Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du lundi 30 octobre 2023

RTL RTL 10/30/23 - Episode Page - 1h 45m - PDF Transcript

Tous les soirs dans RTL Bonsoir. Retrouvez Marc-Antoine Lebray dans Le Bray.

King News.

Tu n'as pas rêvé, c'est bien moi. Je ne crois que du boss.

Vous réviserez l'Allemand avec Jürgen, un camping-cariste allemand avec Bob Short-Clockhead-Chaussette.

Non pas lui, je n'étudie en lui, c'est Alex Vizoret qu'en vacances.

On a vite tendance à confondre le style de l'Allemand et du belge.

Alors, petite astuce pour les différenciers.

L'Allemand a des étoiles sur son maillot.

Le Bray.

King News.

Avec Marc-Antoine Lebray, c'est juste après le journal de 18h sur RTL.

Les grosses têtes de Laurent Ruquier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Bonjour, heureux de vous retrouver avec pour moi aujourd'hui une grosse tête aussi imprévisible

quand elle entre dans le grand studio que dans sa cuisine, Arielle D'Aubal.

Une grosse tête que le public aime un peu.

Beaucoup passionnément.

Yann Folie.

Merci, bonjour à toutes.

Une grosse tête écrivain qui est passée des âmes grises à la radio rouge Philippe Reineuil.

Une grosse tête qui a bien fait devant que sont deux pièces à Beyrouth.

Jérémy Ferrari.

Une grosse tête en plein rodage de son nouveau spectacle tombé du ciel.

Et parachuté RTL, Jean-François Jancel.

Et une grosse tête qui a autant de visiteurs sur YouTube que le mannequin pis à Bruxelles.

Diôme.

Bonne rameau.

Jérémy les humoristes, t'as accent en bout de table.

Déjà dans la loge, c'était insupportable.

Jean-François Jancen qui essaie d'expliquer qui était Yann Folie à Guillaume.

L'accent belge, l'accent du Nord sur les chansons Yann Folie, c'était dur, c'était dur.

Vous chantez du Yann Folie, Jean-François ?

J'ai gommé les ratures.

Il y en a eu d'autres depuis 35 ans.

Et dans la loge en retour, je ne connais pas, je ne connais pas.

D'ailleurs j'ai toujours pas compris qui vous êtes.

Oui mais en attendant, moi je suis heureuse parce que je connais aussi des nouvelles personnes aujourd'hui.

Et Guillaume est un sacré pâtissier.

Il nous a amené des cookies chocolats.

Ah Riel, nous les avons chouetés.

Pardon Yann, mais c'est qu'ici on parle français aujourd'hui.

Il y a le château de la langue française qui est inauguré.

Ils nous ont apporté des cookies.

Qu'est-ce que j'ai dit ?

Ammener des cookies.

Et il ne faut pas les cookies.

Ammener, c'est pour une personne.

C'est vrai.

Ammener, c'est pour une personne.

Apporter, c'est pour quelque chose.

Vous avez raison.

Et puis on ne fait pas d'anglicisme.

Donc cookies.

Et puis...

Mais non, je dis pas cookies.

Et les cibounes est arrivée.

Mais nous, on les a routés.

Il faut attendre une demi-heure pour les effets, Riel.

Et c'est des...

Ah bah c'est des espèces.

Ah non mais elle est tombée dedans quand elle était petite.

Et donc on rend hommage à la langue française, c'est ça l'horreur.

Pardon ?

On rend hommage à la langue française.

Oui, c'est ça.

Ça fait une fois.

C'est fou parce qu'il essaie de ne pas avoir son accent.

Mais il l'a quand même.

Je suis désolé Monsieur Clonel, vous qui...

Effectivement avez l'habitude de réunion au sein de l'académie go-cours.

Mais oui.

Mais Laurent, moi j'adore les accents.

Ah oui et puis...

Ah bah ils reviennent alors.

J'adore les accents alors.

On s'est découvert même une passion commune en loge avant, tout à l'heure.

Ah bon ?

Oui, les montres.

Ah les montres ?

Oui.

On n'a pas le même budget, mais en tout cas on a une passion commune.

Une première citation, si vous voulez bien,

Monsieur Isaac Shuss, de Grand Pont-Ouvre, en Charente,

qui a dit, si j'en crois à mon horoscope,

je devrais mourir dans la soirée.

C'est con, j'avais pas fini de bêcher mes caméliens.

C'est des proches, non ?

C'est Pierre des proches,

bah la réponse de Liane Folli.

Qui a tweeté,

si tu as compris le conflit israélo-palestinien,

c'est qu'on te l'a mal expliqué.

Ça c'est animerique ça ?

Ça c'est un humoriste, oui.

Ça, je trouve ça génial.

Ah oui, c'est un français ?

Alors c'est un français.

Ah c'est un humoriste ?

Humoriste, acteur, scénariste,

animateur aussi.

Ah, j'arrive ?

Et d'ailleurs touché par le conflit israélo-palestinien.

God, God.

Pagadelle-Mallet.

Élysée Moune ?

Élysée Moune, non.

Quelqu'un d'ailleurs, dont je rêve,

qui vient d'un jour au grand.

Ah bon ?

Il m'a dit qu'il nous écoutait en allant chercher ses enfants

et là, c'est bon, il est trop occupé.

D'ailleurs, il va faire son retour bientôt sur M6,

il m'a même moi révolu.

Ah, tu le louche ?

Non, non, non.

Ah non, c'est Roland McDonnell ?

Non, Roland McDonnell de retour sur M6.

Roland McDonnell ?

On ne verrait pas quelqu'un d'un âge comme lui

revenir sur M6.

Mais bien sûr.

J'en veux la question.

Je vous l'avais tout à fait.

Non madame, ça vient une remarque de vieille.

On vous entend.

Mais non, mais c'est vrai.

Une nouvelle chaîne d'épargne.

Bah oui, mais moi, je peux que défendre ce genre de choses.

J'ai soixante balais.

Mais ce que je veux dire, c'est que ça fait plaisir.

Vous le faites pas.

Oh, tu veux te donner de l'argent ?

Non, si, si, si.

Je viens d'avoir...

Franchement, sur le théâtre des opérations,

vous le faites pas.

Eh bien, épitez.

Alors, il a commencé comme animateur,

mais animateur drôle,

et puis il a fini humoriste, comédien, acteur, réalisateur,

scénariste.

Qu'est-ce que les que je vous dise de plus ?

Moi, s'il retourne sur M6,

c'est qu'il est quand même plus animateur.

Et Mickaïoune ?

Non, c'est...

Mickaïoune !

Bonne réponse.

Bravo.

De Jean-François Jansen, c'est Mickaïoune.

Pour Chantal Arabo, qui habite,

Chalin la potrice est dans le Ménéloir,

qui a dit, je ne vois que la psychanalyse

pour concurrencer le christianisme

dans l'amour des souffrances qui durent.

Ça, c'est une phrase du début du XXe siècle.

Alors, c'est assez joli, effectivement.

Alors, c'est plutôt, on va dire,

du début du XXIe siècle,

du début du XXe chère Ariel.

C'est une femme qui vit encore.

Une femme née à Casablanca,

mais une romancière française.

Et voilà pourquoi j'ai posé cette question aujourd'hui,

parce qu'évidemment,

M. Clodell est un de ceux

qui pourra retrouver le nom de cette romancière.

J'en suis certain.

Oui, celle qui a écrit l'Ogre.

Pardon ?

Celle qui a écrit l'Ogre.

Que Paillasse Minorisart ?

C'est Paillasse Minorisart.

Mais il a slimani.

Il a slimani.

Non.

Elle a eu le Goncourt aussi ?

Elle n'a pas eu le Goncourt.

Non, non, non.

Non, mais elle a eu un best-seller

qui s'est vendu encore plus qu'un Goncourt.

Ah bon ?

Ça m'aimait été adapté au cinéma

à son best-seller.

Oui.

C'est vous dire ?

C'est sorti ?

Astérix.

Astérix.

C'est Josiane Balasco

qui jouait le personnage principal

de l'adaptation cinématographique

de ce roman.

C'est pas Muriel Barberie.

Et c'est Muriel Barberie.

Bonne réponse

de Philippe Blurdel.

Et Laurent, vous avez tout à fait raison.

L'élégance du réisson,

c'est vendu beaucoup plus qu'un Goncourt.

C'était un énorme best-seller.

Et l'élégance du réisson.

Ah oui, la gardienne.

Exactement.

La gardienne de l'image.

Elle jouait la gardienne d'immeuble.

Josiane Balasco,

l'élégance du réisson.

C'est effectivement l'histoire

d'une gardienne d'immeuble

qui s'est énormément vendue.

Ça date de 2006 déjà.

Quand on a un Goncourt,

est-ce qu'on forcément

on vend énormément derrière ?

Pas tous.

C'est systématique ou pas ?

Pas tous.

Quand même.

Généralement,

ça multiplie les ventes

de façon spectaculaire.

Alors ça dépend

mais c'est au moins

quand même 200 000, 300 000 exemplaires

ce qui est considérable.

Et parfois plus d'un million

comme il y a quelques années

avec le livre d'Herve et le Thélie

et la nomalie

qui a eu la plus grosse vente

du Goncourt.

Avant c'était

Laman de Marguerite Duras

en 1984.

C'est bon.

C'est bon.

Je m'en ai dit.

Tu m'as posé une question.

Je te réponds.

Cultive toi.

Mais Laman,

je vous réponds jusqu'au bout.

Attendez parce que

l'anomalie,

c'est l'histoire dans un avion.

Exactement.

Je l'ai pas lu

mais je l'ai offert à ma mère.

C'est bien.

Une question

pour Rémi Gerbeau

qui a mis de brillant

près de tout et c'est

dans les deux questions

que j'ai trouvé

dans Nice matin.

Puisque dans Nice matin,

aujourd'hui,

il y a une page entière

consagrée

à ce couple

qui fait ces noces de platine.

Noces de platine,

ça commence en 70 ans.

C'est combien d'années ?

70 ans.

70 ans.

70.

70 ans de mariage.

70 ans.

Ils sont ensemble

depuis 70 ans.

Mais ils sont mère et fils.

Et d'ailleurs,

le maire de Cannes.

C'est pas dans le nord.

C'est à Nice.

C'est à Nice.

Une page entière

dans Nice matin

pour ce couple

marié depuis 70 ans

puisque,

unis par les liens du mariage

le 31 octobre 1953,

il y a eu évidemment

une petite fête

organisée entre autres

par le maire de Cannes,

M. David Lyssna.

Et en plus,

ça fait plaisir

de voir ces photos.

Et il y a même

la photo de mariage.

Mais je reconnais ça encore.

En fait, ils ont pas...

La madame change plus.

Elle est empayée donc.

C'est des politiques ?

Des politiques, non.

Alors attendez,

ils font pas le même métier

de façon les deux.

Non, mais elle,

elle s'appelle Colette.

Oui, comme tous les gens

dans les 50 ans.

Il est connu des deux,

c'est son mari, évidemment.

Ah, il est connu ?

Mais oui, très connu,

c'est un acteur.

Un acteur, non.

Un écrivain.

Ah, il a beaucoup publié.

C'est un journaliste, alors.

Un journaliste aussi.

Animateur ?

Animateur aussi.

De radio ?

De radio aussi.

Mais il est forcé.

C'est pas Philippe Bouvard.

Et c'est Philippe Bouvard.

Bonne réponse

de Jérémy Ferrari.

Une page dans Nice matin.

Comme quoi,

ça sert de lire

la presse régionale.

Quand je suis tombé là-dessus,

je me suis quand même

fait...

On voit Philippe Bouvard

avec sa femme Colette

entourée de leur famille.

Et il y a même la photo

du mariage

du jour de leur union

entre le 31 octobre...

Le temps a passé,

mais l'amour est resté.

Bonne anniversaire.

C'est assez drôle,

parce que

je pense que ça,

c'est une formule de Philippe Bouvard.

Il parle de sa femme

en disant

« Ni dupes, ni soumises ».

C'est joli, ça.

C'est joli comme expression.

Ah, il nous manque, hein.

Ça veut dire qu'il a trompé, ça.

Ça veut dire qu'il l'a trompé, ça.

Je pense que, justement,

ça veut dire qu'il n'y a pas d'upes.

C'est comme le couple Chirac, vous voyez.

Oui, mais ils sont toujours ensemble.

Mais c'est la terre à la vie.

C'est facile de rester avec quelqu'un

quand tu es un peu avec tout le monde

en même temps, hein.

C'est vrai.

Alors là, je suis d'accord.

C'est les noces de platine.

Franchement,

les guétas, par exemple,

ils n'auraient pu avoir

des noces de platine.

Et ils se sont rencontrés

dans le train

qui reliait paris aux vésinés.

Les guétas, non, pas du tout.

Non.

Ils se sont rencontrés en 1953

dans le train qui reliait paris aux vésinés.

C'était des trains à vapeur,

déjà arrivé.

Ah bah, écoutez.

Et puis après, ils l'ont emmené

en forêt.

Ah oui, oui, oui.

Ça, on peut plus faire ça maintenant.

La forêt de Saint-Germain, en lait.

Ah ouais.

Et il a dit de cette promenade silvestre.

Silvestre, ça veut dire dans les bois.

Dimanche.

Ah non, j'ai pas vu ça avec moi.

De cette promenade silvestre

où on regardait les feuilles à l'envers.

Ah là.

Oh, c'est chouin.

C'est chouin.

Et c'est prendre côté un arbre.

J'ai un très beau souvenir

de la forêt de Saint-Germain, en lait.

Ah, c'est vrai, vous aussi.

T'as vu les feuilles à l'envers aussi ?

Oui.

Mais il a dit de la nuit.

Elle a trappé des champignons.

C'est beau, Saint-Germain, en lait.

En tout cas, Philippe Bouvard,

c'est félicité.

Je vous lis l'article

de Denis Caro dans Nice Matin.

Philippe Bouvard, c'est félicité

de cette longue évité conjugale

devenue assez rare,

alors que la durée de vie

ne cesse d'augmenter

et que celle des unions

ne cesse de raccourcir.

C'est vrai.

C'est vrai.

Bien sûr.

Donc, bravo à eux deux.

Bientôt, 94 ans,

un couple qui fête

donc leur anniversaire.

70 ans de mariage,

c'était quand même normal

qu'on en parle ici

aux grosses têtes.

Oui, oui, oui, oui.

Vous vous en êtes à combien,

à voir rien ?

Ah, ça reste secret.

Avec BH.

Ça reste secret.

Des années-lumière.

Oui, des années-lumière.

Ça fait 25 ans.

Ça fait 15 ans.

Ouais, 20 ans, non ?

30 ans, je dirais.

30 ans.

Tu peux faire l'amour éternel.

Voilà, c'est l'amour éternel.

C'est qui, votre compagnon ?

Je dis de moi, je débarque.

Interesse-toi, tes copains.

Un philosophe.

Faut que tu connaisses un peu

les milliardaires,

sinon tu ne vas pas t'entendre bien.

Et vous, M. Clodal,

vous en êtes à combien,

40 ans de vie commune

et 37 ans de mariage.

C'est pas mal,

déjà.

Vous en écoutes quand même.

Il y a des couples qui durent.

Et vous, M. Guillaume,

vous êtes en couple ?

Oui, moi, ça va faire 4 mois.

C'est le début, hein.

Petite noce.

Les noces de caoutchouc.

On met encore une capote.

C'est ton combien, tième couple ?

D'abord, on n'a pas encore

été jusqu'à l'étape

de la capote.

Tu n'as pas couché avec

encore 4 mois ?

Non, mais je fais les choses

et en fait, elle vient

de Charles-Roy.

Donc, vous imaginez

l'accent qu'elle a

par rapport aux miens.

Non, on voit pas bien, non.

Comment reconnait-on, Guillaume,

toi, tu le sais,

comment reconnait-on

d'une demi-jeune mariée

à Charles-Roy ?

En fait, quand il sourit,

il manque 3 dents.

Non.

Ce sont les seuls

qui ont des juggies 9.

Ça fait 4 mois

que t'es avec elle.

Elle est à Charles-Roy

et t'as pas couché avec elle.

Elle est en prison, en fait.

Bah oui,

parce que comment que c'est possible ?

Avec elle ou avec lui ?

Avec elle.

Avec elle.

Ah bah oui.

Ça peut être un surprise.

Et vous, monsieur Jean-Phi,

ça commence à faire

avec votre acteur, là.

Ah ouais,

ça fait du bon travail.

Quand j'y est avec

votre acteur,

c'est pas votre...

C'est votre acteur

pas votre acteur.

Oui, j'ai bien compris, hein.

Avec votre acteur.

Non, non,

oui, ça baisse.

On va, Dioul,

l'amour est dans le pré.

Là, un gars qui fait

un amour

avec votre acteur.

Non, c'est plus l'amour est

dans le foin, moi.

Mais oui,

ça fait depuis le FFA,

le Festival d'Angoulême,

donc ça fait depuis

de mois d'août,

donc c'est bien.

Oui, oui, c'est une histoire

qui dure,

parce que je reste discret.

D'ailleurs,

il m'a accompagné

sur mon redage

pour me soutenir.

C'est ça ?

C'est ça un vrai couple ?

Il était à Rince avec vous ?

Oui, ça, alors.

Il est plus vous encourager

pour me soutenir.

Il faut expliquer

que monsieur Jansen

est en train de reder

son nouveau spectacle.

Et il a redé

dans une petite salle à Rince.

Exactement.

Il est plus magique

pour me monter sur scène.

Il m'a beaucoup soutenu,

c'est bien.

Et puis voilà.

Est-ce qu'il t'a fait des critiques

constructives ?

Constructives, oui.

Oui, oui, oui.

Très bien.

Constructives, oui.

Oui, oui, oui, oui.

Oui, oui, oui, oui.

Oui, oui, oui, oui.

J'ai retaillé des vannes.

Oula, on a bien...

Des vannes.

Attention, hein, attention, hein.

Il y a des pertes.

Combien de temps vous dites

depuis le mois d'août ?

C'est quoi,

c'est la nose de Poppers,

c'est ça ?

C'est quoi, moi ?

Et le public et le public ?

Oh, le public,

il jetait leur culotte

comme ça,

j'étais tellement content.

Non, non, non, non,

mais c'est ça,

le public était en rodage

pour Madonna aussi.

Mais c'est ça,

c'est important,

j'aime pas le mot de rodage.

C'est en création,

c'est dit aux gens

que j'ai demandé leur avis,

en fait.

C'est moi,

Laurent,

l'émission,

c'est un biopique

sur Jean-François,

où on peut avancer une vie.

Regardez la janouze.

Les grands pères répondent aux auditeurs.

Et on va tenter de répondre

à Thierry,

qui nous a envoyé

un message plutôt sympathique.

Bonjour Thierry.

Bonjour Laurent.

Ah, Thierry.

Bonjour Thierry.

Bonjour Laurent.

Bonjour.

Bonjour.

Bonjour Thierry.

Bonjour Thierry.

Vous me faites rire

depuis des années,

ça me fait beaucoup de bien,

m'écrivez-vous.

Il y a cependant une chose

qui m'intrigue,

c'est ce rire ridicule

et quasi permanent

pendant vos émissions.

Est-ce que ça ne serait

pas Jean-Fy,

demandez-vous ?

Est-ce que c'est celui

de rire plus intelligemment ?

J'essaie à...

Mais comment...

Vas-y, rire Jean-Fy.

Comment rire intelligemment ?

Je n'ai pas idée.

Est-ce que c'est bien celui-là ?

Est-ce que c'est bien celui-là ?

Refaites-le Jean-Fy.

Oh non non non.

Vous avez le canard.

Quoi, quoi, quoi ?

C'est ça ?

C'est bien ça ?

C'est ça, c'est ça.

J'ai essayé de l'imiter,

mais c'est difficile.

Essayez encore une fois.

Essayez encore, oui.

On s'approche.

Vous avez gagné une montre-herterre.

Dominique.

Maintenant, il se téléfoque.

Bonjour Dominique.

Bonjour Laurent.

Bonjour tout le monde.

Bonjour.

Ils sont tous tout de temps.

Ils se font content.

Un pêche, Dominique.

Et en plus, vous êtes Janss, Dominique.

Oh oui, père Janss, oui.

Ben, quel âge vous avez, Dominique ?

Je suis 72 ans.

Ben oui.

Il s'appelle Dominique.

Oui, mais vous savez pourquoi je pensais ça ?

Parce qu'elle m'écrit

qu'elle kiffe de vous écouter chaque jour.

Parce qu'elle ne voit plus rien.

C'est son dix vis qui a écrit le mail.

C'est vous qui avez écrit le mail, Dominique,

ou c'est votre petit fils ?

Non, non, non.

C'est moi, c'est moi.

Je suis toute seule.

On dirait Daniel et nous.

C'est pas Daniel et nous.

C'est vrai, là, c'est vrai.

C'est la même voix.

Quel kiffe de vous écouter chaque jour.

Je suis une grande...

Là, on voit que vous, filaments,

je comprends.

Elle écrit, je suis une grande femme,

au lieu d'une grande femme.

Ah oui, oui, d'accord.

Donc là, effectivement,

ça se gâte au bout d'une phrase.

Je ne suis pas la seule,

nous dit Dominique,

la France entière vous aime.

J'aime tout le monde,

mais c'est vrai

que j'aime particulièrement

Arielle, Arielle Dombal,

qui est très, très drôle

et de plus,

elle est la définition

du mot grâce,

mais pas avec deux S, hein.

Avec un C, évidemment.

Et un accent, tu es complexe.

Bien sûr.

Oh, et bien, Dominique,

vous me faites chaud au coeur.

Très clé.

Très clé.

Rien ne peut qu'à dire,

vous me faites chier, Dominique.

Non, j'aime beaucoup qu'on kiffe

sur moi, Dominique.

Non, vous kiffez aussi nous, Dominique.

Valérie, maintenant.

Bonjour, Valérie.

Bonjour à tous.

Ben, Valérie aussi s'adresse à Arielle.

Elle veut savoir

si mademoiselle Arielle Dombal

a enfin goûté la crème Montblanc

en boîte.

Ah oui.

Parce que c'est vrai,

elle ne savait...

Quoi ?

Non, c'est un sous-entendu,

c'est un jaune mot.

Non, c'est parce que l'autre jour,

quand on a parlé de la crème Montblanc,

Arielle ne savait pas

ce que c'était.

Elle avait un stylo à la place.

Mais personne n'y en a offert depuis,

donc je ne pense pas qu'elle en ait mangé.

Mais toujours pas, mais j'attends.

Valérie, il faut envoyer des boîtes, Valérie.

Ben voilà.

Ben ça me ferait grand plaisir,

un bon petit Montblanc.

Vous êtes trop bien.

Ah, on est trop bien.

Vous aussi, vous êtes trop bien, Valérie.

Faites quoi dans la vie, Valérie ?

Je suis acheteuse en grande distribution.

Ah, très bien.

Et je voudrais faire un coup à ma fille

que j'ai mis à écouter

votre image.

Ben vous l'appellerez alors, madame.

Vous l'appellerez.

N'appelez-là, c'est pas une ligne.

Ben non, on a autre chose à faire.

Moi aussi, je dois aller à la pharmacie.

Je n'en mètre pas à mon monde.

Au revoir, madame.

Ne l'écoutez pas.

Ne l'écoutez pas.

Je suis l'ingrinche belge.

Valérie, c'est bien que vous ayez dit

à votre fille, Virginie,

d'écouter les grosses.

Oui, t'as méchance, t'es tranquille.

Oui, elle s'appelle Valérie,

mais c'est pas grand-chose.

Mais Virginie, c'est bien aussi.

Ah non, attendez, je comprends pas.

Vous appelez Valérie et elle aussi ?

Non, non.

Elle s'appelle Léa, je rigole.

Ah, Valéa, Léa.

Léa.

Bon, on embrasse Léa,

qui nous écoute.

Merci, Valérie.

Gaëtan.

Tiens, un belge

qui connaît peut-être

ta mère-la-gauffre.

Bonjour Gaëtan.

Oui, bonjour Laurent.

Bonjour les grosses têtes.

Bonjour Gaëtan.

Parce que vous êtes allés

applaudir Liane Folie

au Théâtre Royal de Namur,

ce week-end.

Effectivement,

c'était une excellente soirée.

Je la remercie.

Merci.

C'est une super artiste.

Et franchement,

elle nous a pris par la main

du début

jusqu'à la fin,

sans me glacher.

Elle vous a pris seulement

par la main ?

Non, enfin.

Enfin, oui.

Et est-ce que vous connaissez

plus que c'était à Namur,

est-ce que vous connaissez

ta mère-la-gauffre,

l'établissement ?

Non, encore,

j'en ai entendu parler,

mais non.

Faut venir.

Mais le plus facile,

c'est de se garer

au parking de la Confluence.

Oui.

Vous voyez,

je vois, je vois.

Là, vous mettez au moins 2

et vous prenez la rue des bouchées,

tout simplement.

Qu'est-ce que vous faites

dans la vie que l'étend-vous ?

Je suis là

dans la Grande Distribution.

Ah ben,

comment dans la Grande Distribution ?

Il y a du monde

dans la Grande Distribution aujourd'hui.

Il y a étend...

Je peux avoir une mante

pour mon papa

qui fait de l'université.

Non,

parce qu'ici,

c'est pas la Grande Distribution.

Allez, on va lui envoyer

quand même.

Bonjour Mathieu.

Salut Laurent.

Salut les grosquettes.

Salut Mathieu.

Alors Mathieu s'adresse

à Jérémy Ferrari.

Oui, oui, oui.

Jérémy,

que vous aimez

dans ses duos improbables.

Il arrive à intégrer

des comics

issus des minorités,

dites-vous.

Vous le regardez

souvent, j'imagine.

Oui, tout à fait.

J'adore Jérémy.

Et c'est ce qui vous donne

cette joie de vivre.

Mais toujours,

mes auditeurs,

ils sont comme ça,

c'est pas possible.

À chaque fois,

ils sont dépressifs,

ils sont tellement mal.

Mathieu,

faites-moi plaisir.

Dites-moi

que vous n'êtes pas

dans la Grande Distribution.

Pas du tout,

je suis glacial restaurateur.

Ah, bah voilà.

Ça fait plaisir.

Bah vous,

vous aurais le droit

à une montréreterre.

Naïma, maintenant.

Ça, c'est intéressant.

J'ai bien aimé

le mail

et le message de Naïma.

Vous m'entendez, Naïma?

Oui, oui.

Bonjour.

Oui, tout le monde.

Bonjour.

Alors, le message

est très court de Naïma.

Bonjour.

Je voudrais savoir

pourquoi Sébastien Toen

ne participe plus que

une fois par semaine

à l'émission

ou voire plus du tout.

Merci de me répondre.

On ne me parle pas comme ça,

Naïma.

On ne me parle pas, Naïma.

On me parle gentiment.

On me dit

s'il vous plaît,

pourriez-vous me dire

pour quelle raison

M. Toen

vient un peu

moins souvent

en ce moment.

La raison est simple.

J'ai demandé à Laurent.

J'ai dit à Laurent,

c'est lui ou moi

et j'ai gagné.

C'est simplement

un tournage.

En ce moment,

il prépare sa nouvelle émission

pour Canal Plus.

Ah, d'accord.

D'accord.

Mais la prochaine fois,

vous me parlez

sur un autre ton, Naïma.

J'aime bien

les auditeurs

qui font merci

de me répondre.

En plus,

vous adorent Laurent.

C'est pas une raison.

Ça n'en avait pas l'air,

Naïma.

Merci

de ne pas me répondre.

Les grosses têtes

avec Laurent Ruquier,

c'est tous les jours

de 15h30

à 18h

sur RTL.

Toujours avec

Philippe Claudel,

Arielle Dauballe,

Jean-Pierre Jansen,

Liane Folli,

Guillaume

et Jérémy Féra.

Une question

à apporter

de tout le monde,

même si un peu

de culture

ne nuira pas,

évidemment,

la réflexion

pour y répondre.

Qu'est-ce qu'il y a

?

Qu'est-ce qu'il y a

?

Qu'est-ce que la réflexion

pour y répondre?

Qu'est-ce qu'il y a

?

Qu'est-ce qu'il y a

?

Qu'est-ce qu'une boisson

mixtue à base de bière

et de limonade.

Une femme

qui se maquille,

une chanson à boire,

une fleur

qui marche très bien

en ce moment

et un personnage

de Marcel Pagniol.

Oh, une bière.

Un bâton.

Un bâton.

Tout ça

en même temps.

Un bâton.

Avec la même orthographe.

Crizantem vous êtes proche car effectivement, il s'agit du nom qu'on donne à la Crizantem quand on est floriste.

Ah ! Crizalide ?

Non.

Et c'est à la une des autres.

Ah bah alors fleurs des morts ?

Non, fleurs des morts.

C'est une feuille qui se maquille, ça serait une fleur des morts.

Une tête de mort, une tête de mort.

Et un personnage de pagnols.

C'est pas un Narciss ?

Narciss, c'est en un mot de toute façon.

Ah c'est en un seul mot et par exemple...

C'est féminin.

Je prends la voix d'une heure aujourd'hui, c'est comme ça que j'ai trouvé évidemment cette question.

À la voix d'une heure, on a titré le marché de là est toujours florissant ou encore...

Ah c'est féminin.

Oui, oui c'est féminin.

Est-ce que c'est latin ?

Ah non, c'est pas latin.

Non c'est une fleur.

C'est un nom de fleurs, c'est genre Glyole ou quelque chose comme ça.

Oui, c'est une forme de Crizantem.

La gerbera.

Ah ça c'est...

C'est ton problème ça.

Est-ce que c'est la begonia ?

La begonia, non.

C'est pas coquette, la coquette ?

Coquette, non.

Non, non.

Alors ce qui pourrait vous aider le plus, c'est quand même le nom d'un personnage.

Oui, c'est ça.

C'est un personnage de Paniole.

Dans un de ses films, dans une pièce, dans un film.

Alors je crois que c'était à la fois une pièce, un film et tout ça en même temps.

Valentin.

Valentin, non.

Une boisson à base de bière et de limonade, une chanson à boire, une femme qui se maquille,

un personnage de Marcel Paniole et donc un Crizantem.

La manon.

La manon, non.

La manon, non.

C'est un panaché, c'est...

La manon, non.

Le personnage de Paniole, c'est un personnage féminin ?

Alors c'est deux personnages en même temps, quelque sorte parce que c'est une scène célèbre

à la pièce.

La scène de...

Ah non, la scène avec le chat, avec le chat, la...

La pomponette.

La pomponette.

La pomponette.

La pomponette.

La pomponette.

Bonne réponse.

Oui.

Bonne réponse de Liane Folli, aidée par Ariel Dombard.

La pomponette.

La pomponette.

Oui.

C'est ainsi qu'on appelle effectivement une boisson à base de bière et de limonade,

une pomponette.

Une femme qui se pomponne.

Oui.

Oui.

C'est une pomponette.

La chanson à boire, c'est aussi une pomponette.

Et la pomponette, c'est le chrysanthème des floristes.

Et aujourd'hui, c'est dans tous les journaux, le marché de la pomponette, toujours florissant.

L'inflation touche la pomponette.

Vous avez des pomponnettes un peu partout dans les journaux, aujourd'hui.

C'est l'autre nom du chrysanthème, la pomponnette, tout simplement.

Et c'est effectivement le chat.

Ah ben il m'en destait un personnage féminin ou pas.

C'est à la fois la petite chatte et la femme du boulanger, évidemment.

Oui, c'est ça.

C'est un peu sain, parce qu'il fait semblant de parler à la chatte de la pomponette.

Et on comprend, évidemment, qu'il s'adresse...

Et la traite de Coquine.

À son épouse.

Ah, tu es revenu, la pomponette.

Ah, tu n'es pas fier, la pomponette.

De Galabru, non?

Oui.

De Galabru.

De Galabru.

Qui jouait la pomponette avec Galabru?

Vous avez parlé du chat.

Valérie Mérez.

C'était une copine Valérie Mérez qui jouait la pomponette avec...

Mais c'est pas un chat?

Non.

Ah ben Valérie, c'est très bien.

Elle a eu carrière incroyable cette Valérie.

Elle a joué un chat avec Galabru.

On vous explique.

C'est une scène où la femme du boulanger est partie avec son amant.

Et d'ailleurs, l'amant dans la pièce, en question, quand c'était Galabru et Valérie Mérez,

c'était un très beau boxeur qui s'appelait Ferrarat, qui jouait le rôle de l'amant.

Stéphane.

Voilà, Stéphane Ferrarat.

Donc elle part avec lui.

Et puis, au bout d'un moment, ça s'est pas très bien passé.

Elle revient à la boulangerie quelques jours, quelques semaines, je sais pas.

Ah ouais.

Ah ben oui, elle revient.

Ah oui, ça se passe pas bien, on revient, d'accord.

Et en même temps, dans la scène, il y a une petite châte qui est là, qui revient aussi.

Oui, elle revient.

Alors qu'est-ce qu'il fait ?

Le boulanger, il fait semblant, il parait là, à Pompolette.

Mais en fait, c'est à sa femme qui parle là, tu reviens, Pompolette.

Ah oui, oui.

J'ai compris.

Valérie, elle joue qui ? Le boxeur ?

Non, la femme.

Le boxeur, c'est un chien.

C'est une châte, quand vous vous dites.

Le boxeur, c'est un chien ?

Non.

Donc elle se peut barrer avec un chien, et le boulanger reste avec la châte.

C'est une célèbre scène, quand même.

Mais oui.

Et vous faites très bien le boulanger.

Oui, vraiment.

C'est vrai.

Pour elle, elle a joué, d'ailleurs.

Allez, Ari, elle vous faite la Pompolette.

D'accord.

Ah non, peut-être plutôt.

Il y a une folie, elle peut faire Fanny à redondre le rôle de la Pompolette.

Ah oui.

Oui, ou Arléti.

C'est mieux, Arléti.

Avec bagnole.

Ah, si vous voulez.

Si vous voulez.

Alors, alors, tu reviens, la Pompolette.

Eh ben oui, tu m'as dit que t'allais mourir à la mer.

On a eu des parties en vacances.

J'ai besoin d'air.

Moi, tu vois, j'ai besoin d'atmosphère.

Atmosphère, atmosphère.

Est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ?

C'est la radio en noir et blanc, mesdames et messieurs.

Une autre question pour Simon Girard, qui habite Mions.

C'est dans le rône.

Ce soir, certains applaudiront forcément.

Sandy et Ribert au Châtelet.

Mais pour quelle raison ?

Bon, c'est un spectacle, du coup.

Un spectacle ?

C'est dans la France Unicroyabtale.

Westerly Story ?

Westerly Story, non.

Parce que quand je vous dis un spectacle, vous n'êtes pas...

On va dire, c'est une soirée à laquelle...

Conférence.

On a tous envie d'être invité.

Alors il y a une part de spectacle là-dedans.

Magiciens, magiciens.

Mais ça n'est pas tout à fait un spectacle.

Ah non, je sais ce que c'est.

C'est une remise de prix.

Et c'est la boule de cristal.

La boule de cristal ?

Elle a complètement péter l'épaule.

Alors c'est génial, parce que...

Le pire, c'est qu'elle a quasi la bonne réponse.

Mais oui !

C'est pas du tout une boule de cristal.

Enfin, c'est une boule.

Ah oui, super, super.

C'est la cérémonie du ballon d'or !

C'est le ballon d'or !

C'est le ballon d'or !

On n'a pas tous envie d'être invité.

Mais écoutez !

Imagine un peu un footballeur qui remet une boule de cristal.

Et c'est ce soir au châtelet, la cérémonie.

Les parlons un peu fous.

Et alors, les prénoms que vous avez donnés, c'est...

Sandy et River.

Sandy et River, c'est elle qui présente la cérémonie.

Avec Didier Drogba.

Évidemment, si vous avez dit Didier Drogba,

ça aurait été plus facile.

Pour ceux qui connaissent le football, évidemment.

Les journalistes, vous dites quoi ?

C'est Messi qui va avoir son huitième ballon d'or.

Mais pas sûr !

C'est Mbappé !

On a un espoir pour Mbappé !

Mais arrêtez un peu !

Tous ces Français qui placent...

Mais qu'est-ce que tu as avec les tableaux rouges, toi, hein ?

Est-ce qu'un belge a déjà eu le ballon d'or ?

Non, mais Kevin de Bruyne est tout prêt.

On passe de la voir aussi.

Camer lagoffre !

Soixante-sixième cérémonie des ballons d'or l'année dernière.

Donc soixante-septième cette année, vous voyez,

comme je me rattrape aux branches.

Qui votent ? Ce sont des journalistes ?

Ah oui, oui. Alors là, je peux vous dire,

ce sont des journalistes un peu partout dans le monde

qui votent.

C'est une principe.

Ils sont même assez nombreux.

En fait, ils donnent chacun cinq noms.

Chacun choisit cinq noms.

Puis après, on recoupe tout ça,

on fait un peu ce qu'on veut,

puis on redonne tout.

Ah, tiens d'ailleurs,

j'avais préparé une question sub-vidière.

Il y a aussi le prix Socrates,

qui est remis ce soir.

Mais à qui remettons le prix Socrates ?

Au plus intelligent des footballeurs ?

Non, mais c'est pas mal.

Peut-être au gardien de but ?

Non, au gardien de but,

je crois que c'est le prix Yashin,

il me semble.

Au meilleur capitaine.

Socrates, ça doit être...

Oui, ça plait.

Socrates, c'était le nom d'un joueur brésilien.

Il boit de la cigule.

Au joueur le plus faire plaît.

Il y a une dimension sociale dans le prix.

Pardon ?

Rassembleur, le plus rassembleur.

Il y a pas longtemps qu'on remet ce prix,

parce qu'il a seulement un an,

il y a eu pour l'instant qu'un seul

du prix Socrates.

Est-ce que ça serait pour le joueur

qui a fait le preuve du meilleur esprit ?

Un meilleur faire plaît, vous voulez dire ?

Non, pas tout à fait, c'est mieux que ça, encore.

Est-ce que c'est physique ?

Celui qui donne le plus d'argent

à des associations ?

On peut carrément dire ça,

c'est la bonne réponse.

C'est le footballeur le plus connu

pour son engagement caritatif

qui reçoit le prix Socrates.

Remarquez, ça n'a pas forcément de pair

avec le fait que ce soit lui

qui donne du pognon,

mais enfin, il demande aux autres d'en donner.

Ce qui n'est pas toujours la même chose,

c'est comme pour les enfoirés.

Je ne peux pas croire

que ce soit votre vrai prénom

et votre vrai nom, cher auditeur.

Bonjour.

Bonjour.

Écoutez, ça, ça ne vende pas.

Là, c'est une blague.

Vous avez fait ça pour être sélectionné.

J'en suis sûr.

Kevin, bon, ça, très bien.

Pourquoi pas Kevin comme prénom ?

Mais Blanc comme nom de famille.

Kevin Blanc, ça, c'est un sketch

de Gadèle Malais.

Kevin Blanc ?

Oui, oui, c'est mon vrai nom.

Ah, ça, alors, vos parents,

vos parents ont abusé un peu tout de même,

avoué.

Oui, de ma génération,

on n'est plus de Kevin, effectivement.

Eh ben oui, quand même.

Bon, Kev, on va vous appeler Kev.

On va faire comme pour Kev Adams.

Ça fait plus de Jones.

Ça fait plus de Jones.

Kev, qu'est-ce que vous faites

dans la vie ?

Je suis contrôleur S&CF.

Ah, en plus.

Il n'y a rien qui ne viva.

La vie s'achève.

Vous cumulez.

Ça fait destin.

On vous sent.

J'adore l'uniforme.

On vous sent bout-entrant,

en tout cas, Kevin.

Alors Kev, vous allez peut-être

aller au château de Cheverny.

Oui.

Un magnifique château

avec la plus belle collection de mobles

et d'objets d'art du Val de Loire.

Et ce château s'illumine,

il faut bien le dire,

aux couleurs de l'automne.

On sait que c'est le château

de la RG pour dessiner

le château du capitaine Adoc,

le fameux château de Moulin-Sard.

Il y a seulement des expositions

là-bas.

Vous profiterait tout ça,

en tout cas,

plus la magie de Noël

qui va illuminé le château

et le parc.

Allez voir, sur châteaucheverny.fr

il y a un tiré entre château et cheverny.

Château, tiré cheverny.fr

et vous en saurez plus

sur votre séjour.

Kevin, je sens que vous êtes

en train de vous concentrer.

Vous avez bien révisé

l'actualité.

Un tout petit peu.

Un tout petit peu.

Je vous sens timide, Kevin.

Je me trompe.

Oui, un peu.

Je suis un peu impressionné.

Il y a surtout un petit temps

de retard,

comme la SNCF.

Kevin, concentrez-vous.

Il y aura une vraie info

parmi les fake news

qu'on va vous donner.

On commence par Jeremy Ferrari.

L'Afrique du Sud

a battu les All Blacks

samedi soir.

Eric Zemmour a déclaré

comme quoi, plus de 40 ans

d'apartheid, ça a du bon.

Guillaume.

Championnat du monde de pétanque,

le marseillais qui a atteint

l'entraîneur de Lyon

a été contrôlé positif

à l'issue de la compétition.

Philippe Claudel.

Inauguration de la cité

de la langue française

par Emmanuel Macron.

L'ex-président

de la République

Nicolas Sarkozy

déclare.

J'y ai été avant lui.

Arielle Drobal.

Alors, Kevin,

demain, lors de

l'émission La France,

un incroyable talent

sur M6,

on verra

deux Bretons

faire découvrir

le lancer d'Artichaut

au jury.

Et c'est Jean-François

Jansen, ensuite.

Oui, c'est officiel.

Il n'y a plus de saison.

La preuve, d'habitude,

c'est l'écrision thème

pour la Toussaint.

Eh ben, Suquenne,

c'était Suquenne

et ben, Suquenne,

c'était spécial chandleur.

Il y a une folie pour terminer.

Fabien Galtier,

photographié nu à la une de voici,

a déposé plein

de contrôles de magazine

Pipole.

L'entraîneur

de 15 de France

reproche aux magazines

de ne pas avoir imprimé

ni deux mois,

ni deux jours

sur la photo.

Alors,

qui a dit la vérité ?

Je vous sens réfléchir,

Kevin.

Je vais éliminer

déjà Guillaume.

Oui, M. Guillaume,

qui a parlé, effectivement,

du lancer

de boules de pétanque.

C'est assez terrible,

ce qui s'est passé à Marseille,

mais c'était bien

des boules de pétanque

qui ont atteint

le quart de l'Olympique Lyonnais,

des images qu'on aimerait

ne pas revoir,

si souvent.

Ensuite.

Jean-François Jansen,

je pense que c'est faux, exact.

Alors Jean-François Jansen,

oui, effectivement,

chandleur, c'est le nom

qu'avait,

comment s'appelait ce comédien,

d'ailleurs ?

Mathieu Perry.

Mathieu Perry.

Mathieu Perry.

Frans, mais...

Équimore.

Oui.

On est deux courants.

D'où l'écrisantin, Marielle ?

Au cas où vous n'auriez pas compris,

vous voyez ?

Merci pour la précision.

Mais faut la précision,

il est mort à 54.

Oui.

Alors qu'il y a d'écrisantin,

mais brûle tout ça,

il est toujours vivant.

Ensuite.

Ensuite, je pense que

Jérémy,

Ferrarier,

Ian Follis,

c'est faux également.

Alors, vous faites un tir groupé.

Alors,

Ian Follis,

c'était, oui,

le entraîneur du 15 de France,

qui a bien été photographié et nu,

mais c'était pas pour le calendrier,

vous avez raison.

Avec les nanoguerras.

Jérémy.

Ballant.

On s'était pas obligés de le dire.

Tout le monde l'a vu.

Oui, tout le monde l'a vu.

Ballance.

Vous avez éliminé qui d'autre,

encore, Kévin ?

Moi, il m'a éliminé,

l'Afrique du Sud avec Ozil.

Ah oui, Zébonne.

Il est Philippe Claudel

et Arielle Dombal.

Alors, voilà.

Est-ce que Nicolas Sarkozy

a dit à propos

du château de Villeur Cotré ?

J'y étais avant lui.

Où est-ce que Arielle Dombal

a raison avec le lancer d'Artichaut

au jury d'incroyable talent ?

Kévin,

tu vas nous mettre du rythme,

s'il te plaît.

Non.

Je vais dire que la vraie,

Philippe Claudel.

Ah, c'est vrai

que Nicolas Sarkozy

fait souvent des fautes de français.

Mais il n'a pas déclaré

j'y étais avant lui.

C'est bien Arielle Dombal

qui avait raison.

Ah non.

Alors, voilà.

C'est dommage.

C'est à cause de moi

que j'ai mis la presse.

Il n'ira pas à chevernie.

C'est dans le Val d'Oise.

Oui.

Le Val d'Oise.

Pas le Val d'Oise.

Ah bon ? C'est sûr.

Ah oui, il fait les châteaux de l'Oise.

Son moins bien que les châteaux de la Loise.

Ah bon ?

Et c'est pas l'Oise.

Ah non, non,

ça vous aurait beau assister.

À moins d'un glissement de terrain.

Je sais qu'on nous annonce

une grosse tempête pour jeudi.

Mais enfin, bon.

Ah oui, oui.

Ah oui.

Ah voilà, oui.

Oui.

Et on l'annonce

alors que celle d'Acapulco

on l'a pas annoncée.

Oui.

On était moins concernés

en même temps.

On est un peu moins proches.

Ah c'est là, c'est là.

Elle est vraiment nulle en géographie.

Ah oui, c'est celle

qui s'appelle Cioran-Lalon.

Attendez, attendez.

Attendez, attendez.

Acapulco.

Dans les Sônes ?

Non.

Après, elle a peut-être

une maison à Acapulco,

ceci dit.

Acapulco s'appelle

Querétaro en Mexico.

Ça y est.

Querétaro en Pacífico.

Non, c'est la plus

merveilleuse ville.

Merveilleuse ville.

En attendant,

vous allez recevoir

une montraire telle,

Kevin.

Ah bon ?

Il habite tout, Kevin.

Il habite à Orvo,

mais c'est normal

pour un contrôleur SNCF

parce que l'heure, c'est l'heure.

Avant l'heure,

c'est pas l'heure,

et après l'heure.

C'est plus l'heure.

Une question pour M. Amara.

Kevin Claude,

M. Amara espère un checker tel.

Je note d'ailleurs que

pour l'instant,

on n'en a pas distribué.

Bravo, bravo,

grosse tête.

Bravo à Philippe Claudelle.

On travaille.

Non, c'est pas le seul.

On travaille.

Dans les autres trouves aussi.

Bien sûr.

Parce que pour l'instant,

les questions sont assez simples.

Il faut bien dire.

Je trouve des réponses

et du coup, vous dites

que c'est parce que la question

sont là.

Oui, c'est ça qui m'inquiète,

voyez-vous.

Je vais vous parler

d'un journal

Topolino,

qui est sorti en Italie

en 1932.

Topolino.

Mais pour quelle raison

repart-le-t-on

de la sortie de ce journal ?

Topolino,

en Italie,

en 1932.

Il va revivre ?

Topolino.

Non, non.

C'est une date anniversaire ?

Oui, c'est la date anniversaire.

Est-ce qu'ils auraient annoncé

quelque chose

dans le passé

qui s'avèrait

de nouveau d'actualité

aujourd'hui ?

Non, mais vous avez dit

que ça rapportait

qu'une voiture.

Ah, parce que c'est vrai

que vous avez raison.

La Topolino.

En Italie,

il y a la Fiat Topolino,

il y a beaucoup de Topolino,

mais ça n'a rien à voir.

Ça va voir avec le cinéma.

Avec le cinéma,

le cinéma,

oui,

forcément un peu,

mais...

Ah, un festival de cinéma.

À l'époque,

non,

parce qu'on est en 1932,

ça démarrait,

cette affaire-là.

Ah, d'accord.

Mais quand même,

il y a un journal

Topolino,

le journal Topolino

a commencé en 1932,

et c'est d'ailleurs

le premier pays

l'Italie

où ce journal Topolino

a existé.

Ça concerne pas la mafia.

Alors les italiens

qui nous écoutent

doivent savoir, évidemment,

qui est Topolino et...

Alors peut-être

ce personnage Topolino...

Un magasin pour enfant.

Mais c'est Mickey.

C'est Mickey.

Pardon ?

C'est Mickey.

C'est Mickey Topolino.

Bonne réponse.

De Philippe Claudel.

C'est Mickey Topolino.

Oui.

Non, Mickey.

Il s'appelait Topolino en Italie.

Mickey ne s'appelle pas Mickey

en Italie.

Ah, là là.

Mickey s'appelle Topolino

et l'Italie a été le premier

pays où le journal

de Mickey a existé.

Il n'y avait pas de journal

de Mickey avant.

Il y avait des courts métrages,

des dessins animés,

mais il n'y avait pas de journal

de revue.

Et la première fois

qu'une revue de Mickey

a existé,

c'était en Italie.

Et ça s'appelait

du nom du personnage,

mais comme là-bas,

il s'appelle pas Mickey.

Et il s'appelle comment, plutôt ?

Topolino.

Ah bah plutôt,

il s'appelait...

Émini.

Mme Topolino.

Mme Topolino.

Oui, ça s'appelait Mme Topolino,

vous voyez.

Si je vous en parle,

c'est parce que c'est

les 100 ans de Walt Disney,

évidemment.

Topolino,

c'est le nom

de Mickey

en Italie.

Il y a qu'en Italie

qui s'appelle comme ça.

La plupart du temps

dans le monde,

il s'appelle Mickey Mousse,

Mickey Mouse,

Mickey Mouse,

Mickey Mouse

et Donald s'appelle

Donald.

Mais on a tous acheté

le journal de Mickey

quand on était enfants.

Ah oui,

mais vraiment,

Walt Disney,

il est toujours conservé

dans la glace.

Ah bon,

il est conservé dans la glace.

C'est bien documentaire

cryogénisé.

Cryogénisé.

Magnifique.

C'est un des premiers

à se faire cryogéniser.

Je ne sais pas

s'il est toujours dans la glace.

Ah bah normalement,

il est toujours dans la glace.

C'est le principe,

quand tu prends une place

en cryogénisation,

c'est qu'on peut garder,

normalement,

je ne sais pas

ce qu'on puisse te

combiner.

C'est pas sûr avec le

réservoir climatique.

C'est pas comme

les concessions au cimetière.

Non, non, non,

tu as un truc pas cher

où tu gardes 100 ans

ou 200 ans,

non mais je déconne pas,

et tu as un truc

pour l'éternité,

jusqu'à ce qu'on puisse

te déconjler,

parce que le but,

c'est pas de te garder

congelé, c'est de pouvoir

te déconjler

pour soigner ta maladie

ou te rendre immortelle.

Mais ça t'intéresse,

tu veux que je te donne

déconjure.

Je vois que tu es spécialiste.

Je dirais que tu vas

approfondir la question.

J'ai une autre question

qui tient à propos

de Mickey,

parce qu'il y a des codes,

évidemment,

Mickey qui va d'ailleurs

tomber dans le domaine public.

On pourrait en faire

ce qu'on veut de Mickey

à partir de 2000...

Vivement à la prochaine soirée.

Ah ben oui, c'est vrai que

c'est Jacques Martin,

d'ailleurs, au grand stade,

qui disait, je l'ai invité

avec ses baraisis

et son costume de Mickey.

Ah ben vous aimez ça,

ça vous excite,

vous, quelqu'un arrive

déguiseur de Mickey.

Vous aime bien

les déguisements,

de façon générale.

Oui, mais enfin, Mickey.

Mickey, moi,

je vais bien faire plutôt

minis à tous,

je me dis, je pense.

Plutôt, c'est un chien,

si ça t'excite,

sauf qu'il y a des codes,

quand on veut reproduire Mickey,

évidemment,

des codes couleur,

des codes pour son image,

sa chair,

plutôt la peau du visage

doit être couleur chère,

sa langue doit être rose.

Vous ne voyez jamais

la langue de Mickey.

Les chaussures doivent être jaunes,

le pantalon

doit être couleur au marre.

Oui, vraiment,

des codes haute.

Chaque rapport.

Et surtout,

il doit toujours être gentil,

aimable, valeureux, courageux.

Ah ben oui, sinon,

c'est plus même dessin animé.

Ah non, mais parce que

au départ, il avait

d'autres traits de caractère

qui abandonnaient.

Il y a eu un code

qui a interdit Mickey,

par exemple,

d'être méchant.

C'est comme ça que

d'ailleurs Donald a été inventé.

Donald a repris

le caractère un peu colérique

que Mickey

n'avait plus le droit

d'avoir.

Et Minnie a toujours

une petite robe rouge

à poids blanc.

Voilà.

Tout est dit.

Mais si elle n'a pas évolué,

elle reste comme ça.

Mais si elle a évolué,

c'est Minnie.

Pour la première fois

cette année,

ils ont fait appel

à une grande maison de couture

de porter un pantalon.

Comme ça, vous le savez.

Ah, parce que ça fait partie

de l'évolution des meurs.

Moi, j'avais été dans

l'hôtel.

Il y a un hôtel

dans le parc de Walt Disney.

Il y a un très bel hôtel.

Et le matin,

t'es réveillé par plutôt

Minnie et Mickey.

Bien sûr.

D'accord.

Ça dépend

ce que tu as vu

la veilleuse soirque, en fait.

Et sexuellement,

il était commande un gore.

Mais comment ça,

t'es réveillé?

C'est bien, mais

t'apportes tout le place.

Mais si t'es réveillé,

c'est que t'as demandé.

Mais non.

Ils ne forcent pas.

Ils ne vont pas tous

réveiller tout le monde

dans les hôtels.

S'il y a 3 personnages...

Je me l'apprends peut-être que...

Le petit copain d'époque

qui a payé pour que j'ai la

surpris.

Tout les personnages...

Qui vous a surpris,

c'est Quanticletac.

Vous en sucez les noisettes.

Allez...

Même quand tu parles

de Disney,

ça finit en porno.

C'est incroyable.

Alors,

ma question

concernant Mickey,

parce qu'il y avait

une dictation subsidiaire.

Ça fait une deuxième chance

pour Monsieur Amara

Dumont.

C'est que Mickey a plus

du monde.

C'est que Mickey a pleuré

une seule fois.

A quelle occasion

a-t-on vu Mickey pleurer ?

Parce qu'il est arrivé

dans la chambre de Jean-François.

Mickey est à la mort

d'un président américain.

Pardon ?

C'est pas à la mort

d'un président américain ?

Non, non, non.

Est-ce que c'est

à la mort

de Marinele Monroe ?

Non.

Mais là,

vous commencez à brûler.

On frappera.

Réfléchissez un peu.

C'est la précision.

A la mort de Walt Disney.

A la mort de Walt Disney.

A la mort de Walt Disney.

A la mort de Walt Disney.

A la mort de Walt Disney.

A la mort de Walt Disney.

A la mort de Walt Disney.

A la mort de Walt Disney.

On a fait pleurer Mickey.

Il est bon.

La réponse d'Ariel Dombal.

Il va plaitre Covny, toutefois.

Une question pour Claire Bossard

qui habite Arbois.

C'est dans le jurat.

On a donc appris

ce week-end

à la disparition

de cet acteur

que les gens manifestement

aimaitent.

En moi,

jamais beaucoup regardait

Friends.

Ce n'est pas ma génération.

Je travaillais

à cette époque-là.

Mais pas à la mort

de Walt Disney.

On a fait pleurer Mickey.

Il est bon.

Il est bon.

Il est bon.

Il est bon.

Il est bon.

Il est bon.

A la mort de Walt Disney.

Une banque-mètre.

Il a étéleased sur le magazine.

reopening.

Ilonta l'est grandmother.

Sébastien qui a vallahi

mis le gouvernement.

Il boca sur son

chien.

Des langues lavacières.

Il a vécu

les freue developer

ingource parlant de

feuilles.

Les organismes

ingrasés.

le premier ministre s'agit du premier ministre canadien Trudeau parce que le père de monsieur

Perry était le médecin de Trudeau je crois. En tout cas il était effectivement canadien. Bonne

réponse de mademoiselle donbale c'est sa mère qui était canadienne chère arrière

Suzanne Morrison attaché de presse du premier ministre Pierre Trudeau et donc ils sont allés

à l'école ensemble voilà pourquoi effectivement le premier ministre canadien a tweeté je me

souviendrai toujours de nos jeux dans la cour de récréation ça fait bizarre comme expression

c'est vrai que ça fait si j'ai dit moi ça sera pas pareil mais je n'irai toujours nos jeux dans la

cour de récréation il a pas dit dans les chiens il a dit dans la cour de récréation enfin quand même

Mathieu Perry celui qui nous a quitté titre libération c'était notre best friend titre le

journal le parisien sur twitter j'ai trouvé quelque chose je vous conseille d'ailleurs de suivre

ce tweetos qui sur x on doit dire maintenant puisque ça nous dit quoi parce qu'on dit quoi

C'est quoi ? X ? C'est Logo qui a changé mais ça s'appelle toujours Twitter.

Ah non, ça s'appelle X.

Non, ça s'appelle X.

Mais avant ça s'appelait pas oiseau bleu, ça s'appelait Twitter.

C'est bien, c'est bien.

Alors en tout cas, il y a un garçon qui s'appelle Tom et l'Histoireien.

Mais les gens ne font pas gaffe et ils prennent au premier degré tout ce qu'il écrit alors que

ça n'est que du deuxième, troisième, quatrième degré et c'est très très drôle.

Je vous conseille vraiment de le suivre et là il a donc tweeté ce week-end.

Peu de gens le savent, mais Matthew Perry, l'acteur des films, mon voisin, le tueur et au service de Sarah,

des CD hier, avait joué le rôle de Chandler Bing pendant plusieurs saisons

dans une série américaine des années 90 appelée Friends.

Vous tweetez beaucoup, monsieur ?

Non, je tweet, non, je suis pas issu de la génération Twitter.

En plus j'ai du mal avec ce qu'est en train de faire Elon Musk

et donc voilà, je suis plutôt TikTok, Instagram, Facebook, YouTube et donc voilà.

Ah oui, ça fait beaucoup quand même déjà.

Ça occupe une journée.

Je sais ce que vous vous insinuez là, mais non, non, je suis aussi sur scène.

Je serai au Trianon le 20 janvier.

Ah voilà, plutôt que de parler c'est gaufre.

Et mon producteur est dans la salle d'ailleurs.

Moi je suis là, je savais pas que j'avais produit un mec qui fabriquait des gaufres.

Il parle plus de c'est gaufre que de ses spectacles.

Mais oui, c'était avant de connaître les gaufres et tout ça.

Au départ j'ai signé un gaufre.

J'avais oublié que vous étiez son producteur.

Mais moi j'ai signé un numérique, je savais pas que je signais un patissier.

Des produits dérivés vendent des moulagoffres.

Mais vous produisez la terre entière vous maintenant alors ?

Non, ils produisent moi. Vous pouvez m'appeler Guillaume,

pas besoin de m'appeler la terre entière.

Bon, attendez, je retiens ce que j'ai dit, vous produisez vraiment n'importe quoi.

Quoi de le clair qui habite l'unel dans l'héro ?

Pour quelle raison, le compte de verment d'oie n'a-t-il jamais vu le jour ?

Le compte c'est monsieur le compte.

Oui, c'est pas un compte Twitter.

C-O-M-T-E, le compte de verment d'oie n'a-t-il jamais vu le jour ?

Voilà ma question.

Il a fait une connerie et on lui a enlevé son titre juste avant qu'il soit...

Non, il est pas né, il est mort né.

C'est le titre d'un livre qu'il n'a pas paru ?

Le titre d'un livre qu'il n'a pas paru, comme vous le dites si bien,

sans faute de français.

Et là, on voit l'écrivain quand même.

Et les marrants, c'est quoi ce qu'on dirait qu'il y a une faute alors qu'il n'a pas paru ?

Il n'a pas paru.

Comme on aurait dit, il n'a pas paru.

Et il y en a de ceux qui croient qu'on doit dire qu'il n'est pas paru.

Voilà, ça c'est drôle au lieu de t'égouffre en permanence.

C'est un top, il faut donner la date.

Alors effectivement, c'est un livre qu'il n'a pas paru,

comme vous le dites si bien, monsieur.

Alors il a été censuré ?

Un événement politique.

Il est mort.

Les auteurs sont morts.

L'auteur est mort.

C'est un livre qui devait paraître con.

Je dis lait parce que l'auteur est connu

pour ne pas avoir écrit seul la plupart de ses romans.

Ah, Gadelman, Alexandre du Mans.

Qui a dit ce qu'il a dit ?

Gadelmanier, vous avez dit ?

Alexandre du Mans, oui.

Alors ?

Le scénario a été volé.

Non, non, non.

Le conne de vermandois, c'est ce qui devait arriver après quoi ?

Le conne de Montécristaux.

Non, pas le conne de Montécristaux.

Alors...

Les trois musquetaires.

Alors, les trois musquetaires.

Ils étaient quatre.

Après 20 ans.

Après mille et dix.

Alors, non, mais comment s'appelle...

Comment s'appelle le dernier taux ?

Milédy.

Non, Milédy, non.

D'Artagnan.

D'Artagnan, non.

Mais non, 20 ans après.

C'est une trilogie, les trois musquetaires.

Yoc, dégusti.

Commerçant autrement.

Le fils de D'Artagnan.

Trilogie.

Non, c'est...

Qu'est-ce qu'il y a ?

Commerçant autrement.

Commerçant autrement ?

Intermarché, vous voulez dire.

Oui.

C'est intermarché ?

Oui, c'est intermarché.

La vanne a marché quand même, Laurent.

Merci beaucoup.

Elle a même super marché.

Qu'est-ce qu'il y a ?

Le vin dendé au Trianon.

On sent que son producteur est là.

Il a chaud, on fait ça.

Je donne tout ce que j'ai, là.

Le côte de Vermandois vient tout de suite après quoi ?

Alors, la mort d'Athos.

C'est la suite des trois musquetaires de 20 ans après.

Il en manque un troisième.

Un troisième qui, d'ailleurs, est effectivement le fils naturel du musquetaire Athos.

Oui.

Ah, la gardère.

Le bossu.

Le bossu, la gardère, maintenant.

Qu'est-ce qu'il a dit ?

Vous avez pas de proposer Zorro ?

Avec le stress, je dis n'importe quoi.

Fistato Zorro ?

C'est le fils d'Athos.

C'est le nom de quelqu'un.

Alors, je suis un peu surpris, monsieur Claudel.

Ah oui, là tu détruis, là.

Il dit surpris mais il t'en est déçu.

Non, déçu, je suis jamais déçu parce que...

Je le sens.

Non, je vous aime beaucoup, monsieur Claudel.

Merci.

Mais vous êtes déçus.

Vous avez les trois musquetaires.

Bon, le quatrième aurait dû s'appeler le compte de vermandois.

Le compte de vermandois.

Comment s'appeler le précédent ?

Le compte.

L'archiduc, le duc de...

Non, non, mais on n'est pas loin.

Eh bien, le...

La baronne.

Non, non, le baronne.

Le viconte.

Le viconte de Brajlone.

Le viconte de Brajlone.

Le viconte de Brajlone.

Bonne réponse et départ.

Jérémy Ferrari.

Le viconte de Brajlone.

Merci, Jérémy.

Je dois pas trouver ce mot viconte.

C'est le monde, normalement.

Tout est culturel.

RPL, le livre du jour.

Ah, le livre du jour n'est pas évidemment un livre, on va dire, de littérature.

Comme on en parle parfois ici.

C'est vrai qu'on aime bien parler des romans.

On aime bien...

Mais, de temps en temps, c'est bien de changer un peu.

Là, j'ai un livre étonnant parce que ça s'appelle Potion.

Avec un...

Ça a beaucoup l'air.

Rielle Dombal, je pense que c'est pour elle que j'ai choisi ce livre.

Ah, ça me fait plaisir.

Je lui offrirai les...

Est-ce que c'est un livre sur l'alchimie ?

Non, sur la cellulite.

Pas du tout.

Si à rien, il y avait de la cellulite...

Alors là, moi, je suis un goreur.

Alors, la potion magique.

Ce sont effectivement des potions magiques, des cocktails,

des recettes de boissons magiques, des infusions.

C'est une soirée de fonds.

Vous voyez...

Des psychotropes.

On ira peut-être pas jusque là, mais en tout cas...

Des champs-pix.

On aura Eloïs Meahar au téléphone dans un instant

à qui on doit effectivement ce magnifique livre

qu'elle a signé avec Mathilde Fachant.

60 recettes de boissons magiques.

Ça s'appelle Potion.

Et parmi lesquelles Potion,

là, par exemple, pas 128,

il y a un mocktail,

alors un mocktail sans accol.

Oui, c'est un cocktail sans à l'école.

Et ce mocktail a pour nom une héroïne.

Vous voyez, là, la littérature va revenir.

Ce mocktail a pour nom une héroïne de Georges Sand.

La Petite Fadette.

C'est le mocktail Fadette.

Bonne réponse.

Sérielle donballe.

Parce que la Petite Fadette,

c'était une petite sorcière, en fait.

Eloïs, bonjour.

Bonjour.

Eloïs Meahar.

Vous êtes sorcière, vous-même, alors ?

Pas vraiment sorcière,

mais peut-être plutôt sorcière des chaudrons.

J'utilise la magie des plantes.

C'est ça.

Parce que la Petite Fadette de Georges Sand,

effectivement, on peut dire qu'elle a une sorte de juteuse de sort.

Je sais pas si elle fait vraiment des potions d'ailleurs

dans le livre de Georges Sand, la Petite Fadette.

Oui.

Pas vraiment, mais on peut la compter parmi les sorcières.

Il y a plusieurs façons d'être sorcières.

Et en tout cas, le rapport qu'on peut avoir

avec les plantes et avec la nature,

on peut être assimilé, du coup, à l'archétype de la sorcière.

Alors quelque chose qui plaira un réel donballe,

c'est, par exemple, le smoothie du magicien d'ose

avec de la pomme verte, des dates, une infusion matée, bourgeon de pain.

Il faut les trouver quand même d'ailleurs tous ces ingrédients

à chaque fois pour faire la fameuse potion.

Oui, mais aujourd'hui, c'est pas si compliqué que ça.

Dans les magasins bio, on trouve quand même un large choix.

Et puis, il faut pas oublier aussi nos herbes oristerées.

Est-ce que chaque cocktail a une véritable vertu

ou est-ce que parfois c'est pour le plaisir

et uniquement pour le plaisir ?

Eh bien, on peut dire que le plaisir, parfois,

ça peut aussi être une vertu.

Un peu faux.

On sait dire d'être ensemble, de trinquer.

Ça fait partie de la magie des boissons.

Alors, par exemple, je cueille une pâcrète,

je cueille un dahlia, je cueille des primes verres

et j'en fais un filtre de vitalité, ça, ça marche ?

En général, on se fait arrêter par la police après.

Ça, c'est un rire de sorcière.

Ah ben, je vous dépassais mon périr.

J'essaye de vous dépargner.

On va être gentils sorcières aujourd'hui.

Le smoothie du magicien d'os, par exemple, il est bon, pourquoi ?

Le smoothie du magicien d'os va être très bon.

On va parler un peu de detox, bien que le corps le sasse naturellement,

mais il peut y avoir des produits qui vont nous aider dans cette optique.

Un petit tronc, la pomme verte, ça va aider pour l'énergie.

Le maté aussi pareil pour éviter d'avoir quelque chose de café iné.

On va quand même être sur une plante qui va favoriser l'énergie

et la diffusion de l'énergie tout au long de la journée.

Mais après, il va falloir quand même que vous trouviez un vrai travail, madame.

Mais ne vous inquiétez pas, figurez-vous que je cuisine pas mal de choses dans mes chaudrons.

J'ai un restaurant qui s'appelle Le Café Contre ça.

Oh, bravo.

Oh, eh ben moi, j'ai un bar à gaufres.

Le moctel Marie Lavaux. Qui était Marie Lavaux ?

Ça, vous le racontez ? Parce qu'en plus, ce qui est bien,

c'est que pour chaque moctel, cocktail, potion, latte aussi,

il y a des recettes de latte. Vous donnez une petite histoire.

Et là, la purée de passion, le faux amaretto et le forum, en deux mots, forum.

Le forum crée un moctel Marie Lavaux. Qui était Marie Lavaux ?

Marie Lavaux, c'était une prétresse vaudeau créole qui a vécu à la Nouvelle-Orléans.

On disait d'elle qu'elle a vécu plus de 100 ans.

Elle avait un familier, un boa qu'elle gardait autour de son cou.

Et c'est vraiment une figure très importante de l'univers Nouvelle-Orléanais.

Elle a d'ailleurs aidé à sauver plusieurs esclaves ensuite.

Et elle avait aussi tous les petits secrets de la mondénité

puisque les bourgeoises venaient la voir pour des potions, pour des filtres, pour des sortilèges.

Et alors, comment vous les avez retrouvés, ces recettes ?

Justement dans des grimoires, dans des vies de grognets.

Comment on les retrouve des recettes pareilles ?

La purée de passion, c'est Jean-Pierre.

La purée de passion, oui.

C'est un spécialiste Jean-Pierre. La purée de passion.

Après chacun, ça recette.

Et surtout sa touillette.

Excusez-les madame, moi je vous écoute vraiment.

Vous les avez inventées vos recettes ?

Voilà, merci d'avoir été à la question.

Merci, oui, nous les avons complètement inventées.

Comme je vous disais précédemment, nous avons un café magique,

le café contre ça, dans lequel nous prenons énormément de plaisir

à élaborer nos pâtisseries, nos plats salés, mais également nos boissons.

T'es qui là, cognac ? Le coeur de Yuz ou Orange et Yuzu ?

Ça, là, il y a un petit peu de papier en otel.

Et madame, quand on pense au mixolo qui font des cocktails,

vous, ça se rapproche de la mixologie quand même.

Vous faites des vrais vrais cocktails de soirée.

Ou de la mixo-matos.

Non, on va éviter.

Du coup, oui, on a plusieurs types de cocktails, en effet, cocktails,

mais aussi des lattés, comme vous pouvez retrouver dans le livre,

donc des boissons lactées réconfortantes, les chocolats chauds,

on parle également de soupe aussi.

Et le vin chaud, ça va être l'époque du vin chaud, ça y est, c'est réconfortant.

Ça, vous nous donnez une recette de vin chaud mystique.

Qu'est-ce que vous ajoutez dedans pour qu'il soit mystique ?

Ben, tu le dis pas, comme ça c'est mystique.

Du jus de Cannebert, je peux vous répondre.

Du lotus bleu, c'est quoi du lotus bleu ?

Le lotus bleu, c'est une plante.

Justement, je crois que c'est Ariel qui demandait si on avait des psychotropes,

donc la réponse est non, du coup, pas dans ce livre.

Pourtant, le lotus bleu a été cultivé pendant très longtemps en Égypte

et était utilisé par certains prêtres et prêtresses.

Quand un fusée est dans le vin, on va avoir des propriétés,

donc évidemment, en plus de l'action du vin qui, quand on en abuse,

on sait comment ça peut finir, mais avec ces plantes

qui vont avoir un effet sédatif.

Alors justement, puisque vous vous adressez à Ariel,

ça tombe bien parce que, est-ce que vous pensez qu'Ariel boit beaucoup de lait de sushi ?

Et bien, je ne sais pas.

En tout cas, si elle n'a jamais goûté, elle peut goûter.

Le lait de sushi, c'est délicieux, plus connu sous le nom de Orchata

pour les personnes qui ont l'occasion d'aller à Barcelone ou à Valence.

Et pourquoi je vous pose la question ?

Parce que la réputation d'Ariel, vous ne la connaissez peut-être pas,

mais le lait de sushi lutte contre toutes les flatulences.

Je m'attendais à une chute poétique comme ça.

C'est un compliment que je vous fais,

parce que j'ai dit que vous deviez en boire beaucoup,

car jamais cela ne vous arrive chez Ariel.

Ça ne m'arrive pas, mais...

Elle ne connaît même pas le mot !

Quel mot !

C'est culant !

C'est vrai que quand je lui ai dit flatulence, ça fait...

Voilà, on part.

Mais le lait de sushi, vous êtes d'accord ?

C'est bon contre les flatulences.

En effet.

Désolé, madame.

Ça fait partie de la vie, hein, que voulez-vous ?

Ben oui, il n'avait pas l'air au courant.

J'en ai eu vent, moi, en tout cas.

Ça s'appelle potions.

Écoutez, c'est signé Eloïse.

Mais un rématile de fachants, le moins qu'on puisse dire,

c'est que votre livre est original.

Ah oui, je suis heureux !

Soit centre, recette d'infusion de la thé et de boissons magiques.

Un anniversaire tient avant les infos de 17h pour Sabrina Fravreau,

qui habite série fontaine dans Loise.

Sachez que Joanna Schimkus,

fait ses 80 printemps,

on voulait lui souhaiter ce bon anniversaire,

même si ça n'est pas certain qu'elle nous écoute,

parce que je ne suis pas sûr qu'elle habite aujourd'hui en France,

même si elle a fait carrière chez nous, hein.

Elle a tourné avec...

Avec Roger Vadim.

Elle a tourné avec peut-être Roger Vadim,

mais aussi, et surtout avec Alain Dolon et Lino Ventura,

dans Les Aventuriers.

Elle a joué avec Elizabeth Taylor et Richard Burton d'en boum.

C'était une comédienne, actrice, mannequin,

aussi qui fut l'épouse de l'acteur américain,

si n'est poitier, vous voyez.

Et Joanna Schimkus a 80 printemps aujourd'hui,

mais attention, on la connaît aussi pour une chanson,

laquelle...

Est-ce qu'elle a inspiré les Rolling Stones ?

Non, elle n'a pas inspiré les Rolling Stones.

Un tube international ?

Alors un tube international qu'elle a chanté chez nous en France

en duo, pour tout vous dire.

Si vous trouvez avec qui elle l'a chanté,

ça va vous aider.

Avec Alain Dolon, la française ?

Avec Sacha Distel.

C'est la belle vie, c'est All The Good Life ?

Non, pas la belle vie.

Est-ce que c'est tout à l'ampli sans motion ?

En Italien, je la connais.

En Italien, ça fait quoi ?

Exact.

Le titre français, je ne sais plus comment.

On fait le, on fait le, on fait le.

Sinatra l'a chanté.

La la la la la la la la la la la.

C'est ça.

C'est ça.

Je t'aime.

C'est ça.

J'ai du mérite de la reconnaître.

C'est ça.

C'est ça.

C'est la qu'elle a.

C'est la qu'elle a.

C'est pas.

C'est pas.

C'est marrant, il n'a jamais été aussi drôle.

Faut que vous soyez là.

Il y a même Nicole Kidman qui l'a pris à Croyby Williams.

Ah oui, c'est ça.

Il faut vraiment que tu remettes ton masque sur les oreilles quand tu parles parce que tu es...

Ça fait mal, il me sert trop, j'ai une grosse tête.

Fais quoi, on l'a quand même accordé la bonne réponse à Philippe Alain.

Tu l'as trouvé, la chanson.

Et ça s'appelle...

Donc quand tu réponds, nan, nan, nan, on a gagné.

Ça a changé, les grosses...

En français, ça s'appelait c'est maux stupide.

C'est maux stupide.

Écoutez, la version sèche à Distel et Johanna Schimkus qui fait ses 80 ans aujourd'hui.

J'adore cette chanson.

Ah, elle est belle.

Elle est plus jolie en anglais, vraiment.

Italiens, c'est une belle chanson.

Italiens, c'est juste.

Ils se sont même pas prêts.

Ça ne rime pas.

Écoutez le refrain.

C'est beau.

D'accord, mais ça rime pas, Laurent.

Je t'aime.

Je t'aime.

Ah ouais, ils ont fait rimer.

Je t'aime.

Mais ça rime jamais.

Je t'aime.

Je t'aime.

Mais répondez pas Laurent.

Non mais Laurent, ça rime jamais.

Quand on fait une reprise, on essaie quand même de faire en sorte sa rime.

Mon producteur, il critique tout, il râle tout le temps.

Il a été gentil un quart d'heure au moment de la signature du contrat.

Après, c'était signé, il m'a dit merci, connard.

Bonne journée.

Ça s'appelle l'horreur Gregium.

En tout cas, on va souhaiter un bon anniversaire à Johanna Schimkus.

Elle a effectivement chanté ses mots stupides.

Et la version américaine, c'était Something Stupide.

Chanté par Franck.

Franck et Nancy Sinatra.

Il y a eu des tas de versions.

C'est un tube international que je voulais aujourd'hui réécouter.

Et là, ce monsieur Ferraris a gâché.

Ça ne rime pas.

Je suis désolé.

Ça ne rime pas.

On reprend une chanson et on fait en sorte que ça rime.

Mais le roman, qu'est-ce que c'est?

Elle est abominable.

Ils sont au-dessus de tout ça.

On dirait qu'ils nous parlent de sa semaine.

Ça n'a aucun sens.

Il n'y a pas de poésie.

Il n'y a rien.

La version italienne est tellement belle.

La version américaine est tellement belle.

Je ne sais pas quand ça rime.

Quand ça rime, c'est toujours dit.

Rime débile.

C'est la danse des canards qui est en sortant de la marbe.

Bon bah là, ça rime.

C'est quoi le badéra?

Je ne sais pas.

J'ai rime.

Vous voyez, ça rime.

Mais c'est pas mieux.

Vous êtes égrise, Jérémy.

Et je me demande comment j'ai pu coucher avec vous.

C'est magnifique.

C'est vrai.

Quand tu es là, Jérémy, il est bien meilleur.

Il est meilleur.

Il est stimulé.

Et toi, t'es moins bon.

Oui.

Il fait trop d'ombre.

Sacha distelle et Johanna Schimkus sont effectivement chantés.

Ces mots stupides.

Et c'était un tube à l'époque.

Bon anniversaire à Johanna Schimkus.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier,

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours Alcariel D'Obal.

Yann Spoli.

Jérémy Ferrari.

Philippe Seudel.

Jaffy Jansen.

Et le pouya de Jérémy Ferrari.

Guillaume.

Une question sportive pour Mme Legoff.

Juliette Legoff, qui habite Gap.

À Marseille, on a vu 19 356 personnes courir.

Mais pour quelle raison ?

Restez au vu du stade.

Pensez bien qu'elle est un con, qu'elle est tombée d'entraînage.

C'est vous, Jaffy.

Il y avait un marathon.

D'abord, il y avait plus de monde que ça.

Je crois que c'était 60 000 personnes

au stade Vélodrome.

Là, je vous parle de 19 356 personnes

qu'on a vues courir hier.

C'est le marathon qui a tous les ans.

Ah oui, c'est le pari.

C'est Marseille Cassis.

Marseille Cassis.

Bonne réponse.

De Jérémy Ferrari.

Le Marseille Cassis.

Et c'est combien il le fait tout le temps ?

Pardon.

Le Marseille Cassis, c'est un cocktail.

C'est une grande course, le Marseille.

Mais c'est combien de kilomètres ?

Un marathon.

20 kilomètres.

Non, c'est pas un marathon.

C'est même pas un semi-marathon,

mais c'est un 20 kilomètres.

Attention, ça monte et ça descend.

C'est dans les calanques.

Et ça tourne, des fois, je crois.

Ah non, mais c'est un truc incroyable.

C'est vrai, c'est dans les calanques.

Ça monte, ça descend, ça tourne.

C'est fou, fou, fou.

Ce que je veux dire, c'est qu'il y a des marathons plats.

À Paris, c'est plutôt plat.

Le Parisien est plat.

Mais là-bas, à Marseille, il y a la corniche,

faut monter, faut descendre.

Il faut carrément tomber.

Qui a gagné ?

Alors, qui a gagné, c'est une bonne question.

C'est Samuel Kibbet, un ou gendais qui a gagné.

Qui est premier en 2023 du Marseille Cassis.

Il y a des épreuves sportives qui se sont bien déroulées

à Marseille ce week-end.

Jacques Goldman a été classé combien de siemes ?

Va-t-il nous le dire, Lianne ?

Je ne sais pas.

Je me renseigne.

Est-ce que tu es certaine qu'il a fait le marathon ?

Il n'est pas arrivé, il est en train de chanter, je marche seul.

Ça, j'aurais dû l'en trouver.

Si seulement j'avais un producteur.

Pour Anthony Guerin, qui habite l'île de Jordan dans le Gers,

dans quel oeuvre célèbre trouve-t-on une cégédie ?

Ou la cégédie ?

Ah bah c'est dans Carmen.

Dans Carmen, bonne réponse de Philippe Claudeuil.

Et c'est une danse.

L'ère de la cégédie, c'est un des célèbres verts connus de Carmen.

Dieu sait qu'il y en a dans Carmen,

l'opéra de Georges Bizet.

Moi, je ne connaissais pas l'ère de la cégédie.

Vous connaissez Arienne ?

Ça repart.

On n'aura pas eu pile de joie.

Et on dirait mon oncle les matins pourrais à vrai.

Mais nous sommes pourrais.

On l'a en mieux.

C'est une balsse ?

Ouais.

Et il paraît que la nouvelle version de Carmen, effectivement,

mais en scène par François Grumot, est extraordinaire.

C'est ce que toute la presse dit.

C'est un spectacle en tournée.

C'est bien de donner des dates un peu en région.

Par exemple, le 24 novembre au théâtre national de Bretagne,

de Rennes, le 28 novembre au théâtre de Grasse,

Pierre-Harr, le cavallon Lyon,

Compiènes, Ancidin, Kerk, Toulouse, Strasbourg,

en Suisse aussi.

Et évidemment, il y aura L'Amour est en fond de Borem.

Ça, c'est beau.

C'est pas la chanson pour le sang-bourg, pour les chiottes.

Vous ne croyez pas si bien dire.

Je crois que c'est Pierre des proches,

ou Jean-Yann, je ne sais plus quel est l'autre,

qui avait dit L'Amour est en fond.

L'Amour est en fond de Borem

et est en fond du couloir à gauche.

C'est pas héroïque, ça ? Il n'y a pas une chanson ?

On n'exagirait rien. C'est des airs célèbres de Carmen.

Qu'est-ce qu'il y a d'autres commerces célèbres ?

Ah bah, t'aurais adoré, évidemment, Ariel.

T'aurais adoré, ton cul n'est pas en or.

T'aurais adoré, ton cul n'est pas en or.

N'est en or.

N'est en fer blanc.

C'est pas ça.

Musicalement, on est haut aujourd'hui.

Non, mais c'est une chanson populaire que les gens chantaient.

Je ne connaissais pas ça, cette chanson.

Il y en a plein, la Côte Bita du Dule.

Ton cul n'est pas en or.

N'est en fer blanc.

N'est en fer blanc.

Ariel, vous seriez capable de le chanter, ça.

Non, ça, je t'aurai adoré.

Ton cul n'est pas en or, je vous l'ai dit.

Ah, moi, je ne sais pas.

Non, je n'ai ni qu'un pâme.

Bravo, Ariel !

Bravo, bravo, bravo !

Dans un instant, on va avoir une actrice formidable.

Il y a eu nombre mollière, 4, je crois.

Elle nous précisera si c'est bien le nombre exact.

Mais je crois que c'est 4 mollières.

Christine Murillo, qui joue actuellement à la Scala de Paris.

Et elle joue un spectacle étonnant,

puisque c'est un spectacle consacré.

Les plus jeunes ne connaissent pas forcément le nom de cette comédienne.

Consacré à Pauline Carton.

Ça s'appelle Pauline et Carton.

Alors pour les plus jeunes qui nous écoutent,

il faut savoir que Pauline Carton était une grande actrice de théâtre

et de cinéma, très amis avec Sacha Guitry,

qui jouait toujours l'héro, on parlait de Carmen,

pour le coup de concierge, de gardienne,

de femme de ménage, de soubrette.

Avec son petit chignon.

Voilà, elle avait une voix un peu à l'Harlaty, d'ailleurs,

un peu goyeuse, Pauline Carton.

Et elle a écrit deux livres,

deux livres qui ont servi, d'ailleurs, je crois,

à l'adaptation de l'écriture de ce spectacle

qui se joue à la Scala.

On aura Christine Murillo au téléphone dans un instant.

Mais d'abord, une question sur Pauline Carton,

puisque Pauline Carton, à un moment donné,

avait pensé se faire tatouer autour du coup la phrase

« tant pis pour vous » pour quelle raison ?

C'est une…

Pendant la guerre ?

Aucun rapport avec la guerre.

Aucun rapport avec la guerre.

Est-ce que ça a un rapport avec le fait

qu'elle était beaucoup refusée en casting, par exemple ?

Non, non, non.

Elle a beaucoup tourné, Pauline Carton.

C'est une phrase d'un de ses personnages mythiques ?

Non, non, non.

N'a pas avec le cinéma.

Non, c'est pour quelques…

C'est pour un engagement ?

un engagement en quelque sorte ça l'amusait de se dire tiens je devrais me faire tatouer autour du

coup tant pis pour vous pour une raison bien précise elle est tombée amoureuse et puis non

non non non est-ce qu'elle mettait un collier non plus non non non parce qu'avant tant pis pour vous

il n'y a pas le début d'une autre phrase non parce qu'on a essayé de la censurer non plus non

au contraire on essayait de la célébrer tout ça qu'elle n'était pas très très comment dire jolie

oui elle n'est pas très jolie un peu ingrate voilà on a essayé de la guillotinette non

dans le monde du cinéma c'est assez non mais effectivement on peut pas dire que c'était une

jeune première vous voyez poline carton elle faisait vieille je m'assume comme je suis et

tant pis pour vous alors non mais effectivement il y a un rapport avec le avec son physique

je t'aime moi non plus non non non je vous impose ma mojeter et tant pis pour vous

oui en quelque sorte mais pour une raison bien précise qui chignon le petit chignon non mais

je vais je vais je vais je suis vie je vais sur scène et tant pis pour vous non non non c'est

plus précis ça parce qu'elle a fait maquillage parce qu'elle a fait quelque chose que peu de gens

ont fait mais elle a fait la chirurgie esthétique non non non non non est-ce que l'endroit où c'est

où c'est attoué c'est c'est important dans son coup elle a pas fait l'imaginez c'était comme une

blague évidemment elle avait imaginé dire tiens je vais me faire tatouer autour du coup tant pis

pour vous et pour une raison bien précise les hommes non pas pour les hommes pour les triangles

mentres non non non non mais ça rate pas avec quelque chose qu'on lui proposait de faire pas qu'on

lui proposait mais qu'elle avait décidé de faire est ce qu'elle a fait quelque chose qui a choqué la

population non c'était pas chocant c'était en rapport avec son physique on est d'accord elle a

arrêté quelque chose indirectement non ce qu'elle a décidé de faire oui n'a pas de rapport avec son

physique mais en revanche le fait qu'elle ait imaginé de se faire tatouer autour du coup tant pis

pour vous ça effectivement c'était de l'auto dérision par rapport à son physique oui par rapport

à mitou mitou non mais c'est un rapport avec le coup pourquoi c'est en droit là par exemple

ah ben vous comprendrez quand vous aurez l'air et pour ce monsieur que les gens qui veulent pas

l'embrasser pardon les gens qui veulent pas l'embrasser non plus non elle a refusé elle

pratiquait pas elle pratiquait pas la félation est-ce que c'est un rapport avec le parfum l'odeur du

tout est-ce que c'est quelqu'un qui lui aurait offert un collier un allemand lui aurait offert un

collier non on va donner 300 euros et c'est tant mieux pour madame morin qui habite breast ce sera

le premier échec et c'est rapport au réalisateur qui voulait pas l'engager qu'est-ce que vous dites

rapport au réalisateur qui voulait pas la prendre c'est con c'est après le gong mais c'était pas ça

toute façon elle elle elle ne vous en fait trop tard c'est trop tard est-ce que quelqu'un a une idée

dans la salle oui 3 à là-bas monsieur jasaine bonjour monsieur comment vous appelez vous bonjour

Laurent selon vous le rang qu'elle est la bonne réponse elle a donné son corps à la science bon

c'est génial bonjour les grosses têtes bonjour bonjour j'imagine que vous

c'est tout à fait la réponse et oui vous le saviez vous j'imagine est-ce que vous en parlez sur

scène bien sûr et elle dit je peux pas dire que je ferais un beau cadeau aux étudiants j'ai même

pensé à me faire tatouer autour du coup tant pis pour vous c'est génial et quand même effectivement

poline carton avait donné son corps à la science elle est morte à 89 ans pardon d'avoir dit que

ça n'était pas forcément un prix de beauté mais mais c'est vrai qu'elle elle avait un gros pif

faut dire poline carton peut dire ça en fait si on regarde bien les photos de poline carton elle aimait

bien dire qu'elle était moche mais en fait elle n'était pas si moche que ça quand on voit les

photos d'elle quand elle était jeune puis ça l'arrangait bien de pas avoir à se maquiller à pas

s'agguer elle aimait bien avoir l'air nature mais à comparer comparer à d'autres elle n'était pas

souvent acheté ça et alors ce que j'ignorais c'est qu'elle était si cultivé c'était un peu

paraît-il sachant githry disait c'était sa bibliothèque ambulante c'est vrai très cultivé très très

cultivé elle a été comme une casting pour githry en plus et elle était elle avait une

bibliothèque paraît-il de 4000 de 4000 livres elle invitait à l'hôtel pendant toute sa vie

pratiquement c'était vraiment une tête et ce qui est amusant à côté de ça elle ne jouait que des

bignoles des concierges des femmes de ménage qui avait l'air toujours un petit peu bébête mais

elle c'était une tête c'est d'autant plus amusant évidemment qu'elle vivait à l'hôtel comme vous

venez de nous le dire que si elle vivait à l'hôtel c'est parce qu'elle n'aimait pas faire le ménage

or elle jouait des rôles souvent de bonniche de concierge de femmes de ménage alors elle

ne cherchait à jouer que ça et son plaisir c'était elle n'aimait que les petits rôles et on

dit même que quand elle avait fini de jouer sur thème ses petits machins elle allait vite dans la

salle pour profiter de la suite ce qu'elle aimait c'était le théâtre la poussière du théâtre il parait

qu'elle disait je veux bien faire le ménage mais à condition que ce soit devant les caméras ça

en présence d'un caméraman et comment vous avez eu l'idée de faire un spectacle autour de

polines cartons qui effectivement était très drôle très cultivé mais surtout très drôle elle est

à mourir de rire ces livres sont à mourir de rire et si on a la flemme de lire ces deux livres et

bien on peut venir me voir christine murillo c'est à la scala c'est ça qu'il faut dire à nos auditeurs

pour alors c'est pas la scala de paris c'est seulement le samedi et le dimanche le spectacle

dure neuf heures même pas une heure non non une heure voilà une heure et alors ce qu'il faut dire

c'est que vous avez eu quatre mois hier j'ai dit quatre est-ce que je me suis trompé ou pas christine

murillo vous n'avez pas trompé vous m'en avez même remis un vous même sans souviens plus merci mais

comme je n'en ai pas remis quatre je crois bien pour dire ma fille que je pars en voyage exactement

la pièce de doniz la pièce de doniz chalem et puis il y avait eu la moette avant ils ont vu un pour

le rôle de dorine dans tartuffe et plus récemment un mollière pour la mouche que vous allez reprendre

bientôt et voilà tout de polines cartons et tout de moi c'est merveilleux parce que vous le méritez

au mois de février au bout du nord absolument et ça a été un carton cette pièce la mouche qui

va reprendre mise en scène adaptée par valérie lossoir et christian ec et on n'a pas dit que

polines cartons est celle qui a créé cette chanson aussi qui fut reprise bien des années plus tard

par marie la forêt mais polines cartons l'avait créé interpréter chanter cette fameuse chanson

écoutée je suis pas l'étudier c'était un tube chanté à l'époque par polines cartons polines

cartons c'est à la scala bravo et merci christian murillo

une question pour françois londais qui habite à venant bret c'est en scène maritime la question

concerne un sportif qui s'appelle stevan dakostak est un karatéka et qui a été sacré samedi champion du

monde quand même quand on a un champion du monde français il faut le dire il a été sacré champion

du monde en individuel chez les moins de 67 kilos ça se passait à budapest et c'est son troisième

titre ça fait trois fois qu'il est champion du monde en revanche autant le dire monsieur dakosta ne

pourra pas refaire l'année prochaine ce qu'il a fait en 2021 pour quelle raison parce qu'il était

poids plume et il ne l'est plus non mais c'est pas bête ariel bravo c'est malin même en 2021 en

2021 mais on est en 2020 c'est malin c'est vraiment malin qu'est ce que vous dites il pourra pas refaire

en 2024 j'ai dit ne pourra pas refaire en 2024 ce qu'il a fait en 2021 parce qu'il pesait 67 kilos

rien à voir avec le poids mais c'est à voir avec sa discipline avec sa discipline oui il existe plus

aux jugeaux olympiques sa discipline expliqué mais oui bien c'est sa discipline là que je me suis

d'accord pas le kara ok j'ai dit kara ok c'est pas ça c'est un mixte des deux en fait non tu te penses

ok non c'est qu'il reste de kara ok et c'est bien dommage oui mais donc on commence à se prendre

le karaté le karaté tout simplement mais non mais quand on né la caractèque

la caractèque la caractèque va disparaître en tout cas c'est une réponse qui est paratée

jean-phi j'en sain ça va disparaître de jeux olympiques c'est incroyable c'est pas que ça va

disparaître c'est que ça n'a existé au géo qu'une seule fois il a eu du bol d'ailleurs d'avoir

encore une médaille cette année là en 2021, c'était en 2021, il faut le rappeler parce

que les J.O. ont été décalés, c'est bien ça la dernière fois, à cause du confinement

du Covid et tout ça, à Tokyo effectivement.

Mais c'est archi violent le caracté, on coupe des briques avec la tranche de la main.

Non, ça c'est au caractère pour le coup.

C'est pour ça qu'ils s'appellent d'un côté les mastons.

Il faut dire qu'il y a des tiens assez briques.

Non mais c'est vrai, c'est archi dangereux, on voit les gens qui font du caractère.

Ça c'est brusquie, pour le coup c'est pas très dangereux.

Non, c'est beau le caractère.

C'est plutôt à la touche.

Monsieur Rary a dû faire ce genre d'art martial, n'est-ce pas ?

Moi je fais du Jujitsu donc c'est les arts martiaux, j'ai du Jujitsu Combat donc c'est

du combat libre.

Donc dedans il y a des choses qui se rapprochent du caractère, le caractère c'est plutôt

soit de la démonstration soit c'est plutôt à la touche donc c'est un peu violent mais

c'est moins violent.

C'est quoi la démonstration ?

La démonstration c'est du kata, c'est vraiment la démonstration.

C'est de donner des grandes jiffes quoi.

Il n'y a pas de combat, il n'y a pas de chorégraphie Jérémie.

Mais il y a aussi du combat.

Je peux vous interrompre pour quelque chose de plus, précieux et intéressant et culturel.

C'était la grosse commission monsieur Guillaume.

Mais surtout pourquoi départez avec mon téléphone ?

Les belles jours des ennuis de prostate très très tôt, on fait très jeune.

Il est parti il y a dix minutes.

Non mais la tête qu'il a faite, il est parti.

Mais je dois répondre non ?

Non non c'est pas dur.

On s'interrogeait ça fait dix minutes que vous êtes partis au toit ?

Non je me retiens depuis j'ai oublié d'y aller avant.

Non on veut pas savoir.

Et on entend dans le couloir je riais avec vous en faisant pipi.

Mais pourquoi t'es parti avec ton téléphone ?

Non j'aime bien faire des photos pour me laisser dans le sac.

Alors on était en train de dire effectivement que le Karateka Steven Dakosta a été un nouveau titré champion du monde sauricaine et là où il a été chanceux c'est que en 2021 c'est la seule fois que le Karate fait partie des Jeux olympiques, il a été champion olympique il y a 3 ans, il ne sera elle à ce pas l'année prochaine puisque le Karate ne fait plus partie des J.O.

Bravo Jean-François Jancen !

On tient un petit hommage à travers la question destinée à Mme Roche, Alexandre A. Roche qui habite 5 castes, le Guildo c'est dans Côte d'Armor puisque cette écrivaine féministe maman de Jean, pardon de Vincent Ferniot et ex-femme de Jean Ferniot, sœur de Jean-Jacques Cervancherebert, tout ça je l'ignorais, vient de nous quitter mais quel est le nom de cette romancière écrivaine féministe

qui vient de s'en aller. Jean-Jacques Cervancherebert avec François Zyrou sont les créateurs de l'hébdomadaire L'Express, je ne me trompe pas monsieur Claudelle, un couple d'amourous célèbre.

Quand à Jean Ferniot il a été longtemps un journaliste, s'il même d'ailleurs à RTL et son fils, leur fils Vincent Ferniot, c'est le garçon qui fait la cuisine à la télévision Vincent Ferniot, il manque plus que le nom de la dame maintenant.

Christiane de Colange. Christiane de Colange, bonne réponse, c'est Christiane de Colange, c'est Christiane de Colange, il est anobli mais c'est Christiane.

Une enfant on ne va pas lui donner des bonnes réponses en chaque fois qu'il n'a pas de bonnes réponses. Il fallait quand même déjà retrouver Christiane de Colange, elle vient de nous quitter Christiane de Colange je crois à l'âge de 94 ans.

Attention que Christiane de Colange, elle est encore en vie du coup.

93 d'ailleurs pour être très précis, Saint Valéry Anco, quelques jours avant ces 93 ans, Christiane de Colange était en plus une romancière féministe plutôt amusante, plutôt joyeuse, plutôt gaie.

Oui, qui a rencontré le succès populaire.

Voilà, elle était effectivement auteur de nombreux best-seller avec des livres destinés, on va dire, aux familles, aux femmes, et c'est vrai en revanche que j'ignorais qu'elle fut l'épouse et de Jean Ferniot et la sœur de J.J.S.S.

comme on l'appelait Jean-Jacques Servancherais-Bert et la maman de Vincent Ferniot pour qui on a une pensée aujourd'hui.

Encore une question pour Jimmy Benabes qui habite Paris 18e, on parle hélas, j'ai envie de dire, on parle beaucoup de maranisation en ce moment dans les journaux.

Pour quelle raison ? Qu'est-ce que la maranisation ?

C'est quand on se fit tuer dans sa baignoire ?

Non, j'ai cru que vous faisiez allusion à Mathieu Péry qui est mort dans son jacuzzi, vous voyez ?

Non, non, non.

Assassiné par Charlotte Cordet.

Donc la maranisation, est-ce que c'est un rapport avec les réseaux sociaux ?

Non, la maranisation, non.

Ça s'écrit M-A-2-R-A-N-I-S-A-T-I-O-N.

Ça peut toucher tout le monde ?

Bah hélas, oui, enfin tout le monde, oui et non, mais en tout cas, tous ceux qui sont concernés peuvent être touchés, oui.

Est-ce que c'est quelque chose de plutôt négatif d'être maranisé ?

Ah, c'est pas positif.

Est-ce qu'on peut maraniser ?

C'est un état d'épressif ?

C'est une radicalisation ?

Radicalisation, non, non.

C'est un néologisme forgé sur un nom propre ?

C'est un néologisme formé sur un nom propre ?

On allait poser la même question.

Merci de répéter, ça me donne le temps de réfléchir pour la réponse.

Sur un nom propre, non, mais c'est un néologisme, oui,

tiré effectivement, on va dire, d'un peuple...

Un peuple marane ?

Oui, les maranes, ça vient des maranes, absolument.

C'est une culture propre à ce peuple qui commence à...

Et dans la question, je vous rappelle que j'ai dit « hélas ».

C'est un peuple qui disparaît.

C'est un comportement.

C'est un comportement.

C'est un comportement.

Il s'éteint.

Pas qui disparaît, non.

C'est ostracisé.

Alors exactement, ce qu'est-ce que c'est que la maranise ainsi ?

Ostracisation.

Les chasses de leur terre.

On les chasse de leur terre ?

Non, chasser de leur terre, non, non.

C'est un néologisme ostracisé.

Je comprends rien, moi.

Retourne aux toilettes.

On essaye de les faire disparaître ?

Non, non, non, non, non.

Et d'ailleurs, dans le Figaro, c'est l'écrivaine Elliot Abekasis,

qui a parlé de maranisation.

On a interdit la reproduction.

Est-ce que c'est déplacer un peuple ailleurs ?

Non, non, non, non.

Est-ce que c'est en faire des réserves ?

Non, parce que ça se passe plutôt chez nous, là-bas.

On a de moins en moins d'enfants.

C'est le fait de rester, de ne plus bouger ?

Non, non, non.

C'est un rapport avec la démographie qui baisse,

enfin, le nombre d'enfants.

Non, non, non.

C'est un rapport avec la religion, bien sûr.

Ah !

Mais là, on est plutôt sur notre territoire

ou dans d'autres territoires.

Mais éloignez-vous du Proche-Orient,

mais c'est une conséquence, évidemment, de ce qui s'y passe.

Les églises sont vides.

Non, la maranisation.

Les gens se cachent pour justement leur rite religieux.

Les gens se cachent pour leur religion.

Les gens n'osent pas dire leur religion.

Bon, la réponse d'Ariel Gombal.

Effectivement, la maranisation,

c'est relative au fait de cacher sa religion

ou de pratiquer sa religion en secret.

De cacher les signes aussi religieux.

Et de cacher aussi les signes religieux.

Ça s'appelle la maranisation.

Excellente réponse d'Ariel Gombal.

Allez, une dernière question.

Allez pour la route.

On n'a pas encore joué au Ding Ding.

Ah !

On termine par un Ding Ding.

En plus, c'est agréable, ce bruit super.

J'ai le 3 Ding Ding pour terminer avant l'invité du jour.

Mais moi, je connais pas le jeu Laurent.

Il s'agit de retrouver des mots qui sont cachés par le...

C'est plus simple.

C'est un texte à tout.

Un texte à tout.

Un texte à tout.

Sauf qu'il y a la place du trou, je mets...

Une bling.

J'ai mis en chanson.

Par exemple, le titre du parisien.

Trois extraterrestres pour le...

Pour le prix d'un.

Non.

Pour le ballon d'or.

Pour le ballon d'or.

Bonne réponse.

Bravo, Philippe Lodel.

Vous lui envoyez un mail avant l'émission, c'est pas beau.

Un Ding Ding de gagner.

Deuxième Ding Ding dans le Figaro, cette fois.

Un autre titre.

Un départ corsé pour la Transat.

Corsé.

Atlantique.

Jack Vabre.

Jack Vabre, corsé.

Bravo.

Ça t'a pas embauché un coin, le belge.

Du Ding Ding.

Et dernier Ding Ding.

Il y a une gaufre à gagner, je t'amène à la torche.

Dans le camion, carrément.

Dernier Ding Ding.

Au moulin rouge, je l'ai.

Il n'aurait jamais dû monter sur scène.

Serpent.

Les serpents n'auraient jamais dû monter sur scène.

Un compterre.

Vous pouvez expliquer, Liane.

Oui, parce qu'il y a toujours eu des spectacles.

Les serpents ont été très présents au moulin rouge.

Et qu'ils ont été attaqués de toutes parts,

par toutes les défenses des animaux.

Et que c'était pas des conditions...

Voilà, interdits par la loi.

Interdits.

Les serpents étaient dans un aquarium.

Exactement.

Dans ce, dans l'eau.

Et alors, apparaît-il, ils ne sont pas faits pour aller dans l'eau.

Ces serpents-là, en tout cas.

Donc le spectacle, en tout cas, ce numéro-là s'est arrêté.

Mais quand même, il a été joué pendant plus d'un an.

Très longtemps.

Voilà.

Des serpents emballés dans l'eau avec une danseuse.

Des serpents.

Alors je ne sais pas ce qu'ils sont devenus les pauvres serpents.

Parce qu'ils sont au chômage.

Oui.

C'est des serpents qui sont...

Ils sont pas partis en Ozu, je pense.

Quand tu...

Arielle, toi, quand tu dansais...

Tu as dansé là-bas, non ?

Au Créziore, ça.

C'est au Créziore.

Il n'y avait pas de serpents.

Non, mais il y avait des boas en plume.

Mais voilà, exactement.

Il y avait des serpents dans le pantalon qui bougeaient tout ça.

Non, mais moi, après, chaque fois, je dis à madame...

Ça va faire rire ça quand même.

Elle rigole de ça.

Allez, copains, c'est pour ça qu'elle l'a fait ?

Voilà.

On est complètement, complètement nus au Créziore ?

Non, on est habillés de lumière.

Habillés de lumière, oui, oui.

Enfin, elle essaie d'aller au ski habillés de lumière,

mais on en parle.

On a habillé de lumière.

Oui, il espère que j'étais habillé de lumière.

Après, il y a des colants au parc.

On dirait que t'es nus.

Il y a plein de choses.

J'ai d'aptive presto, voilà.

Des trucs, en fait.

Des trucs.

En tout cas, bravo.

Vous avez magnifiquement joué au jeu du...

Oui !

Dans un instant, l'invité du jour.

L'invité du jour, c'est quelqu'un que je connais bien

qui publie ses chroniques paru dans Marianne.

Ça s'appelle Chronique du Rien, N'est Perdue.

Je vous demande d'accueillir Natasha Poloni.

C'est publié aux éditions de l'Observatoire.

Voilà maintenant 5 ans que Natasha Poloni

dirige Marianne et que chaque semaine,

elle signe, on va dire, un édito.

On peut considérer que c'est un édito.

Oui, c'est un édito.

Un édito pour lequel vous dites...

C'est dans l'avant-propos de ce recueil de vos chroniques,

vous dites, vous parlez de l'actualité,

tout en essayant de nous en éloigner

pour parler, on va dire, d'un sujet au sens plus large.

C'est le principe d'un éditorial.

C'est que ce n'est pas un commentaire d'actualité.

C'est une façon de construire une pensée

au fur et à mesure que l'on suit l'actualité

et les événements.

C'est pour ça que l'intérêt, enfin,

de les publier là, c'est qu'on voit

si 6 ans après, ça tient encore,

si ça a permis de réfléchir.

Ce qui contredit d'ailleurs la première phrase

de votre avant-propos,

et c'est pour ça que vous avez évidemment choisi cette phrase

parce qu'un édito, c'est tout le contraire de cette phrase-là,

j'appelle journalisme,

tout ce qui aura moins de valeur demain

qu'aujourd'hui, c'est André Gilles de César.

Oui, c'est ça.

Et c'est vrai que le journalisme, c'est obsolète, quoi.

C'est ça.

Le principe d'un éditorial, c'est d'essayer

de s'extraire un petit peu de cette obsolescence.

Alors, c'est vrai que quand on...

Je n'ai pas tout relu toutes les chroniques,

parce que je lui ai dit...

Comment ça ?

Chaque semaine dans Marianne,

mais ce qui est amusant, évidemment,

c'est de revenir en arrière et de voir...

5 ans, c'est ça maintenant ?

5 ans.

5 ans, depuis 2018,

de voir finalement qu'elles étaient les sujets

sur lesquels vous avez signé ces éditos

avec les années passées.

Et puis surtout,

si les choses ont changé ou pas

depuis, parce qu'évidemment,

on n'avait pas touché une ligne à chaque fois.

Ah bah non, c'est le principe de l'honnêteté.

C'est qu'il faut assumer exactement ce qu'on a écrit

à ce moment-là et voir si ça apporte encore quelque chose.

Alors, en revanche, honnêtement,

parce qu'on n'avait pas tout publié, j'imagine,

est-ce qu'il y en a que vous avez enlevé ?

Parce que vous avez dit,

ah non, là, je ne peux pas la republier.

Non, non, non.

Très honnêtement, justement,

j'ai essayé de choisir

ceux qui reflétaient, à mon avis,

un propos important,

mais je n'ai rien retiré,

parce que j'estimerai que ça n'est plus valable.

Pardon, je vais prendre un sujet terrible,

mais c'est vrai que,

quand on connaît l'actualité,

il y a maintenant à peu près 2 semaines,

on se dit que la fin de cet édito,

du 20 octobre 2020,

qui concernait la mort de Samuel Patti,

elle est terrible, parce qu'avec le recul,

on voit qu'elle a,

ça s'est reproduit depuis,

et à la fin de cet édito,

sur la mort du professeur,

vous écriviez,

« Relevons-nous pour plus que jamais

un professeur n'ait peur d'aborder

un sujet dans sa classe,

pour que plus jamais un jeune Français

ne soit jeté dans les bras

des intégristes et livrés à l'ignorance,

pour que plus jamais des gens

qui détestent ce que nous sommes

ne nous empêchent de transmettre

l'humanisme, les lumières,

le rire désacralisant de rabelais,

la lucidité pleine de doutes de montagnes,

la révolte de Voltaire

contre le délire intégriste

de les transmettre

à tous les futurs citoyens,

quelle que soit leur origine

et leur religion,

et effectivement,

ça date d'il y a 3 empiles.

Oui, et je pensais

que ce serait un électrochoc,

mais d'eux-mêmes,

qu'on aurait pensé que le massacre

de la rédaction de Charlie Hebdo

aurait constitué un électrochoc,

que le Bataclan aurait constitué

un électrochoc,

et en fait, on s'aperçoit

qu'on s'habitue

au nom de la résilience, finalement,

on accepte de vivre dans un pays

où on peut tuer un professeur.

Alors intéressant aussi,

la chronique du 30 janvier 2020,

rappelez-vous le début de l'année 2020.

Évidemment, on ne savait pas

encore vers où on allait,

à ce moment-là.

Et Natacha Polany

termine son édito

sur le coronavirus,

ça s'appelait, c'était sous-titré.

Est-ce que d'ailleurs,

les sous-titres sont d'aujourd'hui

ou de l'époque,

la mondialisation des porcs ?

C'est de l'époque.

C'est de l'époque.

Ah ben bravo !

Parce qu'effectivement,

c'est ce qui s'est passé

à la fin de votre édito.

Vous écriviez nul,

ne sais encore

quelle sera l'ampleur

de cette épidémie.

Mais nous pouvons déjà dire

qu'elle se nourrit

de l'absurdité

et de l'inconscience

de notre monde.

Oui, pardon,

mais il y avait l'histoire aussi,

c'était née d'un pangolin.

Et à l'époque, d'ailleurs,

les journaux,

ça, on en est revenu

du pangolin.

On avait peur,

tout début, souvenez-vous,

on redécouvre à travers

cette chronique,

on avait peur

des personnes asiatiques.

On pensait que c'est

les personnes asiatiques

qui nous fileraient

le virus.

Et vous rappelez même

que le courrier Picard

avait titré Alerte Jaune.

Oui, bien sûr.

C'était totalement excessif.

Cela dit, j'expliquais aussi

à l'époque

que la phrase prononcée

par Emmanuel Macron,

ce virus,

t'as pas de passeports,

me semblait totalement débile

parce que les gens

qui portent le virus,

eux, ils ont un passeport.

Et que, à l'époque,

au début,

juste avant,

vraiment que la pandémie

ne prenne de l'ampleur

et même jusqu'au premier confinement,

on avait encore

à peu près

plus d'une dizaine de,

si je me souviens bien,

du chiffre,

plus d'une dizaine de vols

qui arrivaient directement

de Chine à Roissy

sans aucun contrôle.

Et c'était là aussi

une absurdité totale.

Si on veut

contrôler, limiter

une épidémie,

on fait attention.

Mais moi, je me souviens pas

très bien le pangolin.

Je crois que

il avait fauteuil

avec une chauve-souris.

C'est l'humour.

On rigole bien, ici,

la tâche, vous savez.

Oui, vraiment.

Mais c'était une chine.

Non, c'est de la géopolitique.

C'est pas ça, c'est...

C'est une partouzoologique.

Une des hypothèses

était l'origine animal

du virus,

puisque, en fait,

les virus sont portés

par des animaux sauvages

et ensuite,

Ensuite, il faut trouver l'animal qui a transmis à l'homme, et donc un virus venant d'une

chauve-souris aurait pu se transmettre à un pangolin qui aurait ensuite été vendu

sur le choc-pamon, par exemple, à Wuhan, sauf qu'à priori, c'est un très joli petit

animal en voie de disparition avec des écailles, mais le problème, c'est qu'en fait à Wuhan,

il y avait un laboratoire Pécase qui faisait des analyses sur les virus.

– C'est incroyable que Mme Paulini prenne le temps de réponse.

– C'est le côté pro, vous voyez, pédagogue, c'est un phénom, c'est un phénom.

– Mais c'est vrai, elle est très pédagone, Natasha.

– Mais c'est important de le rappeler.

– Elle était la fâche de lui qu'est-ce qu'une dernière.

– C'est incroyable.

– On va vous laisser tout près d'eux, hein.

Alors il y a l'affaire Madzenef, il y a l'affaire Katéna, c'est évidemment,

et ça va jusqu'à Labaïa puisque ça s'arrête juste avant l'été.

Chronique du Rien n'est perdu.

Les chroniques de Natasha Poloni pour…

– Moi, je veux bien le bouquin, monsieur.

– C'est cet excellent hebdomadaire parce que c'est un très bon hebdomadaire.

– Merci.

– C'est un Marianne.

2018-2023, c'est aux éditions de l'Observatoire.

Vous restez avec nous jusqu'à 18h, Natasha Poloni.

– Oh, ben oui.

– Allez.

– Alors avant d'avoir lu Zertel, je rappelle que Natasha Poloni nous a apporté

ce recueil de chronique, chronique du Rien n'est perdu.

2018-2023, c'est chronique de l' hebdomadaire Marianne.

On a eu la chance de travailler pendant quelques années ensemble,

quelques saisons, donc on n'est pas couchés, trois saisons.

On se retrouve de temps en temps à 20h sur BFM TV

parce que c'est la gentillesse de venir me voir une fois par semaine à peu près.

Mais qui étaient vos partenaires, donc on n'est pas couchés ?

Vous pouvez vous rappeler ?

– Audrey Pulvar pendant un an et Émerick Caron pendant deux ans.

– Ah, vous n'avez pas eu Yann Mowax, vous comme partenaire ?

– Non, non, non.

– Yann, vous a laissé un message.

– Alors Natasha, c'est un message répondeur.

Donc, je me forcerais de faire court,

car il ne faudrait pas que ça soit trop long

ou que ça ait tendance à s'interniser

ou encore à traîner dans la longueur

par des formules interminables et à l'ambiquer

ou à terrabilse-côté, mais souvent aussi très chiante.

Donc, j'en viens à ma question.

Natasha, est-ce que c'est pas moins relou d'avoir un appel

d'une arnaque au CPF par un type qui parle turc

plutôt que de Yann Mowax ?

– C'est Marc-Antoine Le Marais, évidemment,

que vous avez retenu et reconnu Michel Simes.

Vous connaissez le docteur Simes ?

Il est aussi sur répondeur.

– Bonjour Natasha.

Alors, j'ai appris que votre mère est gastro-anthérologue

et votre père oftalmologue.

D'ailleurs, on assiste souvent à des couples

qui se forment dans le domaine médical

et le saviez-vous, Natasha,

c'est lors d'une dispute de couple entre un proctologue

et un neurologue qui est né l'expression

par la moncume à tête et malade.

– C'est l'inverse, en fait, c'est ça ?

– Oui, c'est l'inverse.

Maman oftalmogue et père gastro-anthérologue.

Je ne sais pas si ça change quelque chose

sur l'expression en question.

– Laurent de la Housse, maintenant.

– Bonsoir à tous et surtout bonsoir à toutes.

Natasha et moi, nous sommes animés par les deux mêmes passions,

l'information et un brushing irréprochable.

– Ah oui, tout à fait.

– Merci.

– Merci de vous, Natasha.

Donc vous laissez profiter de votre promo au Grosse Tête

pour m'interviewer et faire ma promo au Grosse Tête.

Ne répondez pas, Natasha,

poser vos questions sur moi

ou poser votre regard encore sur moi.

– On a un dernier rappel, c'est Jean-Marie Bigard.

– Salut Natasha, c'est Jean-Marie Bigard.

Bon, j'ai vu que tu es de deuil là-bas.

C'est marrant parce que moi aussi,

j'y suis depuis environ 10 ans.

Ah ben, mon âge sent une petite pilule bleue.

Je suis là-bas en deuil, tu vois.

Si il a osé, on peut applaudir Marc-Antoine Le Gré

qu'on retrouve.

C'est Julien, c'est lié dans un instant.

Mais Natasha, on va vous demander

de prêter main à cette émission

de tenter et de porter chance,

surtout à une de nos auditrices

ou à un de nos auditeurs.

Peut-être que c'est la première fois

que vous allez faire la valise RTL.

– C'est la première fois que je la fais, je la connais,

mais c'est la première fois que j'y participe.

– Alors, vous commencez par donner un numéro.

Si vous le voulez bien entre 1 et 20,

Natasha Poloni. – 15.

– Le 15.

Alors le numéro 15, il s'agit de Romain Duplanil

et Monsieur Duplanil habiteux.

Alors vous pouvez uniquement retenir le prénom.

Si vous voulez, Romain à Lyon,

ça va se sonner chez lui et vous vous présentez.

Et après, le reste tout savait

quel est le contenu de la valise RTL.

Et hop, on tiendra peut-être un gagnant.

C'est une valise toute neuve, parce qu'elle a été gagnée,

elle a été gagnée vendredi de la valise.

– Très non médicaments du planil.

– Oui.

De Duplanil le matin.

On en fait plus.

Mais je le générique, si vous voulez.

– Du staloque en générique.

– Bonjour, nous étions la messagerie du...

– Un autre numéro, Natasha, si vous le voulez bien.

– Oh, alors le 12.

– Le 12.

– Le 12.

– Monsieur Pierre Hock.

Pierre habite à Cressin dans la creuse.

– C'est pas grave.

– Mais je pense qu'il va être chez lui, Monsieur Hock.

Pierre dans la creuse.

Ça sonne chez Pierre.

C'est parti.

– Allô, bonjour Monsieur Hock.

– Oui.

– Pierre Hock, c'est Natasha Poloni pour la valise RTL.

– Oui, bonjour.

– Bonjour.

– Alors, vous pouvez nous dire ce qu'il y a dans la valise RTL ?

– C'est pas vrai.

– Et si, c'est vrai, c'est la vraie Natasha Poloni,

qui vous appelle.

– Oui.

– Et si.

Faut se méfier parce qu'il y a des fausses Natasha Poloni,

mais là c'est la vraie.

– Oui c'est ça.

– Elle était gagnée jeudi en plus.

– Vendredi.

– Et jeudi et vendredi.

Elle a été gagnée deux jours de suite la valise.

– Bon, mais je l'ai pas, du coup.

– Ah ben voilà.

– Il y a rien dedans, allez-y.

– Ah ben, c'est ballo, ballo, ballo, ballo.

– Il y a qui là aujourd'hui ?

– Ah ben, vous voulez...

Ça va, ce qu'il y a dans ma valise à moi alors.

– Non, merci Monsieur Hocké.

– Notre invité du jour, c'est Natasha Poloni,

Monsieur Ferrari, Mame Foli,

Monsieur Guillaume, Monsieur Jean-Phi Jansen,

Philippe Claudelle et Harry Allédonbal

sont avec nous aujourd'hui.

J'en ai un peu plus, je vous le mets quand même.

– Mais bon, à Lyon ?

– Eh ben, on n'est pas du tout à Lyon.

– Dans la creuse ?

– Ah, j'ai entendu Lyon.

– Dans la creuse.

– Oui, oui.

– Pardon, j'entends du Lyon.

– Lyon, c'est seulement à 3h.

C'est pas très loin.

– Lyon, c'était Monsieur Duplanil.

– Ah, celui qui n'a pas répondu.

Pardon, je suis désolée.

– Qu'est-ce qu'ils ont fait dans la creuse, Pierre ?

– Alors, ben, là, je vais déménager vers Toulouse.

– Ah, c'est pas mal.

– Assangez, une vraie progression sociale.

– Ah, oui.

– Mais la creuse, sinon, j'étais éducateur par la creuse.

– Ah, très bien, joli métier.

Je vais vous offrir, si vous le souhaitez,

le livre de Natacha Polonique,

Chronique du Rien n'est perdu.

Elle va vous le dédicacer.

– Bien sûr, avec plaisir.

– Ça vous fait plaisir.

– Oui, très bien.

– Et une montreur telle en prime.

– Monsieur Ferrari passe pas vers Toulouse.

– Si il passe vers Toulouse, c'est complet,

ou sinon, c'est payant ?

– Non, non, justement,

ça n'y avait pas pour votre spectacle.

C'est pour ça que je voulais.

– Bon, on va voir avec lui si on peut faire quelque chose.

– Il n'y a plus de date à Toulouse.

En vrai, il n'y a plus de date à Toulouse.

– Oui, par contre, vous parlez une fois encore

à mon producteur comme ça.

Je vais débarquer chez vous, ça va ?

– On vous envoie le livre de Natacha, la montre RTL.

Et je rappelle qu'il a 1.090 euros dans la valise.

Deux places pour le spectacle de Colline Céro,

Théâtre Michel, la belle histoire de Colline Céro.

Et Jarge Lang, ce week-end, avait rajouté

la réédition de l'album de Nirvana,

édition 30e anniversaire de luxe de Inutero.

Et Utero, mais je vais.

Bah oui, tiens, comme ça, ça va vous faire de la promo

pendant quelques jours, Natacha.

Tant que la valise ne sera pas gagnée,

on pourra dire, il y a aussi dans la valise RTL,

Chronique du Rien n'est perdu,

publié aux éditions de l'Observatoire.

– Bah ils n'avent plus quoi foutre dans la valise.

– Signé Natacha Poloni,

voilà pour le nouveau contenu de la valise.

Natacha, merci d'être venu.

– Merci beaucoup.

– À demain, 15h30 pour l'autre grosse tête.

Il laisse en compagnie de Julien Célier,

évidemment, de Marc-Antoine Lebré.

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Avec Arielle Dombasle, Jeanfi Janssens, GuiHome, Jérémy Ferrari, Philippe Claudel et Liane Foly.

Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.