Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du vendredi 22 septembre 2023

RTL RTL 9/22/23 - Episode Page - 1h 45m - PDF Transcript

...

Les grosses têtes de Laurent Ruchier,

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Bonjour ! Heureux de vous retrouver !

Applaudissements

Avec pour vous aujourd'hui...

Applaudissements

Heureux de recevoir à nouveau une grosses têtes écrivain,

Prix Renaudot, académicien Goncourt,

et donc désormais grosses têtes chez les grosses têtes,

Philippe Claudel !

Applaudissements

...

Une grosses têtes qu'on appelle la Renmergo, Isabel Mergo !

Applaudissements

Rive la Ren !

Applaudissements

Une grosses têtes qui suit la rentrée politique,

qui suit la rentrée scolaire,

qui suit la rentrée culturelle,

c'est-à-dire qu'elle n'est pas rentrée chez elle.

Roselyne Bachelot !

Bonjour !

Applaudissements

Une grosses têtes qui chante, comme il respire,

un Christophe Beaugrand !

Applaudissements

...

Une grosses têtes qui jouent avec Régis Laspalaise,

tous les soirs à la Michel-Dierre d'en piège pour un homme seul,

Michel Faude !

Applaudissements

...

Une grosses têtes qui prie avant chaque repas,

et qui rote pendant la messe...

...

Bernard Mabille !

Applaudissements

Vous allez au stade Vélodrome pour la messe du pape,

Monsieur Mabille ?

Non, vous n'êtes pas invitées ?

Non, j'étais à Versailles, déjà, c'est pas mal.

Ah, c'est vrai ? Vous étiez à Versailles ?

Non, hier, j'ai visité Versailles, hier.

Rires

Moi, j'ai été déçu, parce que moi, j'ai regardé sur le tapis rouge.

Evidemment, sur BFMTV, vous imaginez bien.

Il n'y avait pas de grosses têtes.

Je m'attendais à voir Mme Bachelot.

Mais oui, j'ai un contentieux, quand même,

avec la couronne d'Angleterre,

parce que, au moment du couronnement,

j'ai dit, d'habitude, les cocus sont au balcon,

et là, il y a deux glants, alors...

Rires

Oui, effectivement, oui.

Rires

Et je crois qu'ils ont été dans mon sens,

parce qu'il a planté un chêne, donc...

Rires

Ah non, mais j'ai vu Jacqueline arriver...

Ah ben oui, oui, oui, oui.

C'est obligé, ça.

Il habite là, il habite là.

Rires

Mais non, mais s'ils avaient invité Jacqueline

en tant qu'ancien ministre de la culture, j'imagine,

il a demandé, j'étais là devant.

Oui, mais je vais voir arriver Roselyne.

En fait, c'est quand ils ont déroulé le tapis rouge,

il était planqué à l'intérieur.

Rires

Il l'avait utilisé la dernière fois.

Il est président de l'Institut du Monde Arabe, voilà.

Ah, il est président toujours de l'Institut du Monde Arabe.

Ah non, oui, il y a 82 ans.

Rires

Oui, mais alors, on n'est pas obligés d'aller à Versailles

quand on est président de l'Institut du Monde Arabe.

Oui, mais il fait partie des personnalités...

Oui, on n'a pas su de mon anètesis, c'était Charles III.

Oui, c'est ça.

Ça colle à part.

Il y avait des flancs, il y avait Guillaume Gallienne.

Oui, oui.

Pourquoi Lutini n'était pas libre ?

Avec sa femme.

Non, c'était...

Vous auriez aimé être invité, vous, Isabelle ?

Non, non, ce n'est pas si intime, comme Dinez.

Moi, j'aime bien les têtes à tête.

Ah oui.

Mais il est sympa.

Le Charles.

Normalement, les Anglais, ils s'affodillaient.

Je suis énormément heureux.

On lui a donné trop de cours parce que j'ai cru que c'était un portugais.

Mais je veux dire, je t'attendais.

C'était énormément heureux.

Leur roi Charles, le jour où il en allait portugais ensembler,

pour la lutte du filin.

Moi, j'aurais quand même adoré être une petite souris

pour voir quand même ce qu'on puisse dire.

Les convives de table, ils étaient à côté, Mick Jäger et Gérard Larcher.

Oui, c'est quand même, à mon avis, en cours de repas.

Je peux fuir vos popes de terre.

Il a surtout Gérard Larcher, un nom, un pronom.

C'est pas faux.

Allez, une première citation pour Gauthier Legrand, qui habite dans la Nièvre,

qui a dit, l'alcool ne résout rien.

Cela dit, le lait, l'eau gazeuse ou le jus d'orange, non plus.

Sacha Guittri.

Non, Michel-Oddiard.

L'alcool ne résout rien.

Cela dit, le lait, l'eau gazeuse ou le jus d'orange, non plus.

Est-ce qu'il est mort ?

Il est vivant.

Et c'est Philippe Galluc qui a dit ça.

C'est vous, Beaugrand.

Bonne réponse de Christophe Beaugrand.

Je l'ai trouvé dans le nouvel album du chat.

Le Chat et les 40 bougies.

Une citation pour Claudine Prudhomme.

Même Prudhomme habite Ayant Jean-Moselle, qui a dit,

une femme doit avoir trois hommes dans sa vie.

Un de soixante ans pour le chèque,

un de quarante ans pour le chique,

et un de vingt ans pour le choc.

Marilyn.

Comment d'allire ?

Ah, Jacques Guittri !

Etienne Marquis habite Noyal, Survilaine.

Il espère un chèque Hirtel avec la citation suivante,

qui a dit, il faut toujours avoir

une bonne paire de chaussures et un bon matelas.

Parce que si vous n'êtes pas dans l'un,

c'est que vous êtes dans l'autre !

Il est vivant ?

Frédéric Dard.

Français.

Alors, c'est quelqu'un qui n'est pas français.

Américain. Américain.

C'est quelqu'un qui n'est pas...

Britannique.

C'est quelqu'un qui est britannique.

Oscar-Wan.

Il est vivant ?

C'est quelqu'un qui vaut encore...

Longua Charles.

C'est quelqu'un qui a 90 ans.

Donc, c'est une femme.

Oui, c'est une femme. Bravo, Isabelle.

J'ai dit t'est.

Il est une femme de 90 ans.

Est-ce qu'elle est belle ?

Ou elle était belle ?

Ah, elle était belle, et vous l'aimez bien, en plus, vous, monsieur.

John Collins.

Et c'est John Collins !

John, réponse de Christophe Bogan.

L'héroïne de Dynastie.

Une autre citation pour Mme Trouillot,

qui habite dans le Finistère, qui a dit « La femelle du crapeau en Angleterre, c'est

la crapeute anglaise ».

– Pour ça c'est français, c'est un appelant.

– Ça c'est français.

– Ça c'est un homme, ça.

– C'est un homme qui a été un habitué des grosses têtes qu'on aimait bien.

– Pierre-Norris, c'est les cibles.

– Non, c'est les cibles.

Bonne réponse, Governor Mali.

– Bravo.

– Allez, encore une citation.

On va prendre une citation un peu plus culturelle.

Peut-être quand même en présence de Monsieur Claudelle.

Ça me paraît bien quand même d'essayer de monter un peu de niveau, vous êtes d'accord ?

– Oui.

– Parce que les trucs faciles ils ne trouvent pas.

– C'est pour vous, donc, Monsieur Claudelle.

Et pour madame Elodie Herrette, qui habite Beaufort en Anjou dans le Manéloir,

qui a dit « Les idiots mettent du temps pour comprendre,

les intelligents pour ne pas comprendre ».

– Ça c'est pour Monsieur Claudelle.

– Merci Bernard.

– Donc c'est français.

– Un écrivain français, effectivement.

– Du vivant du XXe siècle.

– Qui fut pris Max Jacob, non, qui est mort en 1978.

– Bazin, Bazin.

– Bazin, non.

– Il écrit des romans.

– Alors on lui doit des poèmes, poèmes bleus, papier collé.

– Collé à quoi ?

– On a déjà, d'ailleurs, il faut le dire, déboursé 300 euros à cause de lui,

parce que la dernière fois que j'ai donné une citation de ce monsieur, personne ne l'a identifiée.

– Et vous ne prenez pas votre leçon.

– George Péros.

– George Péros, excellente réponse de Philippe Claudelle.

Alors, là, voyez, Philippe Claudelle est désormais, c'est sûr, une vraie grosse tête.

– Une question pour Florian Miollon, qui a dit qu'il ne les rend dans les deux cèvres,

dans le Figaro Magazine du week-end.

On peut avoir une double page consacrée à François Bustio.

Qu'est-ce qui va lui arriver le 37 ans ?

– Oh, il est nommé cardinal, parce qu'il est évêque d'Ajaccio.

– Excellente réponse que Roselyne Bachelot.

– Vous le connaissiez ?

– Non, mais il est drôlement beau gosse.

– C'est Balot.

– Quel gâchis.

– Quel gâchis.

– On ne touche pas, tu n'es pas enfant que on ne touche pas.

– Vous le trouvez beau gosse, vous, alors ?

– Oh, on pourrait écouter.

Au mieux avoir ça dans son dique la grippe.

– Bah, enfin, écoutez, c'est accuré.

– Elle est où en manque, ou la vue qui baisse ?

– Où les deux ?

– Enfin, écoutez, franchement.

– Oh, il n'y a pas de raison.

– Je vois ce qu'elle veut dire.

– C'est un truc que seuls les femmes peuvent comprendre.

– Tout le monde se passe la photo.

– Archevec.

– Il est pas mal quand même.

– On dirait Castex.

– Castex, c'était un ami de Madame Bachelot.

– Il l'est toujours.

– Il l'est toujours.

– Mais tu l'as pas pécho, Jean Castex.

– Vous prenez le métro gratuitement, maintenant ?

– Oui.

– Mon seigneur Bustio, en tout cas, effectivement,

était Archevec d'Ajaccio et il va être cardinal

le 30 septembre prochain à Rome,

puisque le pape François a décidé de le nommer Cardin.

– Il aime bien les Français, dites-donc, alors, ce papa.

– Oui, oui.

– Ah, mais il a bien signalé qu'il ne venait pas en France,

mais il venait à Marseille.

– Oui, oui.

– On n'est pas la grosse tête.

– Sur la calombie.

– Mais Marseille, c'est pas vraiment la France.

– Oui.

– Franchance.

– D'ailleurs, la deuxième langue la plus parlée

à Marseille, c'est le français.

– Oui.

– On en parle.

– Oui, Isabelle.

– On en parle parce qu'il va devenir cardinal, c'est ça ?

– Oui.

– C'est tout.

– C'est tout ?

– Ah, d'accord.

– C'est déjà pas mal.

– C'est un jeune cardinal.

– Le jour où vous deviendrez Claudia Cardinal,

croyez-moi, n'en parle pas.

– Oh, ça arrive, ça arrive.

– Mais ça fait quoi un cardinal, pardon ?

– Oui, ça fait quoi d'être cardinal ?

– Ça désigne l'est, l'ouest, le sud et le nord.

– Je me tourne vers Michel Faux parce que je le regarde

et je trouve qu'il ferait un papa incroyable.

– Oui, mais pas...

– Il a une tête de papa.

– Pas Vatican II à l'ancienne, alors.

– Mais c'est de papa.

– On l'atteint, alors.

– Et vous avez vu qu'en hommage à Charles III,

il porte un costume écossais ?

– Ah, c'est vrai, vous êtes très british aujourd'hui.

– Ah oui, il est superbe.

– Non, non, c'est...

– Je suis pas royaliste.

– C'est-à-dire ?

– Non, je suis pas royaliste.

– Ah oui ?

– C'est son... c'est son droit.

Je suis dadaïste, moi, donc je suis pas royaliste.

– Mais personne n'a dit que vous étiez royaliste ?

– Oui.

– Je ne te crois pas.

– Non, mais il ne rend pas hommage à Charles III.

– J'ai dit que c'était un hommage à Charles III,

donc il n'est pas royaliste.

– Bah toi, t'es habillé envers

et tu ne te rends pas hommage à une grenouille non plus.

– Je l'ai présenté tout à l'heure comme madame C&M.

– Il est beau, mon tailleur.

– Ah, je ne sais pas dire, je voudrais dire qu'il va te faire.

– Il est beau, votre tailleur.

Enfin, c'est pas comme ça que vous allez draguer

l'archévêque ou le cardinal.

– Ah non, non.

– C'est vrai qu'il est bien, il a de belles mains.

Il a des très jolies mains.

– Ah !

– Avec un manque de calcium, ça se voit sur les ongles.

Je vais l'appeler, il faut qu'il fasse attention.

Il faut qu'il fasse une calcibrona.

Voilà.

C'est tout pour moi, c'est tout.

– Je n'ai rien compris de ce qu'elle a dit.

– Mais si elle a regardé ses doigts,

elle a vu qu'il avait des petites traces blanches

sur les ongles et c'est un manque de calcium.

– C'est un manque de calcium.

– C'est un manque de calcium.

– Mon seigneur Bustio...

– Il a besoin, il a besoin de calcium et tout.

– Il a peut-être besoin de calcium, on va en faire écouter.

– Il a peut-être besoin d'amour aussi.

– C'est seul, un cardinal.

– On va lui donner l'adresse de madame Bach.

– Il a bien aussi.

– Je vous vois bien en bonne du curé, Roselyne.

– Oh non, je vous l'aimais bien.

– Mais c'est pas facile,

d'être à l'avant de quand on est bon du curé.

C'est pas facile, d'avoir d'artil,

quand on est d'une fille comme moi.

Entre la cure et les figures,

des grenouilles de bé, nique et la vie est dure.

– Madame Rigolet !

– Ouais !

– Et quand le chatouille me tire par l'épée,

ça me châteouille, ça me châteouille,

ça me donne des idées.

Je fais des bêtises derrière les guises,

je peux pas m'en empêcher.

Dieu me pardonne, je suis de la mode du curé.

– Vous voulez pas faire la première partie du pape

au vélo drôme ?

– Oh, je mettrai l'ambiance.

– Allez, je continue.

– Mais ils veulent pas de moi.

– Je continue la feuille telle Figaro Magazine,

parce qu'un peu plus loin dans le même Figaro Magazine,

il y a un article consacré à l'opération Vesuve.

Mais qu'est-ce que l'opération Vesuve,

qui date de 1943 ?

– C'est gynécologique ?

– Non !

– C'est aucun rapport avec le cardinal.

– C'est une question pour Julien Gauthier,

qui habite à Rennes.

– Est-ce que c'est un lien avec la guerre,

la Deuxième Guerre mondiale ?

– C'est un livre qui sort consacré à l'opération Vesuve.

– Et votre question c'était,

est-ce que c'est un lien avec la Seconde Guerre mondiale ?

– Absolument, oui.

– Des barquements, des barquements ?

– Souvent en 1943, des barquements.

– Des barquements sur la Côte d'Azur ?

– Alors, des barquements sur la Côte d'Azur, pas tout à fait.

– Le débarquement à l'île d'Albe ?

– Non plus.

– Est-ce que c'est lié à l'Italie ?

– Alors, c'est pas lié à l'Italie,

non, c'est lié à la France, monsieur.

– C'est un rapport avec Pompéi ?

– Non, Pompéi, non, non, non.

– Pompompéi ?

– C'est une opération militaire.

– La Maréline Monroe de Pantin.

Une opération militaire qui ne s'est pas déroulée en Italie.

– Alors, c'est une opération militaire, non,

qui ne s'est pas déroulée en Italie.

– En Corse ?

– Expliquez.

– C'est un débarquement de Corse.

– Et donc, c'est ?

– C'est le débarquement de la Corse.

– C'est pas autre chose, c'est ça.

– Ah, Jacques Tio.

– La libération de la Corse ?

– La libération de la Corse, c'est le...

– Non, mais c'est Bernard.

– Il est en Corse.

– Il est en Corse.

– Tout le mérite en revient, Bernard.

– C'est le premier département français libéré en 1943.

La Corse fut libérée, c'était le premier département

ainsi libéré grâce à l'opération Vesuve.

Bonne réponse, Philippe Claudel.

– Non, non, Bernard, Mabille.

– C'est...

– Oh, là, là ! Mabille, il y a Mabille aussi !

– Mabille, il aurait pas eu Mabille, il aurait pas eu Claudet.

– C'est le grand risque d'en Corse, Fred Scamaronni.

– C'est un duo, ils ont fait un duo.

– Après, l'évêque Corse, le débarquement en Corse...

– Ah oui, c'est vrai, là, c'est un thématique.

– Un compisme corse qu'on doit reconnaître.

– Il y a une thématique, mais c'est pas ma faute.

– On est corseauté.

– C'est dans le Figaro Magazine.

Alors, on va quitter l'accord, c'est qu'on va revenir à Paris,

puisque porte de Versailles jusqu'au 1er octobre,

il faut donc vous dépêcher, jusqu'au 1er octobre,

il y a toujours l'exposition Titanic.

– Ah oui, oui.

– Et cet expo Titanic, c'est les derniers jours, si vous avez envie...

– Ça a pas marché ou ça a coulé, ça ?

– Enfin, ça a pas mal...

– C'était un carton.

– Ça a pas mal marché, je crois, monsieur.

– C'était un carton.

– Ah oui, vraiment.

– À la porte de Bistalle.

– Oui, il fallait prendre des séances euro-datées, comme ils disent,

parce qu'il y avait trop la queue, donc il fallait choisir l'horreur.

– Alors justement, on achète des billets avec un horaire précis,

et quand on rentre dans l'exposition, votre ticket d'entrée est un peu particulier.

– Ah, c'est la reproduction du ticket du Titanic.

– C'est-à-dire expliquer...

– À la reproduction du billet que les gens ont acheté

pour faire la traversée du Titanic.

– Alors, c'est plus encore plus originaire que ça.

Je l'ignorais, je viens de l'apprendre,

et j'avoue que c'est une petite idée supplémentaire pour cette exposition.

On vous remet effectivement un ticket un peu spécial quand vous rentrez,

et surtout, faut pas perdre le ticket, parce qu'à la sortie, il se passe quelque chose.

– Il faut le rendre.

– Il faut le rendre.

– Si vous voulez une chaloupe, vous devez donner le ticket, sinon vous noyez.

– Ah, on y met quelque chose de précis dessus, et comme ça, ça devient précieux.

– Donc, qu'est-ce qu'il y a sur le billet ?

– Ah, c'est survivant.

– Chaque ticket a un nom différent.

– Chaque ticket a un nom de passager.

– Un vrai nom des passagers.

– Il y a ceux qui sont morts et ceux qui sont pas morts.

– Ah, et vous apprenez à la fin si vous êtes morts ou vivants.

– La bonne réponse est signée Michel Faux et Christophe Bogrand.

– C'est génial.

– Dès l'entrée, on vous distribue une carte d'embarquement comme un vrai passager,

et à la fin, vous avez un panneau avec les noms de tous ceux qui sont décédés,

et vous regardez si vous avez survécu ou pas.

Ou à la principe de l'exposition.

On va faire pareil ici pour les grosses têtes.

En tout cas, c'était une bonne réponse de Michel Faux et Christophe Bogrand.

– Les grosses têtes répondent aux auditeurs.

– Sandrine est au téléphone.

Bonjour Sandrine.

– Bonjour Laurent.

– Vous allez bien Sandrine ?

– Bonjour les grosses têtes.

– Bonjour Sandrine.

– Les grosses têtes, vous salut.

– Sandrine.

– Alors je ne sais plus pourquoi vous voulez nous appeler vous Sandrine.

– Eh ben je voulais appeler.

C'est pour mon mari qui a eu 60 ans hier.

– Ah.

– Et j'aurais voulu que les grosses têtes lui soient un bon anniversaire.

– C'est trop tard.

– Oui.

– Et oui, mais hier, vous avez pas voulu me prendre.

– Ah non.

– Et lui non plus ?

– Pardon.

– Ça se pète un anniversaire.

C'est quoi son prénom ?

– C'est Denis.

Denis Bordeaux.

Il est dans son camion.

– On lui souhaite quoi ?

D'en trouver une plus jeune ?

– Non non.

– C'est Philippe Claudel.

– C'est pas nous.

– C'est pas nous.

– Il est routier, c'est bien ça ?

– Ah ben donc lui, il en a d'autres.

– Il est dans son camion.

– Ah dis-donc en plus, c'est un fidèle.

Il a commencé à m'écouter sur France Inter.

Effectivement, il est plus tout jeune votre mari.

– Ah mais vous êtes notre chouchou, Laurent.

– Vous avez le même âge que lui.

– Mais le camion est d'époque.

– Alors bon anniversaire à Denis.

– Denis le routier.

– Bon anniversaire Denis.

– Il nous entend Denis.

– Ah merci, merci, merci.

– Bon anniversaire Denis, bisous.

– 61 ans.

– Donc 60 ans et un jour.

– 60 ans et un jour.

– Et un jour.

– Voilà là.

Il a entamé sa 61e année.

– Il a soupé toutes ses bouches.

– Et vous l'aimez depuis combien de temps ?

– Oui.

Et on est ensemble depuis 38 ans.

– C'est beau.

– C'est dynamique.

– Ah merci.

– Et alors, vous l'avez trompé combien de fois en 38 ans ?

– Heu...

Ben...

– Parce que c'est vrai qu'un routier,

pendant qu'il est parti, vous êtes tranquille.

– Voilà, voilà, chacun chez soi.

– Vous avez raison.

– Il est honnête.

– Lui aussi, sur la route,

ça n'est pas ce qui se passe sur les aires d'autoroute.

– Exactement.

– Il peut croiser Bernard Maby.

– Vous verrez Bernard Maby, il est souvent en visette

sur les aires d'autoroute.

Il fait un pognon, vous imaginez.

– Vous avez déjà vu,

sur la 13e, il y a une aère d'autoroute

où Bernard Maby est en baraisie.

– C'est très impressionnant.

– Il m'en a déjà parlé.

– On vous embrasse, André.

Bonjour, Alexandre.

Je voudrais vous remercier de meurtre.

Vous avez gagné la valise.

En juin dernier, vous avez gagné la valise.

– Eh oui, c'était une belle surprise.

– Il y avait quoi dans la valise, au mois de juin,

quand vous avez gagné ?

– Eh ben, j'avais eu une nuit dans un palace à Versailles,

la Astoria.

Plus les grandes eaux nocturnes

au château de Versailles.

– Avec Jacques Longue.

– Non, sans Jacques Longue.

– Jacques n'était pas là.

– J'avais emmené ma femme.

– Parce que vous veniez de vous marier, en plus.

– En plus, on venait de se marier.

– La femme fontaine.

– C'est formidable.

– C'est une nuit inoubliable, j'imagine.

– Il y avait quoi d'autre ?

– Walter Faustoria.

Et qu'est-ce qui s'est passé d'autre ?

– On a eu un souvenir incroyable dans un beau palace.

Et à 5h du matin, l'alarme incendie,

avec tous les clients qui descendent en paix noire.

– Un slip, un génial.

– Et alors, qu'est-ce qui s'était passé ?

– Eh ben, au final, on arrive en bas,

on nous dit qu'il faut s'alerte.

Donc, on remonte.

Et 5h30, nouvelle alarme incendie,

tout le monde redescend.

– C'est sympa.

– Merci la valise.

– Ça fait un beau souvenir pour la nuit.

– Inoubliable.

– Oui, grâce aux grosses têtes, vous vous souviendrez.

Toujours de votre nuit de noce, Alexandre,

comment s'appelle, madame ?

– Carol.

– Carol, ben, on vous embrasse tous les deux, Alexandre et Carol.

Merci d'avoir donné des nouvelles.

Guillaume, maintenant, bonjour Guillaume.

– Bonjour Laurent-Ruthier, bonjour Soutévité.

– Ah ben, bonjour Guillaume.

– Bonjour Guillaume.

– Bonjour Guillaume.

– Et Guillaume, il organise une brocante dimanche.

C'est bien ça ?

– Ah, on fait ça aussi.

– Oui, c'est ça, mon petit village de Manila.

– Ça me rappelle quand je faisais Radio Force 7.

– Je sais les petites rades que l'on annonce les brocantes.

– Alors il y a une brocante.

– D'ailleurs.

– C'est à quelle heure ?

– C'est gratuit, Guillaume.

– Oui, tout est gratuit.

Au niveau des exposants et puis des visiteurs.

– C'est dans un meuf.

– Alors il va y avoir quoi dans cette brocante ?

– Alors, j'avais une petite demande,

parce que savoir si vous avez quelques vieilleries...

– Ah oui, oui, oui, oui, oui.

– On a Bernard Maby, si vous voulez.

– Question de la question, petit diote.

– On a Bernard Maby, si vous voulez, mais...

Il est difficile à transporter quand même.

– Non, Bernard Maby, je voulais le garder,

parce que dans le village, on organise le 4 et 5 mai

une grande fête gauloise.

– Je croyais un méchouis.

– On aimerait bien un obélix.

– Ah, dites donc, ça n'arrête pas dans votre village.

– Mais qu'est-ce que ça veut dire une brocante gratuite ?

Ça veut dire que tout est...

On n'achète rien ?

– Non, l'entrée est gratuite, après.

– Pour les exposants aussi, c'est gratuit.

– C'est ça, le nom du village ?

– Vous allez avoir un monde fou, ce week-end, grâce à nous.

– Oui, ça, d'accord, OK, on a compris, oui.

– Très de commerciers, très bien.

– On vous souhaite une belle brocante, là-bas, dans la meuse,

à mener la horne, près de commerciers.

– La pub était payante, c'est 3 000 euros, monsieur.

– Fabrice, maintenant.

Bonjour, Fabrice.

– Bonjour, bonjour à tout le monde.

– On se réveille, Fabrice.

– Fabrice, m'explique, vous mettez en valeur vos grosses têtes,

notamment Mme Bachelot, grâce à des questions sur l'opéra,

mais est-ce que vous pensez à vos auditeurs, me dit Fabrice ?

Sincèrement, qui peut jouer et répondre à des questions

sur les opéras, me dites-vous ?

Vous êtes en colère, Fabrice.

– Il y a comme 0,5% des Français.

– Oui, exactement, mais nous, en fait,

on peut pas jouer, qu'est-ce qui va à l'opéra,

maintenant, à part Mme Bachelot ?

– Il me dit, oui, alors en plus,

vous posez des questions opéras,

bon, quand la casta fior du BHV est là...

– Ah ben oui, il écrit ça.

– Il m'ont carrielle pour bousiller,

et puis il y a, ça termine la question.

– Vous êtes à combien de grammes, déjà, là ?

– J'ai l'impression que vous préférez l'apéro à l'opéra,

je peux trop...

– C'est pour vous.

– C'est pour vous, non, oui.

– Au sens où il n'est pas normal, Fabrice,

je reconnais l'accent normal.

– Il n'y a plus d'apéro, ben non.

– Je travaille au Ouvres.

– Ah ben voilà.

– J'étais sûr, c'est l'accent de ma famille.

– On est comme...

– Hé, on va dé, comment ça va ?

– Ah ben, on va dé, on va dé, alors.

– Comment il voit le bézot ?

– Heureusement que vous avez changé.

– On a failli le perdre, je viens de récupérer un auditeur.

– C'est parti.

– C'est probablement pas la meilleure idée de pizza,

mais une bonne idée ?

Domino's Loaded Tots.

Nous bâchons nos tots chauds et crispiers

et on les ajoute avec de la merveilleuse et de l'alimentation

juste comme notre pizza.

De la sauvage de Philly Cheesesteak

à la crêpe de cheddar bacon

et de la merveilleuse et de la merveilleuse et de la merveilleuse,

Domino's Loaded Tots sont juste comme Domino's Pizza,

seulement sur les tots.

Peut-il s'occuper d'un panneau ?

Appuyez à Domino's Loaded Tots la prochaine fois qu'il vous s'occupe.

15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Roselyne Bachelot, Michel Faux,

Christophe Bogrand, Bernard Mabise,

Abel Merveau et Philippe Caudel.

Une question pour Monsieur Niveau.

L'un Niveau qui habite savoyeux, c'est en haute zone

et la question concerne une page,

même plusieurs pages.

Il y aura un dossier, je devrais dire,

dans l'express cette semaine.

Si vous avez lu l'express, vous saurez répondre à cette question

parce que c'est quelque chose qui se fait fréquemment

en Norvège dans les entreprises,

mais qui est fortement déconseillé de faire

au bureau en France.

Quoi d'eau ?

L'amour.

L'amour, non.

La sieste.

Faire ses besoins.

Faire ses besoins.

Faire ses besoins.

Faire ses besoins.

Faire ses besoins.

Faire un sauna ensemble.

Non, en Norvège, c'est une habitude.

C'est de s'exposer au lamp UV ?

Non plus.

C'est prendre une grosse cuite le vendredi soir.

Non plus.

Est-ce que c'est un acte physique

ou c'est quelque chose ?

Non, ce n'est pas un acte physique.

Mais c'est vrai que c'est un pays en Norvège

où on a l'habitude de faire ça.

Et chez nous en France,

les psychanalystes, d'ailleurs,

déconseillent fortement.

On amène les gosses.

Non, de faire la même chose.

Les animaux.

C'est rapport aux écrans.

On amène les animaux.

D'ailleurs, je vous dis,

même la fin de l'article,

signé Alexandra Saviana dans l'Express,

l'exagone est loin de la clarté norvégienne.

Il faudra pourtant bientôt s'y mettre au moins un peu

puisque le 24 avril prochain,

le Conseil de l'Union européenne,

a adopté une directive en ce centre.

Je sais, je sais !

Allez-y.

C'est les lampes.

Les lampes qui donnent la lumière bleue.

La lumière du jour.

On travaille dans le noir.

Mais vu que je vous ai changé de côté,

comme je vous regarde.

Ouais.

Et vous êtes déçus.

Et sauf que vous dites toujours autant de conneries.

On travaille dans le noir.

Non, rien à voir avec...

C'est rapport aux écrans ?

Non. Est-ce que c'est rapport à l'écologie ?

Non plus.

Venir nu une fois par semaine.

Venir combien ?

Une fois par semaine.

Non, non, c'est pas physique.

On peut se mettre en bermuda ?

Ce n'est pas physique.

Ce n'est pas physique.

C'est quelque chose qu'on fait sur son ordinateur.

Monsieur Faux, au moins, retiens ce que je dis.

Merci, Michel.

Est-ce que c'est quelque chose...

Est-ce que c'est quelque chose qu'on fait sur son ordinateur ?

Non, non, non.

Non, mais vous avez dit quelque chose d'intéressant pour une fois.

Vous avez dit que bientôt on va s'y mettre, nous aussi.

C'est ce que nous...

On sera obligés.

Nous donnent l'Europe, en tout cas, comme indication.

C'est de s'embrasser au bureau ?

Non.

Une interaction entre plusieurs personnes, quand même ?

Oui, ça, oui, c'est vrai.

C'est quelque chose qu'on n'a pas l'habitude de faire en France.

Et il vaut mieux pas, d'ailleurs.

Vous ne le faites pas, vous ?

Non, ça, c'est vrai.

Je ne fais pas...

La bise.

Personne, ici.

Vous verrez.

Une fois que vous saurez, vous verrez que vous ne le ferez pas.

Le point sur la gueule ?

Non.

Sinon, on le fait, quand même, à nous.

De devoir échanger ces bureaux ?

Non, mais on ne sera pas...

On ne sera pas...

On va être chaussures.

De venir avec son propre ordinateur, avec son matériel ?

Ça tient au vêtement.

Non, mais vous allez voir.

Une fois que vous aurez la réponse, je me tourne vers vous aussi.

Et je vous demande, je suis sûr que vous ne le ferez pas.

Et on le fait tous les jours en Norvège ?

Ah non, on le fait une fois pour toutes.

On serait Norvégien en le frais, en ce moment.

Pardon ?

On serait Norvégien en le frais, en ce moment.

Il s'est prêt en Norvège.

Comprenez ce qu'il dit, lui.

Non, mais il pense à nous, là, que le Norvégien a dit.

Si on était Norvégien...

Changer de place.

Non.

Quelque soit le travail, c'est toujours...

Et quand on change de métier, on est obligé de le refaire ?

L'exagone... Ah, ça c'est vrai.

L'exagone est bien loin de la clarté Norvégienne.

Il faut le faire à chaque fois.

Ah, il faut qu'on...

Il faut la présenter devant les autres.

Il faudra pourtant bientôt s'y mettre,

car à partir du 24 avril 2024,

le Conseil de l'Union Européenne a adopté une directive sur...

Un tatouage...

Un tatouage pour mettre rentré dans la...

Est-ce que c'est lié à la transparence ?

Oui.

Il faut... Ah, c'est donné son salaire.

Bonne réponse de Christophe Beaugrand.

La transparence des salaires.

Mais Christophe, Christophe va commencer d'ailleurs.

Oui.

C'est-à-dire que vous rentrez dans l'entreprise,

et vous dites combien vous guignez.

Exactement.

Chacun sait combien l'autre est payé.

Ah bah alors ça, ça m'intéresse grave.

Parce que notre patron nous dit qu'on est tous payés pareil.

Ah non, non.

Moi, je n'ai jamais dit ça.

Non.

Ce n'est pas moi qui m'occupe de vos salaires.

Le même.

C'est le 24 avril ?

Oui, oui, oui.

Youhou !

La, la, la, la.

Non mais c'est vrai que les Norvégiens

sont habitués à la transparence des salaires.

En France, ça ne se fait pas trop de dire combien on est payés

parce qu'on se rend compte qu'un collègue

qui est là depuis moins longtemps que vous

est payé plus.

Absolument !

Tu ne parles pas de Philippe Claudel,

par exemple, qui est assis à côté de toi.

Non, non, mais moi je paye pour venir.

Ah bon, alors ça va.

Non mais c'est vrai qu'on n'est pas habitués, Roselyne, en France.

Non, non.

Mais on voit ça dans les magazines américains.

On voit la suite, on voit un nom d'un patron

et entre parenthèses, il y a son salaire annuel.

Mais c'est vrai qu'on a quand même un problème

avec l'argent en France, donc c'est des choses

dont on ne parle pas.

Et on nous raconte dans l'expresse que l'autre jour,

c'est dans un groupe WhatsApp,

différents employés d'une même entreprise,

de bureaux, ils étaient une dizaine dans le même bureau.

Il faut un groupe WhatsApp pour une fête,

puis il se trouve qu'il y a quelqu'un qui,

innocemment, partage son salaire

dans la conversation avec tout le groupe.

Ah moi, je gagne 10 000 balles, donc je peux prendre plus de...

Et là, d'un seul coup, il y a tout le monde qui réagit.

Comment ça, tu gagnes ça ?

Il y a ceux qui sussent, ceux qui sussent pas.

Non, ce qui est rigolo parfois,

c'est quand vous avez une augmentation,

parfois, le DRH qui accède votre augmentation,

vous dit, ne le dis pas aux autres,

parce que t'es le seul à être augmenté dans l'équipe.

Oui, je connais !

Ça arrive, ça.

Donc désormais, vous allez donner votre cachet,

les uns et les autres, voilà.

Il n'y a que le patron qui ne dit rien.

On va être beaucoup moins drôles, d'un coup.

Ça va être sinistre.

C'est plus payé que moi, vas-y, fais rire.

Ça va pourrir l'ambiance,

jusqu'à la fin de l'émission, là, vous auriez jamais dit

poser cette question.

Parce que là, je sens, ils avaient été nervés, là.

Alors j'aimerais vous parler, justement,

maintenant, de quelqu'un qui a amélioré les choses,

le statut des comédiennes, ça va vous plaire,

Monsieur Michel Faux et vous aussi,

mademoiselle Mergo,

parce que c'est une actrice qui a joué

à la comédie française.

Alors il y a très longtemps, autant vous dire.

Alors c'est pas le salaire qu'elle a amélioré,

mais c'est la reconnaissance,

la reconnaissance de son métier,

parce que c'est vrai que les comédiens

étaient, pendant très longtemps,

maudits et enterrés en catimini.

Et grâce à cette actrice...

C'est excommunier, là ?

Elle a, oui, excommunié, même.

Grâce à cette actrice,

eh bien, les comédiens et les comédiennes

ont fini par avoir les honneurs

et l'a publié très exactement,

je vais vous dire, le livre qu'elle a écrit,

Liberté de la France

contre le pouvoir arbitraire

de l'excommunication.

Quelle est le nom de cette actrice ?

Alors c'est une actrice qui, effectivement,

est morte en 1803, Monsieur.

Oh là là !

C'est Jean !

C'est pas une actrice, c'est une comédienne.

Une comédienne, si vous voulez, effectivement,

tragédienne, même.

C'est Néma.

Alors c'était Némy de Voltaire,

pour tout vous dire.

Elle a, dans un premier temps,

intégré la comédie française,

comme les vieilles actrices.

Oui, mais là, c'est très, très mieux, là.

Elle a un théâtre à son nom ?

Elle a laissé son nom à quelque chose,

parce qu'on ne se rappelle pas d'une comédienne.

C'est Parachel.

Son nom est très connu,

moi je le connaissais.

Son nom est très connu,

elle a joué Fédre.

C'est la Chormélée ?

Non.

Elle a joué Fédre.

Une Renault ?

Elle a joué Fédre de Racine en 1743.

Elle avait comme rival impitoyable,

mademoiselle du Ménile,

et on disait d'elle qu'elle était trop actrice,

tellement elle en faisait, tellement elle est déclamée,

vous voyez.

C'est Adrien de Le Couvreur ?

Non, Adrien de Le Couvreur.

Non.

C'est la Cléron ?

La Cléron !

Bonne réponse, Michel Pau.

Bravo.

Vous voyez, vous la connaissiez ?

La Cléron.

Mais on joue du Cléron,

c'est pas la Cléron du tout.

Elle aimait qu'on souffre dedans.

Mademoiselle Cléron, c'était son nom,

ou encore la Cléron,

de son vrai nom.

Claire Josephie Politleris,

dite la Cléron,

elle est mort en 1803, la Cléron,

et c'est grâce à elle que vous serez enterrés normalement,

Isabelle.

Ah, super.

Mais pas tout de suite.

Pas tout de suite.

Attendons la fin de l'émission, quand même.

Non mais c'est bien quand même, Monsieur Faux,

vous voyez.

Ah, ça me plaît.

Il y a qu'aux grosses têtes que ça sert de la Cléron.

Une question du terrain pour Francine Plannes,

qui habite à Bvil,

c'est dans la somme, évidemment,

à Bvil, Madame Plannes,

Esperanchet-Kertel,

quel célèbre recueil fut publié

pour la première fois

sous le nom de Pierre Darmancourt ?

C'était le nom du recueil, ça ?

C'était un recueil paru en 1697,

et l'auteur, à l'époque,

a publié sous le nom de Pierre Darmancourt.

Et si on a le nom du recueil,

là, on sait tout de suite

de qui il s'agit.

Un, l'un et l'autre.

Absolument.

Ce sont des fables ?

Alors des fables,

pas tout à fait, mais pas loin, effectivement.

La Rochefoucau, la Rochefoucau, non.

Les caractères ?

En janvier 1697,

était publié un recueil

signé Pierre Darmancourt.

Ensuite, on suit que c'était un...

Non, en fait, il avait pris le nom

d'un de ses trois fils.

C'était de la poésie ?

Pour publier ce recueil de la poésie.

Non.

Des nouvelles, non plus.

C'était un peu orgiac, non ?

C'était un peu sexuel aussi.

Voilà, licencieux.

Merci de m'avoir trouvé d'adresse.

Je vous en prie.

Sauf que c'est pas ça du tout.

Est-ce que c'est quelque chose qu'on lit à l'école ?

Peut-être.

À l'école, je suis pas sûr, mais...

Est-ce qu'il y a une morale ?

À la fin, à la fin.

Ça arrive, oui, ça arrive.

Ce sont des portraits ?

Des portraits, non, non, non, non, non.

Des comptes.

Des définits.

Des comptes.

Des comptes, oui, spéro.

Des comptes.

Et c'est donc...

J'ai repéré.

Des comptes de Péro.

Des comptes de la mère-loie.

Des comptes de ma mère-loie.

Des comptes de ma mère-loie.

Des comptes de ma mère-loie.

De Charles Péro.

Bonne réponse de Roselyne Bachelot et Philippe Plodel.

Et oui, les comptes de ma mère-loie signé Charles Péro.

Sauf que la première fois que ce recueil fut publié

sous le titre Histoire ou Comte du Temps Passé

avec des moralités,

effectivement, ce fut publié sous le nom de Pierre Darmancourt.

Il avait pris le nom d'un de ses enfants,

Charles Péro, les comptes de ma mère-loie.

Vous êtes capables de me dire les huit comptes?

Non, parce qu'on confond avec d'autres.

Alors, le petit poussé bravo s'en fait.

Le petit chapeau rouge.

Alors, le petit chapeau rouge, oui.

Le petit chapeau de chapeauté.

De chapeauté, oui.

Sandrillon.

Sandrillon.

Sandrillon.

La belle au bois d'hormand.

Oui, la belle au bois d'hormand.

Blanche-neige.

Blanche-neige.

Blanche-neige.

Non, il n'y a pas Blanche-neige.

Il vous en manque un.

Blanche-neige.

Celle et grétin.

Poudane.

Poudane.

Le chapeauté.

Non, il vous en manque que deux.

C'est dit depuis une heure.

Ah, pardon excuse-moi.

La pâte patrouille.

Alors, je fais un petit...

Ratatouille.

Spiderman.

Je fais un petit résumé.

Vous m'avez dit, la belle au bois d'hormand, c'est bon.

Le petit chapeau rouge s'en fait de la barbe bleue.

Trois.

Le maître-cha ou le chapeauté.

Quatre.

Sandrillon.

Ou la petite pantoufle de verre.

Cinq.

Le petit poussé.

Poussé, pardon.

Six.

Ça fait six comptes sur huit.

Le petit poussé, parce qu'il n'y arrivait pas, il était constipé.

Un peu d'humour.

Stop.

Stop.

La culture sans...

Pour...

Poudane, c'est pas de péro.

Poudane.

Poudane, c'est pas de péro.

Non, non.

On connaît ou on ne connaît pas ça.

Alors, il y en a un, je pense que vous ne connaissez pas.

Ça s'appelle...

Ça s'appelle les faits.

Créser les faits.

Poudane.

Poudane s'est arrivé après.

C'est de péro, mais ce n'est pas dans les cours de...

Il nous manque quoi ?

Voilà.

Il nous manque quelque chose encore ?

Ce qui nous manque, on le connaît ou pas ?

Alors ce qui vous...

Les trois picochons.

Les trois picochons.

Ce qui vous manque, vous connaissez ?

Ça même, je crois, était un titre d'un livre.

Ça, ça va aider Philippe Claudel.

D'un livre d'Amélie Nauton.

Et regardez-moi, ça peut vous aider.

Regardez-moi.

Beaux gosses, beaux gosses.

À chaque fois, vous viquez à la houpe.

Viquez à la houpe.

Bonne réponse.

Magnifique.

La question musicale pour Mme Boitelle,

à la Bic Paris, sixième.

J'aimerais que vous retrouviez le nom de ce groupe américain

qui vient de l'Oregon aux États-Unis.

Portland précisément,

un groupe qui fait son retour.

D'ailleurs, la preuve, ils seront au Grand Rex,

en concert les 12 et 13 octobre prochains.

Les Eagles.

Et entre autres, ils reprendront des chansons

de Georges Moustachis ou de Philippe Catherine.

C'est du rock.

Du rock, non.

Les confagnants, les chansons.

Ils reprennent du Georges Moustachis.

Ils sont douze musiciens.

Oui, il y a une chanson de Georges Moustachis.

Ils ont quel âge ?

Ma solitude.

Ils ont quel âge ces gens-là ?

Ah bah écoutez.

La bande à Basile.

La bande à Basile.

La bande à Basile.

On cherche quoi ?

Un groupe français ?

Un américain de Portland dans l'Oregon.

Manatane transfert.

Manatane transfert.

Est-ce qu'ils sont âgés ?

Ecoutez, j'ai pas leur âge,

mais ils ont bien la quarante cinquantaine.

Ah non, ils sont âgés.

Les compagnons de la chanson ?

Peut-être soixante maintenant.

Ah bon, d'accord.

Non, en plus, ils ont fait un méga-tube,

on peut vous dire.

Qu'on connaît tous ?

Qu'on connaît tous, par coeur.

Les villages pipon.

Non, non, non, non.

Je les vois pas reprendre Georges Moustachis.

Ping, martini.

Ping, martini.

Ping, martini.

Excellent réponse.

Oh la la la la la la la.

Le barman m'a dit.

Respect.

Respect.

Mais je pensais pas qu'ils étaient américains.

Ils étaient américains.

Ils sont douze.

Et oui, ils sont douze.

Ah ouais ?

On ne connaît que la chanteuse.

Et évidemment, ce tube,

à chaque fois, fait penser qu'elle est française.

Ah moi, je pensais pas que c'était américain.

Ah j'adore cette chanson.

Et oui, c'est une américaine qui chante.

Et il n'est pas tout seul dans une groupe.

Ils sont douze, en fait.

Ping, martini, c'est un groupe,

un groupe de douze musiciens

avec cette chanteuse qu'on adore.

Et c'est vrai qu'ils reprennent.

On a Moustachis,

la version de ma solitude,

par Ping, martini.

Vous êtes déprimé ?

Tu vas mal dans votre vie ?

C'est joli quand même.

C'est la nuit de la déprime, non ?

C'est joli.

C'est très joli.

C'est une très belle chanson, ma solitude.

C'est moins joyeux que je ne peux pas travailler.

Moins vivant, vous ne toucherez pas Moustachis.

Attention.

Ah mais j'ai pas dit que c'était pas beau,

j'ai dit que c'était triste.

Moustachis, il était seul avec une guitare.

Là, ils sont douze, quand même.

Alors on a aussi une chanson de Philippe Catherine,

paraît-il, dans le spectacle.

Vous voulez ?

Oui.

Moi, ça m'étonne.

Voilà pourquoi Bernard a trouvé...

Elle vous connaît Ping, martini.

A vous et que vous vous connaissez.

C'est dommage, c'est dommage qu'il n'ait pas repris

la chanson de Philippe Catherine

sur la reine d'Angleterre.

Je suis la reine d'Angleterre

Je bouchis à la reine.

J'adore cette chanson.

Une question pour Emmanuel Vallaud,

qui habite Bonnie sur le Loire,

dans le Loire,

il a une question qui devrait favoriser

M. Bogrand,

puisque dans les années 70,

la question est,

comment reconnaissait-on

les homosexuels à San Francisco ?

Non, mais attendez, je ne suis pas

une ontologie de la tobe.

Est-ce que c'était avec les foulards

qui se mettaient dans la poche à l'arrière ?

Eh ben, voyez, bonne réponse !

C'était bien, la pâte va aller !

Il ne se fait qu'à lui-même.

C'est qu'après une délégation hypocrite.

Pas n'importe quel foulard !

Visiblement, il y avait des codes,

si vous aviez un foulard qui était doué,

pas n'importe quel foulard !

Ah, je ne sais pas...

Un bandana !

Et ça dépendait de la couleur du bandana,

ou s'il était noué ou pas,

on savait si vous étiez actif, passif,

si vous aimiez certaine pratique ou pas.

Un bandana bleu clair signifiait

qu'une personne était adepte

de sexualité orale, par exemple.

Ah, c'est l'air qui parle !

Il parle beaucoup !

C'est juste des mots.

Non, c'est pas ça.

C'est moi, ça.

C'est comme le langage de l'éventail.

Ah oui, expliquez.

Par exemple, à l'éventail, voilà,

si vous mettez votre éventail devant la bouche,

ça veut dire peut-être que je ne suis pas libre,

ça n'intéresse pas.

Vous avez l'air de plus de la gueule, oui.

Alors l'éventail fermé,

c'est bien parce qu'il m'écoute bien.

L'éventail fermé !

Je boive aux parents,

et croyez-moi, il y a de quoi faire !

L'éventail fermé sur l'oreille,

ça veut dire,

tu peux venir ce soir,

enfin, des choses comme ça, quoi.

Oui, ce sont des codes.

Ou le langage des mouches,

des mouches sur le visage.

Oui, absolument.

Ah, ça voulait dire des choses ?

Ah oui, oui.

Les dernières mouches, ça voulait dire quoi ?

Si tu les crasses là,

ça veut dire que t'auras une belle planée.

Daniel Evnoux, elle avait une mouche comme ça.

Une question historique pour David Berrier,

qui a mis trop libre oeil, c'est dans Loise.

Ma question vous emmène le 14 juillet 1789,

jour de...

La fête de la Fédération.

Oui, et de la prise de la Bastille.

Et ce jour-là,

un des pillards de la Bastille

va rentrer dans une cellule

et va repartir avec un précieux manuscrit.

Je peux même vous donner son nom.

Il s'appelait Arnaud de Saint-Miximain.

Il trouve un précieux manuscrit,

un précieux manuscrit

qui sera, après des décennies,

même des siècles,

qui sera vendu jusqu'à 4,5 millions d'euros

en 2015 dernier.

C'est même le ministère de la Culture

qui a eu besoin de mécènes

pour acquérir ce manuscrit.

4,5 millions de...

De quel manuscrit, ça ?

C'est pas les minutes du procès de Sade.

Oui, oui.

Et c'est donc...

Il y a pas une histoire de verge ?

Non.

Non, ça, c'est l'éonce plus verte et la polidaire.

Il sort dans le boudoir ?

Oui, qu'elle a hoop.

Non.

C'est pas la confession dans le boudoir ?

La confession dans le boudoir, non.

C'était sous rouleau.

C'était un rouleau à 13 ans.

Bien plus, je l'ai vu.

Eh oui.

Il n'y a pas Sodom et Gomorde.

Ah, allez-y.

C'est Proust.

C'est Proust, c'est Sodom et Gomorde.

Il y a un truc avec Sodom.

Eh oui, absolument.

Les 100 jours de Sodom.

Les 100...

Les 1000 jours, non ?

Les 100 jours de Sodom.

Il y a plein de Sodom.

Il y a les jours de Sodom.

Les 120 jours.

Les 120 jours de Sodom.

Les 120 jours de Sodom.

Ah, voilà.

Pas une réponse de Philippe Claudel.

Non, mais voilà, il était un prisonnier.

120 jours de Sodom, ça fait beaucoup, hein.

De Sodom.

De Sodom.

Attention.

Non, pas 120 jours de Sodom.

120 jours de Sodom.

C'est tout les jours.

C'est un peu ça, quand même.

Oui, oui, oui.

120 jours d'affilée.

D'affilée.

Si c'est tous les jours sans repos, c'est compliqué.

Ah, ça, c'est sûr que l'impact fait plus de euros.

Ça reclasse très fort.

Et sans bandane.

Et il a fini dans la pliade.

Et oui, et surtout, il est exposé maintenant ce rouleau,

parce que c'était sous rouleau, hein, ce manuscrit,

exposé à la bibliothèque nationale.

Mais pardon, mais qui l'a lu, et ça raconte quoi ?

C'est le manuscrit cylindrique,

et du livre le plus scandaleux du Marquis de Sade.

Mais Philippe l'a lu.

Il l'a lu plusieurs.

Oui, oui.

Un adulte m'avait mis les livres du Marquis de Sade

dans les mains quand j'avais 15-16 ans.

Alors c'est entre le roman et le journal intime.

Ce qu'il faut dire quand même.

C'est un rouleau.

Alors ça raconte quoi ?

Alors, ça raconte les 600 perversions atroces

que quatre notables d'Ajmour font subir

à 42 jeunes filles et garçons

rendus captifs dans un château de la forêt noire.

Oui, puis il y a de tout.

Enfin, il y a des scènes de torture,

il y a des scènes de viol.

C'est vraiment extrême.

En tout cas, M. Claudel avait raison.

Aujourd'hui, c'est bien dans la Play-Aid.

L'enfer sur papier-bible avait résumé

que les casques étaient assez jolies.

L'enfer sur papier-bible.

Et en plus, c'est exposé à la bibliothèque nationale.

C'était bien les 120 journées de sonhomme.

À Domino's,

on est tellement obsés avec la pizza

qu'on va essayer de tourner

tout ce qu'il y a dans la pizza.

Peut-être que le pizza de Fajitas

est un milkshake de pizza.

C'est probablement pas la meilleure idea

mais une bonne idée?

Domino's Loaded Tots.

Nous bâchons nos tots chauds et crispiers

et laissons-les avec un milkshake

et des bonnes toppings

juste comme notre pizza.

D'un de sauvage de filet de cheveux

à crevaux de cheddar et de bacon

et de moutons de milkshake

Domino's Loaded Tots

sont juste comme Domino's Pizza.

C'est seulement sur les tots.

Peut-être que quelqu'un

peut tourner un panneau dans ici?

Voyez Domino's Loaded Tots

la prochaine fois qu'il vous ordre.

Je suis Andrea,

founder d'un boutique

du brand Handbag, Andy.

Et ça, c'est pourquoi j'ai switché

à Shopify.

J'ai essayé 3 autres plateformes

avant de Shopify

et je me souviens

que mon point de break

était quand j'ai essayé

de faire un petit change

et que mon site entier

allait descendre.

Shopify m'a fait vraiment facile

pour moi de changer

tout ce qui s'est passé

et d'arrêter le terrain.

Je pouvais facilement

migrer mes produits

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jusqu'au prochain niveau

d'aujourd'hui.

Une question

de vocabulaire,

je sais que vous aimez ça,

tous,

il s'agit de retrouver

un mot français,

évidemment,

un adjectif

pour être très précis,

mais un adjectif

qui peut devenir

un non-comment

et ça signifie à la fois

propice, favorable,

heureux,

qui se déploie

et qui s'étale.

C'est ma vie !

Favorable,

heureux,

où tout réussit,

propice,

mais aussi que

c'est la vie.

Favorable,

heureux,

où tout réussit,

propice,

mais aussi qui se déploie

et qui s'étale.

Et ça devient

un mot ces substances ?

Oui, c'est un mot

qu'on utilise pas mal

ces jours derniers,

faut bien dire.

Voilà pourquoi j'ai eu

évidemment l'idée

de vous poser

cette question.

C'est un rapport

avec la vie de Charles III ?

Oui, c'est vrai

que c'est un rapport

avec Charles III.

Propice,

favorable,

heureux,

où tout réussit,

ou encore qui se

déploie

et qui s'étale.

Donc il y a

deux définitions,

soit ça, soit ça.

Je vous donne

un rapport avec le papa mobile...

Et puis je suis.

Ah oui, oui, oui.

Il y a beaucoup de syllabes.

Ah, c'est cool.

Il y a deux syllabes

dans une moeche.

Ça rapporte

avec le papa mobile ?

Non, pas du tout Bernard.

Est-ce que ça

rapporte avec la joie

de recevoir quelqu'un ?

Vos enfants rêvent

vrai,

j'imagine d'avoir

un papa mobile ?

Ah, oui...

Ah, oui...

Ah, Silia...

Ah...

Ah...

Le rapport,

bur Promised?

Heureux,

est-ce que c'est lié,

Guèpe ?

Est-ce que c'est lié

la danse dont on parle

Mais évidemment, on peut être pour ou contre, effectivement.

Ah, pour ou contre ?

Oui, oui, oui.

En fait, c'est un seul mot pour deux sens différents.

Voilà ce qui vous perd.

Oui.

Et effectivement, le premier sens...

Non, il n'y a pas que ça.

Le premier sens de l'adjectif, c'est propice, favorable, heureux, où tout réussit.

Et puis le deuxième sens, celui du nom commun, c'est...

Prosperit.

Prosperit.

Yo blaboum, c'est le roi du pain d'épices.

Mais non, rien à voir avec prosper.

Propice, favorable, heureux, où tout réussit.

Ça, c'est l'adjectif.

Et puis, le nom commun, c'est plutôt qui se déploie, qui s'étale.

Oh là, mais vous avez un autre indice, parce que là...

Le zèle.

Le zèle, non.

Alors...

Ah, c'est...

Vous avez déployé les zèles.

Si on avait un auteur.

Non, parce que les zèles, c'est ce que vous dites, Bernard.

Si on avait un auteur.

Là, l'auteur est fatigué.

On a un auteur.

Est-ce qu'on peut avoir la première lettre ?

Ah non, sûrement pas.

Pour la dernière, c'est le E.

La dernière, c'est un E, puisque je vous ai dit qu'il y avait une syllabe.

Quasimuette.

C'est en deux syllabes et une quasimuette.

Donc c'est...

Ah, ça c'est...

Je peux pas mieux vous dire que c'est rapide, ça, c'est sûr.

Ah rapide !

C'est un lien avec la rapide.

C'est pas étale.

Pardon ?

Éteile.

Éteile, non.

La vie.

Il y a deux.

Philippe, il faut que je vous apprendra un petit peu, là, on me prend ça.

Voilà.

Il y a deux syllabes.

Éteile.

Attendez, dans les deux syllabes, il y en a une qui est muette.

Donc ça fait que...

Ça fait que un truc que...

Par exemple, tale.

Tale.

Pas étale.

Mais juste tale.

Je vous en ai donné des indices pourtant, à mon dieu.

Il a dit c'est rapide et il y a un truc par rapport à ça.

La fin.

Fast.

Non.

Pardon ?

Fast.

La réponse de Philippe Connell, évidemment.

Oui, mais je l'ai aidé parce que j'ai remis.

Je l'ai remis dans l'irrâne.

Je savais depuis le début, mais j'attendais...

Et oui, le fast.

Il y a deux sens, évidemment, au mot fast.

Le fast qui se déploie et qui s'étale.

La magnificence qui se déploie et qui s'étale.

C'est un jour fast.

Le fast.

Et puis après, deuxième sens.

Le sens en termes d'adjectif.

Un jour fast.

Un jour propice.

Un jour favorable.

Un jour heureux.

Tout.

Ça n'est pas le même sens, vous voyez.

Selon que ce soit l'adjectif ou le nom qu'on utilise.

A-S-T-E.

Et évidemment, qu'est-ce que vous dites ?

Avec un F comme formatie.

Enfin, je veux dire fast, P-H-A-S-T-E, on est d'accord.

Pas vraiment.

Avec un F comme formatie.

F-A-S-T-E, fast aussi.

Je vous ai dit que c'était un mot rapide, évidemment.

Je veux debout avec l'anglais.

La traduction.

Ah !

Ah !

Ah !

Fast and for you, sir.

Voilà.

Ah yes.

Il y a des bilags.

Fast and for you.

Et bravo, monsieur Clonel.

Il est fort, il est fort.

Merci.

Il me plaît que vous ayez retrouvé le mot fast.

Il me plaît.

Il me plaît.

Il me plaît.

Il me plaît.

Stéphane Berne.

Il me plaît.

Oh !

Oh, c'est tellement.

Il y a tellement de fast dans cette émission avec Laurent Ruequier.

Il me plaît de vous écouter.

Pour Carole Braguette, qui habite...

Carole Braguette.

Elle s'appelle vraiment Braguette.

Oh, Carole Braguette, je l'ai bien connu.

Ça tombe bien tout à l'heure.

Belle ville survie, en plus, en vendée.

C'est une question littéraire.

Si elle baisse pas, c'est l'un.

Qu'est-ce que vous avez dit, vous ?

Si elle baisse pas, c'est l'un, c'est l'un.

Il y a un bateau qui fait nos frags et les heroines meurent noyées

dans les bras du héros et les deux, d'ailleurs.

Paul et Virginie.

Et c'est Paul et Virginie.

L'auteur de Paul et Virginie.

Bernarda de Saint-Pierre.

Bernarda de Saint-Pierre.

Bonne réponse du duo Vachelot Clonel.

Le livre du jour.

Le livre du jour est signé Helen Gâteau que vous connaissez peut-être

parce que cette vétérinaire pendant longtemps

a participé à de nombreuses émissions de télévision

que ce soit avec Laurent Boyer ou Vincent Perrault, par exemple.

Ces propres émissions, vous l'avez entendu aussi régulièrement sur RTL

et elle publie un livre qui fait beaucoup parler.

Ah oui, c'est génial.

C'est ce titre incroyable.

Pourquoi j'ai choisi d'avoir un chien et pas un enfant ?

Un éclairage inédit sur la place d'un animal dans une vie.

C'est chez Albin Michel.

On va avoir Helen Gâteau au téléphone dans un instant et va tout nous raconter

sur son enfant qui est donc un enfant qu'elle a appelé Colonel

puisque c'est son chien.

Le livre est préfacé, le livre d'Helen Gâteau,

par quelqu'un qui s'amuse, évidemment, de cette comparaison.

C'est Béliniaque.

Non.

Pourquoi celui qui préface s'amuse de cette comparaison ?

Par raison, c'est parce que lui-même a été promené par sa maman

avec un arnais avec une laisse.

Ça me rappelle d'ailleurs moi aussi.

Moi aussi.

J'ai souvent raconté ça, mais moi aussi j'ai eu une laisse.

Avant d'avoir un enfant, j'étais choqué,

mais quand je vois comment il court partout,

parfois ça peut être patinant.

Et celui qui préface le livre d'Helen Gâteau raconte effectivement

qu'on l'a fublé d'un arnais pour retenir sa chute.

Pendant deux ans, ma mère me ta enlaisse à la promenade.

Mais il a voyé ou pas ?

Après, ça donne le goût du fouet aussi.

Est-ce que c'est un écrivain ?

Un autre très grand écrivain

qui préface le livre d'Helen Gâteau.

Est-ce que c'est un écrivain qui est déjà venu aux grosses têtes ?

Qui est déjà venu aux grosses têtes ?

Non, il pourrait.

J'en serais ravi.

C'est quelqu'un qu'on aime bien,

qui écrit des best-seller régulièrement.

Il a au moins la soixante-tête.

Il est vieux ?

Il est né en 70, 12, 19, 60.

Il était encore tenu en l'est.

Il n'est pas Maxime Chatham ?

Du torture ?

Du torture, non.

Qu'est-ce qu'il écrit des romans policiers ?

C'est une question, je ne l'ai pas dit,

pour M. Rico, Nicolas Rico,

qui habite la Madeleine Russie.

C'est un homme.

J'ai une copine qui me dit

j'ai couché avec un de mes clients.

Je ne sais pas grave,

ça arrive souvent quand on est dans la santé.

Elle dit oui, mais moi je suis vétérinaire.

Ah bah ça va faire à Helen Gâteau.

Alors attendez, est-ce qu'il écrit plutôt

des romans policiers, ce monsieur ?

Des romans policiers, non, non, non.

Il publie régulièrement,

il a beaucoup de succès,

il est écrit dans la presse aussi.

Il vit en France.

Besson ?

Et on connaît...

Bussi ?

Bussi, non.

Il vit en France.

Éric Besson, non.

Il vit en France.

Oui.

Même si il voyage...

Éric Besson, ce n'est un ministre.

Oui, c'est Philippe Besson.

Même si il voyage beaucoup.

Éric Besson, c'est un ministre.

C'est ni Éric, ni Luc,

ni Patrick Besson.

C'est pas un Besson.

C'est pas un Besson.

C'est pas un Besson.

C'est pas un Besson.

Et il voyage beaucoup, cet homme-là.

Oui, oui, oui.

Et il est connu pour ses voyages.

Ah, oui.

Marc Lévis.

Parce qu'il raconte,

de temps en temps, effectivement,

ses voyages.

Sylvain Besson.

Comment ?

Sylvain Besson.

Sylvain Besson.

Bonne réponse de Philippe Caudel.

C'est Sylvain Besson.

Bonjour, Helene Gâteau.

Bonjour, Laurent.

Et bonjour à toute l'équipe des grottettes.

Bonjour, Helene.

C'est vrai que ça y fait quand même

d'avoir une préface signée Sylvain Besson.

Ah, c'est plutôt chic.

Et j'avoue que quand il a accepté

de l'écrire pour moi,

c'était un cadeau inestimable.

Et pourquoi vous lui avez demandé à lui alors ?

Je vais demander à lui parce que j'ai eu l'occasion

de le rencontrer à plusieurs reprises.

Je suis en total admiration

sur les valeurs qu'il véhicule,

sur le fait que pour moi,

c'est le plus grand écrivain contemporain

que nous ayons aujourd'hui.

Et parce que je savais également...

Je m'en vais, moi.

Je m'en vais, là.

Si vous pouvez ajouter après Philippe Caudel.

Après Philippe Caudel.

Après Philippe Caudel.

Voilà, merci.

Parce que je savais qu'il ne voulait pas d'enfant

qu'il s'était déjà exprimé sur le sujet.

Donc je me suis dit qu'il y a peut-être qu'il peut avoir un regard,

une prise de hauteur par rapport à mon sujet mathématique

de ne pas vouloir d'enfant

et puis de vivre une forme de parentalité

avec un animal.

Je trouvais que son éclairage était persuadier

qu'il pourrait être extrêmement intéressant et pertinent

et je me suis pas trompé.

Pourquoi j'ai choisi d'avoir un chien

et pas un enfant chez Albin Michel ?

C'est un livre qui fait parler

parce que certains sont choqués évidemment

par ce titre et l'âne-gâteau.

Oui, alors ça fait parler à double titre.

À la fois mon titre est effectivement un peu provocateur

et puis finalement c'est deux choses qui se superposent

et que je traite dans mon livre.

C'est aujourd'hui, on peut être une femme

et c'est pas louir autrement que dans la maternité

même si c'est encore difficile à admettre.

Je le vois par rapport à tous les commentaires,

les témoignages de femmes que je reçois

et qui me disent merci de prendre le sujet

sur cette parole-là.

Et puis le deuxième sujet que je traite,

c'est effectivement ça.

C'est l'amour qu'on peut avoir pour un animal.

C'est très si pro-tité aussi.

C'est-à-dire que ça ne va pas que dans un sens.

Je sais, les études scientifiques le prouvent

que mon chien même, je suis son être d'attachement,

ce sont ces deux tendances-là

que l'on voit beaucoup aujourd'hui dans notre société

parce qu'on a besoin d'avoir cet amour de l'animal

qui fait la grâce de tout jugement.

C'est un amour qui est précieux et inédit

et je pense que ça parle à beaucoup de monde aujourd'hui.

Donc c'est vrai que ça fait pas mal parler

et je suis contente de prendre la parole sur ce sujet-là.

Et pourquoi vous l'avez appelé Colonel, votre fils alors ?

Il y a une histoire que je raconte dans le livre

mais en gros c'était une série Netflix

que je regardais dans laquelle un chien s'appelait President

et donc moi je dis que c'est sympa President

mais en français Président, ça sent un peu moins bien.

Donc j'ai cherché un titre, il s'appelle Colonel.

Et c'est un bordeur terrier, c'est ça ?

Comment ?

Un bordeur terrier.

C'est un bordeur terrier, c'est ça.

Et en plus il a des petites moustaches,

donc on me dit souvent que son nom lui va bien

parce que ça lui donne une tête de Colonel,

son petit look-up.

Pourquoi ?

Ça peut exister qu'avec un chien, un amour comme ça.

Est-ce qu'avec un chat, ce serait pareil ?

Oui.

Je vais pas sous-estimer l'amour que les gens peuvent avoir

avec leur chat.

La seule différence c'est qu'avec un chien,

on peut partager beaucoup plus de choses,

je pense qu'avec un chat.

Et qu'avec un poisson, parce que...

C'est vrai que c'est un poisson.

L'amour, si vous avez un tomoreuse,

c'est un tom par exemple.

Vous voulez lui faire un câlin ?

Il y en a beaucoup des sons.

Moi je vais que avec un tom.

Et inversement.

Non mais, c'est vrai que tant qu'on ne peut pas le prendre

dans les mains, dans les bras, c'est compliqué.

Quand on se passe du contact au chat,

entre la tortue et le poisson.

Non mais le contact physique, c'est ça.

Mais des chats, j'ai vu des gens promener leur chat.

Le contact physique, le contact physique,

le morpheon, c'est très bien aussi.

Il est fidèle.

Ça m'est arrivé de voir des gens,

de croiser des gens,

promener en laissant un chat.

C'est rare, mais ça arrive.

Ça peut être intéressant,

pour un chat qui me vit qu'en intérieur,

c'est dommage de ne pas pouvoir lui permettre

de voir aussi un petit peu d'autres horizons.

Donc, il ne s'agit pas de promener

en pleine sur l'équée à Paris.

Mais si vous habitez à la campagne

et que vous avez un chat d'intérieur

qui va moins risquer sa vie de se faire écraser,

pourquoi pas promener en laissant

à condition, bien sûr, de l'inhabituer ?

Est-ce que les gens vous reprochent

par rapport au titre, en tout cas,

quand il y a des gens qui critiquent,

c'est le côté anthropomorphisme,

que vous comparez un chien à un enfant.

Ah oui, mais ne comparez pas.

Non mais avec le titre.

Non mais le titre ne compare pas.

Oui mais c'est ce qu'on peut lui reprocher.

Oui, alors c'est ce qu'on me reproche

mais tout de suite je désamande sans disant

attendez, je sais bien la différence.

J'ai la tête sur les épaules entre un chien et un enfant.

La vie d'un chien est bien sûr inférieure

à la vie d'un enfant.

Cependant ce que je compare c'est le lien d'attachement

et je m'appuie du scientifique et sociologique

qui montre que le lien d'attachement

est extrêmement similaire et c'est ça que je compare.

C'est votre premier chien ?

Non, c'est pas mon premier chien.

J'en ai eu d'autres mais l'autre j'étais plus jeune

aujourd'hui, comme j'ai 42 ans aujourd'hui

c'est vrai qu'il a une place plus importante

de la vie de femme un peu plus mûre

que quand j'étais étudiant.

Les autres chiens ont grandi maintenant

ils font des études et tout.

Ils ont quitté la maison.

Ils ont pris leur appartement.

Je ne sais pas si vous avez eu une interview de Vincent Dodienne

que je connais bien évidemment

acteur et humoriste Vincent Dodienne

qui lui non plus n'aime pas beaucoup les enfants

il ose le dire dans une interview

qui vient d'être publiée assez drôle

et il annoncerait que je déteste les enfants

un chien c'est moins contraignant et moins cher.

Ah ben ça c'est sûr.

Moi je ne dis pas que je déteste les enfants attention.

Ah mais lui il le dit.

Il dit je suis très mal à l'aise avec les enfants

je suis pédophobe.

Mais vous savez qu'il n'est pas au tour de vous aujourd'hui

mais Alex Vizoret qui dit des choses comme ça

aussi. Pourquoi j'ai choisi d'avoir

un chien et pas un enfant c'est le livre

qui fait parler actuellement.

C'est chez Alba Michel, c'est signé Helen Gâteau

et c'était notre livre du jour.

Une question pour Stéphanie Fargier

comment s'appelait la tribu

dirigée par Pyrrhus 1er

tribu grec

qui était la 3e tribu

la plus connue avec les chaoniens

et les test-prottes.

Ah parce que ça aussi c'était connu selon.

Les chaoniens et les test-prottes.

C'est un nom grec.

Alors c'est un nom qui vient du grec

évidemment c'est une tribu

évidemment de l'Antiquité

qui était dirigée par Pyrrhus 1er

et le plus célèbre grec appartenant

à cette tribu était Alexandre Legrand

car sa mère était une princesse

de cette tribu.

Est-ce que c'est un nom ?

Les macédoniens

qui les sparsiatent

non les personnes.

Est-ce que c'est un nom qui est maintenant utilisé

pour désigner autre chose ?

Qu'est-ce que vous avez dit ?

Les sparsiatent et l'autre y répond.

Les trompésiennes.

Madame Bachelot était en train de poser

une question intéressante.

Qu'est-ce que vous avez disait maintenant

pour désigner autre chose que cette tribu ?

Absolument et d'ailleurs ce n'est pas sans lien

avec notre interlocutrice précédente.

C'est un rapport avec les chiens.

Animalice.

C'est un rapport avec les chiens.

Les camels.

Les croquettes.

Non cette tribu était réputée

pour leurs chiens de combat

que les bergers utilisaient

pour garder leurs troupeaux

et le plus célèbre.

Et le plus célèbre de ces chiens

était celui d'Alexandre Le Grand

qui s'appelait Peritas.

Les bulldogs.

C'est pas une race de chiens.

Ça désigne des chiens.

Les canidés.

C'est pas une race mais ça désigne des chiens.

Oui absolument.

Les molosses.

Les molosses.

Les molosses.

Pas la réponse de Bernard Maville.

Les molosses.

Les molosses.

Les molosses.

Effectivement les molosses.

Les molosses.

Étonnant que ce soit lui

qui trouvait quand même sa réponse.

On n'a pas dit les molosses.

On a dit les molosses Roselyne.

Les molosses.

Tout le monde connaît ce mot

qui désigne les chiens imposants

dans le langage courant.

Les molosses.

C'était une tribu grec

à partenaire Alexandre Legrand.

C'est une très bonne réponse.

Bravo.

Une autre question

liée à la qualité.

Cette fois pour Amandine Pijot

qui habite...

Elle roule en quoi comme voiture ?

Elle roule en Pijot.

Amandine Pijot habite dans la marne.

Et moi je vous emmène

tout simplement sur le site de Beauvoir

dans l'Allié.

C'est là-bas qu'on peut trouver

si on arrive à l'extraire

de l'or blanc.

Le lithium.

Bonne réponse

de Mme Bachelot.

Bravo.

Pour Maria Da Silva

qui habite brouillée dans les sônes.

Chaque année, on en fabrique

60 millions

dans une petite usine de palaiso.

Il faut dire que ce sont...

60 millions ?

Oui, c'est beaucoup.

Il y a des années...

Alors oui, sauf que les exportes en Belgique

en Espagne, au Royaume-Uni

c'est 100% tricolore

qui détient plus de 60%

du marché national.

Est-ce que ça se mange ?

Non, ça ne se mange. On marche avec.

Et ça a de plus en plus de succès

autant vous dit.

Ça va par peur.

Ah, des chaussures de tennis.

Des chaussures.

C'est des chaussures.

On marche avec.

Est-ce que c'est un bêtement ?

Est-ce que c'est un accessoire qu'on porte ?

C'est un accessoire qu'on porte.

Des boucles d'oreilles.

Mais on se rapproche.

Des suspens soirs.

On écoute de la musique avec...

Ah, des boules-quiesces.

Des boules-quiesces.

Bonne réponse

de Christophe Vogrand.

Alors, ça laisse

des petits dessins.

Ça dépend où vous mettez.

Il ne faut pas nommer.

Je prends que celle en caoutchouc.

Il n'y a rien d'un mémoire de forme.

C'est profond.

Vous avez en cire.

Il y a celle en caoutchouc qu'on enlève.

Il faut enlever le petit coton autour de la cire.

Est-ce que si tu laisses...

Sortir dans la boîte.

Sinon ça fait mal.

Sauf que

ce genre de produit

et il n'y a pas que les boules-quiesces.

Ils sont lavables.

Oui, en mémoire de forme.

En mémoire de forme.

Ce qu'il y a dans les avions, quand vous prenez l'avion.

Vous ne m'écoutez pas non plus.

Je ne vous dis pas que celles-ci

on les change aussi au bout d'un moment ou au bout d'un mois.

Par exemple, on les change.

Moi, je vous parle.

Moi, ça fait 12 ans.

Je fais une drôle de couleur.

Je vous parle de boulons durs.

Des boulons durs.

Vous les mettez souvent dans les oreilles.

Ils se mettent de côte quand même.

C'est des petits imparés.

En fait, plus ça va, plus les gens ne veulent rien entendre.

Peut-être que ça nous écoute.

Vous comprenez ce que je veux dire.

C'est-à-dire que le bruit est devenu vraiment

une nuisance pour la plupart des gens

qui se mettent désormais dans les oreilles

des choses qui sont, on va dire, plus pérennes

que des boules-quiesces.

Est-ce que je m'exprime bien ?

Oui, oui.

Et donc on achète...

Il y a des marques qui font carrément

des choses que vous allez garder toute la vie

et que vous mettez dans les oreilles

toute la vie.

Avec quoi sont faits les boules-quiesces ?

C'est de la cire ?

Il y a où la cire ?

Tu serais de la haine.

Mais non, le truc.

Quand mes marques de bordeaux te parlaient avec Isabelle.

Mais moi, j'aimerais bien connaître la boule-quiesce.

T'en as un eucalyptus, mais là, c'est des suppositoires.

On va se tromper.

Je crois qu'on a fait le tout.

Mais moi, je crois.

Mais là, a priori, oui.

Mais on se retrouve après les infos de 17h.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier,

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec madame Roselyne Bachelot,

madame Mademoiselle,

madame Isabelle Mergo,

monsieur Philippe Claudelle,

Bernard Maby, Michel Faux

et Christophe Gaudre.

Pour Claudine Laflèche, madame Laflèche habite

Ornu en Belgique.

Ça en fait au moins une là-bas.

Laflèche.

Ça, c'est pas gentil, vous m'occuillez.

On embrasse nos amis de bel RTL

qui nous écoutaient madame.

Et la question qui vient,

c'est plutôt pour monsieur Faux et madame Bachelot.

Parce que l'une, évidemment,

est amatrice, on le sait d'opéra.

L'autre, mais enseigne carrément

des opéras, Michel.

Et vous aurez forcément la réponse

à cette question, puisqu'il s'agit

d'un opérat où l'empereur

néerron en visage de réputation.

Le couronnement de popée.

Très bien, ne me faites pas ça

comme ça avec un mépris total.

Carrément.

Le couron.

Rappelez-moi le gars du rock'n'roll.

On a définitivement perdu l'auditeur.

C'est la réponse.

Vous êtes en train d'énerver l'auditeur.

La castarfure du VSV.

Tout le monde ne connaît pas le couronnement de popée.

Le couronnement de Claudio Monteverdi.

Le couronnement de Claudio Monteverdi.

Baaah la réponse de Roselyne Bachelot.

Et c'est bien ?

Ah bah, est-ce qu'elle peut chanter

le couronnement de popée ?

Non, t'as vu Monteverdi,

donc je ne l'ai vu monté personne.

Le couronnement de Popée,

effectivement, c'est l'histoire de néron

qui est en visage de répudier sa femme.

Comment il s'appelle sa femme ?

D'où s'il y a ?

Ah bah vous voyez, je vais vous coisser.

Ah bah je suis content, c'est pierre !

C'est ma mère !

C'est ma mère !

Autre question subsidiaire.

Pour 300 euros, pour m'amener la flèche.

De Belgique, ornu.

Femme va la faire crecer les dune aie la poche lourde.

Comment vous avez voulu faire votre snode ?

Comment ça s'appelle la femme de Popée ?

Non, de néron.

C'est Olivier, la femme de Popée.

Popée, c'est la maîtresse qu'il veut mettre

sur le trône.

Ah bah oui, c'est une meuf Popée.

C'est une meuf Popée.

Ah bah oui, c'est une meuf Popée.

Popée, il veut mettre Popée sur le trône

à la place de sa femme.

Comment il s'appelle sa femme ?

On fait mourir la maline.

Oh non, tu fais mourir la maline.

Ah oui, ça peut arriver.

Ensoise.

Qu'est-ce que vous dites ?

Je le sentais, Popée de Sire.

Je faisais le lien avec cette question

et les boules caisses d'avant.

Octavie, c'est Octavie.

Octavie, bah, très grosse Michel Faume.

On a des très grosses tecs aujourd'hui.

Et du coup, la madame belge

de Hornu, elle a perdu.

Effectivement, c'est Octavie,

la femme de l'empereur néron.

Il veut faire monter sa maîtresse

sur le trône à la place

d'Octavie, malgré les avertissements

du philosophe Sénèque

et les menaces de complot ou de chantage

fomentées par leurs rivaux

d'anciens amants et conduits, je vous en passe.

C'est une furie amoureuse

cette opéranovauté verdie.

C'est un très bel opérant.

C'est vrai ?

Vous voulez vraiment que l'auditeur du verre se suicide ?

Non, mais on peut le faire en rock'n'roll.

On peut faire du pop'n music.

Vous voyez ?

On peut le faire en rock'n'roll, Isabelle.

Non, moi, regardez pas comme ça.

Le rock'n'roll,

moi, il n'y a que Brassens.

Mais bon.

Faites-moi pop'n en rock'n'roll,

monsieur Beaugrand.

Vous avez Néron.

Alors Néron, il veut mettre

pop'n sur le trône à la place d'Octavie.

Sur le trône à la place d'Octavie.

Ok, tu peux recycler Britannique

sur le passage.

L'empereur Néron, il a gagné beaucoup.

L'empereur Néron, il veut virer son...

Vous voyez que vous n'y arrivez pas.

J'embrasse mon rival,

mais c'est pour l'étouffer.

Merci de me soutenir,

mais c'est gentil d'essayer.

Bravo Roselyne.

Vas-y, salut les gars, je m'appelle Néron.

Moi, j'ai beaucoup de thunes, j'ai beaucoup de ronds.

Et ma meuf, elle s'appelle pop'n

et je vais bien la niquer.

Et ta vie, Octavie,

tu l'oublies, SNK.

Octavie, je l'oublie.

Maintenant, ma meuf sur c'est pop'n

et je vais la mettre sur le trône et la niquer.

Et là.

Voilà, là, comme ça, on parle à tout le monde.

Voilà, c'était les gars.

Au téléphone, dans un instant, on va avoir une actrice

dont je vais taire le nom,

parce que je sais qu'autrement, Monsieur Faux,

va tout de suite savoir ce qu'elle joue sur scène.

Et cette actrice joue sur scène

une héroïne très grande,

d'ailleurs 1 mètre 1975,

à peu près, et lancée pour Matt, d'ailleurs,

sous une chevelure de jet,

un regard ténébreux, une bouche sensuelle.

Mais une héroïne qui va mal finir,

puisqu'elle va être fusillée

le 15 octobre 1917,

de quel célèbre...

Matarie.

Matarie, évidemment.

Bonne réponse collective.

Même moi, je le savais.

Mais Matar a ri moyen ce jour, là,

pendant ma main.

Ariane Mourier, tôt téléphone.

Bonjour, Ariane Mourier.

Bonjour.

C'est vous qui jouez Matarie,

ou la justice des hommes, au petit Montparnasse,

actuellement.

Et c'est vrai que c'est un rôle incroyable

que le rôle de cette femme,

qui fut, on peut dire, danseuse,

exhibitionniste au départ, c'est ça ?

Ah oui, c'était une des premières

strictiseuses, je dirais.

Voilà, une courtisaine,

une prostituée,

est-ce qu'on peut aller jusque-là ?

Oui, on peut aller jusque-là.

On peut aller jusque-là.

Elle a vendu ses charmes

pour de l'argent, beaucoup.

Oui, on va y faire.

On va y faire.

Oh, ça va.

Alors il faudrait m'expliquer que

effectivement, elle a été accusée

d'espionnage au profit

de l'Allemagne contre la France.

Est-ce que ça a réellement été prouvé ?

Est-ce que la pièce que vous jouez

nous montre qu'au fond, elle était peut-être

innocente ? Enfin, innocente, pas totalement

de toute façon, mais quand même que

peut-être on l'a injustement fusillée.

Alors oui, il se trouve que ce qu'on a

découvert, que les secrets

qu'elle avait transmis aux Allemands

étaient vraiment pas grand chose.

En fait, elle prenait l'argent

et elle a fait des seins blancs

d'espionner un petit peu.

Quand on l'a fusillé,

on s'est acharné sur elle d'ailleurs.

Elle a été fusillée, je crois qu'elle a eu

plus de 40 balles, après on l'a acheté

dans une balle dans la nuque, après on lui a

coupé la tête.

On était sûr qu'elle était morte.

On lui en voulait énormément, manifestement.

Alors qu'en fait, elle avait pas fait grand chose ?

En fait, elle avait pas fait grand chose,

elle s'est surtout servie d'elle beaucoup

en fait. On l'a surtout utilisé.

On l'a utilisé de contre espionnage

et effectivement, comme elle couchait beaucoup,

on va dire, ça n'a pas arrangé

les choses. Elle avait ce qu'on appelle

une mauvaise réputation.

Au départ, elle était néerlandaise, c'est ça ?

Oui, elle était néerlandaise.

Elle a épousé, son premier mari

était officier dans les Indes orientales.

Donc elle est partie

dans les Indes orientales.

Et puis, c'est là qu'elle a appris

les donces orientales un petit peu.

Elle s'est habillée à la Javanais, c'est bien ça.

Gainsbourg, Gainsbourg.

Elle parlait le Javanais, elle a appris

la danse Javanais, mais il se trouve

qu'elle avait un timbre basané au départ. C'est bien ça ?

Oui, c'est ça. On aurait pu

penser qu'elle était orientale, qu'elle avait

des donces orientales, mais on n'avait pas du tout.

C'est complètement inventé un personnage.

Elle avait un côté un peu mythomanes

et donc, elle s'est inventée ce personnage

structureux de donces orientales.

Et dans cette pièce de Marc Faillet

mis en scène par Delfine Pierre, est-ce qu'on parle

du début de toute cette période,

en Inde, et du moment où elle apprend

la Javanais ou est-ce qu'on est uniquement au procès ?

On commence

au procès, mais on revient par flashback.

Alors pas quand elle est dans les Indes, mais quand elle

commence

à être une star, quand elle commence

à se produire sur les scènes parisiennes, notamment.

Et vous dansez nu sur scène ?

Presque.

Mais en ce qui est, il faut dire, c'est que

ça, c'est une histoire incroyable. Elle a eu

aussi des enfants qui ont été empoisonnés

quand elle était encore en Inde, c'est ça ?

Il y a plusieurs théories sur cet empoisonnement,

mais effectivement

l'une d'elles serait que son mari

avait couché

avec sa bonne,

et c'est le mari de la bonne

qui, pour se venger, a empoisonné

l'enfant.

L'histoire de cette femme est effectivement

hallucinante.

En tout cas, elle a fini par vendre

ses charmes à Paris, elle est devenue

une énorme vedette.

Elle a été condamnée à mort pour intelligence

de l'ennemi. Le président de l'époque, c'était Raymond

Poincaré, qui n'a pas voulu la grâcier.

Eh non.

Elle a encore en grâche, elle n'a pas fonctionné.

D'où cette fusillade, le 15 octobre

1917, on dit qu'elle est arrivée

pour se faire fusiller, coiffée

d'un grand canotier et vêtue

d'une robe garnie de fourrure

avec un manteau jeté sur les emplois.

C'était Camilla.

Elle était chic.

Elle a refusé d'être attachée au poteau

et a refusé aussi le bandeau

qu'on lui a proposé sur les yeux.

C'est vrai ?

Tout à fait ça, et elle a même envoyé

un baiser au soldat qui allait

tirer.

Elle avait qu'elle a l'âge à l'époque.

Elle avait 40 ans.

Et comme ça se passait tôt le matin,

elle aurait eu cette dernière phrase

qu'elle étrange coutume des Français

que d'exécuter les gens des lobes.

Oui, comme tous les gens de

scène, on comprend pas vraiment

les gens qui se lèvent très tôt.

Est-ce que c'est

une phrase que vous prononcez

sur scène ? Est-ce qu'on va jusqu'à

l'exécution au théâtre Montparnasse ?

C'est la dernière phrase du spectacle

sous scène.

Et là vous partez sous les applaudissements

totalement fusillés.

Ça doit être quelque chose quand même

de jouer Matarie.

Ah oui, c'est dans.

Ariane Maurier sur scène

au petit Montparnasse avec Olivier

Clavry, Bruno Pavio, je cite

le mot de Le Guénédal,

courtisane, cocotte,

espionne. On vous conseille ce spectacle

au petit Montparnasse. On va rappeler

que vous aviez obtenu un mollière

de la révélation théâtrale

pour une pièce mis en scène par Mathilde

Amé. C'est bien ça, Ariane ?

Tout à fait. Et après, le second rôle

pour une pièce mis en scène par

Léonabré Bon.

C'était pour comme il vous plaira

la pièce de Shakespeare.

Avec Barbara Schulz, c'était la version

de Matarie, Matarie

fusillée au petit Montparnasse.

Matarie ou la justice

des hommes, c'est actuellement

sur scène. Merci, Ariane Maurier.

Oh Pierre,

qui sera la meilleure histoire ?

Anthony est au téléphone à Hochelle

dans le Pacte Calais. Anthony va miser

sur une des grosses têtes à propos des blagues

du vendredi, des blagues qu'on a confiées

à nos camarades et qui vont tenter

de les raconter le mieux possible. Bonjour Anthony.

Bonjour tout le monde, bonjour l'équipe.

Anthony, quand vous allez savoir pourquoi vous jouez,

vous avez intérêt à miser sur la bonne

grosse tête, croyez-moi.

Vous allez peut-être partir

grâce aux grosses têtes.

Dites-moi ce que vous faites d'abord dans la vie, Anthony. Alors, c'est un jour de maintenance.

Un jour de maintenance. J'ai l'art du suspense,

du teasing là.

Eh bien Anthony, vous allez peut-être partir avec votre épouse, vous êtes marié.

Oui. Allez, vous allez partir.

Oh, la pression monte. En Afrique du Sud.

Oh, la bruit.

Un circuit de 10 jours pour

découvrir les plus beaux safari

de l'Afrique du Sud.

C'est Salin Holidays,

un autre nouveau partenaire qui vous offre

ce magnifique circuit.

Salin, pour ceux qui l'ignoreraient,

ça s'écrit S-A-L-A-U-N

avec un tréma sur le U, mais ça se prononce

Salin. Salahune, si vous préférez.

Salin Holidays vous propose

un circuit là-bas au pays des Spring Box.

Voilà, le circuit va vous emmener

jusqu'à Johannesbourg. Vous visiterrez

le Musée de la Partaide

ou à la Maison Musée de Nelson Mandela.

Vous irez jusqu'à Pretoria, la capitale.

Il ira, s'il gagne.

Vous partagerez

un déjeuner dans un barclant

destin de Sauvétaux.

Vous partirez pour l'ex-Soisislande,

où vous serez accueilli par des chants

et des danses traditionnelles, soisies

par...

Ils sont plantés là-dedans.

Le lapsus. Il y en a

quelques-uns d'ailleurs.

C'est très, très beau.

Vous n'allez pas regretter votre voyage,

les gars.

Soisies, soisies.

Ça avait quand même une élégance à l'époque.

Très, très vrai. Ça se donnait à l'époque.

Trois safaris photo

dans des réserves animalières.

Elle va faire le parc Kruger.

Ah, c'est magnifique.

C'est encore les Allemands.

Bonne noeuvre.

Vous allez intaurer, prenez, faut pas t'en cuire.

On vous envoie au bout du monde.

Et vous ne revenez jamais.

Anthony, pour ça, il faut évidemment

parier sur la grosse tête qui va vous raconter

l'histoire la plus drôle,

qui va le mieux vous la raconter, surtout.

Vous voulez qu'on enquête ensemble.

Vous imaginez bien que Beaux-Grand

aie une histoire belge, hein.

Je vous confirme.

J'ai une histoire belge que très drôle.

Monsieur Faux, votre histoire, c'est quelle, Jean ?

Elle est très longue.

Mais... Coquine.

C'est une histoire politique.

Politique, Isabelle.

C'est une histoire...

que...

D'autres...

Ne misez pas sur elle.

Elle y croit, elle y croit.

Ok, Philippe Tadel.

Moi, c'est une histoire de milliardaire.

Milliardaire, Hébermois.

Moi, c'est une histoire longue, pas drôle et mal racontée.

Donc, le ministre, c'est sûr que pas sûrement.

Alors, Anthony,

sur qui misez-vous pour l'Afrique du Sud ?

Alors, je pense que je vais partir

sur Michel Faux avec...

Ah !

Pas Beaux-Grand ?

Non, non, j'ai hésité, mais...

Si vous partez sur Michel Faux,

vous risquez de ne pas partir, tout.

Pourquoi Michel raconte très bien les histoires ?

Oui, mais...

Oui, il est pas mal, son histoire.

Moi, je la connais, elle est pas mal.

Donc, c'est possible.

Ah, peut-être Michel, pour faire gagner Anthony.

Et comment ça ?

Mais c'est le bruit du public.

Le bruit du public, Roselyne.

C'est les gens rires.

Il y a besoin de commencer par vous, Roselyne.

C'est un banquier qui vient trouver la première ministre,

Elisabeth Borne, pour lui exprimer

son inquiétude sur la situation économique.

Et la première ministre tente de le réconforter,

de lui dire que tout va bien.

Et lui dit, vous savez,

monsieur, si je n'étais pas première ministre,

j'investirais en bourse.

Et il lui répond, effectivement,

si vous n'étiez pas première ministre,

j'investirais aussi en bourse.

Elle est pas mal.

Elle est pas mal.

Elle déclenche pas des rires.

Je note qu'on vous a donné

une histoire sans le nom d'Elisabeth Borne.

C'est vous qui l'avez rajouté.

Ils ne montent même pas en avion, là.

Monsieur Baby.

Un maire souhaite faire le grand ravalement

d'un énorme bâtiment municipal.

Il convoque 3 entreprises.

L'une est basse, que notre breton est

le troisième marseillaise.

Le breton propose un devis à 3 millions d'euros.

1 million pour les chafaudages.

1 million pour la peinture.

Et 1 million pour la main-d'œuvre.

C'est un très, très grand bâtiment.

Ça va durer longtemps.

À son tour, l'entreprise basse

fait sa proposition.

Moi, je demande 6 millions.

Et je mets 4 couches de peinture anti-graphie.

Vous en aurez pour plus longtemps encore.

Le marseillais enchaîne.

5 millions et pourquoi ?

3 millions pour vous, 3 millions pour moi.

Et 3 millions pour le breton

pour qu'il fasse le travaux.

Elle est pas mal, là.

Elle est pas mal.

Monsieur Claudelle.

Philippe Claudelle qui se lance dans les histoires.

Oui, oui, oui.

C'est un milliardaire qui vient voir

un de ses amis, Bernard Arnault.

Il lui demande un conseil.

Bernard, donne-moi un conseil.

Je voudrais épouser une danseuse de 17 ans.

65.

À ton avis, est-ce que je peux lui faire croire

que j'ai 45 ans ?

Bernard lui dit non. Surtout pas.

Dis-lui plutôt que tu en as 95.

Elle est très bien.

L'histoire est très haute.

Il y a un suspense.

Pour l'instant, il faut bien le dire.

J'ai l'impression que c'est celle de Bernard Maby

qui mène.

Attention, il y a encore Isabelle Mergo.

Il y a encore l'histoire belge

de Beau-Grand.

Il est misé Michel Faux.

Et tout ça, le suspense.

Ça sera après la puce.

Oh mon dieu !

Anthony est toujours là.

Il rêve de partir avec Salin Holidays

en Afrique du Sud.

C'est tout ce qu'on vous souhaite.

10 jours pour découvrir

les plus beaux safaris.

Vous n'avez pas misé sur Isabelle Mergo.

Il faut dire qu'elle n'avait pas l'air

de croire vraiment en son histoire.

Mon souvenir, c'est qu'elle était plutôt drôle.

Vous m'avez dit quel sujet ?

J'ai pas su.

C'est un mec qui rentre

dans un garage pour acheter

une nouvelle voiture. Le vendeur argumente.

Celle-ci, elle a un autoradio

Nouvelle génération

avec commande vocale.

Par exemple, choisissez un chanteur.

Le mec essaie.

A l'idée, l'autoradio répond

Johnny ou David.

Le type est stupéfait.

Il ne dit pas Johnny.

Le vendeur se frotte les mains.

Faites un nouveau test.

Vous allez voir.

Iglesias écrit le type.

Alors, la radio répond

Julio ou Enrique ?

Le mec sur le cul dit

Julio.

Et la radio passe alors un air

de Julio Iglesias.

Alors, tout à fait, on sentait le type acheter la voiture

et sortir du garage.

Il se fait couper la route par un chauffeur

et passe à deux doigts de l'accident.

Alors, à gueuler,

pauvre conconnard.

Et la radio

demande Francis Lalanne ou Jean-Luc Laët ?

Elle est peut-être très drôle.

Elle est bien.

Elle était bien, vous voyez.

Il fallait y croire.

Qu'est-ce qu'il y a à dire

à Francis Lalanne et Jean-Luc Laët

qu'on nous impose ?

T'aurais pu changer les noms.

Dans l'histoire au départ, c'était

Mélenchon et François Hollande.

Mais je trouvais que c'était moins drôle

de fallait mettre des chanteurs pour ce soit drôle.

Et donc, c'est vous qui avez choisi ces chanteurs

pour m'aider à avouer avec ces filles-là.

L'histoire belge

de Christophe Bougrand.

Alors, c'est un belge qui se rend

chez l'opticien et dit bonjour, madame la vendeuse.

Je voudrais une paire de lunettes

de sanglés s'il vous plaît.

Mais bien sûr, répond la vendeuse.

Laissez-moi vous montrer ce modèle

formidable. Et là, l'extirp d'un étui

en acier brossé, une paire de lunettes de soleil

très élégante, avec des branches magnifiques

avec des paillettes au verre légèrement bleutées.

Mais chériez, Léa vous enlément dire

des nouvelles, c'est un modèle exceptionnel.

Avant que Félix, il s'appelle donc Félix

ce belge, et puis il tend

de dire quoi que ce soit la vendeuse.

Lui met sur le nez, devant les yeux, et Félix

ne peut réprimer

un cri de surprise lubrique.

Oh, dis-donc !

Alors, il regarde la vendeuse.

Toutes nues ! Et là, la vendeuse

rit un petit peu fait.

Effectivement monsieur, ce sont des lunettes

qui déshabillent. Alors là, Félix

retire les lunettes, il voit la vendeuse habillée,

il les remet, il la revoit toutes nues.

Oh, c'est génial, il est tout excité.

Mais ça vaut combien ? 3000 euros, monsieur.

Oh, alors là, le belge, c'est triangle.

Il dit, oh, mais tout de même, ça fait quand même

très cher. Mais le vice, l'important

sur la raison, il fait un chèque, et il sort

avec les lunettes sur le nez. Et alors là,

dans la rue, il s'éclate, parce qu'il voit tout le monde

là, des collègues, dans la rue, il fait

oh dis-donc, dis-donc, dis-donc, dis-donc, oh,

tiens, Maurice, tu l'as un petit trop, j'ai dit

que ce que je croyais, les dons, hein. Et là,

il traîne du côté des beaux quartiers, il contemple

la nudité de quelques jolies formes, dis-donc,

il est pas mal, golly, c'est là. Et là,

il est très content, il rentre chez lui le soir,

tout heureux de montrer sa nouvelle

acquisition à sa femme. Et il la surprend au lit

en compagnie de son meilleur copain. Tous les deux

nus au milieu des dras. Alors là, il retire les lunettes,

il remet les lunettes, il retire les lunettes,

il remet les lunettes, ils sont toujours

tout nus. Mais c'est pas vrai, hein. Je viens

de les acheter 3 000 balles, elles marchent déjà plus, hein.

Ah, elle était beaucoup à Roselyne, cette histoire.

Alors Michel, Michel Faux,

Regardez le comédien.

Il est comédien, il va tout de suite.

Il a mis son foulon. Il a choisi ses lunettes,

qui les habillent. Il nous voit tout nus,

là, il a mis ses lunettes.

Il a pris un verre d'eau et pas juste avant de raconter

son histoire.

Mais il va tout donner pour vous, Anthony Michel.

C'est parti.

Dans une pharmacie,

un jeune homme demande une boîte de 12

préservatifs.

Tout fier, il confie aux pharmaciens.

Ce soir, j'ai rendez-vous avec ma nouvelle

petite amie et je peux vous dire qu'elle est chaude.

Le sexe, elle aime ça, hein.

Le soir arrive, il vient chercher sa petite

amie chez elle. Elle lui dit

mais entre à la maison, mes parents aimeraient

te connaître.

Les présentations sont faites.

La mère propose.

Et si vous dignez avec nous les enfants,

vous sortirez après. J'ai préparé

une blanquette de veau et en un largement

pour quatre.

Au moment où il passe ta table,

le jeune homme demande,

vous permettez que je dise le bénédicité.

Il joint les mains.

Seigneur, bénissez ce repas que nous allons

prendre et pardonnez-nous nos offenses

comme nous devons pardonner à ceux

qui nous ont offensés.

Car le Christ a dit, l'erreur est humaine

mais le pardon est divin.

Tandis que chacun s'assied, la jeune

fille lui glisse à l'oreille,

tu ne m'avais pas dit que tu étais pratiquant

et le garçon répond à voix basse,

tu ne m'avais pas dit que ton père

était pharmacien.

Le public est solidaire avec

le leader et ça c'est formidable.

Le public a envie

que vous partiez en Afrique du Sud, Anthony.

C'est génial, c'est génial.

Eh ben oui, vous allez partir

grâce à ça, là, holiday.

Vous aurez ces trois safari

à photo, il y a toujours un gagnant

de toute façon dans ce jeu,

parce que ce qu'ils comptent c'est avant tout

de raconter et de rire avec des bonnes histoires.

On vous souhaite un joli séjour, comment s'appelle

ce prénom Madame Chamberlain, Anthony.

Aline. Aline, eh ben, Anthony.

Aline, on vous souhaite un joli séjour.

Envoyez-nous une boule de carte costale.

Deux invités pour le prix d'un.

J'aurais même envie de dire deux marques

pour le prix d'un, car ces deux marques

se sont associés pour une love box

avec laquelle on peut effectivement

avoir deux chansons d'amour

pour le prix d'une seule.

Les deux marques en question, les voici,

c'est Marc Lavoine et Marc Serron

qui nous rejoignent.

Comontarivo.

Comontarivo.

Comontarivo.

Comontarivo.

Comontarivo.

Comontarivo.

Comontarivo.

Marc Lavoine et Marc Serron.

On fait leur entrée dans le studio.

Comment allez-vous justement,

l'un et l'autre, les deux marques?

Comment allez-vous?

Par contre, je remarque,

vous l'avez mis à un sèche plus haut,

il est moins tout petit.

En fait, il est grand sur buste, il ne faut pas croire.

Les auditeurs ne feront pas la différente.

Merci.

Vous êtes deux grands artistes, tous les deux.

Effectivement, c'est aujourd'hui, 22 septembre,

que sort ce nouveau single.

Je dis single et en fait,

c'est deux chansons dans une seule.

On appelle ça un mash-up, c'est ça?

Si on va donc détaille, c'est trois chansons dans une d'ailleurs.

Ah oui, et c'est quoi la troisième?

C'est un titre qui s'appelle Toi Mon Amour de Marc.

Plus comment allez-vous?

Plus une nouvelle composition que j'ai faite,

donc ça fait trois types.

Votre musique à vous, votre musique électronique.

Comment on peut faire trois chansons en une, chanson?

C'est un mash-up.

Mais ça ne m'a pas écouté.

Elle a du mal à prononcer mash-up.

Elle n'a pas enlevé ses boules cassées.

L'essai de dire mash-up pour nous.

Comment on s'est fait cette rencontre

et cette envie et cette idée, effectivement,

de reprendre deux chansons qu'on connaît de Marc,

de les mash-upés en quelque sorte

et de les mettre sur une de vos musiques, Marc Sérone.

Je l'ai invité à bouffer, en fait.

Alors, il m'a invité à déjeuner

pour m'expliquer que dans sa tournée

de 120 dates,

il finissait ses concerts à chaque fois.

On reprenant en live

avec ses musiciens,

un de mes tits qui s'appelle Give me love

sur lequel il mettait une acapella

de ses grands succès,

ce qui s'appelle a mash-up.

Donc, c'est lui qui a commencé.

C'est lui le responsable.

Et donc, après, on discute.

On y faisait vraiment, en fait.

On a envoyé une musique sur laquelle j'ai...

Il m'a déjà invité à faire sa date parisienne

au Palais des Congrès,

au mois d'estombe, à l'année dernière.

C'est pas facile de jouer de la batterie.

Je saute de joie et je cours tout de suite.

Donc, ça, c'est fait.

On a vu la réaction du public

de ces deux styles qui marchaient très, très bien.

Évidemment, l'envie

plus d'affinité, comme on dit, on continue.

C'est pas facile de jouer de la batterie

quand on saute, en plus.

Ce qui est amusant, c'est qu'à l'occasion

de cette love box, signé les deux marques,

la voix n'est cérone,

le dossier de presse m'a amusé,

parce que le dossier de presse dit

un siècle de carrière à tous les deux.

Alors, un siècle, 50-50,

où c'est partagé comment ?

Et bien, lui, il a 40 ans, je crois.

Non, 50 ans, 50 ans.

50 ans et moi, c'est 40.

Ah, voilà. Donc, c'est pas tout à fait 100 ans.

Non, je suis resté un peu plus jeune.

Je me disais...

Ils savent que ça va durer après, c'est pour ça.

Alors, effectivement, le dernier album

de Marc Lavoine s'appelait

Adulte Jamais.

C'est un peu comme une rencontre de deux gamins

qui ont envie de s'amuser ensemble.

Exactement, on a déjà fait deux titres,

on continue, et puis, si celui l'appelait

aux gens, eh bien, peut-être qu'on fera,

on en sortira d'autres.

On peut réécouter un peu, quand même,

ce match-up entre les deux titres de Marc

et la musique de cérone.

Et puisque cérone nous a rejoint

le concert à vous, Marc Lavoine,

est-ce que vous, Marc, vous serez, par exemple,

à Nice le 3 novembre prochain

pour le concert Symphonic Electro,

Symphonic Orchestra de cérone.

Exactement, c'est un beau projet qu'on m'a proposé

et je fais tout pour être à la hauteur.

Mais est-ce que Marc sera là, lui, alors ?

Je sais pas, non, je crois pas.

Là, vous me mettez dans l'embarrage.

Ah ben voilà, j'ai bien compris.

Vous l'avez pas invité, c'est ça ?

Il n'a pas invité.

Ce sera au Palais Nikaya, c'est ça ?

Avec un vrai orchestre symphonique,

c'est-à-dire qu'un orchestre symphonique

peut jouer de la musique électro.

Alors en fait, on serait 52 sur scène.

Il y aura 42, je crois, musiciens symphoniques.

Et par devant,

j'en glorais

entre la platine DJ

et ma bâtière.

Et non, par devant.

Non, pas tout de suite.

Cérone, il y aura des musiciens.

Il y a beaucoup de musiciens.

Il y a beaucoup d'instruments, c'est pas que de l'électronique.

Ah non, j'adore Cérone.

En fin de compte, c'est retour à mes origines

parce que dans les années 70,

quand j'enregistrais mes disques,

il y avait l'orchestre symphonique.

On n'appelait pas ça symphonique à l'époque,

mais il y avait quoi ? 35, 40 musiciens.

Quant à Love, il est si minor par exemple.

Il y a du violon, c'est génial.

Bravo, Cérone Dicarbert,

qui dirigera l'orchestre symphonique avec Cérone.

Exactement.

Au Palais Nikaya de Nice, le 3 novembre,

il y a d'autres dates de tournée.

Marc Lavoine et Marc Cérone

sont nos deux invités,

mais pas seulement.

On a maintenant l'habitude, dans cette fin d'émission,

d'avoir d'autres invités encore

à commencer par quelqu'un que vous connaissez forcément bien.

Surtout vous, Cérone, c'est David Guetta.

Ouais !

Salut mes grosses têtes !

Tout le monde, les mains au l'air !

Sauf Damien Abad

et Philippe Croison.

Ouais !

Ça me fait trop plaisir que Laurent dise

qu'il y a un collègue de Marc Lavoine et Cérone.

Ça me donne presque l'impression

de faire de la musique.

Ouais !

En tout cas, merci les gars !

C'est grâce à des gens comme vous

que j'ai fait carrière.

Un DJ, c'est comme un serial killer.

On se fait connaître en découpant les morceaux des autres.

Ouais !

Marc Lavoine,

un collègue de The Voice,

voulez-vous parler ?

Salut les loups !

Bon Marc, tu reviens quand à The Voice

dans ton fauteuil de coach ?

D'ailleurs, tu peux même ramener ton nouveau copain Cérone avec toi

comme ça lui, il prendra ma place de présentateur

parce que là j'en peux plus les loups !

En Grèce, j'ai vu des Olivier passer moins de temps

debout que moi les loups !

En plus, Cérone réfléchit,

on fout un italien à la place d'un grec,

les français virons que du feu !

D'ailleurs Marc, même si tu reviens pas

et que juste tu m'envoies Cérone, c'est bon aussi !

Bon les loups, je vous laisse avec Mika

tout le monde !

Merci Omikono,

relax !

Marc, je suis trop contente,

tu collabores avec Marc et Marc

vraiment, je suis trop contente,

tu collabores avec Marc et vice et vertu !

J'adore votre duo

mais ça aurait été sympa de m'appeler

pour une triplette !

Genre, vous jouez la musique et moi,

je vous regarde car vous êtes trop beaux !

Everybody's gonna laugh today !

Roselyne, tu dis si je t'emmerde ?

C'est vrai que

Roselyne est

en train de conserver rendez-vous

Je peux faire plusieurs tas à la vue !

Je t'en fous complètement, t'inquiète pas

On peut demander à Marc Lavoine

peut-être s'il fera la Nouveau Zavari

ça est prévu ou pas ?

C'est pas prévu pour l'instant mais

je suis libre !

Stéphane Degrotte, un ami belge,

viens vous saluer !

Bonjour à tous,

pour tous, c'est Ramouche, c'est alias les 3

Je me sens très heureux

d'être avec de Marc

même si ça ne me servira à rien quand

j'irai en Allemagne car pour payer, il me faudra des euros

Mais ce que je remarque

car vous êtes de Marc

Marc et Remarque, c'est que

votre alliance a un petit côté divin

car de Marc, c'est aussi ce qu'avait Jésus

après avoir tendu l'autre jour

Mais avec vous, on ne tend pas

l'autre jour, on tend l'autre oeil

même si c'est vrai que la voine

sérone forme un duo très masculin

on aurait pu faire encore plus viril avec

Fred Testot-Sérone

C'est pas mal

ça va lui donner des idées

De toute façon, Roselyne Bachelot

la vraie peut continuer à téléphoner

parce qu'on a aussi Roselyne Bachelot

la fausse

Comment ça ?

Donc je viens pour que Marc-Antoine Lebré

soute encore de ma gueule, c'est ça ?

C'est ça ?

D'accord

Quand je vois Sérone

J'ai envie de lui dire qu'une chose

Give me love

Mais autant j'ai adoré quand j'ai découvert Supernature

Mais là, c'est lui qui va adorer

si je lui fais découvrir la Supermature

Par contre

Supermature, elle n'est pas bête comme Superman

J'ai pas mis ma culotte au-dessus de mon pantalon

tu sais pourquoi Laurent ? Parce que j'en ai pas

Oh non

Tu veux que je te montre avec contraire ?

Tu vas te donner Marc-Antoine Lebré

qui reste avec nous

mais les deux marques

Marc-Sérone et Marc-Lewan

restent aussi avec nous si vous le voulez bien

vous devez les faire ensemble

Marc-connel-exercice

La Valise-Hertel

La Valise-Hertel avec Sérone

et La Voine

Marc-Lewan et Marc-Sérone

qui sortent un premier single Love Box

avec ces chansons

les chansons de Marc que ce soit

Toi mon amour, ou comment allez-vous réunir

sur de la musique signé Sérone

Mais maintenant on va s'amuser avec la Valise-Hertel

Marc-Lewan-connel-principe

vous pouvez aider Marc-Sérone, Marc-Lewan

il n'y a pas de problème

Vous pouvez d'abord choisir un numéro

devant un 20, ça c'est assez simple

Sérone, alors un numéro entre les 20

voilà, ça c'est parfait

On sent l'homme décider

Anna-Enriquez

Laurent je peux me barrer, j'ai un rendez-vous

Anna-Enriquez ou Enriquez

elle habite à Beaujancy dans le Loire

alors voilà, elle va décrocher

en tout cas on l'espère

vous vous dites bonjour je m'appelle Sérone

je suis avec Marc-Lewan, je suis au Grosse-Tête

est-ce que vous êtes bien Anna

et quel est le contenu de la Valise

ça sonne

il y a une marque La Voine

est-ce que vous êtes bien Anna

de Beaujancy

bonjour Anna

bonjour Anna, il y a Gilbert Montagnier aussi

il y a aussi Jean-Talatier

c'est Alex Gisorette non ?

non vous confondez là

c'est Marc-Antoine Lebré

maintenant

Alex il voit lui

et Laurent-Ruicier

et Isabelle Mergo et Roselyne Bachelot

il y a toutes les grossures

Marie-Michelle Faubourg

Isabelle Mergo

je crois que je n'ai oublié personne

et Marc-Sérone et Marc-Lewan

c'était bien le vrai Marc-Sérone

qui vous interrogeait

vous connaissez Sérone ?

non je suis désolé

écoutez Marc-Lewan ça vous dit quelque chose

ah bah ça oui

ah ça oui

c'est le vieux Révolver

il y a fait deux-trois tout de suite

le surdomme pas le vieux Révolver

non non pas du tout

bah je vais vous laisser moi

au Marc vous voulez vous poser la question fatidique

à Anna alors Marc

bonjour Madame

bonjour monsieur je suis désolé

vous avez une très belle voix

elle est pas Sérone c'est Marc-Lewan

là c'est Marc

ah d'accord

voilà

est-ce que vous savez ce qu'il y a

dans la valise

le contenu de la valise quoi

oui normalement je l'ai

ah

il y avait mille quatre-vingt-dix euros

oui

le partant secret d'Ariel

le livre psychopompe d'Amélie Noton

exact

le nouvel album de Pascal Obito

oui le beau qui pleut

le livre de Mazarin Pinjot

le salon de massage

le place pour Meurtre Avenis

mystère Avenis mais je vous l'accorde

c'est qu'il y en a un

c'est perdu

c'est dommage

mystère Avenis

c'est mort sur le Nil et mystère Avenis

mais c'est effectivement une enquête d'Hercules Poirot

vous avez raison

il y a deux places pour

une idée géniale de Sébastien 4 ans

mais il y a beaucoup de choses

au théâtre Michel

un ballon de rugby

un ballon fichier de la Coupe du Monde

oui faire par baldosport.com

le Festival des Jardins de Toulon

le Festival des Jardins de Chauvant

un séjour là bas

et les Syros de la maison Guillaume

les Syros de la maison Guillaume

vous avez gagné la Valise

c'est cool

c'est bon

ah c'est incongens

on n'aurait pas parié sur elle on départ

on ne parie jamais

on parie jamais sur moi

on aurait pas arrêté de vous faire plus mal

le cadeau de la Valise

c'est ma discographie

Anna vous pouvez remercier Céron

ah merci beaucoup Céron

je ne vous connaissais pas mais

je me renseignais sur vous maintenant

non mais vous connaissez ces chansons forcément

et c'est lui qui vous a choisi

c'est lui qui a choisi votre numéro

vous avez gagné la Valise Ertelle

et c'est vous qui allez choisir le nouveau montant

de la Valise

10000

10000 euros dans la Valise Ertelle

et je vais ajouter

oh la la

c'est 10 euros de plus

c'est mesquine

c'est mesquine de mettre moins

Anna n'est pas mesquine

vous n'êtes pas mesquine

et comme moi je suis pas mesquine

en plus des 100 euros je vais ajouter

Lovebox

Le Single de Marc Lavoine et Céron

dans la Valise Ertelle vous êtes d'accord

et peut-être même qu'on pourrait vous habitez où d'ailleurs Anna on a dit

ou vous étiez

si oui donc vous n'êtes pas

ça fait loin du Nicaïa

oui parce que pour moi je vous aurais donné 2 places

pour applaudir Céron à Nice

en concert

c'est loin

surtout pour un mec qu'on connaît pas

c'est parce que

vous connaissez pas Céron

mais vous connaissez bonheur

c'est pas d'usitisse

ce métier est vraiment mal fait

c'est l'heure de ces scandales

je suis un cliché

mais vous passez en région parisienne

peut-être

on vous donnera des places pour la région parisienne

pour applaudir Céron

avec

son orchestre symphonique

électro symphonique orchestra

c'est une tournée jusqu'en 2025

il y aura bien une date

de près de chez vous comme on dit dans ces cas-là

et Alex visera avec vous j'embrâche

ah oui merci

oui j'ai excusé moi

je vous ai confondu

c'est la voix de Marc Céron

Marc Antoine le vrai

il s'en fait des marques

et Marc Antoine vous le retrouvez dans un instant

dans RTL Brossepoir avec Vincent Parisot

bonsoir Vincent

on a bien réglé

c'est pas vrai

il a tout vendu

cet homme n'a plus rien

cet homme est aux aboies

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Avec Philippe Claudel, Michel Fau, Christophe Beaugrand, Isabelle Mergault, Roselyne Bachelot et Bernard Mabille.





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