Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du mardi 29 août 2023

RTL RTL 8/29/23 - Episode Page - 1h 50m - PDF Transcript

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Mais c'est sa dixième avec nous au Grosse Tête, Michel Bernier !

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Une Grosse Tête qui préfère entendre du Wagner à l'opéra qu'en Ukraine,

Roselyne Bachelot !

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Une Grosse Tête qui fait aussi son retour dans le grand studio avant de faire son retour au théâtre

et aussi au Stade de France pour la Coupe du monde de rugby,

François Berléant !

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Une Grosse Tête dans le chat, se balade toujours à poil,

Philippe Gueluc !

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Une Grosse Tête qui a ouvert un refuge pour Marlène Schiappa-Aumont,

Stéphie Boulet !

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Vous l'attendiez !

Il est toujours là !

Une Grosse Tête qui pourra emmerder le gouvernement à passer ses vacances à Bahia !

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Quel succès !

Il n'y a que des ex !

Vous avez fait quoi de vos vacances ?

J'ai passé un été sublime ! Je vous raconte !

Je n'entends rien ! Je vous raconte !

Il se prend pour Bruel !

J'étais dans mon domaine provençal, que j'ai acheté avec l'argent de Vincent Bolloré comme tout le monde !

Il y avait mes vignes, mes champs de cannabis et tout, et j'étais en famille !

C'était l'été, on buvait du rosé, on partousait et j'ai reçu Gérard Junio, figurez-vous !

Vous avez envoyé une photo ?

Mais il a partousé aussi ou pas ?

Oui, oui, non lui, non, mais sa femme, oui !

Et il est venu avec sa femme très sympa, Patricia très jolie, son âge, environ 35 ans, très belle bite, c'est rare, c'est rare pour une femme !

C'est rare pour une femme quand même !

Monsieur Berria, faites quelque chose ! Vous êtes assis à côté de lui, mais je l'avais oublié, ça fait trois mois que je ne l'ai pas vu, je l'avais oublié !

Je peux me confier, c'est la confidence d'un homme, c'est très...

Et donc je raconte, moi je l'ai bien reçu parce que c'est quelqu'un du cinéma, donc il y avait du taramai...

C'est en plus qu'il va travailler avec vous sur le canal, plus !

Oui, on est obligé d'être copains maintenant !

Donc j'avais du taramai, il y avait de la cocaïne, on n'a parlé que de lui, c'était quelqu'un du cinéma !

Voilà, un acteur, il faut parler que de lui, il faut faire ça !

Donc, et il était un peu choqué Junio, j'en parle parce qu'il n'est pas là, donc c'est d'autant plus courageux,

parce qu'avec ma femme, on est un petit peu, vous savez, on est naturistes, mais pas vraiment, on est demi-naturistes !

Donc moi, j'ai un milieu de bain, on ne voit qu'une couille !

Tu vois, c'est coupé en deux !

C'est intéressant, ça !

Voilà, et ça l'a choqué parce qu'il dit, ouais, les gens comme ça, les gens des médias,

oh, Berlin, on ne fait pas demi-naturistes, on ne voit qu'une couille ou pas !

Quand vous êtes en milieu de bain, chez vous !

Je ne sais pas de quoi il parle, je comprends pas !

Ça tombe bien parce que la première citation, il fait vous demander d'en retrouver l'auteur,

c'est pour Marine Esther qui habite brouillée dans les sonnes.

La première citation, c'est si on ne peut pas faire ce qu'on veut chez les autres, il n'y a qu'à rester chez soi.

Jean-Yann ?

Pierre-Dac ?

Quelqu'un de vivants ?

A qui a dit Pierre-Dac ?

Ah bah j'aurais dû dire oui, car c'est Pierre-Dac !

Ah, la réponse !

Ah, il commence parti !

J'aurais dit poutine, moi !

Pour Brigitte Font qui habite brouill-châtel, c'est en haute marne, qui a dit,

la fin du monde, c'est pour demain, je vous le confirmerai, la semaine prochaine !

Pas Corabane ?

Ah, c'est pas mal, ça aurait pu !

Bravo !

C'est un politique ?

Oh, non, mais c'est quelqu'un qui a connu Francis Blanche, qui l'aimait bien, ils ont travaillé même un peu ensemble.

Ah, Pierre-Doris ?

Alors, non, pas Pierre-Doris.

C'est Jean-Yann !

C'est Jean-Yann ! Le voilà !

On monte le niveau maintenant, avec une citation plus difficile, pour Michel Quain qui habite moulouse.

Qui a dit, quand ils me lancent des fleurs sur scène, c'est pour voir seulement si je peux encore les ramasser.

Arrête d'en parler !

Avec sa prothèse de hanche, c'est impossible !

Si elle avait une prothèse de hanche, elle n'a même pas de hanche !

Comment voulez-vous qu'elle ait une prothèse ?

Ça ne dépasserait pas !

Non, mais c'est vrai que c'est une actrice, une actrice qui n'est plus de ce monde !

Mérina !

Sarah Bernard !

Sarah Bernard, non !

Plus récentes ?

Maria Pacôme !

C'est Maria Pacôme !

Bonne réponse !

La citation suivante devrait vous plaire, Madame Bachelot.

Et puisqu'il s'agit...

De François Fillon !

Non, de quelqu'un qui a entendu des jeunes chuchotés dans son dos, qui disaient à son propos,

il paraît que le vieux devient gaga.

Et sans se retourner, il leur a répondu, il paraît même qu'il devient sourd.

Jacques Chirac ?

Non, pas Chirac.

Morandini ?

C'est un politique !

Alors, c'était un politique, oui.

Et il est mort ?

Il est mort, il y a un moment, déjà.

C'était un homme politique de la Vème République, quand même.

Il est mort en 1965.

Pompidou ?

Non, plus tard, d'après lui.

Il faut poser les bonnes questions.

C'était un président de la République.

Un premier ministre ?

Il n'était pas français.

Il n'était pas français.

Et c'est Winston Churchill.

Bonne réponse !

De Philippe Galluc.

Plus compliqué, plus littéraire aussi, cette citation pour M.Epone,

qui habite à l'afferté Saint-Aubain,

qui a dit, « Une femme entre dans votre vie, c'est merveilleux.

Elle en sort ses produits d'anciennes ».

C'est gentil.

Ça pourrait être du guitry, mais ça n'est pas du guitry.

C'est français ?

Non.

C'est français ?

Alors c'est très français, c'est même quelqu'un qui a, d'ailleurs, été ambassadeur français.

La faillette ?

Ah non, non, non.

Garry ?

Non, pas Garry.

20e siècle ?

Alors 20e, aujourd'hui.

C'est pas Vendrufin ?

Vendru, non ?

Vendrufin, c'est pas bête.

Mais c'est quelqu'un qui est mort, là, pour moi.

Claudel ?

Je crois même qu'on a une grosse tête qui l'interprète sur scène.

Qui interprète une de ses œuvres, qui interprète pas le personnage ?

Qui joue son rôle, le personnage, absolument.

Il interprète sur scène, mais il ne le sait pas lui-même,

puisque la réponse ne vient pas.

Ah non, mais c'est pas une grosse tête qui est ici, aujourd'hui.

Ah, d'accord, mais qu'est-ce qu'ils sont ?

Qu'est-ce qu'ils sont cons, aujourd'hui ?

Ca pourrait, honnêteté bien.

Il a été ambassadeur, oust, là.

Ah bah, il a été ambassadeur, c'est un peu embêtant,

parce que, si vous voulez, il n'a pas toujours été blanc-blanc, cet homme-là, vous voyez.

Mais comment c'est qu'il n'a pas été blanc-blanc, c'est-à-dire ?

Bah, il a été...

Ah, pendant la guerre, il a été du côté des vainqueurs ou des perdants ?

Voilà, il a été ouvertement antisémite, collabose.

Comment il s'appelle le mec de Bordeaux, là ?

Pimpon ? Pimpon ?

Jean-Bisseler ?

C'est pas Pimpon, hein.

Pimpon, il a dirigé le Samu après la guerre, oui.

Non, mais bien plus connu que ça, Roselyne.

Et c'est un camarade à vous, un camarade de BFM, TV, en plus, notre chaîne, chère Roselyne,

qui le joue sur scène en ce moment.

Mon petit chouchou, là, comment il s'appelle, Christophe ?

Christophe Barbier ?

Oui, mais c'est pas Christophe Barbier qui est collabué en Tissay.

Non, mais non.

Ah, c'est ici !

Mais bien sûr.

C'est dans spectacle Coco Chanel ?

Exactement, avec Coco Chanel.

Claudel ?

Écoutez, franchement, j'ai essayé de vous aider.

Il faut pas être pressé pour avoir la réponse.

Paul Moran ?

Paul Moran, bonne réponse de François Berléand.

C'est l'homme pressé, voilà, l'homme pressé.

L'homme pressé de Paul Moran, et oui, Christophe Barbier joue le rôle de Paul Moran

dans la pièce avec Caroline Sciolle, qui, elle, joue Coco Chanel.

Et c'est bien Paul Moran qui avait eu cette phrase qu'on a oubliée,

puisque j'ai dû la prononcer il y a déjà dix minutes.

Une question pour Véronique, la maison qui habite en Mille sur scène,

c'est dans l'aube.

Ce matin, dans la presse, on peut lire Philippe Chapuis,

qui raconte une anecdote incroyable,

puisqu'un jour en Suisse, il a failli se faire tuer par quelqu'un qui a sorti un couteau,

et lui a mis sous la gorge pour lui réclamer une dédicace.

De qui s'agit-il qui est Philippe Chapuis ?

C'est Zep, c'est le dessinateur Zep,

le créateur de Titoff.

Bonne réponse de Philippe Gueluc !

Oui, ça fait une trentaine d'années que Zep, puisque Zep c'est le pseudo

et effectivement de Philippe Chapuis, ça fait plus de 30 ans que Zep dessine Titoff

et il y a un nouvel album, pardon, de parler des albums de vos confrères,

monsieur Gueluc, mais il y a un nouvel album de Zep, Suivé la Mèche,

et Zep raconte comment ça se passe, les dédicaces,

parce qu'il y a une époque où il avait encore plus de succès,

peut-être qu'il en a aujourd'hui, il y a 20 ou 30 ans,

c'était vraiment énorme, il faut dire, les sorties d'albums de Titoff,

et il raconte qu'il y avait que des fils d'attente incroyables

dans toutes les séances de dédicace, et qu'il fallait faire un tri,

et qu'un jour, effectivement, il y a un type qui a sorti un couteau,

et qu'il l'a mis sous la gorge du libraire,

et qui a dit, faites-moi une dédicace, autrement je vous tue.

– Un certain François B. – Pardon.

– Un certain François B. – Mais c'est assez incroyable.

Et il dit aussi, à un moment donné, il y avait tellement de monde

qu'on avait décidé de ne faire des dédicaces qu'aux enfants, pas aux adultes.

– D'accord. – Ce qui était normal,

puisque c'est plutôt des BD pour enfants.

Et petit à petit, il s'est rendu compte, ça, ça m'a amusé,

il s'est rendu compte que les enfants qui venaient lui demander des dédicaces

avaient des prénoms de vieux,

parce qu'en fait, les parents donnaient leurs prénoms à eux,

et envoyaient les gamins.

Et à un moment, je demande à un petit,

si son prénom s'est écrit avec un ou deux L,

et là, il se retourne et écrit à un adulte plus loin, ça s'écrit comment ?

Et certains gamins pleuraient aussi, c'est ce qu'il raconte,

parce que eux, ils n'avaient pas forcément envie d'avoir une dédicace de l'auteur.

Surtout, leurs héros, c'est Titoff,

c'est pas évidemment celui qui dessine Titoff.

Et là, il voyait un vieux mec en train de dessiner,

il disait « mais c'est qui ce gars-là ? »

Et il se mettait à pleurer, mais il disait « il a dessiné sur mon livre ! »

Alors, franchement, l'interview de Philippe Chapuis,

puisque c'est son vrai nom, dit Zep,

l'auteur de Titoff, l'interview est très amusante dans le parisien, ce matin.

Mais j'ai une autre question qui nous emmène en Espagne,

cette fois pour Noémie Bié, qui habite Saint-Hilaire de Riès en Vendée.

Et je vous emmène dans une église du sud de l'Espagne,

une église, l'église de Motril, je sais pas si vous connaissez cet endroit en Espagne.

Bien sûr, c'est dans le sud de l'Espagne.

Où une femme a entamé une grève de la faim, une grève de la faim,

mais qui est cette femme ?

C'est la mère de Rubialès.

Et qui est Rubialès ?

Le président de la Fédération de football qui a embrassé sur la bouche Mme Hermoso.

Excellente réponse de Rosine Bacchelot.

Et oui, parce que la mère du président de la Fédération Française,

enfin plutôt Française, espagnole de football,

la mère n'est pas contente qu'on fasse comme ça du mal à son fils.

Et en plus, ça lui fera faire, parce qu'elle est très, très grosse.

Et donc, la grève de la faim, c'est un prétexte pour faire un réveil.

C'est comme j'aime.

Mais l'histoire, l'ampleur qu'après cette histoire, c'est dingue.

Évidemment, c'est fou, quand même.

Alors, Française, c'est tout à l'heure.

On a pu avoir de plotter une stagiaire aussi.

Moi, je suis d'accord.

De là, ce que la mère du président de la Fédération fasse grève de la faim.

Parce qu'il inquiète sur son fils.

Oui, il s'en prend.

Enfin, quand même, on décroche que les proportions que ça prend,

la mère fait une grève de la faim.

Celle se dit, et s'il faut ça pour qu'il n'aille en prison, je sais pas.

Enfin, quand même, on vous a déjà embrassé sur la bouche de manière forcée,

Stevie, apparemment.

Oui, parfois, mais bon.

Ah oui, ah oui, vraiment.

Oui, bah oui, mais bon.

Mais qui a fait ça ?

Mais c'était des gens que tu connaissais ?

Non, mais bon.

Mais pourquoi bien ?

Il s'est quand même excusé.

Oui, il s'est excusé.

Mais de cette grattée Los Cornets, trop proche de la reine d'Espagne.

Ah oui, c'est vrai qu'il s'est gratté les couilles aussi, à un moment donné.

Oh non, mais les vulgaires.

On va dire que c'est pas l'homme le plus élégant d'Espagne.

Non, mais vous savez, il serait russe l'autre l'envoi en avion quelque part,

et il fait tomber l'avion, et le problème est réglé.

Ah oui, il serait russe.

On pourrait l'embrasser sur la bouche.

Mais avec une vodka.

En tout cas, voilà, la maman de ce monsieur Rubiales fait grève de la faim.

Et vous, Roselyne, on a tenté déjà de nous embrasser de façon un peu.

Oui, ça peut arriver.

Un politique, un politique, j'imagine.

Oui, un politique.

Ah, Darmanin ! Darmanin ! Darmanin ! Darmanin !

Non, bah non, il est trop jeune.

Oui.

Deux mois, il pompit nous.

Il faut qu'il soit plus grand.

Il parait que René Cotier avait la main baladeuse, c'est vrai ?

Il fallait qu'il soit plus grand que toi.

Il est mort ou pas ? Il est mort, il est mort.

Non, il est pas mort.

Ah, il est pas mort.

Ah, revérue !

Ah oui, regarde, il lui reste de la moustache.

Ah là, là, là, là, là, là.

Il n'avait pas de moustache, Robert Rue.

Non, mais elle !

Non, elle est belle, Roselyne.

Non, mais c'est incroyable, je me l'envoie tous les matins.

Au prix que ça coûte.

Non, mais vous êtes quand même une divinité.

Ah bon ?

Roselyne, elle est quand même...

Enfin, je sais pas parce que c'est méchant, mais c'est sincère.

Pour votre âge, vous êtes absolument incroyable.

Mais ouais, 100-4 ans.

Non, mais 100-4 ans, elle en fait 60-12.

Moi, à 100 ans, j'aimerais être comme elle.

Mais tu seras comme elle.

Mais ça y est ?

Laisse-nous imaginer.

J'ai pas de moustache, mais vous connaissez l'histoire

de la dame qui a du poil entre les seins.

Non.

C'est une fille magnifique, elle est très gênée

parce qu'elle s'en mêle, elle a du poil entre les seins,

donc elle va voir son médecin.

Et le médecin lui dit, bah écoutez, enlevez votre chemisier.

Elle révèle une poitrine absolument sublime.

Effectivement, elle a du poil entre les seins.

Et le médecin lui dit, mais ça va jusqu'où ?

Bah il dit jusqu'au couille, docteur.

Voilà.

C'est pas en espagne qu'on raconterait des histoires comme ça.

Le premier orditeur n'est pas content

parce qu'il a remarqué que j'avais fait une erreur hier

et vous avez raison.

Oh, c'est qui ?

Il faut lui.

Maintenant que j'ai fait de l'info, il faut que je sois très précis.

Mais c'est pas tout à fait une erreur.

Je vais répondre.

Martin, bonjour, Martin.

Bonjour.

On a fait le malin.

La question était à propos du numéro 1,

le vice-français, monsieur Gelluc.

C'est qu'hier, les grosses têtes ont séché

sur le nom d'Adrien Manarino,

numéro 1 français.

Alors j'ai reçu beaucoup de mails

depuis la diffusion d'émissions hier après-midi.

Parce que ça n'est plus lui.

Alors je crois qu'il y a d'ailleurs une faute

de votre part à vous aussi, Martin.

Parce que vous m'avez mis Hugo Hubert,

mais je crois que c'est un berce.

Un berce, exactement.

On va avoir fort partout la Californie.

Mais pour que tu te fasses malin, ça.

Tu sais qui c'est ?

Mec, mec, mec.

Et quant à moi, je vais vous dire,

je n'avais pas vraiment commis d'erreur.

Il se trouve qu'au moment où l'émission a été diffusée,

Hugo Hubert était devenu numéro 1.

Mais qu'hier, Martin, quand on a enregistré l'émission,

c'était encore Adrien Manirano.

Parce que ma source, je vais vous dire...

C'est Manarino, vous avez Manirano.

Ma source, c'est dans l'équipe.

Donc je peux quand même avoir mieux que le journal l'équipe.

Mais sauf que l'équipe évidemment,

hier matin, il n'avait que le classement du lundi matin,

pas celui du lundi après-midi.

Et qu'entre-temps, ça a évolué...

On ne sait même pas qui c'est, donc il a...

Vous me pardonnez, Martin ?

Mais bien sûr, effectivement, moi, quand j'ai eu la question,

je me suis aussi connecté à l'équipe.

Avec le classement à jour, à 17h30.

Et donc, du coup, j'ai crié Hugo Hubert.

Je me suis même essayé de voir

comment est-ce que vous auriez pu mettre les grosses têtes sur la piste.

Et puis, quand j'ai entendu Adrien Manarino,

effectivement, j'étais surpris.

Sauf que, de toute façon, ils n'auraient pas trouvé non plus Hugo Hubert.

Non, non.

Donc ça ne change rien au résultat.

C'est dire l'état du tennis français.

Mais en tout cas, c'est vrai que le vrai numéro un depuis hier après-midi,

c'est bien Hugo Hubert.

Alors qu'hier matin, quand on a enregistré l'émission,

c'était encore Adrien Manarino.

Il a dû être surpris, hein ?

Ah oui, à basse.

Hugo Hubert d'apprendre qui était premier.

Et Adrien Manirano, qui l'était resté.

Mais Hubert, ça va ? Mais 3 verres ?

Ah ah ah !

Bon, mais Martin, vous allez encore continuer à nous écouter quand même, Adrien ?

Bien évidemment.

Bah oui, tant qu'il y a le chômage.

Parce que quand même, on va demander à la fin de votre mai,

est-ce qu'il serait possible de récupérer les 300 euros pour moi ?

Non, non.

Pas quand même, hein, Martin ?

Mais Martin, faites gaffe.

Si vous écoutez l'émission en podcast,

il y a d'autres informations qui seront devenues obsolètes aussi.

Notamment, quand vous dites, voilà, Donald Trump vient d'être élu président,

mais non, c'est une ancienne émission.

Lucy est au téléphone maintenant.

Bonjour, Lucy.

Bonjour, Monsieur Ritier.

Ah, bonjour.

Comment va Pascal Obispo ?

Lucy !

Bonjour, madame Lucy.

Ravi nous retrouvait pendant tout l'été.

Alors Lucy, vous avez une anecdote qui m'a peu étonnée quand je l'ai lu.

Vous avez couché avec Stevie ?

Non.

Ah, c'est vous, d'accord.

Lucy dit qu'elle nous a écouté tout l'été pendant les best-ofs,

mais qu'elle a eu la chance de rencontrer pendant l'été Sloane.

Vous parlez de la chanteuse Sloane, du gros...

Oui, de Peter & Sloane.

Oui, de Peter & Sloane, c'est ça ?

Oui, effectivement, lors d'un concert qu'elle a donné,

j'ai passé le reste, en fait, de la soirée avec elle.

Ah oui ?

Elle était en première partie de Daft Punk, oui.

Vous étiez de la seule spectatrice ?

Non, non.

Ce qui m'a passé une agréable soirée...

Elle est archi sympa.

Elle est très marrante.

Ce qui me surprise, c'est que vous dites,

elle vous a raconté qu'elle passerait dans l'émission à la rentrée dans les grosses têtes, c'est ça ?

Ben oui.

Ah, mais vous confondez que Sophie Davon ?

Vous dire qu'elles ont la même tête, hein ?

Donc vous attendez de voir la programmation pour savoir quand est-ce qu'elle passe ?

Elle s'est vantée, hein, parce que c'est pas prévu qu'elle vienne Sloane dans l'émission.

Ben, elle n'a pas précisé si c'est en tant que grosse tête ou en tant qu'invitée mystère.

Mais qu'est-ce qu'elle devient ?

En tant que grosse tête, elle n'est pas invitée.

En tant que grosse tête, c'est pas prévu et en tant qu'invitée mystère, non plus.

Mais peut-être qu'elle va, peut-être qu'elle est dans la salle.

Attendez, on va faire un test, Laurent.

Besoins de rien !

Elle est là !

Mais là, mais elle ne sonne plus.

Moi, je l'ai vu sur une fête foraine, elle vend les churros, là.

Mais c'est pas grave, mec.

Pourquoi ça dirait tellement envie d'artiste ?

Pour vous faire plaisir, dès qu'elle nous donne des nouvelles,

promis, on invitera Sloane, le public attend ça avec impatience.

Rien à ajouter, Lucie.

Ben, si, je suis vraiment contente de vous retrouver, pour cette une belle saison.

Ben, c'est un plaisir.

On a aucun mérité dans les pays.

De retrouver tous nos auditeurs.

Tom, maintenant, est un téléphone. Bonjour, Tom.

Bonjour Laurent, bonjour à toute l'équipe des brossettes.

Bonjour, Tom.

Tom, il a deux chouchous, Sébastien Tohaine et Jean-Marie Bigard.

Ah ben ouais.

Et ça tombe bien parce que...

De l'itéraire, de l'itéraire.

Les deux ne sont pas là.

Les deux seront là à Chalon en Champagne où nous ferons l'émission en fin de semaine

et vous serez dans le public.

Et j'y serai avec plaisir.

Mais c'est vrai qu'on sera à Chalon en Champagne en fin de semaine.

Ça va être super.

Ah ben oui, c'est jeudi, le registrant, à 19h30.

Jeudi, après-demain.

Et jeudi 31 août.

Jean-Marie Bigard, Sébastien Tohaine, Michel Bernier.

Oui, je serai là.

Christophe Bogrand, Valérie Mérez et Valérie Treveilleur.

Stemplénaire, inscrivez-vous nombreux sur www.foirdechalon.com.

Si vous êtes libres, jeudi à 19h30.

Moi, je serai à la Faire de Chalon la semaine d'après. C'est pas de bol.

Oui, c'est pour ça qu'on est venu 8 jours plus tôt.

Oui, c'est ça.

Tout se explique.

Bon, mettez-vous au premier rang, qu'on vous reconnaisse, Tom.

Oh ben, j'aimerais bien.

Et pourquoi Tohaine et Bigard sont vos préférés, alors ?

Ah, c'est mes préférés, tout simplement.

C'est ceux qui se trouvent à portes le plus d'humour à l'émission.

Ah ben voilà, merci pour les autres.

C'est ça pas pour François ?

Qui a mourir de rire ?

Et qui a pas du rythme ?

Ne touchez pas, monsieur Bernier.

Je le remercie, je le déteste.

Moi, t'es là, François, comment tu fais ?

Bonne vacance, c'est tout, t'es bronzé, t'es beau.

Et c'est beau, Tohaine, ça se voit pas ?

Monsieur Bernier, en plus, répète avec Sophie Marceau, en ce moment.

Ah, elle est comment ?

Attention.

Elle est magnifique, hein.

Il paraît qu'elle sent un peu des essais.

Elle ne met pas de théo depuis le tournage de la boue.

Moi, je peux vous dire que ça va être bourré à craquer.

Je sais que les réservations, je sais pas combien de salles d'avance sont déjà pleines.

Je me trompe, monsieur Bernier.

Oui, c'est un gros, gros succès.

Avant même que ça commence.

Ah, mais tu vas jouer la boume sur scène.

Génial.

C'est mieux qu'à l'électricité, hein.

C'est vous qui remplaçait Denis, grève, François.

C'est Poupette, c'est Poupette, il va faire Poupette.

Tu fais pas Pierre Cossaud.

Je fais tous les rôles.

Allez, on passe maintenant, prêt, Tom, au revoir, Tom, et merci.

Et à Jody.

Pour votre appel, à Jody, on passe à Anselot, maintenant.

Bonjour, Anselot.

Anselot ou Quentin ?

Le prénom, c'est Quentin, parfait.

Anselot, c'est une autre famille.

Ecoutez, franchement, je vais vous dire...

Vous commencez, Quentin.

Vous commencez, Quentin.

Anselot, c'est un livre.

Non, mais...

Non, mais il y a des Anselots.

C'était possible.

Tout est possible aujourd'hui, Fabien.

Bon, pourquoi vous nous appelez-vous alors, Quentin ?

Dès là, je voulais commencer en disant que c'est mon anniversaire.

Ah ben, bon anniversaire, Quentin.

Quel âge ?

Et ben, tu sais quoi, on t'offre la valise.

26 ans.

26 ans.

Ah ben, voilà pourquoi vous y connaissez en podcast,

et vous voulez expliquer à l'auditrice qu'on a eue hier au téléphone,

comment il faut faire ?

Exactement.

Elle se plaignait de ne pas avoir les podcasts gratuitement,

alors que la chaîne gratuite est disponible, évidemment, avec les pubs.

Mais, effectivement, il y a une chaîne payante.

Il y a même des auditeurs qui se plaignent sur la chaîne payante des grosses têtes d'avoir les pubs.

Je pense qu'ils payent l'abonnement, mais qu'ils vont écouter sur la chaîne gratuite.

Monsieur, je comprends plus rien.

Merci de nous l'avoir expliqué, en tout cas.

Le point de départ, c'est qu'on met la prise sur secteur.

On allume l'ordinateur.

Là, l'écran s'allume.

Qu'est-ce que je fais après ?

Et elle nous a dit qu'il n'y avait pas de touche sommeil.

Alors, est-ce qu'il y en a une ou pas ?

Dans l'application RSL, effectivement, il y a une touche sommeil.

C'est une petite lune qu'il y a au-dessus de votre tête, Monsieur Rukier.

C'est pas vrai, j'ai l'une au-dessus de ma tête.

Ah ben, c'est pas la première fois.

Voilà, là !

Vraiment, c'est pas la tête d'ailleurs.

Excusez-moi, Laurent, je vérifie sur l'appli.

Vous êtes de dos et il est en-dessous de votre tête.

Ça, c'est une photo de ton hasard.

C'est un minuteur de veille. C'est ça, en quelque sorte.

Exactement. Pour ceux qui veulent s'endormir avec vous, ils peuvent mettre 30 minutes ou une plus d'heure.

Le croyément, il y a du monde.

Le fait qu'on appelle quelqu'un RTL pour vous faire la promo du podcast, c'est faire croire que c'est un auditeur.

Et en plus, pas faire croire que je ne connais pas son prénom.

Qu'est-ce qu'on est malins ?

Au revoir, En slow !

On s'en va la contente, on s'en va la contente !

Salut, Quentin !

Salut, En slow !

Les grosses têtes avec Laurent Rukier, c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours écroche, Nick Vachelot, Michel Bernier, François Bernier en Philippe Conuch.

Bonjour, Laurent.

Bonjour, Philippe.

Stéphanie Boulay et Sébastien Tolleuil.

Oui, oui, oui !

C'est incroyable !

Si vous avez bien lu les journaux, vous saurez répondre à cette question où on nous dit dans la presse ce matin qu'un cube de verre,

un énorme cube de verre a été installé face à la Tour Eiffel.

Mais qu'est-ce qui se passe dans ce cube de verre face à la Tour Eiffel ?

C'est pas l'œil de verre de Jean-Marie Le Pen ?

Ils font des tests pour les J.O ?

Non !

Justement pas, non, non.

Pour une fois, c'est une extension du...

C'est une pièce rafraîchie.

Qu'est-ce que vous dites ?

Une pièce rafraîchie.

Qu'est-ce que vous appelez ?

Pour les vieux qui souffrent de la canicule.

Ah oui, c'est bien de les mettre dans un cube de verre.

Et surtout là, à Paris, on souffre beaucoup.

Et c'est du verre de loupe.

Oui, mais un cube de verre avec de l'eau dedans.

Il y a quelque chose dans le cube, Laurent.

C'est que du verre ?

Il y a quelque chose dans le cube.

C'est transparent, c'est en verre pour qu'on puisse voir ce qui se passe à l'intérieur.

Mais c'est une extension du palais de Tokyo, c'est autour d'une exposition moderne.

C'est à côté de l'aquarium.

Alors vous avez raison, c'est sur l'esplanade du palais de Tokyo.

Mais ça n'a rien à voir avec le palais de Tokyo.

Donc c'est pas un artiste ?

Non, ce n'est pas un artiste.

Donc on peut y regarder quelque chose ?

Absolument.

Des animaux ? C'est vivant ?

Ah, il n'y a pas d'animaux.

Non, mais c'est vivant.

Ah, c'est pas...

Le Gloops, là, le Gloops, le Gloops.

Mais non, c'est pas là où on peut apercevoir minimatique, il fait des roulades.

Oh...

Mais c'est pas pour l'aquarium...

Michel, défendez votre camarade.

C'est énorme, c'est-à-dire...

Mimi est beaucoup plus grande que toi, tu sais.

Ah bon, prouvez-le.

Laurent, quelle est la dimension du cube ?

Ah ben, crème, c'est...

Ah ben oui, mais à peu près.

Ah ben, quand même.

Non mais dans un verre...

Un petit cube ou un gros cube ?

Dans un verre de sprits, ça peut-être.

C'est un énorme cube.

Mais oui, mais genre, de plusieurs mètres d'arrêt...

On peut y mettre plus de 800 personnes dans ce cube.

Oh la la...

Mais c'est à ce qui se loue, c'est à l'appartement qui se loue pour faire des fêtes.

C'est une salle de spectacle, alors ?

Ah, de spectacle, pas tout à fait.

C'est pour faire un truc de son ennu mière ?

Ah non, c'est pour l'orchestre d'Echancélysée, pour pas qu'il y ait de bruit.

Pour l'apparat, quand il y aura l'apparat sur la scène, ils ont installé une cage

pour que les musiciens puissent faire la musique.

Sauf qu'on entend les...

Wé coulou, vive la France !

Non, mais le problème, c'est qu'on entendra pas des musiciens non plus.

Qu'est-ce qu'il prend, Stevie ?

Qu'est-ce qu'il prend ?

À mon avis, Stevie, il va finir dans un ministère avec Ben Bachelot.

Ah non !

Il est rempli de fromages, c'est un apéricume géant.

Moi ?

Ah oui !

Est-ce que c'est un sponsoring ?

Je croyais qu'il parlait non...

Il n'y a pas de...

Jamais je dirais qu'il y a un sponsoring.

Il n'y a pas personne humaine.

Je ne connais pas assez ta vie privée, là.

Euh...

C'est désimpliqué.

C'est pour un événement sportif ?

Oui.

Ah oui, donc c'est...

C'est pas un truc pour faire la promotion ?

C'est pas Paralympique.

Non, ce n'est pas Paralympique.

Alors c'est pas pour faire la promotion du 110 mètre et par Damien Abad ?

Non, enfin...

Et la cage en verre, c'est pour éviter l'appui tout un temps péril ?

C'est pour qu'on puisse voir, évidemment, ce qui se passe à l'intérieur.

C'est du skate ou du roller ?

C'est pas du skate et du roller, parce que, alors...

Ce genre de sport, parfois, est olympique.

Oui, il va l'être, d'ailleurs.

Contrairement, justement, au sport dont il est question, là...

C'est un mur d'escalade.

Et pour une fois, on va voir les types de face.

Non, mais je me demande si l'escalade n'est pas olympique, justement.

Oui, c'est olympique, justement.

C'est olympique, c'est olympique, c'est olympique.

Alors, là, il s'agit d'une discipline qui est là...

Ah, l'échangisme !

Qui est là...

Une discipline qui est là, ça m'ont grand regret, d'ailleurs.

Le mélange, c'est tank.

N'est pas olympique, la pétanque, non.

Le MMA ?

Le MMA ?

Le MMA, non.

C'est un sport de combat ?

C'est un sport, écoutez, c'est un sport que j'ai pratiqué, donc voilà.

Un squash !

Le squash !

Bonne réponse de Stevie !

Michel, il y a les trucs européens de mondiaux de squash en ce moment,

les championnats, voilà.

Il y a un tournoi de squash face à la Tour Eiffel,

sur l'estplanade du palais de Tokyo, oui.

Mais c'est impossible de mettre 800 joueurs de squash dans le même...

Dans le même truc, ça fait...

Il n'y a que deux joueurs, mais 800, c'est le public, vous voyez-vous ?

Ok, mais alors c'est un peu...

Ils ont pas besoin de promotion le squash, ça cartonne, c'est...

Mais non, ça cartonne, mais ça n'est pas un sport olympique,

à mon plus grand regret,

parce que franchement, quand on voit que je ne veux pas insulter

ceux qui font du breakdance ou autre sport...

Si vous pouvez, on déteste la banlieue, moi.

François, moi, c'est pas moi, perso.

Enfin, moi, non, mais François déteste la banlieue, non, franchement.

Mais enfin, franchement, que le breakdance soit un sport olympique

et que le squash ne soit pas,

permettez-moi d'organiser...

Offuse qu'on eut !

Offuse qu'on eut !

Oui, mais ça m'a changé quoi, qui joue dans leur cube après de la Tour Eiffel ?

Bah, écoutez, en tout cas, il n'y avait pas de tournoi d'importance à Paris.

Voilà un tournoi d'importance qui a lieu cette semaine.

Le lourd de la Seine, les passants peuvent s'arrêter et observer ce tournoi.

Le gratin du squash débarque au palais de Tokyo.

J'imagine, les touristes, il y a des copains qui font du squash dans un cube.

C'est qui, le champion français de squash ?

Alors, le champion français de squash.

Vous l'avez là, devant vous.

Oui !

C'est dur, hein ! Attention, c'est très, très cardiaque.

Je ne sais pas si vous l'avez déjà joué, François.

Oui, mais ça fait... Oui, mais moi, je ne peux pas.

Pourquoi vous ne pouvez pas ?

C'est à cause.

Par rapport au Jocari, c'est rien du tout.

Mais Laurent, ça va être formidable.

Franchement, par rapport au Jocari, ça fait une promenade de santé.

Ça va être formidable.

Par rapport au pitch des raquettes de plage, alors, je n'en parle même pas.

Monsieur Guely.

La finale de squash, qui opposera Laurent Ruquier et Pascal Pro,

ça va être formidable devant 800 personnes.

C'est face à un mur, je vous préviens, de squash.

On n'est pas face à face au squash.

Contrairement au tennis, au cas où vous ne vous en seriez pas perçus.

On est côte à côte !

C'est comme la pelote basse.

Monsieur Guely, qu'on est côte à côte,

puisqu'on s'affronte face à un mur, voyez-vous.

C'est un mur.

Et le plus difficile, d'ailleurs, pour les débutants,

et c'était mon cas, c'est de ne pas prendre un coup de raquette

ou de ne pas donner un coup de raquette à son adversaire.

Et même à soi-même.

Moi, j'ai une fois...

Je veux dire que j'ai une fois joué au squash,

et je me suis niqué le genou gueule.

Ah, la bobane.

On nique ce qu'on peut.

Bon, bon fin.

Bonjour, merci.

C'était mable.

Adieu, la politique, Roselyne.

En tout cas, le gratin du squash mondial est à Paris,

en ce moment, face à la Tour Eiffel,

pour ce tournoi que vous pouvez voir sous un cube de verre.

Au téléphone, Patrick, qui est à Carcassonne,

tiens, bah, c'était notre dernière émission de la saison passée.

En jouant, on était à Carcassonne, Patrick.

Vous étiez dans la salle ?

Oui, oui, je voulais vous voir.

Ah, ben bon, ben...

Vous êtes à foot.

Vous êtes donc un fidèle auditeur,

et vous redémarrez quasiment la saison.

Avec nous, faites quoi dans la vie, Patrick ?

Chez le Seigneur.

Un Seigneur, mais donc quel prof as-tu ?

En collège, un physique chimie.

Prof de physique chimie à Carcassonne, même ?

Même, oui.

Il faut vous arracher les mots, Patrick.

Oui, mais il a intimidé, je pense.

Vous êtes intimidé.

Laurent, comprez-nous aussi.

Vous lui demandez prof de physique chimie à Carcassonne, même.

Que voulez-vous qu'il vous réponde ?

À côté de Carcassonne.

Mais les profs de chimie sont très sympas.

Il pourrait me donner le nom du collège, par exemple.

Laurent, allez-y.

Alors, le nom du collège, Patrick.

Alors que le collège, vous vu le vernis ?

Ah, voilà !

Là, déjà, on voyage d'un coup.

Patrick, vous allez, en tout cas,

écouter les différentes infos données par mes camarades.

Grosse tête, il y en aura six, mais attention seulement.

Cinq de fausse et une vraie.

J'aurais dû dire l'inverse.

Ça me fait rire.

Parce que...

On s'attendit seulement, et puis le maximum, ça ne...

Ça ne va pas, en sorte.

C'est bizarre.

Seulement une de vraies, ça ne...

Ah, il faut reprendre.

Et à vous de mépargner, rien, ici.

On est même pas en septembre, patron.

Qu'est-ce que vous dites ?

On est même pas en septembre.

Si vous plantez déjà, ça sera quoi, en novembre ?

Commençons, on est même pas en septembre.

C'est que la deuxième, et vous en êtes déjà là.

Voilà, tout ça.

Vivant le mois de juin, il va être comme ça, au mois de juin.

Stephen Hawking.

C'est à quelle heure votre émission sur BFM, patron ?

Pardon.

C'est pas encore commencé.

Ça sera dans quelques semaines à 20 heures, monsieur.

Et vous dormez à 19h30 ?

Baf !

Comment allez-vous en faire ?

Je le réveillerai 5 minutes avant.

Ça va être drôle pendant la pub.

Patrick, vous êtes prêts à écouter les 6 infos ?

Je vous ai dit une seule de vraies, 5 de faux.

Ça vous d'identifier est la vraie.

Évidemment, on commence par Philippe Geluc.

Une conversation enregistrée au Kremlin a été diffusée hier sur les ondes russes.

On y entend le président russe, Poutine, dire.

C'est si triste, se crachent de l'avion de Prigogine.

Et un conseiller lui répond, c'est demain, monsieur le président.

C'est bien ce qu'il y a, toi.

La Fédération de football espagnole vient d'engager Pierre Ménès.

Vous pourrez m'arrêter là.

Pour venir chanter Big Bisou avant chaque match de l'équipe nationale féminine.

Michel Bernier.

Paulimique Juliette Armane et Michel Sardou.

La chanteuse s'est excusée dans un mail auprès du chanteur.

Michel Sardou a demandé ce que c'était un mail.

François Berléand.

Le match entre Michel Sardou et Élisabeth Borne.

Je te tiens par la barbichette, le premier qui ira et toujours en cours.

Roselyne Bachelot.

Depuis plusieurs mois, au siège du parti socialiste à Ivry-sur-Seine,

à chaque conférence de presse, la photo de François Hollande

est décrochée du mur des portraits des anciens de secrétaire

et on la retrouve dans les toilettes.

Et on termine par Stevie.

Aurillac, saccage du palais de justice lors d'une manifestation en faveur

d'une femme condamnée pour cette baladée en ville sainue.

Elle avait pourtant déclaré qu'elle n'avait besoin d'aucun soutien.

Alors, qui a dit la vérité, Patrick ?

Il y a une vraie info dans tout ça.

Alors, je vais d'abord éliminer Gelu, qui est le trameleon des poutines.

Voilà, je dois citer l'auteur de cette blague très très drôle.

C'est d'ailleurs Michel Donizot sur Instagram.

Ah oui, qu'est-ce qu'il est drôle ?

C'est pas lui qui les trouve, mais il a reposté effectivement cette photo

où on voit poutine et un conseiller.

C'est un garçon qui s'appelle Joffre, je crois.

Il faut citer quand même ceux qui trouvent ce genre de plaisanterie très drôle.

Monsieur Joffre j'y haut deux F et on voit effectivement poutine qui dit

« C'est su trist, se crache de l'avion de Prégogine »

et le conseiller qui dit « c'est demain, Monsieur le Président ».

Franchement, c'est une belle trouvaille.

Mais évidemment, c'était faux. Bravo, Patrick.

Ensuite, Michel Bernier avec Armani et Sardou.

Alors oui, non, c'est vrai que Michel Sardou sait quand même ce que c'est qu'un mail.

Et c'est vrai, en revanche, que Juliette Armani se serait excusé par mail

auprès de Michel Sardou ensuite.

Stevie Boulet et Oriak et les Sanus.

Et oui, les Sanus, oui, c'est vrai que cette femme n'avait pas besoin particulièrement de soutien.

Oui, Monsieur Gueluc.

Oui, mais en même temps, elle a vraiment dit qu'elle n'avait pas besoin de tout ça autour de son cas.

Elle n'a pas prononcé le mot « soutien ».

Ben non, évidemment.

Ensuite, Sébastien Toén avec Ménace.

Voilà, non, ça ne s'est pas prévu non plus. Big bisous avant chaque match.

C'est dommage d'ailleurs.

Feminin.

Il reste Berléane ou Bachelot, hein ?

Eh oui, il reste...

Les bébés.

Les bébés.

Pas les trois.

J'ai mis une Berléane avec Bourne.

Eh oui, c'est vrai que le... parce que c'est vrai que le match est toujours en cours, hein.

Le premier qui rira...

Il n'est pas que la rigolante 98.

L'expression Eric en tise brûle, il doit utiliser de la biapine, hein, les gars.

Je me sens, c'était mon premier papier à l'époque.

J'avais fait un papier dans l'événement du jeudi.

On m'avait demandé de faire un papier sur Michel Sardou.

Et je l'avais appelé le jocon, vous voyez, parce que c'est vrai qu'il a...

Mais il a un sourire, il a un... il a un tout petit retus quand même.

Et même, Madame Bordin, je l'ai vu là chez Monsieur Darman, un souric.

Ah non, tu es souriante.

Tu es super, ouais.

Ah ouais, tu es tellement content, mais tu as sorti de la salle du gym.

Ah Roubain, le dimanche, en plus.

Donc il vous reste alors...

Berléane, Bachelot et le portrait d'Oland qui est déplacé dans les toilettes.

Eh oui, bien sûr.

Mais pourquoi ? C'est vrai ?

Oui, c'est vrai.

C'est une histoire, vrai.

Vous avez raison de préciser aussi que Darmanin, c'est à Tourcoing, et non pas à Roubain,

mais tout ça se touche, Roubain, Tourcoing.

Oui, bien sûr, en tout cas.

Ah oui, dans la région, je bouge beaucoup.

Vous allez faire une émission d'information, Laurent.

Oui, c'est vrai.

Je dois être précis, mais c'est tout un catalogue, voyez-vous.

Là, et puis, si Bordin avait fait Paris-Roubain...

Ça aurait donné d'autres choses, elle a fait Paris-Tourcoing.

C'est vrai, c'est vrai.

Et quand t'as la photo de François Hollande, ben oui.

On la retrouve à chaque fois cachée dans les chiottes.

C'est ce que raconte Libération.

Pourquoi ?

Parce qu'on est sûrs qu'au moins, quelqu'un va y aller.

Donc, ils ne savent pas.

Alors, je vous le dis, ils savent pas si c'est un journaliste,

si c'est quelqu'un du PS, ou si c'est Valérie Treveil.

Mais tu sais que Valérie, je crois, elle a un F2 à Yvrie.

Et la nuit, je sais pas ce qu'elle fout, mais les gens l'ont vu dans la rue un peu...

En tout cas, Patrick s'est gagné,

et peut-être que vous avez envie de savoir ce que vous avez gagné, quand même, Patrick.

Exactement.

Eh ben oui, deux nuits dans un hôtel relais et château cinq étoiles.

A Saint-Syprien, c'est le fameux hôtel de l'île de la lagune,

un de nos partenaires habituels.

Historique, vu les raisons de le dire.

Les palmiers, les eaux de la lagune, la verdure,

un petit coin de paradis, une île privée.

Les moustiques aussi, hein.

Non, mais on chasse les moustiques facilement là-bas.

Et Aspa, qui vous attend une plage privée,

une escapade intimiste, j'aurais dit.

Oui, puis un salon paille de massage à côté.

Hôtel-île-lagune.com pour en savoir plus sur votre séjour.

Je n'ai qu'un mot, et même deux.

Bravo, Patrick !

Ah, c'est la racle du Médève aussi, en ce moment, hein.

Le patron d'Ir.

Qui souffre, hein.

Il est mignon, nouveau patron, le poids dégueulasse.

J'ai oublié son nom, mais il est plutôt élégant.

Olivier Mine ?

Vous l'avez toujours aimé, les patrons, on vous connaît.

Non, mais il est beau, il a de la prestance.

M. Martin, il s'appelle M. Martin.

Jacques Martin ?

Patrick Martin, le nouveau patron.

C'est vrai que ça ne sonne pas patron,

par rapport aux anciens patrons qu'on a eu.

Vous n'avez pas trop de PME, Patrick Martin.

Le baron s'est lié ?

Oui, il y a eu le baron s'est lié.

Mais ça fait chef de rayon avec Atlant, hein.

J'offre un roue de baisio.

Là, Patrick Martin, oui, ça fait vraiment...

Ça fait des tégétistes à moitié.

Ça fait ouvrier spécialiste.

Mais là, mais il tient une cuisine mobile pas,

dans le meilleur décal.

Mais ce n'est pas de M. Martin, dont je voulais parler.

Encore que c'est peut-être lui,

le patron des patrons, qui a ouvert le courrier,

puisque... Et c'est une question pour Mme Prudhomme,

qui habite terrain dans l'hôpital.

Ah bah, ça t'embrasse bien.

Oui, c'est vrai.

C'est dingue, hein.

Pour foutre la trouille au patron, il n'y a pas mieux.

J'ai pas fait exprès.

M. Prudhomme habite terrain dans l'héro.

En Iran, en Iran.

Et il se trouve que...

Pas terrain, terrain, dans l'héro.

Il ne nous écoute pas en Iran ?

Mais là, on n'a pas le droit.

Ils n'ont pas le droit, on est trop subversif.

Le patron du MEDEF, M. Martin,

a lu une lettre, devant les autres patrons,

une lettre, un courrier que le MEDEF a reçu.

Mais qui a envoyé un courrier au MEDEF ?

C'est un politicien ?

Non.

Un acteur.

Ah, c'est assez rare.

Je dois même pouvoir dire que c'est la première fois

que ça arrive, que le MEDEF reçoive

un courrier de cette personnalité.

La bépierre ?

Ou d'une personnalité ainsi.

Non.

Le pape.

Le pape.

Le pape.

Le pape.

Le pape.

Réponse d'Amichael Bernier.

M. Martin ?

C'est curieux, ça, quand même, Roselyne,

que le pape écrive au MEDEF, non ?

Le pape François, il essaie de faire des choses originaires.

Mais c'est pas lui qui écrit, c'est ses stagiaires.

Bah lui, c'est le patron des patrons du Vatican, de toute façon.

Le patron, c'est un patron.

Voilà.

Avec vous.

En dessous, c'est les sous-papes, de toute façon.

Ah ouais.

Réaliment, prof de chimie de la Pérel, premier cours.

Alors aujourd'hui, on va étudier...

Alors, qu'est-ce qu'il y a sous le pape ?

Oui.

Les sous-papes.

Alors toi, j'ai hâte de voir ton one man.

Non, j'ai hâte de voir ton one man.

Non, puis en plus, tu sais tromper.

On va se marrer au théâtre des deux hommes.

Ah là là.

Après, Jean-François, il y a toi, bravo.

Merci, l'humour de France.

Oh, ta gueule.

Une question musicale pour monsieur Dénot.

Le nom du spectacle.

Madame Dénot.

Alison, c'est plutôt une femme.

Alison Dénot qui habite vannier dans les Vosges,

puisque la question, oui, est musicale

et concerne une chanson de Gérard Le Normand,

qui s'appelle Voici les Clés,

dont on a reparlé récemment.

Et pour quelle raison ?

Ah, les Clédux.

Ah, parce que si.

Toto Coutouniou.

Explique-les, Michel.

Toto Coutouniou est le compositeur de la chanson.

Il est décédé la semaine dernière.

Ah, avec excellent réponse.

Eh oui.

Bon, c'est les Clédux.

Évidemment.

On connaissait le tube de Toto Coutouniou,

qui est capable de le chanter, Michel.

Celui-là ?

Non, le tube de Toto Coutouniou.

L'achaté mi cantaré

Con la guitare aimano

L'achaté mi cantaré

Una canzone piano piano.

Il vient de mourir, le pauvre Toto Coutouniou.

Mais c'est pas le mafoudre.

À 80, 80 ans.

Et c'est vrai que...

C'est jeune.

Je ne sais pas.

Mais en tout cas...

C'est jeune.

Regardez les deux là-bas.

C'est super jeune.

C'est beaucoup trop tôt.

Qu'est-ce qu'elle a, Toto Coutouniou ?

Mais ce qui est vrai, c'est qu'on ignore parfois

qu'il est aussi le compositeur,

l'auteur de chansons qu'on connaît nous en français,

mais dont il est lui, le chanteur,

et l'interprète des versions originales.

Oui, Big Bisou, c'est lui.

Non, mais par exemple, voici les clés.

Moi, j'avoue, je ne savais pas

que voici les clés.

Au départ, c'était Toto Coutouniou.

Et pareil pour celle-ci.

Est-ce que vous la reconnaissez, cette chanson écoutée ?

Évidemment, elle est très connue en français,

mais c'est Toto Coutouniou aussi.

Ah, mais c'est Dalida.

Laissez-moi dans.

C'est dingue.

Tu sais, la Marseillaise, les petites billets.

Par exemple, aussi, cette chanson pour R.V. Villard.

Tiens, écoutez.

La Marietta, qu'est-ce que j'ai oublié ?

Il m'a aidé non moins dans le Sénéat.

Ça, moi, pour R.V. Villard,

toi, elle va dire, ça ne m'étonne pas, mais je le savais.

Ah, moi, je ne le savais pas.

Et Pierre, ce que je savais, moi, c'était ce succès-là.

Écoutez, qui a été repris aussi en français,

vous ne m'avez pas dit.

En fait, tant de Marissa,

c'est considéré tout égouai.

Je l'entends.

C'est lui qui a fait en soi.

C'est lui aussi.

Après, Richard Manez Sardou, il est gonflé.

Alors, c'est incroyable.

Il a connu la chanson en français.

Ça sent mieux en Italien, toujours.

Tout est mieux en Italien.

Mais tout est mieux en Italien.

Le fascisme, tout.

Et Giorgio Velloni.

En tout cas, voilà, c'est un bel hommage qu'on vient de rendre

à Toto Coutonniou.

Mais j'ai maintenant une question sportive,

pour Rémi Goumet.

Qu'est-ce que c'est ?

C'est un brilleux en côte d'armor.

Non, c'est du vélo.

Le squash n'est pas vraiment un sport.

C'est du cyclisme.

C'est un cycliste belge, un compatriote à vous, M.Geluc.

Peut-être vous le connaissez.

D'ailleurs, Evénepoul.

Ah oui, bien sûr.

Bien sûr.

On est en pleine course, en plein Velta.

C'est la Velta, c'est ça, la Velta en Espagne.

Et le cycliste belge a gagné l'étape d'hier.

Mais il a chuté, il a chuté à l'arrivée.

Pourquoi a-t-il chuté à l'arrivée ?

Une perte d'équilibre.

C'est une question pour M.Goumet de Saint-Brieux.

Non, pas une perte d'équilibre.

C'est un inspectateur qui est à l'origine de cette chute.

C'est un taureau, c'est un taureau.

Non, mais je peux vous dire qu'il a percuté violemment une femme.

Ah, c'est Boccolini.

Pas de chance, c'était la même footballeuse que...

Ah bah, tout le peloton est tombé, alors.

C'est pas de nouveau quelqu'un dans le public qui a voulu montrer un carton.

Pas du tout, c'est sa faute à lui.

Ça veut dire qu'il a vu cette dame et il est tombé.

Non, il a perdu l'équilibre à la suite d'une mauvaise...

Il n'a pas perdu l'équilibre.

C'était pendant l'étape.

C'était à l'arrivée.

Est-ce qu'il a été perturbé par cette dame ?

Pas spécialement, non.

Il était distrait.

Il a été distrait, donc qu'est-ce qui s'est passé ?

Il a pris un appel téléphonique.

Non, non, non.

Une bite ?

Non, mais je m'entends.

Non, mais attends, qu'on pense...

Un plo, tu fais qu'il y a un plo.

Bah, t'as fait mal, moi, j'en ai déjà pris une dans le genou.

Oh !

Dans le genou ?

Et comment on est rentré ?

Mais c'est la carte.

Il a vraiment des trous partout.

Ça, c'était au début, ça.

Après, t'as compris ce qu'il s'était.

Oh, ça va.

Mais tu veux dire un plo ?

Bon, écoute, il est tombé, il a chuté.

On est à l'arrivée de l'étape.

Il lève les bras en signe de victoire.

Et qu'est-ce qui se passe ?

Il prend le feignon dessus.

Et il oublie de se traîner.

Il oublie de se traîner.

Il oublie de se traîner.

Ah !

La réponse de François Berléan.

Une question pour monsieur Salier.

Roland Salier.

Ça y est, c'est à lui.

Qui habite commune dans le nord.

Et la question concerne encore un directement le pape, d'ailleurs.

Ah !

Qui s'est rendu, ça veut dire, au Portugal.

Ah oui, pour les gens, j'en ai mon tête de la zonesse.

Pendant les...

Ah, ça y est, c'est reparti.

J'avais oublié.

Et Laurent, quand vous avez dit Portugal, tu n'en as pas.

Parce qu'à Catoulic, c'est le Bouddhal.

Il n'y a pas assez de Catoulic.

On va à Fatima, avec le pape.

Fatima, c'est pas Catoulic.

Il sait...

Si, justement, il s'est rendu au sanctuaire marial de Fatima,

là où, effectivement, des petits portugais ont vu la Vierge Marie.

Et ça se passe...

Marie-Anne.

Oui, Marie-Anne, si vous préférez.

Et...

Et là-bas, depuis, on a mis, évidemment...

Ou Vasconcelos.

Ou Dacosta.

Ou Bonanza.

Ou Lurento.

Ou Herrera.

Ou Elderas.

Mais je cite des noms portugais pour la culture.

Il faut dire qu'il s'en va laver, Maria.

Oui, bon, bref.

Alors...

Alors, là-bas, au sanctuaire marial de Fatima,

où s'est rendu à nouveau le pape François,

il y a, évidemment, une statue blanche qui représente la Vierge Marie.

Une statue blanche, dont la couronne est un peu spéciale.

Elle est un peu spéciale.

En effet, elle contient comme un diamant certi.

Elle contient quoi ?

L'Euconcune.

Non, la couronne.

Le seul diamant que je connais, c'est l'Euconcune.

Elle est dans le volant.

Je crois qu'elle est dans le volant.

Ce n'est pas un diamant.

Je vous dis certi comme un diamant.

Ah, pardon.

Mais c'est pas un diamant.

C'est du serpent.

La dendelet des enfants.

La dendelet des enfants ?

Non.

L'anogastrique de Jésus ?

Non.

C'est un gros comme une pierre.

Qu'est-ce qu'elle a fait peur ?

Elle a fait peur.

C'est des petits pierres.

Est-ce que ça fait tout le tour de la couronne ?

Non, non, non.

C'est juste un truc.

Je vous dis, c'est dans la couronne.

Alors, ça n'y était pas, à départ.

Ça a été rajouté en 81.

80.

Ah, c'est la photo d'Mittir.

Il l'a enlevé, il l'a mis dans mes chiottes aussi.

C'est un minéral.

Minéral, non.

C'est une épine de la couronne de Jésus ?

Non.

C'est pas un nombre incarné de...

C'est le joieau le plus précieux de la couronne.

La couronne de Fatima, évidemment.

Alors, il est dit 80.

Pardon.

L'objet en question.

Enfin, la chose, c'est en 89 qu'on a encastré ceci

sous le globe turquoise que possède la couronne.

D'accord.

Est-ce que c'est un tissu ?

Un tissu, non.

Est-ce que ça en rapporte avec Jésus, ce qu'on a mis dedans ?

Avec Jésus, au sens large, alors.

Donc, c'est pas quelque chose qui l'aurait eu lui ?

En clou, si c'est au sens large.

Je sais.

C'est comme ça. C'est un des clous.

Une mèche, une mèche.

Quand on lui a mis, on lui a clen...

Non, non, non.

Attends.

Mais c'est quelque chose qu'on a...

C'est petit, alors.

Je ne connaissais pas l'info.

Comment a-t-il trouvé nous ?

C'est grâce au Figaro pendant l'été, au moment du voyage du pape.

J'ai lu le compte rendu du voyage du pape François là-bas à Fatima.

Et j'ai appris, effectivement, que dans la couronne de la statue de la vierge à Fatima,

on avait glissé depuis les années 80.

Donc, on a glissé quoi ?

Quelque chose qui appartenait à Jean-Paul II ?

Alors là, appartenait ce n'est pas le mot,

mais on brûle.

La lettre où on révèle...

La balde...

La balde du tireur de Jean-Paul II.

Excellente réponse de Stevie.

Oh, la vache, c'est dingue.

Bravo !

Bravo, Stevie.

La balde qui aurait dû être fatale à Jean-Paul II le 13 mai 1981.

Le pape polonais estimait, peut-être vous en rappelez,

avoir été sauvé de la mort par la vierge de Fatima.

Il a pardonné après.

Donc, on a récupéré cette balle,

et on a mis la balle qui a faillitoué Jean-Paul II

dans la couronne de la vierge de Fatima.

Mais donc, mon ami, on a dû faire un trou de balles dans le...

L'avant de la couronne.

On la ferait des dégâts.

Le trou de balle de la vierge, franchement.

Ah ben, c'est comme ça qu'elle a laissé vierge.

Ah ben, c'est comme ça qu'elle a laissé vierge.

J'ai honte, j'ai honte.

C'est terrible.

C'était bien parti.

Heureusement que ma mère est morte.

Heureusement qu'elle aime les chats.

Quelle honte.

Monsieur Guely, que...

Mais j'ai failli d'analyser le...

Oui, je comprends.

Je suis en train de raconter quelque chose d'extrêmement beau, d'extrêmement...

Mais c'est beau, ce qu'il raconte, c'est beau, un trou de balle.

J'avais eu.

De religieux, voyez-vous.

Je vais mettre un peu des nébations dans cet émission.

Je vais enchaîner avec le cinéma demain.

Ah, à parler de trou de balle.

Ah ben oui, ça tourne bien.

C'est un film de monsieur Fulca qui se...

C'est pas possible.

Oh la la !

Oh, c'est pas possible.

Vous tenez là.

Quand Fulca sort un truc, c'est à dire que ça va faire du bruit.

C'est un grand réalisateur.

Ah ben oui.

Oh non, moi j'ai vu, je me suis péchier à son dernier.

Ah non, quel ambiance.

Et puis sur les tournages, il y a...

C'est pas que c'est un vrai trou du cul, c'est à dire.

Antoine Fulca, il a réalisé Equalizer.

Un, Equalizer.

Deux, demain sort Equalizer.

Trois, avec Denzel Washington.

Ah ouais.

C'est un film d'autor.

On adore ce genre de film.

Il avait aussi réalisé Shooter,

Tireur d'élite, La Rage au ventre, Training Day.

La Rage au ventre, ça, je me suis...

Non mais il a fait...

La Rage dans le ventre.

Emancipation, The Guilty, Les Sept mercenaires.

Les Sept mercenaires ?

Oui, oui.

Il y a eu une nouvelle version des Sept mercenaires.

Oui, comment il s'appelle Fulca ?

Fulca.

Il vient de l'opéra à la base, d'accord.

Non, c'est un réalisateur et producteur américain.

Et c'est...

Voilà, un réalisateur de films d'action.

Et c'est souvent très, très réussi.

Equalizer, en tout cas, c'est très réussi.

C'est quoi, la question ?

Et le 3.

Dites, ça va, vous, hein !

Respectez ma diarée verbale !

Equalizer, 3.

Mais c'est quoi, Equalizer ?

Un film.

Et film d'action ?

Il avait dit...

L'acteur Denzel Washington.

Il avait dit, écoutez, moi, je veux bien faire un troisième numéro,

mais il faut que ça se passe ailleurs aux États-Unis.

Avec François Berléan.

Comme dans la transporter.

Et ça se passe...

Ça, c'est un film d'action en transporter.

Et là, ça se passe en Sicile.

Il y a un règlement de compte.

En Sicile ?

Dans un joli village.

Et très vite, on s'aperçoit que les commerçants

sont soumis à un raquette de la part...

En Sicile ?

...de la part de la mafia.

En Sicile !

Mais c'est quoi, cette histoire ?

La mafia napolitaine.

De la science-fiction.

Mais comment ?

Voilà ma question.

J'y viens, Roselyne.

Comment appelle-t-on pour Monsieur Dupois,

qui habite gorge en Loire-Atlantique ?

Comment appelle-t-on la mafia napolitaine ?

La Camorra !

La Camorra !

Bonne réponse collective !

Quand même !

RTL, Le Livre du Sud.

Ah, Le Livre du Sud.

Je vais devoir l'offrir à Monsieur Berléan, parce que c'est...

C'est comment devenir acteur ?

C'est un de nos plus grands acteurs.

Je pose une question.

On a un de nos plus grands acteurs du théâtre français.

Mais c'est le mec du transporter de la Renault 12 !

C'est un de nos plus grands acteurs du théâtre français.

Mais Monsieur Berléan aime aussi beaucoup le rugby.

Alors remarquez, Le Livre n'est pas tout à fait pour vous.

Il est plutôt pour moi, parce que j'avoue que je préfère le foot au rugby.

Et je ne connais pas forcément bien toutes les règles.

Et voilà pourquoi ce livre m'est plutôt destiné plutôt qu'à vous, Monsieur Berléan.

Parce que c'est le rugby pour les nuls.

Vous connaissez cette collection ?

Oui, c'est bien.

Je suis surpris que je pensais que ça existait déjà.

Et bien non, sort le rugby pour les nuls, signé Frédéric Viard et François Duboiset.

Qu'on aura au téléphone dans un instant.

C'est notre livre du jour.

Mais avant d'avoir Monsieur Duboiset, une question.

Je suis sûr que Monsieur Berléan va savoir répondre à cette question.

La Coupe du monde démarre donc tout bientôt chez nous en France.

Mais quel est le record man d'essai marqué toute Coupe du monde cumulé ?

Et d'ailleurs, il a aussi un autre record, c'est qu'il a même le nombre d'essai marqué le plus grand.

Le plus grand en une seule Coupe du monde, c'est le même homme.

De qui s'agit-il ?

Le huit.

Pardon ?

Le mou.

Bonne réponse de François Berléan.

Qui était néo-zélandais ?

Bravo, qui était all black, néo-zélandais.

Il est mort, d'ailleurs.

Il est mort très jeune.

Il est mort à 40 ans.

Il a eu une grève de rein.

Et puis après, il a fait un malaise cardiaque.

Ça arrive assez souvent.

C'est bizarre.

Oui, tous.

Chez les rugbymen.

Tu joues au Brits, tu vis beaucoup plus longtemps.

C'est comme ça, tu te prends une fois dans la tronche.

On va te demander...

Et oui, il y avait un papier dans le monde là-dessus.

Une page entière, tout récemment sur les conventions cérébroires nombreuses chez les rugbymen.

Bonjour François Dubois, c'est...

Évidemment, c'est bien qu'on rend dommage à ce joueur néo-zélandais,

Yoann Le Mou, détenteur de ces deux records.

Absolument.

Bonjour Laurent.

Je vous avais tout de suite rétimé, mais je vais vous envoyer un livre.

Vraiment très vite, parce que ce n'est pas Yoann Le Mou, mais c'est Jonah.

Mais ça, c'est de la faute à Berlin.

Non, parce que Berlin, il a dit que Le Mou n'a pas de...

Et moi, j'ai dit Yoann et c'est Jonah.

Je n'aurai pas l'affaire à BFM, celle-là.

Parce que là, ça va quitter.

Le nouveau mec de BFM, il est demeuré.

Entre Yoann et Jonah, pardon, pardon, effectivement,

disons-mais, je dirais, Le Mou.

J'ai du mal avec les prénoms manifestement aujourd'hui.

Mais Le Mou était un énorme joueur.

Comment le surnommait, d'ailleurs ?

Il avait beaucoup de surnoms.

Je crois qu'il faut retenir surtout de Jonah,

parce que c'était aussi son prénom qui a marqué l'histoire.

C'est qu'il a changé le monde du rugby

sur cette fameuse coupe du monde en 1995.

Il y a eu avant, pendant longtemps, mais le rugby était le rugby.

Et le jour où Jonah est arrivé, Jonah Le Mou.

Bien, le rugby était plutôt le même.

Il passait sur ses adversaires, il traversait le terrain.

80 mètres, 70 mètres.

Il a marché sur les Anglais lors de la demi-finale en attrique du Sud.

Mais Napoléon aussi.

On le surnommait l'autobus, parait-il.

L'autobus, il en avait plein.

Il était Samoan.

Il était d'origine Samoane.

Il était donc All Blacks.

Il aurait pu jouer partout dans toutes les équipes du monde.

Il y avait vraiment un extra-terrestre.

Je pense qu'on peut le dire.

C'était un extra-terrestre qui a survolé le rugby

pendant 5, 6 ans, 7 ans.

Et qui, malheureusement, ensuite, a eu des problèmes de sang.

Et les Néos-Élandais, on devrait me dire si je me trompe,

ne survolent plus le rugby autant qu'avant.

Alors, dans les dernières semaines, c'est vrai.

C'est vrai que les Néos-Élandais se sont faits un petit peu comme nous, on dit.

Le rugby se sont faits déboités la semaine dernière contre l'Afrique du Sud.

C'est surprenant, il faut le dire.

Mais, comme toutes les équipes du monde,

quel que soit le sport, ça arrive de la génération.

Oui, exactement, qui sont plus ou moins à Yéry,

avec des leaders plus ou moins et des talents un peu plus ou un peu moins.

Bon, les résultats en rugby ne mentent pas, en général.

Les résultats d'avant compétition

disent souvent ce qui va se passer.

Et effectivement, les Anglais, les All Black...

Les Fiji, par exemple, c'est bien.

Excusez-moi, bonjour.

Enchanté, Sébastien Toa, numériste.

Excellent.

Je ne vous ai pas dit bonjour.

Numériste, à l'essai.

Mais les Fiji, vous confirmez, ça joue bien, non ?

Ah oui, très bien.

Voilà, ils avancent les petites nations du rugby, maintenant, c'est...

Mais là, on va la gagner ou pas, cette coupe du monde qui a lieu chez nous, alors ?

Ben, en tant qu'observateur, on n'a jamais eu une équipe aussi talonqueuse

et aussi préparée.

Oh, ça veut dire qu'on va la faire, ça, on va la faire.

Madame Bachelot est en train de réviser tous ces calendriers, je vous le dis.

Donc moi, je vous invite tous à bien sûr, à soutenir le 15 de France,

mais je n'ai aucun doute là-dessus.

Mais on peut dire que je suis spécialiste.

Ça fait 40 ans que je suis quand même dans ce milieu.

Je n'ai jamais vu une équipe de France aussi performante à tous les niveaux,

à tous les posts, avec une préparation incroyable.

Moi, je suis très, très confiant et je pense que le collectif qui nous a souvent manqué,

le collectif français est beaucoup plus fort que les individualités ou le talent.

François Dubois, c'est vous avez été vous-même rugbyman avant d'être journaliste et consultant sportif,

que ce soit sur Canal ou sur une autre radio.

C'est à Brive, c'est ça que vous avez joué à Brive.

Et vous avez même dirigé Brive avec Patrick Sébastien, c'est ça ?

Absolument.

C'est vrai qu'il partouze ou pas ?

Pas avec toi et ta femme, mais qu'est-ce qu'il partouze ?

Mais non, c'est des fantasmes, pas du tout.

Le rugby pour les nuls, il vous reste quelques jours pour le lire.

Si vous ne connaissez pas bien les règles du rugby avant la Coupe du Monde,

ça vous permettra de mieux suivre les matchs.

Et voilà un sport, je parlais du squash tout à l'heure.

Voilà un autre sport qui n'est pas...

Je devrais dire qu'il n'est plus olympique parce qu'il le fut olympique.

Mais serait-ce que le rugby n'est pas olympique ?

Alors le rugby à 7 est olympique et depuis maintenant...

Je parle du rugby à 15, couillon !

Mais on ne peut pas jouer au rugby, c'est vous voulez,

sur une longue période puisque les jeux, c'est très court.

C'est des formats de 17 jours.

C'est trop court pour jouer à 15, parce qu'il faut un minimum de 5,

voire 6 jours de récup entre 2 matchs.

Vous imaginez qu'on ne peut pas faire...

C'est pour ça que la Coupe du Monde dure 2 mois, il faut le dire.

Exactement, parce que le règlement de la santé des jours,

il faut la préserver.

On ne peut pas jouer à moins de 5 jours,

ce qui fait qu'on décale les matchs entre 5 et 7 jours.

Et c'est pourquoi les...

Comme Céline Dion, quand elle chante des chauchotes,

elle s'égala finalement.

Non mais sérieusement, les commotionnces cérébrales.

C'est vrai qu'il y a eu un papier,

j'ai lu ça, je crois que c'était la semaine dernière dans le journal Le Monde,

un papier inquiétant quand même.

Est-ce qu'on peut conseiller à un jeune de faire du rugby ?

Oui, bien sûr.

Il y a aujourd'hui, notamment la fédération française de rugby,

a mis en place des programmes de prévention

dans les écoles de rugby auprès des jeunes, auprès des éducateurs.

Et on doit pratiquer et on pratique le rugby

de la manière vraiment la plus saine possible

et sécurisée.

Faites du sourire lastique, fais pas chier.

Faites du sourire parachute.

Il faut dire, cependant, que parfois, bien sûr,

que le rugby pro est parfois violent,

mais les arbitres veillent également

à bien faire attention à la santé des joueurs.

Ils ont tout un arsenal de règlements

et parfois, il peut y avoir des accidents

puisque c'est un sport de contact.

Monsieur Berléand, vous allez regarder les matchs,

évidemment, j'imagine.

Est-ce que vous avez joué, vous, au rugby ?

Oui, en universitaire.

Mais bon, j'étais à un poste où je pratiquais l'évitement.

Et donc, j'avais aucun problème de commotion cérébral

ou quoi que ce soit.

Ça veut dire quoi ?

Alors, l'évitement, c'est pas...

Tu jouais le cochonné ?

Ah !

C'est le ballon, il faisait le ballon.

Le rugby n'avait pas les tailles et les poids de maintenant.

Au 3,4 centres, moi, j'ai joué 3,4 centres, 3 carrel.

C'était 75, 80 kilos maximum.

Il n'y avait pas de 100 kilos, 110, 150.

Le rugby pour les nuls, tout ce qu'il faut savoir

pour la Coupe du Monde,

qu'il y a chez nous, en France 2023,

Coupe du Monde qui démarre dans quelques jours,

le rugby pour les nuls, signé Frédéric Viard

et François Duboisse, qu'on avait au téléphone.

C'était notre livre du jour.

Merci, monsieur Duboisse.

Une question géographie, pour faire plaisir à votre petit Stevie.

C'est ça.

Bah ouais, quels sont bas, qu'est-ce qu'il y a 27 ans ?

C'est sa matière préférée, la géographie.

Moquez-vous, moquez-vous, monsieur.

C'est un beau truc.

Mais le truc, pas tout, parce que la terre est vaste.

Mais quand même pas mal.

C'est sur la corse, ma question.

C'est une question pour l'or butalèbe qui habite un hymne dans le gare.

Quel est le nom du plus grand fleuve cotier de corse

qui se jette dans la mer Tirénienne ?

Un fleuve cotier ?

Oui, le plus grand fleuve cotier de corse.

Donc, il se jette du côté italien.

Oui, absolument.

Et il part d'où ?

On va commencer, il part d'où ? La source, vous voulez ?

Oui, la source.

Il prend naissance à 1991 mètres d'altitude,

juste derrière le refuge de Scytholu Aymour

et au sud de la Paglia-Orba.

Ça vous va, ça ?

Ça vous va, c'est l'Orba.

Et tout ça, de tête.

J'essaie de trouver une ville au niveau de la mer.

Sur Seine ou sur Loire ?

Mais il n'y a pas encore...

Il n'y a pas niannian sur une rivière ?

C'est pas genre un très nom corse.

Vous êtes censés quand même connaître la corse, les uns et les autres ?

Non, j'ai passé une pour aller en corse.

Vous y étalez les uns et les autres à plusieurs reprises, j'imagine.

Par curiosité, est-ce que cette question a un quelconque intérêt ?

Alors, écoutez, généralement...

Alors, si vous allez en corse, par exemple...

Oui, enfin, c'est pas prévu...

Et que vous voyez ce fleuve, vous pouvez dire, bah tiens, c'est le...

Le roule-là croit donc qu'elle n'a aucun intérêt...

Donc on n'a aucune chance de trouver, là ?

Comment ça, on n'a aucune chance de trouver ?

Il sépare la corse en deux ?

C'est le plus grand fleuve de corse.

Est-ce qu'on en parle en l'actu, en ce moment ?

Pourquoi ? Pourquoi ?

On ne parle pas de tout dans l'actu.

Est-ce que c'est pas la corse en deux ?

C'est un fleuve, le fleuve cotier, le plus grand fleuve cotier de corse.

Le corté, je sais pas, j'essaie.

C'est un petit fleuve !

Évidemment, donnez-nous les trois premières syllabes du nom du fleuve.

Il n'y a que deux syllabes.

Ok. Et c'est le nom d'une ville, genre, corté, ou un truc comme ça, non ?

Non, non, non, non, mais...

Vous avez la ville d'Asco, ou d'Erco, sur la rive gauche, et...

Asco.

Et Casaluna, sur la rive...

C'est pas genre un prénom corse, genre tout ça ?

La rive droite, non, non, non, non, non, non, non.

C'est pas un prénom.

On donne pas le nom du fleuve à des gens.

Non, c'est pas un prénom, c'est le nom d'un personnage légendaire, si ça peut...

A Excalibur !

Non, non, non, non.

En deux syllabes, en deux syllabes.

Légendaire.

En deux syllabes, oui.

Légendaire de la littérature.

Ali Baba.

De la littérature.

Ça fait quatre.

Siegfried.

C'est un personnage de la littérature.

De la littérature.

Pas de la littérature, mais c'est un compte qui se transmet d'année en année.

Ah, Winnie !

Non, il y a eu sûrement des livres là-dessus, mais au départ c'était une légende.

Légende, voilà.

Une légende française.

Oui, oui, plutôt française.

Oui, oui, oui.

C'est le nom d'un personnage qui était une sorte de serviteur

à qui on avait demandé de tuer une femme qui n'aurait pas été fidèle.

Voilà, si ça peut vous aider.

Muzo, comment vous dites ?

Muzo, de Placidé Muzo.

Muzo, il y a deux syllabes, non ?

C'est pas Muzo, non.

Muzo, j'ai envie de vous dire Muzo.

Oui, tant, tant, mais c'est pas Muzo.

Mais ça, c'est ton Moyen Âge, ça.

Oui, voilà, c'est des légendes qu'on transmet de siècle en siècle, voyez-vous.

Ça se termine par un I ou un O ?

Alors encore, ça se termine par un U ou un O, parce que je crois que c'est un O.

Mais, on va dire autrement, c'est un O, voyez-vous ?

C'est Fatcho, Fatcho.

Le Da'u, fougo.

Non, non, non, mais on dit...

Putain, si ils avaient pu noyer le petit Gregori dans ce fleuve,

on l'aurait trouvé.

C'était trop...

C'était trop...

Non, mais c'était surtout trop loin.

Non, mais je pensais que vous connaissiez la corse, les uns et les autres.

Non, mais non, je suis un peu...

On ne connaît pas, on s'en fout du rugby, de la corse.

C'est un petit fleuve abondant, comme la plupart des cours d'eau de la corse.

Est-ce qu'on en a fait, je dirais, un endroit où...

Oui, bien sûr.

Fiori l'a chanté.

Non, mais...

Il y a des cascades, il y a un barrage aussi.

Il y a un Bartabas à 100 mètres aussi.

Non, non, non, non.

Là, c'est dur.

Et puis ça a donné un nom à un département à l'époque,

un ancien département, parce que maintenant, il n'y a plus que la corse du sud.

Il a hôtel, de l'est, du nord.

Maintenant, il n'y a plus que les flamands et les voyons.

Un nom, un département.

Le wallo, corse.

Un département.

Un ancien département.

Le tarot, dont le chef-lieu était Bastia, vous voyez.

Le tarot.

Le tarot, non, non.

Le biasto.

Les corse qui nous écoutent, et ils sont nombreux, doivent se lamenter en vous écoutant.

Quel est le nom de la personne qui va emporter 300 euros ?

Je vais vous dire.

Lors, Boutalèbe à Nîmes.

Je suis heureux pour elle.

Est-ce qu'on navigue sur ce petit fleuve ?

On navigue comme sur tous les petits fleuves, oui.

On navigue.

Tu vois encore Christine Bravo, là, dans sa barre.

Non, non, non.

Attends.

On l'appelle, je suis sûr qu'elle connaît même pas.

Non, mais il y a plusieurs barrages et usines électriques.

Et Monsieur Renouchi, qui a des origines corse, notre réalisateur.

Renouchi, c'est corse ?

Oui.

Monsieur Renouchi se lamente, là, il s'arrache les derniers cheveux.

Qui vient de répondre et qu'il y a une sable ?

L'Ou-Tion.

Ça vous dérange si je vérifie sur Internet ?

Non, non, non.

Non, on va donner 300 euros à Mme Boutalèbe.

Et puis voilà, écoutez, on n'a pas donné check.

Ça m'étonnerait beaucoup qu'il y a un spectateur qui connaisse la réponse.

On va voir.

Il y a par curiosité ce qu'il y a quelqu'un dans la salle qui connaît la réponse ?

C'est quand même un fleuve qui fait 90 kilomètres quasiment et qui finit sa course.

Il y a toujours le même nom du début à la fin ?

Au niveau de la mer.

C'est au niveau de la mer qui termine sa course.

Oui.

C'est un fleuve côtier.

C'est un fleuve côtier.

Il se plonge donc dans la mer au sud.

Le goryeau ?

Non, comment vous dites ?

Le goryeau.

Le goryeau.

Le goryeau, le goryeau.

Parce que ça fait penser qu'en Bretagne, il y a le goya.

Ah oui.

C'est comme ça.

Le goya.

Le goya.

C'est pas le goya ou un truc comme ça ?

Vous êtes tout presse.

Le goryeau.

Le goryeau.

Le quoi ?

Le goryeau.

Le goryeau.

Le goryeau.

Le goryeau.

Le goryeau.

Le goryeau.

Le goryeau.

Le goryeau.

Le goryeau.

300 euros qui partent pour Nim chez Mme Boutalab.

Est-ce que quelqu'un dans le public a le nom du fleuve Corses ?

Ils sont nuls.

Vous êtes très décevant, Mme Boutalab.

Et c'était le goya.

Le goya.

Le goya.

Dans la case.

Le goya.

Dans la case.

Le goya.

Ça a été le nom d'un département en Corses, un ancien département.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le goya.

Le gown.

Le gown.

Le gown.

Le gown.

Le gown.

Le gown.

Le gown.

Le gown.

Le swab.

Le swab.

Le recognition.

Le job.

Le bâtard.

Le Médecins.

Le goya.

Le bâtard.

Le goya.

Le goya.

Le cooked.

Écoutez, il arrive vous, il arrive vous, pas jusqu'à chez vous, ma petite feste.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

La dernière heure avec Roselyne Bachelot, Michel Bernier, François Berléand, Sébastien Toen,

Stéphane Boulais et Philippe Gallup.

Et avant d'avoir au téléphone quelqu'un qui va nous parler d'un concours important,

je ne vous donne pas le nom du concours parce que c'est évidemment le nom de ce concours

sur lequel je vais vous interroger et c'est quelqu'un qui va nous parler de la Braderie d'île

événement important chaque année à l'île, évidemment inauguré souvent par...

On peut l'acheter d'ailleurs.

J'ignorais le surnom de la Braderie d'île, c'est dans la voie du Nord, c'est que comme ça dure 34h,

ils appellent ça la dame des 34h, puisque la maubrie, c'est longtemps fait surnommé par ses adversaires,

la dame des 35h.

C'est le bras de Philippe Alexandre.

Exactement.

Mais on peut l'acheter de la Braderie.

La dame des 34h, ça démarre évidemment le week-end prochain, 34h sans interruption de Braderie

à l'île, près de 2 millions de visiteurs chaque année, sauf qu'en plus, il y a quand même un concours,

un concours qui a lieu dans un bistro bien sympathique de la rue Saint-André à l'île.

On va effectivement, depuis quelques années, lire encore cette année Miss et Mister...

Moules.

Moules.

Moules.

Moules.

Moules.

Moules.

Moules.

Moules.

Moules.

C'est celui qui commence le plus ?

Non, on va demander à Romain Galinsky, qui est au téléphone.

Bonjour Monsieur Galinsky.

Bonjour Laurent, bonjour tout le monde.

Salut.

Comment on désigne Miss et Mister Moules ?

Est-ce que c'est celui ou celle qui en mange le plus ?

Non, cette année, comme les années précédentes, en fait, nous on a un bar années 490, donc

on demande aux candidats, aux candidats, de venir déguiser en personnage des années

490.

Donc on aura du Madonna, c'est un petit l'auteur, Michael Jackson.

Martin Obrie.

Martin Obrie, oui.

François Berlet.

C'est pas tous les années 490.

Et alors, on se déguise et après on vote pour Mister ou Miss Moules ?

Exactement.

Donc les candidats et les candidats défilent sur un petit podium et on leur passe la musique

qu'ils ont choisi, donc forcément années 490.

Et ensuite, il y a un jury qui est là.

Mais c'est un camping.

Et on votait Jean-Paul Goudier, notamment.

Jean-Paul Goudier.

Oui.

Jean-Paul Goudier, le cousin de Jean-Paul Gaudier.

Très bien.

Et il y avait aussi l'année dernière, mais elle n'est plus là.

Encore que, ce n'était pas tout à fait Mme de Fontenay.

Vous aviez jeune Vieve presque de Fontenay aussi.

Exactement.

Mais par respect pour la vraie, il n'y aura pas la fausse cette année, c'est ça ?

Non, du coup, c'est le cousin Jean-Pierre Foucault, Jean-Pierre Foutoir.

Mais c'est quoi le rapport au moule, alors ? C'est juste pour l'appellation ?

Oui, exactement.

Il n'y a pas dégustation de moules de record.

Comment s'appelle votre bistro, alors, à l'île ?

Le Color Bar à l'île.

Le Color Bar, mais vous pouvez accueillir beaucoup de monde pour ce concours de Miss et Mister Moules ?

Ouais, on peut accueillir jusqu'à 120 personnes.

Après, il y a beaucoup de monde aussi sur la terrasse qui peut participer.

Et on peut encore s'inscrire, je le dis, sur les réseaux sociaux, sur Instagram ou sur Facebook.

Et samedi soir, ce sera à partir de 21h30, notre bistro, le concours de Miss et Mister Moules.

Alors, il y a aussi la chanson de la bradrie de l'île.

Je ne sais pas si vous l'avez entendu, cette chanson.

Ah oui, alors les avis sont assez partagés dessus.

Écoutez, c'est 13 années 80 aussi.

Moi, je vends des pompes et des frips, des lents, des cadres, des chaises et des slips.

Je vous s'attends, les lois et touristes d'un chic et brave type, bradeux et braspits.

Laissez-moi brader, laissez-moi.

Laissez-moi brader pour le vache, la liberté, chaque année.

Laissez-moi brader.

Ah, on sait s'amuser à l'île.

Ah, ça, c'est sûr.

Pourquoi dites-vous que les avis sont partagés sur cette hymne de la bradrie de l'île ?

Bon, déjà, nous, on ne conscience pas.

Super, là, pourquoi ?

Vous avez quand même tout de même le créateur du titre de Miss Moules qui...

Oui, qui fait la gueule.

Ça, c'est génial.

Qui fait la fin de goût, je pense, c'est certain.

C'est vrai que quand on fait le concours de Miss Moules, on ne donne pas des leçons.

Bon, en tout cas, c'est un bel événement chaque année.

Ça nous permettait de parler de cette braderie qui aura lieu le week-end prochain pour nos amis du chenor.

On vous remercie, monsieur Kanu Niski.

Une autre question.

Une question historique, cette fois, le 6 août 1945.

Qui a prononcé cette phrase « Pauvre de moi » ?

En 45.

Le 6 août 1945.

C'est un français ?

Non, ce n'est pas un français.

Un allemand ?

Qui ? Un allemand ? Alors, je suis obligé de vous répondre.

Oui, oui, oui, un allemand, oui, oui.

Pourquoi un allemand ?

Parce que c'était allemand au départ, et puis...

Romel ?

Romel, non.

C'était un militaire ? C'était un militaire ?

Non, c'était pas un militaire.

Ah, c'était pas un militaire ?

allemand au départ, et puis il a fui avant la guerre.

Il a fui.

Einstein ?

Et c'est Einstein !

Oh là !

Bonne réponse de Steven !

Steven !

Alors là, on l'a possible !

Mais toutes les réponses culturelles, les vieux cerveaux là-bas.

Des pictalcasques, on t'envoie les réponses !

Et pourquoi il aurait dit « Pauvre de moi » le 6 août 1945 ?

Par rapport à la bombe nucléaire !

Exactement, quand il a appris par la radio de largage de Little Boy,

sur Hiroshima...

Et de Iona ?

Ah voilà, Einstein aurait effectivement dit « Pauvre de moi »

Parce qu'il n'a pas vendu !

Il s'est dit « C'est à moi qu'on va en vouloir ».

Oui c'est ça, mais en fait tout de même, c'est le mec qui se plaint,

il y en a d'autres qui ramassent un truc sur la gueule !

200 000 morts, et 11 mois qu'il n'y n'y n'y n'y n'y n'y n'y !

Oui, il s'est senti responsable, alors qu'il ne l'était pas, monsieur Gluck !

Un peu quand même !

On a inventé un truc, et puis après on ne sait pas forcément ce que ça va.

Mais rappelez-moi, c'était le 6 août ou le 8 août, le Hiroshima ?

On n'est pas sûr !

Il y a deux bombardements !

Il y a deux !

Ah oui, d'abord un petit pour Hiroshima et Nagasaki !

Il y a eu un qui l'a dit « Pauvre de moi »,

puis l'autre qui l'a dit « Bon bah tant pis ! »

T'es pas sûr, en tout cas...

Il a dit « Assarmez ça ! Assarmez-vous ! Assarmez-vous ! »

C'est surtout heureusement qu'il a fui l'Allemagne !

Mais oui !

Oui, voilà pourquoi quand vous m'avez rendu...

Il est parti !

Parce qu'il est clair qu'on aurait eu cette arme-là par le fait ?

Par le fait !

Eh ben oui, ma pauvre Lucette !

Il fut effectivement, successivement allemand,

à Patriide, Suisse ensuite,

et après double nationalité, elvetico-américaine.

Le mec qui savait pas ce qu'il voulait !

Tout est relatif, vous savez !

Mais en tout cas, la raison pour laquelle j'avais du mal à vous répondre,

quand vous m'avez demandé s'il était allemand,

l'année en Allemagne, au départ, Einstein reste une bonne réponse de M. Broulette !

Il fait des étincelles aujourd'hui !

Une question pour M. Bourgeois,

qui habite Cape-Dagde, votre ville préférée, M. Thoëne,

dans les rôles...

Et Bourgeois, mon statut préféré ?

Thierry Bourgeois espère un chèque Hertel de 300€,

si vous ne répondez pas évidemment à cette question,

qui concerne Gabriel et Richard.

Gabriel, c'est le fils de Richard,

mais le fils et le père ont travaillé ensemble,

au point d'ailleurs qu'en 1868,

on est au XIXe siècle,

en 1868, le Baron Osman

leur a offert une possibilité incroyable,

qui fait que leur nom est passé à la posterité.

Mais comment s'appelait Richard et Gabriel, père et fils ?

Garnier ?

Garnier, non !

Voilà, c'est un palais de Paris.

Je disais Valasse.

Ah, les Fontaines Valasse, c'est pas bête.

C'est pas une liqueur ou un alcool ?

Des Français.

Une liqueur et un alcool.

Non, c'était des Français, oui.

Ils ont un rapport avec le bâtiment.

Le bâtiment au sens large du terme.

Ils sont dans le bâté paix.

Mais c'est vrai que...

Gabriel et Richard d'Acrosta ?

Non, non, non.

Le Baron Osman, qui évidemment,

on le sait, a fait beaucoup pour la ville de Paris,

avec Hidalgo.

L'aura concédé, évidemment, un monopole,

une exclusivité au père et au fils.

Les Vespasiennes ?

Les Vespasiennes, non.

Les colonnes ?

Les colonnes !

Les colonnes !

Les colonnes Maurice, Maurice.

Maurice, Maurice.

Et donc, qui s'appelait ?

Maurice.

Gabriel et Richard, Maurice, des colonnes Maurice.

Bonne réponse !

Est-ce qu'il s'approche ?

Comme le prénom, rien.

Qu'est-ce que vous dites ?

Non, je dis les colonnes Maurice.

C'est par MAU, RICE.

Non, puisque c'est leur nom de famille,

MAU2RIES, Richard et Gabriel, Maurice,

père et fils ont obtenu, effectivement,

du Baron Osman, le droit d'équiper

la ville de Paris de colonnes publicitaires,

dédiés à la fiche des spectacles,

les fameuses colonnes Maurice,

qu'on connaît toujours aujourd'hui.

Maurice, c'est un nom de famille,

le nom de Richard et de Gabriel.

C'était les deux coups ?

Ils dessinaient lui qui luque aussi.

Ils fumaient, ils fumaient des clubs.

C'est le petit fils ?

Une question musicale pour Caroline de Berck,

qui habite l'une plage, c'est dans le nord,

et là, je demande de retrouver une chanson,

une chanson interprétée par une chanteuse égyptienne.

Dalida ?

Non, pas Dalida.

Oum Kassoun.

Oum Kassoun.

Ricas Aray.

Non, pas du tout.

Une chanteuse égyptienne.

Claude François.

Excusez-moi, mais elle est panette.

L'histoire de la douche, elle est panette.

Elle vit encore, cette chanteuse égyptienne,

même si on n'a plus trop de nouvelles, je veux dire, depuis...

Ah, not when the war ?

Depuis un petit moment.

On n'a plus trop de nouvelles.

Elle est née au Caire en 1944,

donc calculée qu'elle a âgé le poivre.

Je n'en attends.

Non, non, non.

Elle s'appelait Julian Ilce,

cette chanteuse qui faisait partie un peu déyeillée

à une certaine époque,

mais ma question, évidemment, c'est Eddie Barclay

qui a produit ses premiers disques.

Et là, on va dire, un vrai tube,

un seul tube qu'on connaît encore aujourd'hui,

lequel ?

Afrika.

Non, non, non.

Ça, c'est Rosarance.

Le bisou.

Le bisou, bisou.

C'est pas ça ?

Allez-y.

Non, mais ça ressemble à ça.

Le bisou, bisou.

C'est pas le bisou, bisou.

Un bisou, ton bisou.

Ben, ça met.

Non, mais vous êtes tout près, vous brûlez.

Ah, je brûle.

D'où bisou ?

Pas d'où bisou.

Leger bisou.

Deux bisous.

Mais c'est pas ça que je...

C'est par rapport au rugby, non ?

Non, rien à voir.

Embrasse-moi, idiot.

Non.

Avec bisou.

Petit bisou, petit bisou.

Pas petit bisou.

Gros bisou.

Pas gros bisou.

Bisou dans le cul.

Tout bisou.

On demande.

Tout bisou.

Pas d'où bisou.

Non.

Tout bisou, bisou.

Quoi ?

Tout bisou, bisou.

Tout bisou, bisou.

Tout bisou, bisou.

Pas d'où bisou.

Pas d'où bisou.

Pas d'où bisou.

Pas d'où bisou.

Pas d'où bisou.

Pas d'où bisou.

Pas d'où bisou.

Tout bisou.

Pas d'où bisou.

G prevalence Michel Versny et Stucci.

Allo.

Tout bisou.

Tchou.

Tout bisou!

Tchou, bisou.

Les

Tout le monde connaît cette chanson, oui bien sûr, mais enfin surtout moi puisque vous

citez le nom de la chanteuse égyptienne, Gillian Hills, je donne bisous, machin c'est

des deux autres couillons là qui rembordent, c'est du bisous, c'est du bisous, et pour

pas en connaître parce que c'était un truc qui faisait Thierry Ardisson là dans son

émission, là puis il s'est rendu un piano là, et puis on devait faire un bisous

à quelqu'un, c'est du bisous, il y avait un humoriste qui mettait ça dans sa, qui

présentait ses sketches comme ça, mais on fait ça dans les salles de spectacle parfois

ou même dans les stages, effectivement, les Rolling Stones ils le font, c'est-à-dire

qu'on a une caméra, on a une caméra qui d'un seul coup se braque sur deux personnes

dans le public, qu'on envoie la chanson, bisous, bisous, bisous, par exemple imaginez, on

braquerait les caméras sur François Berléon et Roselyne, on enverrait, envoyez-moi la

chanson.

Allez on t'embrasse sur la bouche ! Allez, allez, allez, allez François ! Ça y est, ça y est !

Ça aurait été Sophie Marceau, il y serait allé sur la bouche, hein ! Vous embrassérez

que Sophie Marceau dans la pièce, ce sera quel théâtre, monsieur Berléon avec Sophie

Marceau ? Les bouffes parisiens, deux fois de la pub pour son spectacle, pas encore une

pour mon prochain album qui sort, mais ton spectacle il s'appelle le plus mâché

dans le monde.

Vous n'aviez qu'à trouver Zoubi Zoub.

Une question d'actualité pour Mme Chantal Abo qui habite Chalin, oui Abo, elle habite

Chalin à la poterie dans le Mêne-et-Loire, vous connaissez ça Roselyne ?

Je connais Chalin à la poterie.

Il y avait un château dans lequel il y avait la secte moon.

Ah boh ? Bah oui, il connaît Roselyne, ah boh ! Arrête de déconner.

Madame Abo, c'est le nom de l'auditrice qui espère achèquer RTL.

Oh, je pense que maintenant tout le monde sait ce qu'est un mugshot, tout le monde sait

parce que ça fait d'actualité, c'est quoi un mugshot ?

C'est la photo judiciaire de Donald Trump ?

Oui et non, pardon, qu'est-ce que c'est qu'un mugshot ?

C'est quand la police vous prend un photo de profil, de face, et...

Pour une atta… pour une attapellation.

Voilà, pas forcément celle de Donald Trump, voyez-vous.

On a appris le nom à cause de Donald Trump et de la photo.

C'est vrai, mais on s'est quimètre précis, désormais.

Ah, c'est bien, il l'a ramené !

C'est une bonne réponse collective.

Et oui, parce que oui, on en a parlé à cause ou grâce à Donald Trump,

mais un mugshot, c'est bien le portrait photographique

qu'on prend au moment de l'arrestation d'une personne,

en tout cas quand elle arrive au poste cette personne,

et le mugshot le plus célèbre de ces derniers jours,

c'est vous l'aurez effectivement compris grâce à Mme Bachelot,

celui de Donald Trump, incroyable tête quand même.

Absolument, parce qu'il y a des tueurs en série,

des types épouvantables qui ont l'air moins effrayants que lui sur sa photo.

C'est bizarre, on dirait, tu sais quoi, on dirait Jardepardieu,

car à Valais, Charlotte de Turquême.

C'est très bizarre.

C'était bien Charlotte dans les traîtres sur M6 pendant l'été...

Ah, vous avez regardé ça ?

Ah, j'ai adoré cette émission, mais c'était un régal de suivre cette émission.

Oui, ils me l'ont proposé, j'ai dit non.

Ah, pourtant, vous seriez parfait à Canal, ils me l'ont dit.

C'est pour ça que je préfère le faire en vrai, que dans une émission.

Vous, dans les traîtres...

Mais c'était bien, elle faisait quoi, Charlotte ? Elle était genre arbitre ?

Non, Charlotte, elle était non.

Alors justement, elle faisait partie...

J'ai envie de dire des loups-garous, parce que c'est une adaptation télévisuelle du jeu,

les loups-garous, mais effectivement, elle faisait partie des traîtres,

et non pas des loyaux, vous avez les loyaux d'un côté et les traîtres de l'autre.

Non, mais c'était un truc absolument incroyable à suivre, je vous jure,

avec Jean Lassalle, qui a toujours pas compris le jeu au moment où je vous parle.

Jean Lassalle ?

Il y a aussi un philosophe, alors absolument...

Ah, il est tenant, qui s'appelait C.S.P.D.S, un Vincent C.S.P.D.S,

qui, alors, je dois dire, était d'un grotesque, comme j'ai rarement vu.

Ah oui, qu'à chaque fois, il était persuadé qu'il avait raison,

et il faisait éliminer tous les loyaux, les uns après les autres.

C'est quand même assez fou, c'était très...

Il avait Guillaume Plais, aussi.

Il avait Guillaume Plais, aussi.

Et alors, la mieux, ça a été quand même Mame Pernot...

Enfin, Mame Verve, Pernot.

L'Atali Marquet, Pernot.

L'Atali Marquet, elle faisait le jeu avec son fils.

Elle a quand même été jusqu'à faire, il faut quand même le faire,

pour ne pas se faire éliminer en tant que loyale,

car elle était loyale,

mais les autres à un moment donné étaient persuadés qu'elle était traître.

Elle a dit, je vous jure sur la tombe de mon mari.

Oh !

Ça, c'est fort.

Qu'est-ce que tu veux faire, après ça ?

Bah, maigre, ça, il y en a deux pour moi.

Et moi, j'étais là, je jubilais !

Ah non !

C'est rien de trouve, l'argument suprême.

Un suprême.

Je jure sur la tombe de mon mari, que je ne suis pas traître,

mais il y en a quand même deux qui disent,

il faut dire que les deux qui y ont voté contre elle étaient eux, évidemment.

Ah, des traîtres.

Des traîtres.

Il n'avait pas de mari.

Ceci explique cela.

Ah non, non, je jure.

Ah oui, inscrivez-vous.

On devrait faire qu'avec nous, qu'avec les gros stars.

Oui !

On le ferait pas ?

Oui, j'ai posé.

Avec plaisir, Laurent.

Quand j'aurais compris ce que vous essayez de nous expliquer,

ça va pas.

On va téléphoner à Valentin.

Vous ne connaissez pas les gros stars.

C'est comme le rugby.

C'est un match quand j'aurais compris pourquoi des gros stars se tapent dessus.

Vous n'avez jamais joué au loup-garou, monsieur Gallup ?

Non, je ne crois pas.

À la gamelle ?

Vous jouez en quoi, en Belgique ?

Quand vous êtes jeune, vous jouez pas cash-cash à la crêle.

C'est articulou, je t'encule.

C'est un super jeu de société.

Oui.

C'est hallucinant, tu ne connais pas.

J'enchaîne une autre question pour monsieur Koudour.

Koudour, Anthony Koudour, qui habite courcité,

ou courcité en mayenne, madame.

Ah, jolie la mayenne.

C'est loin, la mayenne.

Oui, c'est chez moi.

C'est joli.

C'est le mène.

Oui, vous avez une intelligence en dessous de la mayenne.

Vous serez...

Ludiv...

En tout cas, il a trouvé...

Il a répondu.

Oui, il a...

Ludiv vaillant.

Alors, Ludiv vaillant.

Oui, Ludiv vaillant.

Gilles, Biron, Théo, Andan et David Sombé.

Voilà quatre noms que je vous demande d'identifier.

C'est des noms de Pornot, ça.

Ah, les petits chanteurs à la croix de bois.

Tu crois qu'ils n'étaient que quatre ?

Ils n'étaient pas que quatre,

les petits chanteurs à la croix de bois.

Ludiv vaillant.

Gilles, Biron, David, Sombé et Théo, Andan.

400 mètres, c'est sportif.

400 mètres, 400 mètres.

C'est, effectivement, nos seuls Français

à avoir obtenu une médaille.

Anglis, Abu Dapest.

J'ai été vu, en plus, en direct.

Comment ça vous les avez vus ?

Il y a trois à quatre jours, en direct, sur France 3.

Ils vont trop vite, moi, j'arrive pas à lire les noms.

Eh ben, ils sont carrément mignons, tout ça.

C'était un peu perturbé.

C'était un peu perturbé.

Et tu sais qu'ils ont des toutes petites médailles.

Mais ça, je m'en fous.

Mais c'est parce qu'à force de sauter au-dessus des haies,

le plus pénis, c'est...

Non, il n'y a pas de...

Vous rêvez qu'il vaut à court après

avec un bâton dans la main, c'est ça ?

Non, mais...

Ils sont beau les gars, quand même.

Et puis, même nos Français...

Je vous en présenterai un.

Comment ils s'appelaient ce...

Trois balles, ils s'appelaient le...

Jean-Charles.

Qui portait bien son nom d'ailleurs.

Il est allé se recueillir à Fatima,

devant la statue de la bière entre.

Non, moi, c'est mes bières.

Il y a celle du pape Jean-Paul II.

Le petit blond qui courait avec le grand black américain, là.

J'ai vu une vidéo formidable.

C'est un mec qui filme des coureurs de trucs.

Et avec la caméra, il court plus vite que celui-là.

Une seule, une seule médaille, en tout cas.

Budapest, ça se passait en Hongrie.

En la chance.

Les mondiaux d'athlétisme.

Oui, d'ailleurs, il paraît qu'il n'y avait pas un seul chef d'État démocratique,

en tout cas, pour assister au mondiaux,

malgré l'invitation de M. Victor Orbonne,

le président hongrois et dédictateur dans les gradables.

Mais ça a passé d'ailleurs, c'est passé sur France TV ?

Mais oui, évidemment, de la critique.

Mais on n'a pas eu une médaille.

On espérait aussi à Kevin Mayer,

à part celle, effectivement, qu'on vient...

Vous avez eu quatre médailles.

Oui, pour une seule discipline.

On est fort, c'est en natation avec l'autre, le champion, là.

Oui, mais la natation, c'est pas de la critique.

Oui, non, il n'y avait pas...

Oui, mais en fait, dans tout, on est bon.

On est bon en natation, on est bon en viande en sauce.

On est bon en croissant, on est bon en vin,

mais pas mal.

Arrêtez de vous plaindre, les Français.

Vous nous faites chier, tu nous fais chier, Berléran.

On prend ça qu'à côté.

Bon, l'Iran, on va au Portugal, c'est tellement mieux.

Mais M. Berléran, il n'y est pour rien.

Super, Berléran, tu s'en arrêtes.

En tout cas, bravo à Ludwig Vaillant,

Gilles Biron, Théodendon, David Sambé,

qui eux ont ramené médaille pour la France

depuis la rendue.

STL, c'est l'heure de l'invité du jour.

Et notre invité du jour, tout récemment,

était encore sur les planches,

une pièce de Shakespeare, comme il vous plaira.

Vous l'avez vu au cinéma il y a quelques années,

dans l'hygiène de l'assassin,

au côté de Jean-Yann,

vous l'avez vu dans un son Antonio,

vous l'avez vu dans les textiles,

où elle jouait une naturiste,

au côté d'Alexandre Brasseur,

dans la dilettante de Pascal Thomas,

c'est une de nos actrices préférées,

effectivement.

Je vous demande d'accueillir Barbara Schulz,

qui vient nous présenter

Superbourré,

un film qui sort

cette semaine,

demain, demain mercredi,

sur vos écrans.

Et mieux en vrai,

c'est vachement mieux en vrai.

Voilà un titre de film

étonnant, superbourré,

c'est le titre du film qui sort demain.

Bienvenue Barbara Schulz.

Vous êtes la maman

dans ce film,

deux jeunes héros, un garçon,

une fille, c'est Pierre Gomé,

un garçon du Grand-Léto,

la jeune fille sort 17 ans,

17 ans.

Et effectivement, ces années-là,

souvent, on va dire,

l'occasion de faire une fête un peu alcoholisée.

Oui, pas que cette année, mais enfin ça commence,

oui, ça titille un peu la jeunesse...

Mais de ce Népi-Slai aussi !

Il y a Chicandier dans le film,

il fait un col Höllis en de Poilou,

il y a Chicandier,

mais aussi Vincent Moscato,

on parlait de rugby tout à l'heure,

qui s'est reconvertie et en animateur radio et en excellent acteur comédien Jean Lassalle.

C'est étonnant quand même de le voir.

Il y a un très bon comique.

De le voir au cinéma.

Ah bah vous allez nous raconter Barbaraj.

Moi j'avais pas de scène avec lui.

Mais je sais que ça a été marrant.

Les petits jeunes ils avaient...

Oui parce qu'il fait le grand-père qui explique le fonctionnement de la lambique.

Mais vous ne l'avez pas croisé pendant le cours.

Je ne l'ai pas croisé.

J'étais juste avec Vincent Moscato et là j'ai beaucoup rigolé.

Moi je l'ai croisé à l'Assemblée nationale ça va.

Vous êtes la maman en tout cas.

Tu mères et mères en fait.

Voilà donc double mère et maillereux et mereux.

Super bourré c'est une comédie on l'aura compris.

C'est une comédie pour moi c'est vraiment un mélange entre les beaux gosses américaines paille et milo en mai.

Ou le grand chemin.

Non c'est vrai parce que c'est à la fois très drôle mais c'est aussi un beau film.

C'est rural il faut l'expliquer.

C'est rural, c'est champêtre.

Ces jeunes là effectivement n'ont pas forcément l'occasion de faire une fête comme on en...

Ils s'ennuient beaucoup.

Voilà comme on en connaît.

Ça s'appelle la province.

D'habitude vous jouez des rôles très jeunes, ça vous a énervé d'ailleurs souvent.

Il y a un moment ça s'arrête.

De jouer et là maintenant ça changement vous jouez une maman.

Les mamans ça fait un bout de temps que j'ai amorcé le créneau mais...

Enfin vous n'êtes pas prêts de jouer les grand-mères.

On ne sait pas.

Oui très bien Simon.

Une fille mère.

J'ai joué une grand-mère.

Ben oui merci François.

On vient de finir le film de Nicolas Vanier et je suis grand-mère.

Tout ça parce que vous avez épousé Berléon ?

Non non non.

Grand-mère par alliance.

Non grand-mère.

Mais d'un être humain ?

D'un être humain.

Vanier il est très loup garouche.

Non mais là vous y avez des bestioles mais...

Elle est incroyable Barbara Schulz de jeunesse de fraîcheur.

Roselyne Bachelot à raison Barbara.

Quand je relis votre parcours c'est quand même étonnant parce que vous aviez 21 ans

quand on vous a demandé de jouer une jeune fille de 14 ans au départ.

Oui oui oui.

Avec Jean Karmé.

Avec Jean Karmé oui.

Vous générique marqué la fille de 14 ans.

7 ans de plus que le rôle.

Il faut quand même le faire.

Après vous aviez 22 ans quand vous avez joué une adolescente dans Madame le proviseur.

Exactement.

Ça faut quand même le faire aussi.

Mais j'en ai un peu marre des cartables et des sous-settes.

Mais c'était comme ça oui.

Et vous aviez 25 ans quand vous avez joué au théâtre.

Dommage qu'elle soit une putain.

Ou normalement Annabella est une jeune fille de 16 ans.

Oui et là Roselyne fait une jeune vierge et j'en ai 50.

C'est ça qui est bien avec le théâtre.

Il n'y a pas de gros plan déjà.

On est loin.

Là je ne veux rien dire au théâtre.

Non mais enfin Berléan dans le rôle du petit Grégory c'est pas crédible.

Ça pourrait.

Ça pourrait.

Ça pourrait.

C'est pas possible le théâtre.

Il y a un problème quand il fait Yoda là.

Sans ma guerre.

Super bourré sort demain sur les écrans.

Alors c'est vrai que le titre est un peu comme ça.

On va le dire un peu.

C'est pas du Shakespeare.

Oui mais regardez tout le monde me parle du titre.

Comment il s'appelle ce grand metteur en scène.

Il a fait drunke.

Oui.

Là ça ne dérange personne.

C'est l'anglais.

C'est l'anglais.

Oui mais bon alors super drunke.

Mais bon voilà.

Tu es choquée deux twitos à deux balles sur internet.

Non non mais oui c'est vrai.

Les gens de Télérama ils existent encore.

Pierre Gomé et Nina Pauletto sont les deux jeunes à la fiche de super bourré.

Avec effectivement le grand père joué par Jean Lassalle.

La maman Barbara Schultz.

Il y a Chicandier et Vincent Mosquato.

Ça sort demain dans les salles de cinéma.

Mais vous partez en tournée avec le Shakespeare.

Alors la tournée est terminée.

La tournée est terminée.

Non mais je pense aux prochaines tournées et des prochaines pièces.

Parce que les gens ils vous attendent ils se souviennent quand on dit des trucs.

Sur la province.

Il y a un mot lier à la clé.

Et dans super bourré des tournées il y en a un.

La prochaine pièce c'est boing boing que tu ressens.

Non non.

Il m'avait proposé quand j'étais jeune.

Mais non j'avais pas été faire boing boing.

Super bourré demain sur les écrans de cinéma.

Vous n'êtes pas super bourré dans le film.

Non mais moi je fais une lutte contre l'alcool.

Evidemment.

Mon mari s'est foutu en l'air dans un platan.

Et donc voilà j'ai un programme très très sévère contre l'alcool.

Et c'est mal perçu dans ce petit village.

Super bourré demain dans les salles de cinéma.

Vous connaissez Barbara Schultz.

Oui bien sûr que j'adore qu'il y ait une sublime actrice.

Et moi j'ai adoré le Shakespeare.

Parce que je me suis dit c'est quand même un risque de faire ce genre de pièces.

Avec la modernité que je te connais.

Et donc c'était formidable.

C'est super bravo Barbara.

J'aimerais tester votre mémoire Barbara Schultz.

J'aime ça de temps en temps.

Savoir si vous vous rappelez.

Les noms et les prénoms que vous portiez dans les films dans lesquels vous avez tourné.

Dans quel film étiez-vous Nathalie Dumortier ?

Non putain franchement.

J'ai vu Prout et c'était un très beau film.

J'ai un truc à vous dire.

Vous savez ça ce que je viens de faire à l'aleu ?

Quand j'habitais à New York et que je faisais...

Les Américains étaient fascinés.

C'est un truc que les Américains ne font pas.

Ils n'ont pas cette...

Ils le font avec les fesses.

Tout le monde.

Comme plein de gens ils le font avec les fesses le Prout.

Ne savait que la bouche a un peu plus classe.

Nathalie Dumortier c'était dans la dilettante de Pascal Thomas.

Avec Catherine Froh.

Dans quel film étiez-vous Nina de Kerlek ?

Apocalypse Now ?

Nina de Kerlek à tout cas Bretagne.

Nina de Kerlek.

La vraie vie de Bécasine.

La boume 3 ?

C'était dans l'adaptation du roman de Amélie Noton.

Ligène de l'assassin avec Jean-Yann.

Avec Jean-Yann vous étiez Nina de Kerlek.

Là je l'ai oublié aussi.

Ah ouais ça vous oubliez les choses.

Alors attention dans quel film votre prénom était Gabriel.

La soupe couche ou ?

Jean-Philippe.

Jean-Philippe avec Fabrice Lucchini.

Et Johnny.

Et Johnny à l'idée évidemment.

C'est vous qui avez convaincu Johnny de faire le film.

Oui c'est parce qu'en fait c'était un ami qui avait écrit le scénario et il vendait aucun film.

Il n'arrivait pas et il me dit que j'ai une idée je ne vais même pas l'écrire.

Et il m'a pitié Jean-Philippe et j'ai dit tu l'écris et je te présenterai Johnny.

Qu'est-ce qui te vient de Johnny d'ailleurs ?

Non ça n'a pas de nouvelles.

Et comment vous appelez dans Super Bourré alors ?

Ah d'accord.

Donc ça a vraiment picolé sur le film.

Mais non en fait les prénoms dans les films on les a on les porte tellement peu de temps.

On les dit tellement.

C'est qu'il y a longtemps qu'on est à longtemps.

Super Bourré sort demain sur les épisodes.

Super Bourré.

Et Barbara Ashul, ça reste avec nous jusqu'à 18h00.

Barbara Ashul, ça reste notre avis jusqu'à 18h00.

On accueille aussi Marc-Antoine Lebré.

Laurent ?

Oui Barbara.

Je peux dire un truc sur Marc-Antoine ?

Marc-Antoine tout à l'heure dans les loges il m'a demandé si je pourrais lui mettre un petit coup de peigne.

Il a cru que j'étais la coiffeuse.

C'est l'histoire de ma vie.

C'est l'histoire de ma vie.

Et j'ai dit d'accord.

Et voilà.

À ma décharge vous étiez avec votre téléphone.

C'est vrai.

C'est dans une loge avec du macarons.

Bravo Monsieur Lebré.

Bonjour à tous.

Bonjour à tous. Moi je suis hyper content.

Après ça vous pourrez que je l'aimais enchaîner.

Allez merci au revoir.

Vous connaissez Barbara Schulz ?

Non c'est parce qu'avant j'étais brûle.

C'est vrai que j'ai changé de couleur de cheveux.

Ben oui.

Je vais être blond.

Je suis très content d'être là.

Le début ça n'a pas marché du coup.

En plus il y a Barbara Schulz.

Je suis fan.

Vraiment.

Voilà.

Mais Marc-Antoine Lebré est là évidemment pour nous régaler

avec différents invités qui viennent vous parler

cher Barbara Schulz.

C'est puisqu'on a évoqué Jean Lassalle.

Le voici.

Voilà.

Jean Lassalle pour vous servir.

Petit rototour du Bairne.

Un goût cognac.

Rillette.

Tête de veau.

Voilà.

Je suis dans le film.

Mes aides.

Ça sent l'étoile sur Hollywood Boulevard.

Maintenant je risque plus d'avoir ma galette

dans les studios.

Derefin.

Ouais.

On se fait la bise Barbara.

À Paris c'est deux bises.

À Nîmes c'est trois bises.

Et dans le Bairne,

on ne fait pas la bise à la bonne personne

car on voit flou.

Jean Lassalle, là tu souviens une question

très importante à vous poser Barbara.

Bonjour.

Bonjour Barbara.

Super ton film super bourré.

Pour une fois j'ai te compris.

Mais comment tu fais pour rester aussi jeune ?

T'es plus fraîche que les deux ados de film.

Moi c'est l'inverse.

J'ai toujours fait vieille comme Berlion et ho.

François Cluzé.

Vous avez joué déjà avec François Cluzé Barbara ?

Non jamais.

Il est là quand même.

Attends la merde.

Attends Laurent.

Barbara Choules.

Non mais c'est une super comédienne.

Cinéma, télé, théâtre, c'est tout faire.

Regarde, en 2022 elle a reçu un mot lierre

pour la pièce comme il vous plaira

de William Shakespeare.

Un mot lierre pour Shakespeare.

Merde.

Tu nous fais quoi après Barbara ?

Un César pour un Astérix.

Un prix Goncourt pour le livre de Thorene.

Putain.

Tu vas en prendre plein la gueule cette année je te le dis.

On a évoqué le film Jean-Philippe.

Effectivement on a évoqué Johnny et Fabrice Lucini que voici.

La sublime, la magnifique, la splendide Barbara.

Son mineur est aussi beau qu'un poème de Baudelaire.

Aussi lumineux et détendu qu'une renoncule

dans le jardin d'Austélie.

Très belle tige au passage.

Aussi en voutant qu'une chanson de Johnny.

Que je t'aime ! Que je t'aime !

Tu te souviens Jean-Philippe.

On devait retravailler ensemble.

J'ai l'idée.

Une adaptation cinématographique de 10 heures

de la Cigale et la Froumi qui veut jouer.

Ah ouais ?

On vient de se réveiller.

Je serais prête à rejouer avec Fabrice Lucini ?

Euh oui, oui, oui.

Vraiment, oui.

Vraiment, oui.

Au théâtre.

Non il prend jamais de partenaire au théâtre en fait.

Non, au théâtre cinéma.

Il faut partager après.

Madame Bachelot est ici aussi.

Bonjour.

Bonjour.

C'est Roselyne,

studieuse au gouvernement

et déglingosse aux grosses têtes.

Mais non, mais Roselyne,

est-ce que vous allez...

Ça sort demain.

On en a parlé.

Est-ce que demain,

vous allez aller voir le nouveau film

premier film de Bastien Mio

avec Barbara Schulz.

Super bourré.

Bien sûr.

J'adore Renault.

Non, je déconne.

Déglingosse.

Alors, le pitch a l'air rigolo.

Des lycéens qui ont comme mission

de ramener de l'alcool

pour avoir le droit

de participer à la fête de fin de lycée.

Ils ont dû passer

le bac option palmade, cela.

Déglingosse.

Ça vous fait rire, Madame Bachelot, en plus.

Oui.

Marc-Antoine Lebré reste avec nous

jusqu'à 18h avec Barbara Schulz.

Est-ce que vous imitez vous Barbara ?

Parce que parfois,

les comédiens ou les comédiens,

on se don de savoir imiter leurs camarades.

Je n'ai pas celui-là.

Oui, tu fais bien la maquilleuse.

La coiffeuse.

La coiffeuse.

On se retrouve dans un instant

avec la Valise Ertelle.

La Valise Ertelle, Barbara, c'est vous qui allez

avoir l'honneur, chère Barbara,

de choisir un numéro de 1 à 20.

Ça, c'est normalement assez simple à faire.

Après, il faut que la personne répond.

C'est tout le problème.

19.

Le 19.

Qu'est-ce qu'il y a, Monsieur Deleuze ?

Non, je repense à notre auditeur d'hier

qui s'appelait Monsieur Vachier.

Il m'a écrit sur Instagram.

Il m'a écrit depuis.

Il regrette de ne pas...

De ne pas avoir été plus aimable.

Il vous a raccroché au nez.

Il vous a raccroché au nez.

Franchement, je suis désolé

parce que j'aurais bien aimé rigoler avec vous,

mais je n'avais pas compris

que c'était Ertelle qui m'appelait.

Donc on embrasse, Monsieur Vachier.

Enfin...

On embrasse, si vous voulez.

On l'embrasse partout, mais on l'embrasse.

On l'embrasse partout, mais on l'embrasse.

On l'embrasse partout, mais on l'embrasse.

On l'embrasse partout, mais on l'embrasse.

Il a peut-être un rôle.

Axel John.

Et le nom que vous avez tiré au soeur,

cher Barbara Schulz,

en désignant le numéro 19.

Et on appelle à Saint-Denis,

en Seine-Saint-Denis,

chez Axel.

C'est une femme...

Qui va lui parler ?

Je lui parlais,

mais peut-être Marc-Antoine peut aussi...

Pas pour copa.

Voilà.

On a qu'à le faire ensemble.

Ça fera 2 l'euros ruquiers pour le prix d'un.

Allo ?

Une fois votre message enregistré,

un autre numéro Barbara,

un autre numéro de 1 à 20.

12.

Le 12.

Le numéro 12.

Alors attention.

Le numéro complémentaire.

C'est Lisa Hérole.

Ma Mérole habite Guillaume Grange,

en Ardèche.

Et je rappelle, évidemment,

pour ceux qui nous écoutent,

que Marc-Antoine Lebré vient nous rendre visite

en fin d'émission chaque jour,

parce que vous le retrouvez tout de suite après,

dans le...

Alors on ne doit pas dire journal,

il paraît, on doit appeler ça.

Hertel, bonsoir.

Ça s'est bien passé hier, la première.

Super, super.

Pendant ce temps-là,

ça doit sonner là-bas à Guillaume Grange,

en Ardèche chez Mme Hérole.

Ça doit sonner.

Ça va sonner.

Ça sonne.

Laisse-lui un message avec la boîte plusée.

Barbara, vous êtes prêtes

si jamais la personne décroche

à faire la valise pour nous ?

Alors, vous pouvez me rappeler,

c'est comme le chemise blique, c'est quoi, c'est...

Vous dites bonjour.

Je m'appelle Barbara Schulz.

Je suis dans une...

Je suis Hertel.

Voilà.

Est-ce que vous avez une petite idée

pour laquelle je vous appelle, vous voyez-vous ?

D'accord.

Vous avez l'air de bien connaître l'émission,

en tout cas, c'est un plaisir.

Je la connais de l'intérieur

et je suis jamais là pour la valise.

Ah non, non, non.

Alors, un autre numéro, Barbara.

Alors, le 7.

Le 7.

Le 7, ça marche.

Ça va marcher le 7.

Ça marche souvent, mais pas toujours.

Essayez de retenir le nom,

mieux que les prénoms et les noms,

des rôles que vous avez pu jouer.

Il s'agit de camis.

C'est pas grave, ça va, ça va.

Et ne dites pas, je suis coiffeuse à RTL.

Ah parce que là, on va pas te croire.

Il s'agit de camis Béchina.

Elle habite à Nantes.

Béchina.

Voilà, camis Béchina à Nantes.

Ça sonne.

Je vous laisse faire, Barbara.

0.

C'est pas possible.

Elle doit au pressing.

C'est ce que j'avais dit.

Le 4.

Alors, on va appeler Florence Pigot,

qui habite à Royant.

Oh, Royant.

C'est par chez vous, ça ?

Oui, c'est là-bas.

Donc Florence, comme la ville.

Florence.

Et Pigot, à Royant.

Ça vous pouvez retenir ça.

Florence Pigot, à Royant.

Ça sonne déjà.

Florence.

Madame Moumanemoiselle Pigot.

Peut-être qu'elle travaille à Florence.

Ça marche aussi.

Bonjour, c'est-tu le répondeur de Roseline ?

Allô ?

Oui.

Oui, bonjour.

Florence.

Oui, tout à fait.

Bonjour.

Je m'appelle Barbara Achout.

Je suis comédienne.

Je suis sur le plateau des grosses têtes sur RTL.

Et est-ce que vous avez une petite idée

de pourquoi je vous appelle ?

En général, c'est pour la Valais.

Et oui !

Bravo Barbara.

Vous l'avez très bien fait.

Ah non, vraiment.

Jamais personne avant vous ne l'avait fait aussi bien.

Parce que personne ne l'avait fait avant vous.

Bonjour Florence.

Bonjour Laurence.

Bonjour.

Vous êtes bien à Royant, Charente Marie-Thime.

La question fatidique, effectivement.

On va vous la reposer.

Je peux peut-être même demander à Cyril Anouna

de vous la poser la question.

Mais je sais plus que c'était la question.

Qu'est-ce qu'il y a dans la Valais ?

Il y a quoi ma chérie ?

C'est ça ma chérie ?

Bonjour, c'est ma chérie.

Oh la la.

Elle a l'air dépressive.

Qu'est-ce qu'il se passe ma chérie ?

Je ne sais pas très bien dans les grosses têtes.

J'écoute souvent les grosses têtes.

Mais là...

Vous êtes sur C8 madame.

Donc il y avait quoi dans la Valais ma chérie ?

Je n'ai pas.

Mais quelle est gourde ?

Mais quelle dommage !

On va vous envoyer...

Non, pas une montre RTL, parce qu'on est en...

En rupture ?

Non.

Mais un agenda.

Mais on peut vous donner l'or, déjà.

On a des...

Il est presque digiteur.

Les conteneurs sont bloqués.

Pas quand on a des horloges.

On a du saupalin RTL, c'est vrai.

On est en rupture de stock des bons RTL.

Non, c'est pas vrai.

Si c'est vrai.

Mais en revanche...

On peut faire une relaxe ?

On va vous envoyer...

On va vous envoyer un mug RTL.

Ah !

On va vous envoyer un mug RTL.

Ah !

Avec la foute de qui ?

Vous, va Florence ?

Ah oui, très bien.

Je passerai avant tout le matin, déjà, en du café.

Et ben voilà.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Florence ?

Ah, j'ai un petit originelle.

Je suis grave haute et rapide.

Qu'est-ce que ça consiste en quoi ?

Il y a déjà hommage, quoi.

Je vous ai dit que les vocatures...

Il y avait des kits en magnifique.

Des gens qui écrivent trop mal au commandement.

Ah, très bien.

Tous les médecins et les pharmaciens.

Comment sont pas les pharmaciens ?

Peut-être qu'on pourrait offrir, quand même,

à Florence, si Barbara Schulze est d'accord,

deux places de cinéma

pour aller voir le film Superbourré demain.

Bien sûr !

Et voilà, on va vous offrir

deux places de cinéma pour Superbourré.

Il y a un cinéma près de chez vous ?

Bien sûr.

Ah ben très bien.

Il n'est pas que deux.

Il y en a un grand près de la gare,

qui est vachement bien.

En voyant, il y a un cinéma

qui sûrement mettra à la fiche, dès demain,

Superbourré, le film avec Barbara Schulze.

On vous offre deux places.

Et je vais ajouter dans la valise RTL

une séance de maquillage.

Pour ceux, ce que nous appellerons peut-être

demain, un blender

Portal Fresh Juice

deux en un.

C'est ce que c'est ça ?

Un mixer, c'est un mixer.

Ah ben t'as que tir le jus du fruit.

Oh je t'embrasse.

Je t'embrasse, TV.

Mais c'est ça, ça tire le jus du fruit.

Un extract.

Non mais ça c'est un sextoyer.

Et il broie aussi.

C'est un appareil

qui combine Gourde et Mixer.

Ah ben c'est la marque Jean-Pierre.

C'est Casseguetta.

Mais quelle enceur.

Avec sa batterie longue, duret.

Ah mais c'est bien ce qu'on disait.

Offrez-vous le plaisir de transformer

vos fruits et légumes.

En délicieuse boisson fraîche.

Ouh que vous soyez.

Donnez vie à vos smoussi.

Mais oui.

Donnez vie à vos smoussi.

Ah smoussi mort, c'est pas bon.

Allez voir sur le site web

freshjuice.fr

Heureusement que c'est pas Mergo

qui l'a fait cette pub.

Déjà moi c'est limite.

Freshjuice.fr

Un blender et dans la vallice RTL.

Désormais on remercie Marc-Antoine Lebré

qui reste évidemment sur RTL

que vous retrouvez dans quelques minutes

dans RTL Bonsoir et on applaudit encore

et on remercie Barbara Schulz

à la fiche des salles de cinéma

d'un super bourré

à demain à 15h30

pour d'autres grosses têtes.

Bonsoir.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.

Avec Michèle Bernier, Roselyne Bachelot, François Berléand, Philippe Geluck, Steevy Boulay et Sébastien Thoen.