Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du mardi 5 septembre 2023

RTL RTL 9/5/23 - Episode Page - 1h 44m - PDF Transcript

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Qu'est-ce que vous avez fait pendant la guerre, M.Geluc ?

Écoutez-moi, je veux être ami avec tout le monde.

Je me dis, si mine cats peut leur plaire, il n'y a pas de problème, je lui dessine une petite moustache.

En tout cas Max Verstappen, Overstappen, comme vous dites, est effectivement un très grand pilote de F1 qui finira sûrement encore sur le pion du monde à la fin de la saison,

parce qu'il a beaucoup d'avance sur ses camarades, et effectivement, surtout, ils viennent gagner 10 grands prix de suite.

Maintenant, je vais vous parler de Frank Maurice, des frères John et Clarence Englin, qui, en 1962, ont fait parler d'eux-mêmes, si on ne sait pas,

si ils ont survécu, mais survécu à quoi ?

Un crash d'avion.

Non.

Vous pouvez dire, vous avez prononcé un nom, j'ai pas compris.

Frank Maurice et les frères Englin, John et Clarence Englin.

Une expédition, une expédition ?

Une expédition, on peut considérer qu'ils ont effectivement...

Le Kilimanjaro.

Non, mais l'expédition, ce n'est pas tout à fait le mot, mais en tout cas, c'était quelque chose.

Ils étaient quatre.

Alors, ils étaient trois, Frank Maurice.

Ils ont traversé...

John et Clarence Englin.

Comment ça, c'était qui, Englin ?

On sait vraiment que ça vous aider.

Ça n'a pas m'aider, parce que je vais comprendre de quel pays ils viennent.

Ils sont américains, alors écoutez.

Si vous me le demandez, je vous le dis.

On ne sait pas s'ils ont survécu.

On ne sait pas.

Est-ce que ce serait les oncles de l'Igonès ?

Non.

Ils ont disparu quelque part ?

On ne sait pas s'ils ont survécu, on n'a jamais su, mais en tout cas, ils ont fait quelque chose d'étonnant.

Alors, évidemment, s'ils ont survécu, c'est encore plus étonnant,

s'ils n'ont pas survécu, ça n'est moins.

Ils l'auraient dit s'ils avaient survécu, qu'ils n'avaient pas, qu'ils l'ont fait.

Ah ben non, justement.

Ils se sont évadés, ils se sont évadés.

Ils se sont évadés, ils se sont...

Mais...

Tais-toi !

Ils se sont évadés !

D'où ?

D'Alcatraz.

D'Alcatraz, bonne réponse !

D'Ivabel Mergo et de François Desaviers de maison.

C'est bonne réponse de François Desaviers.

Ils se sont évadés d'Alcatraz.

En effet, ils ont creusé des tunnels, emprunté un cohéridor d'aération,

et ils sont arrivés à prendre la fuite sur un radeau qu'ils avaient fabriqué.

Sauf qu'on ne sait pas, finalement, s'ils ont réussi à atteindre San Francisco.

C'est pas loin.

Oui, s'ils sont morts dans la bête de San Francisco.

Est-ce qu'ils sont morts noyés ? Est-ce qu'ils se sont réellement évadés ?

On n'est pas les requins ?

C'est sûr qu'ils sont vivants.

Ouais, ouais.

C'est à l'heure de l'équellage, maintenant.

Ah ben ils sont évadés en 1962, je ne sais pas quel âge.

Ah ben ils n'avent pas que ça.

Ils avaient 36 ans.

Pourquoi je vous parle de cette évasion ?

Parce que c'est qu'il y a le procès, actuellement, de Redouane Faïde,

qu'on appelle le roi de l'évasion.

Il y a eu comme ça des grandes évasions à travers l'histoire.

Souvent avec des tunnels inconcreuses.

Ah ben oui.

Ben non, pas toujours, pardon, mais parfois c'est pareil.

Élicoptère.

À propos de tunnels, vous connaissez l'histoire du chantier du tunnel sous la manche ?

Non, allez-y.

Parce qu'ils avaient demandé des deux vies à tout le monde,

aux anglais, aux français, etc.

Et ça coûtait un pognon de dingue.

Et il y a un entrepreneur belge qui vient de leur faire une proposition très bon marché

par rapport aux autres.

Et le type s'en est donné, donc il le convoque.

Il dit, mais comment vous faites ?

Et il dit, ben c'est simple.

Il dit, moi je commence à creuser ici sur le continent,

et mon fils commence à creuser en Angleterre.

Et on creuse là vers l'autre,

et quand on se rencontre, le tunnel est fait.

Et le type dit oui, mais enfin, comme ça,

si vous ne rencontrez pas, qu'est-ce qui se passe ?

Ben il dit, vous avez deux tunnels pour le même prix.

Non mais, c'est ça vous.

Pardon, mais je sais que vous aimeriez bien me prendre en défaut

et rectifier ce que je dis.

Mais oui, j'ai dit qu'il y avait de plus en plus...

Enfin, la plupart des évasions se faisaient en creusant un tunnel,

mais pas toujours, effectivement.

Il y a aussi les hélicos depuis quelques années.

Ça se fait par hélicoptère.

Il y a aussi hélas, parfois, des prises d'otage,

tout simplement, qui terminent mal.

Michel Evojour, lui, c'était par Nico.

C'est sa femme qui a eu du conduit.

Il y avait un film avec Béatrice Da, absolument.

Oui, oui.

Vous avez eu quelle belle preuve d'amour, d'ailleurs.

Il y a les gens qui s'évadent en se coupant un membre,

et ils ont un ami chirurgien de l'autre côté

qui les recoue au fur et à mesure que les morceaux arrivent.

Il y a un mec qui s'appelait INS,

qui lui avait carrément enfermé à tour de clé.

C'est deux gardes dans les toilettes pour s'échapper

pendant que les autres étaient enfermés dans les toilettes.

Bon, prise d'otage, ça, c'est moins rigolo.

La grande évasion, ça, ça a été,

évidemment, un film incroyable.

Steve McQueen.

En 1944, 76 prisonniers tentent de s'échapper,

mais un des prisonniers va être repéré.

Il n'y en a que trois sur les 76 qui parviendront à s'enfuir,

tandis que 50 seront fusillés

sous les ordres d'Hitler.

Et ça a donné, effectivement, ce film,

la grande évasion.

Non, les évations, c'est toujours spectaculaire.

Mais Srin, évidemment aussi,

s'est évadée à plusieurs reprises.

Et puis, nous-mêmes, d'ailleurs,

à 18h, on va...

Et puis l'ancien directeur de Renault.

Ah ben oui, comme il s'appelait...

Carlos Ghosn.

Il s'est évadé du Japon dans une malle.

Oui, ça, c'est calme.

Dans la valise RTL.

Bonjour, le cadeau.

Mais ce n'est pas encore l'heure de la valise RTL.

D'abord, il y aura, évidemment,

notre invité du jour.

Et notre rendez-vous avec Marc-Antoine Lebré.

Notre invité du jour, on l'adore.

Évidemment, c'est le doyen du One Man Show

et des humoristes aujourd'hui.

C'est quelqu'un, évidemment, qu'on reconnaît tout de suite,

si je vous dis on n'est pas des sauvages,

ou si je vous parle des calçons moltenés,

ou si je vous parle des spectacles qui s'appellent

« Jeurale » pour vous.

Il y en a encore en réserve.

C'est la dernière fois où j'irai jusqu'au bout.

Et même un de ces derniers spectacles s'appelait

« Même pas mort ».

La preuve, c'est qu'il joue encore.

Mais cette fois, son spectacle s'appelle « Finit de rire ».

On ferme.

Je vous demande d'accueillir Popek.

Popek qui joue

au Théâtre de Passi

tous les dimanches

à 17h

jusqu'au 31 décembre.

Finit de rire.

On ferme.

Ce sera à 17h tous les dimanches.

Voilà, vous travaillez le dimanche

contrairement à d'autres qui s'arrêtent ce jour-là.

Tous les dimanches à 17h dans le 16ème arrondissement

dans un très joli théâtre

qui est né il y a peu de temps.

D'ailleurs, le Théâtre de Passi, là,

ou deux ans seulement.

Et vous jouerez à 17h.

Se rendez-vous donc dominical avec votre public.

C'est une sorte d'envoi

quand même pas à Dieu, Monsieur Popek.

Oui, oui.

D'abord, je suis très heureux d'être de retour parmi vous.

Merci de votre fidélité.

Finit de rire,

parce que je m'arrête.

Définitivement,

il y a un moment donné où il faut

s'y retirer en pleine gloire

plutôt que d'aller rester en pleine merde.

Il n'est pas si jeu que ça.

Monsieur, regardez, Hugo Frey

vient de se marier.

J'admire Hugo Frey.

Moi, je n'ai pas osé

quitter ma femme.

Je suis mariée en 1969.

Et

nous sommes toujours ensemble

avec cette saleté.

Mais quand vous dites que

que vous arrêtez,

vous pouvez faire du cinéma aussi.

Parce que je comprends que la scène

soit fatiguant.

Vous savez, le cinéma, j'ai en fusé plus d'une fois.

J'ai fait des beaux films,

et chaque fois que j'ai fait un navet,

c'est parce que j'admirais Michel Galabru,

que je comparais à de Funès.

Et quand j'étais dans un film,

avec lui, je lui ai demandé

mon cher ami,

si j'ai accepté de faire ce film,

c'est hanteux ce film.

C'est parce que vous y étiez,

parce que je vous admire.

C'est un navet, ce film.

Et il m'a répondu avec sa voix qu'on connaît bien.

Mon cher Popec,

le navet, c'est ce qui alimente la soupe.

Alors,

j'imagine que vous parlez de films

comme T'es folle ou quoi,

ou ne prends pas les poulets

pour des pigeons.

Voilà.

Vous êtes obligés de rappeler tout le navet.

Mais, mais, mais, quand même,

il n'y a pas que ça dans votre filmographie,

monsieur Popec. Il y a les aventures

de Rabbi Jacob, évidemment, avec de Funès.

Je pense à Cousin Cousine.

Ça, c'est quand même un beau film.

Cousin Cousine.

Et même d'ailleurs, c'est un film qu'on aime revoir

et revoir, c'est pas parce qu'on n'a rien à dire

qu'il faut fermer sa gueule.

C'est plutôt rigolo, ce film, quand même.

Et puis, et puis quand même,

le pianiste de Roman Polanski.

Vous savez, quand tu vas téléphoner,

je lui ai dit que j'attendais

un coup de téléphone de Dieu.

Il m'a dit, bah, alors, je vais vous rappeler.

Je veux dire que c'est vrai.

Vous avez d'ailleurs aussi prêté votre voix,

et ça, c'est tout récent,

au film autobiographique de Spielberg,

ce fableman.

C'était la surprise

que la production m'a choisie.

Et c'est vrai que dans l'acteur

qui joue, qui a l'habitude de jouer ça,

je me suis vu,

je me suis mis là-dedans.

J'ai pensé que c'était moi

qui parlait, j'avais...

J'ai été choisi par la production.

C'est le principe du doublage et vous l'avez fait très, très bien.

Mais ce qui compte, c'est notre actualité,

c'est de jouer vos grands sketchs,

parce qu'on les aime, et j'imagine

que vous jouez les grands classiques

sur scène au théâtre de Pasi chaque dimanche.

À 17h, on va retrouver,

j'imagine, la scène chez Madsims,

Popekka Versailles,

My Taylor is Not Rich,

Vocal son Moltenet.

Ce qui est formidable avec Réki, c'est qu'il fait ma promo,

c'est mieux qu'un attaché de presse.

Et le bois de Boulogne, on est tout près du bois de Boulogne.

Il y aura le bois de Boulogne ?

Il y aura beaucoup de choses nouvelles.

Ah quand même.

Vous savez, moi, j'écris ce que je ressens.

Et cette fois,

c'est...

Je dis des vérités,

des vérités, mais qui font rire les...

qui font rire les autres.

Je suis quelqu'un qui a toujours fait la gueule depuis le début.

On m'a dit, tu ne feras pas une carrière

en en gueulant les gens et en faisant la gueule.

Et c'est justement en faisant la gueule

que j'ai fait une carrière.

Avec votre chapeau melon,

vos moustaches, votre accent inimitable,

enfin inimitable, sauf quand Marc-Antoine Lebré.

Et là, d'ailleurs,

Marc-Antoine Lebré nous a rejoint.

Et puisque vous êtes le doyen de l'humour,

Jean-Marie Bigard voulait vous dire quelque chose.

Oui, salut tout le monde.

Évidemment,

mon Lolo.

Vous savez, les copains, moi, je respecte

énormément Paupec.

Le gars, ça fait 45 ans

qu'il fait rire les Français.

Je respecte et je respecte de ton plus

qu'il fait rire les Français sans un gros mot.

Sans une blague de pute.

Pas une couille

qui dépasse de la braguette.

Pas un tire sur mon doigt.

Non grec pour ça.

Mon Paupec,

je tire ton chapeau.

Il s'en fout.

Mais moi, je suis content.

Merci Jean-Marie.

Oh, Marc-Antoine Lebré.

Marc-Antoine Lebré va prendre un risque,

mesdames et messieurs,

puisque voici Olivier de Caire-Sausson.

Qu'est-ce que tu veux que je dise

sur Paupec ?

Paupec, c'est la grande classe

et chapeau-melon et humour de Vlour.

Il a le chapeau-melon de John Steed,

la moustache de Magnum.

Et comme il est aussi là pour nous faire Marie,

il a le corps de Sim.

Michel Drucker.

Paupec, formidable.

Évidemment, on est de la même génération.

Avec le père, du père, du père,

du père de Paupec.

Pour vous dire,

Paupec, je l'ai invité à vivement dimanche,

quand ça s'appelait encore vivement samedi.

Dieu n'avait pas encore inventé le dimanche.

Maléfique.

Putain, ça m'arrive rarement,

mais là je suis en colère Laurent.

Oh, c'est Philippe Etchebest que je reconnais.

Oh, t'as vu le titre du spectacle de Paupec ?

On ferme.

Non mais oh, ça va pas la tête, la Paupec ?

Quand la bouffe est bonne, on ferme pas putain de Dieu, là.

J'expliquais ce matin, calme-moi, mon stagiaire.

Et après, je lui ai donné un moyen

d'hémotechnique pour bien dresser la table,

en lui plantant une fourchette dans l'œil gauche

et un couteau dans l'œil droit.

Il se trompera plus le couillon.

Je disais, t'as pas le droit de fermer ton resto, mon gars.

La scène, c'est comme la cuisine

de l'amour, des sourires

et des larmes, putain.

Surtout si t'es un stagiaire qui chiale au premier couvert dans les yeux.

Je sais pas si ça s'entend,

mais je suis en colère.

Nagui est avec nous.

Bonjour Nagui.

Bonjour, bonjour, bonjour.

Paupec, lui seul,

c'est 87 ans

et 60 ans de carrière

et 45 ans de scène

et 14 pièces

et 15 one man shows

et une vingtaine de films.

Et comment il doit être blindé le vieux ?

Paupec

a fait sa première apparition au cinéma

en 1939

à l'âge de 3 ans

dans la charrette fantôme

qui n'est pas un épisode de Star Wars

avant que le vaisseau spatial ne soit inventé.

Mais

un film de juin du vivier

qui a aussi réalisé les dons cameaux.

Donc en commençant petit avec un grand

normal que Paupec soit devenu

un grand parmi les plus grands.

Voilà, ciao, ciao.

Très bien Nagui, merci. On retrouvera

Marc Antoine, le vrai après 18h.

Et Paupec, vous restez avec nous pour la valise,

Paupec.

Alors si tout simple, Marc Antoine le Bré va vous aider

Monsieur Paupec. D'abord, vous choisissez

si vous le voulez bien, un numéro

entre 1 et 20.

18. Alors voilà, le 18

on va appeler ensemble si vous pouvez

retenir le nom d'Isabelle Bessombe.

Isabelle Bessombe

et elle habite à Saint-Aromant

dans les Hautes-Pyrénées. Vous notez aussi à Marc Antoine

au cas où vous deviez venir en aide

à Paupec, Isabelle Bessombe

à Saint-Aromant dans les Hautes-Pyrénées.

On espère, ça sonne déjà, on espère

qu'elle va connaître le contenu

de la valise.

Les Hautes-Pyrénées, c'est le domaine

de Jean Lassalle, non ?

C'est ça, le PR, non ?

1082 euros et 2 choses,

même 3 choses dans la valise.

Comment elle s'appelle, comment elle est là ?

Isabelle Bessombe.

Ça sonne. Allô ?

Lassande de Luc. A la salle de votre métal

si vous souhaitez le modifier, tapé bien.

Un autre numéro, ça ne répond pas,

monsieur Paupec. Alors, on va dire le 8 ?

Le 8.

Nous allons appeler, noter bien

Véronique Lafranca.

Alors, voilà, quand elle va décrocher, vous lui demandez

si elle s'appelle bien Véronique,

si elle habite bien Bouc Bélaire.

Si elle a le téléphone.

Bouc Bélaire

dans les Bouches du Rhône et Pierre Surtout

fera lui demander quel est le contenu

de la valise RTL, qu'est-ce qu'il y a

dans la valise ? Je compte sur vous, monsieur Paupec.

Les Bouches du Rhône, c'est bien le Béarn,

le pays de la salle.

Non, c'est pas dans le Béarn, cette fois.

Ça sonne chez Véronique Lafranca.

Bonjour, Véronique.

Oui ?

Je suis Paupec.

Alors, est-ce que vous pouvez me dire

qu'est-ce qu'il y a dans la valise ?

Vous dites si on vous emmerde.

C'est vraiment le vrai Paupec

qui vous parle, Véronique.

Là, c'était le vrai Rukier.

Non, non.

Alors moi, je me suis pas inscrit

dans la valise, je me suis inscrit

dans la question.

Mais alors,

Véronique, justement,

la question est,

qui a-t-il dans la valise ?

Mais combien de fois ?

Je sais que vous enregistrez le matin

et moi, j'écoute l'après-midi.

Laurent, ça me fait très plaisir

de vous avoir au téléphone.

Ah, quand même.

C'était pas évidente.

C'est pour ça que j'ai marqué

régulièrement.

Et moi, je j'habite entre X et Marseille.

Ah oui ?

C'était du nord aussi.

À Bouc-Belle.

Vous pourriez venir me voir.

Je vais bien vous voir, Véronique.

Oui, vous la mettez sur la question

300 euros et vous descendez.

Faites quoi dans la vie, Véronique ?

Vous écoutez quand même les grosses têtes

tous les jours, alors, j'espère.

Comment il s'appelle votre chienne,

Véronique ?

Il s'appelle Michel.

Michel Drucker.

Il s'est une berge australienne

et c'est la plus belle de Bouc-Belleher.

Bien sûr.

Il y en a beaucoup sur Bouc-Belleher.

C'est la seule.

Il y en a de plus en plus de berge australien.

Oui, c'est fraise à la mode.

Oui, il y a une mode.

Mais vous avez perdu 300 euros

et la valise.

1082 euros,

un assortiment de Madeleine

de la Maison Colibri, de place,

pour aller voir Sammy Boijila

et l'assortiment de café Black Idol.

Voilà, tout le contenu de la valise

Black Idol, c'est le premier café

qui contribue à lutter contre le surpoids.

Oui, jamais cru qu'on m'appelle

pour la valise.

Dès la question.

Écoutez, on va ajouter

dans la valise pour ceux que nous appellerons

à partir de demain, écoutez bien.

Un goldmichet ?

Non, Jean-Marie, non.

De nuit au Grand Hotel d'Orange.

Ah, c'est cru d'Orange.

Un 4 étoiles

au coeur de la Cité des Princes

à l'occasion du Festival d'Orange.

C'est le théâtre antique d'Orange

qui propose au public un voyage

dans les richesses sonores et musicales

à la découverte de la mythologie.

Ecologie, c'est ça ?

Voilà, il y a le son, il y a l'image.

C'est une immersion dans l'univers extraordinaire.

L'odyssée sonore

du théâtre antique à Orange.

De nuit au Grand Hotel,

une visite VIP

et des retours en train.

Orange, c'est dans le berg.

Non, non, c'est dans le volume.

Un séjour pour deux au Grand Hotel d'Orange.

Retenez ça dans la valise, Ertel,

pour l'odyssée sonore.

Au revoir, Léronique.

Monsieur Popet.

On se dit au revoir.

Et je viendrai vous voir

ces premiers dimanches après-midi

au théâtre de Passy.

Merci, c'est gentil.

Pour vos adieux au musical,

jusqu'au fin décembre,

à demain, 15h30,

dans un instant, vous retrouvez Julien Selyer

avec Marc-Antoine Lebré, bien sûr.

Bonsoir, Julien.

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Avec François-Xavier Demaison, Caroline Diament, Isabelle Mergault, Alex Vizorek, Philippe Geluck et Olivier de Kersauson.