Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du mardi 12 septembre 2023

RTL RTL 9/12/23 - Episode Page - 1h 43m - PDF Transcript

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Sur RTL.

Réalisé.

Sur RTL et sur Paris Premier.

Avec pour vous une grosse tête

suivie par un ORL, depuis qu'elle a joué au théâtre

avec Stéphane Pleza.

Valérie Mérisse.

Une grosse tête, autre valoche de RTL, dont on ne connaît pas encore tout à fait le contenu,

Valérie Trevelder ! Une grosse tête qui peut aussi bien animer la Cérémonie des Magrites

en Belgique que celle des Molières en France, Alex Misorek ! Un deuxième belge, une grosse

tête, humoriste sur scène, youtubeur sur internet et drôle à la radio, c'est ce qui compte, Guillaume !

Alors, j'ai fait les deux Valéries, j'ai fait les deux belges, maintenant les deux intellectuels,

une grosse tête qui va dévoiler son vrai prénom, Max Emilia à la Cigale en mars prochain, Max Boublul !

Et son copain viré nocturne, une grosse tête dont la présence réjouit surtout le service

comptabilité de RTL, Paul Elkarat ! C'est votre copain sorti, est-ce qu'il vous emmène dans ces

sorties nocturnes à Paris aussi ? Non pas Paris, mais... Vas-y, tu peux raconter le trolleur, t'inquiète pas.

Je te promets que je te ramènerai au putain Paris.

T'as fait plaisir qu'il y ait Alex, c'est un petit belge qui débarque, il est là depuis deux jours.

Tu avais prévenu que je te ferais rentrer, j'ai le bralon dans le milieu. Alex, vaisse-moi 15 jours et tu seras sur France Inter, promis.

Ça va, vous êtes un climatier RTL ? Bien sûr, vous savez que ce petit là-bas, il était stagiaire dans la boîte de prod qui me

produisait il y a dix ans. Il faisait les photocopies de vos spectacles.

Bientôt, ça sera le contraire. Alors c'est faux, Valérie, c'est faux.

C'est une belle symbolique que je suis avec Alex parce que c'est souvent croisé en Belgique, je vais souvent demander

des petits conseils, il m'a toujours dit que démerre-toi. Un jour, je lui ai dit que tu voudras bien m'accompagner

en France pour m'aider, il m'a dit absolument pas. Mais là, maintenant, on se croise en fin et je suis ravi.

Maman, je suis avec Alex Biseur et Concretin.

Oui, tout arrive, c'est ça les grosses têtes. Une rencontre.

Dans tous les cas, je t'amènerai, je te ferai des belles sorties en boîte de nuit et j'espère que je vais te faire

rencontrer ta prochaine petite amie. Il paraît que vous avez une petite amie.

Non, c'est lui qui dit ça. Simon m'a dit ça et il m'a dit que non, mais tu peux nous le dire.

Il le saurait quand même.

Je le saurais, mais pour l'instant, non.

Vous qui aimez l'édictionnaire, on a Valérie Mérez, la rousse avec de gros Robert.

Une première citation pour Cyril Joseph qui habite 5 heures sur l'aillon dans le Ménéloir.

Qui, alors qu'on lui posait la question, quelle est la chose la plus étonnante

qu'un fan vous a donné a répondu de l'herpès ?

C'est Colouche ?

Non, c'est pas Colouche.

Est-ce que c'est Rock'n'Roll ?

Rock'n'Roll, c'est quelqu'un qui est là, c'est décédé. Il n'y a pas si longtemps, il est mort en 2014.

C'est Benichou, Cavana ?

Jacques Chancel ?

Non, non, non.

Français ?

Non.

Américain ?

Américain.

Chanteur ?

Chanteur, non, non, non.

Humoriste ?

Humoriste, acteur, surtout, mais il a démarré comme Stundoper, c'est vrai.

Robin Williams.

Robin Williams.

Bonne réponse d'Alexis Jorette.

C'est Robin Williams.

Pour Serge Pita, Caby Blanford en Gironde.

Où trouve-t-on la fameuse phrase ?

Osa me bien né, la valeur n'attend point le nombre des années.

Dans le site de Cornel.

Cornel, bravo, excellent !

Très bon, c'est d'Alexis Jorette.

Je suis jeune, il est vrai, mais Osa me bien né, la valeur n'attend point le nombre des années.

C'est effectivement une citation de Pierre Cornel.

Bravo à notre belge !

Un des deux.

Visiblement, ce sera toujours le même, qu'on applaudit.

Pour Daniel Lefebvre, qui habite en Dolin dans le Nord,

qui a dit « Beaucoup de chemins mènent à la réussite,

mais un sol mène immanquablement à l'échec,

celui qui consiste à tenter de plaire à tout le monde ».

Brelle ?

Non.

Tous les cas, c'est une belle phrase qui donne ta réfléchie.

Oui, on pourrait la mettre sur un cendrier,

ou au-dessus de votre lit.

Un cendrier.

Ce qui est la même chose.

Un auteur vivant ?

Non, non, non, c'est quelqu'un qui est mort.

Allez, un petit numéro de cirque pour l'été des spectateurs.

Allez, Otari, déclenchez l'Otari.

Quelqu'un qui est né en 1706 et qui est mort en 1790.

Benjamin Franklin.

Eh ben voilà.

On peut, par exemple, renouveler l'expérience avec la citation suivante.

Pour Candice Janssen, la sœur de Jean-Fier,

à la Bideville, juif, dans le Val-de-Marne,

qui a dit quand quelqu'un...

C'est très court.

D'accord.

J'ai marqué un temps parce que je n'arrivais plus à lire la suite.

Des personnes bourrées qui n'apprenaissent pas.

Quand quelqu'un dit, je me tue à vous le dire,

laissez-le mourir.

Ah, c'est joliment dit.

Il y a eu peur qu'il manque un mot, en fait.

Oui, parce que...

Pourquoi je m'étais arrêté ?

En fait, il manque le vous.

Je rajoute le vous parce que je trouve que c'est mieux si on dit...

Quand quelqu'un vous dit, je me tue à vous le dire...

Enfin, c'est prétentieux de corriger les citations des personnes.

C'est pas faux.

Chacun son métier, Laurent, je veux dire.

C'est pas faux.

Surtout quelqu'un qui est né en 1900 et qui est mort en 1977.

Paul.

Jacques Prévert.

Pour Florence, Miozotis.

J'adore ce nom.

Oh, Miozotis.

Madame Miozotis n'a pas encore gagné 300 euros.

C'est une fleur, Miozotis.

Oui, absolument.

Je fais des réponses de mon livre.

Mon règne de souris.

C'est pas la question, Monsieur Boublil.

Je sais pas si tu sais trouver des réponses.

Monsieur Boublil.

Et d'autant que cette citation est assez difficile,

c'est quelqu'un qu'on cite rarement.

De temps en temps, c'est arrivé, mais rarement...

Jean-Marie Le Pen ?

Non.

C'est dommage, on le cite pas assez dans cette émission, je le trouve.

Quelqu'un donc de difficile, parce que je vous dis,

on l'a rarement cité ici, même si ça a déjà été le cas.

Donc j'espère quand même que vous allez retrouver son nom.

J'aime bien cette citation.

Qui a dit, dans le mieux, il est difficile de faire mieux,

mais dans le pire, il est toujours facile de faire pire.

Une femme ?

Adolf Hitler ?

C'est d'ailleurs une phrase qu'on utilise assez souvent.

Il est toujours dur de faire mieux, mais pire, c'est toujours faisant.

Staline ?

Staline, non.

Qu'est-ce que c'est un homme ?

C'est un homme.

Politique, volpote.

On ne cite pas beaucoup les femmes ici.

C'est pas un dictateur du tout.

Vous pouvez répéter la question.

Pardon.

La citation, vous pouvez la répéter,

mais j'essaie de la comprendre.

Écoutez, je crois que je l'ai déjà donné deux fois.

Mais ça fait...

Oui, mais c'est pas assez pour moi.

C'est un écrivain ?

Dans le mieux, il est difficile de faire mieux,

mais dans le pire, il est toujours facile de faire pire.

Ça y est, j'ai compris.

C'est toujours possible de faire pire,

alors que c'est parfois pas possible de faire mieux.

Exactement.

Oui, alors ça, c'est la cinquième fois qu'on le dit, alors.

Est-ce que c'est un Français ?

Ah oui, alors écoutez, il est né à Angers.

François Hollande.

En 1872.

Non, moi, je suis né à Angers, pas lui.

À Angers ?

Oui, mais pas en 1872.

Ah, vous savez, peut-être que je l'ai regardé avant.

C'est pas trop loin.

George Chien du Ballet.

Comment ?

George Chien du Ballet.

En 1872.

Non, c'est 1700.

Paul Léoto.

Non, mais c'est le plus connu d'Angers.

Et il est mort en 1956.

Ah, c'est Kurmoski.

Excellent réponse.

Le Paul Aykarat.

Vous pouvez rappeler à vos camarades,

qui était Kurmoski.

C'est un des plus grands critiques gastronomiques français

qui est mort des fenestries.

On l'a appelé.

Qui est tombé de la sa fenêtre.

Exactement.

On l'a appelé le prince des gastronomes.

Ah oui.

Kurmoski.

Excellente réponse de Paul Aykarat.

Une question pour Monsieur Ronsard, qui habite creusée dans...

Ah, belle copine du bélet.

Oui.

Oh, c'est drôle.

Oh, c'est une blague.

Pour François Ronsard, donc, qui habite creusée dans...

Le copine du bélet.

Vous voulez vous me dire ce qui est annoncé

avec du changement dans la presse aujourd'hui,

même s'il faudra toujours

35 bonnes réponses sur 40 ans.

Le code de la route.

Le code de la route.

Le code de la route.

Bonne réponse de Valérie Parvailer.

J'ai entendu dire qu'ils vont simplifier les questions.

Oui, c'était pour vous.

Je peux le repasser, alors.

Moi, je n'aurais pas.

Mais effectivement, rien ne change.

Dans le nombre de points,

il faudra toujours 35 bonnes réponses sur 40.

En revanche,

ce n'est pas que les questions vont être plus simples.

C'est l'énoncer des questions qui vont être plus simples.

Voilà, elles sont moins perverses.

Les réponses seront toujours les mêmes,

mais en revanche,

on comprendra mieux la question, vous voyez.

C'est un peu comme ici, vous voyez.

De temps en temps,

en fonction du niveau des grosses têtes.

Là, on a dit que les réponses,

les grosses têtes...

Là, on est sur une version simplifiée aujourd'hui, je suppose.

Moi, j'ai les rainures de 5 mm des pneus.

Quoi, donc ?

J'ai eu les rainures 5 mm des pneus.

Ah bah oui, c'est important.

Pour les pneus.

Comment ça ?

C'est une des questions que j'ai eu, moi.

Parce que vous avez permis de conduire.

Non, non, j'ai essayé de passer le code.

J'ai essayé de passer le code, c'est différent.

Et alors ?

Et alors, à chaque fois, 32, 32,

du coup, je ne passais pas.

C'est vrai, tu l'as pas eu.

Parce qu'il y avait des logiques que je ne comprenais pas.

Ah là, on te polle, il n'a pas eu le code.

Mais oui, c'est calé.

Tenant, vous qui connaissez tout au parkeur,

vous apprenez tout au parkeur.

Justement, là, je n'ai pas dû apprendre parkeur, je pense.

Et alors ?

Bah, parce que ça...

Il a voulu comprendre.

Je crois que ça ne m'intéressait pas tant que ça, en fait.

Ah, voilà.

Ouais, aussi.

Il y a des choses qui ne sont pas logiques.

Les sièges isophics.

En tous les cas, tu mets une bonne ambiance, ça.

La dernière fois que je me suis fait arrêter par un fixe,

c'était un goujard.

Il m'a dit que mon permis de conduire,

il était trop vieux, qu'il était même pur et pertorier.

Non, non, non.

Tu dis pas...

Tu dis donc, vous pourriez parler aux femmes d'une façon plus...

Il me dit, il est trop vieux, votre truc.

Il parlait de quoi ?

Bah, de mon permis.

Mais les gens sont bêtes, parfois.

Il faut bien dire.

Moi, il n'y a pas raétiens.

Je suis au cinéma.

Voir un film, d'ailleurs, que je...

Alors, je ne comprends pas encore le succès de son film.

C'est la chute.

Oppenheimer.

Oppenheimer.

Ah bon ?

Ah, c'était le voir.

2h50 de film.

Moi, je suis parti.

Au bout de 45 minutes.

45 minutes, je suis parti.

Comment vous savez que je suis parti ?

À votre avis, comment je peux savoir ?

Vous allez ensemble au cinéma ?

C'est pas peur qu'on vous reconnaisse, dans le cinéma,

et que les gens se disent enfin,

ils soutiennent pas les films jusqu'au bout.

Il a une envie pressante.

Je suis parti, les acteurs, sur l'écran,

on continuait quand même.

J'ai essoufflé à les films français.

Mais écoutez, franchement,

je ne comprends pas le succès de ce film.

Je me suis emmerdé pendant 45 minutes.

C'est dommage.

Peut-être ça démarrait au bout de 45 minutes.

5 minutes.

J'ai même pas attendu l'explosion nucléaire.

Vous voyez, parce qu'il paraît...

C'est normal, elle arrive à la fin.

Oui.

Moi, j'avais le choix entre Barbie et Opponheimer.

Je suis allé voir Barbie.

Moi, j'ai bien aimé Opponheimer,

mais peut-être que vous n'avez pas assez intellectuel

Laurent Ruquier pour aimer ce genre de film.

En tous les cas, moi, je l'ai adoré.

Moi aussi, j'ai adoré Laurent.

Je savais vaguement qui était Opponheimer.

Je ne vais pas vous mentir.

Bon, voilà, le père de l'amour batomique.

Très bien, tout ça.

Mais je ne connaissais pas les détails de sa vie.

Je savais que sa vie, or, pour apprécier ce film,

il faudrait, et j'aurais dû le faire d'ailleurs,

il faudrait absolument lire tout le Wikipedia par coeur

avant d'aller voir le film.

Et là, vous comprendrez le film.

C'est un condensé d'information.

Mais alors, autrement, vous n'entravez que dalle.

C'est très bavard.

C'est très bavard.

Mais vous ne comprenez rien, même.

Moi, je savais qu'il était communiste,

qu'il avait eu des problèmes

quand il a été recruté par la CIA.

Tout simple.

Il faut parce que je lis beaucoup à côté.

C'est putain de biopie qu'on a dû prendre un livre

pour lire pendant, surtout.

Maintenant que je comprends Laurent Cresson Vogueau,

qu'est-ce que vous pensez des tuches 4 ?

Mais non, j'aime bien justement les films d'auteur.

Je ne suis pas du tout comme vous,

comme à regarder Rambo 5, Rambo 6 et Rambo 7.

Laurent, c'est quoi cette question gratuite ?

J'ai été voir Openheimer.

Je suis resté jusqu'au bout par respect pour ses comédiens,

par respect pour ce petit cinéma

qui avait bien besoin qu'on soit là.

C'est pas ça que je voulais raconter

parce que je suis parti...

Parce qu'en plus, vous me coupez.

Je ne comprends pas ce qu'il m'arrive aujourd'hui, Laurent.

Il se trouve que je ne suis pas trop aussi.

Et tu m'as le respecté un peu.

On m'a permis qu'on pire qu'était trop vieux

et vous avez dit Openheimer.

Oui, parce que je suis allé voir Openheimer.

Et avant le film, pareil,

il y a un gars, je ne sais pas qui devait faire partie du cinéma.

Alors en plus, maintenant au cinéma,

il faut tout faire soi-même.

C'est épouvantable. Il faut prendre sa place.

Alors tu prends ta place.

Mais c'est quoi cette discussion de vieux cons ?

C'est carte bancaire.

Mais tu ne vois personne.

On dirait le homme chez ma grand-mère.

Il n'y a plus rien qui va.

C'était mieux avant, ma pauvre disette.

Tu ne vois personne.

À part les comédiens sur l'écran.

Et c'est pas eux que tu aurais envie de voir, en fait.

C'est le concept du cinéma quand même.

Comment ça ?

Maintenant, avant, il y avait quelqu'un qui délivrait un ticket.

Qui nous disait que vous avez envie de voir quoi ?

Non, il fallait donner 2 euros dans la pochette.

Je me souviens.

Avant, il y avait quelqu'un qui vous disait

que vous avez envie de voir quoi ?

Non, mais ça, c'est dans les cinémas porno.

Je vous raconte ou pas ?

Oui, on attend que ça.

Donc, c'est vrai que déjà, c'est étonnant.

On n'a plus rien à faire aujourd'hui.

Même sa carte bancaire,

il ne faut même pas la glisser dans le...

Le téléphone suffit.

C'est sans contact.

Tout est sans contact.

Il n'y a plus de contact.

Il n'y a plus de contact.

C'est à peine si tu as un billet,

et puis tu mets le billet sur un truc,

sur une borne.

Et puis ça te dit,

seul quatre,

même pas une voix humaine.

Oui, c'est vrai, c'est vrai.

Et quelqu'un qui dit,

seul quatre.

Vous vous auriez mis un humain dans la machine.

Mais Laurent, ça me fait quoi d'être accueillissant,

foie grave ou...

Tout ça, c'est affreux, je trouve.

C'est la déshumanisation,

la robotisation,

la digitalisation.

Mais le pire,

c'est qu'il y a quand même un mec

pour surveiller tout ça.

Parce que souvent,

la machine ne marche pas bien.

Yaga.

Et alors lui,

alors on vache tout ça

pour dire une connerie,

voyez-vous,

parce qu'il trouve que j'étais au téléphone,

dehors,

enfin, devant le cinéma,

en attendant de rentrer dans la salle,

voilà, des affaires à régler professionnelles.

Vous voyez,

alors je sais pas ce qui s'est passé

pendant que j'étais en train de téléphoner,

j'imagine peut-être

qu'il y a une ou deux dames

qui m'ont reconnu,

j'en sais rien.

Et le gars vient me voir,

il me fait,

oh bah dis donc,

vous plaisez aux dames, vous.

Comme une surprise.

Je pense que ça m'a mis

une mauvaise humeur

pour le reste du film.

C'est pour ça

que vous n'avez pas émettu.

Maintenant qu'on a les infos,

on peut le voir,

l'orant pour la petite séance

qui vient de se passer,

vous me devez 89 fois encore.

Je pense qu'avant,

il était flic

et il avait dû arrêter Valérie,

mais reste, c'est le même.

Quand on est mal à droit,

on est mal à droit.

Les grosses tests

répondent aux auditeurs.

Ah, les auditeurs,

qui ont toujours quelque chose à dire,

remarquez ça trop bien,

nous, on a toujours quelque chose

à vous répondre.

Céline, bonjour.

Oui, bonjour.

Vous vous devez de réagir.

Réagir, dites-vous, Céline.

Qu'est-ce qu'on a dit,

comme bêtises encore ?

Un petit coup de gueule, on va dire.

Très bien, allons-y.

Parce que vendredi,

vous avez lancé

dans l'émission

le coup d'envoi

de la Coupe du monde de rugby.

Oui.

Vous parlez

énormément de foot

régulièrement

dans l'émission.

Oui.

Moi, je voulais dire

qu'il y avait d'autres sports,

notamment le volleyball.

Mais bien sûr.

On a une magnifique équipe

de France masculine

qui est en quart de finale

depuis hier soir de l'Euro.

C'est vrai, mais c'est pas bien

de votre part

d'oublier les femmes

qui font du volet aussi.

Exactement.

Je ne les oublie pas,

parce que malheureusement,

elles aussi,

elles ont été un petit peu

lignées

en quart de finale

de l'Euro.

Mais je ne les oublie pas.

Parce que moi-même,

j'ai été volé d'autre.

Ah bah bah bah.

Mon père, bon,

a fait ses volets

à peu près tous les deux,

trois ans.

Non, non.

Non, on y est dévolu.

Franchement, je vous jure,

j'essaie de parler

au maximum de tous les sports.

Alors dès que je parle

de volets

ou d'un sport à peu près,

alors ils sont tous là,

ils me diront

« Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ?

»

Alors moi, je n'ose plus,

vous me comprenez, Céline.

Ils jouent contre qui,

alors le bonchamant,

c'est Laurent.

Mais on s'en fout.

Non, non, non.

Non, non, non.

Mais si.

Parle d'autres mots,

de Laurent.

Ils jouent contre qui,

contre qui ?

Biba ou l'Italie.

Ah, très bien.

En Rome, jeudi soir.

C'est diffusé sur quelle chaîne,

le volet ?

C'est pas diffusé tout,

non.

Sur quoi ?

L'équipe.

Sur l'équipe.

Voilà.

C'est Yohann Rihout ?

C'est Yohann Rihout ?

Ah non, pitié, non.

Céline, on vous remercie

et on croit qu'on prend

que vous aimez le volet balle.

Christelle, maintenant,

est au téléphone.

Qui aime le squash.

Bonjour, Christelle.

Bonjour Laurent.

Bonjour à tous.

Alors Christelle a une question

à nous poser.

Je vous écoute.

Oui, je voulais savoir

pourquoi il n'y avait plus

la question littéraire.

Alors, non, vous trompez, Christelle.

Vous avez eu leci.

Et si vous voulez

être plus précise

dans votre question,

il n'y a plus la rubrique.

Une question littéraire

d'un seul coup.

C'est vrai que ça manque.

Pardon.

Mais en revanche...

Elles sont dispatchées.

En revanche,

il y a toujours

des tas de questions littéraires,

sauf que je les ai dispersées

tout au long de l'émission, Christelle.

D'accord.

En fait, voilà,

plutôt que de les donner

d'un bloc,

il y en a une, voilà,

dans la première demi-heure,

une autre dans la deuxième.

Mais il y en a à peu près

trois-quatre par émission

comme avant,

mais pas au même moment.

Comprenez-vous, Christelle?

C'est pas la peine

de l'engueuler, non plus.

T'as compris ou pas?

Tu comprends ce qu'on te dit?

Mais moi, ça me fait plaisir,

en tout cas,

que vous aimiez les questions littéraires.

Ah, moi aussi.

Moi aussi.

Et en plus,

elle n'a pas aimé

Openheimer, elle m'a dit.

Et pourquoi vous aimez

particulièrement

cette rubrique, Christelle?

En fait, j'aime bien

cette rubrique,

parce qu'en fait,

vous citez des bouquins

avec un petit peu de résumé,

qui me permet ensuite

de lire le quatrième

de couverture.

Et si le livre m'intéresse,

je l'achète

et je le lis.

Et bien, c'est le but.

Parfait.

Vous avez tout compris

aux questions littéraires.

Merci, Christelle.

J'allais vous raconté

un truc rigolo.

Ah, oui, oui, oui, oui.

Je vais à la kiosquière

de Neuil.

Autre jour,

il a acheté mes journaux.

Il est très marrant, la dame.

Elle est très rigolote.

Elle fait toujours des commentaires.

Et là, il y a une autre dame

qui s'appelle Janine,

qui me reconnaît,

qui me dit,

oh, monsieur Rukie,

est-ce qu'il voulait me faire

un autre affaire?

Je fais l'autre affaire.

Et comment on fait

pour assister

à l'émission des grosses têtes?

Alors je lui réponds

RTL.fr.

Et la kiosquière,

elle me dit,

ah ben voilà,

monsieur Rukie,

il est comme les impôts.

Internet, Internet, Internet.

On peut pas y aller comme ça.

Il faut tout passer par Internet

aujourd'hui-là.

Oui, c'est comme ça.

RTL.fr.

Arnaud Gaillard,

maintenant,

est au téléphone.

Salut Arnaud.

Bonjour Laurent,

bonjour les grosses têtes

et bonjour au public.

Il est celou lui,

non?

Il est pas belge?

T'en t'entends?

Eh ben oui,

il aurait aimé nous voir

à Charleroi,

mais l'émission

est annulée à Charleroi,

en fait.

Oui, oui,

on va à Sarah Fell,

remarqué pour la mixte.

On va à Saint-Tropez.

C'est incroyable.

Vous avez regardé

des photos de la ville.

Ça sent le Google image.

Oui, c'est vrai,

c'était prévu qu'on allait à Charleroi.

Ça va bien ce que vous faites.

C'est incroyable.

Et puis en fait,

il y a eu une demande

de Sarah Fell.

On a longtemps hésité.

On ira à Charleroi

plus tard, Arnaud.

Premier.

D'accord.

Je vous ai raté deux fois.

Je vous ai raté.

Vous avez des places

pour les grosses têtes

en train à l'époque.

J'espérais vous voir.

Vous nous ratez une fois.

Vous nous ratez deux fois.

Vous nous ratez trois fois.

Vous êtes vraiment...

Premier.

On ira cette saison en Belgique,

bien sûr.

William pour terminer.

Oui.

Bonjour Laurent.

Bonjour les grosses têtes.

Alors William,

nous souhaite

une bonne rentrée.

Nous dit que c'est un moment

de détente,

de bonne humeur.

Vous dites que c'est

des rigolos de Kermesse,

les grosses têtes.

Oui.

Je trouve que vous avez

beaucoup de courage.

Vous avez raison.

Faites quoi dans la vie,

William?

Je suis boudanger.

Boudanger.

Je travaille

en milieu industriel.

Je fais de l'abri-oche.

De l'abri-oche industriel.

Ça n'a pas d'abri-oche.

Je rentre content.

Vous avez envie de venir nous voir

vous aussi.

C'est ce que vous mettez.

En espérant venir vous voir

un jour,

vous avez terminé votre mail ainsi.

Bah vous aussi,

je vous le dis,

rtl.fr

pour assister aux grosses têtes.

Ça n'est pas compliqué.

Les grosses têtes

avec Laurent Ruquier,

c'est tous les jours

de 15h30 à 18h

sur RTL.

Toujours avec

Valérie Tervailleur,

avec Paul El-Carrat,

Max Boubnel,

Alex Vizorek,

Valérie Mélesse

et Biot.

Pour faire plaisir

à l'auditrice de tout à l'heure,

pour ne pas bousculer

ses habitudes,

je vais poser

une question littéraire

maintenant.

Vous voulez bien?

Allez-y, Monsieur Ritub.

C'est assez facile

pour Thierry Bourgeois

qui habite Cape d'Age.

Quel est le célèbre auteur

des androïdes

rêvent-ils

de moutons électriques?

Philippe Kadik.

Philippe Kadik.

Philippe Kadik.

Bonne réponse

de Paul El-Carrat.

Et d'ailleurs, ça a donné

quoi, ce livre?

Blade Runner.

Exactement.

Ça a donné

le film Blade Runner.

Au départ,

le roman s'appelle

les androïdes

rêvent-ils

de moutons électriques

et signé

ce roman

si américain,

spécialiste

de science-fiction

en 1966,

ce roman,

qui ensuite,

dans les années 80,

a été adapté

par Ridley Scott

et ça a donné

Blade Runner.

Qu'est-ce qu'il y a, monsieur?

Je me dis que je suis à

le cerveau de Paul.

Qu'est-ce que je m'entends

près de la meuf?

Je pense que

ça n'a pas l'air fou.

Non, j'en serai pas si sûr.

Vous connaissez Blade Runner,

tout de même.

Non, non, je connais

mais celui-ci,

la rapidité

avec laquelle il ouvre

les tiroirs

dans son cerveau

au moins le matin,

il me faut 6 minutes

pour me demander

comment je m'appelle.

Peut-être vous êtes

meilleur en sport,

j'ai une question sportive.

Pour Josette Briquey,

ma Briquey habite

Monchie-Lagache.

Monchie?

Oui, dans la somme.

Vous êtes au courant

que, évidemment,

Djokovic

a gagné.

Oui, contre Medvedev.

La finale

contre le russe,

Medvedev,

vous avez raison.

Mais il a surtout

rendu hommage

à un autre sportif

au moment de sa victoire.

Bien sûr, Kobe Bryant.

Kobe Bryant.

Excellent!

On se le dit.

Vous voyez?

Kobe Bryant

qui était,

il faut le dire,

basquetteur et non pas

télismane

et qui est mort

dans un accident

Délicoptère avec sa fille.

Délicoptère,

effectivement,

en janvier 2020.

Bravo.

Il était tout jeune,

évidemment,

Kobe Bryant.

On doit dire

Kobe et pas Kobe,

évidemment moi.

Je pense toujours

au bof de Kobe.

C'est pas grave, non,

non.

C'est parce que

l'anglais,

à chacun,

c'est vraiment...

L'argent?

Moi,

par exemple,

ça me vient pas

du tout à l'idée.

Vous aviez mangé

du bof de Kobe?

Oui,

j'en ai mangé.

Eh ben,

voyez,

voyez.

Et c'est bon.

Ah bah oui,

vous,

à l'Elysée,

vous avez dû en manger.

Non,

pas du tout.

J'en ai mangé

au Japon.

Du bof de Kobe.

Non, non, non.

J'en ai,

effectivement,

mangé avec un François,

mais pas celui

que j'en ai quand même,

j'imagine.

Eh ben,

il y avait de très bon diner.

Ouais,

j'ai mangé de tout,

mais il y avait pas mal de plats

qui étaient interdits

sous François Hollande.

Ah bon,

quoi?

Pas de marre,

pas de gaillard.

Tu l'avais mis au régime,

tu l'avais mis au régime.

Oui,

bah oui.

La poule au pot.

Voilà,

c'est des plats classiques.

Puisqu'on est dans,

vous avez une vraiment

bonne cuisinière,

Valérie?

Non.

Ah bon.

Non,

mais je suis pas

trop mauvais.

Non.

Non.

Non.

Non.

Bonne vue.

La entente Hollande.

Je sais pas plus mon nom.

Ouais,

ça s'est vu.

Mais t'as jamais,

genre, en rentrant de boîte,

un peu bourré avec François,

tu n'as jamais fait une omelette,

un croque-monsieur,

un truc dans la cuisine.

Alors,

répondez d'abord

à la question de Laurence,

vous.

Je crois

que Monsieur Hollande

préférait les croques madames.

En tout cas,

c'était bien cobi brillante,

et donc pas cobé.

Ouais,

mais on dit pas cobi brillante,

Laurence,

vous pouvez.

Cobi brillante.

Oui,

enfin,

bah,

écoutez,

c'est le frère de Danny

ou pas?

Danny brillante.

On oublie le basket

et le tennis.

Donc,

pour le classement

des plus grosses fortunes

au monde.

Pourquoi,

évidemment,

j'ai regardé ce classement.

Non,

non,

quand même,

j'en suis pas là,

je vais vous dire.

Là,

je vous parle de

milliardaires.

Oui.

Et j'y ai pensé,

évidemment,

parce que j'avais envie de savoir

qu'il y a la fortune

du roi du Maroc,

du Maroc,

et moi,

mais de six.

Mais,

justement,

quel est celui

qui est en tête

de ce classement?

Bernard Arnaud

Bernard Arnaud,

non,

mais il y a compétition.

Non,

attention,

on parle là,

je ne vous parle pas

des plus grosses fortunes

du monde,

vous parle des plus grosses

fortunes

de dirigeants.

Ah,

alors,

c'est le sultan

du Bruneuil?

Non,

le premier,

le quator,

du quator,

du roi,

du X.

Alors,

Émira,

qu'est-ce que vous dites?

Le roi Charles.

L'anglais.

Eh bien,

Charles III,

Charles III,

désolé de vous décevoir,

monsieur Vizorek,

il n'est que 11e,

mais qui rendait lui.

Est-ce que le Bruneuil est devant?

Alors,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

non,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Brunuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil,

le Bruneuil.

Un grand erreicht

de l' honorary

BRUS assault,

le KRAS19- từagne.

Free men,

싹 à rice,

brun,

brun,

brun.

Brun.

de Thaïlande ! Bonne réponse ! De Paul et Karathe, effectivement.

– Rama X, je crois pas qu'ils en sont à 11. – C'est son fils, c'est son fils, peut-être

Rama X, oui. – Alors, Rama X, il a 66 milliards.

– Wow, il vit bien. – 66 milliards, il est en tête des souverains les plus riches

du monde. Il est premier, derrière, c'est l'Arabie saoudite, avec Salman Ben-Abdelaziz

al-Saoud, ensuite, c'est les Emirats Rabuni, 18 milliards pour tout cela, ensuite c'est

Dubaï, après Abu Dhabi, pareil, 14 milliards, et en cinquième, Mohammed VI, 8,8 milliards,

et tout de suite derrière, c'est le Lichenstein, Ansadam II, 7 milliards, et après, c'est

Henri de Luxembourg, 3,5 milliards, et après, c'est Albert de Monaco, 894 millions.

– Ah, il est un peu pauvre. – Il a plus que Charles III, Albert de Monaco.

– Les Belges, ici, moi, j'ai le roi Philippe 80, je ne chèque pas.

– Il est 18ème Philippe de Belges, 13 millions, il est 18ème, mais quand même, le roi du

Maroc est cinquième de ce classement, continuez à donner, mais rappelez-vous quand même

qu'il a 8,8 milliards.

– STL, 6 grosses têtes, 5,8 milliards. – Nous partons pour Flair, dans l'Orne.

On dit Flair ou Flairs, d'ailleurs, Christine, bonjour.

– Bonjour, Roland, on dit Flair. – Ah, il me semblait bien qu'on disait Flair.

Je le sentais si j'ose dire. – Ah, vous laissez-moi.

– Que faites-vous, Christine ? – Je suis assistante maternelle.

Assistante maternelle dans l'Orne, et vous allez peut-être, grâce aux grosses têtes,

c'est tout le mal que je vous souhaite, partir dans un centre de remise en forme,

où ça, notre sponsor favori, les flamens roses, un canet en roussillon tout près de Perpignan.

Ça fait rêver, déjà, Christine. – Oh oui, trop, trop.

– L'azur méditerranéen vous attend, léger chromatérapie.

– Ah, sympa. – Ah, c'est bien.

– Bientôt là, bientôt là. – Pourquoi quand on vous met du crôme dans la gueule ?

– Mais oui. – C'est la couleur, on vous envoie des couleurs.

– Vous aurez accès à l'espace marin, la mâme, le sonal, la salle de fil.

Une ambiance plage chic, je ne sais pas ce que c'est que...

– Bon, c'est genre comme la plage, mais chic. – D'accord.

– Vous avez votre matelin avec le petit râcle. – C'est un paradis, les pieds dans le sable, les flamens roses.

– Attention verru. – Les pieds dans le sable, la tête dans l'azur méditerranéen,

une parentesse de douceur et de détente en chantresse.

– Hotelflamensrose.com, je tiens à bien vendre... – Ah oui, on le voit.

– Oui, on le voit. – Vous n'avez même pas prononcé.

– Tiens à bien vendre ce partenaire, parce que c'est quand même un partenaire historique de notre émission.

Tous nos auditeurs qui l'ont fait l'expérience des flamens roses,

nous ont à chaque fois témoigné, mais d'une reconnaissance sans égale.

C'est un quatre étoiles, un paradis.

Bref, les flamens roses pour vous, Christine, à condition de gagner.

C'est la règle de retrouver la vraie info.

– Attention, beaucoup de fake news, cinq au total, une seule de vraie info.

On commence par monsieur Guillaume.

– Contrôlés positifs à la testostérone, Paul Pogba a été rappelé en équipe de France,

mais pas par Didier Deschamps, par Fabien Galtier,

pour intégrer l'équipe de rugby du 15 de France.

– Max Boublil.

– Ce soir, les Bleus affrontent l'Allemagne à Dortmund.

Des Allemands étant champion du monde de basket depuis dimanche,

ils ont demandé à ce que les cages soient placées à plus de 2 mètres du sol.

– Valérie Mérez.

– Série tapis sur Netflix.

C'est Laurent Lafitte qui incarne l'homme d'affaires français,

mais pour le générique, on a gardé la chanson d'Arsène Lupin.

C'est le plus grand des voleurs.

Oui, mais c'est un gentleman.

– Valérie Treveiler.

– Alors, une enseignante du collège, André Moreau, à Menton, près de Nice,

a fait signer un mot aux parents interdisant aux élèves de porter.

Non pas la baia.

Mais du déodorant, du parfum ou encore de la lac,

parce que son cours est juste après celui du sport.

– Alex Vizorek.

– Alors, le roi du Maroc a fait un geste envers ses habitants.

Le palais a annoncé qu'il allait changer de nom.

En mémoire des victimes, il se fera désormais appeler Mohamed 6,8

pour être au raccord avec la magnitude du CSM.

– Palais carattes.

C'est news a décidé d'organiser un concert de soutien au Maroc,

présenté par Pascal Pro.

Michel Sardou viendra chanter le temps béni des colonies.

– Yannick Noa, Saga, Africa, attention les secousses.

– Mais enfin.

– Et, s'il vous plaît, est le groupe 3T à la Mente Gourmand ?

– C'est le plus grand tube.

– Qui a dit la vérité, alors ?

– Donc, je vais essayer par illumination.

– Bah oui.

– Palais carattes, non.

– Non, Palais carattes, non.

Evidemment, le concert sur CNews,

c'est faux Michel Sardou fera l'intégralité du concert.

– Quoi d'autre ?

– Valérie Mérez, je ne pense pas.

– Alors Valérie Mérez,

il y a bien évidemment une série sur TAPI qui démarre d'ailleurs demain sur Netflix.

Mais non, le générique n'est pas celui,

ça aurait pu remarquer.

– Ça aurait été drôle.

– Ça aurait été drôle, qui garde.

C'est le plus grand des volants women,

c'est Tan, Jean, Clemence.

Non, on a changé le générique.

Ensuite.

– Max Boubile, je ne sais plus ce que c'était.

– C'était les...

– Max Boubile, c'était un humoriste avant.

– Oh !

– Les cages à 2 mètres du sol.

– Ouais, non, c'est faux aussi.

– Mais c'est vrai que les Allemands sont champions du monde de basket

depuis la week-end dernier,

mais ça va un peu moins bien en football.

Ça aussi, c'est vrai, ils ont changé de sélectionneur,

ils ont viré Monsieur Flick,

mais pas au point de demander à ce qu'on remplace les cages de foot

par des paniers de basket.

Ensuite.

– Je ne me rappelle plus de Guillaume, ce qu'il a dit.

– Moi, c'était Paul Pogba qui est rappelé en équipe, mais au rugby.

– Ah oui, mais non.

– Ah bah non, ça, c'est pas possible.

– Ne m'agressez pas comme ça, madame.

Je réponds à votre question.

– Il vous reste Valérie Traveller et Alex Vizorek.

– Alex Vizorek, c'était quoi ?

– Mohamed 6,8.

– C'est bien de lui faire redire cette bêtise.

– Non, non, c'est faux.

Donc, Valérie Traveller, quelle a bonne réponse ?

– Eh bien, oui, il y a une enseignante qui a demandé à ce qu'on incernise.

– Bravo !

– On va pouvoir partir toutes les deux.

– Vous voudriez partir avec lequel de nous, si, c'est aux Flamens-Roses ?

– Avec moi.

– Je crois que je vais partir avec mon mari,

parce qu'en plus, il vient juste d'avoir 60 ans, donc...

– Ah, moi, mais dès ce dernier jour, madame.

– 60 ans !

– 60 ans !

– Le bel âge.

– Et il plaît aux femmes ?

– En tout cas, il me plaît à moi.

C'est déjà pas mal.

– C'est le principe.

– Comment il s'appelle le mari, alors ?

– Joëlle.

– Joëlle, eh bien, écoutez, on va vous souhaiter.

Vous connaissez Perpignan ou pas, cette région, Christine ?

– Non, pas du tout.

– Bon, eh bien, écoutez, ce sera l'occasion.

Vous souhaitez un joli séjour à vous et à votre mari.

Monsieur, madame, Amar, c'est votre nom.

– C'est ça, oui.

– Voilà, comme le cirque, donc...

– Comme Paul, comme Paul.

– Ah oui, j'imagine que ça existe...

Oui, à votre amar, à vous.

– Oui, à...

– Bon, ben voilà.

– Icéo, Santiago...

– Oui, celle-là aussi, on nous l'a fait.

– Oh ben, écoutez, on va l'arguer.

Et puis on va se coucher comme ça, alors.

– Ah oui.

– Bien sûr.

– Alors, j'aimerais que vous retrouviez maintenant le nom d'un empereur.

C'est une question historique.

Pour l'éfficiat Olivier,

à Saint-Etienne de Fond-Bélon, madame Olivier,

qui habite dans l'Ardèche, donc espère un chèque de 300 euros.

Et dans l'Ardèche, donc, un espère 300 euros.

– Ah, l'Ardèche.

– Et la question concerne un empereur romain

qui a succédé à anthémius

et qui ensuite a été remplacé par glycérius.

– Ah, c'est bon.

– Olybrius.

Olybrius.

– Excellent réponse de Paul Elcarat.

– Comment vous savez ça ?

– Je me doutais que le nom de cet empereur

a passé à la postérité parce qu'il est entouré de deux inconnus.

– Ah, ça, c'est vrai qu'on n'en parle pas, je m'en toie et moi.

On rigole bien autour d'un petit verre.

Et ça, c'est une question qui va arriver avec Olybrius.

Je le sens.

C'est qui, c'est Olybrius ?

– Eh bien justement, ça vient de là.

Enfin, on dit que ça viendrait de là le mot Olybrius avec un I,

alors que l'empereur, c'est avec un Y.

– Rémin.

– Olybrius, l'empereur romain.

Alors, il a été empereur, attention, un seul.

– Pas beaucoup.

– Non, on va la trouver.

Quatre-cinq mois, peu près.

– Oui, voilà.

– Quatre-cinq mois, voilà.

Peut-être pourquoi on a dit que c'était un Olybrius.

Bravo, Paul Elcarat.

On parle beaucoup d'un livre, mais ça n'est pas pourtant une question littéraire.

On va dire que c'est plutôt une question d'actualité

pour Marie-Laure Rondier qui habite Rince.

Ce livre s'appelle « Des lieux qui disent »

publié chez La Thèse.

Mais qui en est l'auteur des lieux qui disent ?

– C'est Édouard Philippe.

– Bonne réponse de Valérie Travéla.

– Il est gentil, Édouard Philippe.

Vous le connaissez un peu ?

– Non, pas beaucoup.

– Pourquoi vous demandez ça ?

– Parce que j'adore suivre la politique française,

parce qu'en Belgique, elle est moins starifiée comme ça.

Et donc, j'aime bien savoir un peu les potins,

donc je me retiens depuis tout à l'heure de poser plein de questions.

– Vous y allez, vas-y, vas-y.

– En fait, il voudrait interviewer Valérie Travéla.

– J'ai un potin, alors si vous voulez.

Dans le parisien hier que j'ai appris cette info,

et ça m'a beaucoup surpris.

Voilà pourquoi d'ailleurs j'avais envie de poser cette question

en propos du livre de l'ex Premier ministre Édouard Philippe,

« Des lieux qui disent »

un livre qui sort demain en librairie chez La Thèse,

mais on en parle déjà depuis quasi huit jours dans tous les journaux.

Et Olivier Beaumont et Pauline Thévenio dans le parisien hier

nous rappelaient que quand le président de la République, Emmanuel Macron,

c'est un potin, on ne peut pas être sûr à 100% de l'info,

mais quand même, ça m'a vraiment amusé cette histoire.

Quand Emmanuel Macron a reçu le précédent livre d'Édouard Philippe,

qui s'appelait « Impression et l'Inclair » en avril 2021,

eh bien le président n'a jeté qu'un rapide coup d'œil circonspect

à la dédicace de son ex Premier ministre,

et il a tendu l'ouvrage à un collaborateur

pour qu'il lui rédige une fiche de lecture qu'il n'a ensuite jamais lu.

Voilà ce que nous racontait le parisien hier.

Est-ce que c'est possible ça quand même ?

Il a un peu de boulot quand même, Macron.

Un petit effort de lire le bouquin de son ex Premier ministre.

Non, non, non.

Franchement, c'est beaucoup plus important.

Il doit lire tous les bouquins dans son gouvernement.

Ça fait déjà pas mal de monde.

Et le Bruno Le Maire, apparemment, il peut le lire tard le soir.

Après, il aurait pu lire.

Il n'a pas tout fini, Marraine Chapa.

Après, il aurait pu lire la note, c'est vrai.

Voilà au moins, quitte à faire faire une fiche de lecture.

Ça, je suis d'accord.

On lit la fiche de lecture.

Que d'un Philippe qui a présenté président chez vous, non ?

On ne dit pas présenté.

Non.

Quatre ans avant, on dit que c'est le seul à y croire encore.

Il est le favori dans les sondages.

On peut concéder à Guillaume cette heure.

On ne corsait de rien à Guillaume.

Je suis bien d'accord, Laurent.

Moi, c'est un petit nouveau.

J'essaie d'être gentil.

Pour Philippe Divivaux, Cabit Chinon.

Une autre question d'actualité.

Si vous avez lu le Figaro, vous saurez y répondre.

Robert Marget, à 49 ans et dans la presse ce matin,

dans le Figaro, précisément, il déclare.

Je ne sais pas s'ils se remettront du voyage.

Ça m'empêche de dormir.

C'est le taureau.

Pardon ?

C'est le taureau.

Expliqué.

Parce qu'il est éleveur de taureau.

Et tous ces tauraux seront à l'affaire Yad Nîmes,

ce week-end, je crois.

Et c'est ça qui me fait marrer.

C'est-à-dire qu'il envoie ces tauraux à l'affaire Yad Nîmes,

donc il n'y a pas de chance qu'ils en reviennent.

Et il dit, je ne sais pas s'ils vont se remettre du voyage.

Bonne réponse d'Alex Vizoret.

Après l'affaire Yad Nîmes,

une autre fête qui fait moins de victimes,

à part peut-être les bières,

puisque je vais vous parler de l'Octoberfest.

Ça démarre ce week-end,

la fête de la bière à Munich,

c'est un événement chaque année.

Surtout quand il lâche les tauraux de Robert Marget.

C'est visuellement impressionnant.

Ça démarre samedi prochain,

l'Octoberfest.

Et ça dure jusqu'au 5 octobre,

comme son nom l'indique.

Alors on peut dire la fête d'Octobre,

la fête de la bière.

Sauf qu'elle, moi, j'ignorais,

car j'ai fait des recherches,

j'ignorais qu'elle était la marque

de bière la plus bu,

lors de l'Octoberfest.

Ah, Néken.

Non.

Ah, non plus.

1680.

Là, j'ai les six marques de bière.

Présentez.

Comment vous dites-vous ?

Tout augmente.

Ah, la 8.6, la 8.6.

La neuf ?

Je vais vous demander 1680.

Ah non, mais c'est 102.

C'est la couronneur.

Non, c'est la mort subite.

La mort subite.

La jupilère.

La jupilère.

La bête béroise.

La bête béroise.

La despite.

La masse.

Non, c'est une bière allemande.

La peau leneuse.

La dolfe.

Non.

Une bière allemande et une bière bavaroise.

Ah, la bavaroise.

Non, mais alors là,

c'est vraiment...

Faut être amateur de bière

pour connaître la marque.

Et il paraît que vous aurez qu'à dire le nom.

Moi, je dis peau leneur.

La peau leneur.

Oui.

Oh, mais ils sont pelches.

Évidemment.

Faut se méfier d'ailleurs,

parce qu'il y a quand même des tests de santé

qui sont faits pendant les huit jours,

parce qu'il y a quand même

évidemment beaucoup, beaucoup de gens

qui picole pendant...

Je sais pas, il y avait une idée.

C'est l'idée.

C'est vrai.

À la fête de la bière, oui.

À la fête de la bière, c'est fait pour ça, quand même.

Bien sûr.

À la fête du Noudia,

je pense qu'on mange du Noudia.

D'ailleurs, je me demande si...

C'est pas sûr, parce qu'à la fête de la musique,

maintenant, il y en a très peu qui font de la musique.

Mais ils auraient qu'il a dû y aller.

Eh bien, je suis jamais allé,

parce que ça tombe pas bien

avec la saison radio.

Mais j'étais en Allemagne...

L'année prochaine, vous pourrez y aller.

Ça rassure Boubile.

Moi, j'aime beaucoup un peu du biolo.

Une question historique

pour Sébastien Canu,

qui habite Bourges, dans le chef.

Canu ?

Quel chef de gouvernement

fut moqué par Victor Hugo

au point qu'il le traita de participe passée ?

Euh, oui.

Louis Trochu.

Expliquez.

Parce qu'il disait,

Trochu a du verbe Trochoir.

Excellent.

Trépose de pas le caractère.

Effectivement.

Louis-Jules Trochu,

le général Trochu.

Le général et membre du gouvernement provisoire,

juste avant la commune.

Ah ben oui.

Il était même président

du gouvernement de défense nationale.

De défense nationale après provisoire.

Oui, je vais rentrer.

Oui ?

Non, je vais démarrer là.

Dans sa...

Ben oui, maman.

Non, c'est ma mère qui veut que je rentre

parce que je me tape la ronde.

On est en 1871, M. Guillaume,

quand effectivement,

le général Trochu va finir par démissionner.

Au profit de Thiers.

Et c'est vrai que Victor Hugo a écrit

à son propos,

Trochu participe passé du verbe Trochoir.

C'est beau quand même.

C'est joli quand même.

Ah oui.

Il était pas très sympa avec lui.

Victor Hugo, il a écrit même,

mais encore une fois...

C'est le même qui a écrit Les Miserables ?

Non, vous confondez avec Luc Plamondon.

Ah, c'est ça.

Voilà, je savais.

Mais encore une fois,

qui donc, à ce pauvre homme,

a livré ce pari qui contient Sparte et Rome,

ou donc, a été cherché ce guide-là,

qui donc, à nos destins terribles, le met-là,

on prend pour meneur et pour auxiliaire,

on ne sait quel pauvre être obscurément conduit,

l'an et fidèle ayant derrière lui la nuit,

dont le suprême instinct serait d'être immobile,

sans tactique, sans but, sans colère, sans art,

humble, petit marcheur, morné poussif,

rêveur comme la taupe, utile comme un âne.

Et après, on me dit que c'est du mal de Macron,

mais Victor Hugo a commencé.

Ah oui, mais il écrivait bien.

Oui, mieux que moi. C'est pas faux.

Parce que moi, je me compare après-verbe,

et vous, vous comparez Victor Hugo.

Un peu petit marcheur, il aurait pu dire de Macron.

Exactement.

Mais en tout cas, c'est une excellente réponse.

C'était un peu le booba de l'époque, Victor Hugo.

Clâché et clâché.

Monsieur Paul Alcarat a retrouvé le nom de Louis-Jul Trochu,

le général Trochu, qui était né à Belliland-Mer,

Marie Galant dans le Morbillon,

Saint Vincent, Loin-Saint-Garant.

Il connaît même les chansons de Voule-Gilles,

Bravo, Paul Alcarat, en tout cas.

Encore une question historique.

C'est bien, les questions historiques.

Catherine D. est brûlée.

La voisin.

Et comment était-elle morte ?

Elle est morte brûlée pour sorcer le riz.

Elle est en 1680.

Quelle date, exactement ?

Oh, je n'ai pas l'annex…

On dit là-bas l'annex.

C'est la partie de ce qu'on appelle la fameuse affaire des poisons.

Donc, c'est nombreuses femmes qui auraient concocté,

une sorte de sorcière.

Des petits remèdes, des petits élixirs,

qui ont été condamnés à mort.

Alors, ce que vous appelez des petits remèdes,

des petits élixirs,

c'est carrément le sacrifice d'enfants

dont on récupérait le sang.

Il y a ça aussi, mais j'avais pas fini.

J'avais pas fini.

J'avais pas fini, mais elle faisait ça aussi.

Il y a eu Catherine Bosse,

il y a eu la Brunvillier,

il y a eu la voisin Catherine D.

qui a été brûlée.

Elles ont toutes été…

Elle est morte sur le bûcher le 22 février,

il y a 1680 à Paris

pour l'affaire des poisons un peu plus tard.

Elle s'appelait Catherine D.

Dites la voisin.

Il paraît qu'elle a aidé la Montespan

à être, on va dire,

mieux en cours encore.

Elle a été jugée avec 36 complices.

La voisin est effectivement

brûlée vive en place de grève

le 22 février, 1680.

Il y a quelqu'un qui a décrit d'ailleurs

la façon dont elle a été brûlée.

Peut-être que vous allez savoir

qui a pu écrire ceci.

Elle buit beaucoup de vin.

Elle chante à vin un chanson à boire,

ce qui était quand même étonnant

avant de mourir.

À 5 heures, on l'a liée.

Et avec une torche à la main,

elle parut dans le tombreau habillé de blanc.

C'est une sorte d'habit pour être brûlée.

Elle était fort rouge,

et on voyait qu'elle repoussait

le confesseur et le crucifie

avec violence.

À Notre-Dame,

elle ne voulait jamais prononcer

et devant l'hôtel de ville,

elle se défendit autant qu'elle pu

pour sortir du tombreau.

On en tira de force.

On a mis sur le bûcher assise

et lié avec du fer.

On la couvrit de paille.

Elle jura beaucoup.

Elle repoussa la paille 5 ou 6 fois.

Mais enfin, le feu augmenta.

Et on l'a perdu de vue.

Et ses cendres sont en l'air actuellement.

Voilà la mort de madame voisin

célèbre par ses crimes et son impiété.

La dernière chanson qu'elle a faite

c'est « Qui a écrit ça à votre avis ? »

Ce que je viens de vous lire.

Ce n'est pas madame de Sévignier ?

Oui, c'est madame de Sévignier.

Bonne réponse de Paul Alcarac.

Je ne savais pas de madame de Sévignier.

Elle allait voir les femmes se faire brûler.

Elle assistait à l'exécution de la Brunville

et je crois d'ailleurs.

Elle en a parlé.

Elle a parlé des nombreuses femmes

accusées de sorcellerie

qui ont été brûlées.

Donc ça a été une témoin de l'époque.

Elle a aussi été témoin

et elle a parlé de la disgrasse

de Nicolas Fouqui aussi.

C'était une avorteuse.

Il faut le dire la voisin.

La peine de mort, elle était difficile.

Ça devait être un sacré truc.

C'est une bonne chaise électrique.

Une chaise électrique, c'est rien.

C'est restumant.

En 1680, c'est plus difficile à trouver.

Une petite guillotine.

La première chaise électrique, c'est en 1690,

le premier exécutif.

Oui, c'est guillotin.

1890.

Ah oui.

Je n'ai pas l'électricité.

Je n'ai pas des surprises.

J'étais la géniale, il est con.

J'ai l'écart 1800, j'ai 1700.

Ah ben oui, parce que...

Comment on déploie une bière avec Valérie,

vous allez voir n'importe quoi.

Mais la torture, elle est horrible.

Il la met sur la chaise,

il lui met de l'acier,

il la met dans la taille.

La paille, ça a morti le feu.

Oui.

Heureusement qu'elle boit.

Heureusement, ils sont gentils,

ils la font boire un peu avant.

Il faut dire qu'attention,

est-ce qu'elle avait fait à tous les enfants,

c'était pas terrible non plus.

Il paraît qu'on a retrouvé

les corps de plus de 2500 enfants.

C'était beaucoup.

Oui, après, on a tous nos vices.

C'est une autre époque.

Qui on est pour juger ?

Démoniac.

C'est vrai qu'il faut distinguer

la femme de l'artiste.

Mais en tout cas, c'est une bonne réponse

encore de Paul El Carac.

Le livre du jour s'appelle

« L'homme qui vole ».

C'est Franky Zapata,

qu'on va avoir au téléphone

dans un instant.

Vous le connaissez.

Flyboard.

Oui, Flyboard.

Bravo, c'est son sur nous.

Cet homme qu'on a vu

avec des machines incroyables volées.

14 juillet.

Même au 14 juillet.

Mais surtout,

il a traversé la manche

avec sa machine.

On va évidemment évoquer tout ça avec lui.

Il a écrit son livre

avec Geoffroy Langlade.

C'est la première autobiographie

événement de cet inventeur

et sportif de tous les records.

C'est chez City Edition.

Mais il raconte,

et c'est dans le chapitre 7

de son livre,

il raconte surtout qu'avant,

il voulait pilote d'hélicoptère

et qu'il a passé

tous les examens nécessaires.

Il écrit,

d'ailleurs je vous lis

un passage du livre.

Aucun risque selon moi.

Je ne fume pas.

Je ne bois pas.

Je fais du sport tous les jours.

J'affiche une forme olympique

et je possède une vue de l'Inx.

Et pourtant,

il sera refusé

pour être pilote d'hélicoptère.

Pour quelle raison ?

Il n'y a rien à voir

avec la vue.

Parce que le l'Inx,

ça ne voit pas la nuit.

Ça va voir avec la vue.

Ah, il ne voyait pas la nuit.

Il ne voyait pas la nuit.

Non, il ne voyait que la nuit.

Il ne voyait que la nuit.

Il aimera l'opie.

Oui, il ne voit que la nuit.

Non, non, non.

Il ne voit que le jour.

Parce qu'on dit un œil de l'Inx.

Ah, il est d'Altonia.

Il est d'Altonia.

Bonne réponse de Guillaume.

Ah mais Guillaume, je t'ai aidé.

Bonjour.

Je t'ai aidé.

Bonjour Franquisa Patard.

Bonjour.

Pardon de vous rappeler

ce mauvais souvenir,

parce que j'imagine

que c'est un mauvais souvenir,

mais vous...

C'est pas un mauvais souvenir.

C'est...

On va dire

ce qui est un souvenir.

Mais après, disons que la vie,

elle est pas de comme ça.

Elle est pas de succès,

d'échecs.

Il y en a des distributs

des cartes à l'essence.

Il faut faire...

Il faut faire avec.

Il faut faire le mieux

qu'on peut faire à Esconac.

Effectivement.

En tout cas, vous racontez

cette visite médicale obligatoire

pour être pilote d'hélicoptère.

Et c'est vrai que vous aviez

une très bonne vue,

sauf que vous n'aviez pas

les bonnes couleurs.

Et on ne peut pas,

je l'ignorais,

ne peut pas être pilote d'hélicoptère,

même si...

Même si on a une bonne vue,

mais qu'on souffre

d'altonisme.

C'est ça exactement.

J'ai fait la...

ce qu'on appelle la vie médicale

personnelle navigante

à l'hôpital militaire.

Et donc voilà.

Donc j'ai appris ce jour-là

que j'étais d'altonien,

que je ne pourrais pas

être pilote d'hélicoptère.

Alors vous êtes rattrapés

avec d'autres drôles de machines.

Vous avez commencé

par le jet ski.

Il faut quand même

le rappeler, ce qui paraît...

On va dire plutôt normal,

comme apparaît le jet ski.

Vous êtes d'accord ?

C'est ça, c'est ça.

Mais dis-donc, j'ai passé

une partie de ma vie

dans ce sport,

à traverser...

pas courir plusieurs fois

autour du monde,

et c'est une passion.

À même temps, j'ai trouvé

tout ce que je cherchais

dans la vie,

du challenge, du sport.

Et c'est souvent passé

des mécaniques également.

Donc j'ai trouvé là-dedans

un petit peu

tout ce que j'aimais.

Et est-ce que vous avez

inventé le fameux flyboard,

un jour,

ou peut-être un jet ski,

vous vous êtes envoyé en l'air

sans vous rendre compte ?

Non, mais dis-donc,

j'avais toujours cette passion

de voler,

mais c'était...

à cette période de là,

c'était plutôt

enfoui au fond de moi.

J'ai pensé même plus

pour être honnête.

J'étais tellement absorbé,

mais j'avais toujours

cet envie de voler,

et toujours passionné

de tous les marvels,

etc.

Et il y a eu un jour

par hasard en travaillant

sur les jets,

vu que c'est moi

qui ai développé,

qui ai développé

les turbines et les moteurs,

etc.

Du coup, j'avais vu

qu'elle avait finalement

une grande poussée.

Il y avait plus d'une tonne

sortie de la pompe

ou d'un jet.

Et je me suis dit,

mais si je récupère ça

à travers un chuteau de pompiers,

j'aurai assez de puissance

pour voler,

et comme ça,

j'ai créé le flyboard

pour voler au-dessus de l'eau,

et après,

deveni le flyboarder

avec des réacteurs,

mais tout a commencé

comme ça.

Jusqu'à traverser la Manche,

en août 2019,

un exploit que vous racontez,

et RDR en compte,

évidemment,

formidable,

enfin plus ou moins formidable,

parce que vous n'êtes pas

non plus impressionnés,

vous dites,

tous les êtres humains

ne sont que des êtres humains

de la République,

puisque c'est le président Macron,

qui est à l'Elysée,

quand on vous voit

le 14 juillet défilé,

comme les autres,

il va y aller dire comme les autres.

Non, pas tout à fait comme les autres,

quand même,

d'autant plus que vous,

vous faites 2 14 juillet,

ce jour-là.

C'est ça, c'est ça,

ça me tenait à cœur,

parce qu'à même temps,

j'avais été invité

pour faire, justement,

le 14 juillet,

c'était défilé

pour le voler artiste

à Marseille,

dans le vieux port,

et c'était tellement génial

que je me suis dit,

il faut que je me débrouille

d'arriver sur les deux,

donc j'ai faussé dans le train,

et je suis arrivé

à faire les deux.

Oui, alors c'est ça

qui n'est pas très rigolo,

c'est de prendre le train

entre les Champs-Élysées et Marseille.

Vous auriez pu y aller

en flyboard, quand même.

Vraiment.

Je l'ai bien aimé,

mais l'autorisation,

c'est trop compliqué.

Dès qu'on touche à l'aviation,

on rentre

dans toute la lourdeur administrative,

donc

non, je ne peux pas

faire tout ce que je veux.

Et vous racontez,

d'ailleurs,

il y a un chapitre

qui s'appelle

Les procès,

c'est ce que j'essaie

d'expliquer un petit peu

à mon équipe,

en fait,

tous les jours,

c'est que

les phases

pour développer un produit,

elles sont assez cliques,

et c'est 80%

au début,

c'est tout ce qui recherche

le développement.

Il faut créer le produit

pour arriver à avoir un marché.

Après,

il faut arriver à l'administraliser,

et si au bout du compte,

tout s'est bien passé,

les gens,

ils veulent te prendre

ce que tient,

donc là,

ils arrivent à la partie

plutôt gaire,

procès,

il faut se battre.

Mais aussi,

une histoire d'amour,

qui a Christelle,

l'amour de votre vie,

vous nous racontez ça,

aussi la première fois

qu'on s'est vraiment parlé

en tête-à-tête,

dites-vous,

c'est le week-end

où j'ai remporté

le jet hinder

de Paris-Bersien,

et elle n'avait

jamais vu un jet ski,

elle n'était jamais venue

à une compétition

de jet ski.

Encore moins,

elle n'avait piloté

un tel engin,

là, vous parlez

de la machine,

évidemment,

pas de vous.

Et vous dites,

au moment

où je l'ai invité,

à visiter les coulisses

de la course,

et là quand même,

elle fait exprès,

vous dites,

je bidouillais ma machine,

je sais pas ce que vous entendez

par là,

je bidouillais ma machine

torsenue.

Elle est main,

pleine de cambouilles,

un short,

déchiré,

taché par la graisse.

Ça y est, je bande.

Enfin,

je me souviens

encore de la scène,

et suite à une mauvaise

manipulation

et à l'absence de ressort,

en ouvrant le capot

de mon jet,

non pas de manger,

il faut bien lire jet,

je reçois violemment

le bras de mon jet ski

en pleine tête,

je pisse le sang,

et là,

Christelle semble étonnée,

elle se dit,

c'est qui ce fou ?

C'est comme ça la rencontre,

alors ?

Oui, c'est tout,

tout dans ce film-là.

Votre passion,

en tout cas,

vous nous la faites partager

avec cette première

autobiographie,

L'homme qui vole,

signé Franky Zapata,

avec Geoffroy Langlade,

séché city-édition,

et c'était le livre

du jour.

Bravo,

Monsieur Zapata.

Une autre question littéraire,

pour confirmer

à notre auditrice

de tout à l'heure,

qu'effectivement,

il reste des questions

littéraires dans l'émission,

mais c'est vrai,

elles sont, voilà,

comme ça, dispercées,

tout au long.

La deuxième ?

Tout au long des 2h30,

et cette fois,

il s'agit d'un livre,

c'est pour Nathalie Siméon,

qui habite la rivière

Saint-Sauveur,

que je pose cette question,

et c'est un livre

qui s'appelle

Pierre,

ou les ambiguïtés.

Voilà,

un roman

qu'on connaît moins,

parce qu'il fait

qu'effectivement,

l'auteur qui a publié

ce roman

en 1852,

vous voyez,

ça n'est pas d'hier,

l'auteur a publié

des romans bien plus célèbres

que celui-là.

C'est même un roman

qui a créé la polémique

à l'époque,

parce qu'il a été

condamné

pour sa moralité,

autant que pour son style,

mais quel est l'auteur

de Pierre,

ou les ambiguïtés ?

C'est pas Gauthier ?

Gauthier,

non.

Les ambiguïtés,

on peut savoir

ce que c'est,

à peu près,

de Pierre ?

Enfin,

comme ça,

ça nous axe

un peu la recherche.

Un peu comme Dorian Cré.

On sent des histoires

amoureuses

de Lucie,

entre lui et trois femmes.

Mais il est triste.

Il comprise

une demi-sœur.

Ce que je peux vous dire,

c'est que ce livre

a été adapté

au cinéma

par Léo Scarrax,

et que ça a donné

un film qui s'appelait

Paula X,

avec Guillaume Depardieu,

Catherine de Neuve

et Laurent Lutain.

Voilà, ça nous aide.

Donc,

les Français demandaient

Valérie.

Ah, non.

Le romancier en question

n'est pas français.

D'ailleurs,

le titre original,

c'est

Pierre,

Charles Dickens.

Charles Dickens.

Charles Dickens.

Non.

Oscar Wilde ?

Oscar Wilde.

C'est un homme.

Alors oui, c'est un homme.

Un romancier,

il n'est pas...

Attention,

il n'est pas britannique.

Il est américain ?

Il est américain.

Herman Melville.

C'est Herman Melville.

Bonne réponse

de Paul Elkarat.

L'auteur de Mobidic,

évidemment,

il est plus connu

pour Mobidic

ou même

pour Bartleby.

Bartleby le scribe.

Voilà,

Herman Melville,

romancier,

moins connu

pour Pierre

ou les ambiguïs.

Ah, je vais l'acheter.

Ah bah voilà,

voyez,

voilà,

un conseil de lecture.

Ah ouais,

plan A3,

j'achète direct.

Ah bah voilà,

parfait.

Vous avez entendu

ce qu'il a dit avant ?

Qu'est-ce qu'il a dit ?

Il a dit un plan A3,

j'achète.

C'est le...

C'est Boublile qui m'a soufflé.

Mais, mais,

mais pas dans tes guerres.

Monsieur,

j'ai un peu engueulé

toi,

garde tes emmerdes.

Gardes tes affaires.

Vous voulez faire un plan A3

avec Max Boublile.

D'accord,

je viens.

Ah,

la gueule du plan A3.

Ah,

c'est...

Ah,

c'est dégueulasse.

Je suis d'accord.

Même moi,

je...

Ah non,

même moi,

je suis dégoûté

parce que je viens de dire.

Il faut pas filmer ça.

Pardon, pardon, Paul.

Lui là-bas,

je m'en fous avec lui,

pourquoi pas,

mais...

Non, mais c'est vrai.

C'est vrai,

j'en fais pas l'imagination.

Ben, j'ai pas de fils.

Eh oui,

c'est exactement ça.

Je vous conseille.

Et moi, c'est comme mon petit cousin,

un peu bizarre.

Oui, on va...

On sait ce qu'on fait

avec les cousins et les cousines.

Quoi que...

Non, non,

tandis que Paul,

c'est comme mon fils.

Oui.

Vraiment,

je retire ce que je viens de dire.

C'est une horreur.

C'est trop faux de tout ça.

Il y a des régions,

regarde la belle-lique,

pardon.

Le guillot m'y bouge pas,

mais pour le bon,

c'est tout en fait normal,

c'était naturel.

Je ne comprends toujours pas

ce qu'il y a de chocant

dans la discussion.

Avec toutes les grosses têtes

présentes,

sans favec Paul.

En attendant,

si je suis pas votre fils,

ça veut dire qu'on peut coucher ensemble.

Pardon.

Si je ne suis pas votre fils,

ça veut dire que moi,

je peux rentrer dans le temps.

Bien sûr,

tu peux être ton fils.

Comment ça?

Tu es 92 frérots

qui fait le calcul.

Ici, il n'y a pas de frérots.

Oui.

Je me disais bien...

On n'ait pas eu

une émission d'autres jeunes.

Il n'y a pas de Wesh.

On n'est pas sur Fun Radio.

Il n'y a pas de frérot.

Il n'y a pas de Wesh.

Il n'y a pas de Wesh.

Il y a des questions littéraires.

On parle de roman.

Et j'y réponds,

Monsieur Rukier.

En tout cas, Paul,

j'espère que vous avez bien noté

le titre du roman.

Wesh frérot,

j'ai bien noté.

Pierre,

ou les ambiguïtés,

un roman d'Herman Melville,

effectivement un peu moins connu.

C'est pas son style.

Un peu moins connu

que ses grands succès.

On a appris aussi

la mort ces jours derniers

de Marcel Boiteuil.

Peut-être que ce nom

ne vous dit rien, Marcel Boiteuil.

Je connais Jean Boiteuil.

Alors Jean Boiteuil,

c'est un nageur.

Un nageur qui a été

que son père

a même sauté

dans le bassin

pour embrasser son fils.

On a posé la question ici.

Je n'étais pas là.

Très peu de temps,

effectivement, son père

avec son beret

plongé dans la piscine.

Jean Boiteuil a été

pas dans le long temps

le seul médaillé olympique français.

Achinki.

Jusqu'à leur manaudou.

C'est vous dire

qu'il y a eu vraiment

un écart

entre les deux.

Mais Marcel Boiteuil

n'a rien à voir avec eux.

De toute façon,

ce n'est pas Jean Boiteuil frérot.

C'est Marcel Boiteuil.

Marcel Boiteuil a dirigé EDF.

Il a été pour beaucoup,

évidemment,

responsable

du développement

du nucléaire en France.

Certains trouveront que c'est tant mieux.

D'autres vous diront

que c'est dommage.

D'ailleurs, il a même échappé

dans les années 70

un attentat terroriste

à son domicile,

signé un comité d'action

contre les crapules atomiques.

Marcel Boiteuil

vient de mourir

à l'âge de 101 ans.

Donc c'est vous dire

quand même que

il a longtemps survécu

à cet attentat.

Mais on lui doit

autre chose

en termes d'électricité

à Marcel Boiteuil.

La chaise électrique ?

Non.

Non, mais c'était

une occasion

de rendre hommage

à cet homme,

quand même,

101 ans.

C'est incroyable de vivre

jusqu'à 101 ans.

Qu'est-ce qu'il a inventé ?

La pile.

Non, l'interrupteur.

Non, pas l'interrupteur.

La pile au def.

Quelque chose

qu'on utilise

encore aujourd'hui.

Le disjoncteur.

Non, pas le disjoncteur.

Le Minitel.

Le Minitel.

Le Minitel, non.

Le néon.

Le néon, non.

L'ampoule halogène.

Non plus.

Les petites piles boutons, là.

Non, quelque chose,

d'ailleurs,

qui se surprend toujours.

J'ai envie de dire

dans l'affaire Jubilar,

à un moment donné,

on a même pu penser

que le mari

utilisait,

au fond,

l'alarmement.

L'alarmement, non.

En tropométrie.

Non, non, non.

Est-ce qu'il a ça rapport

avec la criminologie ?

Non, pas directement,

mais dans l'affaire Jubilar,

c'est vrai qu'on peut se dire

qu'il y a l'alarmement

halouge.

Non, non.

C'est un système

qui n'existait pas avant lui.

Le système solaire,

l'alarmement solaire.

Il en a eu une idée.

Croyez-moi,

tous les usagers au def

connaissent, évidemment,

ce système.

Le compteur Linky.

Mais non,

c'est lié au compteur,

bien sûr.

Les plombs, les plombs.

Vous avez vu la croix aujourd'hui ?

On n'a pas vu l'élu

en long et en large.

C'est dans le journal

La Croix, on nous rappelle

que...

Le petit disque qui tourne.

Ah, c'est quand on fait.

Comme ça,

avec tout sa lume.

Il a inventé

les applaudissements.

Non, mais c'est vrai,

il y a des maisons.

Oui.

La domotique,

vous voulez dire.

Ça s'allume chez vous.

Ce qui est terrible,

c'est qu'on n'a pas le temps.

Il va être 17h,

on aura la réponse après

les infos de 17h.

...

Les grosses têtes

de Laurent Ruquier,

c'est de 15h30

à 18h

sur RTL.

Toujours avec les grosses têtes

du jour,

Valérie Mérins,

ça s'entraîche,

mes grosses têtes,

elle s'entraîche.

Valérie Traveille,

Max Moublie,

Paul Elkarat,

Eno de Belge,

Guillaume

et Alex Vizorek.

Là,

on devrait remonter

les sondages de bel RTL.

J'espère.

Oui, c'est vrai.

Les amis belges

qui nous écoutent

sont ravis qu'on est maintenant

quatre belges au total

entre Cristinocrine,

Philippe Geluc et vous deux.

Là, ça fait

quatre belges.

On va s'arrêter là, quand même.

Vous ne venez pas à Charleroi.

Et ça, ça l'évexe.

Non, on va à Saint-Tropez,

à la place.

En attendant,

on avait effectivement

appuyé sur le chrono

pour mettre sur pause

parce qu'il ne fallait quand même pas

vous handicapé

sur cette question

concernant Marcel Boiteu.

Alors, je rappelle que

Monsieur Boiteu est mort

à l'âge de 101 ans

la semaine dernière

et c'est la croix

qui fait un petit entrefilé.

Moi, j'aime bien

ce genre d'information

parce qu'on apprend des choses

et il est mort de Marcel Boiteu,

artisan du nucléaire

en France.

Il ne nous disait pas

l'histoire de l'attentat,

mais ça,

j'ai trouvé ça intéressant

de vous le raconter.

Il est mort à l'âge de 101 ans,

directeur général d'EDF

entre 1967 et 1987

et il a également inventé

...inventé quoi ?

La boule disco !

Quoi ?

La boule disco !

La facture mensuelle.

Est-ce que ça peut être

danser les eaux-là ?

On s'en râche.

Le compteur !

Les orcreuses !

Les orcreuses !

Donne !

Réponse, Thomas,

si vous voulez !

Encore !

Eh oui !

Les orcreuses !

Et quand je vous parlais

de la faire jubilar,

c'est vrai que c'est un bon argument

pour jubilar de dire

bah oui, ma machine à laver

et tourne en prénuie

parce que je la fais tourner

aux orcreuses !

Ah !

Ah !

Parce que c'est de la radine riz, c'est ça ?

Pour tous les criminels

et les orcreuses,

c'est parfait,

ça justifie le fait

que vous fassiez tourner

une machine à la veille

à 14 mètres.

C'est pratique

pour un criminel.

J'ai étudié tout ça de près,

moi, croyez-moi.

Vous disiez

que vous n'aimeriez pas vivre

jusqu'à 100 ans,

Valérie ?

Non, franchement.

Ça dépend d'État.

Même si c'est vrai

que je trouve pas

que je me râte la tinne.

Ah, ça,

il y a moins qu'on puisse dire.

C'est que vous vous râtêtez

de la tinne pas.

Et pas ça,

ça a des avantages

de pas être trop...

mable,

mable.

Du coup,

on devient pas trop maigre

et on se râtatine pas.

Non, vous êtes bien.

Mais...

Mais voilà.

Donc pour vous,

l'âge maximum,

si c'est pas 100 ans,

c'est...

85.

85 !

Allez, donc ça va venir vite,

quand même !

Bah c'est pour ça

que j'en profite !

Alors moi, j'ai dit un jour

à mes fils,

de toute façon,

je vais mourir jeune,

il me regarde,

il me dit,

mais c'est déjà trop tard, maman.

Et elle est vraie.

C'est pas gentil,

mais c'est rigolo.

Une question football,

puisque Monsieur Visorek,

je crois...

J'aime bien ça.

Plutôt fort en football.

Oh là,

voici Boublile.

Ça dépend de quoi.

Bon, peut-être vous avez lu

dans la presse ce matin

que Grizzou,

c'est mon joueur préféré.

Griezmann.

Ah oui, j'aime bien Grizzmann.

Bravo.

Grizzou, c'est...

D'abord, il joue toujours très, très bien.

À part, il nous a raté,

c'est un peu dommage,

parce que, évidemment,

c'est ce match-là

qu'il fallait pas rater.

La finale contre l'Argentine,

ça, il nous l'a raté,

le Grizzou,

il faut bien déri.

Des champs la même fait sortir,

quand même,

faut pas ouvrir.

Griezmann,

qu'il y a trois filles,

qui sont toutes les trois nées

le même jour,

à plusieurs années d'écart.

C'est vrai,

mais ça n'est pas la question.

Il baisse tout le temps.

Il n'a aucun intérêt.

Il fait ça aux orcreuses.

Mais c'est vrai,

vous avez raison,

effectivement,

il a cette particularité

d'avoir des enfants

qui naissent le même jour.

Mais là,

il a envie,

Grizzou,

en dehors,

des matches

qu'il fait avec

l'Atlético Madrid

et aussi avec

l'équipe de France de foot,

qui affronte l'Allemagne,

ce soir,

en match amical,

mais on m'a rappelé hier

qu'il n'y a jamais vraiment

un match amical

entre la France

et l'Allemagne.

Mais c'est pas

les seuls matchs

qu'il a envie de faire.

Ça, alors là,

ça m'a...

Mais J.O.

Et pâté,

voilà,

il veut faire les J.O.

Grizzman

entretient la flamme

olympique,

il fait partie des joueurs

qui a envie

de faire partie

de l'équipe

de football olympique,

aussi parce que

ça se passe à Paris,

évidemment,

l'année prochaine.

Et moi,

j'ignorais,

mais dans l'article

du parisien,

signé Stéphane Bianchi,

aujourd'hui,

on nous rappelle

qu'effectivement,

l'équipe olympique

a le droit

à trois joueurs

de plus de 23 ans.

Parce que,

autrement,

il y a Matheur,

même plutôt que

professionnel,

mais en football,

ça n'est pas tout à fait

pas tout à fait vrai

parce qu'ils sont

vite professionnels.

Donc voilà pourquoi,

sûrement,

il y a un âge limite

qui est celui de 23 ans,

mais

le sélectionneur olympique

a le droit

à trois joueurs

de plus de 23 ans.

Voilà pourquoi

Grizzman entretient

encore cet espoir,

Mbappé,

aussi d'ailleurs,

aimerait

faire lui aussi

les J.O.

Il y a des chances

qu'il y soit.

Alors ma question

est toute simple,

ce matin,

je me suis dit,

alors,

qui étaient

les joueurs

de plus de 23 ans

qui faisaient partie

de l'équipe olympique

lors des derniers

J.O.

dans l'équipe de football ?

Gignac.

Gignac, bravo.

Pogba, oui Gignac.

Je vous en demande

deux sur trois.

Pogba, non,

mais Gignac, oui.

Thauvin.

Et Florian Thauvin,

excellent,

très bon.

Alors là bravo.

Moi,

qui suis le football,

vous voyez,

mes frères,

que je suis pas

très jeux olympique

pour dire la vérité.

Nous en Belgique,

on l'est,

parce que c'est la

seule grande compétition

qu'on a gagnée.

Alors,

vous avez une super équipe

d'équipe nationale.

En 1920,

c'était en verse

et on gagne.

Et comme il n'y avait pas

de coupe du monde,

on pourrait mettre

une étoile sur notre maillot.

C'est vrai.

Parce que avant,

les coupes du monde,

les étoiles étaient données...

Mais on le fait pas

parce qu'on est pudiques.

Ils sont discrets les belles.

Mais,

donc voilà,

on a gagné celle-là.

Vous avez une bonne équipe

nationale les belles,

c'est-à-dire que Gignac avait

35 ans

quand il était dans l'équipe

olympique.

Donc il y a maintenant

un peu plus de 3 ans.

André Pierre Gignac,

qui est parti au Mexique maintenant.

Florian Tauvin aussi.

Florian Tauvin avait 28 ans.

Lui aussi est parti au Mexique.

D'ailleurs,

les joueurs olympiques

partent au Mexique.

Le 3e,

on le connaît moins.

Je m'attendais pas

à ce que vous me donniez

son nom.

Il s'appelait Téji Savanie,

un joueur de Montpellier

qui avait 29 ans.

Voilà.

Les 3 joueurs de plus de 23 ans

qui étaient dans l'équipe

olympique

lors des derniers J.O. Bravo.

Belles réponses collectives.

Une question sport,

encore,

mais pas seulement

parce qu'il y a un très beau papier

dans le Figaro aujourd'hui

sur Djokovic.

Avec cette question,

est-ce que c'est le plus grand joueur

de tous les temps ?

Les spécialistes du Figaro

ont tenté de répondre

à cette question.

Après quand même,

le 24e titre qu'il vient

d'emporter,

le 24e titre

du Grand Chelem.

Et c'est Romain Schneider

et Jean-Julien Esvan

dans le Figaro

qui répondent à cette question.

Est-ce que c'est le plus grand joueur

de tous les temps ?

On va avoir Romain Schneider

dans un instant au téléphone,

mais j'ai une première question

avant qu'on lui parle

à lui directement.

Une question

qui vous est adressée

à vous parce qu'en fait,

c'est selon les différentes

catégories

qu'on répond à cette question.

Alors, c'est sûrement

le plus grand joueur

de tous les temps,

évidemment,

en termes de palmarès,

ça, c'est sûr,

Djokovic,

en termes de face-à-face

avec les têtes d'affiche,

en termes de polyvalence,

aussi, pour le mental,

c'est un peu moins vrai

pour la popularité

et pas non plus

pour le business,

nous dit-on,

parce qu'il a moins de sponsors,

peut-être,

qu'on a eu, par exemple,

Roger Federer,

ou même sûrement Nadal.

Et à cette occasion,

dans cet article,

on nous rappelle

les sportifs

qui sont devenus milliardaires.

Ils ne sont pas si nombreux que ça.

Certes,

Roger Federer

est devenu le premier joueur

de tennis milliardaire,

le quatrième sportif

à devenir milliardaire,

après Tiger Woods,

donc un golfer,

Michael Jordan,

un basketor,

et Lionel Messi.

Non.

Et Floyd Mayweather,

qui est un boxeur.

Excellente réponse

de Paul Elkarat.

Et tu connais tout,

dans tout, hein.

Ouais, mais...

Eh oui.

Un boxeur devenu

milliardaire,

Floyd Mayweather.

Floyd Mayweather,

bravo, Paul.

Re-machiné d'air,

bonjour.

Bonjour.

Bonjour.

Paul Elkarat

est décidément

une vraie grosse tête.

Il connaît même

les sportifs milliardaires.

Surtout,

je n'ai pas commis d'erreur

là pour l'instant

dans ce que j'ai raconté

à propos de votre article.

C'est parfait.

Vous avez parfaitement

résumé l'article.

Alors, c'est vrai.

Moi, je l'adore,

pour tout vous dire.

C'est un joueur

que j'aime beaucoup.

C'est un de mes chouchous.

On oublie.

Parce que c'est vrai

qu'il est devenu

un populaire

au fil des années.

Mais on oublie qu'au début,

il était plutôt rigolo,

quand même,

parce qu'il était assez camarin

à la perfection.

Exactement.

Il était connu pour ça,

pour les imitations.

Il voulait, en fait,

Joe Covid,

qu'il a toujours voulu être aimé.

Parce qu'il a toujours été

dans l'ombre

de la popularité

de Nadal et de Fédéraire.

Et au fil des années,

c'est vrai qu'il a essayé

de faire des imitations.

Il est assez drôle,

souvent devant les journalistes.

Il est facécieux.

Mais son image s'est brouillée

par son attitude

sur le cours.

Et puis, il a eu, bien sûr,

l'histoire du Covid.

Donc, son refus de se faire

vacciner,

qui a aussi brouillé

son image

sur le cours.

C'est vrai, mais je crois

déjà avant ça,

avant même l'histoire des

vaccins.

Ce n'était pas forcément

Fédéraire.

À cause du style,

vous le dites vous-même, d'ailleurs.

Il n'a pas le même style

qu'un Roger Fédéraire

sur le cours.

Clairement,

il n'a pas l'élégance

de Fédéraire.

C'est un jeu moins

spectaculaire.

En fait,

Joe Covid,

c'est un peu une machine.

C'est une machine

à faire rater les adversaires.

C'est une machine

à faire déjouer.

C'est tout ça.

Il a tous les coups

du tennis.

Mais il n'a pas un coup

droit de Nadal

ou le service de Fédéraire

ou les demi-volets

de Fédéraire.

Il est moins flashier

sur le cours,

mais force est de constater

que c'est le plus grand genre

de tous les temps.

C'est le plus complet.

Il a réponse

à tous ses adversaires.

Et c'est un maître

taxistien aussi.

Il a encore montré

en finale à l'USSW.

Et vous rappelez

le nombre de semaines

où il est resté

numéro un mondial

du tennis.

C'est un record absolu.

Il est resté

390 semaines

numéro un.

Et là, d'ailleurs,

il vient de le redevenir

puisque Alcaraz

a été en finale,

battu par justement

le finaliste

contre Djokovic.

Le russe Maitvedev.

C'est bien ça ?

C'est ça, exactement.

Et il est largement

devant Fédéraire aussi

en termes de semaines

passées à la première place

mondiale.

Il a largement

aussi devant

Pete Sampras.

Donc lui,

il est en train de creuser

dans beaucoup de statistiques.

Il creuse l'écart

sur tous les gloires

du passé.

Et vous rappelez aussi

que le joueur Serb

est devenu cette année

le vainqueur le plus âgé

de l'histoire

de Roland Garros

avec 36 ans.

J'ai une colle

qui a pour les grosses states

de vous.

Vous allez savoir

répondre.

Mais il y a un autre recordage

de Tennis Man

qui se trouvait d'ailleurs

à Flushing Mido aussi.

Bopane.

Non, un joueur

qui est sur les terrains

et qui est un des joueurs

les plus âgés

des cours de tennis

en ce moment.

Bopane.

Non, non,

un joueur européen.

Vous avez la réponse vous ?

Oui, c'est

en simple.

C'est Stan Vavricain.

Vavricain.

C'est Vavricain, oui.

Le Suisse.

38 ans.

38 ans.

Et puis,

il y a aussi

Nicolas Mayut

qui est en double.

Il joue plus en double.

Il y a plus de 40 ans.

Il est 41 ans.

Oui, mais alors

en double,

ce n'est pas en double.

Les messieurs,

les messieurs,

ils jouent plus trop.

Ils jouent plus trop,

je suis désolé,

mais Karlovic,

il a 44 ans.

Non, mais Karlovic,

il a arrêté.

Ah, c'est pas marqué

sur Internet.

Ça fait un an.

C'est marqué.

Il a tourné professionnel

en 2000.

Karlovic,

mais c'est pas marqué 2000 ans.

En fait,

il a Google,

c'est tout.

Il a fini,

il n'y a pas très longtemps.

Oui, il n'y a pas très longtemps.

Désolé

pour l'intervention

de Paul Alcarat.

Je suis désolé.

Karlovic,

j'ai déjà fallu connaître.

Mais ça vous permet

de voir un petit peu

en 3 minutes

ce que je vis

pendant 2h30.

J'ai pas vu

qu'il a arrêté.

C'est pas facile

tous les jours,

vous savez.

Mais en tout cas,

j'ai apprécié ce papier

sur Djokovic.

Vous évoquez

le contenu

de sa gourde

potion magique.

Ah oui, c'est impressionnant.

Qu'est-ce qu'il y a dedans ?

Oui.

Justement,

il y a des images

avec les journalistes.

Comme il aime bien

entretenir un mystère,

il aime bien

entretenir ce côté

sulfureux justement.

Il ne le dit pas,

mais c'est vrai qu'il y a des images

sur Twitter

qui sont sorties.

On voit aussi

son clan

qui se cache,

qui met un liquide

dans cette fameuse gourde

comme s'il y avait

un secret à cacher.

Donc c'est vrai

que ça entretient

le côté un peu

sulfureux

du personnage

et des soupçons

qui sont que des rumeurs

sur des ventuelles d'opages.

Mais pour l'instant,

ce sont que des rumeurs.

Il n'y avait pas

de mystérieux collés

sur la progrime.

Oui, c'est vrai.

En Langarros,

il l'a arboré,

mais je crois que ça servait

pas grand-chose.

Et vous savez

s'il arrêtait de fumer

depuis, du coup ?

Je pense que,

vu son hygiène de vie,

il ne fume pas.

S'il est aussi là,

c'est qu'il a une hygiène

de vie exceptionnelle.

Il est sans gluten

depuis des années.

Il a un régime sans gluten.

Et on voit,

d'ailleurs,

qu'il n'a pas beaucoup

bougé par rapport à

il y a 10 ans.

Parce qu'il a une hygiène

de vie qui fait

qu'il est vraiment

qui cherche la perfection

en permanence.

Et c'est vrai ou c'est une blague

qu'il sera lui aussi ?

On envisage éventuellement

les Jeux olympiques

pour lui ?

Pour Paris, oui.

Parce que ça reste

un gros objectif pour lui

parce qu'il n'a jamais gagné

la médaille d'heures

en simple,

aux Jeux olympiques.

Donc pour lui,

c'est forcément lui

qui veut toujours être tout en haut,

qui veut tout gagner.

C'est forcément un objectif.

En revanche,

son coach a dit

qu'il sera là encore

jusqu'en 2028.

Ça, c'était plus une boutade

parce qu'on se dit

qu'il a 36 ans,

mais il paraît

encore très jeune.

Mais je pense quand même

qu'en 2028,

peut-être qu'il aura pris

sa retraite,

mais avec lui,

on ne sait jamais.

C'est à Los Angeles,

c'est ça, en 2028 ?

C'est à Los Angeles, oui.

Merci pour vos réponses

à nos questions.

Effectivement,

reminchinez d'air

avec Jean-Julien Esvan,

signé à ce papier

dans le Figaro aujourd'hui

sur Djokovic,

le plus grand joueur

de tous les temps.

Il s'agit maintenant

de retrouver

le nom

d'un acteur.

Un acteur mort

il y a pile 30 ans.

Il est mort en 1993.

Vous savez qui c'est ?

Raymond Burr.

Non, je ne crois pas.

Je ne crois pas.

Celui qui joue

dans l'homme de fer

et dans

Percy Mason ?

Non, mais c'est pas.

Mais comment vous savez ça ?

Parce que

je sais un peu

quand on mord les acteurs

et ce qu'ils ont fait,

un peu.

Enfin quand même,

Raymond Burr, l'homme de fer,

vous n'étiez pas né

quand ça passait à la télé.

Je sais,

mais il y a tellement...

Moi, je connais tout le temps

Camon, je n'étais pas là.

Ok.

Raymond Burr,

effectivement Burr,

je ne sais pas comment

vous le dites.

C'est un acteur canadien.

Peut-être qu'on peut dire Burr.

Au départ,

il est né

en Colombie-Britannique.

Il est mort en Californie.

76 ans.

C'était l'homme de fer.

Moi, je me souviens,

forcément,

de cette série,

parce qu'on voyait ça

à la télévision.

Il était dans un fauteuil roulant.

On a le générique, d'ailleurs,

de cette série.

Il avait son équipe avec lui.

Ah oui, je me souviens.

Moi, dans les 70,

j'ai regardé tout ça.

Effectivement,

il a joué aussi dans

Paris Mason,

qui était une autre

série télévisée.

Mais il est resté

aussi célèbre,

quand même,

parce qu'il n'y a pas que les séries télé.

Godzilla, non ?

Non.

Pour Fenêtre sur Cour,

d'Alfred Hitchcock,

parce qu'il jouait le rôle

du suspect

dans Fenêtre sur Cour,

de Hitchcock.

Il n'a pas faim,

Godzilla aussi.

Vous avez raison,

il a fait Godzilla

King of the Monster,

dans les années 50.

Il a même fait le retour

de Godzilla

dans les années 80.

Il a quand même fait des merdes.

Et il avait même

fait le retour

de l'homme de fer.

D'ailleurs,

vous savez que l'homme de fer

s'appelait

Ironside

dans la série américaine

et dans la version française.

Son nom, c'était Robert Dacier,

le nom du personnage.

Robert Dacier,

l'homme de fer

joué par Raymond Ober,

avec toute son équipe.

L'ironie aura voulu,

d'ailleurs, qu'il termine...

Dans une chaise roulante ?

Dans une chaise roulante.

Oh non, c'est terrible.

Oui, parce qu'il était

atteint d'un cancer

du colomb,

et il a fini sa vie

dans un fauteuil roulant,

le personnage

qu'il incarnait à l'écran,

le fameux homme de fer.

Il est mort

dans son ranch

de Californie

le 12 septembre 1993.

Il y a donc bien 30 ans pile.

Et alors,

ce qu'on ne sait pas de lui,

vous voyez,

ce qui est toujours marrant

quand on étudie comme ça

un personnage

pour une question

que j'ai envie de vous poser.

C'est un peu

le Josephine Baker américain.

Il a adopté

27 enfants

de nationalités différentes.

6 Italiens,

4 Vietnamiens,

1 Coréen,

1 Philippin,

1 Grec,

et 6 Fidgiens.

On dirait le début

d'une blague.

Mais c'était que

d'entre dans un bar.

Non, mais c'était

que des garçons ?

Je ne sais pas

si c'était que des garçons.

6 Fidgiens,

ils avaient sûrement appris

à ce moment-là,

parce qu'un seul Grec

va savoir pourquoi.

Et c'est pas de français,

du coup ?

Non,

ils n'aimaient pas

les Français.

Ils aimaient vraiment

mieux.

On ignore ça,

quand même,

il faut y faire.

Il n'y a pas de français.

Il n'y a pas de français.

Il n'y a pas de français.

Il n'y a pas de français.

On ignore ça, quand même.

Il faut y faire d'adopter

27 enfants.

Il faut beaucoup de chambres

dans la maison.

Il a rentré des classes,

c'est du boulot.

Il y a quelque chose

que je ne comprends pas non plus.

Dans sa vie privée,

chose assez étonnante,

qu'on apprend comme ça

quand on découvre

la vie,

la biographie de quelqu'un.

Il y a 4 femmes.

Il s'est marié plusieurs fois.

Vous avez raison,

mais ça arrive souvent

dans nos métiers.

Il s'est marié avec...

Une petite coucherie ici,

une petite coucherie par là.

Une actrice qui s'appelait Annette Sutherland,

qui est décédée

dans le crash d'un avion

qui devait l'amener à Londres.

Il a eu un enfant avec elle.

Après, il a épousé Isabella Ward

avec qui il a divorcé.

Puis un troisième mariage

avec une femme

qui s'appelait Andrina Laura Morgan,

qui est morte brusquement

d'un cancer.

Attends, Clara Morgan.

Non, non.

Laura Morgan.

Ah, pardon.

Et au-delà de ces mariages,

dans la rubrique vie privée

de son Wikipedia,

c'est écrit

Raymond Burr vivait

avec son ami et collègue

Robert Benevidès.

Hop, hop, hop, hop, hop, hop, hop, hop, hop, hop.

Les femmes, ça sent le cash tata.

Donc il a partagé l'existence

pendant 35 ans.

Ah oui.

Ils sont fidèles amis.

Non, mais d'où ?

Les adoptions.

Ils avaient pas la GPA.

Oui, bien sûr.

Pourquoi il aurait fait 3 mariages ?

Pour la vie publique,

t'es-t-elle à l'époque,

ça ne se faisait pas bien ?

Alors, il peut vibrer.

Laura, on ne couvait pas aux naïfs.

On en connaît même dans le métier.

même dans le métier aujourd'hui. Donc l'homme de fer était à voilée à vapeur, pas forcément.

Ah non, on vit 35 ans, tu peux vivre avec quelqu'un. C'est une longues colloques quand même.

Il a eu un fils avec la première femme, donc tout de même, ça veut dire que c'était

pas des mariages platoniques, c'était des mariages...

Ah il a eu un fils avec la première femme. Il a eu un fils avec la première femme.

Il a faim de cet enfant adopté et un enfant. Mais le fils est décédé à l'âge de 10

ans d'une hule semi. Il a eu une vie quand même beaucoup de merde. Il a quand même beaucoup

de décès autour de lui. Heureusement qu'il s'amusait avec son voisin pendant 35 ans.

Mais n'importe quoi. Tout n'était pas rose. Non mais il y en a beaucoup.

C'est qu'elle le dit. Tout n'était pas rose, mais écoutez, je crois que là on a bien rendu

hommage à... Ouais, ouais, c'est une belle façon d'en rembourser.

Il est mort il y a 30 ans, ça va, c'est pas non plus... Rémombure. Vous ne m'épattez

quand même. Ne confondez pas.

Monsieur, elle caractère de connaître Rémombure. Non, non, mais c'est gentil.

Mais on aimerait savoir ce que sont devenus les 27 gosses.

Les petits burs. Les petits burs.

Il est une petite burette de chicha.

Est-ce que le fidèle ami est toujours vivant ? C'est ça l'histoire ?

Non, bon, non, je ne pense pas.

Écoutez, c'est une bonne question parce que vous me connaissez.

Je l'avais cherché. Je vais toujours au bout des choses.

Non, vous l'avez cherché.

Je crois qu'il est toujours vivant.

En tout cas, je n'ai pas trouvé de date de sa disparition.

C'est possible.

Que les enfants attendent la mort, vraiment, impatiemment, du béramide, monsieur Burr.

27 enfants font se méfier, peut-être un qui nous écoute.

Ah, c'est à ça que je pense. C'est pour ça que vous ne m'entendez pas sur le sujet.

Une troisième question littéraire pour convaincre définitivement notre nitrice.

Vous l'avez vraiment mal pris.

Non, mais c'est-à-dire que j'ai l'impression que je parle dans le vide, quoi, comme ça,

quand on ne remarque pas qu'il y a encore des questions littéraires dans cette émission.

Vous savez quoi ? On va la rappeler.

Pour Robert Marin, qui habite au cerf, dans Lyonne, la question concerne un philosophe

et écrivain catholique français qui fut d'ailleurs académicien et je vous demande de retrouver

son identité. Il avait d'ailleurs écrit avec Jacques Lanzmann un livre qui s'appelait

« Celui qui croyait au ciel et celui qui n'y croyait pas ». Lui, il y croyait et

évidemment Jacques Lanzmann.

Jean Guitton.

N'y croyait pas, vous avez dit ?

Jean Guitton.

Jean Guitton.

Wow.

Excellent, très bon.

Bravo.

Wow.

Alors, là, bravo, monsieur Vizor R.F.K.

Wow.

Comment se fait-ce que vous connaissiez Jean Guitton ?

Une énorme culture, d'ores et déjà.

Non, écoutez, je crois qu'il était douyain pendant des années de la Galerie française.

C'est vrai qu'il est occupé.

Et donc, quand on faisait des blagues, il a dû décider à 100, 100, 300, 400, 400.

97 ans.

97 ans.

N'exagérer rien.

C'est n'irait pas mal.

97 ans.

Il avait le fauteuil numéro 10 de l'Académie française.

Et la chaise percée est la 29.

Jean Guitton a écrit ce que je crois qui était…

Ah, je suis contente parce qu'il y a une avenue Jean Guitton où je vais tout le temps

à la Rochelle.

Ah ouais, c'est pas vrai.

Non.

Je crois qu'elle confoie avec Louis Vuitton.

Ce que je crois, c'est l'olive qu'il a fait connaître.

Évidemment, il a fait aussi un livre avec Igor et Grishka Bogdanov.

On a oublié les Bogdanov.

Oui, on leur peut.

Rendons leur own.

Qui de temps en temps était Grostet, on se marre, eh bien, avec les…

Ah ouais, Grostet, c'est vrai que nos Grostets, ça n'avait pas…

Bien sûr.

Ah ouais.

C'était génial.

Je faisais exprès de poser des questions scientifiques qui connaissaient rien.

Mais arrête.

C'est des mythos.

Mais non, je peux le dire.

C'est vrai que j'ai un scientifique qui m'a dit, dans leur livre, même la vitesse

de la lumière, elle n'est pas bonne.

Mais non.

Oui, oui, oui, oui.

C'est des éléments.

Ah bon, parce qu'il calculait la vitesse de la lumière aux orcreves.

Il a fait des cas, ça fait plaisir, parce qu'on leur rend bien hommage après.

Je les adore.

Ils étaient très sympathiques avec les frères Bogdanov.

Je crois qu'il y en avait un des deux qui était plus, comment dire, plus…

Plus intelligent ?

Non, ce n'est pas une question intelligente.

Plus escrore, peut-être.

Non, je vais vous dire, le plus intelligent des deux, c'est celui qui en savait le moins,

sûrement, parce que l'autre, il s'emmerdait à apprendre tout par coeur.

Mais effectivement, il y en avait un des deux qui connaissait mieux le sujet que l'autre.

Et comme on ne savait jamais, parce que j'en disais, invitéz pas les deux en même temps.

Ah oui, d'accord.

Parce que ça prenait deux places au Grosse-Tate.

Ah c'est vrai ?

Ah oui, je savais jamais lequel des deux venait.

Non.

Et à chaque fois, ils me disaient, c'est Igor qui vient, il m'envoyait Grishka.

Je savais pas, en fait.

Et après, je devinais lequel des deux c'était…

En fonction de la bêtise.

En fonction de la bêtise.

De la compétence.

Oui.

T'es moins bête que la plupart des Grosse-Tates qui sont ici.

Oh, c'est pas gentil.

C'est pas gentil, Laurent.

Je vous signale.

On va se mettre en grève.

Je vous signale.

D'ailleurs, et ça, ça va être une publicité incroyable.

Yann Moix, que son livre, qui s'appelle « Hors de moi », je crois, son journal,

raconte quelques coulisses des Grosse-Tates.

Et j'ai lu un passage où je peux vous dire qu'il y a des Grosse-Tates.

Il faut pas qu'elle tombe sur le livre.

Elles vont pas s'en remettre.

Mais non, il a fait des saloperies.

Pas des saloperies, c'est Yann.

Il raconte quoi ?

Il raconte.

C'est très, très bien écrit.

Il raconte la vérité.

C'est pas la vérité, c'est…

Oh, le pauvre Stéphane Plaza, il va en prendre.

Non, parce que c'est pas cette époque.

Il y a toujours un temps de décalage en printemps.

Un journal que vous écrivez.

Les précommandes viennent d'explosions.

J'y pense parce qu'il y avait, il décrit avant de donner les Bogdanoff

dans une soirée qu'on avait passé tous ensemble.

Alors, je vais vous dire qu'il y a Stevie qui décrit.

C'est plutôt sympathique sur Stevie.

C'est pointu, c'est bien précis.

Mais je pense que Stevie, au final, appréciera même

s'il y a quelques petites vérités dedans.

Il y a Stevie, il y a les Bogdanoffs.

Il y a Marcela Yacoube.

C'est plutôt gentil sur Marcela Yacoube.

Mais il y a quelqu'un d'autre de lui.

Non, mais il vaut mieux la préparer cette personne.

Vous l'avez fait voir avec votre livre.

Je ne sais pas pourquoi.

Peut-être parce que je suis le patron, il ne me décrit pas.

Non, il ne dit rien.

Il y en a un, putain, il prend.

Bon, allez, un ou une.

Une grosse tête.

Mais qui n'est pas là aujourd'hui.

Un garçon ou une fille.

Non, non, non.

En tout cas, Laurent, si je faisais un livre sur les grosses têtes

et sur vous, je n'aurai que de belles choses à dire.

Mais quand est-ce que vous allez écrire un livre ?

Il faudrait déjà que j'apprenne à parler français.

C'est ça.

Une autre question, on oublie Jean Guitton et on passe

à quelqu'un qui était la pionnière

de la science informatique.

Ah, Adalove Lace.

Merde.

On allait le dire.

Elle a créé le premier complexe informatique

avec Charles Babbage et c'était la fille

tant aimée de Lord Byron

qui l'a abandonnée.

Frère, je vais t'abasser.

Voilà, j'ai dit frère.

Eh ben oui, elle est connue surtout

dans les pays anglo-saxons et en Allemagne,

notamment dans les milieux féministes.

C'est un peu moins connu chez nous en France.

C'est triste.

Mais il y a même, paraît-il, des développeurs

avec le langage Hada.

Hada, oui, certainement.

En informatique, Hada, de son prénom,

qui n'était pas tout à fait d'ailleurs son prénom

parce que son nom complet, c'était

Augusta Hada King,

contest de Love Lace,

né Hada Byron,

pionnière de la science informatique

au 19e siècle.

On parle d'intention.

Eh ben oui, c'est pas la semaine dernière.

Elle est née en 1815.

En 1852.

Oh, il connaît même la date de la mort.

Elle est morte de maladies, la pauvre.

Elle est morte à 36 ans seulement.

À l'âge de 36 ans,

Hada Love Lace,

Hada Byron, de son vrai nom,

pionnière de la science informatique.

Bravo Polo, bravo frérot.

RTL, c'est l'heure de l'invité du jour.

Notre invité du jour est à la fiche

d'un film qui sort aujourd'hui.

Un métier sérieux.

Parce que c'est sérieux

que d'être acteur.

Surtout quand on a la filmographie

qu'il a aujourd'hui, on est très fiers

d'accueillir celui qui avait obtenu un César

il y a quelques années,

pour ne le dire personne,

à la fiche d'un métier sérieux entre autres.

Avec Vincent Lacoste et Louise Bourgoin,

je vous demande d'accueillir François Cluset

avec nous.

Bienvenue François Cluset.

Bonjour à tous.

Vous êtes à la fiche de ce nouveau film.

Il n'y a pas que Guillaume Canet dans votre vie.

Il y a aussi Thomas Lillety

parce que c'est vrai que vous aviez déjà

eu un succès avec lui.

Je suis très heureux de travailler avec lui.

Quand on est mettés en scène, vous vous rappele,

il y a une preuve évidente d'amitié

ou de confiance.

Vous avez fait un médecin de campagne

et maintenant ce métier est sérieux.

C'était déjà un métier sérieux

à un médecin de campagne.

Cette fois c'est dans l'éducation nationale.

D'ailleurs, le réalisateur Thomas Lillety

a un peu traité des deux sujets au même temps

quand il avait fait ce film.

Mais ce film sur les études de médecine

pour le coup.

C'est peut-être comme ça.

Il a eu l'idée au fond de s'intéresser

à l'éducation nationale.

Pile dedans puisque c'est son père.

Quand il lui a dit à son père

que je veux faire du cinéma, il lui a dit

qu'il devrait faire un métier sérieux.

Un métier sérieux,

c'est le nouveau film de Thomas Lillety.

Lui aussi en tant que réalisateur,

c'est un filmographien incroyable

parce qu'à chaque fois ce sont des films

qui marchent très très fort, très très bien.

Et c'est vrai que vous en médecine de campagne

ça avait été un carton.

Sauf que là vous n'êtes pas seul à l'affiche.

C'est vrai que vous êtes plusieurs

à partager ce métier sérieux

des tas de preuves dont le plus jeune

c'est lequel le plus jeune ?

C'est pas moi en tout cas.

Mais d'ailleurs c'est long que vous dites ça

parce que c'est ça qui était intéressant.

D'abord parce que moi j'admire ces acteurs

et le plus jeune d'entre jeunes sauraient le dire.

Mais moi je suis en tout cas le doyen

et je pourrais être largement leur père,

leur grand-père, voir leur arrière grand-mère.

C'est où c'est la coste

ou c'est les guilles alors ?

Alors la coste a 30 ans.

Alors c'est peut-être les guilles.

En tout cas c'était formidable de se confronter.

C'est pas vraiment ça parce qu'on joue un groupe,

on joue une équipe.

Mais de voir, cette année

je fais 50 ans

de début

de l'équipement jusqu'à maintenant

et de voir des jeunes comme ça que j'admirais

de la façon dont ils jouent,

ils ne jouent pas, ils vivent les situations.

Valérie connaît ça.

On ne joue pas, on vit les situations

c'est pour ça qu'on est acteurs d'ailleurs.

Et d'ailleurs le réalisateur dit à votre propos

avant que l'usée

je n'avais jamais rencontré d'acteurs

qui avaient autant de plaisir à jouer

avec ses partenaires.

C'est fou comme il est dans le partage.

C'est ce qui vous caractérise ?

C'est qu'un bon acteur c'est un bon partenaire

et tous les acteurs vous diront la même chose.

Pourquoi ? Parce qu'il faut penser film

plutôt que de penser à soi et à son propre rôle.

Si vous pensez film

vous faites en sorte que votre partenaire

soit le meilleur du monde.

Et si tous les partenaires pensent

c'est un avantage pour le film.

Des films sur l'éducation nationale,

sur le métier de prof, sur les classes

parfois spécialisés, il y en a eu

et pas qu'un peu.

Sauf que là il a raison, le réalisateur il dit

un collège ordinaire, normal.

Oui, il le dit

comme 95, 97%

des collèges

pas ceux qui restent

dans des collèges à problèmes

et Dieu sait qu'on en voit.

Et là dans ce collège

il y a quelque chose qui m'a passionné dans le scénario

c'est le fait qu'on voit les profs face aux élèves

bon on a tous été élèves

et puis ensuite on voit ses profs

dans la salle des profs

alors moi j'ai toujours été intrigué quand j'étais gosse

qu'ils se passent dans ces salles de profs

et puis ensuite on voit ses mêmes profs chez eux

dans leur vie, dans leur intimité

quels sont leurs façons de vivre, quel problème ils ont

donc ces 3 situations de suite

donnent un peu le film.

On souhaite évidemment un carton au réalisateur

et vous aussi François Cluset avec ce métier

sérieux, je regarde les cartons que vous avez

fait ces dernières décennies

on peut dire 5 décennies au fond

puisque vous dites vous même 50 ans

depuis les cours Simon

que ce soit les petits mouchoirs, que ce soit

évidemment à chaque fois on vous en parle

intouchable, ne le dit à personne

on peut même parler de films comme

l'adversaire de Nicole Garcia

et les films de Chabrol

mais aussi au tout début avec l'été

mortrier, la carrière n'a pas été mortrière

pour vous en tout cas.

Non j'ai eu beaucoup de chance et il en faut dans ce métier

mais quand même vous vérifieriez que ça a mis longtemps

à avoir du succès

puisque j'ai fait 50 films d'auteur

avec des rôles principaux, puis ensuite j'ai eu la chance

de Guillaume Canet, ne le dit à personne

comme quoi il faut persévérer et puis les choses

ça fait le talent c'est l'envie comme disait Jacques Brel

Alors vous êtes plusieurs à partager la fiche

de ce film qui sera aujourd'hui un métier sérieux

mais même ici, aux grosses têtes

vous allez devoir partager la fiche

avec un autre François Cluset

Mais meurs d'eau putain

Ouais c'est toi François

enfin c'est moi quoi putain

Non mais c'est curieux

on m'a pas invité le même jour que Bigard

Non mais c'est dommage

l'émission serait partie en combat de MMA

la prochaine question de Laurent

dans l'émission s'aurait été

quel est le numéro

du Samu

le 15 putain

François Cluset

Salut

pardon Lézi

Non mais voyez monsieur Cluset

vous souffrez d'un deuxième Cluset

un deuxième Rue qui est

et Bigard est là quand même aujourd'hui

Ben ouais qu'est-ce qu'elle me tient

je suis là

Non mais je rigole mon François

est-ce qu'il serait pas temps qu'on fasse la paix

j'ai bien dit la paix

et pas le paix

je fais des efforts moi aussi putain

Salut François

c'est Fabrice Lucchini voilà je crois que tous tes amis sont là

Ecoute Jean-Marie

il n'y a pas de guerre donc c'est la paix

tout le temps dès que tu le veux et moi aussi

c'est formidable

on va y dire à Jean-Marie

dommage que

Bigard n'entendent pas

Est-ce que tu aimes

Chantal Latous

Parce que nous on voulait refile

Chantal qu'est-ce qu'il se passe

qu'est-ce que vous faites là encore

Moi je ne sais pas vous voyez-vous

moi je l'adore François d'ailleurs

je ferai bien la suite d'un touchable avec toi

et crois-moi qu'avec les petites mains gil de Tata Chantal

tu resteras pas longtemps en touchant

Vincent Cassel est là aussi

oui salut c'est moi ouais

ben incroyable

énormément de films

des récompenses, des films d'auteur, beaucoup de charismes

et de temps en temps

quelques coups de gueule qui font parler dans les médias

mais bon je ne suis pas parfait

qu'est-ce que ça me fait plaisir de devoir

ça c'est ce que François Cusette est en train de penser dans sa tête

ouais je me kiffe ouais

Monsieur

pardon on va aller y travailler

François Hollande

oui tout à fait

vous aussi

c'est ce qu'on appelle un running gag

bonjour François c'est François

François Hollande

ça fait plaisir de rencontrer un François qui a tout réussi

t'as vu Valérie ça existe

ils sont cons les français

ils auraient dû voter pour toi François

un métier sérieux

sera aujourd'hui 13 à septembre

dans les bonnes salles de cinéma comme on dit dans ces cas-là

une occasion supplémentaire

de voir François Cluset au côté de Louis Bourgouin

on avait d'ailleurs ici la semaine dernière

pour un autre film

et sans Jean-Marie Bigas

mais aussi Boulis

faut le citer quand même Boulilaneur

c'est parce que c'est quand même un acteur formidable lui aussi

Adalèque Sarkopoulos et Vincent Lacoste

vous restez avec nous

c'est à vous qu'on va confier la Valise Ertelle

sans si c'est un métier sérieux

croyez-moi François Cluset

Marc-Antoine Le Mré

François Cluset s'en restait avec nous

Marc-Antoine Le Mré

vous êtes prêts

à aider François Cluset pour la Valise Ertelle

vous pouvez lui expliquer d'ailleurs comment il faut faire la Valise Ertelle

mais putain Laurent

mais t'as cru que j'allais expliquer à tout le monde

ou quoi la merde

ils m'ont foutu un belge à côté donc alors la Valise

la Valise François c'est simple

on appelle un auditeur

et là on lui demande qu'est-ce qu'il y a dans la Valise

vous êtes prêts à faire ça ? d'abord faut choisir un numéro

entre 0 et 20

mais enfin je suis le parent de ton fils

pourquoi tu le parles comme ça

maintenant tu le sais pas

putain putain on en rajoute tout le temps

la merde

et l'auditeur on l'appelle

ou quoi là ? je suis énervé

un numéro entre 0 et 20 François Cluset

le vrai François Cluset

coucou c'est le propre yauf

vous faites bien François Cluset

le 17

alors allons-y pour le 17

après le Samuel

le nom est facile à retenir

Delfine Paris

je l'espère décrocher Delfine

Delfine Paris habite vers de Ron

c'est dans Loise vers de Ron

alors elle décroche

vous vous demandez si elle reconnaît votre voix

Delfine est pas Delfine

si elle sait qui vous êtes

puis après vous vous demandez

quel est le contenu de la Valiserté

d'accord

ça sonne en tout cas chez Delfine Paris

à vers de Ron

une chance d'avoir François Cluset

le vrai au téléphone

Bonjour Delfine

un autre numéro François

si c'est possible

le 14

nous allons appeler Manu Roag

Manu Roag qui habite à Albi

c'est dans le Tarn

attention la première sonnerie devrait arriver rapidement

ça sonne chez M. Roag

Albi

je rappelle qu'il y a 1087 euros

dans la Valise

une brosse à dents électriques

maille variation

et deux places pour la pièce

oublie-moi au théâtre l'abrière

Allô Manu

oui Manu tu me remets

Allô Manu c'est Cluset

c'est qui pardon

Cluset

alors tu peux rappeler ton prénom

François

ah oui c'est bon c'est bon c'est bon

c'est bon bon dis-moi

est-ce que tu sais la somme qui a dans la Valise

RTL

c'est les grosses têtes qui vous appellent

vous êtes sur RTL

Manu

mais oui c'est vrai

il a vite 3 heures à rire

il faut se garrer

il faut se garrer

gare toi

c'est le vrai François Cluset qui vous parlait

c'est pas le fond

c'est pas le fond

je pensais que c'était un client

c'était un client

ça c'est plus tard

un client de quoi parce que vous faites quoi dans la vie Manu

je suis musicien

musicien

pour mon anniversaire quand j'en reste

sans un an

il a bien écouté

c'est bien

vous avez des clients alors

j'ai quelques clients

en attendant François Cluset

vous a demandé le contenu

de la Valise RTL alors est-ce que vous l'avez

alors attention

est-ce qu'il y a 1.087 euros

1.087 euros oui

attendez

c'est pas tout il y a d'autres choses

c'est Johan Ryu au télépie

oui

mais je crois que c'est bon

2 places pour la pièce oublie-moi au la bruyère

et attention ce matin Florian Gazan a ajouté

quelque chose

c'est pas vrai

il est comme ça Florian Gazan

Florian pas toi

Florian je suis le parent de ton fils

il n'est pas écouté RTL

ce matin

il a fait gagner des places

pour avoir la coupe du monde

c'était bien mais là

ce n'est pas ça

1, 2, 3, soleil

je crois que c'est perdu

si vous n'avez pas entendu

c'était une brosse à dents

électrique

vous pouvez avoir une dente contre Florian Gazan

vous ratez la Valise RTL

on va vous couvrir de cadeaux

parce que vous avez la porte

très sympathique

on va lui envoyer moge, montre RTL

peut-être même des places

pour aller au cinéma voir le film

avec François Cruset

on va lui envoyer 2 places

pour aller voir un métier sérieux

au cinéma

non pas au Panheimer

je me suis assez emmerdé comme ça

non un métier sérieux

c'est mieux qu'au Panheimer

pardon manumez c'est perdu pour la Valise

merci beaucoup

il y a qui avec vous aujourd'hui

il y a François Cluset

Valérie Mérisse

Jean-Marie Bigheur

Jean-Dal Ladeur

Roselyne Bouchelot

Laurent Ruquier

Marc-Antoine Lebré

on est toute une bande de copains

vous écouterez l'émission

jusqu'à 18h

il vous reste à peine une minute

on vous embrasse

bonsoir

et on remercie encore François Cruset

d'être venu nous voir aujourd'hui

en échange

vous irez voir je l'espère son film

celui de Thomas Lilty

un réalisateur

qui à chaque fois fait des films formidables

donc n'hésitez pas à courir dans les salles

pour voir un métier sérieux

merci François Cruset d'être venu nous voir

merci à Routos

merci à Marc-Antoine Lebré

bonsoir avec vous

merci Marc-Antoine

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Avec Valérie Mairesse, Alex Vizorek, Max Boublil, Valérie Trierweiler, GuiHome et Paul El Kharrat.

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