Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du mardi 31 octobre 2023

RTL RTL 10/31/23 - Episode Page - 1h 43m - PDF Transcript

Tous les soirs dans RTL Bonsoir. Retrouvez Marc-Antoine Lebray dans Le Bray.

King News.

Tu n'as pas rêvé, c'est bien moi. Je ne crois que du boss.

Vous réviserez l'Allemand avec Jürgen, un camping-cariste allemand avec Bob Short-Clockhead-Chaussette.

Non pas lui, je n'étudie en lui, c'est Alex Vizoret qu'en vacances.

On a vite tendance à confondre le style de l'Allemand et du belge.

Alors, petite astuce pour les différenciers.

L'Allemand a des étoiles sur son maillot.

Le Bray.

King News.

Avec Marc-Antoine Lebray, c'est juste après le journal de 18h sur RTL.

Les grosses têtes de Laurent Ruquier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Bonjour, heureux de vous retrouver avec pour vous aujourd'hui

une de nos nouvelles grosses têtes qui réussit le savant mélange de l'art et de l'humour.

Je vous prouve autant sur scène qu'aux grosses têtes.

Héctor Obayka.

Une grosses têtes grâce à qui ministre, honorime plus avec sinistre.

Roselyne Bachelot.

Une grosses têtes qui, comme Bernadette, aura peut-être un jour son biopic au cinéma.

Valérie Treveiler.

Une grosses têtes qui déplore qu'à Marseille, la pétanque, les lasses emportées sur le football.

Tito For.

Une grosses têtes dans le chat à 40 ans, et comment plus il a 7 ou 8,

les éditions Casterman ont encore de beaux jours devant elles.

Philippe Gelub.

Et une grosses têtes aussi célèbre pour ses gaufres que Gelub pour son chat, Guillaume.

Monsieur Gelub, c'est un nouveau compatriote, Monsieur Guillaume, il est belge, tout comme vous.

Mais je l'ai entendu dans les grosses têtes.

Il a plus l'accent que vous d'ailleurs.

Je l'ai entendu lui et j'ai entendu qu'il était belge aussi.

Mais vous le connaissiez avant de venir ici.

Pas du tout.

Je suis ravi de le rencontrer.

Je vous connaissais, vous êtes une institution ambagique,

et Laurent, c'est la première fois qu'on se rend compte,

du coup, grâce à vous, vous êtes vraiment une plateforme de rencontre.

Une marieuse.

Merci Laurent.

Et monsieur Obalc, parce que monsieur Obalc s'intéresse à l'art,

et j'imagine qu'il est allé voir les expositions de Philippe Geluc.

Bien sûr, j'en ai vu une aux beaux arts.

C'est pas vrai.

Il y a 20 ans. Exact, pour les 20 ans du chat.

Et vous aimez ça ou pas ?

C'est de l'art ou pas, d'ailleurs, la bande dessinée, selon vous ?

Je voudrais vous dire la vérité, j'étais un peu choqué

qu'il puisse y avoir des expositions de bande dessinée

aux beaux arts, où déjà ils savent pas peindre.

Mais c'était la première fois que la bande dessinée

des dessins d'humour avait droit de citer aux beaux arts.

Et peut-être la dernière, d'ailleurs.

J'ai envie de dire tant mieux pour eux.

Mais vu ces sculptures, parce qu'il fait pas

que c'est de la bande dessinée, il en fait des sculptures,

des ordres d'art.

J'adore Geluc, vous m'obligez à dire du mal, j'ai pas envie.

Franchement, j'adore ce que fait Geluc.

C'est juste que c'est pas la sculpture, c'est tout,

la sculpture, c'est tout, on va pas me...

RG n'est pas non plus un grand peintre, c'est quoi le problème ?

C'est un grand auteur de bande dessinée.

En tout cas, il s'est fait du bon pied celui-là.

Non mais monsieur Geluc, il n'a pas tout à fait tort,

Hector O'Bike évidemment.

Que ce n'est pas de la sculpture, oui, mais je m'en fous.

Je fais ce qu'il me plaît et il s'appelait visiblement

à des millions de visiteurs.

C'est vrai, c'est vrai.

Après, j'avais une question.

Si ça peut vous rassurer, monsieur Geluc,

Hector O'Bike trouve que Van Gogh et ses nuls aussi.

J'ai juste que c'est beaucoup moins bien que Cézanne,

c'est tout ce que je dis, ça s'arrête là.

C'est tout, c'est tout, on dit tout, c'est la même chose.

Après, alors Adon, déjà, il n'est pas sculpteur,

mais est-ce qu'il est humoriste aussi ?

Il est très bon.

Il est drôle quand même.

Parfait, c'est plus qu'une institution, c'est une entreprise.

Je me demande si c'est un coptiment.

J'entends bien la vacherie à la fin de la phrase.

A la fin, il le connaît bien.

Si on l'entend, si on l'entend,

si on l'entend à la façon de certains peintres

de périodes que vous affectionnez,

est-ce que Rubens, c'est la peinture ?

Mais c'était une entreprise, il était marchand de tableau,

il avait des dizaines d'assistants,

il ne le réalisait pas, c'est toi lui-même,

ce que je fais, moi, par ailleurs.

Il y avait 150 personnes qui travaillaient pour lui,

ce qui fait que tout n'est pas aussi beau.

J'ai l'impression d'être sur Arte à 3 heures du matin.

Je tiens à dire quand même que M. O'Bike est un grand séducteur,

en plus d'être un grand critique d'art.

Il lui mérite.

Je présente à M. O'Bike

les plus charmantes de nos grosses têtes,

semaine après semaine.

Je vais présenter Isabelle Mergo,

Caroline Diamant et là maintenant,

regardez, là je suis passé encore à un statut supérieur.

Une ex-ministre de la culture,

vous êtes content de rencontrer Mme Bachelot, j'imagine ?

Oui, bien bien sûr, bien bien sûr.

Il y a eu un sacré temps de réponse,

vous avez hésité.

Non, mais si, pas du tout.

J'ose pas parler du physique.

C'est très embêtant de parler du physique.

Souvent, on reproche aux hommes de s'intéresser aux femmes

pour leur physique.

Alors que c'est fou, c'est fou.

Moi, je ne regarde que leur âme.

Allez, un mytho de plus dans le casting.

Le problème, c'est que elle,

elle ne s'intéresse pas seulement à notre physique,

comme dit très justement.

Vous, vous pouvez pas tout jouer là-dessus.

Je vous présente la ministre Alex,

ministre de la Culture,

mais on l'a avis, généralement, quand on est

une femme ministre de la Culture.

Regardez de chaque langue. Alors...

Valérie Treveiler aussi, ex-première dame.

Non, là, vous vous entourez bien quand même.

Qu'est-ce qu'il y a des mecs ?

Elle est belle, hein.

Il est temps de passer à une première citation

pour David Goujon, qui habitant son éloir,

qui a dit, grâce au lecteur de Côte-Barre,

on va enfin savoir ce que coûte un zèbre.

C'est pas mal, ça.

C'est pas mal.

Non, mais c'est quelqu'un

qui a été récompensé par l'académie Alphonse Allais.

Ce serait pas le type dont j'oublie le nom

systématiquement, qui s'appelle

Grégoire Lacroix.

Grégoire Lacroix.

Bonne réponse de Philippe Galluc.

Une citation pour Arnaud Tenissen,

qui habite clairement sous hui en Belgique.

Voici la citation.

Elle concerne évidemment l'art

qui adore M.O.Balk,

la peinture,

qui a dit, peindre, c'est faire apparaître

une image qui n'est pas celle

de l'apparence naturelle des choses,

mais qui a la force de la réalité.

Je sais. C'est Éric Antonin.

Non.

Attends, ça, c'est une bonne question.

Éric Antonin, M.O.Balk.

Brac, non, c'est pas Brac, non.

C'est les derniers mots, Brac,

c'est les derniers mots que Erton Sena

a entendu avant...

Ils ont du se croire de mur.

C'est un expressionniste, ça doit être Soutine.

Non, il est néo-avre. Alors il est forcément très bien.

Ah oui.

Impressionniste, faux-viste.

Pudin. Pubiste saisonniens.

Est-ce qu'il est mort ?

Ah oui, oui, il est mort.

C'est pas monnaie, manée, mignée, ah-mignée.

Je vous ai dit que l'album du chat vient de se chager.

C'est Raoul Dufy.

Raoul Dufy, bonne réponse.

Dector Obayek, c'est Raoul Dufy.

Une question pour monsieur le boss

à propos de la cérémonie du ballon d'or.

Hier, on a remis cette récompense

fait au meilleur footballeur.

En l'occurrence, Lionel Messi,

l'argentin qui, rappelons-le,

c'est triste à dire, mais à gagner

la Coupe du Monde.

Et hier soir, au Châtelet,

c'est un peu plus grand,

c'est un peu plus grand,

et hier soir, au Châtelet,

il y a quelqu'un qui a fait rire, en déclarant

« J'avais deux options

le foot ou le tennis,

je ne suis pas sûr d'avoir fait le bon choix ».

Mavak Djokovic.

Et c'est Djokovic.

Bonne réponse

de Guillaume.

Et oui, c'était le piège.

Ce n'était pas un footballeur, mais bien un tennisman

qui a fait cette déclaration, c'était de l'humour, évidemment.

« J'avais deux options le foot et le tennis,

je ne suis pas sûr d'avoir fait le bon choix ».

Il a fait rire Djokovic

avec cette déclaration.

Il était présent parce qu'il est à Paris

pour le tournoi Rolex Masters de Bercy.

Et hier, il était au Châtelet

pour applaudir, j'imagine.

Il a remis le ballon d'or féminin.

Voilà, très bien.

A qui ?

Une footballeuse.

Ça me fait marrer

parce que tout le monde est là tous les jours

à dire « Ah le foot féminin,

tout le monde s'intéresse, quel succès le foot féminin ».

Alors le lendemain,

du ballon d'or,

vous demandez à quelqu'un qui a eu le ballon d'or

pour les femmes ?

C'est une joueuse du FC Barcelone

et

dans j'ai oublié le nom.

Une espagnole.

Oui, très engagée en faveur des réfugiés,

mais j'ai oublié son nom.

Mais derrière, on doit dire maintenant la ballon d'or

pour être

dans le mouvement.

En tout cas effectivement,

il faut le savoir,

M. Djokovic, Tennis Man était hier

au ballon d'or pour remettre donc le ballon d'or

de féminin.

Féminin, cette belle espagnole

dont vous avez oublié le nom.

Mais ça m'arrive aussi d'oublier le nom de footballeur.

Vous suivez le football, M. Obalic ?

Pas du tout.

Non, on n'aimait pas ça. Aucun sport en général ?

Non, je ne suis pas.

Comment ça vous aimez énormément et vous suivez pas ?

C'est comme ça, vous avez pas m'embêté.

Ça prend un temps fou, ça bouffe du temps.

Je veux dire, on est là.

Et puis surtout, moi ce que je veux pas supporter,

c'est les gens qui disent qu'on a gagné, ils n'ont rien gagné du tout.

Ils ont radé des gens qu'on gagnait.

Tout ça, c'est une démagogie.

C'est horrible.

J'ai que du mépris pour le spectacle

du football.

Vous n'aimez pas alors ?

Non, non, non.

Il a l'air compliqué cet homme-là.

Vous n'avez pas compris ce que je voulais dire ?

Non, non, non, non, absolument pas.

L'herbe avait été fait sur un terrain de foot, peut-être.

Peut-être.

Il a l'air tirayé comme monsieur.

Vous êtes tirayé.

Valérie, on est d'accord, il est même un peu angoissant.

Il a l'air coupliqué.

J'ai l'impression que Valérie vous auriez plus un coup de coeur

pour quelqu'un comme moi, par exemple.

Mais oui.

C'est pas sûr non plus.

Non, mais il est très mignon, mais il age de mes fils, donc ça va pas.

Oui, mais vous savez.

Et alors ?

L'amour n'a pas d'âge.

C'est quoi ?

Moi, ça va, je suis pas trop jeune.

Non, t'es parfaite.

Elle a dit.

Oui, mais c'est mon fiancé à moi.

Vous êtes pas énervé, là,

par le côté pour quitter.

Ah oui, je suis pour les bleus.

C'est un peu la base, quoi.

Parce qu'il y a quel intérêt,

enfin, s'il n'y a pas de supporter en football,

on va pas trop serrer.

C'est pas si intéressant.

Tu sauras bien le résultat plus tard, c'est pas grave.

C'est super beau à regarder un match de foot.

Tu peux regarder demain.

Non, je vais le regarder en même temps que tout le monde.

Mais c'est un abruti, c'est tout.

Je veux dire, franchement,

une très bonne pièce de fédot est bonne aujourd'hui,

puis elle est bonne demain aussi.

Et le fait qu'on sache qu'il meurt à la fin,

change rien au fait qu'elle est bonne.

C'est pas vrai.

Mais franchement,

tout ce qu'il y a de beau dans le football

est détruit par le savoir

qu'il va gagner, voilà.

Non, non, non, j'ai raison.

J'ai raison contre tout le monde.

Vous avez parlé

et la France entière sera de votre côté.

Je suis tout seul de mon côté.

Ce que je dis n'est pas démagogique.

Donc ça demande

que vous vous désirez.

Je suis pas d'accord,

il y a le beau geste, il y a des beaux gestes dans le foot.

Oui, donc ils seront aussi beaux le lendemain matin

sur Magnétoscope.

Pardon, mais Magnétoscope,

ça fait 20 ans qu'on ne s'est pas servi de Magnétoscope.

C'est pas grave.

Même le geste est démodé.

C'est parce que la discussion d'Adiès

il y a 30 ans, il y a 3 ans, je disais déjà ça.

Ils sont fous, ils sont fous,

ils sont là, oui, est-ce qu'on a gagné.

Mais pour le type, t'es rien, t'es juste un con

qui regarde un match à la télévision

avec des gens qu'on travaillait.

Je reconnais un capteur de baiser en tout cas.

C'est pas faux.

C'est pas faux, il dit.

C'est pas faux, c'est le clou.

C'est pas faux, c'est le couteau.

C'est pas faux d'ailleurs, c'est beaucoup de difficultés.

Ça vous ferait du bien d'enfoncer le clou.

Et ça, personne n'en parle jamais, vous voyez.

En général, je prends les grosses têtes

pour un université spécial,

mais là, c'est carrément pour une psychanalyse.

Mais à partir de là, c'est pareil.

Quand on fait l'amour, on connaît un peu la fin, aussi.

C'est pareil.

Donc on peut le refaire.

Alors que le match,

on peut pas refaire le match.

Sinon pour les cons qui ont...

Est-ce que vous pourriez articuler

parce que ce n'est pas rien de finit ?

Vous, vous êtes la dame qui ne me trouvait pas beau.

Franchement, je ne sais pas de quoi vous parlez maintenant.

Moi, jamais, mais jamais, j'aurais dit ça d'une femme.

Jamais, jamais.

Ça vient, on vient de trouver la définition

du mot égreur.

Non, pas du tout.

Non, justement, il a raison.

Madame.

Défendez-moi deux secondes.

Monsieur Obal, je pense que je trouve qu'effectivement...

Vous êtes très beau.

Même Bachelot a été...

Je dois dire, assez mal à droite avec vous.

Ah bah oui, parce que quand même...

La chirurgie esthétique, c'est pas fait pour les chiens.

Mais en fait, qu'est-ce qu'il lui arrive ?

Ce qu'il y a avec Contéine,

c'est qu'après, juste après avoir dit une vacherie,

elle se reprend.

Elle en dit une double vacherie.

Il faut savoir, Monsieur Obal,

qu'elle aime avant tout les rugbymen nus

et leur évident n'aide pas dans cette catégorie.

Non, mais j'ai le soutien de Madame Trérevelin.

Il est sur le pensée.

Il a déjà prouvé, hein.

Qu'est-ce que vous dites ?

Il a déjà prouvé que je ne m'intéressais pas qu'au beau.

Tout ça ne lui dit pas le nom

de la foute balleuse qui a remporté

le moin lourd dehors de ta mère.

Mais on s'en fout.

Et donc on va envoyer la photo avec toi, Obal.

Ça va être très rapide,

parce que je suis sûr que vous avez lu la presse

et que vous savez qui appuiera

sur le bouton le 19 novembre prochain.

Le louches !

Le louches !

C'est le boutine !

Gilles le louches !

C'est le boutine pour la bombe.

Pour illuminer les Champs-Élysées.

Gilles le louches.

C'est Gilles le louches.

Pas de réponse de Madame Trérevelin.

Les grosses têtes répondent aux éditeurs.

Direction Biarritz,

soit un auditeur qui se prénomme François,

nous appelle Bonjour François.

Bonjour Laurent, bonjour les sociétaires

et bonjour au public.

Bonjour François.

Il a une belle voix.

Alors François, vous avez remarqué,

en regardant les grosses têtes sur Paris Première,

quelque chose qui vous interroge, je crois.

Je les vois noter

sur des carnets, sur des papiers,

et je me demande ce qu'ils font,

ou simplement si vous pourriez nous éclairer un petit peu.

Vous voulez dire que pendant l'émission,

ils notent des choses sur des papiers avec des stylos.

Oui c'est vrai que M.Geluc fait ça.

Oui, c'est un petit peu comme les croquis de téléphone.

On dessine un petit peu machinalement

quand on parle quelqu'un de téléphone.

Mais ce que notre auditeur oublie peut-être,

c'est que c'est une émission de radio

qui est filmée, et non pas une émission de télévision.

Voilà pourquoi, effectivement,

chacun fait un peu ce qu'il veut.

Moi j'ai noté le champ de l'éxical,

qui me faisait penser à M.Balke.

J'en ralors, bougons, chafouins, énervés.

C'est moi.

Vous voyez, chacun fait un peu ce qu'il veut.

Mais j'aimerais vraiment connaître

qu'est-ce qu'il écrit sur ces carnets.

Peut-être que M.Geluc est en train

de me préparer un petit chat dédicacé

qui va m'envoyer par la poste.

Je sais pas.

Attendez, François, je regarde.

Valérie a la dessinée une grosse bite.

Comment il s'appelle notre auditeur?

François. François.

François.

Je vous dessine un chat

sur la feuille qui est devant moi.

Je vous l'enverrai et comme ça,

ça fait moins de timbre que pour un album.

Au revoir François.

Encore un François.

C'est la journée des François.

Bonjour François, pardon Valérie.

Bonjour François.

C'est assez commun.

Bonjour Laurent, bonjour les Gocteurs

et bonjour mes deux compatriotes.

Vous êtes belles, je vous aussi.

J'ai un message pour Monsieur Gueluc.

Aucune allusion a été faite

à son album Le Chat et ses 40 bougies

dans aucune émission des grosses têtes.

Je confirme.

Je me suis quand même procuré l'album.

Attendez, vous avez déjà l'album.

Vous en n'avez pas réclamé.

Un dessin vous a choqué, dites-vous.

Oui, vous l'avez fait.

Sur le dessin, c'est venu à Mardi Gras

et resté Gras le mercredi le jeudi les autres jours.

Oui.

Et moi je suis né à Mardi Gras

et je suis né à Mardi Gras.

Ah, vous êtes un peu enveloppé vous-même.

Oui, tout à fait.

Est-ce que pour laver cet enfant

que Monsieur Gueluc pourrait m'envoyer

ce dessin délicaté ?

Je vais vous le faire de l'autre côté de la feuille.

Ah non, c'est con.

Sur une feuille.

D'accord, je vous le fais sur une feuille et je vous l'envoie.

Il n'y a que les Belges pour téléphoner

et dire bonjour, je suis gros, merci, au foie.

On a l'autodérision, Guillaume.

Jean-Philippe est un téléphone.

Jean-Philippe est un téléphone.

Bonjour Jean-Philippe.

Oui, bonjour les gros têtes.

Alors, ce que vous avez envoyé c'est que

quand Monsieur Twain est arrivé, vous vous rappelez.

Oui.

C'était un peu le remplaçant de Monsieur Benichou.

Oui.

Et Monsieur Obalt franchement

le remplace beaucoup mieux

avec son sens de l'impro.

Ah bah voilà.

Moi je propose qu'on ouvre un chapitre

sur l'alcoolisme.

Moi je propose qu'on fasse un séminaire.

Vous dites à propos de Monsieur Obalt

qu'il a une imagination hors-père,

une drôlerie de situation,

un sens de l'improvisation,

un côté grande gueule,

le côté vie festive de Pierre Benichou,

vous êtes Noctembul aussi Monsieur Obalt ?

Oui, je m'en dors vers 6h du matin.

Ah oui, c'est ça qui les bougons.

Il y a des points communs,

mais vous allez en discoter quand ?

Non, non, je reste chez moi, je fais sans pas.

C'est ma vie horrible.

Ça s'appelle une vie de Noctembul.

Ça s'appelle une vie de...

Ça s'appelle une vie de déprétition.

Mais Pierre Benichou faisait mieux,

il s'endormait à 4h30 ou 5h d'après-midi.

Mais ça s'appelle une vie de merde ça en fait.

Ah bah si en plus elle répète me vanne derrière.

Elle est un peu sourde.

Et comme on l'avait pas entendu.

Bon en tout cas vous aimez bien Monsieur Obalt

qu'on a compris Jean-Philippe.

Et en plus personne ne répond au téléphone

du matin, ni à 4h, ni à 5h.

Ma vie est un enfer.

Je cherche toujours à déjeuner avec des gens.

Ils sont... Vous êtes libres à déjeuner ?

Moi-même.

Et voilà. Et aujourd'hui non.

Et l'autre aussi ça va me dire aujourd'hui non et tout ça.

Bon bah on déjeunera.

Est-ce que vous êtes libres à déjeuner ?

Ah non, pas du tout.

Non, non, mais ça me casse très bien avec Monsieur Ditoff.

Non, non, chez moi.

J'ai rendez-vous chez mon proctologue.

Ah oui, oui.

Je serais curé de visiter.

Non, non, surtout

ça serait dommage de déjeuner avant.

Pour tout vous dire,

c'est un individu solitaire qui souffre de sa solitude.

C'est aussi bête que ça.

C'est incroyable, il fait parler que de lui, monsieur.

Non mais il l'a dit ?

Il l'a dit qu'il faisait sa psychanalyse.

Je l'ai dit alors que je vous avais...

Non, non, excusez-moi.

Avec si bien dire.

Finalement, j'avais un rendez-vous au ami.

Non, tu vas vraiment déjeuner avec lui ?

Mais franchement, il va...

Pour une fois, quelqu'un qui m'invite...

Ah oui, ça c'est intéressant.

Vous payez ou pas, monsieur Obalca ?

Toujours, c'est thématiquement comme mon père.

D'accord.

Mon père, c'était un réactionnaire, mais pas au petit pied.

C'est vraiment réactionnaire.

Putain, on a pas des parents, là.

C'est-à-dire pour lui, si vous voulez,

après le Xe siècle, c'est déjà la décadence.

C'est pas réactionnaire, c'était mieux les années 50, non.

Lui, c'est le XVIIIe siècle,

le Gantillum français, lui.

C'était ça, le vrai réactionnaire.

Et j'ai tenu un peu de lui pour ce qui est du côté Gantillum.

Je vais vous donner quand même l'adresse du restaurant

au cas où, s'il faut venir me chercher.

Ha ! Ha ! Ha !

De toute façon, j'aimais beaucoup mon père.

Mais il est mort.

La dix ans.

Non, non, non, non, non, non, non.

Vous êtes d'ailleurs juste...

Vous avez une famille nombreuse ?

Oui, on est...

J'ai une soeur et puis voilà,

s'il faut savoir si on fait...

Si on fait entrer plein de cerveau.

M.Obalt, surtout à cette particularité de vivre

encore chez sa maman.

Et peut-être vous la connaissez Roselyne,

la maman de M.Obalt, n'est-ce pas, M.Obalt ?

Oui, Henri-Edvalter, c'est une sorte de linguiste,

c'est connu.

Vous avez dit quelque chose ou pas ?

Non, mais j'aime bien quand vous vous faites semblant de savoir, c'est bien.

Héctor Obalt, que ce n'est pas votre vrai nom ?

Non, moi, j'ai tout inventé

quand j'avais 15 ans.

C'est pourquoi vous avez choisi Héctor Obalt.

Par pure...

Mégalomanie, on va dire.

Je pensais que je serais tellement connu

que ça va faire une petite gêne pour mes parents.

Ah ouais, ouais, ouais.

Obalt, c'est parce que c'est beau tout seul, vous voyez.

Il y a des gens, ils ont un surnom parce que

je ne sais pas quoi ils sont nostalgiques,

ils sont mal dans leur peau, ils ont aimé

le roman de Shepaki avec Julien Storell,

ils se font appeler Julien Storell et comme ça.

Moi, pas du tout, moi c'est pure, moi c'était...

Il fallait que les gens fassent un effort

pour prononcer mon nom.

Putain, je vais prendre un casse soulé, moi.

Comme ça, je vais tordure.

Comme ça, je vais faire la sieste après.

Allez, on se retrouve après les infos de 16h.

Toujours être aux lignes bachelons,

aller y travers leur biome,

Philippe Geluc.

Bonjour Philippe.

Et un nouveau duo que désormais vous allez croiser

dans les rues la nuit à Paris.

Hector Obalt et Titos.

Je dis ça.

Je dis ça Monsieur Hector Obalt

parce que je suis très sérieux.

Monsieur Titoff était un des meilleurs compagnons

de Pierre Benichou la nuit.

Vous le traînez de barre en barre.

C'était lui.

C'était lui.

Après, il était énervé parce que je parlais

aux gens comme je suis assez sociable.

Ah, tu me fais chier, ça va s'aller toi,

tu parles à pleins de gens.

Et c'est vrai que plutôt que de pas dormir la nuit

à rester chez vous, autant ne pas dormir

et sortir la nuit et faire, on va dire,

les meilleurs établissements parisiennes.

On est parti, on est ensemble.

Avec plaisir.

Cela dit, qui aurait parié qu'il emballerait Titoff ?

C'est vrai.

C'est vrai.

Alors justement,

j'ai une question culturelle

pour Tatiana Jamin, qui habitera.

La question concerne

la nuit du 29 mai 1606.

La nuit d'un mortre,

le mortre de Ranuccio Tomassoni.

Pour quelle raison

a-t-on retenu le mortre de Ranuccio Tomassoni

le 29 mai 1606 ?

Tomassoni.

C'était un homme politique italiens ?

Non, non, non.

C'est un peintre ?

Moi, je pense que ça va, mais je n'aurai pas trop abusé

du fait que je sache.

Donc, je ne dirais rien.

Il nous laisse chercher un peu de douleur.

Il nous laisse chercher un peu de douleur.

Il nous laisse chercher un peu de douleur.

Il nous laisse chercher un peu de douleur.

Il nous laisse chercher un peu de douleur.

Non, mais c'est vite le moins.

Je pense que c'est celui que je ne suis pas très sûr,

mais je vous parle.

Allez-y.

Le caravage aurait assassiné dans un duel.

C'est effectivement celui

que le peintre Le Caravage a assassiné

dans un duel.

Bravo.

Je voudrais quand même ajouter

qu'on dit beaucoup de conneries sur caravage.

Il passe pour un peintre de génie qu'il est.

D'accord ?

Mais qui serait par ailleurs un criminel,

tout ça, tout ça.

On ne sait rien sur sa vie, sinon deux témoignages.

Il y a deux livres qui ont existé

et qui ont été écrits du vivant de caravage

et publié juste après.

Ces deux livres sont écrits par des peintres

qui sont des concurrents de caravage.

Il en fait donc le pire des portraits.

Je ne crois absolument pas que c'était

un voyou qui n'avait rien d'autre à foutre

que de tuer les gens dans la rue.

D'abord, il n'a pas assassiné des gens.

Il a été provoqué, voire il les a provoqué

en duel, ce qui n'est pas la même chose.

Gardons un peu pour le déjeuner.

Attendez.

Moi, quand on m'a appelé,

on m'a dit que tu viens en grosse tête

pour élever le niveau.

On m'a dit, c'est gentil.

C'est pas facile pour moi.

Pardon, mais il fallait quand même se sourire

que le 29 mai 166.

C'est pas bien, bravo.

On n'a que des jaloux ici.

Il y a du Paul Elcarrat en lui.

Oui, c'est sûr.

Qui c'est celui-là ?

Paul Elcarrat.

Il y a un type, c'est Paul Elcarrat.

Oui, c'est le...

Mais moi, je ne recoute pas les grosses têtes, d'accord ?

Je vais aux grosses têtes.

D'ailleurs, je ne vais jamais

à aucune conférence, je ne sais pas

qui parle, jamais.

Si on parle du caravage dans l'actualité,

parce qu'il y a toujours un rapport avec

l'actualité dans mes questions,

Marie Madeleine en extase,

un chef d'œuvre,

c'est-à-dire qu'on a retrouvé, c'est pas qu'on l'a retrouvé,

c'est qu'on l'a authentifié, c'est ça ?

Il a été vendu par une galerie, un petit traitre.

Oui, c'est de la merde.

Je montre le tableau.

Non, mais c'est un faux. Il y a 3 versions.

Il y a 4 versions de ces mêmes tableaux.

Ça se voit tout à fait à la mâchoire

et au chum-gomme qui a servi

à faire les manques, c'est de la merde.

C'est un faux, c'est un faux.

Il y a qu'à garder un vrai caravage

et là, il faut venir à mon show.

Dans mon show, je montre

ce que c'est qu'un bon caravage et un faux caravage.

On voit tout de suite la limitation.

Ces choses sont très difficiles à venir avec les mots,

mais très faciles à montrer par une comparaison

visuelle et spectaculaire.

C'est pour ça que je fais un spectacle, ça s'appelle

de coupe pas là.

C'est marrant, ça.

Tout qui sort de la peinture

en moins de 2 heures que je fais.

C'est pas ça. C'est vraiment de la merde.

C'est du chum-gomme.

C'est juste encore un truc qui croit

avoir sorti de l'ombre.

Il y a 4 versions de ce tableau-là et elles sont toutes fausses.

C'est tout.

Héctor, votre spectacle sur scène dure combien de temps ?

Moins de 2 heures.

D'accord, contrairement aux grosses têtes qui durent 2h30.

Mais vous n'êtes pas obligés

de parler tout le temps ou plus.

Ils sont jaloux, ils sont jaloux.

Ils sont jaloux. T'es pareil avec Pierre Rouen.

C'est incroyable, ils sont jaloux.

On va le défendre notre Héctor.

Alors que moi, j'adore M.Geluc et M.Titoff.

Je pense qu'elle a Mme Roselyne Bachetot

mais elle est vraiment contre moi depuis le début.

Elle écoute pas.

Dès qu'il y a une vanne facile à faire

elle tombe dedans.

C'est un piège.

Je me dis, on lui fait perdre quelques kilos.

On lui change à bête dégueulasse.

Elle est chaussure

et peut-être qu'on peut en faire quelque chose.

Elle est en train de craquer.

Regardez le résultat et l'autre côté, Valérie.

Valérie.

Anne est à Laval.

Mayane, bonjour Anne.

Bonjour Laurent, bonjour à toute l'équipe.

Je vous salue.

Même si évidemment les grosses têtes vont tenter

de vous piéger en vous donnant des fake news,

une seule info sera la bonne.

Vous connaissez le principe Anne.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie ?

Je fais de la gestion immobilière.

Et je vais peut-être vous faire voyager

jusqu'à l'île de la lagune.

Je pense que c'était jusqu'à l'île.

Non.

La valille.

C'est le relais château magnifique

dans les Pyrénées orientales.

On est tout près du...

De rien.

De Saint Cyprien évidemment.

Ah oui c'est magnifique.

C'est bordé par la mer entourée de la montagne

bercée par le doux soleil du Roussillon.

L'île florise et son surnom

vous attend pour un voyage

emprunt de sérénité et de douceur de vivre.

Le site internet

c'est facile.

Hotelîlelagune.com

Anne, vous êtes prête ?

Je suis prête.

Attention, commence tout de suite

pour Monsieur Guillaume.

Ténis, 4 Français éliminés hier

dès le premier tour du Rolex Paris Master.

L'année prochaine, ils participeront

au tournoi Montrertiel Master.

Roselyne Bachelot.

Loi Immigration.

Après avoir entendu que les immigrés

seront régularisés dans les métiers en tension,

Rocco Cifredi demande

la nationalité française.

Philippe Gueluc.

Au Café Bar, Tabac PMU

du Balto, le ballon d'or

a été remis à Marcel

qui a 20 heures en été

à son cinquième ballon de rouge.

Avant qu'il aille poursuivre la compétition

au Café des Sports.

Chez les femmes, c'est toujours Elizabeth Levy

qui a mané consécutif.

Alors, une chanson inédite

des Beatles va sortir

jeudi, grâce à l'intelligence artificielle.

Et grâce à la bêtise réelle,

un single des 3 cafés gourmands

va sortir vendredi.

Et Torobarika.

Hier soir au théâtre du Châtelet.

Je sens que c'est obsède et ça va m'énerver.

En plus du ballon d'or,

on a remis la manette d'or et qu'on pensant

le plus beau but sur jeux vidéo.

Et Valérie Travailor pour terminer.

Le label

fait maison dans les restaurants à souplis.

Les restaurateurs

pourront ajouter derrière la mention

fait maison. En tout cas, c'est ce qu'on m'a dit

quand je l'ai acheté.

Alors Anne, qui a dit la vérité ?

Je procède

par élimination.

Vous rélaissez le principe ?

Je pense que Roselyne Bachelot.

Je n'ai pas dans l'ordre.

Mais il n'a pas donné la bonne réponse.

Il y a un métier en tension,

mais pas forcément celui de Rocco Cifredi.

M.Geluc non plus.

Je confirme.

Pour le ballon d'or.

Pas pour Marcel, mais pour Elisabeth Levy ici.

Titoff non plus.

Titoff renoublie les trois cafés gourmands.

Mais en revanche, c'était vrai pour les Beatles.

Il y a effectivement une chanson inédite

des Beatles qui va sortir jeudi

grâce à l'intelligence artificielle.

Est-ce que j'aurais pu

à nouveau entendre la version de

Guillaume ?

Vous la voulez dans un

phrasez particulier, Anne ?

Avec l'accent belge, quelque chose qui vous serait plaisir ?

Si vous voulez.

Tadis,

4 Français éliminés hier dès le premier tournoi

Rolex Paris Master.

L'année prochaine, ils participeront au tournoi Montrerté

El-Master.

Oui, alors non.

Effectivement.

Est-ce bien la peine

de la répéter, voyez-vous ?

Non plus.

Madame Trierweiler non plus.

Donc, il vous reste.

Monsieur Obalk.

Obalk.

C'est impossible ça.

Comme Obalkon.

Je pense que c'est Monsieur Obalk.

Et ben voilà, oui c'est Thor Obalk.

Et d'ailleurs, j'ai été le premier surpris

effectivement. Je ne savais pas qu'on remettait

aussi la Manette d'Or

qui a été remise

à un garçon. Attendez comment il s'appelle

exactement ? On n'a pas son vrai nom.

Jess, 78.

Et il a fait le plus beau but

sur jeu, vidéo, sur

PlayStation.

Et ben, je ne sais pas, à comprendre comment on peut

faire le plus beau but sur PlayStation.

C'est la même chose que...

Ah bon ? Oui.

C'est pas compliqué.

Vous pouvez regarder, moi par exemple,

E égale MC Carré.

Ça ne me parle pas. Je ne comprends pas

ce qu'on veut dire. Pourtant, il paraît que ça a été important.

Vu comme ça, effectivement.

C'est la même chose.

En tout cas, moi je vois que Monsieur Obalk

il voit quelque chose de sexuel dans cette histoire alors que

franchement... Oui, c'est une sorte de masturbation

footballistique.

Avec la Manette.

Vous faites une tête avec votre pouce

tout ça, mon.

Ok.

Ah ça, c'est le mot de la fin. Ok.

Non, mais c'est des jeux vidéo. C'est vrai que j'avoue que je ne connais

pas bien le monde du jeu vidéo

qui, pourtant, est un monde qui marche très, très bien.

Ah ben oui, et la phase

des tiros putes. Pardon, des tiros putes.

C'est quelque chose.

Ça a dépassé l'industrie du cinéma.

J'allais le dire.

Et ça fait partie du ministère de la Culture.

Absolument.

Et puis alors, les équivalents des César sont les Pégaz

pour les jeux vidéo.

Et chaque équipe, chaque pays,

est national en e-sport aussi, évidemment.

En quoi ?

En e-sport.

J'avais compris en e-sport.

Pour les jeux vidéo, je ne comprenais pas.

Le mec, il n'y a pas de travail.

J'ai visité les studios de l'équipe

e-sport des diables rouges de Belgique.

Ah oui, à part vidéo, vous devez être bons, les belles.

Je vous reviens, je suis en fourrire, Laurent.

En tout cas, effectivement, il y a un buteur

en heure, y compris pour les jeux vidéo.

Il s'appelle Jess68.

Et il a eu la manette d'or 2023 hier.

Anne, en tout cas, il vous fait gagner un voyage

jusqu'au relais Château des Pyrénées Orientales

sur l'île de la Lagune.

Et c'est toujours ça de vivre, Anne.

Bravo.

Je comprends, Mame Bâteau,

que vous soyez un peu jalous,

parce que j'ai fait une question

sur la peinture, mais vous avez quand même

que souvent je fais des questions sur l'opéra.

Il y a des questions de proche même.

Non, c'est pas vrai.

Des auditeurs qui disent,

arrêtez avec vos questions sur l'opéra,

posez des questions sur le rock'n'roll et tout.

Mais je dois reconnaître que,

depuis que M. Obalk est arrivé dans cette émission,

on a même créé au bureau, je vais vous dire,

on a créé une pochette spéciale,

parce que chaque jour, il y a des questions

comme M. Obalk vient une ou deux fois par semaine seulement.

Il n'était même pas là la semaine dernière.

Non, mais j'avais un trou de...

Il y a une pochette Obalk.

J'ai un trou de... J'ai un petit trou.

Quoi ? Un trou dans la tête ?

Dans le cerveau ?

Pas comme Kennedy tout de même.

Ça se voit pas du tout.

Si jamais vous avez un trou de balles dans la tête,

allez au rendez-vous

avec M. Bachillon.

Toujours est-il

qu'en attendant, j'ai stocké

les questions sur la peinture.

Vous avez une pochette, c'est ça que vous dites ?

Et on a créé une pochette, vous savez comment je l'ai appelée ?

Non, j'ose pas vous le dire.

Non, ne le dites pas parce que ça va vous énerver.

Allez, allez-y.

On a appelé ça la tuture pour totheur.

Pas mal.

En tout cas, je mets de côté la pochette,

la tuture pour totheur.

Et j'en viens

à une autre question

qui n'a rien à voir avec la peinture cette fois.

Là, il s'agit de chansons

puisque vous connaissez peut-être ce titre

de Rihanna qui s'appelle The Monster.

Et on va écouter dans un instant

une fois évidemment que vous m'aurez dit qui est Liro.

La version de Rihanna

chantée par Liro.

Mais qui est Liro ?

C'est une question pour Marc Chez

qui habite vos réales dans le Val d'Oise.

Tiens, dans le temps, elle faisait pas une émission sur un terre, Rihanna.

Ça s'appelait Rihanna Siré.

Non.

Non, non, alors Rihanna...

C'est un chanteur.

Alors Liro, on peut considérer que c'est un chanteur.

L-I-R-O ?

L-I-R-O, oui.

C'est l'un de ses fans ?

Un de ses fans, pas forcément.

C'est plutôt sur TikTok ?

Alors c'est sur les réseaux sociaux

où il fait essentiellement sur TikTok, vous avez raison.

Un sportif ?

Est-ce que c'est de l'intelligence artificielle ?

Est-ce qu'il était déjà connu avant de faire cette reprise ?

Oui, parce qu'il avait déjà repris

du George Harrison,

du John Williams

et fait partie effectivement

du buzz actuel

sur les réseaux sociaux.

Il a fait une émission de concours.

Un imitateur ?

Je suis obligé de vous dire un peu.

Est-ce que ça serait pas plutôt un animal ?

Oui, monsieur.

Un perroquet ?

Un perroquet, bonne réponse !

De Valérie Trevalin.

Oui.

C'est un perroquet qui chante du Rihanna

et sa prestation fait le buzz

sur les réseaux sociaux.

Vous voulez l'écouter peut-être ?

Oui.

C'est même mieux, non ?

Oui, c'est le Rihanna.

Parce que c'est en anglais, on comprend pas.

On a l'original juste pour comparer

entre les deux.

Ah non, c'est quand même mieux la vraie.

Oui, c'est mieux.

Donc ça c'était l'exprès d'Ariel Dombal

et maintenant le perroquet.

Ah non, c'est quand même mieux la vraie.

Oui, c'est mieux.

Donc ça c'était l'exprès d'Ariel Dombal

et maintenant le perroquet.

Pour Myriam Barouk,

la question suivante,

oublions les perroquets,

je vous emmène à Romainville

dans le centre commercial

de Romainville.

Je pourrais aussi vous emmener

dans le centre d'Avignon d'ailleurs,

parce que c'est vrai que depuis l'été dernier,

il y en a aussi dans le centre-ville

d'Avignon. Mais à Romainville,

c'est quand même le 350e

qu'on inaugure.

350e quoi ?

Un commerce, oui.

Un commerce de bouche.

C'est d'ailleurs dans les pages saumons

du Figaro que j'ai trouvé cette information

économique. Commerces de bouche,

je suis obligé de vous répondre, oui.

Le KFC.

Bonne réponse

de Valérie Traveiler.

Mais comment ça ?

Il y a 350 KFC

en France désormais.

350 restaurants KFC,

le roi du poulet effectivement

avec le fameux colonel

qui est l'effigie de cette

célèbre chaîne de restauration.

350e adresse

du KFC à Romainville.

Il y en a un qui a ouvert dans le centre

d'Avignon l'été dernier.

Et dans lequel on sert du perroquet rotif

d'ailleurs maintenant.

Mais je ne le répétais pas.

Qui est déjà allé ?

Moi j'aime bien, moi j'aime bien.

Oui franchement oui.

J'aime bien le côté épicé tout ça.

Non mais j'ai emmené mes enfants quand ils étaient petits.

Ah oui vraiment ?

Ils adoraient ça.

Non mais non, on ne va pas aller au KFC.

J'espère bien.

Ça doit être très gras, non ?

Oui, c'est très gras.

On va regarder des titans.

Merci.

Je n'y vais pas tous les jours non plus.

Parfois je vais chez McDo.

Une question pour Marie-Laure Tariffé

qui habite à Rince.

C'est combien ?

Écoutez elle a sûrement un métier

respectable même Tariffé.

C'est quand même marrant.

Et elle nous écoute

à Rince.

Tout le monde la connaît là-bas.

Ça j'aime bien le patron.

Il t'en gueule et après il en revient.

Sérieux tu dois connaître les tarifs.

Elle espère en tout cas

500 euros.

On peut payer par check.

Et ma question est toute bête

parce que j'ai la photo devant les yeux.

Je ne savais pas que ça s'appelait ainsi.

Qu'est-ce qu'une georgette

que j'ai en photo devant moi ?

C'est un vêtement.

C'est un ustenside de cuisine ?

Oui monsieur.

Enfin de cuisine, oui et non.

On le trouve cet ustenside.

C'est pour nettoyer quelque chose ?

C'est pas un tablier ?

Oui.

C'est pas tout à fait à la cuisine que ça sert

mais c'est un lien avec les cuisines.

C'est plutôt un lien avec le barbecue par exemple ?

Non, le barbecue.

La patisserie.

C'est commun à la cuisine

et à la salle de bas.

À la salle de bas ?

Non.

C'est dégueulasse.

L'éponge.

Mais tu ne te sers pas

de la même éponge pour la cuisine.

Ainsi quand je veux gratter le dos

de ce contexte.

Est-ce que c'est en métal ?

Oui madame.

C'est uniquement en métal.

C'est un soupla.

Un soupla, non.

C'est un cuillère de service.

Un cuillère de service.

Une cuillère de service ?

Non mais on se rapproche.

Une louche.

Une louche à spaghetti ?

Non plus.

C'est tout prêt avec la cuillère ?

Est-ce que c'est cuillère à dents ?

Une cuillère à sauce.

Moi j'en ai une chez moi.

Une cuillère un peu longue

et ça a des dents tout autour

et un trou au milieu.

Ce n'est pas une soupe.

Une soupe pierre.

Une soupe pierre en métal.

Une poubelle de table.

C'est un contenant ?

Ce n'est pas tout à fait le mot.

Mais ça sert à mettre quelque chose dedans.

Ce n'est pas de la nourriture ?

De la nourriture ?

Oui, bien sûr.

C'est un versoir.

Une corbella peint.

Non, vous étiez tout prêt avec la cuillère.

Une fourchette.

Un pic, comment ça s'appelle ?

Une fourche.

C'est pour découper la viande.

Non, c'est le truc pour la fondue Savoyard.

La pique.

Le tube à la sauce pour sortir la sauce

du trou du cul.

De la peintade.

Ah oui, oui, oui.

Là, tu as un truc en-dessus.

La broche, la broche.

C'est une cuillère qui te permet de séparer

les lignes neigres.

Et c'est chaud.

Ça, c'est le rendez-vous chez le proctologue de Madame Bachelot.

C'est une cuillère à sauce.

Laurent, on est tout prêt avec la fourchette.

Pardon ? On est tout prêt avec la fourchette.

Avec la cuillère.

Je sais ce que j'ai trouvé.

C'est une pince en fait.

Une cuillère associée.

Pas du tout.

Je l'avais dit que j'avais trouvé.

Est-ce que ça sert pour tous les aliments ?

Ah, ça c'est une bonne question.

J'ai envie de vous dire oui.

Et si on a les lignes ?

C'est bon.

C'est à l'Elysée qu'il y en a des georgettes.

Oui, mais il y a un service.

Elle devait trouver.

Car c'est généralement dans les restaurants

étoilés et même à l'Elysée

qu'on trouve une georgette.

C'est les petites brosses pour enlever les miettes de pain ?

Non, non, non, non, non.

C'est pas un goût d'eau à poisson.

C'est un goût d'eau à poisson.

C'est un goût d'eau à poisson.

C'est un goût d'eau à poisson.

C'est un goût d'eau à poisson.

Mais attendez, c'est pas elle qui faisait

la vaisselle à l'Elysée.

C'est vrai que vous avez été à l'Elysée.

Elle a pu dédiner.

J'ai visité l'argenterie

parce qu'elle est extraordinaire.

Il y a des couverts absolument pour tout ce qu'existe.

Vous n'attiquez ou pas une petite cuillère ?

Allez, dites-le.

Oh bah moi, il paraît que...

Mais non, tu peux rien leur dire en plus.

Si ils t'ont acheté une quarantaine de mirages,

je vais pas leur dire putain.

Qu'est-ce que je voulais dire ?

Par l'ambassadeur, ils demandent de restituer le couvert.

Ah voilà, c'est ça.

C'est tout, ma gonzette.

Est-ce que c'est...

Je crois qu'on va trouver.

On va en faire par étape.

Parce que cette georgette, on l'utilise

à l'entrée, au plat principal.

Pour tous les aliments.

Et si on n'a pas de georgette, on est démunis.

On peut manger quand même.

Est-ce que vous l'en avez chez vous ?

Je sais ce que c'est.

C'est pour sortir les escargots.

Pas du tout.

Non, pour tous les aliments.

Est-ce que c'est pour les aliments liquides

ou les aliments solides ?

Non, plutôt solides, évidemment.

Mais encore que la soupe,

vous pouvez effectivement,

pour la soupe, utiliser une georgette.

Une paille.

Pas bête, mais non.

Il n'y a pas de trou dans cette cuillère

pour enlever le gras ?

Il n'y a pas de trou.

Ça serait pas une cuillère

avec des petites dents au bout.

Vous savez ?

C'est à dire.

Vous savez, par exemple,

si on fait un agneau de 7 heures,

mais vous n'avez pas la réponse,

vous n'avez pas la réponse,

et on va aller dans le public

pour 300 euros enlever la main.

Il y a un monsieur qui l'aime.

C'est un chef custo.

Une georgette.

Qu'est-ce qu'une georgette ?

C'était un monsieur qui voulait remplacer

une ampoule au plafond.

Excusez-moi, je vous dérange.

On s'est approchés de la bonne réponse,

mais on m'a pas donné la réponse exacte

de la georgette.

Comment vous appelez-vous ?

Ma georgette.

Mathieu,

vous pensez avoir trouvé la réponse ?

Quelle est-elle ?

C'est une invention qui a gagné le concours Lépine

et qui associe la fourchette,

la cuillère et le couteau ensemble.

Il fait les trois,

effectivement,

la georgette.

C'est une cuillère, une fourchette et un couteau.

Mais...

Les trois en un.

Mais Laurent...

Mais alors, ça peut pas être un couvert de l'Elysée.

Oui, c'est ce que j'allais dire,

parce qu'à l'Elysée, ils auront bien des cuillères,

des bouchettes et des couteaux.

Désormais, et c'était d'ailleurs dans l'article

que j'ai devant les yeux,

la georgette qui était à la fois une fourchette,

et un couteau.

C'est fait une place à la table des restaurants étoilés,

même à l'Elysée.

Ça n'existait pas de montants ?

Pour la dessiniste Jean-Louis Orango,

qui s'est inspirée de la trace d'une pâte de loup.

Et c'est à la fois

un couteau pour découper.

Une cuillère pour manger la soupe

et une fourchette.

C'est magnifique.

Mais si vous avez un couteau,

une fourchette et une cuillère,

vous en sortez parfaitement.

Mais là, c'est tout.

Moi, j'en ai un de couteaux,

comme ça, de trucs de camping moralité.

Mais là, j'ai vu l'argonomie du truc,

c'est-à-dire que tu piques,

et au moment où tu manges d'aliment,

tu te coupes la lèvre avec le couteau.

C'est exactement ça.

Et puis, si on a besoin d'avoir deux mains,

comment on fait, faut-il acheter deux fois le truc ?

Oui, la raison,

c'est que c'est vrai que si on coupe d'un côté.

Et qu'on pique de l'autre.

Ou alors il faut deux gens.

C'est la troisième, il faut une troisième main

pour s'être plus couvert.

Mais non, vous donnez

aux convives de Georgette.

Il peuvent piquer

avec la Georgette.

Pourquoi ça s'appelle Georgette ?

Parce que

elle est multifonction, Georgette.

En tout cas,

ça nous a fait perdre 400 euros,

la Georgette.

Laurent,

j'ai pas vu trop.

RTL,

Le Livre du jour.

Le Livre du jour s'appelle Rose Nuit.

C'est puillé chez Grasset,

un roman signé au Scar Coupe Feign

qui avait obtenu il y a quelques années

le prix de fleurs.

Je crois que c'est avec son premier roman.

Il me confirmera tout à l'heure quand on l'aura

au téléphone, au Scar Coupe Feign.

Mais ce livre qui s'appelle Rose Nuit

nous raconte le destin

de trois personnages à travers le monde.

Trois personnages liés au fleurs

de Rose Nuit.

Il y a un vendeur de fleurs,

un petit vendeur de rose comme on en trouve

dans les restaurants à Paris.

Il y a celle qui va couper les tiges

des fleurs et des roses

là-bas, là-bas, ou justement.

Tiens, voilà ma question avant qu'on ait

Monsieur Oscar Coupe Feign au téléphone.

C'est d'ailleurs un sujet qu'on a abordé

dans cette émission il y a pas si longtemps.

Peut-on encore offrir des fleurs

puisqu'on sait que les fleurs

écologiquement, ça n'est pas très bon.

Coupez, commercialiser en France

provienne de l'étranger.

On en avait parlé il y a quelques jours

et bien justement, un des trois personnages

la jeune fille qu'on retrouve dans ce livre

elle habite dans quel pays pour ?

Le Kenia. Le Kenia, non.

C'est vrai que le Kenia est le plus grand

exportateur de fleurs. C'est la Hollande.

La Hollande non plus. Le Pakistan.

Le Pakistan, non. Non, ça c'est les vendeurs.

Alors le Pakistan, ça c'est les vendeurs.

Encore que celui-là soit Bengali

si ma mémoire est bonne dans le livre,

il y a des vendeurs de fleurs.

Mais je vais vous aider.

Un pays d'Afrique.

Et la capitale de ce pays c'est

Addis Ababa.

L'Ethiopie. L'Ethiopie, bonne

réponse collective.

J'ai voulu qu'on aille vite

pour garder du temps avec vous

Oscar Coupefein. Bonjour.

Bonjour. Elle est bien

Ethiopienne, la petite coupeuse

de fleurs, celle qui va

faire ce métier difficile d'ailleurs

dans des fiches, des roses.

Est-ce que ce sont des hangars d'ailleurs ?

Parce que vous avez bien étudié le sujet

manifestement.

Écoutez, comme vous le disiez, oui effectivement

le Kenya, c'est le plus gros producteur

de roses pour la vente en Europe.

Mais l'Ethiopie est rentrée dans la danse

depuis une dizaine d'années je crois.

Et effectivement, je suis allé

là-bas deux fois, voir un peu comment ça se passait

et les conditions sont assez

terrifiantes. Alors effectivement

vos trois personnages, on va dire

une vie pas très heureuse

que ce soit la petite coupeuse de fleurs

là-bas en Ethiopie, que ce soit celui

qui vend les fleurs et qui vient, je ne me suis pas

trompé, c'est du Bangladesh, c'est bien ça ?

Oui, Bangladesh. On croit

à tort souvent qu'ils viennent du Pakistan, mais en tout cas

à Paris, la plupart des hommes qui font

ce métier là viennent du Bangladesh. Et effectivement

c'est ceux qui vous proposent des fleurs

dans les restaurants. Alors le troisième

son métier est un peu plus compliqué

à expliquer évidemment.

Il est courtier

en fleurs. Il y a

une grande bourse aux fleurs

au Pays-Bas, Al-Smir, qui est juste à côté

d'Aboutardam, où transitent

l'immense majorité des fleurs coupées

donc les roses, mais toutes les fleurs

qu'on achète en Europe. C'est-à-dire que c'est pas

impossible d'acheter des fleurs

qui ont été produites en France

et les achetés en France, mais elles ont transité

un moment ou un autre par Al-Smir.

Donc voilà, c'est une espèce

d'immense marché qui fait un million

de mètres carrés à peu près au sol.

Et c'est change

toutes les fleurs coupées vendues en Europe.

C'est la bourse des fleurs, en quelque sorte.

On peut dire ça comme ça. Et ce

troisième personnage, je veux dire que c'est peut-être

pas le plus gâté, on va pas dire ça comme ça, mais

celui qui a la meilleure condition sociale

des trois.

Il a accès à un confort

qui est évidemment par rapport à l'avant

deux ans d'éthiopie, un petit peu

démesuré, dirais-je.

Mais j'avais envie de le traiter comme un

personnage qui fait aussi partie d'un rouage

et d'une grosse machine.

C'est-à-dire que c'est pas le salaud total

sous prétexte qu'il est en Occident.

Il y a lui aussi à sa manière

un peu pris au piège de ce gros mécanisme

économique.

D'ailleurs il passe son temps sur l'ordinateur, pas seulement

pour les fleurs, on va dire

les images pornographiques aussi. Ah ouais ?

Bah oui, pourquoi pas.

Pourquoi pas.

Vos trois personnages ne vont jamais se rencontrer.

C'est ça évidemment toute l'astuce

de votre livre. Il travaille pour la même chose

dans le même secteur sans jamais

finalement avoir leur destin

qui s'entrecroise directement.

Oui, l'idée du

livre dans sa globalité, c'était de montrer

que

différents mondes peuvent se croiser.

C'est-à-dire que comme les vendeurs

de rose qu'on voit au terrasse,

ils vont passer devant nous quand on est

en train de boire un verre en terrasse.

Mais finalement, eux, on n'a jamais accès

à ce monde-là. C'est-à-dire que c'est des mondes

qui se frottent, qui peuvent se cogner parfois

et qui sont hermétiques les uns aux autres.

Donc j'ai essayé de montrer ça avec

ces trois personnages.

J'espère que je ne vous fais pas injure si je vous dis que

à m'en donner, ça m'a un peu fait penser.

Evidemment, ça n'est pas du tout le même sujet.

Mais quand même, ça m'a fait penser

au livre La Tresse, qui a été un énorme

succès. On le sait, un best-seller

même parce que c'était aussi des destins

qui s'entrecroisaient sur un autre sujet

qui était les cheveux d'ailleurs.

Le titre est très bien trouvé.

La Tresse, vous en êtes inspiré ?

Je dois vous avouer que je ne l'ai pas lu.

Donc non, peut-être que je m'en suis inspiré

malgré moi. Après, c'est un mécanisme assez

classique en romanaises,

que je veux dire, de traiter différents personnages

de cette manière-là.

Rose nuit,

séchée grassée,

c'est signé Oscar Coupefein.

La rose, vue par trois destins,

ça donne envie de réfléchir quand on achète un bouquet.

En tout cas, c'était le livre du jour.

Merci, monsieur Oscar Coupefein.

Vous savez,

c'est un truc que je vous communique

parce que parfois on a envie

d'acheter des roses et de les offrir

aux dames autour de la table

et parfois on n'a pas envie.

Et quand j'ai pas envie,

je dis au type qui s'approche, je dis

attention, je suis allergique aux roses.

Et le mec fait deux mètres en arrière, il dit

excusez-moi, il s'en va.

Est-ce toujours avec votre femme ou avec d'autres femmes

que vous faites ça ?

Je crois qu'il vient de se trahir.

Une question pour madame

Karine Pellatt qui habite

Karos question

d'actualité,

puisque le Figaro

nous rappelle qu'elle est décédée

le 6 juin dernier

à Manhattan, à l'âge

de 100 à 1 an. Mais on la voit

sur toutes les affiches en ce moment.

De qui s'agit-il ?

Une actrice.

Dans la mode ?

Dans la mode, non.

Elle a écrit, elle a publié

pour tout vous dire,

mais est-ce que c'est pour autant

une auteur ? Je n'en suis pas certain.

Une autrice, c'est une journaliste.

Elle a écrit, on va dire, qu'elle a publié

sur sa vie.

Elle a raconté ses mémoires.

Il y a un biopique sur elle.

Il n'y a pas de biopique sur elle, mais

elle est sur une affiche qu'on voit partout

dans Paris en ce moment.

Sur son affiche,

oui, elle est plutôt jeune. Je peux vous la décrire

parce que le Figaro nous l'a décrit

très très bien, magnifique.

Vous venez de dire, et les jeunes ?

Sur la photo.

C'est pas une photo, d'ailleurs.

C'est pas une peinture.

C'est pas une peinture, non plus.

Un dessin ?

Oui.

Elle a posé pour Picasso.

C'est un dessin de Picasso.

Gilo.

François Gilo.

François Gilo.

François Collective.

Et c'était

encore une question pour Hector Valk.

C'est une question d'actualité.

Parce qu'au centre,

au centre Pompidou, il n'a rien dit.

Oui, mais justement, on l'a grillé.

Je crois qu'il fait la gueule pour autre chose

et je sais pas quoi.

Parce que l'exposition,

c'est des dessins et pas de la peinture.

Des dessins, oui.

Non, mais écoutez,

il y a 1000 dessins.

Des dessins et gravures

qui sont exposés au centre Pompidou.

Il y a des affiches partout dans Paris.

Et sur cette affiche, qui, on voit, effectivement,

François Gilo,

en tout cas son portrait,

dessiné par Picasso.

Très bien décrit, d'ailleurs,

par le Figaro ce matin,

sous la plume de Valérie Dupanchelle.

Seulement 7 ans avant leur rupture,

il a effectivement dessiné

François Gilo,

alors avec ses yeux clairs.

On voit sa main gauche,

comme une palme qui carré se la joue,

son léger grain de beauté,

ses yeux clairs, grands ouverts,

sa chevelure brune déployée comme une jungle,

une géométrie

parfaite au niveau des sourcils,

son nez si droit à un nez de statut.

Et elle est morte à 101 ans

au mois de juin dernier.

François Gilo, qu'on voit

sur ce dessin qui fait la fiche

de l'Expo à Beaubourg.

Et elle peignait aussi hier.

Et vous ?

Pareil.

D'accord, merci.

On vous sent muets

sur cette exposition.

On parle de François Gilo

ou de Picasso ? Non, Picasso.

Tout ce que fait Picasso, c'est...

Picasso était un bon peintre.

On peut le dire.

C'est vrai que c'est un cas particulier.

Ils sont pas si nombreux que ça.

On l'attaque beaucoup sur son attitude avec les femmes.

C'est les femmes qui ont dirigé

l'harmonisation de son œuvre.

C'est-à-dire qu'il y a l'époque d'Oramar.

Elle n'est pas pareille que l'époque François Gilo

qui n'est pas pareille que l'époque

de la jeune femme dont je n'ai oublié de non,

mais ça va me revenir, les années 10, etc.

Donc c'est faux.

C'est vraiment...

On peut dire ce qu'on veut sur lui,

mais s'il y a quelque chose qui...

Si le mot muse a un sens, c'est avec Picasso.

Picasso, une vie en dessin,

c'est actuellement au centre

Pompidou, et c'est une bonne réponse.

C'est une collective acceptée

Héctor Obaik,

qui nous boudre.

Tiens, un autre prénom.

Ciaran, voilà un prénom dont on va beaucoup parler

cette semaine.

C'est la tempête, Ciaran,

qui va s'abattre.

Qui arrive, alors là, je peux vous en parler.

Ah oui, pourquoi ?

Je peux pas le dire.

Non, parce qu'il y a une surprise.

Et la surprise peut ne pas se passer

à cause de la tempête.

Voilà, la surprise.

Si elle dit qu'il y a la tempête...

Il y a une question d'avion, ça dépend

si l'avion peut atterrir.

C'est François Hollande qui revient.

Il débarque en hélico dans le jardin.

Je lui met très mal.

En tout cas, Ciaran, c'est le nom de la tempête.

Moi, ça me fout la trouille.

Mais ça sera surtout à l'ouest,

par la Bretagne, et à l'ouest de la France,

assez peu à Paris, avec des vents de 150 km.

Ne n'essistez pas,

sur la question, n'essistez pas.

Elle peut parler de la tempête.

Elle peut parler de la tempête, longuement.

Et d'ailleurs, elle le fait avec une jolie voix.

Mais c'est Ciaran.

C'est Ciaran, ou c'est un prénom masculin ?

Alors, effectivement, voilà,

une bonne question.

C'est un prénom masculin que je ne connaissais pas.

Et vous savez comment il a été donné ?

Parce que lorsqu'il a commencé à souffler,

il y a six arans

projetés vers le haut.

Et donc, là, que c'était fait.

Elle aurait pu s'appeler six saumons.

Ou six cabillons.

Mais ça a été Ciaran.

Et c'est comme ça que le haran sort.

De l'eau.

Ah non, mais vraiment, oui, monsieur.

C'était surtout un philosophe

qui prenait la possibilité de se suicider.

Non, c'est Ciaran.

Rien à voir.

Non, Ciaran, c'est un prénom gaélique

qui vient des îles britanniques.

Irlandais, on va dire.

C'est un prénom Irlandais avant toute chose.

Petit homme sombre.

Et effectivement, c'est un prénom masculin.

Puisque la variante féminine,

c'est Ciaran pour tout vous dire.

Mais la tempête

porte, c'est en alternance un féminin masculin.

Et donc, là, la tempête

portera un prénom masculin.

Le prénom Ciaran

très peu utilisé chez nous, il faut bien le dire.

Même si l'explication de monsieur Geluc

est totalement impurde.

Mais au moins, elle mérite des drôles.

Ciaran, c'est pour mercredi soir.

Absolument. Et d'ailleurs, je voudrais

qu'on dit toujours une tempête.

Et je voudrais qu'on dise aussi, une fois sur deux,

un tempête.

Donc, j'ai étudié la question

et proche de l'ouragan.

Exactement.

Donc, effectivement, il faut que tous les gens

qui habitent en Bretagne et en Vendée,

partout sur la Côte d'Astrique, vraiment,

en Normandie, restent bien abrités chez eux.

Et ceux qui viennent des États-Unis

et qui font partie de la famille de Valerie Treveiler

et qui ont prévu de voyager.

Si ils en le vendent dans le dos,

il y a-t-il d'abord une ou deux heures d'avance ?

C'est votre fils cuisinier, c'est votre fils cuisinier.

Oui, mais il est là, il est là lui.

D'accord.

Il y a encore quelqu'un d'autre.

Elle a de la famille partout.

Elle a voulu nous raconter un truc.

Elle a même une sœur qui s'appelle Marie Noël.

C'est tout.

Et je voulais savoir, quand vous avez l'air bien renseigné,

on peut se promener en scooter ou pas à l'heure de la tempête ?

On ne sait pas dans quelle mesure

ça va toucher Paris, parce que c'est

effectivement beaucoup plus l'ouest de la France.

Mais non, mais la tempête,

ça m'intéresse, on n'est pas loin de la tempête de 1999.

Exactement.

Mais on prévoit que les vents seront à 150 kmh,

alors qu'en 1999, ils étaient à 180 kmh.

Regardez, ça commence à s'inquiéter dans le public.

Oui.

Il y a des gens qui ne vont pas...

Il y a des gens qui vont repartir maintenant et l'autre.

La fois, comme tout va bien en ce moment,

c'est pas une petite tempête qui va nous emmerder.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Roselyne Bachelot, Valérie Traveller.

Héctoro Bac.

Philippe Galluc.

Bonjour, Philippe.

Bonjour, Philippe.

Une question pour Monsieur Landro,

qui habite Bouligny.

Alors, une question féméride.

Et ça tombe bien, parce que ça nous rappelle, évidemment,

même si ça n'était pas tout à fait vrai,

on l'a suffisamment évoqué ici,

puisqu'en fait, il y avait un jour de décalage entre les deux,

mais ça nous rappelle l'affaire Edith Piaf, Jean Cogto,

ou même Johnny Halliday, Jean Dormeçon.

C'est quand deux célébrités meurent à peu près au même moment.

Il y a toujours une des deux qui est un peu lésée par rapport à l'autre.

En termes d'hommage dans la presse,

il y a 30 ans, un acteur et un réalisateur mouraient en même temps.

Donc, effectivement, un 30 octobre, tous les deux.

30 octobre 1993,

qui mourrait en même temps, il y a 30 ans, acteur et réalisateur.

L'un n'avait pas tourné pour l'autre,

autant vous le dire tout de suite.

Pas pour la même raison, ils n'étaient pas dans le gradient ensemble.

Non, ils n'étaient pas ensemble.

Et c'était des Français ?

Alors, attention, j'ai dit 31 octobre,

pardon, on est 31 aujourd'hui,

et c'est bien 31 octobre 1993,

il y a pile 30 ans.

Français ?

Alors, français, non.

Américains ?

L'un était américain, l'autre pas.

Et c'était aussi connu l'un que l'autre ?

Alors, il y en a un beaucoup plus connu que l'autre.

L'acteur ?

Il y en a un autre qui n'est pas connu du tout.

C'est l'acteur le plus connu ?

C'est trop l'Iran, enfin, hommage, 30 ans après.

J'ai envie de dire que c'est le réalisateur le plus connu,

mais c'est toujours une histoire de génération.

Peut-être que certains connaissaient mieux l'acteur que le réalisateur.

Alors, c'est un réalisateur américain ?

Non, l'acteur est américain, mais le réalisateur ne l'est pas.

C'est anglais ?

Anglais, non.

Russes.

Russes, non.

Allemands.

Alors, là, vous parlez du réalisateur ou de l'acteur ?

Du réalisateur.

Le réalisateur était européen, mais pas allemand.

Vimevalovich.

Italien.

Fellini.

Et c'est Fellini, qui est Maria 30 ans, bravo.

Et alors, quand vous dites qu'il y en a un des deux qui était connu, c'est Fellini.

Alors, à mon avis...

Oui.

Parce qu'il était très connu.

À mon avis, le plus connu est effectivement Federico Fellini.

Mais vous savez, dans la jeune génération, il n'est pas certain.

C'est vrai.

Pardon, mais il faut être lucide parfois.

Il n'est pas certain que, quand l'acteur est mort, certains jeunes étaient plus intéressés

par la disparition de cet acteur que par celle de Fellini, qui n'était pas forcément

un réalisateur populaire pour les plus jeunes.

Vous voyez, monsieur Galluc.

Il faut être réaliste parfois.

Mais lui, je...

Avec l'influencésme à Eva Genable, elle ne connaissait pas Fellini, par exemple.

Et bien voilà.

Donc acteur américain.

L'acteur américain.

Nous cherchons.

Et est-il encore connu aujourd'hui ?

Moins que Fellini.

Voilà.

Est-ce qu'il est encore vivant cet acteur ?

Mais car il est compris.

Est-ce qu'il jouait dans les westerns ?

Alors non, il ne jouait pas dans les westerns.

Je peux vous donner quand même un titre de film, parce qu'il a été nommé aux Oscars,

il a fait des paix...

Ah si, il a même eu une Coupe Veuille Pire.

Ça, c'est en Italie, à la Mostra de Venise, pour un film qui s'appelait My Own Private

Hideo.

Je vais vous dire pourquoi les jeunes le connaissaient mieux peut-être que Fellini.

Il est mort à 23 ans, ce qui est jeune pour un acteur.

James Dean.

Non, James Dean.

Non, non, non.

Il est mort il y a 30 ans, le même jour que Fellini.

Est-ce qu'il est mort d'un suicide ?

Alors il est mort d'un arrêt cardiaque consécutif, comme souvent dans ces cas-là,

à une consommation excessive de drogue.

Est-ce qu'il a eu une actrice américaine célèbre comme partenaire ?

Ah, ça c'est une bonne question.

Est-ce qu'il a eu le temps ?

Non, mais on va dire que dans sa famille, il y a d'autres acteurs célèbres.

Dans les parents ou frère ?

Barry mort ?

Non, non, non, non.

Et d'ailleurs, c'est marrant que vous vous disiez est-ce qu'il est vivant, parce que

je viens de vous dire qu'il est mort il y a 30 ans.

Il est sur l'île avec les autres ?

Non, c'est pas ça, mais il a un nom qui pourrait faire qu'après tout, il revive.

Ah, il y a un autre médecin.

D'accord.

Jésus ?

Je vous aide un peu, voyez-vous ?

Emmanuel ?

Ah non, pas Emmanuel, non.

John émortal.

Non, non, non.

Non, c'est très subtil ce que je viens de vous faire.

Mais vous n'avez pas l'habitude à l'alors.

Mais non, comme toujours patron.

Qu'est-ce que vous dites ?

Qu'est-ce qu'il est fort ?

Non, non, il a dit comme toujours patron, en imitant ma voix.

Oui, tandis que vous...

Et moi, j'imitais l'acier.

Là, c'est d'en dire, vous nous avez pas habitué à ça, à la subtilité.

Il a d'ailleurs aussi joué dans Indayena Jones et la dernière croisade.

Ah mais oui, c'est le...

Ah oui, c'est le vrai.

Il a quand même, malgré tout, malgré ses 23 ans, une filmographie assez...

Exceptionnelle.

C'est quoi ?

En tout cas, exceptionnelle, notable.

My Own Poverty Day.

Oh, Indayena Jones et la dernière croisade.

A bout de course pour lequel il avait été nommé aux Oscars.

Mosquito Coste, Stand By Me.

Voilà, une liste de films qu'il faut que ce jeune acteur mort à 23 ans.

Peut-être eu, effectivement, sa disparition passée un peu inaperçue.

Parce qu'il est mort le même jour.

Le même jour que Fellini.

Je vous ai aidé, quand même.

Ah bah là, vous avez été fait, là.

Ah oui, je peux pas faire mieux, là.

Il y en a dans le public, ils savent tout ça.

Ah bah oui, regardez, les mains qui se lèvent.

Et là, ça va être l'humiliation pour les grosses têtes.

Mais en tout cas, là, on a deux célébrités, un acteur et un réalisateur,

qui sont morts, effectivement.

Le même jour, le réalisateur de la Dolce Vita, de la Strada, est mort le même jour.

Oui, le même jour.

Attention Laurent, si on perd des sous, on perd que la moitié, du coup.

Ah non, là, on vient de perdre, enfin on va perdre 300 euros.

Ah non, il y a raison, on a répondu à la moitié de la question.

Ah non, non, non.

Il me faut le nom de l'acteur qui est plus difficile à trouver que celui du réalisateur.

Donnez-nous juste, Laurent, les trois premières syllabes de son nom de famille.

Non mais je vous ai aidé.

Alaine, Alaine.

Sur son nom de famille, je pouvais pas vous donner une meilleure aide,

que l'indice que je vous ai donné en vous disant qu'il portait un nom,

qui fait que peut-être, au fond, il est toujours vivant aujourd'hui.

Ah, live, live.

Non, mais tant pis, je pouvais pas faire mieux.

Regardez les mains qui se lèvent dans le public, monsieur Guillaume, pour 100 euros de plus.

Vous préférez que j'aille dans le fond, Laurent.

Vous allez où vous voulez ?

Comment vous appelez-vous ?

Pricilla.

Pricilla, c'est pas grave, alors.

Encore des parents bourrés à l'accouchement, ça.

Vous habitez dans le désert ?

Et d'où ?

De 10 gens.

Qu'est-ce qu'on sait ?

River Phoenix.

River Phoenix, bravo, madame.

Mais c'était le frère de Joaquin Phoenix ?

Le frère de Joaquin Phoenix.

Et nous vous confirmez, Laurent, il est beaucoup moins connu que Félinix.

Oui, mais quand même, River Phoenix a eu son époque.

Mais 23 ans, c'est tellement jeune.

Il est mort à 23 ans, et un phénix renait de ses 100.

Ah, c'était très subtile.

Voilà pourquoi je vous avais donné cet indice.

Une question pour Jean-Pierre Billier,

qui habite Bonheuil sur Marne.

C'est dans le Val de Marne.

Il y a une page intéressante dans Libération ce matin

à propos de la fille aînée du roi Philippe VI.

Donc, princesse espagnole qui sera reine un jour,

puisque quand Philippe mourra, elle succédera au trône.

Et voilà pourquoi d'ailleurs aujourd'hui,

elle doit prêter serment la fille aînée du roi d'Espagne.

Elle est dans l'armée.

Pour l'instant, la voilà avec une sorte de béret militaire.

Et effectivement, son grand-père, on le sait toujours vivant,

Juan Carlos, qui lui avait dû abdiquer

l'actuel monarque roi d'Espagne, c'est Philippe VI.

Et comme elle a 18 ans,

elle doit juré fidélité aujourd'hui

à la constitution devant les deux chambres du Parlement espagnol.

Et cette Léonore, puisque c'est son prénom Léonore,

pouvez-vous expliquer ce que fait Monsieur Obalc

pendant que je parle, Philippe Guelyou?

Il fait des selfies pour montrer à sa maman

qu'il était bien aux grosses têtes,

parce qu'elle surveille ses allées et venues.

Vous n'écoutez pas ce que je dis, Monsieur Obalc?

Franchement, je l'écoutais.

C'est juste que je m'inquiète pour ma mère, c'est tout.

Monsieur Guelyou, qui avait complètement raison,

elle est partie toute seule là.

Elle a fait un voyage à Vidar-Cotteray

pour je ne sais quoi, la langue française.

Et bon, ça serait un peu inquiétant.

Mais l'autre jour, vous avez dit, on l'inviterait aux grosses têtes

et puis ça a été coupé au montagne.

Je me suis dit qu'il y a un truc là-dessus.

Donc, il a été puni?

Parce que vous réécoutez les missions après, en plus.

Non, il fait un montage avec que ces interventions.

Qu'il écoute en boucle.

J'étais en train de parler de la fille aînée du roi.

Elle s'appelait au nord.

On la voit, là, en photo-côté de son père,

le roi Philippe VI dans Libération aujourd'hui.

Elle va prêter serment, je vous disais.

Pour l'instant, elle n'est pas encore reine.

Évidemment, il faudra du temps.

Pour ça, il faudra que son papa s'en aille, qu'il abdique

ou qu'il meurt.

Mais donc, pour l'instant, elle a un autre titre protocolaire.

C'est la princesse des quoi?

Des asturis.

Des asturis.

Excellentes réponses.

Demain, M. Bachelot.

Et Demain, M. Treveiler.

Vous connaissez bien le protocole espagnien.

C'est un peu l'emplacement du prince de Galle.

C'est-à-dire que l'héritier a un titre qui lui est donné automatiquement.

Eh bien, oui, le protocole veut, pour l'instant,

qu'elle soit effectivement princesse...

Ah bah oui, à la rendez-vous avec le protocole.

Avec son protocole tout à l'heure, oui.

C'est une contre-prétrie.

C'est l'héritière, en tout cas, Léonore d'Espagne,

jolie jeune femme, 18 ans aujourd'hui.

Vous voyagez beaucoup, vous, M. Obalc?

Le moins possible, mais malheureusement toutes les semaines.

Ah quand même, parce qu'il y a des beaux musées en Espagne.

Oui, d'excellents musées en Espagne, pas seulement à Madrid.

Puis surtout, je passe ma vie à filmer les tableaux, les églises, les palais.

Et je vous emmène au musée pour la question suivante, justement.

C'est une page entière, dans le journal Le Monde,

daté d'aujourd'hui, mais paru hier après-midi.

Une page signée Léo Pajon dans Le Monde

et une page consacrée au musée.

Mais l'angle de ce papier, regardez, c'est une page entière du journal Le Monde.

L'angle est assez étonnant parce que M. Pajon se plaint des musées.

Mais pour quelle raison et de quoi en particulier dans les musées?

Les restaurants dans les musées.

Les restaurants dans les musées, bonne réponse de Mme Bachelot.

Moi, je peux me plaindre d'autres choses, si vous voulez.

Qu'est-ce que vous dites?

Moi, ce dont je me plains dans les musées, c'est très simple.

C'est que dans la plupart des tableaux, si vous les regardez de près,

vous approchez votre regard et vous avez toujours un bonhomme vert qui court derrière des flammes.

Ils disent, mais qu'est-ce que ça vient foutre dans le tableau?

Et c'est le reflet de l'issue de secours sur la vitre.

Et ça, c'est quelque chose que vous n'avez jamais dans le musée.

Quand je fais mon spectacle sur toute l'histoire de la peinture,

il n'y a pas un mec qui court derrière des tableaux verts.

Et ça, c'est pour ça que c'est bien de l'au musée, mais ça ne suffit pas.

Il faut compléter une connaissance qu'on a par des bonnes images en reproduction sur des 6 mètres de haut.

Toi qui analyse si bien les images, réobserve ce logo.

Effectivement, qui indique les sorties de secours et tu verras que le type ne court pas derrière des flammes,

mais devant des flammes.

Parce que si il court derrière les flammes, il va se brûler.

Ah oui, avec des flammes derrière.

On sent la mateur de peinture.

On sent la remarque pertinente quand elle a la peinture de peinture.

Je suis complètement d'accord. Il courrait devant les flammes.

Il fuit le feu.

Ce qui était de penser les gens avec leurs téléphones portables,

c'est beaucoup plus énervant que le petit bonhomme vert.

Si le téléphone portable sert à photographier le tableau, c'est très bien.

C'est juste pour qu'il y ait un arc ici.

Oui, c'est ça.

Devant un tableau, c'est...

Ah oui, la belle mère devant la jocône, c'est génial.

Et alors, ne parlons pas des cons qui photographient les panneaux issus de secours.

En espérant voir dedans le reflet du tableau.

Faut-il visiter les restaurants de musée ? C'était le titre du papier.

Je reviens à mon sujet parce que c'est un excellent papier.

C'est vrai que plus ça va, plus dans les musées, il y a des restaurants,

souvent chiques d'ailleurs, des restaurants chiques.

Et alors là, le critique, manifestement, c'est avec le critique gastronomique.

Les assassines, les restaurants.

C'est terrible.

Il dit...

Vraiment, on allait pas manger dans les musées des restaurants.

C'est très cher et c'est pas bon.

C'est très très cher et c'est pas bon.

D'abord parce que souvent la cuisine est sous contrainte.

C'est-à-dire qu'ils ne peuvent pas forcément, dans les musées, avoir de quoi cuire.

Donc c'est apporté d'ailleurs dans des...

On va dire dans des tuperoirs, dans des...

Ça n'a plus de goût, en fait.

Mais quand ça arrive au restaurant, ça n'a plus de goût.

Parce qu'il n'y a pas forcément, on va dire, les conditions nécessaires

pour avoir l'aération comme il y a dans les cuisines de restaurants.

Et donc à partir de là, la cuisine qu'on va vous servir,

c'est de l'assemblage, mais en tout cas pas de la cuisine.

Alors ils sont obligés de verser une redevance importante au musée

et qui font qu'ils sont obligés de faire de la sous-cuisine.

Et si au moins, au mur, ils mettaient des images de Boudin, de Bacon et de Carpaccio,

ça pourrait...

Ben Bacon, oui.

Oui, mais à control de...

On peut s'entendre.

Non, ben ça peut s'entendre.

Parce que Carpaccio et Bacon, ce sont des...

Des pinceaux aux gens qui nous foutent.

Des pinceaux aux gens qui nous foutent.

C'est Boudin aussi.

Boudin aussi.

Ben oui.

C'était ça que vous voulez dire que nous?

C'est un peu ça que je voulais dire, mais...

Je peux refaire ma blague sur les petits bons hommes

qui fuient les flammes, si tu veux.

Je crois que Roselyne est perturbée par son rendez-vous chez le proctologue.

Une question pour Maxime Braun, qui habite à Nice,

question qui nous permettra d'avoir dans un instant,

Isabelle Meurice, ma Meurice est chef du service culture de Villeneuve-Loubet,

où se tient actuellement une exposition « Objet estampillé France ».

C'est un espace culturel André Malraud de Villeneuve-Loubet,

et parmi les objets estampillés France,

vous avez le fameux pull Breton-Saint-Jean,

le bloc Notre-Oddias, la marinière Armor-Lucs,

la pipe Saint-Claude...

Je vais pas vous faire toute la liste de l'exposition,

mais il y a quelque chose que je vous demande d'identifier

qui est signé Léonard Bullier, et de quoi s'agit-il ?

Les albums de la chanteuse ?

Non, non, non.

On va trouver quelque chose de français alors, purement français.

Ah oui, c'est français, ce sont des objets emblématiques français.

L'encyclopédie du chauvinisme.

Est-ce que c'est quelque chose qu'on met sur soi ?

Non, on met pas ça sur soi.

C'est un instrument de cuisine.

Léonard Bullier, c'est la marque qui fabrique, quoi donc ?

Un instrument de cuisine.

Un instrument de cuisine, non.

C'est pas les georgettes.

Les georgettes, non.

C'est un objet quotidien.

Léonard Bullier.

C'est l'inventeur ou c'est la marque ?

C'est la marque.

Vous pouvez donner moi trois Léonards Bullier.

Que c'est une sorte de bonbon ?

Des bonbons, non.

C'est même le spécialiste depuis 1779, Léonard Bullier.

Est-ce que ça sert tous les jours, ou rarement ?

C'est une entreprise qui s'est implantée à Saint-Brieux,

et qui depuis cette génération s'est succédée.

Aliment ?

Aliment, non.

Est-ce que c'est très breton ?

Non, c'est pas spécialement breton.

Décoratif ?

Décoratif, non.

Utile, utile ?

Utile, utile, tout est relatif.

Ça dépend ce qu'on fait, évidemment.

Mais oui, ça joua l'utile à la culture et à l'agréable.

Est-ce que vous avez un Léonard Bullier chez vous ?

Non, moi, je n'en ai pas.

Quoi, par principe ?

Ça se fait dans une profession artistique.

Dans une profession artistique, oui.

Des crayons.

Des crayons, non.

Mais on se rapproche.

Une peinture.

Une peinture spécifique.

Une peinture, non.

Mais on se rapproche.

La palette.

Les pinceaux.

Les pinceaux.

Les pinceaux.

Le Léonard Bullier.

Bonne réponse.

De Valérie.

Bien encore prouvé.

Bonjour, Isabel Maurice.

Bonjour.

Alors, il a quoi de particulier le pinceau Léonard Bullier

qui soit exposé à l'espace culturel,

André Malraux, actuellement ?

Vous allez me répondre.

Il est français.

Il est français, fabriqué à Saint-Brieux.

Donc aujourd'hui, il est fabriqué avec une fibre synthétique,

à l'origine un poil naturel.

C'était plus des poils, c'était des poils de quoi ?

Il y avait des poils de chèvre, de porc.

Et pas de marte.

Et voilà.

Très, très doux.

Comment est venu l'idée de faire une exposition

avec tous ces objets emblématiques français ?

L'exposition est née vraiment de la découverte du livre

« Objet stampier France » de Christine Florent

et Véronique Mérick, qui a été édité en 2013.

Donc il y a déjà 10 ans, au désition de la Martinière.

Et qui a eu un grand succès.

On y trouvait la Poiltephale, par exemple.

Oui.

Les lunettes veut arner, je l'ai dit.

La marinière Armor Luxe, les verres du Ralex.

Tout ça, c'est français.

Tout ça, c'est français.

Elles ont sélectionné 100 objets emblématiques

du savoir-faire français,

qui ont vraiment été sélectionnées pour leur génie,

leur design, leur fonctionnalité,

ou leur longévité.

Mais il peut y en avoir beaucoup plus.

Évidemment, elles en ont choisi 100.

Et elles les ont photographiées,

à mon sens, d'une façon très moderne,

très intéressante.

Donc c'est autant une exposition de photographie

que des objets évidemment qu'on a rassemblés.

Alors, comme l'Expo Picasso nous montre

François Gillo, dessiné sur la fiche de l'exposition,

vous, sur la fiche de l'exposition,

c'est la girafe Sophie que vous avez choisie.

Absolument.

C'était elle, déjà, sur le livre des éditions de la marinière.

Mais c'est vrai qu'elle a évidemment une bouille sympathique

et nous avons une petite armée de girafe

à la banque d'accueil dans l'entrée du château.

Monsieur Hector Obal, qui veut intervenir.

Ce qui me semble très intéressant dans votre expo,

c'est qu'il soit français, les objets,

c'est qu'il soit dans d'une sorte d'intemporalité.

Ça veut dire que votre lunette vue hernée,

bon, ou le réveil, il date pas des années 10,

ou 20, ou 30, ou 40, ou 50,

ou quelqu'un qui serait pop,

ou plutôt, il serait trente,

ou il serait ceci, ou cela.

Ce qui m'a l'air intéressant dans votre expo

et qui est une chose qu'on retrouve dans les albums de RG.

C'est ça, passion pour des objets

qui n'ont pas de temps, qui n'ont pas d'époque,

des objets que j'appellerais objets.

Un parapluie, parapluie, pas un parapluie 30,

ou 50, ou 60.

D'ailleurs, RG a refait ses albums tellement,

il est perfectionniste, à 20 ans de distance,

quand il trouvait que déjà,

ça sentait trop les années 30.

Mais en tout cas, c'est...

Donc voilà, c'était ça,

et je sens qu'il y a quelque chose d'intemporel

dans l'amour qu'on peut avoir pour les objets

qui ne se démote pas.

Le savon de Marseille, Monsieur Titoffre.

Le savon de Marseille, Marius Fabre.

Oui, oui, très bien.

Fait partie de l'exposition, tout comme le couteau,

la guilleole.

Et ça, ça va plaire à Roselyne Bachelot.

Le mouchoir de Cholet aussi fait partie de l'expo.

C'est bien ça ?

Oui, oui.

Il y a les Charentesses rondinaux,

les Détamins de Molayon-Lichard,

les Chaussons de Danse-Répétaux,

la culotte Petit-Bâteau.

Ils ont devenu des classiques,

on pourrait dire,

parce qu'ils étaient bien faits,

bien conçus des départs.

Mais c'est...

Moi, j'adore.

Mais c'est aussi le cas des Belges.

Pourquoi vous avez enlevé les Belges ?

On pourrait faire une exposition, effectivement,

sur les produits.

Mais la Girafe-Sophie,

c'est vrai que tous les bébés,

c'est bien d'avoir choisi la Girafe pour la fiche,

parce que tous les bébés ont eu une Girafe-Sophie.

Moi, j'ai pas eu une Girafe-Sophie.

Tous les jeunes bébés.

C'est parce que vous l'avez oublié, Roselyne.

Les Girafe existaient pas encore à ton époque.

Mais en tout cas, le Pinceau-Bullier,

la Girafe-Sophie, les Charentesses,

le Poivrier-Peugeot aussi.

Ah oui, ça, c'est l'incontournable.

Oui, tout ça fait partie de l'exposition.

C'est donc à Villeneuve, Loubet.

C'est quoi, les dates ?

C'est jusqu'à quand ?

Jusqu'au 15 décembre.

15 décembre.

À quelle ville ?

À Villeneuve, Loubet.

C'est entre Nice et Cannes.

Entre Nice et Cannes.

Entre Nice et Cannes.

Madame, je voudrais te sûr de pas me mettre fait à voir.

J'ai acheté moins un slip français,

mais ça s'appelle...

Ça existe aussi, on est d'accord ?

Oui, oui.

Ok, c'était pour être...

Pardon, mais t'as n'acheté qu'un ?

Il a acheté marron, ça dure plus longtemps.

Je vais pas vous mentir, j'en ai acheté qu'un,

parce qu'ils sont pas donnés.

Mais c'est bien, c'est bien pour la France.

Et pourquoi tu le portes sur la tête ?

Les charanthèses rondino,

le beret basque, le ciré,

le vert du ralax, tout ça, c'est effectivement actuellement

dans cette exposition.

Objet estampillé France,

à l'espace culturel, André Malraux,

de Villeneuve et Loubet.

C'est le Château des Bonnettes.

Jusqu'au 15 décembre prochain.

Une question culturelle pour Marc Deville,

qui habite à Lénia, c'est dans les Pyrénées orientales.

Je voudrais vous parler d'une poétesse britannique,

journaliste, qui s'appelait Béatrice Hastings.

Mais pour quelle raison

connait-on encore aujourd'hui Béatrice Hastings ?

À cause de la bataille,

qui porte le même nom que la journaliste.

La bataille de Hastings.

Ah non, non, aucun rapport avec la bataille.

Parce que ces ouvrages sont

transformés au cinéma ?

Non, non plus.

Parce qu'elle est l'auteur d'un nouveau d'une poésie

qui est l'emblème de quelque chose.

Non plus, elle était journaliste,

critique littéraire, mannequin,

aussi romancière, poétesse.

C'était l'exe du chanteur Sting ?

Non.

C'était la gonzesse à Sting ?

Non.

Ah, elle est bonne,

elle est bonne, Tito.

Elle est connue à cause de son conjoint ?

Elle est connue effectivement à cause de l'homme

avec qui elle a partagé sa vie pendant un temps.

Et d'ailleurs,

cette union a laissé quelques traces,

n'est-ce pas, Monsieur Obalc ?

Mais je ne vois pas du tout de quoi il s'agit, là.

Quelques traces, donc vous voulez dire...

C'est-à-dire ta denture ?

Dans les draps, dans les...

Non.

Pourtant vous la connaissez, Béatrice Hastings.

C'est la mère d'un peintre ?

Ah non, la mère, non.

La femme, la femme d'un peintre.

Le sujet, le sujet de la tableau.

On va dire la relation amoureuse,

d'un peintre, oui.

Et un peintre qui a fait carrément,

je vais vous dire, le nombre,

qui a fait carrément 14 toiles d'elles.

Est-ce qu'il y a une exposition, en ce moment ?

Alors, est-ce qu'il y a une expo, en ce moment ?

Oui, il y a une expo, en ce moment.

Je vais vous dire,

oui, exactement, au jardin des tuileries,

au musée de l'orangerie.

Camerone...

Non, c'est pas ça.

Et en bougeant les lèvres, ça donne quoi ?

Camerone.

Julia Camerone.

Ah non, mais c'est un part que vous adorez,

j'en suis sûr, hein, Monsieur Obalc ?

Enfin, j'en suis sûr, non, mais...

C'est pas si beau, il y a le truc.

Vous, Monsieur Obalc, voilà,

vous devez devenir ça.

Il s'agit d'un artiste qui a peint 15 fois sa femme.

Vas-y.

Mais qui a quand même eu une expo, alors...

Est-ce qu'il y a un artiste anglais ?

Il y a tous les artistes qui ont peint 15 fois leur femme,

vous voyez, c'est quoi le problème ?

Oui, c'est ma peau.

Oui, c'est ma peau.

Ah, mais ça devrait être pour vous, Monsieur Obalc.

Enfin, un peintre que vous désoléz,

certainement beaucoup,

et qui a peint 15 fois sa femme, ok ?

Et je vous en dis plus,

il y a deux fois,

c'était en 1915.

Là, on est aidés, là.

C'est comme ça qu'on pied des gens.

Est-ce que c'est un patron anglais ?

Non, il n'est pas anglais, Monsieur Obalc.

Il est français.

Il est français ?

Alors, il est mort à Paris,

mais au départ, il est né en Europe,

mais pas en France.

C'est Monk.

Monk.

Ah non.

Il a mal peint sa femme sur le pont, là.

Bien plus connu que ça, Monsieur Obalc.

Vous n'êtes pas votre femme,

vous, Monsieur Guéluc, par exemple.

Bien sûr.

14 fois.

Oh, bien plus que ça.

Je l'ai beaucoup décimé.

En tout cas, on a compris

qu'il y auprès pas de rose.

C'est en fin de genre, van den gun ?

Non, écoutez, il est fou.

Il a fait 14 portraits d'elle.

C'est génial de savoir ça.

Et des portraits qui s'appellent le portrait d'eux

avec son nom, Beatrice Hastings, vous voyez.

Je peux pas faire mieux que de vous dire ça.

Non, je suis très en colère, Monsieur Obalc.

Oui, Monsieur Obalc.

Ah oui, oui.

La dame au chapeau,

il a fait aussi marquer.

Il est marquant, vous ne valiez pas.

Alors, le peintre est mort en 1920,

à Paris, très jeune.

C'est pas Modigliani ?

Et c'est Modigliani.

Bonne réponse.

Le monsieur Guéruc

avouait quand même que, quand même,

là, Monsieur Obalc, là, c'est absurde.

Ah oui.

En ce moment-là,

il n'y a que des pains de mauvais

en ce moment, à la fiche, à Paris.

C'est fou.

Là, les pires de tous,

de Stahl, c'est le pire dans les abstraits.

Modigliani, c'est le pire dans les figuratifs.

Evangel.

Evangel, c'est le pire, non ?

N'essayez pas de vous rattraper

en critiquant les autres.

Si, si.

Je m'attrape très, très bien.

C'est quoi ?

C'est qui, on s'appelait ?

Vous voyez bien le problème

qu'il y a avec Modigliani,

c'est de la fiche.

Si vous regardez de près

comment c'est peint, là,

c'est de la confiture,

comment il peint tellement,

c'est laborieux.

C'est bon, en image, Modigliani.

C'est bon parce que

c'est toujours joli d'avoir

une femme ovale

qui a des yeux

qui elles-mêmes n'ont pas de pupille

et qui sont elles-mêmes ovales.

Une fois qu'on est charmés,

une fois par le truc,

on a compris le truc.

Sauf que lui, il te fait ça tout le temps.

Heureusement, il est super connu.

Et en plus, il est beau mec.

Et c'est ça, le problème.

Et vous savez comment...

C'est les beaux mecs.

Vous savez comment le dire ?

Il s'appelait Amadeo.

Et vous savez quel était son surnom ?

Comment s'appelait ça ?

Non, non.

Jano.

Et elle a dit

pas moi, pas moi

et Jano, la peinte.

Elle partait de loin, ça.

Elle partait de loin, ça.

Vous n'avez pas honte, monsieur Guélic ?

Non, parce que ça m'est venu comme ça.

Ça m'est revenu comme ça.

Ça m'est revenu comme ça.

Ça m'est revenu comme ça.

Et moi, je croyais que c'était

Jani buttern.

Donc, Amadeo Modigliani a eu

pendant deux ans une relation

avec cette Hastings,

Beatrice Hastings,

dont les nombreux portraits

sont célèbres

et l'exposition actuellement

au genre d'un détuilerie s'appelle

Amadeo Modigliani,

un peintre et son marchand.

Et on y voit effectivement

l'ex-compagne de Modigliani

portraitiser la poétesse

Beatrice Hastings

qui fréquentait les milieux artistiques

parisiens de Montparnasse à l'époque

puisqu'elle était aussi

amie de Max Jacob,

mais c'est vrai quand même

qu'elle a posé de nombreuses fois

pour Modigliani.

Cette fois par an, il a peigné.

Comme c'est pas vraiment ressemblant

on s'en fout que ça s'affame ou pas

parce qu'il sait pas faire ressemblant

à un autre problème encore.

Mais il écrit derrière.

Tout ce qu'il sait faire,

c'est faire qu'il fasse un tableau

qui ressemble pas au modèle

qu'il a choisi,

mais qui ressemble à du maudiliani.

C'est-à-dire qu'il n'a que

de ressemblance que le style.

C'est-à-dire qu'il s'imite lui-même.

Voilà.

Il a fait des sous-titres.

Non, mais c'est vrai, madame.

Il y a quelqu'un son portable

qui l'a écouté, ce que je dis.

Alors qu'au lieu,

alors que tout d'un coup,

elle disait, oui, c'est facile de critiquer.

Mais il ne l'écoute pas

quand on explique.

Non, pas du tout.

Il faut expliquer.

Regardez, mettez les caméras sur madame.

Elle ne l'écoute pas.

Elle ne réfléchit pas, ce que je dis.

Du coup, c'est pas pire.

On fait pas attention à ce que je dis.

Pas du tout.

Pas du tout.

Pas du tout.

Il s'est son portable

en train de regarder des photos

de moins nu, en fait.

Mais c'est une abradar.

Mais madame Bachelot, c'est vrai, ça.

Vous pourriez écouter.

Ça, il ne vous intéresse pas du tout.

Je sens qu'il s'est passé.

Non, mais depuis le premier truc,

j'ai senti un truc mondan.

Alors que tu t'offres, tout de suite,

j'ai senti la frange camaraderie.

On va décider ensemble.

Et avec madame Bachelot,

j'ai senti un truc.

Un tout petit peu, madame.

C'est très rare quand même.

Bachelot n'aime pas quelqu'un comme ça.

Oui, j'adore, écoutez.

Je m'occupe beaucoup

des personnes handicapées.

Vous avez raison.

Vous avez...

Vous avez l'œil à toute fin,

vous l'avez vu,

à Monsieur O'Bike.

Ah non, je l'adore.

Quand t'as fait des fans comme ça,

je dis rien.

Et les gens juge.

Écoutez, je crois que l'ambiance

est en train de tomber.

Ah oui, vraiment.

Il est temps qu'on reçoive

notre invité du jour.

STL,

c'est l'heure de l'invité du jour.

L'invité du jour,

c'est un acteur,

un réalisateur,

aussi.

Mais là, c'était pas lui.

Qui a réalisé le film

qui sort demain.

Mère Crodi,

un film qui s'appelle

Monsieur le Maire.

Et Monsieur le Maire,

c'est Clovis Korniak,

qu'on reçoit.

Un film

réalisé par Karine Blanc

et Michel Tavares.

Le Maire d'un petit village.

Un petit village de montagnes.

Bonjour Monsieur le Maire.

Bonjour.

J'ai l'impression d'être

Pierre Bonte quand je dis ça.

Les plus anciens auditeurs

qui se souviennent de cette heure,

c'est-à-dire,

des anciens auditeurs

qui se souviennent

de cette rubrique radiophonique

qui s'appelait bonjour,

Monsieur le Maire.

Bienvenue, Clovis Korniak.

Vous êtes effectivement

maire d'un petit village

de montagnes.

Un maire

qui, comme beaucoup de

petits villages,

a des soucis avec,

on va dire,

la désertification,

le problème des...

Parfois,

des écoles

qui n'ont plus assez

d'écoliers,

ou même des logements

qui ne trouvent pas preneaux.

Oui.

Il est face à...

Enfin, le début du film,

c'est ça.

Il est face à tous ces problèmes-là,

cumulés.

Donc, c'est pas mal.

C'est un bon début.

Et il va rencontrer

une...

Enfin, il y a une jeune femme

qui vient,

qui est jouée par aillée

à Idara,

qui est une chanteuse

de contrées

avec ses deux maumes.

Qui rame,

on peut dire,

qu'elle rame dans la vie.

Voilà.

Et du coup,

en fait,

il a créé des logements

qui,

dans une ancienne gendarmerie,

ils cherchent des locataires.

Il veut pas que ce soit

des touristes.

Il veut des gens

qui s'installent réellement

dans le village.

Mais effectivement,

quand ils regardent le dossier,

en intermitant du spectacle

et quelqu'un qui est ORSA,

c'est très angoissant

pour un maire de village

en montagne

qu'il ne connaît absolument pas.

Le fait qu'elle soit noire,

aussi, on peut le dire.

Je crois pas.

Je pense qu'en fait...

Je suis aussi posé la question,

quand même.

Oui, mais je crois pas.

En fait, il est pas

tellement là-dedans.

C'est juste cette femme

qui arrive avec un chapeau de coboy

et deux maumes

et qui est ORSA,

quoi.

Et ça crée

plus une angoisse

de l'inconnu

qu'un racisme latent

ou d'un truc comme ça.

Il y a pas tellement

ce sujet-là

sur le film.

Il n'est pas...

Même si c'est la seule noire

du village, quasiment.

Ah oui.

Alors, en revanche,

de se faire accepter

de rentrer

dans un village

en Haut-de-Savoie,

quand t'es noire

et que t'arrives

avec tes deux maumes,

on peut dire

que les maires...

Enfin, pas les maires,

pas le maire.

Les mamans

de l'école

sont un petit peu,

on va dire,

désagréables au départ.

Et d'ailleurs, lui-même,

le maire

n'est pas si sympathique

que ça.

Au début,

c'est un film

que j'ai vu

qui m'a mis

l'air maloi

à la fin.

Je dois dire,

ce film-là,

il est en s'attrait réussi

parce que c'est vrai

que c'est...

C'est pas une comédie,

c'est vraiment

un film social

ou parfois,

on peut sourire,

mais quand même,

c'est avant tout

un joli film.

C'est un...

On appelle ça

un film movie,

c'est ça ?

Il semblerait

et alors,

le truc qui est étonnant

parce que ça vous est pas

fait, Marie,

me surprend pas.

Mais étrangement,

souvent avant la sortie

d'un film,

on fait une tournée

en France

et en fait,

les gens se marrent.

Et ce qui est très étonnant,

c'est aussi qu'ils viennent

en famille

et que les gamins,

quand tu parles

avec les gamins après,

c'est un film

qui les marque.

C'est-à-dire,

ils sont très réceptifs

au film.

Alors je disais

que le maire

n'était pas si sympathique

que ça

parce qu'il a quand même

deux buts.

Il y a un,

effectivement,

avoir des jeunes enfants

dans l'école

pour pas que l'école

ferme

va peut-être

être vendue,

ce qui fait que la famille

va rester là

normalement

de façon provisoire.

Bon, on va pas en dire plus.

Non, on va pas en dire plus.

Mais il y a

une petite arnaque

sous-jacente

qui est un peu dégueulasse.

Voilà.

Vous avez tourné

dans quelle village ?

Un village

s'appelle Cordon

et on a gardé le nom

dans le film

qui est vraiment

en face du Mont Blanc

au-dessus de Combleau,

au-dessus de Salange,

pour ceux qui connaissent.

Oui, moi, je suis allé

en classe verte

à l'âge de 11 ans.

Il y avait une plaque, d'ailleurs.

Oui, oui.

Il y avait...

De Verve-là.

De Verve-là.

D'un seul coup,

vous me faites remonter

une partie de mon enfant.

Il y avait encore de la neige.

Non, c'était l'été.

Ça s'appelle Monsieur le Maire.

Ça sort demain 1er novembre

avec Klovis Korniak

avec Aïda Ra

et je voudrais citer

une actrice que j'adore

qu'on n'a pas vu

depuis longtemps,

je trouve au cinéma,

mais il se trouve qu'en 15 jours,

c'est curieux,

je l'ai vu et au théâtre

dans la pièce de la biche

avec Vincent Dodienne

où elle est formidable.

Elle s'appelle Laurence Cotte.

Et on peut dire

même que c'est le 3e rôle

du film,

parce qu'elle a un rôle

très, très important

dans ce film.

Celle qui vous convaince

de tout, quasiment.

Oui, puis elle a un engagement

comme...

D'ailleurs,

quand on a montré le film

au maire Ruro,

notamment,

on avait fait,

on était allé au Congrès

montrer le film,

la secrétaire de mairie

ou le secrétaire de mairie,

c'est extrêmement important.

C'est une place

qui est absolument

plus que nécessaire.

La secrétaire de mairie

jouée par Laurence Cotte

aux côtés de Klovis Korniak

et de Haydara.

C'est monsieur le maire

qui sort demain sur les écrans.

Et puisqu'évidemment,

vous êtes monsieur le maire.

Voici un autre maire

qui voulait vous parler,

monsieur Klovis Korniak.

C'est monsieur Jean Lassalle.

Oui, monsieur le maire.

Mes chers compatriotes.

Monsieur Korniak,

j'ai été maire de ma commune

de l'Ordio Ischer,

qui compte 134 habitants.

Mais comme je vois

chaque habitant en double,

et que je vois le double

de chaque habitant en double,

multiplié par le degré d'alcool,

j'ai l'impression d'avoir été maire de Tokyo.

Vive la République !

Jean Castex,

et là aussi c'est normal,

lui aussi originaire

d'un petit village d'Occitanie.

Bonjour, bonjour tout le monde,

bonjour l'Ortf.

Et monsieur Korniak,

un village entier

qui se réunit

pour soutenir son maire.

C'est pas Paris

qu'on verrait ça

avec madame Hidalgo.

Bonjour Mazette, j'ai pas vu Rosaline.

Comment ça va galinette ?

Attention,

il y a un incident de métro.

Votre attention s'il vous plaît.

Attention, attention,

donge au pendant de l'oeuf,

tu sortes, tu sortes,

pour tourner sofa.

Il y a longtemps qu'on avait parlé,

réentendu Jean Castex,

ça fait du bien d'idier des chants,

et là aussi.

Oui, bonjour.

Bon monsieur Korniak,

je vous aime beaucoup comme acteur.

Le rôle que j'ai préféré avec vous,

c'est dans la comédie de 2007.

Vous savez, celle où vous avez investi

dans l'Olympique Lyonnais.

C'était une très bonne vanne.

Du coup, est-ce que vous prévoyez

une suite, vous devenez actionnaire à l'OM ?

C'est vrai, vous êtes toujours investisseur

dans l'Olympique Lyonnais, Korniak ?

On va pas te parler de sujet qui fâche.

Non mais je suis très très proche

de Jean-Michel toujours.

Ça c'est mon pote et pour toujours.

Jean-Michel Hollace, et bien le voilà.

Bonjour, Clovis.

Vous savez, Loëlle est une grande famille.

Loëlle, c'est un club dont nous sommes un peu

les enfants, des enfants malmenés,

des enfants battus, battus à la maison,

battus à l'extérieur.

Des enfants à qui on dit,

va dans ta chambre, t'es privé victoire.

Des enfants que dans la région Lyonnaise,

on considère à juste titre comme moins bien traité

que ceux qui montaient dans le bus des mille Louis.

Mais...

des enfants qui gardons espoir

d'être un jour adopté par le Real Madrid.

C'est vraiment la voix de Jean-Michel Hollace.

Euh, pas tout à fait, mais il y a...

Oh, merci beaucoup.

Non mais parce que...

Il faut la voir en tête, la voix de Jean-Michel Hollace,

c'est pas évident de savoir.

Oui, ben je vous emmerde.

D'il y a des chances, c'est plus évident envoyer.

Oui, ben je n'allais pas noter mes voix non plus là.

Moi, je ne note pas vos voies.

Pas de réponses d'avoir qu'on donne le voie.

Non mais...

On voulait la vie de Clovis quand même.

Ben oui, on voulait la vie de quelqu'un

de la voix de Jean-Michel Hollace.

En tête, nous, la voix de Jean-Michel Hollace.

Pardon, mais on l'a oublié, vous voyez,

Monsieur Lebré.

Oui, il est mort.

Le ministre de l'Intérieur,

Gérald Darmanin, souhaite vous poser une question

de Clovis Cordillac.

Bonjour Monsieur Cordillac.

J'ai vu votre film qui m'a beaucoup parlé,

et j'apprécie.

L'histoire d'un maire qui rend des services

pour loger des femmes célibataires.

En revanche,

donc ma question, elle est simple.

Avez-vous oui ou non un lien avec Karim Medzema ?

Ça n'est pas utile de répondre,

mais on peut applaudir Marc-Antoine Lebré

et Clovis Cordillac.

Reste avec nous,

puisque vous allez,

pour la première fois, Clovis,

j'imagine, pour la première fois dans votre vie,

vous allez animer la valise Hirtel

dans quelques minutes.

Monsieur le maire,

c'est le titre du film qui sort demain.

Monsieur le maire Clovis Cordillac,

voulez-vous me donner un numéro de 1 à 20

parmi vos administrés ?

Vous allez peut-être offrir la valise Hirtel

à quelqu'un.

Un chiffre, le 8.

Nous allons appeler, alors retenez le prénom

Freddy.

Freddy Fauchois et Freddy habite l'île.

Voilà, ça va sonner normalement

là-bas dans l'or, à l'île,

vous présentez, vous expliquez que vous êtes sur Hirtel

et vous lui demandez quel est le contenu

de la valise. C'est parti, première sonnerie

à l'île chez Monsieur Freddy Fauchois.

Votre correspondant

n'est pas joignable pour le moment.

Je vais lui laisser un message.

Un autre numéro, Monsieur Cordillac,

si c'est possible, Monsieur le maire.

Alors, le 18. Le numéro 18,

nous allons appeler Sylvain Desfois.

Ah, lui, il répond pas toujours.

Il habitant vendé, Monsieur Desfois,

à sa main main.

Bon, vous retenez la vendée, vous retenez Sylvain.

Peut-être qu'il faut dire deux fois, d'ailleurs.

Sylvain Desfois, deux fois, je ne sais pas.

Sylvain, va-t-il décrocher ?

Ça sonne en vendée.

Ah, première sonnerie.

Monsieur, deux fois, on aura la chance d'avoir peut-être

Clovis Cordillac en lit.

Il est pas belge, en tout cas.

Il se trappait une fois, oui.

C'est ça.

Oui, allô ? Allô ? Oui, bonjour.

Je suis Clovis Cordillac

et je suis actuellement

dans une émission qui s'appelle

Les grosses têtes.

Et on vous a, voilà, on vous a choisi.

Vous êtes peut-être le re-gagnant

si vous pouvez me parler

de ce qu'il y a dans cette valise.

Ah, je suis incapable de le dire.

Oh !

Sylvain, on est déçus.

Ah, je suis désolé.

Vous n'écoutez plus les grosses têtes, Sylvain ?

Ah, si, j'écoute tous les jours.

Mais à partir de ma dévouche,

j'ai 17 ans 30, j'écoute moins, c'est vrai.

C'est comme ça, Sylvain.

Des fois, on gagne, des fois, on perd.

Mais c'est pas bien, ça, la citation à la dévouche,

attention, c'est répréhensible, Sylvain.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie ?

Je suis dessinateur.

Ah, bonjour.

Monsieur Geluc est parmi nous, aujourd'hui.

Je suis pas dessinateur,

autant que monsieur Geluc, je suis dessinateur industriel.

Mais lui aussi ?

Ah, ouais.

Et je m'en arrive à faire

du dessin industriel du Mour.

Ah non, on n'arrive pas à faire

du dessin industriel du Mour.

On va faire du dessin de véhicules techniques.

On va vous offrir une montre, Ertel, si vous voulez bien.

Bien, merci beaucoup.

Eh ben, je vous en prie, Sylvain, cachez votre joie.

Bonne fin d'émission.

Ah ben, je vous en prie.

Et je vais ajouter, je vais ajouter

dans la valise, Ertel.

Un maillot de Karim Medzema ?

Non, pour ceux que nous appellerons demain,

pour aller au cinéma,

voir monsieur le maire.

Vous êtes d'accord, Clovis ?

Alors moi, je suis absolument d'accord.

Voilà, ça sort demain 1er novembre,

on ajoute 2 places pour monsieur le maire

dans les salles de cinéma.

Et aussi, écoutez bien,

un traducteur électronique Vasco.

Alors eh bien, qu'est-ce que c'est ?

Le traducteur électronique Vasco.

C'est un traducteur autonome avec lequel

on peut parler en 76 langues

et comprendre même encore

100 8 langues. Je ne sais même pas

qu'il y en avait autant. Parmi les fonctionnalités,

il y a la traduction vocale

et la traduction du texte dicté,

saisie ou même photographié.

Par exemple, le menu d'un restaurant

ou une pancarte, paf !

Vous le photographiez et vous avez tout de suite

la traduction grâce à une carte SIM

intégrée, un accès internet gratuit,

illimité à vie pour les traductions.

Et ça vous convient un truc comme ça ?

Oui, ça nous intéresse. Je n'ai pas le prix,

puisque c'est offert.

Est-ce que ça traduit le Héctor Holbach ?

Il n'y a pas moyen,

il n'y a pas moyen avec tout le bien qu'on en dit

de nous en procurer comme ça.

C'est l'appareil idéal pour tout voyageur.

Ça doit être génial.

Ou tout professionnel opérant à l'international.

Ça s'appelle comment ? Vasco ?

On peut le répéter encore. Vasco, vasco.

Vous savez que je vais profiter de la séquence,

moi je vais à notre auditeur qui a perdu.

Je vais lui envoyer le chat

et les 40 bougies, mon dernier album,

avec une dédicace.

En tout cas, sur www.vasco-electronics.fr

vous en saurez plus sur ce traducteur

électronique Vasco que je glisse

dans la valise RTL.

Vive Vasco, merci Vasco.

Ce qui compte, c'est la sortie demain

dans les bonnes salles de cinéma

du nouveau film, je vais dire 2.

Non, c'est un duo de réalisateurs.

Karine Blanc et Michel Tavarez qui ont réalisé

ce film, mais en tout cas avec

Clovis Corniac dans le rôle du maire

Monsieur le maire sort demain sur tous les écrans.

Merci Vasco.

À demain, 15h30 pour d'autres grosses têtes.

Dans un instant, vous retrouvez Julien

Célier avec, entre autres évidemment,

Marc Antoine Lebré.

Bonsoir Julien.

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Avec Hector Obalk, Titoff, Roselyne Bachelot, Valérie Trierweiler, GuiHome et Philippe Geluck.
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