Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du vendredi 20 octobre 2023

RTL RTL 10/20/23 - Episode Page - 1h 42m - PDF Transcript

Votre podcast va démarrer dans un instant.

Mais juste avant, je voulais vous dire que mon nouvel album...

Oh pardon, je me suis pas présenté, c'est Philippe Geluc.

Et donc, mon 24ème album vient de sortir.

Le chat et les 40 bougies.

64 pages de gag hilarant.

Vous voulez un exemple ?

Et en même temps, c'est un conseil.

Quoi que vous fassiez, faisez le bien.

Bon, et les autres sont encore plus drôles.

C'est vous dire, le chat et les 40 bougies aux éditions Casterman.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Bonjour, heureux de vous retrouver.

Avec pour vous aujourd'hui...

Une grosse tête qui peut passer la main au poker,

mais jamais sur une question.

Caroline Diamant !

Une grosse tête...

Kikabotin, elle fait son entrée devant les caméras de Paris Première.

Et voilà, regardez, mais c'est terrible.

Il en avait bien fait d'arriver maintenant.

Une grosse tête aussi bonne qu'Evel, au cinéma que Bancard, la radio.

Chantal Lecceau !

Une grosse tête, Axe Stewart, qui préfère désormais

la compagnie des grosses têtes aux compagnies aériennes Jean-François Jancel.

Une grosse tête qui pourrait présenter...

Silence, sa pouce sur France 3 Le Mans, TV Boulet.

Une grosse tête qui appelle un chat, un chat et pareil au féminin Jean-Marie Bigard.

Bonjour à tous.

Et une grosse tête qui est comme un joueur néo-zélandais,

il fait toujours un gros aka avant de jouer.

Oh non !

Non !

Non !

Non non !

Non non non !

Je ne suis pas d'accord !

Bernard Manny !

Bah oui c'est...

Un gros aka.

C'est plus prudent Bernard évidemment.

Oui absolument.

Bah oui, prenez vos précautions avant les missions.

Absolument.

Et avant vos spectacles, vous êtes sur scène toujours.

Bah je ne fais pas ça sur scène c'est sûr.

Bah voilà !

Et comme vos spectacles sont quand même très longs,

il faut prendre ces précautions avant.

Non non non !

On vous allait dire à chier non c'est ça non ?

Pas du tout alors là, franchement non, c'est pas mon genre.

Chantal Latsuit est arrivé avec un légère retard, je lui le dis,

aux auditeurs de Hirtel et aux téléspectateurs de Paris Première,

parce que nous sommes légèrement maquillés évidemment,

puisque nous sommes filmés aujourd'hui,

et pour Chantal, même légèrement maquillés, ça prend du tout.

C'est gentil, c'est gentil de me le dire.

Oui mais là on la reconnaît au moins.

Oh non, d'ici on dirait Marina Foyce.

Ah bon ?

Mais vous êtes très très jolies je dois dire.

Ah c'est gentil.

Oui vraiment.

L'autre jour je peux voir.

Parce que c'est formidable ces ses yeux que vous avez de chaque côté maintenant.

Vous n'êtes plus besoin de tourner la tête,

enfin il va parler dans le micro.

Ah non mais c'est vrai je me suis rendu compte.

Bah c'est la bouche ou les yeux ?

Ça a été, je suis allé tourner à Toulon.

Oui.

J'ai donc pris l'avion.

J'ai tourné dans la maison de retraite 2.

Oui.

Vous voyez ça ?

Vous pouvez quand même se partir.

Avec Jean Reno etc.

Et j'étais la plus jeune.

Et je me suis fait draguer dans l'avion par un jeune homme.

Ah oui ?

Un homme d'un certain âge mais plus jeune que moi.

Racontez racontez.

Et je voyais donc je minodais un petit peu.

Vous minodiez.

Vous m'inodiez pas ?

Oui, on minode un petit peu.

Bah ça dépend du physique de l'homme.

On peut avoir la petite cinquantaine un petit peu plus jeune que moi.

Et donc,

il minodait un petit peu etc.

Et j'arrive à l'aéroport.

Enfin je sors de l'avion.

J'arrive dans l'entrée.

Et il y avait un panneau et ce con de l'assistant

m'a mis maison de retraite.

À le titre du film.

Adupe.

Ah oui oui.

T'agages tout comme dirais l'autre.

T'agages tout ?

Ils sortent quand ?

Ils sortent quand ?

Je sais pas.

Ils vont sortir.

C'est ça, César, pour la prochaine cérémonie.

J'en ai rien à foutre.

C'est l'armise des escards.

C'est joli.

C'est apathique.

Pour Julien Musélem,

qui a mis de son hectaire, c'est dans le puits d'hommes,

qui a dit

« J'ai une grande collection de coquillages

que je disperse sur les plages du monde.

Peut-être l'avez-vous vu déjà. »

C'est drôle.

Pierre Légaré.

C'est mort, c'est mort.

Alors ça pourrait être du Pierre Légaré,

ça il ressemble.

Bravo Caroline, mais

ça n'est pas du Pierre Légaré.

Est-ce que c'est mort ?

C'est quelqu'un qui vit encore.

C'est notre ami.

Il est français ?

Grégoire, Grégoire.

Pardon.

Grégoire.

Commence à Grégoire.

Grégoire, quelque chose.

À Grégoire, l'accroi.

L'accroi.

Mais non, parce que ce n'est pas un français.

C'est Guéluc, non ?

Ce n'est pas Guéluc.

Ce n'est ni français, ni francophone.

Je vous redonne la citation.

« J'ai une grande collection de coquillages

que je disperse sur les plages du monde entier.

Peut-être l'avez-vous déjà vu. »

Fallone.

Fallone.

Non, mais on se rapproche.

Jimmy Fallone.

Jimmy Kimmel.

Yelene.

Jimmy Carter.

Non, habitué des grosses têtes.

Stephen Wright.

Stephen Wright.

Bon, la réponse de Caroline Diamant.

Caroline, elle est sur les mains.

« Pour remanger l'âteau qui habite le fenouillet en Vendée,

qui a dit j'ai fait un régime en ne buvant plus et en mangeant très léger.

En 15 jours, j'ai perdu deux semaines. »

C'est quelqu'un qui est décédé.

Non, c'est quelqu'un.

Non, non, non.

C'est quelqu'un qu'on aime bien.

C'est bien en chair.

C'est un humoriste, oui.

C'est un humoriste, oui.

Ah, Charlotte de Turcaille.

C'est Charlotte de Turcaille.

Bonne réponse de Bernard Madign.

Tiens, puisqu'on est dans les habitués pour Agnès Sanson,

qui habite fourdrain dans l'Aine,

qui a dit le poker permet de tout oublier,

y compris qu'on n'a pas les moyens d'y jouer.

Ah.

Caroline Diamant.

Omar Sharif.

Non, ce n'est pas Caroline Diamant.

C'est un...

Omar Sharif.

Non, Bruel, non.

On a tous les noms des gens qui jouent.

Non, mais...

Partouche.

Est-ce que c'est quelqu'un qui est encore en vie ?

Oui, absolument, qui vient encore.

Oui.

Et qui est connu pour...

Alors, c'est Philippe Boulard.

Ah, mais non, Philippe Boulard.

Philippe Boulard.

Bonne réponse de Caroline.

Et enfin, une citation pour Karine Pellate,

qui habite carrosse dans les Alpes-Maritimes,

qui a dit un pauvre.

C'est quelqu'un qui ne sait pas se contenter

de ce qu'il n'a pas.

C'est horrible.

Marielle Dombal ?

Non.

Vous avez vu que la phrase est bonne, quand même.

C'est affreux, terrible, mais c'est drôle.

Est-ce que... Ça, c'est mort ?

Ah oui, oui, c'est mort.

Et c'est colluche ?

Non, ce n'est pas colluche.

Frédéricienne, Frédéricienne...

Frédéricienne, Frédéricienne...

Non.

C'est Sim.

Un Français ?

Un... Sim, non.

Un humoriste français.

Alors un français, humoriste pas tout à fait.

Un chansonnier.

Un chansonnier, non.

Un...

Ah non, pas du tout.

La motacharre, non, c'est pas la motacharre, c'est...

La motacharre.

– Marcel Hachard. – Marcel Hachard.

– J'ai un mot Hachard. – Marcel Hachard.

– Ce serait pas Jean Coquillette.

– Jean Annouille. – Jean Annouille.

– Ni Marcel Hachard ni Jean Annouille. – C'est peut-être des proches ?

– Non, ce n'est pas des proches. – Pas de viol.

– Un cruciverbiste. – Un cruciverbiste, non.

– Un verbi-cruciste. – Un verbi-cruciste, non.

– Un crucidivor. – Pas de viol.

– Pas de viol. – Un auteur, un auteur.

– Tristan Bernard. – Non, non.

– Et c'est Tristan Bernard. Oh, la réponse !

– Le caroline biame. – Mais pas du tout, carré.

– Hé, un strike, les amis !

– Une question pour Cyril Aldaon, qui habite Fontaine-Lamalière.

Je connais Fontaine-Lamalière, tout près du Avranse-Sainte-Marie.

J'ai allé à Bicyclètes, à Fontaine-Lamalière.

– Ça te vous intéresse peut-être pas ? – En chantant Bourville.

– Pardon ? – En imitant Bourville.

– Oh, là ! – Bicyclètes.

– Il y allait avec une moitié de voiture.

– C'est un jardin, monsieur Boulet ? – Oui, c'est vrai.

Un petit jardin au moment.

– Mais vous avez un jardin à commerce, je veux dire. – Oui, à commerce.

J'ai eu un petit boutique pour les gens qui aiment bien ce que je peux brûiner, etc.

– Mais que vous pouvez quoi ? – Brûiner.

– C'est quoi, brûiner ? – Ah, vous connaissez pas ?

– Non. – Brûiner, c'est faire.

– Tout ce que je peux faire. – Ah bon ?

– Il faut brûiner alors. – Bernard, il brûne avant ses spectacles.

– J'ai pas compris, et tu vends quoi ?

– J'ai vendu des plantes, des objets, des lustres, des plantes, des bougies.

– Tout ce que j'ai fait dans la déco. – Tout mon univers, en fait.

– C'est une sorte de concept store. – Exactement.

– Mais vous voyez, en plus, je sais pas si vous avez vu, je fais des jolis tutos sur Internet.

– Il fait quoi ? – Des jolis tutos.

– Ah oui, j'en ai fait un, je...

– Oh !

– Ah, c'est un tuto, tu sais pas ?

– Faites des jolis tutos. – Oui !

– À l'école, on commence à s'occuper de ses plantes, on commence à faire des boules...

– Mais en fait, je passe au montant dans mon jardin.

– Bien sûr.

– Sauf que je ne peux plus rien faire pour moi, parce que j'ai déjà tout presque.

– Donc maintenant, j'ai faire pour les autres, parce que j'ai pas envie de m'arrêter.

– Comment ça s'appelait, alors ?

– Ça va s'appeler Au Jardin Stevie.

– Oh !

– Et on peut acheter sur Internet ?

– Non, non, il faudra venir chez moi.

– Oh merde !

– Vous allez venir à la maison avec plaisir.

– Vous venez nous apprendre à cultiver, alors ?

– Une grosse tête de casée, une !

– Oh, mais c'est ça, j'ai vous manqué un peu.

Non, franchement, le magasin est magnifique.

J'ai ressorti mes vitreaux d'époque.

J'ai toujours sorti de la cave.

– Vos vitreaux d'époque ?

– Parce que dans une vieille maison, j'ai trouvé dans ma cave mes vieux vitreaux de façade.

– Oh, non, non !

– Donc, j'ai tout remonté.

– Mais ils sont impeccables !

– Mais vous, par exemple, ils ne restent pas vos vieilles façades.

J'en suis.

– Non, non, moi, je les ai fait rénover, on m'a sablé la gueule.

– Mais vous êtes déchaînés, monsieur Rukino.

– Ils sont datés et signés J. Clamance, en G1903.

– Ah, bon ?

– Ah, bah oui, c'était quelque chose.

– Ah, vous, vous allez les vendre ?

– Ah, non, j'allais les garder dans ma boutique, mais je vous assure Laurent, ma boutique, elle va vous.

– Pignons sur rue ?

– Pignons sur rue, on passera par mon portail, on s'endrage et mette une petite recette.

– Ah !

– Je me déplacerais.

– Il a fallu que vous déposiez, ça s'appelle, un pas de porte, là, et le...

– Oui, c'est en cours, une enseigne.

– Un bail commercial.

– Je l'avais déjà.

– Bon, enfin, bref, le petit monde de Stevie, ça avance.

– Ah, ça va s'appeler le petit monde de Stevie.

– Non, mais c'est mon petit monde à moi, mon univers.

– Mais moi, je trouve ça, je suis très fier de toi.

– Ah, ou nous.

– Moi, si je savais faire quelque chose, je me vendrai.

– Quand le portail s'est ouvert, ça fasse vieux châteaux abandonnés,

parce que j'ai vachement travaillé la scénographie, en fait.

– Oh !

– Chacun pourrait ouvrir une boutique dans son domaine,

vous pourriez faire les pommades pour la gueule,

vous...

– Oh !

– Caroline, le boîte moulonne, il est pas très loin.

– On peut pas, je t'aime pas de porte, Laurent !

– Et puis, c'est déjà pris.

– Pardon ?

– C'est déjà pris, parce que moi, j'y passe tous les soins.

– Au boîte moulonne ?

– J'ai déjà ma clientèle.

– Ah non, non.

– Ah, c'est vrai, vous faites des passes de temps en temps ?

– Non, non, mais un jour, j'ai failli en faire une.

– Ah oui, c'est pas vrai.

– Sans le voloir.

– Commençant.

– Sans le voloir.

– C'est-à-dire que je revenais de théâtre.

J'avais une vieille 404, car j'ai fait des théâtes depuis un certain temps.

Et donc, j'avais une vieille 404.

Et je suis tombée en panne d'essence.

– Oui.

– Dans la grande d'essence.

– Dans le boîte moulonne.

– Dans le boîte moulonne.

– Bien sûr.

– Et alors là, j'aurais pu apprécier,

j'étais tous derrière moi.

Et je me suis arrivé au ralenti, je faisais la grande cascade,

puis mon mari, il n'y avait pas les portables.

J'ai couru, il y avait un mariage,

un grand cascade, je l'appelais vite,

j'allais me chercher, etc.

C'était décis parce qu'il faudrait que mon mari venait me chercher.

– On n'a pas tout compris de la dernière partie.

– Ah !

– Ah !

– Ah !

– Non, mais moi, j'ai tout compris.

– La prochaine fois que vous continuez à nous parler,

à relever le client.

– Moi, c'est hyper une fois.

– Non, moi, j'ai fait chantal là-dessous,

deuxième l'un que j'ai tout compris.

– Bon, dites-vous là,

vous emmenerz moi un petit peu à l'étranger.

– Ah oui.

– Et puisqu'on a un ex-Stewart

dans notre équipe de grosses têtes aujourd'hui,

je voulais profiter de son savoir géographique

et M. Boulais lui-même,

je dois dire, est plutôt omniscient dans ce domaine.

– Ah !

– Alors, la question est toute bonne,

je vous emmène au Panama.

Vous voyez, vous pensez,

la République du Panama,

un pays d'Amérique centrale,

et ma question est toute simple.

Comment s'appelle la monnaie officielle du Panama ?

– Oh lala !

– Le chapeau.

– Le cruise, non ?

– Le chapeau, non, non.

– Oh, c'est un bonnet du Panama.

– Le boya...

– Non, le dollar panaméen.

– Le dollar panaméen, non.

– Ou la livre panaméenne.

– Le cul panaméen.

– Les cul panaméens, non.

– C'est vrai, c'est un escudo, un escudo.

– Un escudo, un escudo, non.

– Un pécé-tasse ?

– Est-ce qu'il y a que ce pays

où cette monnaie soit utilisée ?

– Non, je pense que cette monnaie est unique

au Panama.

– Le franc panaméen.

– Elle a remplacé le pesseau Colombien

en 1904.

– La réponse à ma question était oui.

– C'est-à-dire ?

– Est-ce qu'il y a que ce pays

où elle est utilisée ?

– Ah, mais j'avais pas compris.

Vous n'articulez pas, les uns.

– Ça désigne autre chose en même temps.

– Alors voilà.

– Ah, la bonne question.

– Bravo, monsieur Maby.

– Ah, pas elle, il y a.

– Effectivement, cette monnaie

est aussi un nom connu, très connu même.

– Une marque ?

– Une marque, non, un nom.

– Un nom ?

– Un nom propre ?

– Un nom propre, oui.

– Le Djokovic.

– Le Djokovic, non.

– Le Trump.

– Le Trump, non plus.

– Une personnalité panamienne ?

– Un nom espagnol ?

– Oui, Zorro.

– Le Zorro.

– Le Zorro, non.

– Une personnalité politique.

– Pas tout le monde en même temps.

– Un nom de roman.

– Prenez un ticket à l'entrée.

– Un héros de roman.

– Un héros de roman, de roman.

Est-ce que c'était un roman au départ ?

C'est possible que ce fuit un roman au départ.

Je ne crois pas.

Je crois que ça, de toute façon,

était toujours un film ou des films.

– Le personnage principal est masculin.

– Le Gems.

– Le Gems, non.

– Alors, le mission impossible.

– Il est fort.

– Est-ce que c'est un personnage

pour les enfants récurrents ?

– Non, pas pour les enfants.

– Le Tom Sawyer.

– Le Batman.

– Avec quoi ?

Payton, Panama,

avec le Batman, non.

– Non.

– Avec un Marvel,

un héros d'aventure.

– Un héros d'aventure.

– Aventure, le mot est fort,

mais on a quand même suivi ses aventures.

Mais ce n'est pas un aventurier.

– C'est un personnage espagnol ?

– Espagnol.

– Un héros d'aventure.

– Un héros d'aventure.

– Mais on a quand même suivi ses aventures.

Mais ce n'est pas un aventurier.

– C'est un personnage espagnol ?

– Espagnol, espagnol, non, non.

– Mais ce sont les films sont américains.

– Oui, madame.

– Ah, c'est un américain.

– C'est toujours le même acteur qu'il joue.

– Oui, monsieur.

– Ah, le Harrison Ford.

– Ah, non, non.

– Le Harrison Ford.

– Il y en a un qui est sorti.

– Il y en a un qui est sorti.

– Colombo.

– Colombo.

– Effectivement, au Panama,

au Pays, en Colombo.

– Mais non.

Ce n'est pas du cinéma, Colombo.

– Migré, migré.

– Quoi ?

– Il n'est pas le migré.

– Ah, migré, mais non.

Mais brèd, aussi tant que vous y êtes.

– Quel est l'acteur qui a accarné…

– Le dernier film est sorti quand ?

– Pardon.

– Quel est l'acteur qui a accarné…

– Fais-vous le dire, Tiens.

– Laurent, le dernier film est sorti récemment

ou bien ça date, comment ?

– Ah, il y a des films où il n'est plus le héros,

mais où il est toujours présent, ce personnage.

– Oui, Clint Eastwood.

– Non.

– C'est Clint Eastwood.

– Ah, le…

– Le Justicier.

El Justiciano.

– Non, non, non.

– Rambaud.

– Le Hitchcock.

– Rambaud.

– Rambaud.

– Alors, opérez-en.

– Eh ben, on paie en Rambaud, Colombian.

– Non, on ne paie pas en Rambaud, mais…

– En Rocky.

– En Sylvester Stallone.

– En Sylvester.

– Alors, ni en Stallone, ni en…

– En Sylvester.

– Mais on se rapproche, on bruit.

– En Trude.

– Ah, non.

– Ok.

– En Vallebois.

– En Vallebois.

– En Balbois.

– Oh !

– Excellent, réponse.

– Ah, non.

– De Caroline Diamant.

– Et j'ai jamais d'une file, en plus.

– Oh !

– Vous m'avez fait rambo, Stallone, en Rocky, et c'est en Balbois.

– Oh, la vache.

– La monnaie officielle du Padama, et bien le Balbois.

– Excellent, réponse, Madame Caroline Diamant.

– STN.

– Les grosses têtes répondent aux études.

– Et nous allons répondre à Rémi pour commencer.

Bonjour Rémi.

– Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes.

– Bonjour Rémi.

– Vous avez envie qu'on vienne part chez vous faire les grosses têtes ?

C'est vrai que les grosses têtes vont se déplacer au minimum une fois par mois.

Dans les mois qui viennent, on sera très, très bientôt à Saint-Rafael.

Mais vous, vous êtes où ? Alors où est-ce que vous décorviennent ?

– Alors moi, je suis basé à la Défense, mais je vous ai vu en Indonésie.

– À la Défense ? Ah oui, super !

– Ah bah oui, ça nous fait trop loin.

– Deux stations.

– Ça n'a pas de nous faire loin.

Vous avez d'autres idées comme ça ?

– Eh bah écoutez, oui, j'ai vu une belle scène de théâtre en Indonésie en plat videotérisière.

Et j'ai dit que ce serait quand même génial que vous fassiez les grosses têtes là-bas.

– En Indonésie ?

– Ah bah oui.

– On va bien venir.

– Pourquoi vous voulez nous envoyer en Indonésie si vous ne vous n'y êtes pas ?

– Bah j'y retournerai juste pour vous, Laurent.

– Oh la la. Ça se sent de voyage de nos.

– Un voyage en Indonésie ?

– Rémi, cherchez une famille, c'est pas mal.

– Vous allez pas détruire une famille, hein ? Y est casée, hein ?

– L'autre qui essaie de rattraper le morceau.

– Regarde.

– Je suis pas certain qu'ertelle mette l'argent, autant vous dire.

– Non, il nous emmènerait plus volontiers la Défense.

C'est ce qu'ils ont déjà fait, d'ailleurs !

On était pas mal rue Veillard, dans l'huitième arrondissement de Paris.

Et vous nous écoutez depuis longtemps, Rémi.

— Oh, depuis... Alors, vous, Laurent, je vous suis depuis... On a tout essayé.

— Ouais, c'est très gentil. Merci, Rémi.

On va vous envoyer une montre, RTL.

Et puis je suis pas certain qu'on va tout de suite aller dans les risières de Jatiloui, comme vous m'avez mis.

Je prononce bien Jatiloui.

— C'est exactement ça.

— Bah, parfait. Et bah, écoutez...

Rendez-vous au tas de sable, comme on dit.

Merci, Rémi.

— Jérémi, maintenant, bienvenue. — Il est Rémi, il est Jérémi.

C'est un folie, aujourd'hui.

Alors, il est en pleine vendange, Jérémi, en Bourgogne.

C'est bien ça, bonjour, Jérémi.

— Oui, bonjour, Laurent, bonjour les grosses têtes.

— Bonjour, Jérémi.

— Vous nous avez écoutés dans les ronds de vigne pour aller plus vite, c'est vrai ?

— Exactement, oui, oui. On vous écoute, on vous suit tous les jours.

Voilà, dans la région de Bonne, où nous faisons actuellement les vendanges.

Voilà, on recommence... — Et vous nous écoutez entre deux coups de sécateur.

Faites attention, quand même, on est fragiles.

— Oui, oui, c'est bien.

Donc, non, non, mais ça nous aide.

— C'est vite fait arriver une grappe pour moi, hein.

— Ah oui, c'est très bon. — Il est bon, le vin, il est bon.

— Oui, très bonne cuvée qui s'annonce pour 2023.

Donc, vous aurez plein de bouteilles à boire prochainement.

— C'est du rouge ou du blanc, vous, alors ?

— Principalement du rouge, et on fait aussi du crémant, de Bourgogne.

— Ah oui, c'est bon.

Avec le Bourgogne, il est mon vin à ma région préférée,

moi, je préfère le Bourgogne au Bordeaux, pardon, pour les Bordeaux.

— Ah oui, oui, oui, oui. — Qui nous écoute, vous aussi ?

— Ah oui. — Ah oui, tu préfères le...

— Oh, je n'avais pas vu vos talons aiguilles, dis-donc.

— Oui, il y avait, ben, ben, non.

— Oh, oh, oh.

— Michel est parti ? — Mais non, il est là.

Il est là, mais il ne voit plus rien, alors.

— Vous n'avez jamais vu emboté, parrain, moi, alors ?

— C'est vrai, c'est vrai, c'est vrai.

— Avec des talons, et si vous la voyez, Jérémy, je vous jure,

vous l'aménorié dans vos vignes,

— Ah oui. — Vous la culbuteriez entre deux grappes.

Alors franchement, elle est absolument incroyable,

ou alors c'est que vraiment ma vue baisse.

Quoi d'autre, Jérémy ?

— Eh ben, non, ben, moi, je peux vous envoyer quelques bouteilles de vin

en échange d'une nouvelle montre RTL Made in France,

si vous les avez enfin reçues.

— Alors, écoutez, là, à un moment où je vous parle,

je crois qu'on a reçu les montres,

je vous envoie une montre RTL,

vous nous envoyez trois caisses de Bourgogne,

je crois qu'on ne perd pas au champ,

je odrai maintenant, bonjour Audrey.

— Bonjour Laurent, bonjour les grossesses, bonjour public.

— Ah, le public vous encourage, Audrey, vous êtes bien gentil aussi,

vous nous adorez, elle a une préférence pour Jean-Fy,

pour Caroline Biamond, et Mme Bachelot qui n'est pas là,

mais on a une pensée pour elle.

Et vous avez une astuce pour nous écouter au bureau, c'est ça ?

— Exactement, en fait, je mets mon écouteur dans l'oreille,

puis je mets mon casque professionnel sur les oreilles,

je fais semblant d'être en réunion pour pouvoir vous écouter.

— Ah, c'est pas bête, ça, alors ?

— Exactement, et je dois parfois me retenir de rire sur le plateau

pour pas me faire démasquer,

vous êtes adorable, attachant, drôle,

vous m'accompagnez depuis plus dix ans d'année.

— Ça nous fait plaisir, écoutez, on vous envoie le bracelet de la montre du monsieur précédent,

et vous vous débrouillerez avec lui, on vous fait la bise, Audrey.

— Et maintenant, on a l'oreille au téléphone, bonjour l'oreille.

— Bonjour Laurent, bonjour l'igratète et bonjour Kévitia.

— Alors l'oreille, elle adore notre émission,

elle dit merci au réalisateur, producteur, mais aussi à tous ceux qui préparent les questions,

bah tous ceux, c'est moi qui prépare les questions.

— Ah ben oui, c'est vrai, bien sûr que c'est vrai.

Et c'est le maire signé d'une fille qui travaille pour une radio locale ?

— Oui, dans les Hautes-Valpes.

— Ah c'est sympa de nous écouter, malgré que vous ayez un peu, on va dire, un travail concurrent en quelque sorte.

— Oui, concurrent, mais c'est plus une radio musicale alors que là vous êtes beaucoup talk.

— Comment s'appelle votre radio ? On peut vous faire un petit coup de pub quand même ?

— Imagine la radio.

— Imagine, c'est joli, dit donc.

Et c'est la chanson de John Lennon qui vous passez régulièrement en indice ?

— Non, même pas, on la passe même pas, c'est pas dans la programme.

— Même pas, il y a plus d'infos de John Lennon.

— C'est quel genre musical ?

— C'est un peu tout, variété, français, américain,

des années 90 ou des années 2010, un petit peu tout.

On essaie de tout mettre ensemble pour que ça passe bien.

— Et vous, vous êtes à l'antenne, Laurie ?

— Moi, je suis beaucoup en programmation musicale

et aussi à l'antenne, je fais des interviews avec les directeurs d'office de tourisme

parce qu'on a beaucoup de stations de ski autour.

— Alors puisque je vous ai sous la main autant que je profite de votre talent, Laurie,

pour la première fois, vous allez dire « Attention, il est bientôt 16h sur RTL ».

— C'est mon rêve.

— On se retrouve après les informations.

— Alors attention, il est bientôt 16h et on se retrouve après les informations.

— Merci Laurie, vous êtes parfaites !

— Merci beaucoup Laurent.

— Oui, vous avez bien entendu, pour une fois, il ne s'agit pas d'une pub,

pour une bagnole ou une assurance,

mais d'un conseil pour un bien culturel de première qualité.

Le chat et les 40 bougies, nouvel album du chat, 64 pages de gag hilarant.

Vous voulez un exemple ?

L'alcool ne résout rien,

cela dit, le lait, l'eau gazeuse ou le jus d'orange, non plus.

Et il y en a des centaines comme ça.

Le chat et les 40 bougies aux éditions Casterman.

— Toujours avec Jean-Fly, Jean-Sainte.

Tilly Boulet, Caroline Diamant, Jean-Marie Bigard, Bernard Mabier, Chantal Latout.

— Je sens Jean-Marie que vous nous avez préparé pendant les infos une petite histoire supplémentaire.

— Bien sûr, bien sûr.

C'est un couple, ils sont mariés,

ils sont sur une petite départementale,

et ils roulent à 80 km.

Et tout à coup, la femme, elle dit à son mari,

elle dit, écoute chérie, je veux divorcer.

Et le mari, il n'a absolument aucune attitude ni de réponse à cette truque.

Il continue stoïque et il se contente d'accélérer un petit peu.

Ils sont maintenant à 100 km heure.

Et la femme, elle continue, elle dit, j'ai un amant qui est ton meilleur ami

et qui franchement me fait beaucoup mieux l'amour que toi.

Et le mec, il bouge pas une oreille, pas un sourcil,

il se contente d'accélérer un petit peu.

Ils sont maintenant à 130, tu vois.

Et elle insiste, elle dit, bon, je veux la garde des enfants,

je veux la voiture et je veux toutes les cartes de crédit.

Et là, il bouge pas le mec, 140.

Et il sort de la route, il y a un mur juste en face de sa femme,

elle tente de lui dire, et toi, qu'est-ce que tu veux ?

Et dis-moi, je ne veux rien du tout, moi, j'ai tout ce qu'il me faut.

Elle dit, comment ça, tout ce qu'il faut ?

Il dit, oui, c'est moi qui ai l'air bag.

Ah, oui.

Bon, allez, oh, ça va.

Au moins, elle est propre, ça ne va pas.

Oui, mais tu vois, elle est moins drôle.

Il est temps, je crois, que je pose une question, une question, peut-être ?

Oui, une question.

C'est une question culturelle.

La tête de Bernard, il fout de sa vie.

Attention, la question qui vient est très difficile.

Pour Nicolas Jacques, qui habite Marseille.

Dans quelqu'un, le xipophore porte-t-il une épée ?

Une épée ?

Ça rapport avec l'académie française.

À mon avis, c'est un animal.

Le xipophore ?

Oui.

Alors, oui ou non ?

Moi, je dis que c'est un animal.

Mais t'es-vous d'accord, car une épée ?

Parce que je n'ai pas voulu en être d'accord avec eux, je m'en fous.

Le xipophore ?

C'est un animal qui t'a une épée, toi.

Parasite.

Et c'est une épée, c'est un symbole, c'est-à-dire qu'il a quelque chose qui fait penser à une épée.

Moi, je pense que ça vient de la mythologie.

Mais laissez-le répondre, non de Dieu !

Ça vient de la mythologie, Greg, non ?

C'est quand il parate de l'amour.

Moi, je pense que c'est un animal.

C'est, Caroline Diamant, qui a raison.

Le xipophore est un animal.

C'est un insecte.

Et dans quel cas, le xipophore porte-t-il une épée ?

Quand il bande.

Ah non, non, non, non.

Mais on se rapproche.

Quand il s'est reproduit ?

Non, non plus.

Quand c'est un mal ?

Quand c'est un mal ?

Bonne réponse !

Attendez, excusez-moi.

Je le sais, je te donne des scrims.

L'autre, il n'a pas ouvert la bouche et il dit...

Un xipophore, c'est un poisson.

Quand vous avez dit balboa tout à l'heure,

qu'est-ce qui s'est passé ?

C'est vrai, la même chose.

Un xipophore, c'est un poisson,

qu'on appelle aussi porte-épée ou porte-glève.

Un poisson, on va dire,

qui vit uniquement dans les lacs

et les rivières d'Amérique centrale.

Oui, dans l'eau, oui.

Mais plutôt un poisson d'eau douce, vous voyez.

Lacs, rivières, en Amérique centrale.

Et seul, le mal,

à une épée, que dites-vous ?

Ou je vais souvent l'Amérique centrale dans les lacs.

Voilà, pour pas vous dire.

Un xipophore, il a son épée à l'arrière, vous voyez-vous.

Ah oui.

Tu sais qu'il y a des poissons qui changent de sexe ?

Ah oui.

Ah oui, ça déconne le barbier

ou la castagnol rouge.

Par exemple, quand il y a trop de mal,

eh bien dans le troupeau,

il y en a qui décident de se transformer

réellement en femelle.

Imagine que ça soit pareil pour nous.

Je t'ai dit pas, la tension

est bien, c'est magnifique, non ?

Ah oui, c'est très bon.

C'est intéressant ce qu'il dit, non, c'est vrai.

Il n'y a pas de pénètre.

C'est en tout cas beaucoup plus intéressant

que ce que vous ne dites pas, Chantal.

Oui, c'est intéressant, je te remercie, Chantal.

T'en trouves vos poissons de vie ?

On peut en parler tous les deux ?

On a trouvé un petit croquet.

Écoutez, restons dans l'eau, si vous voulez bien.

Puisqu'on parlait d'un poisson de rivières.

Je voudrais que vous identifiez un petit taurant.

Un petit taurant, au long de 35 km,

qui se jette dans la mer Adriatique

mais que tout le monde connaît.

Quel est le nom de ce petit taurant de 35 km

qui se jette dans l'Adriatique

et qui prend sa source d'ailleurs

dans le nord de la région Émilie-Romagne,

en Italie ?

Le Rubicon.

Bonne réponse !

Bravo Bernard,

le Rubicon franchi par Jules César,

à l'époque évidemment.

Et d'ailleurs, j'ai une petite question subsidiaire

à propos de ce Rubicon

que l'expression française

vient de la franchir le Rubicon.

C'est osé faire quelque chose,

aller peut-être plus loin que ce qui est...

Aléa Jacta S.

Bravo ! C'était la réponse à la deuxième question.

Quelle célèbre phrase

Jules César a prononcé

en franchissant le Rubicon.

Aléa Jacta S, moi j'ai fait 4 ans de latin.

Bonne réponse de Jean-Marie Bigard !

Le sort en est jeté,

qu'il arrive à ce qu'il arrive.

C'est aussi effectivement,

il faut dire un mot très à la mode

en ce moment, parce que quand tu demandes

à quelqu'un, quel sport tu aimes-toi ?

Le Rubicon !

En plein couvre du monde,

une réponse

et une interrogation que tout le monde...

Mais où allez-vous chercher tout ça ?

Le Rubicon L Rubicon

latin ou Rubicon,

qu'est-ce que vous dites Chantal ?

L Rubicon !

Ça c'est en l'espagnol.

Vous voyez qui c'est, Jules César, Chantal ?

C'est un d'un preu.

Au cinéma, vous avez un texte, j'imagine.

Oui.

C'est mieux.

Pour Virginie Roi,

qui habite Martiac,

Martiac c'est en Géronde.

Pouvez-vous me dire

quelle famille appartiennent les oranges,

les citrons et les pompes de moules ?

Les agrumes.

Je cherche un nom de famille.

Des cuckures butacées.

Les coènes, les villes.

Bon, petit Stevie,

vous qui, évidemment, avez un jardin,

vous savez fort bien

et vous avez raison que les oranges,

les citrons et les pompes de moules

sont certes des agrumes,

mais ça c'est une sous-famille.

Alors j'ai envie de vous dire,

puisque vous m'avez répondu agrumes,

à quelle famille appartiennent les agrumes ?

Les agromignées.

C'est un nom scientifique ?

Si vous dites en latin, évidemment, c'est scientifique,

mais il a son nom courant.

Est-ce que ce serait pas quelque chose,

genre non, non, non, non, non,

tassé ?

Oui, absolument.

Oui, ça finit par tasser.

Qu'est-ce que je vais nommer ça ?

Non, pas que tassé.

Non, je vais vous le retrouver.

Meublé, je reviens.

Est-ce qu'on trouve...

Il y a le mot, c'est pas à partir du mot assis,

dans latin ?

Non.

Il y a plusieurs espèces,

réparties en 150 genres.

C'est une grande famille.

Oui, oui, oui.

Mais il n'y a pas que les agrumes, attention,

dans cette famille.

C'est qui les cousins, par exemple ?

Oui, mais c'est pour savoir,

les melons, les obergines.

Les melons sont dedans ?

Les oranges, les citons, les pampremousses,

sont des agrumes.

Les agrumes font partie des rutacés.

Mais...

Des rutacés !

Oui, là, oui, là.

D'un de l'adresse de Jean Moulin,

immédiatement.

On n'est pas obligé de le torturer.

Bon, écoutez, 300 euros pour moi, voilà.

Dans ma poche.

Une question pour Emmanuel Leclerc,

qui habitera,

la question concernant un peintre

que je demande d'identifier.

Le peintre s'est fait connaître

pour une longue série d'oeuvres,

à commencer par la première,

qui s'appelait Le Vanneur,

une peinture exposée

au salon de 1848,

achetée par Le Drurolin 500 francs,

à l'époque.

Et c'est la première oeuvre, on va dire,

d'une longue série,

qui a pas le vanneur ?

Auguste Renoir, non.

C'est une série de métiers.

De métiers, pas seulement,

les poseurs de parquet.

C'est un caillbotte.

Est-ce que c'est un peintre français ?

Un peintre français, madame.

Le premier tableau dont je vous donne le titre

devrait vous aider,

parce que je vous ai dit le début

d'une longue série Le Vanneur.

Donc c'est très réaliste.

Avec des paniers, Le Vanneur.

Bravo. Le Vanneur, c'est quelqu'un qui...

Fait des paniers.

Voilà.

Est-ce qu'il a dépassé 1900 ?

Je ne suis pas certain.

Je vais vous donner la date de sa mort, si ça vous aide.

Mais je ne suis pas certain qu'il est connu

le 20e siècle.

Il est mort en 1875.

Il est dans les musées.

Oui, son tableau,

sa toile la plus célèbre

est au musée d'Orsay.

Ce n'est pas Le Vanneur.

Ce n'est pas lui qui s'était coupé l'oreille, comment il s'appelle ?

Ah !

Il est peu français.

Ah, il y a, il y a, il y a.

Ce n'est pas Vermeer, non plus, les Français.

Il a pas la bouillie, si vous voulez, un autoportrait.

On a écouté, franchement...

Armand ?

Armand, maintenant.

Sculpteur.

Sculpteur contemporain, Armand.

Le Vanneur. Boudin, Boudin.

Boudin, vous-même.

Il faisait les métiers, en fait.

Pas seulement les métiers, encore plus précisément.

L'artisanat.

Plus précisément.

Lausier.

Le loyer.

Des portraits.

Non, pas des ouvriers.

Les mains.

Le Vanneur, qu'est-ce qu'il fait ?

Il va.

Il traise l'osier.

Il a fait aussi, pardon.

Le travail des champs.

Les glaneurs, alors c'est lui.

Il a fait des glaneuses.

Manet.

Et pas de mûner, non plus.

Manet, manet, manet.

Manet, manet.

On voit souvent des tableaux qui disent « il fourche ».

Pardon.

Mais d'ailleurs, il était sur la pièce de 1 franc, ça, Marianne, c'est pas Luc.

Pas des fourches, du pêche.

Permettez que je réponds à monsieur Jean-Luc.

Oui, parce que moi, je ne me réponds jamais, sinon...

Il y a des pho, il y a des scies, des chiens, il dit...

Il n'y a pas de fourche !

Est-ce que c'est un pâtre du Sud ?

C'est Luc à main, la Marianne,

qui était sur la pièce de 1 franc, il semble de non.

Mais il est mort en 1875.

De Rhin.

Pardon.

C'est pas dit qu'il n'y a pas un Angélus, un Angélus.

Pardon ? Il n'y a pas un Angélus.

L'Angélus, bravo.

Miais.

Excellentes réponses.

Merci à Chantal Latsou.

Excellentes réponses de Bernard Manet.

Jean-François Miais, tout le monde

connaît l'Angélus de Miais.

Dans les champs, maintenant.

Dans les champs et les glaneuses, bravo Bernard.

Et il a fait essentiellement, il faut le dire,

pas que, hein,

mais toute une série de toiles après le Vanor

qui correspond au monde paysan, tout simplement.

Voilà ce qu'il fallait identifier.

La tondeuse de Mouton.

Ah oui, la tondeuse.

Là, il existe déjà la tondeuse.

La bergère, l'Angélus, les glaneuses.

Là, je vois les planteurs de pommes de terre.

La laignes vies passionnantes.

Le sommeur, l'appel des vaches,

vous voyez.

L'homme à la... Ouh !

Achaouille, une femme avec un râteau, vous voyez.

On peut le voir où ?

Elle s'en prenait des ratouins.

Et la molle de foin, par exemple.

Ah ben oui, c'est bien marrant.

Avec une aiguille d'un. La bourse de vaches, là.

Oh ben y a un toile...

Ça, c'est fou, y a un toile, on voit Karine Le Marchand.

En tout cas, c'est bien Jean-François Miais.

On prononce bien Miais.

J'ai eu à doute, à ça, il fallait pas dire Miais,

car certains disent Miais par erreur,

mais il faut bien dire Miais,

car les angélus de Miais, évidemment, sont pas nous.

MI2LT ?

Oui, MI2LT.

Et on dit Miais.

Bah oui, on dit Bernard Mabille.

On dit habillé, pas billé.

Je n'en ai à ta disposition, hein.

Pourquoi on dit qui,

et pourquoi on dit tranquille ?

Vas-y, Q-U-I-2L-E.

Bah oui, Bernard Mabille.

Un coup, on dit yo, et puis un coup, on dit le.

Vas-y, répond, connasse.

C'est pas le tout de chanter.

Tu sais parler aux femmes, hein.

Moi, quand j'ai envie de baiser, je...

Ça, il ne vous l'a pas envoyé dire bien.

Mais j'ai plus de limites.

En tout cas, Jean-François Miais,

à pain, effectivement,

il est de l'école de Barbizon,

célèbre pour ses saines Champaîtres et Paysanes,

et c'est bien lui qui avait pain

le veneur avant les glaneuses,

ou l'angélus.

Bravo, Jean-Marie Ligard.

Non, Bernard Mabille, il eut.

Oui, il eut.

A une question pour Alexandre Guénol,

qui habite jouer le moutier

dans le valdoise.

Et la question porte sur un sabre.

Un sabre dont je vous demande

de retrouver le nom exact.

Un sabre qui a une lame courbe

qui permet ainsi de mieux l'utiliser

quand on est à cheval.

C'est surtout, d'ailleurs, au Moyen-Orient,

qu'on utilise ce célèbre sabre.

C'est très beau. Pardon. C'est très beau.

Bah oui, il faut aller chez Beau.

Et vous en aurez. Mais comment ça s'appelle ?

C'est ça, ma question ?

Pourquoi courbe, c'est mieux quand on est à cheval ?

C'est juste une question.

Il y a moins besoin de faire un geste.

La courbe est déjà faite.

Pour trancher la gorge.

C'est plus direct pour trancher la gorge.

Et quel rapport est-ce que le cheval ?

Quand vous êtes à cheval, pas forcément le temps

de faire tous les gestes nécessaires.

Vous passez avec votre sabre.

Oui, c'est très dur.

Moi, je n'ai pas fait écritation boucherie.

Quand j'ai vu le casting de cette émission,

je me suis dit de toute façon,

déjà, oublie les questions littéraires.

Fais les objets et les plantes.

T'as réussi bien, hein.

Mais pardon, nous ne sommes pas des tueurs à gâles.

Nous ne le connaissons pas toutes les heures.

Et en plus, je suis un ingrat,

parce que pour l'instant, nous n'avons

distribué aucun cheque à faire.

Alors, oui.

Un coupe-coupe.

Non, c'est très joli.

C'est dans Aladdin.

C'est une lampe.

Parce que quand ça vous arrive sur la gorge, hein.

Il a dit une lampe.

C'est dommage, j'ai dit encore des choses drôles

parfois, mais on n'entend plus.

Mais oui.

C'est pas un truc comme un septre.

Comment vous dites ?

Un sabre.

C'est la question.

Une épée.

Non, non, non.

Ça finit pas en O-R.

Un polidor.

Il n'y a pas de O dans ce mot.

Non, mais il y a R.

Est-ce que c'est un mot ?

Est-ce que c'est un mot qu'on connaît ?

On peut dire que c'est en quatre syllabes,

dont la dernière peut être considérée comme muette.

C'est pour ça que j'ai dit trois.

Est-ce qu'on le connaît ?

Oui, c'est un mot qu'on connaît bien.

Comme le baltazar, le mari...

quelque chose comme ça ?

Chancar, quelque chose.

Dans les grosses bouteilles, petites bouteilles.

La Marie-Brisard.

C'est l'italien du persan aussi.

Alors attendez, l'italien,

ça veut dire que le mot italien

signifie l'âme.

Non, non, non.

Un Byzantin.

Non, non, non.

Ça n'existait pas avant le XIIe siècle.

Ah oui, je me souviens bien.

Jusque là...

Ça m'a fort !

C'était la perce de la Mésopotamie à l'époque.

Jusque là, les combattants avaient des épées droites.

Et puis au XIIe siècle,

on a commencé à courber

effectivement la lame

du sabre.

Oui, ça attrape mieux la nuque.

Voilà, pour l'adapter au combat.

En effet, le sabre,

à cause de ses propriétés mécaniques

quand il était courbé,

était plus adapté au combat equestre.

Vous voyez-vous, les cavaliers turcs et mongols,

notamment, ont été les premiers

à utiliser le...

Et ça finit comme une langue de serpent, non ?

J'ai voulu m'entrer, si vous voulez.

Il n'y a pas le nom écrit en gros.

Oui, ça m'est facilité très le boulot.

Alors voilà, regardez.

Voilà, voyez-là.

C'est comme ça.

Les turcs, ils ont des culottes bouffantes

avec des chaussures, des bottes plate

en cuir très souples.

Ils ont ça et ils coupent la tête.

Je vous jure que quand on y est demandé

comment ça s'appelait, je vous l'aurai dit.

C'est vrai ? Mais vous ne me demandez pas.

Comment ça s'appelle ?

C'est moi qui pose la question.

Pardon ?

Un coute-là ?

Un coute-là.

Un coute-là, non, n'importe quoi.

Un nobinelle, là.

Un couteau suisse, aussi, quand vous êtes.

Non, mais un couteau turc, peut-être.

Ou un canif, non.

Non, écoutez, franchement.

C'est n'importe quoi.

Une dague ?

Une dague, non.

Ah, c'est court, une dague.

Ça ressemble à un autre mot.

À une lettre près.

Un autobus.

Non, pas.

On va donner 300 euros.

Qu'attention !

Qu'est-ce qu'on va faire avec votre mot ?

Écoutez, on ne va pas partir sur l'autre mot.

Mais on va dire que...

Qu'en est l'abre ?

Si vous êtes victime, victime de ce sabre.

Eh bien, vous allez peut-être connaître l'autre mot

qui ressemble à ce sabre.

Mais je sais qu'il y a ces cas de...

Un grand...

... à coller, non.

Le samu, le samu...

Il n'y a pas de cédidocar.

Arachiri.

Arachiri, non.

Éventration.

Non, non, non, non.

Je suis sûr qu'on va avoir la réponse.

Ah ! T'affinions à RE.

À RE, non, non.

Non, mais...

ARD ?

Non, non, non.

À RE, non.

Voilà.

À RE.

La consonance.

R.

À RE.

Non, ça finit par R.

Vous êtes sûr.

Sûr.

En IR.

En IR, non plus.

En IR.

En IR.

En IR.

Bon, il n'y a pas de R.

300 euros.

300 euros.

Et c'est tant mieux pour notre auditeur.

On n'avait pas encore distribué de chacquer tel.

Fais-le que j'en parle, là.

Voyez-vous.

Est-ce que quelqu'un dans la salle regarde

des seuls messieurs au premier rang qui lève la main ?

Bravo, monsieur.

Bonjour, monsieur.

Comment vous êtes ?

Comment vous êtes-vous, monsieur ?

Et quel est, selon vous, la bonne réponse ?

Un cimetère.

Un cimetère.

Ah ben oui.

Bonne réponse.

Ah ben oui.

J'ai fait un.

Bravo.

J'ai fait une.

Bravo, monsieur.

Vous gagnez 100 euros.

Un cimetère.

Ah ben oui.

Votre podcast va démarrer dans un instant.

Mais juste avant, je voulais vous dire que mon nouvel album...

Oh pardon, je me suis pas présenté.

C'est Philippe Geluc.

Et donc, mon 24ème album vient de sortir.

Le Chat et les 40 bougies.

64 pages de gag hilarant.

Vous voulez un exemple ?

Mon Dieu, comme j'aime les imbéciles.

Ils me donnent tellement l'impression de l'être.

Un peu moins que.

Enfin, les autres gags sont encore plus drôles que celui-ci.

Le Chat et les 40 bougies aux éditions Casterman.

Une question pour Jean-Marie Perle, qui habite avelui dans le nord.

Milvina Dine est morte en 2009.

Quand elle est morte, on a dit que c'était la dernière.

Mais la dernière quoi ?

Vous pouvez répéter le nom.

Nadine.

C'est Nadine.

Dine, pas Nadine.

Milvina.

Milvina, c'est son prénom.

Et Dine, c'est son nom de famille.

Ah ça ne peut pas, Nadine.

Elle est de quelle origine cette jeune femme ?

Ah ben écoutez, elle était anglaise.

Elle était la dernière siamoise ?

La dernière siamoise.

Enfin, survivante.

Et on aurait séparé de sa sœur avec un cimeterre.

Elle était née en 1912 et elle est morte en 2009.

Et quand elle est morte, on a dit bah voilà, c'était la dernière.

Est-ce que ça touche à la famille royale anglaise ?

Pas du tout.

Est-ce que c'est la dernière qui a connu ?

La première guerre mondiale, la deuxième guerre mondiale, la troisième guerre mondiale.

Non, non.

C'était la dernière cliente de quelqu'un ?

Non, pas du tout.

La dernière d'une descendance.

C'était la dernière à fabriquer quelque chose de ses mains ?

Non, elle fabriquait rien.

C'est la dernière témoigne quelque chose ?

Alors témoins, le mot est un peu fort, parce qu'elle était très très jeune.

survivante du Titanic.

Bonne réponse que Caroline Diamant.

Décidément, elle.

Faut que tu joues au poker en ce moment.

Effectivement, Milvina.

Nadine était un bébé quand elle était à bord du Titanic.

Elle est morte en 2009, elle était en troisième classe.

Enfin, elle, c'est pas elle qui avait choisi son biais.

Elle s'en souvenir.

Pardon ?

Elle s'en souvenir.

Oh, elle a dû lui dire.

Quand on l'a trouvé flottant dans l'eau, on a dû lui dire, vous étiez à bord du Titanic.

Elle était trop jeune pour se rappeler quoi que ce soit, mais toujours est-il qu'elle

est quand même la dernière survivante du Titanic, quand elle mort en 2009.

En 2007, deux ans avant, on a eu la mort de Barbara West, qui était un poil plus vieil,

mais pareil, elle avait un an quand elle était à bord du Titanic.

On peut pas dire qu'elle est vraiment en beaucoup de souvenirs, j'imagine, non plus.

Elle a pas la mort de Fethus, les gens encore plus jeunes.

Non, non, non, non.

J'ai regardé l'autre jour le remake de Poseidon qui l'a.

Ah, c'était génial.

Rien à voir avec Titanic, mais quand même, qui est pas mal aussi dans le genre catastrophe.

Moi, j'adore.

Moi, j'ai vu 20 milieux sous les mers, c'est bien aussi.

C'est pas une croisière avec des milliers de personnes, 20 milieux sous tes mers.

Mais Milvina Dine, en tout cas, était une passagère de troisième classe,

un bébé qui est mort assez récent, quand même, en 2009, vous vous rendez compte.

Elle a pu voir le film, elle a pu voir le film.

Elle a pu voir le film.

Ah ben comme ça, au moins, ça lui fait un bon souvenir.

Enfin, je veux dire.

Mais il y a vachement, quand tu tapes les témoignages,

il y a beaucoup de témoignages enregistrés de gens qui étaient à bord du Titanic.

Ils ont filmé déjà il y a très longtemps.

J'étais persuadé.

Oui, il y a un mec qui se précipite dans une chaloupe au moment d'une offrage.

Et il y a deux officiers qui sont là.

Ils disent au mec, ils disent non, monsieur, il reste des femmes à bord.

Le mec qui dit à vous croyez que c'est le moment de niquer vous.

Non, mais je savais si au m'avènement des miser sur la tête de quelqu'un

pour savoir qui donnerait une bonne réponse, j'aurais misé sur Caroline Diamant

parce que je sais que vous avez une passion pour le Titanic ou le film,

en particulier, ou la catastrophe.

Alors, j'ai eu une passion pour le film.

Du coup, j'ai eu envie de me documenter.

Oui, c'est fascinant.

Quelque chose qui, voilà, l'homme qui défile la nature

et qui donne naissance à des nouvelles règles comme l'incendie à New York

qui a donné la naissance de tous les escaliers extérieurs.

Ça me fascine et ça m'intéresse.

Sachez, en tout cas, parce que ça, vous en saurez un si un peu plus encore sur le Titanic.

Dans les années 80, le nombre de rescapés d'une offrage encore vivant

se réduisant, et bien évidemment, c'est intéressé de plus en plus à elle.

Elle a eu des problèmes de santé et sachez que James Cameron,

Leonardo DiCaprio et Kate Winslet ont fait des dons importants

pour qu'elles puissent être aidées pendant les derniers jours de sa vie.

C'est chouette, quand même.

C'est beau, c'est une belle histoire.

C'est extraordinaire.

Bien fait.

Je vais appeler Leonardo pour le féliciter.

Oui.

Vous connaissez Leonardo ?

Non, je l'ai croisé une fois.

Ah, tu l'as croisé ?

C'est parce que tu ressemblais à une fille à 500 ans.

Où est-ce que vous avez croisé, Leonardo ?

Quand le film est sorti, j'ai eu un gros crush pour lui.

Toutes mes copines me traitent à tête pédophile.

Ils me disent qu'il est très jeune et très jeune.

Je sais, mais je trouve qu'il a un regard d'homme.

Vraiment, je le trouvais fascinant.

Et un jour, il est venu pour le film suivant faire sa promo à Paris

et je travaillais chez Sony Music à l'époque.

J'ai dit, écoutez les mecs, vous avez une mission,

vous avez trouvé Leonardo DiCaprio pendant qu'il est à Paris.

Et je vous assure qu'un soir, je suis chez moi

avec mon mari et ma fille, ça, j'ai un peu honte.

Mais mon téléphone sonne.

Il est 23h et je n'ai des potes qui me disent

« Caro, tu ne vas jamais le croire ».

Ils te disent à la table à côté.

Et je me suis rhabillé.

Je me suis rhabillé.

Et il t'a jamais vu ?

Non, mais juste pour le plaisir.

Quel restaurant c'était ?

C'était un restaurant dans le cinquième

où je n'aurais jamais mis les pieds.

Mais le hasard que les gens qui je l'ai dit se retrouvent à ci-à-côté

c'était quand même rigolo.

Donc vous y êtes allés ?

Donc je suis allé.

Ah non, il était parti.

Il était avec Kate Winslet.

Tu l'as salué ?

Non.

T'étais le poids à cette table, non ?

Est-ce qu'il était avec Kate Winslet ?

Non, non, c'était pour un autre film.

Donc vous n'avez pas dit où qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est

qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu

qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu'est-ce qu

J'avais fait des animations chez But avec Carlos et Thierry Roland.

Oh !

Ah ah ah !

Vous nous épatez, Caroline, avec vos histoires.

Non, non, non, non, mais bon, vous parlez.

Elle a pris une hysténinette, hein ?

Mais non, ben, j'aurais bien aimé que... que... que...

Mais bon, qui réagit, ça peut, hein, te voyant ?

Non, non, ben...

Ah bah, elle est toujours là, elle !

La dernière survivante de Grosse-Temps !

Une question pour Clément Demarcy, Kaby Covain, Dandille et Villene.

Quelle est l'autre nom du bonnet de prêtre ?

Eh ben, c'est du fleur, c'est du fleur !

Alors, ça peut être, c'est vrai !

Une fleur !

Un arbuste...

Mais là, ça n'est pas ma question, parce que je vous parle de quelque chose

qui a réellement même deux autres noms possibles,

et la fleur, en question, elle n'a pas d'autre nom que le...

Une toque !

La cornette !

La cornette, non !

Mais non, c'est le préservatif !

Le préservatif n'est pas un bonnet de prêtre !

Est-ce qu'on va pas entendre une toque ?

Je vous l'ai entendu, mais je n'ai pas compris, vous voyez-vous ?

Une toque !

Une quoi ?

Une toque !

Une toque, comme les tsar, quoi !

Une toque, mais alors, le bonnet de prêtre n'est pas un chapeau

en dehors du vrai bonnet de prêtre, qui lui en est un,

qui est un chapeau de forme quadrangulaire, vous voyez-vous ?

Un bonnet de prêtre.

Moi, je vous demande l'autre nom du bonnet de prêtre,

quand ça n'est pas un chapeau.

C'est quoi, alors ?

Alors, un fruit...

C'est pas un chapeau ?

Non, mais on se rapporte...

Un légume, un légume !

Une tomate !

Non !

Un faillot ?

Bah non, c'est forcément un légume plat !

Pourquoi un légume plat ?

C'est pas... Ils ont pas embéré ?

Ils ne connaissent pas bien les prêts !

Un poireau ?

C'est une salade !

Salade, non !

Un poireau...

Je le vois bien, le fruit est anguleux, là !

Mais c'est pas un fruit !

C'est un légume, comme dit, le nom d'un fruit !

Le radis ?

Le haricot vert !

Le pois-chiche !

Est-ce qu'on en fait des purés ?

Le champignon !

Absolument, on peut en faire des purés !

La paillette !

De la carotte !

La pleurote !

Le rutabaga !

Laissez parler, chantal !

Une blette !

Une blette, non !

Le rutabaga !

Le rutabaga, non !

Le feu nouveau !

Le topinambour !

Le topinambour, non !

Est-ce que c'est un légume oublié ?

Alors oublié, non !

Mais c'est vrai qu'à une époque, c'était un peu moins à la mode que maintenant,

mais c'est redevenu à la mode !

L'artichot !

La pleurote !

La pleurote, non, non, non !

La pleurote !

La pleurote !

Alors, attention, je vous demande le nom précis,

parce qu'il y en a plusieurs !

Ah, donc c'est une sorte de légume !

Le nom précis du bonnet de prêtre,

qu'on appelle parfois aussi d'ailleurs bonnet d'électeurs !

Oui, c'est la pomme de terre Roseval !

Non, ou même couronne impériale !

Voilà, la carotte blanche un peu, vous savez !

La carotte blanche, non, non, non !

Est-ce que c'est un légume rond ?

Alors un légume, oui !

On est sur la courgette ?

Alors, on se rapproche !

L'aubergine !

L'aubergine !

Le petit rond !

On est sur la courgetouille, tout le temps !

On est sur la courge, oui !

On est sur la courge !

On est dans la famille des courges !

Donc le petit marron !

Mais ce n'est pas le petit marron !

La citrouille !

La citrouille, non plus !

Ah oui, c'est l'autre !

La craneberge !

Non plus !

La gombasse !

La gombasse !

La gombasse !

La gombasse !

Oh mince, les cabasses !

La la la la gombasse !

La la la la gombasse !

Attendez, c'est une race de courges !

La cabasse !

Ah voilà, merci Bernard !

Attendez, c'est Jean-Marie !

J'ai un boulot ici !

Ah non mais...

Ils ne sont pas reconnés plus, les gens !

Ça se mange chaud ou froid ?

Alors écoutez, on peut en faire tout ce qu'on veut !

Un pastis !

Un pastis !

Un pastis !

Oui, un pastis !

Un peu dans le plaid !

Non, vous confondez vrai, pas loin, mais c'est pas un pastis !

Attends !

Un ricard !

Un ricard !

Un pastiche !

C'est pas un petit marron !

C'est blanc !

Vous avez 4 fois qu'il te dit non !

C'est blanc !

C'est blanc, c'est une courge blanche !

Alors il est blanc, c'est blanc, c'est jaune, il y a toutes les couleurs !

Un melon, un melon !

Un melon, non !

Un poivron !

Un poivron, non !

Attendez, est-ce qu'elle m'occurre ?

À le rady noir ?

À le rady noir, non, non !

Le rady rose ?

Non, non, non !

Le rady blanc ?

Non !

Les gens mettent ça dans le...

Comme des cordes sur la table !

La coucourge ?

La coucourge !

Non mais c'est vrai qu'on est dans les cucurbitacés, évidemment !

Cucurbitacés de petites tailles !

Alors même petites tailles !

Ah, les cornichons !

Le concombre !

La moutarde !

La moutarde !

La syphilis, non !

La syphilis !

La syphilis, c'est l'autre !

Non, écoutez !

On va donner 300 euros !

Syphilis !

Monsieur De Marcy, qui habite crevain, va toucher à chaque carte !

Monsieur De Marcy habite crevain ?

Monsieur De Marcy habite crevain !

Les olives !

Les olives, oui !

Les olives !

Mais il ne sent pas si les olives étaient une sorte de courge !

Ah, c'est vrai !

Est-ce que c'est plutôt de la taille d'un concombre ou d'une courge ?

C'est circulaire, certes, mais c'est plus apprati !

La courge plate ?

C'est plus ou moins conique !

La fèvre !

Conique !

Et puis, il y a des bosses à la périphérie !

Ah oui, je vois très bien ce que c'est !

Attendez, ça, c'est forme de pyramide !

Avec des piles !

On dirait une soucoupe volante !

Alors, ça peut être blanc, vert, vert, haut et orangé !

C'est entre 500 grammes et 2 kilos !

Et ça nous coûte 300 euros !

Levez la main dans la salle !

Regardez, regardez !

Le nombre d'auditeurs qui connaissent le bonnet de prêtres !

Un bonnet de prêtres, c'est l'autre nom qu'on donne à monsieur Jansen !

Bonjour monsieur, comment vous appuyez-vous ?

Comme par hasard !

Ben oui, tiens !

Et quelles sont-vous ?

La réponse ?

Le pâtisson ?

Le pâtisson !

Excellente réponse, monsieur !

Monsieur Jansen, 100 euros !

Chantal !

Est-ce que tu connais le pâtisson ?

Oui, je connais le pâtisson !

Mais vas-y, le pastis !

Oui, c'était un...

Mais c'est ta, mais j'ai bien reportage !

Ah, ça doit être bien quand vous reprenez votre tête !

Le pastis, le pâtisson est devenue le pastis dans son cerveau !

Dans certaines régions !

On dit aussi artichaut d'Espagne, si vous préférez !

Bonnet d'électeurs, ou encore couronne impérial !

Le nom des pâtissons est aussi bonnet de prêtres !

Voilà, une question fruits et légumes, pardon !

Question intéressante !

Non, c'est vrai !

Vous pourrez dire que mes questions se font de plus en plus difficiles et que nous en pâtissons !

Ah !

Désolée !

Le livre du jour est signé Tania Sanchez, elle publie philosophie de la vie quotidienne !

C'est aux éditions Hérole, et elle nous raconte effectivement la philosophie de l'ordinaire !

Tania Sanchez, qu'on va avoir au téléphone dans un instant, elle prend des exemples

qui effectivement touchent notre quotidien, d'où l'intérêt de son livre,

de la philosophie de la vie quotidienne !

Par exemple, une question importante !

Certains mensonges sont-ils justifiables ?

Peut-on effectivement avoir pour idée que mentir n'est pas si grave que ça ?

Et que c'est même utile parfois de mentir !

Bien sûr !

Très rare !

Ah, alors voilà !

Il y a un philosophe qui dit que c'est toujours une tragédie,

que la vérité doit être regardée comme un devoir en soi,

et que l'on ne peut pas le dire !

Je vais vous demander de retrouver le nom de ce philosophe, justement,

et non pas du tout !

Jean-Kélévite !

Non, laissez-moi terminer sur ce qu'il dit !

Il dit ce philosophe, et d'ailleurs, c'est dans un texte qui s'appelle

« D'un prétendu droit de mentir par humanité ».

Parce que souvent, on dit, oui, j'ai menti, mais c'est pour son bien !

Et bien, lui, ce philosophe dit non, la vérité doit être regardée comme un devoir en soi,

c'est-à-dire qu'elle n'est pas un devoir soumis à un autre devoir,

et que l'on ne peut pas mettre la vérité en concurrence

avec la peur, par exemple, de blesser l'autre.

Puisque c'est souvent l'argument qu'on donne,

on va éviter de dire la vérité pour ne pas le blesser bien.

On a tort, nous dit ce philosophe !

Un philosophe, je vais vous aider !

Dis-lui, si on se disait tout le temps la vérité, ça ne se fait pas facile !

Il doit être un philosophe allemand, non ?

Un philosophe allemand !

Un ancien, un ancien !

Ah oui, un ancien !

Jung !

Non, pas Jung !

Nietzsch !

Un des plus connus, Nietzsch !

Gehring !

Le prénom ?

Marie-Conte !

Mais non, Marie-Conte !

C'est Marie-Conte !

Immanuel-Conte !

Immanuel-Conte !

Excellent !

Tréponse de Caroline Diamant, heureusement qu'elle est là !

Immanuel, c'est pas Immanuel !

Pardon ?

C'est Immanuel-Cannes, c'est pas Immanuel-Conte !

Qu'est-ce qu'elle raconte ?

Mais sûr c'est Immanuel-Cannes !

C'est rare que je me sente intelligente aux grosses têtes,

mais je dois dire qu'aujourd'hui...

Mais non, mais Immanuel, c'est pas Immanuel-Cannes !

Bah écoutez-ci, pardon, alors c'est Tania Sanchez,

ne connaît pas ses philosophes.

Bonjour Tania Sanchez !

Bonjour !

Avec qui Chantal Latou confronte-elle,

pour penser que Cante ne s'appelle pas Immanuel ?

Alors je ne sais pas, elle a proposé quel prénom ?

Elle propose Jean-François Cannes !

Immanuel Cannes était une styliste !

Vous voyez, dans ces cas-là, au fond,

dans ces cas-là, il vaut mieux mentir à Chantal Latou.

Oui, oui, oui, bien sûr, Chantal !

Donc le mensonge peut être utile !

Mais absolument pas !

Et non, pas du tout !

Car si je lui mentais,

toutes paroles futures, que ce soit la mienne,

mais même celles d'un autre être humain,

n'aurait plus occu le valeur.

Parce que dès lors que je me rends compte que le mensonge est possible,

même sur quelque chose d'aussi anodin,

que, bon, le nom d'un philosophe, c'est pas si grave,

alors je me dis que la prochaine chose qu'on va me dire,

qui sera peut-être très très importante,

pourrait, elle aussi, se révéler fausse.

Et donc, comment vous réagis croire ?

Donc on ne doit jamais mentir !

Le mensonge n'est pas justiciable !

Qu'est-ce que vous faites de l'élégance du mensonge ?

Alors justement, on peut quand même trouver un petit compromis,

je ne voudrais pas paniquer tout le monde,

et on peut penser à la concurrence entre les promesses.

Si, par exemple, j'ai promis à un ami

que je ne révélerai pas son secret,

et que quelqu'un me demande ensuite de trahir paroles,

dans ce cas, la concurrence entre les promesses,

il faudrait que je trahi son ami pour dire ce qu'on demande de dire.

Mais j'ai toujours une autre option que celle du mensonge,

qui est de garder le silence.

Oui, l'omission !

On peut mentir par omission, c'est-à-dire...

L'omission !

Oui.

Car, en ce sens, si je mentais par omission,

on pourrait se dire,

c'est pas exactement la ligne du camp sienne, mais c'est pas grave.

On pourrait se dire que,

dans ce cas, ma parole, elle ne perdrait pas son caractère véritable,

puisque je n'aurais pas dit quelque chose de faux.

Je n'aurais pas donné la possibilité à mon interlocuteur

de penser qu'une parole peut être fausse.

Autre exemple,

en plein, puisque dans votre livre,

on a la philosophie de la vie quotidienne en 70 questions,

on ne va pas faire les 70 questions,

on va laisser à nos auditeurs le soin de les découvrir.

Toutes, mais quand même,

une autre, comment savoir,

ça, j'adore ça,

comment savoir si je suis fou ?

Et là, vous convoquez Blaise Pascal,

ou Pascal Blaise, comme dirait notre ami Stevie,

mais dans les pensées,

Pascal rappelle que les hommes sont si nécessairement fous,

que ce serait être fou,

par un autre tour de folie, de ne pas être fou.

C'est joli ça.

Oh, moi, je suis perdu.

On a laissé ça penser.

En gros, vous dites, c'est Pascal qui l'a dit avant vous,

qu'il n'est pas raisonnable de se croire parfaitement raisonnable.

Exactement.

C'est bien ça ?

Tout à fait.

C'est bien.

Et finalement, on peut dévoiler la fin de cette question-là,

qui n'est pas peut-être la plus mystérieuse.

C'est que personne n'a jamais entendu un fou se demander

s'il était fou.

Au contraire, il est très sûr et dit,

mais moi, je suis le roi d'Espagne.

Comment ça, je ne suis pas le roi d'Espagne, bien sûr.

Je suis le roi d'Espagne.

J'en suis tout à fait sûr.

Et c'est justement l'étendue de ces certitudes

qui nous fait nous dire,

celui-là, il est probablement fou.

Et donc, d'ailleurs, que moi, je me mets à douter,

à me dire, mais est-ce que ce que je pense,

ce n'est pas quand même un peu curieux.

Est-ce que je ne serais pas fou ?

Est-ce que je ne serais pas folle ?

Mais c'est peut-être, là...

Moi, je suis seul.

Vous êtes libre à dîner.

Ce demandant, mais c'est intéressant.

Se demander si on est fou,

ah ben oui, oui.

Se demander si on est fou,

c'est peut-être une plus grande marque

d'un esprit sain, vif et critique,

plutôt que d'accuser tous les autres de folie

et de se penser épargnés par ce mal.

Non, je trouve ça intéressant.

Par exemple, la dernière question,

et après, on laissera

les 67 autres questions à nos auditeurs

qui achètent trop votre livre.

Ah ben, si vous n'aimez pas la philosophie,

non, dégoûtez pas la philosophie.

Moi, j'adore, j'adore.

Monsieur Maby, ça permet de réfléchir.

Vous voyez ?

Ça permet de rester éveillé, hein, Chantal.

C'est beaucoup mieux, la philosophie.

Ça devrait vous intéresser, Chantal.

Parlons-nous toujours,

et ça s'intéresse, Chantal,

parlons-nous toujours pour ne rien dire.

Et vous dites qu'essentiellement,

dans la journée, on parle pour ne rien dire.

Vous vous aimez bien quand on se retrouve au lit,

vous dites au lit avant de s'endormir

qu'on se dit les vraies choses essentielles.

Tout à fait, c'est que j'observe des tranches,

c'est qu'on s'installe dans le lit,

à supposer qu'on ne soit pas tout seul,

et d'un coup, on se met à parler

de ce qu'ils font vraiment entier,

un truc qu'on aurait pu très bien mentionner au dîner,

puisqu'on avait dîné à deux,

mais qu'il n'était absolument...

Il s'était pas présenté d'un conversation de tout le dîner.

Très étonnant.

Moi, mon mari, il se couche, il dort.

Le mien, c'était pareil.

Moi, je suis d'accord avec vous,

on se dit souvent les choses les plus importantes

au dernier moment, dans le lit avant de s'endormir.

Au dernier moment.

Et donc justement, si on s'endort tout de suite,

peut-être qu'on aura passé sa journée entière

à bavarder, à parler pour ne rien dire,

et que c'est quelque chose de quand j'ai marité.

Bon, en même temps, nous, on est un peu payés pour ça,

Tania.

Je voulais vous dire la vérité.

Et donc, j'allais commencer par là,

à la radio, évidemment,

on parle le plus souvent pour ne rien dire.

Et pourquoi ?

Parce qu'on est obligé de me bler un silence.

Il n'y a rien de pire à la radio qu'un silence.

On parle pour gagner sa vie, madame.

Oui, on parle pour gagner sa vie.

Philosophie de la vie quotidienne,

cette hausse édition, et Roll.

Une aventure intérieure en 70 questions,

ça vous permettra d'en parler le soir,

au lit, avec la personne,

avec qui vous vivez.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier,

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Chantal Latour,

toujours là, hein, Chantal.

Caroline Diamont,

Jean-Fuy Janss,

Jean-Marie Bigard,

et Bernard Mabille.

Une question pour Benoît Fournier,

qui habite à Loudiac,

dans les Côtes d'Art Morts,

et c'est une question qui nous perdra,

c'est une question qui nous perdra,

c'est une question qui nous perdra,

et c'est une question qui nous permettra

d'avoir au téléphone dans un instant,

une jeune femme de 33 ans,

qui s'appelle Elena Carrera,

elle a eu droit à une page entière

dans le journal L'humanité.

L'humain qui nous rappelait, d'ailleurs,

que son métier à cette jeune femme

est vieux depuis 450 ans.

Non, ce n'est pas le plus vieux métier du monde.

Non, non, parce que je vous vois venir,

les uns et les autres.

C'est un métier fort honorable,

dont elle va nous parler au téléphone

c'est rare au fond, mais quand même,

elle exerce depuis 10 ans

ce métier, donc depuis l'âge de 23 ans,

si elle en a 33, Elena Carrera,

quel métier qui existe

depuis 450 ans

exerce notre interlocutrice

avec qui on va parler dans...

Comédienne, comédienne.

Comédienne, c'est pas mal, comédienne, mais non.

Pourquoi je prendrai une comédienne au téléphone

alors que j'en ai eu une excellente

sous la main ?

C'est un artisanal.

C'est un artisanal.

Artisanal, c'est pas tout à fait le mot, non.

Elle garde quelque chose,

ça veut dire s'il y a une succession

depuis 450 ans de personnes

qui ont gardé quelque chose de bien particulier.

Non, non, pas spécialement, mais c'est vrai

que c'est au moyen âge.

C'est vrai que ça se transmet

et que de temps en temps on décide

qui va reprendre.

Templénaire.

Gard de forestier.

Gard de forestier, non.

Elle a fait ce travail il y a 10 ans, on la connaît.

On ne la connaissait plus.

Mais non, non, non.

La personne qu'elle a remplacé, donc ça fait 10 ans qu'elle est en poste.

La personne d'avant, on en a déjà parlé

de cette personne dans les...

Je ne comprends rien.

Je crois qu'il n'a pas de...

Est-ce qu'elle crée des choses ?

Non, elle ne crée pas.

Elle entretient des choses.

Surveille.

Peut-être qu'elle entretient...

une bergerre.

C'est une bûcheronne.

Une bûcheronne, non.

Est-ce qu'elle donne la vie à quelqu'un ?

Non, mais si c'est en plein air, c'est pas bête.

Elle ne donne pas la vie.

Est-ce qu'elle garde quelque chose ?

Elle garde, le mot n'est pas tout à fait...

Elle élève quelque chose.

Non, non, non.

Est-ce qu'elle a un métier en rapport avec des animaux ?

C'est un métier qui est dans l'actualité en ce moment,

vous devriez le savoir.

Elle fabrique les ballons de rugby.

Non, non, non.

Elle vend des cannes dans les pyrénées

pour marcher.

Non, mais si vous voulez

que je vous en fasse...

Si vous voulez que je vous en fasse,

il n'y a pas de problème.

Ah, c'est pas les bâtons de pelrin.

Non, mais on est très loin.

Qu'est-ce que ça se passe dans l'eau ?

Dans l'actualité, vous avez dit ?

Dans l'eau, non, mais c'est dans l'actualité.

C'est dans le ciel ?

Non, non, non.

Elle garde la flamme des J.O.

sur le Mont-Olympe ?

Non, non, non.

Non, les J.O., je vais vous dire,

ça l'embête plutôt, Elena Carrera.

Ah, d'accord.

Ah, ça l'embête parce qu'on va nager dans la scène.

Non, mais on se rapproche.

Eh ben, ça l'embête, ça l'embête.

Ah, c'est une bouquiniste.

Une bouquiniste,

une réponse.

Bravo.

Bonjour, Elena Carrera.

Bonjour.

Bonjour à tous.

Vous êtes, je crois, un millier, c'est ça ?

Un millier de bouquinistes ?

Au moins un moment, on est 232.

Alors non, le millier, c'est le nombre de boîtes, en fait.

C'est ça ?

Alors, ça représente peut-être un millier,

mais concerné par

la décision, le communiqué de la préfecture de police

qui est de retirer les boîtes

pour les J.O. et la cérémonie de Verture,

c'est 566 boîtes.

D'accord.

Mais expliquez-moi quand même, parce que je voudrais comprendre

les journalistes, ou plutôt de là,

journaliste Nadej Dubése, qui, j'imagine,

vous a rencontré et interviewé,

elle nous dit, voilà, aujourd'hui,

sur plus de 3 km,

près d'un millier de boîtes exposent

300 000 ouvrages à la vente.

Ça veut dire que chaque bouquiniste a plusieurs boîtes, en fait.

C'est ça ? Oui.

On a 4 boîtes par bouquiniste.

Est-ce qu'on va les remettre pour les J.O. ?

Oui, ça, voilà.

Il s'agit d'un dédénagement

de parfois de boîtes qui auront un peu très 100 ans.

Oui.

Et elles ne peuvent pas tenir un dédénagement.

C'est ce que vous craignez,

c'est que le dédénagement

est évidemment

nuise à la santé

de vos boîtes, en quelque sorte.

Vous, ça fait 10 ans que vous faites ça.

Oui, ça fait 10 ans que je suis bouquiniste.

J'ai été ouvre-boite, comme on dit dans le chargon.

Ça veut dire quoi, être ouvre-boite ?

Ouvre-boite, c'est quand on est formé chez un bouquiniste

et qu'on est vendeur chez un bouquiniste

et qu'on se forme à l'aide.

Et maintenant, je suis bouquiniste.

Vous avez acheté la charte.

Quel genre de bouquin vous vendez, vous ?

Alors moi, je vendais livres classiques

et des vieux journaux.

Mais donc, on rachète forcément la boîte

à quelqu'un, c'est jamais

une création de boîte.

Alors parfois, il y a des boîtes

qui sont construites sur mesure

et qui sont d'elles.

Mais c'est plutôt une passation,

général, des bouquinistes qui quittent

le métier ou qui, malheureusement,

est attribuée par la mairie de Paris.

Ensuite, il y a une commission qui est faite

et chacun peut se tuer d'ailleurs

sur le site de la ville de Paris.

Tout le monde peut être un bouquiniste

même si on n'est pas là par hasard

quand même un petit peu.

Oui, vous aimez la lecture, j'imagine, et les livres.

Déjà, oui, et puis la liberté.

Il vous a plu.

Il vous aimez la pluie aussi.

On aime un peu la pluie,

on aime un peu le soleil, mais un peu.

J'espère que vous pourrez effectivement

rester pendant les géos

avec vos boîtes à bouquin

en quelque sorte, à carte postale et autres objets.

Vous n'avez pas le droit de vendre des souvenirs,

parce qu'on a dit aussi qu'à un moment donné

ça se diversifiait

les bouquinistes et qu'ils ne vendaient

plus tout à fait la même chose qu'avant.

Non, c'est faux.

Il y a encore des vendeurs de livres, heureusement,

et j'en suis la preuve

et d'autres collègues aussi.

On a le droit

de vendre un petit peu de souvenirs

parce que parfois...

Une petite tour Eiffel, un truc comme ça.

Il faut bien vivre, quoi.

Il faut pouvoir

payer son loyer,

mais c'est avec aussi les livres qu'on travaille.

Heureusement, oui, sinon, il n'y a plus aucun intérêt.

Nous n'avons pas de patron.

Nous travaillons à ciel ouvert

dans le plus bel endroit de la capitale.

Les bouquinistes de Paris sont en colère.

En tout cas, on a bien entendu votre témoignage.

Merci d'avoir répondu à nos questions

Elena Carrera.

Une question pour Pascal Cogey

qui habite la mode.

Je voudrais vous parler d'un livre

qui s'est écoulé à plus de 10 millions d'exemplaires

depuis qu'il existe

dans 70 pays traduits

en 40 langues ce livre.

Aujourd'hui, il s'en va un peu moins,

mais c'est quand même encore pas mal.

Quelques 25 000 livres

vendus chaque année chez nous en France.

Mais de quel livre s'agit-il ?

Harry Potter.

C'est une connerie du genre

les hommes viennent de Mars et les femmes devenues ?

Non, parce que c'est plus ancien que ça.

L'Allemagne vermo ?

Oui, dans le monde.

Le Bécherelle.

Le Bécherelle, non, non, non.

Bambin camp ?

Non, Bambin camp.

On voit que tu es du Nord.

1964.

Le premier livre sorti, c'est de 1956.

Et donc, depuis 1956,

on en a vendu en tout,

plus de 10 millions

traduits dans 70 pays.

Par le cas, le parfum de ces films ?

Par le cas, le côte de la route.

Le côte de la route, non.

Est-ce que vous pensez que nous avons

chacun un exemplaire chez nous ?

Alors Caroline, oui.

Je pense Chantal aussi.

Je t'attends un enfant.

Allez-y.

Excellentes réponses

de Bernard Nadi.

Tout en fait, excellent.

Tout en fait, excellent.

Ça fait 15 ans qu'elle nous a quittés.

Laurence Pernou et en 1956,

elle écrivait

à la naissance de son second fils,

elle écrivait « J'attends un enfant ».

C'était même sous-titré le guide

et l'ami de la future maman.

À l'époque, c'était aux éditions Aurais.

Depuis, ces éditions étaient rachetées

par Albert Michel, mais ça continue

à sortir. C'est évidemment

corrigé depuis les années 50,

parce que vous imaginez bien que la façon

d'enlever le bibron à un enfant,

on n'a plus le droit de l'esprit.

Il y a des tas de trucs.

Qu'est-ce qui a changé ?

En plus, elle était là

encore ces dernières années,

puisque ça fait seulement 15 ans

qu'elle a décédé Laurence Pernou,

mais on continue, évidemment, chaque année

à renouveler, à réactualiser.

Non seulement, d'ailleurs, j'élève

mon enfant, mais aussi,

parce qu'il n'y a pas que j'élève mon enfant,

il y a aussi Jaduc.

Bon chien, bon chien.

Parfois, c'est drôle quand même.

Non, j'attends

un enfant, ça, ça a été le premier,

et après, j'élève mon enfant.

Vous voyez, il y a les deux. Il y a la grossesse

et ensuite, l'éducation.

C'est génial, le livre sur la grossesse.

De toute façon, elle ne pouvait pas aller plus loin,

parce qu'après, il y avait l'adolto.

Il y avait...

Non, mais après, elle allait marcher

sur les plateformes de l'œuf.

Elle a fait du bien, finalement.

Par la tente, Laurence Pernoud,

et la tente de Georges Pernoud,

le présentateur de l'émission

Talaça,

qui lui a fait un livre plutôt

sur la mer.

Elle s'intéressait

aux enfants et le nouveau s'intéressait

à la mer. Mais, en tout cas,

c'est une bonne réponse de

Monsieur Mabi. Bravo Bernard.

Une question pour Pauline Albert.

Pauline Albert

habite Paris 19e

quand on dit de quelqu'un qu'il est

papelard.

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Oui, ça, évidemment.

Il n'y en a qu'une qui pouvait tomber

dans le panneau, c'est vous.

C'est quand on s'en fatiguait un peu

un peu blafard.

C'est vulgaire, c'est vulgaire.

Ce n'est pas vulgaire. Est-ce que vous pouvez

plaider ? Alors, ça s'est pris comme un

papelard, effectivement, chantal,

un papelard du papier, si vous préférez.

Mais ça n'a rien à voir quand dit-on

ça. Est-ce que c'est un peu comme

Gognac, ou d'une femme qu'elle est

papelarde ? C'est une humeur

fouillasson. Qu'est-ce que c'est qu'être

fouillasson ? Fouillasson, tout le monde

connaît ça ? C'est quelqu'un qui range pas

ses affaires. C'est moitié pas

yasson. Fouillasson. Ah oui, fouillasson.

Qui range pas ses affaires. Oui, c'est le bordel,

quoi. Ah oui. Dans la maison,

là, tout ça. Moi, j'aurais dit l'inverse,

papiers, papiers, tout ça. Oui, moi,

j'aurais dit l'inverse aussi.

Papras, papras, quoi. Très papras, très

papars. Mais où est-ce que ça

ça range ? En généralement, quand on

n'est pas plat, on l'aide toute sa vie.

Un trait de caractère, en général, ça

se perd pas. C'est de la radinerie ?

Un radin, non.

Ça jeune les autres. Est-ce qu'il y a

quelqu'un de papar ? Oui.

Monsieur Bigard, en tout cas, n'est pas

papar, ça, c'est sûr. Et que c'est un

défaut ? Ça m'est difficile de

dire s'il avoue. C'est un défaut, alors.

Papar, parce que ça serait pas très gentil,

mais on va dire que peut-être le

papar est un défaut.

Personne n'est papar ici, voilà.

Donc c'est un défaut.

A part ou deux.

Et le papar, il fait la vaisselle

ou pas ? Alors, quel caca

papar peut faire la vaisselle ? Ça n'a rien à voir.

Il range, comme on dit. Ah, c'est paresseux.

Il fait du bruit.

Non, on peut être papar et être

silencieux. C'est pas un gros ronfleur.

Enfin, quand on est papar, généralement, on parle.

Mais on peut l'être... Comer, comer.

Non, non, non. Ça nous vient de l'Espagne ?

Pardon ? Ça nous vient de l'Espagne ? Pourquoi ça nous

viendrait de l'Espagne ? Ça me fait penser

à un mot espagnol. Non, non, non, pas du tout.

Papar Largo ? Non, non, non.

Papar, il parle forcément. C'est dur du mal

des autres. Ah, alors on se rapproche, mais...

Il est rapporteur. Mais c'est pas,

c'est pas ça, c'est... Un moochard,

un peu moochard. Oui, moochard.

Papar, pipelette. Non, non, mais alors

on se rapproche, mais... Il garde pas un secret.

Ah, c'est un ventard. On se rapproche,

non, non, on est loin en même temps.

Est-ce que c'est quelqu'un qui se vente ? Non.

Si, j'ai fait ça. Non, non, non.

Il médit, il médit un peu. Pardon ?

Qu'il médit. Non, au contraire,

il est pas médisant. Ah, non. Le papar.

Il est loyeux, il est lumineux. Il est mytho,

il est mytho, il est pas mytho. Il réfléchit

pas avant de parler. Ah, il brodent.

Non, il brodent pas. Il brodent,

vous avez compris, pas des... Pas des brodons,

il... C'est quelqu'un qui a toujours quelque chose à dire.

Non, non, non. Non, il en fait

il ramène sa fraise. Il en fait des tonnes.

Non, non, non. Il est dans la surenchère.

Il est discret, alors. Voilà, dites un peu

que les deux... Vous êtes, de toute façon,

de toute façon, vous êtes tous, plus ou moins

papar. Voyez-vous, ne serait-ce

que vis-à-vis de moi. Ça qu'est un papar.

Ah, l'escu ! Pardon.

Excusez-moi.

Écoutez, amérateur.

J'ai envie de dire bonne réponse de...

Bah voilà. Parce qu'en fait, c'est hypocrite,

papar. Hypocrite.

Effectivement, hypocrite, bonne réponse

de Caroline Mugament.

Et vous voyez, et je crois que j'aurais été

papar moi-même,

si j'avais dit qu'il n'y avait pas de papar ici

parce que ça aurait été effectivement hypocrite de ma part,

d'imaginer qu'il n'y avait pas

d'hypocrite parmi vous. Mais il y a...

honnêtement, il y a des jours où il y en a beaucoup...

Vous avez trouvé une très belle question, Laurent.

Oui, Bernat. La belle question. Et vous voyez,

je pensais surtout à vous.

J'avais une question !

J'avais une question !

OK. Qu'est-ce que sera la meilleure histoire ?

Jérôme est un téléphone.

Bonjour, Jérôme.

Bonjour, Laurent.

Bonjour, les grandes fêtes.

Bonjour, Laurent. Vous habitez la tourette

dans la Loire, Jérôme.

Dans tous les cas, sur qui que ce soit,

vous miserez, vous gagneriez de toute façon

un livre magnifique qui vient de sortir.

C'est Jean-Marie Bigard

et les 50 dernières phrases

avant de mourir. Juste avant de mourir.

Ah oui, la dernière phrase juste avant de mourir.

Ce sont des exemples très marrants.

C'est dessiné par Chaunu.

Mais c'est Jean-Marie qui, d'ailleurs,

nous avait donné parfois en avant première

quelques phrases ici, des phrases vraiment

qui ont été prononcées par certaines personnes

juste avant de mourir.

Par exemple, chérie, ton chauffeur pue l'alcool.

C'est la dernière phrase de Lady Diana.

Oui, voilà. Oui, par exemple.

Puisque je te dis que c'est un dauphin.

Ouais, alors que c'est un requin.

Celle-là aussi tiens pour vous, monsieur

Jean-Phi Jansen qui avait travaillé

à Air France.

La dernière phrase d'un passager,

j'imagine, rio pari en avion,

c'est un saut de puce.

Les dernières phrases,

juste avant de mourir,

dessiné par Chaunu avec Jean-Marie Bigard.

C'est en librairie et nous,

on vous l'envoie gratos, Jérôme.

C'est dans les marchands de journaux.

C'est chez les marchands de journaux.

C'est encore mieux.

Et très bientôt chez les bouquinistes.

Alors...

Jérôme, sur qui allez-vous miser

pour la meilleure histoire ?

Ce n'est pas tant la meilleure histoire.

C'est qui va mieux la raconter ?

Vous connaissez le principe, Jérôme ?

Oui, d'assez. Je vais muser sur le tolier,

sur Bigard, et puis si c'est un petit mot de livre.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Jérôme ?

Je suis cuisiné dans une cantine scolaire.

Je fais à manger pour des petits bouts.

C'est bien, on vous donne les moyens

de leur donner bien à manger,

que ce soit plutôt sain, bio et tout.

Oui, ça va, je serai dans une commune

qui met les moyens et on arrive à faire

des bonnes choses.

C'est rassurant. Merci, Jérôme.

Pas de poisson panée tous les jours avec des épinards.

C'est bon.

Si il fait du poisson panée,

c'est qu'il est pané par moi-même.

Vous pannez vous-même le poisson ?

Je vous donne un petit astuce.

Vous mettez un petit peu de semoule d'eau dans votre panneur.

Ça vous fait un super panier croustillant.

Vous pensez qu'on va paner notre poisson ?

Bien sûr.

Vous allez vous dire, celui qui va faire ça ici

est pané.

Jérôme, attention.

C'est Caroline Diamant qui va raconter

la première histoire.

Alors, c'est Simon Ben-Sousson.

Il a un rendez-vous d'affaires qui est très important.

Mais il trouve pas de place pour se garer sa voiture.

Alors, il s'adresse à Dieu.

Fais, mon Dieu, si tu me trouves une place

dans la minute qui suit, je te promets de manger

toujours cachère, de faire le charbat

tous les vendredis et de faire toutes les fêtes juives.

Et, miracle,

une place se libère juste devant lui.

Alors, Simon lève alors les yeux au ciel et il dit

ne cherche plus, mon Dieu, je viens de trouver

une place.

C'est bien.

J'en suis, j'en sais.

C'est un homme qui a un détresse affectif

et il décide d'aller passer une soirée dans un bar

pour voir s'il peut éventuellement draguer

puis auquel cas faire un plan avec une dame,

tu vois, et il arrive dans le bar et dans le bar où il va

et il n'y a qu'une dame qui a une hygiambiste qui est là.

Alors, il se dit bon,

il est tellement détresse affectif qu'il va avoir la dame,

il va commencer à la draguer.

Alors, la dame, elle a un peu surprise

et elle lui dit, c'est gentil, tout ce que vous me dites,

monsieur, parce que vous me faites plein de compliments,

vous me regardez avec des yeux de biche,

mais elle a dit, je tiens à vous signaler

que j'ai un handicap quand même, je suis une hygiambiste.

Il dit non, non, je sais, je m'en suis aperçu,

mais ça ne me pose pas de problème.

Alors, elle dit, bah oui, donc il va discuter

et la dame est flattée, elle se dit bah,

ça ne s'est lui pas arrivé depuis longtemps,

on n'en a plus. Alors, il commence à discuter

et puis il lui dit, excusez-moi,

mais j'aimerais danser un sloir avec vous.

Alors, la dame, elle dit bon, mais un sloir avec moi.

J'étais moustillé, tu vois, ça fait longtemps

que ça ne lui a pas arrivé, il apprend comme ça,

il apporte comme ça, et puis, tu vois,

il danse avec elle, comme ça, il est content,

et puis, après, il lui dit, oh,

j'ai, si j'oseille,

j'ai envie de vous ramener chez vous.

Alors, la dame, elle dit en l'eau,

elle dit, bah, écoutez, bah, oui, oui, tu vois,

elle dit oui, ramenez-moi chez moi.

Donc, il l'a mis dans la voiture, tu vois,

il l'a place dans la voiture,

et puis il la ramène.

Il traverse, il traverse

une forêt, puis, là, il arrête la voiture,

il est dit, écoutez, je peux pas attendre ce que chez vous,

j'ai très envie de vous, là, maintenant,

puis, j'aime bien la nature, faisons ça dans la forêt,

elle dit oui, mais c'est compliqué, enfin,

je peux pas n'importe quel poussière.

Il dit, non, non, mais j'ai envie.

Elle dit, écoutez, on peut faire un truc,

c'est avec ma bretelle de corsage,

vous pouvez m'accrocher à un arbre,

et puis, dis, comme ça,

ça sera pratique. Alors, le mec,

ouais, alors, il revint à l'arbre,

qui est un peu hauteur avec une branche,

il fait un truc, puis, il va, il va, et tout ça,

puis après, il la reprend, tu vois,

il la décroche, puis, il la ramène

dans la voiture, puis, là, elle le font en larmes,

tu vois, là, il véhicule ecstasy, puis elle le font en larmes,

et le mec, il dit, mais pourquoi c'est,

c'était pas bien, ça, pourquoi vous pleurez,

c'était pas bien, elle dit si, mais c'est la première fois

qu'on me décroche.

Elle est mignonne, pas mignonne,

c'est pas le mot, mais elle est bien.

Chantal, là-dessous.

Allez, courte.

Pour savoir si t'as de la fièvre,

tu te mets un épis de maïs dans le cul.

Si ça fait du popcorn, c'est que t'as de la fièvre.

Bien, bien.

Bernard Maby.

Chérie, dis-moi ce que tu préfères,

une femme jolie ou une femme intelligente.

Ni l'une, ni l'autre, chérie,

tu sais bien que je n'aime que toi.

C'est du vécu, ça.

Alors, attention, mesdames et messieurs,

Stevie Boulay se lance

dans une histoire drôle.

Alors, c'est un bûcheron belge.

Il en a marre de couper ses arbres à la hache.

Il se rend donc dans un magasin pour acheter

une tronçonneuse.

Bonjour, monsieur, je voudrais une tronçonneuse,

mais la meilleure, parce que j'en ai marre de couper

mes arbres à la hache et à la scie.

Oh, mais pas de problème, monsieur,

nous avons tout ce que vous voulez ici.

Celle-ci, par exemple.

Celle-ci fait l'accent belge tout à l'heure.

Celle-là est parfaite,

puissante, fiable.

Vous allez couper au moins 30 arbres par jour

avec ça. Oh, mais c'est parfait.

Je vous l'apprends.

Il paye 1500 euros.

Il rentre chez lui avec sa tronçonneuse.

Il dit à sa femme,

tu vois, chérie, avec cette tronçonneuse,

je vais couper 30 arbres

demain.

Le lendemain, au Zoror,

le bûcheron part dans la forêt.

Il revient le soir, mais alors, épuisé.

Alors, mon amour,

combien tu coupes ?

Mon amour, mon amour.

Alors, mon amour,

combien on a tout coupé d'arbres ?

Attendez, comme il y a un suspense,

la suite après la pub !

Je résume le début de l'histoire

pour ceux qui auraient loupé.

On va raconter l'entièrement.

L'histoire drôle de Stevie, assez un bûcheron belge,

quand la marque de couper ses arbres à la hache,

il va dans un magasin pour acheter

une tronçonneuse. On lui vend

une tronçonneuse pour 1 500 euros.

Il est tout fier. Il en avait marre de couper

ses arbres à la hache et à la scie.

Et là, il dit à sa femme, tu vois, chérie,

avec cette tronçonneuse,

je vais couper 30 arbres

demain.

La suite.

Il paye 1 500 euros,

il rentre avec la tronçonneuse,

et tu vas voir, ma chérie, demain, je vais te couper

30 arbres, comme l'a dit Laurent. Le lendemain matin,

le lendemain matin,

le lendemain matin,

il avait repris 3 lignes plus haut.

Il s'est trompé.

Le lendemain matin, au zoror, le bûcheron,

il part dans la forêt, il revient le soir,

encore épuisé. Alors, mon amour,

combien as-tu coupé ?

3.

Quoi ? Seulement 3 ?

Mais tu m'avais dit 30.

Mais je ne comprends pas. J'ai bossé toute la journée,

comme un fou.

Il est heureux.

J'en ai même pas de jeûner,

et je ne coupais que 3 arbres. Mais enfin,

c'est pas possible.

Ecoute, je ferai mieux demain.

Le lendemain,

le bûcheron repart en forêt,

il revient le soir épuisé.

Alors, mon amour, combien as-tu coupé

d'autres ?

Combien as-tu coupé d'arbres ?

Oh non, je suis en de coupé.

On a Paris comme ça en même temps.

Non mais pour moi, c'est un supplice.

C'est le petit bûcheron.

Arrêtez, arrêtez.

Il ne fousse pas à concentrer.

Le lendemain, le bûcheron repart en forêt,

il revient le soir épuisé.

Alors, mon amour, combien as-tu coupé d'arbres ?

2.

Quoi ? Seulement 2 ?

3 hier ?

Mais t'es heureux, j'ai déjà dû en couper 60.

Alors, c'est pas possible, mais tu t'es fait arnaquer.

Demain, tu me ramènes ça au magasin.

Quoi, ça ? La tronçonnée ?

La tronçonnée au magasin.

Le lendemain, le bûcheron arrive au magasin furieux.

Monsieur, je ne comprends pas.

Vous m'avez vendu une tronçonnose 1 500 euros

en m'asturant que j'allais couper 30 arbres par jour.

Et résultat, j'en ai coupé 5 en deux jours.

Le vendeur est désolé.

Bah écoutez, je suis désolé, je ne comprends pas, mais vraiment pas.

Je suis navré, attendez.

Donnez-la à moi, cette tronçonneuse.

Le vendeur l'apprend,

tire sur le démarrer et

et elle démarre.

Et le bûcheron belge s'écrit.

Oh putain, mais c'est quoi ce bruit ?

Jean-Marie, je crois que vous n'avez toutes vos chances.

Bah je vais continuer sur les belges.

Vous êtes toujours là, Jérôme.

Oui, oui, j'en peux plus.

Ah bah c'est peut-être gagné alors.

Bah oui, voyez, finalement.

C'est un couple de belges qui se promènent sur la plage

et ils regardent les mouettes

qui passent et à un moment, il y a une mouette qui chie

pile sur la gueule du belge.

Alors la femme, elle couvre à la voiture,

cherche un rouleau de papier cul,

elle le ramène à son mari.

Le belge, il dit, c'est trop tard, elle est partie.

Ah si ?

Elle est pas mal, hein.

Moi, j'en avais une que je trouvais marrante

que vous avez donnée, mais la vôtre était très bien,

monsieur Jean-Cel.

Vous permettez que je la raconte ?

Ça se passe au Moyen-Orient.

Il y a trois touristes français qui sont totalement bourrés,

ils sont méchés.

Et puis comme ils sont totalement bourrés,

ils escaladent en pleine nuit dans le noir,

le mur d'un harem, parce qu'ils savent qu'il y a un harem.

Ils escaladent le mur du harem

et là, j'ai pas 40 filles,

ils passent une nuit d'orgie.

Ils font l'amour avec toutes les femmes du harem.

Sauf qu'ils sont épuisés

et ils ne repartent pas,

ils oublient de quitter le lieu,

ils s'endorment sur place.

Sauf que le lendemain, évidemment,

les onukles, les gardes qui travaillent pour les mires,

à qui appartenait le harem,

les arrêtent.

Et ils se retrouvent tous les trois touristes français

devant les mires,

alors dit, l'offense que vous m'avez faite

est impardonnable.

Vous serez punis par où vous avez péché.

Toi, par exemple, le premier touriste,

quel est ton métier ?

Moi, Bucheron,

qu'on lui coupe le sexe à la hache.

Et toi, quel est ton métier,

le deuxième cuisinier,

qu'on lui grille le sexe.

Et toi, alors, moi,

Marchand Sissette.

Jérôme, de toute façon,

vous aviez gagné le voyage

qu'on vous propose,

en plus du livre de Jean-Marie Bigard,

les 50 dernières phrases,

juste avant de mourir.

Dans un instant-là,

Invité du jour et notre rendez-vous

avec Marc-Antoine Lebré, aussi.

STL,

c'est l'heure de l'invité du jour.

À notre invité du jour,

vous le connaissez forcément,

parce qu'on peut, peut-être même,

être un des top chefs,

un des top chefs que vous aimez tous, évidemment.

Il est chef

à de plusieurs grands restaurants,

plusieurs fois étoilés.

On en parlera avec lui.

Mais attention, aujourd'hui,

il va nous apprendre à faire zéro gaspies.

Zéro gaspies, c'est le livre

qui est en librairie aux éditions Hachette,

un livre signé Jean-François Piège,

que nous recevons

dans les grosses têtes avec plaisir et

bonheur. Bienvenue, Jean-François Piège,

un repos au Clovergill,

en passant par le grand restaurant.

J'imagine que dans vos propres restaurants,

vous chassez le gaspies, alors, Monsieur Piège.

Ah, c'est sûr, hein.

Sauf que,

pour ne pas gaspiller,

ça je l'ai appris à travers votre magnifique

livre qui nous propose

près de 50 recettes économiques et gourmandes,

sauf que, pour pouvoir

cuisiner les restes,

il faut qu'il y ait des restes.

Par exemple, avec Bernard Maby, il n'y a pas de restes.

Continuez Laurent,

s'il y a toujours une ou deux épluchures à récupérer.

Quand même, quand même, quand même.

Mais c'est vrai.

Et c'est enfin gourmet, attention, faut pas confondre.

Il y a beaucoup de gâchis dans les restaurants.

Il y en a trop, il y en a trop. Dans les restaurants, il y en a trop.

Mais ça, c'est pour la maison, c'est un côté pratique.

Mais même dans la maison, c'est pas facile.

Ah oui, il y a des gens qui sont très doués,

qui savent cuisiner, puis cuisiner ce qu'il reste.

Ils vous prennent ce qu'il y a dans leur réfrigérateur,

ils font des trucs merveilleux.

Ils n'aiment pas cuisiner avec des produits frais.

Vous devriez peut-être commencer par les restes.

Par exemple,

moi, je vous donne un extrait du livre

que j'ai particulièrement apprécié.

Parce que, c'est vrai que quand on a...

Ça m'est souvent arrivé, pas toujours,

mais quand on a du monde à la maison le week-end,

on achète des croissants pour tout le monde.

Il y a, on va dire, huit copains qui sont à la maison.

Ils dorment là tous.

Oui, oui, oui. Bernard,

tu te penses que vous êtes venus chez moi,

oui, oui, oui, oui.

Je souviens du portail,

mais pas des croissants.

Ah oui, tu m'as cassé le portail.

Il y avait une expression.

Vous achetez des croissants, il en reste 3 ou 4.

Le week-end après, vous dites, bon,

on n'aimait pas le gâcher, on achète un peu moins.

Puis là, pas vous tomber sur des couillons

qui en prennent 3 par personne.

Il n'y a plus de croissant.

C'est pas facile, mais c'est vrai que souvent,

il en reste. Et ça, c'est une bonne idée

de faire des croissants qui restent

d'un petit déjeuner dominical.

Vous nous proposez des solutions.

Une gaufre. On peut faire une gaufre

avec des vieux croissants.

Et très, très facile.

Un petit mixeur, un oeuf,

un peu de lait, un peu de crème, on mixe

et on met dans un appareil à gaufre.

On peut rajouter un peu de levure si on veut.

C'est fou. Ça, c'est ce que vous appelez très facile.

Il faut un oeuf, un oeuf.

J'ai que l'oeuf dans tout ce que vous voulez.

Vous mettez pas l'oeuf avec la coque

dans le mixeur.

Mais non, mais j'ai pas de mixeur et j'ai pas de gaufre.

Allez, et pour vous, j'ai fait plus facile.

On met un peu plus de liquide, ça fera une crêpe.

Allez. Et oui, c'est vrai que vous allez

crêpe jusqu'à la crêpe,

gaufre de croissant de la veille.

On n'est pas obligé de le dire aux gens qu'on reçoit le lendemain.

C'est génial.

C'est pas vendeur. Je suis d'un... Je l'avoue, c'est pas vendeur.

Mais si il reste de la gaufre, qu'est-ce qu'on fait le lendemain ?

Des croissants.

Non, mais c'est génial.

Non, les jus d'orange.

Les corces, évidemment, de ces agrumes,

peuvent servir.

Les corces.

Pas le peuple.

Les pots de citron,

si vous préférez, pour faire par exemple

des pots de citron qu'on fit.

Oui, et une crème citron, si on fait une tarte citron.

Mais si, mais allons.

J'ai même pas de moule.

C'est pas ce qu'on nous a dit.

C'est pas ce qu'il dit à Paris.

Il y a même des restes.

Ils sont fous.

Ils sont fous.

Il y a de la crème.

Pardon, monsieur.

C'est un livre sur le gaspille, pas sur les restes.

Pardon, monsieur Piège.

Les têtes de crevettes.

Qu'est-ce qu'on fait avec les têtes de crevettes,

une fois qu'on les a décortiquées ?

On fait un bouillon, bravo.

Je vais le loger.

C'est super bon.

Et avec des pâtes.

C'est de la flotte avec des crevettes.

Ça a le goût de crevettes.

On peut faire un consommer.

Ça fait quelque chose d'élégant.

On peut faire une crème

qui peut être un peu plus consistant.

Par exemple,

j'ai été surpris, les épuchures de pommes de terre,

on peut faire des frites avec.

Oui, c'est les points de rue de Parisienne.

C'est un peu tiré par les cheveux.

Ce que j'aime bien,

c'est garder les épuchures de pommes de terre,

casser des oeufs et on fait comme une tortilla.

Ça, ça fait un repas complet avec une belle salade.

On peut avoir cuisiné les pommes de terre

pour autre chose et se régaler avec ça.

Tortillard de frites, de peaux de pommes de terre.

C'est bien, le lundement de raclette quand tu restes.

Et alors,

un de mes légumes préférés,

moi, j'adore ça,

les petits pois.

Quand on a écossé les petits pois, qu'est-ce qu'on fait des cosses ?

Eh bien, on en fait un flanc,

une soupe, on en fait pas mal de choses.

Et pour la petite anecdote,

j'ai cuisiné quand je suis rentré dans la cuisine

d'un grand cuisinier.

J'ai cuisiné cause de petits pois, je savais pas ce que c'était

et je me suis dit, mais c'est tellement bon.

J'ai gardé ça dans quoi de ma tête

et puis, dans ces périodes d'inflation,

je trouve que c'est pas mal de se rappeler

à quoi on a été élevés.

Qu'est-ce qu'on peut faire avec la boîte de concerts

qu'on a ouvert ?

Des peaux de peinture, des peaux de peinture.

Ce chef, c'était qui, c'était Bruno Cirino,

c'était Ducas, c'était qui ?

C'était Christian Constant.

Avec Ducas aussi, puis évidemment,

depuis plusieurs années maintenant,

vous avez vos propres...

Combien vous en avez d'ailleurs de restaurant,

Monsieur Piège ?

Huit restaurants.

Et le dernier, c'est à l'étranger, c'est ça ?

Oui, le dernier est à Taïwan.

Made in Taïwan.

À l'hôtel de la marine,

je ne savais pas que vous aviez...

Je suis passé à côté, vous avez un établissement.

Pour rentrer ?

C'est juste à côté,

des mimosas. Qu'est-ce qu'on mange aux mimosas ?

Des oeufs.

Et des oeufs mimosas.

Moi je veux bien aller dans vos restaurants.

Si vous ne me garantissez pas que je vais bouffer

les restes des gens qui sont venus la veille.

Oui, la veille.

Guarenti.

La veille, ça va encore ?

C'est de l'actualité de la banque.

Une bosse mimosa.

Mais en tout cas, ça s'appelle Zéro Gaspi.

C'est une série, d'ailleurs.

Vous avez fait zéro...

Vient de zéro poisson, oui.

Zéro viande, zéro poisson.

Ça, c'était pour les vegans, les végétariens.

Vous aviez fait d'autres en zéro, alors ?

Zéro gras.

Zéro gras.

Alors peut-être de l'acheter.

Et zéro sucre, non ?

Non, je n'ai pas fait.

Zéro Gaspi, près de 50 recettes économiques et gourmandes.

C'est chez Achette Cuisine.

Vous restez avec nous, Jean-François Piège.

Parce que je vais vous présenter d'un seul coup,

plein d'autres personnalités que mes grosses têtes du jour.

Jean-François Piège a nos traduités du jour

pour son livre Zéro Gaspi.

Publier chez Achette.

Et je suis désolé, mais c'est ici, RTL.

On a un concurrent à vous, mais néanmoins ami.

J'imagine, vous voyez qui je veux parler.

Cyril Lignac est arrivé.

Salut tout le monde !

Hey, Jean-François et moi, c'est tout simple.

C'est top chef et pot chef.

La cuisine de Joïf,

de J.F., c'est bien gourmand,

bien... bien croquant.

D'ailleurs, message aux filles.

Si à la savalentine, ton mec t'emmène manger dans un kebab,

il y a un piège.

Par contre, s'il t'emmène manger chez piège,

il n'y a pas de kebab.

Je vanne.

Et c'est quand même hyper long à préparer un kebab.

Entre 8 et 12 heures,

selon la rapidité du transit, du chef.

Chantal Latour.

Ah, attends, c'est la deuxième chantal Latour.

Oui, bonjour.

Moi, je veux surtout que piège me fasse à bouffer,

vous voyez-vous ?

Ça doit être autre chose que la cantine d'Hertel.

Bah ouais, bonjour madame, qui êtes-vous ?

Ecoute ça, J.F.,

j'ai des super techniques de dry.

Tu vois, Jean-François,

je vois deux étoiles Michelin dans tes yeux.

Allez, maintenant que j'ai fait mes compliments,

tu vas passer à la casserole, mon apin.

Jean-Marie Bigard, vous l'avez reconnu, il est là-bas,

mais il est là aussi.

Donc, tu demandes à la dessous

si elle veut dire un truc.

Et moi, rien, je pue, Laurent, tu vois.

Vous voulez dire quelque chose, Jean-Marie ?

Bah non, non, jamais !

Je rigole, Laurent.

Bien sûr que j'ai envie de causer au chef.

Déjà, j'ai envie de dire, bah, quand est-ce qu'on bouffe, tu vois.

Et puis surtout, j'ai envie de dire,

maintenant qu'on t'a invité aux grosses têtes,

ça serait sympa de nous renvoyer l'invitation, tu vois.

Oui.

Un bon client pour vous.

Bonjour.

François Hollande, bonjour, monsieur le président.

Ex-président, qu'est-ce qu'il se passe, monsieur Hollande ?

Bah, j'ai faim.

D'ailleurs, monsieur Pied,

nous avons une grande différence, tous les deux.

Vous, vous êtes dans le guide Michelin,

et moi, je suis sur la couverture.

Bonjour, le bibin d'homme.

Ah oui, c'est vous, le bibin d'homme.

Jean-Lassalle, l'extraître.

Heureusement qu'il était noyel, il aurait jamais compris.

Bonjour, Jean-Lassalle.

Pardon, pardon, mon cher Laurent,

mais je trouve depuis tout à l'heure,

on parle beaucoup de nourriture,

mais pas ça de boisson, vous voyez.

Pardon, excusez-moi, j'ai failli vomir.

Alors, je disais...

Je disais donc, la carte, c'est bien,

mais la carte des vins, c'est mieux.

Voyez-vous donc, monsieur Pied,

j'aimerais vous annoncer que,

pour venir...

Pardon, je compte venir,

prochainement, visiter votre restaurant,

et vous, de façon totalement anonyme et masqué,

afin d'évaluer votre carte des alcors,

et ainsi, pour voir vous attirer, ou pas,

des étoiles au guide Lassalle.

Voyez-vous, vive la République, et vive Lassalle.

Ils vivent, Marc-Antoine, le vrai,

que vous retrouverez tout à l'heure.

Dans FDL, bonsoir.

Je suis en train de regarder la liste des restaurants.

Alors, vous nous avez dit un restaurant à l'étranger.

Vous nous avez dit le Mimosa,

à l'Hôtel de la Marine.

Alors, la poulopose, ça, c'est toujours...

Ça existe toujours aussi.

C'est un de mes rêves, quand j'ai pu le racheter, dans Léal.

Premier arrondissement de Paris, tout près de Léal.

Regardez des plaques.

Des petites plaques, en plus.

Surtout.

Je crois qu'il y en a certains qui portent

des noms qu'on peut retrouver dans la fin.

Alors, je vais vous dire, j'étais très ému,

parce que vous, vous allez savoir de qui je parle,

cher Bernard, parce que j'y suis allé une fois,

à la poulopose, je ne connaissais pas le lieu,

et je me suis assis au hasard,

on m'a désigné une table, on était six copains,

je me suis assis sur la banquette,

donc, dos au mur, et après, je me suis rendu compte,

effectivement, qu'il y avait des plaques,

des gens célèbres, qui étaient au-dessus des têtes de chacun,

et ils se trouvent que c'est un vieil ami à moi,

qui avait son nom, qui est décédé,

qui a été un de mes meilleurs amis, qui était Dazu.

Le chansonnier Dazu.

Alors, ça m'a troublé, je me suis dit,

voilà, ceux qui croient au hasard et aux coincidences,

parce que c'était vraiment mon meilleur ami,

quand je suis arrivé à Paris, et je me suis assis à cette place,

sans savoir qu'au-dessus de ma tête,

il y avait une plaque dédiée à mon ami Dazu.

Vous n'avez pas enlevé ces plaques.

Surtout pas, et je crois qu'il y a la vôtre aussi maintenant,

au début de l'ancien propriétaire, dès qu'il voyait quelqu'un de connu,

il mettait une plaque.

J'ai ma plaque là-bas !

Ah oui !

Ah oui !

Ça, c'est pas une bonne pub.

Si on va dans vos restaurants, pis qu'on a des plaques après,

c'est pas...

Ça, c'est pas une bonne pub.

Pour vous, monsieur Piedre.

Bon alors, à part la poule au poche et la liste,

alors les cloveurs, il y a plusieurs sortes de cloveurs.

Ah bah ça aussi, au fond, ce n'est pas la chasse au gaspi,

mais c'est devenu green, végétal, le cloveur green.

Qui va être rebatisé dans 15 jours, qui va être cloveur Saint-Germain.

Ah !

Qui va ouvrir, c'est la nouveauté en faire un restaurant de pâtes.

Oh, non pas pas pas pas !

Qu'est-ce que vous dites là ?

Oh non !

C'est un plat préféré alors !

Mais pas des pâtes italiennes, hein ?

Ah bah j'espère bien !

Ah non.

Des pâtes françaises, mais pas fraîches.

Bah, on va faire des pâtes au rite-vo, par exemple.

Oh !

Oh bon !

Eh, testes-là !

On peut manger clore d'eau et éterrer les pâtes.

Bon bah voilà pour l'actualité de Jean-François Piedges,

mais surtout en librairie pour chasser le gaspiser.

Au gaspiser ce livre publié chez Hachette Cuisine.

Merci, Jean-François Piedges.

Merci à vous de le voir, les grosses fêtes.

Ce soir, on se retrouve demain à 15h30 pour d'autres grosses fêtes.

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Avec Chantal Ladesou, Jean-Marie Bigard, Steevy Boulay, Caroline Diament, Bernard Mabille et Jeanfi Janssens.

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