Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du lundi 28 août 2023

RTL RTL 8/28/23 - Episode Page - 1h 53m - PDF Transcript

...

...

...

...

Les grosses têtes sont là pour vous.

A commencer par le retour d'une grosse tête

qui passe toujours ses vacances là où il n'y a pas un chat,

Philippe Genoutek.

...

Une grosse tête qui, à cause de son mari,

a passé toutes ses vacances en Ukraine.

Arielle Doisle.

...

Une grosse tête qui, contrairement à son compatriote Lionel Messi,

n'a pas quitté Paris pour Miami, Marseilla-Yacoupe.

...

Une grosse tête qui, reprise ou pas,

fait toujours sur Max, Max Moublil.

...

Une grosse tête qui, chaque été, nous prouve qu'il aiment autant

la petite reine que les grandes Franck Ferrand.

...

Toujours vivant, toujours debout.

...

Une grosse tête qui a passé son été sur la banquise

pour essayer de chondre lui aussi.

...

Gerard Armabie.

...

Toujours vivant, toujours debout, ça, c'est dur comme ça.

Oui, d'autant que vivant, oui, debout, non.

...

Celui qu'elle plus se fondue, c'est notre ami Boublib.

Il paraît que je fais un régime protéiné,

je fais beaucoup de sports, je prends soin de moi,

je fais beaucoup l'amour, puis voilà, c'est tout ce qu'il se passe.

Faites beaucoup l'amour, mais donc vous n'avez quitté votre femme.

...

Moi, je fais l'amour, mais je grossis.

Parce que je ne l'aspire pas, elle souffle.

Parce que tu fais l'amour avec des baignets, Bernard.

Il fait l'amour avec des poupées gonflables.

La dernière fois, il m'a mordu le coup, il est parti en l'air.

...

Et vous, Marcel Acaille, vous fais pendant vos vacances ?

Rien. Rien.

Rien du tout.

J'aime éviter.

Ah, vous avez...

Compris, il n'y a aucun éditeur qui veut le faire.

...

Tout le monde ne peut pas être chez Casterman.

Je lui ai appris une très bonne nouvelle, c'est quoi ?

Aujourd'hui, est arrivée de l'imprimerie.

L'album que vous allez recevoir bientôt.

Ça y est, encore une nouvelle album.

Le 24e, celui qui célèbre le cas en tant que chat.

Pourquoi tu fais toujours plus d'album ?

Parce qu'il a besoin d'argent.

Rien.

Rien.

Et voir rien, alors ?

Vous n'étiez pas en Ukraine, comme j'ai pu le dire ?

Non, je n'étais pas en Ukraine.

Et bien, j'étais dans la Belle-Afrique.

Tout à fait au bout, au bout, au bout, j'explique aux gens que...

C'est comme la Belle-Russe, mais c'est la Belle-Afrique.

Il y a un endroit qui est le bout de l'Afrique, qui est tangé.

Là où la mer Méditerranée rencontre l'Atlantique, l'endroit même.

Et ma maison se situe exactement à la jointure.

Et donc, voilà, alors, il y a toujours beaucoup de vent.

Ça s'appelle le Maroc aussi, pour les gueux.

Pour les plous qui n'ont pas le pied, le pied.

Elle a oublié le nom du pays.

Oh, bon, oh, bon, oh, bon !

Non, non, mais il y a beaucoup de panneaux quand ils arrivent là-bas.

Attention, tanché !

Mais j'ai fait quelque chose d'extraordinaire.

Vous avez fait l'amour avec BHL.

Ça, c'est d'extraordinaire, mais c'est quotidien.

Oh !

Mais non, mais je veux dire...

Il y a des baisers ici !

Non, mais j'ai fait quelque chose.

Et pour moi, ça a été vraiment une grande aventure.

J'ai bu du lait de chameau.

Et quoi, sur l'animal même ?

J'espère que vous avez vu un peu.

Et vous êtes sûrs que c'était une femelle ?

Vous êtes certaine ?

Non, mais il fallait...

Ça va, j'ai l'aime sucer ces bosses.

Et bien, justement, à propos de bosses,

j'ai dit que j'ai lu du lait de chameau,

mais un chameau.

Est-ce qu'il a une bosse ou deux bosses ?

Une bosse, deux.

Et bien, voilà, le chameau, il a deux bosses.

Parce que, chameau, c'est un moyen mnémotechnique.

Et alors, dromadaire, il a trois bosses.

Et donc, du lait de chameau...

Oui, j'espère.

Oui, mais non.

Justement, il n'avait qu'une bosse.

C'était un dromadaire.

Donc, c'est du lait dromadaire.

Peut-être que c'était un marocain.

C'était un bossu marocain.

C'était quasiment Hamed.

Non !

Je sens qu'il est temps de passer à une première citation.

Une citation en lien avec l'actualité du moment.

D'ailleurs, pour Mme Fleury, qui habite pontivie dans le Morbian.

On ne change pas les bonnes habitudes.

Elle a peut-être une chance de gagner 300 euros

si vous ne trouvez pas l'auteur de cette citation.

Qui a dit, le football est un jeu pour jeunes filles rugueuses

recommandées aux garçons délicats.

Vire des proches.

Mais effectivement, il y a un lien avec la Coupe du monde de foot féminine.

Ah ben oui.

Ah ben juste, c'est Mbappé.

Qui s'est terminé comme on le sait par un baiser interdit.

On y reviendra.

Mais là, c'est quelque chose de plus ancien.

Le football est un jeu pour...

C'est un chansonnier ?

Non, c'est un homme qui a dit ça.

Un dramaturge ?

Un dramaturge célèbre.

Personne décédé.

Un français ?

Oui, il est décédé à Paris en 1900.

Non, mais on joue en football depuis quand ?

Ah ben ça fait longtemps.

Non, je suis pas sûr.

Victoria Sardoux, c'est plus lui-même joueur.

On y jouait déjà à l'époque manifestement,

mais c'était les débuts du football.

Et attention, vous avez oublié de poser une question.

Il n'est pas français.

Il n'est pas français.

George Bernard Shaw.

Pas Bernard Shaw, l'autre.

Oscar Wilde.

Oscar Wilde avant de réponse.

Wow.

De France Ferrand, c'est bien Oscar Wilde.

On reparlera un peu plus tard, évidemment,

de ce baiser fougueux entre le président

de la fédération espagnole et Isabelle Alonzonan.

Et la joueuse de foot.

C'est vrai que ça avait l'air un peu forcé, quand même, cette histoire.

Avec le tabi Isabelle, il se serait pris en coup de genoux

dans l'air ouignol.

C'est sûr. Et elle aussi.

Mais en fait, il lui avait...

Je ne sais pas compris. Est-ce qu'il lui a mis la langue ou pas ?

Ça, on ne peut pas voir.

Ça, il faudrait une caméra interne.

C'est plus compliqué.

Une autre question pour Monsieur Landraux, qui habite Boudini.

C'est dans la meuse.

Qui a dit le premier, qui dit que j'ai mauvais caractère.

C'est Maman dans la gueule.

Je l'ai jeté.

Alors, des proches.

D'ailleurs, pardon.

Effectivement, j'ai dit dans la gueule, alors qu'à cette époque,

on ne disait pas forcément dans la gueule.

C'était Maman dans la figure.

Francis Blanche.

Francis Blanche, bonne réponse.

Et vous savez, Laurent, pourquoi je vais donner cette bonne réponse ?

Non.

Parce que cette citation est passée dans les best-ofs de cet été.

C'est bien possible.

Je vous signale que nous démarrons la dixième saison des grosses terres.

Mais ça vous promet aussi que je vous écoute...

Ma dixième saison, puisqu'il y a quand même eu les 37 ans de Philippe Bouvard.

Ah, il y a eu avant vous, les grosses terres.

Ça va lui faire plaisir.

C'est la 47e saison des grosses terres.

Vous avez 47 ans que je suis là.

Vous n'étiez pas là au tout début, Bernard.

Ne vous ventez pas non plus.

Prends-le clair, qui habite l'unel dans l'héro,

qui a dit, écoutez bien, la religion catholique

serait quand même plus attrayante

si la Vierge avait eu des quintuplets.

C'est Francis Blanche ?

Non.

C'est quelqu'un qui est mort il n'y a pas longtemps.

Il est mort en 2006.

Il n'est pas français, mais francophone.

Saint-Bernard.

Il n'était pas humoriste, c'était un artiste.

C'est vrai, vous avez raison.

Il était auteur, dramaturge, panflettaire.

Il a même été navigateur.

Nasigateur ?

Stenberg.

Comment vous dites ?

Jacques Stenberg.

Bonne réponse !

Bernard Maddi, bravo Bernard !

Une première question d'actualité pour Brian Matlan,

qui habite Paris 14e,

qu'elle célèbre Annaphore,

faite ses 60 ans aujourd'hui.

Ah, I Have A Dream !

Bonne réponse de Franck Ferrand !

Vous expliquez, Franck ?

C'était effectivement un 28 août,

le 28 août 1963 que Martin Luther King,

il est sur les marches du Lincoln Memorial,

et il a la suite d'une grande marche pour l'emploi et la liberté.

Il a cette fameuse Annaphore,

I Have A Dream, je fais un rêve,

pour célébrer le centenaire de l'abolition de l'esclavac.

Mais c'était les 62, non ?

Moi je connaissais Annaphore, mais la femme de Félix !

Mais pas le reste !

La femme de Félix Annaphore !

C'est ça que vous allez nous faire s'étaler, Bernard !

Absolument !

Je vais vous dire que dans la génie en le public, Bernard !

Et Félix, qui était le frère de Franck !

Franck Ford !

Non, mais ce que j'ignorais, moi, en tout cas,

c'est que c'était une Annaphore,

parce que je savais qu'il avait prononcé cette célèbre phrase,

I Have A Dream, mais je ne savais pas qu'il la répétait.

Moi président, disais François Hollande.

Oui, mais justement, c'est moi président, on s'en souvient,

et on sait que c'est une Annaphore, parce qu'il répète Hollande,

répète moi président tout le temps,

mais je ne savais pas qu'il disait I Have A Dream, I Have A Dream, I Have A Dream.

Ah, il dégueille en 4 minutes.

C'est comme une chanson, c'était un début.

C'est comme un rappeur, c'est comme un rappeur.

C'est comme un rappeur.

Oh, mamais, oh, mamais, mamais, blous.

Elle dit que ça pendant toute la chanson.

Et Bouba, il finit tous ses couplets parce que je te baisse.

C'est un peu le même genre d'Annaphore.

Il y a toujours, parce que l'Annaphore, il faut que ce soit en début de phrase,

et pas à la fin.

Ah oui, ah d'accord.

Mais ça, ce n'était pas la peine de le dire.

Non, c'est que tu m'énerves, t'amagases, t'aménerves,

et ça me meurt de moi, et j'ai envie de te taper.

I Have Dream était effectivement une Annaphore prononcée,

il y a 60 en pile, en 1963, 28 août,

comme vous venez de le rappeler, Frank Ferrand,

et c'était une excellente réponse.

Je vous emmène maintenant à la Côte Saint-André.

C'est dans l'Isère, la Côte Saint-André.

Là-bas, il y a un chef d'orchestre britannique,

qui s'appelle John Elliott Gardiner,

qui a frappé en coulisse un chanteur du spectacle Les Troyens,

qui avait lieu au festival.

Ça s'est passé là, il y a quelques jours, le 22 août.

Et pourtant, ce chef d'orchestre a déjà 80 printemps.

Oui, c'est un monsieur extraordinaire.

Ah, vous le connaissez ?

Oui, j'ai eu la chance d'assister à des concerts.

Oui, vous avez eu la chance de pas prendre une gifle, alors, parce que...

T'es pas au premier an.

Il a frappé un chanteur à qui il reprochait d'être sorti du mauvais côté de la scène.

Oui.

Bon, mais on va demander...

Mais c'était quoi, c'était pas une question, Laurent, qui...

Non, mais c'est une anecdote amusante, tout de même,

qu'un chef d'orchestre de 80 ballets frappe en coulisse un chanteur,

parce qu'il est sorti...

Il avait quel âge, chanteur ?

90 ?

Oui, pas fou, le gars !

Non, mais la question, elle est toute simple.

Ça se passait dans le festival à la Côte Saint-André.

Je vous demande de quel festival il s'agit.

Et évidemment, c'est un indice, puisque la Côte Saint-André est la ville natale

de celui qui a donné son nom à ce festival.

Début si, début si.

Bah voilà, le festival...

Il n'y a pas de la bouffe, Bernard !

Il est né à côté !

C'est le nom d'un compositeur ancien ?

Un compositeur ancien.

Français Berlioz.

Héctor Berlioz ! Bonne réponse !

Nous, qui avaient passé vos vacances au Japon...

Oui.

Une partie, j'ai passé 10 jours.

Vous confirmez bien que si, en Occident, le chef d'orchestre

dirigeait avec une baguette, là-bas, le chef dirigeait avec un couteau

une fourchette.

Évidemment, c'est ça, puisque les baguettes servent à...

À autre chose.

J'ai appris, alors je ne savais pas ça, parce que...

Quand je suis arrivé le 1er jour à Tokyo...

Vous avez encore des trucs à prendre.

Oui, Bernard.

Parce que les sushis, en fait, on ne les mange pas du tout.

Avec les baguettes, on les mange avec les doigts.

On les prend carrément avec les doigts.

Alors moi, connement, quand je me faisais livrer à la maison par sushi shop...

Des sushis dégueulasses !

J'étais là, essayer de les trapper, mais sushi avec des baguettes...

Mais pas une baguette dans chaque main, ça, ça ne marche pas.

Et là, tu t'aperçois là-bas que le sushi, tu prends...

Tu te prends avec tes doigts et tu le fous dans ta bouche.

C'est vraiment dégueulasse, c'est japonaisais.

Et avec les doigts, ça, à la plus simple.

Mais c'est comme les frites, en Belgique.

Pardon ?

C'est comme les frites en Belgique.

Ah oui ?

Bah oui, on les mange avec les doigts.

Ah bon ?

Pas avec des baguettes ou des trucs.

Il paraît qu'il y a une grande augmentation sur le prix des frites.

Genre, ça la touche.

Ça va affecter la budgétaire.

On sent qu'elle en a gros sur la patate.

Il est à combien le ticket de métro, en ce moment, à réel ?

Il est cher, hein, le ticket de métro.

C'est combien, aujourd'hui, un ticket de métro ?

Moi, je vais vous emmener.

Sans fou, elle achète la rame.

Allez, je vais vous emmener.

Bah tiens, ça tombe bien que vous parliez,

et que vous m'ayez emmené sur le terrain du Japon, monsieur...

Monsieur Gueluc, puisque le 15 août 1945,

une célèbre photo a été prise à Times Square,

une photo que peut-être vous connaissez,

une photo où on voit George Mendoza, qui est un marin américain,

et aussi une jeune femme dont on a cru d'ailleurs longtemps

qu'elle était infirmière, mais en fait, elle n'était qu'assistante dentaire,

qui s'appelait Greta Friedman.

Pour quelle raison repart le tour de cette photo, en ce moment,

une photo qui a été prise le 15 août 1945.

C'est toujours après la bombe de Hiroshima.

C'est le jour de la victoire, effectivement, des États-Unis.

Et quoi, il s'appelle pas Kenne et Barbide alors, non ?

Non.

Est-ce qu'il y a un lien avec Enola Gaye, avec l'avion qui a...

Non, il y a un lien, évidemment, avec la victoire américaine sur le Japon,

et cette photo est une photo restée célèbre,

dont on reparle particulièrement ces jours-ci,

pour une raison bien précise.

Il y a le drapeau ?

Non, non, non.

Ils sont nus ?

On appelle d'ailleurs...

Ah bah non, je peux pas vous donner le nom de la photo,

parce que ça vous donnerait la réponse,

mais ça se passe à Times Square.

Non, ils sont pas nus tous les deux.

C'est le baiser de la victoire, non ?

Alors, allez-y, franchement.

On les voit s'embrasser tous les deux sur une façade de Times Square.

Alors, effectivement, ils s'embrassent l'un et l'autre,

en plein Times Square pour fêter la victoire.

Ah, mais alors, elle est japonais et lui est américain.

Non, ils sont américains.

Ils refont le baiser de l'hôtel de ville de Douaneau.

Non, non, il y a une précision supplémentaire,

et là, vous devriez la trouver.

Ils chantent les secondes de la Venise.

Mais quel rapport, Bernard ?

Bah, c'est un duo célèbre aussi.

Ah, c'est l'Airingo.

Et quoi, il y a un rapport avec l'explosion de la bombe ?

Non, ça rappelle le baiser des joueuses de foot.

Alors, expliquez.

Bah, je ne sais pas, c'est ça.

Ah, bah, c'est un baiser qui a été contraint.

Voler, voler, baiser voler.

Un baiser voler, baiser voler.

Ce n'était pas un baiser consenti.

Bonne réponse de Franck Ferrand.

Je peux vous la montrer, cette photo, si vous ne la connaissez pas,

parce qu'en fait, elle va tout de suite vous dire quelque chose

où vous l'avez forcément déjà vu.

On voit ce marin embrasser cette infirmière.

Regardez.

Bah ouais.

Et...

Arielle montre au public une photo qui fait 2 cm².

Ah, mais oui, on la connaît.

En disant, regarde.

Oui, mais la photo cache quand même, Arielle.

Attends, je vais vous la remontrer de plus près.

Regardez, voilà.

Non, mais c'est vrai que si cette infirmière s'est vu contrainte

d'embrasser ce marin parce qu'il l'a un peu forcé,

on est exactement dans le cas de la joueuse de foot

avec le président de la Fédération Internationale.

Sauf si elle avait mauvaise haleine.

Et dans ce cas, c'est l'Américain qui...

Phylic Bouvard, en fait, d'ailleurs ajouté à cette époque Bernard,

il n'y a pas d'heures pour les baves.

Laurent, est-ce que...

On pense à cette bombe sur les roses ?

Ah, il était drôle, lui, alors.

Ah oui, on a gardé cette rubrique

qu'on pourrait appeler aussi le bureau des plaintes en quelque sorte.

Mais parfois, il y a des compliments, je vous rassure.

C'est le cas d'ailleurs du mail envoyé par Henri,

un Max Boubli, bonjour Henri.

Oui, bonjour Laurent, bonjour à tous.

Vous avez 19 ans et vous aimez bien Max Boubli.

Et vous vous appelez Henri ?

Exactement.

C'est un Max Boubli.

C'est un origine, ça existe aussi, oui, on est rare.

Mais vous l'aimez d'un quel sens, Henri ?

Je l'aime tellement que je n'ai pas pu empêcher d'écrire

quelques vers.

Dans l'éclat des rires sur l'onde des ondes,

Max Boubli s'élève tel un astre secou.

Les grosses têtes, en fait, son esprit en évidence.

Son humour, une danse, une douce effervescence.

Ces mots, Pépite d'Or, font briller l'émission.

Chaque punchline, un trésor, une belle création.

Dans ce théâtre radiophonique, il règne en maître,

avec verre des panaches, son humour nous pénètre.

Oh, c'est nous pénètre, nous pénètre.

Mais là, c'est les problèmes, c'est les problèmes.

Merci, monsieur Henri Boubli.

Max Boubli, je rayonne tel une comète brillante.

Henri Boubli, il faut que vous arrêtez maintenant.

Ah non, non, continuez, j'aime le comport qui m'aime pas, dis-le.

Oh, d'accord, c'est notre privilège.

A tout, c'est notre privilège unique.

Dans l'émission chère où l'humour est magique,

Max Boubli, tu rayonne tel une comète brillante.

Ton humour réchauffe nos âmes,

et c'est une joie constante.

Oh, c'est beau, merci, ça fait plaisir.

Et ça se termine par papa Sambal.

Non, presque, ça se termine par

est-ce que je peux avoir une place pour le spectacle de Max Boubli?

Avec plaisir.

Un roi, le 8 ou le 9 septembre.

Bien sûr, avec plaisir.

Mais ça vient avec tout, avec nous pénètre et tout ça.

Mais pour être parfait, la question aurait dû être,

et pourrais-je avoir une place pour le spectacle de Max Boubli?

Au mois d'avril.

Mais oui, ça arrive.

Merci beaucoup, Henry.

Je n'ai pas compris tous les mots.

Je ne pourrais pas être après si je veux, après le spectacle.

Mais bien sûr.

Tu peux recommencer, Henry.

De quoi?

On comprend tout.

J'ai au téléphone, maintenant, quelqu'un qui va s'adresser à M.Geluc.

C'est Lydiane.

Bonjour, Lydiane.

Bonjour, bonjour à tous.

Alors, j'ai fait exprès de ne pas donner votre nom de famille à Lydiane,

mais peut-être qu'on peut le donner, quand même, maintenant.

Vous vous appelez?

Le Chat.

Lydiane Le Chat.

Comme c'est mignon.

Mais alors, vous savez que vous aurez, quand il sera ouvert,

une entrée gratuite au Musée du Chat.

Parce que j'ai dit tous les...

Je ne sais pas encore si ça va être entrée gratuite ou une réduction.

On va voir si on a beaucoup, mais il y a des milliers de gens qui s'appellent Le Chat.

Eh bien, Mme Le Chat est amoureuse de votre chat.

Elle m'écrit pour me dire qu'elle a votre agenda, la bouteille de rosé,

les affiches de pub des assurances et méma.

Elle met des histoires du Chat dans ses toilettes.

Il en a fait du pognon, Gueluc.

Est-ce que le Le Chat machine...

Mais, mais, mais, c'est surtout le nom de votre mari.

Vous avez épousé un monsieur Le Chat à Lydiane.

C'est ça, c'est ça, tout à fait.

Quel était votre nom à vous?

Guarié.

Guarié.

C'est bien, c'est pas mal.

Le Chat, c'est beaucoup plus simple et beaucoup plus beau.

Ah ben oui, oui.

En tout cas, M. Gueluc, évidemment, se propose de vous offrir

le nouvel album du Chat qui paraîtra bientôt.

Allez, encore du pognon pour Gueluc.

On a compris.

Mais non, il était une langue de pute, toi, attends.

C'est un album qu'on va offrir à Mme Le Chat.

Tout ça pour acheter des appartements en Israël.

On vous connaît, monsieur Le Chat.

Alors, Mme Le Chat, bien sûr, je vais vous...

Vous me dites que c'est Liliane, hein?

Lydiane.

Lydiane.

Avec un D.

Eh bien, ça sera fait. Je vous ferai un dessin personnalisé.

Voilà, un dessin personnalisé que je pourrais mettre dans les toilettes

avec tout le reste.

Ah!

Barbara est aussi fan de Philippe Gueluc

qui fait son grand retour aujourd'hui.

Vous dites qu'il n'est pas venu assez la saison dernière.

Bonjour, Barbara.

Bonjour Laurent, bonjour tout le monde.

Vous dites qu'il est drôle, il est intelligent, il est cultivé.

C'est ma grosse tête préférée.

Il m'a pas trop cultivé, quand même.

Mais ta gueule, toi, pardon.

Et il m'a terriblement manqué la saison passée.

On n'écoute pas la même émission.

Oui, oui, oui, non, mais...

C'est un rayon de soleil, mais...

C'est le D.

Vous êtes gentil, mais vous m'avez manqué aussi.

Mais c'est vrai, je ne suis pas venu pour vous.

Mais quel faux cul!

Vous ne connaissez pas dans l'intimité, c'est quelqu'un d'execrable.

Il parle mal aux gens.

Mais non, mais attendez-moi, je viens pour une seule raison.

C'est pour faire plaisir au public.

Je sais pas, vous pensez bien que si c'est pour voir votre tête, je vais pas.

Je vais pas vous dire jamais ça.

Mais quel faux cul!

Magalie, maintenant, est au téléphone.

Et Magalie, elle, c'est le rire de Franck Ferrand, qu'elle aime.

Bonjour, Magalie.

Mais le rire n'est jamais Franck Ferrand.

L'homme qui ne rie jamais.

Bonjour à toutes.

Le rire de Franck est très reconnaissable dans l'émission.

Je suis d'accord avec vous, Magalie. Comment vous le califériez?

Trilumineux, très solaire.

Mais c'est gentil, ça, Magalie.

J'ai grandi avec les grosses têtes grâce à mes parents.

Je vous avais, Magalie.

Par contre?

Ah oui.

Je pensais que j'avais affaire à une petite jambe.

Mais que c'est...

En tout cas, vous êtes fan de monsieur Ferrand, vous aimez le rire de Rachelle Kahn

et aussi monsieur Tohaine, qui reviendra tout bientôt.

Je n'étais pas fan...

Vous appréciez pas du tout avant, ouais.

Je n'étais pas fan au départ de monsieur Tohaine.

Sa grande gueule m'énervait.

Mais j'avoue que maintenant, il me fait trop rire.

Par contre, je ne me suis pas encore fait à la voix de Marcela Yacou.

Je l'ai vu, ce n'est pas mon jeu.

Aucun poème pour moi.

C'est quelqu'un qui aime Franck Ferrand, Marcela, quel moteur.

Ah mais Max, je vous aime bien aussi.

Vous êtes adorabame aussi, je vous adore.

Je vous offre... Je vous affreçois, ce n'est même pas français.

Je vous affreçois de place pour moi aussi.

Même si vous êtes fan de là-bas.

Super, merci beaucoup.

Mais vous habitez où, vous, Magalie?

Moi, j'habite sur camp.

Je vous avoue de place sur camp aussi.

Ah ben, nickel.

Et je vous vends l'album de Goluc, mais un peu plus cher.

Et maintenant, c'est Isabelle.

Bonjour Isabelle.

Alors Isabelle, elle adore écouter les grosses têtes.

Mais elle est en colère, car l'application de musique est payante.

Je ne comprends pas ce que vous me dites, Isabelle.

Dans l'application de musique, les grosses têtes,

il faut s'abonner et c'est payant.

Alors que dans l'application RTL,

on peut écouter les grosses têtes en direct.

Il y a un peu de classe, gratuitement.

Mais sur l'application RTL...

C'est en fait, les personnes âgées, elles ont du mal avec tout ce qui est iPhone, tout ça.

Attends, je ne comprends pas.

Quel est le problème?

Si vous avez trouvé un endroit où vous pouvez nous écouter gratuitement.

Ce n'est pas très grave qu'il y ait un autre endroit où ce soit payant.

Mais aussi, parce que je ne peux plus m'endormir en riant.

Pourquoi?

Parce qu'il n'y a pas la touche sonnée sur l'application RTL.

Les grosses têtes.

C'est quoi, la touche sommeil?

C'est quand pas l'humilité.

C'est pour que ça n'aie pas toute la nuit.

La touche sommeil, c'est quand Franck Ferrand commence à parler.

Du coup, le soir, mais avec le podcast de Franck Ferrand,

on raconte que je m'endors.

Bravo, madame, c'est une bonne idée.

Je n'ai quand même pas compris ce qui était la touche sommeil.

Non, mais c'est pas grave.

La touche sommeil, c'est quand vous avez un radio réveil

qui se tente tout seul au bout d'une heure.

Oui.

Ah, oui.

Il faut peut-être le remonter avec la clé.

Oui, mais elle n'est pas dans l'application RTL.

On va en parler.

On va en parler à la dernière.

On va en parler sur les bonus tracks.

On lui envoie la hotline de Darty, peut-être tout simplement.

Monsieur de Tavernot va passer chez vous.

Une règle rassale lui-même.

...

Les grosses têtes avec Laurent Ruquier,

c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Arielle Dourbal, Marcela Yacoume, Max Boublul,

Philippe Gueluc.

Bonjour, Laurent.

Bonjour, Philippe.

Bernard Mabille et Franck Ferrand, c'est un signe oublié.

Je vous emmène au camping pour cette première question

de notre nouvelle heure entre 16h17h.

Une question pour Monsieur Dupois.

Charles Dupois, qui habite Gorges, en Loire-Atlantique.

Et ce camping dont je vais vous parler se trouve en Ardèche.

Gorges profondes.

Oui.

Oh, tu te calmes.

Dites donc, ça a été long d'été pour vous.

Et je vous emmène particulièrement à Vernous en Vivares, dans l'Ardèche.

Il y a un camping croix bleu, c'est le nom du camping.

Et ce camping, il y a une particularité

dont, peut-être, vous avez connu l'existence en lisant libération,

puisqu'il a eu ce matin les honneurs de Libé, ce camping.

Quelle est la particularité de ce camping croix bleu en Ardèche ?

On boit pas d'alcool.

Comment vous savez ça ?

Le croix bleu, c'est ça, en général.

Et oui, l'association Croix Bleu est une association suisse

qui aide les personnes dépendantes à s'abstenir de boire de l'alcool.

Bonne réponse !

De Bernard Mabille.

Il n'y a pas le petit pastis, en fait.

Et voilà, c'est un camping sans alcool.

Ce n'est pas comme le camping de Franck Dubosque, effectivement.

Pastifié plutôt croix rouge, lui.

Eh oui, pastis par temps bleu, pastis délicieux, vous souvenez.

Et c'est sans alcool, mais avec des drogues ?

C'est une bonne question, à la raison.

Non, non, non.

C'est dans le camping qu'il y a cette fameuse phrase.

Les pastis, c'est comme le nichon.

Un, ce n'est pas assez, trois, c'est trop.

Bon.

Mignon.

Eh oui, grand biologue.

Allons, de Fabio Autognomté.

C'est pas le cas, en tout cas, dans le camping de Croix Bleu de l'Ardèche,

qui est un camping, effectivement, sans alcool.

Pourquoi ? Je me suis permis aussi de faire allusion

à notre camarade Franck Dubosque.

C'est parce que ce matin, on apprend dans le journal L'Humanité

que Franck Dubosque, c'est le surnom que le JDD a bien voulu attribuer au patron.

Évidemment, non pas de l'humanité, mais du parti communiste.

M. Roussel, Fabien Roussel, dans le JDD hier, c'était écrit

qu'on le surnommait à L'Human, on le surnommait Franck Dubosque, Fabien Roussel.

C'est parce qu'il aime bien le barbecue, il aime bien boire un coup.

Il a même une petite ressemblance.

Il a une petite ressemblance physique, il est un peu...

Il a de la guaille.

Le string.

Le string.

Le string rouge.

C'est sympa, moi, je l'ai rencontré.

Et là, vous faites la pub du journal L'Humanité ?

Non, justement, du contraire de L'Humanité.

Justement.

Je vous parle des deux ici, on lit tous les journaux, Mme Yacou.

Non, on lit tous les journaux.

Et justement, dans L'Human, ce matin, la rédaction tient à faire savoir

que le JDD a menti que jamais à L'Human, on appelle Fabien Roussel,

du surnom de Franck Dubosque ou même de Sioti.

Le Sioti...

Ça, c'est moins mien, ça.

Le Sioti de la gauche est que, ben voilà, c'est pas vrai.

Il dit c'est pas vrai ce qu'a raconté le JDD.

Peut-être qu'ils n'assument pas donc plus à L'Human

et qu'ils le surnomment quand même vraiment comme ça.

C'est pas facile de dire oui, oui, c'est vrai.

On le surnomme Franck Dubosque.

Mais enfin, ça prouve qu'à L'Human, il lise le JDD.

Ouais.

Ils arrêtent.

Ça, c'est vrai.

Il y a quelque chose d'autre d'intéressant dans l'Humanité aujourd'hui,

c'est qu'on nous raconte la fois où Johnny à l'idée a fait la fête de l'Human.

C'est quand même un rendez-vous.

Puis concerné pas seulement les communistes,

on peut ne pas être communistes et aller à la fête de l'Human.

C'était d'ailleurs le cas de Johnny à l'idée qu'il n'était pas spécialiste.

C'était pas croix bleu, là.

Non, non, non.

C'était ni coco, ni croix bleu.

Johnny l'a fait à la fête de l'Human en 85, 1985, le 15 septembre.

Justement, le journaliste qui l'interrogeait à l'époque,

il disait, ben écoutez, c'est une belle fête.

Je vois pas pourquoi des chanteurs comme moi n'y participeraient pas

avant tout je chante pour des Français.

Et jusqu'à preuve, du contraire, ce sont des Français

qui viennent à la fête de l'Human.

Voilà, il avait bien raison.

Et Sardou, il l'a fête la fête de l'Human ?

Oui, ben croyez pas si bien dit.

C'est vrai, je pense qu'il l'a dû la faire aussi.

Oui, en duo avec Juliette Armanée.

Mais sauf que Johnny, il l'a fait la fête de l'Human en 85, la première fois.

Et il l'a fait aussi pour se rattraper

parce qu'il avait dû annuler la fête de l'Human en 1966.

Il était, cette année-là, annoncé comme tête d'affiche.

C'était l'idol déjà, évidemment, en 1966.

Et au dernier moment, il a dû annuler la fête de l'Human pour quelle raison ?

Parce qu'il faisait son service militaire.

Non, non, non.

A cause d'une attitude de l'Union soviétique ?

Non, non, mais calme.

Ah, hein ?

Pour la naissance, pour la naissance d'un enfant.

Non, non, pfff.

Pour leur mariage avec Sylvie ?

Mariage et mariage avec Sylvie ?

Non, non.

Il avait eu un accident des voitures.

Non, c'est une raison d'embre privée.

Une tourista.

Non, mais on se rapproche.

Il avait en tout cas annulé le concert à la fête de l'Human le matin même.

Il n'avait pas trouvé l'adresse.

Il avait eu un verre d'eau.

Parce qu'il avait été arrêté par la police.

C'est un lien avec Sylvie Vartan ?

Ah, il y a un lien, évidemment, avec son histoire d'abord, avec Sylvie, ça, c'est sûr.

Reptue.

Parce qu'elle a fait une fausse couche.

Reptue au moment tannée.

Non, non, non, non.

Elle était tombée de la Harley-Davidson.

Non, non, non.

Alors, nous confondez Sylvie et Brigitte Bardot, déjà ?

Non, non, mais il conduisait bien des Harley-Davidson.

Je sais, Sylvie Vartan a eu un accident de voiture.

Oui, mais ça n'a rien à voir avec ça.

Un problème.

Elle a eu un PV, un PV.

Non, non, non.

Il s'est fait enlever la bagnole.

Il s'est fait un engagement tous les deux.

Il s'est terminé un livre.

C'est plus grave que ça.

Ah, plus grave qu'un accident.

Deux oeufs dans la famille.

Le pital, le pital, l'impression d'herbeuse.

Alors, il était en dépression nerveuse.

Tentative de suicide.

Et, oui, il a tenté de se suicider le matin même.

Oh, là, là.

Tout ça pour la fête de l'humain ?

Tout ça pour ne pas aller à la fête de l'humain.

En proie à la dépression,

Johnny s'était enfui à Londres pour enregistrer Noir Cénoir.

En plus, il avait tenté de se suicider.

Mais c'était en lisant la deuxième phrase de la chanson.

Il n'y a plus d'espoir.

Non.

Il a tenté de se suicider au cutter à l'époque.

Oh, non.

Il a bu de l'eau de cologne.

Je me souviens bien de l'épuisote.

Ah, oui ?

Oui, c'était complètement bidon.

Ah, bon ?

Ah, c'était un coup de pub ?

Oui, c'était un coup de pub.

Vous savez que c'était bidon.

Parce que je m'intéressais à Johnny.

J'étais même au mariage.

Parce que c'est lui qui a fourni le bidon d'eau de cologne.

C'était un copain à Johnny, Bernard.

Tu sais, les mecs faisaient des malaises sur scène.

Pour se faire relancer un peu le spectacle.

Bah, il se suicide au moment où il enregistre Marseille Noire.

C'est quand même un gros comme...

Mais ça, ça donne de la pub ?

Voilà, c'est ici. C'était bien vu.

Ça faisait de la pub.

Vous n'étiez pas nés, vous le rendez.

Enfin, je veux dire, Philippe, la ville n'a pas chanté

et tape sur des bambous en plein de guerre du Vietnam.

Là, c'est encore OK.

Mais, mais, mais l'autre cologne, l'autre cologne.

C'est quel genre de marque ?

C'est les pauvres, ils prennent ça pour se parfumer.

Là, 4700 ans.

Alors là, on ne sait pas.

Brut de Fabergé.

Mais tu sais qu'il y a une arnaque,

parce que de l'autre cologne, ça peut être aussi de l'eau

que tu fais couler d'un robinet à colonne.

Et c'est de l'eau de colonne.

Et ça n'a aucune odeur, en fait.

Grégoris, c'est de l'autre de l'eau de colonne.

Bon, en tout cas, Johnny...

Johnny est quand même venu à l'humanité,

mais il a fallu attendre quasi 20 ans plus tard.

Il a fini torsennu sur scène en soeur,

en dame idioeuse.

Brut de Fabergé, d'autre cologne.

Et l'humain a titré,

et l'humain a titré Johnny et chez lui.

Voilà, à l'époque, pour Johnny à l'idée,

à la fête de l'humanité,

cette année, c'est Franck Dubost,

donc, qui en sera la podète.

Nous voilà partis pour Bois en Ardre,

dans le pas de Calais,

avec notre premier auditeur de la saison,

quel honneur, David, bonjour.

Bonjour Laurent, bonjour Grostet.

Vous avez 44 ans.

Qu'est-ce que vous avez fait pendant vos vacances, vous, David ?

Je suis allé me balader en Ardège, dans la drôme.

Il profite un petit peu de ma région,

où il faisait assez beau, moi d'outre.

Ah ben, je peux vous dire que Ariel, à la drôme, adhère.

Exactement.

Qu'est-ce que vous faites, ben ?

Dans la communication.

Dans la communication, un peu comme nous, finalement, David.

Voilà, mais en moins drôle, mieux.

Et en tout cas, vous allez écouter les infos

donnés par mes camarades Grostet.

Il y aura 5 infos...

Oui, 5 informations de fausse.

Et une seule vraie, c'est le principe d'effet.

Qui vous avoue de dénicher la vraie info parmi les 6 ?

On commence tout de suite par Philippe Geluc.

Gabriel Attal,

le nouveau ministre d'Education Nationale,

et beaucoup trop jeune,

il est allé visiter une école,

et on ne l'a pas laissé ressortir.

Bernard Mali.

C'était Emmanuel Macron qui a convaincu Elisabeth Borne

d'aller à Tourcoing au meeting de Gérald Darmanin.

Le président de la République aurait même confié,

au moins avec elle,

on est sûr qu'il ne l'embrassera pas sur la bouche.

Arielle Dombal.

Alors, Mediapart a fait une critique très juste

du dernier livre de Nicolas Sarkozy.

On le lit bien.

Marcela Yacoube.

Alors, élimination de l'équipe des France et Vazquet

dès les premiers tours de la Coupe du Monde.

A cause du mouvement Mitu,

les joueurs n'osent plus mettre la main au panier.

Franck Ferrand.

Alors, le guide du routard consacré au pays de la Loire

a illustré la une de son livre avec un magnifique château.

Le seul souci, c'est que ce château ne se situe pas du tout

dans le pays de Loire mais en Bretagne.

Et Max Boublil, pour terminer.

Éric Zemmour, victime d'un malaise en allumant sa télé.

Le leader du mouvement reconquête a eu la malchance

de tomber sur la finale de Drag Race France.

Où c'est un homosexuel noir déguisé en femme qui a gagné.

Alors, David, qui a dit la vérité ?

Tout de suite, qui a dit la vérité ?

Vous pouvez y aller par élimination.

C'est vrai que ça nous permet de revenir

sur quelques infos en même temps.

C'est aussi le principe des fake news, vous avez raison.

Bravo de vous rappeler, effectivement, des règles

de notre émission, David, que j'avais moi totalement oublié.

C'est bien grand pilier, vous vous écoutez tout l'été.

C'est bien, David, c'est bien.

Alors, donc vous éliminez d'abord.

Sur l'école, le nouveau ministre de l'Education sociale, c'est bon ?

Avec Monsieur Attal, qui...

Zemmour a eu une attaque aussi parce qu'il a cru que Gabriel Attal

voulait supprimer toutes les abeilles.

Mais non, c'est les abeilles qui veulent supprimer.

En suite.

Éric Zemmour, c'est également faux.

Voilà, même si c'était la finale de la drague,

et France.

Elle était géniale la finale de la drague.

Vous étiez candidate ?

J'aurais pu, j'aurais pu, pourquoi pas ?

Oh la violence.

J'aurais pu.

Ensuite.

Pour mon bon Bernard, Monsieur Darayman, c'est également faux.

Mais c'est vrai que Mme Borne est allée jusqu'à Turquois.

Absolument.

À Lille, Roubaix, Turquois.

Ça fait des bornes.

En 48 heures chrono.

On l'appelle la redoute depuis.

Marty, là, pour le nouvel moment, mytho,

et l'équipe de France de basket, c'est faux.

Même si c'est vrai que nos basketeurs français

ont perdu contre les lettons.

J'ai regardé la fin du match, cette série.

Ah, je regarde pas, moi, ça fait...

Ah, il y avait un suspense, incroyable.

Vous les regardez, vous, David ?

Non, je n'ai pas pu.

Des mecs de 2 mètres 30, c'est pas marrant.

Ils sont au-dessus du panier, ils sont plus haut que le panier.

Ah, mais le plus grand ne jouait pas avec l'équipe de France.

Il était parti aux États-Unis et pas revenu encore.

C'est comme si tu gagnais le TRC avec un cheval de 10 mètres de long.

Ensuite !

Ensuite, à Ielle, même si le genou a été très sympa, c'est faux.

Ah oui, on le lit bien, le livre de Sarkozy.

Non, on oublie.

Alors...

Ben, Franck, et le vide du retard, le château de l'Alberta.

C'est possible.

Je crois que vous avez raison, David.

Et alors, ce qui est incroyable, c'est que sur la couverture en question,

on a mis un somptueux château qu'est le château de Jocelyn,

qu'on adore, mais le problème, c'est que le château de Jocelyn,

qui appartient au Roan, se trouve dans le Morbillon, pas du tout en pays de Loire.

Bon, ils changeront pour la prochaine édition.

En fait, ils garderont la couvre, mais ils barrent au pays de Loire,

et ils mettent en Bretagne.

Vous allez vous, justement, partir dans un château, David.

Oh, ben oui, parce que je ne vous avais pas dit ce qui était en jeu,

et en jeu, c'est le château de Pisée.

Je ne fais pas gagner le château, mais je vous fais gagner un séjour au château de Pisée,

que M. Ferrand doit connaître tout aussi bien, j'imagine,

au cœur du Beaujolais, à 40 minutes de Lyon,

un hôtel quatre étoiles.

Il y a des plus beaux paysages de Français.

Ah oui, c'est le Brouilly, c'est le Morgan, c'est...

Ah, oui.

Ah, well pienspa, il y a...

Vous allez même avoir des cours d'onologie

qui vous seront offerts par l'air...

Donneau quoi ?

D'onologie.

D'onologie.

C'est comme pour le chapeau, le chapeau.

Le chameau, Ariel, c'est pareil.

En tout cas, vous aurez une suite duplex, David,

dans ce château de Pisée.

Vous connaissez cet endroit ?

Non, pas du tout.

Justement, vous l'ayez dans cette région.

Ah ben, parfait.

Le faux cul.

Effectivement, profitez du Beaujolais.

Allez voir sur le domaine du château, je parle du domaine d'Internet,

châteautirépisée.com

et vous en saurez plus sur votre séjour.

Bravo, en tout cas, vous êtes le premier gagnant de l'année.

Oh, grosses têtes !

Une question d'actualité pour monsieur Lecigne,

qui habite pour l'unette sous bois,

puisque vous avez vu, évidemment, qu'il y a eu un putsch au Niger.

D'ailleurs, il doit...

On peut avoir les jetons,

l'ambassadeur de France,

parce qu'ils lui ont demandé de partir dans les 48 heures.

C'est un ultimatum qui a terminé hier soir.

Et la France a dit, non, non, non, vous, restez.

Le pauvre...

Mais là, c'était tellement...

Vous êtes en train de bouffer ces ferrerons rochers.

Ah oui.

Le pauvre gars, il a rien demandé.

Mais c'est formidable.

La France dit, mais vous n'avez pas l'autorité

pour lui dire de partir.

C'est ça, oui.

Moi, si j'ai un petit conseil pour l'ambassadeur,

à lui donner, casse-toi vite.

Mais oui, bien sûr.

Mais oui.

Le pauvre, c'est trop dangereux.

Et c'est quoi la question ?

Bah, puisque vous avez suivi cette affaire,

c'est tout simple, évidemment.

Quelle est la capitale du Niger ?

Ah bah, Niamhe, Niamhe.

Niamhe, bonne réponse.

De Bernard Mabille.

Et puisque manifestement, vous êtes allés là-bas

à Niamhe, capitale du Niger,

Bernard, vous connaissez le nom du lycée français de Niamhe.

Chouette zaire.

Non.

Jules Ferry.

Non, parce qu'il y a un lycée français.

Evidemment, il devait y avoir peu de français aujourd'hui

puisqu'ils ont été...

C'est le nom d'un auteur ?

Alors, le nom d'un...

Oui, on peut le dire, d'un auteur français.

Un auteur français ?

Non.

Un auteur récent.

C'est pas Philippe Goluc ?

Récent, non.

Français, on a dit français.

Philippe Goluc, c'est au Congo belge.

Oui, bonheur.

Ok, ok, ok.

Un auteur français qui est mort un quel année ?

Oh, en tout cas, c'est pas récent.

C'est pas un auteur contemporain.

Balzac.

Non, pas Balzac.

Victor Hugo.

Avant.

Molière.

Avant Balzac.

Avant Balzac.

Monsieur Corneille.

Corneille, non.

Broussin.

Broussin.

La fontaine.

La fontaine.

Le lycée La fontaine de Niamhe.

Bonne réponse de monsieur Ferrand.

Et on reste dans la géopolitique, si vous voulez bien,

avec une question qui concerne cette fois.

Les BRICS, B-R-I-C,

puisque les BRICS vont passer de 5 à 11

à partir de janvier prochain.

Mais savez-vous ce que sont les BRICS ?

Oui, ce sont les États non alignés qui donc se réunissent autour du Brésil,

de la Fécu Sud, de la Chine, etc.

Alors justement, qu'est-ce que ça veut dire ?

BRICS, les cinq lettres en Brésil.

Brésil pour le premier, le deuxième c'est...

Romani.

Rajasthan.

Non, non, non.

Non, c'est des grands États.

Ce sont des pays émergents.

Le I, c'est Inde.

Inde, exact.

Le C, c'est Chili.

Le S, c'est Afrique du Sud.

South Africa.

Le C, c'est Chili.

Non, non.

Costa Rica.

Il n'était que cinq pour l'instant.

Caracas.

Enfin...

Cinq a formé les BRICS,

qui vont effectivement s'opposer.

Un peu, c'est une sorte d'anti-g7.

Oui, voilà.

Et les BRICS, c'est B-R-I-C-S.

Cinq pays représentés par ces initiales.

Dans Brésil, on a dit.

Brésil, vous avez dit.

Rodézy.

Non, le R est assez facile.

Le gars est dans les années 60.

La Russie.

La Russie.

Exactement.

Brésil, Russie, Inde.

Un Chine et Afrique du Sud.

Chine et Afrique du Sud, vous les avez les cinq.

Ce sont anti-g7.

Oui, absolument.

Mais pro-huber, non.

Bernard.

Mon bon vieux Bernard.

Tiens, j'ai une autre question pour vous, Bernard.

Il nous manquera Bernard.

Rien à voir.

Rien à voir.

Rien à voir.

Rien à voir.

Attends, ça me demande une explication.

Quand il sera mort ou quand il sera viré ?

Bernard.

Moi, vivant.

Il ne sera jamais viré.

Bernard, ma vie, il ne sera tout jusqu'au bout.

Bernard, c'est comme une espèce protégée.

Mais bien sûr.

Non, nuisible.

C'est comme un vieux canapé dans un salon.

Tu ne veux pas t'en débarrasser parce qu'il n'est plus à la mode.

Il est un moche.

C'est mon bon Bernard.

C'est comme un vieux canapé avec buffet campagnard.

Gratuit.

On ne fait pas, ça ne fait pas ça, tu vois.

Des enfants, ils disent, mais pourquoi il y a ce vieux canapé qui pue au lieu médecin ?

Parce qu'on l'aime bien.

Comme un grand cétacé qui restait linéaire, ancienne, tu vois.

Exactement.

Et bien moi, je dirais, comme on dit au Japon, un trésor vivant.

Exactement.

Oh, je me l'a fait, alors.

Je crois que je suis surement cool.

Tu sais la base, dans pas longtemps.

Dans le Figaro, aujourd'hui, on nous rappelle.

Dans le Figaro, aujourd'hui, on nous rappelle.

Ce sera une question.

Une question pour M. Drec, qui habite histre dans les Bouches du Rhône.

On nous rappelle comment on doit appeler une sage-femme, quand c'est un homme.

Connaissez-vous le terme qui doit être utilisé dans ces cas-là ?

Un homme stétricien ?

Non.

Un mailloticien.

Comment vous savez ça, vous ?

Parce que j'ai fait un programme pour Canal et il y avait un mailloticien dedans.

C'est comme ça que j'ai compris.

C'est votre réponse, Max Boubni.

Ah oui.

Un mailloticien, effectivement, c'est l'académie française qui a validé depuis...

Et ça vient de quoi, des maillots ?

La maillotique.

Depuis des années.

Non, pas de maillot, c'est pas maillotique, c'est l'arbre à coucher.

C'est pas maillot, c'est mailloticien, et c'est emprunté du grec maillotikos.

Parce que mailloticien, c'est celui qui fait la maillonnaise.

Mais pourquoi on ne dit pas mailloticienne pour les femmes ?

Parce qu'on dit sage-femme.

Sur le sujet, il y a eu un très bon film récemment.

Je vous le conseille, il est sur les plateformes sage-homme avec Karine Viard

et c'est Melvin Boomer qui joue un jeune mailloticien.

Pas que c'est super.

On peut employer le terme mailloticien, mais le titre du film, c'est sage-homme.

Parce que ce serait que mailloticien s'aurait attiré moins de monde de toute façon.

Mais c'était une excellente réponse de Max Boubni, bravo Max !

C'est plaisir.

Quelques questions historiques, quand même, pour que M. Ferrand puisse briller devant...

Où se ridiculez-vous ?

Notre public, nos auditeurs, la première question est assez simple.

Pour M. Moutot, de l'île d'Abraud dans l'Isère, par quel serpent, la reine cléopâtre, c'est un serpent...

Aspie ! Aspie !

Je suis de papy, calme-toi, on l'a entendu !

Non, le serpent a sonnette !

Non, non, Aspie !

Alors ne prononce pas le C qui est à la fin, un Aspie, ou Aspie, si vous prononcez le C, bonne réponse de M. Ferrand et de M. Bernard-Mabdi.

Et les gars, j'avais dit...

J'avais dit vipère avant que vous disiez Aspie, et l'Aspie, qui est une variété de vipères, je le garde précisément.

Mais j'ai pas besoin qu'on applaudisse, c'était juste...

Il est plus proche... Non, l'Aspie est plus proche du cobra ou du naja.

Alors est-ce que le cobra est un serpent à sonnette ?

Non, non, non.

Pourquoi est-ce qu'elle a choisi cette espèce de...

Parce que ça fait des plus jolis tableaux.

Parce que c'est comme vous, c'est une vipère dangereuse.

Elle aurait mis un bois dans la coupe de fruits, ça se serait vu, quand même.

Ça vient de basilique, Aspie.

Ah oui, c'est un serpent de basilique.

Non, parce que c'est né de la comparaison de la gelée avec le serpent, en termes de couleur, d'aspect et de contact froid, vous voyez.

Et le Dyson, c'est un aspirateur.

Je sais pas si on attend vraiment qu'il meurt avant le...

Tu sais qu'en Belgique, on pratique l'autanasie, si tu as besoin, soit le bienvenue.

Moi, je suis prêt à mettre une cañote litchie.

Je peux obtenir un billet sur ta liste à un moindre court.

Pour Monique Levesque.

Si on faisait une cañote litchie pour la mise à mort de Bernard.

Pour Mme Levesque, qui habite Perpignan dans les Pyrenees Orientales.

Et une question qui concerne un académicien français.

Un académicien français victime d'un canular en 1933.

Parce qu'en effet, cet académicien français s'est rendu à Moscou cette année-là.

Et on a fait croire qu'il a été nommé colonel dans l'armée soviétique, au point même que l'ambassade du RSS a tenu à démentir,

évidemment, cette information en précisant que c'était impossible,

puisque une telle distinction n'existe pas, le grade de colonel n'existe pas dans l'armée.

Est-ce que ce serait par hasard André Gide ?

Non, pas du tout.

Vous avez des manquettes ?

C'est un communiste ?

Non.

C'est un gros con quand même.

Non, pas du tout.

Et attention, quand il a, je dois dire, fait ce voyage à Moscou, il n'était pas encore...

Je vous aide un peu parce que...

Académicien ?

Voilà, il a été élu académicien.

Ah, Joseph Kessel ?

Alors, il était dramaturge ?

Il n'était pas dramaturge.

Il était romancié ?

Non plus.

Poète, non plus.

Ah, il était militaire ?

Militaire, non.

Il était ecclésiastique ?

Non plus.

Journaliste ?

Scientifique, non.

Ah, qu'est-ce qu'il veut dire ?

Il n'était pas maçon.

Il savait lire et écrire.

Vous dites, c'est de l'académie française.

Académie française des beaux-ins ?

Il n'était pas artiste.

À l'académie, il n'y a pas que des artistes.

Ah, il était sportif, il était sportif ?

Sportif, non.

Un homme politique.

Un homme politique.

Ah, c'est phélix sport.

Openheimer.

Jusqu'un.

Non.

Ah, c'était Édouard Hériot ?

Édouard Hériot.

Oh !

La réponse de Franck Ferrand.

Enfin Franck Ferrand.

Édouard Hériot, qui fut président de l'Assemblée nationale.

Émer de Lyon.

Émer de Lyon, évidemment.

Édouard Hériot, c'est lui qui s'est rendu à Moscou en 33.

Et on s'était moqués de lui en faisant croire qu'il était devenu colonel

alors que ce grade n'existait pas dans l'armée soviétique.

Pour Alexandre Lac, qui habite Bordeaux,

pouvez-vous me dire maintenant pourquoi M.Momo Rho

est passé à la postérité dans l'histoire française ?

Alors il s'appelle Momo, c'est son prénom ? C'est Rho ?

Non.

Il s'appelle Antoine François-Momo Rho.

Né à Besançon, mort en 1794.

Ah, il était député à la convention ?

Il a d'ailleurs été guillotiné, hein, pour tout.

Oui, c'est ça.

Est-ce qu'il est connu à cause d'une invention ?

Ah, oui, il a inventé quelque chose.

La pomme de terre.

Mais attention.

Vaccent.

Ça s'invente pas à la pomme de terre.

Le sandwich.

Un vaccin.

Non, il n'a pas inventé quelque chose de concrète.

Il a créé un terme.

Non, mais il avait un métier, évidemment, particulier.

Il était un racheur dedans.

Non, non, non.

Antoine François-Momo Rho.

Momo Rho, vous l'écrivez comment ?

Emo Emo Héro ?

Emo Emo Héro, oui.

Momo Rho.

Il a inventé une pratique, quoi.

Ah, il a inventé.

Et là, je suis très surpris que M. Ferrand n'ait pas retenu son nom.

Ah, l'histoire.

C'est une pratique qu'on utilise tous les jours,

qu'on pratique tout le monde.

Le vélo, le vélo.

Non, non, il n'a pas inventé le vélo.

Il a inventé quelque chose, je vous l'ai dit, qui n'est pas tout à fait.

Par exemple, le référendum.

Non, qui n'est pas...

Une danse, une danse.

La soca danse.

Non, non, non.

Est-ce que c'est un lien avec la politique ?

Ah, c'est un lien avec la politique.

Est-ce que c'est un lien avec la révolution française ?

Absolument.

Ah, il était député à la convention.

Pardon.

Il était député à la convention.

Non, il n'était pas député.

Chanson.

Il a inventé comme un signe.

Qu'est-ce qu'il était, alors ?

La cocarde. Il a inventé la cocarde.

Pas la cocarde.

Le bonnet frigien, le bonnet frigien.

Le drapeau.

Le bleu-blanc-rouge.

Mieux que ça, mieux que ça.

Mieux que bleu-blanc-rouge.

Le jaune-verre.

La baillonnette.

Il a fait la devise de la République.

Liberté, égalité, fraternité.

Non.

C'est force de France fermée.

On l'avait.

On l'avait.

On l'avait.

Et c'est Momoro.

C'est Momoro.

Monsieur Momoro.

Et maintenant, vous pourrez dire liberté, égalité, fraternité,

comme disait Momoro.

Mais voilà.

Il était imprimeur.

Tout simplement, Antoine François Momoro.

Imprimeur, libraire, homme politique,

révolutionnaire français.

Et c'est lui, évidemment, quand on lui a demandé

d'inscrire des affiches

sur les édifices publics,

c'est lui qui a fait imprimer cette devise,

ce slogan qu'il aurait lui-même trouvé,

en lui en attribuant, en tout cas, la paternité.

C'est le Jacques Cégélat de l'époque.

Voilà. La devise de la République française, quand même.

Il aurait pu trouver défense urine.

Mais qu'il ne change pas un peu sur les mairies.

Pour Laurence Percemon qui habite Vilaire-Paul,

c'est dans l'honneur.

Je vais vous demander quelle célébrité a dit

le jour de sa mort.

C'est ce qu'on appelle les fameux mots de la fin.

Alors, est-ce qu'ils sont, évidemment, réels ?

Est-ce que ces mots ont été réellement prononcés ?

On ne sait pas.

Il n'est pas là pour nous le dire.

De le savoir, d'autant que, là, c'est quand même en 1757...

C'est une vieille célébrité.

...que cette célébrité a prononcé en mourant.

Il est temps que je m'en aille.

Je commençais à voir les choses telles qu'elles sont.

C'est beau. C'est beau.

C'est bascal. C'est fontenel.

C'est fontenel.

C'est fontenel. Bonne réponse.

57.

Le type de Franck Ferrand.

Écrivain, scientifique français.

Fontenel.

Fontenel. Il est mort, il avait 100 ans.

C'est pour dire que la phrase me semble un peu longue.

Et que Bernard Marme a resté encore longtemps dans le studio.

Pour un centenaire, pensez qu'il a vraiment eu le temps de dire

il est temps que je m'en aille.

Mais c'est très beau que je commence à voir les choses comme elles sont.

Il est temps que je m'en aille.

Je commençais à voir les choses telles qu'elles sont.

Mais il avait été préparé à 90 ans.

On espère mourir.

Bernard Camal retenu la phrase quand il va mourir, il va dire.

Il est temps que je m'en aille.

Je commençais plus à voir les choses telles qu'elles sont.

C'est vraiment le diner de con.

En tout cas, c'est encore une excellente.

C'est une excellente réponse de Monsieur Ferrand.

Bravo, Franck.

RPL, le livre du jour.

Le livre du jour s'appelle un homme de parole.

C'est d'ailleurs un parolier qui écrit cette autobiographie qui se raconte.

Il s'appelle Dorian.

C'est publié aux éditions Léochère.

C'est un livre que je vous recommande.

D'abord, c'est très bien écrit.

On va l'avoir au téléphone dans un instant.

Heureusement.

Dorian, non seulement c'est très bien écrit,

mais c'est bourré d'anecdotes succulentes.

Et Dorian, pour vous dire un peu qui est ce parolier,

si vous ne le connaissez pas.

C'est quelqu'un qui a travaillé pour Lio, pour Alain Bachoum,

pour Mika, pour Michel Polnareff, pour Camélia Jordana.

Un de ces tubes, ce n'est pas forcément sa plus grande fierté.

Il nous le dira peut-être.

Mais c'est peut-être le tube qui lui a rapporté le plus d'argent.

Si il relit Pimpon sur le Chihuahua.

Non, c'est lui qui en a écrit les paroles.

C'était pour le fameux groupe L5.

Ah oui, toutes les femmes de la vie.

Des pop stars.

Voilà, de toutes les femmes de ta vie.

Magnifique et énorme tube.

Et Dorian nous raconte justement

que parmi ceux pour qui il a travaillé,

il y a ce chanteur de la famille Pennyman.

Chanteur, d'ailleurs, dont je viens déjà de donner le nom,

je me suis un peu vendu.

Mais qui, évidemment, a pour nom Pennyman,

qui est la famille Pennyman ?

Vous l'avez dit.

C'est les Jackson ?

Les Jackson ?

C'est pas Mika ?

C'est le chanteur Mika, dans le vrai nom.

Et Pennyman, à bonne réponse.

Alors là, tu me bluffses,

parce que comment as-tu trouvé le nom

qu'il avait dit juste avant ?

C'est parce que je voulais gagner du temps

pour avoir Dorian en téléphone.

Bonjour.

Bonjour.

Dorian et non pas Dorian.

Ca vous le racontait bien.

Votre première télé, c'est chez Jacques Martin.

Votre attaché de presse, dit bien Jacques Martin.

Surtout, c'est Dorian et pas Dorian.

Et évidemment, Jacques Martin vous présente.

Mesdames et messieurs, voici Dorian.

Et pendant, il vous le racontait, pendant la chanson,

l'attaché de presse, retourne voir Jacques Martin.

Il dit, c'est pas Dorian, c'est Dorian.

Et à la fin, il continue.

Dorian.

Il dit Dorian quand vous voulez.

Vous venez quand vous voulez.

Moi, je vais vous expliquer

quelle différence entre Dorian et Dorian ?

Alors là, vous pouvez répondre vous-même, Dorian.

Je pourrais vous appeler Laurent,

parce que c'est votre vrai prénom, en fait.

Non, non, c'est Dorian.

Dorian ?

Mais Dorian, c'est Dorian Gray, Oscar Wilde.

C'est pas mal, non ?

Oui, alors je lisais effectivement,

à l'époque, quand j'avais 15 ans,

que j'ai choisi mon pseudo, c'est vraiment l'erreur d'adolescence,

on va dire, mais je lisais effectivement

le portrait de Dorian Gray.

Mais on a rajouté un D à la fin de mon nom,

pour justement ne pas se prononcent Dorian.

Donc ça s'écrit Dorian avec un D à la fin,

comme Bernard ou Bertrand.

Voilà, voilà.

Mais c'est plus joli, Bernard.

Jacques Martin, il n'y a vu que du feu.

La famille Pennyman, effectivement,

c'est la famille de Micac, vous racontez très généreux,

d'ailleurs, Micac, tel que vous nous le décrivez.

Je ne sais pas, d'ailleurs, si vous avez travaillé

sur son futur album, il paraît que ce sera entièrement en français,

c'est vrai ?

Oui, oui, on a travaillé ensemble sur cet album.

Il y a un titre qui sort vendredi prochain, un premier titre.

Mais c'est vous, par exemple, qui avait écrit, pour lui,

cette chanson, Elle me dit.

Elle est détrônée le soleil de David,

tu fais la porte croix,

on dirait que t'aimes ça.

Pourquoi tu gâches ta vie ?

Pourquoi tu gâches ta vie ?

Pourquoi tu gâches ta vie ?

Dans, dans, dans, elle me dit,

dans, pourquoi tu gâches ta vie ?

Pourquoi tu gâches ta vie ?

Ça, c'est un énorme tube que vous avez effectivement écrit,

mais j'ai cité tout à l'heure celui des L5,

toutes les femmes de ta vie.

C'est celui qui vous a rapporté le plus de droits d'auteurs,

de droits de paroliers, j'imagine, Dorian.

Eh ben non.

Parce qu'en fait, la chanson,

toutes les femmes de ta vie, elle a été composée

par un compositeur américain qui avait écrit

Like Virgin pour Madonna.

Et dans ces cas-là, ça devient une adaptation.

Et les adaptations sont beaucoup moins bien rémunérées

en droits d'auteurs que la part auteur classique

qu'on peut avoir en France, etc.

Donc c'est pas forcément le tube qui m'a rapporté

le plus de droits, forcément, mais, mais en tout cas,

ça m'a donné une belle exposition,

même si à l'époque, j'étais vraiment un peu spéciféré,

parce que quand j'ai fait cette chanson,

j'en ai fait plusieurs sur l'album,

la téléralité, c'était vraiment diabolique.

Personne ne voulait s'y coller.

Les artistes même, j'avais même des artistes

qui refusaient que leur paient un verre en boîte

parce qu'ils disaient que c'était de l'argent sale.

J'avais vraiment vécu un sentiment d'essuie les plattres,

parce que l'année d'après, tout le monde voulait le faire.

Popstar, effectivement, était mal vu par ceux

qui pouvaient vous entourer à l'époque,

pas forcément les plus connus,

mais c'est vrai que vous étiez plutôt dans la mouvance liaude,

on va dire Etienne Dao.

Evidemment, qui vous a quasi fait démarrer,

on peut dire, puisque c'est grâce à...

Vous m'a donné des ailes.

Voilà, grâce à un coup de fil sur votre répondeur,

à l'époque, il y avait encore des répondeurs,

grâce à un coup de fil sur votre répondeur

que vous avez décidé de monter à Paris en quelque sorte,

on peut dire ça.

C'est ça, j'avais 20 ans, j'avais auto-produit mon premier CD,

et je l'avais envoyé aux artistes que j'aimais bien,

à Dao, à Lio, à Négarage, en fort, plein de gens.

Et puis un jour, c'était un dimanche midi,

on était avec mes parents, mon frère,

on allait manger le roti du dimanche.

Et j'interroge mon répondeur à distance,

et j'entends une voix,

et je reconnais tout de suite celle d'Etienne Dao,

qui dit, bonjour, j'ai reçu un disque,

j'ai trouvé ça vachement bien, bravo, bon courage, ciao.

Et là, je suis fou, j'ai l'impression que je suis passé à côté

d'y manquer l'appel, donc il n'y avait pas de numéros

pour le rappeler, donc j'étais complètement bouleversé par ça.

Et je suis rentré aussitôt chez moi pour être près du message

au cas où il rappelle, donc pendant 8 jours,

j'ai pas dû me laver parce que j'avais peur d'aller prendre une bouche

au cas où ça se fasse.

Et finalement, il n'a jamais rappelé,

mais même après, je suis parti à Paris

avec des amis pour la première fois,

je n'avais jamais mis les pieds à Paris.

On avait vaguement entendu parler des folies pigales,

donc on dit, tiens, allons aux folies pigales.

On est arrivés là-bas, on était vraiment,

les provinciaux qui déboulaient à la capitale,

on était y appillés comme des sapins de Noël,

on plinotait de partout, et on est arrivés au bar,

et en commandant mon verre, je me retourne,

et je suis tombé sur Etienne Dao.

C'est formidable, bourré d'anecdotes incroyable,

surtout, vous allez travailler avec les plus grands,

et Paul Nareff est à mourir de rire dans votre livre.

C'est très drôle.

Je me disais, et je me dis ça de vous d'ailleurs aussi,

parce que vous êtes très drôle quand vous racontez tout ça,

que vous ferez une grosse tête incroyable,

monsieur Dorian, parce que vous racontez tout ça de façon très amusante.

Par exemple, Lio, à m'en donner, c'est assez fou,

parce qu'on lui propose à Lio de faire le spectacle

Holiday on Ice,

et une des chansons que vous écrivez pour elle,

qui est prévue pour ce spectacle de Holiday on Ice avec Lio,

et votre chanson est refusée,

et ça, c'est la phrase la plus drôle pour moi du livre.

On vous dit, désolé, mais cette chanson n'est pas du tout patinable.

C'était merveilleux, parce qu'on avait fait un album pour Lio,

très intime, très mélancolique, très proche d'elle,

et il se dit qu'il allait être planté,

parce qu'elle avait décidé de faire Holiday on Ice en même moment.

Donc, il y avait vraiment quelque chose qui ne collait pas au niveau de l'image

entre se mettre sur... d'autant plus qu'elle ne savait pas patiner.

C'est formidable.

Il avait dit, mais tu sais patiner ?

Non, pas du tout, il faut que j'apprenne, et puis on me portait.

Donc, je le disais.

Mais c'est vrai que ce sont des phrases qu'on n'imagine pas entendre un jour

dans sa vie, votre chanson n'est pas patinable.

Exactement, ça fait que tu es assez absurde et merveilleux.

Et vous avez rencontré Ariel Dombal aussi.

C'est sur une émission de télé, vous nous le racontez, Ariel...

Et est-ce que Ariel est patinable ?

Non, mais elle a écouté votre chanson,

parce que vous êtes chanteur, vous n'êtes pas seulement paroliers.

Vous avez fait combien ? 4 albums, c'est ça, Dorion ?

5.

5 au total.

Et même cette chanson, Je Me Détacherai, elle a entendu

et elle vous a dit, vos paroles sont tellement tendres et sexies.

Vous avez dû beaucoup aimer votre maman, non ?

Vous savez de ça, Ariel ?

Elle a dit la même chose au chameau au Marocain.

J'étais pour une émission chez Drucker, je me souviens,

et Ariel a entendu les répétitions.

Et je me suis retrouvé ensuite en coulisse avec François Zardis,

Sylvie Vartan et Ariel, qui étaient toutes les trois à une table.

C'est là qu'Ariel m'a sorti ça, et ça a fait exploser Dorien François Zardis,

parce qu'elle en connaît un rayon sur le côté fusionnel.

Merci, je pense.

Et donc voilà, j'ai trouvé la phrase très drôle.

En tout cas, de juxtaposer que j'étais extrêmement sexy dans les paroles,

mais ça m'a mort.

Alors, il y a l'histoire de la piscine aussi de Michel Polnareff.

Ça, c'est génial, c'est un anecdote.

Je ne vais pas tout raconter, parce qu'il faut laisser à nos auditeurs,

évidemment, le soin de lire ce livre.

Un homme de parole signé d'Orient aux Éditions Léochères,

mais je donne encore ce passage.

Et il a une piscine, évidemment, là-bas, en Californie, Michel Polnareff.

Et je vous lui demandais, vous ne baignez pas, Michel ?

Il répond, je ne sais pas nager.

Enfin, elle fait un mètre vingt de profondeur.

Justement, je ne vais pas en plus me noyer là où j'ai pied.

Mais c'est tout le sens de Polnareff.

Moi, je ne connais plus Michel que Polnareff.

Finalement, l'homme public, je ne le connais pas.

Je connais vraiment Michel avec qui j'ai passé 80 jours,

presque en toutes et pour tous, pour travailler, pour écrire des chansons vécues.

Sinon, c'était impossible de le faire autrement

qu'en rentrant dans sa vie, en tout cas, dans l'intimité de l'écriture,

en fait, avec lui, pour co-écrire.

Et c'est vrai que j'ai vécu des moments totalement absurds.

C'est quelqu'un d'extrêmement drôle, très vif,

qui a un sens de la répartie incroyable.

Les passages sur Polnareff sont absolument étonnants à mourir de rire.

C'est la dernière partie du livre.

Et vraiment, je conseille ces moments-là.

Vous avez travaillé sur le dernier album,

dernier album de Polnareff,

et aussi, vous avez écrit cette chanson pour Camélia Jordana.

Non, non, non, non.

Je ne veux pas prendre l'air.

Non, non, non, non.

Je ne veux pas boire verre.

Non, non, non, non.

Je ne veux pas l'oublier.

Et on a pas de chance parce qu'elle a été un énorme tube,

mais elle a boudé cette chanson, Camélia.

C'est bien ça ?

Mais vous savez, on boudait toujours ces chansons un peu tubes.

Je crois même que François Zardy a m'envoyé

à un verral bold de tous les garçons et les filles.

Il y a quelque chose comme ça qui fait que quand on démarre

avec une chanson, on a l'impression que c'est l'arbre qui cache la forêt,

que les gens ne découvrent pas le reste de votre disque,

parce que, justement, la chanson prend trop de place.

Et je peux tout à fait le comprendre.

Mais c'est vrai qu'à ma place de parolier,

c'était hyper frustrant, parce que quand elle faisait des concerts,

elle avait tendance à soit ne pas faire la chanson carrément,

alors que les gens venaient aussi un peu pour cette chanson,

puisqu'elle a démarré, c'était son premier album.

Ou alors, elle faisait un couple et un refrain à Capella

entre deux chansons, si vous voulez.

Vous avez raison, mais peut-être votre erreur, ça a été de l'appeler

« non, non, non, non », vous aurez appelé « oui, oui, oui ».

Elle aurait peut-être été d'accord, on ne sait pas.

Un homme de paroles s'est signé d'Orient.

C'est drôle, passionnant et mouvant aussi les débuts.

Quand vous croisez maître Capello, ça m'a rappelé quelque chose.

Quoi, il a chanté ?

Non, chez ce point commun avec vous, c'est que la première personnalité

que j'ai vu, vous avez toujours impressionné quand on voit

une personnalité, la première personnalité qu'on voit,

moi aussi, c'est Maître Capello, une première que j'ai vu.

Il était en train de bouffer comme un chancre à la Rochelle.

Moi, j'ai eu ça avec Bernard Maby.

Il est...

J'étais enfant, j'étais enfant, j'ai vu un terrain,

s'il en voulait.

Et vous aussi, il y avait plein d'autres trucs très drôles

que vous racontez, très émouvant aussi.

Ça s'appelle un homme de paroles, s'est signé d'Orient.

Et c'était le livre du jour.

C'est en vain d'Orient !

Aux éditions Léochères.

Une question pour Camille Dilly, qui habitant

Freuville à Mivouin, Sainte-Marie-Thème.

C'est joli là-bas.

Monsieur Guennuc, comment ça, c'est joli là-bas ?

Non, mais c'est pas, mais Freuville...

En Freuville ?

Pourquoi vous dites Monsieur Guennuc comme ça ?

En me regardant, c'est parce que je me faisais la réflexion.

On n'a encore accordé aucun chèque de 300 euros aujourd'hui.

Et je vais vous dire, le fait que vous nous donniez les réponses

en savoir l'émission, ça va bien gagner.

Ça va bien gagner des soins à la station.

C'est une très bonne nouvelle.

Ne croyez pas à un mot de ce que dit Monsieur Guennuc.

Mais j'imagine que vous trouverez la réponse à cette question.

Attendez, je consulte le petit papier que vous m'avez déjà dit.

Je compte surtout sur Monsieur Ferrand,

évidemment, puisqu'il s'agit d'histoires.

Encore ?

D'histoires contemporaines.

Peut-être vous avez profité de l'été pour aller voir ce film.

Paraît-il très réussi ?

Ah, je l'ai vu, je l'ai vu, je l'ai vu, je l'ai vu.

Vous avez aimé, alors ?

Alors il paraît qu'il y a une grave erreur dans ce film.

Vous l'avez vu, Monsieur Ferrand ?

Ah non, je l'ai pas vu.

Ah ah ah, Franc Péran.

Le petit malin.

C'est un tweet-os, comme on dit, on ne doit plus que dire tweet-os.

On doit dire X maintenant, alors que l'on dit un X-os.

Un X-os ? Un fan-zouze ?

Qui s'appelle André Loès, qui a repéré que dans le film Open I'm Or,

il y avait une bourde dans le script de Nolan.

C'est le nom du...

Christopher.

C'est le nom du réalisateur.

Il ne pouvait pas apparaître, c'est ça l'idée ?

Non, non, à un moment donné, on entend la fameuse phrase,

la propriété, c'est le vol.

Et elle est attribuée à Karl Marx.

Karl Marx ?

C'est Proudon.

Staline, Staline, alors que c'est Barbie.

C'est Proudon.

Pardon ?

Non, Staline.

Proudon, Proudon, Proudon.

On dit Proudon, mais c'est une bonne réponse de Maxela Yacou.

Alors Laurence, je sais pas, moi, je n'ai pas vu le film,

mais je ne sais pas si vous connaissez, et peut-être que M. Ferrand le connaît,

Totsumo Yamaguchi.

On ne connaît pas tous les coups d'or.

Totsumo Yamaguchi est un...

Je vais croiser au chapeau.

Non, non, il est mort maintenant, mais il était à Hiroshima au moment où la bombe est tombée.

Ah, bien sûr, oui, oui.

Et il a survécu.

Il a fui, il est allé retrouver ses cousins pour trouver refuge chez eux.

Et où habitait-il les cousins ?

Anagazaki.

Et il a reçu la deuxième bombe sur la gueule.

Et il a survécu.

Mais ce n'est pas tout.

Le seul être humain recense-t-il à avoir survécu à deux bombes atomiques,

et il est mort dans le début des années 2000 à l'âge de 95 ans.

Il a bien vécu.

Totsumo Yamaguchi, vous pouvez verrez.

J'ai raconté son histoire à la radio.

C'est vrai ?

Ah, t'as vu comme il y a une guerre entre les deux, j'adore.

Ah non, mais c'est vrai.

T'as vu la concurrence, les deux, l'histoire.

Il a fait horreur de l'homme lettre au champ.

Non, parce que c'est moi qui soufflais Proudon à Marseilla.

Alors on dit Proudon et pas Proudon.

Ah, mais là, je suis...

C'est ça, la rue Proudon, dans le 17e ?

Pierre-Joseph Proudon, un anarchiste, philosophe français,

et c'est à lui qu'on doit cette phrase, la propriété...

En plus, l'étonnémie, les marques, en plus.

La propriété, c'est le vol.

Effectivement, dans le film, il y a une petite erreur.

On attribue la phrase à Carle Marseillais.

Je vais pas aller voir ce film, s'il y a des erreurs.

On a bien noté, j'imagine, cette erreur.

Moi, ça m'avait... J'ai failli sortir de la salle, à ce moment-là.

J'ai, oh non, quelle erreur en grossière.

C'est comme dans Barbie, il y a des erreurs dans Barbie.

Oui, oui, il y a des erreurs dans Barbie.

Mais évidemment, pas une référence à clause.

Je suis sûr qu'Ariel va aller voir Barbie.

Bah oui.

Elle la voit tous les matins dans le miroir.

J'ai même une chanson qui s'appelle Barbie Iconic.

Ça faisait comment, ça faisait comment ?

Voilà, il y avait...

Ça me ferme en paranoïque.

Non, mais la BBC m'a appelée, justement, en disant,

oh, you are the French Barbie, we heard.

What do you think of the movie, etc.

Tout ça est complètement faux, la BBC n'existe plus depuis...

Et non, non, c'est totalement vrai.

Mais à l'époque, oui.

Il y avait fait une bonne blague ce jour-là.

Non, non, non, mais c'est vrai que...

C'est vrai qu'on ressemble à Barbie.

Oui.

Et moi, Ken.

Il y a toutes sortes de Barbies.

J'ai vu, c'était formidable.

Maintenant, il y a des Barbies handicapées, des Barbies trans, des Barbies...

Non, mais...

Des Barbies turiques.

Non, mais c'est vrai qu'il y a un an, quand t'es sorti Barbie Iconic,

je disais que c'était la première poupée féministe.

Et c'est la vérité, et que toutes les petites filles...

Quoi, féministe ?

C'est féministe, parce que ce n'est pas un poupon

avec une seule robe.

La poupée Barbie, on peut se projeter dans le futur.

On peut être médecin astronaute.

C'est le complètement le contraint.

Non, non.

Mais quand c'est une petite bouillote, c'est compliqué de te projeter.

Non, parce qu'il y a des Barbies un peu grosses et tout.

Non, mais c'est pas simple, mais on peut être avocat.

Il y a Bernard Barbies avec une perruque qui fait de Barbies en ce moment.

On l'a appelé Bernard Barbies, maintenant, mais...

Vous savez qu'il n'y aura jamais des...

Bernard, il y a longtemps qu'il n'a pas vu sa poupée Barbies.

Mais vous savez qu'il n'y aura jamais des...

Non, parce qu'avec le plastique, on ne peut plus produire autrement le plastique.

La poupée Barbies, Sandrine Rousseau, je vous la conseille.

Elle parle pas.

Et qu'elle s'est construite à côté ?

Non, tu n'as pas ça, mais tu peux avoir...

La poupée Barbies a été déclinée, c'était le seul.

Oui, mais il a toujours fait côté...

...femmes-objets qui...

Elle apprend la vie avec Barbies, elle a acheté Barbies au monoprix.

Vous savez pas ce que c'était.

Non, moi j'ai adoré ma Barbies dès l'enfance.

Et j'ai pu me projeter dans le futur,

et elle m'a beaucoup aidé à imaginer qu'une femme pouvait tout faire et tous les métiers.

Oui, mais tu veux pas dire que tu sois féministe, toi ?

Moi, pareil, quand je jouais aux Barbies, elle m'a beaucoup aidé.

Les grosses têtes de Laurent Ruchier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Bernard Ruchier, pique-up...

Bonjour Laurent Ruchier...

...Ariane Thomas et Marcela Yacoub...

...marche-boublie-les-conferant !

Dans un instant, dans un instant, on va avoir un téléphone, qu'est-ce qui se passe ?

Mais c'est pas ça, un truc dégueulasse.

Marcela, elle te demandait très gentiment comme ça.

Bernard, est-ce que tu as une poupée gonflable ?

Je lui dis, mais c'est dégueulasse pour Bernard, il peut avoir des femmes normales.

Mais il dit qu'il n'a pas une femme, il l'a...

Il n'a pas de poupée gonflable, mais pour l'instant, il a une poupée gonflante et c'est dans l'émission.

On va avoir au téléphone, disait, dans un instant, un Français qui s'appelle Stéphane Mifsud,

qui a d'ailleurs un record, et j'aimerais que vous retrouviez avant qu'on parle avec lui,

de quel record il s'agit.

C'est un record que lui détient à l'horizontale,

alors que d'habitude, on connaît plutôt ça à la verticale.

De quoi s'agit-il ?

C'est sportif ?

C'est sportif, c'est du vélo, c'est du vélo.

C'est probablement l'anage, parce que ça ne peut se faire qu'à l'horizontale.

Vous êtes tout près de la bonne réponse, en fait.

Ah, parce que c'est le plongeon, il marche sur le plongeon.

Alors le plongeon, non ?

Ah, est-ce que ce ne serait pas le surf ?

Non, mais non.

Ah, bah si, le surf, non.

La pnée.

La pnée, bonne !

La réponse de Bernard Mabille.

Bonjour Stéphane Mifsud.

Oui, la pnée, on connaît généralement tous ces plongeurs

qui restent un temps record sous l'eau,

mais en descendant très bas, de manière verticale.

Or, vous, vous détonnez le record pour la France

de la pnée horizontale.

Bonjour.

Mais c'est facile, c'est juste faire la planche, et on respire par le nez.

Avec évidemment le nez sous l'eau, Stéphane Mifsud.

Autrement, ce ne serait pas de la pnée.

Effectivement.

Bonjour à tous.

Bonjour.

La pnée statique.

On dirait qu'il est sous l'eau.

La pnée dans sa baignoire, ou à la piscine, ou à la mer,

et puis effectivement, je détiens le record mondial.

C'est plus de 11 minutes, c'est ça ?

Non !

Ah oui, on a déjà visé l'eau de la baignoire, il n'y a plus d'eau.

Alors ?

11 minutes 35.

11 minutes 35.

Dans la baignoire.

Sans mourir, hein.

Et vous jurez que ce n'est pas sous la douche.

Mais ça veut dire que c'est 11 minutes 35,

mais vous nagez pendant ce temps-là ?

Ah bah non !

En fait, on peut nager, on peut bouger,

mais le record du monde pour qu'il soit validé,

il faut qu'on ait les voies aériennes immergées.

Quel est le record quand c'est la pnée, justement, verticale,

et qu'on descend, et qu'il y a les paliers,

et qu'on décompression ?

C'est moins, alors.

On reste combien de temps ?

Effectivement, dès qu'on passe à la verticale,

et j'ai été aussi pratiquant en verticale,

on produit de l'énergie avec ses muscles,

donc on somme de l'oxygène.

Les grosses apnées en verticale dépassent rarement les 4 minutes.

Je ne visualise pas tout à fait le sport,

mais est-ce qu'on peut dire que vous faites la planche à l'envers ?

C'est ça.

C'est un peu ça, hein.

Imaginez un macabé qui flotte dans une piscine,

c'est très esthétique, mais ça ressemble à ça.

Et en tout cas, ce week-end, on du rat,

ça s'est terminé hier, je crois,

c'était bien les champions du monde d'apnée en eau libre,

on est d'accord ?

Oui, effectivement.

Et des records ont été battus ?

Vous y étiez ?

Il y a les Français qui se démarquent,

qui sont très très forts, en verticalité, en profondeur,

et il y avait une trentaine de nations qui...

Vous avez commencé à quel âge, monsieur ?

Oh, c'est l'apnée juvénile.

Si en plus vous bouffez mes cheveux...

Je vous ai vu venir, mais...

Je vous ai vu venir gros comme un maby !

En tout cas, bravo,

parce que même si c'est à l'horizontale,

il fallait quand même rester plus de 11 minutes...

Monsieur, monsieur, je peux poser une question ?

Non, j'ai lu que les yogis, qui respirent très peu...

Par la nuit.

Alors, leur cœur ne bat que très lentement.

Votre cœur bat très lentement.

Oui, cette particularité, effectivement,

c'est que pendant le record, je suis resté à 7 minutes

en-dessous de 20 pulsations.

Oui, mais vous et que quand Ariel Dombal vous parle,

vous passez à 32 pulsations.

En tout cas, Ariel a des questions pertinentes.

Ah, d'avouer !

Stéphane...

C'est pour démarquer des autres questions.

Ah, vous aimez beaucoup Ariel ?

Oui, je l'aime beaucoup parce qu'elle est très pointue à chaque fois

dans ses remarques alors que ça fait rigoler un peu tout le monde,

mais elle est présente.

Dites-moi, comment est-ce qu'on peut différencier un type

qui bat votre record de plusieurs minutes

d'un type qui s'est simplement noyé ?

Qu'on peut attendre, qu'on peut attendre.

Vous voyez ?

Vous voyez, il vous aide moins, Philippe.

Ce n'est pas les questions d'Ariel.

Allez, on peut encore appeler Stéphane Mifsut.

C'est notre record marge du français d'apnée horizontale.

Une question littéraire pour Mme La Maison, qui habite remise sur scène,

littéraire et d'actualité,

puisqu'on a appris la disparition d'une femme de lettre

qui s'appelait Diane de Margerie.

Il y a toute sa bio, sa nécrologie est dans le Figaro aujourd'hui,

signé Thierry Clermont.

Et je peux même vous donner le titre d'un de ces livres les plus célèbres

à Mme de Margerie, qui est parti à l'âge de 95 ans.

Oui, il est trop tôt.

Un de ces livres s'appelait La femme en pierre.

C'est un livre qui date de 1989.

1989 ?

Exactement.

Arrêtez de répéter tout ce que je dis, monsieur Goluc.

Mais justement, à quoi était consacré ce livre La femme en pierre ?

A une sculpture.

Non.

C'était La femme d'Adam Politic.

Non, c'était une femme qui avait une maladie, elle avait les os sans pierre.

Non, non, non.

C'était la pierre-ponsse, la pierre-ponsse.

Elle avait épousé un type qui s'appelait Pierre.

Non, non, non.

C'était La femme de la Bible qui s'est renformée en pierre ?

Non, non. Je t'ai publié chez Gallimard, elle est pop.

C'est une femme qui bougeait de marbre.

La femme en pierre, qu'est-ce que c'était ? C'est en tout cas...

Ça s'est vendu, et c'est un personnage célèbre ?

Ah non, non, non, non.

C'est un objet, ce n'est pas une femme.

Ce n'est pas une femme.

Ah, c'est une pierre, c'est une pierre qui se prend pour une femme.

Non, c'est une sculpture.

Sculpture, j'ai déjà répondu,

non, même si j'ai hésité à dire non,

mais on ne peut pas dire que ce soit une sculpture.

Est-ce que c'est un élément géologique ?

Non plus.

Non, non, non.

On peut grimper.

Ce serait un dolmène ou un truc comme ça ?

Non.

On peut grimper dessus ?

Ah, ça, oui, monsieur.

Est-ce que ça parle d'une maison ?

Ah, une maison.

Ou un building.

Une grotte ?

Une grotte, non, un building, ce n'est pas le mot, mais on se rapproche.

Ah, c'est d'une météorite.

C'est l'histoire d'un immeuble à New York, un immeuble qui est vieux.

Non, la femme en pierre n'est pas un immeuble à New York,

mais là, on commence à se rapprocher.

Est-ce que c'est une pyramide ?

Non.

Ah, c'est notre dame de Paris ?

Non, mais on se rapproche.

Ah, je suis fort.

C'est une église, donc.

Qu'est-ce que c'est ?

C'est notre âme de Vesley.

Non, non, non, non.

C'est mon maman.

C'est mon maman.

C'est la cathédrale de Chartres.

La cathédrale de Chartres.

Bonne réponse !

Bien sûr.

Non, Philippe Gueluc.

Pas du tout.

C'est beaucoup pédé, hein.

Eh oui, la femme en pierre,

c'est la cathédrale de Chartres cardiennes de Margerie,

habitait Chartres à cette époque,

et c'est un des livres les plus célèbres

de cette femme de lettre qui vient de nous quitter.

La fameuse cathédrale où on enterrait les rois,

tout ça, les rois de Chartres.

Non, pas du tout.

Pas du tout, exactement.

C'est ça de nits, ça.

C'est ça de nits.

De nits de Chartres.

De nits de la réunion.

Voilà.

J'ai des questions sportives, si vous voulez, un peu, parce que...

Oui, Bernard, c'est ton moment.

Ouais.

Et après, en plus, il est content,

parce que double bon moment, après, on va manger.

Ouais !

Alors, le célèbre combat de Sumo,

il vient de se dérouler au Japon.

Non, on a été très culturels jusque-là,

et je vais vous demander de trouver

quelques noms de sportifs français.

Donc, normalement, ça devrait être assez simple.

Vous voulez dire médaillé au récent championnat d'athlétisme ?

Non, mais par exemple, aujourd'hui,

démarre le dernier grand chêlem de Ténis,

l'US Open.

C'est le premier tour qui démarre aujourd'hui.

Chêlem ou chêlem ?

Chêlem, si vous préférez.

Ah, chêlem, c'est autre chose.

Et tout simplement, j'aimerais vous rappeler,

ou plutôt que vous me rappeliez,

qui est le numéro 1 du Ténis français, actuellement ?

C'est le numéro 287 mondial, Richard Gasker.

Eh ben non, eh ben non, c'est la cause...

Ah, moi, je sais, c'est Yannick Noa.

Non, enfin, enfin...

Oh, écoute, t'arrêtes, quand même.

Rappelez-nous la playlist !

T'es pas Yannick, s'appelait, la playlist.

C'est pas Richard Gasker ?

Non, il est 23e mondial, c'est pas si mal.

C'est le mec qui fait de la pub pour les bonbons, là.

Non, le premier mondial, c'est Djokovic.

Non, mais il a faim, vous mettre à la page,

parce que quand même, du temps a passé depuis Yannick Noa,

et même, depuis Will Fritz Sanga, qui ne joue plus au Ténis.

Un père, père, père.

Ah, ben non, un père, non.

Je sais.

John M. Kenrow.

Oh !

Mais il a joué y a longtemps.

Mais bien sûr, je vais le faire un truc à l'art, et elle...

Je sais, je sais.

Rostropovic.

Il avait été 22e, il y a à peu près 8 ans,

et là, il est 23e.

C'est Gasker ?

Donc c'est un retour, c'est pas Gasker.

Non, mais c'est pas mon fils, c'est pas Sanga.

Non, mais c'est pas le plus connu, mais quand même,

ce serait important de savoir quel est le numéro un du Ténis français.

Laurent, laissez-on leur monter dans le classement,

et vous reposera la question dans quelques jours.

Ah, je sais.

Oh, la la.

Serena Gomez.

Allez.

En plus, c'est une chanteuse.

C'est une femme, en tout cas.

C'est une femme, y a rien qui va.

C'est pas la coste.

Elle est pas vivante.

C'est une femme.

C'est pas la coste.

Non.

Pierre-Bélie.

Pierre-Bélie Chou aurait été là,

et il nous aurait dit bon retrait, ou la coste.

Mais non, justement, essayons d'être un peu moderne,

et contemporain, vous me citez des noms de Ténismen

qui ne jouent plus pour la plupart,

ou qui vraiment continuent à jouer, mais péniblement.

Là, je vous parle de Ténismen d'aujourd'hui.

Henri Le Comte.

Henri Le Comte.

Parce qu'il a été blessé.

Comme j'aime, Henri Le Comte.

Non, non, là, c'est terrible.

Si c'est mes jeux.

Allez, allez, allez.

On va donner 300 euros.

Mais les gens, comme Gasker.

Et peut-être même 400 ne souffraient pas dans le public.

Parce que les gens savent.

Les gens le connaissent.

Comment ça, les gens le connaissent ?

Si il y a des mains dans la rue, si il n'a pas sa raquette,

on dit, ah, c'est le Ténisme.

Il est moins connu que les autres.

Mais pourtant, il est le numéro un.

Ça donne une idée des autres.

Du Ténisme français, voilà.

Laurent, vous savez, 17 fois que vous dites

il est numéro un du Ténisme français,

ça ne nous aide pas.

Non, c'est pas si vous l'avez perçu.

Est-ce qu'il a...

Alors, je vais le dire autrement.

Il est 24e mondial.

Il est fan troisième du Ténisme mondial.

Est-ce qu'il a un travail à côté ?

Je veux dire, un truc qui fera en double.

Je dois vous avouer que vous mariez...

Franchement, je...

Vous le connaissiez pas, ça, c'est honnête.

Je le connaissais.

J'avais déjà vu et lu son nom.

Mais vous mariez demander

qui est le numéro un du Ténisme français.

J'aurais jamais misé sur lui, vous voyez.

Eh bien, Laurent, on vous le demande.

Oh merde !

Vous voyez, c'est une bonne question, tout de même.

Allez, c'est parti.

Mon patron, vous avez de ces questions.

Bah non, mais c'est que c'est pas rien,

le numéro un du Ténisme français.

Mais non, c'est pas rien.

De pas connaître son nom.

Mais non, c'est honteux.

Mais dans le public, il y a des mains qui se lèvent.

Attendez, attendez.

En attendant, quoi, que le groupe final

donnez-nous le nom dans des médaillés.

Il y en a un qui lève la main là-bas.

Il y en a un là-bas qui lève la main depuis une heure.

Je sais pas s'il est nazi ou s'il a la réponse,

mais il n'a pas...

La France a eu une médaille au championnat d'athlétisme.

C'est vrai.

Mais moi, je peux vous donner le nom de tous les médaillés belges.

Ah oui, alors...

Ah ouais, vas-y.

Il n'y a pas une médaille, cette fois-ci.

Votre gongman peut faire...

Oui, on va aller voir le monsieur.

Après, on réchauffe la souffrance.

Il y a un monsieur qui va gagner 500 balles.

Vous avez raison, 300 euros en attendant, effectivement, déjà.

C'est pas mal.

300 euros pour notre auditeur.

Excusez-moi, Laurent.

Juste une précieve, encore.

On entend...

C'est chaque fois quelqu'un qui joue du xylophone.

Bien sûr.

Et peut-être 100 euros de plus dans la salle, monsieur Boublilu.

Allez, je vais.

Elle voulait bien y aller.

J'ai le rôle de Stéphane Platza, je suis ému.

Bonjour, monsieur. Comment vous appelez-vous ?

Jean-Louis.

Jean-Louis, c'est pas grave.

Quelle est votre profession ?

Je suis retraité.

Retraité, d'accord.

Et Jean-Louis, quelle est la réponse ?

Adrienne Manarino.

Adrienne Manarino est le numéro 1 du tennis français.

Bravo, monsieur, du gagner 100 euros.

Bravo, monsieur !

On n'a jamais entendu parler.

Une profession culturelle, si vous le voulez bien,

une huche qui habite clairement, puisque je vois bien que le sport,

c'est pas tout à fait votre affaire.

Vous connaissez sûrement mieux l'inventaire à la prévère.

On utilise d'ailleurs encore aujourd'hui souvent cette expression,

quand quelqu'un donne dans un désordre indescriptible

une liste de choses, d'objets ou autres d'ailleurs.

Mais justement, ma question est toute bête.

Par quoi commence le vrai inventaire de Jacques Prévert ?

Jean-Lémane.

Jean-Lémane.

Pardon. Le raton-lavor.

Le raton-lavor, il revient régulièrement dans le poème.

Je peux vous dire que ça commence donc par quelque chose d'enjouement de retrouver.

Le nom qui se mange.

Ensuite, c'est deux pierres, trois fleurs, un oiseau, 22 fossoyeurs,

un amour, le raton-lavor, une madame intèle, un citron,

un pain, un grand rayon de soleil, une lame de fond,

un pantalon, une porte avec son paillasson,

un monsieur décoré de la Légion d'honneur.

Le raton-lavor, il revient plusieurs fois.

Le raton-lavor, un sculpteur qui sculpte des napoléons,

la fleur qu'on appelle souci.

Deux amoureux sur un grand lit, un carnaval de Nice,

une chaise, trois d'un don, un ecclésiastique,

un furoncle, une guêpe, un rin flottant, une douzaine d'huiles.

Je ne vais pas vous donner tout l'inventaire.

C'est évidemment amusant, cet inventaire à la Prévert.

Mais moi, je vous demande pourquoi il commence.

Alors, est-ce que ce ne serait pas par le mot

le cantin par appui rencontre une machine à coudre ?

Rien à voir.

C'est un objet créé par l'homme ou naturel ?

Ce n'est pas tout à fait un objet, mais c'est créé par l'homme, oui.

C'est une idée ?

Ce n'est pas amable, ce n'est pas un objet.

Ce n'est pas une chanson.

Ce n'est pas une chanson.

Ça ne se mange pas, mais c'est un rapport avec l'alimentation.

Oui.

Un mac-do.

Un mac-do, non.

À l'époque, il n'y avait pas de mac-do, mais on se rapproche.

Un burger.

Un sandwich.

Une tartine.

Un burger king, le mec a rien compris.

Non, mais on se rapproche.

Un jambon burger.

Un hot dog.

Je vous dis, ça ne se mange pas.

C'est le lieu.

C'est le lieu.

Un restaurant.

Un bar.

Un PMU.

Une brasserie.

Une brasserie, non.

Une boulangerie.

Une boulangerie, non.

C'est un endroit public.

Un endroit public.

On peut acheter de l'alimentation.

Oui, absolument.

Une épicerie.

Une épicerie, non.

Une poissonnerie.

Ah non, ce n'est pas...

Ce n'est pas un nom propre.

Une buvette.

Vous l'avez dit quoi ?

Une poissonnerie, une boucherie, une charcuterie.

Une boucherie, une charcuterie.

Une tri prie.

Une tri prie.

La réponse de Bernard Maville.

Ah ben oui.

La réponse, un chanson avec Moulujji.

Une tri prie.

De Pierre Troifleur.

Un oiseau.

22 frosquilleurs.

Un amour.

Le raton.

L'aveur.

Une madame.

Un citron.

Un grand rillon.

De soleil.

Une lame de fond.

Un pantalon.

On ne va pas aller au bout,

mais voilà Moulujji qui chante l'inventaire.

À la preuve, qu'est-ce que vous dites ?

C'est presque du rap.

Ah, c'est presque du rap.

Vous avez raison.

Est-ce que ils auraient pu mettre

une plus jolie musique, non ?

Ah oui, c'est gentil pour celui

ou celle qui a fait la musique.

Qui vient de mourir ce matin, justement.

Sa famille écoutait l'émission,

attend d'un hommage.

Mais vous imaginez la quantité de tripes

contenues dans Bernard par rapport à celle

que contient Arielle ?

Que par rapport à celle que contient Arielle ?

Ah ben Bernard, c'est le groupe à bas,

lui tout seul.

Oh.

Oh.

J'alternes entre la culture et le sport,

puisque je reviens au sport avec une mauvaise nouvelle,

la défaite de nos basketeurs,

et évidemment contre les tons,

on en a parlé tout à l'heure.

Et il y a une raison particulière,

et évidemment, plusieurs raisons, on imagine,

mais une précisément, d'ailleurs, qui a été évoquée

par le capitaine au débelot Nicolas Batum

à la fin du match,

il a dit qu'il y avait un joueur qui leur manquait.

C'était pas normal qu'il ne joue pas

dans l'équipe de France de basket.

Alors, il n'a pas donné son nom,

mais moi, je peux vous le donner.

C'est Thomas Hortel.

Et pour quelle raison ne jouait-il pas

avec l'équipe de France de basket ?

Parce qu'il n'avait pas pensé...

Il a violé une jouesse.

Non, il jouait ailleurs.

Il jouait ailleurs.

C'est-à-dire qu'on a essayé de jouer à ailleurs.

Dans une autre équipe, il était pris ailleurs.

Non, il n'était pas pris ailleurs.

Il n'avait pas la nationalité française.

Il n'est pas rentré de vacances.

Non, non plus.

Ah, il était chez Darmanin.

Non.

Thomas Hortel aurait très bien pu jouer

avec l'équipe de France.

Il était coincé dans le PGB.

Non, tu te souhaites avec l'équipe d'ailleurs.

Non, non, non.

Il n'avait pas sa licence.

Et en tout cas, Nicolas Batum est steam,

qu'il a manqué au club.

Et Nicolas Batum en veut beaucoup

à la fédération de basket.

Parce qu'il a été empêché,

parce qu'il a fait une faute, alors.

Une faute, c'est pas le mot.

Ah, il n'a pas rempli, genre,

son truc d'abonnement à la fédée.

Non, non plus.

Il n'a pas mis sa photo d'identité dessus.

Il s'est gouré de salle.

Mais c'est vrai que c'est la fédération française de basket,

qui a décidé que le joueur ne jouerait pas...

C'est une sanction.

Il n'a pas déclaré ses impôts.

Il avait bu, peut-être.

Il a eu quelques sortes une sanction.

C'est par rapport à un comportement qu'il a eu.

Comportement, c'est pas le mot.

Administratif.

Administratif, non plus.

Il était dans la salle, quand même.

Ah non, c'était décidé depuis le début des championnats,

qu'il ne serait pas dans l'équipe.

Mais en tout cas...

Il est trop grand pour la fédée.

Ah non, il a manqué manifestement aux autres joueurs.

C'est un meneur de jeu qui joue très, très bien.

D'ailleurs, il avait remporté une médaille de bronze

lors de la Coupe du Monde.

C'était pas touché, il n'arrivait pas d'oucher.

Ils ont dit non, il faut se doucher.

Je vous dis qu'il n'était pas là de toute façon d'elle départ.

C'est parce qu'il n'avait pas l'esprit de l'équipe.

Non, non, non.

Il voulait venir avec une batte de baseball,

et on lui a dit...

Une femme a porté plein de contrôles lui.

Non, non, non.

Mais au panier, mais au panier.

Est-ce qu'il a fait une erreur comportamentale ?

C'est ça, voilà.

Une erreur de comportement.

Je vous ai déjà dit non.

Il voulait jouer pieds nus.

Mais non, enfin.

Non, on ne souhaitait pas méprisant tout à l'heure.

Mais non, mais non.

Mais non, mais non, mais non, mais non.

La décision de se passer de ces services est date de camp.

Ah, c'est assez récent.

C'est assez récent.

Il n'a pas voulu faire sa journée de service militaire.

Et personne n'obligait la fédération à prendre cette décision,

et pourtant, la fédé est la prise.

La prise à titre préventif.

Et à titre en quelque sorte.

Pour éviter un scandale.

Non, non, non.

Mais c'est vrai que les autres joueurs...

Il a eu des propos misogynes ?

Non, et particulièrement Nicolas Bato.

Bah dit, mais c'est quand même dommage que des raisons extraites pour...

C'est pas de qui, il a assassiné sa femme.

Il s'est engueulé avec le sélectionneur.

Non, non plus, non.

Non, on va pas redonner 300 mal.

Ah bah si, on va redonner 300.

Encore un Jean-Louis.

Est-ce que, par exemple, on lui reproche de trop dormir ou pas assez ?

Non, mais...

C'est bien, il cherche au moins.

Est-ce qu'il était bourré ?

Est-ce qu'il était bourré avec des raisons familiales ?

Non, du tout, du tout.

Il était bourré ?

Non plus.

Est-ce qu'il a accepté une fonction politique,

ou quelque chose comme ça ?

Ah, est-ce qu'il a un lien avec l'équipe adverse ?

On se rapproche.

Il était ministre, il était ministre.

C'est trop tard.

Il était chez les Verts.

Non, c'est trop tard.

Regardez, il y a des mains qui se lèvent.

Il était au fond national.

Monsieur Boubli, allez dans la salle, récupérez la réponse.

On va donner 100 euros de plus après les 300 qu'on vient déjà de perdre.

Bonjour, comment vous appelez-vous ?

Bonjour, je m'appelle Hervé.

Bonjour Hervé, quel est votre métier ?

Euh... Je...

Je suis pas encore...

Ok, d'accord, on a tous vendu de la drogue dans nos duviers.

Petite question, quelle est la réponse ?

Alors, Hurtel s'est engagé pour jouer dans le championnat

russe de basket, et du coup, la Fédération l'a interdit

de jouer avec l'équipe de France.

Exactement, parce qu'il joue en club en Russie,

il joue à Saint-Pétersbourg, et parce qu'il joue en Russie,

l'équipe de...

Enfin, la Fédération de France de basket a estimé

qu'il ne pouvait plus faire partie de l'équipe de France.

Mais ça, il avait raison, la Fédération, je l'aurais fait pareil.

Ah oui, mais ça nous a fait perdre contre les Lettons.

On aurait dû trouver.

Et bien, c'est l'heure de la Vité du jour.

Et notre invité du jour, c'est quelqu'un qu'on adore,

quelqu'un qui nous arrive avec un tout nouvel album.

Alors, l'album n'est pas encore tout à fait prêt.

Enfin, il est prêt, mais vous ne pouvez pas encore vous le procurer.

Mais on a un avant-goût avec une chanson que je vous demande d'écouter.

Juste un instant, nous accueillons M. Gérald de Palma.

C'est la nouvelle chanson de Gérald de Palma.

Personne, un homme qui veut se couper.

On va dire, peut-être du reste de la société,

qu'il n'a pas de téléphone portable, qui personne n'y veut personne.

Mais là, il y a du monde devant vous, M. de Palma.

Oui, oui.

Bienvenue, on est tellement heureux que ce soit votre retour.

Merci, c'est gentil, merci beaucoup.

Ça fait un petit bail.

Oui, c'est un petit bail.

Oui, c'est un petit bail.

Oui, c'est un petit bail.

Oui, c'est un petit bail.

Oui, c'est un petit bail.

Oui, c'est un petit bail.

Oui, c'est un petit bail.

Ça faisait quoi, à peu près 7 ans, qu'il n'y avait pas eu de nouvelles chansons de nous ?

Que je n'ai pas vu des gens, ça fait peu près 7 ans.

Excusez-moi, ça me brûle les lèvres, je peux vous poser une question ?

Bien sûr.

Bonjour, invité mystère, est-ce que vous êtes un homme ?

Est-ce que vous êtes un homme ?

Chronologiquement, il n'y a un truc qui ne va pas, oui.

C'est l'avance de la beauté.

Les invités ne sont plus mystères.

Non, mais vous savez, ça...

C'est fini, M. Gérald.

C'est bien.

Une page qui se tourne.

Et c'est vrai qu'il va falloir attendre un petit moment avant d'avoir l'album.

Combien de temps, d'ailleurs ?

C'est en novembre, je pense.

En novembre, sous un soleil de plomb, ce sera le titre de l'album.

Moi, j'ai écouté toutes les chansons.

Il y a une chanson que j'adore qui s'appelle Laman Infidèle,

Le Dernier Pas.

Tout le monde se souvient de la fameuse chanson de Claude Michel Schoenberg,

Le Premier Pas.

Vous, c'est l'arrupture, le dernier pas.

Oui, c'est après même l'arrupture.

C'est éventuellement recoler les morceaux.

Ça parle de ça.

Jérône de Palmas a de nombreux succès qu'on va évoquer dans cette émission.

Les aimes ces chansons.

Il est même venu avec sa guitare.

Il m'a promis de faire un petit morceau,

un petit bout de son premier tube.

C'est un premier tube qui date de combien de temps maintenant ?

C'est 1994.

Oui, quand même.

Mais il n'a fait que des tubes.

30 ans, donc.

Sur la route toute la scène.

Un petit morceau, Jérône.

Allez.

Alors, du coup, bien cette guitare petite, comme ça.

Je mets comme ça, tu me dis si c'est bien ou pas ?

Parce que dans les émissions, normalement, quand c'est un peu produit,

il y a 2 micros.

Il y a de l'argent, il y a 2 micros.

Mais bon, on n'est pas non plus dans le groupe M6.

On sent que ça commence à perdre.

Oui.

Je n'aurais pas dû partir 7 ans.

Alors, bon.

Dites pas du mal du groupe M6.

Vous aviez remporté le concours du talent de demain sur M6 en 94,

juste avant sur la route.

On fait un essai, vous me dites si c'est bien ou pas ?

Entre toutes autres choses.

J'aurais dû m'arrêter, fais plus de pause.

C'est bien ça.

Génial !

C'est un peu plus.

On en vaut plus.

Elle était plus longue, elle était plus longue.

A l'époque, elle était plus longue.

Vous aviez...

Oui, mais c'était bien, comme ça, on rate un peu sur sa forme.

Vous aviez convoi que c'était un test de son.

D'accord.

Vous savez, c'est arrivé juste pour l'anecdote.

C'est arrivé quand c'était George Harrison qui avait fait le Bangladesh concert

pour réunir des sous, pour donner au Bangladesh

où il y avait une crise sanitaire, une famine terrible.

Et il y a Ravi Shankar, le grand musicien indien qui est sur scène,

qui fait venir et les mecs commandent...

Bon, ils jouent comme ça pendant 2 minutes.

Et après, ça a explosé d'applaudissements.

Ravi Shankar l'a dit, là on était en train d'accorder les instruments.

J'espère que les morceaux vont vous plaire aussi.

Sur la route, Gérald de Palma, c'est un extrait.

N'aurait-on pas pu attendre un été?

Erreur fatale, j'aurais dû t'écouter moi.

Je n'dissocie plus bien du mal car j'étais sur la route toute la sainte journée.

Je n'ai pas vu de doute en toi s'émisser.

J'étais sur la route toute la sainte journée.

Si seulement jamais plus longtemps t'es pensé.

On adore, merci Gérald.

Que souvenir sur cette chanson?

Honnêtement, je pense que ça peut marcher.

Ça, c'était son premier succès, évidemment.

J'aime bien de la guitare.

Gérald de Palmas, vous souvenez aussi forcément de Jean Révan-Cœur.

Jean?

Ah oui.

Un peu plus récemment aussi, il y a quelques années déjà, c'est vrai.

Au bord de l'eau, magnifique chanson aussi.

Mais la nouvelle chanson de Gérald de Palmas s'appelle Personne.

On écoute la nouvelle chanson avant de retrouver, dans un instant,

notre camarade Marc-Antoine Lebré qui lui en fait plusieurs des personnes

et ce sera une surprise évidemment pour Gérald de Palmas.

Merci.

Pour les faits, pas de famille proche, pas de lien, pas de sentiments,

ça ne sert à rien.

Personne ne m'échappe personne

Personne ne m'échappe personne

Il faut ne fermer plus l'œil de la nuit

Les yeux vers le ciel au pied du lit

Vaut d'un heure et tout pour comprendre

Mais d'où vient le feu et où vont les sangles

Quand vient le moment je choisis

De me montrer enfin qui je suis

Alors je m'en parle de votre âme

Au bon milieu des crises et de l'âme

Personne ne m'échappe personne

Ça m'avance, je suis le diable bien orange

Personne ne change

Personne ne m'échappe

Personne ne m'échappe

Personne ne m'échappe personne

Personne ne m'échappe personne

Personne ne m'échappe personne

Personne ne m'échappe personne

Personne ne m'échappe personne

C'était la vôtre.

Ça va, on se paie bien avec les droits d'auteurs, hein ?

C'est vrai, vous l'allouez ?

Mais non, c'est plus chez moi.

J'ai vendu.

Mais le gars, à qui j'ai vendu, la loue, oui.

Ça, c'était votre vraie voix, monsieur ?

Oui, c'est ça, tout à fait.

Vous l'avez fait de bien, vous l'avez fait de tout derrière.

Je dis ça, pour ce que tu cherches.

Oui, oui.

Qui limite depuis tout à l'heure ?

C'est ça.

Et alors, ça, ça, c'est la vôtre.

Mais justement !

J'aimerais...

Mais justement, j'aimerais demander...

Il faut pas me chercher.

Il faut pas me chercher.

J'aimerais, monsieur Lebray, demander à Franck Ferrand

s'il connaît l'histoire de Gérald D'Opalmas.

Oui !

Laurent, hoyez, hoyez !

Alors, c'est le 14 octobre de l'Onde Grasse, 1967.

Oui, qu'y a-t-il, monsieur ?

J'ai 48 heures de différence avec Gérald, il faut le savoir.

Vous n'interrompez pas le sketch.

J'en ai rien à foutre.

Donc, je disais, c'est le 14 octobre de l'Onde Grasse, 1967,

que n'a qu'y Gérald D'Opalmas sur l'île de la Réunion.

Rougaïs aux six pouvoirs, frérot !

Samoussa Connection !

Bon, alors, à l'âge de 13 ans, Gérald se passionne pour la musique

et apprend à jouer de la basse, même si personnellement,

c'est un peu ringard et que je préfère les instruments modernes,

tels que la vielle, la arpe ou même la citare.

Oh, j'ai chaud, mais de la piment !

A quel âge vous avez appris à jouer de la basse, monsieur D'Opalmas ?

J'ai commencé à 15-16 ans.

15-16 ans.

Gérald Darmanin, voudrez-vous parler, Gérald D'Opalmas ?

Bonjour, Laurent.

Bonjour les grosses têtes et bonjour mes chers compatriotes.

De Gérald dans la même pièce.

On ne voit pas ça tous les jours.

D'ailleurs, qu'on est les deux derniers du pays.

En revanche, monsieur D'Opalmas, je tiens à vous dire que vous faites honte

à la redobée des Gérald.

En effet, vous avez loué un logement à Marc-Antoine Le Bresse

sans lui demander la moindre faveur.

Pas un massage de téton.

Pas l'ombre d'un sussage d'Orteille.

Rien.

Dada, j'ai été déçu.

Déçu comme la famille Prégogine, dans le haut,

les arrivait à l'aéroport.

François Damien, c'est aussi avec nous.

Bonjour François Damien.

Bonjour, bonjour monsieur D'Opalmad.

Pas la peine de vous faire appeler Gérald,

le pire pour revenir en douce.

Qu'aucun, je vous ai reconnu.

Au lieu de chanter sur la route,

vous auriez mieux fait de la tenir.

Ariel Dourba, allez là aussi.

Bonjour Laurent.

Et bonjour aux grosses têtes.

Hola Lorenzo y hola a los casos.

J'aimerais proposer un duo à Gérald de Palmas,

comme dans mes vidéos, sur Instagram.

Allez c'est parti pour notre duo,

Bamos pour Jackie et Miguel.

Gérald de Palmas,

manger la nanase

à la réunion

et buver de la prune en Bretagne.

Des construction of the bright.

Allez, je m'envole

pour aller écouter Marc-Antoine Lebray

à 18h12 dans RTL, bonsoir.

RTL, bonsoir.

Ce sera dans quelques minutes

et vous retrouverez effectivement Marc-Antoine Lebray.

Parmi les succès,

c'est une chanson qu'on oublie,

parce qu'au fond, ce n'est pas vous

qui en avez fait un succès,

même si c'est vous qui l'avez écrite.

C'est la chanson pour Johnny,

à chaque fois que vous en parlez.

C'est quand même une chanson incroyable.

J'aimerais qu'après qu'on en réécoute juste un cours extrait,

vous nous racontiez l'histoire de cette Marie pour Johnny.

Comment ça s'était passé la rencontre

avec Johnny Aliday pour cette chanson-là ?

C'était très particulier.

C'était Pascal Negre qui avait initié

la connexion,

qui était à l'époque qui dirigeait Universal.

Vous voulez bien dire Pascal de couleur,

c'est vrai ?

Bien joué.

On ne veut pas avoir d'ennuine ?

Non, on ne veut pas d'enmerve.

Et en s'était rencontré,

je me souviens, avec Johnny,

il habitait donc à Marne Lacochette,

je crois à l'époque,

et c'était très étrange,

il est relativement timide,

en fait, Johnny Aliday,

il était relativement très timide,

et moi, je ne sais pas,

c'est assez intéressant,

c'est très intéressant,

c'est très intéressant,

et moi, c'est assez introverti aussi.

Donc les premières minutes

étaient très tendues,

il ne s'est pas dit grand chose dans la pièce,

mais après, on s'est détendus.

C'est pour ça que vous avez eu l'idée de Marie,

à cause du côté surgelé de la situation.

C'était pas bête.

De Palmas, Personne,

c'est une chanson qu'on a pu découvrir aujourd'hui

pour la première fois dans notre émission,

mais puisqu'on évoque aussi

les succès des années passées, Gérald,

il y a eu ça aussi tombé, qui était formidable.

...

Et cette chanson a été reprise par Celine Dion, c'est bien ça ?

Oui, en anglais.

J'ai changé les paroles, oui.

J'étais parti enregistrer à Miami

des endroits très particuliers.

C'est des endroits qui sont gardés

à l'entrée, il n'y a que des maisons de luxe.

J'ai une petite anecdote, si vous voulez,

qui était rigolote. Je fumais à l'époque

et on était dans le studio enregistrant

des cigarettes.

Enfin, la plupart du temps en tout cas.

Et donc je sors

pour fumer une cigarette, pour pas gazer tout le monde

dans le studio.

Et le type du studio américain a dit

ferme la porte, ferme la porte, ça va,

détends-toi, tout va bien.

Parce que, en fait, les serpents

rentraient dans le studio.

C'est pour ça qu'il fallait...

Et après, je lui demandais, mais

il me disait, comme les chiens, on n'a pas de chiens chez nous,

parce que tous les chiens s'étaient fait bouffer

par les crocodiles.

Donc en fait, c'est gardé par un gare

à l'entrée. Il y a un gare

contre d'éventuels

malfois. Mais en revanche, vous risquez

vraiment votre pour l'intérieur entre les serpents

et les crocodiles.

C'était un gâteau de riche, vous voyez,

ces trucs-là.

Et ça a donné ça.

10 days I've come and gone

10 days and I'm all alone

And all that I can do

is pray and pray

10 days I see the rain

coming down on a sunny day

But all I've got to do

is pray and pray

and pray

On attend dans l'album

qui sortira en novembre sous un soleil

de plomb. On a un premier single

Personne, mais vous restez encore avec nous

quelques temps, Monsieur de Palmas,

puisque ça aussi, ça a changé.

On va terminer cet émission avec la valise

RTL, dans un instant.

La valise RTL, c'est à vous, Gérald

de Palmas, que je vais demander un numéro.

C'est l'invité qui fait la valise.

La vité mystère.

La vité mystère.

La vité mystère, mais qu'on connaît son nom.

Mais tout a changé.

C'est 2023.

Le titre de l'émission.

Vous le gardez.

Par contre, le gros monsieur en face de moi,

il n'a pas changé.

Il était là depuis longtemps.

Un numéro de 20, Gérald de Palmas.

Le 15.

Nous allons appeler ensemble.

Si vous voulez bien, Gérald.

Claire Mérigo, qui habite un monétès

sur Allié, c'est dans l'Allié, on espère évidemment

qu'elle aura noté le nouveau montant

de la valise,

qui a été donnée vendredi dernier

par Isabelle,

évidemment, notre annonceuse

Spikrin charmante Isabelle Piana.

C'est elle qui a mis dans la valise

1025 euros et un cartable

Paul Fox. Voilà le contenu

de la valise RTL. Toute première

valise de notre dixième saison

des grosses têtes.

Et nous sommes ravis d'inaugurer

avec vous, Gérald de Palmas.

La sonnée, normalement, chez Mme

Mérigo, Claire Mérigo.

Mais pas disponible pour le moment.

Ça, ça n'a pas changé.

Un autre numéro, Gérald.

J'ai attendu 7 ans pour ça dire.

Un autre numéro. Mais alors, Gérald.

Je cherche. Non, Gérald,

tu ne peux pas buter sur un numéro.

Non, j'essaye de trouver quelque chose,

quelqu'un qui va répondre, je me concentre.

Le 18, souvent, ça répond. Je vais essayer le 9.

Ça sonne chez Mme Philippeck, Jacqueline

à Blansy.

Allô ? Donc ça est toujours une guitare.

Gueluc, je vous ai reconnu, Gueluc.

Ça sonne chez Jacqueline.

Allô ?

Bonjour.

Merde.

Alors, je vais donner le numéro.

Alors, on va prendre le numéro 3.

Ah, c'est pas con.

Il s'agit de...

On va appeler Julien Vachier.

C'est vrai ?

Et lui, Laurent.

Laurent, je m'engage

à lui laisser...

Je m'engage à lui laisser un message,

s'il est sur refuge.

C'est notre dernière chance.

Moi, j'ai dit, il faut lui donner

les 1025 ans de resture, pour même pas...

Il a souffert toute sa vie, le pauvre.

Il habite à ex les barres, M. Vachier.

Il habite un plan de cul.

Non, je ne vous prie pas

présenter si jamais il décroche.

C'est une souffrance de vie.

C'est la souffrance d'une vie, ça.

Allô, M. Troducu ?

Ah, non.

Allô, M. Vachier ?

Julien ?

Bonjour. Julien, de votre prénom, c'est mieux peut-être.

Est-ce que vous avez idée de qui vous appelle ?

Non.

J'ai à côté de moi un chanteur qui s'appelle Gérald de Palmas,

qui va vous saluer.

Bonjour, M. Vachier.

C'est lui qui a choisi votre numéro.

Bonjour, M. Vachier.

Et nous vous appelons à votre avis, pourquoi, Julien ?

Je ne sais pas.

N'est pas reconnu qui vous appelle ?

Laurent Ruquier, les grosses fêtes.

Je crois qu'il m'a donné son nom.

Je crois qu'il m'a donné son nom.

J'ai cru entendre Vachier.

Mais on le savait déjà, ça.

C'est perdu pour la valise aujourd'hui.

C'est beaucoup.

C'est sympa, la valise.

C'est la première fois.

C'est toujours un bon moment.

Tempille pour M. Vachier.

On en remercie.

On en remercie.

On en remercie.

On en remercie.

M. Vachier.

On en embrasse tous les Vachiers qui nous écoutent.

Qui n'étaient pas excréments sympathiques.

Non, non.

Je ajoute dans la valise pour demain

un nouveau casque haut de gamme.

PX 8 édition

McLaren de la marque Bowers & Wilkins.

C'est une bonne marque, M.

J'ai jamais entendu parler.

Laurent et je voudrais apporter

aussi quelque chose à la valise.

Au cas où on rappellerait M. Vachier.

C'était un rouleau de papier

de l'hygiénique.

C'est un triple épaisseur.

Le casque McLaren,

croyez-moi, c'est un casque magnifique

avec une finition grise, des reflets orange,

comme les voitures de courseurs McLaren.

C'est une marque de référence

pour les professionnels du son

et les artistes du monde entier.

Allez voir sur Bowers & Wilkins.com.

C'est un casque qui vaut 800 euros.

Ah ouais ?

Dans la valise Ertel.

Il me reste juste le temps avant Ertel.

Bonsoir de remercier

encore Gérald,

de Pamas,

de vous conseiller son album

qui sortira en novembre,

mais surtout d'abord cette chanson

Personne.

Dans tous les cas, on se retrouve demain

entre 14h30

et 18h00.

C'est l'heure de Ertel.

Bonsoir.

Bonsoir Julien Seillier.

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.

Avec Bernard Mabille, Arielle Dombasle, Marcela Iacub, Philippe Geluck, Max Boublil et Franck Ferrand.