors oui, sauf que, justement, on ne doit pas dire...

Le buff...

Le buff...

Ce n'est pas...

Le buff, c'est le buff.

Mais alors, ce n'est pas du Myronton.

Le Myronton, c'est dans la chanson,

alors que le buff, il doit être...

Bourguignon !

Néno !

Ah oui, le buff est dans le pré.

Mais non !

Bah, écoutez, je vais vous accorder la bonne réponse.

Myrliton !

Non, non, si ce n'est pas la bonne réponse, ce n'est pas la bonne réponse.

Si, c'est la bonne réponse.

Pourquoi on lui accorderait ça ?

Le buff, il est Myroton, et pas Myronton.

Et voilà, une faute.

Mais quand on chante...

Mais ça n'a rien à voir !

Dans la chanson !

Dans la chanson !

Qu'est-ce qu'il y a ?

Non, on sent que ça vous a agacé,

qu'elle ne vous reprend pas de la pub.

On est tous assez surpris sur combat.

Jamais, tout à coup, il est vif.

Jamais, Christine, on crainte de mes nerfs.

Je bois les paroles de Christine, on crainte.

Oh !

Oh, là, là, ça ne va pas.

Alors, donc, jamais, vous cessez ça.

Donc, jamais...

Donc, jamais...

Jamais, jamais, jamais...

Jamais My...

My quoi ?

Jamais Myronton !

Jamais Myrot, Myrot !

Je pense qu'il faut aider un peu Laurent aujourd'hui.

Bonjour Daniel !

Bonjour Daniel, est-ce que vous allez bien ?

On va rappeler Daniel.

On va lui dire qu'il fait du prosélystisme pour le buff Myroton.

Mais qu'est-ce qu'il s'occupe ?

Un week-end, je vais faire un buff Myroton.

Myroton, Myroton.

Le buff, il est Myroton.

Et dans la chanson, Malbrux en Vatangueur, c'est Myroton.

C'est scandaleux, c'est scandaleux.

Mais du coup, c'est Myroton ou Myroton en amour ?

En amour, Myroton.

Et maintenant, on a élargi,

parce que comme tout le monde faisait la faute depuis des années,

le buff Myroton est devenu aussi Myroton.

Ah bah donc pas alors, du coup.

Mais au départ, c'est une faute.

Ah, ils ont rajouté les navets.

Mais non, mais...

Comme tout le monde faisait la faute, ils ont changé.

Exactement.

Un Myroton, c'est un drôle d'individu,

un homme quelconque, un Myroton.

Il fait bof.

Un pauvre mec.

Ils font de plus en plus ça, parce que les liaisons,

par exemple, avec les haches, etc.,

maintenant, on n'a pas le droit de dire les haricots,

parce que, comme tout le monde dit les haricots,

ils disent, maintenant, je crois que c'est toléré.

Oui, c'est toléré.

Le goril aussi, il y a des gens qui font le goril.

Qu'est-ce que vous dites ?

Il y a des gens qui prononcent le mot goril,

par exemple, j'ai déjà entendu des gens dire goril,

par exemple.

Je crois que c'est maintenant c'est toléré.

Oh, le salaud !

Il y a tellement de gens qui font la faute.

Je ne vois pas quoi.

A qui ?

Comme les spaghettis, évidemment.

Oui, on dit les zèbres et pas les hebres.

Voilà, oui.

Mais moi, j'avais une question.

C'est Malbrouk ou Mabrouk ?

Mabrouk, c'est le chien dans 30 millions d'amiciés.

En fait, c'est Malborot.

C'est la contraction du duc de Malborot.

On fait rappeler Daniel pour lui expliquer tout ça.

Et la raison, Christine O'Crain, effectivement,

c'est Malbrou, M-A-L-B-R-O-U-G-H, normalement.

Le mec qui part en guerre, et les autres sont là,

M-I-R-O-T-O-N, M-I-R-O-T-O-N.

Malbrouk sans va-t-en-guerre, M-I-R-O-T-O-N, M-I-R-O-T-O-N.

Malbrouk sans va-t-en-guerre, ne sait qu'en reviendra,

ne sait qu'en reviendra.

C'est quoi, M-I-R-O-T-N ?

Ah ben, M-I-R-O-T-N, c'est le féminin de M-I-R-O-T-O-N.

On sent qu'on est vendredi, quoi.

C'est ça que je veux dire.

On aurait mieux fait de faire du poisson.

Vous saurez que, désormais, on peut,

si on en a envie de dire, boeuf M-I-R-O-T-O,

mais que, normalement, au départ, c'est boeuf M-I-R-O-T-O,

et pas M-I-R-O-T-O, c'est une erreur.

Merci, Laurent, parce qu'il y aura un avant et un après.

Je vais en parler soir à table.

Mais à qui ?

C'est de l'avion d'O-P-I-R-O-T-O-N.

A bon Miroir.

A bon Miroir.

Malbrouk sans va-t-en-guerre, M-I-R-O-T-O-N, M-I-R-O-T-O-N, M-I-R-O-T-O-N,

Malbrouk sans va-t-en-guerre, et pareil au sec qu'on reviendra.

Mais c'est une jolie chanson, hein.

Faut dire que...

Ça commence à dater, mais...

Par rapport aux Beatles, c'est vraiment bien.

Enfin, je peux faire la serpette.

C'est une chanson qui date, voilà, du XVIIIe, XIXe siècle.

La chanson a été connue au XVIIIe.

Beaumarchel avait intégré dans le mariage de Figaro au départ.

C'est Beethoven qui a orchestré la chanson,

en 1813, pour l'inclure dans la victoire de Wellington

et symboliser les forces françaises.

Vous voyez, quand même, on en apprend des choses.

Ben, il était temps, ça fait 10 minutes qu'on n'apprend pas grand-chose.

Je fais ça à nous apprendre des trucs.

Je vous ai appris qu'on disait pas boeufs, mi-rontons, mais mi-rontons.

Oui, mais qu'on peut quand même le dire.

Mais que c'était pas grave.

Vous avez fait toute une question pour nous dire.

On n'a pas le droit de le dire, mais maintenant, on a le droit de le dire.

Mais pourquoi on dit Malbrook avec un cas, ça, je peux vous le dire ?

Ah, c'est parce qu'il vivait au château de Malbrook avec un cas, c'est cas.

Prenonciation universellement adoptée en français pour le nom du Duc,

alors que normalement, c'est le Duc de Malbro qui vive au château de Malbrook.

Ah oui.

Non, mais c'est parce qu'on n'arrive pas à dire Malbro.

Donc, ça fait deux mots qui ont été changés par l'usage.

Par l'usage en France.

Et le château cas, cas, cas, cas, casse et paix, casse et paix.

Qu'est-ce qu'il dit ?

Il y a un côté assure d'aujourd'hui.

Il n'est pas désagréable, mais question pointante.

Oui, ça fait quelques minutes que je viens de comprendre.

C'est un peu planant.

Moi, je suis perdu.

En tout cas, si vous vous droguez en écoutant l'émission, ça doit être très clair.

Mais...

Une question pour monsieur Croix-Maine Morzine qui habite Marseille.

La question porte sur monsieur Bernard Gervais.

Peut-être connaissez-vous Bernard Gervais,

parce que ça fait un moment qu'il en fait.

Mais là, il a une page énorme, une page entière du Figaro.

Le Figaro, c'est un grand journal, un grand format, vous voyez.

Et sur toute la page, Bernard Gervais a le droit à une publicité.

Il faut dire qu'il en propose une centaine pour 6,90€.

Mais que fait Bernard Gervais ?

Des glaces.

On en a 100 pour 6,90€.

Oui, pour 6,90€, il en propose 100.

Ça se mange.

Ça ne se mange pas.

Ce sont des images.

Des images, comment ça, des images ?

Je ne sais pas, des petites images, ça pourrait être des petites images.

On en aurait 100 pour 6,90€.

Je ne sais pas, moi, des images, en sérieux, des images.

Des pistes.

Moi, je lance une piste, après, on peut débattre sur ce qu'elle soit.

Ça ne sera pas moins intéressant que 15 minutes sur le bœuf Myroton, un peu de façon.

Non, mais vous avez raison, c'est sous forme de papier.

Vous voyez, donc j'avais pas tort.

Ce ne sont pas des images.

Des postères.

Des postères, non.

Des flyers.

6,90€ en vente actuelle.

Elle mangeait tous les marchands de journaux.

C'est le Figaro.

Des carboninis, des cartes astériques.

Alors, il faut dire que c'est quelque chose qui fonctionne depuis maintenant,

quelques années.

Ça a été relancé en 1979 par un américain qui s'appelait Howard Garnes.

Des crados.

Comment ?

Les crados.

Les crados.

Oui, les images.

Les crados.

C'est ça, les crados.

Les crados.

Donc, elles addent.

C'est les images que, moi, j'étais petit.

C'est le numéro 1, attention.

Il y a un truc écrit dessus.

Ah, comment ça, il y a un truc écrit dessus.

Il y a du texte.

Oui, oui.

Certainement, quand même, parce que...

Autrement, si c'est des pages blanches, ça s'appelle un cahier, Bernard.

Et je sais que vous le connaissez, Bernard Gervais, si vous lisez le Figaro,

parce que ça fait un petit moment quand même que cet ingénieur

se fait connaître pour sa spécialité.

Des fiches.

Ah, c'est les heures démarrées.

Oh, c'est intéressant, ça.

Ah, mais c'est très intéressant.

Ah, la Rochelle.

Moi, ça m'intéresse beaucoup, les heures démarrées.

Bah, Valérie, la raison, en plus, c'est l'époque des grandes marées.

Et 6,90€, les 100 horaires de marées.

Je dois avouer que...

C'est vrai que c'est assez vendeur.

Est-ce que ce sont des recettes de cuisine ?

On va sur son téléphone portable maintenant pour avoir les horaires de marées.

Valérie, je le sais, moi aussi, ça m'intéresse les horaires de marées.

Bon, c'est vrai que quand il y a marée haute, marée, ça part en Méditerranée, évidemment,

mais effectivement, sur la côte atlantique ou en Normandie,

on est intéressés par les horaires de marées.

Pour savoir quand est-ce qu'on va ramasser des couteaux,

pour savoir si le chien va pouvoir jouer à la babale sur le sable.

Ouais, si on peut marcher dans l'eau.

Voilà.

Pour avoir une maison en bord de mer, quoi, c'est pas...

Non, parce que ça, c'est très con, ce que vous dites.

Tu peux y aller en paiture.

Mais c'est pas la première fois.

C'est très con.

Parce que si tu as une maison en bord de mer,

tu n'as pas besoin des horaires de marées, tu regardes par la fête.

C'est vrai.

Celui qui regarde les horaires de marées,

c'est parce qu'il est loin de la mer,

et il se dit, je ne vais pas me déplacer pour rien.

C'est vrai.

Celui qui a une maison en bord de mer, il se dit,

ah bah tiens, c'est maré, bah si j'y vais.

Voilà.

Voyez, monsieur Ferraris.

Je suis d'accord, Laurent, je suis d'accord.

Vous voulez que je vous présente mes excuses, là ?

Limite.

Je vous présente mes excuses, Laurent.

Signeaux de Saint-Pierre, tu es con que vous avez raison.

J'ai une maison en bord de mer, et je regarde quand même, je vérifie.

Je vérifie sur mon téléphone.

Que la mer est bien OK.

Je vérifie, si c'est bien d'accord.

Il faut mieux être sûr, deux fois qu'une.

Donc c'était juste pour plaisir de m'enguler, en fait.

Non, mais je vais vous expliquer pourquoi.

Celui qui a une maison en bord de mer, il regarde l'horaire des métrons.

Quand vous regardez par la fenêtre,

vous savez, mais c'est pas si elle monte ou si elle descend.

Ah, c'est vrai.

Et donc là, il faut regarder les horaires de marées,

pour savoir si elle monte ou si elle descend.

Si combien de temps il vous reste aussi, parce que vous avez...

Voilà.

Si on veut se prendre en photo nu à Dieppe, par exemple,

il vaut mieux regarder l'horaire des marées.

Voilà, par exemple.

Dites bon, Gervaine.

Alors, M. Gervaine.

Ah oui, ben oui.

C'est-à-dire, c'est-à-dire, c'est-à-dire, il vit toujours, M. Gervaine.

Oh, ben oui, bien sûr. Il y a un génieur, M. Gervaine.

C'est des notices, il vend des notices.

Non, non, non.

Vous avez rapport à l'heure d'été, l'heure d'hiver.

Non plus.

Est-ce que c'est un jeu ?

Est-ce que ça m'usait extraitant ?

Ah oui.

Ah, des mots croisés.

Pas des mots croisés.

Ah, des mots gammés.

Les mots fléchés.

C'est Sudoku.

Quoi ?

Les Sudoku.

Les Sudoku.

Oh, la réponse !

Le Jérémy Ferrari.

Eh oui, voilà, un magazine 100% Sudoku.

C'est pour pas... C'est pour pas bien gapter.

Les gens qui n'ont pas de douche.

Et d'ailleurs, Galtier, il avait le Sudoku.

Ah ben oui, tout le monde.

Pour avoir plus chaud.

Voilà. A Dieppe.

100 défis de Bernard Gervaine.

De bon, à très bon niveau.

Vous avez le choix, vous voyez.

Je sais qu'il y a des gens qui adorent ça, hein,

le Sudoku.

Qui sont complètement passionnés.

Moi, je préfère le mot croisé.

Je comprends pas les histoires de chiffres

qu'il faut aligner.

Non plus, c'est allergique au chiffre.

Alors, je préfère les mots croisés.

Bah oui, oui, oui.

Même plutôt, les mots fléchés.

Moi aussi, les mots fléchés.

Voilà.

Je me demande même si ce que vous préférez pas.

Je sais pas comment ça s'appelle, d'ailleurs.

C'est, je sais, où il y a plein de petits chiffres.

Et il faut relier les chiffres en haut.

Et ça fait un dessin à la fin.

Ah oui !

Ah oui, oui, oui.

C'est vrai que c'est dur d'en rater.

Eh, parfois, tu trompes.

Et parfois, conne, tu relies le 13 avec le 12.

Alors que le 13, c'est avec le 14 !

Ah non, ça fait des mauvais dessins.

Bah oui.

Mais c'est quoi le concept ?

Il faut trouver une somme à chaque fois 10 ?

C'est un peu compliqué à expliquer,

mais je peux tenter de le faire, si vous voulez.

Oui, oui, oui.

Le but du jeu.

Si vous êtes plus rapide que le Myronton, ça ira.

Le but du jeu est de remplir la grille

avec une série de chiffres tous différents.

Jamais deux fois le même, c'est ça ?

Sur une même ligne.

Jamais deux fois le même dans une même colonne,

ou colonne, ou même, je comprends pas,

ou dans une même région.

Alors non, c'est des carrés.

Ah oui !

C'est des carrés de 9.

Ah oui, on doit pas se déplacer en train pour finir.

Il y a 9 carrés de 9.

Donc 80 !

Il y a 80, donc chaque ligne fait 9,

chaque colonne fait 9, et chaque carré fait 9.

Et vous pouvez pas avoir deux fois le même chiffre,

ni par ligne, ni par colonne, ni par carré.

Mais vous devez compléter la grille par des chiffres.

Le moment si je préférais pas le bof Myronton.

C'est pas mal, expliquez-vous.

Bon, je vous remercie.

Une question musicale à l'occasion de la sortie de ce coffret.

Tant attendu, chaque année, RTL propose les 50 ans de chansons françaises.

Détat de tube, c'est un joli cadeau pour les fêtes de fin d'année.

Et nous, d'ailleurs, on l'offre à tous les auditeurs

qui interviennent sur l'antenne depuis ce matin jusqu'à ce soir.

Chacun repartira, en tout cas recevra cette superbe compile.

50 ans de chansons françaises, 5 CD, 100 de titres.

Alors, j'ai demandé ce matin la direction musicale.

Je suis passé parce que je n'aime pas parler sans savoir.

Vous me connaissez.

Et donc, je suis allé à la direction d'idée.

Vous êtes allé deux fois, d'ailleurs, pour bien vérifier.

Pour bien vérifier.

Et vous êtes allé à la cantine pour le bof Myronton.

J'ai voulu savoir, parce que j'ai dit,

bon, alors, comment vous les choisissez vos 102 tubes ?

Voilà, est-ce qu'il y a une thématique ?

Alors, la seule chose qu'ils ont su me répondre,

le seul point commun qu'il y a entre ces 102 chansons,

c'est qu'elles n'étaient pas sur la compile d'avant.

Ah oui ?

Mais ce n'est déjà pas vrai.

Ce n'est déjà bien, l'Homme, ce n'est déjà bien.

Parce qu'on a l'impression que c'est anecdotique,

mais si tous les ans, c'est le même,

ce n'est pas les mêmes.

Alors, en revanche, il n'y a aucun lien entre les chansons.

Ça va vraiment, c'est très, très différent.

Vous avez Cœur de l'Out, Philippe Lafontaine.

Ce n'est que français.

Mais vous avez, par exemple, la Rousseau, tu m'oubliras.

Mais des choses plus récentes,

ça va aussi bien de Michel Fugin, une belle histoire.

Jusqu'à Christophe Maët, on s'attache,

ou même Zazie Speed ou Louane, si t'étais là.

Vous voyez, des chansons plus récentes que de la chanson française, en tout cas.

Et alors, il y a un duo.

Un duo que j'étais content de retrouver sur le CD5.

Je vais même vous donner les noms de l'homme et de la femme

qui composait ce duo musical français.

Olivier de Faix et Clémence L'homme.

Ce n'est pas qu'il était une fois ?

Niagara.

Non, niagara, il était une fois, non.

Et c'est vrai que leurs tubes, ils n'ont fait qu'un tube.

Leur tube est ultra-connu et on le retrouve dans la campille.

Besoins de toi, besoins de toi.

Elle va être contente, madame Hertel, vivant bien centrumes.

Besoins de toi, envie de toi.

Besoins de rien, envie de toi.

Bernard, pas devant tout le monde.

Ne rêvez pas, Laurent.

Ah oui, c'était Peter et Sloane, peut-être, c'est leur vrai nom, là.

On est de quelle époque, 70 ?

La chanson est sortie en 1987.

Alors, elle chantait, lui, jouer de la musique.

J'ai une très bonne question.

Bloustre-toi.

Bloustre-toi.

Bonne réponse de Bernard Maby.

Bloustre-toi.

C'est pas mal, hein.

C'est un bon choix de tube.

Avec le sens ?

Eh bien, il y en a 102 des comme ça.

Le saxophone.

Pourquoi 102 ?

Et sans augmentation du prix des consommations.

C'est un garçon et le fils de Pierre Richard.

Exactement. Le saxophoniste, parce qu'on entend la chanteuse

et le garçon, lui, jouer du saxo, c'est le fils de Pierre Richard.

Bravo pour cette précision, Bernard.

Ça change tout.

Et maintenant, je vais vous parler d'un chanteur

qu'on retrouve en religieuse, en photo, dans Closer, cette semaine.

Parce qu'il a accepté de se déguiser en bonne sœur

pour l'émission Saturday Night Live aux États-Unis.

Quel chanteur, quel célèbre musicien-chanteur

est déguisé en religieuse dans Closer ?

Américain, par défaut.

Alors, américain, britannique, en tout cas.

Elton John, non, non, non, non.

Sting, non.

Mais c'est en religieuse.

Mick Jagger, Mick Jagger.

Mick Jagger, excellent.

Christian O'Cranth, it's Mick Jagger.

C'est quand même sympa quand même à Mick Jagger

de se mettre en religieuse.

Il est prêt à tout, effectivement.

Et voilà.

Ah oui.

S'il n'y a rien à ajouter, il n'y a rien à ajouter.

Il veut vendre le dernier disque.

En tout cas, ce qu'on remarque, c'est que je vais essayer de rebondir.

Oui.

Ce qu'on remarque quand même, c'est que...

C'est comment vous pouvez rebondir.

C'est que c'est rare de voir le chanteur des Stones dans les nuns.

Vous voyez, celle-là, elle est bien.

Ça va mieux, ça va mieux.

Les stars américaines se prêtent quand même plus au jeu

des émissions humoristiques en France.

Qu'est-ce qu'on peut faire comme plus stars que Mick Jagger ?

Je suis pas sûr que chez nous, effectivement...

En même temps, on n'a pas Mick Jagger chez nous, du coup.

Non, mais il est venu parce qu'il est venu.

Mettons les trois cafés gourmands où il offre.

Il offre, il offre, il offre.

Une autre question musicale pour Monsieur Vendert,

qui habite en Charente, Marie-Thime.

Tiens, il peut-être vous emmener dans le fameux restaurant.

Je vais y aller avec Bernard.

On sent qu'il ne veut pas.

Quelqu'un qui est mort il y a dix ans d'une cirrose,

il faut le dire, va pas survécuer à sa greffe du foie.

On a tenté de lui greffer un autre foie, mais ça, c'est compliqué.

Enfin, je vais pas vous faire les détails de l'autopsie,

mais il avait 71 ans et on a tenté de lui greffer un foie.

Il a pas mal picolé à une longue période d'abus d'alcool.

Évidemment, il lui a causé cette cirrose,

mais quel célèbre chanteur et musicien.

Et donc, il y a dix ans.

Ah non, non.

C'est Louride.

Louride, bonne réponse de Rachelle Gagne.

Ah, c'est pas qu'il buvait comme ça, mais...

C'est pas qu'il buvait.

C'est bien fait d'arrêter, hein, voyez.

Je vais tenter Renaud, mais c'était pas lui, alors.

Mais il est mort il y a dix ans, aussi.

Toulout, toulout, toulout, toulout, toulout, toulout, toulout, toulout, toulout.

Mais loup, loup, loup, toulout, toulout, toulout, toulout.

Allez, cussec !

Allez, tous ensemble !

Le lève mon verre !

Mais Louride, en fait, il a pas de temps de tube que ça.

Comme on dit de vous. Il a pas de temps de tube.

Je crois qu'il avait un grand public qui l'a buvait.

Il y a beaucoup d'en tirés d'un de plus en plus.

Chanteur, guitarriste américain, Louride nous a quittés il y a dix ans.

Une question pour Stéphanie, le bris qui habite Saint-Étienne.

Vous connaissez évidemment vos claviers ou téléphone ou de machine à écrire ou d'ordinateur.

Aujourd'hui, il y a peu de machine à écrire, on va dire, un ordinateur.

Et vous remarquerez sur vos ordis, quand vous voulez écrire un texte,

qu'il y a une touche, une touche uniquement pour quelque chose d'autre.

Et c'est ce qui est très important.

Vous avez compris sur vos ordis, quand vous voulez écrire un texte,

qu'il y a une touche, une touche uniquement pour quelque chose qui ne sert que pour un seul mot.

Lequel et quelle touche ?

Alors, est-ce que ce serait pas la touche pour mettre une majuscule sur le premier mot ?

Non, ça, souvent, on est obligé d'appeler sur une touche.

Et ça, ça peut marcher pour plein de mots, puisque vous avez plein de mots.

Ah, c'est sur un seul mot ?

Ah, c'est la touche, c'est la touche, la touche pour dire au secours.

Comment ça ?

Et bien, par exemple, vous êtes sur votre ordinateur et, tout d'un coup, vous vous sentez mal.

Oui.

Et là, vous êtes tout seul, vous appuyez dans la touche pour dire au secours et vous avez les...

Ah oui ? Et c'est quoi cette touche ?

Je comprends que vous n'alliez pas aller au restaurant avec elle, Bernard.

Je suis pas fou, hein.

Est-ce que c'est un mot... Est-ce que la touche est utilisée dans d'autres langues ?

Ou c'est un mot...

Ah non, c'est français, monsieur. C'est Dieu.

Le tréma, mais le tréma, il en a beaucoup.

Non, pas le tréma, j'avais...

Et effectivement, le tréma, on a ça dans beaucoup de mots.

Là, effectivement, j'avais jamais pensé à ça.

Et je dois dire, je vais citer mes sources,

que c'est dans l'Allemagne de Cyril Ferro, notre confrère,

que j'ai trouvé cette petite information, c'est fou.

Mais les claviers français proposent une touche,

pourtant qu'un seul mot utilise quel mot et quel touche.

C'est un juron ? C'est un juron ?

Bah ça y est, j'ai compris, en fait.

La première fois, j'avais pas compris.

Est-ce que c'est pour le mot pi, de la lettre pi ?

Non, pas du tout.

Est-ce que c'est un accent ?

Est-ce que ça marche pour un stylo ?

Alors, comment ça, est-ce que c'est un accent ?

Est-ce que c'est quelque chose qu'on mettrai au-dessus d'une lettre ?

Non, justement.

C'est une lettre unique.

C'est en-dessous.

Alors, je suis obligé de vous répondre, oui et non.

Alors, est-ce que c'est pour coeur ?

Non, coeur, non.

Le O, E. Mais c'est un truc de ce genre-là.

C'est un truc de ce genre-là.

C'est pas pour la rebase.

La rebase, non.

Ouais.

Est-ce que c'est dans un jargon particulier, comme par exemple...

Non, non, non. C'est en français, monsieur.

Non, non, mais ce que je veux dire, c'est que...

Est-ce que ça serait, par exemple, pour la marine ou pour...

Ah non, non, non. C'est un mot qu'on utilise tous et tout le temps.

Est-ce que si on l'écrit, on peut deviner ?

Ah, bah alors, tout de suite !

Non seulement, vous pouvez deviner, mais vous saurez comment trouver la touche.

On l'a tous utilisé, cette touche.

Tout !

Mais non !

Est-ce qu'il faut l'utiliser avec, en même temps, qu'une autre ?

Ah bah, si.

Attention.

Non, non, non.

La touche, c'est que pour une lettre.

Mais vous êtes obligés de toucher une autre touche pour faire le mot.

Mais cette touche-là, cette lettre-là ne sert qu'à un seul mot.

C'est ça que je vous dis.

Et donc, Laurent, c'est pour la première lettre de ce mot, du coup.

Non, même pas.

Le CCD ?

Le CCD, non.

Le CCD sert à plein de mots.

Il y a plein de mots avec le...

Ça va aider les autres.

Il y a plein de mots avec l'espérance baisse de son.

Même en baisse, il y en a plein.

Elle est bien question de Cyril Ferrand.

Ouais, ouais.

Et c'est un mot courant ?

Un mot courant ? Ah, mais pourquoi ?

Il y a des questions si dures dans tout le bouquin.

Est-ce que c'est une...

Plus courant, ça existe pas.

Ah, bonjour !

Ah bah oui, bonjour.

Alors, quelle touche vous utilisez ?

Laurent, il y a combien de sigles ? C'est un mot court ?

C'est un mot court.

C'est un anachronyme ou c'est vraiment un mot ?

C'est pas un anachronyme, non, c'est vraiment un mot, mais un mot.

Attention, la touche, elle n'est valable que pour une lettre du mot.

Sauf que cette touche-là n'existe que pour ce mot-là.

Et c'est pas la première lettre du mot ?

Non. C'est plus tard, dans le mot.

Comme vous dites.

Mais tu répètes sur la même question, ça.

Ça fait pas avancer le truc.

Ils vont s'engueuler.

C'est vrai que j'arrive.

J'essaie de comprendre, Rachel.

C'est très compliqué.

C'est le Z.

Le Z, il y a plein de mots avec un Z.

Alors, ma question est très simple.

Et vous allez voir que dans 30 secondes,

on aura sûrement la réponse dans la salle.

C'est plus de lettre arabe.

Pas du tout, monsieur.

Vous dites que ça sert pour ce mot-là.

C'est brillant.

Le mot-là.

C'était bien.

Aïe, aïe, aïe, aïe.

Qu'est-ce que ça fait ?

Qu'est-ce qu'on se marre ici ?

Je pense qu'on va se dire qu'on est cons,

à mon avis, quand on va avoir la réponse.

Ah ben ça, oui.

Je suis déjà en train de me le dire, moi.

Il n'y a pas plus ça, plein comme question,

mais c'est vrai que vous n'y pensez pas.

Et en fait, on ne le sait pas,

on ne s'en est pas rendu compte

que cette touche-là ne sert que pour un seul mot.

Et dans 10 secondes, à peine.

Regardez, les mains se lèvent dans le public.

Monsieur Ferrari, vous les bien, vous jetez dans le public

et essayez de trouver la réponse pour 100 euros de plus.

Stéphanie Lebriel a déjà...

On va prendre un jeune du premier.

Stéphanie Lebriel a touché un check et a tel de 300, déjà.

Comment vous vous appelez ?

Alexandre.

Vous faites quoi dans l'avis, Alexandre ?

Je suis chercheur.

D'accord. En quoi ?

En histoire.

Ah ben voilà.

Est-ce qu'il va trouver le chercheur ?

Votre réponse, Alexandre.

C'est le U avec un accent pour faire le mot O.

Exactement.

Bonne réponse, monsieur.

Parce que là, vous dîtes qu'il y a une touche

qui nous donne le O U avec l'accent direct.

Non, non, non.

Le U avec l'accent.

Mais vous avez...

Je ne comprends rien.

On va faire une question sur le lapin à la moutarde

et puis comme ça, voilà.

Et je vous ai aidé en vous disant qu'en ton allemand,

on sait comment trouver la touche.

Où ?

Où ?

Ah !

Mais alors, pourquoi ?

Pourquoi cette touche ?

Ça, alors là...

Ah !

Eh ben, ça, le part de Cyril Ferro,

il n'a pas étudié la chose.

Ah !

Le livre du jour s'appelle Le dernier ramence.

C'est signé Oscar Lalo aux éditions Récamier.

Je dois dire, c'est un ouvrage très original

et très particulier parce que c'est une série,

on peut dire, de lettres adressées à notre terre,

à notre planète.

Et l'auteur tutoie d'ailleurs la planète

qu'il voudrait à sa façon sauver en nous alertant

à travers ces différentes lettres.

On en discutera avec Oscar Lalo dans un instant.

Le dernier ramence, et nous, en fait,

le dernier ramence de la Terre en quelque sorte.

Je sais pas si vous avez bien compris, c'est assez joli.

Et d'ailleurs, il compare la Terre à une femme,

comme si cette Terre, on l'a mal traité.

Ça, c'est pas nouveau.

Il lui adresse des lettres pendant tout un livre,

puisque c'est un livre très écolot.

On demandera à Oscar Lalo, s'il est écolalo en quelque sorte.

Mais justement, une question culturelle,

avant de parler avec l'auteur,

puisque en épi...

Oui, en épi...

Epistémologie ?

Non.

En épi-parme ?

Epi-génétique ?

Epigraphe, ce qui n'est pas la même chose.

C'est pas du tout la même chose.

J'allais vous le dire.

Il y a que des gens qui ne s'entendent pas aujourd'hui.

En épigraphes de ce livre, ce qui veut dire, en fait,

vous avez le sourire, il y a une citation au début du livre,

c'est ce qu'on appelle l'épigraphe, une épigraphe.

Eh bien, l'auteur a choisi ces quelques phrases

que je vais vous lire.

Il ne suffit pas de changer le monde,

nous le changerons de toute façon.

Il change même considérablement sans notre intervention.

Nous devons aussi interpréter ce changement

pour pouvoir le changer à son tour,

afin que le monde ne continue pas ainsi

à changer sans nous

et que nous ne nous retrouvions pas à la fin

dans un monde sans homme.

C'est signé d'un philosophe qui s'appelle,

qui s'appelait Gunther Anders,

et ce philosophe a été le premier époux de Kidon.

Il a écrit l'obsolescence de l'homme, ce monsieur.

Exactement, bravo.

Effectivement, et d'ailleurs, ce texte que je viens de lire

est extrait de l'obsolescence de l'homme.

Marie Curie.

Marie Curie, non.

Il était marié en Allemande ?

Oui, une Allemande, oui.

Marlène Dietrich, non.

Une Allemande qui est elle aussi, il faut bien le dire.

Écrivait.

Ah, non seulement écrivait, mais était,

à sa façon, philosophe, polytologue, journalaire.

Anna Rent.

Anna Rent.

Anna Rent.

Bonne réponse de Rachelle Kahn.

Ça, c'est de la culture.

Bravo, Rachelle.

Bonjour, Oscar Lalot.

Bonjour, Laurent Ruequier.

Alors, est-ce que vous êtes écolo à ce point,

parce que là, vraiment, on ne peut pas en douter

à la fin de ce livre,

à travers les différents messages, différentes lettres.

Je ne les ai pas comptés.

Combien y en a d'ailleurs ?

Je ne les ai pas comptés non plus,

mais écolo, si je n'étais à aucun endroit de l'environnement,

donc...

Ah oui, quand même.

...de façon d'être écolo, quand même.

Donc, c'est quelque chose qui vous tient à cœur.

Et effectivement, l'idée, c'est de tutoyer cette planète.

Planète qui a m'en donné, d'ailleurs, vous répond,

ou nous répond, parce qu'au fond,

c'est à tout le monde que s'adresse la planète.

Tu seras mon dernier amant, quand mon corps ne vaudra plus rien.

D'où le titre de ce livre, le dernier amant.

Et vous avez trouvé cette façon de tutoyer la planète.

Tutoyer la planète, au fond, c'est déjà un peu la négliger, non ?

Ou c'est s'en rapprocher.

C'est-à-dire que pour écrire ce livre, j'ai lu des dizaines

et des dizaines de livres.

Et là, je me suis dit, quelle langue pourrait nous prendre au trip ?

Et aujourd'hui, où on reconnaît enfin les violences faites aux femmes,

on y est sans film.

Mais on n'est toujours pas apparemment tellement sensibles

aux violences faites à la terre.

Et en adoptant cet angle double,

ou souvent, on ne fait pas si le narrateur s'adresse à sa femme ou à la terre,

voilà, j'ai vu le pari qu'on allait être plus impliqué.

Il y a des blagues dans le livre.

Je ne vous sens pas optimiste, en tout cas, Oscar Lalot.

Quelqu'un a compté pour vous, d'ailleurs.

C'est 250 formes différentes.

Vous auriez fait, d'après Elyr magazine,

vous auriez fait 250 lettres, 250 messages différents à la planète.

Et c'est vrai que c'est intéressant parce que vous défendez même ceux qui sont parfois,

qu'on appelle les activistes, ceux qui balancent des choses

pour se faire remarquer sur certaines toiles dans les musées.

Vous dites après tout, ils sont coupables de rien

parce qu'il y a une vitre, c'est juste pour attirer l'attention.

Oui, surtout, on dit qu'ils servent à rien.

Et je trouve qu'on est très condescendants par rapport à eux.

Parce qu'en fait, ils essaient de nous réveiller, de nous éveiller,

ce que fait aussi la littérature.

Et on est là, on dit, et même tous les journaux de gauche,

qui devaient être un peu progressistes, les soutenir,

non, non, ils nuisent à tout, ils allaient dégager, ils touchent à l'art.

Alors qu'ils sont là, il faut...

J'ai reproduit, d'ailleurs, ce que cette fille dit de 19 ans,

dans cette toile de Van Gogh, ça fait sens.

Et ils disent, vous savez, on est pressés, quoi.

Et alors, on dit que ça sert à rien, sauf qu'on en a parlé dans le monde entier.

Évidemment, effectivement, à chaque fois,

surtout quand on attaque un Van Gogh,

je ne sais plus si tu es avec de la purée ou de la sauce tomate.

La soupe.

De la soupe, effectivement.

Mais sauf qu'effectivement, on attaque sans attaquer,

puisqu'au fond, l'œuvre ne sera pas spoilée,

puisqu'il y a une vitre.

Voilà, tu ne comprends toujours pas que ces petits prophètes,

comme tu les nommes sans que je sache si c'est par mépris ou par admiration,

tu ne comprends pas qu'ils représentent eux aussi un patrimoine de l'humanité.

Bientôt, dans un autre musée, ils s'en prendront à une nature morte

quand il sera vraiment trop tard,

quand il n'y aura plus de tomates pour notre soupe, ni de pommes de terre,

pour notre purée.

J'en ai lu des écolos, mais écolos, à ce point-là, vous, faites fort, quand même.

Mais écoutez, Joseph, je pense à quand même compliment.

Ça veut dire qu'en fait, je conseille tout, franchement, votre livre.

On peut prendre une page au hasard,

la donner un écolos sur un plateau avant un débat,

et il peut se servir à peu près de chaque page

pour débattre avec qui que ce soit et essayer de défendre la planète.

C'est un peu ça, le but ?

Moi, je ne suis pas militant, je ne suis pas activiste,

mais je trouve que le catastrophisme, la culpabilité,

c'est soit éco-anxiogène, soit sclérosant,

mais on a tous besoin de faire quelque chose.

Comme vous le faites, on peut faire quelque chose au niveau privé dans sa vie,

et on peut faire quelque chose avec son métier,

et en m'interviewant, c'est ce que vous faites.

Et bien écoutez, voilà.

Dans l'environnement, à un moment où il y a actualité,

nous a très, très, très peu la parole.

Moi, je vous félicite, monsieur.

Je vais offrir votre livre, le dernier amant à Valérie Mérez,

c'est Signes Carlalot, qu'on avait au téléphone.

Un mot quand même sur le fait que vous ayez choisi effectivement

ce philosophe Gunther Anders,

puisque j'ai fait ma question là-dessus, en préambule.

Je vais l'aider dans mon esprit,

puisque j'allais féliciter Rachel Kahn,

parce qu'ils ne sont pas nombreux à ce qu'ils savent

que Gunther Anders était le premier marie d'Anna Arendt.

C'est un grand penseur.

C'est vraiment deux livres que je recommande qui sont tout fus,

hardus, mais si on a le temps, on peut les lire comme Anna Arendt.

L'obsolescence de l'homme, c'est le titre, effectivement, de l'essai.

D'où vous avez tiré votre épigraphe.

Merci, Oscar Lalot, le dernier amant, chérie Camille.

C'était le livre du jour.

Une question pour Roselyne Laurent, qui est bécrotée dans l'un.

Ca vous fait rire, crotée, vous alors.

Le public aujourd'hui, alors.

C'est vendredi.

Il est comme nous.

Tu leur dis crotée, rigole.

On ne sert plus à rien.

J'ai l'impression que c'est mon public.

Mame Laurent de crotée.

Dans la espérachèque RTL.

Où trouvent-on le plus souvent des surfaces podotactiles ?

Dans les terrains de jeu pour les enfants.

C'est-à-dire ?

Pour pas qu'ils se fassent mal, c'est un peu mou.

Non, non, non.

Les surfaces podotactiles, ça veut dire ce que ça veut dire.

Les pédiluves.

Non, non, ce ne sont pas du tout des pédiluves.

C'est sur certaines machines de sport.

On peut contrôler.

Non, non, non, non.

C'est pas ça, la surprise.

On les trouve tous.

On les trouve vous.

Ne vous montez pas.

Afin de dire que je suis vieux.

Il faut agir quelqu'un qui écoute l'émission

pour la première fois aujourd'hui.

On ne va pas gagner à l'auditeur.

Tout le monde est en vos livres.

On les trouve vous.

Attendez, attendez, je vais essayer de crotée.

On les trouve vous.

Ah, c'est quand on peint avec les pieds ?

Non, pas pas avec les pieds.

On est d'accord que c'est utilisé.

Une surface podotactile.

On utilise une technologie avec les pieds comme un décontactile,

mais avec les pieds.

Ça n'a rien à voir avec les pieds ?

Oui.

C'est des escalades.

Pardon.

Non, où trouvent-on essentiellement les surfaces podotactiles ?

Dans les piscines ?

Non, dans les tongues ?

Non, non, non.

Dans les tongues.

C'est dans une maison ?

On lui dit oui.

La réponse est folle.

Dans une maison ?

Dans les tongues ?

Dans les maisons ?

Non, c'est plutôt dehors quand on trouve des surfaces podotactiles.

Dans les allées pour pâques à glisse quand il y a de la neige ?

C'est pas pour pâques à glisse.

C'est pour pâques à dérapes ?

C'est sur les pâtes y noires pour que ça glisse.

Les passages piétons ?

Ah, ça glisse les pâtes à glisse.

Et notamment...

Oh, je sais, c'est pour les personnes aveugles pour traverser les pâtes à glisse.

C'est leur réponse de Rachael Cahner et de Jérémie Ferrari.

En prou.

Les piétons atteint d'une déficience visuelle, évidemment, sont friands.

Enfin, friands, je pense, ils sont friands.

Ah, si, ils adorent ça.

Bah, ils partent pas, ils pourront aller vers tout.

C'est même un problème, parce qu'ils font la queue pour y aller.

J'ai vu des gens se crever les yeux, vous voyez.

Ils ne peuvent pas être compris, moi.

Je veux dire, friands, ils sont...

Vous voulez tellement mettre de l'intention partout ?

Ils sont contents, ils sont contents.

Ah, ils sont contents, ils sont contents.

C'est au-delà, c'est au-delà.

Ils sont contents, ils sont contents.

Ils n'en croient pas, leurs yeux !

Les surfaces podotactiles permettent effectivement aux piétons

atteint de déficience visuelle, aux aveugles, nous voyons,

de se déplacer de manière autonome,

parce qu'à travers où leurs chaussures, leurs pieds ou leurs cannes blanches,

ils vont effectivement pouvoir toucher cette surface podotactile.

Ils se déplacent rarement pieds nus, quand même, dans la rue.

Et ça éveille, évidemment, leur vigilance à l'équipe.

Le chien est pieds nus.

Ça me rappelle cette histoire, tiens.

Il y a longtemps que je ne l'ai pas raconté, Bernard.

Racontez-là, Laurent.

C'est un aveugle avec son chien, et ils sont là,

et ils attendent pour traverser, et le feu passe au verre.

Le aveugle ne traverse pas, le chien, non plus.

Il attend, le four passe au rouge, pire passe au verre,

ça y est, le chien ne traverse toujours pas.

Il y a quelqu'un qui observe de l'autre côté,

c'est un commerçant qui est sur le pas de sa porte,

et conce l'abradeur, il ne fait jamais traverser son aveugle.

Et ça passe comme ça pendant trois ou quatre feux verts.

Alors, on va donner le commerçant, traverse,

et puis il va voir l'avogle, le non-voyant,

et il dit au non-voyant, bah, écoutez, votre chien,

il aurait pu vous faire traverser déjà trois ou quatre fois.

Il est nul, votre chien.

Et là, alors, évidemment, l'avogle sort un sucre de sa poche,

et il donne un sucre au l'abradeur.

Et le gars dit, enfin, vous récompensez votre chien,

alors qu'il n'est même pas capable de vous faire traverser.

Et là, l'avogle, il dit non, c'est juste pour savoir de quel côté

je vais lui mettre un coup de pied au cul.

Elle est mignonne !

Eh ben, vous allez vous dire où ça se passait,

ça se passait sur une surface podotactile.

Ah ben, voilà, hein.

Voilà, et c'était un japonais qui s'appelle Shishimiyake,

qui, en 1965, a inventé ses surfaces podotactiles.

Dans la ville d'Okayama,

c'est là où, pour la première fois, on a vu ses surfaces.

C'est vrai que c'est plutôt...

Mais même pour nous, d'ailleurs,

ils devraient en avoir plus souvent des...

Ils devraient en avoir, ils vous diront,

devant les plaques d'égout.

Moi, je suis tombé deux fois de suite.

Il n'y a pas du glissant qu'une plaque d'égout.

Ah, d'accord.

Notre jour, je suis tombé deux fois de suite.

Dans un égout, vous êtes tombé deux fois dans un égout ?

Non, le même.

Ah oui, vous avez glissé.

Non, justement, pas la même plaque.

Je vous jure, j'avais honte parce que les gens me voyaient,

et dans ce cas-là, on est toujours un peu honteux.

Voici, voici.

J'avais mis des chaussures qui glissaient, sûrement,

j'en sais rien, je promenais mon chien.

Vous auriez glissé sur une surface podotactile,

personne ne vous aurait vu.

Première plaque d'égout, ils tombaient des cordes.

Première plaque d'égout, et paf !

Je m'arrive...

Le chien n'a pas glissé.

Le chien l'a laissé d'un côté.

Vous lissez vite.

Je me relève.

Là, je vois qu'il y a un autre car qui m'a vu glisser par tête.

Et ils se sont marrés.

Oui.

Là, j'ai envie de...

Je reprends ma dignité très vite en trois secondes.

A peine je reprends ma dignité.

Mon chien, mon téléphone qui avait jiclet,

que sur une deuxième plaque d'égout,

il n'y a pas 30...

Je vous jure, il n'y a pas 30 secondes qui se sont passées

entre les deux plaques d'égout.

Il ne faut pas habiter noyé.

Ce n'était pas du tout à noyé.

Je me demande si on ne passerait pas à une autre question.

Oui, voilà, voilà.

Là, on a fait le tour.

Qu'est-ce qui est blanc depuis 1930

et qui n'existait pas en blanc avant ?

Les bandes, les surfaces podotactives.

Non.

C'est pour Pascal Petoux qui habite la riche

et c'est une question d'actualité, d'ailleurs.

Monsieur Petoux habite dans l'Inde,

et Loire, il espère un chèque RTL.

Avant 1930, il n'y en avait pas de blanc.

Dans la cuisine ?

Comment ça dans la cuisine ?

Maintenant, il y a beaucoup de choses blanches dans les cuisines.

La cuisinière, le four, les choses comme ça.

Et avant, c'était pas blanc.

Oui.

Moi-même, j'avais un doute.

Elle part pas du personnel de cuisine, Rachel.

Il faut pas mal le prendre.

Ah non, Rachel.

Oh non.

Avant, vous voulez dire, avant, tous les domestiques étaient noirs ?

On aurait eu peur de ça, à un moment.

Mais non, je parlais.

Je parlais.

Ce serait pas...

Des électroménagers de...

Ce serait pas mes cheveux.

Avant 1930, il n'était pas blanc.

On avait raison.

Bonne réponse, cette dernière mignonne.

Est-ce que c'est sur la voie publique ?

Si vous le laissez traîner sur la voie publique.

C'est un vêtement professionnel.

Ah, les moussoirs, les moussoirs.

C'est pourtant très facile, très simple.

C'est peut-être les slips, non ?

Ah, vos slipés.

Moi, j'ai du vieux kangourou.

Attendez, c'est un objet du quotidien ?

Non, c'est pas un objet.

Ah !

Est-ce que c'est quelque chose qu'on prend quand on sort de chez soi ?

Si on en a l'usage, mais pas forcément.

Le parapluie, quand il pleut.

Non, non, non, non.

Il n'y en avait pas de blanc avant 1930.

Est-ce que ça se mange ?

Ça se mange, oui, monsieur.

Ah, le chocolat !

Le chocolat ! Bonne réponse de Père Larmaby.

C'était tout simple.

Et pourquoi 1930 ?

Parce que là, on s'est rendu compte dans les années 1930.

On s'est rendu compte qu'on avait un excès de cacao,

de bords de cacao, un surplus de bords de cacao.

On savait pas quoi en faire chez Nestlé.

C'est Nestlé qui a inventé le chocolat blanc.

On s'est dit, ben tiens, on va inventer quelque chose de neuf

avec le surplus.

On va faire du chocolat blanc.

Avant 1930, le chocolat était évidemment noir, marron,

tout ce que vous voulez, mais pas blanc.

Le chocolat blanc n'existe que depuis les années 1930.

C'est le salaud du chocolat en ce moment.

Voilà pourquoi la question était d'actualité.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Avec Cristiano Crenz,

Hachel Kahn, Valérie Mairest, Alex Vidorek, Père Larmaby et Jérémie Ferrari.

Une question pour David Lemercie.

Monsieur Lemercie habite Montreuil et la question concerne quelqu'un

dont je vais vous demander, évidemment, de retrouver l'identité.

Quelqu'un qui avait 15 ans, quand son père l'a abandonné

sur, on va dire, le parking d'une station-service.

Il dit, voilà, on est monté dans la camionnette.

Et puis après quelques kilomètres, mon père s'est arrêté dans la station-service

pour prendre de l'essence.

Et au moment de repartir, il m'a dit, toi, tu descends

et tu appelleras ta mère pour rentrer.

Et puis il est parti.

De qui s'agit-il ?

T'as un héros de livre.

Comment ça, un héros de livre ?

T'as un héros de livre.

Non, c'est pas héros de livre.

C'est une histoire vraie ?

C'est une histoire vraie.

C'est un acteur ?

Un acteur, non.

Il vit toujours.

Il vit toujours, oui, oui.

C'est un homme politique ?

Et il raconte ça en disant que, au fond, ça lui a été plutôt utile.

Ah bon ?

Pourquoi il est dans...

Il travaille station-service maintenant ?

Non.

Il est sportif.

Non, mais il a un rapport.

Vous dites ?

Il est sportif.

Oui.

Français ?

Français ? Non.

Formule 1.

Formule 1 ? Oui.

Ah.

Un espagnol.

Un espagnol, non.

Le hollandais, là.

Comment il s'appelle ?

Ah, le champion du monde.

Il s'appelle Stapan.

Stapan, bonne réponse !

L'Alex Vizoret, qui est de la dernière Maby.

C'est rigolo parce qu'on connaît son père.

C'est Joss Verstappan, qui était un ancien champion de formule 1 lui aussi.

Exactement, et justement...

Pour former...

Exactement.

Pour former son fils, à l'époque où son fils faisait encore du karting, voyez-vous,

il dit, je me souviens d'une course en coupe du monde, à l'époque en catégorie à karting.

C'était en 2012, dans le sud de l'Italie.

J'ai fait le calcul, il avait 15 ans à ce moment-là, Max Verstappan, en 2012.

Et en Italie, je dominais l'épreuve, mais mon adversaire avait réussi à me doubler dans les derniers tours.

Pressé de le redoubler, j'avais alors tenté une manœuvre trop active et on s'est accroché.

Mon père était furieux.

On a remballé le matériel sans se dire un mot.

On est monté dans la camionnette.

Après quelques kilomètres, il s'est arrêté dans une station-service pour prendre de l'essence et au moment de me repartir,

il m'a dit, toi, tu descends.

Tu restes ici et t'appelleras ta mère pour rentrer à la maison.

Ah ouais, mais c'est pas le petit poussé, quand même.

Comment ça ?

Je pensais qu'il l'avait laissé à tout jamais.

Non, mais enfin, quand même, il laissait un mot, même à de l'essentien.

Il a fait la connerie qu'il a faite.

Il a fait une connerie énorme, rentré dans l'autre, alors qu'il allait gagner.

Il savait pas où était sa mère si elle était au toilette de la station-service.

Non, moi, je me mets à la place du fer.

Ils sont au Landais, donc c'est loin.

C'est quand même pas commun, quand même.

C'est pas commun.

On ne laisse pas un gamin sur un parking de station-essence.

On a envie de le faire, mais on ne le fait pas.

Il avait peut-être un coup de pompe.

C'est vrai, ça vous l'avez raison.

C'est pour ça que je ne suis pas fer.

Parce que moi, je y adorais un dans chaque station-service.

Et parfois, même dans l'été GV, on regrette qu'on puisse pas ouvrir les fenêtres.

En tout cas, Max Verstappan, qui est champion du monde avant même,

d'ailleurs, il y a un grand prix à Mexico, je crois, dimanche prochain,

mais qui donne rien.

C'est pas que je ne veux pas vous empêcher de regarder le grand prix,

mais c'est déjà fait.

Il est déjà champion du monde avant même la fin des grands prix.

C'est bien ça, monsieur.

Je comprends, mais je ne suis pas grand fan de formulae non plus.

Pourquoi alors, vous avez trouvé alors ?

Parce que j'ai une culture générale énorme et ça permet de répondre.

Alors, en tout cas, le bâtavre.

Le bâtavre est faux.

C'est le quoi ?

Le bâtavre.

Ah oui, pas le bâtavre.

Le bâtavre, oui.

Là, ça fait beaucoup.

Reste là, qui bâtard ?

La femme du bâtavre, c'est la betterave.

Verstappan.

Oh, j'essaye.

En tout cas...

Je ne peux rien essayer avec vous, on peut rien tenter.

Je tente, je tente.

Oh oui, vous tentez plus grand monde.

En tout cas, Verstappan a été élevé à la dure.

Voilà ce que je voulais vous raconter.

Ça en a fait quand même un champion du monde.

Mais c'est vrai que ce n'est pas très, très, très sympa après.

Évidemment, il faut savoir que Monsieur Verstappan,

puisque vous semblez connaître le père.

Manifestement, vous connaissez la femme.

Vous avez vu courir le père.

Vous avez vu courir en voiture ?

Oui, je l'ai entendu bien.

Quand je regardais la formule, les souhaites années 19, tout ça,

il était avec eux.

Et c'est assez rare qu'un sportif de haut niveau,

enfant, un sportif de plus haut niveau que lui.

Eddie Merks, par exemple, son fils est bon,

mais n'a pas le niveau de son père et ainsi de suite.

Zidane, ses enfants ne sont pas mauvais, mais ce n'est pas Zidane.

Et ici, c'est l'inverse.

Oui, parce qu'il l'a mal traité.

Il a déjà trois titres de champion du monde.

Je n'aurais pu le laisser dans un formula.

Ça a été plus confortable.

Jean-Luc !

Là, vous allez bien tenter, Verdun.

J'ai tenté, Laurent. Je tente.

Une sur deux.

C'était déjà bien une sur deux.

Et donc, Ferstappan, le père, Joss Verstappan,

il s'appelle Joss.

Je confirme ce que vous avez dit parce que...

C'est vrai que vous avez été journaliste sportif avant d'être humoriste.

Ah, vous l'avez fait, ça et tout.

Ah, oui.

Monsieur Videroy qui l'a commenté le football, les diables rouges et tout ça.

Oui, c'est un petit rire au long.

Exactement.

C'est notre petit rire au long à nous.

Belge, oui.

Et en tout cas, Joss Verstappan a été quand même condamné

pour violence conjugale aussi.

Ah, il a dit ça à un point.

Ah oui, d'accord.

Ah, il a dit, on va rejoindre ta mère, c'est-à-dire.

Oui.

Il est divorcé.

Ils sont divorcé maintenant, mais effectivement,

il a été condamné pour violence conjugale sur la mer de Max.

Donc...

Stappan, ça s'entend dans ce monde.

On va dire quand même que ce n'est pas un tendre.

Alors, je ne connais pas personnellement.

Moi, il ne m'a rien fait, mais...

Non, mais c'est...

Mais du coup, il s'entend de l'Opère Elfis ou...

Alors, aujourd'hui, je ne sais pas où ils en sont.

Et toi, qu'ils connaissent bien, d'où vient cette haine qu'il avait?

Comment tu l'expliques, ça?

En tout cas, ce n'est pas bien.

En tout cas, voilà.

Le Battaf est déjà champion du monde

avant le grand prix qui aura lieu à Mexico dimanche prochain.

Une question pour M. Youssef Hamal,

qui habite le Bourget en Seine Saint-Denis.

La question nous permettra d'avoir au téléphone

dans un instant Rémi Prier,

qui est fondateur d'un site internet,

site internet sur lequel il donne les résultats de ses tests

parce qu'il a testé...

J'imagine qu'à Paris, il a dû en tester une cinquantaine,

parce qu'il y en a une cinquantaine de ces lieux dans la capitale.

Mais de quoi s'agit-il?

Les pistes cyclables?

Pistes cyclables? Non.

Les piscines?

Vous ne donnez pas le nom du site internet

parce que le nom du site internet, évidemment,

donne le thème, le sujet.

Les malignes vaporetes?

Non, ça s'appelle...

Les rats, les rats.

...a.fr.

Les rats? Sérieux, ils testeraient les rats?

Les nids de rats.

Les nids de rats, la qualité du rêve.

Et ça veut dire qu'avant d'aller dans ces lieux...

T'as une plaque d'égout?

Non.

Avant d'aller dans ces lieux,

vous pouvez aller sur le site internet de M. Prier

et vous serez celui qui vous conviendra le mieux.

Les clavétions résidents.

Les barbiers.

Culturelles!

Alors ça c'est une vraie bonne question.

Je n'ai envie de dire plus ludique que culturelles.

Les escape games.

Les escape games!

Bonne réponse de Jeremy Ferrari!

Bonjour, Jeremy Prier.

Bonjour.

Votre site internet s'appelle escapegames.fr.

On ne peut pas faire plus simple.

Et vous avez testé des centaines d'installations un peu partout.

Je ne sais pas si c'est seulement en Île-de-France

ou sur toute la France.

Mais à Paris, j'ai vérifié parait qu'il y en aurait un tramurau

sur une cinquantaine.

Comme c'est déjà beaucoup.

Cinquante, est-ce qu'il y a des games dans Paris?

Non.

Alors c'est cinquante établissements.

Et chaque établissement va par exemple avoir plusieurs salles.

Donc sur Paris, on doit être aux alentours de cent cinquante salles,

cent cinquante scénarios différents.

Carrément alors.

De massages.

Du coup, si vous avez réussi à faire un site,

c'est qu'il n'y en a aucun qui est vraiment bon.

Puisque vous êtes restés coincés dans aucun.

Malheureusement, il y a plusieurs scénarios où

la rédaction a perdu.

Ah d'accord.

Donc on ne ressort pas toujours gagnant.

Mais de toute façon, le principal dans ce type de jeu,

c'est surtout de s'amuser.

Alors c'est 20 à 30 euros par personne à peu près

pour participer à un escape.

J'ai jamais fait un escape game.

Oui.

Ça va être vraiment dépendre de si on joue en région,

si on joue à Paris.

À Paris, les tarifs vont être plus élevés.

Mais on va être aux alentours de voilà.

Ça peut commencer à 20 euros et ça peut aller jusqu'à

50 euros par personne.

Ah oui quand même.

Est-ce qu'il y a un côté sportif parfois,

puisque mes camarades ont posé la question.

Il faut être sportif, non ? Il faut être plutôt malin ?

Non, non, non.

Pas besoin d'être sportif, c'est au contraire.

Dès qu'un maître du jeu nous accueille justement

pour nous présenter la salle.

La règle numéro 1, c'est pas de force.

Il ne faut pas tirer pour rien arracher.

Mais ça, c'est pour le matériel.

Oui, oui, mais pas besoin d'avoir une forme physique

particulière pour participer à ce type de jeu.

C'est de la réflexion, en fait.

Il faut être malin, il faut être cultivé parfois.

Pas forcément, parce que l'objectif,

normalement dans les bonnes salles,

on n'a pas besoin d'avoir de connaissances extérieures

en mit des connaissances rudimentaires comme Lire et Comté.

Oui, quand même.

Il n'y a pas besoin d'avoir de connaissances de culture générale.

La droite, la gauche.

Alors là, ça va être Halloween.

J'imagine que vous nous avez conseillés

sur votre site internet des escape games

qui font un peu plus sport que les autres, c'est ça ?

Oui, oui. On a façon un classement des meilleurs salles d'horreur

un peu partout en France, notamment à Paris.

Et surtout à Paris, on va trouver des expériences très différentes

entre des salles où vous allez vraiment vous faire malmener

et vous vous emmener à peut-être...

C'est vraiment une sur deux, Bernard.

Il y a des escape games où il y a des objets qui bougent,

où ça fait sursauter les corrida.

Mais c'est pas dans le noir, quand même, si, c'est dans le noir ?

On peut avoir, oui, dans le noir ou dans la pénombre.

Surtout pour des escape games qui font peur.

J'en vois un qui s'appelle l'abattoir, donc j'aurais pas envie de rentrer.

Vous voyez, avec son chien.

C'est sexuel ?

Non, non, malheureusement, le titre est vraiment au premier degré.

Personne n'en aura envie de sortir.

Et il faut quand même avoir le coeur bien accroché

pour arriver jusqu'à la fin avec les différentes interventions

d'acteurs pour faire peur.

C'est ça, c'est-à-dire qu'il y a un type habillé en boucher sans guinolant.

Il y a des gros crochets.

Il vous poursuit avec un hachoir, c'est ça ?

C'est un bon résumé.

Donc voilà, ce ne sera pas pour tous les publics, on va dire.

Il y a le palais de l'horreur.

Je vois Paris XIXe, il y en a un qui a l'air bien aussi.

Paris XIe, l'oste asylum, un asile psychiatrique désinfecté.

Non, non.

De toute façon, tout Paris, c'est une horreur.

On peut faire un scapeguette dans toutes les rues, à quel point.

Il n'y a pas de problème.

De toute façon, l'une des blagues préférées des gens

sur les réseaux sociaux, c'est le meilleur escapium de Paris.

C'est surtout le changement à Châtelet Léal.

C'était bon.

Est-ce qu'il est bien gratuit par la RATP ?

En tout cas, écoutez, pour ceux qui veulent tenter,

j'aimerais bien, une fois, essayer.

On doit faire des tas de trucs. On doit aller à la Rochelle.

À la Rochelle, on organise un escape-guerre.

J'attends toujours mon bowling et que vous me promettez...

Ah, j'adore le bowling.

...que vous me promettez depuis un an et demi.

Il y a bowling à la Rochelle !

Vous promettez des choses avec des gens

qui sont tous les jours différents, donc ça ne se fait jamais.

Il faut acter les gens et les noms.

Je ne vais pas tout le temps tout organiser, j'en ai marre.

Si vous faites de l'escapium à la Rochelle, je resterai à table.

Si tu fais l'escapium avec nous, même si la porte est ouverte,

on reste tous pointés.

Escapium.fr pour vous faire peur.

Le site internet de Rémi Prierre.

Merci, monsieur.

C'est vraiment la meilleure histoire.

C'est ce que se demande Varianna, qui habite à Douay.

Bonjour, Varianna.

C'est un prénom curieux d'ailleurs.

Où est-ce que vos parents sont allés chercher ?

C'est joli.

Varianna, rappelle-toi.

Que je me suis insintoie.

Varianna.

Alors, Varianna, ça vient d'où ?

C'était une ville de Byzance, apparemment.

J'espère que ce sera Byzance pour vous.

Je vous propose un séjour d'une semaine pour 4 personnes.

Il y a 158 destinations possibles.

Vous aurez le choix.

Vous choisirez la mer, la montagne, la campagne.

Tout est possible chez Pierre et Varianna.

Dans tous les cas, tout équipé, tout confort.

Une semaine pour vous, Varianna,

condition de miser sur la grosse tête qui fera le plus rire avec sa blague.

Voulez-vous qu'on enquête ensemble, Varianna ?

Oui, c'est l'autre.

Quelle genre d'histoire vous avez-vous aujourd'hui ?

Je ne sais pas pourquoi, c'est une histoire de petite vieille.

Mais lui, on sait pourquoi.

Mesdames et messieurs, c'est la vôtre.

Moi, j'ai une histoire de petits oiseaux.

De petits oiseaux, Bernard.

C'est une histoire qui me gêne parce que je la trouvais un peu misogine.

C'est Bernard qui a gagné.

Jérémy, Ferrari.

C'est une histoire de bureau.

Très drôle.

Je suis hyper content, c'est la première blague que je vais raconter aux grosses têtes.

C'est sur un chien savant.

Et vous, Rachel ?

Moi, c'est une histoire d'amant.

A votre avis, qui fera le plus rire, Varianna ?

Je vais miser sur Jérémy Ferrari.

Oui, oui, oui.

C'est du sur.

On va commencer par Valérie Mérisse.

Une petite vieille pas chercher sa copine pour aller à la messe.

C'est une journée magnifique,

mais elle constate que son ami emporte son part à pluie.

Elle dit, comment tu sais qu'il va pleuvoir ?

Ce matin, quand je suis partie, le zizi de mon mari penchait à gauche.

Ça veut dire qu'il va pleuvoir.

Ah bon, ici, il penchait à droite.

Ah bah là, ça veut dire qu'il fera beau.

Et s'il reste au milieu, bah là, je vais pas à la messe.

Elle l'a bien raconté.

C'est un peu efficace.

Monsieur Vizorek, puisque vous avez l'air passion.

Moi, j'étais préparé.

J'avais une blague que j'ai depuis moitié du mois de juillet.

J'ai l'occasion de la placer aux grosses têtes sur la plage, j'aime beaucoup.

C'est un type qui rentre dans un bar

et il voit un mec qui discute avec un chien.

Avec son chien, il s'approche et en tant que sa cause et tout,

il dit, excusez-moi, c'est très étrange.

Le chien parle et le chien se retourne.

Il dit, non, excusez-moi, non, ça va.

J'ai mon bac, il dit le chien, le bac.

Mais enfin, excusez-moi, on est en train de parler géopolitique

parce qu'après, j'ai fait d'Ena

et il regarde et il surprise

et l'autre à côté, quand tu t'as picolé,

il dit, après, je suis rentré au Quai d'Orsay

et c'est pour ça que je suis en train d'expliquer un petit peu

parce que je suis sur le dossier,

le Proche-Orient ou ça, à priori, je vais la trouver

cette solution entre Israël et la Palestine.

Et le gars, il dit, vraiment, il parle.

Excusez-moi, je suis pas sympa de ma part,

de ne pas vous avoir cru, il vous intéresse ?

Oui, enfin, non, je vous le vends pour 20 euros.

Pour que vous le vendez 20 euros,

c'est un menteur.

Allez, Jolie,

je suis réaliste.

Madame Rachael Khan est demandée au Parloir.

Oui, un couple d'amourux illégitimes

digne au Chandel

dans l'appartement de la dame.

L'homme demande, ton mari ne risque pas de rentrer,

ça m'embête, tu sais, parce que c'est quand même mon meilleur ami.

Donc, la femme répond,

non, mais ne t'inquiète pas, on a encore une bonne heure.

A ce moment-là,

le téléphone sonne, la femme décroche

et on l'entend dire,

oui, mon chéri, non, non, ah, d'accord.

Ok, bien sûr, alors, à tout à l'heure,

elle revient à table et son amant demande,

c'était lui ?

Oui, oui, mais ne t'inquiète pas, on en a encore pour une bonne heure.

Il fait une partie de billard avec toi.

Si, si, c'est bien.

Logite.

Madame Christine O'Crent.

Un type élève des pigeons voyageurs.

On dirait Pierre Belmark.

Ah, c'est vrai.

On dirait qu'on va rencontrer la légende,

la légende d'un truc.

Un gars lui demande,

et celui-là, c'est un pigeon que j'ai croisé

avec un pivot.

Et ça donne quoi ?

Il apporte toujours des messages,

mais en plus, il frappe à la porte.

Ah bah oui, elle est jolie.

C'est mignonne.

Ah, savez-vous pourquoi les cercueils des blondes

sont triangulaires ?

C'est parce que dès qu'on les met dans le noir,

elles écartent les jambes.

Oh, mais elle était pas divise de gine que ça ?

Franchement.

Elle est juste de les juses vulgaires.

Elle est juste de les juses vulgaires.

Ah, ça complète le portrait.

C'est fait comme la tour Eiffel, alors.

Jérémy Ferrari.

C'est sur vous, Jérémy que Pariana a misé.

Elle a encore ses chances.

Je vais essayer de bien l'avant.

C'est dans une boîte, il y a un jeune employé.

Il vient vraiment d'arriver, ça fait vraiment...

C'est son premier jour, il arrive dans son bureau.

Il joue un peu avec le téléphone.

Il y a plein de boutons pour appeler les collègues.

Il appuie un peu au hasard sur un des boutons.

Il y a une femme qui décroche de l'autre côté.

Lui, il se lance.

Il y a des petites fesses pour monter un café.

Et plus vite que ça, ma poule.

La fille de l'autre côté, elle dit...

Mais oh, espèce de crétin, tu sais à qui tu pas.

Je suis la directrice générale de cette boîte.

Et là, le mec, il se démontre pas, il fait...

Ah ouais, et toi, connache, tu sais à qui tu pas ?

La fille, elle dit, bah non.

Et bah, il dit, bah tant mieux.

Quel succès, quand même.

Il est bien joué.

Je dois remercier Laurent, qui m'a donné un petit cours

parce que je sais pas bien comment la vendre.

Et il m'a dit, il vient par ici, il va donner un petit cours.

C'est vrai, j'ai mis en scène la blague.

Vous en avez une autre, je peux lire celle que je vous avais donnée,

parce que vous auriez que vous m'accordez.

Et vous m'aviez donné une blague belge ?

Oui, parce que je l'aime bien, cette blague blague, elle m'amuse.

C'est deux Français qui partent en Gauguette à Bruxelles.

Ils veulent aller dans le quartier, je sais pas s'il y a un quartier des prostitués à Bruxelles.

La ruine d'archicottes.

Ah oui.

Avant, tu connais ?

Ben, c'est derrière la garde du Nord.

Et donc les deux Français, comme ils savent pas où se trouve ce quartier à Bruxelles,

ils demandent à deux belges s'ils peuvent les accompagner.

Alors les deux belges, c'est bien sûr, nous aussi, ça tourne bien, vous les regardez.

Vous voyez, c'est pour ça que je voulais pas la faire.

Les deux Français sont à l'avant de la voiture,

et les deux belges montent à l'arrière.

Ils arrivent enfin dans la fameuse rue.

Par scottes.

Et là, il y a une prostituée, alors le Français à l'avant baisse sa vie,

traite et demande, c'est combien ?

Et la prostituée dit 50 euros de vent et 100 en derrière.

Et les belges disent, je vois pas pourquoi on peut réplucher.

Deux questions culturelles, avant l'invité du jour.

D'abord, pour Mme Nevers, qui habite Compiègne,

retrouver le nom d'un artiste, un artiste peintre.

Et justement, on parlait tout à l'heure de la touche U avec un accent sur le U,

qui ne sert qu'au mot O.

Et bien, cet artiste, on l'ignore parfois,

mais son nom n'a pas d'accent,

et pourtant, on en met toujours un.

De quel artiste s'agit-il ?

Ruben.

Ruben...

Rubens.

Rubens, où les vieux ?

Je l'ai lancé un peu au hasard, un peu climatique.

Oui, au hasard, la Rubens, tu peux dire Rubens.

Voilà, Rubens, vous voyez qu'on peut dire Rubens.

C'est pas Rubens.

De quelle période, Laurent ?

Aidez-nous un petit peu.

On est au XIXe siècle, il est mort début XXe,

et c'est vrai qu'on met toujours un accent à son nom,

alors que, normalement, il n'y en a pas.

Il est français, un français ?

Un peintre, j'ai bien dit un peintre.

Un peintre français.

Monet.

Monet.

Monet, vous mettez un accent, vous, un monet ?

Ben, j'en mets pas, parce qu'il n'y en a pas, mais...

Je suis toujours tenté.

Alors là, que je peux...

Alors, là, je peux vous dire qu'en revanche, lui,

il y a toujours un accent.

Et d'ailleurs, là, dans Télérama,

je vois un livre qui lui est consacré par Marie-Hélène Lafon,

une biographie à sa façon.

Marie-Hélène Lafon se met dans la peau du peintre.

Et effectivement, ils ont mis un accent au peintre.

Père non léger ?

Léger, non, alors que, normalement, on ne met pas d'accent.

C'est sur un A, c'est sur une moyenne.

Un accent aigu, si vous voulez que je sois précis.

Il s'agit d'un accent aigu.

Donc c'est sur un E ?

Oui, sur un E.

Il y a une grande expo en ce moment qui lui serait consacré ?

En ce moment, je crois pas qu'il y a une expo,

mais en revanche, je vous dis, il y a un livre, là, qui sort.

Il est très, très, très connu.

Oh, là !

Je peux le connaître.

Oh, là !

C'est un des plus connus en France.

Et c'est vrai qu'on met toujours un accent aigu,

alors que, normalement, il n'y a pas d'accent aigu.

Voilà. Mais c'est une coutume qu'on a pris avec le temps.

Et...

Courbet, courbet.

Courbet, s'il y a un thé à courbet.

Toujours le thé.

Je tente.

Gustave Courbet, vous parlez de Gustave Courbet ?

Oui, oui, oui.

Parce que Julien peint très mal.

Doré, Gustave Doré.

Ah, Gustave Doré ? Non, non.

C'est pas Gustave Doré.

Il n'est plus connu, il est plus connu que Doré.

Il est beaucoup plus connu encore, oui, bien sûr.

C'est un des plus connus, un des peintres français,

les plus connus, sur lequel on met toujours un accent,

alors que, normalement, il n'y en a pas.

Picasse.

Écoutez, il n'y a pas plus simple comme question,

surtout en présence de quelqu'un dont on va dire

la peinture et la spécialité.

C'est là essentiellement pour ça, il faut le dire.

On fait notre ami Obal qui aurait...

Oui, mais vous voyez, j'ai attendu qu'Ettor Obal

que ne soit pas là-bas et que vous soyez...

C'est très aimable.

En tant que...

Quel est sa toile la plus connue ?

Écoutez, sa toile la plus connue, si je vous la disais,

ce serait trop facile.

Ah oui ? C'est vrai ?

Tellement elle est connue.

Oh là !

Rénoire !

Pfff !

C'est sûr, je l'attendais.

C'est pas bête.

Mais c'est la période.

C'est sur son nom de famille ou sur son prénom ?

Ah non, c'est sur son nom de famille.

Son prénom n'est pas toujours utilisé.

Généralement, on le dit, on peut donner son prénom,

ça arrive, mais souvent on...

Quel est son prénom ?

Le doignier ou saut ?

Non, et souvent on l'utilise sans son prénom.

Le doignier ou saut, non.

Quel est son prénom ?

L'autreèque !

Ah, tout l'autreèque, non, non, non, non, non.

J'jure que vous le connaissez, monsieur.

Le...

Il est au milieu ou il est à la fin ?

Ah, on en est là.

Vous êtes où ?

Ah, on en est là.

Moi, j'ai jamais mis d'accent, donc ça me surprend, ce que vous dites.

Donc...

Il est au début, il est au début.

Dans la première partie du nom.

C'est un pâtre très prolique, s'il a fait beaucoup, beaucoup de poils.

Ah oui, là, oui, oui.

Oui, oui, oui.

Oui, oui, oui.

Il est au Musée d'Orsay ?

Ah oui, oui, oui, il est partout.

Il est partout.

Il est partout, il y a l'accent.

Oui, oui, oui, oui.

Il y en a aux États-Unis.

Cézanne !

Et c'est Cézanne !

Bravo !

Bonne réponse !

Bravo !

De Valérie Méreste.

Bravo, Valérie.

Bravo !

Bravo !

Paul Cézanne.

Et oui, on met un accent, vous le voyez, toujours avec un accent aigu sur le E.

Et en fait, normalement, ça s'écrit Cézanne, C-E,

sans accent.

Z, A, 2, N, E.

On a vérifié, c'est effectivement, même le nom de la société au départ,

ça s'appelle société Cézanne, sans accent.

Paul Cézanne, la signature est sans accent.

Les actes d'état civil notariés du sud de la France sont sans accent.

L'accent, ils l'ont ailleurs dans le sud, vous voyez-vous ?

Et Paul Cézanne, effectivement, est né à Aix en Provence,

et il n'y a pas d'accent sur le E.

Sauf que, désormais, tout le monde en met un,

mais il n'y en avait pas au départ.

Bravo, Valérie Méreste ! C'était bien.

Paul Cézanne, pour Julien Gauthier,

la deuxième question l'utéraire du jour.

Je vais vous parler d'un film, un film dans lequel

on n'entend pas Anna Carina, Jean-Luc Godard, Sammy Frey,

Eddy Constantin et Jean-Claude Brialy.

On les voit, mais on ne les entend pas parce qu'ils jouent dans un film muet.

Mais de quel film s'agit-il ?

Une femme est une femme ?

Une femme est une femme ? Non.

Un Charlie Chaplin ?

Un Charlie Chaplin ? Non, mais c'est vrai qu'ils jouent dans un film burlesque.

Tous les 5, tous les 6, il y a d'autres acteurs.

D'ailleurs, il y a aussi Yves Robert, Daniel Dolorme,

moi, je vous ai dit Brialy, Sammy Frey, Constantin Godard, Anna Carina.

Mais attention, ce film burlesque, c'est un film dans le film.

C'est-à-dire qu'on les voit jouer un rôle muet dans un film burlesque,

dans un autre film.

Mais c'est un film de Godard ?

Un film de Godard, non.

Et le reste du film est muet aussi ?

Ah non.

Il n'a que la mise en abîme qui est...

Évidemment, non.

Film de la Nouvelle Vague ?

Oui, on peut considérer, oui.

La Nouvelle Américaine ?

Les copains, les copains.

Non, non, c'est quelqu'un là pour le coup qui est actuellement

à le droit, une rétrospective, une exposition.

Agnès Varda ?

Et c'est Agnès Varda, mais que...

Et c'est dans La Pointe Courte ?

Dans ?

La Pointe Courte ?

Dans La Pointe Courte, non ?

Cléo de 5 à 7.

Donc Cléo de 5 à 7, bonne réponse !

Dalèpse Lysorek.

Mais bien aidé par...

Oui, Varda, oui, oui.

Bien aidé par Valérie Mérez,

puisqu'effectivement, il y a une rétrospective.

Agnès Varda, actuellement, la cinématique française.

Valérie aurait dû répondre,

puisqu'elle a tourné pour Agnès Varda, non ?

Ben oui, début décembre,

à la cinématique, il y a l'une chante, l'autre pas qui passe.

Et voilà, bon, elle est dans une chante, l'autre pas.

Vous étiez celle qui chantait ou celle qui chantait pas ?

Ouais, celle qui chante.

Celle qui chante.

L'une chante.

On se fait de la catastrophique la suite, alors.

Tu sais, quand t'es bien dirigé, j'ai soupir.

Et Cléo de 5 à 7 est un film dans lequel, effectivement,

il y avait un autre film, un film burlesque, avant de ne meuer.

Où on voit Anna Carina, Godard, Jean-Claude Briali,

Sami Frey et les autres.

Bravo, belle réponse !

Du duo, Mérez Vysorek.

C'est tombé bien en parler d'Agnès Varda, il y a quelques minutes.

C'est une autre grande réalisatrice qu'on va accueillir.

Maintenant, on lui doit de nombreux succès au cinéma,

mais aussi au théâtre, car elle a été actrice, auteur pour le théâtre.

Et curieusement, oui, je dis curieusement, parce que c'est inattendu,

elle a décidé de raconter son histoire sur scène.

Tout seul sur scène, ce sera au théâtre Michel.

Je vous demande d'accueillir Colline Cero.

Colline Cero, à qui on doit.

Tant de succès au cinéma.

Trois hommes et un coup fin.

Romual des Juliettes.

La crise.

Kao.

La belle verte, bienvenue Colline Cero.

Bonjour.

Ravie de vous accueillir pour cette occasion étonnante,

parce que c'est vrai qu'en réponse, c'est qu'un jour,

vous seriez sur scène.

Non pas en tant qu'actrice, ça, vous l'aviez déjà fait,

mais seul en scène pour raconter votre histoire.

Non, tout d'un coup, je n'ai pas eu envie d'être sur scène de nouveau

et de raconter des trucs, pas forcément que sur moi,

mais sur tout un tas de choses sur le spectacle,

et de se relier avec les gens.

Parce que au cinéma, on ne vous voit pas dans le discothéâtre,

on vous voit quand on est avec vous, c'est super.

Alors vous allez nous raconter les coulisses.

J'imagine des films que vous avez réalisés,

vos débuts, les coulisses de Trois hommes et un coup fin, ça va de soi ?

Non, je peux dire que par exemple,

il y avait une énorme liste d'acteurs à ce moment-là,

à Paris, qui y allaient du plafond jusqu'à la cave.

Ils ont tous dit non.

Ils ont tous dit non pour jouer dans le film,

parce qu'ils trouvaient que ça faisait un peu bêta

de tourner dans un film avec un bébé,

et que ce n'était pas assez viril pour eux.

Alors les trois seuls qui ont accepté de jouer dans le film,

ils sont dans le film.

C'est du solier Boujna et Roland Giro.

Effectivement, on en a un souvenir formidable.

Je parlais de théâtre tout à l'heure.

Moi, je me souviens, je sais plus, c'est qui c'est tout ?

Et gros béta ou lapin-lapin ?

Avec Sonia Volerot, c'était...

C'était Lapin-lapin.

Lapin-lapin.

Alors là, j'avais, un, découvert une pièce formidable,

deux, une actrice formidable, parce qu'on la voit plus.

Je trouve d'ailleurs où elle est, Sonia Volerot, aujourd'hui.

Si elle est encore actrice, mais bon, je ne sais pas.

Je ne sais pas, mais elle est bien.

Ah ben oui, elle était quand même très, très bien, Sonia Volerot.

C'était une actrice formidable.

Lapin, ça se joue partout, ça se joue en Allemagne.

Il y a eu 250 mises en scène.

Pas par moi, hein, de lapin-lapin.

Lapin-lapin qui s'est tout.

Et gros béta, ça fait partie de vos succès aussi.

Vous avez eu des mollières, pensez pièces-là,

en tout cas, pour qui s'est tout.

Cinq mollières en tout, c'est ça ?

Oui, mais je ne sais plus où ils sont.

J'ai été pas mal comme briollée.

Je pense qu'il y a des gens qui...

Il y a des mollières de Colin Cerro qui se baladent.

Lapin-lapin qui s'est tout.

Et gros béta, on dirait la semaine de Bernard.

Alors, des mollières, des césars.

Est-ce que vous avez eu des césars ?

Oui, un paquet aussi.

Mais ils sont partis, je ne sais pas où encore, enfin.

Vous avez été avec les mollières ?

Mais ils sont sur Wikipedia, donc ça, ça va.

Je comprends qu'ils aient du mal à les donner,

si les gens ne font pas attention avec.

Si, si, on les aime beaucoup.

On est très contents de les avoir.

J'imagine que vous parlez aussi de la crise.

Et je voudrais, avant qu'on en parle ensemble,

réécouter ce moment, parce que c'est une actrice qu'on adorait,

ce moment culte dans la crise où Maria Paco

m'a une scène géniale.

Alors, écoute bien,

tes problèmes de boulot,

tes problèmes avec ta femme,

tes problèmes de fric,

tes problèmes en général, et en particulier,

moi, ta mère, je m'en fous comme de l'an 40.

Tu m'entends, je m'en fous.

Mais alors, je m'en fous,

je peux pas te dire à quel point je m'en fous.

Je n'en ai vraiment rien, rien, rien à foutre.

Mais merde, c'est pas croyable.

Ma propre mère se fout de mes problèmes.

Je te dis encore mieux.

Non seulement je me fous des problèmes,

mais je me fous également des problèmes de ta sœur.

Je m'en fous totalement.

Attends, il y a encore plus rigolo.

Je me fous, royalement, des problèmes de ton père.

Mais je rêve.

Ma parole, je rêve.

Non, non, mon lapin, tu ne rêves pas.

Pendant 30 ans, je vous ai torché, nourri, couché, levée, consolé,

tous les trois.

J'ai repassé vos chemises, lavé vos slips, surveillé vos études.

Je me suis fait des monstres au deux billes.

Je n'ai vécu que pour vous, qu'à travers vous.

J'ai écouté toutes vos histoires, vos problèmes et vos chagras.

Sans jamais vous emmerder avec les miennes.

Alors maintenant, je prends ma retraite.

Toi, il te reste une longue vie devant toi pour résoudre ta crise.

Moi, il me reste très peu de temps pour résoudre la mienne.

Alors, tu permettras que, pour une fois,

je m'occupe de mes affaires avant les tiennes.

Tu vas détruire toute une famille ?

Qu'est-ce que je dis ? Deux familles pour une vulgaire histoire de cul ?

Ah, d'accord.

Alors, quand il s'agit de ton cul, c'est de l'amour.

Mais quand il s'agit du mien, c'est vulgaire, c'est ça ?

Oui, c'est vulgaire.

C'est dégueulasse.

Enfin, non, c'est une passade.

Il a dix ans de moins que toi, ça ne pourra pas durer.

Tu sais, ça durera, ce que ça durera, ça m'est bien égal.

Même si ça ne devait durer qu'une heure, je referai tout pareil.

Tout de suite, je n'ai jamais vu que la durée fasse tellement de bien

aux histoires d'amour.

C'est pas une histoire d'amour.

Tout ce qui t'intéresse, c'est de t'envoyer en l'air.

Mais bien sûr que ça m'intéresse de m'envoyer en l'air.

Ça ne t'intéresse pas, toi.

Et même si c'était qu'une belle histoire de cul,

j'ai pas le droit d'en avoir une belle histoire de cul, moi.

Mais ils sont insensés tous les deux.

Comment ils croient qu'ils sont des chers sectaires ?

C'est vrai que j'ai fait des chers sectaires.

On adore, évidemment, Maria Pacôme dans la crise,

dirigée par Colin Cero.

C'est d'autant plus formidable pour Maria Pacôme,

qui, elle, n'est plus de ce monde.

C'est qu'elle a été peu employée, si bien employée au cinéma,

à ses débuts dans quelques comédies.

Mais c'était une énorme vedette de théâtre,

auteur de théâtre aussi, mais très peu utilisée au cinéma,

par par vous, pour la crise.

Oui, mais parce que c'est une génération de comédiens

qui pensaient que le théâtre, c'était plus important que le cinéma.

Moi, ce qui m'a touché, c'est que cette scène,

elle est devenue cultoquée, mais elle est...

Bien sûr, les femmes, elle adore la scène, mais les hommes l'aiment aussi.

J'ai trouvé ça super, c'est-à-dire que je me suis dit...

En fait, il y a quelque chose qui les libère aussi du poids,

peut-être de la culpabilité via leur mère ou quoi.

Ils sont comme si j'étais heureux qu'elle aille bien.

Et vous, la jouez-vous sur scène ?

Oui, je la joue un peu différemment,

mais ça amuse toujours les gens.

Ça fait partie du spectacle.

Donc, la belle histoire de Colin Cero, ce sera lundi 30 octobre,

tous les lundis, en fait, à 20 heures, au Théâtre Michel.

On en reparle dans un instant.

Vous restez avec nous, Colin Cero, pour la Valise Ertelle.

Et en plus, on aura quelques messages de personnalité pour vous.

Colin Cero est avec nous pour la Valise Ertelle

et surtout pour sa belle histoire au Théâtre Michel.

Avant qu'on appelle quelqu'un pour la Valise,

je vous ai vu embrasser, comme du bon pain, Colin Cero, Alex Vizorel.

Oui, j'ai eu la chance de jouer au Théâtre 3 hommes et un couffin.

On l'a joué peu de temps et je jouais le rôle du solier.

J'ai... Colin nous a dirigé pendant 2 mois et demi

pour qu'on joue 10 fois et puis c'est passé en télévision.

Et c'était un honneur d'être dirigé par elle, de jouer ce rôle-là.

C'est avec Ben, Ben qui jouait le rôle de Roland Giraud

et Bruno Sanchez qui jouait le rôle de Michel Bougement.

Moi, j'avais adoré aussi à ce film,

parfois on l'oublie mais il repasse assez souvent.

Romual des Juliettes qui est quand même un film très très réussi

aussi avec Daniel Hauteuil et Firmin Richard qui se faisait connaître.

D'ailleurs, au fond, je crois même que c'est vous qui lui avez fait

démarrer cette carrière de cinéma et on ne la connaissait pas avant.

Firmin Richard joue la femme de ménage qui devient amoureuse de son patron.

Oui, elle n'était pas actrice.

On l'a trouvé dans un restaurant.

On cherchait des actrices qui fassent pas actrices

parce que les actrices, elles font un peu actrices des fois.

Et donc...

Marie-Èle Dombal n'est pas là, mais...

Marie-Èle Dombal.

Marie-Èle Dombal.

Elle est bien, nono.

Elle m'a jamais prise alors que depuis pourquoi pas je l'aime

et je voulais jouer tous les rôles depuis jusqu'à K.O.

Et elle m'a jamais pris.

K.O. formidable.

J'ai pas fini.

Oui, c'est ça peut-être que...

Oui, je vais me mettre comme Maria-Pinck comme je vais faire la...

Mais comme elle recrute dans les restaurants

et que Bernard ne veut pas t'emmener, t'es pas pas d'avoir l'or, là.

Et donc, Firmin...

Donc la casting directeur, elle est partout, elle est dans des tœufs.

Elle est partout, il y avait des gens des îles, tout ça.

Et puis là, tout d'un coup, elle a vu une femme qui tenait le crachoir

qui avait une espèce d'hora comme ça

et donc, elle a dit, est-ce que vous voudriez bien jouer dans un film ?

Elle a dit, c'est quoi ?

Et puis, elle a joué dedans, finalement.

Ça, c'est pour remalde.

Et Juliette, une autre comédie très, très réussie, signée Colline Serro.

Il y a quelqu'un qui voulait vous laisser un message.

C'est un animateur de la station qui s'appelle Julien Courbet.

Bonjour Colline, c'est Julien Courbet.

Bonjour Julien Courbet.

Pour votre premier scénario, vous n'avez été rémunéré que 20 centimes la page.

Mais quelle honte !

D'ailleurs, on vient de recevoir un message au standard qui nous dit

j'espère que ce n'était pas une pub ou un court métrage.

Sachez, Colline, que ce message a été validé par notre huissier de justice.

Alors, c'est vrai, c'était 20 centimes la page au départ, votre carrière ?

Bah oui, j'avais 11 ans et j'avais pas de l'argent de poche

parce que mes parents étaient très fouchés.

Donc, j'avais trouvé une copine qui aimait beaucoup

et les pharaons, toutes les histoires de pharaon et la preuve de français.

Donc, je l'avais dit, si tu veux, je te fais un feuilleton qui mélange les deux.

Mais c'est 20 centimes la page.

Ah oui, c'est pas cher.

Elle a été d'accord et c'était mon premier boulot professionnel.

Stéphane Degrotte veut vous parler aussi.

Bonjour.

Bonsoir Stéphane.

En voyant la carrière de Mme Serro, j'ai envie d'applaudir.

Et même de siffler sur la Colline, comme la chanson de Jeux Lassin.

Jeux Lassin père et non Jeux Lassin fils.

Car je préfère le grand Lassin au petit Lassin, comme dirait mon maître nageur.

Et s'il ne va pas saisir, désolé, je ne vais pas vous faire un Lassin.

Car oui, comment ne pas être fan de Colline Serro ?

Colline nous rend heureuse, Serro Tonine.

Colline nous fait voir le meilleur, Serro Positive.

Et surtout, Colline n'est toujours du meilleur goût.

Serro de Grenadine, bonsoir.

C'est toujours Marc-Antoine Lebré, évidemment.

Il fait les voix de Julien Courbet, Stéphane Degrotte.

Grottez aussi François Hollande, d'ailleurs.

Oui, bonjour, Mme Serro.

L'être vionnaire.

Dans le film La crise, vous parliez déjà de problèmes de société actuelle

comme la montée de l'extrême droite, la gauche qui meurt, l'écologie, le féminisme.

Il manquait juste la mode de des crocs et les selfies avec des filtres chiens.

Vous faites un sans-foute.

D'ailleurs, vu que vous avez les talents de Mme Irma,

vous pouvez me prédire si je redeviendrai un jour président.

Et si oui, de quelle association culinaire ?

Président d'une association culinaire, il doit être.

Merci à Marc-Antoine Lebré, qu'on retrouve dans un instant.

Mais chère Colline Serro, je vais d'abord vous demander un numéro de 1 à 20,

car vous allez peut-être porter chance à une auditrice ou un auditeur.

On peut pas prendre 22 ?

Non, j'ai pas 22 en magasine.

C'est ça, Colline Serro.

Tu lui donnes le choix entre un 20 et elle veut prendre 22.

Alors, je prends 9.

Je comprends mieux.

Alors, le numéro 9, il s'agit de Jonathan Brandwick.

Retenez son nom ou plutôt son prénom, si vous voulez, Jonathan.

Et il habite à Colomier.

C'est un Haute-Garonne, Colomier.

Ça doit être dans la banlieue Toulouse, j'imagine.

Ça sonne déjà, vous présentez à lui et vous lui demandez si c'est

tout ce qu'il y a dans notre valise RTL.

Je vous laisse faire, Colline Serro.

Ça sonne chez Jonathan, à Colomier.

Allô ?

Oui, bonjour.

Oui, ça va ?

C'est Colline Serro qui est en train de vous parler.

La grande réalisatrice Colline Serro, vous avez sûrement vu ses films,

La crise, Trois hommes et un couffin.

Kao, Renouelle des Juliettes, La belle verte.

J'en oublie.

Le pèlerinage, comment ça s'appelait déjà ?

Saint-Jacques Lamèque.

Saint-Jacques Lamèque, voilà, formidable aussi.

Et toutes les grosses têtes sont autour de Colline Serro.

Bonjour.

C'est une blague.

Non, c'est pas une blague.

C'est pas possible, je n'y crois pas.

Ah bah si, il faut y croire, il faut y croire.

C'est dingue, ok.

Ok, alors, je suis en train de conduire.

Ah.

Ah bien.

Gardez-vous.

Alors attendez.

Et qu'est-ce qu'ils ont fait Toulouse hier soir ?

Ils jouaient à Sima et moi à Rebonne en football.

Alors moi, le foot, et ça c'est deux.

Bon, bah très bien.

Et bah pour eux, ça a pas fait deux, je crois.

Alors je vais trouver une...

Alors Colline Serro va vous poser la question fatidique.

Allez-y, Colline.

Ah c'est quoi la question ?

Qu'est-ce qu'il y a dans la valise ?

Est-ce que vous savez ce qu'il y a dans la valise ?

Est-ce que vous savez ce qu'il y a dans la valise ?

Alors oui, je vais essayer de trouver le petit papier.

On en a un qui sait.

Ce matin quand...

Philippe Cavriviere a ajouté quelque chose ce matin.

C'est ça, Philippe Cavriviere a ajouté quelque chose ce matin à 8h35.

On va étayer, alors...

Chez Yves Calvichy.

Alors il y a 1.025 euros.

Très bien.

C'est quoi le bruit que j'entends derrière vous, là ?

Le clignotant.

Ah, le clignotant.

Ah vous avez l'un ?

Ah le warning.

Vous avez une dechewo ?

C'est un gros camion, pas lourd.

1.025 euros.

1.025 euros.

Un album Astérix et Yves Lux.

Oui.

C'est Yves Calvichy.

Et un matelas topeur ajouté par Philippe Cavriviere.

Moi, vous avez gagné la valise, Yves Calvichy.

Bravo !

Franchement, je ne m'en rends pas compte que vous avez gagné.

Merci beaucoup.

Ça, alors...

Je vous écoute une jour sur la route avec grand plaisir.

Oui, ça prouve que vous êtes un vrai fidèle de RTL,

parce qu'effectivement,

il fallait en plus avoir écouté Philippe Cavriviere ce matin.

À 8h35, effectivement, Cavriviere a rajouté un matelas topeur

pour un bon sommeil réparateur, l'espace topeur.

Maison familial depuis 1926.

Le matelas, l'album d'Astérix et les 1.025 euros.

Tout ça, c'est pour vous.

Je n'attends grâce à Colline Cerro, que vous pouvez remercier.

Elle a choisi votre numéro.

Je vous encourage tout le monde,

et je vous adore tous ces grands sacs.

Ah bah c'est super gentil.

Si c'est vous qui choisissez le nouveau montant de la valise,

combien vous mettez dans la valise ?

Alors, on va dire 1.090.

1.090 euros, et je vais ajouter tout de suite de place

pour aller applaudir au Théâtre Michel

le spectacle solo de Colline Cerro, qui raconte son histoire.

La belle histoire de Colline Cerro.

Merci.

Merci, Colline.

Merci.

A demain, pour les best-ofs pendant le week-end,

sinon elle a un victime en 30 pour d'autres, grosse tête.

Dans un instant, Vincent Parisot avec, évidemment,

Marc-Antoine Lebré.

Bonsoir, Vincent.

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Avec Valérie Mairesse, Christine Ockrent, Jérémy Ferrari, Rachel Khan, Alex Vizorek et Bernard Mabille.
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