Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du mercredi 13 septembre 2023

RTL RTL 9/13/23 - Episode Page - 1h 46m - PDF Transcript

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d'un coup. Parce que le botulisme, on apprend à trapper ça avec la, j'avais entendu ça, avec la

peinture au plomb. Ah non, non, non, ça c'est du Saturnisme. Donc on attrape le botulisme avec. Les sardines,

le boudin et la peinture. Ce qui s'appelle avoir perdu une gazonne, c'était... Non, le botulisme,

ça vient bien du mot boudin parce que le premier aliments est effectivement qu'à intoxiquer quelqu'un,

c'était un boudin. Mais pour une raison très simple, c'est que c'est les intestins du port qu'on

comprenait pour faire le boudin. Donc il y avait des bactéries dedans. Si on n'étoilait pas bien l'intestin avant

d'y remettre le sang pour faire le boudin, on envoyait des boudins empoisonnés. On envoyait les intestins des sardines.

Pardon ? On étoie les intestins des sardines, c'est un peu... C'est pas moi qui fais l'actualité.

Oui, mais on n'a toujours pas compris. On attrapait une maladie de boudin en mangeant des sardines. On aimerait bien.

On veut bien passer pour des cons et ne pas répondre aux questions. On voudrait comprendre.

Je n'étais même pas qu'il y avait des sardines à l'intestin.

Donc ça donne des bubons.

Oui, c'est ça. On va passer à la question suivante.

Est-ce que tout le monde peut mourir ? Ça peut tous nous arriver où il faut ?

Oui, puisque tu peux l'attraper en mangeant des sardines en peignant ou en mangeant du boudin.

Ça peut arriver à tout le monde.

Il faut faire attention alors.

Écoutez, c'est assez tragique pour qu'on n'en plaisante pas, mais il y a plusieurs cas suspects d'intoxication.

La toxine botulique.

C'est ce qu'on met dans la peau pour les femmes qui veulent se faire plus jeune, non ?

C'est pas le boudin ? Non, c'est du botox, ça.

Non.

On comprend mieux.

Ça va ?

Parce qu'on a franchement mis du boudin dans le front.

Bon, alors il y a un concurrent qui arrive dans les seuls de cinéma aujourd'hui.

Désolé à chère Ariel.

Oui.

Il n'y a pas que votre film.

Mais là, ce concurrent-là, il est plutôt pour les enfants.

C'est un personnage né dans les années 1950.

Ah, Ben Laden.

Non.

Un personnage qu'on doit Olga Pushin.

Voilà.

Et c'est vrai que sort pour ceux vraiment qui sont tout petits,

on nous dit que c'est pour les enfants de plus de trois ans.

Vous voyez vraiment, c'est l'occasion d'emmener les enfants au cinéma.

C'est-à-dire que les adultes vont voir le film de Ariel Dourbal.

Voilà.

Et les tout petits, vous les mettez dans la salle d'un côté pour aller voir.

D'accord.

Alors, est-ce qu'il s'agit d'un petit animal ?

Alors un petit animal, oui.

Je suis obligé de vous répondre, oui.

C'est un petit animal.

Oui, oui.

C'est pas le petit chien, là ?

Non.

Nemo.

Nemo.

Oui.

Un truc comme ça.

Ah, c'est pas une sardine ou un boudin ?

C'est un animal qui existe.

Là, c'est une fiction, évidemment.

C'est un petit personnage.

Oui.

Mais il représente un animal, bien sûr.

D'accord.

Donc ça...

Une licorne.

Ah non, non, non.

C'est un animal de bestie.

Non, c'est son nom que je vous demande à ce personnage.

Mais c'est chez nous, en France, en tout cas,

que ce petit personnage a connu le succès au début des années 60.

Ah, Sarkozy ?

Alors, est-ce que...

Au début des années 60.

Alors, oui.

Mais c'est pas Sarkozy, mon personnage...

C'est un chat ?

Un chat, non.

Je vais vous raconter son histoire.

Oui.

Je vais vous aider.

Mettez votre pouce dans la bouche.

Écoutez-moi, comme si...

Je venais vous border le soir.

Oh, quelle rêve !

Il a pas mal qu'ils l'ont fait pour entre grosses pertes, hein.

Il y en a qui t'aide encore, d'ailleurs, hein.

Alors voilà, il pense qu'il a s'amuser.

Il croit à savoir chanter.

Mais dès qu'il ouvre la bouche, c'est une catastrophe.

Ah, Viannaise !

Ah, Henri-Eldon Ballotte.

Il croit à savoir chanter.

Mais dès qu'il ouvre la bouche, c'est une catastrophe.

Collar Gole.

Collar Gole !

Ah oui, c'est Viannaise !

La réponse, il chante en sol.

Et oui, Collar Gole !

Le petit tourson qui chante en fa, en sol.

C'est vieux, c'est vieux, ça.

C'est Mireille, effectivement, qui a chanté,

enfin, écrit cette chanson,

les aventures de l'ours...

C'est qu'est-ce que Mireille Mathieu, à la base ?

L'ours Collar Gole.

Et c'est vrai que ça date des années 50.

Après, ça a été adapté, évidemment,

dans les années 60 pour la télévision.

Collar Gole, le petit tourson qui ne pense qu'à chanter,

mais il chante mal.

Alors, ce sont ses amis, les oiseaux,

qui vont le conduire chez le roi des oiseaux,

et qui vont lui donner un sifflé,

et qui vont faire de Collar Gole

un ourson-chanteur.

Qu'est-ce que c'est Viannaise ?

C'est pour ça que les enfants sont...

Ah non, c'est génial !

Tous les enfants sont complètement débile.

C'est formidable !

Moi, ça a bercé tout à l'heure.

Ah oui, mais on a vu le résultat.

Il y en a eu des vrais ours-chanteurs,

des mises rousseaux, par exemple.

Un jour, j'ai eu une chambre d'hôtel.

Après lui, il y avait plein de poils noirs partout.

Comment vous pouvez savoir

que vous aviez la chambre de les mises rousseaux ?

On me l'a dit.

Ils n'avaient pas nettoyé la chambre entre...

Non, il y avait des choses, des poils noirs,

donc voilà, j'en ai gardé deux ou trois.

Vous comptez publier vos mémoires.

C'est passionnant.

Je suis content de me voir quand je vais en preuve-bas,

s'entourner, je pars le 1er octobre, au 31 décembre,

avec 1983, dans toute la France.

Eh bien...

Si on avait compris, ça aurait été une bonne pub.

Déjà !

J'ai sens d'autant.

Ftl...

Je réponds aux auditeurs.

Jean-Philippe est au téléphone.

Il nous appelle depuis l'Irlande.

C'est ça Jean-Philippe, bonjour.

Oui, bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes,

et bonjour le public.

Ah ben les publics, bonjour.

Il est tout en Irlande.

Tu es dans la campagne perdue au milieu de Nupar.

À une heure de Dublain.

À une heure de Dublain.

Ah ben restez-y, qu'est-ce que tu nous choules ?

On peut écouter les grosses têtes partout dans le monde, maintenant.

Et évidemment, on envoie ces commentaires

sur notre site internet.

Les grosses têtes à Robase rtl.fr, c'est ce que vous avez fait.

Et qu'est-ce que vous vouliez nous dire ?

Alors Jean-Philippe.

Et écoutez Laurent, je vous écoute depuis très longtemps.

Depuis que je suis arrivé en Irlande,

en fait je vous ai découvert en ce moment de trajet

France-Irlande.

Oui.

Et j'ai le souvenir que vous racontez

cette blague de la sanglia à peu près

deux, trois fois par an.

J'aimerais partager votre fourrière.

Pas deux, trois fois par an.

Une fois par an.

Et à chaque fois je répète, je rappelle

que effectivement je l'ai déjà raconté.

Je ne le fais pas par mission.

Vous voyez ce que je veux dire ?

Je me souviens que je l'ai déjà raconté tout de même.

Mais on me l'a réclame à chaque fois.

Et là, le fait d'en parler,

ça va être terrible.

C'est que la fois que je la raconte

pour ceux qui ne la connaissent pas, vous voyez.

Moi je la connais pas.

Bah oui, moi non plus.

Qu'est-ce que vous dites ?

Je veux la comprendre pour partager votre fourrière.

Mais je la comprends pas.

Je sais pas, la suite, ça tombe là.

Ah bah si tu comprends pas, elle est là.

Elle est très compréhensible aussi, comme moi.

Elle est très compréhensible.

Mais pourtant, elle est très compréhensible, cette histoire.

Récontez-la, racontez-la.

Après, on va encore dire que je la raconte.

La sangria, la sangria.

On l'a jamais fait, moi j'ai jamais entendu.

C'est une histoire de Roger Pierre.

C'est Roger Pierre quand il faisait partie des grosses têtes

qu'il a raconté régulièrement.

Et voilà pourquoi je me suis mis à la raconter.

Moi aussi dans cette émission,

c'est comme un grand classique, vous voyez.

Et c'est un type qui est dans un cocktail.

Non mais je l'ai raconté la semaine dernière.

Ah non, non, non.

Dites-la maintenant.

Allez, c'est ça.

C'est un type dans un cocktail.

Il y a une sangria.

Et puis lui, il a un oeil de verre.

Il a une chance au moment où il vient servir la sangria.

Son oeil de verre tombe dans la sangria.

Et tout le monde continue à servir.

Il a brécié de le repérer.

Il ne le retrouve pas.

Et pendant ce temps-là,

les gens continuent à boire la sangria.

Et parmi les gens invités ce soir-là,

il y a quelqu'un qui, le lendemain,

n'ont pas souffre de botulisme.

Mais sans comme un truc qui remonte

et qui redescend dans son ventre.

Ça monte, ça redescend, ça redescend.

Alors il va y avoir un médecin évidemment.

Il va voir le médecin et il dit,

« Ecoutez, docteur, je ne comprends pas.

J'ai un truc dans le ventre,

qui monte, qui monte,

puis qui t'entends, tends, redescend, redescend.

Qui monte, qui monte.

Alors le docteur dit, « Ecoutez, ouvrez grand la bouche.

Un, docteur, je ne vois rien.

Je ne vois rien.

Aména, ça descend, ça descend, ça descend.

Et là évidemment,

il lui demande d'écarter les fesses.

L'autre regarde.

Et le type lui dit,

« Oui, ça descend, ça descend, ça descend, ça descend.

» Et le docteur fait,

« Ah, on n'a pas confiance.

»

Je n'ai pas compris.

Vous savez, Laurent,

Laurent, j'ai compris.

C'est pas seul.

En bas.

Mais pourquoi ?

Parce que le médecin,

il voit un œil arriver.

Donc c'est que...

Je crois qu'il y a quelques années,

je la racontais mieux.

J'ai dû me lasser moi-même.

Je crois, Laurent,

que vous avez omis au fur et à mesure du temps,

de dire que le médecin voit un œil arriver.

Oui.

Oui, mais j'essaie d'être plus rapide.

Comme c'est pas fréquent

de voir un œil sortir d'un cul,

c'est vrai que je pense

que les gens ne font pas forcément le lien tout de suite.

Mais c'est une blague visuelle, finalement.

Peut-être, peut-être.

Et à la radio, ça marche parfaitement.

Peut-être, peut-être en le mimant.

Jean-Philippe, j'espère que vous allez quand même

continuer, malgré cette blague,

dont on n'en peut plus de cette blague.

Mais moi, j'en peux plus.

J'espère que vous allez continuer

à nous écouter sur rtl.fr.

Dominique, maintenant.

Alors Dominique, son chouchou.

Heureusement.

Ouf, ça me fait du bien.

C'est Jérémy Ferrari.

Bonjour Dominique.

Bonjour Laurent.

Bonjour les grosses têtes.

Et bon sur le public.

Bonjour Dominique.

Qu'est-ce que vous appréciez,

chez Monsieur Ferrari, précisément?

J'ai eu la chance de le rencontrer

dans les loges.

Merci Dominique.

Non, non, non.

Tout le monde est au courant.

Vous avez avancé.

Tout va bien.

Et là, il vous a dit,

alors on n'a pas confiance.

Non, mais j'ai rencontré quelqu'un

très humain et bienveillant

avec son équipe.

Un peu contraire de ce qu'il est

sur celle, en fait.

Mais oui.

C'était un compliment.

J'ai du mal à...

Bah écoutez, Dominique, ce témoignage

montre qu'effectivement,

on ne se trompe pas

sur notre camarade Jérémy Ferrari.

Contrairement à Katira,

qui nous a écrit mais qui ne veut pas

être au téléphone.

Julie, Sébastien,

le mail de Katira, c'est

« Tohaine, ferme ta grande gueule ».

Bon bah écoutez.

Elle a bien résumé

l'affoncée collective.

Parce que beaucoup d'auditeurs

se sont plats.

L'autre jour, j'ai passé

que des gens qui vous admiraient.

On m'a dit, c'est trop, c'est trop.

Là, maintenant, il faut passer

aussi des messages négatifs.

Mais pourquoi je ne veux pas parler?

Bah parce que, vous savez,

elle n'avait pas envie

d'être confrontée.

Un mail, c'est courageux.

Ah bah oui, oui, oui.

Tu fais peur aux gens.

Tu fais peur aux gens, Sébastien.

C'est vrai.

Rien de plus à ajouter, Dominique.

Non, continuez comme ça.

Moi, je ne vois que le positif.

C'est bien.

Éric, maintenant,

il est au téléphone.

Il est ambulancier.

Bonjour, Éric.

Bonjour, Laurent.

Bonjour, les gros pépres.

Bonjour, madame.

Alors, vous rigolez tout seul

pendant les trajets.

Faites pas de tomber

le branquard, j'espère, quand même.

Non, c'est l'heure que je conduis,

mais vous conduisez bien malgré

les grosses têtes

sur votre radio, alors.

J'essaie de faire mon mieux

et les panne...

Si on ne s'en craint, il n'y a pas.

Et Tohaine, vous fait rire.

Je vois que vous dites

c'est un homerdeur de haut niveau.

C'est bien ça.

Exactement.

Je me trouve vous fontif,

corrosif.

Et c'est ce qui me plaît.

Vous êtes dans l'ambulance,

là, en ce moment.

Oui, je suis dans l'ambulance.

On est sur le retour, là,

avec mon collecte.

Là, il y a un mourant

qui est en train de vous entendre

vous marrer au téléphone.

Alors, rien.

C'est tout seul.

On est tout seul actuellement.

Vous voulez pas mettre

un coup de frein qu'on rigole ?

On n'a pas des clients

tous les jours.

Il y a des tensions dures.

On vous remercie, Eric, en tout cas.

Et on passe à Christian,

maintenant.

Bonjour Christian.

Bonjour Laurent.

Ah !

Bonjour Auguste.

Ah ben Christian.

Bonjour Christian.

Christian adore l'émission,

mais quand même,

il a un petit reproche

à faire, je crois,

sur les best-ofs.

C'est bien ça ?

C'est les best-ofs,

les meilleurs moments.

Il y a toujours Pierre Benichoux.

C'est pas que j'ai quelque chose

contre Pierre Benichoux,

mais Pierre Benichoux,

il nous a coûtés il y a

il y a 3 ans.

Il nous a coûtés,

qu'est-ce qu'il nous a coûtés ?

Il nous a coûtés.

Ça, il nous a coûtés.

J'aimerais mieux

écouter l'émission de la veille

ou les émissions

qui viennent de passer

cette semaine

ou la semaine dernière,

par exemple,

que des vieux trucs

avec Pierre Benichoux.

Mais c'est insultant,

c'est insultant

pour les grosses têtes

qui sont dans la suite d'accord.

C'est correct.

C'est correct.

Vous avez trouvé des gens exceptionnels

comme moi, comme Tohaine, etc.

de cette voie.

C'est des gens-là

dans les bestes têtes.

Mais dans 10 ans,

c'est vous qu'on écoutera.

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Son genre, la princesse Chantal Lecceau,

Christophe Barbier, là aussi, Jérémy Ferrari, Olivier Bellamy et Sébastien Toès.

Une question qui concerne un train dont on nous parle beaucoup dans Libération et dans le Figaro.

Aujourd'hui, un train qui est parti dimanche après-midi et qui est arrivé seulement mardi.

Le train de la Corée du Nord de Kim Jong-un, oui, le train blindé.

Le train blindé, ce n'est pas un train de la SNCF comme on pourrait croire.

Mais non, c'est le train blindé de Kim Jong-un.

Bonne réponse, Ludio Ferrari Barbier.

1200 km, il a fait.

Pourquoi il prend le train 1200 km de train ?

Parce qu'il a peur parce que c'est un écologiste.

Vous avez vu ce qui est arrivé à Prigogine, quand vous prenez l'avion, vous allez voir Poutine,

vous n'êtes pas sûr d'arriver à Terre.

Il commence le train blindé parce que partir le dimanche soir et arriver le mardi,

il y a des distractions à bord.

Il y a un terrain de golf dans le mardi.

Il est fan de karaoke, c'est-à-dire où il n'y a pas n'y a de style, c'est le même.

C'est vrai qu'il a exactement l'air.

C'est vrai qu'il a exactement l'air.

C'est la même, mais je pense que c'est lui moi.

Qu'est-ce qu'il va dire Poutine et Kim Jong-un ?

Ah bah Kim Jong-un va lui dire « j'ai des obus et des munitions pour toi »

et Poutine va lui dire « j'ai des missiles sur lesquels tu pourras mettre des charges

nucléaires et des… »

Ah c'est comme une sorte de braderie, de troc.

Exactement, c'est un troc.

C'est ça de bar.

Mais c'est pas pote avant déjà ?

De belles personnes comme ça qui discutent.

Ça a commencé il y a longtemps puisque le 24 septembre 1949,

Stalin a dit à l'ambassadeur soviétique à Pyongyang, au Corée du Nord,

dit au Coréen du Nord de surtout pas attaquer la Corée du Sud.

Et après ils ont attaqué la Corée du Sud.

Il y a un très bon dessin dans le Parisien ce matin.

Il y a Poutine qui dit, au président qui dit « dans quelque temps, on va dénasifier la Corée du Sud ».

Le dessin est plus drôle que la façon…

Et il y en a un qui dit à l'autre « t'as pas confiance ».

En fait, il n'y a plus que la chute qui marche de cette bain.

Bon, en tout cas, j'ai une autre question littéraire,

cette fois pour Régine Pache qui habite Courbevois dans les Hauts-de-Seine,

question qui concerne un livre de mémoire, des mémoires qui s'intitulaient

« Mais souvenirs d'enfants paresseux » qui a écrit…

Sacha Guitri, non ?

Sacha Guitri, non.

C'est quelqu'un qui est encore vivant ?

Non, ce n'est pas quelqu'un de vivant.

Ah, Titoff ?

Titoff, non.

« Mais souvenirs d'enfants paresseux »

C'est quelqu'un de travailleur.

Alors un Français, oui, absolument.

C'est un artiste ?

Alors oui, un artiste, bien sûr.

Un politique aussi ?

Un politique, non.

C'est celui qui a écrit Poil de Carotte.

Ah, Gilles Renard, non.

Humoriste, non.

Humoriste, non.

C'était évidemment ironique qu'il n'était pas paresseux.

Comédien ?

Comédien ?

Comédien, non, non, non.

C'était ironique qu'il n'était pas paresseux quand il dit ça ?

Ouais, il est rêveur.

Je n'aimais pas ce pourquoi on le connaît au départ.

Et puis finalement, il y a pris goût.

La musique, peut-être.

La musique, absolument.

C'est Ravel ?

Et c'est Maurice Ravel, la bonne réponse.

Excellente réponse de Christophe Barnier.

Je vous en parle parce qu'il y a un album qui sort.

Peut-être que M. Bellamy saura me dire si ça vaut le coup de l'acheter.

Un piano solo.

Maurice Ravel joué par Philippe Bianconi.

C'est un bon pianiste.

Excellent.

C'est l'intégrale.

C'est ma merde.

Les oeuvres de Maurice Ravel.

Non, mais en deux CD.

Parce que, comme ils étaient tellement perfectionnistes, chaque note...

Parce qu'il était CD.

Voilà.

Et c'est un très bon pianiste.

C'est un très bon pianiste.

Philippe Bianconi.

Est-ce que vous êtes capable de nous faire le bolero de Ravel, chantal ?

Non.

C'est Mozart.

C'est Mozart.

Elle avait une chanson d'un.

Oui, oui.

C'est pas sa dute.

Non, non.

C'est beau.

C'est beau quand tu fais les coeurs fontales.

Mais est-ce que quand un pianiste reprend comme ça des grandes oeuvres du classique,

est-ce qu'il apporte quelque chose en plus qu'un autre pianiste ?

C'est compliqué de dire, un mauvais pianiste, un bon pianiste,

ils ne font pas de fausse note.

J'imagine si l'on ne le propose pas d'enregistrer un album.

Donc, qu'est-ce qui fait la différence ?

Ce qui est absolument fascinant, c'est que le langage médical,

ce sont des notes noires sur une feuille blanche

et que chaque interprète apporte quelque chose.

Comme disait Karayan, l'essentiel, c'est ce qu'il y a entre les notes.

Pourtant, ce sont les mêmes notes, les mêmes indications.

Et vous prenez 10 interprétations différentes.

Vous aurez peut-être 10 oeuvres différentes.

C'est ça qui est extraordinaire.

Il doit quand même respecter, j'imagine, le rythme, la mélodie, etc.

Oui, mais on peut...

Vous êtes gage radio-classique, on va passer...

Non !

C'est moi, je trouve ça toujours intéressant.

On parlait en café, on s'en branle !

Il t'a dit que c'était bon, le ptélisme, il a senti un CD, bien sûr qu'il est bon !

C'est pas une chose.

Mais il faut que l'un qui écoute du piano en CD,

Un Chopin, quand il a tout essayé de Chopin, il en a vendu.

Et il y a le boléro sur les deux CDs ou pas, alors ?

Non, c'est à l'orchestre.

Le concert tout pour la main gauche, c'est Ravel ?

Non, c'est Jamel de Bouze.

Il faut bien des blagues aussi, merde !

Il nous balance le truc !

Le catalogue de Vogue Tonde, machin !

C'est ça, les grosses têtes, la culture et l'humour.

Aujourd'hui, je suis là !

Une question pour Géraldine Maurice, qui habite Saint-Cyr sur Menton.

C'est dans l'un, Saint-Cyr sur Menton.

Et ça, où sont les Bogdanoff ?

Oui, bien sûr.

Et ma question...

Elle est moins bien, mais dans le rythme, elle est bien.

C'est là, elle est vieille.

Elle est nulle, mais quand il s'est bien sorti...

C'est le boléro de Mozart, chanteur.

Elle était bien, l'ami.

Audrey, genre...

Audrey Bellamy, oui.

Audrey Bellamy.

Tu as chanté...

Il m'a invité dans ton émission.

Bellamy l'a dit à tous les gens qui l'a croisé ici.

Tu te souviens quand je t'ai invité dans mon émission ?

Une sur deux, c'était pas vrai.

C'est vrai, j'avais même...

Qu'est-ce que vous avez chanté, alors ?

J'avais chanté l'enfant et les sortilèges.

Allez-y.

De Ravel, non ?

Oui.

Vas-y.

Attends, comment c'était ?

Sur un texte de collette.

Sur un texte de collette.

Oh, ça doit être bien.

Mais ça, c'est vrai.

Il y a des gens qui étaient très méchants et qui cassaient les objets.

Voilà.

Et les objets se rebellaient contre lui.

Ah, j'ai bien.

L'armant, l'armant, on est tous...

Tu es méchant, tu es méchant.

Et où est-ce qu'on peut réécouter cette formidable émission ?

C'est sorti en CD ?

Et c'est très beau pour les enfants.

Tes podcasts doivent cartonner, non ?

Est-ce que tu te souviens ?

T'as l'air complètement à gare.

Est-ce que tu te souviens de moi ?

Je suis pas sûr qu'on va donner envie aujourd'hui

d'écouter de la musique classique.

Non, mais à vrai que c'est tout le sel des grosses têtes,

Monsieur Bellamy.

Et donc ce pianiste, comment il s'appelle déjà ?

Philippe Bianconi.

Alors c'est un grand pianiste.

Ah, on repart en arrière, d'accord.

On recommence les...

Et donc ça se passe dans un cocktail.

Bon, Géraldine Maurice camille.

Donc ça signe sur menton.

Elle n'a pas bougé depuis tout à l'heure

puisque je n'ai pas encore posé la question.

Géraldine Maurice Ravel, on revient en arrière.

Non, non, non.

Ma Maurice Esperanchek RTL.

Si jamais vous ne trouvez pas qui faisait la une

du New York Times le 6 août 1975

puisqu'on annonçait sa mort ce jour-là.

Elvis.

Non.

Une écrologie de 1098 mots.

Est-ce que c'est un politique ?

Un politique, non.

Un écrivain ?

Une femme, non un homme.

Un écrivain ?

Un écrivain, non.

Un acteur.

Un acteur, non.

Un danseur.

Un danseur, non plus.

Un président.

Un président, non.

Un sportif.

Un sportif, non.

Est-ce qu'il était américain déjà ?

Non, il n'était pas là.

Laurent, est-ce que c'est une idée

qui est morte ce jour-là ?

Non, non, non.

Un français, non.

Alors, français, non, non.

Belge.

Belge, oui, absolument.

RG.

RG, non, non.

Jacques Brel.

Jacques Brel, non.

Magrille Poirot.

Pardon.

Hercule Poirot.

Hercule Poirot, oui.

Excellent, réponse.

De Christophe Barbier, il est fort, ce Barbier.

Et oui, curieusement,

le New York Times s'amusait ce jour-là

le 6 août 1975,

à annoncer le décès d'un personnage de fiction

puisque Agatha Christie avait décidé de tuer

Hercule Poirot dans son dernier roman.

Poirot quitte la scène.

Et voilà, Poirot quitte la scène, exactement.

Et je sais pourquoi vous en parlez.

Parce qu'il y a un film qui sort.

Ah non, mais on ne va pas parler

des autres films qui sortent aujourd'hui.

On ira pas voir.

On ira voir ce matériel.

De Kenneth Brenna.

Ben non, n'insistez pas,

puisque on vous dit que...

Oh, pardon.

L'intérêt a venu.

Ça a l'air incroyable.

Ah ouais.

Ah ouais.

T'as vu, c'est une enquête un peu.

Ça va pas laisser beaucoup de place aujourd'hui.

L'image est folle, l'image est folle.

Et tout pourrait jouer Miss Marple,

l'autre héroïne.

Elle pourrait jouer beaucoup de choses,

mais je n'ai jamais rien.

En gros plan, elle peut même jouer Poirot.

C'est ce que c'est.

On est obligé de parler de la concurrence.

Il y a aussi Mystère à Venise.

Le fait de parler de la concurrence

nous permet de reparler

comme ça insidieusement,

aussi du film d'arrière.

Ça marche dans les deux sens.

Et ça s'appelle

Les secrets de la princesse.

On ne veut pas cloper de toute façon.

Il n'y a que toi sur la fiche.

T'es en immense.

On sait que ça le tient.

Elle fait un concours de...

Direction ?

Un concours de poitrine.

Ah bon ?

Mais il n'y a pas la poitrine sur la fiche.

Non, pas sur la fiche dans le film.

Ah, dans le film.

Elle a oublié son film.

Il y a un moment donné aussi

que tu es un peu dénudée

avec d'autres femmes.

Il y a en effet,

un moment donné,

Julie Depardieu,

qui est la marque,

qui se départ dans mon film,

qui me dit,

montrez-vous,

on fait une sorte de...

ce que font souvent les femmes.

Des comparaisons

entre les cheveux, la bouche, les yeux.

Et là, c'est la poitrine.

Mais un seul sein.

Un concours donné.

Un seul sein.

Celui auquel il faut se...

Vous avez comparé

lequel le droit, le gauche, du coup.

Un seul sein chacune,

ça en fait deux quand même.

Exactement.

Et c'est à ce moment-là

qu'elle dit cacher ce sein

que je ne serais voir.

Bah, écoutez,

si vous dites que les femmes

font ça très habituellement,

on peut peut-être essayer,

Champagne.

Est-ce que tu veux qu'on compare

nos poitrines ?

Ah ben, on pourrait peut-être.

Attends, il faut charmante, d'abord.

Mais nous aussi, les hommes,

avec Barbiette, alors,

on s'est comparés.

Il y a pas une vieille méchante

dans le film,

j'aurais bien fait un truc

comme ça.

Ah non, non, non.

Il y a Alexandra Stewart

dans toute sa spondeur,

qui joue...

C'est le surnom de Jean-Phi

qui lui a eu un rôle.

Alexandra Stewart.

C'est vrai, vous auriez

plus quand même faire travailler

une grosse tête, Arielle.

Ah, il y a Michel Faux.

Ah ben, Michel Faux.

Michel Faux qui joue Balzac.

Mais il fait quoi dedans ?

Ah ben, il joue Balzac.

Mais il s'est joué lui.

Il joue le récitane

aurait de Balzac.

Il joue lui-même Balzac.

Le narrateur.

Oui, oui.

T'as filmé avec ton smartphone

avec une caméra.

À ton avis.

Je reviens, Hercule Poirot,

pardon, Arielle.

Ben oui, il faut.

Il en faut un peu pour tout le monde.

Exactement.

Et c'est Kenneth Branagh

qui joue Hercule Poirot.

Et évidemment, dans la presse,

on nous rappelle...

Mais c'est la saison des Poirots.

Donc, liste des comédiens

qui ont joué Hercule Poirot.

Est-ce que vous êtes capables

de m'en citer...

Oh, là, là.

Peter Rustinov.

Attendez.

Attendez la question.

Est-ce que vous êtes capables

de m'en citer 3 autres ?

Albert Finet.

Albert Finet.

Peter Rustinov.

Peter Rustinov.

Ça, on fait 2.

Bien le monde dit.

Non.

Et il manque celui

qui a peut-être le plus joué

Hercule Poirot.

Il y a un autre personnage,

un autre acteur britannique en plus.

Benille.

Non, non, non.

En tout cas, je sais

qu'il y a Kamehiko-Tal dedans.

Dans quoi ?

Dans le...

Piscinis.

Un mystère à Venise.

Elle est partout, elle.

Oui.

Vous avez raison.

Il y a une française

dans ce film avec Kenneth Branagh.

Mais là, on s'éloigne...

De notre Poirot.

Alors, qu'est-ce qu'il s'appelle ?

Charles.

Non.

Il s'appelle pas Charles.

Hercule Poirot a été joué

donc 3 fois au cinéma

par Kenneth Branagh.

Il a été fait

à plusieurs reprises

par Peter Ustinov.

Par Albert Finay, exactement.

Mais pour la télévision,

30 secondes encore,

avant peut-être

que quelqu'un dans le public

touche 100 euros supplémentaires.

100 euros nets, hein.

Ah oui, il y a eu 300 euros

déjà qui ne vont pas...

Ah faut le savoir,

parce que 100 euros brutes,

c'est que dalle.

C'est Géraldine Maurice.

Vous voyez, vous êtes moquée d'elle

à Saint-Cyr sur Menton.

Il va toucher 300 balles,

Mame Maurice.

Ça fait 400 balles en tout.

Ça fait 400 balles en tout.

Oui, pas pour la même personne,

Charles.

Non.

100 euros pour le monsieur.

Il a la réponse.

Oui, un monsieur au premier.

Oh, mais il n'y a pas que ce monsieur.

Levez la main dans la salle.

Il en a beaucoup.

C'est Jérémie Ferraris

qui va se jeter dans le public,

puisque effectivement,

on n'aura pas la réponse.

C'est plaisir à tes parents.

Parmi les grosses têtes.

Allez-y, Jérémie.

C'est toujours ceux

qui ont le moins de chance de gagner.

Bonjour.

Comment vous appelez, Mme?

Nadine.

Ce que vous faites dans la vie, Nadine?

Je suis retraitée.

C'est quoi la réponse, Nadine?

David Sechette.

Comment vous dites?

David Sechette,

si vous voulez.

Une petite Sechette, Mme.

David Sechette,

c'est gagné.

Bravo, bravo.

Bravo, Nadine.

100 euros pour vous, Mme.

RTL,

6 grosses têtes,

5 fake news.

Et pour le deviner,

quelle est la vraie info

parmi les fake news?

Qu'est-ce que tu as arrêté,

ce truc-là, non?

Pardon.

Tu veux qu'on arrête

de te dire une gueule?

Non, c'est la valise

qu'on a arrêté.

Mais non,

c'est l'invité mystère

Chantal qui n'existe plus.

D'accord, ok.

Oh non, non, non.

Mais comment font les gens

qui engagent cette femme?

Il n'y a que vous, hein.

Bon, Chantal,

vous me permettez

de parler à Emmanuel

qui est au téléphone.

Allez-y, Emmanuel.

Enfin, je vais dire, allez-y.

Ok.

Bonjour, Emmanuel.

Bonjour, Laurent.

Bonjour, les grosses têtes.

Bonjour, le public.

Oh, on peut voir

quelqu'un qui a la bête.

Alors rassurez-moi, Emmanuel,

vous avez compris le jeu,

vous connaissez le principe

des fake news?

Oui, oui,

compris.

Je suis l'émission,

donc je suis prêt.

Que faites-vous

dans la vie, Emmanuel?

Je suis dans le cabinet

de gestion de patrimoine.

Bon, pas vrai.

Vous êtes notaires?

Vous êtes notaires, notables?

Ah non, je travaille

avec les notaires,

mais je ne suis ni un notaire,

ni un notaire.

Attention à ce que vous dites, hein.

Oui, vous arrivez

volontairement

et vous grattez-vous.

En tout cas, Emmanuel,

il va peut-être partir

au château cordé et en bâge

grâce aux grosses têtes.

C'est tout ce qu'on vous souhaite,

évidemment, le château.

L'âge bâge,

célèbre, grand cru,

placé du Poyac.

C'est un relais

et château

à l'esprit contemporain

décoré puré, niché

dans une chartreuse

avec piscine.

Dans le bordelais.

Oui, oui, bien sûr.

Chantal, oui.

Un repas vous attend.

Pas à vous, Chantal.

C'est à l'auditeur que je parle.

Un repas vous attend.

Remarquez, on pourrait peut-être

lui dire ça.

Chantal, un repas,

vous attend là-bas.

Un restaurant magnifique

situé sur la place

du charmant village de Bâge.

Ça vaut le coup, effectivement,

d'être perspicace, Emmanuel,

pour deviner la vraie info

parmi l'effet.

Vous êtes prêts?

Je suis prêt.

On commence par Jeremy Ferrari.

C'est le repas de la fête

aujourd'hui.

C'est 28 ans.

C'est Elizabeth Levy

qui devait sortir du gâteau.

Mais comme c'est un baba au rhum,

elle est encore dedans.

Olivier Bellamy.

Au Maroc, les blessés du séisme

dans certaines régions

reculés sont transportés

à l'hôpital à Dodane.

Le député Emmerich Caron

a déposé une plainte

contre le Maroc

pour maltraitance animale.

Christophe Barbier.

Affaire du financement libien.

Le prochain livre

de Nicolas Sarkozy s'appellera

Tripoli pour être honnête.

Chantal Latou.

Le film d'Ariel Dombal.

Les secrets de la princesse

de Cadignan.

Sort aujourd'hui.

C'est un très bon film.

Même si Chantal Latou

n'est pas au casting.

Sébastien Touen.

Si Mohamed VI

a refusé l'aide française,

le roi du Maroc a, en revanche,

accepté l'aide du Portugal,

qui vient d'envoyer 8000 maçons.

Arielle Dombal.

Alors, disparition

des corales d'enfants

pendant les hymnes.

Les recherches continuent.

Qui a dit la vérité ?

Eh bien, on va procéder

par élimination.

Oui, Renuel.

Alors déjà,

Jérémy Ferrari,

je ne pense pas.

Elizabeth Levin

n'est pas dans

le gâteau d'anniversaire

de Jordan Bardelab.

C'est Mathieu Sénier.

Pas son style.

Ok, ensuite.

Christophe Barbier, non.

Dommage, ça ferait un bon titre

pour le prochain livre

de Nicolas Sarkozy.

Oui, Tripoli pour être honnête.

Il paraît qu'il parle de vous

dans son livre Nicolas Sarkozy.

Oui, pas de 174.

Il dit que

je suis d'une bêtise

et d'une incompétence totale,

à Bissal, plus exactement.

Il met ça sur le compte

de la méchanceté.

Il raconte pas la part

tous avec Pécrane.

C'est un livre bien infirmé.

Ils vont être en concurrence

entre Jus, Pé, Édouard,

Philippe et Sarkozy.

Ça va être chouette

dans les librairies.

Et dans les prisons.

Ils devraient faire

des signatures communes.

Ils pourraient.

Oui, ça pourrait être

une bonne occasion.

C'est marrant.

Le livre de Lord Philippe,

c'est une contre-pétrie.

C'est-à-dire ?

Ça s'appelle des lieux qui disent.

Ça veut dire des dieux qui lisent.

Oula !

Vous pensez qu'il l'a fait exprès ?

Non, je ne pense pas.

Ils sortent de l'Ena.

Moi, j'en ai une autre

de contre-pétrie.

Je rêve d'une escalope

avec une salade.

Ça sera mon prochain livre.

En tout cas,

ça n'était pas Christophe Barbier,

Emmanuel, qui d'autre ?

Je ne pense pas que ce soit

non plus M. Bellamy.

M. Bellamy, vous oubliez ?

D'accord.

On n'en est pas là quand même,

à déposer plainte.

Il pourrait, il pourrait.

Parce que les ânes souffrent

au Maroc.

Mais c'est vrai que c'est terrible

d'imaginer quand même

que certains blessés

soient transportés à Dodane.

C'est ce que nous dit la presse

aujourd'hui, en tout cas.

Autre chose.

Autre chose.

M. Towain, non plus.

Je veux bien vous entendre

juste la fake diffuse de la rivière,

s'il vous plaît.

Alors, Emmanuel,

disparition des corales d'enfants

pendant les hymnes.

Les recherches continuent.

Voilà.

Donc je vais éliminer

aussi Ariel Dombachan.

Mais c'est vrai,

et c'est un sujet depuis ce matin

que les corales d'enfants,

c'est que pour la Coupe du monde

de rugby,

la Marseillaise a été totalement

ratée

du match d'ouverture.

Il était prévu d'états

de corales d'enfants

pour chaque match,

interprétant les hymnes

de différents pays.

Mais c'est une telle catastrophe.

On va être obligé

de dire aux pauvres gamins

que non, ils n'iront pas

sur le terrain.

Mais c'est pas toute une corale

qui a disparu d'un coup

dans une aiguille.

On s'est retournés,

il y avait eu qu'un temps.

Non, non, non, non.

Alors, il vous reste qui, Emmanuel ?

Eh bien, il me reste

Charmande Chantal Latsou.

Donc je pense que c'est

Chantal Latsou qui a dit

la vérité.

Ben oui, par bonheur,

elle ne joue pas

dans le film

d'Ariel Dombachan.

Voilà, super.

Pourquoi vous n'avez pas pris

Chantal Ariel ?

Elle a oublié, non ?

Puisque c'est un film d'époque.

Je rêve de faire un film d'époque.

Ah oui, puis en plus,

t'as la voix pour jouer

de l'aristocratie.

Non, mais c'est vrai,

elle rêve de faire un film d'époque.

Elle aurait fait

une très belle marquise,

un solon.

On a envie d'entendre sa voix

qui résonne dans un château.

Ah ouais.

Emmanuel, on vous entend hurler

au téléphone.

Non, pas hurler.

Pardon, je m'excuse

d'avoir interrompu.

Non, allez-y, je vous en prie.

Mais non, allez-y, je vous en prie.

Je voulais vous dire

juste deux choses.

Je fais aussi du théâtre

en amateur

et actuellement,

on me tourne dans le 06

avec ma troupe

sur Tok Tok de Laurent Bassi.

Parfait.

Comment s'appelle

votre compagnie théâtrale ?

Les Tokés.

Les Tokés ?

Ah bah.

Donc vous changez

le nom de la compagnie

à chaque pièce.

Je pense qu'il y en a qu'une.

Il n'a pas besoin

d'une actrice.

Je le retourne.

On ne mangeait pas le temps,

j'ai joué mon spectacle.

Avec grand plaisir,

mais nous ne sommes que

des amateurs

et si vous faites allusion

à Chantal,

c'est une grande professionnelle.

Bien sûr.

Bien sûr.

Évidemment.

Emmanuel, qu'est-ce qu'il fait ?

Il faut pas être d'armée, nous.

En tout cas, vous partez

dans le fameux château corday

en bas.

Je vous souhaite

un joli séjour

de nuit pour deux personnes.

Je suis Andrea,

founder

de boutique handbag brand

Andy.

Et ça, c'est pourquoi

j'ai switché à Shopify.

J'ai essayé 3 autres plateformes

avant de Shopify

et je me souviens

que mon point de break

était quand j'ai essayé

de faire un petit change

et que mon site

s'y allerait.

Shopify m'a rendu

vraiment facile pour me

mettre tout à l'heure

et me mettre sur le terrain.

J'étais facilement

capable de migrer mon producteur

et toute ma information

à mon customer.

Avec l'émission

drag-and-drop,

nous n'avons pas besoin

d'avoir un développeur

pour faire des codes.

Ce qui est incroyable

c'est que chaque thème

est automatiquement

optimisé sur mobile.

C'est incroyable,

c'est even better

sur le téléphone.

Nous aimons vraiment

une aventure.

Nous n'avons pas pu

aller sur la route

sans un plateforme

qu'on peut s'y aller.

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A une question

pour Antonio Adam,

qui est mais germinière

en haute zone.

J'aimerais vous demander

ce qui commence

par ces 3 phrases

dans son quartier

du Vieux-Québec.

Les rues ont l'air

d'avoir l'accent

et l'an 2000 voisine

avec,

même vous donnez

4 verres,

les maisons grises

du vieux-temps.

C'est beau.

C'est une chanson.

Je répète les 4 verres

si vous le souhaitez.

Si vous trouvez ça beau,

Monsieur Bellamy.

Et Madame Latso,

vous met déjà

sur la piste.

Oui,

c'est le début

d'une chanson.

Dans son quartier

du Vieux-Québec,

les rues ont l'air

d'avoir l'accent

et l'an 2000 voisine

avec les maisons grises.

C'est le cas des grands cheveux gris

comme ça.

Charlebois ?

Charlebois, non.

C'est pas...

C'est...

Gilles Vignot.

Gilles Vignot.

Gilles Vignot.

Gilles Vignot.

Ils avaient le boulet.

Non plus.

C'est l'Indion.

C'est une chanson

qui est dans l'actualité

du moment.

Et CH ?

Sinon,

vous comprendrez bien

que je ne vous poserai pas.

Ah, c'est la chanson

sur le rugby, là.

Allez-y.

Il y a de la chanson

de Jodha Saint, là.

Bonne réponse

d'Olivier Bellamy.

Bravo, Olivier Bellamy.

Bravo, Olivier Bellamy.

Jodha.

C'est devenu

l'hymne des supporters

de rugby.

On ne sait pas trop

pourquoi, d'ailleurs.

Ah oui, c'est étrange.

Mais c'était déjà

l'hymne des supporters

de basket

depuis 2015.

Ça,

ça ne donne pas envie

de courir, quoi.

Bien sûr.

Non, mais après,

ça, c'est l'air,

d'aller voir.

Petit à petit,

voilà,

le rythme

devient de plus en plus.

Vous voyez,

voyez.

C'est devenu

l'hymne

des supporters

de rugby.

On ne sait pas

où il se passe,

vous voyez, voyez.

C'est le début,

vous avez raison.

C'est louche.

Après, après,

les fans de supporters

de rugby

sont souvent lents.

Ça casse, c'est l'air.

Regardez, regardez,

ça part, ça part.

Et ce matin,

il y a un rapport

avec le sport, en plus.

Aucun rapport.

Mais c'est classique, ça fait pas.

Parce que we are the champion,

on comprend.

Le soleil dans les yeux

des milis,

je ne vois pas du tout

le ravi.

Non, mais c'est les têtes de Bambay.

Non, mais il sont complètement

trop les rubis.

Il m'a une fois arrêté

de leur demander leur avis.

C'est pas possible.

Le ravi à Guénor,

en 98 pour la Coupe du Monde

de foot,

c'était pas un truc.

Non, mais regarde dans les yeux

des milieux, c'est bien.

Le ravi à Guénor,

c'est de l'anglais,

on comprend pas.

Si, un peu.

Le ravi à Guénor,

c'était à Iwi,

sur Iwi.

Je vais passer,

oui, ça marche

pour tous.

Je jure,

il a chanté tous les supporters

dans les yeux des milieux.

Alors,

le compositeur de la chanson,

alors il est ravi,

il est interviewé

dans le Parisien ce matin.

Il s'appelle

Vivien Vallet.

Oui, oui,

toujours en vie,

Vivien Vallet.

Et il est ravi

que cette chanson

soit devenue quasi

la chanson officielle

de l'équipe de France

de rugby.

Il y a une autre chanson,

évidemment,

qui est l'hymne

des rugbymen.

C'est celle,

d'ailleurs, qu'on a découvert,

nous-mêmes,

souvenez-vous,

quand on était à Carcassonne

avec ce chanteur

fraudonné collectivement.

C'est très gros.

Oh, mais il s'est tenu !

C'était l'olive,

c'était l'olive,

c'était l'olive,

c'était l'olive.

Vous vous souvenez de ça ?

Je me rappelle,

je me rappelle.

Le Julien Dorey

de l'olive.

Et non,

c'est un corps

qui a commencé

dans un restaurant

à Paris

au Cosy chez un ami

et ça a cartomé

après partout.

Et à Carcassonne,

il l'a chanté

et tout le public chantait.

Oui,

Casparette de Bourrée.

Et nous,

on était surpris

parce que nous,

on connaissait pas.

C'est génial ! Numéro 1 camping, c'était l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo-l'hélo

... allez !

La la la, la la la, la la la la, la la la la...

Au départ, c'est du musique autrichienne.

Voyez, ça sert à retrouver comme hymne du club de Bayern.

Le Pilou, Pillou est tout le long... c'est ça !

C'est comment ?

Au début, ils rassemblent les supporters et un des joueurs,

ou un animateur fait...

PILOU PILOU PILOU PILOU PILOU, WOOW WOOW WOOW !

Wolon, Christopher ! Térédicule, térédicule !

Ah mais, vous faites ça ! Vous faites ça la jeune Parlavanteur !

Mais c'est pour toi...

Tu passes pour un intellectuel, tu as une belle cravate...

Il devrait faire ça !

Dans les groupes parlementaires, il doit faire ça !

vous mise avant de se mettre à débattre ?

Mais oui, pilou, pilou, pilou !

Christophe, c'est filmé, c'est diffusé, arrête, arrête, arrête, arrête, arrête !

Chantal, votre homme de chambre est un pilou pilou !

Ouais, ouais, ouais !

Mon mari, il devrait faire ça le matin, pilou, pilou, pilou, pilou, pilou !

Ça m'a lui donné envie de courir aussi d'ailleurs !

Pilou mieux, c'est le aka, le aka des épicipes du Pacifique Sud, la Nouvelle-Zélande...

Ah, Mme Rousseau n'a pas aimé le aka !

Elle aime rien, Mme Rousse !

Ah, vous savez pas faux !

Elle trouve ça trop viril, trop viriliste !

Il faut toujours rajouter un liste, maintenant ça fait plus peur !

C'est trop viriliste !

C'est trop rousseauiste, ça fait peur aussi !

En même temps, juste après avoir chanté Jodha Saint, ça compense !

En tout cas, dans les yeux des milis !

Des milis !

Des milis !

Des milis !

Remarquez-vous mieux que ce soit dans les yeux des milis que dans les yeux de Jodha Saint,

sinon on serait 30 par équipe !

Oh, c'est pas bien !

C'est pas bien, c'est pas bien !

Le livre du jour s'appelait Les Alchimie, c'est signé Sarashish.

C'est au seuil un roman dont on va parler avec l'auteur.

Dans un instant, Sarashish est au téléphone.

Mais d'abord, vous le savez, c'est le principe.

Une question sur ce roman, je ne vous en donne pas tout à fait ni l'intrigue ni le contenu,

parce que ce serait évidemment dévoiler la réponse à la question que je vais vous poser.

Il est question d'un célèbre peintre, un peintre dont le crâne a disparu.

On est en 1888, 60 ans après la mort de ce peintre,

contre une première exhumation à lieu, on est du côté de Bordeaux,

et à la stupéfaction générale, le crâne du peintre ne figure pas parmi les ossements.

De quel peintre s'agit-il ?

Pas de monnaie ?

Monnaie, non, peintre français.

Comment vous dites un peintre français ?

Un peintre français, non.

Italien ?

Italien, non.

Anglais ?

Anglais, non.

On est donc en 1888, il est mort 60 ans plus tôt, vous dites.

Un espagnol ?

C'est Goya.

Bonne réponse de Christophe Barbier, aidé par Sébastien Cohen.

Et oui, c'est le crâne de Goya qui a disparu.

Bonjour Sarah Chiche.

Bonjour Laurent, bonjour à tous.

Ce n'est pas le thème principal du livre, mais c'est entre autres intrigues de votre roman,

cette disparition du crâne que l'on suit aussi à travers vos alchimies,

mais c'est d'abord l'histoire d'une femme qui est médecin légiste.

On peut dire ça comme ça ?

Oui, oui.

En fait, c'est une histoire de grosse tête, si je puis dire, à la recherche d'un crâne.

Voilà.

On a été en 2022 au départ, et Canny Cambon, qui est médecin légiste dans un hôpital en

pleine crise, reçoit un soir un mail énigmatique où il est question du peintre francisco de

Goya et de son crâne.

Et alors là, stupeur et sidération parce que ses parents, qui étaient de grands médecins

et son parent, un neurologue, avaient beaucoup travaillé sur Goya avant de devenir des

hômités scientifiques.

Et donc, elle est convoquée à Bordeaux par son mystérieux correspondant qui savait

être une femme, une octogénère.

Il faut savoir que son père, à votre personnage, à Canny Cambon, son père avait écrit tout

un livre sur Goya, un livre qu'elle n'avait pas lu d'ailleurs, un livre qui n'avait

pas très bien marché.

C'est bien ça ?

Voilà, c'est ça.

C'est un livre qui n'avait été tiré qu'à quelques dizaines d'exemplaires et qui racontait

tout de la vie de Goya.

Ce qui m'a intéressé dans la vie de ce peintre, c'est que c'est un homme qui a eu mille

vies en dune.

Il a commencé comme homme extrêmement ambitieux, il a absolument tout fait pour plaire au

puissant, y compris épouser sans amour une femme dont la famille était introduite auprès

de la Cour du Roi.

Il a réalisé tout un tas de cartons de quatre tapisseries et en 1792, on était assez

vieux.

Il est fou de royer en pleine rue par une attaque neurologique dont il va émerger complètement

transformé.

Et à ce moment-là, sa peinture va se métamorphoser, s'obscursir et devenir ces gravures qui peignent

les désastres de la guerre, les vies et les vertus de son temps et d'une autre.

C'est parce que ce qui est fascinant avec Goya, c'est que quand on regarde ses toiles

et ses gravures en 2023, je peux vous dire qu'elles parlent tout aussi bien de notre

monde.

Alors on n'a jamais vraiment retrouvé le crâne de Goya et évidemment il y a deux recherches

à travers ce livre, la recherche du crâne, mais aussi la recherche de l'histoire de

la famille, de cette médecin légiste et à un passage assez amusant où elle explique

cette femme qui travaille à l'institut médicolégal en quelque sorte, elle explique

moins contrairement à mes collègues en cancerologie, jamais je ne pouvais prédire

il vous reste six mois, mais jamais non plus je ne pouvais dire à un proche de malade

comme le font les chirurgiens, ne vous inquiétez pas il va s'en sortir et contrairement à

mes consorts et confrères que l'on pouvait féliciter à la suite d'un triple pontage

ou d'une chirurgie réussie, aucune famille ne me féliciter jamais pour la minutie de

mes autopsies, vous êtes renseigné auprès de vrais médecins légistes pour écrire

votre livre.

Quand ils choisissent la mort, ils ne vont pas avoir un retour sur expérience, c'est

normal ne pas avoir de félicitations.

Comment on devient médecin légiste ? D'ailleurs on devient médecin légiste par choix.

Je crois que oui, on devient médecin légiste par vocation, qui a un intérêt pour la matière

humaine et de comprendre, vous voyez dans un idéal de justice, d'exumer la vérité,

quelles ont été les dernières instants d'une personne, qu'est-ce qui s'est passé

et qu'est-ce qui l'a conduite à la mort et en cela ça se rapproche peut-être du travail

d'écriture et pour répondre à votre question, ben oui, c'est une fiction mais la fiction

n'exclut pas la rigueur à mon avis et donc je me suis rendue dans deux services de médecine

légale ainsi que dans un service de neuropathologie à Sainte-Anne pour voir au plus près comment

ces gens travaillent.

Vous évoquez dans votre livre une affaire qui elle est un peu moins drôle, c'est une

affaire dont les journaux nous ont fait part et vous vous racontez aussi dans un passage

du livre cette histoire, c'est effectivement les élèves et professeurs qui parfois devant

travailler sur certains corps, personnes qui ont légué leur corps à la science, des

corps qui ont disparu, quand même peut-être été revendus, c'est une affaire, un scandale

dont il a été question dans les journaux.

Révéler par l'Express.

Oui, je crois même qu'il y avait la famille de José Arthur et de Michel Indax dans cette

histoire-là.

La secte sataniste.

Mais effectivement, vous parlez de secte sataniste, il y a un peu de ça aussi à la fin du livre.

Il faut pas tout mélanger, mais c'est vrai que j'ai voulu commencer par cette affaire

du Charnier de Paris Descartes, parce qu'elle est assez éditiante, pendant que des étudiants

en médecine, pendant que des générations et des générations travaillaient sagement

au-dessus de leur tête, au cinquième étage de cette faculté, il y avait des corps qui

étaient conservés dans des conditions déplorables, mais après on peut se poser la question de

la casquette des violences et des mépris.

Vous voyez, les gens qui travaillaient là-bas n'ont pas été très bien traités, parce

que ce qui les dirigeait était aussi en quoi à toutes sortes de difficultés.

Mais pour moi, cette histoire de Charnier Descartes, c'est un goya contemporain, vous

voyez, et c'est pour ça que j'ai voulu commencer dans le roman par ça.

Et puis oui, un petit côté sataniste peut-être dans la suite du livre, puisque les parents

et le parent de Camille, on va découvrir que dans leur jeunesse, assoiffés de connaissances,

complètement nuagés par l'envie de découvrir et de percer le mystère du génie de Goya,

et ce qui se cache dans ces teintures, ils vont s'autoriser toutes les libertés, toutes

des expériences.

Voilà, y compris les drogues, les piquets délics, on est à ce moment-là à la fin des années

60 et il faut savoir que c'était une pratique assez fréquente chez certains étudiants en

médecine.

Dans les remerciements, en tout cas, vous citez quelqu'un que je trouve incroyable, c'est

Philippe Charnier, médecin légiste, lui-même, pas Charnier, un Charnier, et d'ailleurs

il y a un passage où vous évoquez les restes du crâne d'Hitler, je crois que lui-même

avait enquêté sur cette affaire-là.

Absolument, c'est Philippe Charnier qui est mandaté à Moscou où étaient conservés

des restes dont on n'était pas sûr qu'il cogissait bien les restes d'Hitler.

Ah bah pas les passeurs, il va que d'y penser !

Tout ça, tout ça étant en tout cas passionnant à la recherche, évidemment, du passé familial

et du crâne de Goya, ça s'appelle les alchimies, c'est signé Sarah Chich, oui c'est très

bien, c'est signé Sarah Chich et c'est publié au seuil et c'était le livre du jour,

merci.

Une question pour Pierre Sainte qui habite, pensez les atés en côte d'heures maintenant.

Sainte, les atés, c'est ça ?

Une question qui concerne un chanteur que vous connaissez, peut-être, attention, c'est

pointu, c'est un crooner punk qui s'appelle Nick.

Ah, Danny Briand ?

Un crooner punk.

Oui, un crooner punk.

Le relier églésien c'est qu'une crête punk.

Nick Cave.

Qu'est-ce que c'est un crooner punk ?

Nick Cave.

Ah oui, les Batsids.

Ça vous dit quelque chose ?

Ah bah oui, Nick Cave.

Vous aimez ça ?

Vous aimez ça Thomas ?

Ah, mais je connais bien la musique, cette chance-là ?

C'est bien, c'est beau !

Oui, de chamber.

Tu wavelength, les från Les Batsids ?

C'est pas très punk quand même, c'est très punk. Ça ne vaut pas Florent Pany.

En tout cas, Nick Cave est interrogé cette semaine par Télérama. Le Télérama qui

sort aujourd'hui, c'est Hugo Casavetti qui interroge le chanteur. Et avant de le donner,

le chanteur fait cette déclaration qui est reprise. Je ne sais pas comment on appelle

ça. D'ailleurs, Monsieur Barbier, vous allez pouvoir me dire, quand on fait des intertitres,

quand on ressort un extrait d'un article, mais ce n'est pas le titre, mais oui, intertitres.

Oui, intertitres, entre guillemets, oui, c'est une accroche.

Une accroche, un intertitre. Et comme intertitres, on peut lire donc cette déclaration de Nick

Cave. La planète irait peut-être mieux si tout le monde se mettait à... Mais à quoi ?

À faire de la musique.

À danser.

À danser.

À faire de la musique.

À faire de la musique.

À faire de la musique.

À danser.

緊.

Vous avez le jeu du dingding qu'est de retour.

À mourir au bay dans les grosses têtes.

Non, je vais même vous aider.

La planète, je vais ajouter un mot supplémentaire pour le même tarif.

La planète irait peut-être mieux si tout le monde se mettait à la...

Ah là, à là.

À c'est un non, donc ce n'est pas un verbe.

Non, c'est un mot, il manque un mot.

À la guitare.

À la guitare.

À lamber.

À la lamber.

À la gloire.

Non, à la contemplation.

Pas c'est pas la peinture.

Ah on se rapproche.

À la culture.

À la musique.

À la mash outre.

On est tout prêt ? La poteerie ? La gravure ? La pâte à modeler ?

Pas tout à fait la poteerie, mais on est tout prêt. La bremette ?

On va... On brûle... A la pâte à modeler ?

Non, on brûle. La faillance ? La faillance, on brûle encore.

La voiture sur soi. La mosaïque ? La mosaïque, là, on chauffe, on est...

On dirait le truc, la maladie du boudin et des sardines, là, il y a tout qui marche avec.

À la fresque. À la fresque, non, mais... On voit l'œil de la réponse.

Ah oui, vous avez dit... Vous avez dit...

C'est pas loin, c'est pas loin. Mosaïque, vous avez dit...

...porsuelaine, la faillance...

À carler. À la...

C'est un art, donc.

Ah oui, c'est un art. En bas, masquonnerie ?

Et il dit d'ailleurs, dans l'interview, oui, je suis...

T'as masquerim...

Non, mais on est pas si loin, quelque part.

En entouer ! À la crepée !

Et il dit d'ailleurs, parce que le journaliste lui demande à Nick Cave,

Vous êtes lancée dans l'art, et il dit, oui, je suis très fier de mes figurines exposées dans un...

La pâte au surcorre !

exposés dans un musée en Finlande, en plus. Ces figurines sont exposées dans un musée

en Finlande. J'aime l'humilité qu'elles ont exigée, ce travail minutieux, sol avec

mes mains. Est-ce que ce n'est pas la maquette ? Non, non, non. Il vous manque la matière,

en fait. Le bois, la glaise ? Non, pas la glaise. La planète irait peut-être mieux. Le

marbre. Le verre. Non, c'est là qu'on vous dit. La peinture sur le soir. La pommorte ? La

peinture. On peut faire quelque chose en pommorte ? Oui, oui. Quand il était petit, il faisait

ses personnages en pâtes à mot de lait ou un tel. À ça, je les dis. Et il dit, voilà,

c'était sa première manifestation de sa sensibilité. Ah, les santons, les émos, les émos. Alors,

ça s'appelle comment, là, là ? La zémologie. Mais non. Ah, la taxidermie. Mais non. La géméologie,

la géméologie. Moi, je veux une fois une taxidermie. Bah oui, on a compris. C'est le principe du jeu

du dingue dingue. Mais c'est un mot commun, tout le monde le connaît. La planète irait peut-être

mieux si tout le monde se mettait à la dingue dingue. Dynandrie. Dynandrie. Dynandrie. C'est

parce que c'est... Non. C'est le fait de façonner le... L'éteint. L'éteint, oui. L'éteint. D'accord,

l'éteint, les cheveux. Vous ne connaissez rien, les deux. C'est pas la terre glaise. La terre glaise.

C'est pas la terre cuite ? Est-ce que c'est une matière déjà ? Oui, c'est... C'est une matière

concierge. Terre cuite. Oui, on dit, tiens, ça c'est en... La marbreurie. La cota. La terracota. Non, non.

Non, c'est pas la marbreurie. Non, non, non. On a un dernier tube de... La minucie. Un dernier tube

de Nikkev. La minucie. Mais non, la minucie. Ça commence par quelle lettre ? Ah non. Non, ça,

on n'aurait pas le droit à l'initial. Mais tout dit sauf ça, vous voyez. C'est pas la... C'est pas la

peinture, les tableaux en laine ? Non, non, non, non, non. Je m'avais dit d'argile. Bon, c'est donc... La glaise.

Oui, mais ça veut dire tout ça. La boue. La terre cuite. Oui, mais tout ça, c'est quoi ? La boue.

C'est de la terre. Oui, mais c'est quoi ? C'est la discipline qu'on cherche. Oui, c'est...

Bon, je veux le terme générique de tout ça. Le jardinage. Non, non, non. La pote-ridon.

La pote-ridon. Je peux vous donner la définition exacte, je l'ai devant les yeux.

Non, la première lettre. C'est le terme générique qui désigne l'ensemble des objets fabriqués en terre,

qui ont subi une transformation physico-chimique irréversible au cours d'une cuisson à température

plus ou moins élevée. Voilà. C'est pas la faillance. C'est pas la faillance. C'est pas la faillance.

Je suis obligé de vous... C'est pas la centonnerie, c'est pas les centons. Non, non. La première lettre,

s'il vous plaît. Sûrement. Moi, vivant, j'en ai. On va encore donner 100 euros dans la salle de veine à main.

Je suis si regardé, regardé dans la salle. Mais oui, mais évidemment, c'est pas la retraite.

Elle n'a pas du tout la poterie, c'est la retraite. Dis-moi. On va encore donner... C'est un truc qu'on achète

sur des marchés, c'est des petits personnages. C'est évident. Je vous ai donné la définition exacte.

Je peux pas mieux vous dire, franchement. Le bois, le bois, le travail. Non, non, non. C'est un mot d'origine.

Racine, déracine. D'origine grecque, si ça peut vous aider. Est-ce que demi ?

Mais ça... Ça signifie argile, bien sûr, mais c'est pas... Il aurait pas dit...

Cairo, Cairo. Mais non. La, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la, la.

Laurent, ça sonne grecque ?

Ben ça sonne grecque, non, parce que ça, c'est en français. Le mot grec finit en haut,

c'est alors que le nôtre, non. Mais la planète irait peut-être mieux si tout le monde se mettait à là.

Regardez toutes les mains qui se lèvent. Jérémy, Ferrari, vous allez encore donner 100 euros.

Monsieur Sainte, lui, en tout cas, je le rappelle, a poussé les athées en côte d'heures, touche 300 euros.

Monsieur, comment vous appelez ?

Bonjour, Sébastien. Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Sébastien ?

Euh... D'accord.

La réponse, Sébastien ?

La céramique.

Bien sûr, la céramique.

Vous m'avez tout dit, sauf la céramique.

La la la la la...

Là, oui, là.

On a été tout près, tout près, tout près.

La planète irait peut-être mieux si tout le monde se mettait à la céramique.

En même temps, autant de temps pour entendre cette merde de phrase, pardon, mais...

Oui, oui, oui, vraiment.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Arielle Dauval, Chantal Latsou, Olivier Bellamy, Christophe Barbier, Jérémy Ferrarier, Sébastien Tolleuil.

Ah, on va voir Monsieur le maire dans un instant.

Le maire de la rivière Saint-Savain, monsieur Christophe Larose.

Et avant de l'avoir au téléphone, on va pouvoir jouer puisque je sens que vous aimez ce jeu à nouveau.

Au jeu du Dinding.

Puisque là-bas, dans cette petite commune de la rivière Saint-Savain, c'est un village, là-bas, il y a tout simplement Notre-Dame du...

Mais, Notre-Dame du quoi ?

Du mont ?

Non.

Notre-Dame du calvaire.

Du calvaire, non.

C'est un mot commun ou c'est quelque chose qu'il y a à la région ?

Alors Notre-Dame du, c'est une petite chapelle landaise qui, alors je dois dire, en ce moment, est de plus en plus de visiteurs, entre autres, grâce à ces vitraux évidemment.

Notre-Dame du rugby ?

Notre-Dame du rugby ?

Bonne réponse !

De Christophe Barbier, bravo Christophe.

Bonjour monsieur le maire.

Bonjour à tous.

A où ça se trouve, d'abord, précisément, la rivière Saint-Savain ?

Alors, la rivière Saint-Savain, c'est un petit village qui se trouve à une vingtaine kilomètres de Mont-de-Marsan.

Et vous n'étiez pas encore maire il y a soixante ans, j'imagine, quand le maire du village et la baie du village ont décidé de rendre hommage à trois jeunes rugbymen qui avaient disparu.

On était en 1963, il y a pile soixante ans, et c'est comme ça qu'est l'idée de rénover cette chapelle, il ne restait que la sacristie à l'époque, et d'en faire cette chapelle, bien Notre-Dame du rugby.

C'est bien ça l'histoire ?

Tout à fait, donc là, je vais juste rectifier la date, elle est soixante-quatre.

Ah, zut alors.

Mais en effet, donc trois rugbymen d'Akoa ont perdu la vie au retour d'un match de rugby.

L'abbé du village, donc l'abbé de Dover, à cette époque, a souhaité dédié cet endroit, à son sport préféré qui est le rugby.

Voilà, et pour être très précis, en fait, ce sont les rugbymen qui, eux, étaient décédés en 1963, il y a soixante ans, et la chapelle, elle, a été effectivement en travaux à partir de 1960.

Soixante-quatre, c'est bien ça ?

Deux alors, ils sont décédés en soixante-quatre, voilà.

Ah bah alors écoutez, il faut vous mettre d'accord avec les journalistes, alors, hein ?

Oui, tout à fait, ils ont fait une petite erreur.

Ah bah voilà.

C'est un abe, ou un rabin ?

Alors écoutez, on va être obligé de raccrocher, parce que ce n'est plus un anniversaire à l'année prochaine.

C'est bien, c'est bien, à bientôt.

Ça fait que 59 ans et pas soixante, alors.

Ah ben bon, allez, comme on est en pleine coupe du monde de rugby, on va quand même s'intéresser à cette Notre-Dame du rugby, et surtout à ces vitraux, c'est ça qui est étonnant.

Parce que les vitraux sont quand même particuliers.

Oui, tout à fait.

Ah ben, Jésus, avec un ballon de rugby, c'est bizarre.

Eh ben, pas Jésus, mais Dieu.

La Vierge à la touche.

Vous avez la Vierge à la touche.

La Vierge à la mêlée, fausée quand même.

La Vierge à la mêlée, c'est la Vierge qui protège les joueurs au-dessus de la mêlée.

Et il y en a quatre, un vitraux, comme ça, qui orne la chapelle.

Alors donc, la Vierge à la mêlée, les autres vitraux.

Le joueur blessé, et la Vierge au pèlerin.

Et donc, les rugbymen viennent, j'imagine, de temps en temps, à l'humain un siège,

pour peut-être espérer gagner un match perdu d'avance ou ce genre de choses.

Tout à fait.

Alors, il y a aussi beaucoup de gens qui viennent déposer un maillot ou des choses sur,

des choses comme ça qui viennent suite à la perte tragique d'un membre de leur famille

qui est très intéressé par le rugby.

Voilà.

Combien de maillots de rugby sont exposés ?

Parce que je crois qu'il y a même une salle maintenant avec une expo des maillots.

Exactement, tout à fait.

Donc, dans la chapelle, il y a à peu près 180 maillots qui ont été donc ça.

C'est des dons des personnes, justement, qui viennent plutôt religieusement déposer des maillots.

Et ensuite, il y a une collection de maillots qui avait été constituée

et qui a été cédée aux amis de Notre-Dame du rugby.

Cette salle a été construite par la municipalité, qui expose plus de 400 maillots.

Et j'imagine que là, en pleine coupe du monde de rugby,

elle est-elle suive par terre qui vient d'un peu plus que d'habitude ?

Oui, tout à fait, mais on a un flux constant.

Mais là, c'est vrai que depuis quelques temps, on voit arriver beaucoup plus de visiteurs.

Et l'équipe de France, elle va passer ? Le 15, il y a passé ?

Non, il n'y a pas passé.

Ben, monsieur le maire, on vous remercie pour toutes ces précisions.

Et si les joueurs actuels ne sont pas passés, je crois que...

En tout cas, Serge Blanco est venu jusqu'à la chapelle.

Tout à fait. Serge Blanco, Pascal Ondar, c'est là, voilà.

Patrick Sébastien est passé ?

Non, il n'y a pas vu.

Hé, pas vu, pas pris, hein, de ce maire !

Exactement.

Pour la coupe du monde de rugby, n'hésitez pas, elle est priée à Notre-Dame du rugby.

Ça se trouve dans ce petit village qu'on vient d'habitants chez vous.

650 habitants.

650 habitants.

On va mettre faire une équipe quand même.

À l'arrivière, 5 à 20, 650 habitants qui donc ont leur Notre-Dame de rugby,

qui fait venir le tourisme. Bravo, monsieur le maire.

Je vous emmène à Venise, mais je vous rassure,

Aria, elle n'est pas pour parler encore du film de Kedetra.

Là, qui sort le même jour que votre film.

Il y a un film, toi, Aria.

Non, non, non, pour parler d'un film quand même,

parce qu'il paraît qu'il s'a été filmé,

mais c'est un court-métrage, un petit film.

Et à Venise, on est très très mécontents de ce qui s'est passé

avec ces images qui ont pu être diffusées sur les réseaux sociaux.

Alors plus qu'un film, c'est peut-être des clichés qui se sont succédés.

Ah, parce que c'est le rappeur qui a eu une félation dans le petit bateau, là.

Sur la gondole, la gondole.

Comment il s'appelle, je ne sais plus quel c'est, le pont ou...

Vous avez retenu félation, vous, simplement.

Je crois que c'est le nom de son album.

C'est en tout cas une bonne réponse, mais un des plus célèbres.

Oui, mais j'ai un trou, là, je le connais.

C'est direct, quelque chose.

Mais c'est James.

Mais non, mais non.

C'est pas Jax, c'est...

C'est pas Jézi.

Lex, de...

Émile, les images.

Mais non, mais je ne connais que lui.

Jézi, il était avec Beyoncé, ou peut-être il y a encore d'ailleurs.

Non, là, lui, il était avec Kim Kardashian.

Oui, Kim Kardashian.

Ah, Kanye West.

Kanye West, bonne réponse.

C'est pour des déclarations, il a été banni de Venise.

Bonne réponse de M. Toyn, aidé par M. Ferrari.

Kanye West, qui n'est plus avec Kim Kardashian, c'est pas elle.

En tout cas, c'est pas elle sur la photo.

En même temps, on ne sait pas parce qu'on va que son crâne, donc...

Ah, je vois que vous avez bien regardé des temps.

J'ai zoomé, j'ai regardé.

C'est une Australienne qui s'appelle Bianca Sansori, la nouvelle compagne de Kanye West.

Et effectivement, tout Venise, enfin tout Venise.

Certains puritains s'entendaient moi parce que ils disent que c'est pas bien,

comme ça, de faire des gâtris en public sur un bateau.

Alors il paraît qu'on ne voit pas bien Kanye West parce qu'il a une cagoule,

mais on l'a reconnu à ses fesses à moitié nues.

C'est à se retrouver sur Instagram ?

C'est Kanye West qui a mis la photo sur Instagram ?

Non, c'est quelqu'un qui les a filmés.

Moi, j'étais en train de filmer la tamise, et puis j'ai vu l'interprète se faire pucer.

La tamise, la tamise a venu.

J'ai twitté, voilà.

Elles sont belles les pyramides, elles me disent.

C'est impressionnant.

Le pire, c'est le Taj Mahal.

Vous étiez sur le Grand Canal.

Voilà, le Grand Canal.

Voilà, je l'aide.

Le Grand Canal et le Lacan, c'est le Canal Plus.

Non, l'autre.

Non, il en fait plus.

Tu as un malo genou en force d'être à quatre pattes comme ça, hein.

Toujours est-il que certains véniciens demandent l'expulsion de Kanye West ?

Il y a vite pas.

Il demande l'expulsion de tous les touristes.

Ils ont tellement peur que l'eau gère...

De toute façon, toute l'Italie est choquée par les tenues en plus légères de la nouvelle compagne de Kanye West.

Parce qu'elle porte, il faut le dire, des...

Comment s'appelle un legging, c'est ça ?

Ultra moulant, coup leur peau.

Dans les rues de Florence.

Comme elle a un legging moulant, coup leur peau.

J'ai l'impression qu'elle est à poil.

Mais justement, on ne voit pas les poils puisque c'est un legging.

Vous avez les legging, vous chantez ?

Non mais elle a les poils de des mises rousseaux.

Elle voulait dire.

Un peu du chelou, mais t'es bien cette vache.

Merci, merci pour le soutien.

C'est beau cette solidarité entre les humoristes.

Bah oui, c'est humoriste.

Non parce qu'il y a eu un début, puis ce sont du renon, c'est barbé, ça peut pas être si drôle.

Très méchant.

Vous avez raison, près de Corriche.

C'est dégueulasse.

Pourquoi tout le monde est morderie alors que c'est pas drôle ?

C'est pas très élégant de se balader dans les rues de Venise, vous qui adorais Venise.

Oui, oui.

On va avoir un certain respect quand même.

Bien sûr.

Voilà, donc un truc où on a l'impression...

Quel endroit, pardon, un chantal, de vous poser une question.

C'est intime, mais je sais que votre vie a été mouvementée.

Car les stars, c'est comme ça au cinéma, au théâtre.

Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait une gâterie à Michel, bien sûr, votre mari.

J'imagine que ça ne peut être...

Sous une porte-cocher.

Pardon.

Sous une porte-cocher.

Sous une porte-cocher ?

Oui.

À Saint-Germain-les-Prés.

Il n'y a pas beaucoup d'espace sous une porte-cocher.

Sous une porte-cocher à Saint-Germain-des-Prés.

Attends, il a glissé son sec sous la porte et toi tu t'es allongé sur le trottoir.

Mais c'est horrible.

Heureusement qu'il n'y a pas une voiture qui est arrivée.

J'essaie d'avoir l'image.

Déjà, j'ai pas envie d'avoir l'image de Michel, mais bon.

C'est pas un midi, quoi.

C'était dans les meubles de Piccoli et comment s'appelle-t-elle ?

Juliette Gréko.

Madame Claude ?

Juliette Gréko.

Juliette Gréko.

Et vous alliez quelque part vous partiez ?

Vous avez rencontré une histoire très romantique, très zéro-tique, et voilà, ça m'avait un petit peu émoustillé.

Et ils l'ont su ?

Mais je ne devrais pas rencontrer toute ma vie comme ça, c'était il y a de très, très longtemps.

Attends, dans ces cas-là, ça m'intéresse toujours, parce qu'on dit que les femmes n'aiment pas tant que ça, c'est les hommes qui aiment ce moment-là.

Pourquoi ? Vous n'avez pas confiance ?

D'une gâterie.

Ah, vraiment !

Avec vous, j'aurais confiance, parce que je sais que vous pouvez enlever les dents avant, mais...

Mais on prétend, on dit que les femmes n'aiment pas spécialement ça, c'est de faire une petite gâterie, c'est les hommes qui réclament.

Et là, c'est Michel qui vous a réclamés, ou c'est vous qui aviez envie ?

Quand on est très amoureux de son mec, je pense que c'est agréable aussi.

On ferme les yeux et on y va, quoi.

Mais ce n'est pas tous les jours, en plus.

C'est un truc normal.

Mais c'est quoi, c'est-à-dire ?

Vous avez remarqué, Riel, comme une chose, poser des questions à Chantal que jamais je noserais, vous posez à vous.

Mais moi, je vous le dis, c'est quand même !

Puisqu'on vous tient.

Elle devint pas mieux ?

Non, non, mais que les femmes...

Ah non, on ne dit pas « Puisqu'on vous tient » dans ces cas-là.

Non, mais que les femmes n'aiment pas ça être une légende.

Ah !

Voilà, voilà, voilà.

J'arrive à savoir.

Non, mais si l'homme décale à l'eau sous la douche, il n'y a pas de souci.

Le seul problème, c'est que je crois savoir que B.H.L...

D'après ce que m'a dit une femme curde,

ça sent un peu la gambasse.

C'est tout pour moi, pas le soirée !

Super, Riel, c'est...

Alors, Riel, vous avez, je dois dire, droit à une promo supplémentaire.

Cette scène, elle est dans le film.

Le film avec, et deux à Riel Dobal sort aujourd'hui dans toutes les bonnes salles de cinéma.

Une question d'actualité pour M.Oriol,

M.Oriol, K.B.Sanmartin, Duriage, c'est dans l'Isère, pas loin de Grenoble.

J'imagine, vous avez vu ce matal et tarifs moyens,

donnés par le parisien, par exemple, c'est Maxime Guerot,

qui nous a appuyé ce petit tableau dans l'excellent journal

sur le tarif des carburants, les distributeurs.

Essayent, évidemment, de faire des efforts.

Nous dit-t-on au total à plafonner, mais alors...

C'est intéressant, oui.

Combien vous dites ?

Un 99.

99, effectivement, chez Total Energy.

Les plus chers, c'est Shell et BP.

Les plus blérés.

Voilà, Shell a 2 euros, même 2,23 euros pour le SP95,

BP 2,14 euros, après, c'est Total.

ESO est un peu moins cher que Total,

puis après, évidemment, les supermarchés,

Carrefour Intermarché, Leclerc ou Systeme U.

Mais ce qui m'intéressait, c'est les stations essence

où on s'arrêtait avant et qui n'existent plus,

parce que certaines stations essence ont disparu.

On peut aujourd'hui s'arrêter chez Shell, chez BP, chez Total,

mais serait-vous capable de me citer à nouveau

deux autres stations essence, ou trois ?

Il y a même trois qui n'existent.

ESO, FINA, AGIPE.

ESO, ESO, ça existe.

FINA.

FINA, bravo.

AGIPE.

Comment vous dites ?

AGIPE.

AGIPE, ça existe encore, non ?

Avec le dragon.

Ça existe encore.

C'est un lion, je crois, mais...

Non, c'est un dragon.

En tard, il n'y a pas un truc.

Bravo, FINA, en tard.

Là, c'est vraiment une question pour les jeunes.

Et oui, mais ça a disparu, ces enseignes,

de stations essence.

On allait chez ENTARD, on allait chez FINA.

Pourquoi ça disparut ?

Parce qu'ils ont été rachetés par les autres gros fans.

Ça appartient maintenant soit à Total, soit à Shell.

Vous voyez, les autres compagnies ont racheté,

ou ENTARD, ou FINA, elle est une troisième.

Avec le petit bonhomme bleu, là,

il y avait un truc avec le petit bonhomme, non ?

Alors.

Il y a un pompiste.

Alors, alors.

Ça disparaît parce qu'il n'y a plus de pompe.

Alors, justement, on va parler...

Il va parler nu, maintenant.

Allez voir son film.

Ça va apparaître, ça, quand même.

C'est bon, j'ai fait la blague, c'est bon.

Est-ce qu'il sait avec ça qu'elle espère faire le plein ?

Bon, tout cas, les distributeurs font un geste,

un petit reste sur les cartes.

Mobile, mobile.

Mobile !

Il va être le roi de la station essence.

Bravo, Monsieur Bellamy.

Comment se fait-il, Monsieur Bellamy,

que vous connaissez à ce point, les stations essence ?

Parce que ma mère m'a raconté

que j'ai appris à lire avant le CP,

en lisant sur les...

Les enseigles.

Les enseigles.

Ah, tu as le permis, toi ?

Oui.

Olivier, tu as le permis.

Tu dois être chiant, au voiture.

Pourquoi ?

Je ne sais pas.

Il a la tête d'un mec qui prend des célants

pour tourner à droite.

Je suis lentement...

Je suis distrait.

Non, non, ça, mais...

Non, mais je suis en plus dans l'émission,

on ne faut pas croire.

Ça doit être insupportable.

En voiture, il est super cool.

Il a la blague.

La caisse, tout le temps, il parait.

Non.

Comment tu sais ?

Non, ben, c'est...

Là où on se fait avoir toujours,

et moi, j'avoue, moi-même,

ça peut m'arriver,

mais j'ai toujours peur quand je le fais.

On se...

C'est une caisse en voiture ?

Non, on se gratte un peu...

Enfin, mieux que se cure le nez.

On se cure le nez au feu rouge.

Et j'ai toujours peur dans ces cas-là

qu'il y ait quelqu'un

qui rentre dans la voiture derrière

au même moment.

Vous voyez que le doigt...

Ah, oui.

Ah, Georges, c'est une crotte de nez

dans le visage.

Ah, oui, racontez-nous ce moment.

C'était...

C'était une porte-cochère ?

Non, j'étais au feu

avec une amie, j'étais passagère.

Il y avait un mec qui...

qui faisait ça avec son nez,

qui décrotait son nez.

Et puis, il a accéléré très vite,

et hop, ça crotte de nez,

mais t'as arrivé ici !

On l'a rattrapé,

je lui ai relancé comme...

C'était pas un film de film...

Tu t'enlais pas un film

de filet plachaud, putain ?

On va essayer de relever le niveau, quand même,

et je vous emmène au théâtre,

M. Barbier,

m'aller au théâtre,

et là, il s'agit d'un monologue,

qui est mis en scène en plus

par quelqu'un qu'on aime beaucoup,

Virginie Le Moine.

Et c'était les ramas

qui nous parlent de cette pièce,

monologue,

au studio Héberto,

c'est le 17e arrondissement de Paris,

un monologue que vous pouvez

aller applaudir,

si vous en avez envie,

jusqu'au 7 novembre prochain.

Et c'est le titre

qui m'a interpellé,

évidemment, le titre de ce monologue,

puisque ça s'appelle

Quand je serais grand,

je serais...

Mais je serais qui ?

Un homme.

Non, quand je serais grand,

je serais grand, je serais...

Virginia Woolf ?

Virginia Woolf ?

Non.

Je serais papa ?

Non, non, non.

Vous ne serais pas de gauche ?

Non, non, non.

Quand je serais grand, je serais...

Une femme ?

Une femme, oui.

Une chanteuse.

Une chanteuse, oui.

Dalida ?

Dalida.

Dalida, non.

Non, c'est l'Indion.

Alors, c'est l'Indion,

ça, c'est une autre pièce.

Ah bon ?

Isabelle Boulet,

on a dit une chanteuse,

c'est-à-dire Barbara.

Parce que c'est vrai...

La Rousseau.

C'est vrai, aujourd'hui,

c'est d'être Céline Dion.

Et c'est...

Vous commencez au niveau des dents ?

Non.

Non.

Moi, à parler dents,

je n'y reviens rien.

Est-ce que c'est pas Barbara ?

Non, ce n'est pas Barbara.

C'est une chanteuse française.

C'est une chanteuse française.

Ce n'est pas Sheila.

Des Irelèses ?

Non, non.

Et l'autre pièce,

en question,

c'est une pièce de Yasmina Reza,

qui s'appelle James Brown,

mettait des bigoudis.

Oui, James Brown, bonne pièce.

Et là, le héros

se prend pour Céline Dion.

Oui.

Mais voilà,

rien à voir avec la pièce

Chantal Goya.

Quand je serai grand,

je serai...

Il paraît que chantal Goya

vous aiguille.

Oui, elle m'a écrit sur Instagram.

Et moi aussi,

je lui ai dit à chantal,

je peux pas.

Ah, vous lui avez dit

que vous ne pouviez pas ?

Non, mais non.

Je lui ai pas dit,

mais je profite de l'antenne

pour lui dire.

Ah, non, on a dit

qu'on irait tous les deux.

Ah, mais c'est très bon.

Ah, pourquoi il est avec vous ?

Parce qu'elle nous a invité.

Où est-ce qu'elle nous a invité ?

Elle nous a...

Au palais des sports, je crois.

Alors...

On pourrait aller voir Pandit Pandan

Mais moi, j'aimerais bien aller avec Laurent.

Mais c'est des places debout.

Je rêve de vivre ce moment

où moi et Laurent,

on est tous les deux en fait.

Attention, Balanie a fait une blague.

Trop vigno.

Ah, pardon.

Et le pire, c'est qu'elle est pas mal.

C'est quoi la banque, c'est quoi la blague ?

Elle se refait là, Balanie.

Il n'y a que des places debout.

Chantal Goya, Jean-Jacques Debout.

Vous voyez.

Oh, bah voilà.

Il y a, il y a, il y a, il y a, il y a.

Vigno, les spectacles de Chantal Goya.

Qu'est-ce qu'il y a à vous ?

C'est adorable.

C'est poétique.

C'est super.

Ils sont magnifiques.

Moi, je l'ai vu deux fois.

Moi, j'adore.

Pour revenir à votre question,

est-ce que c'est François Zardy ?

Non.

On t'emmerde avec notre conversation ?

Non.

Est-ce que c'est Mylène Farmeux ?

Non.

Quand je serais grand, je serais...

Barbara.

Barbara.

Non, non, non.

C'est un monologue signé David Lollet et l'eau.

C'est mis en scène par Virginie Le Moine.

Et c'est...

Didier Souza.

Non.

Et c'est Didier Constant,

l'acteur qui joue le monologue.

C'est très drôle Didier Constant.

Voilà.

Et Didier Constant joue donc...

Quand je serais grand, je serais...

Est-ce que c'est le chanteuse française ?

Non.

Voilà.

Mais connu internationalement.

Internationalement.

Alors non, mais...

Gloria Gaynor.

Gloria Gaynor, non.

Est-ce qu'elle est morte ?

Ah non, elle est vivante.

Elle est vivante.

Je l'ai croisée encore,

il n'y a pas si longtemps pour te vous dire.

Dis-je en mer ?

Madonna.

Elle n'est pas française,

hein, vous avez dit ?

Non, elle n'est pas française.

Elle est américaine ?

Elle n'est pas américaine.

Elle est anglaise ?

Elle n'est pas italienne.

Elle est allemande.

Elle a même été heureuse députée,

à une époque, hein.

Corine Lepage.

Corine Lepage.

Corine Lepage, non.

Ça, c'est à mon nom le spectacle, hein.

Quand je serais grand, je serais...

Nana Muscurie.

Quand je serais grand,

oui, je serais Nana Muscurie.

Bravo.

Olivier Bellamy.

C'est pour vous, Monsieur Bellamy.

Ah oui.

Vous aimez ça, hein.

Ah, j'adore.

Ah, c'est bizarre.

Vous voyez plus écouter Métallica.

Qu'est-ce que vous dites ?

Non, c'est bizarre que vous aimez Nana Muscurie.

Je le voyais plus brancher Métallica.

Elle a une voix très juste.

Elle a une voix très juste.

C'est bien pour une chanteuse.

Qu'est-ce que vous appelez ?

Une voix très juste.

Qui ne chante pas faux.

Oui, c'est la base, normalement,

pour...

Non, non, non.

Parce que tout le monde chante un peu faux,

d'ailleurs.

C'est ce qui donne l'expressif.

Donc voilà.

C'est ça.

J'en ai une autre,

si vous préférez Nana Muscurie.

Non, non, non.

Une fille que Ariel ne connaît pas.

Putain.

Moi, c'est l'humour.

Parole de Masha Meryl.

Qu'est-ce qu'elle vous a fait, Masha Meryl ?

Pas trop.

Encore une pour la route.

Ça fait un bel hymne

pour la couture de rugby.

Ah, ça, ce serait bien

pour la couture de rugby.

Ça, oui.

Mais après, c'est la grâce au rugby.

Après, c'est la grâce.

Presque du ravelle.

J'adore.

C'est de la technique.

Elle aura 90 ans,

l'année prochaine.

Elle fait plus.

Elle a 89 ans, Nana Muscurie.

Elle chante à coeur.

Pardon ?

Elle chante à coeur.

Elle chante pas vraiment aujourd'hui.

C'est pas du chantier.

Les chevrottes, mais ne chantent plus.

Non, mais c'est une carrière extraordinaire.

Ah oui.

Carrière extraordinaire.

Et la preuve,

c'est qu'il y a quelqu'un

qui joue un spectacle actuellement

qui s'appelle Conch Régrand.

Je serai Nana Muscurie.

Une question pour Anthony Huett.

Monsieur Huett habite Paris.

Pas trop, il y a Bellamy,

il est parti au Gogue.

Non.

Je vous préviens,

parce que ça va manquer d'esprit, on va dire.

Pas forcément d'humour,

mais d'esprit.

Faites-toi étire la chasse, cette fois.

On met partout, à chaque fois.

Pire que Bellamy.

Arielle, faites quelque chose.

Retenez-le.

Je ne sais pas.

Bellamy ou moi ?

Non, vous.

Vous prévenir,

et les auditeurs,

que Bellamy ne serait pas là,

donc on ne va pas...

Salut, c'est vous qui parlent dans la pub.

Il lui avait dit,

tu peux y aller.

Il se fait dessus.

Pour Anthony Huett,

c'est une question très intéressante,

puisque la France va en gagner 2.

L'Espagne aussi,

et les Pays-Bas, mais de quoi ?

Des étoiles de...

Des étoiles, non.

Des places dans un classement.

C'est une question fort intéressante,

et c'est une question,

je dois dire, dont j'ai appris...

appris l'information,

grâce au journal Lacroix.

On oublie de le dire,

mais c'est souvent

de très bonnes informations,

un très bon journal dans Lacroix.

C'est un super journal.

C'est sportif.

Il va en gagner 2.

Sportif, non.

La France va en gagner 2.

Des places.

Non.

L'Espagne aussi.

Est-ce que c'est des places

dans un classement ?

Non.

Et les Pays-Bas aussi.

Est-ce que c'est un cadeau

fait entre pays ?

Un cadeau...

C'est le fait entre pays,

pas tout à fait.

C'est le patrimoine universel

des Nations Unies,

de l'UNESCO.

C'est pas un étiquier restaurant

qui ne marche qu'aux Vatican ?

Non.

Est-ce qu'ils vont gagner

des tableaux,

quelque chose comme ça,

dans un bilet ?

Non.

Et Monsieur Barbier,

devraient savoir

répondre à cette question.

Ah, c'est des échappes rouges ?

Non.

Des médailles ?

À vous d'être revenus, vous, alors.

Allez, allez, allez.

J'essaie, Laurent.

Il a laissé des députés européens

supplémentaires.

Excellent !

Très fort, Criptop Barbier.

Bravo.

Et oui,

puisque les Anglènes

ne sont plus au Parlement européen,

depuis le Brexit,

il n'y a plus autant

de députés là-bas à Strasbourg

et on va profiter

des prochaines élections européennes

pour, évidemment, remettre tout ça

à plat.

Et ça veut dire que la France

aura deux députés européens

supplémentaires.

On doit passer 79 à 81, c'est ça ?

Exactement.

Il y aura 80 élus

au Parlement européen,

plutôt que 79.

Même chose pour l'Espagne

et pour les Pays-Bas.

Ce, évidemment,

grâce au départ des Britanniques.

Au total, le Parlement peut compter

jusqu'à 751 parlementaires européens.

Là, ils ont été redescendus

depuis le départ des Anglais

à 705 membres.

Il y avait des sièges vides.

C'est un peu comme à l'Académie Française,

mais eux, c'est à cause des décès.

C'est pas à cause du Brexit.

Mais, effectivement,

tous les sièges,

tous les fauteuils n'étaient plus occupés.

La France désormais aura 81 élus.

D'autres pays auront le droit

à un petit siège supplémentaire,

l'Autriche, la Belgique, le Danemark

et la fin de l'ordre.

Pour le Portugal un peu aussi.

Parce que c'est un siège,

il faut faire un trou d'abord.

Il faut faire un trou au niveau des sièges

pour les fondations.

J'avais raison.

Après, il faut serrer.

Je ne les trouve pas les Portugais.

Ils n'auront pas de sièges supplémentaires.

Non, non, non, non.

C'est en fonction de la population.

Oui, exactement.

Trois pays seulement,

donc six élus au Parlement,

Chypre, le Luxembourg et Malte,

mais c'est plutôt normal au fond.

Ils sont tout petits.

Voilà, ils sont tout petits.

Alors nous, les Français,

on en a un peu plus,

81 élus.

Alors, c'est moins que les Allemands.

Oui, mais pour un temps court,

parce que la démographie allemande

fait que, dans quelques décennies,

vous verrez, on aura plus d'élus que.

Il paraît que les Anglais veulent revenir.

Ah bon ?

C'est vrai.

Non, non, je pense qu'on ne les laissera pas revenir.

Surtout, mais c'est vrai

qu'ils commencent à y avoir un mouvement

pour dire qu'on a fait une boulechette.

On veut revenir.

Comment vous savez ça ?

Parce que j'ai vu...

Vous avez appris ça dans une situation récente.

On espère qu'on est en presse.

C'est dans le cours.

Il vient de le lire aux chiottes, tranquille.

Bon, en tout cas, voilà,

pour les nouveaux chiffres du Parlement européen.

Ça doit être voté aujourd'hui.

Voilà pourquoi je vous en parle.

Et c'était dans le journal La Croix.

Et c'était une excellente

réponse et sa spécialité

de Monsieur Barbier.

Et on vote le 9 juin 2024.

Encore une question sur le cinéma.

Arielle, pardonnez-moi,

mais on n'a pas parlé encore

d'un autre film qui vous est concurrent.

C'est le film de Catherine Breia

avec Léa Drucker.

Bon, c'est un peu sulfureux.

C'est l'histoire d'une belle-mère

qui couche avec son beau-fils.

Ça peut arriver.

Ça peut arriver.

Ça peut arriver.

Ça peut arriver.

Fédéric Polit.

Fédéric Polit.

Il a 17 ans.

Non, dans la famille Drucker,

ça se fait pas normalement sur deux choses.

Bréal, c'est à peu tout le monde.

Il y a Comarcy qui n'est pas passé.

Elle a une particularité, Catherine Breia.

C'est qu'elle a fait tourner des gens étonnants

dans ses films.

On se souvient de Rocco Cifredi.

Oui.

Et oui, qui avait joué dans Romance.

Mais plus récemment encore, en 2007,

elle avait réalisé un film

qui s'appelait Une Vieille Maîtresse.

Avec Asia Argento.

Oui.

Et Pédélope Fillon.

Non, je vous demande

qui jouait la marquise

dans Une Vieille Maîtresse

film de Catherine Breia.

Tiré de la nouvelle de Barbé d'Oruvili.

Absolument.

C'était une non-actrice,

c'était une personnalité publique.

Ce n'était pas une actrice.

Une politique.

Une politique, non même si elle s'en mêlait.

Vous avez raison.

L'actrice principale, c'était Asia Argento,

cher Ariel.

Mais Une Vieille Maîtresse, c'était aussi...

C'est le Française ?

Il y avait Anne Pario,

il y avait Yolande Moro,

et il y avait surtout...

Moi, je m'en souviens particulièrement.

Ah, Annie Pujol ?

Non.

Tu faisais les lettres, là.

Vous savez que c'est la famille

du Pujol, le Pétopin Annie Pujol.

Avec l'huile d'olive ?

On en a parlé ici.

Je suis à côté du mec

qui lâche des caisses en voiture.

Tout se recoupe.

C'est une intellectuelle ?

Intellectuelle, on peut pas dire ça,

mais d'une famille d'intellectuelles.

Une famille d'intellectuelles.

C'est pas une actrice.

Et j'irai même,

jusqu'à vous donner

une petite indication supplémentaire,

une grosse tête.

Christian Lecrant ?

Une grosse tête, non.

Je suis une grosse tête,

mais je n'ai jamais été grosse tête.

Valéritre Valéle ?

Peut-être, après.

C'est pas Valéritre Valéle ?

Ah non, non.

Une grosse tête.

Vous avez une bachelot ?

Non, une grosse tête,

et là, ce qui nous a quitté depuis...

Michelin d'Aix.

Non, non, non.

Anne Marie Pesson.

Anne Marie Pesson n'a jamais été grosse tête.

Valéritre Valéle.

C'est une femme qui a été grosse tête,

qui a décédé ?

Oui, bien sûr.

Jacques Isardoux ?

Non, Nathalie Saroute.

Claude Saroute.

Claude Saroute.

Claude Saroute.

Claude Saroute.

Claude Saroute.

Pas la réponse de Sébastien Toël.

Eh oui.

Il n'y a pas rien.

Ah oui, oui.

J'ai quand même été...

C'est Riel qui a répondu.

Faire dont c'est vrai que Nathalie

était la mère de Claude Saroute,

grand écrivain,

et que Claude Saroute,

elle,

était une grosse tête.

Et Claude Saroute jouait

dans une vieille maîtresse

de Catherine Brias.

Peut-être, le seul rôle,

je pense même, je suis à peu près sûr de ça,

le seul rôle qu'elle ait joué au cinéma,

ça l'avait fatigué.

Il aurait marre d'aller

sur le tournage de ce film à l'époque.

C'est chiant.

Le cinéma, c'est long.

C'est long.

On n'imagine pas comme c'est long.

Parce qu'elle a joué vous aussi.

C'est pas mal de rôles,

mais j'en ai fait quelques-uns.

C'est fousé comme rôles au cinéma.

Oui, je passe la planche

dans Titanic, là.

C'est pour me taper l'autre con,

qui est en train de mourir dans l'eau.

Vous auriez pu donner un rôle

à Toël dans votre film, Riel.

Ah oui, absolument.

C'est ce que pour faire les entrées.

Vous allez donner un rôle à Julie de part Dieu.

C'est déjà pas mal,

c'est l'heure de l'invité du jour.

Et l'invité du jour,

à l'occasion de la sortie aujourd'hui

dans les salles de cinéma,

des secrets de la princesse de Cadignan,

le nouveau film d'Ariel Dombal.

C'est celle qui n'ont pas l'arrivée

à l'ami de la princesse de Cadignan

dans ce film.

Je vous demande d'accueillir Julie de part Dieu.

Elle est au côté d'Ariel Dombal

dans ce film qui partage l'affiche.

Il faut le dire aussi avec Michel Faux

qui joue au Nauré de Balzac,

avec Olivier Piste, Anislas Mérin,

Cédric Cannes.

Voilà, entre autres,

le principal casting

de cette princesse de Cadignan.

Bonjour Julie de part Dieu.

Bonjour.

J'ai dit que vous étiez amis

avec la princesse dans le film.

Je ne me suis pas trompé,

même s'il y a un concours de nichant

à un moment donné.

Oui.

Une petite évaluation.

Voilà, juste pour vous voir.

Voilà.

Vous êtes marqué par Balzac,

parce qu'en vérifiant

et en révisant votre parcours,

je me suis aperçu que votre première apparition

à l'écran,

c'était dans un film

tiré d'une oeuvre de Balzac.

Ah, le truc de José Dayan,

c'était tiré d'une oeuvre de Balzac ?

Non, non, mais le colonel Chabert...

Ah, c'est vrai.

Mais bien sûr.

Le colonel Chabert, c'était Balzac déjà.

Mais c'était un tout petit rôle muet, presque.

Ah ben oui, mais c'était votre première fois

au cinéma,

et c'était déjà Balzac.

Et au théâtre.

Et au théâtre aussi.

J'allais vous le dire.

Oui.

Au théâtre, c'était...

Ça s'appelait mémoire de deux jeunes mariés.

Balzac marque votre parcours d'actrice

jusqu'à ce film qui sort aujourd'hui.

Alors, comment...

Là, on a envie de savoir,

parce que nous, on connaît

la Riel Dombal Broustette,

la Riel Dombal Chanteuse.

Mais on a un peu de mal à imaginer.

Surtout qu'elle a les deux casquettes.

Elle est l'imprincesse devant les caméras.

Mais on a du mal à imaginer

la Riel Dombal réalisatrice

avec la casquette, justement,

de mes deux enseignes.

Eh bien, je l'ai vu.

Alors, racontez-vous.

Alors, c'est stupéfiant

ce château immense, sublime,

où tout est magnifique,

où tu peux pas faire grand chose,

parce qu'il y a des collections de papillons,

il y a tellement de choses d'époque.

Il faut expliquer

que c'est le château

qui appartient à monsieur...

Jacques Garcia.

Monsieur Jacques et Garcia.

Il a une collection étonnante

de tous les objets de Marie-Antoinette.

Tout est vrai.

Donc, c'est vachement compliqué

de faire une connerie dedans.

Et à Riel, qui sait

exactement ce qu'elle veut avec ça,

robe les cheveux,

les mains.

Des fois, elle était habillée

à moitié.

Elle avait ses instructions.

Elle poursuivait le cadran.

Elle disait, oui, c'est bien ça que je veux.

Oui, je retourne au maquillage.

Enfin, c'était tout le temps ça.

Riel Dombard, réalisatrice.

Écoutez, j'ai lu la presse ce matin.

Je dois dire que, principalement,

on dit que c'est votre meilleur.

On dit que vous avez fait des ovnis

jusque-là qu'on ne comprenait pas

toujours tout.

Moi-même, je l'ai dit ici.

On ne comprenait pas toujours tout

à vos films,

mais que celui-là,

il est accessible au plus grand public.

C'est vrai, parce qu'il est spectaculaire.

Et puis, c'est tout de même

un film féministe.

Et c'est un peu le chef-d'œuvre

inconnu de Balzac,

dans la comédie humaine.

C'est une sorte de pépite.

Et donc, dans cette princesse

de Cadignan,

il est question d'une libération féministe.

Car, il ne faut pas oublier

qu'à l'époque,

les femmes étaient mariées.

Je vais en parler moins

ces privates d'or.

D'accord, d'accord.

Mais moi, je connais mon sujet.

Vous êtes une grande séductrice arrière.

Oui, oui.

Je parle dans le film, évidemment.

Dans la vie,

vous êtes la femme d'un seul homme,

ça en le sait.

Alors que là,

vous en profitez pour être une croqueuse.

Je n'en profite pas du tout.

C'est-à-dire que Balzac

a décrit cette princesse.

C'est la réputation qu'elle a, en tout cas.

Voilà.

Elle est une très mauvaise réputation.

C'est une diablesse.

C'est une chasseresse.

C'est quelqu'un d'assez redoutable.

Voilà.

Et c'est une vangeuse de femmes.

Alors, il faut parler des costumes,

parce que c'est vrai que c'est magnifique.

Non, franchement,

on en a pour son argent sur l'écran.

Parce que c'est...

On a l'impression...

C'est un peu d'ailleurs ça,

le propos, on a l'impression

de tourner les pages

d'un livre d'histoire.

Oui, parce qu'on a essayé

d'être très justes

et en même temps

de faire un film

qui soit très spectaculaire,

avec également

tout le faste de l'époque.

Les gens allaient à l'opéra.

Il y avait des balles.

Il y avait des balles.

Alors je vais le dire,

parce que ça,

ça ne dit pas pour des plaires

à Julie de Pargueuil.

Il y a des scènes d'opéra.

Il y a deux ou trois scènes

qui se passent à l'opéra.

Magnifique.

Vous êtes d'accord ?

Oui.

Ça se passe où,

ces scènes-là ?

Parce que c'est pas le vrai opéra,

j'imagine.

C'est à Riel, je pense.

Non.

Non, non, c'est...

C'est métro-opéra, en fait.

Oui, oui.

On a tourné

dans toute la région

de l'heure.

Et donc, c'est...

à l'opéra,

au théâtre d'Evreux.

Et pour les costumes,

il faut citer votre ami,

Vincent Daré,

qui a travaillé

sur l'ensemble

de ses costumes.

Et uniclos.

On embrasse.

Non, parce que c'est vrai

que les costumes

sont époustouflants.

Vous les...

Et puis,

gardez votre robe,

Julie de Pargueuil.

Est-ce que vous êtes partieux ?

Non, non.

Non, non.

Il faut rendre les costumes

à la fin.

Oui, quand même.

Pour rendre le château

et les costumes.

Voilà.

Et oui, on ne prend rien.

Mais j'ai une surprise

pour vous, Julie de Pargueuil.

Oui, oui.

Regardez.

Comme si une seule,

Ariel Dombal,

ne suffisait pas.

En voici,

une deuxième,

grâce à Marc-Antoine Lebré.

Bonjour, c'est Ariel.

Hola, soy Ariel.

Silence, on tourne.

Et action, Julie.

Pardon, Laurent.

J'ai cru que j'étais

sur le tournage de mon film.

Et puis, je me suis rappelé

que j'ai plus de goût

pour les figurants.

En plus,

vu l'époque de mon film

avec son écharpe rouge,

Christophe Barbier

serait passé

pour un révolutionnaire

de grosses têtes

à grosses têtes coupées.

Julie,

ça a été un réel plaisir

de faire ce film avec toi.

Veux-tu chanter avec moi

du handle ?

Non, merci.

Stéphane Bern est avec nous.

Oui.

C'est vrai,

qu'un film

sur la noblesse

me donne joie

et allégresse.

Depuis la disparition

de la reine,

je fais tout

pour avoir ma dose

de royauté quotidienne

telle un vulgaire toxico.

J'ai vu le film d'Ariel

et Julie

129 fois au ciné

en bouffant

des royales cônes.

Je vais au Burger King

3 fois par jour.

Et surtout,

avec toute cette malbouffe,

je passe un temps

fou sur le trône.

Oh non.

Oh non.

Julie Depardieu,

avant de tourner

avec Ariel Dordbal

il y a quelques années

vous aviez tourné

avec Maywen

dans le Bal des Actrices.

Il y avait

de nombreuses comédiennes

de talent

et il n'y avait pas chantale

là-dessous.

Bonjour.

Où est-elle ?

Bonjour Julie.

Alors, on fait un film

sur les actrices.

On n'appelle pas

dans un chanton.

La comédienne

de talent

qui fait émouvoir le public

et faire pleurer les stagiaux.

Comment ça ?

Je suis trop âgée.

Je ne suis pas vieille.

Je suis millésimée.

Bravo.

En plus,

le Bal des Actrices,

ça m'aurait changé d'ici.

Parce que d'ici,

c'est plutôt le Bal des Cascaux.

Pas la peine

de complimenter ma voici.

Avec Delicat,

je ne te filerai jamais

le numéro de nos belles filles.

Il faut dire quand même,

Julie,

que vous avez tourné

avec la vraie chantale là-dessous.

Bien sûr.

On a fait une trilogie.

Et la fameuse trilogie,

c'est quoi cette mamie ?

Exactement.

Les papies,

ils sont dans un sale étal

et d'eux.

On a retrouvé le papy.

On a retrouvé la mamie.

Il y aura un quatrième volet.

Non, je ne crois pas.

En tout cas,

les médecins disent que non.

Elle rappelle les vrais.

Maintenant.

Alors...

Ah oui.

Alors...

Donc...

Julie,

de pardon, bonjour.

Pardon,

en fait,

j'ai été perdu dans mes fiches.

Donc Julie,

de pardon,

je me dis que vous êtes la fille

de la gare

de par Dieu Allon.

Je me suis trompé.

En fait,

c'est pas ma fiche,

que je dis,

c'est mon billet TGV.

Je suis un peu étourdi.

En fait,

j'ai un billet de train

pour aller à Lyon.

Parce que je vais voir

ma tante

à Troie,

dans l'aube.

Donc là,

vous allez dire,

pourquoi je vais à Lyon

alors que je vais à Troie ?

Je vous l'ai dit,

je suis étourdi.

C'est bien lui.

Ah oui.

On confirme.

Du coup,

je n'ai pas de question.

Bah Laurence,

si vous en avez une,

allez-y parce que moi,

je vais rater mon train.

Non, mais je vais arriver

quelqu'un que Julie de par Dieu

connaît bien

et à Riel aussi,

quelqu'un qu'on aime bien.

C'est

l'acteur et chanteur

Philippe Quatri.

Oui.

Oh !

Enlève ta moustache.

Oh !

Alors là,

ma Julie,

elle se dit,

pourquoi il vient me faire chier au boulot ?

Il n'y a pas de vaisselle

à la maison ?

Oh !

En tout cas,

pour ce film,

je tiens à te dire

que pour moi,

t'es pas dans la vie

comme à l'écran.

Non,

à l'écran,

t'es une marquise

et dans ma vie,

t'es une princesse.

Oh !

Bravo !

Oh !

Oh !

Julie de par Dieu,

vous acceptez,

j'en suis sûr,

de rester avec nous

pour faire la valise,

etre-t-elle

avec Riel Dombard ?

Bien sûr.

Puisque

Riel,

ça lui manque la valise.

Là,

c'est elle

qui faisait la valise

qui aux invités,

mais là,

vous allez pouvoir la faire

toutes les deux,

la valise etre-t-elle,

tout de suite après la pub.

La valise.

La valise etre-t-elle,

qu'on va confier donc

à Julie de par Dieu

et sa réalisatrice,

à Riel Dombard.

Julie,

vous connaissez le principe

à peu près de la valise ?

Vous vous rappelez comment ça se passe ?

Rappelez-moi.

Alors,

écoutez,

la Riel,

vous pouvez expliquer.

Alors,

on appelle un auditeur

ou

une auditrice.

Et ensuite,

on lui demande

un numéro.

Il nous dit ce qu'il y a

dans la valise.

Par exemple,

on peut dire

un gonmichel.

Un truc sympa !

Donnez-moi d'abord

un numéro de

1 à 20,

si vous le voulez bien,

cher Julie.

17.

Le 17.

Voilà.

Nous allons appeler

Olivier Ribard.

Vous notez bien ?

Oui.

Pas Nibard.

Je sais que vous montrez

votre sein

dans le film d'Ariel,

mais là,

c'est M. Ribard.

Et il habite

dans le Calvados.

M. Ribard,

ça sonne chez

M. Ribard.

Oui.

Oui, bonjour.

C'était RTL

de la valise RTL.

Oui.

Est-ce que vous savez

qu'est-ce qu'il y a

dans la valise ?

Aujourd'hui.

Pardon.

Vous êtes sur RTL,

M. Ribard.

Oui.

Vous avez été choisis

pour nous dire

qu'est-ce qu'il y a dans la valise ?

Oui.

Ah, vous le savez.

Oui.

Voilà.

C'est Julie de Partieu.

Oui, c'est partageux.

Oui, c'est partageux.

Oui, c'est partageux.

Oui, c'est partageux.

Oui, c'est partageux.

Oui, c'est partageux.

Nous sommes en 1990.

Nous sommes en 1990.

Sans fait du monde d'un coup.

Julie de Partieu est là

pour nous parler du film

d'Ariel Domballe.

Et évidemment,

on leur a demandé

à toutes les deux

d'appeler pour la valise RTL

et ça tombe

sur vous, Olivier.

Et bien,

là,

vous y reprenez.

Ah ben, je m'en prends.

Ah ben oui.

Tout le monde,

merci beaucoup de m'appeler.

Qu'est-ce que vous faites

dans la vie, Olivier ?

Je vend du matériel et d'école.

Ah, très bien.

Alors, est-ce que vous avez

le contenu de la valise RTL,

comme vous l'a su gentiment demander ?

Julie de Partieu.

Alors attendez,

je prends la liste.

C'était 1087.

1087 euros.

Ça, c'est vrai.

Mais oui.

Bravo.

Oui, bravo.

Vous y êtes.

Ça, c'est gagné, déjà.

J'avais un brossadeur

maille variation.

Oui,

brossadeur électrique

maille variation.

Et...

Deux places de théâtre

pour oublie-moi.

Au théâtre La Bruyère.

Deux places pour oublie-moi

avec Marie-Julie Beaup

et Thierry Lopez.

Une pièce qui a tri en fait

toute la saison dernière

et qui se prolonge

cette année

au La Bruyère.

Vous avez gagné

la valise RTL.

Bravo.

Bravo.

Oui, oui.

Bravo.

Alors là, bravo.

Je suis désormis.

Je suis désormis.

Je suis désormis.

C'est folie.

Ah, vous êtes sûrs

que vous êtes ému ?

Ah ben oui, oui, oui.

Quand ça vous arrive,

c'est vrai que ça fait un effet.

On entend les gens

qui disent, oui,

ça fait un gros effet,

mais c'est...

On parle pas de l'euro-million,

non plus.

Ah oui, quand même,

avoir Julie de partie

au téléphone,

c'est pas tout.

Oui, non, mais on se rend pas compte là.

C'est pas tous les jours.

Bravo.

En tout cas,

vous avez super bien noté.

Mais oui, c'est...

Et Ariel,

est-ce qu'on lui offre aussi

deux places

pour aller voir votre film ?

Oh ben non,

il était content.

Olivier,

eh bien,

oui.

Bah voilà.

Deux places

pour la princesse.

Olivier,

est-ce que vous voulez parler

à Jacques Martin ?

Bon.

Non,

mais vous allez choisir

le nouveau montant

de la valise,

monsieur Ribard.

Eh bien,

1090.

1090 euros,

voilà,

le nouveau montant

de la valise Ertelle.

Attention,

d'ici à demain,

quelqu'un

ajoutera sûrement

quelque chose

sur l'antenne.

On va remercier

encore Julie de part Dieu.

Arrêtez,

on va,

évidemment.

Julie,

qu'est-ce qu'il nous voit

pour la sortie du film,

la princesse de Cadignan.

On se retrouve demain

à 15h30,

et dans un instant,

vous allez retrouver

Marc Portois de Lebré

avec Julien Seigneur.

Bonsoir Julien.

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Avec Arielle Dombasle, Chantal Ladesou, Olivier Bellamy, Jérémy Ferrari, Sébastien Thoen et Christophe Barbier.

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