Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du lundi 9 octobre 2023

RTL RTL 10/9/23 - Episode Page - 1h 45m - PDF Transcript

On peut penser qu'un influenceur va nous aider à choisir notre voiture,

où on peut décider de faire confiance aux 800 000 conducteurs de Dacia Sandero.

La voiture la plus vendue au particulier depuis 7 ans en France,

à partir de 6 euros par jour, avec 4 ans d'entretien inclus,

est à découvrir pendant les jours essentiels du 12 au 16 octobre.

...

Les grosses têtes de Laurent Ruchier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Bonjour, heureux de vous retrouver, avec pour vous aujourd'hui

une grosse tête qui se retourne quand on l'appelle Félix,

Bernard, Rodolfo, Gérard Junio.

...

Une grosse tête journaliste, comédien, animateur, DJ,

entrepreneur et spécialiste de la sexualité des punaises,

Arielle Wiesmann.

...

Une grosse tête dont la parole s'emballe plus souvent que ses chevaux,

Dari Boudboul.

...

Une grosse tête qui a un nom qui brille,

et les réponses qui tambourinent Caroline Diamant.

...

Quel succès, près de la famille.

...

Une grosse tête dont les études de l'être se sont limitées à son nom,

Asse.

...

Et une grosse tête pris concours du premier roman

quand il jubile vers le ciel,

pris Renaudot quand il naît et toujours en librairie

quand il est hors de lui.

...

Il a compris là tout ce que je viens de dire ou pas, monsieur Asse.

Tout compris, mais si on pouvait avoir les deux descriptions

de Yann et moi un peu séparées,

parce que là, une grosse tête qui s'arrête à ses deux lettres,

à ses études et l'autre le pris concours.

C'est vrai, il n'avait pas pensé à ça.

Si on peut mettre quelqu'un entre nous deux, ça m'arrendre.

Ah, il n'a pas dit que tu connaissais rien entre là et le Z.

Il a eu le pris concours du premier roman.

Il n'a pas eu le pris concours.

Ah, d'accord.

Il y a combien de temps ?

26.

27.

Tu vois, c'est pour maintenant.

J'ai 28.

C'était pour l'année dernière.

Vous allez bien, madame Boudboud,

vous n'avez encore rien dit et ça me surprend.

Non, mais parce que justement, je n'aime pas du tout comme vous me présentez,

parce que je ne parle pas tant que ça.

Et il y a dix jours,

j'ai fait un naïté.

C'est un truc que mon oeil s'est voilé blanc d'un coup.

Bref, dans les symptômes, le médecin me dit...

La première fois que tu dis, bref.

Un quoi ?

Un naïté, c'est juste avant...

C'est quoi, un naïté ?

C'est juste avant la bécée.

Je savais pas.

Un naïté.

Oui, ça s'appelle un naïté.

C'est une préférée pour les abécées.

C'est une préférée pour les abécées.

Oui, ils m'ont dit, on vous met la radio,

j'ai dit, mettez les grosses têtes.

C'est celle qui présentait la cuisine des musquetteurs,

et en fait, ils mettent pas les grosses têtes

parce que les gens rigolent et bougent.

Ils continuent. Quoi qu'on dise ?

Vous avez remarqué.

Donc si quelqu'un fait un naïté...

Même si elle se rend compte que ça ne nous intéresse pas du tout...

Bah si, c'est intéressant de l'avoir la preuve.

Mais le problème, c'est qu'elle n'intéresse pas non plus.

Mais si, parce que comme ça, vous avez appris

ce qu'était un naïté, il y a peut-être des gens

qui savent que quand un oeil se voile,

il faut appeler le 15.

Bon, écoutez, je crois qu'on a bien compris...

Non, mais il faut parler, c'est ça.

Vous allez mieux.

Il faut dire qu'il va me parler.

Mais tu n'as pas fait la haïté.

Mais il y a une petite pièce à côté où tu peux parler, tu sais.

C'est bien fermé et tout, c'est un sonorisme.

Vous allez vous confesser.

Je ne sais pas, effectivement, si la confession

fait partie de vos rites religieux, chers...

d'arrivée.

Mais est-ce que ça vous est déjà arrivé d'aller à confesse ?

Bah quand j'étais petite, moi j'étais chez les bonnes sœurs.

Ah bah voilà !

Tout à l'heure, quand vous serez embellé dans vos papiers,

j'ai justement une petite histoire de bonnes sœurs.

Bah non, les y commençons.

Franchement, les temps ne sont pas forcément

joyeux en termes d'actualité.

Mettons-nous de bonne humeur tout de suite, allez-y.

Oui, mais elle est longue.

Oh non !

On peut peut-être la garder pour 18h.

Alors à tout à l'heure, alors à tout à l'heure.

Tout à l'heure, d'accord, après l'émission.

Non, parce qu'il y a des questions.

Non, elle est bien, elle est bien.

Oui, oui, mais vers 18h.

Je la survends pas trop.

Bon, allez-y, allez-y.

C'est un superieur qui se réveille de très, très bonnes humeurs.

Et elle se dit,

tiens, je vais faire l'inspection des cellules.

Je sais pas si ça t'appelle comme ça pour les nonnes, mais enfin bref.

Je vais faire l'inspection des cellules.

Des chambres ou des chambres ?

Non, c'est pas des chambres.

De mes petites nonnettes.

Allons au fait.

Si vous m'interrompez tout le temps, j'arriverai jamais, Laurent.

Bonjour, c'est Marie-Joseph.

Vous êtes très bien ce matin.

C'est Ravisson, ces petites broderies que vous faites, etc.

Oh oui, ma mère, oui.

Je pense que vous êtes descendus du mauvais côté du lit.

Ah bon ?

Bon, elle passe à la suivante.

Sœur Marie-Caroline,

vous êtes très, très, très jolies ce matin.

Vous avez l'airé pas de nous, vous avez bien dormi.

C'est beau, ces petites étiquettes pour les pots de confiture.

Il est 15h sur Transstitut.

Oui, ma mère.

Oui, ma mère, c'est très beau.

Mais il me semble quand même

que vous êtes descendus du mauvais côté du lit.

Elle se dit, c'est quand même bizarre.

Bon, elle en passe, elle passe toutes les autres.

Elle arrive à la quinzième.

Elle lui dit, là, sœur Marie-Joseph,

elle est un peu énervée.

Je voudrais quand même savoir, parlez-moi franchement.

Euh...

C'est-à-dire, j'ai oublié.

Ah !

Alors là,

je suis le commentateur.

Elle sort tranquillement.

Non, non, non. C'est ma chute, c'est ma chute.

Alors je continue.

Ah ben, c'est ta chute, ça, c'est sûr.

C'est comme pour le tiercer,

non, non, non.

Parlez-moi franchement.

Elle a fait la chute avant d'arriver, elle dit donc.

Je reprends, on est arrivés à la quinzième.

Elle était énervée.

Ah, elle aurait bien continué, mais elle est comme moi,

elle a rien compris.

La dernière mode.

Dites-moi, sœur Marie-Noël, est-ce que vous êtes

vraiment sûrs

que je suis descendu du mauvais côté du lit ?

Elle me dit, oui, oui.

Et alors, vous le voyez à quoi ?

Ma mère, vous avez mis les sandales

?

10 minutes pour en arriver là.

Elle est quand même mieux que les histoires.

Une blague que j'ai dû lire

pour la première fois.

Je suis né en 1963, on va dire,

en 1967, dans la Manacouvernement.

Franchement, ma boue de boule.

Elle est mignonne, elle est plus.

Et encore quand vous l'avez lu, Laurent l'a fêté,

c'est 30 ans là-bas.

Mais elle a été particulièrement bien racontée.

Ah ben oui.

C'est vrai.

Allez, quand même une citation.

Pour Claudine Frandre,

qui habite hors nu,

qui a dit, je ne bois pas toute la journée.

Il faut quand même que je dorme.

C'est à chaque fois ? Non.

Renaud ? Ailleurs, c'est plutôt un américain.

Bob Hope.

C'est Dean Martin.

C'est W. C. Fields.

Bonne réponse.

W. C. Fields,

qui avait écrit un long texte

qui s'appelait Le Jour où j'ai bu un verre.

Ouais, ben c'est bon.

Ah ben non, mais au moins pour une fois qu'on a

une réponse circonstanciée,

autant en profiter.

Pour Guillaume Blou, qui habite

Saint-Etienne dans la Loire,

qui a dit, j'ai toujours vu tout en noir.

À commencer par... Vous arrivez à bout de boule ?

Non.

J'ai toujours vu tout en noir,

à commencer par ma mère, qui était vove.

Pierre Dac. Non.

Soulage. Non.

Un français, un dessinateur de presse

de l'ébreu.

Ça va le luce ? Non.

C'est Volanski.

Et c'est Volanski. Bonne réponse.

De Caroline Guillaume.

Allez, une citation littéraire

pour vous faire plaisir, M. Moix,

qui a dit, quand les mystères

sont très malins, ils se cachent

dans la lumière.

C'est bon. Un écrivain français.

Un écrivain français. Oui.

Moron 19.

Ah ben remarquez, c'est quelqu'un qui vient

de l'étranger.

Pariol ? Pariol ?

Genre les trois mots.

Genre. Genre. Genre.

Genre. Genre.

Bonne réponse collective.

Et maintenant, attention,

c'est difficile, c'est un écrivain français.

Qu'on t'emport un vivant qu'il faut

identifier, M. Moix.

Il y en a peu.

Pour Pascaline Duchemin, qui habite la peine

dans les Alpes maritimes, qui a dit,

avant, c'était mieux.

Non, non, non.

C'est un homme.

Romensier ou Philozof ?

Romensier ou Philozof ?

Écrivain, éditeur, aussi, d'ailleurs.

Asseline ?

Non, il a écrit L'histoire de la bourrée de l'Aenne,

Dans un avion pour Caracas,

un film d'amour.

Charles Donzig ?

Bonne réponse, Diane Watt.

Une question d'actualité pour Pauline Bichon,

qui habite Vion, c'est dans l'ardèche,

Vion Snare aussi géographique,

ma question.

Elle habite avion ? Oui, elle habite avion,

dans l'ardèche, monsieur.

Qu'est-ce qui vous fait rire là-dedans,

M. Jignot ? J'aime bien les avions.

Oui, très bien, parfait.

Mme Bichon espère un chèque RTL,

qu'on lui enverra sous forme d'avion,

si vous voulez. Et en tout cas, je vous emmène

dans une capitale, Suva.

Pourquoi les gens sont-ils heureux, ces jours

derniers, à Suva ?

C'est les Tonguyens, non, les Phidgiens.

C'est effectivement Suva, la capitale

des îles Phidgi, qui se sont qualifiées

pour l'écart de finale.

Bonne réponse, Tariel Wiesmann.

C'est

la surprise, hein.

Il faut le dire. Enfin moi, j'y connais que

dalle en rugby, mais j'ai lu

toute la presse ce matin, il paraît qu'il n'y a pas trop de surprises.

Les équipes qui sont qualifiées sont celles

qui devaient se qualifier, à part l'Australie

qui aurait dû se qualifier,

qui allait t'éliminer et qui allait cesser sa place,

effectivement, aux îles Phidgi.

Il faut dire que quand tu vois arriver un Phidgiens

à toute allure sur toi, franchement

que tu as le ballon, tu te sens tout petit.

Mais que le Phidgiens ne ballon, tu lui donnes.

Bah, tu lui donnes, oui, tu dis.

Pardon, monsieur le Phidgiens, c'est...

Ha, ha, ha.

Et en ce qui est original dans l'équipe Phidgiens,

puisque c'est ainsi qu'on voit... Il n'y a que des Phidgiens.

Oui, ça...

Vous avez remarqué, vous avez raison, c'est sûrement vrai,

alors qu'il y a des Phidgiens dans les autres équipes.

Parce souvent, certains Phidgiens se sont faits naturalisés

et jouent dans d'autres équipes nationales.

Mais dans l'équipe

de rugby Phidgiens,

alors attention, pas parmi les joueurs,

mais dans le staff,

il y a un monsieur qui s'appelle Talatala Rinakama.

Et il a une fonction bien précise.

Qui est Talatala Rinakama ?

Il règle

la danse au départ.

Il masse.

Il ne s'actise pas dans la mêlée.

Des masseurs, il y en a dans toutes les équipes.

Non, c'est un magnétiseur.

Là, évidemment, c'est original par rapport aux autres staff.

Il représente le vaudou.

C'est-à-dire ?

C'est-à-dire, il éloigne le mauvais œil.

Non, mais le vaudou, c'est en appris, chéri.

Un sorcier ?

Un sorcier, non, mais on se rapproche.

Non, un voyeur.

C'est le président des îles Phidgiens ?

Ah non.

Un autre médecin.

Un soin, il soigne.

Un astrologue.

Alors, il soigne, ça dépend ce que vous appelez.

Un voyeur.

Un psychiâtre.

Un psychiâtre.

Alors, des psy, il y en a dans les autres staff.

Justement, les îles Phidgiens,

les équipes Phidgiens, elle n'a pas de psy

dans son staff, mais là...

Un objecteur, enfin.

Un directeur de conscience.

Donc, si c'est pas un psychiâtre,

ça ressemble à un psychiâtre.

Oui, oui.

Attendez.

Je suis sur une piste.

C'est un psychologue ?

Oui.

C'est orange ou psycitron ?

Oh, je sais.

Je sais, c'est un tireur de cartes.

Mais non.

C'est beaucoup plus simple que tout ça, vous voyez-vous.

C'est un joueur.

Mais non, je vous dis, je suis...

Attendez, est-ce qu'il faut faire des études ?

C'est vraiment qu'ils ont des joueurs dans le staff.

Monsieur Riquier, faut-il faire des études

pour faire le métier de ce monsieur ?

Oui, en quelque sorte.

Mais des grosses études ?

Non, pas spécialement.

C'est plutôt un don.

Ah, c'est un mec à qui on se confie.

Oui, alors, c'est quoi ?

Un professeur.

Un curé !

Un curé !

C'est un curé.

Ils ont tout simplement un révérant,

un curé.

Bonne réponse de Caroline Gamant.

C'est le père Talatala Rinakama.

Et voilà, ils portent les mots du Seigneur.

Ils ont besoin d'être connectés à Dieu.

Les rires de l'humain Fijiya,

ça a bien marché, remarqué.

Ce n'est pas grâce à ce monsieur qu'ils ont gagné.

Oui.

Comment vous dites ça, vous ?

Il y a de mes créantes ?

J'imagine que l'entraînement

a quand même servi plus que le révérant

qui a écouté ma femme,

a pas voulu faire l'amour hier soir.

Pardon, mais...

Je me trompe peut-être.

Je sais que je ne suis pas le spécialiste du sport.

Ah, quand même.

Vous avez eu une belle carreur de rugby.

Non, mais tu vas finir

avec une fatois figienne sur les épaules.

Bon, tu calais Fiji.

Enfin, ils sont en garde finale.

Là, oui.

C'est bien ?

Je vais bien regarder les matchs,

vous, Dari, Boulle, Boulle.

Alors moi,

j'ai regardé le dernier,

parce que je ne comprends pas tout.

Mais vous le portez.

Ça, c'est pas que pour le rugby.

Mais plus pour le rugby.

Même au ping-pong,

parce que je ne comprends pas tout.

Pourquoi ils jouent à sortir le ballon ?

Ils font la petite tortue

pour sortir le ballon.

Ils font quoi ?

Ils jouent à la tortue.

Tu as vu des tortues de cette taille-là ?

Ça m'intéresse de savoir où.

Tu n'as jamais joué ça à l'école, toi.

C'est quoi, la tortue ?

Quand ils se mettent pas les indes sur les autres,

ils font des petites tortues.

La mêlée, la mêlée.

C'est le moment où ils mettent le poids

de chaque pack, ils disent,

là, eux, ils font 962 kilos.

Cela, ils font 878 kilos.

Vous avez vu ça, ou pas ?

Oui, calcul.

Il y a le poids de chaque truc.

À la mêlée, ça s'appelle la tortue.

Quand on est adulte, ça s'appelle la mêlée.

C'est pas faux.

Mais le truc que je n'ai pas bien compris,

c'est pourquoi est-ce qu'on doit jouer...

On y reste continué,

ou on passe à autre chose ?

Non, parce que là, c'est pas idiot que je dis.

C'est ma faute, je lui ai posé la question.

Tu as vu le moment où il introduit un morceau de salade

dans la tortue ?

Tu as vu le moment où il introduit

un morceau de salade dans la tortue ?

Il paraît que c'est le Portugal

qui a surpris, aussi, en dehors des îles figières.

Ce ne sont pas qualifiés,

parce qu'ils sont un peu trop faibles par rapport, effectivement.

Ils n'avent pas de curé.

Ah ben pourtant, ils se sont attention très croyants aussi.

Oui, mais ils ont un maçon à la place.

Les Portugais.

Alors moi, je vais vous dire...

Attendez, ils ont été à ce point très bons.

Les Portugais, ils ont surpris à ce point les commentateurs.

Moi, je vous dis, ce que la presse nous raconte,

aujourd'hui, qu'il est question

que le tournoi des Sinations

devienne peut-être dans les années à venir.

Oui, là, je donne une vraie info.

Le tournoi des Sept Nations.

Eh ben ça, c'est vachement important.

Ça va changer notre vie.

Ça paraît que le tournoi des Sept maçons.

Non, mais dans l'actualité, il y a un truc.

C'est ça.

En attendant les Portugaises

sont dans le tournoi des Sept maçons,

on va retenir ça de Jérôme Juniot.

RTL.

Les grosses têtes répondent aux auditeurs.

C'est Mordeux et au téléphone.

C'est votre prénom Mordeux.

Bonjour.

Mandeuil Rire.

Bonjour.

Bonjour.

Bonjour le public.

Bonjour Laurent.

Je ne connais pas ce prénom.

Pardon, Mordeux.

C'est Mordechai.

Mordechai.

Ah, Mordechai.

Oui, évidemment, je prononce très, très mal.

Vous nous écoutez depuis Israël.

C'est vrai, Mordeuil?

Oui, oui.

Je vous écoute depuis Israël.

Et voilà, en septembre guerre,

hier, j'avais vraiment les informations qui déprimaient,

donc je me suis dit, allez, je vais écouter les grosses têtes,

ça va me faire du bien.

Je suis allé dans mon lit, je me suis mis les grosses têtes.

Et vous êtes tombé sur un darin,

et vous avez remis les informations.

Et c'était vraiment génial,

ça m'a fait un bien fou.

Ah bah tant mieux.

Tout le monde adore Caroline Diamant.

J'adore, il y a de moi...

Je crois qu'il y a un mort de rail dans le livre d'Esther.

Qu'est-ce que vous dites?

Je crois qu'il y a un mort de rail dans le rouleau d'Esther.

Je parle...

Exactement, ma femme s'appelle Esther en plus.

Ah bah voilà.

Et elle est poly Esther.

Vous êtes très gentil, en tout cas,

de nous appeler pour vous dire qu'on remonte le moral

de ceux qui n'ont pas le moral en ce moment.

C'est le but des grosses têtes

entre 15h30 et 18h00, d'oublier l'actualité,

ou alors quand on en parle, on le fait,

on essaye en tout cas de façon amusante.

On va vous envoyer maigre l'eau de consolation en ce moment,

mais quand même une montre RTL, ça vous fait plaisir.

Ah non, non, j'ai mis dans le main

ce que vous n'avez pas dit.

Le truc que vous avez dit, je vais vous envoyer maigre l'eau.

Non, vous voulez pas de mon RTL.

Il veut un almanac.

Un almanac.

Alors, ok, j'ai envie d'en voir un almanac.

Allez.

Baptiste, maintenant.

Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes,

bonjour le public.

Ah, le public vous embrasse,

vous embrasse, excuse-moi,

il se débrouillera avec vous de public,

mais en tout cas, il vous salue.

J'ai toujours rêvé de dire ça.

Ah oui, c'est vrai?

Ah bah redite-le encore une fois, alors.

Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes,

bonjour le public.

C'est un réel bonheur de vous avoir re-te-déphone.

Comme je vous mets tous dans mon mail,

je vous écoute depuis des années et des années.

Je suis, excusez-moi, je suis un peu émute,

vous avez en ligne.

Et vous m'accompagnez au quotidien,

tous les jours je vous écoute au boulot,

puisque je suis sur la route depuis de la journée.

Donc la semaine, le week-end, vous êtes avec moi.

J'ai même réussi à convertir ma femme,

depuis peu, qui n'écoutait pas du tout RTL.

J'essaye de convaincre mes deux petits gars,

Hugo et Sacha.

Ils ont quel âge?

Ils ont 6 ans et 10 ans.

C'est compliqué, mais pour ça,

on vient insister à l'émission mercredi tous les 4.

Ah bah écoutez, alors on vous accueillera avec plaisir.

Je note Baptiste, Hugo, Sacha et votre épouse,

comment elle s'appelle?

Marianne.

Marianne, on va pas essayer de voir quand même alors.

Marianne, Hugo, Sacha et Baptiste,

vous serez les bienvenus mercredi.

Sandrine, maintenant.

Bonjour, Sandrine.

Alors, Sandrine, je vous écoute depuis que je suis toute petite

et mon père était infidèle déjà de l'émission avec Philippe Bouvard.

Je le voyais rigoler tout seul.

Je me disais, oh, pauvre, il rit tout seul.

Et maintenant, c'est moi qui rit tout seul en vous écoutant.

Et vos enfants peut-être qui disent

« La pauvre, elle rit tout seul ».

Non?

Ah oui, c'est ça.

Vous écoutiez déjà Gérard Junio

et t'es déjà là Gérard, à l'époque.

Oui, j'étais là.

Oui.

Et Dari Boudboul aussi.

Et Dari Boudboul aussi.

C'est les deux déjà présents à l'époque.

On est arrivés très jeunes.

Ils ressortent les mêmes vannes d'ailleurs.

Oui, oui, tout à fait.

Mon père ne souriait pas beaucoup

et c'est vrai que quand il allumait la radio

et qu'il écoutait Philippe Bouvard,

je le voyais rire et je me disais

« Mais le pauvre rit tout seul ».

Et je comprenais vraiment pas, j'étais petite.

Mais maintenant, je comprends tout.

54 ans.

54 ans.

Bon, c'est là.

Le bon âge pour écouter les grosses têtes.

C'est là.

Alors attendez.

Tous les jours, c'est du bonheur.

Donc je montre « Seigneur ».

On vous l'envoie, Sandrine et on vous embrasse.

Mathieu, maintenant.

Bonjour Mathieu.

Bonjour Laurent,

Bonjour les grosses têtes.

C'est le public.

Ah, le public.

Ah, bonjour.

Vous m'écrivez Mathieu,

vous êtes ravi des nouvelles recrues

dans l'émission KIP, par exemple.

J'ai appris l'électeur la semaine dernière,

vous avez Bellamy,

vous avez Barbier,

c'est vraiment des bonnes personnes

qui sont intelligentes.

Et les nouvelles têtes un peu moins intelligentes,

tu les as pas ?

Vous êtes très bons.

Vous êtes très bons et j'ai bonnes espoirs avec vous.

On vous salue Mathieu,

parce que Maximillien est en train de patienter derrière vous.

Oh, c'est beau, Max.

Oui, c'est joli.

Bonjour les grosses têtes.

Comme Robespierre.

Oh, bravo.

Je suis surpris,

je pensais que vous connaissiez que dans ton cul.

Il connaît aussi Maximillien Robespierre.

Mais pourquoi c'est le nom d'infra-mage aussi ?

Moi, j'allais dire comme Max Boubile,

qui s'appelle Maximillien, en fait.

Bonjour, Maximillien.

Bonjour les grosses têtes,

Alors vous voulez m'envoyer un message de plus de 500 caractères,

pourquoi ?

Parce que c'est interdit,

plus de 500 caractères sur lesgrossetêtes.fr.

Exactement, j'ai dû condenser.

Ah oui ?

Alors, je suis passé à l'antenne il y a un an,

j'ai gagné un voyage milléade,

donc déjà, merci beaucoup.

C'est bien, oui.

Il était sympa le voyage.

Très sympa.

Où est-ce que vous êtes allé ?

Je suis allé au milléade,

qui est dans le sud,

à côté de hier.

Oui.

Et donc, c'était vraiment incroyable.

Merci beaucoup.

Alors, bienvenue au service à très vente,

qu'est-ce qui s'est passé, monsieur ?

Ma demande particulière,

c'était que j'écoute les grosses têtes depuis très longtemps,

avec mon petit frère qui a 28 ans,

et nous sommes de grands fans,

il s'est inscrit à tous les jeux,

l'amalise, les questions...

Il n'a jamais été tiré.

Et il n'a jamais été tiré, exactement.

Et donc, mon idée, c'était que j'ai une question,

que j'aimerais proposer,

qui est assez intéressante et compliquée,

et ma demande serait que la question soit,

en fait, associée à mon frère,

donc le jour de son anniversaire, le mois de prochain.

Pas de problème,

vous nous renvoyez un petit mail,

deux jours avant, et promis,

on associera le nom de votre frère.

C'est comment son prénom ?

Antoine Roussé.

Antoine Roussé.

Bon, c'est dans un mois,

tout le monde aura oublié d'ici là.

Il y a un bâtard.

Partout, si vous pouviez éviter d'avoir

Paul L. Carras.

C'est ça, il y a un Paul L. Carras.

Alors, en plus, vous voulez qu'il gagne.

Après, tout le monde va appeler

pour être associé à une réponse.

Tant qu'à faire, je le comprends en même temps.

Mais, ok.

Ça m'a dit très de trouver un cadeau.

Ok. Maxime Ilien, c'est promis.

Ben, vous avez déjà...

Vous aviez quel emmené en voyage avec ?

Vous dites donc votre petit frère,

là, quand vous êtes allés près de hier.

Alors, j'y suis allé avec ma nouvelle femme.

Ah oui.

Je comprends.

Je comprends, c'est pas le même usage.

Ah, nouvelle femme !

C'est-à-dire, dès que vous avez gagné le voyage,

vous avez changé de femme,

ou c'était déjà fait avant, quand même ?

C'était déjà fait avant.

On vous embrasse, Maxime Ilien,

et en tout cas, merci,

continuez à envoyer vos mails

sur les grosses têtes à robotsrtl.fr.

Chaque jour avant 16h,

vous pourrez parler directement aux grosses têtes.

Les grosses têtes avec Laurent Ruquier,

c'est tous les jours de 15h30

à 18h sur RTL.

Toujours et bien, Max,

Caroline Diamand, Gérard Juniorage,

Ariel Vismané, Dari Boutmoul.

A une question pour David Bio,

qui habite un cours dans le Val d'Oise.

Question éphémérite,

puisque c'était pile il y a 95 ans,

je fais le calcul,

oui, ça, 1928, oui, 95 ans,

que l'on faisait connaissance en France,

en tout cas, avec un professeur,

un professeur qui finira à virer

par le directeur de la pension

où il enseignait M. Musch,

quel est le nom de ce professeur ?

Nabus ?

Non.

C'est dans une fiction ?

C'est dans une fiction.

C'est dans le grand maulne.

Gérard a tout à fait compris,

c'est dans une fiction,

ça, ça fait beaucoup avancer la question.

Professeur tourne-sol ?

Professeur tourne-sol, non.

Le grand maulne ?

Dans le grand maulne, non.

C'est dans un roman ?

C'est dans Mme Bovary ?

Dans Mme Bovary, non.

C'est un professeur, modeste professeur,

qui d'ailleurs va tomber à...

Oui, dans stand-all !

Dans le rouge et le noir.

J'ai cru entendre George Marché,

c'est un stand-all !

Non.

Ça fait George Marché

contrôler le cabache.

C'est un stand-all !

C'est pas Klock ?

Ce n'est pas Klock,

mais on se rapproche.

Il a été dans le théâtre ?

Klock, c'est un médecin,

c'est pas l'histoire d'un...

Topaz ?

Et c'est Topaz !

Une bonne réponse,

le Gérard Union.

C'est une pièce de théâtre

de Marcel Pagnol,

qui a été créée le 9 octobre 1928.

Il y a donc pile 95 ans au théâtre

des variétés,

ça racontait effectivement

l'histoire d'un modeste,

maître d'écoil, professeur,

amoureux de sa collègue Ernestine,

qui était la fille du directeur

Monsieur Musch.

Et Monsieur Musch

va virer Topaz.

Et là, voilà,

Gérard Junio,

qui connaît bien le théâtre,

et vous avez brillamment

retrouvé le nom de Topaz.

Ça vous dit quelque chose,

Monsieur As, Topaz ?

Parce que,

finalement,

dans Topaz,

il y a As.

Il y a même des gens

qui disent qu'il est Topaz.

Dans le mot Nas,

il y a aussi As.

Non, honnêtement,

j'avais jamais entendu.

Ah ben oui,

parce que comme ça,

vous pourrez dire,

ah, il est Topaz,

vous direz,

comme le professeur de Pagnol.

Exactement.

Oui, ça peut vous servir

dans la conversation.

Oui,

ça dépend qu'il fréquente,

quand même.

Après,

je ne pense pas

que j'ai beaucoup de copains,

on va arriver jusqu'à là.

Personne ne vous a jamais dit,

ah,

je te trouve Topaz.

Non.

Mais il n'a pas le copain

très drôle.

Peut-être,

il y en a qui vous l'ont dit,

et vous avez pas compris

que c'était un jeu de mots.

Ah non, non,

parce que Topaz,

c'est aussi une pierre précieuse.

Mais oui,

c'est une pierre précieuse aussi.

Bien sûr,

il n'y a pas très précieuse.

C'est une semi-précieuse.

C'est une semi-précieuse.

Allez-toi,

tu n'aimes que les diamants roses.

On sait bien.

Ah non,

j'aime pas les diamants roses.

J'aime les diamants

blancs, blancs,

purs.

Pour Mathieu Costa,

une question plus contemporaine,

puisque M. As,

justement,

me dit,

oui, ça va,

Pagnol,

Topaz,

tout ça,

c'est des vieilles rires.

Ben voilà,

voilà quelqu'un

qui s'appelle,

de son vrai nom,

William Grigacine.

Mais qui est William Grigacine

et à quoi assistait-il

ce week-end ?

C'est un russe ?

Non,

c'est pas un russe.

Tu es M.M.A. ?

M.M.A. ?

C'est de quoi ça,

en français ?

M.M.A.

C'est des combats

de firefight.

M.M.A.

Ah,

je croyais que c'était

des petites boules

de toutes les couleurs

qu'on mange.

Mais non,

M.M.A.

Non,

c'est des M.M.M.

C'est pas possible.

Mais M.M.A.,

c'est pas possible.

Si,

moi je connais,

pardon.

M.M.A.,

c'est de l'ultimètre fighting.

Moi je connais M.M.A.,

il y a même le mec

qui s'est doumblé

et il a gagné en 9 secondes.

Alors,

voyez quel gars,

ah,

vous faites-moi le malin.

Mais c'est comme moi

avec Maximilien Robespierre,

à peu près,

votre référence là.

Ah,

pas du tout,

je peux même vous dire

qu'M.Bapé

était dans le public

et qu'il avait l'air surpris

que Doumbé

gagne.

C'était surtout vexil

de l'avoir payé si cher

pas d'homme beau.

Bon,

alors là,

c'est pas de la M.M.A.,

comme vous dites,

c'est pas de...

Est-ce que vous pouvez épler

comment s'écrit Grigricine ?

C'est pas Grigricine,

c'est Grigacine,

William,

Grigacine.

C'est un sportif.

Ça s'écrit

G-R-I-G-A-H-C-I-N-E.

Mais il est mieux connu

sous son pseudonyme.

Évidemment.

On n'a jamais dit

que c'est un sport.

C'est un acteur.

Oui, il n'est pas sportif,

mais en revanche,

effectivement,

c'est vrai qu'il a assisté

un événement sportif.

Oui.

Ah, au match France-Italie.

Non, pas du tout.

Alors, c'est un acteur.

Ce n'est pas un acteur.

Alors, déjà,

dans quel pays ?

En France ?

Non, pas du tout.

Non, non.

Si, on le sait,

dans quel pays il a assisté un événement.

Mais oui, mais c'est ce qu'on doit chercher

d'arrêter.

C'est pas en France.

Ça se passe pas en France.

Lui, il est français,

il est né à Paris,

mais effectivement,

il est allé assister

à un événement sportif.

En Corée.

Non, en Corée.

Le Super Bowl ?

Le Super Bowl ?

Je m'intéresserais de savoir

quel événement sportif.

Ça le pense qu'il y a eu

encore este week-end,

ça l'a dit.

C'est un chanteur,

c'est un chanteur.

Alors, chanteur,

pas tout à fait,

mais en tout cas,

c'est musical.

Et peut-être que

ça va vous aider

si je vous passe

un de ses succès,

monsieur As.

Allons-y.

Petit...

Ah, c'est DJ Snake.

C'est DJ Snake.

DJ Snake.

Il est peut-être,

peut-être,

sous la grosse bulle

de Las Vegas.

Qu'est-ce qui se passe

sous la grosse bulle

de Las Vegas ?

Ben, vous savez,

il y a une nouvelle salle

de concert

en forme de sphère.

Il peut parler

le monde entier

à Las Vegas.

Ah oui ?

Peut-être qu'il donne

un concert là-bas.

Non,

je vous ai dit

qu'il était

à un événement sportif.

Sportif,

il écoute pas du tout,

hein.

Encore une fois.

Non,

il a mixé

à la coupe

du monde de rugby.

Non,

William Grigacine,

c'est le vrai nom

de DJ Snake.

Est-ce que ça

rapporte

avec le tennis ?

Il était pas tout seul,

il avait un match

caritatif ?

Non, non, non.

C'est pas le Super Bowl ?

C'est pas du football,

c'est pas du Super Bowl.

Est-ce que c'est un sport

qui se joue avec un ballon ?

Pas du tout.

Voilà,

est-ce que ça se joue

avec une raquette ?

Non.

C'est une course

de la Corée.

Une course de chevaux.

Au marathon,

ils étaient au marathon.

OK, sur glace.

Je le sais, je le sais.

Attendez, attendez,

ça m'intéresse.

Ils étaient où ça ?

Au marathon.

C'est vrai que ça attire

les pipoles de marathon.

Il est plus d'armes.

Ils sont en train de réfléchir

qu'ils sont en train de réfléchir.

Oui,

ça attire les stars.

C'est pas cool,

j'étais parrain

parce que c'était parrainé

par le rire médecin.

Ah, très bien.

Profit du rire médecin.

Et vous étiez à l'arrivée

ou au départ ?

J'ai tiré le coup de feu

pour le départ.

Et t'as couru 200 mètres

quand même ?

Il était à l'arrivée

au départ, mais pas en entre.

Et c'est vous qui avez

tiré le coup de feu ?

Oui, ça,

ça m'a fait plaisir.

Ça t'a fait plaisir.

C'est pour ça que

elle avait plume de plume.

J'ai raté ma cible,

25 000 personnes qui croient,

c'était magnifique.

Est-ce qu'ils n'étaient pas

au prix de l'arc de Triomphe ?

Non.

Est-ce la Formule 1 ou pas ?

C'est de la Formule 1.

Bien, M.A.

Eh ben, c'était au 24h du Mans.

Ah, pfff !

Ah, c'était au grand prix de Monaco.

C'est pas de chose,

parce que là,

la Formule 1,

ça a lieu partout,

sauf au Mans, vous voyez-vous ?

Au grand prix de Monaco.

Au grand prix de Dubaï.

Au Mans,

c'est les 24h du Mans,

vous voyez ?

Et c'est pas de la Formule 1.

C'est pas de la Formule 1.

Ils ont dans des voitures et ils vont vite.

Oui, d'accord.

Ils ont des combinaisons.

À ce point-là,

sur le périphérique aussi,

si vous partez de là, vous voyez ?

Moi, j'étais dans un hôtel formule,

là, au Mans.

Alors,

il était où,

le grand prix de F1 ce week-end ?

Le grand prix de Singapour.

Non, qui a permis,

en plus,

à Ferstappen,

de gagner son troisième titre mondial,

quand même.

Ah ben alors,

le circuit du Tali.

Non, non, non, non.

Grand Mansa, Mansa.

Il y avait 120 000 spectateurs

qui ont applaudi.

Bien mis, bien mis.

Mais non, mais c'est un pays

qui achète tout en ce moment.

Le grand prix du Kata.

Ils ont eu le PSG,

ils ont eu la coupe du monde de football,

ils ont...

C'est pas pour ça qu'ils gagnent.

Ils achètent aussi tous les chevaux de course

et pour l'instant,

ils gagnent rien du tout.

Et pourtant, ils se gênent pas

des coups de pied.

Ooooooooooooooooooooooooooooooo!

Tu as envie d'arrêter ?

Alors, si,

ainsi d'arrivée de boule,

se met sur les côtes du Kata,

ils vont trembler le Kata.

Ici c'est les grosses têtes!

Je peux dire que là,

au Kata, ils sont comme ça.

Ici c'est les grosses têtes,

c'est pas des grandes gueules.

On n'est pas là

pour balancer ces boutsiers.

Attends!

On est un pour écoller!

RTN,

6 grosses têtes,

5 techniques.

Nous voilà parti

pour l'indruloire

où leur patiente

pourra affronter les grosses têtes.

Bonjour, l'or!

Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes, bonjour Laurent, vous êtes quoi en après-noi ?

Les joueurs ont le courage, elle est à tour, il y aura.

Bonne tour.

Vous habitez à tour même, que faites-vous dans la ville ?

Je suis des sites internet.

Des sites internet, comment ça ?

Des sites internet, dans quel domaine ?

Dans l'informatique.

Dans l'informatique ?

Bah oui, on marquait souvent.

Elle a pensé que vous vous y connaissiez pas du tout.

Les sites internet, à souvent de l'informatique.

En tapisserie, ça existe moins les sites internet.

C'est ça.

Bon, on en saura pas plus.

Elle le fasse sur les ordinateurs.

On sent bien que vous êtes une espionne tourangèle, cher Laurent.

Et ce qui compte, évidemment, pour vous, j'imagine, c'est le cadeau que vous allez peut-être gagner,

en tout cas que vous convoitez, un séjour à l'hôtel Talazur, Talasso Térapide.

Wistreham, vous attendez déjà ?

Sachez-le, c'est un très bel endroit, Laurent, avec évidemment la mer en face.

Deux heures de Paris, c'est un quatre étoiles à Mamsona, Piscine d'Aunmer.

Talazur, c'est neuf instituts et hôtel quatre ou cinq étoiles en France.

Plus d'informations sur talazur.fr.

Pour vous, ce sera trois jours, trois nuits en Normandie, donc à Wistreham.

Lors, pour ça, il faut bien écouter les grosses têtes.

Chacun donne une info.

Il y a cinq fake news sur six.

C'est une seule et vrai.

C'est logique.

On commence par Gérard Junyau.

La France insoumise a fermement condamné l'attaque des punaises de lits sur Paris.

Dari Boudboul.

Attaque du Hamas avec des parapentes et des ULM.

Nicolas Hulot a tenu à signaler qu'il n'avait rien à voir là-dedans.

Yann Watts.

De nouvelles mises en examen pour Nicolas Sarkozy,

l'ancien président français devrait faire son entrée dans le Guinness Book.

Il a tenu à remercier Charles Pasqua et Patrick Balkany qui lui ont tout appris.

Henri Elvisman.

Overture de la billeterie des Jeux Paralympiques.

Les billets vendus beaucoup moins cher.

Les organisateurs ont justifié ses faibles prix par le fait que les sportifs n'étant pas entiers.

Il était impossible de pratiquer des tarifs complets.

Vous êtes des salauds de m'avoir donné celle-là, des salauds.

Asse.

Record du monde à Lyon.

Le pizza yolo Benoît Bruel a réalisé une pizza rassemblant mille et un fromage différent.

Le précédent record était de 834 fromages.

Caroline Diamant pour terminer.

Rugby.

La France s'est qualifiée pour les cartes de finale en battant les Italiens 60 à 7.

S'ils étaient vraiment 60 contre 7, c'était trop déséquilibré à déclarer.

Un supporter de foot qui n'y connaît rien et qui n'a pas vu le match.

Laure, à votre avis, qui a dit la vérité parmi les six grosses têtes ?

Alors je pense d'avoir, mais on dit toujours qu'il faut faire par élimination quand même.

Vous êtes prudente, comme fille.

Alors du coup je vais commencer par Caroline.

Éliminé.

Éliminé.

Effectivement, il n'y a peut-être des gens qui ont cru ça, remarquez que.

Effectivement, la France a battu les Italiens 60 à 7, qu'ils étaient 60 d'un côté et 7 de l'autre.

Mais non, c'est le score, 67.

Vous avez raison d'éliminer Caroline.

En fait, c'est pas si simple de compter au rugby.

Moi, j'ai regardé un match, j'ai pas compris.

Un coup, c'est 4 points.

Un coup, c'est 2 points.

En fait, quand les messieurs te l'accompris ou pas ?

Non, oui, le foot, c'est vrai.

C'est un compliquant législat de pénalité, moi je veux dire, j'ai dit malin.

Non, mais c'est assez simple, c'est 4 points quand c'est un essai, plus 3 points.

5, 5, 5.

Oh, merde, je n'y arriverai jamais.

En fait, quand les messieurs qui font la tortue arrivent à passer la ligne blanche, c'est 5 points.

Et quand les messieurs qui font la tortue n'y arrivent pas, c'est 0.

Et quand ils mettent le ballon entre les bars, c'est 3 points.

C'est 1 point de plus après l'essai.

On est d'accord, c'est compliqué.

2 points de plus après l'essai.

Mais personne ne comprend rien, c'est fort.

Avant, c'était 3 points.

Non, c'est 2 points.

Le football, c'est beaucoup plus simple.

Oui, mais les joueurs sont moins bien.

Ah oui.

Oh ben oui, là.

Oh là là.

Ah oui, vous de laisses.

Il y a des joueurs, alors il y en a qui sont très moches.

Mais il y en a qui sont, oh là là.

On dit fois plus beau les footballeurs que les rugbyman.

T'aimes bien les oreilles.

Ah non, les rugbyman sont vachement plus beaux.

Ah oui.

Qu'est-ce que vous voulez faire de cette information ?

On peut prendre pas les règles.

On peut prendre des horaires pendant l'émission,

où on lui donnerait la parole.

Laissez-la rêver la petite quand elle rêve.

Elle droit.

Ah mais ça, on a tout.

Une bonne opportunity pour les joueurs.

Franchement.

Non mais moi, je suis complètement casée.

Ah ben oui.

Je suis en couple avec Yoann.

Oui, mais il en manque une de cases.

Ah vous êtes en couple avec Yoann Riou, ça y est ?

Ça avance, ça avance.

Yoann Riou ?

Ah oui.

Ça avance, ça avance.

Ben elle a dit qu'elle aimait bien les rugbyman.

Qui se ressemblent, ça semble.

Vous pouvez voir la sexe, ça n'est pas.

Bon alors, en tout cas, vous avez éliminé Karol Indi,

mais ensuite...

Oui, alors je continue avant que Daryl

reprenne sa conversation.

Oui.

Vous allez gagner, allez-y.

J'ai mis ensuite Harvaldizman et les jeux paralympiques.

Oui, vous avez éliminé.

Mais c'est vrai que ça y est.

On le dit, la billetterie est ouverte.

C'est vrai que c'est plutôt moins cher

que pour les jeux olympiques, les jeux paralympiques.

Oui.

Et c'est vrai qu'on espère que les stats seront plein.

Donc voilà pourquoi les billets sont effectivement

appris un peu plus réduits.

Rien à voir avec Monsieur Wiesmann.

Les sons d'esprit tordus.

Ensuite.

Alors ensuite, j'ai mis Sarkozy

dans l'utinence des records.

Oui.

Non, pour l'instant, il n'y est pas encore.

Ça va pas tarder, mais il n'y est pas encore.

J'ai mis ensuite Daryl et Nicolas Hulot.

Alors Nicolas Hulot, oui.

Il n'y a rien à voir avec les paraportes

qu'on a vues ce week-end ensuite.

J'ai mis Javar et j'ai gardé As.

Alors As, c'est un record du monde à Lyon.

En effet, M. Bruel, Brunoin Bruel,

a réalisé une pizza avec mille infromages différents.

Vous pouvez faire confiance à Monsieur As.

C'est notre spécialiste du fromage.

Lors, vous avez gagné.

Bravo.

Plait la pizza, là.

Mais est-ce que, est-ce que malgré tout,

est-ce que malgré tout, c'est mangeable ?

Ah oui, regardez.

Alors en plus, elle est toute...

Je pensais qu'elle était immense la pizza et pas du tout.

C'est simplement qu'il a superposé les couches de fromage

sur la pizza pour mettre...

Je ne savais pas qu'il y avait mille et un fromage.

Comment ça ?

Vous savez qu'il y avait autant de fromages différents.

Dans le monde.

Dans le monde.

C'est le fromage venu de toute l'Europe.

Mais c'est dégueulasse le temps qu'ils arrivent.

Il devait être fouille.

Est-ce qu'on peut connaître le temps de colesterol,

de ce monsieur ?

Quand vous achetez du fromage au supermarché,

il y a des fromages...

Je ne sais pas, quand vous achetez du gouda de Hollande.

C'est une tête achetée du gouda.

Le gouda, c'est dégueulasse.

Ah non, c'est pas très bon gouda.

Le gouda ?

Il n'y a pas une discussion qui m'a intéressé depuis le début.

C'est assez d'accord.

Laurel Sanfich, ce qui l'intéresse, c'est de partir à Wistre et Hame.

Vous avez gagné un séjour à Tel Azur.

Je suis à Tel Azur, je veux dire.

Une question pour Roland Sallier,

qui habite commune dans le nord.

Il y a dix ans, vous avez connaissance avec la famille d'Ibrani

et ça avait beaucoup fait par les peuples.

Vous me citez un membre de la famille d'Ibrani.

Attendez, il y a dix ans, on est en 2013.

Oui, ah ben ça, jusqu'à là, je peux pas vous contredire.

Voilà, oui, mais moi je vais par état monsieur.

C'était dans une émission de télé-réalité ?

Non, mais c'est vrai qu'on a vu à la télévision,

la famille d'Ibrani est plus particulièrement

quelqu'un de la famille d'Ibrani

dont je vous demande de retrouver évidemment le...

Ah, j'espère que ce n'est pas, ça n'a rien à voir

avec les horreurs qui se sont passées en France en 2013,

parce qu'en plus, c'était en 2015.

C'est bon, c'est bon de voir comme on fait un beau train.

Je crois même que j'ai trouvé pire que t'as Riboudoula.

Oui, parce que le truc, c'est que tu dis des trucs bien pires que moi,

sauf que tu les arranges tellement bien,

parce que t'as un talent exceptionnel d'ailleurs.

Non, c'est parce qu'elle se rattrape, elle c'est tout.

Je me demande pourquoi tu fais pas un one-man show avec tous ces conneries.

Parce que c'est pire que vous, mais c'est plus drôle.

C'est très beau de voir, c'est pire son cerveau de travail.

Mais oui, c'est étonnant,

c'est une famille fictive.

Ah non, c'est une vraie famille, la famille d'Ibrani.

C'est particulièrement un membre de la famille dont on a beaucoup parlé.

Il y a un fait d'hiver.

Il y a pile dix ans.

Fait d'hiver, c'est pas tout à fait...

C'est trop.

C'est à la fois fait d'hiver et fait politique.

Oui, d'accord.

Ok, c'était le petit Grégory.

Bien sûr, Grégory d'Ibrani.

Il y a dix ans, mais enfin écoutez,

ça fait quarante ans le pauvre qui s'est noyé dans la vologne.

Mais il y a un genre qui dise,

alors je sais que ça peut paraître complotiste,

mais un genre qui dise qu'il s'est pas noyé.

Il serait même dans public.

Est-ce que ça a un lien avec Nicolas Sarkozy ?

Pas du tout.

C'est pas les vingt-six d'Ibrani ?

Est-ce que ça s'est créé en un seul mot, Laurent,

ou bien ce sont les d'Ibrani ?

Ah, c'est D'Iberani, voilà.

C'est l'Italia ou ?

Au lieu d'Orient.

Et il y a les parents.

Et il y a...

Combien d'enfants ?

Cinq-six enfants, voilà.

En rapport avec la corse ?

À la corse, non.

Est-ce que c'est un des parents qui est célèbre, un des enfants ?

Plutôt.

On va dire, la sixième enfant.

Alors très bien.

Très bien.

On va commencer à la sixième.

C'est pas la fille cachée de Mitterrand.

Pardon.

C'est pas la fille cachée de Mitterrand.

Enfin, écoutez, elle s'appelle Mazarin.

Si Mazarin s'appelle Mazarin d'Ibrani,

ça s'en reste.

Vous voyez ?

Donc c'est un enfant qui n'existe pas,

qui est célèbre.

Elle s'appelait à la limite Pinjo,

si vous voulez, parce que c'était la fille d'Anne Pinjo,

pas d'Ibrani.

Surtout maintenant, elle s'appelle Mazarin de Mitterrand.

Et puis surtout, ça date de, il y a 40 ans,

cette affaire-là.

C'est italien ?

Là, je vous dis, il y a deux ans.

C'est italien.

C'est pas la sixième fille du pape.

Non.

Est-ce qu'elle est connue sous un pseudonyme ?

Non, non, non.

Je comprends pas du tout le truc.

Vous avez dit qu'il y avait cinq enfants.

Pardon.

Il y avait cinq enfants.

Donc les sixièmes enfants.

Non, j'ai dit cinq-six enfants.

J'ai dit...

Oui, oui, oui.

Elle, c'est la sixième.

Je fais pas la petite Roumaine,

elle a eu des problèmes.

Enfin, qui a posé des problèmes à M. Hollande ?

Elle était pas roumaine, mais...

Ah oui.

Ah oui.

Elle est revenue.

Elle est comme...

Elle est revenue ou elle n'était pas partie ?

Qu'est-ce que ça veut dire une famille de cinq, six ?

Comment elle s'appelait déjà ?

Bravo Gérard, vous êtes sur la bonne peste.

Kosovar, Moldave.

Elle était Kosovar.

Mais on cherche quoi ?

Et c'est...

Comment elle s'appelait ?

C'est celle qui était rentrée en France

et qui voulait virer,

mais elle était à l'école.

Exact.

Comment vous dites ?

C'est pas Édouardin, mais ça semble ça.

C'était pas la question.

Romana.

Romana.

Romberta.

Tous les noms de pizza.

Rachida.

Rachida.

Rachida, elle a la vérité du septième.

On cherche le prénom ?

Quatre fromages d'Ibraille.

Leonardo.

Leonardo.

Ah oui, Leonardo.

Bonne réponse de Caroline Diament.

Eh oui.

Leonardo.

Vous vous rendez compte comme le tampin.

C'était il y a déjà dix ans l'affaire Leonardo.

Elle était dans laquelle, il faut bien le dire,

le président Hollande, c'était un peu empêtré à l'époque.

Cette jeune fille...

Il les avait surnommées la famille Adams.

C'est vrai ?

Ah oui.

Elle avait des gros sourcils.

Vous souvenez ?

Ah oui, oui.

On aurait cru de retour de...

Pas mal de pâle physique.

Non, moi non plus,

mais la première fois,

c'est vrai que j'ai cru que c'était Emmanuel Chien.

Alors...

Alors que c'était Raymond Doménais qu'on...

Ou Henri Emmanuelie, pour les prises anciennes.

Non, non, non, non, non.

Non, mais Laurent,

sous pour Pidou, ça serait...

Mais passé.

Oui, il aurait pris trois mois avec sourcils.

Ah, monsieur As, on va être contents aujourd'hui

parce que j'ai beaucoup de questions contemporaines.

Ah, je parlais sur le fromage.

Non, non, pas de fromage.

On a déjà eu le fromage d'un instant avec...

101 dans une pizza.

1001, 1001.

Pas 101, c'est les Dalmatiens.

Ils confondent tout.

Ils confondent les pizzas, pardon.

Et tu serais capable, As,

de citer mille fromages ?

Bien sûr.

Ah oui, puis ça serait intéressant,

comme monsieur.

On le fera un autre jour.

Vous n'avez pas à être assis

à côté de ma bout de boue.

Mais si, j'adore.

Mais en fait,

j'arrive pas à savoir

jamais être assis à côté de qui

dans cette émission.

Parce que la dernière fois,

j'avais Yoann Riou,

et en fait, je crois que je préfère Yoann.

Tout à l'heure,

vous nous avez dit que ça avançait

entre Yoann Riou et vous.

Je ne vais pas vous en dire plus aujourd'hui.

On va tranquille.

Ça, alors...

Oh, personne ne vous en mettre.

Je vous le dis.

Je connais des concepts philosophiques

difficiles,

mais le concept d'avancée avec Riou.

Je dois dire que ça m'en bouche un coin.

Ma question est justement

sur une histoire amoureuse.

Ah, on l'accord.

Si on connaît mieux,

Trévis Calce aujourd'hui,

c'est parce que,

évidemment,

sa fiancée est encore plus connue

que lui.

Heureusement, d'ailleurs,

parce que lui, je ne suis pas sûr

que vous le connaissiez beaucoup.

C'est une star du football américain,

et sa notoriété vient d'exploser

à Trévis Calce

pour quelle raison.

C'est une chanteuse.

Il est avec une Kardashian.

Et c'est une question.

Il aime d'Algéneur.

Et c'est une question

pour Sarah Lé,

qui habite Mante-Lan,

dans l'Inde-Réloire.

Vous avez dit...

Est-ce qu'il est avec une des Kardashian?

Il n'est pas avec une des Kardashian.

Alors, une chanteuse?

Une des Serradides.

Non, une chanteuse.

Avec une chanteuse?

Avec une chanteuse, oui.

Ah, Madola.

Chakira,

il s'est mis avec Chakira.

Non, Rosalia.

D'où elle y est pas?

Non plus, non.

Chella?

La fille de Vanessa Paradis.

Redite le nom.

Alors lui,

il s'appelle Trévis Calce.

Rihanna.

Lady Gaga.

Et c'est la star

du football américain.

Il voit sa notoriété explosée.

Parce que...

Ah, il s'est pas mis

avec Taylor Swift.

Taylor Swift.

Avec Taylor Swift.

Bonne réponse de Hase.

Il n'y a pas que sa notoriété

qui va exploser.

Pourquoi?

C'est une des chanteuses

américaines

ou des jeunes femmes américaines

les plus richesissimes.

C'est la plus suivie au monde.

En tout cas, pendant un match

d'un seul coup,

ça a été filmé.

On l'a vu,

Taylor Swift

arriver dans une loge

du stade

au milieu de 80 000 spectateurs

au côté de la maman

du joueur.

Et là,

on a compris

qu'elle officialisait

la relation entre elle et lui.

Lui,

il a 33 ans,

elle aussi,

d'ailleurs,

je crois.

Et c'est Liddy

qui l'a pu commenter

sur tous les réseaux sociaux.

Je ne sais pas combien de milliards de vues

où on la voit s'installer

dans les gradins du stade.

Moi, je ne la connais pas bien

Taylor Swift.

Moi, je n'ai même pas qu'il s'est...

C'est l'une des chanteuses,

je crois qu'elle s'est fait dépasser

maintenant par

peut-être Selena Gomez,

mais je crois qu'elle s'est fait dépasser.

Oui, elle s'est fait dépasser.

Il va la quitter, alors.

C'est une des chanteuses

des plus suivies sur Instagram

au monde.

Ah oui.

C'est...

Alors attendez,

elle a fait sa carrière

en faisant du country.

Je croyais qu'elle avait fait fortune

en faisant des serviettes

Non.

On a un petit extrait

de Taylor Swift,

si c'est possible.

Oui, ça c'est bien.

Un tube, une chanson.

Oui.

Pour pas idiot.

Voilà.

Nous, on connaît ça.

Alors, c'est son mec,

le joueur de foot américain.

Tout le monde dit

qu'il est million,

où je trouve pas trop.

Enfin bon, c'est comme ça.

Il y a une photo,

ils disent que le joueur

réputait Bogus

sous son casque,

parce qu'il y avait

un truc quand il l'a connu.

Il l'a connu

comme les airpunks, il est...

Non mais,

il disait réputé Bogus

sous son casque.

Non mais,

c'est pas possible,

cette phrase.

Il se laisse qu'il a été écrit...

Il est réputé.

C'est pas lui que le reste

est bien.

Le joueur réputé Bogus

sous son casque,

le poil court

et la moustache soigneusement

taillée.

Je vous dis

ce qu'il crie.

Il est moustachu.

Benoît Hopkin,

je crois que c'était

dans le Parisien magazine

ou le monde...

On peut voir la photo ?

Il s'était fait connaître

parce qu'il avait participé

dans une sorte de cour.

On s'appelait cette émission.

C'est où il y a un gars

qui donnait des roses

à des filles qui défilaient ?

Une sorte de bachelore.

Ça s'appelait

Catching Kels

et il devait choisir

une élu,

une fille

parmi 50 participantes

et l'émission a été un bide.

Ça n'a absolument pas marché

et en revanche,

maintenant,

il devient une vraie star

parce que là,

il l'a trouvé, la bonne.

C'est Taylor Swift.

Vous vous rendez compte.

Et il joue bien ?

Je n'en sais rien.

Est-ce que vous pensez

que j'ai un avis sur le football

?

Non mais on nous dit...

Pourquoi ils ont des caches

sur la tête ?

On nous dit que c'est la relation

la plus médiatique

depuis l'idyle

entre Marilyn Monroe

et Joe DiMaggio.

Non, non.

Parce que j'étais tous les deux

connus.

Alors que lui,

excusez-moi,

ce n'est pas encore une star.

C'est idiot ce que vous dites,

Caroline Diabont.

Pardon de vous contredire.

On connaît nous

Joe DiMaggio aujourd'hui

parce qu'il a été

avec Marilyn Monroe.

Parce que c'était une grosse star.

Oui, et lui aussi,

est sûrement une grosse star.

Parce que s'il avait été

une grosse star du football

américain,

alors en ruquier...

Oui madame Diabont.

...qu'on peut vous contredire,

il n'aurait pas fait

une émission de téléréalité

pour avoir de la notoriété.

Mais si, justement,

on n'avait pas compris,

c'était le titre,

l'émission...

Alors c'est un pauvre...

C'est le contraire.

C'était lui la vedette de...

Il était connu,

donc il a fait une émission

de téléréalité,

il n'a pas fait une émission

de téléréalité

pour devenir connu.

Comme la ferme des célébrités.

C'est la première fois

qu'un mec connu se fait m'éconnître

à cause d'une émission

Mais oui, on lui sélectionne.

Ok, c'est ça.

Bon tout cas, voilà,

Taylor Swift...

Mais non, on ne se rend pas compte,

mais parce que là-bas,

le football américain,

c'est le premier sport,

c'est comme si ici,

c'était Mbappé, quoi.

C'est ce que j'ai essayé d'expliquer.

C'est ce que j'ai essayé d'expliquer.

Et tu sais pourquoi?

Non.

Ils aiment le football américain?

Pourquoi?

Parce que l'action se passe

aux États-Unis.

Voilà.

Ça m'a mis la bustée à l'horaille,

moi aussi.

C'est pas faux,

ce qu'il dit en même temps.

On est deux à rire,

c'est marqué, Laurent.

Pardon?

On est deux à rire.

Oui, mais moi, je suis payé pour ça.

À le livre du jour,

je ne vais pas vous dire

qu'il y en a eu l'auteur

parce que ce serait trop facile

pour trouver la réponse

à la question que je vais poser d'abord.

Mais après,

on aura celui

qui vient de publier

une sorte de Bible

sur le football

en quelques sortes.

En tout cas,

quelques souvenirs de sa carrière.

Bon, remarquez,

j'ai dit déjà que c'était

du football.

Alors on sait que c'est un footballeur

qui a eu une grande carrière.

Non.

Je peux vous le dire maintenant

puisque j'ai dit football,

j'ai déjà tout dit.

C'est Didier Roustan

qu'on va avoir au téléphone

dans un instant.

J'ai adoré Cyrano de Bergerac.

Et en tout cas,

dans ce livre,

Didier Roustan,

et c'est ça,

ma question,

une question pour Caroline Huch

qui habite clairement.

Est-ce que vous souvenez

qui était malade,

très malade,

le 12 juillet 1998?

Oui, je l'ai pas.

Pardon?

Ronaldo.

Mais ça vous,

vous savez qu'en foutre rien de m'échappe.

Et bah écoutez,

c'est une bonne réponse

de Yann Wax.

C'est Ronaldo.

Mais non,

vous savez pourquoi je le sais?

Allez-y.

Est-ce que c'est la seule chose

que je sache dans ce domaine?

Mais comment ça fait que vous êtes...

Je sais pas moi-même.

Bonjour Didier Roustan.

Bonjour Laurent,

bonjour à tous.

Et vous rappelez,

évidemment, les circonstances

dans lesquelles on a gagné

cette finale,

c'est dans un chapitre

qui s'appelle

Le Résultat X-Files

aux frontières du réel.

C'est-à-dire qu'en gros,

vous nous dites

que vous avez raison,

on a gagné,

mais on a gagné

parce qu'il y a eu plein de circonstances

qui...

Mais c'est souvent comme ça.

D'ailleurs, plein de circonstances

qui ont fait qu'on devait gagner

ce jour-là.

Et la plus grosse circonstance

c'est peut-être le fait

que Ronaldo était bien malade

le 12 juillet 1998.

Vous pouvez nous rappeler

ce qui lui est arrivé?

Il a fait sensiblement

une crise cardiaque

et son père s'est arrêté

de battre.

Et à deux heures

du coup d'envoi

ou trois heures du coup d'envoi,

il était à...

il n'y avait pas un 20 pulsations

minues ou quelque chose

comme ça.

C'était très grave.

Mais quand je dis que

les planètes,

entre guillemets,

étaient alignées

pour l'équipe de France

sans leur enlever

un grand mérite,

bien évidemment,

c'est sûr

tout le long de la compétition.

En fait, voilà,

il y a des signes comme ça.

Mais la chance,

elle avait partie du talent.

Elle fait partie du talent,

mais elle expère...

Deux jours en football,

en tout cas, fondamental.

Elle était moins présente

autrefois.

Et d'ailleurs,

elle était un peu auparavant

qui s'appelle

l'insoutonable légèreté

du résultat.

Sauf que vous,

pendant la Coupe du Monde

1998,

vous n'étiez pas,

on va dire,

sur une grosse chaîne

de radio-télévisions.

Vous commentiez

pour sport ou FM.

C'est bien ça ?

Ouais, j'étais avec mon pote

Yves Vigo.

C'est-à-dire que

à ce moment-là,

j'étais secrétaire général

du syndicat mondial

des footballeurs

avec Radona,

Kanto, etc.

J'étais plus vraiment

journaliste

et Yves m'a demandé

pour la Coupe du Monde

de participer

aux commentaires

sur cette radio

donc je l'ai fait

bien volontiers.

Mais j'étais assez loin

de tout ça, en fait.

Votre livre s'appelle

Puzzle

parce que ce n'est pas

une autobiographie classique.

C'est-à-dire,

vous ne racontez pas

votre vie de manière chronologique

mais on va dire,

vous nous racontez

différents souvenirs

sous différentes têtes

de chapitres

qui n'ont pas forcément

d'ordre par rapport

à la chronologie

de votre vie.

Oui, parce que

je voulais pas faire

une biographie

et je trouvais ça un peu.

Je suis souvent

été sollicité

ces dernières années

par ce cadre.

Et je me suis dit,

bon, pourquoi pas

effectivement

transmettre

un certain nombre

de choses ?

C'est une manière

de parler

de 47 ans de télévision.

D'ailleurs,

ce n'est pas que du football,

je pense le livre

et d'ailleurs,

certaines femmes

qui ne sont pas très fous

de copines l'ont lu

et elles ont adoré

parce que je ne rentre pas

dans les choses

pure et dures

du foot.

Je crois qu'il y a

beaucoup d'humains,

ce sont des rencontres,

ce sont des voyages,

ce sont des illusions,

des illusions,

des combats aussi.

C'est un parcours

sur 47 ans.

Alors dans ce parcours,

il y a quelqu'un

que vous avez rencontré

et ça prend

évidemment

une autre allure aujourd'hui

d'en parler,

parce que quand vous avez

écrit ce chapitre,

vous n'imaginez pas

qu'il ne serait plus de ce monde

et il se trouve qu'aujourd'hui

en plus, bon, ça,

ça me surprend un peu,

mais enfin,

il y a France Télévision

qui devient la maison

Jean-Pierre Elcabache.

Moi, c'est personnellement

une inauguration

qui me paraît un peu

étonnante,

mais toujours est-il

que Jean-Pierre Elcabache

manifestement,

il ne s'intéressait pas

au football

qu'il était président

de France Télévision.

Vous racontez ça

dans un chapitre

qui s'appelle

Didier Qui,

parce que vous êtes chargé

de commenter la finale

de la Coupe du monde de football

avec Éric Cantona,

d'ailleurs, à l'époque.

Exactement.

Et quand Éric

va signer son contrat,

il demande de la compagnie

à la présidence

de France Télé,

bon, j'y vais,

on est dans le hall

sur un canapé.

Jean-Pierre Elcabache

passe rapidement

et salue Éric.

Et puis moi,

il me dit bonjour,

monsieur,

j'étais quand même

le responsable football

de sa chaîne,

à l'époque,

il est PDG

de France Télévision.

Et il s'en va.

C'est bien lui,

je vous confirme,

c'est bien lui.

Et oui,

Éric me dit,

mais il se connaît pas,

je dis,

je pense qu'il ne me reconnaît

pas,

non, pas du tout,

et puis je raconte après

la scène

où à un moment,

j'entre

dans le bureau

de la présidence

avec Éric,

parce que

Didier peut venir aussi

pour,

il dit,

je trouve que cette histoire

est tellement significative

du personnage,

il n'y a pas que le sport,

je peux vous dire,

il ne connaissait pas

grand monde

en dehors des gens

qui pouvaient l'intéresser

pour, on va dire,

avoir un peu plus

de puissance

dans le monde politique,

mais en dehors de ça,

cette histoire ne m'étonne pas

et je trouve ça terrible

qu'on donne son nom

à, on va dire,

à la maison

en France Télévision.

Mais je pense qu'il y a

beaucoup de gens

de France Télévision

qui sont

un peu outrés par ça.

Ah ben oui,

c'est totalement scandaleux.

Il faut quand même rappeler

qu'il a été viré

en plus en tant que président

de France Télévision

pour des histoires financières

qui étaient à Cablante.

Donc vraiment,

c'est absolument incroyable

qu'on donne le nom

de Jean-Pierre El-Cabache

à la maison France Télévision.

Mais c'est-à-dire,

on va dire,

je mets la Jean-Pierre El-Cabache

quand on va zapper...

El-Cabache 1, 2

et Cabache 3.

Non, pas quand même.

Bon, en tout cas,

ce chapitre m'a bien fait plaisir

d'y dire,

parce que je trouve

qu'il tombe à point.

Il y a quand même des gens

qui vous rendaient hommage

de plus jolies façons.

Quelqu'un qu'on appelait

Monsieur Basquette

à la télévision qui s'appelait

Jean-Réna Alain, c'est ça ?

Oui, Jean-Réna

a été mon père spirituel.

Il faut savoir que je suis

entré à TF1

à l'âge de 18 ans.

C'était un petit peu particulier,

mais ce qui était

assez incroyable par la suite,

c'est qu'on m'a donné

très rapidement

des grosses responsabilités.

Et lui, il a été

mon protecteur.

Ça a été

une sorte de père spirituel.

Et donc,

c'est à travers ce livre,

c'est une manière

de rendre hommage

à des gens

qui ont été

très importants pour moi.

Bernard Tapie,

Dalgo, Platini...

Bernard Tapie a été

moins important,

mais c'était...

Non, je donne les noms

de ceux qu'on retrouve

dans votre livre.

Oui, bien sûr.

Et c'est vrai que Bernard

Tapie, vous êtes

mitigé, au fond,

sur lui.

Et à la fois,

on sent que,

bien évidemment,

vous n'avez jamais

juste raison,

peut-être,

vous n'avez vraiment

eu confiance en lui.

D'ailleurs,

il n'avait pas forcément

confiance en vous,

non plus,

parce qu'il avait compris

qu'il ne pouvait pas vous acheter,

en fait,

en quelque sorte.

Ouais,

en schématisant un peu,

c'est ça.

Et comme j'étais le patron

de Telefoute à l'époque

et qu'il y avait sensiblement

que trois chaînes,

c'était important pour lui

qui était président

de l'OM

de m'avoir

dans sa main,

entre guillemets,

et ça,

il n'a jamais réussi

à le faire,

donc on avait des...

Des rapports difficiles.

Des rapports difficiles,

mais c'était Dr.

Jekyll et Mr.

Reich,

qui casque la clavicule

en levier de rideau

d'un match Lille-Marseille,

où il va me chouchouter,

où il va me faire soigner

par le docteur

de l'OM

dans les vestiaires,

où il va hurler au loup,

parce que je rentre seul

après,

en condisant ma voiture,

et où il est sincère.

C'était...

Il y a une personne

assez troublante,

mais voilà,

il fallait garder ses distances,

quand même,

par rapport à mon métier.

Et voilà, vous racontez aussi

à l'histoire du syndicat

mondial des joueurs,

l'OMTV,

aussi,

vous dites,

quand on appartient

à une chaîne,

la chaîne d'un club,

c'est pas facile

de dire,

dans les commentaires,

du mal,

du club pour lequel on travaille,

et pourtant,

vous arriviez à le faire,

quand même,

c'est-à-dire que s'il n'y a pas pénalti,

il faut dire qu'il y a pénalti,

quand même, parce que...

Oui, c'était plus fort que moi.

Voilà, je voulais pas être...

Et c'était une manière

de respecter

les supporters de l'OM,

qui écoutaient le match,

quoi, je veux dire,

d'être honnête.

Après, c'est sûr que,

s'il y ait des champs

qui étaient entraîneurs,

à l'époque,

se plantaient sur certaines choses,

j'allais pas le souligner,

spécifiquement.

Et voilà.

Voilà, il fallait le trouver,

et je vais pas le racheter

sur le fil du rasoir,

quoi.

C'est le numéro 1,

parce que vous le dites,

vous l'écrivez,

il y aura peut-être un numéro 2,

ça s'appelle

Puzzle.

C'est le début,

on va dire,

peut-être d'une collection

qui raconte toute

l'histoire de la longue carrière

et passionnante carrière

de Didier Roustan,

dans le football.

Merci, Didier.

C'était le livre du jour.

A une question pour Joanne Balme,

qui habite Biorrelle

en scène maritime,

l'inspecteur Notre-Dame

devrait reprendre du service,

mais qui est

l'inspecteur Notre-Dame ?

Une bande dessinée ?

Non.

Specteur Gadget ?

Ah non, non, non.

Un roman ?

Un roman, non, non.

Ça a un rapport

avec la cathédrale ?

Alors non,

ça a pas de rapport direct,

en tout cas,

avec la cathédrale.

C'est un personnage

de fiction ?

C'est un personnage

de fiction.

Ah bah oui,

parce que c'est animé.

C'est donc Asimodo,

dans tout ça ?

Non, non,

ça, c'est Victor Hugo,

vous voyez,

c'est la reprise d'un personnage

qui n'a pas,

ancien,

qui reprit par quelqu'un d'autre.

Alors effectivement,

l'inspecteur Notre-Dame

va reprendre du service.

C'était pas ce que je vois tapis ?

Non, c'est pas...

Par un autre auteur ?

Non, pas par un autre auteur.

Par un autre BD ?

Un BD ?

Une BD ?

Une BD, non.

Est-ce un livre

qui fut adapté à l'écran ?

Ce n'était pas un livre.

Alors c'est pas un film.

C'est un film.

C'est un film.

Et l'inspecteur Notre-Dame,

c'est l'inspecteur ND.

Oui.

Soit Lupin.

Pas du tout.

Non.

Non mais...

Le build...

Elle veut dire des horreurs.

C'est de quelle année ce film ?

Je peux même vous dire

qui jouait l'inspecteur Notre-Dame,

il s'appelait Marc Duré.

C'est pas lui qui rejouera

l'inspecteur Notre-Dame.

Non, parce que...

C'est pas la comédie musicale ?

C'est aucun rapport

avec la comédie musicale.

Quelle comédie musicale ?

Notre-Dame de Paris ?

Non, mais Notre-Dame de Paris,

à l'origine,

c'était pas une comédie musicale.

Non.

Elle est de quelle année ce film ?

95.

1915.

C'est madame de naissance.

Ah bah voyez,

ma question,

c'est tout simple.

Je la répète,

au cas que vous ne l'auriez pas compris.

Qui était ?

Non.

Non, pas qui était.

Qui va jouer ?

Non plus, non.

Qui est ?

Qui est ?

Non.

Dans quel film,

dans quel œuvre ?

Comme quoi je fais bien

de la rappeler, la question.

Pour quelle raison

l'inspecteur Notre-Dame

va-t-il reprendre du service ?

C'était ça, la question.

Parce qu'on a trouvé quelqu'un

pour jouer son rôle.

Ah, parce que c'est...

C'est pas le héros ?

Pardon.

On est dans l'actualité.

Par exemple,

c'est quoi la actualité ?

La voix de la Vardin,

par le spin-off.

J'ai un peu de mal

à répondre à toutes vos questions.

Oui, oui Laurent.

Alors je vais résumer.

Ah bah alors là...

Non, non.

Je n'ai pas dit

que j'avais la réponse.

Je vais essayer

de recentrer le débat.

On est d'accord

qu'il va y avoir

un remake

du film original.

Un remake ?

Pas de suite,

une suite.

Après quoi elle ?

Je sais, je sais.

C'est-à-dire en série.

Le personnage va jouer

dans un autre film.

Non, non plus.

Il va se passer quelque chose

dans ce moment

dans la vraie vie

qui fait qu'on va reparler

de cet inspecteur.

Non, non plus.

Est-ce que c'est

l'inspecteur Notre-Dame

ou l'inspecteur My Lady ?

J'ai l'inspecteur My Lady ?

Oui.

Non.

Écoutez, c'est pourtant

pas compliqué.

Ah si, ah si, si.

La question est toute simple.

Oui.

Pour quelle raison

l'inspecteur Notre-Dame

va-t-il reprendre du service ?

Après vous me demandez

si ça a été un film,

je vous réponds.

Non, il n'y a pas plus ça.

Ah, c'est une BD.

Ça va être une BD.

Une BD.

Au théâtre.

Au théâtre.

Au théâtre.

On se rapproche.

Comédie musicale.

Comédie musicale.

Comédie musicale.

Et c'est Jésus.

Jésus !

Bien sûr qu'il s'appelle

l'inspecteur Notre-Dame.

C'était une comédie musicale.

C'était une comédie musicale.

Comédie musicale.

C'était les 10 commandements

la nouvelle version.

Non, mais c'est bien

une comédie musicale.

Oui.

C'est une comédie miserable.

Non plus.

La nouvelle comédie musicale

de Dovacia.

Pardon.

La nouvelle comédie musicale

de Dovacia.

Mon lière.

Mon lière.

Pas du tout.

Et là, ça nous prend.

En fait.

C'est pas Spam, elote,

les montipitons.

Non plus.

On cherche le titre

d'une comédie musicale.

Oui.

D'un film

et d'une comédie musicale.

Bien sûr.

Est-ce que le titre est le même

ou est-ce qu'ils ont changé le titre

pour la comédie musicale ?

Ils ont juste rajouté

un mot derrière.

Zorro ! Zorro !

Ah oui !

Zorro !

C'est français.

Attention.

Le roi lion.

Pas du tout.

Le film de 1995

est un film...

Je vous jure que

j'ai vraiment cru qu'elle avait

la réponse.

Laurent.

Vous avez eu !

Est-ce que le film

de 1995

est un film...

J'ai failli avoir une interdiction.

Laurent.

Est-ce que le film

est un film français

à la base ?

Oui, bien sûr.

Oui.

Alors, j'ai le bras en l'air,

mais j'ai pas la réponse.

Le grand bleu ?

Le grand bleu.

Ah, ça va être bien,

en comédie musicale.

Le grand bleu.

Le grand bleu.

Je vous le fais.

Je vous fais.

Je vous fais la chanson.

Le tube.

Glu, glu, glu.

C'est un film drôle ?

Ce n'est pas un film drôle.

Alors, Laurent,

sincèrement.

Il y avait Vincent Lundon,

d'ailleurs, dans le film,

tiens, si je peux vous aider.

Oui !

Trois hommes et un coup fin.

Et Karine Viard,

il n'y a pas Lundon

dans Trois Hommes et un coup fin.

Non, bien sûr.

C'est le seul film

où il n'y a pas Lundon.

Non.

Je sais.

Je sais, Laurent.

C'était les campers,

la camping.

Allez.

Je sais.

Je sais.

Les campers, la camping.

Allez.

Les randonneurs.

Les randonneurs.

Les randonneurs.

Comédie musicale,

pas du tout.

Il n'y a pas l'indon dedans,

en plus,

il n'y a pas l'indon.

Ah, la haine.

C'est la haine.

Bonne réponse.

Ah oui.

C'est la toute belle

comédie musicale

de Mathieu Cassovi.

Ça va s'appeler

la haine live.

Ah oui.

La haine,

effectivement,

est un film

avec Vincent Cassell,

d'endroit principal,

Hubert Kundé,

Saïd Tagmawi.

C'était le trio.

Il y a deux sets magimels.

Le trio principal.

Il y a un don

et il jouait dedans.

Marc Duré

jouait l'inspecteur Notre-Dame.

Et il y avait aussi

Bernie Bonvoisin

et quelques autres.

Et la haine

va devenir

une comédie musicale.

Ce sera pour l'année prochaine.

Quels théâtres

ils vont te casser ?

On ne sait pas encore

dans quel théâtre.

Mais en tout cas,

ce sera pour

octobre 2024.

Et actuellement,

c'est le casting

à la recherche

du trio

qui va jouer

dans la comédie musicale

tirée du succès

de Mathieu Kassowicz.

Et ça s'appellera

la haine live

en quelque sorte.

Voilà.

Tout simplement.

C'est bien de savoir

que Mathieu Kassowicz

est en bonne santé.

En tout cas,

il assiste au casting

effectivement

pour savoir

qui va reprendre

essentiellement

le rôle de Vincent Cassell.

Ça tombe

qui va faire

les chansons ?

On ne sait pas

qui va faire les chansons.

Il y a eu

plein de cinémas

à cacher.

Ah bon ?

Je vais vous dire,

alors voilà,

j'ai quelques lacunes

et ça,

oui, moi aussi.

Parce que je n'ai jamais

vu la haine,

il faut absolument...

Ah bon ?

Ah ben oui,

ça arrive,

moi non plus.

Ah ben oui.

Mais vous lisez

le livre de Didier Roustan

et vous n'avez pas vu la haine.

Qu'on s'en fout du livre.

Mais promis,

promis,

je vais...

Il m'énerve,

il vit là-bas.

Les grosses têtes de Laurent Ruquier,

c'est de 15h30 à 18h

sur RTL.

Toujours équiéant de moi,

c'est Caroline Diamant,

Gérard Julio,

Arielle Wiesmann,

Dari Boudboule

et peut-être celui

qui a le plus de bonnes

réponses aujourd'hui,

quand même,

mine de rien.

Asse !

Ah ben oui,

la culture contemporaine,

ça compte aussi,

quand même,

la haine,

telle or swift,

vous voyez.

Ah même,

c'est pas très contemporain,

c'est que 1995.

C'est vrai,

vous avez raison.

Enfin,

bon,

on va dire que c'est contemporain

par rapport à...

Oui,

par rapport à Maximinien

Robespierre.

J'ai une question

qui va intéresser

tout le monde,

qui est à la portée

de tout le monde,

puisqu'il s'agit

du troisième événement

pour le monde.

Parce qu'il s'agit

du troisième événement

parisien

en termes

de fréquentation.

Après,

Paris Plage

et Nuit Blanche,

400 000 personnes,

à peu près,

ces dernières années,

troisième événement parisien

qui a lieu cette semaine,

d'ailleurs,

événement parisien,

donc oui...

Ouais,

c'est l'anniversaire d'Annie

Dalgo,

à tous les cours.

Donc,

moi,

je suis prêt à lui faire

sa fête,

c'est tant elle peut.

Donc,

on fêtera les 100 ans

de cette fête.

C'est quand même pas

Mme Dalgo, vous voyez.

Non,

ou alors elle est

très bien refaite.

100 ans,

l'année prochaine

de cette manifestation,

j'imagine qu'une année

prochaine,

ce sera encore plus

festif que cette année,

mais quand même,

effectivement,

la première édition

a eu lieu

en 1934.

La Gay Pride.

La Gay Pride,

non,

en 1934.

1924,

pardon,

oui,

il n'y avait pas

de...

Ah oui,

j'ai dit,

ce sera que 90 ans.

Ce sera les 90 ans.

Ah oui,

c'est très différent.

C'est un genre fashion week.

Oh, c'est très différent,

c'est pas très différent.

Ce qui compte,

c'est que ça a lieu

mercredi prochain

et que c'est

un des événements parisiens

qui attirent le plus de monde.

Oui.

Oui, c'est la FIAC.

La FIAC, non.

Les Aménager.

Ça demande du livre.

D'abord,

ça s'étale

sur plusieurs jours.

Ça commence...

Le Ballon de l'agriculture.

Non, non, non.

La fashion week.

La foire de Paris.

La foire de Paris, non.

La fashion week, non.

Les Aménager.

Non, non, non.

Faites forêt, non.

Non, non, non.

Est-ce que vous pensez

que nous y sommes déjà allés ?

Je regarde les parents

et les maraînes

qui a eu chaque année.

Il y a eu Fabrice Lucchini,

il y a eu Elie Semoun,

il y a eu Carole Bouquet.

Oui, c'est le printemps

du cinéma.

Non.

Et cette année,

c'est temps longtemps.

Gérard Junion,

2010, tiens.

Ah bah...

La croire au vin.

Le Beaujolais Nouveau.

Pas loin.

Le Beaujolais Nouveau.

C'est la bosse

des auspices de Beaujolais Nouveau.

Le Beaujolais Nouveau.

Oui, c'est le vin

des auspices de Beaujolais Nouveau.

Le vin de Montmartre.

Les vendors de Montmartre.

Ah...

Trop bas.

La réponse de Gérard Junion.

Ah ben oui.

Il picole toute la soirée.

Il oublie l'année d'après

qu'ils ont été le parent.

En 2010,

vous avez fait

avec Firmin Richard.

Je me souviens d'avoir

coupé des crampes.

Il parait que vous avez

fait deux enfants.

Et Fabrice Lucchini

l'avait fait

avec Isabelle Giordano.

Il y a une aguille

Chimène Badiville.

Chaque année,

il trouve des...

Alors je pense

c'est des gens

qui habitent Montmartre.

J'habitais Montmartre

à l'époque.

Voilà,

vous habitiez Montmartre

à l'époque.

Et en 1934,

c'était Fernandelle

et Miss Taguette

qui avaient effectivement

inauguré.

Oui,

c'est bien ou pas, alors.

Le vin est pas mauvais en plus.

Ça se boit

qu'à Montmartre.

Ah si,

non,

tu peux boire

ou tu veux.

Quand tu prends ton verre,

tu l'emmènes

ou tu vois.

Oui, voilà.

Je sais même pas

s'il est vendu.

Faut juste pas te faire prendre

par les flics si tu le bois

ailleurs qu'à Montmartre.

Là, il y a une grosse amende.

Non mais enfin...

Mais je suis très étonné

que ce soit le troisième

événement parisien.

Bon,

derrière,

Paris Plage

et on va dire

qu'est-ce que j'ai dit

autre nuit blanche.

Bon, vous voyez,

c'est pas non plus...

Les Journées du patrimoine,

c'est la nuit blanche.

C'est pas parisien,

les Journées du patrimoine.

Faites des vendanges.

Faites de la musique.

Nuit blanche.

Ce sont les 3 événements

les plus suivis.

Je vous le confirme.

Je crois qu'il y a un feu d'artifice.

Oui, il y avait un feu d'artifice

sur la butemont-martre.

Ben oui.

Et ben oui,

puisque c'est un montmartre,

on s'en avait dit ailleurs.

Mais,

ce qui est bien,

c'est qu'on le voit de loin

le feu d'artifice

sur la butemont-martre.

Oui, il est légèrement haute.

Il est fait de des vendanges.

C'est très marrant.

Il y en a une chez nous,

à Cheverny.

Ah oui.

Et elle est très sympa

parce que c'est des enfants

dans l'insouchon.

Non mais c'est des enfants

dans l'insouchon.

Comment ils s'appellent?

Ours c'est...

Non,

le feu d'artifice,

c'est son nom d'artiste,

ours.

Ben ils viennent tous les deux

parce qu'ils habitent à côté.

Ah,

c'est pas les mêmes parents.

Ils viennent tous à la nuit.

Oh,

les enfants dans l'insouchon.

Ben oui,

ils viennent faire

de la musique

improvisée toute la nuit.

C'est hyper...

Non,

c'est vraiment sympa.

Et chez vous,

il y a des fêtes de la pomme.

Ah,

vraiment?

Il y a un montmartre

du Nougat.

Oui, bon.

Non,

il y a des fêtes de park

en fait.

Le cidre.

Il y a des fêtes du cidre maintenant.

Non mais moi j'aimerais

rencontrer ton mec.

Tu peux pas nous l'emmener

une fois.

Ryu?

Non,

il vient déjà...

Il y a un vrai homme

qui partage sa vie.

Enfin,

à ce qu'il paraît.

Un vrai homme,

ça veut dire quoi?

Non,

mais ça veut dire

pas Ryu.

C'est un vrai homme

qui partage vous de vie.

Mais c'est vrai.

Et en plus,

vous faites venir Ryu

un Ryu,

donc vous faites du triolisme.

Je pense qu'il regarde

Ryu.

Non,

c'est pour sa maman.

Ils sont un trouble.

C'est pour ma plaisir

pour sa maman.

Ah,

mais vous n'êtes pas

une sacrée dame

avec bout de bouche.

J'aurais pas cru ça alors.

Bah attendez,

elle a passé sa carrière

les jambes écardées

sur un...

sur un...

sur un...

sur un cheval.

On peut revenir

sur les vendanges.

Ça c'est diversifier.

Parce que quand même

c'est ça qui compte,

c'est à partir de mercredi,

j'imagine,

jusqu'à dimanche,

parce que c'est week-end,

on va dire,

le sommet de la fête.

Mais tout le monde est ivre alors?

Vous n'êtes pas obligé

de gâtoirement.

Mais en tout cas,

vous avez des stands,

des confrérie,

des filets à feu d'artifice.

Mais un défilé de quoi?

De...

de...

de grape de raisin,

de...

de...

de petites bouteilles.

Sois habillée,

être habillée en chaise.

Il y a des chevaliers

du tastovin,

vous voyez, voilà.

Des intronisations,

tu pourrais être marraine

de...

Vous pourriez être

introduite,

oui, voilà.

C'est ça que je veux le dire.

Excusez-moi

que je ne bois pas d'alcool alors...

Et puis il y a des fêtes

aux Trois-Brodés,

c'est As.

Bon, on va prendre ce temps-là.

Un crochet celli-là,

jusque sous nos fenêtres.

Oh, mais on va prendre ce temps-là.

Il est extraordinaire, cet homme.

Il est extraordinaire, cet homme.

C'est trop...

C'est vieux, ça.

Et forcément, c'est As.

N'avouer.

Une question pour Edwige Marcio,

qui habite d'Hirinon,

dans le finis-terre question,

qui va nous permettre,

dans un instant,

de discuter avec la principale.

Attention, un peu de silence

dans les rangs.

On va avoir la principale

dame,

qui va nous permettre

de discuter

avec la principale.

Attention, un peu de silence

dans les rangs.

On va avoir la principale

d'un collège.

Oula.

Un collège de Gironde,

un Saint-Jean-di-Lac,

très précisément.

Et si on va parler

de ce collège

avec sa principale,

c'est tout simplement

parce que, dans ce collège,

85 % des élèves

ont un point commun

que font 85 %

des élèves

de ce collège.

Porte-la baillant ?

Non.

Il fait quelque chose

qu'ils font.

Ils ont donc

entre 11 et 14 ans.

Oui, un collège,

oui, mais ils font quelque chose.

Oui, tous les jours,

85 % des élèves

dans ce collège.

Un sport ?

Alors un sport,

j'ai obligé de vous répondre,

non, mais quand même...

Il faut du taïchi.

Non, non.

De la méditation, non.

Est-ce que c'est l'école

que le collège

qui les oblige,

ou est-ce que c'est

de leur plein gré ?

Alors, c'est de leur plein gré,

j'imagine,

mais c'est vrai

que c'est un collège

qui incite à ça

et 85 %

des élèves

suivent cette incitation.

Cataïchisme.

On demandera, d'ailleurs,

à la principale

qu'il soit obligatoire

ou pas,

mais je ne crois pas

du cataïchisme.

De la méditation transcendentale.

Méditation, donc.

Ça rapporte

avec les animaux ?

T'en fait,

t'en entends, Daric.

Avec les animaux, non.

Il y avait eu

une page entière.

De l'Origami.

Non,

dans le Parisien

la semaine dernière.

J'ai l'informatique.

Et c'est 8 élèves

sur 10

qui pratiquent.

Il faut une matière,

c'est une matière particulière.

Ce n'est pas une matière.

Du coloriage.

Un sport.

Pour tout vous dire,

ça se passe pas

vraiment dans le collège,

c'est-à-dire

qu'ils vont chasser

les truffes.

Ils vont chasser

les truffes.

C'est pour ça, Laurent.

J'ai une idée !

Vous avez

t'expulsé

de combien de collèges, alors ?

Laurent,

est-ce que c'est

une activité sexuelle ?

Non, pas du tout.

Non, moi j'ai une idée, Laurent.

Et cultive du cannabis.

Et je crois qu'elle n'est pas mauvaise.

Allez-y.

Ils construisent

où ils leur lycées.

Ils restent.

Ou alors ils le restent.

Non, non.

Ou alors ils le peignent.

Ou alors ils décorent.

Non, non, non.

Ils nettoient quelque chose.

Ils ne nettoient rien.

Ils chantent.

Ils ne chantent pas non plus.

Enfin ils peuvent chanter,

mais ça n'a aucun rapport.

Ils font les scouts,

ils font les scouts.

Non, non, non, non, non.

Ils sont esclaves

dans des ateliers.

Mais non, mais non, mais non.

Ils font des cons.

Ils font des cons.

Est-ce que c'est une bonne action ?

Les élèves du collège

là-bas à Saint-Gendier

doivent se marrer en vous écoutant.

C'est sportif.

Vous m'avez déjà

posé la question.

Je vous ai répondu.

Ce n'est pas un sport,

mais on peut considérer

en tout cas que...

Une activité physique.

C'est physique.

Ça se passe en Corée.

Ils courent

autour du collège

avant de rentrer.

Alors ils ne courent pas

autour du collège.

Ils dancent.

Ils défilent.

C'est des mannequins.

Avant de rentrer, mais...

Mais ils font une de la.

Alors c'est des...

Ah...

Ta ta ta ta ta ta ta ta ta ta ta ta ta ta ta ta ta.

Ils rampent.

Ils sont majoraîtes.

Sont majoraîtes.

Sont majoraîtes.

On se rapproche.

On se rapproche.

Ils font farce.

Ils font la farce.

Ils font la farce.

Ils font la farce.

Ils font la farce.

du collège. – Il marche sur les mains. – C'est avant, effectivement, il marche pas sur les mains, non.

– Il se lave. – Non, c'est plus bête et plus simple que ça, vous voyez.

– Est-ce que c'est tout de l'enaction ? – Il vient dans vélo. – 45% des élèves viennent en vélo.

Bonne réponse, Gérard Juniot.

Madame Lefuma, bonjour. Est-ce que c'est obligatoire pour qu'il y en ait autant qui le fasse ?

– Bonjour. Non, je n'ai absolument pas obligatoire.

Mais une pratique au niveau de la commune de Saint-Gambiac, tous les élèves, quasiment tous les élèves prennent leur vélo pour venir en vélo.

– Est-ce que c'est valonné ? – Du tout. C'est plus là, ils ont entre 2 et 3 km à faire paru.

– Et l'hiver aussi, en plein hiver aussi ? – Ah non, l'hiver, ils ont raison, ils sont dans voiture.

– Oui, ils fassent un petit pleuve qui vente, ils viennent, ils sont équipés et ils viennent.

– Il faut dire que le parcours a été quand même aménagé, exprès pour ça, n'est-ce pas ?

– Oui, il paraît qu'ils ont interdit les voitures.

– Il y a la construction du collège. – Mais il y a des pistes cyclables.

– La piste cyclable a été construite en même temps que le collège.

Et elle dessert le collège de par et d'autres de la ville, en fait, les élèves peuvent venir.

– En moyenne, il parcourt 3 kilomètres quotidiennement, ça veut dire 1 kilomètre, 5 à l'année, 1 kilomètre, 5 au tour ?

– 3 à l'année et 3 au tour. – Ah, 3 à l'année et 3 au tour.

– Ils habitent tous au même endroit ? – Donc c'est une erreur.

– En moyenne, là-bas. – En moyenne.

– Est-ce que ce sont des vélos assistants s'électriques ?

– Pas du tout, ils font tous très sportifs, ils viennent que ce soit des filles, des garçons, que ce soit des plus jeunes, des plus vieux, ils viennent tous vraiment.

– Les plus vieux, ils ont 14 ans, pardon. – Oui, mais entre l'acidémie.

– Est-ce que les professionnels viennent en mode un vélo ?

– Non, mais ce qui est bien, c'est qu'avant, évidemment, on leur apprend un peu quand même à…

– À pédaler. – En tout cas, à être un bon cycliste,

parce que c'est vrai qu'il y a comme un permis vélo en quelque sorte, c'est bien ça, madame la principale ?

– Tout à fait, à l'école primaire, ils sont préparés pour venir au collège à vélo.

Ils font des cycles vélo pour être autonome sur un vélo.

Et la police municipale les prépare au code de la route.

– Moi, je trouve que c'est une bonne chose. – Oui, mais c'est pas possible à Paris.

– Comment ça, c'est pas possible à Paris ? – Moi, je suis un vélo.

– Excusez-moi, si vous ne voulez pas perdre votre enfant dès l'âge de 11 ans,

non, vous ne pouvez pas le mettre sur un vélo pour aller au collège.

– C'est pas faux totalement. – Ah, mais c'est pas faux du tout.

– C'est plus sécure du côté de Saint-Gendiyac, alors madame la principale ?

– Oui, tout à fait. – Vous, que je connais pas la ville ?

– Oui. – Très vert, c'est surtout que la piste cyclable

est conçue pour qu'il soit en toute sécurité.

– Ils viennent comment, les profs ? Faites ce qu'ils viennent à bicyclette aussi.

– Alors, les profs, ils n'habitent pas sur la commune, donc…

– Ils ont le permis, les profs. – Ils viennent de la voiture.

– Ah, bon ! – Voilà.

– Et As avait raison de poser la question,

la baia ne les gêne pas trop pour…

– Non, mais les vélos sont voiles et parfois.

– Ça s'est arrivé.

– Merci madame la principale, c'est une très belle initiative, c'est bien,

ça fait faire du sport aux élèves, 8 élèves sur 10,

dans votre collège à Saint-Gendiyac, Collège de l'Estet,

fond du vélo pour venir à l'école.

Bravo madame, belle initiative, on vous applaudit.

Une question pour Clara, marx, marx, habite à Bram, dans l'Ode.

Qu'est-ce qu'il y a, mam, diamo ? Pourquoi vous m'arrivez ?

– Non, parce que, non, non, vraiment je suis entouré de grosses têtes

qui sont des petites punaises. – Ah oui ?

Ah non, les punais c'est fini, il n'y a plus de punaises.

– Non, il y a plus de punaises. – Parfait depuis trois jours,

les punaises ont disparu, elles se sont tirées.

– Vous avez vu qu'ils ont fait en intelligence artificielle,

ils ont dit, faites un film ou ils n'affichent d'un film,

Émiline Paris, mais c'est des punaises de lits,

et donc t'as deux punaises de lits qui se promènent comme ça

avec la tour Eiffel derrière. – Vous aimez ça, vous, je,

sur les punaises, c'est un truc qui vous passionne.

– Non, mais je trouvais bien ce que vous avez dit au public tout à l'heure,

vous leur avez dit, vous avez essayé de les rassurer en leur disant,

il n'y a que un siège sur deux où il y a des punaises de lits.

– Mais oui, mais je ne fais pas de lits.

– Mais c'est surtout la preuve que les punaises de lits,

ça a été un moment où ils ne se passaient rien dans l'actualité,

surtout dès qu'il y a un vrai truc, on n'y a plus de plus.

– Il n'y a rien dans les lits non plus. – Le hama, ça a bien supprimé les punaises.

– Oui, voilà, parce que là, s'il y en a un qui vient la télé

pour parler des punaises de lits... – C'est un anniversaire, maintenant,

que je voudrais célébrer, on va souhaiter un bon anniversaire,

un celle qui, à 70 ans, je n'aurais jamais cru qu'elle avait 70 ans, cette femme,

et d'ailleurs, oui, c'est ça, elle est née le 9 octobre 1953,

donc ça fait bien 70 ans, et d'ailleurs, elle est exposée actuellement au but...

– Elle ? – Oui, elle, c'est une femme...

– Il t'avait déjà dit ses œuvres ou elle ?

– Alors, elle... – Sophie Kahl, c'est Sophie Kahl.

– Pardon ? – Sophie Kahl.

– C'est Sophie Kahl. Bonne réponse de Yann Moix.

– Ah, je n'aurais jamais dit qu'elle avait 70 ans.

– Tu peux expliquer pour ceux qui ne connaissent pas Sophie Kahl ?

– C'est une artiste, en fait, on va dire contemporaine, qui a tout inventé,

le body art, elle fait de l'art avec sa vie, avec son intimité,

avec son corps, avec ses histoires, avec tout...

– Mais c'est pas mal, hein, attention, parce qu'on se moque souvent...

– Ah non, non, non, elle est extraordinaire.

– De l'art contemporain, mais là, pour le coup, je trouve que ce qu'elle fait est extraordinaire.

– Une de ses premières œuvres en 1980, c'est qu'elle a payé un détective pour la suivre toute la journée.

– Exact.

– Et à son insu, le détective devait faire des photos d'elle,

et ensuite, elle a fait une exposition avec les photos d'elle prises à son insu.

Et elle est assez géniale, elle est très drôle.

– Elle est très drôle, elle fait une grosse tête incroyable.

– Elle fait une grosse tête géniale, et surtout, elle ne fait pas 70 ans du tout.

– Non.

– Elle en fait 37 et demi.

– Elle en perd dans ta bouche, ça a du sens.

– Et une autre expo...

Une autre expo qu'elle a fait, c'est qu'elle avait demandé à des inconnus de venir dormir,

enfin, passer du temps à un certain nombre d'œuvres.

– Pour qu'on l'a tous fait.

– Dans son lit.

Mais justement, dans son lit, dans son propre lit,

sans discontinuer, huit jours durant,

et en acceptant d'être photographiés et de répondre à quelques questions.

C'est que Fabrice...

– Fais pas que tu s'étonnes qu'il y a des punaises.

– Fabrice Lucchini, qui n'était pas aussi connue qu'aujourd'hui,

Lucchini faisait partie, Fabrice Lucchini,

des personnalités qui sont allées dans le lit de Sophical

et qui a fait partie de l'exposition.

Et moi, je ne la connaissais pas avant une expo qu'elle a faite,

c'est beaucoup plus récent.

À la Biennale de Venise, c'était en 2007,

j'avais vu cette expo, j'avais adoré ça.

Elle a été partie d'une lettre de rupture,

d'un de ses amants, j'imagine,

et qui avait terminé la lettre de rupture par prenez soin de vous.

Et elle avait demandé à...

– Et le titre de l'exposition.

– Voilà, elle avait demandé à des tas d'autres artistes.

– À des psychanalystes, à des talmudistes, à des scientifiques,

tout le monde interprétait la lettre de rupture.

– Elle est géniale, elle est géniale.

– Non, non, elle mérite vraiment d'être connue.

Et là, pour les 50 ans de la mort de Picasso,

il y a une exposition insolite au Musée Picasso même,

où on va dire, son œuvre à elle est mise en parallèle

avec l'œuvre de Pablo Picasso.

Et là, 70 ans aujourd'hui,

j'ignorais que c'était une femme de cet âge-là,

je pensais qu'elle était beaucoup plus jeune,

et elle s'appelle Sophie Kahl,

bravo, il y a de moi, d'avoir retrouvé son nom.

– Et elle ne se prend pas du tout au sérieux.

– C'est vrai ? – Ah non, pas du tout.

– Elle pourrait venir au gros stade, vraiment.

– C'est extraordinaire au gros stade.

– Ça peut l'amuser, elle est vraiment assez fantastique.

– Vous imaginez après qu'elle nous expose ?

– Elle serait fantastique et silente.

– Ah non, mais elle est très drôle.

– Elle était fantastique et silente.

– Et alors, elle avait une mère très drôle aussi,

dont d'ailleurs, elle a suivi dans cette une de ses œuvres,

c'est les derniers moments, et sa mère...

– Qu'est-ce que vous dites ? – France.

– France-Kahl, oui.

– France-Kahl, ouais.

– C'est pas Sophie Kahl, c'est Sophie Kahl,

pas Gal, monsieur.

– Ah, d'accord.

– Moi, j'aime bien.

– Je laisse tomber, là.

– Non, allez-y.

– Ah, ok, c'est bon.

Et donc, sa mère était une femme...

– Oh, ben oui, finalement.

– Oh, puis ben...

– Non, allez-y, allez-y, bien sûr.

– Non, non, sa mère était une femme très drôle

qui réunissait toutes ses copines,

et elle ai lisé un mec qui a trouvé bien,

sympa, sexy, ou je sais pas,

elle avait déjà 70, etc.

Et elle déjeunait avec lui une fois par mois,

avec un mec comme ça,

elle l'interviewait en quelque sorte,

et il y avait Micheline Prell dans ses copines,

pour dire là, j'ai à peu près.

– Elle est plasticienne, photographe, femme de lettre,

et réalisatrice, Sophie Kahl,

à 70 ans, aujourd'hui.

Une autre question pour Charles Pascal,

qui habite charme dans les vaux...

Je pardonne, qu'est-ce qu'il y a ?

– Charles Pascal Pasquale.

– Non, Charles Pascal, c'est son nom à charme.

Et ma question concerne une montre

qu'on a enfin retrouvée...

– La montre RTL !

– La montre du navigateur...

– Non, non, non, une montre qui avait...

– Non, pas navigateur.

– Disparu depuis...

– Saint-Exupéry.

– Non, depuis les années 80,

et une montre qu'on estime aujourd'hui

à 4 millions d'euros, si on devait...

– J'espère qu'elle donne l'heure.

– Si on devait la vendre aux enchères,

oui, il paraît qu'elle est en très bon état,

et il n'est même pas certain qu'elle soit vendue aux enchères.

– Ah, c'est la montre de tout le temps.

– Non, c'est la montre de quelqu'un.

– De Steve McQueen.

– C'est la montre de quelqu'un qui est morte ?

– Oui, oui, c'est la montre de quelqu'un qui est morte.

– Et elle avait disparu avec lui ?

– Alors, elle avait disparu,

après, sa mort à lui,

sa veuve, on va dire,

sa veuve pensait qu'elle était dans un placard,

et en fait, pas du tout, quelqu'un avait...

– C'est pas la relèque de Segué, là ?

– Non.

– En quelle année, il est mort ?

– La montre de Claude François, la montre de Claude François.

– Si je vous donne l'année de sa mort,

ça va être trop facile, monsieur moi.

– Alors, John Fitzgerald Kennedy...

– John Lennon.

– Pardon.

– La montre de John Lennon.

– La montre de John Lennon.

Bonne réponse !

– C'est quoi que je dis, John ?

– De Gérard Junior et, oui, John Lennon.

– Et c'est quoi l'intérêt de la montre de John Lennon ?

– Ah ben, c'est qu'elle avait disparu, déjà, et puis...

– L'intérêt, c'est qu'il y a des gens qui pourraient mourir,

tellement ils sont fans hystériques de John Lennon.

– C'est comme l'ampoule de Claude François.

– D'abord, il a été assassiné, donc ça entretient la légende.

– Oui, mais pourquoi la montre ?

Parce que dans ce cas, c'est un petit culotte aussi.

– Non, parce qu'il l'avait upoigné quand il a été assassiné,

qu'après, on a égaré et perdu la montre

et qu'on l'a retrouvé en Suisse bien des années plus tard.

– En Suisse, en Suisse, en Suisse.

– En Suisse, c'est le chauffeur de Yoko Ono

qui avait subtilisé la montre

et qui l'avait revendu, j'imagine,

un collectionneur, on vient de la retrouver,

elle va être restituée à Yoko Ono, donc on ne sait pas si...

– Ouais, mais c'est vrai qu'elle manquait un peu d'osaille, je crois.

– Non, mais enfin, en tout cas, la montre est estimée aujourd'hui

à 4 millions d'euros, puisque c'est le dernier cadeau d'anniversaire

que Yoko Ono avait fait à John Lennon.

– Ça lui a apporté chance !

– Une question pour Eric Bioc, qui habite Mont-Brizon.

Question difficile, d'ailleurs, Monsieur Mont-Brizon.

Monsieur Bioc, pardon, qui habite Mont-Brizon,

il aura une chance de gagner, non pas la montre de John Lennon,

mais de gagner une montre RTL. – Bah non, 300 euros !

– Ah oui, pardon !

– Excusez-moi, Monsieur Riquet,

mais vous avez l'air fatigué pour un lundi.

– Ah mais il peut gagner une montre aussi !

– Je crois que c'est l'effet d'Ari Boudbou.

– C'est pas artistin, chaque fois c'est ma faute.

– Vous êtes fatiguante, en fait, d'Ari. – Ça épise, hein.

– Surtout quand elle dit rien, c'est encore pire.

– Alors ma question concerne l'année 1864,

puisque la première, la première date de 1864,

mais la première quoi, et on la doit d'ailleurs,

je vais vous aider à Henri Dunant,

ce nom-là devrait vous dire quelque chose.

– Une pièce de théâtre ?

– Qu'est-ce qu'on doit à Henri Dunant

et qui date pour la première, en tout cas, de 1864.

– Une pièce de théâtre ? – Une pièce de théâtre, non.

– La première dame ? – Une opérette ?

– Une opérette, non.

– Un bâtiment, un bâtiment. – Un bâtiment, non.

– Est-ce que ça vous dit quelque chose ? – Une œuvre d'art ?

– Henri Dunant. – Oui.

– Bah, je vais être franche, non. – Oh, quand même !

– C'est une œuvre d'art, non. – Une œuvre d'art, non.

– C'est politique ? – Ça devrait vous dire quelque chose, Henri Dunant.

– Bah, excusez-moi s'il n'a pas de rue dans Paris et pas de rue dans le trône.

– Mais Henri Dunant, c'était un grand politicien,

on cherche une loi. – Non, non, mais pas loin, pas loin, quand même.

– Pas loin, non. – Coutume, coutume, coutume.

– Je vais vous aider, mais de mémoire,

il me semble qu'Henri Dunant a obtenu le prix Nobel de la paix, voyez-vous ?

– Oui, non, il a rédigé un grand texte important,

une charte pour les hommes des Nations unies.

– Un grand philosophe.

– Et c'est surtout le fondateur de quelque chose de très, très important.

– Adictez à ta nation. – Non, non, c'est du prix Lépine.

– Et vous voyez, crème, j'ai bonne mémoire,

il a effectivement eu le prix Nobel de la paix en 1901.

– Est-ce que ça a rapport avec les guerres

qui ont lieu dans le monde ? Est-ce que c'était ?

– Absolument. – Voilà.

– Puisque... – La Croix-Rouge ?

– Alors, il a fondé la Croix-Rouge, Henri Dunant.

– Mais je l'ai dit. – Oui, mais c'est pas la bonne réponse.

– Ah, merde.

– La question est toute bête. – La première maraude.

– Non. Monsieur Henri Dunant, je peux vous dire

comment il a eu l'idée de fonder la Croix-Rouge,

c'est lors de la bataille de Solferino, qui date, elle, de 1864,

lors de, pardon, 1859, 5 ans avant qu'il ait cette idée de...

– 5 ans pour pondre une idée, pardon.

– Oui, mais une idée qui est importante.

– Et une idée qui a été développée à travers les années,

sauf que la première date de 1864.

Et on en parle encore beaucoup.

– La première collecte de dons.

– Non, particulièrement, ces jours-ci, voyez-vous.

– Il a fondé quelque chose qui permet de lister le nom

de tous les morts ou disparus.

– Non, non, non, mais quand même, c'est vrai qu'on avait compris

qu'on était à l'époque donc en plein état de guerre.

– Oui, oui, bien sûr.

– Neutralité ?

– Non, et c'est quelque chose qui date de 1864.

– Ah non.

– Mais il y en a eu d'autres ensuite en 1960.

– Oui, oui, les accords de Genève.

– Et le statut des autres.

– De prisonniers de guerre.

– Et des prisonniers de guerre.

– Alors on ne dit pas accord de Genève, mais vous êtes tout prêt.

– Trité, traité.

– Pas traité.

– Non, non, le...

– C'est un nom très précis.

– Mais non, parce que mon père, il était un...

– Mon père était vétérinaire.

– De la Convention de Genève.

– La Convention de Genève.

– La Convention de Genève.

– La Convention de Genève, bonne réponse.

Bravo.

Caroline Diamant, sont des traités internationaux

dans le domaine humanitaire

qui dictent les règles de conduite

à adopter en période de conflit armé.

Évidemment, en quête guerre, c'est pas toujours suivi

parce que, comme dirait certains, la guerre, c'est la guerre.

Il n'empêche que normalement,

on doit respecter en quête guerre

les fameuses conventions de Genève.

Ça date de 1864,

et c'est effectivement Henri,

du nom fondateur de la Croix-Rouge,

qui a eu l'idée de la première Convention de Genève

en août 1864.

Bravo, Caroline.

Après, il y en a eu d'autres,

des conventions de Genève en 1906, 1929,

puis 1949, on tente évidemment à chaque fois.

J'imagine d'améliorer les fameuses conventions de Genève.

Il y en a eu encore en 1977

et même tout récemment en 2005,

un protocole additionnel.

Bravo d'avoir retrouvé le terme exact

les conventions de Genève.

C'est une excellente réponse

de Caroline Diamant.

Un procès maintenant,

un procès pour jeunes petits gens

qui, enfin, c'est pas pour elle qu'elles se rassurent,

mesdames petits gens, elle habite

Saint-Vincent-sur-Jard en Vendée,

mais c'est la question qui est liée

à un procès qui va commencer mercredi,

mercredi prochain,

et c'est Alexandra de Tadeo qui sera entre autres

devant la barre du tribunal,

cette jeune française originaire.

Mais c'est la 29 ans seulement.

Est-ce que vous vous souvenez de ce qu'a fait

évidemment Alexandra de Tadeo ?

Ça a rapport avec ce qui s'était passé au Mexique.

Pas du tout.

Elle n'a pas menacé quelqu'un.

Alors effectivement, il y a...

Elle a enlevé quelqu'un.

Elle a fait du chantage.

Oui.

Avec un russe.

Ah non.

Ah oui.

Oui, avec un compagnon russe, elle.

Elle a fait du chantage.

Mais c'est quoi l'affaire ?

L'affaire...

Benjamin Grivot.

Grivot.

La fameuse vidéo.

La fameuse vidéo.

Ah !

Oui, oui.

La fameuse vidéo avec le sexe de Benjamin Grivot.

Bonne réponse.

De Yann Moix.

Aider par Caroline Diamant,

qui a manifestement,

a des bons souvenirs de cette vidéo.

Et c'est vrai que ce sera le jugement

mercredi de Piotr Pawlenski.

C'est son nom.

Piotr Pawlenski.

Et Alexandra de Tadeo,

qui avait piégé Benjamin Grivot

en pleine campagne des municipales.

On s'en souvient.

Et cette jeune femme

avait diffusé, divulgué

cette vidéo, on va dire,

où l'homme politique,

on va pas rappeler son nom,

tout le monde s'en souvient,

où l'homme politique,

on va dire,

se faisait une petite...

Comment on pourrait dire ça ?

Branlette.

Voilà !

Bah écoutez,

qu'est-ce que vous l'avez dit ?

Mais ça a plu vite.

On a tous fait ça, je veux dire.

Oui, mais on n'était pas

de doigt d'être ministre.

Pardon ?

On n'était pas ministre

quand on l'a fait.

Il n'était pas de doigt,

il avait mis la main entière.

C'est pas parce que t'es ministre.

Mais moi, je n'ai jamais compris pardon

s'il n'y avait pas sa tête

sur la vidéo.

Il avait que son doigt.

Il n'a pas besoin de sa tête.

Mais non, mais donc, je veux dire,

à Mont-Modernier,

il suffisait qu'il dise

que ce n'était pas lui.

Oui, mais il était fier, quand même.

Ha ha ha !

Ha ha ha !

Ha ha ha !

Ha ha ha !

STL, c'est l'heure de l'invité du jour.

Notre invité du jour,

c'est quelqu'un qu'on adore.

Elle sera le 24 novembre

au Casino de Paris

et l'année prochaine,

à l'Olympia XI,

et 12 avril à l'Olympia.

Voilà pour les dates à venir,

son dernier album Cartoon.

Mais c'est aussi une actrice

qui est à la fiche d'un film

dont on va parler

film qui sort mercredi.

Un film avec Michel Blanc,

un film réalisé par Jean-Pierre Amérys.

Ça s'appelle Marie-Line

et son juge.

Et celle qui joue Marie-Line,

c'est Loine, mesdames et messieurs.

Qu'on écoute

avec son dernier succès

avant de parler cinéma.

...

...

...

...

Loine nous a rejoint.

Pardonne-moi, c'est un déçu.

C'est le dernier album

qui est devenu sentiment heureux

avec le temps

puisqu'il y a eu une réédition

de l'album.

J'ai dit, vous serez

au Casino de Paris

en novembre prochain

et l'année prochaine à l'Olympia.

Mais votre actualité

aujourd'hui,

en tout cas, cette semaine,

c'est le cinéma.

Exactement.

J'ai même envie de dire

que depuis la famille bélie,

il n'y a pas eu un rôle

aussi important pour moi.

En tout cas, j'ai vu le film hier.

Et là, vraiment,

vous êtes à nouveau

exceptionnels dans ce rôle.

Le rôle de Marie-Line,

alors Marie-Line.

Et son juge,

ça sort mercredi.

Et le juge,

son juge, c'est Michel Blanc.

C'est un duo,

plus qu'un duo.

D'ailleurs, parce que je voudrais

quand même citer les deux autres

comédiens

qui sont formidables dans ce film,

Victor Belmondo,

qui joue celui que vous aimez,

votre amoureux.

Mais bon,

ça n'a pas très, très bien se passé.

On ne va pas tout raconter,

mais ça ne va pas se passer

comme vous voudriez au départ

pour qu'on va dire

une raison de différence sociale

entre lui et vous.

Et puis le quatrième rôle important,

c'est quelqu'un qu'on aime bien,

qu'on avait pris d'ailleurs ici

aux grosses têtes

à une époque tellement

il est un peu bizarre ruide,

mais même dans ses rôles,

c'est Philippe Rebo

qui joue votre papa

dans le film.

Exactement.

Et ça se passe au Havre

en plus, ce film.

Exactement.

C'est un élément important,

d'ailleurs,

que ça se passe au Havre.

C'est un élément très,

très important.

Et d'ailleurs,

si je peux me permettre,

moi, j'ai adoré cette ville

et j'ai adoré tourner là-bas,

mais je trouve qu'elle est

particulièrement bien représentée

dans le film.

Il l'a vachement bien filmé

Jean-Pierre Améry.

Alors Jean-Pierre Améry,

c'est le réalisateur

qui vous a confié ce rôle.

Il explique que très vite,

il a pensé à vous

pour jouer cette petite serveuse

qui a une vingtaine d'années,

qui est plutôt, on va dire,

une nature.

Elle est nature.

C'est ça.

Elle est nature.

Elle est presque un peu naïve.

Elle ne se rend pas compte

de tout.

Et à la fois,

elle a hyper confiance en elle.

C'est ça.

Elle est nature.

Sauf qu'elle tombe

amoureuse et réciproquement,

parce que lui aussi,

il est amoureux d'un garçon.

On va dire qu'il n'y a pas

tout à fait du même milieu social.

Exactement.

Qui, lui, a beaucoup de culture,

ne serait-ce que cinématographique.

Et elle, pas du tout.

Elle, pas du tout.

Non, effectivement.

Et ça va être un gros franc

dans leur relation.

Et la suite devient un peu compliquée.

Alors on racontra pas la suite.

Mais parmi les clients du café

où elle sert,

il y a un juge.

Il se trouve que ça,

on peut le dire,

c'est devant ce juge

qu'elle va finir par passer

au tribunal.

On dirait pas pourquoi.

C'est ça.

Et ce juge,

finalement,

après l'avoir condamné

avec Sursi, en tout cas,

comme on peut le dire,

c'est pas tout à fait du Sursi,

ce qu'elle obtient aussi ?

Si, c'est du Sursi et une amende.

Ah, une amende.

Voilà.

Elle doit payer 1 500 euros

s'il va et moi, elle est bonne.

Et elle ne les a pas.

Et c'est compliqué si bien qu'il va.

Il est gentil, ce juge.

Il va l'engager

pour le conduire,

pour être son chauffeur.

Exactement.

Exactement.

Et il la trouve pas con.

Donc il essaie de la pousser un peu

à sortir de ses sentiers battus.

Sauf qu'elle a une voiture

toute pourrie, alors.

C'est une Twingo.

C'est une Twingo rose,

un peu cabossée,

avec une porte bleue, oui.

Ok, elle est particulière.

La première génération de Twingo.

Vachement, je suis en taux d'émarrage.

C'est évidemment une manuelle.

Je la connais très bien.

On peut en parler pendant des jours.

Et il a du mal à ouvrir

la portière de pauvre Michel Blanc

qui joue le juge dans ce film.

Le duo fonctionne à merveille.

Vous aviez peur

de travailler avec Michel Blanc.

C'est la première fois

que vous le rencontriez ?

Oui.

Et en fait,

je n'avais pas partie

de ce film,

mais je n'ai pas parlé

de ce film.

Je n'ai pas parlé

de ce film.

Et tout à fait,

j'avais peur

jusqu'à ce que tout mon entourage

commence à me foutre la pression

dans le sens où tous mes potes,

ma famille, tout le monde me disait

« C'est Michel Blanc ».

Et du coup, ça,

ça m'a foutu la pression.

Mais il a cassé la pression

en deux, en une seconde.

Le film repose.

Il faut bien le dire sur vos épaules

avec des dialogues aussi

très très réussis.

Je tiens à lire les dialogues.

C'est important.

Dans ce film,

ce qui s'appelle « Mariline et son juge ».

Ça devrait,

j'espère en tout cas être un succès

à ceur mercredi prochain.

Louis-Anne, je suis obligé de vous présenter d'autres personnalités qui sont ici aujourd'hui.

À commencer, je suis encore moins un deuxième Laurent Ruequier.

Bonjour, c'est Laurent.

C'est dingue parce que corporellement, c'est la même chose.

Alors, je vous en prie, intense, c'est ce que vous dites.

Alors, Louis-Anne, dans le film, vous vous occupez de votre père dépressif au Havre.

Dépressif au Havre, c'est un peu un pléonasme.

Ça va, ça va.

J'ai plaisir, bien sûr.

Il y a des trucs super boivres, comme la gare du Havre, par exemple,

qui permettent de prendre un train pour quitter le Havre.

Et aussi le port du Havre, qui permettent de prendre un bateau pour quitter le Havre.

Il y a encore l'aéroport du Havre, qui permettent de prendre un avion pour quitter le Havre.

Il n'y a pas d'aéroport. Il est à Octoville, l'aéroport.

Rien que le nom. Rien que le nom. Régale, Octoville.

Vous allez dire ça à monsieur Edouard Philippe, le maire du Havre.

Tiens, vous allez voir que bien. Vous allez être bien accueillis.

C'est point vrai seul.

Vous l'avez rencontré, monsieur le maire, ou pas ?

Je l'ai croisé à la projection qu'on a fait au Havre.

Ah bah, vous avez fait une projection là-bas, c'est bien normal.

Je rappelle, dans le film, vous êtes serveuse dans un bar qui s'appelle Le Finiculaire,

parce qu'il y a un finiculaire au Havre, effectivement.

Pour quitter le Havre, du coup.

Je m'en souviens, je le prenais.

Pour aller de la ville basse à la ville haute, on prend le Finiculaire.

Et puisque vous êtes serveuse...

Il n'y avait pas de route ?

Il n'y avait pas de route.

Comment ça ? Il n'y avait pas de route ?

Merci, mais il y a une côte.

C'est valonné, Loin.

C'est très beau, Loin.

A quel âge vous avez arrêté de vous déplacer en Anne au Havre ?

Et en tout cas, Loin, elle est serveuse dans le bar du Finiculaire.

Et Philippe, vous voulez vous parler ?

Loin !

Je t'adore dans le film, tu joues une serveuse un peu gaffeuse,

mais je t'aurais jamais embauché dans mon resto.

La crème renversée, c'est le nom du dessert,

pas la façon de le servir.

Merde, j'ai cassé la table.

Attends, mais c'est un coup à se prendre une tarte et finir avec une pâte brisée.

Par contre, dans le film, t'apprends que si on fait des conneries,

tant qu'on le fait avec sincérité, ça passe.

Depuis que j'ai vu ton film, je suis bien plus cool avec mes commis.

L'autre fois, mon second a raté une pernaise,

je ne l'ai même pas frappé qu'une côte de bœuf,

j'ai pris une côte d'agneau, la putain de Dieu !

Wow !

C'est vrai que ce film appelle aussi à la tolérance

et au fait qu'on apprend beaucoup de l'autre.

Lui, Michel Blanc, il apprend beaucoup de vous

et vous, vous apprenez beaucoup de lui.

C'est ça, la rencontre.

Exactement, c'est une rencontre qui est particulière

parce que c'est une rencontre entre deux milieux sociaux

et à la fois deux générations.

Et je trouve que ça fait vachement de bien.

C'est vrai que vous l'avez appelé Mich Mich sur le tournage Michel Blanc ?

Toujours, on était ensemble il y a une heure

sur une émission et puis Mich Mich, hein, tous les jours.

Gérard, il a l'habitude de se faire appeler Mich Mich Michel Blanc ?

Non, non.

On l'appelait Mich.

La Mich ? Pas mal ça, je vais changer.

Appelez-le la Mich de la part de Gérard Junio, la prochaine.

Pas de soucis, je suis prête, il va adorer.

C'est un rôle très très important pour vous, ce film, Marie-Line et son jus.

Je l'ai dit, on vous a rarement vu à l'écran.

D'abord, vous avez peu de tournage pour le cinéma, il faut le dire.

Et c'est le quatrième film seulement ?

C'est ça.

Ah oui, le quatrième film seulement.

Mais un rôle aussi important que dans la famille Belier.

Pourquoi je reparle de la famille Belier ?

Parce qu'il y a François Damien, ce qui est là.

Bonjour, bonjour.

Alors Loua, ça te fait bizarre de me revoir, hein ?

Ça devait plutôt te faire bizarre de m'entendre, hein, car la dernière fois j'étais muet.

Il a pas compris, Junio.

Ça reste un bon souvenir, la famille Belier.

C'est un très très bon souvenir, évidemment.

Est-ce que vous avez le sentiment que vous avez changé votre façon de jouer ?

Ça fait combien de temps, la famille Belier, d'ailleurs ?

Vous avez le sûr que vous voulez savoir ?

Oui, parce que je me souviens vous d'avoir reçu à l'époque...

Ça fait dix ans.

Malheureuse.

Et quel succès, en tout cas, dans la chanson Bravo.

On est très très contents pour vous.

Et ce film devrait être un énorme succès aussi.

Ça sort mercredi, Marilyn et son juge.

Vous restez avec nous et avec Marc-Antoine Lebré, évidemment.

On se retrouve dans un instant pour la Valise Ertère.

Vous connaissez le principe de la Valise.

Loua, je vais vous demander un petit numéro de...

Ou un gros délirement, enfin, entre 1 et 20.

7.

Le 7.

Retenez le prénom du monsieur Serge.

Serge Sifer.

Serge habite à Romanège Torrin.

Ce n'est pas obligé de retenir tous les noms du village.

Mais en sonnée Loire, Serge va peut-être décrocher,

vous le saluez, vous lui expliquez.

Première sonnerie.

Allez, Serge.

Je viens de changer, c'est pas pour rien.

Ben oui.

Oui.

Bonjour Serge, ça va bien ?

Oui.

C'est Loanne.

On est...

Dans l'émission Les grosses têtes.

Oui.

Et j'avais une petite question pour vous aujourd'hui.

Est-ce que vous savez ce que contient la Valise ?

Ah non.

Pas du tout.

Ah bah quand même.

Serge, qu'est-ce que c'est que ça ?

C'est la vraie Loanne qui vous parle.

Oui, oui.

Je n'arrive pas non.

Vous ne voulez pas essayer de deviner ce qu'il y a dans la Valise ?

J'écoute le soir et là je n'ai pas écouté du tout la Valise

parce que je m'étais inscrit au 300 euros.

Ah oui.

À la question.

Ah non.

Il fallait viser un petit peu plus haut.

Il y avait plus 300 euros, il y avait 1100 euros

et 10 choses dans la Valise Hertel.

Elle commence à être lourde, notre Valise Hertel.

Donc on espère la faire gagner très très vite.

Bah je vois un plat de mains si vous me demandez gentiment.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie Serge ?

Je suis électricien.

Electricien.

Peut-être ce qu'on va faire.

On va demander à la tâcher de presse du film de Loanne.

Mais s'il y a un cinéma, j'imagine qu'il y a un cinéma près de chez vous,

bien que je ne connaisse pas tout à fait l'endroit où vous vivez,

où vous habitez, c'est ou exactement l'endroit où vous vivez ?

C'est autour de Macron.

Ah bah Macron.

Il y a des cinémas à Macron, on est bon.

A Macron, il y a un cinéma, au moins.

Juste côté du Havre.

Non, pas vraiment.

Pas trop, non.

On va vous offrir deux places pour aller au cinéma,

voir Marie-Line et son juge.

Vous êtes d'accord ?

Oui, oui, oui, tout ça.

Merci.

Comme ça, après avoir entendu Loanne,

vous la verrez sur grand écran au côté de Michel Blanc

dans ce nouveau film signé Jean-Pierre Améris.

Puis on va aussi vous envoyer une montréreterre.

Vous êtes d'accord aussi pour ça ?

Ah oui, oui, je peux bien vous montrer RTL.

Je suis un grand fidèle d'RTL.

La montréreterre a été portée par John Lennon.

John Lennon, du Havre.

Est-ce que je peux avoir une montréreterre, moi aussi ?

Bien sûr qu'on va vous offrir une montréreterre,

si vous le demandez.

Merci, ça me touche.

Mais attends, sur la prochaine fois que je vous croise,

j'ai intérêt à l'avoir à votre poignet.

Pas de souci.

J'ajoute, dans la valise,

pour ceux que nous appellerons demain,

une party box de la marque MUSE.

Je sais pas si vous connaissez MUSE.

Ah oui, moi très bien.

C'est vrai ?

Toutes mes radios, c'est des MUSE.

Très bien.

Sur miz-europe.com,

vous trouverez cet enceint portable

au format d'une petite valise.

Voilà pourquoi on peut la glisser dans la valise RTL.

Comme une petite valise trop lévoie.

Mais attention, elle est puissante cet enceint portable.

150 watts.

Vous pouvez l'emmener où vous voulez

pour improviser une fête,

pour écouter de la musique en Bluetooth.

Tu es ponde dans la roue.

Pourquoi ?

Pour ennuyer le monde autour de vous.

Vous emmenez-la dans le train,

parce que c'est un pas.

Et grâce au micro-inclu,

vous pouvez même improviser un petit conseil.

Oh la la, magnifique.

Moi j'en veux bien une.

Ne le créez pas Johan Rios, s'il vous plaît.

Johan, si elle se met à chanter dans la rue.

Non mais je pensais à ma fille.

Ah, votre fille.

Très bien.

Elle veut tout, hein.

La promo pour l'Olympia,

le casino de Paris, le cinéma.

Là, vous vous piquez votre montre.

Attention.

La party box de la marque MUSE

est donc désormais dans la valise RTL.

En plus de tout le reste, notez bien.

Et puis surtout, on va remercier

évidemment Lohan d'être venu nous voir.

Aller l'avoir au cinéma.

Avec Michel Blanc, M.Crodi,

dans Marie-Line et son juge.

Bravo aussi à Marc-Antoine Lebré,

qu'on retrouve dans un instant.

Chez Julien Seillier.

Bonsoir Julien, c'est à vous.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.

Avec Gérard Jugnot, Ariel Wizman, Darie Boutboul, AZ, Caroline Diament et Yann Moix.

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