Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du lundi 4 septembre 2023
RTL 9/4/23 - Episode Page - 1h 48m - PDF Transcript
...
...
...
Avec pour vous aujourd'hui une nouvelle grosse tête.
On l'attendait depuis un moment écrivain,
réalisateur à succès et académicien bon cours.
Philippe Claudel.
...
Philippe Claudel, laissez-moi vous présenter les grosses têtes
qui vont vous accompagner aujourd'hui.
Une grosse tête qui a un point commun avec vous
puisqu'elle a obtenu le César du meilleur premier film.
Isabelle Mercourt.
...
Une grosse tête qui a connu toute la famille Claudel.
Paul, Camille et maintenant vous.
Roselyne Peltlough.
...
Une grosse tête qui retrouvera le 21 septembre prochain
au théâtre, côté de Sophie Marceau
et devant sa télé les soirs de match du 15 de France.
François Berléon.
...
Une grosse tête spécialiste de l'humour et du fromage.
Asse.
...
Et une grosse tête chanteur à la radio,
journaliste à la télévision.
Christophe Bogrand.
...
Vous connaissez maintenant un peu près de tout le monde.
Je vous écoutais les grosses têtes de temps en temps,
monsieur Claudel.
Oui, mais le plus souvent possible,
souvent en voiture d'ailleurs,
ce qui me crée quelques problèmes de circulation.
Pourquoi ?
Parce que je freine brutalement, je lâche le volant, je rie, etc.
Donc ça peut être dangereux les grosses têtes.
Pourquoi exagérer non plus ?
Vous parlez à seul coup, il y a une blague.
Vous lâchez le volant, vous freinez accident.
Non, n'exagérez pas quand même.
Si, si, si.
Ah, ça se voit, c'est un auteur.
Mais je suis très disque, là.
Cette imagination.
Oh, t'as dit que t'étais folle de lui, Isabelle.
Oui, elle commence à dire du mal tout de suite.
Ah, pas du tout, je veux dire.
Mais du tout, je trouve qu'il y a un côté un peu marseillais, quoi.
C'est pas...
Mais c'est ça, la Lorraine, c'est la Marseille de l'Est.
Oui, parce qu'il est Lorraine, monsieur Claudel.
Tu sais, mais il a un côté marseillais, je peux rien dire.
Ah oui, ah oui.
Bah oui, dans ses écransions.
Remet-le, remet-le.
Il est dessus de la Lorraine.
Il s'est tombé, il s'est tombé.
Vous avez conseillé à vos filles,
paraît-il de lire du Philippe Claudel ?
Ah, oui.
À ma fille de 13 ans, je lui ai conseillé de lire
la petite fille de monsieur Léblaine.
Oui, oh, ça va, je peux aussi faire une petite pause.
Attends.
Quoi, dans une phrase qui est un peu longue ?
Je suis plus toute jeune, je manque de souffle.
J'ai un film 15 paquets par jour, alors c'est pas bon.
Et donc je lui dis, surtout, surtout, surtout,
ne lui pas la fin tout de suite, parce que tout est dans la fin.
Et j'avais tellement peur qu'Elysée Andiagolal,
pour regarder la fin en disant que l'élu, ça y est, c'est fait,
que j'ai arraché les dernières pages.
Et elle arrive donc, et puis elle me dit,
bah tu me donnes, et j'ai perdu les dernières pages.
Donc je me suis fendue d'un deuxième, vous me devenez...
C'est pour ça que Livre, c'est beaucoup vendu.
Je peux spoiller la fin ?
Ah non, non, non, non.
J'en ai intérêt.
Renzi, macho, vous êtes...
On est pas spoillés.
Essayez d'arrêter de vouloir être jeune.
On dit spoillés, pas spoïdés.
Ah oui, j'avais promis d'être chanté avec...
Tu m'emmerdes.
Avec Agranda.
Monsieur Berlier, on n'a jamais travaillé avec Philippe Claudel.
Non.
Parce qu'il a fait des pièces de théâtre aussi.
Avec son père.
Pas encore, mais on espère un jour avec François, oui.
Et moi, je suis allé en tôt avec lui.
Comment ça ?
On a fondé le Goncourt des lycéens,
et on est allés faire la première édition,
le Goncourt des détenus.
Des détenus.
Tous les lycéens ne sont pas encore en prison.
Il y a des problèmes, mais bon.
Vous voyez, l'autoritariste...
Qu'est-ce qu'elle est de gauche, à quand même ?
L'école, c'est la prison.
Elle veut tous les faire sortir.
Il a eu le Goncourt des lycéens, Philippe.
Oui, on est allés présenter le...
C'est vrai qu'on a lancé avec Roselyne,
le Goncourt des détenus, la première édition,
l'année dernière, et la deuxième édition, cette année.
Pas ça de temps de mire.
La première citation, normalement, est une citation
dont vous devriez retrouver facilement l'autor,
puisqu'il s'agit d'édition.
Qui a dit l'édition, c'est l'art de salir avec de l'encre,
un papier coûteux pour le rendre invendable.
C'est optimiste.
C'est un éditeur.
C'est un éditeur.
Julien.
Et c'est René Julien, première bonne réponse
de Philippe Claudelle.
Il démarre fort.
Ah oui, c'est bien.
Pour Solange Desbois, qui habite courance dans les sonnes,
qui a dit un conseil, c'est ce qu'on demande
quand on connaît déjà la réponse, mais qu'on espère se tromper.
Sachez qu'il trie !
Bonne réponse !
Je pense que c'est...
Alors, Philippe Claudelle et moi, on est à Égalipe.
Pour l'instant...
C'est votre genre d'homme, Philippe Claudelle.
Philippe Claudelle, moi, tout...
Elle croit tout.
Tout le monde qui dit oui, moi.
Mais attendez, peut-être qu'il n'est pas célibataire.
Transgenre.
Ah, vous êtes transgenre ?
Non, non, non, mais j'aime bien, en fait, le transgenre, mais en littérature.
J'aime bien transcender les gens et traverser les frontières.
Oh, c'est beau.
Il va se passer un truc, là.
On marqué, c'est pas très agréable pour lui.
Elle dit, je prends n'importe qui qui veut bien.
Et lui, il lui dit, j'aime les transgenres, donc c'est pas...
Je pense qu'on est mal barré.
Justement, si on...
Voilà, encore une citation difficile.
Enfin, c'est pas la citation.
On sait de retrouver l'auteur qui sera difficile.
Pour Gilles Sergan, qui habite Plougastel d'Aula.
Ah, ça existe, Plougastel d'Aula.
La presse de Plougastel.
Non, c'est dans Finisterre, Plougastel d'Aula.
Le Finisterre, c'est quoi ? C'est le Sud ?
Je peux poser à la CSQ.
Oui, oui.
Posez-la, posez-la, on attend tout ça.
Oui, en plus, elle est difficile.
Ah non, c'est pas...
C'est l'auteur, c'est la citation.
La réponse qui est difficile.
Comme toutes l'eurs, c'est rarement difficile, une question.
Ah, ça dépend.
Est-ce qu'elle reste qui est difficile ? C'est de trouver qui a dit.
Mais qu'est-ce qui t'arrive ? Pourquoi t'es aussi agressif ?
Non, mais attends, à un moment donné, il faut se calmer, quoi.
Ah...
Mais qu'est-ce qu'elle a aujourd'hui ?
Il faut qu'elle fasse l'amour, je crois.
Qui a dit, les parents devraient toujours obliger
leurs enfants à devenir des artistes.
Il en aurait moins comme ça.
C'est français ?
C'est français.
C'est un artiste.
C'était... Ah oui, un artiste.
Ah, il est mort. Un comédien.
Non, c'est d'ailleurs, je crois qu'il est toujours vivant.
Ah ouais, je crois qu'il est toujours vivant.
Mais vous êtes pas trop sûrs, là.
Il doit être très vieux.
Il est né en 1925.
Ah, alors il n'est pas toujours...
Ah ouais, et alors, il est français ?
Alors il est français, oui, oui.
Acteur ?
Il est né à Cherbourg, pour tout vous dire.
Mais ses enfants sont devenus artistes ?
Alors ses enfants, à ma connaissance, ne sont pas devenus artistes.
Acteur ! Acteur !
Alors, je vais répondre à votre acteur.
Mais non, mais ça fait quatre fois que je dis acteur !
Il n'est pas acteur !
Est-ce qu'il était écrivain ?
Mais il a un rapport avec les acteurs, si ça peut dire.
Réalisateur ?
Il est réalisateur, scénariste et réalisateur français,
qu'on a un peu oublié, je dois dire.
Il a même écrit, tiens, ça, je l'ignorais,
c'est lui qui a écrit la première version de la grande vadrouille du don.
Ah !
Mais elle n'est pas sur vous, la première version ?
Bon, alors, c'était plutôt comique, c'est-à-dire ?
Dans la première version, c'est les Allemands qui gagnent.
Gagnent !
Jean-Charles Taquella.
Jean-Charles Taquella, excellent !
Très beau !
De Philippe Claudelle !
Bravo !
Madame Levin Mergo, pendant la pluie,
vous nous avez dit que vous aviez une blague.
Ouais, très drôle.
Très drôle, il faut jamais dire ça avant.
C'est deux prostitués qui se disputent.
C'est fini.
Ah bah voilà, c'est ça, j'ai fini.
Bravo !
Elle n'est pas une.
Deux prostitués qui se disputent.
Très rigolo.
Ma question pour la Réunion qui a eu lieu la semaine dernière.
Vous savez, ça se passait, cette Réunion,
entre le président de la République et les différents partis.
Ça se passait à l'école de la Légion d'honneur.
Je sais même pas que ça existait, d'ailleurs.
A Saint-Denis.
A Saint-Denis.
Maisons d'éducation de la Légion d'honneur,
exactement, paraît-il, ça s'appelle.
C'est une oeuvre sociale créée par Napoléon 1er.
Au départ, vous connaissez Mme Bachelot, ça vous montre ?
Napoléon 1er, oui.
Je suis...
Je suis en école.
J'y suis même allé.
En tout cas, Jordan Bardella,
le président du Rassemblement national,
qui était invité comme tous les autres partis,
était particulièrement ému de se rendre dans cet endroit.
Pour quelle raison ?
Parce que sa maman y a travaillé en tant que femme de ménage.
Non.
Parce qu'il est corse, le roux d'origine, non, il est italien.
Il est italien, M. Bardella.
Il n'a jamais été en cours là-bas.
Non, c'est que les filles.
Il n'a jamais été en cours là-bas, mais...
Mais son père...
Ah, sa première fiancée, et où sa sœur peut-être...
Non.
Son père...
C'est quelqu'un de sa famille.
Non, c'est un rapport avec sa vie personnelle.
Absolument, oui.
La première fois qu'il est dans le 93 ?
Non, je crois qu'il y est né.
Non, plus, il connaît bien, oui.
Il est né dans l'abandon.
Il est né à Drancy, en cette fin.
Il est né là, oui.
M. Bardella.
Bardella.
Bardella.
C'est à cause de l'architecture de...
Non, non, non.
A un moment donné, on était tout prêts, mais...
Mais vous m'avez demandé s'il était à l'école.
Il a enseigné là-bas.
Il n'a pas enseigné, mais vous voyez, c'est bien de percer le...
Il y a un de ses parents qui a travaillé là-bas.
Non plus.
Quelqu'un de sa famille.
Non, non, non.
C'est le concern lui, directement.
Il avait loupé les examens pour y aller.
Non.
Mais c'est que les filles là-bas.
Ah, c'est que les filles, pardon.
On brûle, on brûle.
Il a réussi quelque chose là-bas.
Parce qu'il voudrait la Légion d'honneur.
Il a une fille qui est là.
Ah, il a passé son bac là.
Il a passé son bac là.
Il a passé son bac là.
Bonne réponse, Christophe Bogan.
En effet...
Oui, c'est des salles d'examen aussi.
Il a rendez-vous avec le président de la République,
dans un endroit où il a passé le bac en 2012.
Il s'avait avant.
Il s'avait avant d'y arriver.
Il s'avait avant que c'était là qu'il n'avait pas...
Mais c'est la rencontre avec lui.
Bien sûr qu'il le savait avant.
Je veux dire, il n'a pas été d'un seul coup.
Oh, oh, oh, oh.
Bien sûr, j'ai jamais dit qu'il s'en était aperçu au dernier moment.
D'accord, on est d'accord.
Pas de polémique.
Qui est émue de voir l'établissement où il a passé son bac ?
Je me souviens même plus où c'était.
Levez la main, là.
Soyez avec moi, personne.
Alors, regardez.
Ah, ça a passé son bac, déjà, c'est l'information.
Moi, à chaque fois que je passe à côté de l'endroit,
j'ai passé le bac.
Où est-ce que vous allez passer le bac ?
Ah ben, voyez, voilà, voilà.
Vous l'avez eu, oui.
Oui, mais parce que lui, j'ai tout le moment.
Bah, ce qui m'émeut, c'est que je l'ai eu.
Ah, ouais ?
En tout cas, voilà, c'était une petite question d'actualité.
C'est vous, vous l'avez ou le bac ?
Pardon ?
Vous l'avez ou votre bac ?
Moi, oui, un vrai monsieur...
Vous n'avez pas eu le lycée ?
Non, je me souviens pas où...
Je me souviens du lycée où j'étais, moi.
Mais on passe pas le bac dans le lycée où on...
Pas forcément, non, non.
Je me souviens pas en revanche dans quel endroit j'étais quand j'ai...
Vous avez eu une mention ?
Non, non, il n'y a pas de mention parce que j'étais dans un bac-gé, monsieur.
Ah, vous passiez un bac-gé, un bac à bon marché,
dans un lycée poubelle, ouverture habituelle, des horizons bouchés...
La gueule de Juliette Armanée !
Votre question était, faut-il désespérer ?
Allez, une autre question, si vous le voulez bien.
Vous avez certainement vu dans le JDD,
cet excellent papier concernant le...
On va dire...
C'est un excellent JDD.
Non, c'est un excellent journal, c'est-à-dire.
Excellent !
Non, bah écoutez, franchement, j'ai cherché dans JDD hier une page qui parlait pas de Nicolas Sarkozy.
Je n'ai pas trouvé.
Mais...
Si, peut-être, dans les mots fléchés, non, s'il y était aussi.
Il y avait plusieurs pages, quand même.
Alors, c'est génial.
Il y avait une page entière, Carla Brunier à Venise,
la dernière page parce qu'elle est pro.
J'adore Nicolas Sarkozy, une page entière.
Une autre page où on disait que...
Alors, c'est la page que j'ai devant les yeux, justement.
Le Sarkozy tour.
L'ancien président est en tournée en toute la France pour son dernier livre.
Dans toute la France, il prend des risques, hein.
Il est à la balle, il est au touquet.
Il est à Antibes, vraiment, il prend des risques.
Vous avez exagéré, il était à Doville, le vendredi.
Ah oui !
Et en tout cas, au touquet,
il a rencontré quelqu'un qu'il n'avait pas vu depuis longtemps.
Ça a fait une photo plutôt sympathique en bas de page
de cet article signé Antonin André,
parce qu'effectivement, il ne l'avait pas revu depuis...
C'est Florence Cassez.
Florence Cassez !
Bonne réponse de Roselyne Bachelot.
Vous pouvez rappeler qui était Florence Cassez.
Elle était hôtage...
Au Mexique.
Elle a été condamnée.
Elle n'était pas un remondage, elle a été condamnée et emprisonnée.
Elle a été condamnée à plus de 60 ans de prison.
Elle était en prison au Mexique,
et c'est vrai que Nicolas Sarkozy avait fait beaucoup
pour qu'elle puisse enfin être libérée.
C'était une fille du Nord.
Et en tout cas, elle est venue faire signer son livre à Nicolas Sarkozy
au touquet la semaine dernière.
Et ça donne une jolie photo où tous les deux sont contents de se retrouver.
C'est sympa de faire les librairies et de signer, de retrouver des gens.
Oui, mais il m'est arrivé un peu la même chose que Nicolas Sarkozy.
L'on a d'un livre, le dernier.
J'ai organisé la libération d'un otage qui était dans la prison d'Abou Ghaïb
à Baghdad. Je l'ai ramené à ses parents.
Ils s'appellent Jean-Luc Barrière.
Je ne l'avais pas revu depuis la libération que j'avais négociée
avec les autorités irakiennes.
Et j'ai vu un monsieur qui venait devant moi et qui m'a dit
je suis Jean-Luc Barrière.
C'était un grand moment d'émotion.
Et ça fait une vente de livres.
C'est un exemplaire vendu comme un petit à petit.
Il a révenu que Jean-Luc Barrière, c'est toujours ça de prix.
FPM.
Les grosses têtes répondent aux éditeurs.
Allons nous avoir Florian au téléphone pour commencer,
qu'il y a 16 ans et qu'il y ait grand fan de l'émission.
On a des jeunes auditeurs, bonjour Florian.
Bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes.
Bonjour Laurent.
On parlait du bac tout à l'heure.
Vous passez le bac français cette année, c'est bien ça ?
Tout à fait.
Mais t'es pas à l'école là ?
Pas du tout, je rentre demain.
Ah voilà, ils rentrent demain.
Comment ça se fait que vous rentrez que demain, vous ?
C'est les profs qui rentrent de l'année.
Pour voir avec eux.
On sait que vous écoutez les grosses têtes,
vous avez de la répartie, vous tout de suite.
C'est ça.
Vous êtes dans quelle région, Florian ?
En Gironde.
En Gironde.
Et vous me dites, vous m'écrivez, je voudrais vous remercier
pour toutes les questions littéraires et grammaticales
qui m'aident à préparer les profs finales.
Les grosses têtes, ça sert à ça aussi.
Je voudrais savoir si ça vous intéresserait de suivre mon parcours
cette année pour avoir la vie de la nouvelle génération
sur la littérature classique.
Qu'est-ce que vous voulez nous raconter
sur la littérature classique, Florian ?
Cette année, on va étudier de nombreux livres
pour avoir la vie des jeunes sur ces livres.
Oui, par exemple, qu'est-ce que vous avez comme livre
à étudier cette année, vous le savez déjà ?
Je n'en sais rien, on verra demain.
D'accord.
Donc, en fait, tu nous appelles pour parler de livres
que tu n'as pas encore lu.
C'est ça.
D'abord, tu me parles sur un autre ton à la nouvelle génération,
à aucun respect.
Mais dernière, par exemple, quel livre vous avez étudié ?
Dernière, par exemple, on a lu Don Juan de Molière
que j'ai beaucoup aimé.
Ah ben voilà !
Et comment s'appelle le personnage principal de Don Juan ?
Don Juan.
Mais non, l'autre.
Son valet.
Le ganarrelle.
Eh ben voilà !
C'est lui qui commence.
Parce que ce ganarrelle est quasi tout aussi important
que Don Juan dans...
Quoi qu'on disera, il se note que toute la philosophie
n'est rien d'égal ou tabac.
C'est la passion des honnêtes gens
et qui vissent en tabac et t'indignent de vivre.
Eh oui, c'est le début.
Eh ben bravo, Philippe Clodin.
Vous voyez, ça, c'est de la culture.
Marie, maintenant, est au téléphone.
Bonjour Marie, on rappellera pendant l'année peut-être
quand même Florian pour savoir où il en est
avec les livres de son programme de première.
Alors ensuite, Marie, elle est tout près de l'Anse.
Elle noyait les vermelles.
Bonjour Marie.
Bonjour Laurent, bonjour à tous.
Bonjour !
Fidèle Auditrice, grâce au podcast.
Vous m'accompagnez tout au long de la journée.
Nous écrivez Marie.
Quand je cuisine, quand je fais le ménage,
quand je me prépare pour aller au travail,
quand... Non, non, on n'en rajoutait pas, Marie.
Mais...
Oh ben oui, c'est ça.
D'autant que votre petite fille qui a 7 ans vous a demandé,
bah racontez-moi, qu'est-ce qu'elle vous a dit votre petite fille ?
Donc ma fille de 7 ans entend toujours au loin,
comme vous, c'est que l'émission.
Et une fois, elle me dit, maman,
pourquoi on ne t'entend jamais, toi, dans les grosses têtes ?
Donc lui explique, bah non, ce sont des personnes connues
qui participent aux grosses têtes.
Bah, maman, papa et moi on te connaît, alors c'est connu.
Et puis alors là, encore plus, parce que vous passez aujourd'hui,
elle va être fière.
Oh ben je pense, elle va dire que finalement, elle avait raison
et que je suis connue.
Voilà, elle apprend, vous êtes connue aujourd'hui,
et on vous remercie pour votre appel,
même si on a une pensée pour les joueurs.
Lançura, moi qui suis le football,
dit Docker Sarama, là, pour le club de Lançura,
vous suivez le foot un peu ou pas, Marie ?
Moi, pas spécialement, mais ma famille, oui.
Donc elle, qu'est-ce qui s'est passé hyper, de juste ?
Ah ben, ils sont dans les profondeurs du classement.
Ah, mais c'est que le début !
Lançura, alors que le 1 qui est au milieu...
Exactement, c'est que le début.
Merci.
Et 1, 2, et 3, 0 pour le 1.
Au revoir, Marie.
Bonne journée, merci beaucoup, au revoir.
Johan, le Normand maintenant.
Bonjour, Johan.
Johan, on dit Johan.
Voilà, Johan.
OK, c'est clair ?
C'est anglais déjà, là.
Johan, c'est une problème avec les Johans,
c'est qu'on ne le sait qu'à l'oral,
mais à l'écrit, ça s'écrit pareil, Johan.
Johan, vous m'avoulez pas, alors ?
Non, non, non.
Et pourquoi vous m'appelez-vous Johan ?
Pourquoi vous nous emmerdez, là ?
Vous emmerdez, là.
On était tranquilles, là.
Il a envoyé un mail pour redynamiser
un peu les audiences cette année.
Oui.
Pour délogiser l'émission en province,
mais chez les particuliers.
Ah, c'est-à-dire ?
Que vous veniez avec votre bande à la maison.
Chez vous.
Mais il y a la place pour mettre tout le monde ?
Oui, soit peut-être Bernard Maby et...
La grosse phobie.
La grosse phobie.
On les mettra dans une chambre, à part.
Non, mais on les mettra pas dans la même émission.
Mais pourquoi vous voulez qu'on fasse une émission chez vous, Johan ?
En province, pour changer un peu des salles de spectacle,
des mairies, des...
Oui, au plus près des éviteurs.
Du côté de Nantes, vous êtes du côté de Nantes.
C'est ça que ça veut dire quoi ?
Du côté de Nantes.
Là, à Haute-Goulaine, près du Muscadère, au-dessus de...
On rêvait d'y aller.
À Haute-Goulaine ?
Je peux pas mieux vous dire, Johan, on rêvait d'y aller.
On va organiser ça, mais peut-être qu'on va trouver une salle d'effet.
Ce sera pas plus mal.
Pour faire l'émission un de ces jours.
Maintenant, Patrick est au téléphone.
Bonjour, Patrick.
Oui, bonjour Laurent, bonjour les grosses têtes.
Bonjour, Patrick.
Bonjour, Patrick.
Adeptes des grosses têtes depuis de nombreuses années,
ma femme et moi, nous avons plaisir à participer
aux enregistrements de temps en temps.
Nous y passons un agréable au moment,
seul bémol, notre placement.
Que se passe-t-il ? On vous place mal dans la salle, c'est ça ?
Non, on place pas mal, mais disons que j'ai remarqué
que c'était souvent les moins en temps
qui étaient placés devant, en priorité.
Les moins de quoi ? Les moins de...
Non, en fait, il y a des jeunes au premier rang.
C'est vrai qu'il y a quand même pas mal de jeunes quand même.
A part de trois exceptions, il y a quand même des jeunes au premier rang.
Les moins de 40 ans, c'est ça, vous dites ?
Oui, à peu près.
Alors, je me suis dit que, bon, même si on est de la même tranche d'âge,
vous d'aviez peut-être peur des odeurs du rythme,
mais bon, on s'en venait aux couches de...
Non, mais regardez, on a tous les âges au premier rang.
Les sorties de secours sont derrière, c'est pour ça.
C'est pas ça, en fait.
Surtout, je crois que j'ai la réponse dans votre mail
parce que vous dites que vous venez souvent.
Non, je suis venu 7 ou 8 fois.
Ah, d'accord, bien.
Or, c'est vrai qu'on met plutôt les nouveaux au premier rang,
parce qu'autrement, les anciens ont plutôt tendance
à squatter toujours les premières places.
C'est toujours les mêmes qui se retrouvent au premier rang.
Voilà pourquoi on met plutôt les gens qui viennent pour la première fois
dans les premiers rang.
Il y a un autre problème, parce que peut-être, par exemple, aujourd'hui,
on a mis au premier rang comme Isabel Mergo,
et là, on a mis les gens qui avaient un kawai, par exemple, au premier rang.
Il faut être écouté.
J'ai délari dans ma vie, comme ça.
Comme ça, rarement.
Mais peut-être que vous êtes très grands, monsieur.
Non, justement.
Non, c'est un non.
Alors, ils ne voient rien.
Alors, premier Patrick, on va prendre votre nom,
et vous serez au premier rang, la prochaine vie.
C'est super gentil, et puis continuez ça.
Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Patrick ?
Écoutez, je suis retraité, maintenant.
Voilà.
Vous avez le temps de revenir.
Exactement.
Alors là, si vous êtes un, alors les retraités, on les met au quatrième rang.
Ça fait une passe.
Allez, on vous embrasse.
Premier, vous serez au premier rang, la prochaine fois.
Manuela, maintenant.
Bonjour, Manuela.
Bonjour.
Alors, Manuela, elle nous écoute tous les jours,
et elle note le contenu de la valise,
mais on ne l'appelle jamais.
Voilà ce que vous nous reprochez, Manuela.
Ben oui.
La preuve, là, où vous appelez ?
Oui, passé Jean-Pu.
Mais on ne va pas vous demander quoi, la valise.
Est-ce que vous avez le contenu de la valise, justement, Manuela ?
Oui.
Eh ben, c'est pas la peine.
Oui, j'ai bien compris.
Ah oui, désolé.
Vous avez le contenu.
Cripez-le, tiens pour ceux que nous appellerons tout à l'heure,
mais ce ne sera pas vous, forcément, Manuela.
Il y a quoi dans la valise, aujourd'hui ?
Je vérifie si vous avez la bonne valise.
Elle ne gagnera rien, c'est les boules.
Mais c'est cruel.
Il y a 10,25 euros.
Voilà.
Que vous ne gagnerait pas, non ?
Incartable, Paul Fox.
Voilà, que vous ne gagnerait pas non plus.
Un casque.
Non plus, voilà.
Un rouleau de PQ.
Eh ben non, vous avez torché avec autre chose.
Comme ça ?
Un blender portable.
Mais non, il n'y a pas un rouleau de PQ.
Il n'y a pas de rouleau de PQ.
Où est-ce que vous avez trouvé un rouleau de PQ ?
Il n'y a pas de rouleau de PQ dans la valise ?
C'est juste que vous avez confondu avec votre liste de course, Madame.
Philippe Geluc, il a...
Ah, Philippe Geluc, mais il a dit ça pour présenter, Geluc.
Ah, bah écoutez, moi, je l'ai noté.
Eh ben, vous avez perdu la valise herdel !
Les grosses têtes avec Laurent Ruquier,
c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.
Toujours Écrosine Bachelot,
Isabelle Merdaud, François Berléan,
Haz, Christophe Bobrand,
et notre nouvelle grosses têtes du jour,
l'écrivain Philippe Soudel.
On parlait de la rentrée tout à l'heure.
Vous avez vu ce classement qui rappelle que les étudiants
français sont moins bons que les écociers japonais,
anglais, coréen, irlandais, je vous en passe.
Les premiers sont les estoniens,
sont les élèves estonien,
qui sont les premiers bons élèves de ce classement.
Oui, mais pas en français !
Ah non, allez savoir !
C'est pour la compréhension à l'écrit, je crois.
C'est ça, c'est le fameux classement PISA,
vous connaissez ce classement.
On entend parler régulièrement de ce classement PISA,
mais justement, ça fait que les étudiants
veulent dire quoi ? Pourquoi ça s'appelle le classement PISA ?
Que veut dire PISA ?
C'est un acronyme anglais ?
C'est un acronyme qui marche aussi bien en anglais qu'en français.
Performance, le premier ?
Institution, pour le I ?
Institution, pour le I, non.
Scolar, pour le P ?
Pour le P, programme, bravo.
Instructif ?
Information.
Instruction ?
Il vous reste le I, le S et le A.
Idiocie ?
Interactif ?
Non, c'est un programme dont on parle dans le monde entier.
International ?
International, parfait.
Le programme international ?
C'était plus facile.
Des savoirs acquis ?
Bravo, parce que c'est bien acquis, mais c'est pas le savoir.
La science ?
PISA, effectivement, programme fort international.
C'est en anglais le S ?
En fait, c'est assez curieux, parce que la traduction en français...
Ne reflète pas ce que c'est vraiment ?
Si, je sais pas comment expliquer.
Ca marche aussi bien en anglais qu'en français,
mais ça veut pas dire la même chose, comprenez ?
Ah d'accord.
Et vous voulez le mot anglais ou le mot français ?
En anglais, c'est programme fort international student assessment.
Mais chez nous...
Studiant, studiant.
Ah non, non, non.
Non, c'est le quoi des acquis des élèves ?
Programme international pour le des acquis des élèves.
C'est pas mon conchère.
C'est un nom commun.
Oui, un nom commun, oui, bien sûr.
C'est un peu comme le savoir.
C'est pas le savoir.
Oui, je sais, je sais, je sais.
Mais est-ce que c'est un synonyme ?
Non, non, non.
Ca correspond pas à ce qu'on apprend forcément à l'école.
Qu'est-ce qu'on fait avec ça ?
Ah oui, pour les études, en fait, plus tard.
Non, non, non.
C'est pour faire un classement.
Ca exprime le fait que trimestre après trimestre ou semaine après semaine...
Programme international du...
acquis.
Programme international pour le 1-1 des acquis des élèves.
C'est quoi, pour le suivi des acquis des élèves ?
Bravo ! Bonne réponse de Philippe Claudel
pour le suivi des acquis des élèves.
Mais attendez, Laurent, en anglais, suivi, ça veut dire quoi ?
Non, mais en anglais, je vous ai dit, c'est pas pareil.
En anglais, c'est student.
Vous ne m'avez pas écouté, Isabelle.
Ah, je l'ai cru que c'était le même mot, en anglais qu'en français.
Non, non, non.
Il a bien dit dès le départ.
Je suis...
Ils ont gardé le même acronyme, mais avec des mots différents.
J'ai une question où vous allez peut-être un peu plus briller, M. Az,
puisque c'est la question fromage du jour.
M. Claudel, il faut que je vous explique.
Oui, expliquez-moi.
Az, à une spécialité, ce sont les fromages.
Oui, une spécialité, j'ai eu une bonne réponse en un an, c'était un fromage.
Et une fois, il a dit, j'aime bien le babybel.
Et comme on a combien de fromages ?
500, en plus de 500.
600, en même temps.
Ça me permet chaque jour quasiment, en tout cas, quand M. Az est là,
de poser une question sur les fromages.
Et il s'agit, cette fois, d'identifier un fromage suisse,
mais qu'on connaît bien.
Ah si, mais qu'on connaît bien chez nous, en France,
un fromage à base de lait de vache.
Le goudin.
Au goût corsé.
La Penzeller.
La Penzeller.
La Penzeller, bonne réponse.
Pardon, j'ai piqué.
Moi, je vais vous dire une chose.
Mon fromage préféré, c'est le rock fort.
Mais bon, qui est obligé d'enlever tous les petits trucs bleus ?
Parce que...
C'est moisi, mais sinon, j'adore.
Alors la Penzeller,
il faut savoir, c'est compliqué de faire de la Penzeller.
Il paraît qu'il y a seulement 2 personnes par génération
qui connaissent la recette.
La Pen.
Et peuvent...
Il y a Zeller, des fois.
Et peuvent accéder au coffre de la banque
ou égarder le secret de la Penzeller.
La Penzeller, il y a des petits trucs noirs dedans, non ?
Non, il n'y a pas de petits trucs noirs.
Les muls d'Apenzeller pèsent entre 6 et 8 kilos.
On a un diamètre de 30 à 33 cm.
La routine.
Belle meule quand même.
Et ça se fait en Suisse, c'est un fromage...
Mais ça se fait à Penzel.
Il n'y a pas assez de fromage français
pour qu'on nous impose d'un fromage suisse.
On est pour la pépérance nationale avec monsieur Berléan.
On nous arrive de manger du fromage suisse,
du fromage étranger tout de même.
Mental, italien, du parmesan.
Vous ne mangez jamais de parmesan ?
Non, jamais.
Non, monsieur.
Je vais poser une question littéraire
en présence de monsieur Claudel, profiteur Zan, tout de même,
pour Carole Boulet, qui habite Belleville sur vie.
Il s'agit de retrouver le nom d'un poète
et un boxeur.
Tiens, justement, on parlait de Suisse.
Et bien, lui, il est né à Lausanne, en Suisse.
Mais on ne sait pas trop où il est mort,
parce qu'il serait disparu au large du Mexique,
en novembre 1918.
Et ce poète et boxeur et véticot britannique,
mais de langue française,
étaient particulièrement connus
pour d'abord, dans un premier temps, avoir boxé,
et ensuite avoir lancé une revue
où il cassait un peu ses contemporains.
C'était une sorte de critique à la plume,
une sorte de poids-plume, j'ai envie de dire,
puisqu'il était à la fois boxeur.
Oh, vous êtes brillants.
Vous êtes brillants.
Vous êtes fort.
Un poids-plume.
Oh, il a l'excellent.
Oh, mais un peu talent.
Beaux grands jeunis-camots, vos gueules.
C'est formidable.
Ce qui veut dire oiseau.
Alors, on a tendance à trouver son nom,
à cette écrivainme.
M. Cloudeau, vous le connaissez.
Comment vous dites ?
Arthur Cravant.
Arthur Cravant, excellente réponse de Philippe Seudel.
Bravo.
Vous êtes une vraie grosse tête.
RTL, 6 grosses têtes, 500 000.
Alain est un novilaire, les badons-villets.
Je sais pas si je prononce bien,
cet endroit de meurtemoselle.
Bonjour Alain.
Oui, bonjour Laurent.
Comment je dois dire, alors ?
Novilaire.
Novilaire, les badons-villets.
Novilaire, les badons-villets.
Comme ça s'écrivent.
Là où je vais chercher les champignons.
C'est pas vrai.
Vous connaissez Novilaire, les badons-villets ?
Il y a des champignons.
Il y avait du Girol récemment.
Vous donnez vos coins à champignons, vous alors ?
Vaguement, vous voyez.
Vaguement.
Qu'est-ce que vous faites, Alain, vous, en meurtemoselle ?
Je suis chauffeur routier.
Chauffeur routier.
Et vous allez peut-être, vous le souhaitez en tout cas,
partir une semaine en vacances dans un club Bellembras,
grâce à mes grosses têtes,
grâce surtout à celle qui va vous dire la vérité,
puisque c'est cette grosse tête-là
qu'il va falloir dénicher parmi les fake news.
Attention, il y a 50 clubs de vacances Bellembras.
Vous pourrez choisir celui que vous souhaitez
sur bellembras.fr.
C'est une valeur de 2 000 euros quand même,
à la mer, à la campagne, à la montagne.
Bellendroit pour les Bellembras.
Oh, quel bon je demande.
C'est le slogan du club, vous savez.
Le plus bel en bras du monde.
C'est en demi-pension.
Vous pourrez partir à la mer, à la campagne,
ou à la montagne, en famille,
puisque c'est un séjour pour 4 personnes.
Alain, c'est bien, non ?
C'est très bien.
Alain, écoutez bien les infos de mes camarades grosses têtes.
Il y en a une seule, de vrai.
On commence par M. Berléon.
Oh bah, évidemment.
Alors, Bérangère Couillard, non ?
Ah bah oui.
Ministre des discriminations à du mal
à se faire un nom au gouvernement.
Plutôt que de changer de ministère,
elle a fait une demande de changement de nom.
Ah, ça, maintenant.
Rentrer scolaire.
Aucun problème avec l'Abaya.
En revanche, un élève à qui on a demandé
s'il allait avoir de bonne note cette année
a répondu, inshallah, et a immisèmement été viré.
Christophe Beaugrand.
Mariage du Gaufret, 94 ans.
Michel Drucker n'a pas été invité.
Trop jeune.
Yjaba Emergo.
Vendance en champagne.
C'est dur.
Jamais, les grappes n'avaient été aussi gigantesques.
Roselyne Bachelot.
Elizabeth Bourne, Premier ministre,
et célèbre vapoteuse, ayant annoncé
l'interdiction de la puf, la cigarette électronique jetable.
Une plaque vient d'être posée
sur le fronton de Matignon.
Faites ce que je dis, pas ce que je fume, ma.
Philippe Clodel.
Alors, rentrer scolaire encore.
12 millions d'élèves rentrent à l'école.
200 en Abaya, selon la France Insoumise,
et 8 millions, selon l'extrême droite.
Qui a dit la vérité parmi toutes ces informations,
Alain ? C'est assez simple, normalement.
Je pense As, non.
As, non.
Comme ça, par principe.
Mais effectivement, vous avez raison,
il n'y a pas d'élèves qui a été viré,
parce qu'il a dit, inshallah, non.
En suite.
Pas encore, pas encore.
Le mage du Gaufret, à votre avis, c'est vrai ?
Oui, non, non, Hugo Fret, non plus.
Il s'est vraiment marié.
Il s'est vraiment marié.
Il s'est marié, oui, mais...
Mais Michel Drucker n'est pas trop jeune.
Voilà.
Et puis, il a été invité.
Sûrement.
Sûrement.
Il y avait Renaud, en tout cas.
Il y avait Renaud, Jean-Luc Rechman.
Il y avait Isabelle Merthaud,
je n'ai pas trop bien entendu la fin.
Ah, Isabelle, peut répéter si vous le souhaitez, oui.
Vendange en champagne.
Jamais les grappes n'avaient été aussi gigantesques.
T'es sûr que c'est n'avait été ?
Oui, il n'avait été.
Il n'avait été.
C'est vous qui faites...
Non, c'est pas que c'était ton bac, c'était ou ?
À mon avis, elle n'a pas eu de mention.
C'est vous qui faites la lecture à vos filles.
Oh merde !
Mais la rastez pas, je l'ai dit.
Alors, vendange en champagne.
Jamais les grappes n'avaient été aussi gigantesques.
En fait, la liaison n'avait été.
Oui, n'avait été, mais était-t-on ?
On pense que c'était été, le verbe était-t-on ?
On peut pas s'en sortir, non plus ?
Oui, c'est pour ça que c'est mieux été.
C'est vrai, il n'y a pas de doute.
Bon, alors, alors, vous voulez ré-entendre quelqu'un,
éliminer quelqu'un ou aller directement à la réponse ?
Je pense que ça serait, Isabelle Mergo.
Qui aurait dit la vérité ?
Oui.
Eh ben oui, bien sûr !
Isabelle !
Eh oui, eh oui.
La fille connaît en grosse grappe.
Jamais une grappe n'aurait atteint autant.
220 grammes, la grappe.
Ça fait gros.
Oui, ça fait gros.
Normalement, c'est autour de 175 grammes.
C'était le record précédent.
Et là, d'un seul coup, le comité Champagne a annoncé
que c'était des grappes records
que les grappes de Champagne cette année.
Et il y a des gens, en métier, c'est de venir peser les raisons ?
Des caressées, il n'est pas le fait.
Il y a des mecs qui viennent voir pour voir s'il y a un record.
Bon, à l'école, je l'ai souvent raconté,
les infirmières ne vous palpèrent pas la grappe régulièrement.
C'est très agréable, d'ailleurs.
Il n'y avait pas quoi faire un bon creux.
Je crois que c'est mon temps de l'infirmerie.
Mais c'est vrai que les dames...
J'avais une maigre grappe, moi.
Pareil qu'elle ne faut plus ça.
Elle ne faut plus.
Personne ne vous tâte les grappes.
C'est dangereux, maintenant.
Seulement si vous avez une bonne mytho-aide.
En principe, il faut vérifier que les bourses sont descendues.
Les grappes sont descendues.
Mais vous êtes sûrs que c'était...
Elle faut vérifier, est-ce qu'elles sont descendues ?
De quoi ?
Non, mais vous, vous avez la coutille aussi.
Les bourses ? Vous parlez des bourses ?
Les bourses, hier.
On peut pas savoir, on lui a refusé la bourse.
Bon, en tout cas, vous avez gagné !
Vous partez dans un club bel en bras, elle a un bravo !
Un bravo !
Ça fait plaisir !
Une question pour Florence Miozotti.
C'est une question sport.
Puisqu'on vient de nous apprendre
la disparition de la panthère noire.
Et c'était son surnom.
Monsieur Berlain, vous connaissez...
Salif Kayta.
Salif Kayta, bravo, un footballeur !
Et alors, la presse étude un imme, à propos de Salif Kayta,
que soit dans l'humanité, que soit dans l'hybération,
et même le Figaro, c'est assez rare.
C'est Yves Tréard qui parle de football dans le Figaro,
et qui raconte l'histoire de cet attaquant exceptionnel
des années 60-70, qui a marqué le club de Saint-Etienne,
puis le club de Marseille.
Il est mort à Bamako, à 76 ans,
mais il a fait essentiellement carrière chez nous, en France,
et on raconte son arrivée, alors il paraît que c'est un peu légendaire,
mais son arrivée à l'aéroport, ici, en France,
pieds nus, sans argent, et il a été obligé de prendre un taxi
pour aller jusqu'à Saint-Etienne.
Le taxi lui a offert...
Alors non, justement Yves Tréard.
Voilà, raconte que tout ça est une légende.
Quand le taxi lui avait quand même demandé 1000 balles,
1000 francs à l'époque, pour aller jusqu'à Saint-Etienne,
et que c'est Saint-Etienne, évidemment,
qui avait remboursé le voyage de ce chauffeur de taxi,
débarqué à Orly, en tout cas, Salif Quetta,
le 14 septembre 1967.
C'est pas parce qu'il était pauvre, qu'il est arrivé sans rien,
sans bagages et pieds nus, c'est parce qu'on lui avait tout volé
pendant le voyage.
Voilà ce que raconte, en tout cas, Yves Tréard dans le Figaro, aujourd'hui,
mais c'était un grand footballeur, Salif Quetta.
Pardon, mais on lui avait volé pendant le voyage.
Il était dans l'avion, il avait piqué ses chaussures et ses chaussettes
pendant qu'il était assis dans l'avion.
Parce qu'il dormait bien, il dormait profondément.
Si on te pique tes chaussures et tes chaussettes pendant le cul d'or,
tu t'en rends compte quand même, non ?
C'est curieux, votre histoire.
Mais si c'est dans l'avion, on doit retrouver de l'honneur.
Oui, c'est un...
Le mec qui se réveille, il est vraiment piqué les chaussettes, mon slip.
Qui m'a piqué mon slip ?
Non, le mec, il est à poil dans l'avion, c'est bizarre.
Il n'est pas arrivé vraiment pieds nus.
Donc vous racontez n'importe quoi.
Il raconte n'importe quoi.
Et non, justement, Yves Tréard, il essaie de revenir sur cette légende,
qui n'est pas tout à fait exacte, du fait qu'effectivement,
on a raconté pendant longtemps qu'il était arrivé pieds nus chez nous en France,
à l'aéroport, et qu'il avait pris un taxi, qu'il avait emmené jusqu'à Sainte-Etienne.
L'histoire du taxi, c'est vrai, mais le fait qu'il soit arrivé sans bagage et sans rien,
c'est effectivement parce qu'on lui a volé ses affaires,
mais on lui a volé ses affaires pas dans l'avion, voyons.
Oui, il a perdu sa valise au sapis bagage comme tout le monde.
Il n'était donc pas en pieds nus.
Non, il n'était pas pieds nus.
On lui a piqué sa valise.
Oui, c'est sans lui, il a piqué sa valise comme ça.
Il n'a pas retrouvé sa valise, il a été perdu.
En fait, on a mélangé l'histoire de Gibril 6C et Yannick Noir.
Non, mais...
Mais si la légende est plus belle que l'histoire, imprimer la légende.
Mais voilà, exactement.
En tout cas, c'était un grand footballeur, sa vie était un roman.
Il y a même eu un film, d'ailleurs, qui a raconté
effectivement l'histoire du ballon d'or, un film sorti en 1994.
Il y a même eu une chanson.
C'est Monti, c'est le chanteur qui avait fait la chanson sur les verres.
Je ne sais pas si on l'a, la chanson.
Il c'est les plus forts, évidemment, c'est les verres.
Il avait une voix nazière.
Il raconte l'histoire du taxi, écoutez.
Taxi.
C'est une chanson de qualité.
Heureusement qu'on a oublié cette chanson.
Il parle au taxi, là.
Et je vais dire, c'est grâce à Yves Tréard que j'ai retrouvé cette chanson.
C'est lui qui parle de cette chanson dans son article du jour,
un taxi pour Geoffrey-Guichard.
une chanson qui racontait l'histoire de Salif Quetta et en fait pourquoi ils ont lui avalé ses affaires ?
Parce que je vous ai toujours pas raconté pourquoi ?
Ah bah oui !
Et ça c'est Salif Quetta qui l'aurait raconté lui-même à Yves Tréard, voilà pourquoi ?
Il revient sur la légende, tout simplement à l'époque il fuyaient son pays
et il avait décidé de filer au Libéria pays voisin pour monter dans un avion vers la France
et c'est là-bas qu'il s'est malheureusement fait tout voler dans l'aventure avant de prendre l'avion, vous voyez ?
C'était les Libériens !
Et pas en France !
C'est marrant d'ailleurs ce moment, pour ceux qui ont eu la chance de partir en vacances,
ils sont pas si nombreux, il y a quand même beaucoup de Français qui ne peuvent pas partir,
il faut le rappeler chaque été, mais pour ceux qui ont eu la chance de partir
et qui ont pris l'avion malgré leur indice carbone qui a en subi les conséquences.
Désolé, il y avait honte, non ?
Pardon !
Il y avait honte, non ?
Oui, c'est vrai que moi je l'ai pris pas mal.
Ah oui, je sais.
Ils jettent même les papiers par le hubo.
Oui, ils jettent ces papiers de mcdo par le hubo.
On casit pas l'avion dans l'année, je travaille Mr Vaudrand.
Mais d'abord, j'ai excusé de rien.
Mais pendant l'été, effectivement, je me permets de prendre un peu plus.
J'ai pris trois fois l'avion, ça vous va ?
C'était...
Non mais j'ai rien pensé.
Normal, il est déjà allé retour.
Ah mais alors il leur montre qu'il a fait deux fois.
Ah ça veut dire qu'il voulait pas.
Ça veut dire qu'à un moment, vous êtes resté dans un pays ?
Il l'a pris six fois, enfin.
Alors j'ai pris six fois.
Bon, d'accord.
Il a trois allers retours, ça vous va ?
Qu'est-ce que vous voulez ? J'allais pas aller au Japon.
Je vais pas aller au Japon à pied quand même.
Bon, c'est une grande destination.
Ça peut bien aller, mais alors c'est très compliqué parce qu'il faudrait passer par la Russie
et comme c'est le plus possible, il n'est pas sympa.
Donc voilà.
Mais la petite Greta, elle, il serait allé en bateau, elle.
Mais Greta...
Oui ?
Ah, vous avez raison.
Il y a trois mois, mais il serait allé en bateau.
Sauf qu'elle pollue plus en bateau qu'en avion.
Ah oui, le bateau pollue plus que l'avion.
En bateau à voile.
Mais elle, il sera allé.
En gros avion, en gros bateau.
C'est de baisser le gros bateau.
Mais non, mais parce qu'il marche pas, c'est que je vais mettre là.
Ah ben là, là, là.
C'est un peu ce que j'ai écrit, s'il y a certain nombre de bateaux.
Non, mais François, il n'a jamais de théâtre.
Je vais le dire, on s'y va.
Je vais pas goûter à le micro, moi.
Il a une vraie voix d'acteur, le comédien.
Qui n'a jamais pris l'avion pendant l'été ?
Non, mais ce qu'il y a, c'est ceux qui donnaient des leçons.
Qui ont de...
C'est pas belle.
Rappelez-moi bien, surtout, que pour mon débat sur BFM,
quand j'aurais démarré, que je ne vous appelle jamais.
Non, elle avait des bons arguments.
Oh merde, j'ai pas...
Alors vous savez pourquoi elle ne déploie pas ?
Parce que Rosine Bachelot, quand elle parle,
elle prend tout son temps, personne ne la coupe.
Moi, je vais vite, parce que j'ai toujours peur qu'on me coupe.
Et de fait, on me coupe toujours de toute façon.
Mais non.
Ce que je voulais dire, c'est que...
Mais c'est vrai que Roseline parle bien, faut dire.
Les donneurs de leçons.
Oui, oui.
Voilà, qui, sur en écologie, la natagne,
et qui eux-mêmes prennent les avions,
eh ben, ne sont pas...
C'est vrai que c'est un pelon, hein.
Mais heureusement, c'est très intéressant.
C'est un peu long, mais c'est très intéressant.
Eh ben, je vais vous dire,
parfois, parfois je parle,
et je m'ennuie toute seule au milieu de ma main.
Ah ben tiens, plus qu'on parle d'écologie,
ça tombe bien, une question pour Roland.
Ah ben là, ça, alors là, je suis au taquet.
Pour Roland Guillon,
qui habite sous-stom dans les Landes.
Aujourd'hui, dans la presse.
Il faut pas se tromper de première lettre.
Sous-stom.
Roland de sous-stom et pas...
Dès arbres pour protéger nos villes,
c'est le titre de Frédéric Mouchon,
dans le parisien.
Mouchon, pas Bouchon.
Ah, il y a que des noms abosibles dans ça.
Grâce à leur ombrage,
et à leur effet bruit misateur,
leur feuillage peut faire chuter de 6 à 10 degrés,
la température ressentie dans les villes.
Plus il y aura d'arbres, moins,
vous aurez chaud, c'est ce que rappelle Frédéric Mouchon,
dans le parisien, il a bien raison.
Et qui pour les chiens, c'est bien.
Et pourquoi ?
Bah ils peuvent lever la pâte sur le.
Ah oui, d'accord.
Mais si, parce que maintenant, ils ne peuvent plus lever la pâte.
Il a eu la pâte sur des gens maintenant.
Voilà.
Comment ça les chiens peuvent plus lever la pâte ?
Ils ne voient pas pourquoi c'est bruit misateur.
Enfin ça vous m'expliquerait plus tard.
Ah bah il suffit que vous vous m'expliquez pour que ça le soit.
Alors.
Oui, ça va et nous, on a un bruit misateur,
on n'a pas besoin d'arbres.
La mairie de Paris, en tout cas,
a décidé de ne plus planter de être.
Vous savez, des êtres.
Des êtres quoi.
Non, pas des êtres parce qu'il y a un hache.
Ah bah, on dit des haricots.
Non, non, non.
On ne dit pas des haricots.
Si c'est pas être, c'est ne pas être.
Voilà, des êtres, l'arbre, vous voyez.
On ne peut pas dire des êtres.
Non, parce que les êtres, il faut le dire,
sont trop sensibles à la chaleur.
Et si un arbre a trop chaud,
il ne va plus servir à quoi que ce soit
pour apporter de l'humidité.
Il va garder pour lui sa fraîcheur.
Donc on ne plante plus d'être.
On ne plante plus d'être.
Mais alors, qu'est-ce qu'elle fait ?
Pas la question.
Eh ben la question, c'est qu'on plante
ou des chaînes, nous dit la mairie de Paris,
désormais...
Ou des palmiers.
Quoi ?
Des palmiers.
Oui ?
Non, ils plantent désormais
ou des chaînes,
ou des arbres aux feuilles d'ortie.
C'est l'autre nom de quel arbre ?
Des châtaigniers.
C'est pas des marogniers.
C'est un provençal,
un arbre provençal
qui vient du roussillon,
de Catalogne.
Des arbres grimpants ?
Qu'est-ce que vous appelez
des arbres grimpants ?
Des arbres avec des petits pattes.
Non, c'est rien.
Des fois, je parle pour parler.
Non, mais c'est les arbres qui grimpent
sur les mûres.
Vraiment, c'est sur le fromage.
Des boules à viliers.
Non, c'est des vrais arbres
avec un tronc et des feuilles.
Oui, bien sûr.
Mais ça existe,
les arbres grimpants,
mais faites pas passer pour un coup,
c'est les arbres qui grimpent
sur les mûres.
C'est peut-être un arbre
qui grimpent,
mais pas un arbre.
C'est un arbuste.
C'est un arbuste,
une plante,
vous voyez ce que je veux dire.
Un arbuste, c'est quoi ?
Du lierre.
C'est un petit,
c'est le petit de l'arbre.
Le petit de l'arbre.
Le petit de l'arbre,
il y a la maman arbre.
Il y a le petit de l'arbre.
C'est vrai ?
Le lierre,
c'est pas un arbre.
Bon, dites-là.
Est-ce que c'est un arbre maraisant ?
Est-ce que c'est un arbre connu ?
Ah oui,
c'est un arbre connu
et c'est ce que la mairie de Paris
souhaite planter de plus en plus.
L'épicéa.
Est-ce que c'est un arbre maraisant,
oui ou non ?
Qu'est-ce que vous appelez
un arbre maraisant ?
Oh !
Oh !
Oh !
Oh !
Là, là, là.
Attendez !
Laissez-moi rire,
deux secondes !
Ah !
Ah !
Ah !
Bah,
qui ne peut pas persister.
Ah !
Persistant,
c'est ça persistant.
Maraisant !
Maraisant.
Non, non, non,
c'est un arbre à feuilles caduc
répandu,
j'ai bien répondu à votre question.
Oui ?
Répendu dans des régions chaudes
de l'hémisphère nord.
Est-ce que ça fait des belles fleurs ?
Ah oui !
Est-ce que c'est un arbre
qui fait des fleurs roses ?
Ah, c'est des fleurs roses, là,
des fleurs roses.
....
Pardon.
Des Poloniens ?
Non, des Poloniens.
Des Poloniens !
Est-ce que ça fait ça,
Alors c'est un arbre dont, j'ai vous aidé, c'est un arbre dont on se sert, on se sert de son bois pour les manches de fouet de luxe.
Alors ça c'est pour Roselyne, parce qu'elle a des fouets à la baisse, pour les cannes, pour les soirs et les sadomasos, pour les cravaches, c'est pas ça Roselyne.
C'est un arbre dont le bois est de qualité pour les fouets des chartiers.
Le mico-couillier.
Le mico-couillier, excellente réponse, Philippe Claudelle.
Alors là, bravo Monsieur Claudelle.
Il commence très fort.
Les fouets sont en mico-couillier.
C'est vrai, j'ai oublié, c'est vrai, effectivement.
Une question toute simple, puisque vous avez certainement vu que le président de la République, le président de la République, le président de la République, le président de la République,
Une question toute simple, puisque vous avez certainement vu que le président Macron était allé déjeuner à l'extérieur de l'Elysée aujourd'hui.
Avec qui le président Macron a-t-il déjeuné aujourd'hui ?
Une femme.
Ah, une femme, non.
Un homme.
Avec plusieurs, même.
Ah, plusieurs.
A plusieurs.
Avec les rues bimanes, avec les rues bimanes.
Avec les rues bimanes, bonne réponse.
Isabelle Merbeau, ils sont logés à l'hôtel Renaissance à Rueil-Malmaison.
Mais oui, c'est pas loin du le roi Merlin.
Je connais bien.
Oui, oui, c'est leur camp de base, Rueil.
Et alors il y a toute une polémique autour d'un joueur, parce qu'il aurait été...
Ah oui, chalumeau là.
Chalumeau.
Chalumeau.
Chalumeau.
Chalumeau.
C'est vrai que c'est dans votre contrat, il paraît que c'est vrai, ça, Monsieur Bernier.
Chalumeau, ça a deux bosses, ou quoi ?
Quand ça se bagarre, ça peut avoir deux bosses.
Il y avait plein de bosses, je crois.
C'est vrai que vous avez dans votre contrat au théâtre,
le fait que vous ne jouerez pas
avec Sophie Marceau,
puisque la pièce qui déjà paraît-il fait le plein avant même qu'elle ait commencé,
il paraît que vous ne jouerez pas
les soirs ou le 15 de France jouent.
C'est vrai ou pas ?
Alors, quart de finale, demi-finale et finale.
Si les Français se qualifient.
Mais c'est-à-dire qu'il y a quelqu'un qui joue à votre place,
ou il n'y a pas de spectacle ce soir-là ?
Il n'y a pas de spectacle ce soir-là.
Je suis iremplaçable.
Non, c'est pas ce que je voulais dire.
Tu n'auras pas de public à votre avis, c'est ça ?
Les gens vont rester devant le match.
Ah non, non, non, non.
Parce que j'ai envie de voir le match.
Ah oui, d'accord.
La star que c'est, mais moi, si je l'exige...
Non, mais non seulement.
Mais j'irai voir les matchs au stade, moi.
Vous emmènerait Sophie Marceau, vous n'avez pas les...
Bien sûr, bien sûr.
Tout seul ce soir-là ?
Bah non, bah évidemment.
Je ne pensais pas qu'il avait autant de pouvoir,
je suis impressionné.
Mais oui, il fait ça pour l'amour et dans le prêt aussi,
les deux dernières épisodes.
Et pour la finale de la star académar,
c'est pas une question de pouvoir,
c'est une question de dire,
moi je ne fais la pièce que si j'ai ces trois dates.
Ça va, c'est pas une question de...
Au cas où ?
Au cas où la France...
Bah non, n'y sera, vous rigolez.
Au cas où la France se qualifie.
Voilà.
Donc ça veut dire que pour l'instant,
il n'y a pas de réservation pour ces soirs-là.
Bah non, c'est pas ouvert.
C'est pas ouvert.
C'est pas ouvert.
Ou alors, ils vont mettre un autre spectacle.
Après, bah non, finalement,
on joue pas ce soir-là,
puis voilà, ça arrive, ça.
Oui.
C'est plus souvent.
Ah les gens, ils ont pris un billet de train.
Bien fait.
Ah, vous êtes horribles, François.
Oui, bien sûr que je suis horrible.
Bah tiens, puisque vous avez l'air de vous imaginer...
Il marche pas le bacon-là, hein, tout à fait.
Puisque vous avez l'air de vous y connaître,
en rugby, que vous adorez ça
au point de ne pas jouer les soirs des grands matchs,
monsieur Berlian.
Oui.
Vous allez pouvoir me dire d'abord,
quelle équipe nationale est la seule
à découvrir la coupe du monde de rugby cette année,
celle qui joue pour la première fois
en coupe du monde cette année ?
La Géorgie, non ?
La Géorgie, non ?
T'es un pays européen ?
Un pays européen...
Ah non, Portugal ou l'Espagne, j'ai plus...
Non plus.
C'est pas un pays africain.
Non, non, non.
Est-ce que c'est un pays d'Amérique latine ?
Oui.
L'Argentine ?
L'Argentine.
Ah non.
Le Costa Rica, le Costa Rica.
Le Honduras.
Le Pérou.
Le Chili.
Le Chili.
Bonne réponse, Roselyne Bacchot.
Et question...
Ah oui.
Et question subsidiaire,
vous savez qu'on appelle, évidemment,
les rugbymènes néo-zélandais, les All Blacks.
Nous, on nous appelle quoi, les coques français,
les argentins...
Les meilleurs.
Les Pumas.
Les Pumas.
Bon, alors comment on appelle les Chiliens ?
Les Chiliens.
Non.
Concarnés ?
Non.
Non mais chaque pays...
Les Machocombos.
C'est avec les Jaguars.
Non, pas les Jaguars.
Est-ce que c'est un animal ?
Un animal...
Oui.
Ah, un oslo.
C'est un animal avec des poils.
Et je me souviens d'ailleurs que le président Chirac avait reçu
cette décoration.
Ah, le Condor !
Bonne réponse !
Isabelle Merbeau et les Condors,
c'est-à-dire le surnom des Chiliens,
qui participent pour la première fois
à la Coupe du Banque de Rugby.
Le livre du jour est publié chez Albin Michel.
Ça s'appelle Le Bûcher des Illusions.
On aura au téléphone Frédéric Brunkel
dans un instant un écrivain,
autoréalisateur aussi de films documentaires.
C'est un livre étonnant,
parce qu'il nous raconte peut-être
aussi un peu sous forme de fiction,
mais quand même de vraies rencontres
qu'il a pu faire avec différents Français
qu'on oublie parfois.
C'est un peu son but.
Il y a par exemple un portrait
d'une femme qui est marchande de jour,
enfin, libraire, je devrais même dire,
qui était absolument incroyable.
On commencera avec Frédéric Brunkel,
à parler peut-être de ce personnage-là,
mais il y a aussi dans le livre
un conseil de lecture qui vous montre
que c'est un livre engagé, d'ailleurs,
parce qu'on nous propose...
C'est long ?
Pardon.
Qu'est-ce que vous dites ?
C'est long, là.
La question est longue.
Je sais pas, j'ai décroché, là.
C'est vous qui dites ça, alors ?
C'est hyper long, là.
Je vous jure, j'ai décroché.
Je pense que c'est autre chose, là.
Plus de 10 mots, vous n'y arrivez pas, alors.
Là, bon, et donc...
Quelle est la question ?
Et donc, la question, là,
voici, à un moment donné,
dans ce livre, Le Bûcher des Illusions,
l'auteur conseille,
à travers des personnages...
C'est long, quand même.
L'auteur conseille un livre qui s'appelle
« Refus d'obéissance ».
À qui doit-on se refus d'obéissance ?
Vous le savez, Philippe Clonel ?
Ah, il est nul.
Oui, non.
Il a l'humilité de le chercher.
Il le sait depuis longtemps.
Non, non, non, non.
Il fait ça avant de chercher.
C'est d'ailleurs un écrivain
qui a été président du jury du Festival de Cannes
en 1960.
Pagnol, non.
Pagnol, non, mais on se rapproche.
Gionneau.
Et c'est Jean Gionneau.
Bonne réponse, Philippe Clonel.
Je ne le soulevais pas qu'il avait
présidé le Festival de Cannes, Gionneau.
« Refus d'obéissance »,
c'est bien signé Jean Gionneau.
Bonjour, Frédéric Brunkel.
Bonjour, Laurent Ruquet.
Pourquoi vous avez choisi ce livre-là,
à mon donner, effectivement,
dans une des histoires que vous racontez
parce qu'il y en a plusieurs,
une des rencontres, je devrais dire.
Oui, c'est un personnage,
c'est un personnage, c'est Marc,
qui était directeur de restaurant
et qui a perdu son métier
et qui a du mal à se retrouver
une existence,
enfin, quelque chose qui le satisface
pleinement.
Surtout un homme directeur.
Oui.
Et qui part chercher du travail
dans le Sud,
et à un moment,
il se retrouve un Manos,
qui rencontre un libraire,
et Manos, c'est la patrie de Gionneau.
Et donc, il rencontre ce libraire
et ce libraire lui dit,
« Mais vous êtes en colère,
lisez Gionneau, lisez Gionneau
et lisez Refus d'obéissance de Gionneau ».
C'est un texte qu'il avait écrit
après la Première Guerre mondiale
pour montrer l'inanité de ce conflit
et tout ce que le peuple avait
vécu à ce moment-là.
« Refus d'obéissance de Gionneau ».
Ça, c'est une des rencontres,
je n'ai pas compté combien il y en avait d'ailleurs
dans votre livre de ces rencontres
qui ont existé,
que vous n'avez pas imaginé,
même si après, vous dites,
ils avaient un peu remencé,
vous avez apporté votre imagination
à leur histoire.
C'est-à-dire que, oui,
depuis des années,
moi, j'ai beaucoup tourné
avec les gens,
ce qu'on appelle les gens
de la petite classe moyenne.
J'ai énormément passé de temps
avec eux,
des dizaines d'heures,
des milliers d'heures,
énormément de temps.
Et puis tout ça,
ça a fait un terreau
sur lequel on poussait des petites graines
et ces petites graines
sont devenues
les personnages
qui sont devenus les personnages de celui-ci.
Parce que vous savez
qu'on passe énormément de temps
avec des gens,
on les quitte pas,
on les quitte physiquement,
mais ils continuent à vous habiter,
ils continuent à être en vous,
ils continuent à penser à eux
et puis, du coup,
ils deviennent un peu
des personnages fictifs,
des personnages imaginaires
et on se dit,
« Tiens, comment continue-t-il sa vie,
comment réagit-il dans ces moments
de l'actualité,
réagit-il dans ces moments
de notre existence
qui sont mouvements
qui changent tous les jours ?
Et donc, c'est à ce moment-là
que la part de fiction arrive ?
Alors, la première,
celle qui ouvre votre livre,
moi qui adore aller
et qui parfois dire culpabilise
quand je regarde les journaux
sur les tablettes,
comme on est censés le faire
de plus en plus souvent maintenant,
mais la première, elle est géniale.
C'est celle qui tient, effectivement,
cette boutique de journaux,
marchande de journaux,
on peut appeler ça comme ça,
qui, hélas,
va devoir forcément
fermer un jour
et qu'elle s'aperçoit
qu'on achète de moins en moins
la presse écrite, évidemment.
Oui, c'est Sylvie.
Sylvie a acheté,
après avoir travaillé
dans un grand groupe
et puis avoir connu
une grosse retraite syndicale,
elle a acheté
une petite,
avec ses indemnités
de licenciement,
elle a acheté
une petite boutique de presse,
vous savez,
c'est boyau pour les Parisiens
ou même les habitants
des grandes villes
où on rentre comme ça
et puis il y a toute la presse
du monde,
ça sent un petit peu lent,
ça sent un petit peu la colle,
ça sent papier.
En tout cas, Sylvie vit là-dedans,
Sylvie, c'est lancé là-dedans
parce qu'elle pensait donner
un sens à sa vie
et puis
pas de chance pour elle,
elle s'est lancée
dans cette activité
au moment où
le journal papier disparaît
et donc elle s'est lancée là-dedans.
C'est le serpent
qui se morda que d'ailleurs
parce qu'en fait,
on lit aussi de plus en plus
sur les tablettes
parce qu'on trouve plus
de marchands de journaux
et on trouve plus
de marchands de journaux
parce qu'on lit de plus en plus
sur les tablettes.
C'est vraiment ça qui se passe.
Oui, c'est un mouvement de société,
c'est un mouvement de société.
Le week-end,
on aimerait bien pouvoir parfois
continuer à lire
parce qu'en semaine,
on va lire ici à RTL,
on reçoit encore
que plus ça va,
même dans les rédactions,
plus ça va moins,
on a les journaux papier,
les journalistes lisent
la presse sur les tablettes.
Moi, j'ai encore la chance
d'avoir ce qu'on appelle
un jeu de journaux
en papier tous les matins
ici à RTL.
Mais ce serait que le week-end,
par exemple,
il y a de moins en moins
même de casques à Paris
où on peut acheter
ou le parisien
ou le JDD
quand on avait envie
encore de l'acheter.
Mais...
Mais en tout cas,
ici, on l'achète encore.
À Paris, peut-être,
en province,
on trouve beaucoup,
beaucoup de journaux.
Le dimanche ?
Ah...
On parlait du dimanche ?
Bah, entre autres.
Est-ce que...
C'est pas possible
qu'il se passe dans cette émission ?
Non, mais je vous jure,
c'est le plus en plus difficile
de trouver
un marchand de journaux
le dimanche.
Ah oui, le dimanche, oui.
Bah oui, oui.
C'est ce qu'on disait.
Mais même une boucherie.
C'est vrai,
mais dans une boucherie,
dans une boucherie,
avant, on pouvait lire
les vieux journaux
qui embolèlent.
Ah...
Il y a un truc
qu'on ne trouve pas le dimanche, hein.
Ça, c'est
la première histoire
que vous racontez.
Et elle s'appelle
Naufrage des cuiracés.
Il y a une histoire
aussi incroyable,
c'est cette femme
qui décide
pour réussir
à nourrir sa famille
en quelque sorte,
de vendre
des robes de mariés
sur les marchés.
Et...
Et elle a,
quand elle veut ouvrir
cette forme de frie-prie,
elle va être confrontée
à la réglementation,
tout simplement.
Oui, parce que c'est
une femme
qui s'appelle Sidonie.
Elle est costumière
dans le théâtre.
Et elle se lance
dans la frie-prie
parce qu'elle a vu
qu'elle a des talents
de couturière, forcément.
Et elle a vu que les robes
de mariés
pouvaient s'acheter
pas cher
en seconde main.
Et elle se dit
que je les refais,
je vais les améliorer,
je vais rajouter des rubroches,
je vais rajouter, etc.
pour faire des jolis,
des jolis,
des jolis objets.
Et elle veut les vendre
sur les marchés.
Ça marche bien.
Et au moment où ça marche,
il va falloir qu'elle
crène siocitine.
Il va falloir que
il faut faire les choses
comme la loi l'oblige.
Vous en courez 30 000 euros d'amende.
Vous en courez 30 000 euros d'amende.
Et 6 mois de prison,
elle lui dit la police.
Et elle dit 6 mois de prison
pour avoir essayé de m'en sortir
et faire vivre mes enfants
dignement.
C'est assez triste à lire,
mais effectivement,
c'est une histoire
qui est très, très parlante.
Ça s'appelle
le bûcher des illusions.
Il y a plein d'autres
rencontres formidables
comme ça que vous avez pu faire
et que vous nous racontez.
C'est chez Albin Michel.
Et c'était notre livre
du jour.
Merci, Frédéric Brunkel.
Une question pour Maxime LePendu,
qui est vite ouvert dans la mièvre.
Une question qui...
Ah bah, une question...
C'est le jour.
Qui est assez étonnante,
c'est surtout la réponse.
D'ailleurs, qui l'est,
parce qu'il y a une chanteuse,
une chanteuse qui a sauté
pour la première fois
en parachute le 27 juillet.
Ah oui !
C'est Isabelle Obré.
Isabelle Obré,
bon, la réponse.
Mais oui, mais...
À partir d'un certain âge,
tu risques plus rien.
Non, mais tu te dis bon.
Au pire, je me loupe.
Non, mais c'est courageux, quand même.
Ah bah oui, quand même.
Il paraît qu'elle a dit,
« Maman, je t'aime ».
Ah !
Bah elle a peut-être la revoi ?
En ce temps.
Mais...
Vous ne croyez pas, c'est bien dire.
C'est exactement pour ça
qu'elle se trouvait dans les airs
et elle a crié,
« Si tu me vois,
maman, je t'aime ».
C'est mignon, quand même.
C'est mignon, j'adore.
C'est très naïf.
Ouais, c'est bon,
parce qu'il est là-haut,
que sa mère,
sa mère,
sa mère,
sa mère,
sa mère,
sa mère,
c'est très naïf.
Ouais, c'est bon,
parce qu'il est là-haut,
que sa mère,
oh, bah tiens !
Oh, mais qu'est-ce qu'elle fout ?
Qu'est-ce qu'il fout là ?
C'était une poète.
Non, mais c'est mignon.
Moi, je l'adore Isabelle Obré.
Mais moi aussi,
tout le monde l'aime.
Elle est venue ici,
parce qu'elle a pris sa retraite
de la chanson,
elle ne montra plus sur scène.
Mais...
Elle n'a pas pris sa retraite
de parachute.
Il faut rappeler
qu'elle a été championne
de France de gymnastique
en 1952,
Isabelle Obré.
C'est une sportive, bien sûr.
Et c'est comme ça.
Elle a eu pas mal d'accidents.
Oui, elle a eu l'accident de voiture
et elle est tombée du trapez aussi,
une fois.
Quand elle a fait le gala de l'union,
je crois.
Au gala de l'union.
Mais c'est une casse-cou, en fait.
Oui, ben...
Elle n'a pas toujours bien marché,
en plus, la pauvre.
Thérèse Cochrelle
de son vrai nom,
Isabelle Obré,
qu'on adore,
qui a représenté
la France au concours
aux revisions de la chanson,
qui a si bien chanté Braille
ou Ferrabe.
En tout cas, bravo,
une chute à 85 ans, quand même.
Bravo, Isabelle.
Une question géographique,
maintenant.
Oh, oh, oh, oh.
Isabelle Obré
pour Delfine Gauté,
qui habite hargarien au mine.
La Moselle est à l'honneur,
aujourd'hui.
Et je vous emmène
sur la rive du Danube.
Alors là,
où le Danube
se jette,
quasiment,
dans la mer noire,
puisque pendant 47 km,
le Danube
sépare 2 pays
avant de se jeter
en mer noire.
Quels sont les 2 pays
que c'est...
La Roumanie.
La Bulgarie.
La Bulgarie, non.
Qu'est-ce que...
La Slovénie.
Non plus.
La Slovaquie.
C'est pourtant facile.
La Hongrie.
La Hongrie, non.
C'est Hongrie.
Et bien même pas.
La République chèque.
L'Ukraine.
L'Ukraine.
Bonne réponse
de Philippe Claudel.
Et oui.
Et oui.
Le Danube
sépare la Roumanie
de l'Ukraine
sur 47 km
avant de se jeter
dans la mer noire.
Il faut dire
que le Danube
est un très, très grand fleuve
qui traverse
de nombreux pays.
Je peux vous donner
la liste entière.
Non, c'est pas...
Non, c'est pas...
Franchement...
Non.
Ah, si.
Alors, non, si.
Donnez-nous la liste.
Allez.
Les pays.
Les pays.
Les pays.
Non, mais là
fait pas trop de lèche quand même.
L'Allemagne
pour commencer.
Ah, les Pôtani
peu plus, ya.
L'Autriche.
La Slo...
La Hongrie.
La Slovaquie.
La Hongrie.
La Croatie.
La Serbie.
La Roumanie.
Ah, vous dirait.
Ça fait qu'un seul pays, mais...
Ha, ha, ha, ha.
C'est une question de visite.
Mais en fait,
ça en fait plusieurs.
Et bravo!
C'est une excellente réponse
de Philippe Claudel, encore.
Il brille, hein, il brille.
Non, non, non, non, non.
Une...
question
que j'ai trouvée
dans VSD
pour Geoffroy Reda,
car VSD
reparaît de façon mensuelle
et ils ont vraiment changé
leur contenu.
Il y a plein, plein d'infos
dans VSD.
Alors, donc, c'est plus vendredi,
samedi, dimanche...
Oui, mais une fois par mois.
Mais c'est ça, vous voulez dire vendredi, samedi, dimanche ?
Bah oui, c'est...
Oui, et SDF, samedi, dimanche et fête.
Stade de France, celui qui a appelé Stade de Frontaisier.
À quoi va servir la queue de l'ésart selon les scientifiques et...
On parle d'une vraie queue ?
Oui, et la vraie...
Et celui du lésart, quand on veut l'attraper, qui reste en la main ?
Exactement.
L'immortalité, l'immortalité.
Alors pas l'immortalité.
À mettre dans les voitures, à accrocher à eux...
Ça c'est la queue de Ronin.
À guérir le cancer.
Non, c'est pour réparer les greppes.
Mais c'est pour réparer des fractures.
Alors pas tout à fait des fractures, mais effectivement...
Pour la peau.
C'est pas pour la peau.
Pour les cicatrices.
Vous connaissez ça pas.
C'est esthétique.
Oui, ça repousse.
Pour les hommes qui souffrent de micro pénis.
Si c'est un micro pénis, il faut parler dedans.
Un homme avec une queue de lésart, ça irait très bien avec votre sac à main.
Pour faire repousser les ongles.
Est-ce que c'est pour faire repousser les ongles ?
Pas les ongles.
Est-ce que c'est pour faire repousser quelque chose ?
Les dents.
C'est pas pour faire repousser quelque chose.
Ah bon.
Mais à terme, les chercheurs espèrent pouvoir tester l'implantation des cellules du lésart.
Parce que, effectivement, c'est le cartilage de la queue des lésarts qui se régénère en quelque sorte.
C'est sexuel ?
C'est sexuel ?
C'est pour les pénis ?
Non.
Qu'est-ce qu'on souffre de quoi quand on commence ?
Contre l'arthrose, bonne réponse !
Le monsieur As, qui pourtant est sûrement le moins concerné d'entre nous par l'arthrose.
Oui, mais il est entouré de beaucoup.
Je m'inquiète.
Je m'inquiète pour vous, du coup.
Il y a qui travaille, il n'en est pas.
Le soir, je regarde beaucoup.
J'ai deux questions.
Pas donné les bonnes réponses, mais comme mon micro ne marche pas.
La mauvaise foi de Berléran, alors.
J'aimerais qu'on ait le ralenti.
Peut-être que vous avez vu, monsieur Berléran, dans le Parisien aujourd'hui,
une page étonnante dans les pages immobiliers du Parisien.
Il y a une page entière sur un immeuble,
il y a un appartement à vendre, 230 m², 2,8 millions d'euros, quand même.
C'est cher, quand même.
Mais c'est cher, mais en même temps, attention, on nous dit que dans cet appartement,
des célébrités y ont vécu.
C'est pas le vote ?
Ah, 250 millions d'euros.
Non, c'est pas le mien.
Est-ce que c'est des couples de célébrités qui ont habité là en centre ?
Non, d'abord, je vais vous dire, les différents locataires,
car il n'était même pas propriétaire à cette époque.
Les nuls.
Le premier, c'est tout simple, c'est très facile même à identifier,
c'est le fils d'un écrivain célèbre, lui-même écrivain,
Autor...
Du main.
Pardon.
Philippe Caudel.
Autor de la dame au Camélia, Alexandre Dumas,
fils, bonne réponse de Philippe Caudel.
Il est deuxième à avoir habité dans cet immeuble
et dans cet appartement prestigieux, manifestement.
C'est quelqu'un dont la femme a tué le directeur...
Ah oui, Almet.
Et c'est Gaston Calmet.
Bonne réponse.
Si on pouvait avoir la fin de la question.
Pardon, parce que...
C'est Mme Caillot ?
C'est Mme Caillot.
Ah, Mme Caillot, bien sûr.
Ah, Mme Caudel.
Caillot, Caillot.
Et Mme Caillot, du deuxième.
C'est Joseph Caillot, ministre des Finances et Chefs du gouvernement
qui a vécu dans cet appartement, et non pas M. Calmet,
mais vous avez, et les uns et les autres,
répondu à la question en même temps.
Parce que M. Calmet, c'est celui que Mme Caillot a assassiné quand même.
Il y a le directeur du fiaro.
Vous pouvez expliquer.
Directeur du fiaro, je crois que c'est ça.
Exactement.
Mais pourquoi Mme Caillot a assassiné M. Calmet ?
Parce que dans son journal,
il y avait eu un article à charge contre son mari.
Ah, elle était nerveuse quand même.
Elle était nerveuse.
Elle était nerveuse.
Elle était un peu nerveuse.
Bah voilà, en tout cas, si vous voulez vivre dans l'appartement
où Alexandre Dumas, fils et M. Caillot, ont vécu,
sachez qu'il est à vendre.
Les grosses têtes de Laurent Ruchier,
c'est de 15h30 à 18h sur RTL.
Toujours et François Berlien,
Isabelle Mergo,
Rossy Tachelot, Philippe Slebel,
Christophe Beaugrand, regarde.
Ah, j'aime bien la question qui vient.
Elle nous permettra en plus d'avoir au téléphone
dans un instant.
Je ne vous dis pas qui,
mais c'est quelqu'un qui fait le même métier
que celui métier,
où on va dire occupation,
mais c'est devenu un métier aussi.
Ce métier qui a fait René Louise David.
Je dis bien René,
et je donne son deuxième prénom
pour que vous compreniez bien
qu'il s'agit d'une femme.
Parce que cette femme, René David,
est une des rares femmes à avoir fait ça.
On va dire qu'à 99%,
ce sont des hommes.
Mais qu'est-ce que faisait René Louise David ?
Ramanor.
Ramanor, non.
Déménageur.
Déménageur, non.
Pompier.
Pompier, non.
C'est un travail très physique.
Ah, physique, pas du tout.
En quelle année ?
Alors écoutez, elle est partie en 1938,
René Louise David.
Elle est entérée au Père-la-Chaises.
Et c'est vrai que c'est une des rares femmes
à avoir fait ça,
alors qu'on ne connaît que des hommes.
Est-ce qu'il y a plus de femmes
aujourd'hui, maître-moi ?
Non, non, non.
Dans ce temps aujourd'hui, j'ai l'impression
que je ne vois que des hommes,
je ne lis.
J'ai même envie de dire que des hommes
qui font ça.
Est-ce que c'est prestigieux comme...
Oh prestigieux, en tout cas,
tout le monde n'est pas capable.
C'est un métier
qu'on s'occupe de la maison.
Du tout.
Est-ce que c'est intellectuel ?
Ah oui, c'est intellectuel.
Vigile.
Comment vous dire ?
Vigile.
Vigile.
Ah, vigile.
Vigile.
C'est vrai qu'il y a moins
de femmes vigiles que d'hommes vigiles.
C'est un textile.
Et il y a encore moins d'hommes
par exemple.
Quand tu vas chez Leclerc,
il n'y a que des vigiles mecs.
Oui, c'est vrai.
Merci pour votre expérience
du quotidien.
Mais d'ailleurs, monsieur As,
vous êtes concerné
par cette question.
Elle devrait vous plaire
et particulièrement la réponse.
Imam.
Humoriste.
Prêtre.
Prêtre, non, non plus.
C'est pas lié à la religion.
Non, mais c'est intéressant
parce qu'en plus, cette femme
est méconnue.
Voilà pourquoi je suis ravie
de lui rendre hommage.
Rapeuse.
Non, rapeuse.
C'est diamètre.
C'est dans le domaine du droit.
Dans le domaine du droit, non.
C'est un métier du Figaro paru
cet été.
Une première route.
Vous voyez, j'ai gardé
des articles de l'été.
Ah oui, mais alors là,
vous êtes sédique.
C'est une profession intellectuelle.
Oui, absolument.
Est-ce que c'est artistique ?
Et c'est Aliénor Vincote
dans le Figaro cet été
qui a écrit
une page
fort intéressante
sur ce sujet.
On nous dit
qu'à sa connaissance
et derrière la mienne aussi,
il n'y a qu'une femme
qui a fait ça.
Est-ce que c'est un métier
artistique ?
Artistique au sens large, oui.
Mais je dirais plus intellectuel
qu'artistique.
Correcteur.
Non.
Est-ce qu'il faut un stylo ?
Oh oui,
enfin,
aujourd'hui, on fait
tout sur ordinateur.
C'est pas dans le domaine
littéraire.
Dans le domaine littéraire,
pas tout à fait,
mais on se rapproche.
Est-ce que c'est lié à la presse ?
A la presse, oui.
C'est un travail de bureau.
Vous seriez capable
de citer 3 ou 4 hommes,
j'imagine,
qui ont fait ça.
Or,
on n'est jamais capable
de citer une femme.
Moi,
je vous en donne une.
Madame René.
Dans les journaux ?
David.
Oui, c'est dans les journaux.
Ah non,
c'est le leure d'Arbi Cruciste¦.
Excelente réponse
de Christophe Baudran.
C'est-à-dire quelqu'un
qui compose
les grille de mot croisée,
et j'ai au téléphone.
Pancan
des grandes définitions des mots croisés, qu'on attribue souvent à Tristan Berna, mais c'était elle.
C'était elle. Et c'est vrai que c'est une des rares femmes si ce n'est la seule. D'ailleurs aujourd'hui, est-ce qu'il y a des femmes verbicrucistes ?
Il y en a, mais très peu, mais c'est vrai qu'il y a beaucoup plus d'hommes que de femmes aujourd'hui, c'est elle qui est la plus célèbre.
C'est normal, c'est un peu compliqué.
C'est vrai que cette définition est une définition très célèbre, du mot « en tract » et au lui-doi, alors qu'on attribue souvent un autre très grand verbicruciste.
Que fut Tristan Bernhard, on pourrait citer Max Favalleli, vous-même.
Maître Capélo ?
Maître Capélo, à une époque.
Jack Capélo, oui.
Cipillon, mais il y en a beaucoup beaucoup.
Michel Laclos ?
Michel Laclos, des verbicrucistes célèbres. Et à nous disait encore la semaine dernière qu'il adorait faire les mots croisés.
Oui c'est vrai, mais je ne savais pas que vous vous rappelez de ça, pour ça que je n'ai pas pensé à ça.
Il aime les mots croisés, le fromage, mais c'est un homme idéal, franchement.
C'est un art que de savoir trouver les bonnes définitions à la fois, évidemment pertinentes, mais parfois drôles aussi, j'imagine.
C'est tout le sel de cette activité, Gaétan Goron.
Mais le but, c'est d'essayer de trouver les choses, de multiplier les univers dans les définitions, d'avoir que la personne qui le fait,
que ce soit quelqu'un qui n'a jamais fait vos grilles ou quelqu'un qui l'est fait depuis dix ans, puis à la fin de la grille,
avoir rigolé un moment, avoir été trussé, puis avoir eu la jouissance de trouver juste derrière,
et si on arrive à créer ça au moins une fois, par jour, si c'est un quotidien ou par semaine pour un hebdomadaire,
c'est que la grille est réussir.
Du vieux avec du neuf en onze lettres, est-ce que vous êtes capables de trouver ça, les grosses lettres ?
Du vieux avec quoi ?
Du vieux avec du neuf en onze lettres.
J'ai pas dit faire du vieux avec du neuf.
Attention, une définition, c'est au mot près.
Du vieux avec du neuf en onze lettres.
Nona Génère ?
Nona Génère, bravo Roselyne Bachelot.
Du vieux avec du neuf nona Génère.
Ah c'est joli.
C'est presque poétique.
Ah c'est très très beau.
Vous en avez une ou deux comme ça, à vous Gaëtan Goron ?
Là, en vous écoutant, je me suis dit, voilà, pour définir Charles, on peut mettre Saddam et Camilla, par exemple,
et ça va jouer sur l'hémocamélia des humains.
Ah oui, très joli.
Pas bête.
Et le but, c'est là-bas, voilà.
Et puis bon, je me disais que chez des cailloux, on était quand même pas mal sans bien.
Voilà, donc on peut jouer là-dessus, par exemple, sur les cailloux sanguins, en viande cailloux et l'histoire de tout à l'heure.
Ce qui est intéressant dans ce papier, d'ailleurs, qu'avait signé Aliénor Vassot dans Figaro cet été,
c'est qu'on nous deux, évidemment, le but du bon verbi crucif, celui qui compose les gris,
pour ceux qui ont envie d'y jouer, les cruciverbistes, eux,
eh bien, le but, c'est qu'il y ait le moins possible de case noire.
Une bonne gris ne doit pas avoir trop de case noire, c'est le principe.
C'est une paresse intellectuelle que d'en avoir trop, disait un autre verbi crucif.
Vous êtes d'accord ?
Alors, en fait, tout ce qui est intéressant pour moi, c'est vraiment l'équilibre d'une grille.
C'est-à-dire que si il faut pousser cette logique de case noire à la réduire le plus possible,
mais si en fait, vous n'avez pas vraiment des spécialistes, ça va être vraiment trop dur pour eux.
Donc, il faut savoir quel est le public de la grille.
Une fois qu'on a identifié le public, c'est à dire, voilà, quel contrainte on met dans la grille,
que ce soit au niveau du vocabule.
D'ailleurs, moi, j'aime bien mettre des chiffres aussi dans la grille à la place des lettres.
Donc, il y a différents choses.
Le registre de la définition.
Et c'est vrai, il y a des photos aussi.
Et je vais ne pas mettre de définition.
Et les gens vont me dire qu'il y a une erreur.
Et puis, à la fin de la grille, ils vont comprendre qu'il n'y avait pas de définition parce que c'était pour définir à rien.
Vous venez de donner cet exemple, mais vous l'avez donné un peu vite.
Donc, j'y reviens parce que je trouve ça génial.
C'était écrit dans cet article.
Alors, ce n'est pas pour le mot rien, mais c'était pour le mot néan, ce qui revient au même.
C'est-à-dire que vous avez ce jour-là, dans votre grille, de mots croisés, fait exprès de...
J'avais un trou, il n'y avait pas de définition.
Qui manque une définition pour un mot.
Et beaucoup de lecteurs recherchaient pendant un temps, j'imagine, jusqu'à ce qu'ils comprennent.
Parce qu'on y arrive avec les autres mots, évidemment, au fur et à mesure.
Mais jusqu'à ce qu'ils comprennent que s'il n'y avait pas de définition, c'est parce que le mot, c'était néan.
C'est incroyable quand même.
Et puis, parfois, on comprend parce qu'on connaît l'auteur et on connaît un peu son esprit, on possède...
Est-ce que c'est une profession qui explique le mot néan ?
Et ça, est-ce que vous êtes payés à la grille ?
Oui.
Moi, je suis embauché.
Un dernier exemple. Allez, mes camarades, grosses têtes vont tenter de trouver le mot qui correspond à cette définition.
Frequente le palais et menace la couronne.
La langue.
Le sucre.
Presque le sucre, c'est caramel, caramel, sucre, bravo Roselyne.
Frequente le palais et menace la couronne, caramel ou sucre, ça marche.
Bravo.
Et merci.
Merci à Gaëtan Goron pour retrouver dans l'OPS.
Une question pour Elisabeth Jean, cavité cuisse dans le pas de calais.
Et la question concerne le tournoi tennis de Flush & Meadow,
l'US Open, si vous préférez, à New York.
Et il y a quelques tennismen qui se plaignent des conditions de jeu actuellement là-bas
pendant le tournoi américain. Mais de quoi splayent-ils exactement ?
Les bruits des avions ?
Ça sent le pétard.
Bonne réponse !
C'est vrai que à New York, ça sent la beuh partout.
Vous voyez que je vous avais raconté ça la semaine dernière.
Au gros stade, personne ne me croyait.
Parce qu'effectivement, parmi mes voyages gestivaux,
j'ai eu la chance d'aller à New York, c'était...
Mais ouais, le Japon, New York.
Et ça sent...
Moi, j'étais à Royaume.
C'est parce que la police brûle des stocks ?
Non, pas du tout.
C'est parce qu'ils ont légalisé le cannabis à New York
depuis effectivement décembre ou janvier dernier.
C'est bien que vous ne pouvez pas faire un pas dans New York
sans que ça sent la beuh partout.
C'est devenu Amsterdam.
Sauf que les joueurs de tennis, eux qui jouent là-bas à New York en ce moment,
pendant les matchs, ils sentent les odeurs.
Et vous voyez que ça confirme ce que je vous ai raconté,
parce que vous ne me croyiez pas quand j'avais raconté ça.
Non, mais ça peut même...
Regardez ce titre, les joueurs agacés par les odeurs de cannabis.
Ça peut même les droguer un peu, non ?
Ça peut même les droguer un peu, non ?
Ah bah oui, oui, c'est le problème, effectivement.
Bah oui, c'est soulever un super problème.
Mais prisez pas comme ça.
Ça peut les droguer un peu.
La consommation d'herbe est légale,
mais évidemment pour les joueurs, c'est un peu embarrassant.
Attention, on ne peut pas fumer n'importe où.
De toute façon, même des cigarettes normales,
on ne peut pas les fumer n'importe où à New York.
Mais dans la rue, on a le droit.
Mais dans la rue, on a le droit.
Ça sent partout, dans New York, l'Abeu, parce que l'Abeu a été légalisé ?
Oui, absolument.
C'est pas commun que les joueurs de tennis de Flush & Mido se pleignent
des odeurs de cannabis.
Oui, mais il n'y en a pas dans le stade, là.
Oui, c'est n'importe quoi.
Il sert plein air Flush & Mido.
Oui.
Isabelle.
Il y a plein de gens qui fument autour du stade.
Ils ont le droit de fumer autour, dans le stade, là ?
Pas dans le stade, mais autour, vous voyez.
Il y a beaucoup de vent, quand même.
Ce sont surtout les joueurs qui ont perdu, qui se pleignent.
Oui, je pense, oui.
Évidemment, vous avez raison, monsieur Berlion.
Mathias, en voilà une qui a perdu,
vous la connaissez sûrement, c'est la polonaise Iga Zviatek.
C'est la numéro 1 mondial de tennis.
Alors elle a surpris tout son monde à l'entraînement l'autre jour,
parce que qu'est-ce qu'il y avait de différent des autres joueurs
ou des autres joueurs à l'entraînement
pour améliorer son entraînement ?
Ça t'a tenu que tu m'en perds ?
C'est une question pour Charles Tendron.
La forme de sa raccotte ?
Du scotch sur la bouche.
Pardon ?
Du scotch sur la bouche.
Du ruban adhésif, du scotch.
Les marques, on est vite, hein, ici.
Sur la bouche, ça, c'est une marque, scotch.
C'est comme sur Palin, tu vois.
C'est comme sur Palin, comme Nutella.
C'est du whisky, c'est du whisky, c'est du whisky.
Du scotch, on préfait de la alcool.
Ben non, mais tout le monde dit du scotch, comme le Tipek, c'est tout.
Du ruban adhésif, sur la bouche.
Il faudra, si vous préférez,
bonne réponse de monsieur Az.
Mais pourquoi ?
C'est pour améliorer leur sommeil, apparemment, mais c'est...
Ah bon ?
Monsieur Claudel a la bonne réponse, exacte.
Allez-y, monsieur Claudel, c'est pour...
Non, j'ai pas la bonne réponse, je disais, c'est pour respirer mieux par le nez, ça.
C'est pour ne respirer que par le nez.
Effectivement, en ne respirant que par le nez,
ils vont améliorer leur endurance.
Ça fait épilation aussi, quand l'on l'enlève.
Elle avait une grosse mouche-tache.
Ça, c'est de Sparadras ou les Ecelles.
Ah, vous vous mettez là-haut.
Là, là, là, t'entends, il y a des petits duvet.
Pas à moi, pas à moi.
C'est comme ça que t'imitives brassins.
C'est comme ça que t'imitives brassins.
Oui, on vous a pas dit, monsieur Claudel,
mais la meilleure imitation d'Isabelle Niergo, c'est George Brassins.
Et pas que pour la mouche-tache.
Non, non, non.
Oh, si !
Même le public va demander.
Allez !
Il s'appelle, il s'appelle, il s'appelle.
Il s'appelle, il s'appelle, il s'appelle, il s'appelle.
Il s'appelle, il s'appelle, il s'appelle.
Tenez-vous !
Sûrement pas.
Vous m'avez totalement ignorée depuis le début.
À la fois que je parle, vous vous retournez de l'autre côté.
Je ne peux pas te parler.
Je soulève des sujets relativement intéressants.
Alors maintenant, si vous voulez bien,
je vais aller me soulager.
Sous vos applaudissements.
C'est la première fois.
Mais George, quand ça a cette histoire d'adhésif,
donc elle, elle se met de l'adhésif sur les lèvres.
Absolument.
Mais il y a quelques temps,
certains sportifs se mettaient des adhésifs sur les ailes de nez
pour justement, pour faire davantage des narines.
Vous avez raison.
Ça s'appelle, elle, en l'occurrence sur la bouche,
le mouse-taping.
J'espère que le prononce bien.
Rassurement.
Alors, c'est sans garantie scientifique, nous dit-on,
effectivement en plaçant un morceau de sparadra
sur leur bouche pour s'entraîner les tennis men
ou même pour dormir d'ailleurs.
Pour dormir.
Ce qui est encore plus dangereux, je trouve,
pour dormir, parce que ce n'est pas ce qui peut se passer
pendant que vous dormez.
Personne ne va venir vous boucher le nez
pendant que vous dormez quand même.
Oui, mais la pénée du sommeil.
Mais quand même, c'est embêtant.
Alors que, au moins, vous avez du monde
autour de vous quand vous vous entraînez.
Il ne serait-ce qu'un adversaire
qui peut voir ce qui se passe si vous tout...
Non, mais...
Qu'est-ce que pourquoi vous riez ?
Mais non, mais je trouve ça tellement ridicule.
Quoi donc ?
Allende fait ça ? Allende, le joueur de foot,
il fait ça, il met du scotch, enfin du sparadra
et désive, je ne sais pas quoi, là.
Il apprend vite.
Sur sa bouche pour dormir.
Le mouse taping, le sparadra sur la bouche
pour améliorer son entraînement.
On est en train d'essayer de voir
si ça marche sur Isabelle Mergo
et pour l'instant, ça marche.
Et George Brassin, c'est de retour.
Allez, Isabelle.
Allez, allez, Abassi.
Je comprends que vous me...
Je comprends que vous me boudiez, moi,
parce que c'est vrai qu'une ou deux fois,
la guerre fait attention à vos remarques.
Tout le temps.
Mais je bois vos paroles.
C'est le cas de le dire.
Non, mais le public, la France, les clames.
Non, non, non.
Eh ben, vous venez de punir.
Tout le monde.
Ah non, les punitions collectives, c'est pas bien.
Non, mais je sais que...
Je sais que si Philippe Claudel vous me demande...
Ah, je crois que...
Ah, il va craquer.
Là, il va craquer.
Non, je pense que c'est pas plus de chance que vous,
mais il faut peut-être qu'un jour,
ça viendra quand même, parce que je suis très curieux.
Il s'en plait les...
C'était magnifique.
C'était, mais alors...
Et alors, si t'as pas l'image,
elle fait la...
Il y a des accords à la guitarre.
Elle fait la guitarre.
Non, c'est non.
C'est bon, d'accord.
Elle fait la guitarre, c'est magnifique.
Qu'on fleurienne Boucher,
qui habite Molléon dans les deux serfs,
ça aurait été dommage de rater ça.
C'est le meilleur moment de la discussion.
Et en plus, il se fout de moi maintenant
pour avoir forcé.
C'est ça, le...
L'humiliation.
J'aimerais que vous retrouviez
le titre de cette célèbre nouvelle
d'Edgar Alain Po,
une célèbre nouvelle dont on se sert,
parfois, d'ailleurs, comme exemple,
dans l'effet d'hiver.
La lettre volée.
La lettre volée.
Et c'est la lettre volée.
Bonne réponse de Roselyne Bachelot.
Je vais raconter...
À contre, Philippe Claudel.
Vous pouvez raconter
ce que c'est que la lettre volée.
Euh, non, je sais pas trop.
C'est quand la preuve est tellement évidente
qu'on la voit pas.
Exactement.
C'est ça, la lettre volée.
L'histoire.
Et voilà pourquoi on se sert
souvent de cette nouvelle lettre.
Pourquoi être con, là, déjà.
T'as une lettre qui est devant toi.
Tu dis, on me la volait, on me la volait.
Elle est devant toi.
Bon, alors là, excusez-moi.
Non, non.
Moi, j'arrête ma participation.
Parce que...
Il y a un cuit relativement élevé.
Il est au moins de 80 points.
Pardon, Isabelle.
Vous n'avez pas compris.
Je crois que c'est contraire.
Vous n'avez pas compris.
La lettre volée, elle est bien volée.
Ça, elle a disparu.
Elle n'est plus là.
Mais c'est pour la retrouver
que ça n'est pas forcément évident.
Et pourquoi on ne la retrouve pas ?
Parce qu'elle est sous les yeux.
Parce qu'elle est sous vos yeux.
Oui, mais c'est exactement...
Oh, là, là.
On m'a volé mon verre d'eau.
Il est où mon verre d'eau ?
Il est où ?
Il est où ?
C'est ça le principe de cette nouvelle
d'Edgar Alain Po.
C'est une lettre
qui peut faire tomber...
Je ne l'aime pas cet auteur.
Ah ben, c'est une lettre
très, très importante.
C'est pas grave.
Et effectivement,
le voleur qui a pris cette lettre
pour pas que les enquêteurs
et la police la retrouvent,
cette lettre...
Eh ben, il la vole pas, dis-donc.
Il la remet là.
Si, il la vole.
Mais il avait...
Oh, malin !
Il l'avait bien en évidence.
Oui, c'est ça le principe.
Et quand elle est là bien en évidence,
évidemment, on la vole.
Évidemment, on ne la voit pas.
Parce qu'on n'imagine pas
que ça puisse être
la lettre qu'on a volée
puisqu'elle est là.
Vous voyez ?
C'est le principe de la lettre volée.
Est-ce que vous me suivez, là, Isabel ?
En fait, c'est pas qu'on la trouve pas.
C'est qu'on pense pas
que c'est celle-là vu qu'elle est là.
Mais alors, est-ce qu'elle a vraiment été volée
puisqu'elle est là ?
Pardon, mais...
C'est pas la lettre perdue, alors ?
Une autre question
qui nous emmène...
L'Oderno, c'est en Bretagne.
Il y a une exposition, là,
que vous conseille d'autant plus que RTL
et partenaire de cette exposition.
Ah, c'est excellent.
Depuis le 25 juin dernier,
mais ça dure jusqu'au 28 janvier,
donc vous avez le temps
d'aller à l'Oderno,
au fond pour la culture Hélène
et Édouard Leclerc, plus...
Vous connaissez ça ?
C'est un supermarché ?
Pardon ?
Non, c'est un musée.
Ils ont fait une fondation culturelle.
Ils achètent des œuvres.
Ah, voilà.
Et là, l'exposition est consacrée
à un auteur mort en 1973.
Pourquoi je vous en parle ?
C'est parce qu'il est mort le 2 septembre 1973,
cet auteur.
Il y a pile 50 ans, en quelque sorte.
Et c'est un auteur à qui on doit
de manière posthume.
Qu'est-ce qu'il y a ?
Vous avez dit « en quelque sorte ».
Oui, alors...
Et moi, je le dis, ben...
Oui ?
Vous avez dit « il y a pile 50 ans »,
mais non, pas « en quelque sorte ».
Il y a pile 50 ans.
Il y a 50 ans.
Pas « en quelque sorte ».
Ça ne veut rien dire.
Il y a « en quelque sorte ».
Vous voyez-vous ?
On se regarde avec Isabelle, on se dit,
il a timide à baisser.
Alors moi, je me regarde avec mes prises,
parce que...
C'est un auteur, c'est le 4 septembre.
Pourquoi j'ai dit « en quelque sorte » ?
Justement parce qu'on n'est pas le 2 septembre,
aujourd'hui.
Ah !
Ah, ben non.
On est le 4, hein.
Voilà.
Si ça avait été le 4 septembre,
je n'aurais pas dit « en quelque sorte ».
Mais pas les perles émissions samedi, alors.
C'est pas la peine de la ramener.
Voilà.
C'est pour ça que je me suis perdu.
Voilà.
Ah, t'es un micro-marche, là, pour une fois.
Ah, le nez.
Il est le nez chez Gosse, là.
Parce que c'est vrai que si ça avait été pile
le 2 septembre, j'aurais dit « mort il y a 50 ans, pile ».
Mais comme c'est pas pile, il y a 50 ans,
c'est mort il y a 50 ans, en quelque sorte,
à 2 jours près, vous voyez.
C'est ça.
Vous ne faites jamais d'erreur.
Vous ne faites jamais d'erreur.
Merci.
Et alors, il faut chercher le nom de ce type.
Oui, c'est mort il y a 50 ans.
Mais c'est un auteur, c'est...
Je croyais qu'il y avait des tableaux.
Mais j'allais vous donner, quand même,
2 titres de livres, postume.
Je ne donne pas les livres qui sont sortis de son vivant
parce qu'ils sont trop connus et ce serait trop facile.
Mais les a écrits après sa mort ?
Bah, ils ont été publiés après sa mort.
Il n'a pas pu achever le Silmarillion,
c'est un de ces livres sortis de façon postume,
ou encore les enfants de Urin.
Mais en revanche, on lui doit d'autres œuvres
très très connus.
Et l'exposition lui est non seulement consacrée à lui,
mais aussi à effectivement, vous avez raison,
chère Roselyne, elle est aussi consacrée
à un dessinateur et à des peintures
qui ont illustré ces livres.
C'est de la bande dessinée ?
Alors c'est pas de la bande dessinée,
parce que lui n'était pas auteur de bande dessinée,
il était revancier.
Mais effectivement, souvent, les romans sont illustrés,
monsieur.
Il était Breton ?
Ah non, lui n'était pas Breton, il était britannique.
Il est mort à Bournemouth, au Royaume-Uni.
Bournemouth ?
En 1973.
Il y a 50 ans, en quelque sorte.
En quelque sorte.
L'exposition, elle est où ?
Elle est dans un supermarché ?
Elle est dans un Leclerc.
Elle est dans un Leclerc.
J'ai du mal aujourd'hui.
Est-ce qu'on peut faire ces courses ?
Non.
Non, non, non.
Non, mais c'est un auteur très, très connu de scientifique.
Aldous Exclair ?
Pas Aldous Exclair.
En Roel ?
Non, pas en Roel.
Le Silmarillion, les enfants de l'Urin,
les chroniques martiennes.
Non, non, non, non.
Lovecraft ?
Non, on lui doit de nombreuses légendes, voyez-vous.
Ah oui, c'est plus de l'héroïque fantaisie.
Oui, absolument, bravo.
D'accord.
Eh ben, c'est l'auteur de...
Il fut comment ?
Le Seigneur des anneaux.
Exact.
Tolkien.
Et c'est Tolkien !
Bonne réponse !
Roselyne Bachelot.
Tolkien exposé à Landernaud jusqu'au 28 janvier.
Une question pour Grégory Le Roi qui habite Vascale.
Voilà, une ministre heureuse, c'est assez rare.
Roselyne Bachelot.
C'est vrai ?
C'est assez rare pour le souligner.
Et Olivia Grégoire est heureuse.
Mais pour quelle raison ?
Sa fille est rentrée à l'école.
Ah non.
Non, non, non, non, non.
Parce que c'est son tempérament ?
Non, pas trop en plus.
Une histoire liée à l'inflation ?
Non.
Elle est ministre de quoi, Olivia ?
De l'industrie ?
Non, pas de la consommation.
De l'industrie des PME.
Des PME.
Des PME.
Mieux que ça.
De redressement, je sais pas quoi.
C'est vrai qu'elle est ministre déléguée, chargée des PME.
Ah ben voilà.
Du comètre.
En quelque sorte.
De l'artisanat.
Mais vous oubliez sa dernière fonction et voilà pourquoi elle est heureuse.
De l'inflation...
Non.
ministre de l'inflation, c'était grave.
De la croissance.
Non, non, non.
Du rugby ?
Non, parce que ses chiffres sont bons.
Enfin, elle n'est pas pour grand chose, la pauvre.
Ah, de l'exportation, là.
C'est le climat.
Du PIB.
Non, non plus.
De quoi elle peut être ?
De quoi elle peut être ?
Donc, PME, industrie, il y a un industrie ou pas ?
Le mot demande si vous n'avez pas été...
Ça n'a pas été dans vos attributions.
L'artisanat je naisse la vie associative.
L'artisanat...
Ah, vous avez été ministre tellement de fois, Roselyne.
Ah oui, ça, elle a bouffé Roselyne.
Non, je...
Le développement durable.
Non, non, non.
C'est pas lié au rugby.
Ah non, c'est pas lié au rugby.
Elle est particulièrement heureuse, parce que les chiffres sont bons.
C'est lié à la médecine ?
A la médecine, non.
Est-ce que c'est lié à une production française qu'on vend particulièrement bien ?
Alors, production, ça n'est pas le mot, justement.
Pétrole.
Pétrole, non.
Elle n'est pas ministre du pétrole, non, non, non.
Pétrole, on a des idées, mais pas de pétrole.
Alors, quand vous dites que c'est pas vraiment de sa faute...
Regardez comme je vous regarde.
Ouais, d'accord, ok, ça me trouble.
Alors, quand vous dites...
Quand vous dites que c'est...
Elle n'est pas vraiment responsable.
Qu'est-ce que vous êtes belle ?
Qu'est-ce qu'il y a...
Brosez, en plus.
Voilà.
Je suis calmé pour vous.
C'est quasiment...
On a bien vendu quelque chose.
Et Laurent, quasiment nu, hein.
Ah oui.
En quelque sorte.
En quelque sorte.
Moi, je la vois sur le côté.
C'est-à-dire que je vois...
C'est michon.
Non.
Moi aussi.
Ah non, c'est les nichons qui loupent.
C'est une bonne place pour moi.
Sans micro, mais une bonne place.
Oui, dès qu'elle fait ça...
T'arrives à voir les nichons, malgré Roselyne ?
Je ne le fais plus.
Bon, alors Laurent, est-ce que c'est...
C'est pas bien de montrer vos seins, M.Bernéan, comme ça.
Bah, le droit.
En fait, je vais vous dire une chose.
Ça tremble, je l'adore.
Mais elle est complètement usée,
il va falloir que je l'achète.
Mais j'arrive pas à m'en séparer.
Il y a des trous partout.
J'ai même mis...
Regardez, j'ai mis une fleur pour cacher le trou.
Une fleur pour cacher quel trou ?
Elle a mis...
Tu pourrais la porter chez toi, par exemple.
Pour faire le minage.
C'est vrai ?
Écoutez, vous savez, la boite d'une poêle...
Ça ne m'en viendrait pas.
C'est filmé la radio.
Elle a décidé de plus vous épiler,
parce que j'ai vu qu'il vous aviez...
Elle a des poils sous les bras.
Parce que vous, quand vous le verrez...
Ah non !
On devient une tarte aux poils !
Et vous savez quoi ?
J'ai jamais eu de poils.
C'est pas vrai.
Et alors, je donne ça aux autres mamans.
Tout dans la bouche, tout dans la bouche.
Rien sous les bras, filles.
Rien sous les bras, c'est tout dans la bouche.
Rien sous les bras, tout dans la bouche.
Ça te fait rire ?
Il n'y a aucune sororité.
Roi, c'est pas bien de rire comme ça.
Non, mais je peux donner un conseil aux mamans.
Bien sûr.
Un conseil aux mamans.
Voilà.
Aux mamans poilus.
Oui, on a de moins en moins de baignoires.
Nous, à l'époque, c'était des baignoires.
Et tous les jours, la pierre-ponce...
Vous savez, la pierre-ponce...
Vous m'écoutez, Laurent ?
Bien sûr.
Oui.
La pierre-ponce qui ressemble au petit souris.
Vous savez, la vraie...
Oui, oui, oui.
L'on sait qu'on le texte.
Et bon, ma mère me disait que...
Oh, voilà.
Un gong arrivé.
Inopinément.
Inopinément.
Ok.
Restez dans le suspense pour pas...
Et ben vous, il y auront des poils.
Et moi, je n'en avais pas grâce à ma mère.
Alors, comment votre mère a empêché que vous ayez des poils ?
Bah, encore avoir le gros gong, là.
Non.
Quitte à ce qu'on perd 300 euros.
Alors, quand j'ai commencé à avoir du poil,
je sais pas quel âge, 13, 14...
Enfin, bon, bref.
Et ben, avec cette pierre-ponce, elle me disait d'y aller molo.
Tout doucement, tout doucement.
Oui, ça fait mal.
Non, mais justement, pas les moyens...
Tout doucement, tout doucement.
Tu t'es rappelé de sous le bras, en fait.
Voilà.
Et on tourne comme ça, sous le bras.
Et le poids, à un moment donné,
il se dit, oh bon, oh merde,
c'est pas la peine de réapparaître.
Je sais pas.
Il est...
Voilà.
On vient de perdre 300 euros.
Mais...
Mais elle...
Isabelle, elle fait très bien changement de sens,
mais vous faites très bien le poil aussi.
Vous pourriez refaire le poil, là.
C'était le poil, la question.
Refaire le poil.
La question, c'est que Mme Grégoire
était ministre du Tourisme.
Ah oui.
Et on a eu très bon chiffre cet été.
J'allais le dire, moi.
Mais ton micro n'est pas allumé.
Les étrangers sont revenus en force
et les Français sont restés en France,
la montagne, particulièrement,
mais aussi les autres régions
ont établi des records.
Le tourisme étant plein et sœur,
des bons chiffres,
elle n'y est pas pour grand-chose,
mais elle s'en fée.
Elle s'en félicite, Mme Grégoire.
Car elle est aussi,
et vous l'aviez oublié,
ministre du Tourisme.
Et ça nous a permis, non seulement
de distribuer 300 euros,
mais en plus, il faut le dire,
d'en savoir un peu plus
sur la façon d'avoir
les bras glabres.
Je vous parle plus.
Le dessous des bras.
Le dessous des bras.
Vous m'avez interrompu par des gonges.
Ah oui, le Grégoire.
Du coup, on n'a pas répondu la question.
Non.
Alors que je savais la réponse.
Oui.
On connaissait cette réponse.
Et alors, qui a gagné 300 euros ?
Alors, c'est Grégoire et le roi
qui a mis de vascale,
qui a gagné...
Bravo, Grégoire.
300 euros.
On n'est pas allés dans la...
Ah, j'ai oublié le public.
Ah ben là, hein.
Eh ben là, vous repartez
chacun avec 100 euros.
Voilà.
Non, mais là,
c'est impossible.
Je me suis peut-être un peu avancé.
Pardon.
Oui, mais c'est pas parce que
vous ne saviez pas.
En fait, je vais dans le public
pour...
Je vais m'en sortir.
Non.
Regardez, c'était...
Il va sortir.
En quelque sorte.
Regardez cette cascade
que je vais faire devant vous,
mesdames et messieurs,
sans augmentation du prix des comptes.
On va dire, on va admirer
l'athémique.
Nous allons dans le public.
Quand le public peut répondre
à une question
auxquelles les grosses têtes
n'ont pas su répondre,
mais il se trouve que là,
si Isabelle Mergo
nous n'avait pas emmerdé
avec ses poils,
les grosses têtes
auraient répondu
à la question.
Voilà pourquoi je ne suis pas
allé à la pêche
dans le public.
C'est l'heure de l'invité du jour.
A notre invité du jour,
viens de le commencer
au théâtre de l'œuvre.
Un spectacle
où il est seul sur scène.
Ça s'appelle un prince.
C'est un acteur
que vous avez aimé.
Au cinéma,
qui a obtenu déjà
deux Césars.
Au cinéma, souvenez-vous.
En 2008,
César du meilleur second rôle
pour les témoins.
Et plus récemment,
en 2021,
César du meilleur acteur
pour le film Affis.
Je demande d'accueillir
Sammy Boijila
dans les grosses têtes.
Sammy Boijila
qui joue un prince
au théâtre de l'œuvre.
Un monologue
signé
Émilie Fraiche.
Bienvenue
aux grosses têtes.
Sammy Boijila.
Je sais que ça a commencé
ce week-end,
cette pièce,
je crois,
samedi soir.
Précisément,
ou vendredi soir ?
Ou là,
samedi soir,
ou vendredi soir,
non.
Vendredi soir.
La première était vendredi.
La première était vendredi soir.
Donc vous êtes très peu...
On dit
non, c'est qu'elle a très peu
de représentations
dans les jambes encore.
Trois.
Trois.
Et ça s'est bien passé,
les premières.
Ça s'est super bien passé.
On a bien démarré.
Je suis très content.
Vous êtes un prince.
C'est signé
Émilie Fraiche.
Mais vous êtes
en quelque sorte
à l'origine.
En quelque sorte.
Faut arrêter là.
Pourquoi là,
une fois de plus,
c'est bien...
Parce qu'on est le quatre,
c'est bien.
Vous allez vous dire
pourquoi je veux dire
en quelque sorte.
Parce que
Sabib Ouagilan
n'est pas
l'auteur
de ce monologue.
Mais vous avez fait
beaucoup pour que
ce monologue
existe sur scène.
Oui, on peut le dire
comme ça.
C'est-à-dire qu'en fait,
Émilie m'a proposé
son texte
si tôt écrit.
Je pense que...
Enfin,
je sais que...
Enfin,
j'ai su qu'elle pensait
à moi en l'écrivant.
Et puis,
ce texte a fait
écho chez moi
parce qu'en fait,
pour tout vous dire
papa et maman,
en fait,
tous les mes deux parents
traversaient
une période assez difficile
avec un Alzheimer
bien, bien avancé.
Et il y avait
des résonances là-dessus.
Et je dirais en particulier
avec mon père
qui lui-même
était coincé
dans la mémoire de son père.
Et c'est un peu
ce que raconte le texte.
Donc,
j'étais interpellé,
j'étais saisie
par ce...
ce...
ce geste,
à ce coup du destin,
je me disais
et ça,
je me disais
qu'il fallait en faire
quelque chose.
Même si ce n'est
de votre papa
parce que c'est un marginal,
c'est un SDF.
Exactement.
Mais j'ai décidé
de m'approprier le texte
et puis, à un moment,
quand j'ai plu,
j'ai filmé papa
et...
en train de raconter
son histoire.
Et voilà, quoi.
C'est-à-dire qu'on voit
votre papa.
On le voit,
on l'entend pas,
mais on le voit parler.
Au Théâtre de l'Ouvre,
un prince signé
Émilie Fraiche,
ça se joue
depuis vendredi dernier.
J'aimerais vous présenter,
monsieur Bojila,
quelqu'un que vous connaissez,
sûrement,
qui s'appelle Marc-Antoine Lebré
et qui a cette chance, Marc-Antoine,
qui a cette chance
de pouvoir amener
avec lui des tas d'invités,
comme, par exemple,
Vincent Cassell,
que vous connaissez bien,
j'imagine.
Oui.
Oui, salut Laurent.
Euh...
Qu'est-ce que t'as dit Laurent?
Moi, je suis un collègue de travail,
c'est ça?
Un collègue de travail, t'as vu?
Un collègue de travail
de monsieur Bojila.
Non, mais où?
On est FCT Mar, bordel.
T'as cru que moi,
c'est en open space ou quoi?
Non, mais en tout cas,
ça me fait plaisir de se revoir,
surtout pour toi,
j'imagine.
Oui, je me kiffe.
On partage beaucoup de choses.
Toi, t'as eu un César.
Moi, j'ai eu un César.
Toi, t'as eu un prix
d'interprétation à Cannes.
Moi, j'ai eu Monica Bellucci.
Ouais, je suis beau et drôle.
Bah voilà, c'est tout.
Vous avez reconnu votre collègue
de travail?
Je suis bluffé, je suis bluffé.
Stéphane Bern,
à l'ambi de...
Oh non.
Il y a quelques mots,
Sammy Bojila.
Bien le bonjour,
Prince Sammy
de la Bojila du César.
Et Messire Rucoug,
la fripouille.
Oh non.
En quelques cents.
Un cookie-nou.
Et bonjour aussi au gueu
dans la salle,
vous avez pas vu, pardon.
Oh non.
Un cher Sammy,
vous jouez dans la pièce
un prince.
Mais il est prince
de quoi, votre prince?
Ah, ça, c'est une vraie question.
Alors?
Il est prince de quoi?
Oui.
Il est prince de comment dire?
Ce gars,
malgré comment dire sa condition,
il est resté libre,
il est libre dans sa tête,
donc on va dire qu'il est prince
de lui-même, voilà.
C'est pas mal, Prince.
Un peu comme Ducen.
Un peu comme Ducen.
Oui, exact.
Comme Ducen.
Absolument, oui.
Vous pouvez pas répéter deux fois,
s'il vous plaît.
S'il vous plaît.
J'aime en prendre une.
Il vit où?
Il vit où sur SDF, d'ailleurs?
C'est quoi?
Qu'est-ce qu'on voit sur scène?
On voit, enfin,
c'est surtout le son
qui symbolise,
qui symbolise où il se trouve,
c'est...
On comprend qu'il est
à la périphérie d'une ville,
voilà.
Il vit dans un espèce,
il y a un tas de terre
à côté de lui,
il en fait sa demeure.
Il est libre dans sa tête, c'est ça?
Oui, comme derrière sa fenêtre.
Comme l'Igor, on parle.
Et j'amors, peut-être.
On passe de Johnny à Bouba,
qui est venu nous voir aussi.
Bonjour, Bouba.
Ouais, je l'ai faimé.
Je l'ai faimé.
Bah, c'est Bédo Zoba.
Easy.
Missa, je suis faim de ouf.
J'ai tout regardé.
J'ai vu Brackeur.
Brackeur.
Ouais.
Brackeur, le film.
Brackeur, la série.
Easy.
Attends, il n'y a pas fait que ça,
Monsieur Brogilla.
Il a fait énormément de films.
Il n'a pas fait que Brackeur.
Je sais, Boulos.
J'ai vu 50 films avec Sammy,
parce que j'ai vu 50 fois Brackeur.
Vous avez vu d'autres films.
Il a eu des César, un fils.
Il a eu les témoins aussi.
Les témoins du Brackeur?
Sammy, il faut la retrouver.
Il est fumé, c'est balan, c'est la vie de Maron.
Écoutez, Roselyne Bachelot,
c'est plutôt vers vous que je vais me tourner.
Oui.
Moi, Sammy, je l'aimerais encore plus
s'il était moins couvert.
Mais bon, ça, c'est une autre histoire.
Si on fait un calendrier des dieux du cinéma,
Sammy, ce sera mon mois de juillet.
On peut obtenir d'un cantalobret
que vous retrouverez dans le...
18h.
RTL, bonsoir.
Merci, Laurent.
Je vous en prie, Monsieur Lebré.
Au gros stade, je suis une péglingosse.
Marie-Christine Oury à la mise en scène.
Il faut le signer, elle est quand même
parce qu'on n'a pas cité son nom.
Vous dites que ça fait 10 ans
que Emily Fresh a écrit ce texte.
Oui, je crois.
Et que ça a mis autant de temps.
Pourquoi ça a mis autant de temps?
Parce que je suis un lendemain.
Déjà, on va dire ça comme ça.
Et ensuite, je voulais trouver
l'angle d'attaque comment rentrer là-dedans.
Entre-temps, je fais un film,
j'en fais un autre,
et puis je fais autre chose.
Et puis voilà, quoi.
Un prince d'Emily Fresh,
joué par Sammy Boijila,
seul sur scène,
c'est au théâtre de l'œuvre.
Vous acceptez de rester avec nous
pour faire la valise RTL?
Avec plaisir.
A tout de suite.
RTL.
La valise.
La valise, ça va être une première
pour vous, Sammy Boijila.
Ah, oh là.
Monsieur Lebré, vous pouvez expliquer
comment on fait la valise.
Je sais pas ce que c'est.
Alors, moi non plus, je ne sais pas,
voyez-vous?
Donc, on appelle un auditeur
et on lui demande
ce qu'il y a dans la valise.
Voilà, exactement.
Voilà.
La valise, c'est tout simple.
Sammy Boijila, il suffit
d'appeler un auditeur
ou une auditrice.
D'abord, vous demandez un numéro
de 1 à 20.
Ça, c'est le hasard
qui va désigner.
9.
Le 9.
Et puis, vous allez essayer
de retenir le nom
de Serge Kerbera,
un comédien, ça,
de la mémoire.
On n'a même pas besoin
de stylo, Serge Kerbera
qui habite...
À l'inverse,
ça fait breaker.
Voilà.
Encore.
Il habite...
Il habite Brest,
Serge Kerbera.
Alors, voilà.
Normalement, on espère
qu'il va décrocher.
Vous demandez si c'est bien
Serge Kerbera,
s'il est bien à Brest.
Et puis après,
s'il a une idée
pour laquelle on l'appelle.
Et puis, la question fatidique,
ce sera
quel est le contenu
d'une viserté ?
Il est pas bien bref,
c'est quoi ?
Voilà votre texte, Sammy.
Quelle pression,
ça fait beaucoup d'informations.
Ça sonne !
Ça sonne,
merci Isabel de m'aider.
Moi, j'irai même,
ça sonne en calcul de sorte.
En quelque sorte !
Bon,
mon avis...
Bienvenue
sur la boîte vaut bien.
Oui,
c'est raté.
Un autre numéro,
Sammy Boagila.
Oui,
allons-y.
Le 3,
le 3.
Le 3.
Gouenahel,
Gaudin,
Gégé,
pour les intimes,
je pense...
C'est aussi un prénom d'homme.
Gouenahel.
Il y a des Isabelles
avec un soleil.
Peut-être.
Alors,
écoutez,
on va vérifier
une fois qu'on aura...
Gouenahel.
Gouenahel,
Gaudin,
au téléphone.
Allô !
Oui,
Gouenahel.
Oui ?
Oui,
bonjour,
c'est Sammy Boagila,
l'appareil,
je vous appelle depuis les grosses têtes.
Oui,
bonjour.
Oui,
alors je voulais savoir,
est-ce que vous avez une idée
de la raison de mon appel ?
Allez-vous !
Il en profite !
Gouenahel,
s'il vous plaît,
on n'arrête pas de m'interrompre.
Il quitte la valise !
Il quitte la valise !
Il y a beaucoup d'argent au jeu,
alors,
avez-vous une idée
du contenu de la valise ?
Eh ben,
c'est possible, oui,
j'espère que oui.
Wow !
Alors,
si vous pouviez me le dire,
je pourrais vérifier
et on validera ou pas,
on verra.
Et ce qui veut prendre ma place ?
Ah,
il a dit tout à l'heure.
Alors,
attention,
il a très bien fait notre valise,
à Gouenahel.
Mais il a pas mis le suspense.
C'est quoi le suspense ?
Le suspense,
c'est bon sourd.
Voilà.
Non,
pas bon sourd,
enfin oui,
Gouenahel,
Gouenahel,
Gouenahel,
Gouenahel,
voilà,
vous allez bien ?
Bien, vous ?
Non,
mais elle était en train
de jouer l'appel.
Ah,
gouenahel, merde,
gouenahel !
Allez,
alors,
alors,
on commence par la somme
dans la valise RTL.
Euh,
125 euros ?
Ça, c'est bon.
Ça, c'est bien.
Un cartable Paul Fox.
Un cartable Paul Fox,
oui.
Un casque
paysuite,
édition McLaren de Boyer
avec Wilkins.
Parfait.
Wow.
Des couteaux.
Des couteaux, oui.
Des couteaux.
Oui.
Et
un blender portable
freshjuice.fr.
Non,
c'est un rouleau de PQ.
Non.
Et quoi d'autre,
quoi d'autre ?
Et deux plats
pour le quart de finale rugby
au Stade de France.
Vous avez gagné,
la valise était...
Bravo Gouenahel,
bravo.
Alors là,
bravo.
Si vous pouvez emmener
François Berléon
au quart de finale,
bravo Gouenahel.
Je pense même
puisque vous allez venir
à Paris au Stade de France
pour le rugby.
Vous aimez le rugby ?
Pas trop,
mais...
Ah, mais,
vendez-les, vendez-les.
Les cartes de finale
de la Coupe du monde de rugby,
vous pourrez en faire profiter
quelqu'un,
il n'y a pas de doute.
Qu'est-ce que vous allez faire ?
Parce que je suis sûr
que Sammy Boijila
sera d'accord.
On va vous offrir
deux places
pour aller au théâtre de l'œuvre,
l'applaudir
dans un prince.
Je vous attends,
Gouenahel.
Vous préférez le théâtre ?
Avec plaisir.
Oui.
Il préfère le théâtre.
En plus,
c'est un magnifique théâtre,
l'œuvre.
Et vous pourrez
applaudir
Sammy Boijila
sur scène.
Heureusement que là,
il a pas répondu.
Bon, je n'aime pas trop,
en fait.
Ça aurait été un peu gênant
parce qu'il est là,
vous voyez,
sauf que je ne sais pas
si vous serez encore
en octobre.
Pour l'instant,
c'est jusqu'au 30 septembre.
Oui, là, je joue jusqu'à fin septembre.
Bon, mais on verra,
il y aura peut-être,
c'est comme au football,
il y a des prolongations.
Au rugby,
il n'y a jamais de prolongation.
Monsieur Berléon,
vous me confirmez ?
Ah, si,
il y aura des prolongations.
Ah, c'est vrai ?
Un matchonul, oui.
Un matchonul.
En cas de matchonul,
il y a prolongation.
Il y a un matchonul,
il y a prolongation,
et après, il y a tir au but.
Voilà.
C'est votre contrat au théâtre
que vous ne jouerez pas
les soirs de finale,
car de finale,
de rugby.
J'y avais pas pensé,
mais je suis surtout bluffé
par la précision de François,
comment il raconte ça.
Il n'y a que ça qui connaît.
Il n'y a que ça qui m'intéresse.
Il n'y a que ça qui m'intéresse.
Il n'y a pas,
il ne fait rien.
D'ailleurs,
il n'a pas encore appris
la pièce qu'il joue
dans 15 jours.
Il n'est que sur le match.
Un prince,
il est fraîche,
joué par Sami Bojila.
On vous donne deux places,
en tout cas,
en plus,
dans la Valise.
Et c'est vous qui choisissez
la nouvelle somme de la Valise RTL.
1082.
1082 euros
dans la nouvelle Valise RTL.
Voilà le contenu.
Demain nous appellerons.
J'ajoute tout de suite
des Madeleines.
Tiens, je suis comme ça.
J'ajoute des Madeleines
dans la Valise RTL.
Il y a 1082 plus des Madeleines.
Oui.
1082 euros
et un assortiment
de Madeleines
de la maison Colibri.
Oh, Colibri.
Ah, elles sont très bonnes,
les Madeleines Colibri.
C'est vrai.
La maison Colibri,
créateur de Madeleines
depuis 1896,
est basée en 40 maritimes.
Oui.
Attends, vous savez pas
faire sa mime-bois-gillard,
oui.
Non, mais il le lit.
Il ne saurait plus le lire.
Oui, il l'a promenée.
Abonnez.
Ah ben non.
Alors abonnez.
J'ai pas mes lunettes.
J'ai pas mes lunettes.
Il a pas ses lunettes.
Le bras n'est pas assez long d'ailleurs.
La maison Colibri,
créateur des Madeleines
depuis 1896
et basée en 40 maritimes,
réalisée avec passion
et avec...
Je suis désolé.
Il a écrit que le mal.
Non, non, non, non.
Réalise avec passion
de délicieuse Madeleine
dont la Madeleine Signature,
c'est ma préférée d'ailleurs.
Ah voilà.
J'ai jamais goûté.
La Madeleine
coque au chocolat croquant.
Ah oui, elle est très bonne,
celle à la coque au chocolat.
J'adore fait devenir.
Des Madeleines dans la Valise Ertelle.
C'est bien qu'il m'en envoie.
Mais il nous en avait envoyé.
Ah ben j'étais pas l'âme.
Et j'ajoute aussi
dans la Valise Ertelle,
si vous êtes d'accord,
samis-bois-gillard,
deux places pour le théâtre de l'oeuvre
pour venir vous apprécier.
Il n'y aura que des places gratte
qui fait le pot.
En septembre.
Il faut bien qu'il y ait des gens
qui payent quand même.
Il y a toujours deux places
pour Ertelle.
Ah ça va alors.
J'ajoute deux places
pour un prince
et samis-bois-gillard
au théâtre de l'oeuvre
dans la Valise.
Merci en tout cas
d'avoir joué le jeu chez nous,
samis-bois-gillard.
Avec plaisir.
Et de jouer chaque soir
jusqu'au 30 septembre,
ce prince à l'oeuvre.
A demain, 15h30
pour d'autres grosses têtes.
Dans un instant,
vous retrouvez Marc-Antoine Lebré
chez Julien Seilier.
Bonsoir Julien.
Vous avez retrouvé dès maintenant
pour 1,99€ par mois
sur Apple Podcast.
Tous les ingrédients
des grosses têtes sont là.
Répartis,
humeur,
humour,
culture et
coup de folie.
Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.
Avec Philippe Claudel, AZ, Isabelle Mergault, François Berléand, Christophe Beaugrand et Roselyne Bachelot.