Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du mercredi 30 aouût 2023

RTL RTL 8/30/23 - Episode Page - 1h 48m - PDF Transcript

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Une grosse tête chez qui sommeille un cuillis de 130 qu'on réveille à Coutembourg, Caroline Diamand.

Bonjour !

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Une grosse tête pour qui Saint-Denis reste avant tout la basilique des Rois, Franck Ferrand.

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Une grosse tête mieux qu'une balle de tennis pour rebondir surtout Laurent Baffy.

Bonjour !

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Une grosse tête qui ne connaît pas le droit à l'oubli, Paulet Carrat.

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Et le grand retour aujourd'hui.

Grand retour d'une grosse tête qui n'a pas encore connu la séance des Tirs aux Buttes.

Yoann Riou !

Bonjour !

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Ça y est, c'est fait.

Pendant l'été, vous avez enfin rencontré l'Amsor, Monsieur Riou ?

Pas du tout, moins que jamais. C'est complètement...

Comment ça, moins que jamais ?

Je comprends pas cette phrase.

Je n'ai même pas le moindre contact, je n'ai rien du tout.

Mais qu'est-ce que vous avez fait de tout votre été ?

Alors, je suis très content.

Ah, je suis heureux, parce que j'ai décidé de vivre enfin,

et je me suis fait, pour l'après fin de ma vie, 3 restaurants étoilés en 2 mois.

Vous savez, j'ai testé, vous savez, des restaurants Michelin, et c'est dingue.

Et je suis allé dans un restaurant étoilé formidable.

On a pris une langouste royale avec champagne.

Tu voulais t'amuser la bouche ?

Et qui, en fait, dis-on, c'est toi et ta main gauche ?

Non, moi et ma maman.

Est-ce que c'est valide ?

Alors, retourne à quelqu'un.

C'est pas du tout.

Et le retour ne peut pas être prévoi.

Ma maman et ma maman.

Et ce qui était extraordinaire, c'est que, 2 semaines plus tard,

il y a eu, au même endroit, il y avait François Hollande et Julie Gaillet.

Et le restaurant, ils ont fait photo avec François Hollande

et Julie Gaillet, mais rien avec moi.

Quel homme !

Et donc, c'est génial, franchement, c'est un truc de dingue.

Les restaurants étoilés, mais c'est un truc...

Elle était contente de votre maman, alors.

Vraiment, le service est précoceau.

Mais quelle âge elle a, votre maman ?

70 ans depuis le 7 août.

Ah, oui ?

10 ans de plus que nous.

C'est à leur pôle !

Et ça nous empouche la pôle !

Oui.

Tu voudrais dire qu'il pourrait être son père.

Dieu me garde de ça.

Papa, est-ce qu'on fait un bâche de fou de ce soir ?

Oh non.

Votre maman a 70 ans seulement, mais quelle âge vous avez-vous ?

45 ans.

45 ans ?

Elle l'a eu à 25 ans.

J'ai mal calculé, je me suis dit qu'elle l'a eu à 15 ans.

Oui, non.

Il est 78, oui.

C'est bien d'avoir une belle vie et tout, et puis on s'est fait...

J'ai décidé, voilà, des beaux petits hôtels aussi en Bretagne.

Ah voilà, on est toujours avec ta mère !

Il couche avec sa mère !

Et quel heure !

Non, c'est Deli, c'est Deli qui t'accoute, mais c'est dans la même chambre !

C'est Deli en Bretagne, mais dans le Nord !

Vous savez, Deli, c'est pareil !

T'es au courant qu'il y a un problème dans cette anecdote.

Mais qu'est-ce qu'il... Vous allez être sur votre papa ou pas ?

Il y a un sur, carrément !

Mais qu'est-ce qu'il...

Il avait que sa sœur jumelle !

Mais qu'est-ce qu'il fait, votre papa, dans ce temps-là ?

Il fait des photos !

Il est à la retraite !

Ah oui, il est à la retraite sa mère aussi !

Il est à la retraite avec ta mère !

Ah non, on écoute... On écoute nique ta mère, si elle...

Bon, dut, monsieur, il n'y a pas quand même vos histoires de famille,

mais je suis quand même inquiet pour votre papa que vous délaissez

pendant que vous allez à l'hôtel et au restaurant avec votre mère !

Oui, c'était un anniversaire, c'était en avril, donc j'ai fait pareil en avril.

Mais pourquoi vous les emmenez pas en même temps ?

Parce qu'ils sont plus ensemble, tout bêtement !

Ah ! J'en ai dit !

Voilà !

Pourquoi vous ne le dites pas ?

Moi, je suis quelqu'un de timide et très distrait, je raconte pas mal.

Vous savez, c'est de dire les secrets de famille, quand même !

Ah, mais j'avais pas de vos parents, j'ai séparé...

Après, un enfant comme ça, on ne reste pas ensemble !

Ils ont divorcé très tard !

Ah, mais il y a combien de temps ?

Bon, il y a... après 33 de mariage.

Ah oui, quand même !

Oui, et tout !

Dès que tu as eu les moyens de soutenir ta mère...

Mais on t'adore quand vous badinez comme ça !

Mais c'est pas évident les divorces des parents, hein !

C'est pas évident pour celui qui a eu votre garde !

C'est vrai que l'entraînement, c'est plus tôt !

Bon, je crois qu'on a bien démarré cette édition !

Il est temps de passer à une première citation qui va vous intéresser, M. Ryuk,

qui a dit, c'est pour Philippe Angrand, qui habite chinois, dans l'Inde-Réloire,

qui a dit, j'ai l'équice molle, mais heureusement, mon ventre retombe par-dessus !

Jean-Yann !

Coluche !

Pierre-Bien-Doris !

Non, non, non, non !

Coluche !

Quelqu'un d'assez à poser les questions aux femmes !

C'est une femme !

Mais où est-elle ?

Mais est-ce qu'elle est américaine ?

Une femme américaine !

Elle est déçue !

Elle est décédée !

Elle est toujours vivante, je l'ai même vu sur scène il y a quelques années !

Ah oui ?

Ah oui, dans Elle-L'Odolier, elle est formidable !

Oui, oui, oui, oui, oui, oui !

Oui !

Beth Midler !

Bonne réponse !

Que t'as rollé le diamant !

Il faut qu'il se roule !

Du plus supérieux !

Pour Stéphane Paquet, qui habite Cheverny dans le Loire-et-Cher,

qui a dit, pour parler correctement le russe,

apprenez d'abord l'anglais !

Ça vous permettra de vous rendre compte que ce sont de l'angles totalement différentes !

Udi Allen !

Udi Allen, non !

Pierre-Dac, évidemment !

Bonne réponse de Laurent Bafiq !

Une citation plus culturelle, assez difficile,

et ça nous permettra de rendre hommage à Pierre Benichou,

car lui connaissait l'auteur de cette citation,

qu'il aimait beaucoup, mais est-ce que vous...

Il le connaissait personnellement ?

Ah non, il connaissait la phrase et l'auteur de la citation,

et de temps en temps, j'aimais bien lui glisser cette citation

pour qu'il puisse briller, car il était un des rares, je dois dire,

à retenir le nom de cet auteur, à qui on doit une phrase très connue,

elle, plus peut-être que l'auteur lui-même.

Ne me secouais pas, je suis plein de larmes.

Paul Moran ?

Non.

Ne me secouais pas, je suis plein de larmes.

Henri Calais ?

Henri Calais !

Bonne réponse de Paul Alcarac !

Alors là, bravo !

Il est Calais !

Je vais nous dire qui était Henri Calais, monsieur...

Raymond Barthelmes de son vrai nom,

c'est un des grands auteurs français de la première moitié du XXe siècle.

Bon, quel année ?

56.

Exact, il est mort.

Il est né en 1904, et il est mort étrangement dans un accident, je crois.

Il est mort prématurément d'une infection cardiaque à l'âge de 52 ans,

et c'est vrai qu'il avait écrit la belle lurette, ou le tout sur le tout,

mais on lui doit surtout cette très belle phrase,

qui, de temps en temps, prononcée par certains, ne me secouait pas.

Je suis plein de larmes.

Et qui est souvent attribuator à Paul Moran.

Ah ben oui, c'est pour ça, sûrement, que vous avez dit Paul Moran,

c'est bien de vous rattraper, Laurent.

Mais je savais qu'il aimait ce auteur, en fait, c'est pour ça que j'ai trouvé.

Pierre Ménychou ?

Oui, je savais qu'il aimait ce auteur, c'est pour ça que j'ai trouvé.

Ah non !

Vous l'avez déjà dit ?

Oui.

Ah donc, c'est pas parce qu'il savait...

C'est pas parce que vous saviez qu'il aimait ce auteur,

que vous l'avez trouvé ?

Si, c'est ça.

Une autre citation, la dernière pour aujourd'hui,

et ce sera encore une citation culturelle,

qui a dit, pour Frédéric Decaillet, qui habite Asbrouk,

les apôtres deviennent rares.

Tout le monde est Dieu, aujourd'hui.

C'est bon.

Ernest Renon ?

Ernest Renon ? Non.

À Comique ?

À Comique, François Normiaque ?

Alors, c'est quelqu'un qui avait de l'humour,

mais ça n'était pas à Comique.

On va dire que c'était un habitué des citations des grosses têtes

à l'époque de Philippe Bouvard,

et de temps en temps, je le ressors moi aussi.

Jean Lefebvre ?

Non, oh non !

Pierre Doris ?

Ah non, j'ai pas dit qu'il était grosses têtes.

Ah oui.

C'est quelqu'un qui était...

Arsène Oussey.

Non, non, non.

Qui était critique, journaliste, romancié.

Je crois même, d'ailleurs, qu'il a inventé le corsoflori.

Alfons Scar ?

Alfons Scar !

Bonne réponse de Paul Aïcarat !

Une question d'actualité pour Elisabeth Duran,

qui habite les cuisses dans le pas de calais.

Pour ça ou ça ?

Les cuisses.

Ah, vous n'avez pas visité, vous encore.

Quand je pense que ses parents divorcés nous écoutent.

Arrêtez Laurent, ils vont pleurer.

Non, après ce qu'ils se quittent.

Ah, il s'aime encore, qui a quitté le autre ?

Ah, je ne veux pas dire ça !

À la fin de l'édition, un peu plus tard.

Ils ont eu d'autres enfants que ce bruyant.

Il a une jumelle, quand vous avez dit.

Ah, il a une jumelle.

Ouais, la pâche.

Elle vit dans quel bocal, votre jumelle ?

En Bretagne.

En Bretagne.

Ah, oui, oui.

Pays de bocal.

Ah, on enchaîne.

Elle fait quoi ? Elle est folle du village, comme toi ?

Non.

Elle est une formidable femme de ménage.

Non.

Et puis là où elle va, les gens écoutent des grosses têtes.

Elle est hyper fière, parce qu'elle va chez des gens assez UP.

Ah ben, on a entendu ton frère hier à la grosse tête.

Et lui dis alors ?

Ils sont pas sympas, les gens.

Il a payé si tôt de plus.

Ma question d'actualité pour Elisabeth Jean, qui est donc écuise

dans le pas de Calais, était partie de là.

Ma question nous emmène...

Bah, nous emmènent dans un endroit que vous devez identifier,

puisque c'est le journaliste du Figaro, Julien Colling,

qui est envoyé spécial et qui, hier, a dû faire le tri

entre les vrais et les faux.

Mais entre les vrais et les faux quoi ?

C'est ce que nous racontes sur une page entière aujourd'hui.

Le journaliste du Figaro, Julien Colling.

Ce sont des objets ?

Non.

Les comptes formations professionnelles ?

Pas du tout.

C'est en France ?

C'est un papier très intéressant.

Ça se passe pas en France.

En Ukraine ?

Et ça se passe pas en Ukraine.

En Russie ?

Ça se passe en Russie.

Les vrais et les faux...

Les faux...

Les faux buts.

Les vrais et les faux prigogines ?

Presque.

Les vrais et les homages à prigogines ?

Les vrais et les faux...

C'est un truc comme ça ?

Plus précisément.

Les vrais et les faux faits de guerre, de prigogines ?

Non, du tout.

Les vrais et les faux tombent ?

Pour savoir quelle est la vraie tombe de prigogines ?

Où sera vraiment enterré prigogines ?

Alors, alors ?

Avant la tombe.

À le cimetière.

Mais non, le cercueil.

Le cercueil.

Le cercueil, il est où ?

Le cavo.

L'église.

Le...

Le tombeau.

Le tombeau.

Le crématorium.

La tombe.

Le lieu de sépulture.

Avant qu'on arrive au cimetière.

Là où on l'embaume.

On vend le brosse-tête.

Ah !

Ah, c'est la fois de...

La fumeur.

La fumeur.

Le corbillard.

Le corbillard.

Le corbillard.

Les vrais et les faux corbillards.

Bonne réponse.

Eh oui.

Est-ce que je comprends pas ?

Il y a un truc que je comprends pas à cette histoire.

Pourquoi Poutine, il n'a pas été plus discret ?

Parce qu'on sait très bien que c'est lui.

C'est bête, je trouve, si tu veux tuer...

Pourquoi tu me regardes ?

Tu crois que j'ai la réponse ?

Mais c'est l'histoire.

C'est comme le moitié.

Vous avez une vraie gueule de KGB.

Oui.

Toi, c'est le KGB.

Je peux...

Non, c'est juste pour le jeu de mots.

Non mais...

C'est pour le jeu de KGB.

C'est...

Je suis content de ma blague.

En tout cas, Poutine.

Je fais après mon début de saison.

Franchement.

Je fais 20 premières minutes top 10.

Mais je n'ai jamais fait du bon.

Bon, en tout cas, effectivement,

l'article du Figaro, M. Ferrand,

puisque vous nous l'avez lu qu'à moitié malheureusement.

Oui, j'ai lu le livre.

Ben, le titre, vous aurez normalement dû...

aurait dû vous faire deviner le contenu,

puisque le titre, c'est, à Saint-Pétersbourg,

les obsèques en catimini,

Devgeny-Prigodgine,

et en effet,

le journaliste du Figaro raconte

qu'il y avait différents corbillards

qui partaient dans la ville

pour que les journalistes soient trompés

et suivent parfois un mauvais corbillard

dans lequel il y avait pas le cercueil

et de manière à ce que le cimetière

ne soit pas connu avant que l'enterrement ait lieu.

Mais ça y est, le mercenaire a été effectivement enterré

dans la street intimité.

C'est passionnant, l'article du Figaro, je dois dire.

Après plusieurs fausses alertes et fausses pistes

à base de corbillards utilisés

pour tromper la presse

et de salles funéraires vides,

vers 17h, enfin, on a su

que Brigodgine avait été enterré

dans un cimetière de Saint-Pétersbourg

qui s'appelle, peut-être vous le connaissez,

M. Ferrand, vous êtes allé ?

Tramotostrovolo.

Moi, je suis allé à Saint-Pétersbourg.

J'ai pas visité les cimetières,

c'est parce qu'on voit en priorité les phénomènes.

Est-ce qu'il y aura un spoutine dans ce cimetière ?

Ah, j'en sais rien, moi.

Quand vous dites que je sache où se trouvera un spoutine...

Parce qu'il est mort à Saint-Pétersbourg.

Mais tu penses que c'est un...

C'est pas l'écrit Wikipédia, ici ?

Ah ben, je sais.

En tout cas, si.

Il fait sa crise d'adolescence, toi.

Enfin, pas du tout, je rêve.

Je voulais pas lui mettre une telle rechoptie.

Mais je lui ai rien fait.

J'ai l'impression d'être Hermione Granger.

En plus d'être assise de la pauvre,

un prétendien Henriou,

c'est un réseau d'heures sèches.

Arrêtez, vos bêtises !

Il met du parfum, ils sont bons, Henriou.

Ah oui ?

Oui, bien sûr.

Mais j'ai un petit truc à dire,

mais j'ai pas envie de rêver.

Ça détonnerait.

Tu pouvais t'arrêter, j'ai un petit truc.

Parce que j'ai un petit secret, peut-être,

mais je vois Joyce qui, je crois,

est avec une chanson devant elle.

Je vois des verres et tout,

et peut-être c'est une nouvelle composition, Joyce.

C'est pour tout à l'heure, ne dévoilez pas les choses.

Oui, c'est une surprise.

Qui les couillons, alors ?

Je pensais peut-être qu'elle sortait de...

Je comprends que vos parents, ce soir, c'est pareil.

Ça, c'est...

Dans 30 ans d'histoire d'amour, c'est beau.

Deux beaux enfants.

Non.

On vient.

Deux beaux enfants, ça, non.

C'est une difficulté.

Votre soeur, peut-être.

Moi, j'ai appris un truc hier, j'ai appris un truc.

Qu'est-ce que j'étais pas ta sœur ?

Non, mais je suis de presse.

C'est ce qui est rare chez des jumeaux.

Non, mais je suis de presse, surprise, parce que...

Je crois que j'ai une qualité physique,

c'est que je n'ai pas de ride encore.

Et quelqu'un m'a dit...

Attendez, l'avantage !

Vous êtes très tendu !

Ah oui !

Ah, tu m'as marre, on risque pas de...

Parce qu'apparemment, quand on est un peu enrobés,

c'est ça l'avantage, et qu'on prend pas de ride.

Et donc, c'est les gens maigres qui rédissent très vite.

Oui.

Et donc, je suis content de pas...

Ils rédissent !

Et vos parents, de l'enmon point, eux aussi.

Non, pas du...

Il y a que moi dans la famille.

Ah oui ?

Votre soeur...

Non, elle est super.

Et donc...

Mais à la naissance, quand le climarcasin est sorti,

ça n'a pas alerté ta mère.

Non, mais ça, je vais te faire raconter.

Ça, ça a été très complice, que j'ai failli mourir, vraiment.

C'est votre maman qui a quitté votre papa ou l'averse ?

Tout à l'heure, Laurent !

Si vous promettez que je fais deux émissions dans les prochaines semaines,

ça va beaucoup !

Alors, si vous nous racontez tout, trois !

On a le temps, Laurent, il n'est que...

Il n'est même pas 17h encore.

On n'a pas 16h encore.

Oui, il n'est même pas 16h encore.

Ah oui...

17h.

On raconte pas une famille en une demi-heure, quand même.

On voudrait savoir, en quelle année,

tu penses que tu vas remplacer Laurent, à la présentation de l'objetion ?

Je suis déjà...

Ils m'ont déjà contacté.

Hé, Laurent !

Hé, oui, Laurent, il se passe des choses derrière votre dos !

Alors, je veux dire...

Ah oui...

Il ne savait déjà...

Je sais que cette question ne veut rien dire,

mais vous pouvez dormir sans votre dos, Laurent.

Non, Laurent, ça, c'est un truc véridique.

J'ai toujours dit, quand vous arrêterez les grosses têtes,

j'arrêterai les grosses têtes aussi.

Je ne veux pas continuer...

En fait, je ne veux pas continuer...

J'ai un scoop !

Tu vas arrêter avant !

Il se peut même qu'il ne vous soyez plus là, déjà, vous voyez ?

Non, je serais toujours au connaissance.

J'ai une question culturelle à propos de la Mostra de Venise,

le festival de cinéma, qui fait sa 80e édition

et qui s'ouvre, se mercredit.

Une question toute bête, toute simple.

Vous connaissez, évidemment, ce festival de cinéma italien,

qui est un des plus vieux festivals internationaux de cinéma.

D'ailleurs, Laurent Deutsch, ce matin, a fait sa chronique...

... dans la matinale à propos de ce festival de cinéma.

Un concurrent à vous, Franck Ferrand.

Non, un ami, un ami.

Pourquoi tu l'appelles, l'autre con ?

C'était passionnant.

Franchement, elle est bien sa petite rubrique concernant l'actualité

et qui revient à l'histoire,

mais ce qui nous a pas dit, évidemment,

puisque ça, c'est de la vraie actualité à propos du festival de cette année,

c'est qui est le président du jury

et de la compétition cette année à Venise

pour la monstre.

Damien Chazelle.

C'est un cinéaste.

Damien Chazelle.

Le réalisateur de...

La, la, la, la, la.

La, la, la.

The First Man.

Babylone, effectivement.

Bonne réponse de Johan Riou.

C'est bien obligé de le dire.

Ah oui, il est là.

Vous lisez même les articles sur le cinéma.

Alors, arrêtez de nous applaudir bêtement devant tout le monde.

Avant d'être aimé, il faut s'apprécier.

Parce qu'on peut pas être aimé si on s'apprécie pas un petit peu.

Ouais, mais parfois, il faut redescendre

un tout petit peu d'agrabéatrice.

Oui, il faut des ordres de l'amour.

Vous applaudissez bizarrement, croyez-vous.

On dirait...

Voilà.

On a envie de vous envoyer un ballon sur le buzot.

Exactement.

C'est l'ingénieur du son qui m'a dit,

je n'ai pas le droit d'applaudir devant le micro.

Donc, je dois faire comme ça.

Quelqu'un a du poisson.

Là, comme ça, c'est la belle de Kenyx.

Avec quelle horreur ?

FTL.

Les grosses têtes répondent aux auditeurs.

Et oui, nous avons gardé cette formidable rubrique,

un peu, une sorte de bureau des plaintes,

où couriez des lecteurs dans la presse.

Mais au téléphone, c'est encore mieux d'avoir ceux qui nous écoutent

comme Muriel, par exemple.

Bonjour, Muriel.

Bonjour, Laurent.

Alors, vous êtes une auditrice assidue, dis-tu-vous ?

Plus ou moins.

Pas plus ou moins.

Elle nous adore, Muriel.

Mais vous en adorez plus, certains plus que d'autres, j'imagine.

C'est ça.

Alors, j'adore Caroline Diamant.

Je profite qu'elle soit là.

Laurent Bafi, Thébatien Toël.

Bonjour.

Désolé pour les autres, ils font partie de l'équipe.

Mais bon...

Yoran Ryu, ne vous prépare pas.

Je parle pas physique.

Oui.

Il a sa personnalité.

C'est ça.

Ça, c'est sûr.

Merci, madame.

Et vous faites quoi, vous, dans la vie Muriel ?

Alors, je suis invitée indéviablement.

C'est-à-dire ?

C'est-à-dire qu'on fait appel à moi lors de soirée.

Oui.

Et lors de ces soirées, on est toujours contraint d'inviter des personnes dont on n'a pas envie.

Par exemple, si vous n'avez pas envie d'inviter Yoran Ryu,

je suis là pour faire un sort qu'il ne soit plus là.

Vous êtes escorte.

Non, pas du tout.

Je suis invitée indéviablement.

Mais attendez.

Est-ce que toute l'émission est une caméra cassée ?

Non, mais j'ai envie de savoir et de comprendre ce que vous faites exactement.

Donc, on vous invite.

Je peux peut-être le faire aussi.

Et alors, je fais en sorte que les invités qui sont un peu enquitunants,

pour pas dire chiant,

partent au plus vite de la soirée pour vous passer une excellente soirée.

Et comment vous faites pour qu'ils parent ? Vous les embêtez, alors ?

Je parle de cul, je fais des choses un peu compliquées.

Et puis voilà.

Mais donc, on sait à l'avance qu'il y aura des gens qu'on ne veut pas voir.

Je vais vous donner le téléphone de Sophie Davant.

Si vous pouviez lui faire la même blague, ce serait parfait.

Au revoir, Muriel.

Nicolas, maintenant.

On a des auditeurs curieux aujourd'hui.

Bon, on a des auditeurs qu'on mérite.

Vous me direz Nicolas, bonjour.

Bonjour Laurent, bonjour toutes les qui dégrottent.

Vous, vous aimez Yoann Riouan, Nicolas ?

Eh oui, pas comme Muriel.

Vous adorez sa bonne humeur, ses blagues,

même s'ils disent où elles ne sont pas toujours reconnues,

à leur juste valeur.

Merci beaucoup, c'est gentil.

On l'accueille les cassoches.

Et vous espériez pouvoir lui parler un jour ?

Voilà, je vous laisse avec Yoann.

Vous habitez où, monsieur ?

Oui, très bien, vous habitez où, monsieur ?

Entre Saint-Étienne et Lyon.

Ah, magnifique.

Vous adorez le foot, alors ?

Ah oui, très bien.

Ah ben oui, comment est-il ?

Non, ne gâche pas cette belle conversation.

Vous êtes prêts de...

Non, faire pas une miette, s'il te plaît.

On vit un grand jour, on a la chance d'être là.

Allez-y, continuez.

Vous êtes sûrs, Cartel ?

Vous avez dit que vous me succéderiez un jour, là ?

Oui, mais je suis très timide avec les gens.

Vous êtes plutôt Saint-Étienne ou Lyon, alors ?

Les Vs ?

Moi, je suis nordiste de base, donc je suis fan du Hercélan,

c'est de Saint-Étienne aussi.

Magnifique.

Ok.

Il y a pas de relance, là.

C'est un relance.

Et vous faites quoi dans la vie ?

Je suis ingénieur dans la recommandation nuclear.

Ah ben ça, on comprend.

Dans la vie.

T'es boucadé à battu l'avion de Prix Gaugier ?

Il ment, il est fromagé.

Merci pour votre appel, en tout cas, Nicolas.

C'est Olivier, Olivier, maintenant, qui nous appelle.

Bonjour Olivier.

Bonjour Laurent, bonjour les grossettes.

Alors, on a hâte de découvrir le problème.

Maintenant, on est très impatients de savoir quelle est votre message.

Olivier nous écoute depuis très longtemps en podcast, c'est bien ça ?

Exact, oui.

Et vous questionnez sur le fait que ce soit moi qui prépare les questions

et vous demandez même si, au fond, parfois, je ne donne pas les réponses

à Paul Elkarat, c'est ça ?

Ou même si c'est Laurent Routier ?

Non, c'est pas tout après ça.

Bon, alors, je vais répondre à Coraline Diamant.

J'ai un métier tout à fait standard.

Je suis optician, je suis optique et rare à haut d'un cours.

Poff, pub.

Et en fait, je pense que quand vous avez Paul Elkarat dans l'émission,

il faut vous préparer à peu près 2 500 en question.

En plus.

C'est pas faux.

Si c'est vous qui les préparez toutes,

parce que vous vous levez à 3 heures du matin quand Paul est avec vous.

C'est ça, mais c'est vrai que ce matin, j'étais là très, très tôt

pour imaginer les questions historiques

qui vont peut-être permettre de coller Monsieur Ferrand.

Parce que j'ai les deux.

En même temps, Monsieur Ferrand et Monsieur Elkarat, c'est très compliqué.

Vous avez raison, absolument, Olivier.

Vous valiez, Laurent, moi, je ne nécessite pas que vous vous leviez plus tôt que pour moi.

C'est vrai, Caroline, vous avez fait beaucoup pour moi.

J'ai choisi les roulements de tambour à 3 heures du matin.

Caroline, vous avez fait beaucoup pour ma santé.

Voilà pourquoi vous êtes toujours ici depuis 20 ans.

En tout cas, je voulais juste rajouter quelque chose si vous le permettez.

Oui.

Vous êtes vraiment un soleil pour beaucoup, beaucoup de gens.

Sachez-le, ça fait énormément de bien de vous écouter.

Et vous avez un choix de sociétaires énormes.

Joyce de Natan est un soleil.

Il y en a bien d'autres.

Vraiment, vous êtes tous extraordinaires.

Merci Olivier.

Vous aussi voulez vous la faire.

Qu'est-ce que vous faites comme métier, Olivier ?

Je suis donc optifiant.

Ah oui, optifiant, c'est vrai, pardon.

Mais j'étais tellement...

Avant que vous lui disiez qu'elle est jolie, vous vous écoutez pas.

Ben oui, c'est d'un coup, je me suis intéressé.

Je vois bien, tout à coup, je réactive un petit peu.

Sinon, vous êtes dans quelle branche ?

Ah mais c'est pour ça qu'il parle de solaire.

Il dit que je suis solaire à part son métier.

Il aimerait être au petit soin.

Est-ce que vous avez une jubelle ?

Biscuit.

N'oubliez jamais une chose, Yohan.

C'est que vous êtes un sportif.

Peut-être arrêter de faire le comique de temps en temps,

et ça ira très bien.

Allez, on va terminer avec Maïva maintenant.

Bonjour Maïva.

Oui, bonjour.

Je voulais annoncer à Franck Ferrand

que la petite soirée qu'on a passée il y a 9 mois en arrière

a donné un petit bébé à ma termite.

Et j'étais dégouté.

Je me suis...

Je ne suis pas persuadé d'identifier la personne en question

parce qu'il y a eu plusieurs soirées il y a 9 mois.

Et c'est quoi cette histoire ?

Est-ce que vous aviez une casquette et une moustache ?

Alors là, d'accord.

Parce que vous essayez de nous piéger,

le début, pardon, Franck,

le début du mail de Maïva,

je me permets de vous écrire pour exprimer toute ma sympathie

à l'égard de monsieur Ferrand.

Oui, et pour cause ?

Oui, mais c'était il y a plusieurs mois,

et aujourd'hui, vous m'appelez pendant que je suis à la maternité.

Je crois qu'aujourd'hui,

on a eu les eniteurs les plus spéciaux dans cette rédrique.

Mais en tout cas, merci pour votre coup de fil.

On transmet votre numéro de sécurité sociale

à Franck Ferrand.

Les grosses têtes avec Laurent Ruquier,

c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Franck Ferrand.

J'ai eu ce je n'attends, Caroline Diamant,

Laurent Bafi, Paulette Carras et Yohan Amigou.

Une question historique à propos d'un roi

dont on peut dire c'est un double anniversaire aujourd'hui,

anniversaire de la disparition.

Ah, c'est Louis 11.

Louis 11.

Exactement.

C'était pas ma question.

Ma question ne portait quand même pas sur le nom de Louis 11.

Vous imaginez.

C'est trop simple.

Mais c'est vrai que c'est un double anniversaire.

Comment s'appelait son fils, Louis XII ?

Puisque cette année, non, celui qui a succédé à Louis 11,

c'est Charles VIII.

Mais effectivement, c'est un double anniversaire

parce qu'il était né Louis 11 en 1423.

Il y a donc...

600 ans.

Il est mort en 83.

Et il est mort pile le 30 août 1483, il y a 540 ans,

puisqu'il est mort à l'âge de 60 ans.

Et au moment de sa mort,

je crois qu'il était très hippocondrien.

Oui, il avait une peur bleue de la mort.

Voilà.

Il avait raison.

Il avait fait garder le château jour et nuit

par 400 hommes de peur d'être assassinés.

Oui, bien sûr, le château du Plessis.

Et en tout cas, au moment où il est mort,

quand il a senti sa mort venir,

il était sur son lit de mort.

Et là, il a réclamé quelque chose au dernier moment,

avant de partir définitivement, qu'a-t-il réclamé ?

D'être enterré à Cléris Saint-André.

Alors ça, c'est, effectivement,

sûrement une de ses dernières volontés.

Une pizza, quatre fromages.

C'est quelque chose de la taillelle ?

Alors qu'il n'a rien appris qu'à manger.

Alors que moi, je vous demande ce qu'il a demandé

d'avoir près de lui, vous voyez-vous ?

C'est quelqu'un ou c'est...

Alors c'est pas une pizza.

C'est François de Paule.

C'est pas une omelette non plus.

C'est à manger.

Et ce n'est pas quelqu'un non plus.

Un animal ?

Un objet ?

Il a demandé un objet.

A la Bible.

On peut considérer qu'il s'agit d'un objet un peu plus,

même qu'un objet.

Non, c'est quelque chose de très précis,

mais ce n'est pas quelque chose de religieux.

C'était un objet qui avait appartenu à un de ses prédécesseurs.

Ah oui, bravo, monsieur François de Paule.

La couronne.

La couronne.

L'épée de Charlemagne.

Non, le fameux manteau avec l'ermine,

la trèche chique qu'on mettait sur les épées.

La baia, la baia.

Il a demandé un septre, il a demandé...

Est-ce que c'est un objet religieux ?

Un objet religieux.

On n'a dit pas d'omelette, pas de champignon.

Un objet religieux.

C'est un symbole royal.

Un symbole royal.

Oui, madame Jonathan.

Alors, c'est un gros collier avec un gros médaillon.

Un septre.

Et pas seulement royal, d'ailleurs.

Ah, c'est la couronne de Jésus.

La couronne de Jésus, non.

C'est une couronne.

C'est un rap.

Le vase de soissons.

Non, il était cassé.

La couronne de Clovis.

Alors, pas la couronne de Clovis.

A la vacine dans laquelle il s'est vu.

La croix pectorale de Clovis.

Je pense, alors, de nouveau, à ce beau manteau avec un peu d'ermine.

La sauvette de Clovis.

Alors, je suis très content.

L'épée de Clovis.

Je suis très content.

Parce que, regardez, monsieur Ferrand, qui est en train de bouiller.

Ah oui, je l'boule.

Je suis en ébullition.

Parce qu'il ne sait pas ce que Louis-Homme a réclamé avant de partir.

Est-ce qu'il voulait le porter au moment de sa mort ?

Ah non, non, il voulait l'avoir près de lui.

Ah, mais le reliqueur de Clovis, le cœur de Clovis.

Le crâne, le gyrocyste de Clovis.

Est-ce que c'est une relique ?

Un tableau ?

C'est une relique.

Une main de cheveux.

La main de Clovis.

La main de Clovis.

Ah, ça, c'est l'Indien avec la main de René.

Je pense à un manteau avec une belle armée.

Mais arrête.

Le chaplet de Clovis.

C'est un objet religieux.

Ah oui, j'ai trouvé Clovis.

C'est un bijou, donc.

Un bijou, non.

Est-ce que c'est un calice ?

C'est plus que ça.

Ça servit.

Un orgue.

Mais ça servit au baptême de Clovis.

Oui.

Ah, la Saint-Empoules.

La Saint-Empoules, la bonne réponse.

Qu'est-ce que c'est ?

La Saint-Empoules, c'est le récipient dans lequel se trouvait le saint crème apporté

par le saint esprit au moment du baptême de Clovis.

C'est quoi, le saint crème ?

Le saint crème, c'est une sorte de produit très particulier.

C'est un ongant, un ongant céleste.

C'est une sorte de bôme mélangé, effectivement, du saint crème

pour servir à l'onction des rois de France.

Lors de leur sacre, la Saint-Empoules était une fiole qui contenait cette huile sacrée.

Et qui, selon la légende, aurait servi lors du baptême de Clovis.

Et donc, il a réclamé, avant de mourir,

la Saint-Empoules, la Saint-Empoules.

Il n'y avait pas de ses fourras.

Vous ne parlez pas comme ça, vous avez 60 ans.

Il s'est perdu à sa.

La Saint-Empoules, c'est bien ce qu'a réclamé Louis XI à sa mort.

Il y a donc maintenant 540 ans, jour pour jour.

On va oublier Louis XI.

Pour Tatiana de Ruyère qui habitera un...

Tiens, on en parlait, la question suivante n'est pas si simple.

Mais si vous avez lu le supplément de Télérama qui sort aujourd'hui,

Télérama a sorti, vous saurez ce qu'il y a 121 venus parmentiers

dans le 11e arrondissement.

Et aussi 49 rue Colencourt dans le 18e,

il n'y en a plus que 2 dans Paris.

Oui, c'est un club, des vidéos clubs qui loupent des vidéos cassettes.

Mais comment vous savez ça ?

Parce que j'ai habité aux 18 rue Colencourt

et que c'était mon vidéo club rue Colencourt

et qu'il tourne brut ou combini, tourne des...

Fait venir des stars internationales

et chacun parle de ses films préférés.

Excellente réponse de Caroline Diamant.

Je ne pensais même pas qu'il y en avait encore un vidéo club.

Il reste deux vidéos clubs dans Paris.

Mais c'est plutôt des DVD qui loupent.

Qui achète ou loupent des vidéos clubs aujourd'hui.

Dénastalgique.

En fait, il est devenu comme une DVD tech de tout ce qui...

Parce qu'aujourd'hui, il y a beaucoup de films

que vous ne trouvez pas sur les plateformes

ou quand vous avez envie de faire votre culture

du cinéma ancien, mais pas mythique.

Il n'y a personne qui remplit ça.

On peut demander conseils en plus dans ces endroits.

Il reste deux vidéos clubs dans Paris, peut-être aussi en France ailleurs.

Mais c'est vrai qu'il y en a de moins en moins.

Vous avez raison, on est passé des VHS aux DVD de toute façon.

Mais quand même, les DVD aujourd'hui sont quand même plus rares.

On regarde beaucoup les films sur les plateformes des différentes chaînes.

Deux vidéos clubs encore dans Paris.

C'était une bonne réponse de Caroline Guillaume.

A nous voilà, parti pour le Luxembourg.

Notre patrie, notre maison mère quelque part, à RTL.

Enfin, en tout cas, à l'origine de notre station.

Bonjour Daniel.

Bonjour.

Qu'est-ce que vous faites au Luxembourg, Daniel ?

Je suis en ce moment sur mon lieu de travail.

Vous vous réveillez ?

C'était ça, ma question.

Qu'est-ce que vous faites sur votre lieu de travail ?

Quel est votre travail, si je peux me permettre ?

Alors, mon travail, je suis dans les opérations d'un service qui s'occupe d'un réseau.

Ah là, là, là.

Un détail s'il vous plaît.

Je crois qu'on a James Bond au téléphone.

C'est une couverture, c'est une couverture.

J'ai bien compris qu'il ne fallait pas que je vous pose plus de questions,

mais j'espère, en tout cas, que vous saurez discerner le vrai du faux

parmi les informations données par mes camarades grosses têtes.

6 infos, vous savez qu'il y en aura 5 de faux, c'est une seule de vraie.

Vous nous écoutez tous les jours, j'espère, Daniel.

Plus ou moins, oui, ça fait déjà...

Plus ou moins.

Ah ben, c'est pas James Bond, là.

Ça fait plaisir, plus ou moins, comme réponse.

Non, mais je connais déjà assez bien le jeu.

Plus ou plus, plus ou moins, alors, Daniel.

On verra bien.

Daniel, en tout cas, voici la première info qui va vous être donnée

par James, Jonathan et le Meme.

Alors, Michel Sardou va sortir une nouvelle version de l'un de ses plus grands succès.

Ça fait comme ça, vous voulez que je vous la chante, Daniel ?

Plus ou moins.

Vous n'êtes pas très chaud.

Oui, à bas où est une nouvelle version d'un grand succès de Michel Sardou ?

À faire pallir tous les marquis de salle.

À faire rougir les putains de la rade.

À faire crier grâce à tous les échos.

À faire trembler les murs de Gérico.

C'est Armand et...

À faire flamber des enfers dans tes yeux.

À faire juré tous les tonnerres de Dieu.

À faire dresser tes seins.

Je la connais approximativement, cette chanson.

À faire prier et supplier nos mains.

C'est Armand et...

C'est Armand et...

Comme on ne t'a jamais aimé.

C'est Armand et...

Plus loin que tes rêves ont imaginé.

C'est Armand et...

C'est Armand et...

C'est bien !

C'est bien, Joyce.

Je ne sais pas si ce soit la vraie info, mais c'est bien !

C'est un peu de droite.

Paul et Carat !

Malgré sa deuxième condamnation pour harcèlement sexuel,

ces news maintient Jean-Marc Morandini à l'antenne.

Il dirigera la chorale des enfants de cœur

pendant la messe diffusée le dimanche matin.

L'en rend assis !

A la veille de la réouverture de la chasse,

l'Office national de la Biodiversité

annonce une baisse de 80% des accidents de chasse en 20 ans.

L'Association des Sangliers de France a réagi en déclarant

« Parlez pour vous, bande de cons ! »

Il y en avait eu !

Un joueur de tennis français s'est qualifié pour le deuxième tour de Flushing Meadows.

Pas de bol, il s'appelle Titouan, drogué.

Caroline Diamant !

Sandrine Rousseau et Clémentine Autin

estiment que la baïa n'est pas un vêtement religieux.

Et pour les femmes qui sont la pide en Iran,

elles pensent qu'on a mal entendu et que c'est juste

qu'elles portaient du tête-la-pidus.

Frank Ferrand pour terminer !

Rassemblement des partis autour du président de la République,

aujourd'hui à Saint-Denis, la gauche ayant annoncé

qu'elle ne resterait pas au dîner,

les autres partis ont demandé si du coup il pourrait avoir du homard.

Qui a dit la vérité, Daniel ?

Donc on va procéder par elimination.

Oh, je vois que vous nous écoutez plus ou moins !

Ah, il a le cœur habitué !

Il veut éliminer !

Donc, comme aussi par Yohan,

j'ai bien m'écouté Dressionathan,

par contre, c'est pas aussi la bonne info.

D'accord.

Laurent Baffi aussi, c'est le faux.

D'accord.

Donc on dit non plus, plutôt dans ces cas-là, alors.

J'aimerais plus que Caroline Diamant a dit,

On prenait un tranquillis âme.

C'était de l'apidus au lieu de l'apider pour Caroline Diamant.

Ah oui, voilà, ça c'est faux.

D'accord.

Et donc il reste Paul et Franck,

et je dirais que c'est Paul qui dit la vérité.

Alors vous pensez que Jean-Marc Monrodini

va diriger la chorale des enfants de cœur de la Messe

sur CNews le dimanche, madame ?

Non, mais il va continuer sur CNews, par contre.

Oui, d'accord, mais enfin, pas pour...

Pas pour diriger...

Laissez venir à lui, les petits-enfants.

Parce que c'est Yoann Riou qui avait la bonne info.

Ah oui, c'est toi.

Ah non !

Ah oui !

Ah mais il se réveille quand il a perdu.

On a un joueur de tennis qui vient de se qualifier

pour le deuxième tour de flush in the middle,

un joueur de tennis français, on est chanceux.

Mais pas de bol, il s'appelle Droguet,

notre joueur de tennis.

C'est pour ça qu'il a gagné.

Titoire Droguet, c'est bien ça, monsieur Riou.

Ah parce que je pensais que c'était Droguet,

E.T. à la fin.

Ah oui, c'est...

Oui, mais c'est le jeu de mots.

C'est E.T.

Oh mon dieu.

Mais qui est con ?

Bien sûr que c'est Droguet à la fin, E.T.

Mais c'est...

Mais c'est...

Oh mais il les voit.

Oui, mais en fait, je vous explique.

Parce que vous savez bien qu'on lise parfaitement.

Oui.

Donc sans...

J'ai cru voir que le gars qui a gagné français, c'est Droguet.

Et là, c'est écrit Droguet, il fallait prononcer E.

Donc...

Mais c'est la bonne info quand même.

Mais qui est con ?

En fait, le roche, je suis désolé, mais je comprends pas,

parce que vous êtes toujours...

Il faut toujours qu'on soit hyper sérieux sur la pronostation.

Non, mais t'es avec le mec du Luxembourg, en fait.

Daniel, le gars qui a gagné, c'est Droguet.

Et là, c'est...

Le gars qui a gagné, c'est Droguet, E.T.

Oui, bon.

Dis Droguet, tu vas pas au troquet.

Et justement, comme on sait que vous êtes très con,

on n'a pas mis le T,

parce qu'on a eu peur que vous disiez Droguet.

Je vous jure que c'est ça, la vérité.

Non, moi, je pense...

Si, je vous jure.

Parce qu'on s'est dit, si on met E.T., ce couillon, il va dire,

Titoire Droguet, ça va pas être drôle.

Laurent, je suis pas si con que ça, quand même.

Je sais que c'est Droguet.

Pose pas des questions auxquelles tu ne peux pas entendre l'E.T.

Bah c'est pas grave, il a perdu, et puis moi aussi.

Bah c'est pas grave, c'est pas grave.

On est désolés, Daniel, quand même,

parce qu'il y avait un séjour au château de Pisay à gagner.

Bon, en même temps, il y a des jolis châteaux au Luxembourg aussi,

et vous pourrez en profiter sans avoir un recours à RTL.

Et on va...

En payant vous-même, quoi.

Bon, voilà.

Vous pouvez faire autre chose, encore.

Oui, vous allez recoucher vous, Daniel.

Là, je vais retravailler.

Et puis vous avez de l'argent au Luxembourg,

il y a de l'argent.

Oui, oui, oui.

Évidemment.

On vous embrasse, Daniel.

Merci d'avoir essayé, en tout cas.

Une question pour Florence Corsque,

qui habite Feuquière, c'est d'enloise.

Bravo.

Moi, je sais Feuqu'toudais.

Oh non, que franchement !

On m'occupe pas d'enfléchir.

Il faut tout tenter ici.

Ah oui, bah vous tentez pas de vraiment, nous, croyez-moi.

Pardon.

Bon geste.

Joe Cool et Lewis Primo forment un groupe

dont on repart la location de l'actualité en ce moment.

Mais qu'elle était le groupe

composé par Beaugeste, Joe Cool et Lewis Primo.

Les Bill Baxter !

Les Bill Baxter !

Et qu'est-ce qu'il chante ?

Embrasse-moi, idiot !

Bonne réponse, évidemment.

Une chanson qui fait un carton en Espagne, en ce moment,

dans l'équipe espagnole de foot féminine.

Embrasse-moi, idiot !

Bravo, Caroline.

Vous souveniez du groupe Bill Baxter ?

Je vais être très honnête.

Quand je suis arrivé dans la maison de disc Virgin,

ce tube était en train d'exploser.

Les Bill Baxter, je les connais tous les trois.

Ils étaient très sympathiques, je les ai perdu de vue.

Et donc voilà pourquoi je connais.

Si je n'avais pas travaillé dans le disc, je ne connaitrais pas.

Mais bravo, c'était bien, Bill Baxter.

Une question pour Karine Perfillon, maintenant, qui habite

Kutura, et la question est toute simple.

Normalement, M. Ferrand ou M. Polaykarat

devraient trouver assez facilement qui a assisté au funérail

de Newton parce qu'il était de passage à Londres

cet année-là, en 1727, puisque Newton est mort en 1727.

Claude François, c'est Adela.

Donc, ce n'est pas Mme du Châtelet, mais ça pourrait être Voltaire, en revanche.

Qui est Mme du Châtelet ?

La mathématicienne qui a popularisé Newton en France.

Mais ça pourrait être Voltaire, alors.

Pourquoi ? Pourquoi ça pourrait être Voltaire ?

Parce qu'il était en Angleterre, à ce moment-là.

Eh bien oui, c'est Voltaire.

Bonne réponse.

Le François Ferrand.

Pourquoi ?

Mais c'est impressionnant.

C'est parce qu'il venait de rentrer à Virgin, cette année-là.

Non, mais c'est impressionnant, qu'il sache.

C'est bien de connaître Voltaire, je connais Voltaire.

Il est galvanisé, il fait qu'il n'est pas part.

Je savais pas.

Je savais pas quand il était à Londres.

Pour L'Orient Marchand, qui habite Ferrand dans le nord,

pouvez-vous me dire qui sont Marianne, Terminateur, Calathe,

Désiré et Jim ?

Terminateur, c'est Schwarzenegger ?

Oui, mais non, là, ce n'est pas Schwarzenegger.

C'est pas de la qualité en ce moment, en faisant quelque chose.

Il faut l'actualité.

Ce sont des animaux ?

Oui, ce sont des animaux.

Je peux même vous dire que Calathe et Désiré sont des chèvres.

Jim est un mouton.

Marianne et Terminateur sont des poules.

Ah non, j'étais pas dans le bon bâtard.

Ils ont créé quelque chose.

Ils ont enfanté rien.

Ils ont créé quelque chose.

Ils ont créé une place.

Les musiciens de la ville de Brem.

Non, du tout.

C'est en France ?

Ah oui, c'est en France.

Ils ont balancé un gaz, quelque chose, dans le...

Oh, arrête-toi, Ranquinière.

Ils sont dans un zoo, en France ?

Ils sont dans un zoo, en France ?

Ah non, ils sont pas dans un zoo.

Ils sont dans un zoo.

Dans une ferme, non, pfff.

C'est paru dans le poing pendant l'été.

Ils sont à Versailles.

C'est vrai que j'ai retenu les noms.

J'ai déchiré la page de l'Orient Marchand.

Le poing, pour me dire,

ça, ça fera une bonne question pour les grosses têtes.

C'est pas peut-être les chèvres de...

Monsieur Seguin ?

Non, Timopino, le grand champion,

il a des chèvres, il a une ferme qui a été extraordinaire.

Le cycliste ?

Oui, le cycliste.

Et il a une petite ferme extraordinaire.

Oui, c'est vrai, oui.

Et il a des chèvres.

Ce serait intéressant que je donne les noms des animaux.

Oui, oui.

Du cycliste, Timopino.

Alors, vraiment, tu serais une idole.

Moi, j'annoncerais, ça, la fin des grosses têtes.

S'il faut apprendre non seulement le nom des sportifs,

mais le nom de la chèvre.

Ou des légionnaires, ou des chèvres.

En tout cas, ils ont un maître commun,

ou une maîtresse...

Ah oui, ça, c'est vrai.

Est-ce que c'est pas Aversailles, les descendants de madame de...

Alors, c'est Aversailles ?

Badouche, il a...

De Marie-Antoinette.

La Marie-Antoinette dans sa ferme.

Non, mais au château, au château.

C'est Aversailles. Regardez la tête de Franck Ferrand.

Colbert !

Ok, pâté après la sainte ampoule.

Les chèvres.

Bah, ça reste des poules.

Non, il y a des poules et des ampoules.

Ça appartient à qui ?

C'est à la ferme de Chèvre-Loup ?

Marie-Antoinette ?

C'est à la ferme de Gallie ?

Non, c'est ma question.

C'est au petit, dans le hameau de l'arrêt ?

Petit piano ?

Attendez, on voulait dire qu'on a suivi l'arbre généalogique

d'une poule et d'une chèvre.

C'est pour les ces chèvres,

sont Aversailles au château de Versailles ?

Non, pas au château.

La poule aux odors ?

Au petit Versailles, au petit piano ?

Ils sont dans une école ?

Une école, non.

Il manque un nom d'animal qui vous aurait évidemment aidé un peu plus,

parce que lui, cet animal-là est plus connu que les autres.

Ce sont des animaux qui ont tourné dans des films ?

Pas du tout.

À Cheval ?

Non, c'est le propriétaire, c'est ça ?

Oui, je vous demande.

Est-ce que le propriétaire est le même ?

Ils sont dans le château de Versailles ?

Non, ils ne sont pas dans le château.

Est-ce que le propriétaire est le même,

ou est-ce qu'il y a des propriétaires célèbres

pour chacun de ces animaux ?

Alors, là, depuis un moment, depuis 6 ans, en tout cas,

ça n'a rien à voir avec le trianon ou avec le domaine de Versailles.

J'ai trouvé, je crois.

Allez-y.

C'est pas la lanterne où il y a Macron, qui vient de dans un temps ?

Bonne réponse de Yoann Riou.

Eh oui, c'est à la lanterne où le couple présidentiel passe ses week-ends.

Monsieur M. Macron sent le week-end à la lanterne,

ce qui est une résidence présidentielle avant.

Maintenant, avant, c'était le premier ministre.

Avant, c'était le premier ministre, mais depuis Sarkozy.

Depuis Sarkozy, c'est devenu une résidence présidentielle.

Brigitte, Emmanuel Macron, les week-ends,

ne sont avec leur labrador Nemo.

Evidemment, je n'ai pas donné le nom du labrador.

Ce serait été trop facile, mais aussi avec les chèvres calatées,

désirées, le mouton de Jimé, les poules mariannes et terminateurs.

En tout cas, sachez que ces animaux ont une vie absolument passionnante,

que nous racontait le point.

C'était à la lanterne.

Mais ça n'a pas trop mal l'eutie.

Ah oui, on nous dit, par exemple, que le lundi, Brigitte Macron raconte

les histoires des animaux de la lanterne à son cabinet à l'Elysée.

Et comment ça s'est passé pendant les week-ends ?

Un jour, il a fallu rattraper le labrador Nemo qui a fugué dans le parc.

Un autre jour, le mouton a piqué le panier du chien.

Un autre jour, les chèvres ont été surprises en train de grimper

sur les véhicules stationnés dans la cour.

Et la première dame a même filmé son mari, Emmanuel Macron.

Oh, stop, stop, oh là là, c'est la vie privée.

En train de donner le biberon à une chèvre,

elle est sûre que c'était un biberon.

Oh non.

A Jim, quand il était encore un agneau, voilà, avant qu'il devienne

un mouton, l'agneau Jim, on n'est pas loin de la ferme de Marie-Antoinette,

mais ça reste...

On est même géographiquement tout près.

Mais ça reste effectivement le lieu présidentiel, présidentiel.

De la lanterne où se trouvent tous ces animaux.

Une question pour Laetitia Olivier, qui habite Saint-Etienne de Fond-Bélon.

C'est dans l'Ardèche. Je vous emmène au Pays-Bas.

Il y a évidemment le football, qui est le sport numéro un le plus populaire.

Mais quel est le deuxième sport le plus populaire au Pays-Bas ?

Le patinage de vitesse, le patinage de vitesse de short track,

le vélo, le patinage de vitesse.

Expliquez.

Le patinage de vitesse, c'est...

Ils sont très, très forts dans les Jeux Olympiques,

donc Jeux Olympiques d'hiver.

Et là, c'est donc, il y a un circuit, c'est une pâtie noire.

Et là, il faut faire le tour.

Oui, c'est du patinage de vitesse.

Et ce serait le deuxième sport le plus populaire.

Ils sont des médailles absolument incroyables. Et franchement, j'ai fait vie.

Eh bien, non, ce n'est pas le baseball.

Alors, c'est le hockey sur gazon.

Non, putain. Le baseball.

Le baseball, non.

C'est un sport olympique ou non-olympique ?

Ce n'est pas un sport olympique.

Ça pourrait pas être la pétanque.

La pétanque.

La pétanque hollandaise.

Le chouc-ball.

Comment vous dites ?

Le chouc-ball.

Qu'est-ce que c'est ?

Je ne sais plus comment expliquer.

Un sport d'équipe.

Il est venu s'amuser aujourd'hui, Polo.

Laurent, c'est un sport d'équipe ?

Un sport d'équipe ? Non.

Individuel, donc.

Estol Figuaro.

Des fléchettes.

La semaine dernière que j'ai trouvé...

C'est un sport confidentiel, plutôt ?

C'est Tarty. Je ne vais pas donner le nom du journaliste,

parce que j'imagine que vous connaissez les spécialités de vos confrères.

Et si je donne le nom du journaliste, vous allez deviner le sport.

Ce n'est pas les fléchettes.

Mais en tout cas, il nous précise bien que ce sport était devenu

le deuxième sport le plus populaire derrière l'indétronable football au Pays-Bas.

Est-ce que Laurent, c'est un vrai sport, disons, dans le sens...

Ah oui, c'est le football.

Un instrument comme une raquette, ou est-ce qu'il faut...

Un instrument, c'est pas le mot, mais il faut quelque chose.

Ah, le trampoline !

Le trampoline.

Ah oui, le deuxième sport le plus populaire au Pays-Bas, le trampoline.

Est-ce que c'est le lancer genre de quelque chose, donc ?

Réfléchissez.

C'est un sport individuel.

Au Pays-Bas, il y a des sabots, le lancer de sabots,

ou le lancer de gouda.

Non, mais c'est un vrai sport.

C'est un sport individuel.

Le tir à la corde.

Un sport individuel.

Ah, le cyclisme.

Ce qu'il faut courir.

Oui, mais bien sûr.

C'est olympique, le cyclisme.

Il y a des canaux.

Ah, c'est la vironde, ça, un raccord.

C'est olympique, la vironde.

Le suri, vous êtes bien journaliste sportif.

Ah ben oui, j'adore.

Laquez ça, ça vaut.

Vous êtes journaliste sportif.

Oui, je suis très fier.

Bon, à RTL un peu aussi.

Bien sûr.

Bon, alors, si vous réfléchissez un peu,

j'ai même envie de vous dire, pour vous aider, que c'est devenu

le deuxième sport le plus populaire des Pays-Bas.

Ça, il n'était pas il y a quelques années, mais...

Donc, il y a un immense champion qui représente ce sport en ce moment.

Et voilà.

Oui, la Formule 1.

Bonne réponse de Caroline Diamant.

Verstappen.

La joue.

Et oui.

Grâce à Max Verstappen, qui gagne grand prix sur grand prix.

Vous pensez bien que les Pays-Bas sont à doof derrière ce pilote de Formule 1.

Et là, il y a eu un grand prix ce week-end, je crois, d'ailleurs au Pays-Bas.

Et oui, et voilà pourquoi on parlait d'une furia.

Il n'est pas dans le sens.

Une furia orange.

Non, mais c'est populaire, un point que vous n'imaginez pas,

parce qu'on n'a jamais vu ça en F1.

Il paraît qu'il y a même des hooligans néerlandais qui le suivent

sur tous les grands prix à l'international, pas seulement au Pays-Bas.

Il est devenu une idole dans son Pays-Max Verstappen.

C'est un vrai personnage, comment dire, une grande gueule.

Il y a une anecdote absolument incroyable.

Il avait un père hyper hyper dur.

Et un jour, il fait, je crois, une course de karting en Italie.

Et comme il n'avait pas gagné, bien son père l'avait laissé tout seul

dans une station, dans une station service d'autoroute en revenant.

Et donc, il a été forgé et son père était d'ailleurs

un pilote de formulaire également.

Ah, vous voyez, quand vous racontez pas des trucs sur vos parents,

vous êtes moins drôles.

Pour Jean-Jacques Martin, qui habite la Tess Morin dans L'Héro,

une question qui nous emmène cette fois au Japon,

même si c'est un succès international,

puisque Tamashi Maburagi est devenu millionnaire

grâce à son invention.

Une invention pour les cons, pourtant, avait-il dit.

Et la preuve qu'il y a beaucoup de cons,

parce que ça s'est énormément vendu, il a 24 ans seulement.

Ah, oui, l'Allemagne a cartel.

Non, ça.

Tiktok.

Il a 24 ans et il a inventé ce qu'il a rendu millionnaire.

Des millions de personnes à travers le monde se sont ruées sur Internet

pour acheter, acheter quoi ?

Une appliquée, quelque chose de virtuel.

En 2023.

Ah, ce n'est pas virtuel du tout.

C'est des jeux à Tamagotchi.

Pardon, Tamagotchi.

A Tamagotchi, non.

C'est plus...

Un objet ?

Alors, c'est un objet, oui.

C'est un objet qui...

Pardon.

Une poupée gonflable.

Pour vous, une poupée gonflable, c'est un jeu.

Ah, oui.

On te voit, le nombre de russines qui l'achètent par an, oui.

Laurent, les petits trucs pop, là, sur lesquels on appuie, ça fait comme un...

Alors, attention, le jeu existait déjà.

Lui, il a fait une nouvelle version de ce jeu

qu'il a vendu à des millions d'exemplaires en un temps record.

En tout cas, ça a fait de lui un millionnaire.

Et pourtant, c'était clair au départ que c'était vraiment...

Pour les cons.

C'est un jeu d'un puzzle blanc.

Oui, mais c'était pas...

Un puzzle blanc.

Un puzzle blanc.

Vous êtes tout près de la bonne réponse.

Un puzzle noir ?

Non, mais ce n'est pas un puzzle.

Un genre de Rubik's Cube...

Blanc.

Un Rubik's Cube blanc.

Un Rubik's Cube d'une sale coula.

Bonne réponse.

Déjà, il se donne à temps aidé par Laurent, ma fille.

Des millions de gens ont acheté ça.

Un Rubik's Cube monochrome pour les cons.

Pourquoi ça sert alors ?

Mais non, mais moi, je vais vous dire à quoi ça sert.

C'est anti-stresse, quoi.

C'est anti-stresse.

C'est tout le temps satisfait.

Tu dis, je suis géniale, j'y arrive.

Un millionnaire avec ça.

Mais oui, mais les cons sont nombreux.

Tamashi Mabuguri, l'inventeur japonais de 24 ans,

a présenté cette version simplifiée à San Francisco.

Il a baptisé son Rubik's Cube monochrome blanc,

version destinée à une catégorie de population

laisé par la version classique.

Donc, plutôt pour les cons, a-t-il dit,

il n'empêche que des tas de gens ont décidé de l'acheter.

Et c'est vrai que d'un seul coup,

c'était une version qui a plu pour les débutants,

pour s'initier à ce casse-tête tridimensionnel

sans être découragé par la difficulté.

Oui, car sous-là, j'en avais fait un noir.

Honnêtement, je peux comprendre.

Je vous ai dit, il paraît que quand on a une pensée négative

ou un stress ou quelque chose,

il suffit d'utiliser ses mains

et de faire pendant dix ou quinze secondes d'autre chose.

Elle a dit, on t'arrangeait des voisins quand t'étais stressée.

Non, mais c'est peut-être pour les nouveau-nés, à Banos.

Oui, c'est pour Philippe Poisson.

Oui, c'est un jeu d'éveil, sans jeu d'éveil.

Moi, je préfère puissance 4. Ah, c'est facile.

C'est dur pour Philippe Poisson.

Vous t'essoufflez un autre jeu pour les conges

et d'autres questions.

Ça sera après la pub.

Le livre du jour est un magnifique livre

que j'ai lu pendant l'été,

un roman signé Claire Béreste.

Ça s'appelle L'épaisseur d'un cheveu séché Albin Michel.

Pourquoi vous faites...

Est-ce que je l'ai croisé à Chanson Préloche

chez Gonzac Sainbrie ?

Ah, vous faites les salons.

Elle était là, elle a été récompensée.

Les salons littéraires,

peut-être vous allez pouvoir répondre à la question

que je vais vous poser avant qu'on ait Claire Béreste au téléphone pour son roman.

L'épaisseur d'un cheveu.

La question est toute simple.

Le héros de ce livre, héros, je ne sais pas si c'est le mot,

mais on va dire, le personnage principal du livre de Claire Béreste,

en tout cas, a loupé l'ENC quand il était jeune, plus jeune.

Mais qu'est-ce que l'ENC ?

L'École nationale de cirque.

L'École nationale de quelque chose.

Du cirque ?

Oui, du cirque, non.

L'ENC ?

Oui, c'est...

Du communisme.

Une grande école, d'ailleurs.

Mais...

Contable ?

Pardon.

Contable, non.

L'École nationale de commerce.

L'École nationale de commerce.

De communication ?

Non.

Et s'il y a bien quelqu'un ici...

C'est artistique ?

Artistique qui devrait répondre.

De chants, de chants, de chants, de chants.

De chants, non, non, non.

L'École nationale.

Une grande école fondée en 1821.

De conservateur d'un...

Des chartistes ?

Ah, les chartes, oui.

Des chartes.

L'École nationale des chartes.

Bonne réponse de Paul Alcarrat.

Des chartes.

Je vais dire ce que c'est que l'École nationale des chartes.

C'est l'école qui forme les paléographes, les archivistes, les grands savants.

Les historiens peut-être aussi.

Les savants de Marseille.

Oui, enfin, les historiens, monsieur.

Les historiens, si l'on peut dire, oui.

Oui, bien oui, si l'on peut dire, oui, oui.

Les historiens spécialisés dans les archives.

Dans la formation aux sciences aux auxiliaires de l'histoire.

En tout cas, c'est la plus grande école dans ce domaine.

Donc, il y a un mur dedans.

L'École nationale des chartes.

Et d'habitude, on l'appelle l'École des chartes, oui, voilà.

L'École des chartes, l'ONC.

Et c'est vrai que le personnage de votre livre a loupé les chartes.

Ça l'avait mis en colère à l'époque parce qu'il voulait être conservateur.

Bonjour, Claire Béreste.

Bonjour, Laurent.

Bonjour à tous.

Bonjour.

Et c'est vrai qu'au lieu d'être conservateur

et de travailler pour les archives nationales,

il est devenu correcteur pour une maison d'édition,

votre personnage principal.

Il vit en couple

et vous nous faites vivre une histoire de couple absolument incroyable.

Terrible.

J'ai envie de dire avec un suspense formidable

parce qu'on comprend assez vite que ce personnage qui s'appelle Etienne,

je ne dévoile rien parce que sinon, la première partie du livre,

il est à la brigade criminelle en train de se faire interroger

sur ce qui a pu se passer avec sa compagne,

compagne qui elle est photographe, qui fait des expos de photographie

pendant que lui corrige les auteurs d'une grande maison d'édition.

Est-ce que j'ai bien pitché le couple, en tout cas ?

Oui, absolument.

C'est presque une dignité de temps de lieu d'action

parce qu'on va vivre quelques jours avec Etienne

au début d'une semaine qui débute bien,

qui ressemble à toutes les semaines qui...

Il est un petit peu rigide.

Il aime bien que les choses soient toujours un peu de la même manière.

On est lundi, il pense que la semaine va bien se dérouler.

Il vit avec Vive depuis dix ans,

mais effectivement, j'écris à la toute première page,

donc je ne divulgage rien,

que Etienne va tuer sa femme Vive dans la nuit de jeudi à vendredi.

La question, c'est qu'est-ce qui s'est passé

chez cet homme qui n'a aucun antécédent de violence conjugale,

qui ésonne tout un peu Monsieur Toutmonde,

enfin qui pourrait être vous ou moi,

qu'est-ce qui s'est passé en quatre jours

pour commettre les réparables ?

Ah non, mais c'est passionnant.

Vraiment, je trouve que vous nous racontez,

c'est au scalpel quoi, c'est quasiment quart d'or par quart d'or,

ce qui a pu se passer entre ce couple,

jusqu'à par exemple la scène où il y a des jeunes qui sont à côté de...

Et vous dites très bien ces jeunes qui sont à côté d'eux

au moment où ils s'engollent,

ne s'imagine pas que bientôt, peut-être,

on verrait l'histoire de cet homme et de cette femme

sur les bandos roulants de BFM TV ou CNews.

Ils ne peuvent pas s'imaginer ce qui va se passer.

Oui, à un moment donné, j'ai bien aimé décentrer comme ça,

parce qu'on est vraiment dans le corps d'Etienne, dans sa tête.

Et tout d'un coup, effectivement, c'est ce qui fascine dans l'effet d'hiver.

C'est souvent le voisin, la personne qui n'habite pas très loin.

Ça s'est passé dans la serre privée, derrière les portes et les fenêtres.

C'est inimaginable.

Effectivement, ce petit couple de 20 ans qui voient ces 40 nerfs

en train de s'engueuler au café, ça les amuse,

parce que ça les distrait de leur conversation.

Ils sont un petit peu en train de se draguer tous les deux.

Donc, ça leur fait un petit spectacle de voir ces 40 nerfs qui se disputent.

Et effectivement, ce qui est vertigineux, c'est qu'il reste 24 heures.

Et effectivement, est-ce qu'ils feront le lien dans 24 heures

avec les bandos roulants qui feront partout sur toutes les télé ?

Alors, lui, Etienne, pardon de vous dire, mais il est quand même un peu casquouille.

Il faut dire les choses.

Il est un peu tatillé.

Il est très cultivé au point même d'ailleurs que dans l'interrogatoire

avec les flics, il la ramène tout le temps sur sa culture.

C'est Franck Ferrand ?

Franchement, Franck n'est pas chiant.

J'essaie de l'être le moins possible.

On peut le taquiner quand même.

On ne le touche pas.

Non, mais il faut taquiner ceux qui sont cultivés ici.

Je n'allais pas taquiner Yann.

Mais c'est vrai qu'il est insupportable, en fait, cet Etienne.

Il faut bien dire.

Oui, j'irai pas jusque-là parce que, précisément,

moi, j'ai conçu mes personnages en les aimant comme à chaque fois.

J'aime mes personnages.

Je n'ai pas envie d'avoir de jugement sur eux.

Et précisément, j'essaie d'aller à l'endroit de l'homicide conjugale

en ayant une suspension du jugement moral.

Je ne suis pas là pour condamner Etienne.

J'essaie de l'accompagner pour comprendre qu'est-ce qui s'est passé.

Alors, c'est sûr qu'il est assez rigide.

Il a un peu un complexe de supériorité.

Il pense tout le temps que les autres sont un peu des crétins

et que, lui, il sait tout-surtout,

mais souvent, les gens qui ont des complexes de supériorité,

c'est qu'ils cachent des grandes failles.

Alors...

Il y a un autre sujet dans le livre.

C'est, justement, à cause de son métier,

le fait qu'il pense qu'il écrit mieux que les auteurs, qu'il corrige.

Ça, c'est très intéressant aussi.

Il pense qu'effectivement, ceux qui publient aujourd'hui

ne sont pas de bons écrivains et que lui ferait mieux qu'eux.

C'est bien qu'il en arrive à trop corriger leur livre.

Et il y a un autre débataire.

On avait parlé de cette affaire ici-même suite à un excellent papier

qui avait eu dans le magazine M, le supplément du monde.

C'est l'affaire, souvenez-vous, de cet artiste contemporain,

Maurizio Catellan, un italien souvent exposé...

Petite l'air !

...à la Fondation Pinot, par exemple,

qui a effectivement fait ce petit petit l'air à Genouillet

ou le pape qui reçoit une météorite sur la tête.

Et à l'époque, il y avait eu toute une polémique entre lui

et le véritable sculpteur, parce que lui, il a l'idée,

évidemment, de ses mises en scène, mais c'est pas lui qui fait...

Qui était l'auteur, quoi.

C'est pas lui qui fait les sculptures.

Il y a eu un procès entre les deux à savoir

quel est le véritable auteur, celui qui sculpte

ou celui qui a eu l'idée de la sculpture.

Et on est à peu près au même niveau,

c'est ce que pense, en tout cas, votre personnage,

d'avoir, est-ce que c'est pas lui, au fond,

l'auteur des livres qu'il corrige ?

Oui, en tout cas, c'est effectivement, il tombe sur un article

sur ce procès qui a réellement existé

entre cet artiste, on va dire, artisan, qui crée les sculptures

que Catellan utilisait ensuite dans ses installations

et Etienne prend fait écho, évidemment, pour celui qui est resté dans l'ombre,

celui qu'on ne cite pas dans les catalogues,

celui qui n'est même pas invité au vernissage

de ses propres oeuvres, et l'éternel question,

mais alors de celui qui pense, qui conçoit l'idée

et de celui qui la met en oeuvre, qui est le véritable artiste...

Et c'est ça.

Et on pense bien qu'Etienne, effectivement,

se sent un peu un fact-autombe, un anètre de l'ombre.

Il est frustré, en fait, là, c'est...

Il y a une chose sûre qu'on peut dire, c'est qu'il est frustré.

Oui, il y a une série de...

Il y a une vie avec des frustrations,

Etienne, quand il était à la fac, il souffrait du fait

qu'il était toujours celui qu'on ne prévenait pas.

C'est même pas qu'on ne l'aimait pas,

c'est le type qu'on oublie d'inviter au soirée.

On aurait pu dire que le coup a changé d'horaire.

C'est... Il y a vraiment cette idée de...

Mais est-ce que je suis transparent, est-ce que les gens me voient

et ce genre de frustration peut aussi amener un moment donné à...

Eh bien, ils vont voir ce qu'ils vont voir,

même si tout ça est bien sûr inconscient.

En tout cas, dans le cas d'Etienne, qui ne prémédite

en aucun cas de tuer sa femme, mais qui va arriver

un paroxysme de frustration.

Caroline Diamant.

Vous parlez très bien de votre personnage.

Est-ce qu'on comprend aussi, même si c'est vu par le prisme

de l'homme, la femme?

Parce que si j'ai bien compris, c'est elle qui meurt.

Tout à fait.

Vive.

C'est un personnage que j'ai conçu avec, voilà, beaucoup, beaucoup...

Elle s'appelle Violette au départ et ses sons sur nom vivent.

Oui, elle s'appelle Violette, mais son surnom, c'est Vive.

C'est mal choisi.

Elle l'a dit pas par l'auteur.

Non, pas par l'auteur.

Un petit peu macabre, mais j'ai choisi aussi son surnom

parce qu'elle est très vivante et c'est ça qui est absolument vertigineux.

C'est qu'il va l'année entière.

Il aime, évidemment, parce qu'elle est comme ça aussi.

Disons que j'ai voulu montrer ces 10 ans de couple où ils se sont aimés.

Ils s'aiment toujours beaucoup.

Ils ont leur jargon, ils ont leur blague, ils ont leur petit travers.

C'est un couple comme nous en connaissons tous, comme nous en vivons tous.

Et effectivement, Vive est présente lumineuse dans le texte.

Mais j'ai fait ce choix de romancière, de décider d'aller vraiment dans le corps,

entre guillemets, du mal, de l'endroit où ça bascule.

Et c'était mon projet d'écriture.

C'était vraiment d'être dans la tête des tiennes, de faire cet effort-là.

Et est-ce que vous avez choisi, je vous interroge,

est-ce que vous avez choisi ce métier de correcteur

à cause du double sens, du mot correction ?

Absolument.

J'ai pensé à ça parce que c'est une mauvaise correction,

c'est une correction qui finit mal.

Il va vouloir, sans le vouloir, il va voir corriger sa femme.

Il va corriger la situation.

Et effectivement, j'ai joué sur ce double sens-là,

cette idée de je veux intervenir pour redresser...

L'épaisseur d'un cheveu, c'est un excellent roman.

Bravo, Clair Bérest, c'est publié chez Alba Michel

et c'était notre livre du jour.

Une question pour Ludovic Rubata,

Cabit Fétien Audien, il fut justifié en 1974,

en 1982, en 1983, en 1985, en 1987,

et une dernière fois en 1994.

Facile.

Et il est mort il y a 20 ans pile, jour pour jour.

Jusqu'à l'estin.

Charles Bronson, Charles Bronson, Charles Bronson.

Charles Bronson, bonne réponse.

C'est justifié dans la ville.

Eh oui, Charles Denis Butchinski,

c'était son vrai nom, il avait des origines lituaniennes,

un des effectivement des salopas ou des mercenaires,

comme vous voulez, un des sept mercenaires

et un des douze salopas.

Charles Bronson qui a fait aussi,

en ça c'était peut-être un peu moins réussi,

c'est la fin de carrière, on va dire,

cette série des justiciés,

le premier devait être pas mal,

en 1974, un justicié dans la ville,

mais après, il a remis ça en 1982,

un justicié dans la ville, deux,

et puis en 1983, le justicié de minuit, en 1985.

Le justicié de la campagne était bien fait.

Le justicié de New York, en 1987,

le justicié braque, les dealers,

et une dernière fois en 1994.

Et le pote-sœur, c'est le meilleur.

Le justicié, l'ultime combat,

mais vous avez raison, ça aurait pu être...

Le justicié fait des quittes,

le justicié...

Et les justiciers !

Et les extraterrestres !

Enfin bon, c'était quand même un acteur formidable.

Il a marqué son époque, il avait une gueule.

Vous avez la musique d'ailleurs,

il était une fois dans l'Ouest quand il joue de l'harmonica,

pendant qu'on en parle, ce serait génial.

Et il est mort il y a vingt ans,

déjà, vous vous rendez compte comme ça passe.

...

Vous êtes toujours sur RTL.

Et la question suivante est à destination de madame Prudhomme,

Solène Prudhomme, qui habite Térand dans l'Héro.

La question, la voici, s'il vous voyait sur la route,

un panneau sur fond bleu,

avec un losange blanc sur fond bleu.

De quoi s'agit-il ?

Une obligation.

C'est une nouvelle, je tiens quand même à vous le signaler,

une nouvelle signalisation qui n'existait pas avant.

Ce n'est pas une file prioritaire pour le covoiturage.

Excellente réponse de Laurent Baffi.

Bravo Laurent.

Et comment vous savez ça ?

Je ne le savais pas, je l'ai imaginé,

parce que je sais que le gouvernement veut mettre en avant le covoiturage.

Et je ne sais pas si ça prend en France.

Est-ce qu'on a, pour habitude,

d'organiser les covoiturages avec des gens ?

Je trouve que ce n'est pas encore...

Écoutez, monsieur Riou, quand il voit, je ne suis pas joyeus,

sous Caroline, il a l'habitude de la ramener.

Oui, mais il n'inspire pas confiance en sa camionnette blanche.

Mais bravo, en tout cas, monsieur Baffi.

Effectivement, ce nouveau panneau de signalisation vous apprend

qu'il y a une file au cas où vous êtes en covoiturage.

Sur les autoroutes ?

Oui, ça vous permet de gagner du temps, voyez-vous.

Oui, vous pensez comme ça va être respecté.

Pardon ?

Vous pensez comme ça va être respecté.

Comment ça ?

Moi, honnêtement, si je prends une voiture et que je suis seul,

si j'ai envie d'aller vite, je vois le triomphe, je me disais pas,

oh, j'ai les loups à mes pieds qui sont...

Mais franchement, arrêtez, hein.

Je n'en retourne pas.

Mais vous, ça va pas, voilà.

Vous, ça va, parce qu'on peut penser

que vous êtes plusieurs dans la voiture.

Oh, c'est...

Attends, allez, c'est pas gentil.

C'est pas gentil.

Oh, t'inquiète, ils auraient pu te la faire à toi.

T'as vu quand on est gentil, au proche, t'es trop...

Une question pour monsieur Rons, David Rons,

qui habite mangue dans le Nord, cette fois.

C'est Napoléon qui disait de lui,

il joie le travail du boeuf au courage du lion.

Mais de qui s'agit-il ?

Voilà, une question...

Murat, Le Lan, Clébert.

Une question historique qui va plaire

et à Paul El-Karate et à Franck Ferre.

Je vais faire les rues que j'ai prises ce matin, Clébert.

Clébert, non, c'est un de ses généraux.

Mais il y a une rue dans Paris, c'est vrai,

et vous auriez pu, effectivement.

Alors, généralement, non, plutôt ministre.

Ah, Cambassérès.

Cambassérès, non, et académicien français aussi.

Vivant de nom.

Et Napoléon, premier, en faisait l'éloge,

en disant, il joint le travail du boeuf au courage du lion.

Il ne va pas lui faire de l'ombre, alors,

pour qu'il en dise du bien.

Il a été quand même un tendant général de l'ancien.

Du roc ?

Du roc, non.

Du rail, non, ce qu'il a une station métro.

C'est Daru.

Pierre Daru, bonne réponse de Franck Ferrand.

Ah, je vois très bien Daru.

Qui était Pierre Daru, alors ?

Bah, il était un tendant général de l'ancien.

D'accord, bon voyant.

C'est lui qui s'occupait de...

C'est lui qui a fait tout le monde.

C'est lui qui s'occupait notamment de toutes les fournitures des palais.

Mais ne pleurez pas un peu.

Il n'y a plein, il n'y a plein qui est en train en plein,

parce qu'il n'a pas trouvé...

En pleurs, au moins.

Au moins, n'importe quoi.

Il n'a pas trouvé Daru.

Oh, il n'a pas trouvé Daru.

Il y avait un très bon restaurant russe, rue Daru.

M'enfance, on s'en fout, Camry.

Mais moi, je trouve qu'il y a des gens qui aiment bien savoir où est la rue Daru.

Pierre Daru a été ministre de la guerre, secrétaire d'Etat,

un tendant général de l'Empire et membre de l'académie française.

Et effectivement, il devait être courageux pour que Napoléon dise ça de lui.

Qu'est-ce qu'il a fait que lui ?

Ah non, mais il était courageux.

Il voulait dire politiquement et administrativement.

Ah oui, il voulait dire ça.

Vous savez, il me fait dans la tête de Napoléon, vous, alors.

Bah non, mais...

Il était dans la tête de Louis XI tout à l'heure.

Mon métier, c'est de me mettre dans la tête des gens.

Mais tu as raison.

Puisque vous connaissez bien l'histoire...

Autrement, recos-y-frédit.

Il se fait un peu dans la tête, quand même.

Ça a peut-être réveillé, monsieur Paul Elkarat,

si je vous demande ce qu'était un giblin au Moyen-Âge.

C'est un partisan du pape.

C'est un partisan du pape.

C'est-à-dire expliquer...

Contre les gelves qui étaient partisans de l'Empire du Saint-Empire aux mains germaniques.

On lui accorde la bonne réponse.

Bonne réponse de Paul Elkarat.

...

Les grosses têtes de Laurent Ruquier,

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Frank Ferrand.

J'allais s'en attendre.

...

Paul Elkarat.

Qu'est-ce qu'il y a avec nous, Caroline Diamant et Laurent Baffi.

...

Et Laurent Baffi, c'est cadeau.

C'est pour vous, le téléphone que nous allons avoir maintenant,

une dame qui s'appelle Emmanuel Le Rousse.

D'ailleurs, dans un journal, normal,

que j'ai découvert, un article qui la concerne.

Et cette dame devrait vous faire plaisir.

Alors son métier est tapissière, peintre de décor,

aussi en Normandie.

Et la question que je vais vous poser, évidemment,

Laurent Baffi, qui vaut pour M. Ru, à Toire.

Il espère, lui, de toucher 300€.

La question est faite,

concerne plutôt, on va dire, un pastan à loisir.

Un don peut-être aussi qu'à notre interlocutrice,

même Le Rousse, qu'on aura au téléphone,

donc dans quelques minutes.

Et ce don devrait vous plaire.

Quel don a Mme Le Rousse,

qui, patiente, pour l'instant, au téléphone ?

Parler aux oiseaux ?

Parler aux oiseaux, c'est admis.

Cifler, imiter leur chant ?

Imiter le chant des oiseaux.

Bonne réponse !

Le Paul Alcarathe.

Bonjour, Mme Le Rousse.

Bonjour.

Bonjour, Laurent Ruquier.

Emmanuel, la Normande, qui chante et qui parle avec les oiseaux.

Ce n'est pas votre métier, on est bien d'accord.

Tout à fait, non, non. C'est pas mon métier.

Même si, de temps en temps, vous enregistrez des albums.

Accessoirement, quand on me le demande,

j'ai dit « Why Not ? » et j'ai eu l'opportunité avec Baptiste Alain,

au nature of birds, donc là, ça m'a beaucoup amusé.

On a pris beaucoup de plaisir à le faire.

L'album s'appelle Nature of Birds,

vous l'avez dit avec Baptiste Alain,

« Combien de oiseaux, imitez-vous ? »

Ah, je ne vais pas compter, en fait.

Mais il n'y en a pas, non, il y en a...

Bah, c'est beaucoup des oiseaux de la Normandie, en fait.

Moi, je m'oppose aux oiseaux.

Ah, il se déplace quand même, non ?

Un petit peu, ouais.

Par exemple, est-ce que vous pouvez nous dire « Merle ? » ?

Ça, c'est le Merle.

Vous pouvez nous faire le petit oiseau de Rio ?

Non, mais vous avez commencé par les volailles, je crois.

Ah, si vous voulez, on commence par les volailles,

il n'y a pas de soucis, vous vous faire le canard.

Allez-y.

Arrêtez, c'est d'une bamboie, arrêtez.

Ah, tout le monde l'a reconnu.

Oui, oui, il a vous caractier.

Et remenez, remenez aux oiseaux.

La poule d'eau, la poule d'eau.

C'est fou quand même.

C'est une chaise qui grince.

L'abuse, l'abuse.

Ok, elle a trit le buz.

La maisange.

Qui est insinuelle.

La maisange.

Comme la faubette.

Ça, c'est la charbonnière, faites-nous la maisange bleue.

Et le corbeau, pour terminer le corbeau.

Ah, c'est dingue.

Ah ouais.

Ah non, bravo quand même, franchement.

Vous êtes mariés, madame ?

Non, pas du tout.

D'imagine comment ça fait débander.

L'homme, c'est envolé tout simplement.

Vous chantez.

Est-ce qu'il vous répond justement ?

Ça, c'est une vraie question.

Quand vous sifflez, parce que vous êtes une sorte de nouvelle Michelin d'Axe,

on peut dire ça comme ça.

Quand vous sifflez, quand vous chantez comme un oiseau,

est-ce que les autres oiseaux vous répondent ?

Enfin, les autres oiseaux.

Non, vous n'en êtes pas.

Les oiseaux, vous répondent.

Oui, oui.

Non, mais honnêtement, franchement, oui.

Vous imitez les voix humaines aussi ?

Oui, certaines, oui, oui.

Qui, par exemple ?

Écoutez, je peux vous faire, par exemple...

Cornel, le chanteur.

Cornel.

Non, je peux vous faire l'oiseau de paradis.

C'est un petit jeune mot.

Oui.

Le taxi va pas partout.

C'est paradis en fin de vie, là.

Ah non, c'est bien.

Ah non, c'est bien.

C'est super.

Et à part Vanessa.

Ah Vanessa, après, je peux faire...

Catherine Laurent.

Je peux faire la météo d'Albert Simon.

Ah oui, les yeux.

C'est pas jeune.

Il faut rapprocher sur le temps que la méditerranée de la France

avait des décalations plus ou moins élaborées au nord de la Picardie.

Il y avait des températures qui...

OK, Mme Soleil.

Les vieux auditeurs de repas qui sont tous sur RTL aujourd'hui.

Ils m'ont reconnu, en tout cas.

On vous applaudit, Emmanuel Le Roux.

Bravo.

Il s'agit maintenant de retrouver le nom d'un peintre

pour Rémi Goumé qui habite Saint-Brie.

Mais attention, ce n'est pas le plus connu des peintres.

On lui doit une femme endormie,

une femme à la fenêtre,

une femme à la fenêtre faisant signe à une fille.

Il y a une femme au foyer,

une femme près de l'âtre, de la cheminée.

De l'âte de l'Andru.

L'Andru, non.

De l'âte de Tassini.

Il est connu pour ses peintures de paysages urbains

et c'est vrai que c'est un peintre du 17e siècle néerlandais

dont le nom peut-être vous est connu.

Et pourtant...

Van Dongen.

Van Dongen, non.

Van Ruisdall.

Non, non.

Van quelque chose, non.

Mais pourtant, et pourtant ?

Mais pourtant, ses toiles sont très reconnaissables,

même si parfois on peut les confondre.

Et ce n'est pas le plus mince des compliments avec un vermaire.

Frans Hals.

Hals, non.

Il a un nom qu'on retient facilement

parce que ce nom ressemble, on va dire,

un ruquier, non.

Potier, potier.

Potier, non.

Il ressemble à quoi ?

Son nom ressemble à un autre artiste très célèbre,

mais qui, en tout cas, à ma connaissance, ne peignait pas.

Vanga ?

Non, non, non.

Ah, l'autre artiste ne peignait pas,

l'autre artiste était écrivain,

l'autre artiste était écrivain,

musicien, l'autre.

Musicien, non.

Médecise, non.

Est-ce que l'autre artiste est plus célèbre ?

Et il reste encore quelques jours,

si vous voulez en voir un peu plus,

il y a une exposition à Paris jusqu'au 15 septembre,

à la Fondation Custodia, et franchement,

les toiles sont magnifiques.

Ah, j'ai vu ça.

Et le sous-titre de...

J'ai vu cet affiche et j'ai dit absolument que j'y aille.

Ça s'appelle le Prédécesseur de Vermeer, ou c'est ça ?

Absolument.

Oui, oui.

Ah, c'est magnifique, mais il est absolument inconnue.

Vantrol, quelque chose.

Non, non, le nom est plus simple,

et quand on a vu son nom une fois,

croyez-moi, on le retient.

Eh non, parce que je l'ai vu.

Hugo, quitte !

C'est d'ailleurs l'excellent journaliste,

et on s'en souvient,

écrivain aussi, puisqu'il avait raconté l'attentat de Charlie Hebdo,

Philippe Lançon, qui a fait un excellent papier dans Libération,

sur ce peintre flamant,

peintre flamant, qui a un nom étonnant, d'ailleurs,

et qui est exposé actuellement à Paris,

à la Fondation Custodia, jusqu'au 17 septembre.

Les toiles sont magnifiques.

Ça commence par un thé, non ?

Ça commence pas par un thé.

Laurent, est-ce que son nomonyme,

dans son domaine, est plus célèbre que lui, de nom ?

Ah oui, bien sûr !

Mais c'est pas son nomonyme, c'est à une...

C'est presque un nomonyme.

C'est à une lettre près.

Alors, si je vous donnais son prénom...

Je peux vous donner son prénom ?

Son prénom, c'est Jacobus,

ou Jacob, si vous préférez.

Jacques, en français.

Et c'est ça, évidemment, qui est amusant.

Ville-Marine Vrel, Vrel.

Jacques Vrel, bonne réponse !

Ah oui, c'est ça.

De France Féran.

Et oui, c'est pas Jacques Vrel, c'est Jacques Vrel.

Oui, c'est ça.

Jacques Obus Vrel, un peintre flamant.

Il y a une exposition magnifique à Paris,

à la Fondation Custodia.

Allez voir les toiles, c'est jusqu'au 17 septembre.

Une question géologique pour Monsieur Bafi,

Michel Barrie, qui habite les clés sous bois,

dans les Yvelines, espère tout de même gagner 300 euros.

La question est toute simple, je vais vous demander de retrouver

un nom d'animal, des animaux à même en couple.

Je peux vous dire, puisqu'on parle justement du mal.

Et on nous dit, dans cet article consacré à ces animaux,

on nous dit que les parents pratiquent un partage des tâches

plus équitables que nous, les humains.

C'est des oiseaux ?

Des oiseaux, non.

Le raton laveur ?

Le raton laveur, non.

Le coâti ?

Le coâti.

Comment vous dites ?

Le coâti.

Qu'est-ce que c'est ça ?

C'est un mammifère.

C'est un mammifère qui ressemble au raton laveur,

qui est en Amérique du Sud.

Alors il ne s'agit pas d'un mammifère.

Ah, un reptile.

Un reptile.

Un reptile, non.

Un insecte ?

Est-ce que c'est beau ?

Un animal de la ferme, non.

C'est petit.

C'est beau.

C'est très beau, je trouve ça très très beau.

Un papillon ?

Un papillon, non.

Un pan jaguar ?

Un pan et sa faune, c'est un insecte.

Mais c'est vrai que la...

C'est un poisson.

C'est le poisson perroquet, non ?

Non, mais c'est vrai que la grossesse, la gestation est aussi...

L'hypocompe.

L'hypocompe, ben !

La réponse de Laurent Bafi et de Paul Alcarin.

Expliquez, monsieur Bafi.

C'est-à-dire que la femelle ponce ses oeufs dans la poche incubatrice du mâle,

et c'est le mâle qui porte les oeufs à terme.

Et l'hypocompe mâle donne naissance à une centaine de bébés hypocombes

qui sont tous la réplique exacte des parents,

qui ont la même taille et qui sont autonomes dès la naissance.

Et c'est vrai que le mâle, quand il est enceint,

il a envie de fraise, il ne fume plus.

Et il arrête l'alcool et la clope.

Parce qu'il est très responsabilisé.

C'était très amusant, il y avait un papier dans l'ibé,

et là encore, il y avait deux pages sur les hypocompes,

et il faisait dire à l'hypocompe,

« chérie, j'attends les gosses ».

Et c'est vrai que c'est ça.

Une excellente réponse et de très bonne précision.

Signez, monsieur Bafi.

Une question maintenant pour Fabrice Prébande,

qui habite Saint-Mexan-de-Bogne dans les Deux-Sèvres.

Oh, c'est une question de vocabulaire français

qui devrait facilement trouver réponse.

Comment... C'est un mot féminin.

Comment appellent-on à lieu sauvage, isolée, paisible ?

Où on mène une vie retirée.

Une thébaïde.

Une thébaïde.

Excellent, très peur.

Et maintenant, je vous emmène en suède.

Pouvez-vous me dire comment Nils Holgersson a-t-il voyagé ?

Sur une noix.

A deux de signes.

A deux de signes.

Les deux doigts.

Le fabuleux voyage de Nils Holgersson, c'est sur une noix.

Sur une noix.

Et pas un signe.

Bonne réponse de Franck Ferrand.

Excuse-moi.

Selma Lagerlof, la première femme à recevoir un prix Nobel en 1909.

Il s'arcosiait à voyager sur une pinte.

C'est effectivement une écrivaine.

Selma Lagerlof, qui a écrit ce roman,

qui est un succès international,

le merveilleux voyage de Nils Holgersson à travers la Suède.

Et c'est effectivement sur une noix

que le voyage commence, vous connaissiez, Caroline ?

Honnêtement, non.

Elle a écrit d'autres choses.

Selma Lagerlof.

Elle a écrit des comptes qui sont liées à son lieu de naissance.

C'est des comptes un peu folkloriques, locaux.

C'est un conte.

Comment il faisait un mandonné ? Il fallait bien qu'il dorme.

Le loi et la vie.

En fait, dans le compte, le loi est énorme,

mais lui, il est tout petit.

Quand tu regardes des films au cinéma,

et que les gens meurent, tu sais qu'ils meurent pas pour de vrai.

Votre maman, vous n'a pas dit ?

Ouais, là-dedans, est-ce qu'on tapis vos langues ?

Pouvez-vous me donner ?

Ce sera la question suivante pour Charles Jax, qui habite Toulouse.

Un exemple de chiasme ou chiasme ?

Pas chiasme.

Un chiasme.

Chiasme.

Ah !

C'est de la rhétorique.

C'est le fait de commencer.

Bleu et la mer, la mer est bleue.

La mer est bleue, bleu et la mer.

Oui, mais c'est pas le plus connu.

Non, c'est eux.

Des chiasmes, vous voyez-vous ?

Le chiasme, c'est...

On inverse la position de l'adjectif par rapport au substantif.

Oui, c'est ça. Bravo.

Alors, je me demande un ou deux exemples.

Puissant est le soleil, le soleil est puissant.

Voilà.

Mais c'est pas ce qu'il y a de plus connu comme chiasme, vous voyez-vous ?

Beau et Laurent, Laurent et Beau.

Bah ça, c'est une bonne réponse déjà.

Je l'attends.

Je sens que les...

Merci.

Par exemple, héros est la vécu, ce que vivent les héros.

Voilà, c'est ça.

Voilà, un chiasme très célèbre ou encore qui craint de souffrir,

souffre déjà de ce qu'il craint.

Ça, c'est aussi un autre exemple de chiasme.

Et puis je vous en donne un dernier.

Ce n'est pas parce que c'est difficile que nous n'osons pas.

C'est parce que nous n'osons pas que c'est difficile.

Voilà, quelques exemples de chiasme.

Mais je vous accorde une bonne réponse collective.

Une question sportive pour que M. Rios se rattrape.

On est en plein flushine, mais d'eau.

On a évoqué tout à l'heure les Français qui finalement...

On a deux petits Français qui sont plutôt bons à...

Droguer.

Droguer et fils aussi.

Il devient absolument énorme.

Droguer et fils, on a l'impression que c'est un magasin.

Mais pas...

Ils sont deux, en tout cas, à être aux deux.

Je crois qu'on en a plus que quatre pour l'un.

Mais ceux-là, on les connaissait pas, en tout cas les...

Mais moi, je connaissais pas.

Et d'ailleurs, Droguer et fils, ce soir, je crois qu'ils jouent à 21h30.

Et s'ils gagnent ce soir, ça sera une immense surprise.

Fils? Mon fils.

Arthur Fils, c'est un nouveau...

Il coupe les noms, on fait un mur.

On a eu de son gars, on a eu mon fils.

Là, on a fils.

C'est une fratrice, qu'est-ce que vous voulez.

Mais il y a une nouveauté pendant ce tournoi.

L'U.S. Open, Fush & Mido, une nouveauté qui n'existait pas.

C'est même une première dans un tournoi tennis.

Qu'est-ce qui se passe de nouveau?

Le gazon est synthétique?

Non.

C'est pas du gazon.

C'est pas par rapport à la fameuse postepi?

Non.

Et d'ailleurs, l'équipe, votre journal, Monsieur Ryu,

a titré du neuf avec du mieux.

C'est pas dans les règles, on peut pas changer les règles.

Ce n'est pas dans les règles.

C'est mieux au terrain.

Mais c'est quand même pour l'arbitre, oui.

Ah, l'arbitre, il est plus sûr.

Il a pour s'agresse le...

Le oak-ice.

Vous avez dit quoi?

Ralenti.

Il voit la vidéo sans sa chaise.

Non.

C'est comme l'avare au football, c'est-à-dire qu'il est en relation

avec une salle ou d'autres arbitres,

lui disent, là, c'est faute, là, c'est bon.

Effectivement, on a désormais le droit à Fush & Mido.

Au ralenti vidéo, vous l'aviez dit M. Ferrand,

mais il fallait me dire, effectivement, l'avare,

le var ou l'avare comme vous préférez, le ralenti vidéo,

existe maintenant à Fush & Mido,

comme dans le football.

Bonne réponse.

Signe Ferrand, Ryu.

Alors, pardon.

Oui.

Il sert pour montrer si un des joueurs dit non, je suis pas d'accord.

On demande l'avare, on réclame.

On peut réclamer.

Mais ça arrête tout le match, etc., c'est compliqué.

Ah oui, mais au foot, on le fait bien, pourquoi on ne le ferait pas au tennis?

Mais ça va très, très vite, franchement, ça.

L'autigueule macassette, macassette, moi, je l'ai vu, l'avare, c'est long, hein.

Macassette vidéo, bien sûr.

Macassette vidéo.

Pour Florence Lacrôme, qui habite Toul, une autre question.

Qu'est-ce qu'une éphélide ?

C'est l'étage de rousseur.

Excellente réponse de Paul Elkhara.

Une question pour Amir Sikardini, qui habite Montfort-sur-Meu en Île-et-Vilaine.

Il y en a 2500 dans Paris, et il va falloir les remplir,

mais on ne sait pas encore de quoi.

Les places occupées les trottinettes.

Les places de parking occupées les trottinettes.

Bonne réponse de Jean-Luc Jonathan.

Et oui, ça y est, hein.

Dans quelques jours, on n'aura plus le droit aux trottinettes.

Si, si vous avez votre propre trottinette.

Oui, mais pas en location.

Mais c'est fini, les trottinettes à louer dans Paris n'ont plus le droit d'exister, d'être louées, en tout cas.

Alléluia !

C'est vrai que ça fait plaisir quand même à des tas de gens.

D'ailleurs, il y avait eu un sondage, c'est comme ça que ta décision a été prise.

Un sondage pour ou contre les locations de trottinette dans la capitale.

Et c'est le contre qu'il avait largement emporté.

Donc, la mairie de Paris a décidé d'interdire, c'est à partir de vendredi,

les trottinettes dans les rues.

Il y avait quand même 2500 emplacements de trottinette dans la capitale.

Alors, il va falloir mettre autre chose à la place.

Pas des vélos.

Non, pas des voitures.

Non, non, non, c'est pas ce qu'ils veulent faire.

Ils vont mettre des vélos.

Ils vont mettre les vélos à la place.

Absolument.

Et aussi, ça va être plutôt de la végétation.

Peut-être des mauvaises herbes.

Je sens que vous n'avez pas de trottinette, monsieur Ferrand.

Non, effectivement, mais je me gare quand elle passe,

parce que c'est dangereux quand même.

Alors, il y en aura moins, forcément, puisque maintenant, elles sont plus allouées.

Il y en aura beaucoup moins.

L'avantage, surtout, c'est qu'on les retrouvera pas n'importe où.

Parce qu'évidemment, quand on a sa propre trottinette,

on l'abandonne pas au milieu de la rue.

Ah oui, c'est tonteux.

Parfois, il y avait des amas.

Il y a des handicapés qui pouvaient pas passer avec les pouteilles.

Et puis, le regard de la petite trottinette abandonnée sur le trottinette, c'est incoignant.

Non, non, mais quatre, cinq trottinettes.

C'est culpabilisant pour les passants.

Les mômes à quatre heures du mat' qui passent à deux sur les trottinettes.

Vous avez vraiment vieilli, Caroline.

Mais attendez, ils arrivent aux urgences.

On a des potes aux urgences.

Il y a des poutes.

Oui, en la nuit.

Et ils se draguent.

Caroline a pris une trottinette une fois.

D'ailleurs, c'est ça, je voulais vous dire.

Alors, ça, j'ai eu la chance de pas mal voyager pendant l'été.

Je suis allé, comme souvent, chaque été à New York.

Alors, il y a une nouveauté à New York.

C'est que c'est devenu Amsterdam.

Je ne sais pas si vous le savez.

Je ne sais pas si vous le saviez.

Là, pour le coup, vraiment, parce que je ne sais pas si vous le saviez.

Mais ils ont légalisé la vente de cannabis.

Donc, il y a des magasins qui ont fleuri partout à New York.

Et alors, sur les trottoirs, vous ne pouvez pas marcher dans New York

sans que ça sente le pétard.

Mais partout, je vous garantis qu'aujourd'hui,

vous baladez dans New York, ça sent le pète à chaque coin.

Écoutez, c'est gonflé.

Parce que quand on a été à New York avec vous,

honnêtement, quand je fumais sur le trottoir,

on me regardait comme un assassin.

Pas comme un assassin, comme une professionnelle.

C'est vrai, il y a commencé à profiter.

La prostitution est interdite, vous savez.

Mais non, mais outrez, parce qu'il y avait que les Français.

Et c'est vrai que dans l'hôtel, il y avait que les Français

qui se retrouvaient sur le trottoir à fumer des cigarettes.

Si c'est pour maintenant qu'il y ait des pétards partout...

Ah, ça, je vous garantis.

Vous marchez dans New York, ça sent le joie partout.

Vous avez essayé un petit peu ou pas ?

Non, non, non, non.

Moi, j'aimerais bien...

Je suis tombé dedans quand j'étais petit, moi, voyez.

Moi, je ne le savais pas que ça avait été autorisé là-bas à New York.

Donc, au début, vous marchez, vous dites,

tiens, il y a un gars qui doit la fumer un pète,

parce que ça sent le pète au coin.

Et puis, vous continuez de rue, puis ça continue à sentir le pète.

Puis, vous traversez, ça sent encore le pète.

Vous ferez un boutique, vous êtes défoncés.

Non, mais avouez que c'est surprenant, parce que moi, je l'ignorais.

Donc, très vite, je vais aller voir sur Google.

Et j'ai vu qu'effectivement, c'est très récent.

C'est depuis décembre dernier...

Si on tourne sur la Côte Est, ils sont assez puritains par rapport à la Côte Ouest.

Ah ben oui, déjà, il y a 30 ans, la Côte Est, on ne pouvait rien faire.

Vous arrivez en Californie, vous y aviez des boutiques avec...

Tout pour fumer, tout pour vous...

Pour les picures, c'était déjà comme ça.

Il y avait deux Amériques.

Et vous avez déjà fumé un pétard, Monsieur Rios ?

Jamais. J'ai remis de m'en canailler, j'ai jamais...

Je suis jamais allé au prostituer.

Je suis jamais... J'ai jamais fumé un pète.

Il n'a jamais mis un chiffon, c'est pas bon.

Mais il y a les énormes boutiques aux états des Mad Max.

Il n'y en a pas depuis longtemps.

C'est quoi ?

C'est les boutiques Mad Max, justement.

Je t'ai drogué un jour, ou pas ?

Je n'ai jamais fait cette expérience-là, mais je me drogue.

Il a fait un lavement une fois.

J'en ai...

Ça fera encore...

Allez, vous pouvez l'avouer un petit pète, de temps en temps.

Non, mais même pas.

J'étais le copain un peu glandu qui passe le joint

de l'un à l'autre, mais qui...

Ah, le médiateur.

Laurent, vous avez été à...

Je ne sais pas ce que c'est.

J'en ai vu des menteurs, ici.

Mais franchement, vous faites un bon New Yorker.

Une question littéraire pour Jérémy Joblin,

qui molette dans les Yvelines.

Allez, Gelf et les Joblins.

A qui doit-on se célèbre succès littéraire ?

Remont autobiographique, titulé « J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir ».

C'est Henri Guibet.

Non, pas du tout.

Pas Henri Guibet. Henri...

Oh putain...

C'est sorti en 1955, et ce remont racontait la vie quotidienne

et les angoisses d'une jeune fille hongroise

lors du siège de Budapest en 45, pendant la Seconde Guerre mondiale.

On n'était pas loin.

Et pourquoi parle-t-on d'elle aujourd'hui ?

Parce que j'avais envie de vous parler d'elle.

C'est une femme qui a écrit ?

C'est une femme qui a écrit.

Elle est morte, finalement, ou pas ?

Elle nous a quitté en 2015, cette femme.

Une française...

Mais effectivement, c'est en 1955

qu'elle a publié ce grand succès littéraire, un remont...

Jeune vive d'Hormann ?

Non, jeune vive d'Hormann.

C'est une française ?

Que n'attends-on sous un autre nom ?

Une française ?

J'ai 15 ans et je...

Vous n'avez pas donné le nom.

Alors elle est devenue, effectivement, femme de lettre, journaliste française.

Françoise Maléjoris ?

Même si elle était née à Budapest en Hongrie, comme vous l'avez bien compris,

puisque je vous ai fait le pitch de son autopoise.

François Boiseux Zénakis ?

Non, non, non.

Elle avait un nom anglois ?

Il a un nom anglois, oui.

Non, non, un nom français.

Ça ténit pas par ses aides, son nom.

Mais c'est vrai que son vrai nom était Irene Kovac de Saint-Dreux,

mais elle a changé, et le nom est le prénom,

pour devenir romancière chez nous en France.

Ok.

Elle a gagné un prix...

Elle a choisi Françoise, comme prénom, c'était très en vogue.

Non, elle n'a pas choisi Françoise, elle s'appelait Irene Kovac.

Elle était membre de l'Académie Goncourt ?

Non, non, non, mais elle a eu le prix de la nouvelle,

prix pour un ouvrage écrit en langue française par un étranger.

Elle a quitté la Hongrie en 1948 avec ses parents.

Elle a publié aussi le cardinal prisonnier, le jardin noir,

J'aime la vie, une affaire d'héritage, malin plaisir,

voyage de nosse, embrasser la vie.

On ne fait jamais vraiment ce qu'on veut, relation inquiétante,

et elle a travaillé pour la radio, la télévision.

Elle était proche du président Mitterrand aussi.

Bernadette Pivot ?

Ah non, elle est morte à l'âge de 84 ans.

Est-ce que je vous donne les dates...

Non, mais depuis 4 ans, elle y est déjà mis.

J'ai dit oui, je vous ai pas donné l'année naissant.

Oui, mais ça va pas vous aider.

Oui, parce que vous avez dit qu'elle est morte à 84 ans.

Alors on a donné notre numéro de cirque,

qui ne marche plus, alors.

Je connais pas toutes les personnes de la planète.

Non, mais vous avez donné, vous avez dit qu'elle est morte à 84 ans.

Donc elle y est en 31, quoi.

En 31.

Elle est née en 1930 parce qu'elle n'a pas eu le temps de voir son dernier anniversaire.

Elle a les mêmes années que Guy Béard.

Elle connaissait bien François Mitterrand,

un peu comme Marguerite Duras, c'est des gens comme ça.

Voilà, voilà.

Comme Elisabeth Tessier.

Et elle résidait où en France ? On sait ça.

Rue de Budapest.

Parce qu'elle était quelle signe ?

Non, elle était pas.

Vous voulez son adresse, en plus, François Mitterrand ?

Non, mais c'était quoi sa couleur préférée ?

Ça va nous aider.

Elle aimait les fraises.

Si on sait dans quelle ville elle vivait, ça peut aider.

Elle s'est un petit peu camp.

Vous la connaissiez, vous le rendez.

C'est quoi ces initiales ?

Je la connaissais de non, bien sûr.

C'est quoi ces initiales ?

Elle est d'ailleurs la maman du fondateur de la radio Skyrock,

Pierre Bélanger.

Ah, tiens.

Madame Bélanger ?

Parce qu'elle avait épousé Claude Bélanger,

fondateur du parisien Libéré en 1944,

qui était justement un proche...

Donc elle a travaillé pour le parisien aussi, sans doute.

Un proche du président Mitterrand, et effectivement Claude Bélanger.

Et cette femme, on y a un fils qui a ensuite créé Skyrock.

Sophie Bélanger ?

Non, non.

Non, je vous demande son nom de romancière, voyez-vous.

On peut avoir son prénom ?

Oh, non, ce serait trop facile.

Ah bon, elle a eu un prénom, c'est simple.

Monsieur Ferrand, vous la connaissez forcément,

puisque moi je la connaissais.

Alors, si moi je la connaissais, vous ne pouvez pas...

Moi je pense qu'on la connaît tous au moins de nom, mais...

Bah voilà, voilà.

Par quelle aide commence son prénom ?

Ah non, non, on n'en est pas là.

Dieu sait que je vous aime, mademoiselle.

J'en attends, je pourrai faire n'importe quoi pour vous.

Bah non, vous ne le faites pas, je te prends l'orange.

Moi, je n'ai jamais dit ça, moi non plus.

Mais si vous me demandez vraiment très, très gentiment,

je vous donnerai ces initiales, mais...

Alors, insiste encore un peu, je...

Est-ce qu'on pourrait avoir les initiales, Laurent ?

Non, pas vous, pas vous.

Qu'est-ce qu'elle aurait fait ?

Les initiales, mon cher Laurent.

Elle ne s'est pas fait connaître d'une autre manière, hein.

Comment vous me l'avez demandé, Joyce ?

Laurent, le plus beau du monde, le plus écrit.

Après moi.

Pour rien, non plus.

C'est que si et Laurent, Laurent est écrit.

Il en profite.

Belle est la vie, la vie est belle.

Encore, encore, Joyce.

Oui, messieurs.

Si vous continuez trop longtemps, ça va sonner.

Une fois qu'il y aura la cloche, ça sera foutu.

Non, non, non, non, non, non.

Les initiales, les initiales.

Les initiales, c'est A.

Caroline, Claire, Christine Aron.

Charline.

Non. Coralie.

Non, non, non.

C'est A, et j'espère qu'on va donner

non seulement 300 euros à notre auditeur,

mais peut-être quelqu'un dans la salle va ainsi gagner 100 euros aussi.

C'est le principe et...

Camille.

Non, mais un prénom, elle en sait.

Un prénom à la salle.

Non, mais le prénom, je l'ai entendu.

Mais moi, je veux le prénom, elle, non, vous voyez.

Ah, c'est quoi, Christine ?

Ah, donc on a dit le prénom, là.

Ah oui, vous l'avez dit, mais vous l'avez dit 10, alors évidemment.

C'est quoi, Christine ?

Christine, oui.

J'ai 15 ans.

Christine Aron.

Christine Aron.

Albanel.

Christine Aron.

Christine Aron.

J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir.

J'ai 15 ans et je ne veux pas mourir.

C'est un roman autobiographique.

Regardez, un monsieur lève la main au premier rang.

Monsieur Ryu, vous allez voir ce monsieur.

Et je serais très fier qu'on ait un auditeur,

un spectateur qui connaisse cette romancière.

Arnaut.

Bonjour, monsieur.

Comment vous vous appelez ?

Je m'appelle Hervé.

Alors Hervé, dites-nous la bonne réponse.

Christine Arnaut.

Christine Arnaut.

Christine Arnaut.

Albanel.

Excellente réponse.

Bravo, monsieur.

Vous gagnez 100 euros.

Christine, c'est l'heure de la Vité du jour.

La Vité du jour, vous le connaissez bien.

Il va être à la fiche du théâtre de la Michaudière

avec Michel Faux et Catarina Murino.

Tout prochainement, la pièce s'appelle Piège

pour un homme seul et l'homme seul que nous recevons,

même si lui, c'est plutôt le flic dans la pièce

si j'ai bien compris.

C'est Régis Laspalaise que je vous demande d'accueillir.

À la Michaudière, à partir du 14 septembre,

une comédie policière signé Robert Thomas

jouait par notre ami Michel Faux,

qui lui est le mari Catarina Murino.

C'est la femme, femme qui, dans un premier temps, disparaît.

Réapparaît, si j'ai bien compris,

et l'inspecteur, l'enquêteur, le commissaire.

Donnez-moi votre grade précis, Régis Laspalaise.

Bonjour.

Bonjour.

Inspecteur de la sûreté.

A l'époque, on est dans les années 60,

donc on disait inspecteur de la sûreté.

Vous avez déjà été inspecteur?

Oui, dans le film de Ozon, dans Mon Crime.

Mais déjà, ça s'appelait aussi inspecteur de sûreté.

De plus en plus, vous avez des rôles titres.

Je vous ai vu maire dans un film aussi, il n'y a pas si longtemps.

Oui.

Monsieur le maire.

Peut-être que je ferais un président de la République.

C'est une comédie, mais à la fois une comédie policière

parce qu'il y a une intrigue.

Il paraît qu'il faut surtout...

Ça tombe bien, on n'a pas vu encore.

On a vu encore, ça démarre le 14 septembre.

On va révéler la fin.

Mais il est conseillé, voilà, pour tous les spectateurs

qui iront voir cette pièce, de ne surtout jamais raconter la fin

à ses amis si jamais vous la conseillez.

C'est bien ça?

Alors qu'on la connaît, c'est le docteur, là, ça.

Donc ce monsieur, à un certain âge, il a épousé une femme très riche.

Il l'a emmené en voyage de Nosse à Venise.

Il a loué un chalet, bombé, et elle est partie.

Elle l'a quittée, il n'a plus aucune nouvelle.

Il appelle la police.

Il est très, très inquiet, très stressé.

Il veut vraiment savoir ce qu'elle est devenue.

Et je suis chargé de la retrouver.

Mais bon, il ne se passe pas grand-chose.

Moi, j'essaie de le rassurer.

Je lui dis, vous inquiétez pas.

C'est une fugue.

Et puis...

Elle a revenu.

Je lui dis, il doit y avoir en France.

Alors, maintenant, ça a dû changer.

Je dis au moins 10 000 maris quittés par leurs femmes par an.

Et en général, elles reviennent dans 99 % des cas.

Alors, j'essaie de le rassurer.

Et puis, je lui dis, de toute façon, vous vous êtes mariés en juin.

Elle vous quitte en septembre.

3 mois, c'est une goutte d'eau dans toute une existence.

C'est drôle, mais effectivement, c'est une comédie policière.

Robert Thomas, il faut l'expliquer.

C'est aussi l'auteur de la fameuse pièce

qui est devenue un très célèbre grâce à François Ozon.

Justement, la fameuse pièce Huit Femmes,

dans lequel il y avait un casting d'actrices absolument incroyable.

Énorme succès, Huit Femmes.

Mais je crois que Piège pour un homme seul,

c'est une pièce qu'il a écrite avant Huit Femmes.

Et cette pièce, les droits avaient même été, à un moment donné,

achetés par Alfred Hitchcock pour l'adapter pour les États-Unis.

Et là, où cet auteur français, Robert Thomas, est très, très fort,

c'est qu'il avait réussi à vendre les droits aux États-Unis,

alors que lui, c'était inspiré d'une histoire existante aux États-Unis.

En fait, les Américains ont racheté un truc qu'ils avaient inventé eux.

C'est pas souvent que ça nous arrive, les Français.

Ah, mais quand vous dites inspiré d'un fait d'hiver, donc...

Non, non, non.

Un carrément une oeuvre.

D'un roman ou d'une autre pièce américaine.

Ah oui, c'est conflé.

Donc, il est quand même balèze, Robert Thomas,

mais l'essentiel, c'est que ce soit réussi et drôle,

et c'est le cas de Piège pour un homme seul,

que vous allez donc créer dans cette nouvelle version avec Michel Faux

et Katerina Murino. Il y a d'autres acteurs, d'ailleurs.

Oui, il y a Sissi du Parc, qui est vraiment formidable,

Denis d'Arcandre Gélo aussi.

Gardez le secret des cinq dernières minutes.

On se rendrait presque...

Oui, oui.

Oui, parce qu'on ne retrouve pas sa femme,

mais il y a quand même elle revient assez vite.

Ah, voilà.

Sauf que ce n'est pas la bonne.

Alors, évidemment, alors, lui, il dit,

mais non, mais ce n'est pas ma femme.

Et elle, elle dit, enfin, arrête,

tu es encore une crise de mémoire, tu perds la tête, mon chéri.

Mais ce n'est pas elle.

Et moi, on n'arrive pas à prouver que ce n'est pas elle.

Vous êtes devenu un habitué de Michel Faux,

en tout cas, un registre de la Spanaise.

Deuxième pièce avec lui après Frick Frank.

Et vous étiez déjà aussi avec lui dans le film,

même si vous n'aviez pas forcément de scène commune

dans le film de François Ouzon.

Piège pour un homme seul au théâtre de la Michaudière

à partir du 14 septembre, Régis.

Vous connaissez forcément Marc-Antoine Lebré,

qui nous a rejoint aussi.

Bonjour, Marc-Antoine.

Bonjour.

Et Marc-Antoine va vous rappeler,

si vous l'aviez oublié, que vous avez commencé avec Fille Bouvard,

du temps du petit théâtre,

et vous avez sûrement croisé là-bas,

notre camarade Chantal, là-dessous.

Bonjour, bonjour la campanée.

C'est notre chantal.

Qu'est-ce qu'il vous appelle, chantal ?

Le taxi, couillons.

Régis, tu te souviens de moi ?

Mais oui, chantal, bien sûr.

T'as l'air content.

Alors, on s'est connu il y a 40 ans.

Ça ne nous rajeunit pas.

A l'époque, ton collier de barbe,

c'était même pas une gourmette.

A peine un petit bouc.

Un bouc-teint.

C'était au théâtre des Bouvards.

Question de monsieur Grotretter,

qui se situe juste en face de moi,

qui vient faire sa promo chez le sale type,

qui m'a piqué mon émission.

Un indice, ce sont prénoms et régisses,

et son nom, c'est Las Palaises.

Régis, Las Palaises.

Bonne réponse de moi !

De Fille Bouvard !

Allez, à bientôt Laurent,

et à bientôt Régis.

Merci.

Il nous a fait un doigt, Régis, je vous signale.

J'ai vu, oui.

Vous devez beaucoup affliquer Bouvard, quand même.

Le petit théâtre, ça a été quelque chose.

Oui, c'est lui qui m'a fait connaître du grand public, évidemment.

Je ne sais pas si vous connaissez François Damien.

C'est ce que vous avez déjà joué tourner avec François Damien.

Non, non, mais je l'admire beaucoup.

Il est là.

Bonjour, bonjour.

Alors, c'est vrai que j'ai pas l'habitude de faire des compliments,

mais Régis, t'as toujours été mon inspiration ?

Hum ?

Cette voix inoubliable, ce petit sourire en coin.

Se regarde chaleureux, qu'on a tous déjà vu d'en fait entrer l'accusé.

Voilà, je t'adore, c'est dit.

Ça va, cool, cool, hein ?

On n'a pas non plus commencé à se rouler des galoches, hein ?

Mais c'est vrai qu'on vous voit plus tôt dans le rôle de l'accusé

que dans le rôle du flic, généralement.

Régis, là, ce palais.

Bah oui, peut-être.

J'y peux rien.

Vous êtes... J'en sais quelque chose.

Oui, avec l'O...

Vous avez une gueule de céréale killer.

Avec l'Andreux, bien sûr, c'est un grand souvenir.

Stéphane Bern.

Pardon, Franck Ferrand, mais Stéphane Bern est là, lui aussi, aujourd'hui.

Oui, bien le bonjour, Messire Laurent,

deux ruquiers de la galéjadine,

et mes hommages aux publics des grosses...

Oh, non, que vois-je.

Mon Dieu, le compte de Ferrand, mon aide misuré.

Maraud, Grudin, Paul Frenier, qu'est-ce qu'elle a front ?

Qu'a-ce qu'elle entienne, Franck de la Férance ?

Nous réglerons cela demain à l'aube,

tel des jantes-le-manes ou des mecs qui rentrent de boîte torché.

Sur le prix.

Pardon, mon cher Régis pour cette parenthèse,

et toi, à demain, à l'aube, baltrin, gars.

Oh, non.

Régis, la spalaise, je suis désolé de vous dire que vous avez un double.

Qu'est-ce que c'est que cette mascarade ?

Vous m'avez cloné !

Ils m'ont cloné !

Ha, ha, ha !

Ouais, ils ont eu des problèmes !

Ça, c'est une phrase qui vous restera collée à la peau pendant longtemps.

Il y a celle-là, et quoi d'autre ?

De quoi on vous parle quand on vous croise, Régis, la spalaise ?

On parle pas mal du film, du film, le Paris,

où je faisais un psychopathe qui mettait les habits de sa femme,

et qui fumait, là, le type qui va arrêter de filmer.

Tu fumes, hein, salope ?

Voilà, ça.

Bah, voilà.

Ils s'en souvient mieux que vous, d'eux-dans.

Il y a des cons comme le vrai qui me le rappellent.

Ha, ha, ha !

On a parlé tout à l'heure de Max Verstappen.

Ça reste, là, une de vos passions, la formule 1.

Oui, c'est vrai, je suis toujours.

Oui.

Même si ça change beaucoup.

Régis, la spalaise, est à la fiche d'une pièce

mise en scène par Michel Faux avec Michel Faux

et aussi Catherine Amurino, entre autres,

à partir du 14 septembre au théâtre de la Michaudière.

Mais Régis et Marc-Antoine restent avec nous pour la Valise RTL.

RTL.

La Valise.

Régis, vous allez faire la Valise RTL pour nous, si vous voulez bien.

D'abord, en choisissant un numéro de 1 à 20.

La main, non, là ?

Oui, à la main.

Ha, ha, ha !

La main, non, c'est possible.

Je peux pas se demander si c'est possible avant 18h.

Oui, oui, oui.

15h.

Et alors, je vous explique, une personne, normalement, devrait décrocher.

Vous dites bonjour, je m'appelle Régis La Spalaise.

En plus, Marc-Antoine Lebré peut vous aider au cas où vous avez...

Vous ayez une panne.

Et vous demandez tout simplement, est-ce que vous écoutez RTL ?

Et à votre avis, pourquoi on vous appelle ?

Et là, normalement, la personne devrait vous dire pour la Valise.

Et auquel cas, vous allez finir par lui demander...

Quel est le contenu de la Valise ?

Ah oui, oui.

On va peut-être demander à Marc-Antoine.

J'ai bien fait tenir.

Oui, c'est très simple, en fait.

C'est très simple.

Il y a 1 25€ dans la Valise.

Ça, vous n'êtes même pas obligés de le retenir.

C'est facile, quand même. Attention.

1 25€ et 3 choses dans la Valise.

Et vous m'avez dit quel numéro, déjà ?

Le 15.

Le 15. Notez bien dans votre tête.

C'est Pascal Biyoir.

Monsieur Biyoir va peut-être décrocher.

Ça sonne.

Le 15, c'est le sainé.

Ah, Saint Laurent Médoc, en Gironne, ça sonne chez Monsieur Biyoir.

Deuxième sonnerie.

Oui.

Oui, bonjour, monsieur, c'est Régis La Spalaise.

Est-ce que vous savez pourquoi je vous appelle ?

Et c'est pas une imitation.

Il y a l'impression que l'on le rend,

et j'ai l'impression que c'est plutôt RTL, donc, qui m'a fait rire.

Oui, bonjour !

Et c'est le vrai Régis La Spalaise.

On en a deux pour le prix d'un, aujourd'hui.

Le vrai Monsieur Ruequiez, écoute,

il a accès à véritable bonheur pour moi.

Voilà, c'est le vrai Monsieur Ruequiez.

Il y en a deux aussi, Ruequiez, si vous voulez, pour le prix d'un.

Et c'est le vrai Régis La Spalaise qui va vous poser la question fatidique.

La question... Alors, oui, combien...

Combien y a dans la valise ?

A vue de nez.

Moi, je mettais plutôt un crier aux questions à 300 euros.

Qu'est-ce que vous voulez ?

Qu'est-ce que vous voulez ?

Et puis, la reprise, je vous écoute, monsieur Ruequiez,

et aujourd'hui, je suis désolé.

Qu'est-ce que vous voulez pour des Régis La Spalaise ?

Bah, c'est pas beaucoup.

Vous voulez pas plus ?

Vous dites si on vous emmerde.

Pas du tout.

Et alors, si vous nous écoutez,

pourquoi vous n'avez pas noté tout le contenu de la valise ?

Bah, oui.

Parce que c'est un crier aux questions 300 euros, monsieur Ruequiez.

Elle vient de le dire.

Ah oui, pour vous, c'est le maximum.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Pascal ?

Et là, c'est pas grand-chose.

Alors, voyez, vous avez...

Ah, alors !

En plus, c'est temps pour noter !

Alors, oui !

Puisque c'est perdu, Pascal, pour la valise,

on va vous...

Tiens, on peut lui offrir des places de théâtre, peut-être ?

Moi, je sais pas, mais bon...

Quelle enthousiasme !

C'est pas moi qui m'en occupe !

Mais je suis d'accord, je suis d'accord.

Est-ce que vous...

Est-ce que vous montez à Paris de temps en temps, Pascal,

depuis Saint-Laurent Médoc ?

Non, du tout.

Et pourtant, j'ai le bonheur d'habiter un coin

qui porte votre prénom, monsieur Laurent.

Oui, je vois bien, Saint-Laurent...

Pas médiocre, hein, Médoc.

Et donc, vous voulez pas de place pour le théâtre, à Paris, alors ?

Il veut 300 euros !

Donc, on oublie les places de théâtre !

On oublie la valise !

Qu'est-ce qui vous ferait plaisir ?

Une montre !

Non, on n'a pas...

Voilà, et puis, le bonheur, vous avez entendu, c'est déjà énorme.

Parce que, alors, régis par nom, mais les montres hertels

sont en rupture de stock.

C'est bon, alors...

Mais alors, on n'a pas une preuve européenne ?

Le monsieur veut tranquille.

Voilà !

C'est pas faux !

Il y a 300 euros, et à ce moment-là, on verra.

On n'a pas les 300 euros, Pascal !

Ah, c'est la déce.

Non, mais vous auriez noté, vous auriez combien ?

1 000...

Écoutez, vous savez ce qu'on fera, on vous rappellera, et...

Et on sera une caniote.

Non, ce qu'on va faire, puisque vous êtes inscrits,

promis, on garde votre nom, et on vous associera à une question,

puisque c'est le principe, si vous voulez essayer de gagner 300 euros.

Maintenant, je vous garantis pas que mes camarades ne répondront pas à la question.

Mais c'est ça que vous vouliez, en fait.

Oui.

Bon, j'avais également écrit cet été, mais là, vous ne travaillez pas, vous êtes dit, en vacances,

pour défendre monsieur...

Ah, comment c'est-il ?

Philippe Manœuvre.

Ah, très bien.

À un moment donné, il a été interpellé sur une question où il y avait deux ailes, eux,

et lui l'a prononcée, comme s'il n'y en avait qu'un seul.

Et les autres grosses têtes l'ont repris, comme si, franchement...

On ne peut pas vous orienter vers le service Cascouille.

Ça ne vous rappellerait pas le binette qu'on régisse ?

Avec cette mémoire, vous auriez mieux fait de vous souvenir du penteau de la valise.

On vous remercie, en tout cas, vous êtes très aimables, continuez à écouter les grosses têtes Pascal,

et j'ajoute, dans la valise RTL...

Ecoutez bien, ça, c'est quand même pas mal.

J'ajoute deux places pour le match des Quarts de Finale,

qui aura lieu au Stade de France le 14 octobre prochain.

Match de rugby, évidemment, vous l'aurez compris,

puisque la Coupe du monde de rugby démarre là le 8 septembre prochain,

mais ça dure deux mois, et nous, on met deux places pour les Quarts de Finale,

au Stade de France, le 14 octobre, deux places dans la valise RTL.

Et qu'est-ce qui se passe si elle est gagnée le 15 ?

Mais enfin, écoutez, c'est dans un mois et demi, la valise...

C'est vrai que ça ferait une très grosse valise.

Vous avez d'autres questions directes, Caroline ?

Alors, ça, j'en ai plein.

On va, en tout cas, conseiller à nos auditeurs d'aller applaudir,

à partir du 14 septembre, Régis Laspalès, dans Piège pour un homme seul,

avec Michel Faux aussi, Katerina Murino.

Donc, on est garantis et de rire, et aussi, évidemment, d'être captivé par ce suspense,

parce qu'il y a aussi un suspense.

C'est une comédie policière de Robert Thomas. Merci.

En tout cas, Régis Laspalès, d'être venu nous en parler,

et d'avoir fait la valise avec nous.

Ça, Marc-Antoine Lebré, on le retrouve dans un instant, dans RTL.

Bonsoir, à demain, 15h30.

Bonsoir, Julien Seulier.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.

Avec Laurent Baffie, Yoann Riou, Caroline Diament, Paul El Kharrat, Franck Ferrand et Joyce Jonathan.