Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du mercredi 18 octobre 2023

RTL RTL 10/18/23 - Episode Page - 1h 44m - PDF Transcript

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Une grosse tête dont le papa était professeur, mais c'est lui qui donnait les coups de couteau.

Le professeur Chauron !

Bonjour !

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Une grosse tête aussi culte dans la station de Val d'hiver que dans la station RTL, Gérard Junyot !

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Une grosse tête qui connaît sûrement déjà le nom du prochain prix Goncourt,

puisqu'il fait partie du jury Philippe Claudel !

Bonjour, bonjour !

...

Une grosse tête qui cartonne avec son spectacle adorable,

et il nous a prouvé hier pour sa première, qu'il était Romando Duic !

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Et une grosse tête qui est un peu la Madame de Fontenay de Romando Duic !

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Et il c'est bon !

...

Il paraît Michel que je n'ai pas dit votre nom, que j'ai dit le professeur Chauron, c'est vrai ?

Oui, mais vous savez c'est mon papa, donc tout va bien, tout va bien !

En même temps il s'appelait Jean-Gérard Bernier !

Michel Bernier, pas Bernier, ça n'a rien à voir avec les camions !

Et vous jouez dans une pièce de...

Ah comment il s'appelle ?

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Si vous me l'aviez dit avant !

...

Philippe Claudel, il écrit des bouquins ?

Oui, pourquoi vous demandez ça ?

Non, je n'ai pas reconnu physiquement, mais je ne vais pas l'appeler !

Qu'est-ce que vous avez lu de Philippe Claudel ?

Je ne sais plus, mais je crois que c'est bien !

Forcément le soulier de Satan !

Évidemment !

Romando Duic, je suis sûr, est très impressionné,

parce que c'est un petit jeune, il a 25 ans, et je sais que ce qu'il appréciole aujourd'hui,

c'est d'être dans la même émission que Gérard Junio, je me trompe !

Non, effectivement, c'est toujours très impressionnant de se retrouver !

C'est très impressionnant !

Tous le matin, je me regarde !

C'est incroyable, tu ne l'avais pas vu sur le tournage ?

Non, il n'était pas là sur notre tournage, on n'était pas là le même jour, mais moi je...

C'est quand même mes deux acteurs !

C'est vrai qu'on joue dans le même film, on ne s'est pas retrouvé le même jour sur le tournage !

Quel film ?

Les Bronzettes 3 !

Du Cobu, du Cobu !

Incroyable ce mot, mais il est partout !

Je le vois partout, dans les galans, les machins d'humour, il est dans le film que j'ai tourné aussi !

Il est partout, t'as su c'est qui ?

Il est dans quel film ?

Il est avec vous !

Il est dans une série, dans le film d'Ariane, c'est pas toi ?

Non !

Chantal !

T'as confondu de friser, je crois !

De quel film vous parlez, Chantal ?

J'ai tourné une série à 7 pendant un mois, pour TF1 !

Le film d'Ariane, qui sortira bientôt !

Il y a un jeune homme, et j'étais persuadée que c'était toi !

Non, pas du tout !

Et tu me dis, mes vidéos, t'es partout !

On s'est rencontrés à Cannes !

On s'est rencontrés à Cannes, exactement !

Chantal, elle n'a pas de chance, parce que j'essaye de l'inviter, je fais des vidéos sur Youtube pour toutes les personnes qui connaissent vous !

Et j'essaye de l'inviter dans une vidéo Youtube depuis quelques mois, et à chaque fois je la vois, je lui dis à Chantal, tu ne vas pas venir dans une de mes vidéos !

Oui, oui, en voyant un texto, je lui envoie des textos, elle ne me répond pas !

Et ensuite, elle n'a pas de bol, parce qu'on se croise dans tous les gars-là, toutes les avant-premières, tous les tournages !

Et je dis, je ne sais pas répondre, mais je te réponds que non, finalement !

Ben oui, vraiment, c'est ça !

C'est dommage !

Voilà, t'as ta réponse !

J'ai vu avec qui, elle vous confond !

Ah, avec qui ?

Pierre Arditi !

Voilà, j'ai confondi, mais tu es tout à fait personnel, et t'as une personnalité magnifique, c'est complètement idiot, ce que je viens de dire !

Il y a une chemise, surtout, super !

Non, non, tu dis rien d'idiot, toi !

J'entis !

J'ai l'impression de dîner chez mon oncle et ma tante, j'adore ce qui se passe !

Et là, je suis pas ton grand-père !

J'ai dit oncle, j'ai dit oncle, j'ai dit oncle !

J'espère que c'est par moi l'attente !

Quelle famille !

Ah oui, c'est une famille, les grosses têtes !

Ah, une vraie belle famille !

Et voilà, c'est une première citation, puisqu'hier, la France a battu l'Écosse, il passait à regarder le match de foot !

Voilà, c'est une citation pour rendre hommage à nos amis Écossais, qui a dit « Madame, n'achetez plus de tissu Écossais, Écossélé, vous-même ! »

Pierre Dac !

Pas Pierre Dac, Francis Blanche !

Francis Blanche, bonne réponse de Gérard Juniors !

Une autre citation, la plus compliquée, car c'est quelqu'un qu'on a rarement cité aux grosses têtes, pour Solène Prudhomme, qui habite terre en, pas terre en, un terre en dans l'héro,

qui a dit « Plus on approche de l'estuaire, plus on se souvient du ruisseau ».

Oh, c'est jeune, il onge !

C'est la seule fois du XVIIIe siècle !

Ah non, non, non, récent, récent !

C'est quelqu'un qui est décédé en 2020.

Et qui a eu un prix Goncourt ?

Ah, Goncourt, non, non, non, quelqu'un qui est remancier.

C'est quelqu'un qui n'était pas humoriste.

Remancier ?

Remancier, non.

Réalisateur ?

Réalisateur, non.

Acteur ?

Politique ?

Pardon ?

Chanteur.

C'est quelqu'un qui chantait.

As-na-vous ?

Quand je dis « c'est quelqu'un ».

Non, c'est une chanteuse !

Est-ce que ce serait avec Tassaraï ?

Ah, non.

Chanteuse française ?

Une chanteuse française.

« Plus on approche de l'estuaire, plus on se souvient du ruisseau ».

Existentialiste ?

C'est joli, hein.

Écoutez, prononcez des mots que vous comprenez.

Chanteuse, elle était chanteuse engagée, plutôt ?

Oui, plutôt, oui.

Arrête, arrête, arrête.

Juliette Bréko, Juliette Bréko.

Pardon ?

Anne Silvestre.

Anne Silvestre, bonne réponse !

De Philippe Codal, c'est Anne Silvestre.

Une question d'actualité pour Sarah Haude, qui habite Saint-Romain-La-Motte.

Question d'actualité est aussi des faits mérites, d'ailleurs,

puisque c'était pile il y a 50 ans.

Écoutez bien, le 18 octobre 1973,

un vol Paris Nice fut détourné à Boeing 727

et quelqu'un fut tué à bord de ce Boeing il y a pile 50 ans

qui a été tué, abattu, d'ailleurs, il faut le dire.

C'est pas à cause de Rabbi Jacob ?

Pardon ?

C'est pas à cause de Rabbi Jacob ?

Non, non, c'est une femme.

C'est la femme de Georges Craven, qui avait créé les Césars,

qui avait détourné un avion, enfin, bloqué un avion

pour interdire la sortie de Rabbi Jacob.

Excellente réponse de Gérard Junio.

On en avait déjà parlé ici il y a quelques années.

Il soit tellement absolument incroyable cette histoire-là

parce qu'il y a pile 50 ans aujourd'hui

que sortait le film Rabbi Jacob.

Et pour protester contre la sortie du film,

la femme de la tâcher-de-presse, qui était Georges Craven à l'époque,

qui était publicitaire, celui qui, après,

inventera la cérémonie des Césars,

puisque c'est le fameux Georges Craven qui a inventé les Césars,

et bien sa femme décidait, ce jour-là,

le jour de la sortie du film, de détourner le vol Paris Nice,

un Boeing, et ce détournement va très mal se terminer

puisqu'elle va être abattue par le GIGN,

ce qui est absolu.

En fait, elle s'était convertie au judaïsme lors de son mariage,

mais elle était aussi proche des Palestiniens,

et elle estimait que la sortie de ce film,

au moment où il y avait un conflit entre Arabes et Israéliens,

ça pouvait arranger les choses, donc elle était contre.

Non, c'est pas que ça pouvait arranger les choses,

mais elle estimait que c'était un film pressionniste,

et qu'il ne fallait pas que le film sorte,

et elle décide, la veille, elle en parle à une copine qui n'en croit pas un mot,

elle disait pas possible à pas faire ça,

et bien oui, elle décide de détourner le vol Paris Nice,

du 18 octobre 1973, il y a pile 50 ans,

le jour de la sortie de Rabbi Jacob, et elle va être abattue.

D'ailleurs, son mari, Georges Craven,

ne convaincu que sa mort aurait pu être évitée,

a tenté un procès à l'État, mais sans succès.

Après l'évacuation des passagers,

les membres du GIGN ont ouvert le feu sur Mme. Daniel Craven,

la femme de la tâche et de presse du film.

Non, mais c'est incroyable, c'était fou.

Vous connaissiez pas du tout cette histoire.

Vous connaissiez pas ça ?

Non, je regarde Rabbi Jacob, c'est souvent,

moi je me le repasse, c'est quelque chose qui me fait rire,

et c'est quelque chose qu'on ne pourrait plus faire aujourd'hui, je pense.

Le film est sorti il y a 50 ans,

et c'est vrai que Mme Craven a été abattue il y a pile 50 ans,

puisque elle a choisi de détourner un avion le jour de la sortie du film.

Mais ils n'ont pas fait le film, je comprends pas bien.

Qu'est-ce que vous dites ?

Ils n'ont pas fait le film de l'attentat.

Non, mais...

Mangez vos tiens, on se sent ça.

Il est producteur et peur de parler de ça.

Je pense qu'on peut sortir Mamy Jacob.

Mamy Jacob avec Chantal là-dessous, ça, ça peut marcher.

Imagine, n'empêche, c'était dans un avion,

et tout d'un coup, il y a quelqu'un qui commence à détourner l'avion.

Cet avion est détourné, pourquoi vous voulez quoi de l'argent ?

Non, je veux pas que le film y sorte, mais qui fait ça ?

Qui utilise un avion pour...

C'est le cas dans l'histoire du cinéma, je pense.

C'est le cas dans l'histoire de l'avion.

C'est...

Déjà, trouver une femme d'attachée de presse, c'est pas facile.

Ouais, mais moi, mon attaché presse, il est...

Enfin, je crois pas, je crois qu'il est pas gay, mon attaché...

Il vous l'a pas encore dit !

Comment elle a détourné l'avion ?

Pommage.

Elle avait un fusil, elle avait un fusil...

Qu'à l'époque, on pourrait rentrer facilement dans un avion avec un fusil.

Ouais, sans problème.

On disait, tiens, je vais chasser !

Ah bah...

On fumait dans les avions à l'époque.

On fumait dans les avions ?

Oui, oui, oui.

C'était comment, quand le premier train a démarré ?

Vous l'avez vécu comment, tout ça, le...

Elle avait une carabine van de longrifle,

et un pistolet factice.

Ah, oui.

Rentrer un fusil et même un pistolet factice dans un avion, ça me paraît absurde.

Mais non, parce que moi, on fait chier pour...

Mais il y a 30 ans, c'était le bon temps.

C'était le bon temps.

C'était le bon temps, quand on pouvait rentrer dans un avion avec un fusil.

Oui, c'était génial.

C'était formidable.

Une question vocabulaire, maintenant.

Oblions l'actualité, cette commémoration de la sortie de Rabi Jacob,

et, au fond, aussi, de la guerre de Kipour,

parce que c'était en pleine guerre de Kipour, à cette histoire.

Voilà aussi pourquoi elle avait détourné cet avion.

Je voudrais poser une question,

qui a un lien quand même avec la religion,

parce que je voudrais vous demander ce qui est normalement masculin

et qui devient féminin quand c'est religieux.

Féminin ou masculin, ça a le même sens.

Oui, à peu près, le même sens,

sauf que c'est du féminin quand c'est religieux

et c'est masculin quand ça n'est pas religieux.

C'est pas l'hostil, non ?

L'hostil, non.

C'est un mot qu'on connaît plutôt masculin,

mais qui devient féminin quand c'est une religion.

Je vais vous dire, je m'en suis...

Un orgue ?

Non, un orgue, non.

Amour, délicé, orgue, son démo, effectivement,

vous avez raison, cher Gérard,

qui sont masculins au singulier

et qui deviennent féminins au pluriel.

Ça, c'est différent.

Mais amour, c'est pas dans la religion.

Et c'est dans la religion catholique ?

Ah non, quelle que soit la religion.

Quelle que soit la religion.

C'est une prière, est-ce que c'est une prière ?

Oui, c'est une forme de prière quand c'est religieux.

Une homélite.

Mais ça n'est pas une prière quand ça n'est pas religieux,

mais y compris.

Mais il était...

Alors ça tient à la prière, donc...

Alors, j'ai pas dit que ça tenait à la prière.

C'est un mot latin ?

Madame Bernier, mademoiselle, Bernier et Michel.

Oui, je vais vous plaire.

Je commence à l'avoir marre d'être demoiselle, bantamment.

Mais les comédiens ne les appellent pas demoiselles.

Quelle soit demoiselle, c'est quelle l'air devenue.

Presbite.

Presbite, quoi, présbite.

Ça lui fera un presbite-terre, un presbite-terre, une presbite.

Non, faut écouter.

J'en ai connu des presbites, c'était plutôt masculin.

Il devrait savoir, Besson.

Voilà, c'est... Non, j'aime bien, j'aime bien.

J'aime bien aussi Philippe Besson, mais c'est pas moi.

C'est pas grave.

Oui, c'est Philippe Besson.

Mais Philippe Besson est un très bon éclairé.

J'en ai vu des gâteaus.

Alors, quand on va chez quelqu'un...

Non plus, non.

Quand on va chez quelqu'un...

Là, par exemple, on en a beaucoup parlé ces dernières semaines,

à propos de sport aussi, par exemple.

L'essai ?

Un essai, non, non, non.

La victoire ?

La victoire, non plus, non, non.

Un arbitre ?

Un arbitre, non, non, mais c'est vrai que là...

Une mêlée ?

Au moment du premier match...

Une pâtée ? T'as pris la pâtée ?

Un pâté, une pâtée ?

Pardon ?

Un du pont ?

Un du pont, une du pont, non, non, non.

Ça s'utilise pendant les matchs de rugby ?

Par exemple, pendant, non, mais...

Après, à la troisième mi-temps.

À la troisième mi-temps, non.

Et bien voilà, on va donner 300 euros.

Une bière, une bière.

Non, mais maintenant, c'est trop tard, de toute façon,

et ça n'était pas une bière.

Voilà, un mot qui est un mot masculin,

et qui devient féminin quand il est religieux.

Est-ce que quelqu'un aurait une idée ?

Oui, il y a une dame qui lève la main.

Au premier moment, M. Dodwick.

C'est vous qui, aujourd'hui, allez aller dans le public.

D'accord.

Bonjour, madame. Comment vous appelez-vous ?

Laurence.

Et vous pensez que la réponse est ?

L'ouange.

A l'ouange. Non, mais c'est pas bête.

C'est raté !

Est-ce que quelqu'un d'autre a une idée ?

Et bien écoutez, la réponse est toute bête.

C'était un hymne.

Un hymne devient une hymne religieuse.

Vous le saviez, Philippe Claudelle ?

Maintenant que vous le dites, oui.

Mais c'est nul.

Maintenant que vous le dites, je le savais pas.

Oui, j'ai appris ça, aujourd'hui, un hymne.

Évidemment, quand ça n'est pas religieux, c'est du masculin.

On dit tous un hymne.

Et je me suis rendu compte ce matin,

parce que j'ai cru que c'était une erreur,

une faute dans un article, en voyant une hymne,

qu'on doit dire une hymne quand ça devient religieux.

Une hymne religieuse, un hymne officiel.

Voilà, la bonne réponse à cette question qui était difficile.

RTL.

Les grosses têtes répondent aux éditeurs.

François est au téléphone.

Bonjour François.

Oui, bonjour Laurent.

Bonjour les grosses têtes.

Bonjour le public.

Bonjour le public.

J'aime beaucoup François.

Le public vous encourage.

Écoutez, François, quand il a commencé à écouter les grosses têtes,

il était plus jeune que vous.

C'est pas vrai.

Vous aviez 16 ans à cette époque, c'est ça ?

Eh ben c'est ça, oui, en 77.

Ah oui, quand même.

Laurent Riquet devait être si jeune à l'époque.

Eh ben, j'avais un peu près.

Mais non, j'étais un peu plus jeune que vous encore.

En 77, j'en avais que 14, moi, vous voyez.

Et j'écoutais les grosses têtes aussi, comme vous.

Et vous êtes restés fidèles à l'émission.

Tout à fait, tout à fait.

Et alors pourquoi vous nous appelez François ?

Je suis à la retraite et je me partage entre Grenoble et Saint-Raphaël.

Là, je suis vers Saint-Raphaël

et je vais assister à l'émission du 20 octobre à l'Estérielle à Ravenna.

Eh ben oui, vendredi soir à 19h, on est à Saint-Raphaël, c'est vrai.

Et malheureusement, j'ai laissé mes appareils auditifs à Grenoble.

Et donc, si c'était possible de me réserver une place au 1er an,

on peut-tu y assister comme il faut ?

Je pensais qu'il fallait aller les lui chercher.

Je ne pourrais être obligé de demander à mon voisin.

Mais qu'est-ce qu'ils ont dit ?

Mais on n'est que mercredi.

Vous pouvez peut-être demander à quelqu'un qui se trouve à Grenoble

de vous envoyer vos appareillages au dicat.

Non, ça paraît compliqué pour envoyer ça, donc voilà.

Bon, dites-nous.

Donc, le plus simple, c'était de vous compacter.

Mais là, vous entendez bien.

Oui, c'est ce que j'allais vous dire.

Vous m'entendez bien, la menteur.

Menteur.

J'ai le téléphone. C'est parce que j'ai le téléphone à l'oreille.

Eh ben, prenez-le pour les grosses têtes.

Il a raison, Philippe D'Odèle.

Non, mais sinon, il faut me faire monter sur la scène.

Avec les invités, j'aurai le casque sur les oreilles.

Au moins, j'entends le résultat.

Bien sûr, François.

Allez, François, on va prendre votre nom.

Non, promis, on essaie de vous mettre au premier rang

et on fera du mime, Sarah Fell.

D'accord ?

Sarah Fell, c'est bourré de vieux, demandez à votre voisin de palier.

Vous serez bien ?

Vous pouvez partager un appareil auditif avec votre voisin.

Prenez l'oreille gauche et lui, prends l'oreille droite.

Et pour le dentier, on fait comment ?

Gael, maintenant, il te téléphone.

Bonjour, Gael.

Oui, j'ai une chaise rouleante.

Alors, je voulais savoir si vous pouvez changer de pneu.

Parce que j'ai laissé le pneu droit à Nice.

Est-ce que c'est possible d'aller chercher celui qui est de droite

et de fournir une pompe à vélo éventuellement ?

Vous demandez à Chantal Latsou, si c'est possible.

Merci, au revoir.

Gael est bien plus jeune que ça, n'est-ce pas, Gael ?

Oui, c'est tout à fait, j'ai 41 ans.

Ah, ben voilà.

Et Gael est quand même fan de Chantal Latsou, n'est-ce pas ?

Ah, t'as vraiment...

Et énormément.

Je vous trouve merveilleuse, voilà, Mathieu.

Merveilleuse, il n'y a pas d'autre mot.

Il n'y a pas d'autre mot.

Et vous dites...

On a bien cherché.

Et vous dites, quel dommage, elle vient si peu ?

Oui, quel dommage ?

Quel dommage, je reviens.

Sierre, pour moi, deux fois par mois, ça suffit.

C'est vrai, j'aimerais tellement l'entendre plus.

Ben oui, mais je fatigue, vous savez.

Invitez-la chez vous.

On est là, la maison.

Oui, il n'y a pas de problème.

Elle veut venir, on a de l'âge.

Elle va venir plus souvent, simplement qu'elle était en tournage.

Elle est très demandée, Chantal, vous savez.

Oui, je l'ai.

Elle est en tournée, avec le théâtre.

Elle tourne avec Romane Dauduc, dans des séries qui n'existeront jamais.

Je l'ai vu, là, dans le nouveau Philippe Plachot, où elle est...

Non, Tarek Boudali.

Ah oui, Tarek Boudali.

Elle tourne dedans aussi.

L'abandon d'Affifie.

Je l'avais vu, Chantal, dans le film.

Elle fait une dame qui veut se débarrasser d'un vieux.

Exactement.

Et j'y arrive pas.

Regardez, on va vous envoyer une petite photo de Chantal, là-dessous.

Nus.

Ah, je remercie.

Oui, entièrement nus, sur une peau de bête.

Ah ben, c'est pas encore plus l'eau.

Ou habites-tu, Gaëlle?

Ou habites-tu?

Ah, je ne sais pas si la tournée passe par là.

Tu peux regarder sur moi.

Si.

Vous allez à Trasbourg et vous allez à Sofime.

Alors, on peut lui offrir de place?

Bien sûr.

Ah, c'est très gentil.

C'est pas Laurent qui paye, c'est quoi?

Ah oui, pourquoi tu te demandes à Laurent?

Alors, je vous offre de place.

Laurent, vous pouvez payer une place pour...

Ah, c'est gentil, madame Natsou.

Merci beaucoup.

Oui, je suis comme ça.

Et...

Ah ben, je viendrai avec...

Et vous m'attendrez à la sortie?

Oui, à la boire dans ma loge.

Ah, oui.

Avenez-moi les fleurs.

Olivier, maintenant, est au téléphone.

Bonjour, Olivier.

Oui, bonjour Laurent.

Bonjour à toutes les grosses têtes.

Ah ben, bonjour.

Encore un fan de Chantal là-dessus.

Alors là, écoutez, franchement, c'est pas possible, ça.

Qu'est-ce qu'il y a-t-il?

C'est trop formidable aussi.

Ah ben oui.

Et rien pour Michel Bernier, qui est là aujourd'hui, quand même Michel.

Il tente l'arme.

Je ne la connais pas.

Mais comment c'est possible?

Alors, je vais être le seul qui ne connaisse pas Michel Bernier.

Ah ben alors, vraiment, qu'est-ce qui s'est passé?

Pas en vrai.

Ah, parce que vous connaissez en vrai Chantal.

Ah, vous connaissez Chantal en vrai.

Alors, j'étais au restaurant à Sochaux.

Elle était en représentation avec Armée, les ériples au Géria.

Et j'ai eu le culo d'Ali Lulemand et un autographe.

Et vous envoyez chier?

Évidemment.

Au contraire, elle me dit, ah ouais, vas-y, je t'en fais un.

T'es un beau gars.

Ah, il vous a dit que t'es un beau gars, toi.

Ah, elle est gentille avec les beaux gars.

Son mari était là ou pas ce jour-là?

Je sais pas. Je ne le connais pas non plus.

Mais bon, c'était pas sympa pour mes collègues.

Parce que mes collègues n'étaient pas tellement ravi.

Mais bon, tant pis. C'était moi le beau gars de la soirée.

Voilà. Et c'est vrai, vous êtes beau gars, Olivier?

Elle voit pas très bien.

Il y a quelques années, donc...

Ah, voilà.

Qu'est-ce qu'elle a dit?

J'ai 45 ans.

Ah, bah voilà! Elle en a que le double, hein.

Oui.

Est-ce que vous souvenez ce qu'elle a pris à manger ce jour-là?

Elle a dû manger léger, parce qu'elle a une taille de guêtre.

Celle qui le dit.

Il m'aime bien, hein.

Ah, oui.

Je crois que vous lui avez fait sa journée.

Je vous remercie, Olivier.

L'amour en ta bulle.

Claire, maintenant.

Bonjour, Claire.

Bonjour.

Enfin, bonsoir.

Ben oui, bonjour. Bonsoir, comme vous voulez.

À moins que vous nous disiez bonjour et bonsoir.

Et que vous n'aviez rien à dire entre les deux, mais...

Non, non, non.

Non, non.

Non, je dis bonsoir parce que je vous appelle d'Australie.

Oui.

Et en fait, je vous appelais parce que j'ai mon...

C'est mon compagnon qui a en fait affaire.

Parce qu'il ose...

Et il essaie d'apprendre le français.

Et il trouve que vous parlez trop vite.

Et il ne comprend pas pourquoi les gens applaudissent tout le temps.

Et ils rigolent, donc voilà.

Ah, parce que ce que je peux faire, c'est faire l'émission.

Moi, qui parle couramment anglais, je peux tout à fait trahir

tout ce que je...

I can translate all what I say.

Vous pouvez le faire...

It would be very nice.

Vous pouvez le faire en...

En congou.

Oui.

Vous êtes tout en Australie.

Non, non.

Je garde mon pantalon.

Vous êtes tout en Australie, Claire.

En fait, je suis à Peuze.

Et là, je suis à Mare-Bonne pour le travail.

Ah, ben oui.

Quelle travail.

On peut savoir.

Je suis danseuse.

Oh!

Danseuse classique.

Danseuse classique?

Non.

Oui, il est bien les danseuses.

Oui.

En tout cas, vous pouvez dire...

Ah bon, vous avez connu mon ex?

Non, je n'ai pas connu ma paix.

Oui, je sais qu'elle était allée au paix de Paris.

Ah oui.

Comment il se la pète.

Mais il a gardé le tutu.

Je savais ma danseuse.

C'est la première fois qu'on voyait un petit ras avec une tapette.

Je me suis bien fait avoir.

Je m'ai très fière de vous avoir parmi nos auditeurs.

Et on vous embrasse, Claire.

On se retrouve après des infos de seize heures.

Bye-bye.

Bye.

Je ne sais pas si on a ça dans le stock.

Le caractère est down.

Qu'est-ce que vous n'avez pas besoin de ces choses pour un customer?

Vous n'aurez pas.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

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Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous ne n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin d' blasphéubistique.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin d�

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Vous n'avez pas besoin de ça.

Mais c'est vrai que dès l'âge de 4 ans, elle s'est consacrée assidument à la danse

classique, au squash, à la natation et à la plongée, et elle a fait tout ça en compétition

internationale avant de se faire connaître autrement évidemment.

Elle est agiste, paysagiste, coiffeur, jardinier, écrivaine, on peut la connaître ?

Elle est danseuse.

Actrice, oui.

En plus.

Elle est américaine.

Elle n'est pas américaine, même si elle a obtenu un Oscar récemment.

Elle est coréenne.

Elle est chinoise.

Elle est dans le film « Everything Everywhere All At Once » ?

Oui.

Lucy Liu.

Elle a une soixantaine d'années.

Michel Yeo.

Bonne réponse de Philippe Claudel, c'est Michel Yeo, la femme de Jantone.

Absolument, c'est pour ça qu'elle est marmolée.

Elle devrait être contente.

Oui, en bas, elle a été sa femme.

Elle est sa femme quand même.

D'accord.

Moi, j'ai répondu grâce à Michel.

Il n'y a pas longtemps.

Oui, c'est ça, oui.

Mais quand même, elle vient d'obtenir un Oscar.

C'est la première asiatique à avoir décroché l'Oscar de la meilleure actrice.

Vous avez raison, c'est pour ce...

« Everything Everywhere All At Once », c'est pour nos auditeurs australiens.

Et elle est malaisienne, et non pas chinoise.

Malaisienne est ex-sportive.

Elle a été James Borgner, là aussi Michel Yeo, et elle vient de rentrer au comité

international olympique.

Bonne réponse collective, on va dire.

Une autre question pour Laetitia Gassan, qui habite Saint-Etienne de Fond-Belon, c'est

dans l'Ardèche.

La question porte sur un prix littéraire, alors pas le prix Goncourt.

Tout à l'heure, je me suis permis de dire que peut-être vous connaissiez déjà le

nom du futur Goncourt.

Il peut en sortir les enveloppes dès maintenant.

Alors voilà, on est reparti.

Non, tout le monde pense ça, mais en fait, non.

Aucun d'entre nous, aucun des dix ne connaît le prix avant qu'on vote.

Vous avez une petite idée quand même.

Pas du tout.

Vous avez vraiment pas été très ouvert, chaque année, c'est très ouvert.

Mais vous l'élisez ?

Ah oui, heureusement, cher ami.

On passe nos traités à lire, il y a peut-être très bénévoluant.

Il s'est quand ça ?

C'est le 7-9.

Il en reste combien ?

Il en reste combien ?

Là, il reste huit, et mardi prochain, on réduit la liste à quatre.

Ah oui, ah oui, ah oui.

Et le mardi suivant.

Mais est-ce que vous en parlez entre vous quand même un peu ?

Bien sûr, on n'arrête pas d'en parler, même entre les réunions.

Donc vous avez une petite idée quand même ?

Non, non, non, non.

Il a une idée, vous ne parlez pas de vos préférés.

On n'arrête pas de se parler, mais quand il y a des années comme ça où c'est très ouvert,

c'est compliqué.

Il y a parfois des années où il y a un livre qui domine un petit peu toute la rentrée littéraire,

donc c'est moins complexe et puis c'est plus évident.

Et vous, sauf que cette année, c'est vraiment difficile, donc on verra.

Là, on va parler d'un autre prix littéraire, parce qu'il y en a beaucoup des prix littéraires,

et c'est justement l'objet d'un papier paru dans le parisien le week-end dernier.

Il y a un petit prix grand bonheur, parce que plus ça, plus quasiment chaque livre a un bandeau rouge avec en dessous,

alors un prix, vous avez le prix Georges Brassin, le prix du roman, le prix Méduse, le prix des libraires, le prix des domagots.

Le prix tout court, le prix du livre, ce qu'il y est aussi des fois.

Le prix que tu sais.

14.90.

Alors il y a un prix qui existe depuis maintenant plus de 10 ans,

puisque l'année dernière c'était le 10e anniversaire de ce prix.

Il sera remis à nouveau d'ailleurs le vendredi 20 octobre prochain, ce vendredi, cette semaine,

et ce prix-là est assez particulier.

D'ailleurs, je peux vous dire qui l'a gagné l'année dernière.

En 2022, c'est un écrivain qui s'appelait Théo Bourgeron,

qui avait publié Ludwig dans Le Living chez Gallimard, qui avait obtenu ce prix.

Quel est le nom de ce prix littéraire qui sera à nouveau décerné vendredi prochain ?

Alors on en a plein des prix littéraires en France, il y en a 2500-30000.

Moi vous savez, Laurent, je voulais créer un prix littéraire, c'était le prix du dernier roman,

qu'on aurait remis à quelqu'un qu'on ne souhaiterait plus jamais me voir écrire.

Mais j'avais essayé de faire ça il y a 20 ans,

je n'ai jamais trouvé de camarade pour faire partie du jury, ils avaient trop peur.

Il y a le prix du premier roman, ça, ça existe d'ailleurs,

mais le prix du dernier dans ça n'existait pas encore.

Est-ce que c'est un prix attribué par des jeunes, des lycéens ?

Non, ce n'est pas le prix à Goncourt des lycéens.

Ce n'est pas le roman policier.

Un roman policier ? Non.

C'est le bistro à côté des demagots, il y a un autre café.

Ah le prix Fleur, oui le prix Fleur.

Non mais c'est pas bête, vous voyez, pour une fois, vous dites quelque chose.

Oui, mais je suis intelligent.

Ah c'est le prix, c'est le nom d'un café alors ?

Ce n'est pas le nom d'un café.

Est-ce que la récompense est originale ?

Oui.

Son point n'endouille, son litre de 20 ou je parle.

La récompense est originale et elle correspond d'ailleurs,

cette récompense au titre du prix.

D'accord.

Ah, est-ce que ça récompense des livres de cuisine par exemple ?

Pas du tout.

Est-ce que c'est un prix cognac par exemple ?

Là dans le Jury 2023, vous aurez Marie Bonisso, Alexandre Bord,

Amandine Labansage, Île Marchand, Flora Maurice et Camille Tomasiccio.

Le prix des inconnus ?

Non, non, non.

Alors est-ce que c'est la taille du livre ?

Je peux vous dire qui l'a eu à ce prix, ça peut...

Est-ce que le prix se mange, enfin la récompense ?

Non, non, non, non.

Est-ce que la récompense est un objet ?

Non, non, non.

Non, c'est une somme.

Est-ce que c'est des nouvelles ?

C'est de l'argent, mais c'est autant vous dire une petite somme.

Ah, c'est le prix à un euro quoi.

C'est une somme symbolique, c'est genre un euro.

C'est-à-dire que je vous ai dit, le prix, l'argent correspond au nom du prix.

Le bâtiment, le bâtiment.

Le nombre de pages qu'il y a dans le livre, peut-être que c'est des livres courts.

Vous brûlez, on se rapproche.

Le plus petit livre.

Libre de poche ?

Non.

C'est des nouvelles ?

Non.

Le prix des livres genre...

Le prix est en fonction de nombre de pages dans le...

Mais c'est vrai que là, vous vous rapprochez, vous brûlez, monsieur Simone.

Le prix du livre est le plus fin ?

Le mois épais ?

Non, non, non, non.

Je pensais que monsieur Claudel connaissait ce prix.

Le nombre de mots ?

Le nombre de mots, non, non, non.

Le prix du livre en braille ?

Non, non, non.

Un truc sans objectif ou sans reverb ?

Bonne situation.

D'ailleurs, vendredi, vendredi, je vais vous aider un peu, il reste 15 secondes.

Vendredi à 20h11, eh bien on remettra au 3 Baudé ce prix.

Ah le prix des chiffres ?

Déserné par 11 auteurs.

Alors le prix du nombre ?

Le prix du 11.

Le prix du 11.

Encore 300 euros de dépensée.

C'est le deuxième chèque, est-ce que quelqu'un aurait la réponse dans la salle, non personne ?

Ce prix s'appelle le prix de la page 111.

Il s'agit en fait de déserner un prix uniquement en lisant la page 111 de chaque livre.

Est-ce qu'il n'y a pas le chul jury là, franchement ?

Il s'en perd de bas pour rien.

Je pourrais faire part de ce jury.

Et ça fait 12 ans à peu près que ça existe, on lit la page 111 et la meilleure page 111 reçoit le prix littéraire et l'Orea remporte 1,11 euros.

Ah oui, c'est pour mes dates.

C'est triché, je suis nécré à juste une page 111.

Attention, il reçoit 1,11 euros, remis en 111 pièces de 1 centime.

Il y a des grands malades quand même.

Il y a des gens qui ont du temps surtout, des gens en chômage.

Ainsi que sa page 111 encadrait.

Et qui a eu cette idée ?

Des gens qui avaient envie de s'amuser.

Parmi tous les prix littéraires, donc Vendredi sera remis le prix de la page 111.

Loïc est au téléphone.

Bonjour Loïc.

Bonjour.

Vous êtes un monnaie, monnaie, c'est dans l'indre et l'oire.

Monnaie, monnaie, monnaie.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie Loïc ?

Je suis adjoint d'un repos responsable dans un Leclerc Drive.

Loïc, détendez-vous, s'occupez avant tout.

Parce que je vous sens bien stressé.

Il y a un beau voyage en jeu.

Il s'agit d'aller dans un club Belambra pendant une semaine.

50 clubs existent.

Vous choisirez votre club Belambra.

Belambra.fr pour choisir votre destination.

Ce sera une semaine en demi-pension,

valeur 2000 euros à la mer, à la campagne ou à la montagne.

C'est vous-même qui choisirez votre séjour et votre destination.

C'est évidemment des beaux endroits au coeur des plus belles régions de France.

Les clubs Belambra, Loïc.

Ça vaut le coup de vous concentrer, de souffler un moment, de respirer.

On respire par le ventre, gonfler le ventre et puis lâcher l'air après.

Surtout ne l'écoutez pas.

Ça va vous faire péter.

Vous allez péter.

Voici la première info donnée par Michel Bernier.

A son arrivée à Tel Aviv, un journaliste a demandé à Joe Biden

s'il était venu pour éviter l'escalade.

Le président américain a répondu qu'effectivement,

à son âge, cette activité n'était pas prévue dans son programme.

Chantal Latsou.

Rudby.

Hier, on a pu voir les joueurs au black descendre de leur bus

pour soulever une voiture mal garée qui empêchait le passage de leur autocar.

Eli Semoun.

La Suède étant la cible des terroristes islamistes.

Un jihadiste belge vient de faire exploser les hologrammes du groupe Abba.

Romane Dodwick.

La famille du professeur assassiné Dominique Bernard

vient de recevoir une lettre du Richter Adversailles,

lui demandant de justifier son absence.

Gérard Junior.

Un écolier a fait peur à ses parents en leur racontant

qu'il y avait des salafistes à la cantine.

Vérification faite, c'était des salcifiés.

Philippe Claudel.

Alors que Jean-Jacques Bourdin lui rappelait qu'il y avait eu

189 actes antisémites en une semaine,

la députée France insoumise Daniel Obono lui a répondu.

Les Juifs, toujours racontés.

Qui a dit la vérité ?

Alors, il faut procéder par elimination.

Oui, c'est mieux.

Alors, du coup, je dirais Romane Dodwick,

avec l'absence du professeur, c'est pas bon.

Le Richter Adversailles, un décorier administratif type,

mais pas à ce point quand même.

Eli Semoun non plus.

Eli Semoun, le groupe Abba existe bien en hologrammes,

mais justement, eux, ils sont tranquilles chez eux pendant ce temps-là.

Les chanteurs du groupe.

Michel Bernier et Biden qui feraient de l'escalade non plus.

Non, il fait pas d'escalade.

Et il va essayer effectivement d'éviter l'escalade au Proche-Orient.

Vous avez raison, mais c'était une fausse info.

Gérard Lignot et les salcifiés non plus.

Il faut quand même citer l'auteur de ce dessin.

Très, très drôle.

C'est un de nos meilleurs dessinateurs du moment.

Il s'appelle Urps, ce dessinateur.

Et c'est lui qui a fait ce dessin aujourd'hui.

C'est dans le canard enchaîné.

Peur sur l'école et on voit effectivement un parent d'élèves

qui dit qu'il y a des salafistes à la cantine.

Mais non, des salcifiés, les salcifiés.

J'avoue que c'est un des dessins les plus amusants du jour.

Alors, il vous reste.

Il reste Philippe Claudel et Chantal Latso.

Donc, je vais garder Chantal Latso avec Léon Black.

Oui, parce que Philippe Claudel, pareil.

C'est un dessin dur, mais assez drôle.

Aussi, quand même, publié par Marianne aujourd'hui.

Et c'était des terroristes qu'on voit dire.

189 actes anti-sémites en une semaine.

Les Juifs toujours à compter.

Évidemment, les terroristes islamistes.

J'ai remplacé les terroristes islamistes

dans Daniel O'Bono.

Mais la vraie réponse, la vraie bonne info.

Vous avez raison.

C'est Chantal Latso qui vous l'a donné.

Et oui, je ne sais pas si...

C'est pas sûr que les footballeurs soient sortis de leur bus.

Pardon ?

Vous comprenez rien de ce que je dis ?

C'est pas sûr que les footballeurs

seraient sortis de leur bus

pour déplacer une voiture.

Vous avez compris quand même, non ?

Pas trop, non.

Et vous faites allusion à ce qui s'est passé

en Afrique du Sud en 2010, c'est ça ?

Ah non, non, non.

Ah même pas ?

Ah non, non, non.

Mais juste en question la vérité.

Elle dit que les footballeurs n'auraient peut-être pas

fait ça et n'auraient pas soulevé.

Alors que l'équipe des Gastins, c'est sympa.

Je croyais qu'elle était suffisamment maline

pour faire référence aux Fêtes.

Souvenez-vous que l'équipe de France

de football en 2010 n'était pas descendu

du bus en Afrique du Sud.

Alors voilà, je fais allusion à ça.

En tout cas, on peut voir la vidéo

effectivement des néo-zélandais.

Les Holblacks, c'est l'équipe de Nouvelle-Zélande.

Et ils descendent du bus, il y a une voiture

mal garée qui empêche le bus de passer.

Et on voit tous les joueurs qui soulèvent

la bagnole.

C'est génial, son costaud, dis-donc.

C'est incroyable.

Ils ont des clics incroyables.

Ah oui, non, c'est fou.

Vous êtes fou des rugbymen.

Ah, j'aime beaucoup les rugbymen,

et puis ils sont sympa, je trouve.

Ils sont quoi ?

Sympathiques.

Pourquoi ?

Les footballeurs ne le sont pas ?

Si, si, mais j'ai rencontré des rugbymen.

Ah oui.

Et j'ai trouvé très sympathique.

Ça devait être une grosse soirée.

Tu fais soulever dans ta voiture, c'est ça ?

Non, non, mais je les ai rencontrés dans un hôtel

il n'y a pas longtemps.

Ah bah oui, oui, c'est lui.

On a fait des photos.

Quels chambres ?

Ils sont sympa.

Ils étaient à 15 ou pas ?

Ils se passaient dans sa chambre,

et elle était vannée.

Et je jouais aussi dans le fil d'arrière Zélande.

C'est toujours ce qu'on se pose comme question

quand ils font une mêlée.

Qu'est-ce qu'il y a là-dessous ?

Bravo.

Très bonne vanne.

Très bonne vanne.

Bon, vous êtes toujours là.

Vous allez gagner un voyage.

Dites donc, Loïc, vous pouvez être content quand même.

C'est pas facile.

Les dessinateurs, je dois dire, sont particulièrement brillants

dans la presse ce jour,

que ce soit dans Charlie Hebdo,

dans le canard enchaîné,

parce que réussir à faire rire

avec l'actualité tragique du moment,

il faut le faire.

Ils sont particulièrement subtils,

l'hommage encore à Grosse,

et à URPS,

qui l'un dans Marianne et l'autre

dans le canard enchaîné,

nous ont permis, effectivement,

de faire ces fausses informations,

ces fake news aujourd'hui.

Loïc, bravo.

Vous partez dans un club bel embras.

Une question pour Thierry.

Merci.

Qu'habite Capdac.

Tout à l'heure, je vous ai piégé

avec une hymne religieuse.

Évidemment, ceux qui n'ont pas entendu

le début de l'émission vont croire

que je suis en train de commettre une faute,

parce qu'effectivement,

normalement, on dit un hymne.

Mais non,

quand c'est religieux,

on dit bien une hymne.

Justement,

j'ai envie de vous demander maintenant

quelle hymne a été écrite

par le poète franciscain

Thaudi,

hymne religieux célèbre.

T'es une oraison funèbre ?

Oraison funèbre ?

Non.

Je peux vous dire que ça évoque

la souffrance de Marie

lors de la crucifixion

de son fils Jésus-Christ.

Ah, lavé Maria.

Lavé Maria ?

Non.

C'est très connu.

Jésus, Jésus, Jésus revient.

Jésus revient parmi les 15.

C'est pas celle-là ?

Non, non, non.

J'ai reçu le Dieu vivant.

Non.

J'ai reçu le vieux divan.

Ah.

Non, c'est une hymne religieuse

très célèbre

et courdois au Moyen-Âge,

un poète

qui s'appelait Jacopon de Thaudi.

Un stabbat mater.

Un stabbat mater.

Bonne réponse

de Philippe Claudelle.

Ah, je dis monsieur Claudelle.

Alors là, je dis bravo.

Ah, ça sert d'avoir

une vraie grosse tête.

Ah, là, là, là.

C'est vrai, en tout cas.

Mais c'est à cause de la famille Claudelle.

Le stabbat mater,

qui est devenu aussi, d'ailleurs,

je crois, une oeuvre musicale.

Ah, ben oui.

Il y a plusieurs.

Magnifique stabbat mater,

notamment de Père Golaise

ou de Vivaldi.

Ou même de Francis Poulain.

Oui.

Ce qui est le plus moderne.

Le stabbat mater est une hymne.

Et c'est comme ça, hein,

que j'ai, effectivement,

vu que le mot hymne

était féminin dans ce cas-là,

car on dit bien que le stabbat mater

est une hymne religieuse

attribuée au poète franciscain

Jacopon de Thaudi.

Bravo, Philippe Claudelle.

Une autre question.

Il y a 60 ans,

on parlait beaucoup de Félicètes.

Mais qui est Félicètes,

dont on a beaucoup parlé

dans les médias.

Il y a pile de 60 ans

le 18 octobre 1963.

C'est une question

pour Mme Lodin de Yeah.

Une chanteuse.

Une chanteuse, non.

Félicètes, c'est non.

O7.

C'est un rapport

avec la chanson de Fernand Elf.

Félicie, est-ce que c'est...

Pas du tout.

Les légumes d'aussi.

Non, non.

Félicètes, c'est quelqu'un.

C'est une dame.

C'est pas une dame.

C'est une vache.

C'est une vache.

Pardon.

Une chate.

Une chate, oui.

Oui.

Et je crois que c'est dans une BD, non ?

Non, c'est pas une BD.

C'est...

C'est un roman ?

C'est la chate de Colette ?

Non, c'est pas la chate de Colette.

C'est une chate...

Ils n'ont pas envoyé dans l'espace ?

C'est une chate,

la première chate qu'on a envoyé

dans l'espace.

Bonne réponse.

C'est violon.

Ils l'ont envoyé,

mais ils n'ont pas...

Ils l'ont pas réperé, hein.

Il y a 14 chates

qui ont été

entraînées pour les vols spatiaux,

celles qui ont, on va dire,

qui ont gagné le droit de mourir.

Ben oui, c'est félicite.

La première chate a voyagé dans l'espace

dans la fusée Véronique.

Après, elle a été otanasiée

pour qu'on étudie,

elle n'est pas morte pendant le voyage.

Ah, elle est revenue.

Ah, elle est revenue,

évidemment.

Elle a fait tout ça pour rien, quoi.

Non, mais on lui avait mis

des électrodes.

Et des croquettes.

Sur le crâne,

afin de pouvoir suivre

son activité neurologique

pendant tout le vol.

C'était il russe

ou américain ?

Non, c'est français.

Sur les français.

Ah, oui.

C'est français.

C'est français qu'on voit.

Les français ne peuvent pas envoyer.

Il espère, encore,

Thomas Pesquet.

Mais être le premier français

sur la lune.

Il s'est pas fait utanasie,

encore.

Mais nous,

on a envoyé le chat.

Il a des chances, hein.

Pardon.

Il a des chances.

Il a des chances.

Mais là,

c'était une petite chate félicite

qu'on a envoyé.

On l'a appelé félicite

à cause de Félix Locha.

C'était...

Oui, oui, oui.

C'était...

Félix veut dire bonheur.

Ben voilà, voilà.

Et la pauvre,

on a été obligé

de le tanasier, évidemment.

Quand on a récupéré

la capsule,

13 minutes seulement,

elle a passé dans l'espace.

C'est pas si long, vous voyez.

De quelle race

c'était félicite ?

Alors,

j'ignore de quelle race

c'était cette chate.

Ah, vous aimez

ça, ce mot, hein.

Non, non,

bah non, bah non.

Bah non, bah non, bah non.

Bah non, bah non, bah non.

Bah non, bah non, bah non.

Bah non, bah non, bah non.

Bah non, bah non, bah non.

Bah non, bah non, bah non.

J'aurais bien voulu.

Vous aimez le mot.

J'ai pas choisi.

Arrêtez de vous faire du mal.

Félix, ça était en tout cas,

effectivement,

la petite châte

qui a été envoyée

en infusée Véronique

qui a pile 60 ans.

Et depuis,

effectivement,

Thomas Pesquet,

le français qui, lui,

espère un jour...

Allez, non pas non,

l'espace, ça,

il est déjà allé.

Se faire un tanasier ?

Non, mais...

Sur la lune ?

Marcher sur la lune, il en...

J'ai appris un truc fou.

Si tu as des caris,

tu peux pas être astronome.

C'est pas vrai.

Wellbeck,

par exemple,

on peut pas l'envoyer.

Ce serait bien, pourtant.

Ok, à la raison.

Wellbeck,

tu peux pas faire de temps.

Bah, tu peux faire d'amalgames,

parce que c'est dangereux.

Donc, il faut avoir une dentition

parfaite.

Ah bah, en ce moment,

on arrête pas de le dire.

Pas d'amalgames, pas d'amalgames.

Votre podcast

va démarrer

dans un instant.

Mais juste avant,

je voulais vous dire

que mon nouvel album...

Oh pardon,

je me suis pas présenté,

c'est Philippe Geluc.

Et donc,

mon 24ème album

vient de sortir.

Le chat est les 40 bougies.

64 pages de gag hilarant.

Vous voulez un exemple ?

Et en même temps,

c'est un conseil.

Quoi que vous fassiez,

faisez le bien.

Bon,

et les autres sont

encore plus drôles,

c'est-à-dire,

le chat est les 40 bougies

aux éditions Casterman.

Une question

pour Mme Brisson.

Yvette Brisson,

qui habite à Arcachon,

et vais vous donner

des noms,

des noms de...

de personnes

qui sont devenues millionnaires,

voire même milliardaires,

pour certains.

Jean-Claude Marien,

Yves Journel de Domus,

et Claude Cheton.

Comment sont-ils devenus

milliardaires

ou millionnaires ?

Avec les bitcoins.

Les bitcoins ?

Les bitcoins.

Non.

Mais ils sont français ?

Ils sont français ?

Le loto ?

Le loto, non.

Ils sont associés tous les 3 ?

Ah non, ils sont pas associés.

Ils sont devenus millionnaires

pour la même raison.

Ils ont même été concurrents,

mais ils sont devenus

millionnaires ou millionnaires

pour la même raison.

Ils ont acheté la même chose ?

Non, rien n'a acheté.

Ils ont créé...

Des industriels ?

Des industriels.

C'est pas le mot,

mais là,

chacun de leur côté,

chacun de leur côté,

chacun de leur côté,

chacun de leur côté,

ils ont eu la même idée.

Ce n'est pas qu'ils ont eu

la même idée,

mais ils ont...

Ils se sont succédés ?

Non, non, non.

Ce n'est pas leur idée.

Ils ont été concurrents.

Oh ben, des idées...

Ce n'est pas eux qui ont inventé.

Ils ont commercialisé un truc.

Le Pepsi-Cola,

Coca-Cola,

et une troisième marque.

Non, mais là,

on parle en France.

Ça existe sûrement

dans les autres pays.

Mais chez nous,

en France,

en tout cas,

Jean-Claude Marien,

Yves Journel de Domus,

sont devenus milliardaires

ou millionnaires.

Par exemple, Claude Chetan,

lui, aujourd'hui,

sa fortune est estimée

à 320 millions d'euros.

Oui, quand même.

Yves Journel de Domus,

2,2 milliards.

54e fortune mondiale.

Ça va, Claude Chetan ?

J'avance que le débat

des slips.

Des slips, non.

La nourriture.

La nourriture.

De l'immobilier.

Non, non, non.

Ça se penche ?

J'ai appris ça d'ailleurs,

je veux dire, grâce à 2 pages,

dans le journal L'Humanité,

aujourd'hui,

parce que c'est un vrai problème.

Ah, les merguez, alors.

Les barbecues.

Pourquoi ce serait un vrai problème ?

Ce qu'ils ont fait,

c'est un vrai problème,

c'est polluant ?

C'est assez problématique

qu'ils aient fait fortune,

si.

Ce qu'ils ont créé,

nous le connaissons,

c'est quelque chose de très connu.

Écoutez, je vous souhaite

de les connaître le plus tard possible.

Ah, les obsèques.

Les obsèques, non.

Non, c'est les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

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Les pompunèbres.

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Les pompunèbres.

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Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

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Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Les pompunèbres.

Ben non, ça, c'était mon tournage avec Chantal Latou.

Tu vas me fermer ta gueule.

4500 euros par mois, par exemple, dans les EHPAD MRA,

puisque c'est le nouveau scandale d'après...

MRA, tu es MRA.

L'humanité.

47 établissements, quand même, le groupe MRA.

47 maisons de retraite en France.

2800 salariés mal payés, évidemment,

trop peu nombreux,

et on leur demande de faire des économies.

Il y a des témoignées anonymes.

Chaque jour, on leur demande de faire des économies,

surtout avec l'inflation,

parce que, évidemment,

l'alimentation, coutant de plus en plus cher,

on leur demande de faire des économies sur les repas.

Ça ne mange pas beaucoup.

Ben non, c'est pas cher, la purestie.

Mais oui, mais sauf que le problème,

par l'instant-là, c'est que les propriétaires,

eux, sont milliardaires ou millionnaires.

Ils s'empiffrent.

Eux, s'empiffrent.

C'est une émission politique, les grosses têtes.

Engagé, je reviens pas.

Non, mais ça dépend.

Non, mais moi, ça me scandale.

Mais c'est pas normal.

Il y en a des bonnes quand même, des...

Il y a des gens de retraite et pas de ses papas.

Tu t'es renseigné déjà ?

Oui.

C'est pas la même chose.

Votre papa était dans une maison de retraite.

Oui, oui, j'ai pensé justement.

Elle était bien, oui, elle était...

Oui, oui, oui, la directrice était plutôt sympathique,

mais c'était glauque, quand même,

honnêtement, c'était horrible.

Chaque soignante, par exemple,

dans ces groupes-là,

aimera, chaque soignante s'occupe de 15 résidents.

C'est trop.

Évidemment, c'est trop compliqué.

Qu'il y ait 15 personnes.

Moi, déjà, 6.

15 personnes ?

Ça me fatigue.

Alors, j'imagine 15, alors.

Non, mais moi, je n'imaginais pas, en tout cas,

que les propriétaires des EHPAD

étaient, effectivement,

les milliardaires ou millionnaires.

Ce n'est pas des philanthropes,

ce sont des hommes d'affaires.

D'accord.

On peut avoir un peu d'humanité, quand même.

Oui, madame Bernier.

Je voudrais pas vous foutre le morale à zéro,

mais ça va bientôt être l'heure de la soupe.

C'est terrible.

C'est le jour où vous devez emmener votre papa

ou votre maman,

votre grand-père ou votre grand-mère

dans l'établissement.

Ça dépend, hein.

Ça dépend.

Non, non, non.

Ça dépend les parents.

Si ils sont Alzheimer, ils ne s'en rendent pas compte.

Moi, j'ai visité un EHPAD

une fois pour un tournage.

Je suis rentré, j'ai dit à mon père,

« Je t'étouffe dans ton sommeil ».

Avec un orillet,

moi-même,

parce que je peux pas te mettre là-bas.

C'est physiquement impossible.

Il a encore sa minière de ton père, quand même, pour y aller.

Oui, mais il m'a soulé, là.

Oui, mais il m'a soulé, là.

Il n'énerve pas tout de suite.

Il veut mettre ses parents tout de suite.

Il doit être plus jeune que d'enfants.

Le pire, c'est que mes parents,

ils ont un peu près votre âge.

Oui, c'est ce qu'on dit.

C'est pour ça que je dis qu'ils ont encore 5 minutes.

Mais quel âge ils ont vos parents ?

Mes parents, ils ont une soixantaine d'années.

Ils ont attendu avant de vous faire, dites-nous.

Oui, je suis le petit dernier.

Je suis arrivé 6 ans après celui d'avant,

10 ans avant le premier,

je suis sûr que je ne suis absolument pas désiré.

C'est aussi pour ça que je vais les buter

à un moment ou un autre.

Mais tu sais, c'est hyper du mal.

Je suis un joli accident.

C'est une surprise de la vie, tu vois.

Je suis un joli accident.

Mais voilà !

Quel accident ?

Pas d'accident pour moi.

Ils t'ont eu tard, des dents, c'est là que tu as.

Oh, et tu rencontres des parents

qui faisaient encore l'amour ?

C'est merveilleux.

Déjà.

Tu viens de mettre une image dégueulasse

dans ma tête, Michel, là.

STL, le livre au-dessus.

Décidément, l'émission est amigieuse aujourd'hui,

puisqu'on va parler d'une jeune fille en feu.

Et cette jeune fille...

Jeanne d'arc.

Mais vous n'êtes pas loin.

C'est une sainte Christine, l'admirable,

sainte et rebelle.

C'est un roman publié chez Alba Michel,

mais c'est un roman biographique

signé Gérard de Cortance.

Gérard de Cortance, on l'avait eu il y a quelques mois

ou quelques années au téléphone

pour nous parler de Frida Kahlo.

Il a fait des dizaines et des dizaines d'olives.

Vous le connaissez sûrement.

C'est un collègue.

Nous sommes tous les deux

à l'Académie Royale de Belgique.

Bravo.

Merci Philippe Claudel.

Qu'est-ce qu'il faut que moi, il se la pète ?

Non, je le dis simplement.

Oui, non, non.

L'Académie Royale.

Je suis dans le concours.

Nous sommes dix, il y a moi.

Et l'Académie Royale de Belgique,

on ne candidate pas.

On t'appelle.

On t'appelle.

Mais oui, mais bien sûr.

Vous allez pouvoir lui parler dans un instant.

Il sera au téléphone Gérard de Cortance

pour qu'on parle avec lui de son nouveau roman,

son nouveau livre,

« Une jeune fille en fumée ».

Je me disais qu'au fond,

puisque lui-même a beaucoup écrit,

peut-être qu'à jour,

il y aura une biographie de Gérard de Cortance

parce que serait-que lui-même

a une vie assez étonnante,

une famille aussi incroyable.

D'ailleurs, en préparant cette émission,

j'ai appris que dans sa famille maternelle,

il y a quelques décennies

pour ne pas dire siècle,

il y avait une personnalité,

une personnalité d'ailleurs

qui a fini condamnée à mort,

pendue à Naples le 11 novembre 1806.

Parmi donc les ancêtres

de M.Gérard de Cortance

qu'on va avoir au téléphone

dans un instant,

qui est cette personnalité

qui fut pendue à Naples le 11 novembre 1806.

C'est une femme ?

Un homme.

Un rapport avec Napoléon ?

Alors, c'est un rapport avec Napoléon.

Parce qu'il y avait un roi,

vous avez raison ?

Absolument, parce que c'est un des chefs

insurgés napolitains

contre l'armée de Napoléon.

Fradiavolo ?

Fradiavolo, bonne réponse

de Gérard Vignon.

Tu peux t'entraîner, Gérard ?

Tu peux aller dans du vaccin, s'il te plaît.

On se moque du vaccin, c'est grâce à L'Oréal-Hardy.

Oui, Fradiavolo, effectivement,

vous avez raison, le titre d'un film avec L'Oréal-Hardy,

il joue les compagnons de Fradiavolo.

Et c'est vrai, alors Gérard de Cortance,

bonjour, que vous êtes un descendant

de Fradiavolo.

Ah oui, absolument, Michelipéda.

Oui, oui, oui.

D'ailleurs, ma mère, qui est toujours vivante,

qui a 94 ans.

La bien connue.

Oui, et tout à fait,

Fradiavolo, féminin.

Héros, brigands,

Fradiavolo, chef des insurgés

contre Napoléon, il fut condamné à mort

et pendu en 1806.

Vous savez qui l'a arrêté ?

Allez-y, dites.

Eh bien, c'est le père de Victor Hugo.

Ah ça, alors Léopold Hugo, c'est ça ?

C'était le père de Victor Hugo,

qui était soldat général

dans les troupes Napoléoniennes, un appel.

Plus de 90 livres signés Gérard de Cortance.

Et le dernier concerne une sainte,

une sainte dont, je dois dire,

j'ignorais l'existence.

On a parlé de Jean-Darck,

parce que vous avez appelé ce roman biographique

« Une jeune fille en feu ».

Mais non, ce n'est pas Jean-Darck,

cette jeune fille en feu.

D'ailleurs, elle pouvait traverser le feu,

parce qu'elle en réchapait cette sainte Christine.

Ah oui, ça, c'est une sainte liéjoise.

Donc, il vit à la frontière du XIIe siècle,

le XIIIe siècle.

Au fond, si on faisait une bande destinée aujourd'hui,

on dirait qu'elle serait dotée de super pouvoir.

Si on faisait un film,

il faudrait des effets spéciaux extraordinaires.

Elle parle aux oiseaux, elle l'évite,

elle ressuscite des morts,

elle est douée de l'esprit de prophétie,

puisqu'elle annonce la prise de Jérusalem

par Saladin en 1187.

Et surtout, elle a une expérience

qui est proche de ce qu'on appelle aujourd'hui

les expériences OEMI,

ou alors les tranches amétiques ou le coma.

Elle est envoyée comme ça,

dans l'au-delà,

et elle revient avec une mission.

C'est Chantal, en fait.

Faire le lien entre les vivants et les morts.

Et ce qui est étonnant,

c'est qu'elle annonce au vivant

l'existence du purgatoire,

ce qui fait d'elle une hérétique,

parce qu'à l'époque,

personne ne parle du purgatoire.

Oui, il y a l'enfer, le paradis,

mais il n'y a pas l'entre-deux.

Il n'y a pas encore le purgatoire.

C'est elle quelque part qui invente l'entre-deux,

le fameux purgatoire.

Quelque part, c'est elle qui invente le purgatoire.

Est-ce qu'elle est intéressante

chez cette femme ?

En fait, c'est qu'elle est deversante.

D'un côté,

il y a la mystique chrétienne

qui est intéressante.

Et de l'autre côté,

elle agit totalement dans le siècle,

puisqu'en fait, elle va militer.

C'est une féminisme,

c'est une fémène avant la lettre.

Elle va manifester sa nu sur un cheval,

dans la forêt.

Ce que vous nous racontez dans ce livre

est absolument incroyable.

J'imagine que vous avez beaucoup recherché,

enquêté pour signer cette biographie

qui commence d'ailleurs par sa résurrection.

C'est assez incroyable.

C'est son enterrement.

Elle est toute jeune, d'ailleurs,

quand elle mord au départ.

Elle a 15 ans, oui.

Elle garde les animaux.

Ses parents, elle est orpholine.

Elle a encore ses sœurs, je crois, au départ.

Et elle est encore toute gamine,

mais elle va mourir.

Et au moment de son enterrement,

elle est dans l'église.

Et là, on voit que ses yeux

commencent à bouger.

Comme vous dites, on peut dire qu'elle a sillé.

J'aime bien ce verbe sillé.

Vous dites,

Cristina a sillé à plusieurs reprises

comme le font les gens de théâtre

quand ils doivent simuler les pleurs.

C'est s'ils et ses paupières ont battu,

comme il est d'usage devant une lumière trop forte,

ou après le sommeil,

ou à la suite d'une émotion.

Mais ce n'est pas tout.

Après, elle va commencer à respirer.

Elle a un souffle léger sans part d'elle.

Et puis, c'est la force de Dieu qui est en elle,

qui la pousse,

qui la fait se dresser

sur son séant,

rejeter le linceau,

bouger les bras comme le ferait un oiseau.

Et là, elle se met à voler dans l'église.

C'est la résurrection de la fameuse Cristina.

On buvait beaucoup à l'époque.

En fait, ce qui est intéressant,

c'est qu'elle ne se contente pas de ressusciter,

de porter une parole christique.

C'est-à-dire, en fait, elle va...

Elle se bat pour la libération

des femmes à cette époque-là.

C'est-à-dire, il faut replacer dans l'époque.

Une femme, à l'époque, elle est mariée

de force à douze, treize ans.

Une femme est considérée comme versatil,

il y réfléchit,

criarde, on dit qu'elle jette des sorts, par exemple.

Et alors, j'ai lu un texte

où on explique que la parole d'une femme

est nulle et non-avenue

devant la loi.

Elle est encore moins importante

que c'est d'un musulman, d'un huit,

ou d'un terrasseur.

En fait, elle a lancé Mithou,

Votre Sainte-Christine.

C'est une saint-Juliet Jaune

qui aurait lancé Mithou.

Elle lit les écritures.

Alors, c'est totalement hérétique pour l'époque.

Elle va créer un mouvement

qui s'appelle les femmes errantes,

qui vont donner les beguines.

Et ça va tellement emmerder l'église

que, finalement, au bout des moments,

on va les brûler.

Et ça va donner les sorcières.

Je vous rappelle qu'entre le XIVe et le XVIIe siècle,

comment tu es tombé sur ce sujet ?

Je connaissais

une sœur,

sœur Anne,

qui m'a raconté cette histoire,

qui m'a dit, vous qui êtes écrivains,

racontez un jour cette histoire.

Et je peux même vous raconter une autre anecdote.

Un jour, je crois, je suis l'hypsolaire.

Je lui dis, écoute, c'est foutu,

tu n'auras jamais le Renault d'eau,

c'est moi qui l'auras à ta place,

on était sur la même liste,

parce que les petites sœurs de Valogne

ont recogé le Renault d'eau.

Et en fait, j'ai eu le prix Renault d'eau

grâce aux prières des petites sœurs de Valogne.

Ah oui, je pourrais la voir,

s'il vous plaît, moi aussi, le Renault d'eau.

C'est pour un mollière.

Je voudrais un César et un mollière, s'il vous plaît.

Il va y avoir les petites sœurs, Elis.

Une jeune fille en feu, Christine,

l'admirable, c'est son surnom,

Sainte et Rebelle.

Ça reste un roman, évidemment,

mais un roman biographique de Sainte Christine.

C'est signé Gérard de Cortance,

Michel, et c'était le livre du jour.

Ah, tiens, parlons du Scorsese,

et qui sort aujourd'hui.

Vous aimez bien, j'imagine, les films de Martin Scorsese.

3h26.

C'est ça le problème, c'est un peu long.

Écoutez, c'est pas chiant du tout.

Ah, vous y êtes allé ?

Oui, hier soir, c'est pas du tout.

C'était l'avant-première.

Vous êtes invitées aux avant-premiers ?

Je suis invitées maintenant aux avant-premiers.

A mis un team de Martine, c'est ça ?

Il y a un clin d'oeil, d'ailleurs, il est à la fin,

il parle à la fin, juste à la fin du film.

Scorsese ?

C'est réveillé à ce moment-là.

Et DiCaprio, il est bien DiCaprio ?

Ah oui, il est incroyable, il a une bouche incroyable.

Comment ça, il a une bouche incroyable ?

Il avance comme ça.

Un peu à la Marlonne Brando, vous voulez dire.

Il a pas une petite prothèse sur le nez dans ce film ?

Ah, peut-être, oui.

Non, mais c'est bien, c'est formidable.

C'est vrai, mais c'est pas trop long quand même 3h31.

Écoutez, non.

Il y avait les acteurs et...

Non, mais c'est pas là.

Il y a personne direct avec moi, en fait.

Vous avez pris pour faire la tribu indienne ?

Ouais.

L'attente.

Ce qui est intéressant, évidemment,

c'est de regarder dans la filmographie

de Martine Scorsese,

combien de fois il a fait tourner ses acteurs fétiches.

Alors évidemment, c'est

Robert De Niro qui détient

le record, c'est une dizaine de fois.

Mais déjà, Leonardo DiCaprio,

il en est à 6 fois.

C'est son 6e film

avec Scorsese

et Killers of the Flower Moon,

puisqu'on n'a pas encore donné le nom du titre

du film qui sort aujourd'hui, c'est celui-là

Killers of the Flower Moon.

Avant, il a fait le Lou de Wall Street,

il a fait Shutter Island, les infiltrés

Aviator et Gangs of New York.

Voilà les 6 films dans lesquels DiCaprio

a tourné, donc,

pour Martine Scorsese.

Et moi, j'ai pris des acteurs

qui ont joué des personnages

ayant existé. Alors, par exemple

De Niro, vous le savez, a joué Jacques Lamotin

dans un film réelisé par Scorsese.

Caprio, lui, a joué

Howard Hughes, évidemment,

dans Aviator.

Vous avez aussi Jude Law,

qui a joué Herald Flynn.

C'était dans Aviator aussi

que Jude Law joue Herald Flynn.

Et puis il y a un acteur, et c'est celui-là,

évidemment, qui va faire l'objet de la question.

Je vous l'accorde, mais elle n'est pas

inintéressante. Quel est l'acteur

qui a joué Jésus de Nazareth

pour Martine Scorsese ?

C'est pas Joe Petchie.

C'est pas Mel Gibson.

C'est un genre comme ça ?

Joe Petchie, il a joué 4 films

avec Scorsese. Et Petchie, il a joué

Raging Bull, Les Affranchis, Casino,

et Zwei Richmond. Non, c'est celui qui a joué Jésus.

C'en est jamais remis, je crois.

Dans le Scorsese. Ah, c'est un très grand acteur.

Un bon acteur.

Non, non, non, non. Il a joué

pour Scorsese, et pour Livenstone,

pour Terrence Malik.

Exactement.

Non, non, non, non.

Je suis sûr que tu vois un pen.

Chan Pen. Non, non, non.

Il a des yeux magnifiques.

Il a une bouche un peu...

On lui donne parfois les méchants,

vous voyez ? C'était dans la dernière

tentation du Christ, évidemment.

Non, c'est un très beau mec.

Je ne suis pas sûr qu'il soit beau, je ne trouve pas beau.

Non, non, non, non.

Bonjour, Zwei Richmond.

Je suis Jésus-Christ.

Bonjour.

Je suis Jésus-Christ.

Si tu es blanc, il y a force de poiserine.

Ça m'attirerait aussi.

Amen.

Mais amène-moi vite.

Tenez, ce c'est mon corps.

Je peux vous dire dans quoi il a joué,

si ça peut vous aider cet acteur

qui fut Jésus-Christ. Donc, pour Scorsese,

il a joué aussi dans Platoon,

Sailor & Lula, dans Spider-Man...

Michael Keaton ?

No, Michael Keaton.

Il faisait le Joker, non ?

Un homme très recherché.

Oh, est-ce qu'il a une tête bizarre ?

Oui, c'est ce que je vous dis.

Ce n'est pas Nicolas Cage.

C'est celui qui fait le bouffon vert dans Spider-Man.

On parle de lui.

Ah mince, je ne connais que lui.

Je vais avoir une bonne réponse dans les grosses têtes.

Il a joué Van Gogh aussi.

Oui, il a joué Van Gogh.

Oui, il a joué Van Gogh.

Vous savez...

Est-ce qu'il y avait Kurt Douglas, mais ce n'est pas lui.

Il était aussi dans The Grand Bouddha Pest Hotel

de Watson Derson.

Qu'est-ce que je peux vous dire de plus ?

Il était dans Pasolini, de Belle Ferrara.

Il était dans La Grande Muraille,

dans Seven Sisters...

Moi, je le connais, mais je ne le dirais pas.

Ah !

Ça, c'est drôle.

Hervé Kettel.

C'est un nom pas facile d'ailleurs à prononcer.

On va donner les deux initiales.

Ah, puis quoi encore ?

Ah oui, Laurent.

Juste le prénom, gentil.

C'est effectivement un des acteurs fétiches de Belle Ferrara.

Il a joué pour Riverstone,

pour Martin Scorsese,

pour Julien Schnabel, pour Watson Derson,

Lars von Trier...

Il a des origines italiennes d'ailleurs.

Ah, son nom est italien ?

Il est américano-italien.

Est-ce que ce sont...

Son nom sonne un peu italien ?

Non, mais...

Pourquoi il nous dit ça alors ?

Le prénom, Laurent, le prénom.

Ah non, non, pas le prénom.

Si je vous donne le prénom,

si je vous donne le prénom, vous avez le nom.

Allez, on a 15 secondes, les initiales.

Il y a sûrement quelqu'un qui va toucher 100 euros dans la salle.

Je ne vais pas vous aider.

Il y a déjà des mains qui se lèvent.

Oui, oui, on va donner 300 euros.

Lève la main droite.

Avec ton cerveau tout jeune, tu ne trouves pas ?

Ça, c'est une question contemporaine, monsieur.

Mais oui, mais je vois très... Mais c'est horrible.

On voit tout ça.

C'est pas Paul Prébois, quand même.

Eh ben, c'est perdu.

Je ne pensais pas qu'on perdrait 300 euros avec ça.

Lèvez la main dans le public si vous avez le nom.

Il y a deux, trois mains qui se lèvent.

Monsieur Dauduil, il faut vous bouger maintenant.

Parce qu'on n'avait pas trouvé la réponse.

Quand on n'a pas de tête, il faut avoir des jambes.

Bonjour, monsieur. Comment vous appelez-vous ?

Christian.

Il faut bien perdre 400 euros.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier,

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Philippe Daudal,

Gérard Jignot, Chantal Latsou,

Michel Vermier, Romain Dauduil et Ysé Moon.

Je vais passer à des questions plus faciles.

Parce que je vois bien que là, on est en train de perdre

la comptabilité de RTL.

Déjà deux chèques de distribuer.

Pour notre station, vous avez parlé tant qu'il court.

Là, si vous avez lu le Figaro,

vous saurez répondre pour monsieur Corriche

de l'île d'Abo dans l'Isère.

Pouvez-vous me dire sur quoi un chercheur autrichien

a-t-il enquêté le mot effort ?

En tout cas, a-t-il fait des recherches ?

Recherche qui n'avait jamais été réellement faite

jusqu'à maintenant et surtout,

on n'avait pas l'explication.

Qu'est-ce que monsieur Herbst,

c'est son nom bioacousticien

de l'université de Vienne ?

Qu'est-ce que ce chercheur autrichien

a-t-il trouvé dans ses recherches ?

Oui, l'âme d'Afo.

Sur l'oreille, dans son dos.

Ça concerne ça les mammifères marins ?

Les mammifères marins ? Non.

Les poissons ? Non.

Vous avez entendu quelque chose que personne n'a jamais entendu ?

Tout le monde l'a entendu, mais lui donne l'explication.

C'est une page entière dans le Figaro aujourd'hui.

Une nouvelle piste pour expliquer le mystère,

le mystère du...

C'est un son animal ?

Ça pourrait être le jeu du Ding Ding que je vous propose,

puisque le titre exact de la page du Figaro,

c'est page science et c'est un gros titre.

Une nouvelle piste pour expliquer le mystère du...

Ah, c'est dû.

Et ça concerne le son ?

Ah oui, ça concerne le son,

puisqu'il est bioacousticien.

Monsieur Christian Herbst de l'université de Vienne.

C'est la scène.

Ça concerne le silence ?

Non, c'est peut-être la question la plus simple du jour.

Du mur du son ?

On l'entend tous, ça.

On l'entend tous, pas tous les jours, tout le temps,

mais le sirene.

Si ça peut vous aider.

J'ai rarement, moi, entendu ce son.

Il y a une explication à ça.

L'orgasme féminin.

J'ai entendu ta sœur.

Ça concerne les femmes ?

Ça concerne pas les femmes, non.

C'est un son produit par l'humain ?

Ce n'est pas un son produit par l'humain.

Animal ?

Animal, oui.

Les chiens ?

Les chiens, non.

Les chiens, les souris.

Le ronronnement.

Le ronronnement.

Le ronronnement du chat.

Une réponse de Michel Bernier.

Il y a quelqu'un qui s'intéresse au ronronnement du chat ?

Absolument.

Il se trouve que je suis allergique au chat.

J'ai jamais entendu un chat ronronné,

parce que dès que je l'ai sur mes genoux,

le chat me fait pleurer.

Je le fais très bien, si vous voulez.

Le ronronnement du chat.

Allez-y.

C'est le chien, ça.

C'est le chien, ça.

Là, c'est un chien, chat.

Ouh, on était vaudants.

Le mystère du ronronnement des chats.

Voilà ce sur quoi s'est penché

cet acousticien, bioacousticien

réputé, paraît-il,

de l'université de Vienne.

Personne n'avait vraiment jamais étudié

d'où venait le ronronnement du chat.

C'est le passage de l'air

dans le larynx du chat

qui provoque des vibrations typiques.

Et en aucun cas,

comme on a pu le penser parfois,

en aucun cas,

une contraction musculaire particulière.

Non, c'est l'air qui passe dans le larynx.

Comme un ronflement.

En plus, c'est souvent quand il est heureux.

Ah, c'est quand il est heureux.

Oui, parce que quand on ronfle,

c'est pas obligatoirement quand on est heureux.

Et surtout, la partenaire ou le partenaire.

On ronfle après avoir été heureux

éventuellement, mais pas pendant.

Si vous commencez à ronfler pendant que vous faites l'amour,

évidemment, c'est embêtant.

Alors que si vous ronrenez, ça peut être bien.

Ah, ça peut être pas mal.

Alors, il paraît que ça correspond

ce ronronnement à ce qu'on fait maintenant

aussi en musique, qui s'appelle

« Vous connaissez ça le vocale fry ? »

Par contre, Britney Spears

le fait dans une de ses chansons.

Ça, c'est un ronronnement.

Ah, oui, elle ronronne.

Elle chante dans la gorge.

Je me demande si je préfère pas les chats, finalement.

Ça ronronne souvent.

Il y a un chat ici, alors.

Moi, j'ai un chat à la maison.

Il s'appelle Tango. Il est mignon.

Il m'envoie chier toute la journée. C'est terrible.

Tango, c'est le nom du chat.

Il ressemble vraiment à Félix, le chat.

C'est vraiment un chat noir et blanc.

Et alors, le chat qui ronronne,

est-ce qu'il fait le ronronnement

que Madame Latso a tenté d'imiter il y a quelques secondes ?

Moi, je vous dis,

si mon chat fait ce brûlage,

je l'emmène chez le véto et je le pique.

En même temps que vos parents, donc.

Oui.

Tu vas passer un petit temps en prison ?

Ça va être terrible.

C'est une émission spéciale chat, après Félix.

C'est pas moi qui invente l'actualité.

Il se passe pas grand-chose en ce moment.

Non, on le sait.

Bien sûr.

C'est pas le chat d'Iran.

C'est le mystère du ronronnement des chats.

Je n'invente pas une page

dans le Figaro aujourd'hui,

signé Tristan Webb.

Il faut le dire intéressant.

Un peu d'éthologie ne fait pas de mal.

C'est un grand pas pour l'humanité,

mais il faut aller chercher le mystère de la connerie humaine.

Mais écoutez, en tout cas, voilà ce chat.

C'est intéressant parce qu'on ne sait pas

ce que ça veut dire, c'est le problème.

Moi, j'avais un chat chien, si vous voulez.

C'est quoi un chat chien ?

C'est-à-dire que je le promenais dans le bois de Boulogne.

Il est le mec Michel.

Vous allez le promener dans le bois de Boulogne,

si on laisse.

Oui, tu confonds.

Oui, tu as du confondre, Chantal.

Il ronronne Michel ?

Oui, il ronronne Michel.

Il y a des gens qui se promènent

dans l'est de leurs enfants.

Il y a des gens qui ressemblent à des animaux.

On a tous un parallèle avec un animal.

Michel est un chat.

Et vous-même, alors, vous êtes plutôt quoi ?

Plutôt chien.

Plutôt chien faux.

Il est chouette en même temps.

A une question sportive

pour Sandrine Drugeon.

Question qui nous permettra d'avoir le téléphone

dans un instant.

Madame Régine Roucourt,

qui est présidente d'un club,

un club de judo,

et la particularité de Madame Roucourt,

c'est qu'elle est toujours présidente

de son club de judo et qu'elle vient toujours

avec son kimono à 75 ans.

Mais d'abord,

j'aimerais que vous me disiez,

en vue des Jeux olympiques qui se passeront en 2024,

quelles sont les 5 pays

qui ont des chances

d'avoir le plus de médailles

au J.O. 2024 ?

Quelle est le top 5 mondial ?

Si, par exemple, on devait s'arrêter aujourd'hui

en faisant le calcul,

on va dire des classements

de tous les sports et tous les pays réunis

sur la base des résultats

dans toutes les disciplines olympiques

Les Chinois ?

Alors, USA,

il serait deuxième plus grand nombre de médailles.

Les Chinois en 1 ?

Le Japon ?

Le Japon en 4.

L'Australie ?

L'Australie n'est que 6e.

L'Allemagne ?

Alors l'Allemagne n'est que 9e.

La France ?

La France est 5e, c'est pas mal.

Effectivement, vous en avez 4 sur 5,

1, Chinois, 2, Américains.

Vous manquez le 3e.

4, Japonais, 5, Chinois.

En plus grand nombre de médailles possibles

pour l'année prochaine.

Les autres, c'est un européen ?

Russes, Suèdes,

Norvège.

La Bulgarie ?

Espagne ?

Portugal ?

Suisse-Belge ?

Vous n'aviez pas dit l'Angleterre,

c'est la Grande-Bretagne !

C'est d'ailleurs

ce qui m'a surpris le plus.

Je ne pensais pas que les Anglais étaient aussi forts

dans différentes disciplines,

puisque c'est eux qui, a priori,

pourraient obtenir le 3e rang

en nombre de médailles au J.O.

l'année prochaine, si on se base

sur les résultats actuels,

toutes disciplines confondues.

On sait que nous, on a évidemment beaucoup de chance

en cyclisme, éventuellement,

en excrime, en natation, en triathlon,

en voile, en équitation

et en judo.

C'est un peu coup de fil à Mme Roucourt.

Bonjour, Régine Roucourt.

Bonjour, j'ai l'enchanté d'être avec vous.

Nous aussi, on est enchanté.

75 ans, une vie entière

sur le tatami.

C'était le titre du parisien il y a quelques jours.

Ça fait 46 ans

que vous êtes présidente d'un club de judo.

Tout à fait.

Et en mars prochain,

ça fera 47 ans.

Et est-ce que vous pratiquez encore le judo

à 75 ans, Régine ?

Moi, je fais un peu de judo,

car vous savez, dans le judo, il y a le respect.

Et donc, fatalement,

quand je fais du judo

avec des partenaires,

il y a le respect et je sais que

je n'aurai jamais un accident.

Vous débalancez pas par-dessus votre épaule, tout de même ?

Ah, ça peut, hein ?

Ah oui, oui, oui.

Vous avez la forme, alors, encore, Régine ?

Ah, mais totalement, oui.

Puis en plus, moi, je fais encore

du taxo,

et du renforcement musculaire.

Jusqu'à quel âge, à peu près, on peut pratiquer le judo ?

À mon âge, notamment,

et après, on fait beaucoup

de travail au sol,

ce qui est très complexe, mais très intéressant.

Vous êtes à Cormay, en Parisie,

vous avez dû en voir passer des judo-cas

sur le tatami. Il y a beaucoup d'enfants

qu'on inscrit au judo et qui abandonnent.

Pourquoi ils abandonnent ?

Il y a beaucoup d'enfants qui abandonnent,

parce que, finalement,

peut-être que le ballon

est moins subtil, peut-être,

je sais pas,

mais qui reviennent ?

Qu'ils reviennent

et qui ont fait 3 ans de judo

et qui reviennent, ils sont papas,

ils reviennent avec leurs enfants.

Ah oui, ils veulent faire subir à leurs enfants

ce que leurs paroles refaisent subir.

Non, parce que eux, ils reviennent eux-mêmes.

Vous êtes saintur noir,

troisième dan, c'est ça, Régine ?

Oui, tout à fait, j'ai passé

mon troisième dan

à 56 ans. Vous savez que Brigitte Macron

est première dan.

Saintur noir

de chez Vuitton.

Super !

Régine,

quels ont été vos idols,

puisqu'ils ont vu passer pendant plusieurs décennies,

quels ont été les grands judo-cas

et les grandes judo-cat qui ont été vos idols,

puisqu'on parlait de nos chances de médaille.

Thédy Rineur, évidemment, qui a encore une chance

pour l'année prochaine.

Tout à fait, tout le monde compte sur lui.

Mais

je vais vous parler

plus du passé, Kathy Fleury,

qui a été

champion olympique.

Vous avez eu aussi

David Douyé.

Qui a fait du judo ici ? Moi, j'étais judo-cat.

C'est pas vrai. Chantal ?

Avant la Saint-Hiermaron, c'est dur.

La Saint-Hiermaron, c'est maintenant.

Non, mais

je n'aurai pas toi du monde.

Je n'ai pas du monde.

Vous avez été un niveau, la Saint-Hiermaron.

Il y a la Saint-Hierblanche,

Saint-Hier jaune,

Orange et marron.

Monsieur Jignon est...

Un vert.

Mais j'ai hâte de faire ça.

C'est un opérateur, Gérard.

Moi, je me suis arrêté à Saint-Hier jaune.

Vous aussi, la Saint-Hiermaron.

Vous aussi, l'effet du judo.

Quand j'ai vu qu'il fallait se prendre la douche

avec tous les copains,

moi, c'est ça qui m'attirait.

Ah oui, c'est marrant.

Et là, on a commencé l'escrime.

Régine, en tout cas, bravo pour cette lé.

Longéviter ce dévouement.

Parce que pour être présidente d'un club de judo,

il faut être très très dévoué.

Et on espère effectivement...

On espère qu'on aura d'autres médaïdors

au J.O. 2024.

On vous embrasse et on félicite Régine.

75 ans, toujours sur le tatami.

Je vous emmène dans les Yvelines.

Ce n'est pas très loin pour la question suivante.

Question à destination de M....

Monsieur Roland Saldier,

qui habite à Commine.

Dans le Nord, espère, Cheikh Ertel.

Tout est possible aujourd'hui.

Là, j'espère quand même...

Ce n'est pas dans les Yvelines.

Commine, non.

Ce n'est pas la question.

Si vous suivez ce que je dis, Charles.

Je vous dis que moi, je vous emmène dans les Yvelines

pour la question qui vient.

Il est associé à M. Saldier,

qui lui habite dans le Nord.

À Commine, pas dans les Yvelines.

D'accord, j'ai compris.

Qu'est-ce que vous avez compris ?

Cette question vient de...

Vous allez parler de quelque chose dans les Yvelines.

Il s'est passé dans les Yvelines.

Et c'est la question posée par M. Commine.

Elle n'est pas posée par lui.

Elle est associée.

Il est associé à la question.

Les gens n'en voient plus les questions depuis 40 ans.

Alors, par contre, vraie question.

Les auditeurs qui envoient les questions...

Non.

Je ne dis jamais ça.

Vous ne m'écoutez pas non plus.

Non, pas tant que ça, visiblement.

Elle sera associée.

Je dis une question pour, pas une question de.

Vous dites une question pour quelqu'un qui habite

dans le Nord.

Comment ça ? C'est pour lui ?

C'est qui cette personne ?

Je peux dire à ses parents d'arrêter d'envoyer les questions.

Vous faites rien et vous gagnez 3.

Je crois que j'ai ressortir déprimé.

Non, mais c'est ma deuxième émission.

J'apprends encore. Je ne le connais pas.

Je vais t'expliquer.

Explique-moi, Chantal.

Qu'écrivent des questions ?

Mais non !

Mais c'est ce que je croyais, Chantal.

Mais d'accord, c'est ça.

Les gens écrivent les questions.

Les auditeurs s'inscrivent

sur le citertel.fr

pour s'associer à une question.

Si on perd 300 euros, c'est pour vous, alors...

Moi, je ne comprends plus rien.

Qu'est-ce qui se passe ?

Moi, je m'inscrit sur le citertel.

Je dis bonjour, je suis Romain Dauduic.

On m'associe à une question comme ça.

Cette question est associée à Romain Dauduic

alors que tu ne m'aimes pas ou il a me d'affondi.

Tu prends 300 balles ?

Je m'associe à la question.

Et si jamais les grosses têtes ne trouvent pas,

j'ai 300 balles.

Je vais l'écouter.

Une question pour Romain Dauduic.

Pour monsieur Roland Saldier,

une question...

Moi, je ne comprends plus rien.

Mais il y a longtemps, il y avait longtemps.

Il n'y avait pas clair.

Non, pas du tout.

À chaque fois, je vous dis, c'est pour monsieur Saldier

de Comine que je pose cette question

et cette question nous emmène elle

dans les Yvelines.

On a un bon résumé de la chose.

Tout le monde a bien compris.

Dans les Yvelines, il y a un moulin

qui s'appelle le moulin de Villeneuve.

Et ma question, c'est à qui appartenait ce moulin ?

Non.

À qui appartenait ce moulin de Villeneuve ?

Balcani.

Non. Moulin célèbre.

Michel Legrand ?

Non. Moulin célèbre parce qu'il fait partie

des 200 maisons décrivains

qui existent en France,

maisons qu'on peut visiter.

Alphonse Daudet ?

Non. Gustave Lebert.

Du bureau. C'est un papier dans Marianne

publié aujourd'hui.

Du bureau de Victor Hugo jusqu'à la chambre

de pas moins de 200 maisons décrivains

qu'on peut visiter.

C'est parfois d'ailleurs compliqué pour les communes

d'entretenir ces lieux, évidemment,

dans lesquels les écrivains...

C'est pas la peine de sonner chez moi, je ne fais pas visiter.

C'est vrai ? À votre maison, Philippe Claudel,

on ne pourra pas la visiter un jour. Qui c'est ?

Ah dis-donc, tu pourrais faire un petit apéro quand même.

La maison de Balzac dans le 16e.

Non. C'est un ancien moulin.

Oh, c'est un moulin de Villeneuve.

Il y avait un écrivain et une écrivaine.

George Sorde. Ah, Colette.

Ils écrivaient à deux ?

Non, il y avait un couple dans ce moulin.

Paragon et Elzatriolet.

Paragon et Elzatriolet.

Bonne réponse de Philippe Claudel

et de Michel Bernier.

Eh oui, Louis Aragon et Elzatriolet

vivaient dans ce moulin

dans la seconde moitié du 20e siècle.

Et aujourd'hui, c'est un musée

qui s'appelle la maison Elzatriolet-Aragon.

Et c'est un moulin,

le moulin de Villeneuve,

ancien moulin.

Oui, il y a comme ça chez nous en France.

C'est fou, plus de 200 maisons d'écrivains

qu'on peut visiter.

Il fallait bien qu'il s'installe quelque part.

Colette a sa sommeur en puisée.

Moi, j'aimerais tellement visiter la maison de Michel Wellbeck.

Ça doit être trop sympa de ce genre le sol jonché de mégot.

Tu le tombes, tu te rattrapes tout de suite.

Ça doit être super.

J'ai des portraits de meufs à poil partout.

Non, il n'y a que moi qui rêve de ça, visiblement, d'accord ?

C'est-à-dire qu'il n'y a que toi

que ça fait rêver, Michel Wellbeck.

Des dolipranes partout, je ne sais pas.

Monsieur Junior, vous avez visité une maison d'écrivain, déjà ?

Non, j'habitais à côté

d'un atelier

de...

Ah, dis-donc, ça m'éloque.

Ça t'a marqué, en tout cas.

Tu lui dis pas qu'on s'en fout.

De Botheron.

Ah, Botheron.

J'habitais à côté, et j'avais toujours peur

qu'il y ait des grosses dames qui montent.

Une défense d'esquélier.

En tout cas, le moulin de Vinove était bien

le moulin d'Esa Trilolée de Louis Aragon.

Vous pouvez vous visiter

dans les Yvelines.

20 000 visiteurs par an, quand même.

Un anniversaire,

il a 40 ans aujourd'hui,

et il est toujours un exercice assez rare

pour un footballeur.

Je vous demande de retrouver le nom

de ce footballeur qui est toujours

sur les terrains à 40 ans.

Il est né le 18 octobre 1983.

Il est français ?

Alors il est brésilien, mais il joue en France.

Ah, il joue en France, dans une équipe

? Non, il joue à Nice.

Ah oui, je peux vous dire parce que c'est

de D1.

Il a Ligue 1 maintenant.

Oui, c'est la Ligue 1.

D1, c'est départemental, ça n'a aucun rapport.

C'est le brésilien de Nice.

Il a un nom brésilien ?

Il a un peu la chevelure, vous voyez,

de Monsieur Daudric.

Est-ce qu'il a un nom brésilien ?

Non, alors je vais vous aider un peu

parce que je vois bien que vous n'y connaissez rien

en football.

C'est le défenseur central

de loger ces Nice.

Ça nous aide de ça.

Il a 40 ans aujourd'hui et c'est très rare

de jouer à 40 ans

sur un terrain de football.

D'ailleurs, il y avait un papier

dans Nice matin aujourd'hui.

C'est logique, dans Nice matin,

le capitaine brésilien de Nice

dont il a défendu le maillot

à 255 reprises.

Faites aujourd'hui son 40e anniversaire,

une longévité exceptionnelle.

Il a 40 ans béni des dieux.

Je vais vous donner son nom,

mais indirectement, parce que son nom

c'est à vous de le retrouver.

Mais je peux vous dire que c'est aussi

un grand poète écrivain,

quelqu'un qu'on considère, on va dire,

peut-être comme le père de la langue italienne.

Ah, le père.

Dante.

Dante, bonne réponse.

Ah oui, Celica, inventer la cuisson des pattes.

Pardon ?

Celica, inventer la cuisson des pattes.

Franchement.

Heureusement, vous connaissiez Dante,

pour trouver le nom du footballeur.

Autrement, je crois qu'on distribuait encore

un chèque de 300 balles avec cette affaire-là.

Il y a des gens qui n'ont pas posé de questions, en fait.

Moi, ça me rend dingue.

Qu'est-ce qui vous rend dingue ?

Cette histoire que c'est pas les gens qui posent des questions,

ça fait de l'émission que je fais et que je me dis,

les gens posent des questions pointues quand même.

Ils ont des connaissances.

C'est altruiste, RTL.

L'auteur de la divine comédie,

qui joue encore à l'âge de 40 ans.

Vous venez de ronronner, Chantal.

Mais je ronronne.

Ça, c'est le brame.

Elle va bientôt bramer.

C'est la saison.

Ça, c'est un brame, c'est sûr.

Ah non, c'est pas pareil, le brame.

Le brame.

Le brame.

J'adore ça, moi.

Ils sont dans un état, c'est beau me mettre.

Avant, c'était Pierre Ménychou qui faisait les bruits des animaux.

Ah ouais.

Maintenant, c'est Chantal là-dessous.

Le cochon, le cochon qu'on égorge.

Le cochon aussi, alors, Chantal.

Là, c'est la vieille cochon.

Je veux faire la mouette, la mouette.

C'est pas une mouette, c'est pas du tout.

À aucun moment, c'est une mouette, ça.

Ça, c'est une mouette de nuit qu'on appelle une chouette.

Le loup.

Attendez, Chantal, recommencez.

Fais la bourde depuis combien de temps, Chantal ?

Une autre question littéraire pour Caroline Louvin.

Mame Louvin habite clairement.

Et cette question, normalement,

grâce à monsieur Claudel,

devrait trouver réponse.

En effet, je vais vous demander d'identifier

quelqu'un qui, à 42 ans,

a épousé une jeune femme de 24 ans

qui s'appelait Marie Soulange Dupérez.

Il l'a épousée en 1786.

Ça reconnue l'enfant qu'elle avait déjà.

Ils en ont fait ensemble, deux autres.

Contrairement à ce qu'on pourrait croire,

il restait fidèle à cette épouse

et a même été un père actuel.

Il a épousé et a même été un père

attentionné pour ses enfants.

Militaire de carrière,

il fut capitaine de bombardier,

mais de qui s'agit-il ?

C'est quoi, écrivain ?

Oui, écrivain.

La question est très longue, j'oublie le début.

Quel est l'écrivain ?

Un écrivain français.

Ce n'est pas beau marché.

Ce n'est pas le marquis de sade.

Monsieur Claudel, ici, il s'agit de trouver

ce qu'il sait pas.

C'est par rapport au fait qu'il était fidèle, c'est ça ?

La serre qui est effectivement...

Parce qu'il avait une réputation de...

On aurait pu imaginer qu'il avait multiplié

les aventures.

Chauderlot de la Claude.

Et c'est Chauderlot de la Claude.

Bon, la réponse de Philippe Claudel.

Je vous l'avais dit.

Dans Chauderlot, il y a Chaud, déjà.

L'auteur des liaisons dangereuses, évidemment.

C'est un chef-d'oeuvre.

Un des chef-d'oeuvres de la littérature française.

C'est son chef-d'oeuvre.

Il n'a pas écrit grand-chose d'autre.

C'est l'oeuvre la plus connue.

Il était militaire, militaire de officier de carrière.

Il a demandé un congé de 6 mois

pour écrire ce chef-d'oeuvre

qu'il a écrit à Paris.

Il a été promu, ensuite, capitaine commandant

des canoniers

au moment où il achevait son chef-d'oeuvre.

Il a confié son livre

à un éditeur qui s'appelait Durand Neveu.

L'ivre publié de façon anonyme

au départ, en 4 volumes.

Mais qui a tout de suite eu un succès immédiat

et fulgurant.

Le livre a été traduit en anglais

dès 1784.

Ça paraît dingue quand même.

C'est assez rare à cette époque-là.

Et effectivement, il a épousé

à 42 ans une jeune femme de 24 ans.

Mais il était réellement amoureux

de Marie-Soulange Dupéré.

C'était bien Chauderlot de la Claude.

Le prénom de Chauderlot de la Claude ?

Non.

C'est un prénom d'aujourd'hui ?

C'est tout simple. Et ça n'était pas la question.

Mais bravo, bravo M.Junior.

C'est Pierre Chauderlot de la Claude.

Bonne réponse collective.

RTL, c'est l'heure de l'invité du jour.

Notre invité du jour multiplie

les scènes parisiennes

puisque je vois dans son agenda

s'afficher l'Apollo Théâtre,

l'European,

Bobino, et ça va jusqu'au 26 décembre.

L'Olympia,

son nouveau spectacle s'appelle

L'Expérience de la Vie.

Mais là, ce soir, c'est notre invité du jour.

Je vous demande d'accueillir Anne Roumanoff.

Anne Roumanoff,

qui sera

le 26 décembre

à l'Olympia,

29 et 30 octobre

à l'European, en novembre,

à Bobino.

Et c'est cette semaine,

l'Apollo Théâtre.

Bienvenue, Anne Roumanoff,

qui s'installe, qui connaît tout le monde ici.

Chantal Latsou, y compris.

Chantal Latsou.

Elle connaît trop.

Vous vous connaissez depuis la classe.

On a même dormi dans le même lit.

C'est pas vrai. Avec Chantal Latsou.

En Angleterre, on était partis.

Pourquoi vous avez couché dans le même lit en Angleterre ?

Parce que je sais pas, on était copines.

On était partis en voyage.

J'ai une amie qui habite l'Ondres,

qui est une maison tout en hauteur,

souvent à Londres.

On était partis comme ça toutes les deux.

On était pas en comédie musicale.

C'est des théâtres, etc.

Et donc on a dormi dans une petite chambre en haut,

dans le grenier.

Il faut dire que moi, je me lève très tôt.

Je suis descendue depuis 9h, 10h.

Je n'ouvriers pas à Romanov descendre.

Et en fait, le chien,

roule à bras d'or, un peu comme le vôtre,

était devant la porte.

On n'avait pas les portables à l'époque.

Elle était coincée par le chien.

Elle avait très peur.

Il y a chaque fois qu'elle ouvrait la porte,

elle s'occupe.

L'expérience de la vie,

c'est résumé, c'est ce qu'on vient de raconter.

L'expérience de la vie.

C'est un spectacle.

Peut-être vous m'avez vu des expériences homosexuelles.

Non, pas du tout.

Il est peut-être temps.

Ah non, ça ne me dit pas.

Non, j'aime bien...

Enfin, bravo.

Ok, ça c'est une révélation.

En tout cas, un scoop pour RTL.

L'expérience de la vie,

quand maturité rime avec curiosité.

Il faut encore lire les dossiers de presse des artistes.

Parce que je dois dire

qu'à chaque fois, il y a un effort.

Il faut toujours trouver des choses à dire.

Je ne sais combien de spectacles, Anne.

Vous en êtes à combien de One Man Show ?

Je ne sais pas. Je fais des dérivés,

mais je ne sais pas 14-15.

14-15 One Man Show.

Dans ces cas-là, c'est joli de lire

le dossier de presse.

Je ne sais pas qui écrit.

Je pense que c'est moi-là.

Mais là, on ressort du spectacle

et le coeur joyeux.

C'est moi qui ai écrit ça.

Tu n'aurais jamais dû dire ça.

Ce n'est pas possible.

Tu aurais dû prendre des vacances.

On ressort du spectacle et le coeur joyeux,

car Anne Romanoff, et c'est la une de ses spécificités,

parvient à observer ses contemporains,

non pas pour les juger,

mais pour essayer de les comprendre.

C'est beau.

L'humour d'Anne Romanoff ne divise pas.

Il réunit !

C'est beau.

Est-ce qu'il y a des thèmes nouveaux,

quand même,

dans ce spectacle ?

Il paraît que vous parlez d'un réducteur de queue.

Non, mais je parle des nouveaux métiers

à la poste.

À la poste, la queue, la poste.

Ça n'a rien à voir avec la chirurgie esthétique.

Il doit s'envoyer à réduire la queue,

c'est de la grandir.

Mais oui, je parle de ce nouveau métier.

Il y a des gens à la poste

qui viennent dans la queue

et vous disent pourquoi vous êtes là.

Dans le but de réduire la durée de la queue.

Ah oui ?

Et alors, ça se passe comment ?

Je raconte que

le mec qui me fait sortir de la queue

m'amène à une machine

et il fallait que je tape l'étiquette moyenne,

donc je mets une demi-heure, je galère,

et je dis qu'est-ce que je fais ?

Il me dit, vous retournez dans la queue.

Ça, c'est bien d'observer.

Vous parlez des caisses automatiques

des supermarchés,

des livres de développement personnel,

ça vous en lisez beaucoup ?

J'en lis énormément, ça marche pas,

mais j'en lis et donc je fais une fille

qui a lu tous les livres et qui essaye toutes les méthodes.

Tu parles des voyantes aussi que tu rencontres ?

Non. Ah, tu devrais.

Parce que ça marche pas non plus.

Si, ça marche !

Quoi ?

Mais oui !

À chaque fois, il y en a une qui te dit un truc.

On m'a dit que je rencontrais le grand amour

là, cette année, il me reste deux mois.

Et tu n'avais pas dit la énergie ?

Non, il l'avait dit bientôt.

C'est ça dont tu devrais parler, Al, je te jure.

Un grand amour,

dans les deux mois.

Bonsoir.

Vous connaissez Romain Donny ?

On n'a pas dit un grand adet,

on a dit un homme, un vrai,

on n'a pas dit...

Super, ça fait plaisir.

Je vais retourner dans la caisse automatiquement.

Mais quand même, vous n'y mettez pas les cougares,

Monsieur Donnywick.

Moi, je suis ouvert à la vie, vous savez, Laurent.

Ah, de profitez-en, 25 ans.

Ah non, ça ne m'intéresse pas du tout.

J'aime bien l'homme.

Mais après, maintenant, on peut descendre...

Vous le prenez tellement mal, en fait, les gars,

j'aime bien vous.

Je vais aller voir un réducteur de queue,

ensuite, comme ça, on va gagner un peu d'espace.

Un réducteur de voix.

On ressort du spectacle, évidemment,

en ayant beaucoup rigue, comme à chaque spectacle,

d'un Romanov.

Il serait fait le choix de faire différentes salles,

un, puisque ça démarre là

d'un théâtre bobineau ensuite.

Non, l'Européen, même entre temps.

Bobineau en novembre, l'Olympia

en décembre, c'est amusant, comme ça, de faire

une sorte de tournée intramuros.

Oui, j'ai beaucoup de dates en province entre les deux.

Oui, ça, c'est pas beaucoup.

C'est que c'est assez...

Elle a des gants de boxe sur la fiche.

Elle est plus en rouge ? Ah non.

Les gants sont rouges.

Les gants sont rouges, c'est un rappel du passé, les gants de boxe.

C'est ça.

Mais la tournée, je ne peux pas donner toutes les dates

parce qu'il y a deux pages.

C'est-à-dire qu'avant,

c'était votre mari qui vous produisait.

Je me disais, c'est normal, il vaut se faire du pognon.

Mais maintenant...

C'est elle qui veut s'en faire.

C'est quoi, toute cette tournée ?

Mais c'est pas possible, vous n'agrêtez pas.

Oui, mais après je ne fais pas autre chose en dehors.

Ça n'a que ça à faire.

Ça vous regarde, tu l'as dit, boss ?

Tu t'autoproduis.

Il faut que je montre, le public ne va pas me croire.

Regardez, regardez.

Il y a deux pages différentes

de dates de tournée d'un Romanov

dans les semaines qui viennent.

Il faut dire qu'effectivement, elle est remplie.

Elle cartonne depuis combien de temps maintenant, Anne ?

J'ai commencé en 87.

Ça fait 37 ans.

On a rondi à 40.

Non, bah non.

T'as déjà fait des trentaines carrières, il n'y a pas longtemps.

On fait le chat.

Baron Rhône est ailleurs.

Moi aussi, je sais faire le chat.

Ah oui, vas-y.

Non, là franchement...

Ils sont aussi nuls toutes les deux.

Il n'y a pas que j'ai couché ensemble.

Quand il y a des vrais chats,

ils viennent vers moi.

Quand je fais le chat, toujours.

Tu as tiré les chats, on s'en brûle.

Oui.

Essaye d'attirer un homme, déjà.

Je suis ce que je peux.

Est-ce que vous allez voir Anne Romanov quand elle joue chantal ?

Bien sûr, je viens de voir Anne Romanov.

Non, ça fait au moins 20 ans que t'es pas venue.

Pas du tout.

Je viens de la voir.

Heureusement, Michel Drucker

vient vous voir régulièrement.

J'imagine Michel, parce que vous continuez à travailler avec Michel.

Bien sûr.

Bonjour, Anne.

Excusez-moi, je remets mon coeur à l'endroit.

Anne Romanov, formidable.

La seule artiste a sorti à mon canapé.

D'ailleurs, une fois vivement dimanche,

je me suis trompé, je me suis assis sur Anne.

À la classe, non seulement vous avez été avec

Chantal Latsou, Anne, mais aussi avec Jean-Marie Bigard.

Oui, salut Anne.

Ça va, ma paupiète ?

Tu te fais une journée copain d'avant ou quoi ?

On a fait nos premières télé ensemble

dans l'émission La classe.

Avec Chantal Latsou, on a pété ensemble

dans le même lit.

Bon, ça s'appelait La classe,

mais ça l'était pas toujours.

On patogé quand même dans le sexisme

et la misogénie.

Moi, j'ai revu un épisode,

même moi, j'étais choqué.

Alors, si un jour, pendant l'émission,

tu vois, j'ai dit un truc qui t'a blessé,

je m'excuse du plus profond de mon slip.

Bernard de la Villardière.

Je ne sais pas si vous regardez les émissions

sur M6 de Bernard de la Villardière,

mais le voici.

Bonsoir, bonsoir et bienvenue

dans Enquête non inclusive.

Nous allons plonger dans l'univers

impitoyable des femmes humoristes

où se mêlent paillettes et crotchpâtes

dans l'escalier de la gloire.

Je suis d'ailleurs en compagnie Dan Romanov

qui a décidé de témoigner sous couvert

de l'anonymat

pour dire tout ce qu'elle pense de Blanche Gardin,

Florence Oresti et Muriel Robin.

Alors, qu'est-ce que vous pensez de vos collègues ?

Votre préféré, c'est laquelle ?

Ah !

Non mais je les aime,

je les respecte.

Non mais vraiment parce que c'est difficile de faire ce métier.

Même j'ai du respect pour tous les gens

qui font rire en général.

Non mais vraiment parce qu'il faut le faire, il faut y aller.

Et enfin, je dis toujours qu'un chanteur

qui n'est pas en forme, ok, il a peut-être moins...

Mais nous, on a des rires, on n'a pas de rires en fait.

Donc non, je respecte.

Est-ce que vous diriez comme Muriel Robin

que si vous ne faites pas de cinéma, c'est parce que vous êtes homosexuel ?

Ah non.

Alors, non.

Elle est patauge maintenant.

Allez.

En plus, c'est pénétrable toi.

Je suis pénétrable mais je ne suis pas tellement pénétrée.

Non mais je pense qu'indépendamment

de l'homosexualité ou pas,

je pense que le cinéma a quand même un problème

avec les femmes de plus de 50 ans

qui ont une forte personnalité, c'est vrai.

Dans les téléfilmes, et d'ailleurs, Michel

on est la preuve, chaque fois qu'elle fait

un carton d'audience,

c'est Sylvain, elle fait des cartons d'audience,

donc les femmes de plus de 50 ans, elles font des cartons d'audience.

Eh moi, j'peux une la gueule !

Non mais ce que je veux dire, c'est que, voilà,

et au cinéma, c'est vrai...

Chantal, elle a eu une carrière tardive au cinéma.

Oui !

Que ça vienne.

Chantal, bug.

C'est vrai !

Avant, je ne veux pas dire adage.

Non mais moi, sérieusement, je trouve ça très bien

ce qu'a dit Muriel Robin, parce que

d'abord, c'est ce qu'elle ressent, donc à la raison de le dire,

elle l'exprimait avec force. Le cinéma français

a aussi quand même un problème avec l'homosexualité,

qu'elle soit féminine ou masculine, c'est une réalité.

Donc à un moment, c'est bien aussi

de dire ce genre de choses. À la télé, même si on se fout

de sa gueule, c'est pas grave, je trouve qu'elle a eu raison

de le dire, surtout qu'elle le ressent, et on doit dire

ce qu'on ressent.

Anne Roumanoff en tournée, ne ratez pas

sur nouveau spectacle, et à Paris aussi, elle tourne

même à Paris, vous voyez tellement elle aime les dates

de tournée, puisqu'elle fait 4 salles différentes

dans la capitale. Anne Roumanoff reste avec nous

pour la Valise-Hertel, dans quelques minutes.

Je ne vous présente pas le concept de la Valise.

En plus, votre chanceuse, c'est une toute nouvelle

Valise. Il y a seulement

2 euros dans la Valise.

Et un livre Jean Cocteau, Chambre avec vue,

publié aux éditions

des Saint-Père. C'est un magnifique ouvrage,

en hommage aux 60 ans de la disparition

de Jean Cocteau. Aux éditions

des Saint-Père, on a réédité

un livre comme une promenade

immersive dans l'univers personnel

et artistique

de Jean Cocteau. Voilà, le contenu

de la Valise. Donnez-moi un numéro

de 1 à 20, Anne. 5.

Le 5. Alors c'est vous, on vous laisse faire

ce que vous avez appelé Marie-Sirou.

Mame-Sirou, qui habite à

Franchiville, dans le Rhône.

Ça sonne déjà. Enfin, ça va sonner

chez Marie-Sirou, à Franchiville.

Vous vertez le nom, la ville.

Alors, on vous laisse faire.

Je ne sais pas ce que je dois faire.

Dire bonjour, vous

vous présentez...

Vous demandez

ce que vous êtes bien, Mame-Sirou.

Elle répond pas déjà.

Elle va décrocher.

C'est des vrais gens qu'on appelle.

Pardon ? C'est des vrais gens qu'on appelle.

Sois inscrits.

Ah bah elle est pas là, c'est malin Marie.

Tant pis, t'as perdu.

Un autre numéro, alors Anne.

7. Le 7.

Nicolas Robin, facile à retenir.

Nicolas Robin habite à Saint-Mandeuil,

dans le Val de Marne.

Donc là, vous avez bien compris, maintenant,

vous vous demandez, est-ce que vous êtes bien Nicolas Robin ?

Est-ce que vous habitez bien Saint-Mandeuil ?

Vous êtes bien le fils de Muriel Robin. Je me présente.

Je suis en Roumanoff, je suis au Grand-State,

et j'aimerais connaître le contenu de la Valise.

Oui, c'est tout bête.

Et ça sonne déjà.

Oui Nicolas ?

Vous êtes bien Nicolas Robin ?

Je comprends que ça marche pas avec les mecs,

parce qu'il a raccroché.

Non, il a raccroché.

Oui, il a raccroché.

Et Mandeuil aille se faire foutre.

Sire, il est pas capable d'apprécier

une voix sensuelle.

Franchement.

Il a cru que c'était les flics.

Il a raccroché pas Nicolas.

Il a raccroché pas Nicolas.

Vous êtes bien Nicolas Robin ?

Oui.

Oui, c'est en Roumanoff à l'appareil.

Ah, bonjour, en Roumanoff.

On change de ton !

C'est Jean-Squire.

Pourquoi vous avez raccroché ?

Pourquoi vous avez raccroché ?

Parce que je crois que c'est encore un démarchage téléphonique.

Mais je sais que j'ai une voix de démarchage, Nicolas.

Vous avez une voix de démarcheuse.

Bon bah, profitons-en,

est-ce que vous avez un problème avec vos fenêtres ?

Non, pas du tout.

Vous avez quel âge, Nicolas ?

J'ai 30 cents.

Ah ouais, non, ça va pas du tout.

Alors, on va passer direct,

là, je suis sur Artel, d'accord ?

Là, je me suis douté.

Et donc, il faut savoir,

qu'est-ce qu'il y a dans la valise ?

Ah, je sais que...

Ah non, pas plus d'aisons !

Je crois, je crois.

Et bougez pas, j'ai vérifié un truc.

Ah ouais, vous le marquez sur un papier, quoi.

Il est malin, Nicolas.

Et qu'est-ce que vous faites chez vous,

parce que vous travaillez pas ?

En fait, je suis au Maroc, je suis en département professionnel.

Ah, d'accord, je vois Jean.

Mille-deux !

Et on n'a pas eu aucune chance avec lui.

Oui, j'ai bien vu.

Jean-Cocteau, c'est pas vrai.

Et le livre de Dominique Marie,

Jean-Cocteau, l'édition des Saint-Pères.

Bah, vous avez gagné la valise vertelle !

Bravo !

Bravo Nicolas !

Après, il n'y a pas grand-chose dedans.

C'est Caroline Dublanche, qui a ajouté le livre

Jean-Cocteau, l'édition des Saint-Pères,

plus 1000 euros.

Écoutez, on n'avait pas gagné la valise pendant 15 jours.

Là, on la gagne deux jours dessus.

Je suis hyper déçu.

Oui, parce qu'il y avait encore beaucoup de choses dans la valise.

C'est pas comme métier, Nicolas.

Je suis responsable du service consommateur

pour un opérateur téléphonique.

Ah, très bien.

Est-ce que l'orange peut abuser ?

Parce que comme il n'y a pas grand-chose dans la valise,

j'aurais bien aimé avoir la dernière BD

du chat,

de Philippe Goli, qui était cassé.

C'est compliqué de vous dire oui, parce qu'il n'est pas là.

Je peux pas répondre à ça plein.

Écoutez, on va lui demander à Philippe.

C'est sûr qu'il la donnerait.

Je pense qu'il va le faire.

Je ne vous le garantis pas,

mais je pense qu'il va le faire.

Je ne sais pas.

Je peux vous dessiner un champ, s'il vous plaît.

Ça va, Nicolas ?

Il n'a pas peur, le chat.

Heureusement, il est bientôt 18h.

Nicolas aurait préféré qu'on lui vende des fenêtres.

Je pense.

Écoutez, il gagne quand même 1000 euros.

C'est vous qui choisissez

le nouveau montant de la valise RTL.

Et bien, ce sera 1007 euros.

1007 euros.

Attention d'ici à demain.

J'imagine que quelqu'un sur notre antenne,

comme Caroline Dublanche la fait hier,

quelqu'un ajoutera quelque chose.

D'autres dans la valise en plus des mi...

Ah bah, c'est ce que je pourrais faire.

Je pourrais mettre des places pour Anne Romanoff

à l'Olympia dans la valise RTL.

Vous pourrez mettre deux places à l'Olympia.

Deux places à l'Olympia pour Anne Romanoff en décembre.

Bon, en tout cas, Nicolas,

vous avez gagné la valise RTL.

Dans un instant, vous recrouvez Julien Sénier

avec Marc-François Milbré.

Bonsoir Julien. A demain.

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Avec Roman Doduik, Philippe Claudel, Chantal Ladesou, Elie Semoun, Michèle Bernier et Gérard Jugnot.















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