Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du lundi 2 octobre 2023

RTL RTL 10/2/23 - Episode Page - 1h 42m - PDF Transcript

...

...

...

Carine Le Marchand.

...

Une grosse tête qui peut donner les réponses en chantant.

Joyce Jonathan.

...

Une grosse tête dont l'écharpe reste assortie aux couleurs de la maison.

Christophe Barbier.

...

Une grosse tête qui joue Max Similien sur scène,

mais qui continue à donner son max à la radio.

Max Boublil.

...

Une grosse tête dont l'humour est aussi piquant qu'une colonie de punaise de l'île.

...

Jérémy Ferrari.

Bonjour.

...

Et une grosse tête dont on sait désormais que la seule chose qu'il peut oublier,

c'est de se réveiller.

Prends ton bras.

...

Paulé Carras.

Bonjour.

Bonjour.

...

Ah ben oui.

Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

Ah non mais ça suffit.

La dernière fois vous avez oublié de vous réveiller.

On a été obligé de vous remplacer par Florian Gaye.

Exactement.

La purge.

...

Et je regrette quand j'écoute les grosses têtes en plus.

Pourquoi ?

Parce qu'il donne des chèques alors que j'ai les réponses.

Là j'étais l'égoutter.

Pourquoi j'ai su me...

Mais t'étais sorti où la veille ?

Ben nulle part.

Ah ouais ?

J'ai couché très tard parce que je dors pas, des doules.

Qu'est-ce que tu fais la nuit ?

Ah ben non mais...

...

Pourquoi se sont pas l'un côté du lit ?

Oui c'est sûr.

...

Se sont pas l'un oui.

Oh non mais vraiment les trucs d'adolescent Max Boublis.

Ah ben moi j'en fais encore un petit rouleau.

Déjà pour moucher.

Ben vous savez il a tourné les gamins.

C'est un petit peu un gamin Max Boublis.

Vous avez un rouleau de Sopalins près du Liban ?

Ben déjà pour moucher les petits.

Tu me mouchais...

Ah c'est dégueulasse.

Ah !

...

...

C'est clair.

Ça a l'air d'être propre chez toi.

Mais il y a les serviettes de minuit.

C'est dégueulasse.

Il y a quoi ?

Ah oui.

Qu'est-ce que c'est que ça ?

Ben les petits lave-mains.

Vous savez les petits lave-mains,

quand on achète des serviettes,

tout ça des drades bains.

Il y a la taille des serviettes lave-mains

et il y a la même serviette

mais qui est un peu plus longue.

Ça s'appelle les serviettes de minuit.

À la campagne ils ont ça ?

Ça se met sous l'oreiller

et c'est pour éponger.

Éponger quoi ?

Bah c'est pas aussi chic.

Qu'est-ce que vous faites dans Woli ?

En transpirant...

...

...

...

...

...

...

...

...

...

...

...

Ah oui !

On se demandait à quoi ça se lenait.

Je l'ai fait...

Ça fait des années qu'on se demande

à quoi sert les chars

Vus à taille ça vous laisse un fantasma.</i></i></i></i Wiki.com

Ha les premières citations

pour Madame Catherine Monnier

qui habitent Madrid

qui a dit qu'il a bien fallu

que le amazing s'arrête quelque part

pour que l'homme puisse en descend.

Pierre-Luc

Jean-Hian

Il est étranger, un homme français, vivant, néant 72-1976, humoriste, écrivain, grand écrivain, Mussolini qui a dit Sylvain Tesson, excellent réponse de Christophe Barbier.

C'est bien Tesson qui a dit, il a bien fallu que le singe s'arrête quelque part pour que l'homme puisse en descendre.

Pour Mona Lubin qui habite Saint-Etienne de Tumon, c'est dans le Tarné-Garonne, qui a dit, les deux seules créatures qui s'accouplent en se faisant face sont l'homme et le sandwich au pâté.

C'est contemporain.

C'est contemporain, mais c'est mort.

Oui.

C'est proche.

Morts en 2014.

Non.

Sim.

Kavana.

François Kavana.

Bonne réponse de monsieur Paul Alcarrat.

Une autre citation qui nous vient des États-Unis, celle-ci, je vous le dis d'avance pour Mélanie Minement qui habite Gapa dans les Hautes Alpes, qui a dit, je méfie des gens qui n'aiment pas les chiens.

En revanche, je fais confiance à un chien qui n'aime pas une personne.

C'est le comédien, non non, c'est le comédien de Lost in Translation.

Bill Moret.

Bill Moret.

Bonne réponse de jeunesse.

C'est Bill Moret.

Pour Luc Bigot, une autre citation, monsieur Bigot habite Carlingue en Moselle, qui a dit, en voilà un qui ment tellement qu'on ne peut même pas croire le contraire de ce qu'il dit.

Sacha Guitrim.

C'est pas Sacha Guitrim, mais c'est un dramaturge.

Mais nous, je vais écouter vous.

Kurt Linn.

Vous avez dit quoi ?

Kurt Linn.

Kurt Linn, bonne réponse.

Il est parti.

Le monsieur Paul Elkarat, pour Itcham Karim, qui habite Marseille, qui a dit, il ne suffit pas d'avoir de l'esprit.

Il faut encore en avoir assez pour éviter d'en avoir trop.

Ça pourrait aussi être Sacha Guitrim.

Non, ce n'est pas Sacha Guitrim.

C'est ancien comme Sacha Guitrim.

C'est Victor Hugo.

C'est un romancier qui était né à Elbeuf.

Paladat Laurent Palal.

Non, je donne Paladat.

C'est un peu promis.

Elbeuf.

C'est du Loubert.

Non, non.

Montpassant.

Le 19e, oui.

Il était né en 1885 et il est mort en 1975.

Victor Hugo.

André Montroix.

C'est André Montroix.

J'aurais pas du donner d'interdit.

Alors, je vais monter le niveau d'un cran parce qu'il faut bien le dire.

On va pouvoir s'épanouir.

Il nous écoute Laurent Rélet.

Occupez-vous de votre sopala, vous, là.

Ça te faut suivre.

Il y a les Charbes de Christophe.

Monsieur Clémenceau qui habite Cléroix.

Clémenceau.

Oui, il s'appelle Clémenceau.

Comme le sous-marin.

Il s'appelle Georges Clémenceau.

Oui, il n'est pas remis.

Ceux à eu, Clémenceau est sauté, c'est plus difficile à porter.

C'est celui qui a donné son nom au sous-marin ?

C'est le nom du porte-avion Clémenceau et pas du sous-marin.

D'accord, mais j'étais pas loin.

Ça reste navale.

Un sous-marin n'est qu'un porte-avion qui a coulé.

Exact.

Merci de monter le niveau de la bouche, Christophe.

Pour Monsieur Clémenceau, donc, qui habite Cléroix,

qui a dû en entendre suffisamment comme ça,

essayer de retrouver l'auteur de cette citation.

Et là, c'est peut-être le plus difficile à identifier

depuis le début de ces citations,

car c'est quelqu'un qu'on a très rarement cité au Grosse Tête,

qui a dit que le tourisme, c'est une industrie

qui consiste à transporter des gens qui seraient mieux chez eux

dans des endroits qui seraient mieux sans eux.

C'est un humoriste.

Est-ce que c'est un français ?

Non, c'était pas un humoriste,

même si manifestement, il avait de l'humour.

Il est mort ?

C'est un français.

Politique.

Alors, politique.

Non, il fut diplomate.

Quoi qu'il a été député.

Si, quand même, il a été aussi politique.

Non, il a été aussi secrétaire perpétuel de l'académie française.

Dans l'Isru ?

Dans le son ?

Un moment où on parle, justement,

de la succession de madame Hélène Carrère-Doncose,

puisque c'est Amine Malouf qui lui a succédé.

Voilà quelqu'un qui fut secrétaire perpétuel de l'académie française.

C'est quoi secrétaire perpétuel ?

Jusqu'à la mort.

Jusqu'à la vie.

C'est secrétaire, c'est le plus...

C'est sur ton vie.

C'est sur ton vie, toi.

C'est le secret bon au téléphone.

C'est celui qui est élu.

C'est celui qui est élu par ses pères,

pour piloter la collégialité,

surtout pour représenter l'académie française.

Alors, si tu expliques quelque chose,

je sais que ce soit compréhensible.

C'est le grand chef, si vous voulez.

C'est le grand chef, jusqu'à sa mort.

Jusqu'à sa mort.

Oui, ou sa démission.

On peut démissionner si on se sent trop...

C'est le 20e siècle ?

Il fut secrétaire perpétuel de l'académie française

entre 73 et 85.

Ce n'est pas Maurice Drue.

Ce n'est pas Maurice Drue.

Et il est mort en 85, du coup ?

Ah non, non, non.

Il est mort.

Je crois qu'il était secrétaire perpétuel.

Il a démissionné, du coup.

Je ne comprends rien.

Ce n'est pas de secrétaire perpétuel.

C'est pas d'être pertinent.

Ça prouve que vous suivez.

Ah voilà, je suis concentré.

Il est mort trois ans plus tard, en 88.

Tu peux démissionner.

C'est pas Jacques de la Crotelle.

Il a démissionné pour des raisons de santé en 85.

Il a démissionné, d'accord.

Voilà.

Vous voyez, ça arrive.

Donc t'es perpétuel ?

Pardon.

Renéchard.

Renéchard, non, non, non, non.

François Moriaque ?

Non, non, non.

Jacques Tati ?

C'est un écrivain qui avait été diplomate.

Diplomate, homme politique, écrivain.

Vous voulez que je vous donne un peu ?

C'est pas Paul Moran, quand même.

Non, c'est pas Edgar Ford ?

Non, non.

Auteur, quand même.

Je vous ai dit qu'il était mort en 88.

Il était né en 1897, dans le tarn à Saurès.

Jean Mistler ?

C'est Jean Mistler.

Bonne réponse alors, là.

Bravo.

Incroyable.

Voilà ce qu'il faisait cette nuit.

Incroyable.

J'aurais dû donner les dates avant pour m'en débarrasser.

Plutôt, celui-là.

Jean Mistler, secrétaire perpétuel de l'académie.

Ah bon, il a été collab.

Ah oui, oui.

Ah merde.

On peut pas tout savoir.

C'est vrai ?

Ah oui.

Arrêtez-je pour encore une grandin qui habite plégère dans le morbillant.

La question concerne le prix Nobel de la Paix,

qui sera décerné samedi prochain.

On parle de Greta Thunberg.

On parle de Raoni.

Ce serait un prix Nobel de la Paix.

Et Colo, voilà.

On parle de Donald Trump.

Ah non, quand même pas Donald Trump pour là.

Remarquez, il y en a qui l'ont proposé comme non.

Non.

Ah bah c'est grave.

C'est grave.

C'est grave.

Mais justement, qui a eu le prix Nobel de la Paix en 2009 ?

Barack Obama.

Barack Obama.

La réponse de Christophe Barbier.

Et allez, on va partir 30 ans avant, 1979, qui fut le prix Nobel de la Paix.

Mère Theresa.

Mère Theresa a gagné.

Et il a ses listes qui sont à jour.

Ah ouais, sur 79, il a tout.

Ça doit vous prendre un temps fou de préparer les émissions quand il est là, Paul.

Mais 89, le d'Allez-il-Homme, à ce moment-là.

Oui, bah il ne t'en va pas.

On s'en fout pas là.

Oui, voilà, ça y est.

Arrête de faire le paillot.

Il n'y a rien à gagner.

T'as vu Jean-Luc Reichman sur ce plateau, il n'y a personne.

Il y avait une question qui n'a rien à voir avec les prix Nobel de la Paix pour M. Trouvet, qui habite Les Gore, dans les Landes.

Pour quelle raison parles-t-on beaucoup en ce moment de Lucu et Cuyou ?

Lucu et Cuyou.

C'est les deux demiers de mêlés remplaçants du 15 de France,

puisque Antoine Dupont est blessé.

Face à l'Italie, ça sera Lucu, puis Cuyou.

Lucu pour commencer et Cuyou pour tout le monde.

C'est ça ?

Bonne réponse !

Ah oui, c'était bien.

Bonne réponse.

Christophe Barbier.

Moi, je dis, le 15 de France, ils ont des noms bien français, vous voyez.

Dupont, déjà, tu ne peux pas faire mieux que Dupont.

Ah ouais, Dupont, c'est magnifique.

Dupont, voilà.

Le capitaine de l'équipe de France qui s'appelle Dupont.

Les étrangers voudraient se moquer de nous, on ne ferait pas mieux.

Oui, mais en 1977, première grande victoire du Grand Schlem,

le domine mêlé capitaine s'appelait Fourou.

C'est vrai.

Fourou, Lucu.

Il y a une continuité, non ?

Et des couilles.

Il n'y a pas du tout ce tumour là, Laurent Ruebier.

Lucu et Cuyous, en tout cas, effectivement, ça vous fait rire ça.

On est à l' début d'une histoire drôle.

Lucu et Cuyous, on sera bateaux.

C'est les deux replacements de Dupont.

Dans les années 70, on avait un pilier qui s'appelait Condon.

C'est O.N.D.O.M., un nom de ville aussi qu'on connaît.

Et pour les Britanniques, ça faisait rire à chaque fois.

On a eu l'habit aussi, Laurent Ruebier.

Oui, il m'attend d'ailleurs et dans le staff de l'équipe de France.

Laurent l'habite.

Dans la mêlée, il était au-dessus de Cuyous.

Moi, je n'aime pas, je trouve qu'on tombe dans des bas niveau, là, Laurent.

Moi, il y a un nom que j'aime bien.

Ah oui ?

Papa Remborde.

C'est quoi ?

J'aime bien ce nom.

Pilier en 77.

Robert Papa Remborde.

Le pilier du XXe siècle.

C'est dommage qu'on commençait à bien se marrer.

Pour l'éthicier Olivier, qui a dit que ça t'étienne de fond Vélan dans l'Ardèche,

je vous emmène à l'Olympia le 9 octobre prochain,

c'est-à-dire lundi prochain dans une semaine pile,

qui pourrait vous applaudir à l'Olympia ?

Est-ce que ça ne serait pas Max Boubile ?

Non, non, c'est à la Cigale.

T'as vu comment je t'ai lancé ?

T'as vu comment je t'ai lancé ?

Et puis franchement, il n'est pas sûr d'être applaudi.

Ah donc ça y est, maintenant, je viens pour me...

Ah non, mais on va la applaudir du 9 octobre.

J'étais le chouchou, j'étais aimé.

Moi, j'ai donné plein de conseils à Max avant,

sur sa carrière, on apparaît de sa carrière,

j'ai donné plein de conseils, je lui ai dit, arrête.

Et il sera à la Cigale en mars.

Exactement.

Là, je vous parle de lundi.

Mais c'est déjà complet.

Est-ce que c'est de la chanson ?

Lundi prochain à l'Olympia.

Un humoriste ?

Chanson ?

Humoriste, non, chanson, non.

Un étranger ?

Un étranger, non, à français, monsieur.

À l'anis, c'est peut-être ?

Pardon.

Un pianiste ?

Un pianiste, non.

Qui pourra-t-on applaudir à l'Olympia lundi prochain ?

Est-ce que c'est un homme politique, Laurent Ruequier ?

Oui, c'est un homme politique.

Ah, c'est pas le vrai, c'est pas le vrai ?

Non.

C'est pour une nuit très...

Ah, je sais.

Je l'attends avec impatience.

Ce serait un miracle.

Très drôle.

C'est pas pour l'anniversaire de la Constitution.

Non, c'est pour une nuit spéciale.

C'est la nuit de la déprime.

C'est la nuit...

C'est la nuit...

C'est la nuit...

C'est la nuit de la déprime.

C'est la nuit de la...

Est-ce que ce serait pas la nuit de la philosophie ?

C'est la nuit de la philosophie.

Oui.

Alors, qui ça...

C'est qui ?

Ah oui.

Est-ce que ce serait Mise de la Culture et Mme Abdul Malak ?

Vous connaissez le nom de la ministre de la Culture.

J'ai des sociétés, il me faut des aides, Laurent.

Si je connais pas le nom des gens, à un moment donné,

je ne peux pas les demander.

Ah mais attendez, c'est pas...

Attendez, c'est pas...

Ah non, ils ont l'exercice, j'allais dire Luc Ferry,

les philosophes.

Non, ce n'est pas Luc Ferry.

Luc Ferry l'a inventé l'école, il n'a rien à voir.

C'est un homme ?

Un homme, oui.

Non, mais c'est Bellamy, François-Xavier Bellamy,

les philosophes.

Eh ben oui, François-Xavier Bellamy.

Bonne réponse...

de Christophe Barrier.

La nuit de la Philo à l'Olympia lundi prochain...

Ils s'y vont faire.

Il a fêté les 10 ans de ces soirées

qui ont été lancées par François-Xavier Bellamy,

qui est député européen,

qui était tête de liste

lors des derniers européens.

Pour les républicains, oui.

Mais là, c'est pas sûr qu'il le soit encore...

Il est concurrancé par plusieurs.

Certains parlent de Luc Ferry Barrier, de Lyssnard,

d'autres, de Jean Brun, le maire de l'Église.

Et même de Charles le Consigny.

Et même de Charles le Consigny, vous voyez...

Mais qu'est-ce qu'il se raconte ?

Ils lisent des livres ?

Qu'est-ce qu'il se passe à ce film-là ?

Alors écoutez, c'est la nuit de la Philo.

Alors je sais pas, il y a B.H.I. qui passe.

Oui, oui, oui.

Oui, je pense qu'ils font défilé comme ça.

Ils font pas défilé, ils font défilé.

Ils font ça à l'Olympia.

Ils font de faire ça à l'Olympia.

Pardon ?

C'est bizarre de faire ça à l'Olympia.

Il fait ses conférences à le gavaud d'habitude.

Oui, c'est ça.

Et là, je pense que pour faire plus grand,

pour faire plus chic, c'est l'Olympia.

Et puis, Olympia, c'est Olympia,

c'est Olympia, c'est la Grèce, c'est la Philo.

Wow.

Ah oui.

Alors oui.

Ah, ça, c'est bien.

Ok.

Quoi ? Ok.

Non, c'est bien, c'est chiant, mais c'est plus chiant.

Frosement qu'on n'ait pas au lycée,

parce que Christophe Barbier et Paul Elkarat,

les deux, ils auraient fini dans la poubelle.

Comment ça ?

Vous ne vous souvenez pas au lycée,

quand on mettait les élèves qui étaient chiant dans la poubelle ?

Ah non.

Vous n'avez pas vécu dans les mêmes lycées que moi,

c'était même plus au collège, ouais.

Comment ça ?

Ah ouais, moi, j'allais s'prendre dans la poubelle

quand t'étais un peu bisutéonte,

mais t'étais dans la poubelle.

Ah, c'était Arcelor ou Arcelé ?

Oh, j'ai fait les deux.

J'ai fait les deux, mais j'étais beaucoup dans la poubelle aussi.

Mais comment ça, dans la poubelle ?

Bah ouais, parce que t'avais...

Elle est grande, la poubelle.

Ah ouais, c'était des années 90, quand j'étais au collège,

et on mettait les élèves dans la poubelle,

ce qu'on voulait emmerder.

Dans les grandes poubelles vertes.

Ouais, ouais, et je me souviens que les profs,

ils disaient rien.

L'époque, ça leur semblait normal.

Ils disaient, oh, il faut que les jeunes s'amusent.

Et ?

C'est vrai.

C'est vrai.

C'est vrai.

C'est vrai.

C'est vrai.

C'est vrai.

C'est vrai.

C'était pas un concept, quoi.

Mais Max a complètement raison, ouais.

C'est vrai.

C'est vrai.

Alors, vous avez été dans la poubelle ?

Une fois, ouais.

Tu vois ?

Oui, mais c'était jeudi dernier.

C'était pour acheter cette écharpe.

C'était pour acheter cette écharpe.

Vous vous croyez qu'il a trouvé son écharpe rouge ?

Mais j'étais dans un lycée sport-étude.

Moi, c'était les études.

Les autres, c'était le sport.

C'est la meilleure vingtaine de l'émission.

C'est pas étonnant que t'es filleur d'une poubelle.

Et j'avais deux copains au cailleur.

Ah oui ?

Et donc, je les ai refrutés.

Attends, t'étais sport-étude de quoi, du coup ?

Ah ouais ?

Moi, j'étais étude.

J'étais pas sport.

Ouais.

On avait compris.

Oui.

FTL.

Les grosses tests répondent aux auditeurs.

Et on commence par un Jérémie.

Bonjour, Jérémie.

Bonjour, Laurent.

Bonjour.

Bonjour, les retraites.

Bonjour, le public.

Je vous ai réveillé, Jérémie.

J'ai l'impression.

Vous étiez en train de dormir en nous écoutant, c'est ça ?

Non, je télétravail.

Ah, vous télétravailer ?

Oui, c'est de servir en même.

C'est là où on voit l'escroquerie, en fait.

Qu'est-ce que vous faites comme télétravail ?

Je suis ingénieur en informatique.

Ingénieur en informatique.

Et si j'ai bien compris du côté de Saint-Raphaël, c'est ça ?

Oui, à Antilles, exactement.

Puisque vous souhaitez venir à nous voir à Saint-Raphaël, c'est bien ça ?

Oui, donc vous avez annoncé votre tournée des grosses têtes en mai,

et vous avez dit que vous passiez à Saint-Raphaël.

Depuis, j'attendais pour pouvoir m'inscrire.

Oui.

J'ai enfin vu, là, samedi, un numéro à appeler pour réserver une place.

Oui.

Mais dès que j'ai appelé, il n'y avait plus de place, déjà.

Mais c'est pas un numéro du SAV, là.

Pour voir tous les gens qui arrivent pas à réserver une place, en gros.

Après, il veut gratter une place, en gros.

C'est vrai, il paraît que c'est déjà complet.

La réservation se fait par e-mail.

J'essaye quand même de donner encore le mail.

Sur bi-étri-arobase-villes-saint-raphaël.fr, on sera à Saint-Raphaël à 19h00, vendredi 20 octobre,

à l'Esterelle-Arénat.

Mais il paraît que c'est vrai que les places sont chères.

Non, c'est gratuit.

Mais c'est pas de problème, il faut les facturer.

Moi, je prends en 10%.

Peut-être qu'on devrait les faire payer, parce qu'il paraît que c'est déjà complet.

Mais comme on veut avoir de l'ambiance, je ne suis pas sûr qu'on va vous en donner.

C'est dommage.

J'ai réglé.

Je vais l'avoir dans le public.

Il y a quelques arguments, en ma faveur.

Ah oui ?

C'est quoi vos arguments, dites-dans ?

Déjà, j'ai dit que niveau culture, je suis un peu plus comme Max Boubile que Palais Carrat.

Donc, je n'arrive pas de voler 100 euros à LL.

Oui.

Il ne s'est pas foutu de ma gueule, Laurent.

Il l'a fait lentement, mais surement.

Mais encore, mais encore.

Niveau corpulence, vous êtes plutôt à Riel Dombal que Bernard Mabille.

Donc, vous pourriez vous insérer entre deux personnes, dites-vous ?

Oui, c'est ça.

Puis, au vu de l'âge des gens de Saint-Raphaël, je vais quand même rajeunir votre audience,

et vous n'allez pas dire que vous cherchez déjà.

J'ai deux, trois vieux ici qui sont beaucoup plus dynamiques que toi.

Merci, Lely.

Merci.

Merci, Lely, maintenant.

Bonjour, Lely.

Bonjour.

Ah !

Ah, dites-la.

Ah !

Ah bah oui, hein, c'est un plaisir.

Ah bah, Céline, au moins, là, pour le coup, elle est joyeuse.

C'est ça.

Il faut dire qu'elle aimerait détester Jérémie Ferrand-Rhyme,

et elle n'y arrive pas.

Tout à fait.

Mais pourquoi vous aimeriez me détester ?

Parce que la semaine dernière, il y a eu une auditrice qui passait à l'antenne,

et qui disait qu'il ne vous appréciait pas trop.

Oui.

Mais ma mère, c'est dossier, Céline.

C'était mon meilleur moment de la semaine, des grosses têtes.

Ah bah voilà.

Et alors, et alors ?

Et moi, j'aimerais pouvoir le détester, mais j'y arrive pas.

C'est...

J'aime bien.

C'est quelqu'un qui a de la répartie.

Et voilà.

J'aime bien son humour.

J'aime beaucoup...

Son physique.

Tout ce qu'il fait.

Son physique.

Oui.

Bah pourquoi pas, hein ?

Je suis mariée il y a deux ans, mais...

Ah oui, d'accord.

Je suis mariée à deux ans,

mais je veux bien baiser avec quelqu'un d'autre.

Oh !

Ah !

Et c'est...

Céline, il vient d'où cette accent ?

On entend un petit accent, là, en fin de phrase, là.

Oui, j'ai du mal à l'effacer.

Moi, je suis de Boisicale, au nord de la France.

Ah oui, c'est un chti.

Et d'ailleurs, elle aimerait bien des places pour aller vous voir à Lille en 2024.

Ah d'accord.

Vous appeliez juste pour avoir des places.

D'accord.

C'est plutôt...

Écoutez, je vous invite, je vous mets deux places pour Lille.

C'est adorable.

Franchement, merci beaucoup.

Je vous comprends, parce que moi aussi, avant de le rencontrer,

j'arrivais pas à le détester.

Non.

Frédéric, maintenant, est au téléphone.

Alors Frédéric commence par deux choses.

Bonjour, Frédéric.

Bonjour, Laurent.

Bonjour à tous.

Bonjour, Frédéric.

Alors, vous adorez l'émission.

Vos grosses têtes sont géniales.

Sophie ou Anne-Rio, dites-vous.

On lui transmettra.

Et surtout, vous avez une demande officielle à faire, Frédéric.

Pour Karine Le Marchand, mais je crois que c'est un peu...

Alors heureusement, ma compagne n'écoute jamais les grosses têtes.

Donc, oui...

Oui, non, mais...

Oui.

Qu'est-ce que vous voulez faire comme demande ?

Ah ben, je la demanderais bien en mariage.

Il était disponible, les mots.

Par téléphone comme ça, ça marche souvent.

Elle est disponible.

Je crois qu'elle est disponible.

Mais il n'est pas disponible.

Il cherche un plan cul, quoi.

Alors, elle a juste quand même un seul défaut pour moi,

c'est qu'elle est née à Nancy et en tant que médecin.

Ah, j'étais sûr.

Je suis sûr.

Non, c'est fini, ça, maintenant.

Maintenant, entre Nancy et messe, quand même.

Il dit oui, oui, oui.

On dit oui, oui.

On dit weekend, on dit whisky.

On dit oui.

Il y a la guerre entre Nancy et messe.

Ma grand-vère, elle est messe, en plus.

Ah bon, messe.

Donc, ça va.

Mais il y a une guerre basée sur quoi ?

Non, c'est toujours les Trois-les-Garres-de-Clocher.

C'était souvent...

Je ne sais même pas d'ailleurs d'où ça vient.

Oh, comme tout...

Souvent, il y a deux villes à Potaco.

Comme Ion et Saint-Etienne, l'Havre et Rouen.

C'est ça.

Ah bon, il y a une guerre entre l'Havre et Rouen.

Neuilly et Saint-Toin.

J'aime bien messe.

Oui, Paris et Marseille.

Moi, j'aime bien messe.

Si Paul veut venir une fois à messe,

je me ferai plaisir de le faire visiter la ville,

puisque c'est mon métier.

Ah, vous êtes guide ?

Oui, oui, oui.

Ah...

Ah, ça a fait changer d'avis pour le plan Q.

Non, non, pas pour le plan Q,

mais non, non, mais il paraît que le Nouveau Musée est magnifique et tout.

Alors, le guide, guide à messe.

Oui, Nouveau Musée, mon guide d'eau, oui.

Frédéric.

Oui.

Puisque vous avez dit qu'elle n'écoutait pas l'émission.

Comment s'appelle votre coquille ?

Votre...

Elle s'appelle Gidwine.

Eh ben, on embrasse ça.

Et on se retrouve après les infos de 16 heures.

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...

L'un des grosses têtes avec Laurent Ruequier,

c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours 묻ais que Paulette Tarate, Marc Loub softer,

Teil sooner curve.

Christiane Barbier, Karine Marchand et Jérémie Pérande.

Une question d'actualité pour Solène Prudhomme qui habite terrain, pas terrain, un terrain dans l'héro.

Et la question porte sur Christian Demuro, Rob Enby et Maxime Guillon qui sont montés tous les trois sur le podium.

Mais quel podium ?

C'est un défilé, c'est la fashion week.

Non, pas du sport.

Alors du sport, oui, oui, oui.

C'est l'équitation ?

De l'équitation, pas tout à fait.

Du polo, du polo.

Mais oui, vous avez raison, c'est du chval en tout cas.

C'est ceux qui ont fait le grand prix qui s'est passé dimanche.

C'est-à-dire de triomphe.

Le l'art de triomphe.

C'est le trio gagnant de l'arc de triomphe, bonne réponse.

Bah oui, parce que ce sont les joquets qui montent sur le podium, ce n'ont pas les chevaux, c'est comme le rappelé.

Et Christian Demuro, Rob Ornby ou Ornby, je ne sais pas comment on prononce,

et Maxime Guillon sont bien les joquets de Ace Impact, Westover et Honesto, les trois chevaux qui ont gagné le grand prix de l'arc de triomphe.

Vous vous y êtes allés, vous avez du tout.

Non, parce que vous aviez l'air bien au courant, Karine.

Parce que je suis allé courir autour du podium.

Non, pas avec les chevaux.

Belle alzant, il y en a on dit.

Je suis allé courir hier, c'était un bazar.

Ah oui ?

Ah bah oui.

C'est peut-être en voyant Karine qu'ils ont couru plus vite d'ailleurs, les chevaux.

C'est peut-être pour ça.

Ça alors, je ne savais pas que vous couriez autour de l'hypodrome.

C'est très sympa, il n'y a pas de voiture, donc c'est pas dangereux.

Et comme il n'y a pas de voiture, il n'y a pas de prostitué non plus.

Si tu fais du sport là où il n'y a pas de voiture.

Vous ne courrez pas à la nuit, tout de même.

Bah il y en a de la jour.

Et puis les prostitués, ça ne t'empêche pas de courir.

Bah moi, j'ai peur des clients.

Mais ils ne viennent pas pour toi.

Bah ou non, c'est jamais sur un malentendu machin de faim.

Enfin, elles courent avec un saccarat.

Mais non, mais je te jure, j'ai peur.

Imagine, le mec qui court après en disant, c'est combien ? C'est combien ?

T'as vu une pute en train de courir en jogging ?

Mais j'ai peur.

Attends, dans le bois, je te jure, il y a des gens bizarres, il y en a quatre et tout.

Pardon, mais Monsieur Ferrari a raison.

Le propre, si j'ose dire d'une prostituée, normalement, elle ne bouge pas.

Ah oui, elle reste sur place.

T'as des mecs bourrés, t'as des gens qui viennent des cités à quatre.

Attends, c'est pas des gens forcément bien.

Il y a aussi des bons clients.

En tout cas, le grand prix de l'arc de triomphe a vu le triomphe,

c'est qu'elle veut dire du meilleur poule à français,

entraîné par monsieur Rouge et Oublion.

Et c'est un pas qui était favori.

Honnesto, le troisième était à 55 contrains.

Mais comment vous savez ça ?

Parce qu'il s'est dit, c'est l'actualité.

Exactement, 55 contrains, ça veut dire que vraiment, c'était un gros outside,

pour ne pas dire un tocard même.

Oui, parce qu'il avait fait une première course, il l'avait déçu,

sa côte s'était effondrée.

Là, à 55 contrains, parier dessus, c'était valable.

Et maintenant, il va aller aux États-Unis, disputer des courses.

Vous avez quoi le dimanche ? Je vous fais de quoi le dimanche ?

Je lis la paresse dans laquelle...

Le dimanche, il court.

Il court après les prix.

Il court au tour de l'hypodrome, dans l'autre sens.

Une autre question pour Monsieur,

qui est Pascal Ok, qui habite Busé sur Tarnes, en Haut-de-Garonne.

On nous parle dans la presse aujourd'hui comme d'un symbole du Doudouk.

Mais qu'est-ce que le Doudouk ?

Le Doudouk ?

Oui, le Doudouk.

C'est un nom français ?

Non, c'est pas français, ça, c'est vrai.

C'est un objet pour les enfants ?

Alors on peut dire Doudouki aussi, ou Dadouk, ou Doudouk, si vous préférez.

Et donc, on le connaît sous un autre nom, en France ?

Au nom des joueurs de rugby, tout à l'heure, encore.

Non, c'est pas des joueurs de rugby.

Bon, est-ce que ça, est-ce que ça rapport avec l'enfance ?

Alors on peut dire Doudouk, on peut dire Doudouk, Doudouki, Doudouk ou Dadouk.

C'est pas genre un fantôme, un truc comme ça dans les films d'horreur ?

Pas du tout.

C'est un animal ?

Un objet, oui.

Est-ce que c'est pas simplement un Doudouk pour les enfants ?

Ah non, non, non, non.

Ça vient d'Asie.

Au sens large du terme, alors.

Attends.

Est-ce qu'on en a ?

Ce qui, le rion...

Géographiquement, c'est plus précis que ça.

Ça vient de l'Arménie.

Expliquez.

C'est peut-être le symbole de l'Arménie ?

Oui, mais quel symbole, alors ?

Quel est le symbole de l'Arménie ? C'est un arbre ?

Un arbre, non.

C'est un chapelet ?

Un chapelet, non.

Un instrument de musique.

Et c'est un instrument de musique arménien.

Bonne réponse.

C'est vrai.

Le Christophe Barbier.

C'est le tour.

Et oui, c'est comme un au bois, en fait.

Un au bois cylindrique.

On en joue dans tout le cocasse.

Mais c'est vrai que c'est devenu,

surtout un instrument de musique arménien, symbole de l'Arménie.

Le Duduk, Duduk, Duduki, Duduk ou Daduk.

Parce que quand on en joue, ça fait Duduk, Duduk, Duduk.

C'est ça ?

C'est vrai ?

Elle est mignonne, hein.

Même quand elle dit quelque chose qui n'a pas d'intérêt.

C'est joli.

Ça casse le rythme, mais c'est mignon.

C'est joli, hein.

De quel instrument jouez-vous, genre ?

De la guitare et du piano.

Mais vous me savez, Laurent, quand même.

Bah oui, je pensais que vous deviez jouer Duduk aussi, vous voyez.

Du Duduki.

Du Duduki, si.

Et pourquoi on parle de cet instrument ?

Bah parce qu'on parle de l'Arménie, quoi.

L'Arménie, quoi.

On parle du Okaraba.

J'ai bien fait de poser la question, hein.

On est bien reçus, hein.

Bah on est bien reçus.

Une autre question, celle-ci, ce sera, à mon avis, pour M. Barbier,

puisqu'il s'agit d'un anniversaire qui concerne 90 ans.

C'est pas lui qui a 90 ans, Christophe.

Et bien plus jeune, bien sûr.

Mais c'est quelqu'un qui fait ses 90 ans aujourd'hui-même,

puisqu'il est né le 2 octobre 1933 à Paris.

Et c'est un de nos plus grands chefs d'orchestre,

dont je vous demande de retrouver le nom.

Casatsu ?

Casatsu, non.

Pandereki ?

Non plus.

C'est une question culturelle, musicale.

Et c'est vrai que c'est un nom qu'on connaît,

quand on connaît un peu la musique classique.

D'Akunyo, c'est un japonais.

Comme M. Barbier, qui en plus est venu, je crois, avec son épouse aujourd'hui.

Et oui, t'as fait qu'une chanteuse d'opéra, donc.

Voilà, je sais pas où elle est.

Peut-être qu'il a dirigé ma femme, si j'ose dire.

Bah voilà, là, là, là.

Lui.

Ah, lui.

Parce que moi, j'essaye de l'amener à la baguette,

ça marche pas du tout.

D'Akunyo.

Et là, peut-être vous soufflez, M. Barbier, alors.

C'est Michel Plasson, pardon.

C'est Michel Plasson.

Et la soufflée à Boubile.

Non, non, non, non.

Ailleurs, ça, c'est incroyable, quand même.

Bah parce que je m'intéresse à plus classique, c'est-à-dire.

Quoi, j'ai le droit d'avoir plusieurs cordes à mon arbre.

Et bah bonne réponse, comment s'appelle votre épouse, M. Barbier ?

Pauline, Pauline Courtein.

Allez, je le dis.

Et bien bonne réponse de Pauline Courtein.

RTN, 6 grosses têtes, 5.1.

Direction, moi, rends-nous à temps.

Benoît.

Bonne isère.

C'est par chez vous, ça.

Ah, c'est à côté.

Bonjour, Benoît.

Bonjour, Benoît.

Bonjour, Benoît.

Bonjour.

Benoît Charlot, c'est son nom.

Ah oui.

Qu'est-ce que vous faites dans la vie ?

Je suis technicien de laboratoire.

Parfait.

Et vous avez envie, grâce aux grosses têtes, de partir en voyage.

Et c'est un séjour Valdis Resort que je vous propose.

Très joli séjour, dans une talasseau Valdis Resort,

un week-end, 2 jours, pendant lesquels vous pourrez prendre soin de vous,

hôtel, talasseau, spa.

Alors nous vous emmenons au choix en Vendée,

Saint-Jean-de-Mont, en Loire-Atlantique,

au Porniché-Bait-de-Labeau,

ou encore en Bretagne, à Roscoff ou à Doire-Nené.

Vous choisirez sur talasseau.com, votre destination favorite.

Petite talasseau, ça ne se refuse pas, Benoît.

Vous êtes d'accord ?

Bien sûr.

Alors attention, vous écoutez bien les infos que vous vous donnez mes grosses têtes.

Il y en a 6, vous le savez.

Une seule sera vraie.

On commence par Jeremy Ferrari.

Nouvelle campagne de vaccination contre le Covid.

Les experts sont inquiets.

Ils espèrent que ça ne va pas réveiller Francis Lalanne.

Pas les carattes.

Gérard Depardieu a publié une lettre ouverte hier

pour nier les accusations de viols dont il fait l'objet.

L'acteur a écrit,

« J'ai déjà abusé de pas mal de dinde,

de boudin, de bécaste, de poulette,

et même de fillette, mais jamais d'une femme ».

Max Boublil.

Encore Gérard Depardieu qui aurait affiché un poster de Sandrine Rousseau dans sa chambre.

Comme ça, ça fait 5 punaises d'un coup, aurait déclaré l'acteur.

Christophe Barbier.

Jeux asiatiques d'athlétisme.

Un commissaire du stade a reçu hier un marteau de 7 kilos en pleine jambe

et a été évacué directement vers l'hôpital.

Il sera opéré pour une fracture du péronnet.

Karine Le Marchand.

Rentrer politique de François Bayrou hier.

Comme personne ne l'avait vu sortir, il restera la semaine prochaine.

Joyce, je n'attends pour terminer.

Expo Van Gogh au Musée d'Orsay,

l'Oraï gauche s'est exposé à l'entrée dans un pavillon témoin.

Benoît, qui a dit la vérité ?

J'ai entendu ce week-end, en plus, c'est Christophe Barbier qui a la bonne réponse

avec le juge qui s'est pris un marteau dans la jambe

pendant les Jeux asiatiques.

Exact, et bien voilà, pas la peine de...

Pas la peine de tergiverser.

Je ferais que c'était un juge qui s'était connu avec son petit marteau là pour dire...

Il a pris un marteau comme ça.

Le marteau n'est pas un marteau.

On appelle ça le marteau, mais c'est une grosse boule.

Un câble, un câble en acier.

C'est peut-être le câble qui fait mal plus que la boule.

En tout cas, c'est au jeu asiatique chinois

que ce commissaire d'un jury sportif a eu la jambe fracturée

par le marteau lancé par un coétien.

C'était un lanceur de marteau coétien.

Fracture du péronnet.

Pas si rarement que ça.

C'est pour ça qu'au tour de l'air de lancement,

il y a un filet pour éviter que ça parte dans tous les sens.

Parce que si ça part alors qu'on fait le tour incomplet,

ça peut partir dans le public.

Et parfois, le marteau, c'est-à-dire la boule,

se détache du câble.

Pour vous, c'est pas un accident, Benoît.

Vous avez gagné, vous allez partir.

Et bien, merci beaucoup.

Vous choisirez quoi ? La Vendée, la Bretagne, la Loire Atlantique ?

Je sais pas encore. Je vais choisir Madame.

Madame, Madame Charlot.

Comment ça passe, son petit prénom ?

Stéphanie.

Stéphanie, Benoît.

On va vous souhaiter un joli séjour là-bas,

en talasso, dans un Valdis.

Je reviens sur les autres infos.

Effectivement, la campagne de vaccination

contre la Covid démarre bien aujourd'hui.

On n'avait pas vous faire vacciner.

Moi, je crois.

C'est bon, là.

C'est bon, ça fait beaucoup.

On l'a déjà fait deux fois, trois fois.

Oui, mais bon, ça revient.

Oui, mais dans la tranche d'âge de Laurent, il faut le faire.

Oui, oui.

Voilà, il a raison.

C'est vrai, il a raison.

C'est plus prudent.

C'est aussi le début de la campagne de vaccination

contre le papillomavirus.

Je vais pas tout faire.

Ça, c'était pour la Covid.

De par Dieu, c'est vrai que dans le Figaro, aujourd'hui,

il dément à les accusations qu'ils sont contre lui.

Qu'est-ce que vous avez dit, vous boubliez ?

Sandrine Rousseau, non.

C'est vrai qu'il faut quatre punesses pour accrocher un poster.

Mais Monsieur de par Dieu n'a pas mis un poster

de Sandrine Rousseau dans sa chambre.

Van Gogh.

Il y a une très belle expo, Van Gogh qui démarre

au Musée d'Orsay, c'est ça, Monsieur Barbier ?

Oui, au Musée d'Orsay.

Il y a beaucoup de tableaux sur sa dernière année,

sa fin de vie.

Mais il n'y a pas de pavillon, témoin.

Quand Karine Le Marchand a vu la rentrée politique

de François Bayrou, qui lui a toujours ses deux oreilles,

mais qui...

Mais qui sont bien exposés.

Alors qu'une seule suffire.

Bonjour, Benoît, vous avez gagné.

Une question littéraire pour Yann Rouillier,

qui habite très flavouennant dans le furistère.

Quel est l'auteur

du prix Goncourt 1993,

le rocher de Tagnos ?

Amin Malouf.

Amin Malouf, bonne réponse

de Christophe Barbier.

C'est Amin Malouf,

le nouveau secrétaire perpétuel

de l'Académie Française.

Il va donc arrêter avant de mourir aussi.

Normalement.

Il a surtout eu la très bonne idée

d'écrire l'histoire de son siège.

Il occupe le siège numéro 29.

Donc il a repris depuis 1636

tous les titulaires de ce siège.

Il a raconté la vie de tous ses titulaires.

Comme si moi je racontais celle de Bouvard.

Mais vous êtes que deux depuis 1636.

Il y a eu plus de monde.

Il a appelé ça un fauteuil sur la scène.

C'est joli.

Christophe Chiloux, qui habite

coup de kerk branche pour être très précis.

Vous pouvez me dire dans quel oeuvre

c'est quelques phrases

désormais passées à la postérité.

Je viens de comprendre enfin

l'utilité du pouvoir.

Il donne ses chances à l'impossible.

Ou encore, il faut un jour

pour faire un sénateur

et dix ans pour faire un travailleur.

Ou encore, il vaut mieux taxer le visc

que renseigner la vertu

comme on le fait dans les sociétés républicaines.

Bon c'est les mémoires d'un politique ?

Non, non. Une oeuvre.

Dans quel oeuvre célèbre ?

15 de Machiavel.

C'est français.

Il y a aussi gouverné, c'est volé, tout le monde sait ça.

Mais il y a la manière

et moi je volerai franchement.

C'est 19ème siècle ?

La propriété c'est le vol ?

Non, ça c'est proudon.

Ah comme la rue.

Oui, souvent.

C'est quel siècle ?

Il me faut le titre de l'oeuvre

et l'auteur. Évidemment on est au 20ème siècle.

On cherche le nom déjà de l'homme politique

et lequel il a écrit.

Les deux.

Bravo, vous êtes prêts ?

Néron, Néron.

Vers Saint Gétorix.

Les mémoires d'Adrien par Maguri Toursenard.

Ah ça c'est bien.

Non, je sais, ça y est, je sais.

Les mémoires d'Adrien par Maguri Toursenard, non.

Non, je sais ce que c'est.

C'est Albert Camus Caligula.

Bon, arrête.

Oh j'ai pas eu le bien.

Arrête.

Arrête.

Effectivement Caligula signé Albert Camus.

C'était un ordre très sanguinaire.

Faites pas le bon élève qui fait tout.

Quand je crissais quelque chose,

c'est vrai, il était très sanguinaire

et il était très partoutzard.

Non, j'ai de la culture bien sûr.

C'est jusqu'au 9 octobre

au théâtre de Genevilliers.

Caligula, mis en scène

par Jonathan Capdeviel.

C'est le Caligula d'Albert Camus

qui se joue à Genevilliers

le premier à avoir joué

cette pièce de Caligula.

C'est Gérard Philippe.

Est-ce que c'est Caligula Paul

qui a nommé son cheval sénateur?

Oui, on lui pose des questions

comme si c'était le problème d'univers.

Paul, abre-moi de tout savoir.

J'aurais pu vous répondre aussi

que vous savez M. Barbier.

Je lui prends comme une insulte.

Par la polécarate, mon cheval est malade.

Non, mais enfin M. Barbier.

Et alors, il a envie de me poser des questions.

Non, non, non. Normalement, je représente ici.

La culture, le phare, la lumière.

Bien sûr.

Il a raison, Boubile.

Ah ouais, attends.

Plus difficile encore

la question suivante pour Michel Barry

qui habite dans les Yvelines

aux clés sous bois, précisément.

Voilà quelqu'un qui a écrit

une œuvre d'anticipation

qui se passait en 2440.

D'ailleurs, à quel point ces d'anticipations

c'est qu'on n'est même pas encore

en 2440.

Et pourtant, ça a été écrit

en 1770.

Qui a écrit l'an 2440

en 1770 ?

Jean Crébillon.

Non, il s'agit effectivement

d'un écrivain français.

Romanciers, dramaturges, philosophes, critiques littéraires,

journalistes

qui se qualifiaient lui-même,

je vais vous aider un peu,

de plus grands livriers de France.

Victor Hugo, non.

Diderot, non.

D'Alembert, c'est plus tard.

1770, c'est pas Fontenelle.

Fontenelle, non.

Bon marché.

Attendez, attendez, je vais trouver.

Il a une petite jouissance.

Est-ce que c'est ça ?

Est-ce que la personne qu'on cherche

a écrit plusieurs romans d'anticipation ou un sol ?

Ah non, c'est une chronie, comme on appelle ça.

L'an 2440,

publié en 1770,

il a effectivement été aussi

député de la Convention nationale.

Il a même, il faut le dire,

été contrôleur de la loterie nationale,

parce qu'à l'époque,

pendant la révolution, a été créé la loterie.

Il était contre dans un premier temps.

C'est Christophe Bougrand ?

Il avait écrit contre la loterie,

puis quand la loterie a été rétablie,

eh bien il a finalement accepté

d'être contrôleur général de la loterie.

Monsieur Ruchier, il a retourné sa veste

et il a même dit, il a eu cette phrase assez jolie,

il a dit, depuis quand n'est-il plus permis

de vivre aux dépens de l'ennemi ?

Monsieur Ruchier, est-ce que c'est

restif de la Bretonne ?

Non, non plus. Fabre Déglantine ?

Non plus.

Ah bah est-ce que c'est quelqu'un de connu ?

Nous on peut savoir, ou c'est que les deux du groupe ?

Est-ce que c'est dans le dictionnaire ?

Ah bah oui, bien sûr qu'il est dans le dictionnaire.

Ah bon ? C'est pas collo des rois.

Est-ce qu'il y a une chose que je le connaisse, Laurent Ruchier ?

Il est mort, il est mort en 1814.

Pless Pascal ?

Il est né en 1740.

Le Marquis de Sade ?

Le Marquis de Sade, non. Il a écrit aussi

« Rêve s'il en fût jamais ».

Ah « Rêve s'il en fût jamais ».

La brouette du vignet grillé.

Il est némou, il est némou.

La brouette du vignet grillé.

Le bel homme à brouette.

Ah monsieur le vignet grillé, encore du vignet grillé.

Merci à...

Alors il s'était mis en ménage avec une Louise-Mariane Machard,

si ça peut vous aider.

Ça nous met sur des pistes, c'est vrai.

Après un présentateur du loto du XVIIe siècle, c'est pas facile.

Et il a quand même osé dire à Robespierre

« Vous êtes l'ignorance personifiée ».

Il n'avait pas ça long dans la précie.

On est sur quelqu'un de prétentieux.

Moi je l'aime pas.

C'est quoi ces prénoms ?

Nicolas Bilovarene ?

Non, non plus.

Le faux blase encore.

Je suis sûr qu'il existe même pas Nicolas Bilovarene.

Des haines de pièces, des pièces en verre.

C'est pas restif de la Bretonnerie ?

Jean-Marc Chaloupé ?

Non, non, non, non.

Parce qu'il a les mêmes dates que le Marquis de Sade.

C'est quoi, monsieur Ruequier ? C'est quoi ces prénoms ?

Il reste 30 secondes.

Ah bah non, sûrement pas.

Vous n'aurez pas les prénoms.

Fustel de coulanche ?

Non.

C'est après.

Ça c'est un historique.

Et après ?

Et après ouais.

Fustel de coulanche.

Numar.

Il n'y a même pas un prénom là-dedans.

Dans ces cas-là, à l'époque,

Jacques Martin ajoutait Juryne de Fontencourt.

C'est pas mal.

Eh ben voilà, 300 euros.

Monsieur Barry, au clé sous bois,

touche un chéquer tel.

Est-ce que quelqu'un aurait la réponse dans la salle ?

Personne.

Et son prénom, c'est quoi son prénom, monsieur Ruequier ?

Ils ont sa culture, ils sont pas assis ici.

Et son prénom, c'est quoi ?

Louis Sébastien, de prénom.

Mercier.

Eh ben oui, mais c'est trop tard.

Louis Sébastien, mercier.

De rien, de rien.

300 euros qui s'en vont.

Et c'est pas mal.

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Une question pour Damien Malfais

qui habite plus malin dans le...

Malfais le beau.

Monsieur Malfais habite plus malin

dans le Morbillon.

Et la question concerne Jeanne d'Arc.

Qu'est-ce qu'on peut désormais faire

avec Jeanne d'Arc ?

Ah, l'étendre, l'étendre.

Non, pas l'étendre.

Il y a une application.

Il y a une nouvelle statue.

Il y a une application

qui permet de l'interviewer

de discuter avec elle.

L'intelligence artificielle

répond à sa place.

On peut parler avec Jeanne d'Arc.

Bonne réponse de Christophe Barlier.

À quel moment on peut parler avec elle ?

C'est assez normal qu'une fille

qui a été entendue des voix

face à entendre la sienne, maintenant.

C'est tout nouveau, ça vient de sortir

avec l'intelligence artificielle.

On vous donne

une sorte de magnète, voyez-vous.

Et il y a un QR code derrière.

Et grâce à ce QR code,

vous pouvez poser.

Parce qu'on pourrait croire

que c'est enregistré à l'avance

qu'on sait ce qu'on va dire.

Ah non, elle parle en direct.

Non.

Non, c'est de l'incroyable.

Non, mais vous pouvez lui poser

toutes les questions que vous voulez.

Et en fait, comme je ne sais pas,

c'est une sorte de mix

entre chat de GPT.

Oui.

Elle va vous répondre

quoi que vous lui demandiez.

Elle répond.

Elle répond.

Parce que l'intelligence artificielle

va puiser dans la mémoire

du procès, notamment.

Et elle répond.

Oui, quelle sur sa vie.

C'est ce qui permet de vérifier.

C'est ce qui permet de vérifier.

C'est ce qui permet de vérifier

que Jandark n'est plus celle qu'on croyait.

Ah !

Mais...

Pas mal.

C'est beau à sa femme.

Elle lève et l'applaudit

encore à cette connerie.

Il vous fait encore rire, madame.

Toujours.

Ah, c'est la petite chauffe

qu'est là-bas ?

Non, elle est belle.

La petite chauffe.

Qui a envie de parler

avec Jandark ?

Plein de gens ont envie

de parler avec Jandark.

Et puis c'est vrai que

vous pouvez lui demander

toutes les questions.

Et il vous répondra.

Est-ce que t'es la sœur

de Mireille ?

Ah bah non, Mireille.

C'est la sœur de Mireille.

Non mais on lui pose des questions

sur sa vie à elle.

T'as pas trop chaud ?

Non, ça va.

Ça s'est arrangé.

Est-ce que tu connais Marine Le Pen ?

Oui, je l'aime beaucoup.

Voilà.

Est-ce que t'as le sentiment

d'être récupéré ?

Oh bah tout le monde

essaie de me récupérer.

Ouais.

T'as de trucs quoi ?

Est-ce que tu connais

Christophe Barbier ?

Qu'est-ce que t'as dit ?

Quelle a été ton dernier mot

sur le bûcher ?

Oh.

Je veux descendre.

Et le bourreau m'a répondu

tu vas en affaire.

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Ah !

Et le bourreau m'a répondu

tu vas en avoir.

C'est une salle.

J'ai écouté un podcast

sur Jeanne d'Arc

de Laurent Dutch

sur RTL.

Dis donc t'as du temps à perdre.

Et je sais que les derniers mots

de Jeanne d'Arc ont été

Jésus, Jésus, Jésus.

C'est vrai ?

Non.

Je suis, je suis, je suis.

Écoutez.

C'était pas en espagnol.

Elle est espagnol.

Elle est espagnol.

On a tout fait

sur les derniers mots

de Jeanne d'Arc

et les grosses têtes

les ont souvent rappelés

Monsieur Barbier

à rappeler effectivement

Je ne suis plus celle.

Qu'est-ce que vous avez dit d'autre ?

Je veux descendre.

Voilà, je veux descendre.

Il y a eu aussi...

Pourvu qui pleuve.

Voilà, pourvu qui pleuve.

Ça, c'était Jean-Yann.

Ça, c'est Jean-Yann.

Pourvu qui pleuve.

Qui me l'a volé.

Qui me l'a volé.

Mais bon oui.

Il y a eu plein.

Vous m'avez pas cru.

Vous m'en récuite.

Bon, il y en a...

Mais moi, je fais confiance à RTL.

J'écoute les podcasts.

Je me dis ça va me servir

aux grosses têtes.

J'arrive ici.

Je dis Jésus, Jésus, Jésus.

On me dit non, c'est pas ça.

Je pense qu'on va tout savoir du courrier.

Mais en tout cas, on peut...

Elle est mort très virement,

Jeanne d'arc, Laurent.

1431, si vous voulez, ça va.

Ah oui, c'est sa date quand même.

Je connais la date par coeur,

parce que Jeanne d'arc en Normandie,

c'est important, c'est là

où elle a été brûlée.

Ah bon ?

C'est les mêmes dates

que fut-ce tel de coulange.

Philippe de Villiers a acheté

l'anneau de Jeanne d'arc,

qui était le propriété des Anglais.

Il y a quelques années.

L'anneau ?

Oui, elle avait une baille,

un anneau.

Il a fondu ?

Oui, parce qu'elle l'a enlevé

avant de mourir,

et les Anglais l'ont emporté

en trophée,

et Philippe de Villiers

l'a racheté il y a quelques années.

On n'est pas tout à fait sûr

de l'autre côté.

C'est un gros déconard,

ce Philippe de Villiers.

C'est pour exploser au puits du fou,

j'imagine.

Bien sûr, on peut exploser,

sans doute.

Mais le prochain truc,

c'est de réhabiliter

l'évêque Cochon,

qui est de sinistre mémoire,

parce qu'il a fait brûler

Jeanne d'arc,

mais qui, avant, avait été

un magistrat impeccable

pendant la guerre de Santon,

et qui avait notamment

un peu aidé à libérer Paris

de la révolte des cabochins

en 1413.

C'est un beau combat

dans lequel tu vas te lancer.

Si on prend la même logique,

il faut réhabiliter Pétain,

parce qu'avant le Vichy,

il était très bien.

Montez l'association

tous les deux.

Tu vois ce que je veux dire ?

Ouais, ouais, ouais.

On a l'impression

d'être au bistro.

Tu vois ce que je veux dire, Marcel ?

Tu vois ce que je veux dire ?

À Marcel.

Pour Armand Guimbous,

qui habite à Mien,

dans la Somme,

une question

sur un ingénieur autrichien

qui s'appelait Gaston.

Son nom est resté

à la posterité

grâce à une arme

laquelle...

Comment ça ?

Gaston ?

Cet autrichien

prénommé Gaston.

Un arme à feu ?

Un arme à feu, oui.

Gaston Winchester ?

Winchester, non.

Ah, c'est pas Colt.

Ce n'est pas Colt.

C'est Samuel Colt.

Mais c'est vrai que Colt,

c'était quelqu'un

qui a laissé son nom

au fameux Colt.

Colt avait une phrase

que j'aime beaucoup.

Il dit Dieu a fait

des grands et des petits,

je les ai rendus égaux.

Grâce à une arme.

Est-ce que c'était

Gaston Gloc ?

Gaston Gloc.

Gaston Gloc,

bonne réponse

de Christophe Barbier.

Et oui, un Gloc.

Alors un Gloc,

on a l'impression que c'est

un peu en plastique comme arme.

Je pense que quand on est

face à un Gloc,

ça ne fait pas du tout

arme en plastique.

C'est vrai.

Mais c'est moins lourd

que les taux, c'est vachement bien.

Je crois que c'est l'arme

de Colt.

Oui, j'adore tirer.

Ça s'écrit.

Mais sauf quand tu cours.

Comment ça vous adorez tirer ?

J'adore tirer.

Où est-ce que vous tirez

dans un club de tir ?

Oui.

Mais moi aussi,

on pourrait se croiser

quand on va tirer.

J'adore.

Avec la légende armerie.

Mais vous tirez sur qui ?

Ce sont des photos

de qui ?

Je l'adore.

Sur des cibles.

Des cibles.

Mais étonnamment,

c'est un truc qui détend beaucoup

parce que vous êtes très

concentrés.

C'est ça.

Comme vous êtes

dans des endroits

insonorisés,

comme ça a coupé du monde,

il n'y a pas de réseau

et tout.

C'est vraiment,

ça me détend beaucoup.

On dit détendu.

C'est obligé de retenir ton souffle.

C'est tout un...

Donc c'est vrai que

t'es hyper concentré,

ça fait un bien fou.

Glock, ça s'écrit G-L-O-C-K.

Et non pas G2L au cul, évidemment.

Mais en tout cas, c'était bien.

Gaston Glock, bravo,

Christophe Barbier.

R-T-L,

le livre du film.

Je chante à la boucle.

Chalin la poterie,

c'est dans le Mané Loire.

Chalin la poterie.

Une question qui concerne

un livre dont on va avoir.

J'allais dire l'auteur.

Non, d'ailleurs,

ce n'est pas l'auteur

d'un livre qui a été publié

en 1907.

Et c'est vrai que

ce combat,

il n'est plus de ce monde.

Donc on aurait eu un peu de mal

à l'avoir au téléphone.

Aujourd'hui,

il est mort, je crois,

dans les années 19...

Avec chaque GPT, c'est possible.

Oui, c'est vrai

qu'aujourd'hui,

tout est possible.

Il est mort dans les années 1920.

D'ailleurs, je crois,

20 ans après avoir publié

son ouvrage,

qui est une autobiographie.

Et je vais vous demander

d'ailleurs,

quelle est le seuil ?

Qu'est-ce qu'il y a ?

Qu'est-ce qu'il y a ?

Qu'est-ce qu'il y a ?

Qu'est-ce qui est l' seekers reconcile.

Mais pour moi,

c'est bon,

je pense que l'applaudissement

suffit à penser

et surtout,

ce initiationopsique n'est pas

de Valère Improvement.

Voilà.

."

Il est mort dans

Every Thisuo Village.

allows

sans fuss dates et

verticulées.

parce que dans son autobiographie, on comprend quand même qu'il exagère un peu,

qu'il a un peu de tendance à se surestimer, non ?

– C'est le moins qu'on puisse dire, mais en fait c'est une tradition qui était assez partagée

dans le milieu de l'ouest américain,

c'est un territoire où on aimait raconter ce qu'on appelle des taux de thèses,

des histoires énormes, des galéjades.

Et alors évidemment, dans son autobiographie, il se perd un peu,

et de temps en temps, il donne l'impression de raconter quelque chose qui est arrivé,

on a plutôt l'impression que c'est arrivé à Erkul ou à un héros de la mythologie grecque,

et parfois, il revient sur Terre et raconte de manière assez descriptive

qu'elle était vraiment le métier des Cowboys, qui était un métier difficile physiquement,

il fallait beaucoup de patience rester en scène de longues heures,

parfois des jours et des jours.

– Il faut dire que c'était le roi du Rodeo,

il avait été esclave dans un premier temps, et puis c'était affranchi, comme on dit,

et il est devenu effectivement Cowboy, le Cowboy noir.

– Oui, ce sont d'ailleurs les deux premiers chapitres sur la période où ils étaient esclaves, enfants,

donc pendant la guerre de ces séctions,

ils sont très intéressants parce qu'ils permettent de comprendre ce qui s'est passé

juste après la guerre et pourquoi il y a une migration de jeunes esclaves noirs,

en général des hommes, vers l'ouest, où on avait besoin en fait de Cowboys.

Et comme ils occupaient déjà, très souvent des bêtes dans les fermes et les plantations d'où ils venaient,

ils ont été une main-d'oeuvre assez facile à récupérer par les grands ranchers,

notamment dans le Texas où il y avait déjà beaucoup d'esclaves Cowboys,

puisque c'était un état confédéré, un état confédéré, le Texas,

et donc ils ont été très nombreux, recrutés, juste après la guerre de ces séctions,

pour récupérer le bétail qui s'était dispersé pendant la guerre.

– Et ce qui est surprenant, c'est que c'est dans la première partie, effectivement, dans son enfance,

quand il est encore esclave qui l'évoque, on va dire sa couleur, le fait qu'il soit noir,

mais après il n'en parle quasi plus jamais.

– Non, et c'est ce que je dis dans ma préface,

je pense que c'était sa manière de gérer ce problème.

D'abord, rejoindre le monde des Cowboys, c'était rejoindre un monde

où finalement on était surtout jugé pour sa compétence professionnelle,

même si à mon avis, il y avait aussi de la ségrégation,

et c'était un moyen aussi de se réincarner dans une espèce de super race,

parce qu'en fait, il épouse les côtes des blancs, il tient des propres racines

dans son autobiographie contre les Amérindiens, contre les Mexicains.

On voit bien qu'il ne se voit plus comme un noir, il se voit comme un blanc,

– Mais c'est aussi dû au fait qu'à mon avis raconter ses histoires

dans sa seconde vie, ou sa troisième vie, qui était celle d'un employé des wagon lits Pullman,

il avait l'habitude de raconter ses histoires aux passagers qui étaient évidemment des blancs.

– Oui, c'est simple pour caricaturer, on peut dire qu'il a fini contre l'or SNCF en quelque sorte.

– Mais oui, absolument.

– Et alors il avait une épouse, il a dédié son livre, je trouve ça très touchant,

Madame Alice, d'abord Love, d'où vient le nom d'ailleurs, Love ? Alice Love et Nat Love.

– Vous savez que les esclave n'avaient pas de nom en fait, ils avaient des prénoms,

et on leur attribuait le nom du propriétaire de l'exploitation qu'il faisait travailler.

Donc là c'était le nom de Robert Love, un grand planteur du comté de Davidson dans le Tennessee.

– Son propriétaire, entre guillemets, en quelque sorte, donc Nat Love épousait, j'imagine,

Alice qui a pris son nom ensuite, Alice Love. Ça a été un grand séducteur ?

– Lui se présente à un moment dans son autobiographie, comme quelqu'un qui était plutôt,

qui rencontrait beaucoup de femmes, mais en fait il n'a eu que deux amours dans sa vie,

s'il en avait en quoi. C'est une belle mexicaine qui est morte trop tôt,

et c'est Alice qui l'a rencontrée plus tard à Denver, à la fin de sa carrière de cowboy,

et qui avait déjà quatre enfants quand même.

– Comme on est aux grosses têtes, on est évidemment obligé de parler de son surnom tout de même,

parce que son surnom à Nat Love, c'est pas le cowboy noir, c'est Deadwood Dick.

– C'est ça.

– C'est-à-dire, on va dire en gros, beat de bois mort, c'est ça ?

– Non, en fait, le mot Dick, dans la langue populaire américaine, il a eu bien des significations,

et je pense qu'à l'époque, le Dick, appelé quelqu'un Dick, c'était comme l'appelais,

je ne sais pas, Dupont, Marcel, c'est un nom très commun.

C'était une manière de dire, c'est le type de Deadwood.

– Ah, d'accord.

– Et en fait, c'était une double, c'est une double référence, cette histoire.

C'est une référence à la ville de Deadwood où il a participé à un concours de tir et de lasso

qui l'a remporté, et il raconte qu'on lui a donné ce titre de gloire de manière un peu moqueuse.

Mais je pense aussi qu'il associe ce nom à celui d'un héros de la littérature populaire de l'époque,

mais on ne peut pas dire que c'est inspiré par le héros de la littérature populaire américaine de l'époque,

parce que ce héros n'a été créé qu'en 1877, or on lui a donné ce sobriquet en 1867.

– Oui, donc ça marche pas.

– Non.

– Comment vous l'avez retrouvé, ce manuscrit de Nat Love ?

Ça a été publié aux États-Unis déjà depuis longtemps ?

– Oui, le texte aux États-Unis, il est édité et réédité depuis longtemps,

notamment grâce au mouvement pour les droits civiques dans les années 1960,

et c'est là où on l'a sorti de l'auté.

– Mais ça n'avait jamais été traduit en français ?

– Jamais, et je dois dire que c'est parce que j'avais travaillé avant sur des récits d'esclaves

et des contes humoristiques des esclaves nord-américains que j'étais amené à découvrir Nat Love,

parce qu'en fait, il fait partie de ces récits d'esclaves auxquels on ne prête pas attention,

parce qu'il n'a pas vraiment de discours politique sur l'esclavage.

Il n'y a pas, c'est pas quelqu'un qui s'est échappé des plantations,

comme par exemple Frédéric Douglas,

donc il est passé un peu à travers les écrans radar.

En plus, on a très peu de preuves de ce qu'il raconte.

On a des preuves de sa naissance, de l'endroit où il a grandi.

On a des éléments sur sa vie d'employer des chemin de fer.

Sur le monde des cobots, il raconte beaucoup de choses,

mais on n'a que son témoignage pour vérifier que c'est vrai.

– Alors évidemment, il se vente un peu, il se hausse du cal, comme on dit,

ou du colt, peut-être, je devrais dire.

En tout cas, ça s'appelle « Kobayu Noir ».

C'est une autobiographie qui date du début du 20e siècle,

mais c'est traduit par Thierry Beauchamp et préfacé par notre interlocuteur.

C'était notre livre du jour « Nat Love » « Le Kobayu Noir ».

Merci Thierry Beauchamp.

Une question pour Brigitte Font,

que qui habite le chatel,

c'est une polémique, est-on pour, est-on contre ?

C'est la compagnie aérienne turcaux néerlandaises,

Corendon Airlines, qui a décidé d'instaurer ça sur ses vols,

pas tous ces vols, vols, on va dire,

ils ont courriés vers les Antilles,

mais quelle est la particularité de ces vols

vers les Antilles de cette compagnie aérienne ?

– Ce n'est pas les vols sans enfants ?

– Adults only, sans enfants.

Bonne réponse de Jérémy Ferraris.

– On sent qu'il a tout de suite été intéressé pour Thierry Beauchamp.

– Moi, je n'ai pas d'enfants, donc effectivement,

moi, j'aime bien les vols sans enfants,

mais après, bon, après, de toute façon,

en réalité, dans les avions, ce n'est pas très gênant,

c'est sûr que dans les trains, c'est compliqué,

quand tu veux travailler, c'est surtout ça.

Mais bon, après, voilà, il y a des enfants, il y a des enfants,

il faut accepter.

– Oui, ils ont trouvé le truc, voilà,

ils promettent des vols sans enfants,

il faut avoir plus de 16 ans pour pouvoir voler à bord.

– Mais il y a maintenant aussi des restaurants sans enfants.

Enfin, en fait, ça se démocratise beaucoup,

il y a de plus en plus d'endroits sans enfants.

– Et bientôt, il y aura des émissions sans enfants.

– C'est vrai que j'ai moins de 16 ans, mais...

T'as fait, ouais.

– Je me souviens, quand j'avais mes petites, qui étaient tout bébés et tout,

c'était un peu montrer du doigt et tout,

ils te mettent toujours dans une salle en haut avec les poussettes à l'arbre.

– Bah c'est normal, c'est souvent chiant, hein.

– Bah ouais, non, mais excuse-moi d'être discriminé.

– Nous, la dernière fois, je ne sais plus sur quelle ville,

on a refusé des gens qui sont venus avec un bébé.

– Au spectacle ? – Deux mois au spectacle.

– Ah ouais, non, mais c'est...

– Deux mois, deux mois, c'est vrai.

– C'est vrai qu'il avait payé sa place.

– C'est vrai, moi, je me souviens d'un mec dans un spectacle,

– C'était à l'européen, je crois, il m'avait tendu son bébé sur scène.

– Mais non, pas le royaume. – C'est pas le royaume, quoi, je ne savais pas.

Quand je l'ai pris, je l'ai embrassé, je lui ai rendu,

mais j'ai l'impression d'être un raban, quoi.

– Non, mais ça, c'est vrai que dans les salles de spectacle,

les gens ne comprennent pas que ça puisse agacer la personne qui est sur scène,

d'entendre des hurlements de bébé pendant tout un spectacle, c'est impossible.

– C'est impossible, c'est impossible.

– Moi, ça ne me dérange pas, on était bienvenus.

– Et en plus, c'est dangereux pour les petits,

parce qu'il y a des sons, des touts, c'est pas bon, le son, le son, c'est pas possible.

– Pas vrai, mais en tout cas, il faut le répéter.

– Voilà.

– Ça, c'est pour faire garder son enfant.

– Oui, mais moi, il m'arrive de dire à mes enfants,

si vous n'êtes pas ça, je vous emmène voir Jérémy Ferraris.

– De pas mal.

– En tout cas, des espaces adultes,

seulement pour les avions de la compagnie turconère l'Andes Corrènes d'Harrelline,

c'est évidemment certains parents râles, d'autres trouvent ça formidable,

parce que ça leur permet de voyager tranquille.

– Je sens que vous voulez voyager tranquille, vous, Karina.

– Ça dépend des fois, mais c'est bien qu'on ait le choix,

et puis ceux qui veulent pas d'enfants, ils prendront cette compagnie, point-de-barre.

– Non, mais si...

– Ma parents empêchent les gens de vivre maintenant.

– En vrai, si pendant le voyage, vous avez prévu de travailler, quand même,

et que vous avez un vol comme ça, c'est plutôt chouette, quoi.

– Ah oui !

– Ça va pas dire d'éliminer les enfants de tous les avions,

je veux dire, c'est vrai que d'avoir des possibilités comme ça, moi, je trouve ça bien.

– Non, mais c'est vrai que je peux comprendre que ça va être ennuyeux,

mais bon, en tant que mère, c'est quand même...

– Je ne vois pas ce point, je suis dans des restos, j'essaie...

– Oui, mais je pense que c'est des volants plus, c'est pas des volants là-bas.

– Non, mais j'imagine que ça doit être compliqué,

parce que je vous ai déjà vu voyager avec votre fille,

et j'ai vu des gens aller vers la petite gamine,

quelle âge est là aujourd'hui ?

– Elle va avoir trois ans.

– Voilà, j'ai vu des gens aller vers elle,

puis tu peux pas dire à ta mère d'arrêter de chanter.

– Quand tu vas au Japon ?

– Je vais en Chine, non, je ne l'apprends pas.

– Une question culturelle, et historique maintenant pour Laurent Vignali,

qui habite à Argentoil, dans le Valdoise,

sera mis en vente le 24 novembre à Drouot,

une légion d'honneur importante, celle de Napoléon,

dites-donc, vous imaginez, il va être là-bas,

là, à l'autre fou, là, comment il s'appelle...

– L'empereur. – Chalançon ?

– Chalançon.

– Napoléon Bonaparte ?

– Tant qu'il chante pas.

Mais va sûrement vouloir acheter la légion d'honneur,

Chalançon, de Napoléon.

– Oui, elle doit falloir beaucoup d'argent.

– Oui, une question qui concerne l'empereur,

après, ça défaite à Waterloo, il est parti en exil,

avec sa légion d'honneur qui ne le quittait pas,

mais il est parti à bord de quel bateau, dans un premier bateau ?

– Il y a le Northumberland bel-Hélène.

– Comment vous dites ?

– Le Northumberland, le Titanic.

– Non, déjà, c'était adulte-only.

– Je parle du premier bateau.

– La belle poule ?

– La belle poule, non.

– Non, c'est Rhab Mille-Lissonde, c'est le nom du bateau et français.

– Ah oui, ça sonne plutôt français, oui, c'est un navire de ligne,

74 canons, navire de classe, de...

– Qui portait le nom d'un militaire célèbre ou d'un nom d'État ?

– Non, non, non.

– C'est le quelque chose ?

– Non, c'est le quelque chose, oui.

– D'une région ?

– Le grand quelque chose ?

– On peut te louber par des duches.

– Le belhérophon ?

– Comment vous direz ?

– Le belhérophon.

– Le belhérophon, excellent réponse !

– On a dit la lue, quel talent.

– Alors là, regardez la tête de Panneca.

– Je l'avais plus tard.

– Je vais vous dire pourquoi je le sais,

c'est parce que c'est cité dans une pièce de genre à Nouï,

qui s'appelle la foire d'ampoigne,

qui raconte justement cette période de 1815, voilà.

– Quelle culture ?

– Excusez-nous, monsieur le cultiver.

Je vais vous dire pourquoi je le sais,

parce que je suis extrêmement intelligent.

– Ah non, mais monsieur Boubile...

– Je lui fais l'amour 7 fois par jour !

– Monsieur Boubile, soyez plutôt fier de côtoyer ici au Grosse-Tête,

quelqu'un qui est une vraie Grosse-Tête, parce que franchement...

– Ceux entendus-tu n'en est pas une, hein, si t'as pas capté l'info, hein.

– Ceux entendus-tu une personne ?

– Ceux entendus-tu n'en est pas une, hein, si t'as pas capté l'info, hein.

– Il faut savoir que le bel héros-fond est effectivement le bateau sur le canyon,

il y en a eu un autre après, parce qu'il a pris plusieurs bateaux, effectivement,

mais c'est d'abord sur le bel héros-fond qu'il a embarqué,

Napoléon, bravo, monsieur Christophe Barbier, vous êtes une vraie Grosse-Tête.

– Les Grosse-Têtes de Laurent Ruequier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

– Toujours avec Christophe Barbier, pas l'aïcarrate !

– Joe Jonathan, Max Boubile, Karine Le Marchand et Jérémy Serrat.

– Nous aurons dans un instant, monsieur Patrice Léné au téléphone, je ne vous dis pas de quoi.

Il est spécialiste, monsieur Léné, parce que ça vous aiderait trop haut, quoiqueux,

on marquait si je pourrais, parce que la question est toute simple,

la réponse devrait fuser rapidement pour David Rons, qui habite mangue dans le Nord.

Monsieur Léné, dans un instant au téléphone, nous dira si on peut se fier oui ou non,

à Champignouf, mais qu'est-ce que c'est que Champignouf ?

– Je m'adore !

– C'est une application ? – En tout cas, c'est rigolo.

– Une application pour trouver des champignons ? – Oui, rien que le nom, c'est marrant.

– Justifié ! – Je sais bien la question.

– La question, je me suis dit qu'ils vont trouver en 15s, mais Champignouf, ça fait marrer, vous voyez.

– C'est une application pour les champions. – C'est une application pour trouver des champignons.

– Pour les reconnaître. – Pour les cuisiner, pour les cuisiner.

– Et pour distinguer les vénéneux des commerces.

– Évidemment, une application pour distinguer les champignons vénéneux des champignons,

comme est-ce qu'il y a là.

– Bonjour, monsieur Léné. – Oui, bonjour.

– Vous êtes secrétaire générale de la Société Micologique de France.

– C'est ça. – C'est-à-dire spécialiste en champignons.

– Oui. – Est-ce qu'on peut se fier à Champignouf,

puisque c'est une application qui nous dit,

j'imagine qu'on prend en photo de champignons qu'on a trouvés.

– C'est pas possible d'appeler Champignouf. – Et Champignouf nous dit si le champignon peut manger ou pas.

– Il n'y a pas d'équipe marketing.

– C'est si long que ça ne fait pas. Les concepteurs de Champignouf ne disent pas qu'ils ne se produisent pas.

– Non mais ça ne marche pas. Les concepteurs de Champignouf.

– Ah, je suis désolé. – Mais non, mais il n'y a pas d'épidémie.

– Oui, mais ils ne se vendent pas de dire si un champignon est comestible toxique,

ils essaient de donner le nom du champignon, c'est à dire.

– On est en forêt, on voit un truc bizarre.

Moi, le mec qui me dit, « Attends, je vais vérifier sur Champignouf ».

Je lui lui laisse tomber, on ramasse pas ça.

– Vous dites qu'il ne faut pas se fier à Champignouf.

– Ah bah non, il faut vocifier. Alors ils ne prétendent pas donner de la comestibilité,

néanmoins ils essaient de donner le nom et parfois ils trompent.

– La question, c'est donc, est-ce qu'il faut se fier ?

C'est le parisien, d'ailleurs, qui est venu sur cette question.

Est-ce qu'il faut se fier à Internet et aux applications ?

Il n'y a pas que Champignouf d'ailleurs, j'imagine qu'il y en a d'autres.

– Tout à fait, tout à fait. Non, c'est le même problème.

Un champignon avec une photo, c'est trop difficile d'identifier.

– Mais j'ai choisi Champignouf parce que je trouvais ça mignon,

et quitte à mourir intoxiqué, autant mourir joyeux.

– Ah oui. – Ça, c'est votre problème.

– Mord à cause de Champignouf. – Il est mort à cause de Champignouf.

Je trouve ça plus joyeux, vous voyez, que...

Oh, est-ce que mon champignon est venu ?

Il y en a beaucoup, en tout cas, des champignons en ce moment, monsieur Lenné.

– Il y a une poussée au mois d'août.

Là, vous avez remarqué l'AVTO depuis ces derniers jours.

Il fait très chaud, très sec. – Ah, ça, c'est l'hémicose.

– Donc, éventuellement, il reste les champignons-là.

Mais le pro l'orest, là, c'est la pause, là.

– Quel est, on va dire, le truc classique, le plus facile à faire

pour être sûr de ne pas se tromper ? C'est d'aller chez le pharmacien, c'est ça ?

– Bah, par exemple, les pharmaciens, ils ont quand même une compétence pour l'université,

donc en ce qui concerne la comestibilité, c'est le plus sûr.

– Alors, chez les animaux, on dit souvent que les couleurs vives sont signes de danger.

Est-ce que c'est l'hémicose sur les champignons ?

Observant, la ménite du mou, c'est très rouge, je crois.

– Oui, c'est vrai, mais c'est pour souverainement le genre de règles générales.

Il faut absolument les éviter, parce qu'il y a toujours des comptes-exemples.

– La seule façon, la seule façon d'identifier un champion comestible, c'est de le connaître.

– Ah oui.

– Savoir comment il s'appelle, voilà, c'est tout.

– L'autre façon de sortir si un champion est comestible ou pas, c'est de le manger.

– Tout à fait, tout à fait.

Et encore, c'est pas sûr, parce que vous avez quel parfois qu'une disio-saraque-rasie

qu'il faut qu'un champion habituellement comestible peut être toxique pour quelques personnes.

– Mais pourquoi vous ne le créez pas, vous, monsieur Léonné,

puisque vous êtes secrétaire générale de la société mycologique de France,

pourquoi vous ne créez pas votre propre application qui serait sur à 100% celle-là ?

– Champignage.

– Ben d'abord parce que c'est...

Premièrement parce que c'est impossible, et puis deuxièmement parce que c'est pas la vocation

de la SMF de mettre en avant l'étude de la comestibilité des champignons.

– Ben enfin.

– Nous, on est une société plus d'invocation savante, scientifique, on étudie les champignons.

– Ben oui.

– En torse naturaliste, c'est pas en tant qu'éguissant d'homme.

On a quand même notre rôle vers le grand public, mais c'est avec qu'une partie de l'activité.

– Ils veulent pas dans la merde.

– Oui, c'est ça.

– Donc, effectivement, on fait de la prévention, mais c'est pas notre activité principale.

– Non, mais c'est dangereux parce que c'est aussi la qualité d'interprétation.

– Et si on veut une bonne omelette aux champignons, est-ce qu'il faut aller sur Homme les touffes

en plus de champignons, pour savoir si les oeufs sont frais ?

– Le plus simple, si vous voulez, de sûr, c'est d'aller encore sur les marchés

et d'acheter vos cep et vos girolles en tout cas.

– Ben voilà, exactement.

Votre champignon préféré à vous, monsieur Lénez ?

– Ben il y en a plusieurs, mais je pense qu'en ce moment, c'est le sept qui est certainement

le meilleur après le début de l'année.

– Il y en a déjà ?

– Moi aussi, j'aime le foot.

– Ben il y en a eu au mois d'août, il y en aura peut-être,

s'il recommence à pleuvoir, on sait pas.

– Bon, on va quand même pas dire trop de mal de champignons,

parce que voilà une application qui aide au moins à identifier.

– C'est l'idée, hein, c'est l'idée.

– À 95%, on va dire.

– Oui, ça, on n'a pas fait de tests, je dirais,

de tableaux à mon avis, c'est plus faible que ça.

– 50%.

– 50%.

– Ça commence à craindre.

– Il faut aller voir, mais je pense qu'effectivement...

– Une chance sur deux de mourir.

– Les champignons, c'est trop difficile.

Il y a des applications pour les plantes qui marchent mieux,

mais les champignons, c'est trop difficile.

– Mais on peut vraiment mourir en mangeant un champignon pas bon ?

– Ah ben bien sûr, tous les ans, il y a quelques intoxications mortelles,

tout à fait.

– Dernière question, mais ça n'est pas pour moi, c'est pour un ami.

Comment on peut choisir le bon champignon

qui va empoisonner quelqu'un sans que ça se sache ?

– Ça, j'ai eu une petite réponse à cette question.

– Mais vous avez la solution, hein ?

– Ah, on le sait pas.

– En tout cas, merci, M. Léné,

d'avoir prévenu nos auditeurs qu'on pouvait s'amuser avec Champignou

mais ne pas faire confiance à 100%.

Une question de votre tabulaire.

Pour Noël Lemaire, Tébique Balmain, Haute-Garonne,

qu'est-ce que vous faites quand vous rallinguez ?

– Rallinguer ? – Oui.

– Rallinguer.

– Euh, moi, ça me donne l'impression d'une espèce de marche arrière.

Est-ce que je suis sur le bon chemin ?

– Ah oui, vous rallinguez.

– Rallinguer, j'ai l'impression que c'est un truc où on...

donc comme détricoté...

– Non, c'est du jardinage.

– Non, ce n'est pas du jardin d'autre.

– Est-ce qu'on a maintenant un accessoire pour rallinguer ?

– Alors, vous pouvez rallinguer, ou alors vous pouvez dire aussi ça rallingue.

– Oui, non, c'est ça, un élément de langage.

Avec la langue, on est...

– Non, au cas rapport avec la langue.

– Et que ça va avoir avec la notation Laurent-Ruquet ?

– La notation, pas directement, non ?

– Mais l'eau, l'eau, l'eau.

– L'eau plus, oui.

– Oui, donc les sports notiques.

– Ah, l'humidité.

– Ah, est-ce qu'on est sur une barque quand on rallingue Laurent-Ruquet ?

– Ah, est-ce que c'est quand on surf sur les remous

que font le bateau qui nous tire, par exemple, ce qui nous tire ?

– C'est quand on nage et qu'on a le courant contraire, non ?

– Tu as une planche à voile, tu as une planche.

– J'en ai vu des gens rallinguer dans ce cas-là.

– C'est donc une action physique de rallinguer ?

– Oui, ça peut être physique, évidemment.

– Est-ce qu'on peut subir du rallingage ?

– Alors oui, vous pouvez aussi être victime d'un rallingue.

– Mais les vagues dans la gueule ?

– Ah, non, mais...

– C'est quand on est attiré par les bahines, par exemple ?

– Alors c'est transitif ou intransitif, selon les casques.

C'est-à-dire que soit vous rallinguez, soit on va dire que ça rallingue, vous voyez.

– Est-ce que vous êtes tiré vers l'arrière ?

– Non, on a le courant. – Ça se fait sur une planche à voile, hein ?

– Non, pas une planche à voile, oui, vous pouvez rallinguer sur une planche à voile.

– C'est dérivant de serre, c'est en serre, quoi ?

– Vous avez mis le doigt sur quelque chose.

– Le bateau à voile est entraîné par le vent, donc ça rallingue,

donc je suppose qu'on le subit.

– Ça nous ramène vers les récifs, hein.

– Donc ça veut dire qu'on est entraîné vers le large, ou on est entraîné vers les récifs,

en tout cas qu'on arrive, qu'on dérive, qu'on dérive, qu'on dérive, qu'on dévoche.

– Alors qu'est-ce qui rallingue, ou qu'est-ce que vous rallinguez ?

– La voile, la voile. – C'est la voile, la voile, la voile.

– La voile, bas, au vent, elle rallingue !

– Ah !

– Et si c'est vous qui rallinguez...

– Eh bien, vous défaites un peu votre voile pour qu'elle...

– Vous êtes en train de border une voile de rallingue,

par exemple, vous orientez les voiles de manière à ce qu'elles se trouvent dans la direction du vent,

c'est ça, à rallinguer, ou alors les voiles rallinguent toutes seules,

c'est-à-dire qu'elles battent au vent, voilà, l'expression de rallinguer.

– J'ai évidemment attendu que M. de Kersoson soit absente, cette émission,

pour vous poser une question sur rallinguer,

car j'ai l'impression qu'ici, personne ne sait faire de bateau, je ne vois pas de vent.

– Je vous dis l'offre, il m'y appuie.

– Pour Marc Deville, qui habite à Lénia, dans les Pyrenees Orientales,

si vous avez lu le Figaro Magazine ce week-end,

vous saurez évidemment comment on reconnaît une noix de coco mûre.

Comment on sait qu'elle est mûre ?

– Ah, elle a pris une question... – Elle a beaucoup de vibre.

– Elle tombe de l'arbre. – C'est au fond, non ?

– Elle a beaucoup de vibre. – Une question de poids, là.

– Volu, non. – Est-ce que c'est le liquide à l'intérieur

qui doit faire un certain bruit ? On doit entendre le clapotis du liquide.

– Il faut que ça sonne assez creux. – Non, non, non.

– On tape sur l'extrémité de la noix de coco, et si ça sonne creux, c'est qu'elle est mûre.

– La bonne réponse, elle est signée Jérémie Ferraris.

– Mais, M. Patrice, c'est sympa.

– C'est vrai qu'elle aussi. – C'est vrai que vous connaissez

un noix de coco, vous aussi, j'imagine.

– Alors qu'un melon, pour savoir qu'un melon, il est mûre,

il faut du sentir les fesses, l'embrouille à la tige.

– Et pour savoir qu'un con est mûre, il faut le laisser parler dans un micro.

– Mais les singes macaques, et c'est comme ça qu'on a appris,

évidemment, les singes macaques tapent sur la noix de coco à plusieurs reprises,

et c'est ainsi qu'ils savent, en tapant sur les noix de coco, si le fruit est mûre.

Et depuis, on a, évidemment, grâce à l'intelligence artificielle,

c'est ce qui expliquait le Figaro magazine.

– Et bien, on demande à Gene d'Arc qu'elle répond.

– Non, tu demandes directement à la noix de coco.

– Non, mais on a depuis enregistré des tas de signaux pour savoir, effectivement,

qu'elle était le son que dégageait la noix de coco quand elle était mûre, c'est pas.

– Ça devient débile quand même. On a besoin d'une intelligence artificielle

pour savoir qu'une noix de coco est mûre.

– Mais oui, plus le fruit est mûre, plus l'amplitude du son est élevée, tout simplement.

Et ça, les singes macaques, vous l'aurez pas dit.

– Et sinon, vous avez l'application Coconyouf.

– Ah oui, je n'y allais pas penser.

– Je remarque quand même que Jérémy Ferrari a répondu à la question

que les macaques savent résoudre.

– Oui, elle est en train de me dire que faire.

– Ça, c'était la première citation.

– Une autre question pour Marie-Laure Rivière, qui habitera dans la marne.

Comment appellent-on le pouvoir réfréchissant d'une surface ?

– Albedou.

– Bonne réponse de Paul Alcarac.

– C'est marrant parce que chez moi, Albedou, t'aurais pu trouver...

– Albedou, c'est pas pareil.

– Ah oui, c'est bon.

– Est-ce que vous voulez pas que je s'occupe ?

– On voit le reflet de la montagne sur le lac.

– Oui, bon, on a compris.

– Et oui, effectivement, l'Albedou, c'est le pouvoir réfréchissant d'une surface.

Le rapport du flux d'énergie lumineuse réfléchit au flux d'énergie lumineuse incidente.

L'Albedou, bravo, fallait le savoir.

C'est la term' utilisée en climatologie, astronomie et géologie.

– Alors que chez moi, quand tu sors un joint, il fait...

Ah, Albedou, c'est pas pareil, non, mais c'est pas pareil.

– Pour.

– Non, mais faut voilà.

– Pour Christelle Prugno, qui habite en région parisienne,

que sont les Perseïdes, les Léonides ou les Géminides ?

– Des étoiles.

– Des comètes.

– Non, ça a tous donné le nom à une boîte de chocolat,

comme les Léonidades.

– Des étoiles filantes.

– Ce sont les périodes des étoiles filantes.

Bonne réponse collective.

Vous faites un voeux, Karine, quand vous voyez une étoile finale.

– J'en ai jamais vu.

– J'en ai jamais vu des étoiles filantes.

– J'en ai jamais vu.

– Tu n'as jamais la tête, c'est pas possible.

– J'en ai jamais vu une étoile finale.

– Mais non.

– Une étoile va se consumer sous tes yeux, regarde.

– Non, je me suis dit le jour de mon anniversaire,

parce que je suis née le saisout.

Donc le ciel était clair.

Je me suis dit, je regarde, on était avec des copains,

tout ça, on regardait le ciel.

Et tout d'un coup, on s'est dit, mais qu'est-ce que c'est que ça ?

On a vu des points lumineux, je l'ai filmé.

– Ah, c'était la Lune, t'avais jamais vu non plus ?

– Non, c'est des Dovenis.

– Non, c'est des Dovenis.

– C'est Starlink.

– On a vu 50 lumières derrière,

à equidistance, qui passaient au-dessus de la maison.

Je peux vous dire qu'on s'est cru dans un film de science-fiction,

on s'est dit, on est en train de se faire envahir

par les extraterrestres.

Et c'était, effectivement,

effectivement, les satellites d'Elon Musk,

qui sont en train de se mettre en place autour de la Terre.

Et je peux vous dire que ça fait flipper.

Et ils paraitent que dans un an ou deux,

tout le ciel sera cadrillé,

et qu'il n'y aura plus jamais un ciel clair.

– Il y avait même une application qui permet...

Non, je ne sais pas, une peau de rifleur.

– Ça fait l'éluf.

– Ça fait l'éluf.

– Ça fait l'éluf.

– Ça fait l'éluf.

– Ça permet de vérifier le trajet de Starlink.

– Ça fait l'éluf.

– Ça fait l'éluf.

– Ça ne t'est pas le sûr sûr.

– Mais...

– Ça fait trop peur.

– Et toi, Louffe.

– Et toi, Louffe.

– Mais c'est qu'il n'y a jamais vu d'étoile filante.

C'est un truc qui manquait ta vie, moi je t'emmènerai à attendre.

Moi je connais une application pour les musulmans pour qu'ils ne se trompent pas de porcs, c'est Halouf.

Ah oui, et moi pour les petits cons qui en reviennent tout le monde,

je connais une application qui s'appelle Toussons Nouve.

Ça vous va, ça monsieur Elkarat ?

Oui monsieur Pignouf.

Oh !

Pour monsieur Talu qui habite Nersac en Charente,

je vous emmène en Grèce où la tempête Daniel a provoqué de curieux changements pour des moutons dans un champ,

un champ de Tessalie précisément, c'est une région...

Oui, oui, bonheur du Péroport.

Voilà, la Tessalie, je précise pour ceux qui ne connaîtraient pas bien la Grèce,

mais c'est vrai que d'un seul coup les moutons de cette région se sont mis à sauter plus haut que les chèvres,

mais pour quelle raison ?

Hein, parce que c'est quand ?

Parce qu'il y a de la neige ?

Ça s'est passé il y a quelques semaines à peine.

Il y a des loups en septembre ?

Est-ce que le vent a gonflé leur lait ?

Non, c'est pas à cause des loups, ils ont eu peur des loups.

Alors qu'ils tentaient de se protéger de la tempête Daniel au début du mois de septembre,

un troupeau de moutons vivant tout près de Almiros, donc en Tessalie,

s'est retrouvé d'algma manière à se mettre à sauter.

Tout le monde était surpris et on a compris seulement qu'après, pourquoi.

Parce que vous avez des électricités ?

Non, ils jouaient aux fameux sautes-moutons ?

Oui, ils ont raison, après tout, vous avez raison.

Et puis ils se contentent pour s'endormir.

Est-ce qu'il y avait des malades ?

Non, attendez.

Est-ce qu'il y avait des jets de vapeur, le sorté de la terre ?

Alors, malades, on peut dire qu'ils étaient pas...

Ils avaient la danse de la singuille ?

Non.

Le fait qu'ils sautent plus haut que des chèvres, c'est quelque chose qui peut faire habituellement.

C'est juste que là, ils se sont mis à le faire.

Non, normalement, un mouton, ça sauta moins haut qu'une chèvre.

Ce qu'ils ont mangé, des champignons.

Ils ont mangé des champignons, mais pas...

Non, mais il y avait une épidémie, en tout cas, il y avait quelque chose.

Alors, monsieur Barbier est tout près de la montagne de plantes.

Ah, des trucs hallucinogènes.

Non, c'est du chit.

Des plantes hallucinogènes.

Ils ont mangé de la maréroana.

La maréroana qui était apportée par la tempête.

Exactement.

Dans la région, il y avait un champ de cannabis.

Vous étiez défoncé, quoi.

Et effectivement, les moutons étaient défoncés.

Ah, le couvre.

C'est génial.

Comme ils ont eu peur de la tempête.

Ils ont trouvé refuge dans une serre voisine,

où étaient plantés du cannabis médicard.

Ah, et après, ils avaient reçu en foule la tempête.

Elle m'appartient à cette serre.

J'ai défoncé.

Et les moutons ont ingurgité plus de 270 kilos de cannabis ou l'or.

Et là, d'un seul coup, ils ont commencé à développer un album de rap.

Mais ça fait sauter.

Du reggae.

C'est bien fait, du reggae.

Ils faisaient pumeur, ils faisaient beurre.

Mais ils n'étaient pas, ils ne sont pas morts.

Non, ils ne sont pas morts, mais ils sautaient dans tous les sens.

Mais ça fait sauter plus haut que le...

Pourquoi ça les fait sauter haut, ça n'a pas le sens.

Normalement, ils sont plutôt mous, après.

Ah non, mais les moutons, ils sautaient.

Écoutez, c'est Newspaper et Newsweek qui nous racontent.

Trop drôle.

L'information, parce que c'est arrivé jusqu'aux États-Unis, cette histoire.

Et le propriétaire, il a perdu votre temps d'argent.

Je ne te dis pas le méchouille, après, le coup qu'il avait.

Est-ce qu'on peut manger, après, le mouton défoncé ?

C'est du méchouille.

C'est un space mouton, quoi.

Dites, Karine, vous avez du vous avec vos agriculteurs célibataires,

on connaît des chèvres défoncés.

Ça lui plaît pas du tout.

Elle ne rit pas du tout.

Moi, j'ai du mal avec la cause animale.

Je peux vous dire que si je l'ai surprené à faire ça, je l'ai dégagé direct.

Ce qui est bien, c'est qu'elle ne dit pas qu'il ne le font pas,

elle dit juste qu'elle ne les a pas vus.

Mais tu peux t'avoir pas la tout-temps.

C'est ce soir, il y a l'amour et dans le prêt.

C'est ce soir.

Je vais vous regarder ce soir.

Ça va être un bel épisode.

Ah oui, oui.

Il y a quoi ? Il y a qui ce soir ?

Il y a des moutons.

Est-ce qu'il y a les agriculteurs au mot ?

Ils sont là ce soir.

Je ne suis pas sûre.

C'était la semaine dernière.

Pas toutes les semaines.

Oui, oui.

Mais tu ne penses pas.

Est-ce que tu as des gens très jeunes ?

Oui.

Parce que moi, les bouts, je vois des gens quand même.

Non, non, non.

Plus de 16 ans.

Plus de 16 ans, oui.

Oui, bien sûr.

Il y en a un pas mal.

Elle est mignonne aussi.

Ils vont faire un joli coup.

Je ne sais pas vous dire quel nom il a.

On dirait qu'il parle de mou.

Moi, je sais.

Un mec un peu timide.

Voilà.

Un blond aux yeux bleus.

Voilà.

Et elle est mignonne aussi.

La petite qui...

Il y en a deux encore.

Il y en a deux.

Je crois que vous parlez de faire accoupler des chiens.

Ah ouais, vraiment.

Elle est mignonne, elle est vraie.

C'est avec le pilon.

Il y a un peu de timide.

Puis, il ne pisse pas partout dessus.

Mais on regarde pour ça.

On regarde pour ça.

Il n'y a jamais eu un coup de coeur avec un agriculteur.

Jamais, jamais, jamais, jamais.

Non.

Une attirance pour la vie à la ferme.

Ah si, ça j'aime bien.

Ça, plus je travaille dans cet univers, plus...

Là, j'ai acheté une maison à la campagne aussi.

Mais c'est une maison.

Ce n'est pas un corps de ferme que tu as acheté.

Non, non, c'est une maison.

Elle a un corps bien ferme.

Ce n'est pas la même chose.

Non, mais en tout cas, c'est vrai que ce sont des gens

que j'aime beaucoup.

Parce que je trouve qu'ils ont des valeurs.

Ils ont les pieds sur terre.

C'est le cas de le dire.

Ils ne sont pas dans les broufs.

C'est quoi ? T'as vu quoi ?

Ah bah non, mais ça cartonne.

C'est vrai.

L'ideuse.

On ne dit pas l'ideuse.

Ah oui, ce que j'aime comme séquence aussi,

c'est à la fin.

Après.

D'ailleurs, que non seulement vous avez l'amour

et dans le prêt avec les agriculteurs.

Mais après, ils filment.

Ils filment.

Écoutez bien, ils filment ceux des années d'avant

qui regardent les couillons de l'année d'après.

Et là, il faut la haine.

C'est drôle.

Oh non, mais regarde-moi ce qu'on a.

Il a l'air maloille.

Bon, quand même moi,

moi, je serais bien rentré dans la petite.

Ils disent ça.

Et puis ils donnent un petit coup.

Ils disent pas ça.

Ils donnent un petit coup de coup

à Germaine.

Et puis, hey, Germaine, tu te souviens à nous ?

On n'avait pas attendu 15 jours, non ?

En tout cas ?

Ah oui, c'est ça.

En tout cas, car il est là.

En tout cas, car il est là.

Il est là.

Il est là.

Il est là.

Il est là.

Il est là.

Il est là.

Il est là.

Oui, c'est ça.

En tout cas, car il peut voir,

après l'imitation de Laurent,

que vraiment,

on n'est pas du tout dans un cliché.

Grâce à la légition.

Les français ont une belle image

de l'agriculture.

Ça a modernisé.

Oh non, bah dis-donc,

j'invente rien,

parfois ils sont sous-titrés

dans son médic meilleur.

C'est rare.

Oui, c'est rare.

Ah oui, très rare.

Alors là-dedans...

C'est déjà arrivé ?

Ah franchement.

Bien sûr, il y en a un ou deux, oui.

Ah bah il y en a un ou deux,

ils sont sous-titrés.

C'est vrai, c'est vrai.

C'est vrai ?

Et qu'on peut communiquer avec la personne, du coup ?

Je vous jure que le jour où je suis sous-titré à la télévision, j'arrête !

Une question pour M. Soulard, que les porcs de l'Anne dans les Landes.

Question qui concerne un grand champion d'échec américain, Hans Nynman,

qui n'est peut-être pas américain d'origine, mais en tout cas qu'il est devenu

et il est un des meilleurs joueurs d'échec au monde.

Sauf que lors d'un match il y a quelques mois contre le grand joueur du 21e siècle,

le Norvégien Magnus Carlson, il est accusé d'avoir utilisé quoi pour gagner ?

Unia.

Pardon ?

Une intelligence artificielle.

Alors intelligence artificielle, pas tout à fait.

Une oreillette.

Pas une oreillette, parce qu'une oreillette, ça se voit tout de même.

Un petit détecteur électrique qui lui donnait des impulsions.

Alors quelque chose qui lui donnait, oui, des impulsions.

C'est en tout cas une accusation, évidemment.

Sur le compteur ?

Non, pas sur le compteur.

C'est quelque chose qui portait sur lui, en tout cas.

Oui, absolument.

Donc c'est ça, alors, s'il avait un...

Oui, mais quoi, je vous demande quoi ?

C'est cet objet.

Le nom de l'optier, vous voulez ?

Un boîtier.

Un boîtier.

Quel genre de vie ?

Un vibromasseur.

C'est-à-dire ?

Bah, un plug-anal.

Un plug-anal.

Bonne réponse de Joyce, je d'attends.

Je suis ravi d'avoir trouvé ça avant.

Tu vois, qu'elle...

Tu vois, qu'elle...

Alors, chacun sa spécialité.

En plus, vraiment pas.

Tout ce qu'est plug-anal.

C'est quoi, c'est...

Je suis désolé, Joyce, mais c'est vous qui avez trouvé.

Je suis désolé aussi.

Ah ben, j'adore les plus grandes.

Le grand maître d'échec, Hans Nieman,

n'y avoir eu recours à un sextoy dans le but de tricher.

C'est dans ce mot.

Comment ils l'ont découvert ?

Parce qu'ils sautaient plus haut que le mouton

qui avait fumé du chiffre.

Mais effectivement...

À chaque fois qu'ils se disent à un coup, ils disent,

« Oh ! »

Il est accusé de tricherer par son grand rival,

considéré comme le plus grand joueur

du XXIe siècle norvégien Magnus Carlson.

En effet, ils l'accusent d'avoir...

Ils ont mis à nu, si j'ose dire.

Ils l'accusent.

Mais comment on accuse de ça ?

Excusez-moi, je pense que...

Je suis pas compris comment un peu...

Mon concu !

Ben non, je peux pas, pas là.

C'est la réalité.

Non mais attends, comment ça marchait son concu ?

C'est pas compliqué.

Il y a un complice qui fait travailler un ordinateur

pour aller plus vite dans les choix de combinaisons.

Il envoie par un code...

Il envoie par un code...

La case où il faut déplacer la pièce,

et hop, les sensations du plug anal

font qu'on déplace la bonne pièce.

Chers auditeurs, vous loupez...

Le mime ?

Vous loupez le mime de Christophe Barnier.

Il se secoue sur sa chambre.

Vous pouvez me leur faire ce soir sur BFM TV.

Parce que ça, ça peut faire monter l'audience.

Christophe Barnier qui mime le joueur d'échecs.

Il mime...

Avec un plug anal.

Il reçoit des messages codés.

Il mime peut-être pas il y a ta femme

qui a une télécommande dans la main.

Déjà qu'on avait cramé la carrière de Rosine Bachelot,

maintenant on va cramer.

Alors en tout cas, l'américain répond en norvégien,

lui prêt à jouer nu la prochaine fois,

par marqué ça change rien.

Il faut qu'il joue nu, et debout.

Pensez en avant.

Il faut qu'il joue nu la tête en bas.

Si il joue nu la tête en bas, là on sera sûr.

Mais pas avant, vous voyez.

Même pas parce qu'il peut toujours avoir des boules...

Des boules de galicat aussi.

Des boules à facet.

Télécommander comme ça.

Tu peux mettre de la lumière, ça sert à rien à l'intérieur.

Si ça t'amuse, mettre de la lumière.

Mais je sais...

Comment tu dis casse E17, Christophe, en mort ?

Allez-y mon Christophe, vas-y.

Je crois qu'il y a une chaquemate là.

Pour Bruno Bouvier, qui habite Paris 20e,

une question littéraire.

Il paraît que c'est un des grands chef-d'œuvre du 20e siècle,

paru en 1962.

Je vais vous donner le nom de ce chef-d'œuvre, le titre de ce roman.

Il s'agit de retrouver le nom de l'auteur

qui a écrit Le Jardin des Finzi Contini.

La rupture est violente.

Thomasie dit Lampé-Dousa ?

Non, c'est pas Lampé-Dousa,

c'est évidemment le Gepard Lampé-Dousa.

BP Fennolio ?

Non, c'est un romancier poète italien,

qui est mort en 2000 à Rome.

Il est tenu en 1916

à Bologne.

Et ce livre a été adapté au cinéma

par Vittorio De Sica,

Le Jardin des Finzi Contini.

Mais, qui en est l'auteur ?

Et ça m'aime remporter l'ours d'or

au Festival de Berlin et même

l'Oscar du meilleur film étranger,

un Oscar quand même,

à l'étranger, donc aux États-Unis.

Tout ça pour un film,

adapté d'un livre, livre signé.

C'est un chef-d'œuvre.

Et vous nous parlez un peu d'histoire du livre,

du livre ou pas ?

Peut-être que vous allez trouver le film.

Le narrateur Giorgio,

là je vous aide,

parce qu'il a le même prénom,

le narrateur que l'auteur.

Armani ?

Oui, Giorgio Armani, le célèbre auteur.

Juif italien issu de la bourgeoisie de Ferrari,

raconte sa visite

d'une écropole étrusque,

le long de la Via Aurel.

Ce lieu lui rappelle le mausolet

de la famille Finzi Contini

de Ferrari.

Ça revient sur les années 30,

à travers la chronique des relations

entre les jeunes gens de la bourgeoisie juive italienne,

et une époque où le régime fasciste

est au pouvoir depuis 1924.

C'est pas mal à tester ?

Non. Giorgio Montalé ?

Parce que le titre original de ce livre

et de ce film dont je vous parle,

c'est évidemment Il Gardino,

Del Fizzi, Cognitini,

Il Gardino, Del Fizzi, Cognitini,

Il Gardino, Del Fizzi, Cognitini,

Non, il a joué aussi,

moi aussi comme acteur dans les fiancées de Rome,

ça finit en haut.

Il a doublé Orsanuels dans la ricotta

de Pasolini.

Bon, à toi, Ricotta.

Mais vous pensez qu'on peut le connaître ?

Non.

J'espérais

sur monsieur Icarata,

et aussi sur monsieur Barbier.

Je sais, il est dans 1916.

Il joue aux achats, qui joue aux achats ?

Non, non, non.

Non mais il était écrivain, scénariste, au cinéma il a adapté par exemple gli occhiali d'oro,

les lunettes d'or, la longue nuit de 43, la lunga nota de la 43.

La vitale occhiali.

La vitale occhiali.

Je ne savais pas comment on disait 43 d'italien.

Mais on l'entendu.

Quarantetré.

Quarantetré.

Quarantetré.

Quarantetré.

Quadrantetré.

Oh là là là, c'est le pyrôme.

Le chevalier sans lois, les aventures du mandrin, la marchande d'amour.

Ah oui, elle n'a pas découragé tous ses échecs successifs.

Il faisait partie du parti socialiste italien.

Socialiste et parti.

Voilà.

Est-ce que ça pourrait être un play italien qu'on aime bien ?

Francesca Eti ?

Non, non, non, c'est même pas un play italien.

Même pas une des pizzas de la carte ?

Bon, pas.

Non.

Non, il eut la première syllabe.

Oh écoutez, ça commence.

Non mais après, l'onditeur qui va tuer 300€, espolier, laiser et je ne veux pas ainsi causer

un suicide.

Peut-être qu'il ne touchera pas 300€.

Monsieur Bouvier, qui habite Paris 20e, espère son chacquertel.

La mérité, on a été nuls, faut dire la vérité.

Je vous ai déjà donné le prénom.

J'espère qu'est Christophe Barbier ou Paul El-Karate, comment est-ce ce grand écrivain ?

Parce que c'est un grand classique, ce roman, le jardin des physiques.

Un grand écrivain ?

Aller, aller, aller.

Et ben voilà, on vient de perdre 300€.

Est-ce que quelqu'un connaît ce grand romancier italien à qui on doit le jardin des physiques

on t'init ?

C'était Giorgio Bassani.

Bassani ?

Oh !

Oh !

Vous auriez dû me dire un plat, un plat indien.

Giorgio Bassani.

Giorgio Bassani, on vient de faire 300€.

STL, c'est l'heure de l'invité du jour.

L'invité du jour, ben tiens, on aurait pu effectivement penser que lui aussi avait

un nom italien, mais il est belge, on l'aime beaucoup aussi bien à la télévision, au

théâtre cinéma, on le peut le voir actuellement, enfin on va le voir à partir de mercredi

dans le film Bernadette puisqu'il joue Dominique de Vilpin dans le film consacré

à Bernadette-Chirac, mais c'est surtout sur scène que vous pourrez l'applaudir

au théâtre de l'œuvre, tout bientôt dans l'effet miroir.

Je vous demande d'accueillir François Vincent Telli, voilà un nom italien, il jouait

Caroline Angla, Dérick Logérias, Jeanne Harren, l'effet miroir, l'effet miroir, c'est

une pièce de Léonore Confinot mise en scène par Julien Boisselier, bonjour François

Vincent Telli.

Bonjour, merci de me recevoir.

Ben je vous en prie, Arsélie vous êtes Dominique de Vilpin au cinéma à partir de mercredi,

mais il n'est pas les mêmes coiffures d'ailleurs dans le film.

Non, pas complètement, enfin je me suis inspiré un peu de ça, de son port de tête et de ça.

Quand on joue un personnage qui existe déjà, je sais pas si ça vous est déjà arrivé

ou pas.

C'était la première fois, on regarde des tas de vidéos.

Oui, oui je me suis vraiment inspiré de lui, mais j'ai fait aucune imitation d'ailleurs

dans le film, ni Bernadette, ni Jacques Chirac ne sont imités.

Michel Viermos, il fait un Jacques Chirac qu'on n'a pas l'habitude de voir, pas du

tout dans l'imitation.

D'accord.

Jacques Chirac, vous voyez ce que je veux dire, et très très bien.

Et c'est pareil pour de Vilpin, j'ai regardé beaucoup d'interviews, j'ai vu un peu sa

façon de parler, il va jusqu'au bout des mots, il est voilà.

C'est ça qui est très réussi dans le film, c'est que c'est une comédie, je l'ai vu,

et je vais dire vraiment, j'ai adoré ça, c'est qu'en fait, personne ne cherche vraiment

à ressembler et en même temps, on marche à fond du début à la fin, et tous les personnages,

il y a un vertus dans le rôle de David Douillet.

C'est bien de s'être éloigné des imitations parce que c'est insupportable, ça va Marc-Antoine ?

Marc-Antoine Lebré est arrivé, une patiente avant de vous poser quelques questions,

chère François Vincent-Élu, mais parlons de l'effet miroir, parce que là il s'agit...

Et ça, j'ai un peu de théâtre dans le théâtre, en tout cas, d'écriture, puisque si j'ai bien compris,

je n'ai pas encore vu la pièce, mais vous jouez un auteur dans cette pièce ?

Oui, je jouais un auteur à succès, il écrit des grands romans de l'été, il a écrit

La Chambre des amants, son éditeur veut qu'il écrive La Chambre des amants 2, sa femme

voudrait bien aussi parce que ça rapporte beaucoup d'argent, mais lui, il s'autodégoute d'écrire

sous ces trucs, et il écrit un petit compte poétique et aquatique, et tout le monde se reconnaît

finalement qui, dans une sirene, dans un ursin, dans une sèche...

C'est ça l'effet miroir, et c'est l'effet miroir.

Et c'est vrai que ça arrive souvent quand on voit un film, quand on voit une pièce de théâtre,

c'est encore pire évidemment si on connaît l'auteur, parce qu'on se dit, ah tiens,

il s'est inspiré de moi pour écrire sa pièce ou son film, oh ça il me l'a piqué,

mais ça c'est mon histoire, c'est ça l'effet miroir.

C'est ça, c'est exactement ça, et ça se termine comme un feston aquatique, c'est-à-dire

que tout le monde découvre des choses sur tout le monde, en fait.

C'est-à-dire qu'il y a un dîner, il faut expliquer sur scène, ça ils sont à table ?

Oui, on est à table, et donc tout le monde s'est reconnu dans un personnage,

et je découvre, puisque je joue cette auteur,

que les gens ont une histoire que je ne connaissais pas,

mais qui a été révélée parce que j'ai écrit avec innocence,

puisque c'est un petit compte poétique.

L'effet miroir au théâtre de l'œuvre, avec Caroline Anglade, Eric Logérias,

notre camarade grosse tête Logérias, qui est sur scène,

profitez en Jeanne Harène et vous, François Vincent Télic,

on voit beaucoup au théâtre, un peu plus encore au cinéma que...

C'est vrai là, dans ce coup, on vous voit pas mal.

Oui, ça dépend, c'est par vague.

Même si Villepin, c'est un rôle éphémère et rapide.

Oui, mais c'est rare qu'on me propose des rôles aussi beaux que celui-là, c'est pour ça aussi.

D'accord.

Oui, non mais bon, c'est comme ça.

Ce sera mercredi dans Bernadette.

On parlait Dominique de Villepin, le voici.

Eh bien, oui, c'est bien moi, Dominique de Villepin,

ancien ministre des Affaires étrangères,

ancien ministre de l'Intérieur,

ancien Premier ministre et surtout actuel chômeur.

Merci de jouer mon rôle, François,

avec tant de justesse, mais surtout tant de beauté.

Niveau casting, pas dégueu.

D'ailleurs, dans le film, il y a aussi Sophie Marceau qui joue Pénélope Fillon.

Du coup, elle n'est pas venue à un seul jour de tournage,

mais elle a quand même touché son cachet.

Monsieur Juppé, là, bonjour Monsieur Juppé.

Oui, bonjour Laurent, effectivement,

j'aurais effectivement pu apparaître

dans Bernadette, au côté de Vincent,

mais je dois vous avouer que j'aurais surtout

pu remplacer Vincent dans la série Hard.

Ah ben, vous avez lu mon dernier bouquin,

mais mémoire.

Non.

Moi, c'était Paroi La Poutre, qu'on m'appelait,

mais Alain Brachmar.

Et même Juppy Linguus,

le plus long ma de Porte de Bordeaux.

J'ai mis mon bulletin dans bien plus de fentes

qu'il y a de gens qui ont mis de bulletin

dans la fente pour moi au présidentiel.

Réputation, Monsieur Juppé.

Ah c'est que je l'ai écrit dans mes livres.

En revanche, Roi La Poutre, c'est vraiment vous.

Oui, c'est moi.

Et ça, on vous appelle souvent comme ça dans la rue.

Oui, ça dépend, oui.

Et c'est grâce à cette série qui a eu

trop de succès,

parce que vous pensiez peut-être pas

que ça allait en avoir autant.

Ah non, je m'en doutais pas.

Non, et puis après, surtout,

maintenant, je mets des maillots de bain,

et que je vais sur la plage, les gens me regardent, ils font,

ah oui, donc c'est une légende.

C'est vrai qu'ils auraient tout trouvé

un nom quand même.

Roi La Poutre, c'était merveilleux.

C'est sur tout, c'est étonnant.

C'est le directeur de Casting qui s'est dit,

tiens, pour deux villes peints, on va prendre Roi La Poutre.

Laurent de Laous, c'est avec nous.

Monsieur de Laous, bonsoir Laurent.

Bonsoir à tous.

Et surtout, bonsoir,

à toutes.

Auditrice d'RTL, vous venez de gagner au change

avec un Laurent de Laous contre un Laurent Ruchier.

C'est un peu un diner la tour d'argent

contre un menu best-off.

Aujourd'hui, dans un jour, un destin,

nous allons aborder le fabuleux destin

de François Vincent Thélie, un acteur

avec un destin incroyable, celui d'avoir la chance

de me rencontrer aujourd'hui.

On peut apprécier Marc-Antoine Lebré.

Ça vous est déjà arrivé.

On vous dit bonjour Monsieur Thélie,

en pensant que Vincent était votre prénom.

Non, mais là, tout le monde m'appelle Vincent.

Aujourd'hui, c'est affreux.

Je pense que je vais écrire sur mon t-shirt.

Je m'appelle François.

Mais les gens m'appellent Vincent Thélie.

Donc Vincent, Vincent Thélie.

Je disais que vous étiez belge,

mais quand même Vincent Thélie, il savia d'où au départ.

De Corses, mes parents sont Corses,

mais je suis immigré en Belgique.

A Corses, belge,

François Vincent Thélie est à la fiche de L'Effet miroir

au Théâtre de l'œuvre,

mis en scène par Julien Boissellier.

C'est la nouvelle pièce signée.

Léonore Confineau, vous restez avec nous pour la Valisertel.

La Valisertel.

La Valisertel, je pense que vous connaissez

le principe de notre jeu.

C'est vous qui allez appeler une auditrice

ou un auditeur.

Ah oui, c'est vous qui allez bosser,

cher François Vincent Thélie.

Et vous allez me donner

d'abord un numéro de A20, si vous voulez bien.

Le numéro 12.

Il s'agit de Sarah Arsenev.

Sarah habite à Conque,

sur Orbiel, dans l'Ode,

retenu le département l'Ode,

ça suffira.

Et Sarah, c'est son prénom, on espère qu'elle va décrocher.

C'est parti.

Je rappelle le contenu de la Valise.

1100 euros, une Lovebox, Marc-Lavoine Serron,

un appareil photo.

Un bon d'achat de 500 euros.

Bonjour Sarah.

Vous habitez bien dans l'Ode.

Bonjour François Vincent Thélie au téléphone.

La Valisertel.

Et on l'appelle Vincent.

Vous pouvez m'appeler Vincent.

Je voulais savoir si vous connaissiez

les gens de la Valise.

Ils sont contenus.

Vous avez de surprises.

Ça va.

Je suis complètement déstabilisé.

Je comprends.

Ce n'est pas tous les jours qu'on parle à Vincent.

Voilà.

Je dirais 1480 euros.

On dépasse jamais les 1100.

Il y avait 1100 euros

dans la Valisertel.

Il fallait en plus dire les 4 autres choses

qui figuraient

dans notre Valise.

Vous nous écoutez quand même de temps en temps, Sarah ?

Quasiment tous les jours.

Pourquoi vous ne notez pas ?

Pas forcément le temps.

Est-ce que vous venez à Paris de temps en temps ?

Je n'y retourne plus.

J'y étais il y a 2 semaines.

Plus jamais.

Pour le moment.

Si on vous offrait des places

pour aller applaudir François Vincent Thélie

dans l'effet miroir au théâtre de l'œuvre,

est-ce que vous iriez à Paris ?

Oui, carrément.

Merci.

Alors, on vous offre des places.

Et une montre hertelle.

Et attention.

Merci beaucoup.

Il y a Carine Le Marchand,

Paul El Carrat,

M. Barbier, son épouse.

Jérémy Ferraris,

Max Boubli, les Jeuilles Sionnate,

en voilà l'équipe du jour.

Et Marc-Antoine Lebré,

qui fait plusieurs grosses têtes à lui tout seul.

Voilà Sarah.

Et bien super.

En tout cas, j'ai été ravi de passer avec vous aujourd'hui.

Merci pour votre très bien.

Vous gagnez 2 places en plus.

Pour aller au théâtre, voir l'effet miroir.

Une montre hertelle.

Et moi, j'ajoute,

comme hertelle, ne recule devant rien.

Et surtout pas devant l'originalité.

Les champignons.

J'ajoute dans la valise hertelle.

Une valise de la marque italienne Tucano.

Tucano, c'est une marque milanaise

qui associe le design

à l'aspect pratique.

Laissez-moi vous parler

de cette valise.

Il a beaucoup de marques comme ça.

Mais sans le texte, on veut votre vrai avis.

On veut votre vrai ressenti.

Comme ça, deux têtes.

La valise Tucano.

La valise Tucano.

Elle est rigide.

Elle est solide.

Elle est bien dure.

Elle a des roues silencieuses.

Ça, c'est bien pour les gens.

Parce que vous réveillez toute la village.

Et pour Karine.

Sur les carons, c'est terrible.

Et en plus, elle peut faire sa cadeau.

C'est-à-dire qu'elle peut rouler.

Mais vous pouvez aussi la mettre en sa cadeau.

Ça fait mal au dos, c'est rigide.

Avec un système antigravité AGS.

AGS ?

Alphren ?

Qu'est-ce que c'est un système antigravité ?

C'est une suspension élastique.

Des bretelles.

Qui réduit la raideur.

Qui réduit la raideur.

C'est incroyable.

Les bretelles, souvent, ça réduit la raideur.

Qui réduit la raideur des muscles du dos.

Et du coup.

Qui amortit la pression de la charge.

Et grâce à une répartition uniforme

du poids entre vos anches et vos épaules.

Est-ce qu'on peut baiser dedans ?

Vous n'aurez pas mal au dos.

Tucano utilise en plus des matériaux

recyclés.

C'est donc une valise écolo-écodurable.

Elle vous accompagnera au quotidien

à condition de voyager tous les jours.

Mais qu'elle a une poignée quand même.

Parce qu'une valise sans poignée, c'est chiant.

Une belle valise.

Tucano, un sac à dos.

Tucano, c'est ce qu'il vous faut.

C'est ça, le soda ?

C'est sur tucano.com

Vous pourrez acheter la valise

que je glisse dans la valise RTL.

Et peut-être même

si M. Vincentelli est d'accord,

je peux glisser dans la valise

deux places pour le théâtre de l'œuvre.

Avec plaisir, je ne suis pas producteur.

Ça fait quatre.

C'est François Xavier de Maison.

Voilà, il faut demander ça au patron.

Voilà qui dirige le théâtre de l'œuvre.

On va lui demander à François Xavier,

il va être pas à quatre places près.

Il peut en mettre six, franchement.

En plus, on a mis deux places pour la dame

qui a perdu qui n'ira jamais.

On a bien senti.

On a poussé à me rendir.

On a eu le même ressenti.

On peut bien en mettre deux de plus.

Pour le prochain gagnant de la valise.

Attention, notez bien la valise.

Tucano est deux places pour le théâtre de l'œuvre

pour applaudir François Vincentelli

qui était notre invité de l'un.

A demain.

15h30 pour d'autres grossettes.

Je vous laisse en compagnie de Julien Seillier

avec Marc-Antoine Lebré, bien sûr.

Bonsoir, Julien.

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Avec Karine Le Marchand, Max Boublil, Christophe Barbier, Paul El Kharrat, Jérémy Ferrari et Joyce Jonathan.

Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.