Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du lundi 11 septembre 2023

RTL RTL 9/11/23 - Episode Page - 1h 43m - PDF Transcript

...

Les grosses têtes de Laurent Ruchier,

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

Bonjour, on vous retrouve avec pour vous, aujourd'hui,

une grosse tête qui, comme le 15 de France,

a fait un très bon début dans l'émission de la semaine dernière.

Philippe Claudel.

Bonjour.

...

Une grosse tête reine de l'information,

jamais en manque de sujets.

Cristinocrates.

...

Une grosse tête que les éléphants envient pour sa mémoire.

Paul Elcarrate.

...

Le retour d'une grosse tête belge,

aussi célèbre à Namur que le mannequin pisse à Bruxelles,

Guillaume.

...

Une grosse tête qui peut chanter en mandarin

et de temps en temps chinoise sur les questions.

Joyce Jonathan.

...

Et une grosse tête qui dit tout et n'importe quoi,

mais surtout n'importe quoi,

Sébastien Tolle.

...

Alors vraiment,

monsieur Tolle, je comptais sur vous

pour réprimander vos camarades, Guillaume et Paul Elcarrate,

parce que je les ai vus arriver en short,

et madame O'Crenth et moi-même étions un peu...

non pas choqués, mais nostalgiques de la période

où Pierre Benichaud interdisait tout short dans cette émission,

et totale, vous arrivez, vous êtes aussi en short, vous aussi...

Oui, mais moi, j'ai mis un slip.

...

Alors que Claudel, qui vient d'arriver, que déjà, je peux pas blérer.

...

Le Philippe Claudel, il est en pantalon, lui.

...

Le dévou.

Il est en érection depuis le début, là.

Heureusement, on a la radio.

C'est un écrivain, monsieur Claudel.

Ah, un écrivain ?

Ça arrive que les écrivains soient en érection, quand même.

Bien sûr, ça arrive.

En ce cas-là, il y a quelques pages qui collent, comme on dit.

En tout cas, bienvenue, monsieur Claudel.

Merci, monsieur, merci.

Vous verrez, ça passe très vite.

Oui, trop vite, même.

Vous êtes rapidement ?

Mais vous, ça risque d'être long quand même.

Il n'était pas là quand vous avez fait votre première fois.

Non, non, non.

On fait ça au fur et à mesure, vous voyez.

Il répond bien, il est drôle.

Alors, écoutez, d'abord, il est très cultivé, Philippe Claudel.

Il a le bac et tout.

Ah bon ?

C'était une grande discussion.

Il y avait le bac, il y avait le bac.

Effectivement, monsieur Claudel est une vraie grosse tête.

D'accord.

Si je comptais sur vous pour répondre aux questions, je serais mal, toi-même, vous voyez.

Je ne suis pas là pour ça, moi, je suis là pour amener un peu de hauteur.

Oui, au bas.

Monsieur Claudel, ça fait quoi d'être jugé par un trou de balle ?

...

On reste dans le noir, en fait.

Une première citation pour Florian Dupéty, qui habite Hormes dans le Loiret,

qui a dit un patron, c'est quelqu'un qui est en retard quand vous êtes en avance

et qui arrive en avance quand vous êtes en retard.

Pierre Duc.

Jean-Yann.

Est-ce que c'est un patron ?

Alors, c'est pas un patron, c'est un philosophe.

Un philosophe vivant ?

Un philosophe mort.

Mort.

Alors, je peux vous faire une petite démonstration d'un numéro de cirque que vous ne connaissez pas encore, Philippe Claudel ?

Je vais donner la date de naissance de ce philosophe et la date de sa disparition.

Vous allez voir.

Un seul des deux suffit.

On va avoir la réponse.

Oui, je pense.

Vous préférez la mort ou la naissance ?

Allez, on change la naissance.

La naissance. Alors, il est né en 1772.

Fourrier.

Charles Fourrier.

Bon !

La réponse de Paul et Karat.

Charles Fourrier, c'est bien lui, philosophe français.

Utopiste.

A qui on devait cette citation sur les patrons.

Deuxième citation, un peu difficile aussi, mais je vais vous aider parce qu'on parle beaucoup des millionnaires,

voire même des milliardaires en ce moment.

Et c'est quelqu'un justement qui était très très riche.

Multi-milliardaires.

Rockefeller ?

Laissez-moi poser la question.

Parlement.

Mais c'est comme une otarie, vous voulez filer une sardine, ça y est, ils planchent à chaque fois, là.

Laissez-moi terminer la question pour Monsieur Maire, donc d'appuyer dans l'oise.

Il s'agit de retrouver un milliardaire.

Je suis obligé de préciser que c'est un milliardaire parce que le moment de la citation serait moins drôle.

Et c'est un milliardaire qui dit, demandez-moi tout ce que vous voulez.

Sauf de l'argent.

C'est le seul souvenir que m'est laissé mon pauvre père.

Est-ce qu'il est vivant ?

Alors français, non, vivant, non.

Américain.

Américain, oui.

Frick.

Frick, non.

Andrew Carnegie, non.

Son père est tout autant connu.

Alors son père effectivement devait être quelqu'un qui lui a laissé, j'imagine, un peu d'argent.

Mais c'est lui.

Melon.

Andrew Melon.

En fait, son père lui avait donné 10 000 dollars pour investir dans le forage des champs pétroliers dans l'Oklahama.

Donc vous voyez ce qu'il raconte.

Ah, c'est Jerry Wing ?

Non.

Est-ce que c'est le colonel Titus ?

Ah non, non, non.

Oula, oula, on l'a perdu là.

Oula.

Non, je vous parle d'un.

Ah, c'est pas Charles Winston ?

Non, c'est Titus Ville.

Je vous parle d'un milliardaire américain.

Charles Winston.

Moran en 76.

Est-ce que c'est Jean-Paul Guéti ?

Et c'est Guéti !

Bon !

La réponse de Paul Alcarrat.

C'est Guéti.

Pour Nicolas Joliot, qui a mis 3 000 yai court dans les Ardennes,

qui a dit, quand tu roules vite, tu es moins dangereux,

car tu restes moins longtemps sur la route.

Cohen ?

Non.

Quand tu roules vite, tu es moins dangereux.

Philippe Geluc ?

Non, non, mais c'est à Belge qui a dit ça.

Sacha Christelle.

Jean-Claude Van Damme.

Jean-Claude Van Damme.

Bonne réponse.

De Guillaume.

Alors, le beau pays.

Pardon.

La Belgique.

Mais non, c'est traditionnel d'un des mecs comme Van Damme.

On n'a pas de Van Damme, nous, en France.

Van Damme et Guillaume, vous vous rendez compte.

C'est fou, je ne sais pas qui le plus...

En parlant de Belgique, j'ai ouvert un bar à gaufres.

En Belgique, puisqu'il y a la célèbre gaufre de Liège,

puis la gaufre de Bruxelles,

et donc je viens de créer la gaufre de Namur

pour concurrencer les deux gros pays.

Et la différence ?

Ou ça vous viendrait, pour goûter.

Pourquoi Christelle, vous n'avez pas le même accent belge

que Monsieur Guillaume ?

Bah parce que...

Elle a une dignité.

Tout simplement.

C'est quelqu'un, Christine, qui a une carrière,

qui sait ce qu'elle veut, qui se laisse pas faire,

qui n'est pas esclave d'une culture à la côte.

J'aurais adoré, pendant des années,

à un tour, madame, Monsieur Boursouet.

Enfin, j'ai pas du tout cet accent-là.

Pas du tout, pas du tout, pas une seconde.

J'ai travaillé...

J'étais persuadé qu'il avait disparu, là, non ?

Pas tout à fait.

Pour Franck-Méry, qui habite trop assez en bris,

la question suivante, la citation suivante,

est plus difficile parce que c'est quelqu'un

qu'on n'a jamais cité au respect.

Ah ouais.

Mais en revanche, on connaît plus ou moins sa phrase,

cette longue phrase, cette citation que je vais vous donner.

On la connaît sans forcément savoir,

effectivement, qui a pu la prononcer.

Tout homme qui dirige et qui fait quelque chose,

a contre lui ceux qui voudraient faire la même chose,

ceux qui font précisément le contraire,

et surtout la grande armée de gens d'autant plus sévère

qu'ils ne font rien du tout.

Bruno Le Maire.

On la connaissait, cette réflexion.

Non, ce n'est pas Bruno Le Maire.

Jean-Claude Van Damme ?

Non.

C'est un homme politique ? C'est un contemporain ?

Il est mort. Il est mort en 1913.

C'était un romancier, dramaturge, critique, dramatique.

Mais assez peu connu, je dois dire, moi...

Ça tombe bien, on va le trouver.

En dehors du fait qu'il fut académicien français,

j'avoue que je ne le connaissais pas.

À l'académie des neufs ?

Louis-Émond ?

Non.

Jules Clariti.

Excellent, très bon !

Oh là là là !

Le Paul El Carrate !

Ma mère m'avait dit s'il y a Paul El Carrate,

n'y va pas, surtout pas.

Mais voilà, toujours écouter ça même.

Plus il y a des passes, plus il est chiant, là.

Jules Clariti, c'était la première fois qu'on le citait au grosses têtes.

Alors bravo, Paul.

Qu'est-ce qu'il y a ?

Mais à l'autre, là, le nouveau, là, le stagiaire, là.

Le stagiaire était l'avant-tente.

Claudelle, Claudelle.

Philippe Claudelle.

On peut te louer, Paul, pendant les diners et tout.

Ça peut être sympa, tu réponds à tout.

Et moi, j'ai répondu vraiment de façon bienveillante.

Genre, on peut le faire, mais c'est marrant, 5 minutes.

Moi, j'ai fait une raclette avec El Carrate, on l'a tous vomi à la fin.

Paul, pour mes rencardes, tu veux bien te mettre sous la table

et parler à ma place ?

Ah...

J'ai eu peur.

On a tous eu peur.

C'est une part à votre place, les gens vont se demander où est passé l'accent.

J'ai une question toute bête, on parle beaucoup du 15 de France en ce moment,

et c'est normal, puisqu'on a gagné, déjà, contre les Holblac, le premier match.

Ah, c'est pas le Samuel, le 15 de France ?

Non, match d'ouverture.

Il y a eu un bug, ils avaient mis 29-13, en fait, c'est 27-13, j'ai pas compris au début.

Comment ça ?

À la fin du match, il y avait 29 écrits à l'affichage, et au final, le score final, c'était...

Allez, moi, je me casse, bonne journée à tous, là.

Les belges, d'ailleurs, ne sont pas dans la come du monde de rugby.

Non, c'est pas votre truc, alors...

Non, vraiment, vraiment, on a...

C'est trop brutal.

Mais c'est quoi votre sport, les belges ?

Le cyclisme.

Le cyclisme, quand même.

Et puis, euh...

Et puis oui, c'est ça, la journée débarre.

Le football, non ?

Le football, il ne propose qu'on n'aborde pas le sujet.

Ah bon ?

Il dirait pas le France, en tout cas.

Le football, un peu, on va dire, et le cyclisme, surtout, quoi.

Oui, c'est ça, et puis on forme aussi quelques terroristes à venir ici,

et puis on a des bêtes d'école.

C'est superfaire parler en pédophilie, vous êtes fort.

Puisqu'on parlait du casse de France, et bien demain, mardi,

effectivement, on verra encore de nombreuses fois dans la presse,

et même après-demain, le nombre 15.

Mais pas du tout à propos du rugby, à propos de quoi ?

C'est en l'anniversaire ?

Est-ce que c'est autre chose que le sport ?

Si vous aviez lu le JDD, vous voyez...

Alors, depuis que c'est passé à gauche, je l'ai pu.

Insupportable.

Ils ont quand même réussi à...

C'est formidable, dans le JDD, à ne pas faire une une,

sans parler du Maroc.

Sans parler du Maroc.

Du tremblement de terre au Maroc.

Il faut arriver page 23, alors que quand même,

rappelons, le tremblement de terre a eu lieu vendredi soir,

donc ils avaient 24 heures.

Oui, mais ils ont une très mauvaise connexion wifi par là-bas.

Est-ce que les autres journaux n'ont pas pu faire samedi,

et ça, on le comprend, parce qu'ils avaient bouclé, effectivement,

trop tôt pour pouvoir faire leur une sur le Maroc ?

Donc, c'était une occasion même journalistique pour le JDD,

de le faire par rapport aux autres.

Eh ben non.

Il sera pas là pour...

Page 23, c'est pas qu'ils n'en ont pas parlé, il faut être honnête.

Il y a une page 23 entièrement consacrée à ça,

mais enfin, quand même, ça a mérité au moins une phrase.

Mais bien sûr, c'est fait exprès d'après vous.

Je ne sais pas.

Vous ne seriez-vous pas en train de défendre votre nouveau patron,

M. Bolloré ?

On y est.

M. Bolloré, t'as l'artrette.

Il a fait des choses formidables.

Non, j'étais...

Le JDD est moins bien que M. Zetravaux, mais c'est très bien.

M. Zetravaux.

Enfin, écoutez, voilà pour le 15 qui n'a rien à voir, en tout cas avec le...

C'est un anniversaire ?

Un anniversaire, le 15, non.

C'est un poids, c'est genre 15 grammes ?

Non, non, non.

Est-ce que c'est sportif ?

Ce n'est pas sportif.

C'est un centimètre ?

Très bien, prouvez-le.

Non, c'est pas un centimètre.

C'est donc pas une fricadelle, d'accord.

C'est plutôt un pouce, d'ailleurs, si je devais répondre à votre question.

15 pouces ?

15 pouces.

15 inches.

Ah, la sortie d'un nouvel Apple.

Smartphone.

Le 15 qui sort en octobre.

Ah, bravo.

C'est ça ?

C'est la bonne réponse de Guillaume.

Le iPhone 15.

Étant ambassadeur Samsung en Belgique,

je tiens aussi à préciser qu'ils font de très beaux produits.

Ça, c'est bien les comiques.

Vous êtes placement de produits, vous êtes vraiment des prostituents.

L'iPhone 15 sort demain, mardi.

Il fait 6 pouces.

Effectivement, vous m'avez demandé un centimètre.

Moi, je vous réponds en pouces.

Mais c'est vrai qu'on en est au 15ème iPhone qui sort cette semaine.

C'est toujours un événement.

C'est un événement d'autant qu'il paraît qu'il coûte 15 000 euros, celui-là.

Et comme on n'a pas de sous, comme des moutons,

on va tous aller l'acheter.

Mais il y a toujours des fils d'attente.

Quand vous me parliez de compte à rebours, il y a souvent même un compte à rebours.

Sur le moment, on va pouvoir acheter 11.

Pour moi, moi, je dois être encore, je sais pas, au 12, au 11, au 10, j'en sais rien.

Moi, c'est déjà bien.

Je sais même pas le numéro de mon...

Vous connaissez le numéro de votre iPhone, vous ?

Moi, je crois que j'ai comme vous un 12.

Mais moi, Laurent, je connais votre numéro.

C'est le 06.

Pour ce coup.

Mais ils sont très inquiets chez Apple,

parce que le régime chinois a donné ordre à tous les fonctionnaires de Chine

de ne plus utiliser Apple.

Oui, oui, oui.

Et donc, leur action en bourse a dévissé automatiquement.

Et il y a des usines de montage d'Apple en Chine.

Donc tout ça est assez contradictoire.

Vous pouvez nous le dire en mandarin, ce qu'elles viennent dire, festine.

Si la merde.

Très bien, Joyce.

A un moment, on est là.

Ah ouais, elle a changé la petite.

Changer peut-être bien la meilleure vente de l'émission.

Pour Alexandre Hamas, qui habite si vrai, c'est dans la vienne.

Je vous emmène au parc des Oiseaux de Villard-les-Dombe.

Il risque d'y avoir pas mal de féministes ce soir

dans ce parc des Oiseaux, pour quelle raison ?

Après, il y aurait des déminis.

Un rapport avec un oiseau ?

Non, non, non.

Même moi, je cherchais un oiseau.

Et on aurait des féministes heureuses ou remontés contre ce qui va se passer ?

Plutôt remontés.

Bravo, Monsieur Claudeuil.

Ça, c'est une bonne question.

Il y a quelqu'un là-bas ?

Oui, comme vous dites.

Donc c'est un concert.

Oui, il y a un concert ce soir.

Le concert de Bertrand Quentin.

Non, Bertrand Quentin.

BISPO.

Ah, j'étais sûre.

Mais c'est pas bête.

C'est pas bête, oui.

C'est un concert de quelqu'un qui est vieux.

Ah, le concert de l'Oil.

Oui, absolument.

Mais de Hugo Fré.

Bonne arrête.

Non, Hugo Fré.

Mais il s'est marié.

Il s'est marié, ça fait scandale.

Non.

Michel Sardou.

Michel Sardou, non.

Et il est vieux comment ?

Il a plus de 80 ans.

Oui, absolument.

Ah, c'est Herbert Leonhard.

Non, il dit Michel.

Non.

Français, on est d'accord.

Ah, j'ai jamais dit qu'il était français.

Ah !

Ah !

Mais c'était un américain ou un anglais ?

Un américain.

Mais le brut.

Ah, Woody Allen.

Il fait un concert de jazz.

Woody Allen est en concert ce soir.

Oh non.

Partie des oiseaux.

Ah bon ?

Voilà.

Eh oui.

20h30, 65€.

La clarinette ?

Oui, évidemment.

Ça m'est horrible.

Il va faire...

65€.

65€.

Et effectivement, il est avec son new Orleans Jazz Band en concert.

Ce soir, dans l'un, je vais pardonner l'adresse parce que...

Ah, si, si, si.

Mais qu'est-ce qu'il a fait, Woody Allen, aux féministes ?

Bah, il a juste baissé sa nièce.

Et sa fille.

Et en plus, elle était sans papier.

Tiens.

FDM.

Répondent aux auditeurs.

Delfine est en téléphone.

Delfine très ennuye.

Parce qu'elle écoute régulièrement des grosses têtes depuis plus de 6 ans.

Elle n'a jamais rie.

Mais à parts quelque rare grosses têtes qu'elle apprécie moins que les autres,

c'est surtout Sébastien Thoëne.

Qui l'a fichée.

Voilà.

Qui non, qui la dérange.

Parce que Sébastien Thoëne...

Même moi, je me dérange.

Je me mets à sa place.

... est devenu littéralement sauf chouchoux.

C'est bien ça, Delfine ?

Delfine. – C'est tout à fait ça, bonjour à tous. – Oh, une jeune, cool. – Ça s'entend tout de suite. – Dites à mes filles que je suis jeune, ça me traduit bien.

– Mais c'est pas très grave d'avoir un chouchou dans l'émission, Delfine. – Ah non, pas du tout, mais c'est juste que du coup, maintenant, quand Sébastien n'est pas là, j'ai moins de plaisir à écouter.

– Eh ben moi, c'est pareil. – Bah merci à vous, en tout cas, c'est une super émission, on rigole bien. – Tu mérites, on est payés.

– C'est bien de bien faire son travail. – Delfine, on vous embrasse et on passe à Amandine. – Bonjour, Amandine. – Ah, Amandine. – Ah. – Ah. – Allô, Amandine. – Doris. – Ah ben. – Enlevez le kit malibre de l'horifice. – Pardon, excusez-moi, j'avais ma montre dans l'horifice. – Dans le verroir. – Voilà. – Alors. – Alors. – Voilà, excusez-moi. – Ah oui.

– Oui, non, mais moi, j'appelais parce que j'adore M. Toen. – Ah non. – Ah non. – Ah non. – C'est pas vrai. – C'est bon, alors. – Ah si, je suis désolé. – Je pensais que vous vouliez une montre RTL qui s'accroche nulle part. – Mais vous savez que vous m'avez appelé au mois de mai pour la valise que j'ai perdu. – Ah merde. – Et j'attends toujours les montres. – Ah ben, on va vous les envoyer. – Je les cherche, du coup. – Ouais, parce qu'on est en rupture de stock de montres, pour tout vous dire. Il faut attendre qu'elles arrivent pour qu'on puisse vous les envoyer. – Quel succès. – Et vous êtes portugaise en plus. – Oh la la la. – C'est ça. – Mais non. – La la la, papa, ça

va tout bien. – Ça va tout bien. – C'est beau, le beau, le beau. – Et vous n'avoulez même pas Toen de se moquer de votre accent ? – Non, je ne sais rien. Je ne l'en veux pas. – Bah non, pas d'accent là-bas. – Il ne faut pas être susceptible des accents. – C'est ça. – Mais vous aimez sa voix, mais vous l'avez déjà vu physiquement, il est repoussant. – Vous l'avez vu physiquement ? – Oui, j'avais vu physiquement. – Ah d'accord. – Mais c'est pour ça, en fait. – C'est un mec qui a une tête qui sortira de prison qui vous dit ça. – Je suis comme Bolloré, je vous l'excuse tout. – Ah non. – Attendez.

– On vous embrasse aussi. Et en tout cas, merci d'avoir accroché votre montre qui n'était pas encore une montrer RTL. – Non, j'attends. – À votre combiné, on vous envoie les autres. C'est promis, là. Pourquoi ? Une, ça suffira. Brigitte, maintenant, est au téléphone. Bonjour Brigitte. – Bonjour, bonjour les auditeurs. Bonjour le public. – Bonjour Brigitte. – Bonjour. – Bonjour. – Bonjour. – Et moi, je vais encore rentrer dans le club de Monsieur Toen. – Ah la la. – Ah mais c'est d'accord. – Ah mais c'est d'accord. – Magnès a appelé ma cousine, mais non, c'est ma grand-mère.

– Non, peut-être pas quand même, il ne faut pas exagérer, mais j'adore Monsieur Toen. – Mais pas seulement. Vous aimez bien aussi Paul El-Karate. – Ah oui. – À ma deux comiques, hein. – Voilà. – Exactement. – Mais non, mais Paul, il est plus discret. Mais maintenant, il se lâche, il tâcle aussi, donc c'est un réel plaisir de voir le changement de Paul. – Ah mais je suis très discret, moi, c'est vrai. – Il devient con, quoi. – Ah non, non, non. – Ça s'appelle la puberté, là. – Non, non, non, puis aujourd'hui, il doit être particulièrement, alors, content, parce que Joy est vers lui.

– J'ai une grosse pensée pour lui avec le peuple marocain, donc je pense à lui aussi par rapport à ça. – C'est gentil, merci, en tout cas Brigitte, pour ces quelques mots. – Merci, merci. – Et j'ai quelqu'un aussi qui veut parler à Paul El-Karate, c'est Christine, bonjour Christine. – Ah, ma tante. – Bonjour. – Et pourquoi vous aimez particulièrement Paul El-Karate ?

– Ah, j'ai une admiration sans bonnes pour toutes ces réponses, et comme l'auditrice précédente, voir son changement, quand je l'ai entendu raconter la blague un peu salace au jour, j'ai bien ri. – C'est fou, comme la régression excite les vieilles. – Merci pour la vieille. – La régression des blagues du cul. – Et pas vieille, Christine. – Pas du tout. – Quelle âge vous avez, Christine ? – 35. – Ah, c'est pas vieux. – Non, j'ai pas vieux. – Il est en 50 mois que

je l'aurai. – Il n'a aucun respect le prépubère. – Excusez-moi, excusez-moi, Christine. – C'est pas grave. – Qu'est-ce que vous faites dans la vie, Christine ? Vous êtes à la retraite ? – Ouais, je suis retraité, ouais. – Bon. – Et avant, faisiez quoi ? – Je travaille à l'hôpital. – On va vous embrasser, Christine. – Merci beaucoup. – Et merci pour les compliments, Paul. Les premiers, on lui donnera d'autres blagues salaces. – Non, non, non. – Si ça vous fait plaisir, on se retrouve après les infos de ces heures.

C'est pourquoi j'ai switché à Shopify.

On ne peut pas aller sur la route sans une plateforme que nous pouvons relier.

Les grosses têtes avec Laurent Ruquier, c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours une question culturelle. On sort un peu de l'actualité, une question culturelle pour Jean-Luc Boucher, qui a mis de gracet dans le chair.

Oui, je voulais vous parler de Dominico Stéotocopoulos.

– Le Greco ! – Le Greco.

– Le Greco ! – Bah oui, le Greco.

– Le Greco, qui était un patron d'origine grecque. – Un patron d'origine grecque.

– Il s'est installé à Toulède. – Il s'est installé à Toulède.

– Qui est un des... Il avait rêve d'eux !

– La bonne réponse est signée Paul Alcarat et Philippe Clodell, je l'ai entendu.

C'est le vrai nom du Greco.

Une question de vocabulaire, maintenant, pour Collette Trio, qui habite Belleville sur vie.

– Le groupe Trio ? – Trio, oui.

– Peut-être. Qu'est-ce qu'une pâlin génésie ?

– Euh, c'est... – Une maladie.

– Non.

– C'est toutes les causes qui amènent à la naissance de quelque chose ?

– C'est-à-dire... – Bah vulgarisé.

– C'est chiant, ça. – Bah par exemple...

– C'est un terme scientifique... – Bah c'est le courit.

– Génésie, c'est la naissance. – Oui.

– Et poli, c'est plusieurs... – Non, c'est pâlin, pâlin, pâlin.

– Pâlin. – C'est la naissance de quelque chose.

– Pâlin.

– Mais la pâlin génésie... – C'est tous les caractères que tu as à la naissance.

– Non, non. – Oh, mais genre, c'est pas là qu'il faut aller.

– Non. – Faire un bébé.

– C'est d'ailleurs à propos du livre d'Amélie Noton,

que j'ai pu trouver ce mot dans la presse. – Ah, psychopompe.

– Oui, exactement, à propos de son livre psychopompe.

Et on parle, effectivement, à propos de ce livre de pâlin génésie.

– C'est un rapport avec les oiseaux.

– Ah, bah c'est drôle que vous disiez ça, parce que...

Oui, c'est un rapport avec les oiseaux, mais...

– C'est le fait de parler plusieurs langues...

– Mais c'est un rapport avec les oiseaux,

uniquement dans son livre, autrement, ça n'a aucun rapport.

– Avec les âmes ?

– Avec les âmes, avec la vie, ça, c'est sûr.

– C'est l'art génologique ? – Non, non, non, non.

– C'est quelque chose de psychologique,

comme un trouble psychologique et réditaire ?

– Non, mais psychologique. – C'est les gènes ?

– Non, effectivement, on peut considérer que ce soit psychologique, oui.

– La naissance d'une maladie... – Ah, c'est l'engin.

– Une phrase de ce souvenir, depuis le faitus.

– C'est de revenir depuis le faitus.

– C'est un retour à la vie.

– Un retour à la vie, c'est l'excellente réponse de Vio.

– Oh !

– Ecoutez, vous m'avez donné la définition exacte,

car si vous allez dans le dictionnaire et que vous voyez

pas l'ingénésie substantif féminin,

retour à la vie.

Renaissance, qui est en même temps une régénération,

c'est qu'une pas l'ingénésie, c'est qu'on revit à nouveau.

– C'est fou, hein, ça. – Quand on a une forme de renaissance...

– Mais c'est-à-dire, comme, spirituel ?

Alors, genre, on a un accident, on est déclaré mort et on revit.

– Non, ça peut être spirituel aussi.

Simplement, on est totalement déprimé, on y croit plus, c'est fini.

– Ah, comme moi, comparez-vous quand j'arrive aux grosses têtes.

– Voilà, et bien là, d'un seul coup, vous arrivez ici,

il y a une palingénésie qui se crêche... – Oh, c'est ingénie, moi.

– C'est fou, comme plus Paul devient con, plus je suis intelligent.

Il y a un transfert de données.

– C'est totalement par hasard, M. Guillaume,

que vous avez trouvé cette réponse.

– Ah oui, oui, oui, pourquoi ? – Non.

– Vous vous êtes persuadés que je suis pas capable de trouver une bonne réponse, comme ça ?

– Je n'ai pas dit ça, mais... – Bah si, c'est ce que vous avez dit, Laurent.

– Tu vois bien qu'on t'a amené comme un animal tropical,

d'un pays improbable, d'une contrée impossible,

donc quand tu as bombardé en hallucin.

– Je ne sais pas, c'était axé sur la naissance,

à un moment où je me suis dit, tiens, est-ce que c'est un retour à la vie ?

Voilà, excusez-moi d'avoir parfois des moments de génie, quoi.

Et puis, ça sur scène, plutôt !

– Une autre question pour Marie Chauquet, qui habite Versailles,

question qui va nous permettre de rendre hommage à Frédéric Hébrard,

une romancière qui, d'ailleurs, fit partie des grosses têtes dans les années 80.

Philippe Bouvard l'invite assez régulièrement.

– Qu'est-ce qui vient, Bouvard ?

– Elle était aussi la femme de Louis Velle, Frédéric Hébrard,

et on lui doit de célèbres romans et des feuilles tant télévisées,

d'ailleurs, comme la Demoiselle… – La Demoiselle d'Avignon.

– Voilà, la Demoiselle d'Avignon, où le château des Olivier,

tout le monde se souvient du château des Olivier…

– Eh oui, il te flic à Miami.

– Non, les grandes sagas de l'été, le château des Olivier,

c'est avec Brigitte Fossès, si ma mémoire est bonne.

Mais un autre feuilleton, une autre série qu'on lui doit dans les années 90,

évidemment dont on se souvient peut-être moins que le château des Olivier,

où la Demoiselle d'Avignon, pour ceux qui regardaient déjà la télé dans les années 60-70,

ça c'était avec Marc Kéler et Louis Velle,

il y avait toujours son mari qui jouait à Frédéric Hébrard.

Alors, quel est ce feuilleton, à l'époque on disait encore feuilleton,

des années 1990 qu'on doit à Frédéric Hébrard,

joué par Louis Velle, c'est même le rôle-titre, il faut le dire,

mais aussi co-écrit par leur fils François Velle, qui travaillait avec…

– Alors, c'est genre, orage d'été, là, la série ?

– Orage d'été ? – Non, sous le soleil, non.

– C'est policier ? – Policier du tout.

– Ok, vous savez combien de temps il a duré dans le temps ?

– Oh, ça a été quand même quelques épisodes, hein.

– Et ça correspond à un roman aussi ?

– Non, c'était une saga d'été, mais une saga d'été qui a commencé en septembre, vous voyez.

– Ah, c'est pas la série que l'on info, là, Marie-Pervenche ?

– Non, écoutez, ne touchez pas, notre ami Daniel est venu.

– Oh ben, elle veut bien, elle, par contre.

– J'ai fait un séminaire avec elle, elle laisse pas sa part au châte.

Et elle a raison, elle s'éclate.

– À l'ordre, elle a tenté de vous…

– Tout le monde, même Jean-Philippe, elle n'avait pas compris, hein.

Jean-Philippe a dit oui, oui, si t'as un concombre sur toi, je veux bien, mais…

– Excusez-moi, on raconte les vacances, voilà.

– C'est un feuilleton télévisé qui était une adaptation du roman éponyme de Frédéric Hebrard.

– La bicyclette bleue. – Non, madame, madame Hebrard.

– Mais t'en es en 1992, je peux trouver.

– Alors, vous êtes né en 1992, mais c'est un feuilleton qui a été diffusé, re-rediffusé, vous voyez.

– C'était drôle ? – Non, bon, drôle, c'était sympathique.

Les séries et les feuilletons de madame Hebrard et de monsieur Vêle étaient souvent sympathiques.

D'ailleurs, le mari de l'ambassadeur avait été nommé aux sept d'or, à l'époque, meilleur scénario, vous voyez.

– La pub Ferrero. – Non, non, non. Ah, vous avez dit quoi ?

– Ferrero. – C'est marrant, il y a un lien avec le titre de cette série.

– Le rancher, le rancher ? – Le rancher, quoi ?

– Le rancher ? – Le rancher.

– Non. – Praline.

– Il parait que je viens de donner la réponse, mais que vous en êtes pas en du compte.

– Le lien, le lien avec Ferrero.

– C'est mon réalisateur. – Cet émission n'a plus aucun centre, vraiment, là, ça devient...

– Non, il n'y a plus terrible, c'est pas que je donne la réponse, c'est que vous vous rendiez même pas compte.

– Non, mais vous, non plus. – Le rancher, j'ai donné...

– Non, le rancher, je l'ai dit, mais c'est pas ça.

– J'ai dit, effectivement, qu'il avait été nommé aux sept d'or dans deux catégories et j'ai donné le titre.

– L'ambassadeur. – L'ambassadeur.

– Pardon ? – L'ambassadeur.

– Le mari de l'ambassadeur. – Le mari de l'ambassadeur.

– Mais on est cons.

– Mais on est cons.

– Eh oui, quand même, vous venez de ça, le mari de l'ambassadeur.

– Oui, mais je parlais que c'était une autre série. C'était pas celle-là que vous en attendiez une autre.

– Non, non, le mari de l'ambassadeur, effectivement, l'âne-moselle d'Avignon,

et aussi le château des Olivier, voilà.

Trois grandes séries, trois grands romans populaires qu'on devait à cette écrivaine française,

Frédéric Hébrard, qui vient de nous quitter à l'âge de 80 saisons.

C'était bien de lui rendre hommage. Elle a été grosse tête en plus dans les années 80.

– RTL, six grosses têtes, 500 millions.

– Pierre-Emmanuel Carrère au télé... – Dans Gauss ?

– Non, rien à voir. Monsieur Pierre-Emmanuel Carrère habite ballement haute.

Garonne, madame Élene Carrère dans Gauss, n'est plus de ce monde, vous le savez, Paul El Carrat.

– Je sais, oui. – Bonjour Pierre-Emmanuel.

– Bonjour Laurent. – Que faites-vous dans la vie ?

– Je suis chercher de traitement dans une société d'études et de conseillers.

– D'accord. – Je fais de traitement statistique.

– Et c'est quoi la dernière statue que vous avez faite ?

– Je peux pas en parler. – D'accord.

– Que faites-vous la nuit ? – Je dors pas bien et je vous écoute.

– Ah ! Vous dormez mieux ou pas ?

– Il faut pas qu'on y faune.

– Je m'endors avec vous, je me réveille, je dors pas bien et je continue l'émission avec vous.

– C'est gentil. – Faites comme si vous étiez dans un rêve, Pierre-Emmanuel.

D'autant que je vais peut-être vous envoyer au château Cordé-Yambage, magnifique endroit.

– Il y a un dégât des eaux là-bas, vous pouvez ouvrir là-bas.

– Vous connaissez le relais château Cordé-Yambage, peut-être, esprit contemporain,

piscine, vigne, jardin, l'art de vivre le vin. – Très bon vin.

– Dans un magnifique cadre. Allez voir sur Cordé-Yambage.com.

– Monsieur, vous dormez dans la chambre mérule.

– Et en tout cas, ça va être un jeu l'ici jour, si !

Evidemment, vous dénichez la vraie info parmi les 6 que nous allons vous donner.

5 fake news, une seule information exacte.

Je vous le rappelle une dernière fois, Pierre-Emmanuel, mais vous connaissez le jeu, j'imagine.

– Je vous connaîtrai bien le jeu. – Bon, alors on commence tout de suite par Philippe Claude.

– Ah, geste de fair play exceptionnel hier à l'issue du match Afrique du Sud-Écosse.

Au coup de sifflet final, les rugbymanes sud-africains ont rendu leurs dents de devant aux écossés

qui les avaient perdu pendant le match. – Guillaume !

Cérémonie d'ouverture de la Coupe du Monde de rugby.

Alexandre Alami a trouvé ça moyen. – Christine O'Crenth.

– Madame, Monsieur, bonsoir. Hier à Hénin-Beaumont, Marine Le Pen a tweeté en route pour la rentrée

en pubiviant une photo d'elle le bras levé au volant d'une Volkswagen.

– Monsieur Tohaine, Sébastien. – Être financière au Maroc et Nicolas D'Etavernot, précise.

Faites un chèque à l'ordre de Mohamed 6. Enfin, M6 suffira. Et envoyez-le, RTL.

– Pas les carattes. L'Allemagne qui a désormais beaucoup de mal en football a en revanche gagné la Coupe du Monde de basket.

Si les Italiens gagent la Coupe du Monde de rugby, ça confirmera à tout le monde le déreglement climatique.

– Je n'attends pas terminer. – Luis Rubiales, le président de la Fédération Espagnole de football,

a finalement décidé de démissionner. Il a déclaré qu'il allait embrasser une autre carrière.

– Alors Pierre Emmanuel, vous avez bien entendu tout le monde ? – Oui.

– Il y a quelque chose de vrai dans tout ça ? – Alors, on va se faire par élimination.

Cadi Paul Elkarat, l'Allemagne qui a gagné la Coupe du Monde de Sébret.

– Oui, pour le basket, effectivement. – Oui, pour le basket, oui.

– Ils sont devenus fortiches en basket, les Allemands. C'est incroyable, ça. – Oui, mais il a bien le bras.

– Il y avait un très bon allemand. – Alors qu'en rugby... – Ils ont battu la Serbis, en final.

– Oui. – Alors qu'en rugby, ils ne sont même pas dans la Coupe du Monde.

Et quand au football, ils viennent de virer leur sélectionneur pour mauvais résultat.

– Ah oui. – Contre qu'ils ont perdu le Japon, je crois.

– Ils ont perdu Catherine. – C'est leur metto.

– C'est les sélectionneurs qui mettaient sa main dans son slip ?

– Oui. Non, ça, c'est Joachim Lowe, ça. – Ah, c'est moi. OK, d'accord, excusez-moi.

– Non, celui-là, c'était dans son metto. – Quelle culture !

– Non, aussi, aussi. Les deux, les deux. – Il était très Emmanuel, on va dire.

– Bon, en tout cas, vous avez raison. La formation était fausse,

parce que ça ne veut rien dire du dérèglement climatique pour autant.

– En suivi de Pierre Emmanuel. – Alors, l'information donnée par Philippe Caudel,

je pense qu'elle est fausse aussi. – Oui, ça, les Sud-Africains n'ont pas rendu

juste dans les écossels, dans, devant. – Ils n'ont plus de dents depuis longtemps, les écossais.

– Même si ils sont costauds, les Sud-Africains, c'est vieux.

Alors, on m'a dit ce matin que je devais pas dire violent,

parce que moi, je trouve ça violent, les matchs de rugby.

Mais il m'a dit, il faut dire brutal. Bon, alors ils sont brutaux.

– Vous avez déjà vu des rugbymanes malingres et chétifs et fragiles ?

– Il y en a, pour courir. – Éric Zemo.

– Moi, j'aime bien le rugby, mais je pense que les rugbymanes sont juste

des alcooliques qui n'ont pas eu les couilles de Ferrolygan.

Mais à part ça, j'adore ce sport.

– Alors, Pierre Emmanuel, ensuite, vous ouvrez qui ?

– La très belle Joyce Jonathan. – Ah, connaissez-vous, Pierre Emmanuel.

Mais effectivement, M. Rubírez n'a pas déclaré,

il aurait parlé en espagnol et au calca, l'expression,

brasser une carrière, ne signifierait peut-être pas la même chose,

mais ce n'était pas Joyce Jonathan qui avait la bonne info, c'est vrai.

– J'éliminerai aussi Sébastien Touen. – Alors Touen, oui.

Vous pouvez effectivement aider les marocains,

et on a une pensée, évidemment, pour tous ceux qui sont là-bas,

et évidemment, c'est terrible ce qui s'est passé.

Je crois qu'il y aura une soirée sur M6 mercredi soir,

mais ne faites pas vos chèques alors de M6.

– Alors de Touen, sinon. – Ça, ça n'est pas la peine.

– Ensuite, il m'en reste deux, et j'hésite un peu entre les deux,

entre Guillaume qui apparaît d'Alexandre Alamy,

qui avait trouvé la somme d'ouverture moyenne,

et après l'information donnée par...

– Mais elle, ce ne serait pas pour les mêmes raisons que les autres,

vous l'avez bien compris. – Donc vous me conseillez d'éliminer Guillaume.

– J'ai pas dit ça non plus. – On ne se permettrait pas.

– Et après l'information de Crisino-Crent,

avec Mme Le Pen en Volkswagen. – Oui.

– Pierre Emmanuel, il faut trancher. – Ah là là, j'ai un doute, je ne sais pas.

– Je sais que vous aimez l'émission, mais on a autre chose à foutre.

– C'est nous qui allons nous endormir en vous écoutant.

– Je vais éliminer Crisino-Crent.

– Ah là là là.

– Elle disait con !

– Je pensais quand même qu'Alexandre Alamy

n'ait pas du genre à tweeter sous prétexte

qu'elle a vécu avec Jean du Jardin, qu'elle a trouvé nul,

la cérémonie d'ouverture, voyons, Pierre Emmanuel.

– Elle est revancharde, c'est la Crisino-Crent.

– Alors évidemment, ce n'est pas un salut nazi, on ne vous a pas dit ça,

mais effectivement, elle a publié, c'est elle qui l'a publiée

en plus la photo sur le réseau Twitter,

elle a tweeté « Bonne rentrée ».

Et effectivement, on la voit toute seule au volant d'une Volkswagen

en train de passer le bras par-dessus le toit ouvrant,

le bras levé, ce n'est pas ma faute, c'est comme ça.

– C'est le bras gauche. – Et c'est une photo qui fait beaucoup beaucoup parler.

– Il y a quand même quelques symboles.

– Oui, oui. – Quelle est la raison, à votre avis,

Crisino-Crent, vous qui savez si bien…

– Je crois que c'est de la négligence.

En plus, c'est évidemment quelqu'un d'autre qui a pris cette photo

par définition, donc quelqu'un de son équipe de communication

qui devrait être viré. – Oui.

Même à l'émite que la photo ait été prise, c'est une chose, mais…

– C'est elle qui l'a publiée. – Mais c'est elle qui l'a publiée,

c'est ça qui est rentrée. – Oui, c'est son équipe.

– Là, vraiment, vous faites le militant socialiste, c'est important.

Elle était tout simplement au salon du révisionnisme.

Elle a fait un tour en voiture, il y a un couillon qui a pris une photo,

et puis voilà, on fait tout.

– En attendant, elle vous a fait perdre Pierre-Emmanuel.

– Je l'apprécie déjà pas, ça va pas changer.

– C'est perdu, en tout cas.

– Une question à la portée de tout le monde, là, pour le coup,

pour Stéphane… – Allez, pour Claude D'Unton.

– Pour Stéphane Moreau, qui habite Cheverny,

cher, peut-être vous avez lu dans le parisien,

ce papier signé Erwin Bonéset à propos du retour des pompistes,

puisque chez Total, Total Energy,

ils ont décidé de remettre des pompistes dans leur station-service.

Total a décidé de réembaucher 300 pompistes d'ici 2024.

Et évidemment, ce qui compte pour le pompiste,

c'est d'être un bon pompiste, un pompiste.

– Un bon pompeur.

– C'est quoi un bon pompiste, alors ?

– Eh bien, je vais vous le dire.

Un bon pompiste, c'est quelqu'un qui connaît le Sbam.

Mais qu'est-ce que le Sbam ?

– Le Sbam.

– C'est quand tu te fais clasher, Sbam.

– Le Sbam, c'est un acronyme, le Sbam.

– Le Sbam, c'est un acronyme, S-B-A-M.

– Le service.

– Ah, c'est le service.

– Le mot service.

– Sourir, bonjour, accueil.

– Merci.

– Balaisance.

– Alors, vous avez 3 sur 4.

– Sourir.

– C'est le A que vous n'avez pas.

Sourir, bonjour.

– Accueil.

– Non.

– Au revoir.

– Au revoir.

Sourir, bonjour.

– Au revoir.

– Merci.

C'est le Sbam.

– Ah, c'est intéressant.

Le Sbam.

– Oui.

– Le Sbam, on le réclame au caissière aussi.

– Oui, même au rostate.

Moi, je le fais tout le temps.

– Chez McDo, on le réclame à nos enfants.

– Le Sbam.

– En Belgique, on appelle ça le TPB.

– C'est-à-dire ?

– T'as pas une bière ?

– Sourir, bonjour, au revoir, et merci.

Le Sbam, voilà ce qu'on réclame.

Evidemment, auprès des pompiers.

Je vous emmène maintenant à la fête de l'UMA.

Ce sera une question pour Jeanne Petit-Jean,

qui habite Saint-Cyr-l'École.

C'est le week-end prochain, la fête de l'UMA.

Tout le monde va à la fête de l'UMA, on n'est pas obligés d'avoir.

– Oui, les Gilets jaunes, les Cassos.

– C'est Bastien Tohène.

– Vraiment tout le monde.

– Mais non, il suffit d'aimer un artiste qui se produit

sur une des grandes scènes de la fête de l'UMA.

La question est toute bête.

Il y a trois scènes sur lesquelles vont se produire

les différents artistes à la fête de l'UMA.

Trois scènes différentes.

Et je vais vous demander...

– Leur nom.

– Voilà.

– La grande scène.

– Le nom des trois scènes.

Et là, évidemment, le fait que ce soit la fête de l'UMA

devrait pouvoir vous aider.

– Et la scène de l'environnement, c'est...

– Leoferet.

– Non.

Ce sont trois femmes à qui on a donné...

– La Simone Veil.

– Louise Michel.

– Louise Michel.

– Catherine Lara.

– Non.

Trois femmes à qui on a donné les noms des trois scènes.

– Rose Luxembourg.

– Non plus.

– Rose.

– Des trois fêtes de l'humanité.

– Eva Brand.

– Des trois scènes de la fête de l'humanité.

– Trois femmes françaises.

– Trois femmes françaises.

On va dire adoptées par la France pour...

– À Florpe-le-Rhin.

– Paraïté.

– Pale trêle.

Mais...

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Под r Patreon.

– Marie Curie.

– Bonjour.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– judges.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

— Marie Curie.

–itzerades.

– showc.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

– Marie Curie.

Big Flo et Oli, Martin Solveig, non il n'y a pas Dieu Donné.

Imani, très bonne chanteuse aussi, c'est une belle programmation de fête.

Oui, il y a vraiment une belle programmation et il se partage tous ses artistes, trois scènes.

Moran ?

Vous m'avez trouvé la scène, mais non.

Irène Jouley.

Vous m'avez trouvé la scène Josephine Becker.

Yvette Rudi ?

Non, faut pas.

Elle en relaisse ?

Non, Angela Davis.

Vous m'avez trouvé celle qui n'était pas...

On va dire qu'il n'avait pas de lien direct avec la France.

Voilà.

Angela Davis.

Maintenant, il vous manque une des trois Josephine Becker, ça c'est bien et l'autre,

effectivement, elle était aussi chez nous en France, en tout cas, sur la dernière partie

de sa vie.

Nina Simone !

Bravo !

Bonne !

On l'a envoyé !

Ah, ça c'est une artiste !

Non.

Nina Simone, Angela Davis et Josephine Becker, voilà les noms des trois scènes.

Moi, je cherchais des politiciens françaises de gauche.

Et bah continuez à chercher, qu'on rigole !

Quand tu as choisi une plateforme de commerce, tu as deux choix.

Oh, une pièce de...

Ou...

Ouais !

Je préfère...

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C'est le son de la sale sur Shopify, la plateforme de commerce en allant qui supercharge

votre sale, en ligne, en personne, sur les médias sociaux et tout le monde.

Pourquoi battre les outils weak pour les plateformes inférieurs ?

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L'accueil de la contrôle de la branche.

Ça ressemble à...

Et les intégrations limitées.

Je n'aurais pas pu m'aider à savoir ceci.

S'arrêter les sales sur la table, joindre les millions de business à travers le monde

en parlant sur Shopify, et obtenir les outils industrieux des meilleures outils,

vérifier les outils pour les outils d'autorisation,

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A une question littérature, ça fait toujours plaisir quand on a un écrivain sous la main

et Paul Aïkkarat.

C'est gentil, merci.

C'est vrai que...

Où en est votre livre ? D'ailleurs, vous en avez vendu.

On approche les 25 ventes.

C'est...

Voilà un écrivain qu'on a surnommé le Valet de Chambre de l'histoire,

à cause des détails intimes qu'il a donnés sur certains de ses personnages.

Et c'est un écrivain français militaire aussi,

qui, il faut le dire, date un peu,

puisqu'il date de la deuxième moitié du XVIe siècle.

De quel écrivain s'agit-il ?

Roger de Bussirabutin ?

Non.

Agré pas de...

De Ronsard ?

Ronsard, non.

Bijard ?

Théophile de Vio ?

Non plus.

Guillaume du Barthas ?

Non.

Théodore de Bez ?

Ça existe, ça.

Ah oui, je te promets.

Mais B... B... E... Z...

Oui, mais...

C'est pas Moutarde ?

Vincent Vautour ?

Le colonel, vous avez dit.

Non, non, non.

Vincent Vautour ?

Non.

Mille-Vélez ?

Brantum ?

Non.

Comment vous dites ?

Brantum !

Brantum !

Excellent ! Prépose de Paul Elkarat.

C'est Brantum !

Il est chiant, Elkarat,

parce qu'il est comme beau grand,

il parle tout le temps.

Mais lui, à la fin, il a la bonne réponse.

Pour Thomas Peine, qui habite ici les Moulinots,

pouvez-vous me donner le nom de ce célèbre scientifique

connu pour son chat ?

Schrödinger ?

Erwin ?

Non, non, non, non, le suis-vous-plaît, c'est ça ?

Erwin Schrödinger.

Oh, j'aurais dit que Luc, moi.

Erwin.

Non, mais il est très fort.

Philippe Tonnel s'est fait griller de dust gold

par Paul Elkarat.

C'est énervant, hein, Philippe Tonnel ?

Non, non, mais il est très fort,

je suis admiratif.

Pour Véronique Sarange, qui habite Carcassonne,

je vais tenter encore une question littéraire.

Mais cette fois, je vais vous donner le nom d'un pays,

un pays imaginaire.

Et je vais vous demander qui a inventé, créé ce pays.

Ce pays, c'est la Garabagne,

qui a créé, inventé la Garabagne.

La Garabagne.

Un Français.

Un Français, alors un Français.

Non.

Non, il a été naturalisé français en 1955,

mais ça va aider Christine O'Crain,

et peut-être même monsieur Guillaume.

Un belge.

Puisqu'il est né à Namu.

Henri Michaud.

Il est né.

Henri Michaud.

Non, non, mais non, laisse-la moi au moins celle-là.

Un petit bordat, mais...

Bah oui, vous l'avez deviné, c'était bien Henri Michaud,

à qui on doit voyage.

Ma mère va me tuer.

À qui on doit voyage, en grande Garabagne.

C'est effectivement un de ses recueils de poésie publié.

La Garabagne étant un pays imaginaire,

objet d'un récit d'Henri Michaud.

À chaque fois qu'on en parle d'Henri Michaud,

j'aime bien préciser, je ne sais pas si c'est un peu psychopathique de ma part,

mais sûrement.

Oui, sûrement.

J'aime bien préciser que sa femme est morte accidentnellement

dans un incendie, l'incendie de chez eux.

Ah oui.

Ouais.

En 46, je crois que c'était au sort de moi aussi.

J'aime bien préciser ça lors des repas de famille.

Alors il est temps d'appeler les pompiers, peut-être.

Une question pour Miriam Baudouin.

Tiens, on reste en Belgique.

Mme Baudouin habite craie dans l'oise.

Là, c'est carrément un anniversaire,

puisque quelqu'un s'est suicidé.

Il y a pile 50 ans, jour pour jour.

Ah.

Et on en parle beaucoup dans la presse.

Salvador Allende.

Salvador Allende au Chili.

Bonne réponse.

Qui était le président, je trouve bien.

Voilà.

Effectivement, le 11 septembre 1973,

Salvador Allende était dans son palais

bombardé par les camarades de M. Pinochet.

Il a préféré se suicider plutôt que de se rendre.

C'était pile il y a 50 ans, jour pour jour, le 11 septembre.

Pour éviter de se rendre.

Pardon.

Pour éviter de se rendre.

Bien sûr.

Oui, c'est pas ce que vous avez dit.

Qu'est-ce que j'ai dit, Christine ?

Elle dit qu'il avait préféré se rendre.

Ah non.

Vous deux, aujourd'hui, vous êtes chiants.

Oui, oui, mais...

Et on est là pour tout vérifier.

Il a préféré se rendre à l'évidence qu'il fallait...

Voilà, merci.

Vous m'écoutez bien, vous, et surtout ma chérie.

Alors...

Une autre question pour Didier Chicha, qui...

Ah, Chicha.

J'étais chez lui, là.

Oh là, non.

Ça sent bon, ça.

Monsieur Chicha, bêchant, meurtemoselle.

Et si vous avez lu supplément du magazine Le Monde,

vous saurez répondre à cette question.

C'était une page intéressante, parce que le titre de cette page,

c'était qu'à décolle.

Et on nous faisait remarquer, dans cet article,

que souvent, à la rentrée scolaire,

il y avait un prof ou une institutrice qui était mise en avant,

à l'occasion d'ailleurs la plupart du temps de la sortie d'un de ses livres,

d'un livre qui, on va dire, raconte l'univers scolaire de l'intérieur.

Alors, cette année, c'est une femme qui s'appelle Liza Kamen Hirsi,

qui a même fait la une du Figaro Magazine il y a huit jours

pour expliquer ce que l'école était devenue.

Il y a quelques années, il y avait une femme qui s'appelait Céline Alvarez,

qui s'était fait connaître grâce à un livre appelé « Les lois naturelles de l'enfant ».

Et puis, on remonte jusqu'en 1976, ainsi.

Cette année-là, effectivement, il y a un écrivain,

il est devenu écrivain, il est devenu romancier,

mais au départ, il était professeur,

et c'est grâce à un livre qui s'appelait « Je suis comme une truie qui doute »

qu'il s'est fait connaître.

– Ah, la biographie de Christine Bravo ? – Non, non, non.

– Monsieur Thorene.

– Je pose une question.

Je ne sais pas que vous qui posez des questions.

– « Je suis comme une truie qui doute ».

– Voilà, c'est bon, on va tous la couvre, on va tous la couvre.

Christine avec ses lunettes, comme ça, avec cette petite bouteille.

– Et puis ensuite, il a publié « Antimanuel de français à l'usage des classes du second degré ».

Et c'est devenu un spécialiste de la langue française, une sorte d'historien,

chroniqueur au figaro littéraire aussi,

qui nous a quittés en 2012. De qui s'agit-il ?

Quel prof s'est fait connaître cette année-là, en 1976,

grâce à ce livre avec un titre sévré curieux.

« Je suis comme une truie qui doute ».

– Il a fait un peu de média ? – Ah oui, oui.

– D'abord, je vous ai dit, il était... – Au-delà de la presse, au-delà de...

– Il était au figaro littéraire. – Il a même genre de la radio, de la télé.

– Il a même fait acteur de temps en temps.

Il a écrit aussi des livres sur la chanson française.

Et même, son livre « Je suis comme une truie qui doute »

a été adapté au cinéma par Bertrand Tavernier.

Et c'est devenu ce fameux film qui s'appelait « Une semaine de vacances ».

Ça vous dit quelque chose, ce film de Tavernier.

– Mais moi, je connaissais le nom sans savoir qu'il fut professeur au départ

et qu'il s'était fait connaître à la rentrée scolaire 1976.

– Paul ? – C'est à vous.

– Il est mort en 2000. – Parce que les autres sont complètement à l'Ouest.

– Bon, monsieur Claudeuil le connaît sûrement, mais ça va lui...

– Oui, mais il sait, il sait.

– Il était chorésien au départ.

Il était né à l'Aglégol, en Chorès, en 1935.

– Ah, c'est pas...

– Et il est mort à Lille, en 2012. – C'est pas Jacques.

– Il a présenté une émission sur France 3 avant le demandier.

– Ah, intervile ? – Si on l'a vu...

– Non, « Le magazine de l'imprévisible ».

– Ah, est-ce que par rapport à les phénomènes paranormaux ?

– Ça s'appelait « Alléa, le magazine de l'imprévisible ».

– Albert Jacquard ? – Non, non.

– Ah, vous dites ça parce que c'est un anniversaire aujourd'hui pour le professeur Jacquard.

– Il est mort il y a 10 ans. – Il y a 10 ans, ouais.

– J'ai dit pour jour, je vois que vous l'avez révisé pour cette émission.

– Ah, pas du tout, j'ai même pas vu qu'il était mort.

– Mais vous avez les réponses dans le mauvais ordre.

– Ah, « Jacques R. Albert ».

– Ah, c'est bien, c'est à monsieur...

– C'est bien, je suis comme il s'appelle Jacques Guillaume.

– Frise...

– Est-ce qu'il s'appelle qui ? Il se prenait un peu pour Pierre.

– Non, mais je vous jure que vous connaissez un phénom.

– Claude, allez, je vous donne son prénom.

– Claude Allegra ? – Non, non.

– Claude D'Hunton. – Claude D'Hunton, bonne réponse de Philippe Claudelle.

– Claude D'Hunton. – Ah, pas de fouet.

– Le livre du jour est signé Vincent Kivi, ça s'appelle « Ni pleure, ni pardon ».

C'est un premier roman, même si Vincent Kivi a déjà publié de nombreux ouvrages

en tant que journaliste, historien, mais il n'avait jamais tenté la fiction,

on va en parler avec lui dans un instant.

Et dans ce livre, il est question, avant de donner de quelqu'un, quelqu'un qui fut fusillé.

– Oh !

– Oui, je sais que vous aimez bien les condamnations à mort.

– Ah oui, je sais. – Monsieur, et que vous en êtes un spécialiste.

– Oui, mais je ne suis pas pour la peine de mort.

– Monsieur Paul Alcarnon, je me doute que vous n'êtes pas pour la peine de mort.

– Sauf pour certains.

– C'est quelqu'un qui fut fusillé.

Pour Tohaine, vous voulez dire...

– C'est gentil, ça ne va pas croire.

– C'est quelqu'un...

– Vous appelez mon avocate, tout de suite.

– Il pourra rien faire. – Arcellement.

– C'est quelqu'un qui fut fusillé.

Je vais vous donner la date exacte, le 11 mars 1963,

au fort d'Hivry.

– Bastien Thierry. – Bastien Thierry.

– Jean Bastien Thierry, bonne réponse collective.

– Ah, belle art.

– Vous pouvez rappeler pourquoi Christine O'Crenth...

– Attentat contre le général de Gaulle.

– Le petit Clamard, après.

– Exactement, il avait dirigé l'attentat du petit Clamard,

le 22 août 1962, dans le but de supprimer le général de Gaulle.

Bonjour Vincent Kivy.

– Bonjour, Laurent Réquier.

– Il est question, effectivement, avant de donner de Jean Bastien Thierry,

puisque vous écrivez ce livre à la deuxième personne du singulier,

vous dites à propos de votre héros, lui,

dont on suit les aventures à travers votre livre,

vous lui dites, tu as un sursaut, après avoir lu à la une des journaux

qu'un des comparses de ton père, Jean Bastien Thierry,

a été fusillé pour avoir organisé un attentat contre de Gaulle.

– On comprend à travers cette phrase, déjà,

que dans votre livre, on est au cœur des armées secrètes.

On peut dire ça comme ça ?

– Oui, c'est ça.

Alors après, on est au cœur tout en étant un peu en marge,

parce que le héros, justement, n'est pas du tout mêlé à ça.

Il est un peu la victime de cette ambiance et de ces événements,

parce qu'il en est que le fils, effectivement, non.

D'un des activistes de l'OAS,

et donc, au fond, il est un peu le jouet,

au fond de ces gens qui agissent dans l'ombre,

mais que lui, il ne revende qu'il n'y a pas du tout.

Il est comme ça, il y a 17 ans,

et il essaie, au contraire, de se sortir de cette espèce de nébuleuse

qui l'enferme.

– C'est ce que vous lui faites dire, d'ailleurs, à un moment donné,

parce que son père est absent, forcément,

puisqu'il est recherché, ennemie publique n°1,

et vous lui faites dire donc à votre héros,

« Vous savez, je suis son fils, pas son lieutenant,

je ne juge pas l'officier, je juge le père,

et franchement, je le condamnerai bien par contumasse, moi aussi,

parce qu'il a déserté le foyer familial comme le commando para. »

Là, on est au cœur du livre.

– Oui, tout à fait.

Parce qu'en plus, effectivement, d'être un activiste recherché

et qu'il s'occupe pas beaucoup de son fils,

il est aussi un espèce de légionnaire qui va de femme en femme,

et qui, du coup, abandonne facilement

les différents foyers familiaux qu'il a créés au fil des années,

et donc, à cette espèce d'acrimonie politique,

au fond, que son fils lui adresse,

puisque le fils, il faut comprendre qu'il est victime aussi de cette ambiance,

parce que la police, du coup, essaie plus ou moins de le manipuler

pour retrouver le père.

C'est les anciens comparses de son père,

et c'est aussi de le manipuler pour essayer d'influer sur le poids de ce père.

Et donc, il est effectivement très, très inséré dans ce monde sans le vouloir,

et donc, non seulement il en veut à son père pour être inséré malgré lui dans ce monde,

mais en plus, il en veut à son père,

parce qu'effectivement, il a toujours été absent,

il s'est jamais coupé de lui, et puis, il a abandonné sa mère aussi pour d'autres femmes,

donc il est plein de haine pour ce père, en fait.

C'est un peu le nœud de l'histoire.

– Alors, vous le dites, on le suit depuis ses 17 ans, ça commence comme ça.

Tu as 17 ans à Palma de Major,

on le suit aussi à travers les villes, évidemment, où il va se réfugier,

parce qu'au fond, lui aussi va devoir fuir comme son père, ceux qui le recherchent.

On ne va pas raconter la deuxième moitié du livre,

je tiens à signaler que si vous feuilletez le livre,

ne vous faites pas piéger par les titres de chapitre 25 ou 30,

parce qu'on dit, tiens, on passe du chapitre 25 au chapitre 30,

il manque 5 chapitres dans le livre,

on pourrait croire qu'on a arraché des pages,

non, chaque nom de chapitre correspond à l'âge de votre héros, c'est bien ça ?

– Oui, c'est ça, c'est-à-dire qu'on le suit au fond,

moi, l'un de fois du tout, comme vous l'avez dit,

c'est l'idée qu'on le suit au fond pas de très près, en fait, ce garçon,

et à la fois, on n'est pas lui,

c'est-à-dire qu'il y a des moments où on arrive plus à le suivre,

il se perd dans l'espace, il se perd aussi dans sa vie, lui-même,

c'est quelqu'un qui suit effectivement permanent,

c'est-à-dire la photo de couverture s'appelle « L'homme qui court »

et ça aurait pu être le titre du livre, si vous voulez,

c'est un homme qui court, qui essaie de rattraper sa vie,

qui l'arrive pas à rattraper, et puis qui fuit aussi son père,

qui est pour lui une menace au fond, qui est à la fois une menace concrète,

parce qu'il a peur qu'il soit violent contre lui,

mais aussi une menace un peu floue,

parce qu'il sent que c'est un monde qui doit suivre,

et au fond, c'est cette espèce de course sans fin que je raconte,

parce qu'au fond, il n'a pas de but.

Que vous racontez en s'adressant à lui, on vient de le dire et de le répéter,

en disant « tu, tu », c'est la deuxième personne du singulier,

sauf qu'à un moment donné, dans la deuxième partie du livre,

on comprend qui est le jeu, je suis le fils d'une femme qui l'a aimé,

que le père a aimé.

Alors ça, est-ce que c'est vrai ? Est-ce que c'est votre cas à vous ?

Puisque c'est vous le narrateur au fond, Vincent Kivi ?

Oui, c'est ça, c'est moi le narrateur, après, c'est un roman, voilà.

Je me réfugie derrière le mot fiction, et je préfère laisser, voilà.

Le doute.

Le doute, et le...

Vous savez, comme dans le tour romant, il y a beaucoup de vrai, et puis il y a beaucoup de faux.

Vous connaissez Vincent Kivi, monsieur Fille ?

Je connais son roman, puisque je l'ai reçu.

Oui, oui, absolument.

Ni pleurs, ni pardon, vous avez eu d'un seul coup d'écrire,

voilà, en utilisant la fiction, mais on comprend quand même que c'est un sujet que vous maîtrisiez à donf.

J'espère.

Un roman d'apprentissage au spline incondécent, c'est vrai que vous avez raison,

il y a aussi l'adolescence qui est l'autre sujet du livre,

parce que c'est la majeure partie, effectivement, de ce que vous nous racontez,

les 17 ans et quelques mois, et très vite, ça, la suite,

on va la laisser à nos auditeurs qui auront envie de découvrir votre premier roman,

publié aux éditions de l'Observatoire,

ça s'appelle « Ni pleurs, ni pardon, »

c'est signé Vincent Kivi, et c'était le livre du jour.

Merci, monsieur Kivi.

Une question pour Hubert Lecourt, qui a dit que la ferté saint-aubain, c'est dans le Loire.

Pas de chance, Lecourt.

On va beaucoup parler de cette série, « Class Act » qui sort cette semaine,

mais pour quelle raison va-t-on beaucoup parler de Class Act ?

C'est pas la série sur Netflix avec « Mahen Chapa » ?

Non, pas du tout.

Mais c'est une série ?

Oui, cette série sort sur Netflix.

Ah ben, je n'étais pas loin.

Netflix, c'est très connu, c'est sur un orthophoniste, c'est sur un orthophoniste.

Vous me fatiguez.

En fait, vous me fatiguez tellement, toi-même.

Mais regardez !

T'as vous trompé, ce n'est pas de ma faute.

Oui, parce que je suis obligé de répéter 18 fois la même chose.

Mais je vous dis que j'avais raison, c'est bien sur Netflix ?

Non, c'est Netflix, c'est une sous-marque.

C'est moi en reine.

C'est sur Netflix, le chanteur.

Je suis ni par en bafouillé, voyez-vous ?

Et en acte lundi.

C'est la dernière saison de « Sex Education ».

Non, « Class Act ».

C'est le titre de la série.

C'est une nouvelle série.

C'est une nouvelle série qui sort cette semaine, donc c'est une nouvelle série.

Si vous écoutiez ce que je dis, genre...

Oui, bien sûr, mais ceux qui disaient que c'était le dernier volet de « Sex Education ».

Ce qui c'est que d'aller écouter parce que dit l'autre crétin, alors.

Mais je sais pas.

Il faut vous montrer Paul, comme ça.

« Class Act » sort cette semaine sur Netflix.

Et je vous demande pour quelle raison on va beaucoup en parler.

C'est ré-américaine, non ?

Non, ce n'est pas une série américaine.

Grâce au casting qu'on va parler ?

Alors, on en parle grâce au casting, mais pas seulement.

C'est pas sur la « Sex Type » des fillons ?

Pfff !

C'est pas ça pour une fois ?

Non, mais quelque part, on se rapproche.

Mais bien sûr qu'on se rapproche.

On ne parle que de ça dans toute la presse.

Ah bon ?

Évidemment, il y a un piège dans ma question, vous me connaissez.

Est-ce que c'est France ?

Ah, c'est parce que le titre est en anglais.

Je viens de vous donner le titre international, évidemment.

Ah !

En français, c'est « L'acte de classe ».

C'est « Tapi ».

C'est la série sur Bernard Tapi.

Bonne réponse de Christine O'Cranth.

C'est parce qu'on a vu « Class Act » nulle part.

Et oui, mais moi, je l'ai vu.

C'est bien en anglais, là.

Vous l'avez vu ?

Effectivement.

Avec Laurent Lafitte.

Avec Laurent Lafitte.

C'est une série signée Olivier de Mangel.

Et Tristan Seguella, c'est mercredi.

C'est pas encore sorti mercredi sur la série Netflix.

C'est Laurent Lafitte qui joue le rôle de Bernard Tapi.

Et c'est vrai que chez nous, ça s'appelle « Tapi ».

Mais Netflix, c'est une plateforme internationale.

Et donc, on a le nom, évidemment, de la série pour les autres pays.

Ça s'appelle « Class Act ».

Parce que Tapi, ça veut rien dire, évidemment.

À l'étranger, c'est français.

Le carpet ?

Le carpet.

Ah non, ils ont appelé ça « Class Act ».

En tout cas, moi, cette série, je la sens pas très bien.

J'ai vu la bande annonce.

Moi, je veux bien Laurent Lafitte en Michel Lebes, mais pas en Tapi.

Et ben, croyez pas ça.

Je dis, quand on voit la bande annonce, franchement,

quand on le voit par le joueur de l'OM dans le vestiaire,

c'est pas Tapi qu'on a pu voir.

Donc, d'après toi, c'est un anarque.

Je laisse la place.

Je le nomme.

Je nomme.

Je nomme.

Mais écoutez, même l'UB, on dit plutôt du bien.

Ah ben, bien sûr, c'est bon signe.

Quelle est la main aussi ?

Non, mais franchement...

Plus de gadgets aussi, de toute façon.

La série à plutôt bonne presse, je dois dire,

« Class Act » qu'on connaîtra mieux chez nous, évidemment,

sous le rôle et sous le nom de Tapi.

J'ai une autre question, plus culturelle encore,

puisque c'est un sculpteur qu'il va falloir retrouver maintenant.

Né en 1935, mort en 2016, c'est un des rares sculpteurs.

Peu le dire, Sénégalais, qu'on connaisse.

Ousmanso.

Ousmanso.

Ousmanso.

Ousmanso.

Excellente réponse.

J'ai même pas eu le temps de terminer ma question.

Moi, j'aime bien attendre la fin pour interagir.

Du coup, jamais, je peux donner la réponse.

Expliquez-nous pourquoi on parle de Ousmanso dans la presse aujourd'hui,

Monsieur Guillaume.

Aucune idée.

Alors, voyez que vous saviez pas...

Il y a une rétrospective de ces oeuvres ?

Non, il a tout simplement une oeuvre,

qui s'appelle « Coupe de lutteurs corps à corps »

qui va rentrer au Musée d'Orsay.

Et voilà, il va être mis à l'honneur officiellement.

Du Musée d'Orsay, qui a brandi cette semaine.

C'est une première pour ce sculpteur sénégal,

dont on se souvient, parce qu'il y avait eu une expo,

en fait, sur un des célèbres pourchipulques, d'ailleurs.

Alexandre 3-1 ?

Peut-être.

Vous êtes sûr que le saint...

Non, pas sûr, mais je vous l'ai dit un peu.

Non, non, non.

C'était pas le pont des orges.

Le pont des orges, il me semble.

Le pont des orges.

C'était le pont d'Ien.

Il me semble que c'était le pont des orges.

Qui, t'as dit n'importe quoi, toi ?

Dites le pont d'Ancarville aussi, vous voyez.

Ah, je vais bien y dire.

Je vais bien y dire.

Non, franchement.

Mais Laurent, vous avez dit Musée d'Orsay, Branly.

C'est le Musée Branly.

Oui, c'est le Musée Branly.

C'est les arts africains.

Non, c'est le Musée du Quête Branly d'Orsay.

C'est bien, au moins, vous avez toujours tenu.

Je vous emmène maintenant au Palais d'espoir,

qu'on doit appeler, puisque tout change de nom,

le Dôme de Paris, maintenant.

C'est normal, c'est un Dôme.

Oui, d'accord.

Mais avant, on disait Palais d'espoir.

Oui, comme Bercy, quoi.

Dôme de Paris.

Voilà, Bercy a changé de nom aussi.

À corps hôtel.

Et pour 6 représentations uniques,

qui pourrait-on applaudir les 21, 20 de 23 et 24 septembre prochain,

au Dôme de Paris ?

Chanteur, chanteuse.

Alors, il y aura des chansons,

c'est vrai de là à dire que c'est une chanteuse,

n'exagérons rien, mais il s'agit d'un spectacle...

Ah, Milaine Farmer ?

Non.

Il s'agit...

Non, c'est pas une chanteuse.

Il s'agit d'un...

C'est une coiffeuse, c'est sûr.

C'est sûr, c'est une coiffeuse.

Vous avez les rajous comme elle les fait bien.

Il n'y a qu'une coiffeuse pour faire ça.

Il s'agit d'un spectacle musical, j'en peux plus.

Les années 4 avant...

David Jean Mott ?

Non, non.

Les comédies musicales ?

Non, vous n'avez pas, vous y mettez aussi, El Carat.

Le spectacle de toutes les comédies musicales ?

C'est pas les...

Un spectacle musical, un phénomène.

Tiens, d'ailleurs, c'est Gadel Malé,

quelques coproducteurs qui présentent ce spectacle.

Ah, c'est Lourdes, la petite qui interprète Bernadette.

Bernadette de Lourdes, bonne réponse !

C'est un spectacle musical phénomène

pour 6 représentations uniques.

Vous avez demandé si elle chantait.

Alors, évidemment que Bernadette elle-même, elle ne chante pas.

Mais dans la comédie musicale,

j'imagine que Bernadette de Lourdes, Bernadette Soubirou,

va chanter, mais c'est uniquement pour la bonne cause,

si j'ose dire.

Et pour ce spectacle, au Dôme de Paris,

les 21, 22, 23 et 24 septembre prochain,

un miracle est attendu.

Il reste des places ?

C'est un miracle, alors.

Vous dites que c'est pour la bonne cause,

c'est pour quelle cause ?

La cause catholique, monsieur...

Ah, d'accord.

Mais c'est Gadel Malé qui a produit...

Oui, parce qu'il est converti.

Vous savez qu'il est converti.

D'accord.

C'est vrai, et à l'humour, il est converti.

Il y a...

Éric Emmanuel Schmidt a écrit les paroles.

Pourquoi vous pensez ça ?

Parce que lui aussi, il est en peine...

Il est loin par le pape, maintenant.

Voilà.

Il est reçu par le pape.

Avec Emmanuel, bien sûr.

Le pape lui a même fait la post-passe de son livre.

Ah oui, il en pleine...

Je crois que là, il n'y a rien à voir.

Il n'y est pour rien, avec un adouage...

Non, dans ce spectacle-là.

Non, non, non.

Mais c'est bien, parce que moi, j'ai toujours...

Ça me faisait chier à la maison.

Mes parents voulaient m'attetter les foot.

Et moi, je voulais aller le jour du seigneur.

C'était jamais assez long.

C'était nécessaire, ça, toi.

Parce qu'il n'y a pas du retour de la spiritualité,

je trouve ça très bien.

Bien sûr, bien sûr.

C'est le plus vieux programme...

Là, on sent que Bolloré vous a imprégné, vous voyez ?

Ah, les loups, il y a...

Elle est louie, elle est louie, elle est louie.

Les grosses têtes de l'Or not virtuelles

sont de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours】 Hex!!

Marie-ᵉ?!?!

Raskatoel!!

Une question pour Féza Lyane,

qui habitent vernon,

Leur question qu'elle nous permette d'avoir dans un instant, Monsieur Hetzel Bourdin,

président de la Fédération française de Korn Hall.

Alors on va dire qu'est-ce que le Korn Hall ?

Si vous avez lu le Figaro Magazine ce week-end, vous saurez ce que c'est.

En tout cas, les champions du monde viennent de se dérouler à Paris.

C'était une première à Paris, le Korn Hall.

Mais de quoi s'agit-il ?

C'est de la lutte.

De la lutte ? Non.

C'est pas avec animaux ?

Avec animaux ? Non.

C'est un concours de Feseur de Popcorn ?

Non, non plus.

Mais effectivement, c'est une bonne idée, Monsieur Podallekara, de partir du nom.

Alors effectivement, Korn Hall, vous avez compris, chère Christine, il y a du maïs dans l'affaire.

C'est celui qui mange le plus rapidement des épis de maïs ?

Non, non.

C'est une oeuvre avec du maïs.

C'était au Stade Charletti, qui avait lieu les champions du monde.

Un lancé d'épis de maïs.

Alors un lancé d'épis de maïs.

Mais un combat, épis de maïs, comme une épée.

Non.

Le plus grand épis de maïs ?

Non.

Pas le plus grand épis de maïs.

Dans le slip ?

Le plus lourd ?

Non, non plus.

La grande recette ?

Non.

Le plus jaune ?

C'est un vrai sport qui vient de se dérouler à Paris.

C'est parait-il la folie aux États-Unis, ce sport qui débarque chez nous, la preuve

au Stade Charletti ce week-end, avait lieu...

C'est de manger le plus vite possible un épis de maïs.

Non, on ne marche pas le maïs.

On se sert d'un épis de maïs ?

Non.

Peut-être...

On s'insère un épis de maïs ?

Non.

Ça, c'est un sport qui a réputé depuis longtemps, mon perdu.

Qu'est-ce qui vous arrive, Podallekara ?

Mais vous voyez, moi, j'ai terminé le trif de Paul, là, et puis ça, il s'est fini, là.

Mais vous avez, en moi-même, monsieur...

Comme on dit, c'est pas le même qu'à la télé, hein.

C'est pas le même que dans les vidéos.

Si vous aviez bien écouté, effectivement, le nom de ce sport, car il s'agit d'un sport,

peut-être ça pourrait vous aider à...

Oh, c'est le trou.

C'est né à SimSinati, ce sport.

Oui, bravo.

Oui, donc on jette un épis de maïs dans un trou.

Ah écoutez, je vais vous accorder la bonne réponse, on jette pas un épis de maïs,

on jette...

Un grain de maïs ?

Un sac de maïs dans un trou de souris.

Ça s'appelle...

Mais comment ça rentre ?

Ah ben, on va demander...

Même à une soirée, Jean-François ?

Non, c'est passionnant.

Quand on a appelé les trucs, mais ça, il n'arrive pas, hein.

On va demander à Axel Bordin, parce que c'est vrai que ça paraît tellement étonnant.

Le fils de Jean-Jacques ?

Non.

Ça paraît surtout infiniment stupide.

Et pervers, j'ajouterais pervers.

C'est pas très gentil pour le président de la Fédération française qu'on a ont donné.

On s'enregistre pour le maître.

Et combien d'adhérents ?

Monsieur Bordin, bonjour !

Bonjour, bonjour à vous Laurent et bonjour à Grossel.

C'est vrai que ça a l'air étonnant.

Et le Figaro Magazine a consacré une page ce week-end à cette compétition de Cornhole.

C'est Charles Liescurier qui l'a fait, cette page dans le Figaro Magazine.

La folie américaine qui a débarqué en France.

C'était bien ce week-end au stade charlétie, c'est ça ?

Oui, oui, c'est ça.

C'était le week-end dernier.

Alors c'est pas le championnat du monde, c'est la première fois du monde au monde,

puisque c'est un sport qui se pratique surtout aux États-Unis.

Et on a été les premiers en France à organiser ce couple du monde

avec le soutien de l'Amérique de Paris, du stade charlétie.

Et ça a été les 259 soirs au monde d'Éténa.

Tout ce qui est très con généralement vient des États-Unis.

Oui, alors je dois dire que vous avez une imagination assez certe

dans ce qui concerne l'utilisation de l'Éténais,

mais c'est un vrai sport de lancer.

Alors il y avait du maïs au début, maintenant il y a des pires toxiques qui sont à l'intérieur.

Et c'est un sport de lancer comme la pétanque.

Mais faites-le avec des nains, c'est rigolo !

Expliquez, le sac de maïs ou de billes,

puisque maintenant vous dites que ce sont des billes à la place du maïs,

les sacs font combien à peu près ?

Alors les sacs font 450 grammes, 15 cm de côté,

la planche est à 8,23 mètres,

et on doit lancer ce sac si possible dans le gros sur la planche,

et bien sûr qu'il y a tout un tas de stratégies et de coûts

qui sont référencés pour pouvoir gêner son adversaire et le battre, bien sûr.

En fait vous dites que la planche, parce que ça ressemble comme ça,

de loin, une sorte de bière en fait, on peut dire ça,

sauf qu'au lieu du détruit sur les côtés,

le trou est au bout au centre, et il faut lancer dans les sacs de maïs, c'est ça à peu près ?

Oui oui, la planche est légèrement inclinée, avec un trou de 15 cm dans la partie supérieure,

et vous lancez chaque personne à quatre sacs, et vous lancez ces sacs sur la planche.

Et chaque joueur, d'après ce que je comprends dans l'article du Figaro Magazine,

ça m'a surpris à une page entière sur un sport que je ne connaissais pas,

chaque joueur tente de bloquer l'accès à l'horifice en lançant un sac juste devant l'horifice, c'est ça ?

Oui, je pense qu'en prononçant les mots comme ça, Laurent, vous cherchez l'embrouille ?

Non !

Je n'ai pas l'embrouille !

Tu cherches une thématique ?

Non, mais j'entends les commentaires des fois un peu surprenants,

notamment de Clair Chazal, il y a quelques instants.

Clair Chazal !

Christy de Grèche !

Je suis flatté !

Là, je me suis flatté !

Monsieur Bourdin, je vois que vous allez d'humour, dites-donc.

Vous confrônez avec Évin Leclerc, monsieur.

Mais on y joue, on y joue.

Il y a plusieurs millions de pratiquants aux États-Unis,

et nous, on développe ce titre depuis trois ans, et ce qui est très important dans ce sport,

et c'est un des rares sports où tout le monde a sa chance.

Dans le sac, avant, faut coller les gens.

Écoutez, chaque joueur, à combien ?

Quatre sacs, c'est ça ?

Alors, on joue à chaque fois des quatre sacs chacun,

et puis on compte les points, et on rejoue, et c'est le premier arrivé à 21 points.

Mais c'est un sport de lancer, mais très rythmé,

beaucoup plus rythmé que la pétanque.

Et d'ailleurs, je crois que dans quelques années en France,

les amateurs de pétanques auront une double compétence en pétanque,

et encore non, c'est sûr.

Et vous organisez aussi des concours de pétanque ?

Alors, non, pas du tout, puisque moi, je suis passé par le corneau,

et la pétanque, c'est beaucoup trop long pour moi.

Combien de Français pratique le corneau pour l'instant ?

Alors, en France, on peut dire qu'il y a environ 300 joueurs réguliers,

mais si tu as noté, c'est que les meilleurs joueurs européens sont en France,

on a les trois meilleurs joueurs européens qui sont en France.

Ça, c'est formidable, formidable.

Et on est à la suite de la Coupe du Monde, là, on est la première nation européenne,

et la deuxième nation au monde, puisque on a battu le Canada en demi-finale.

Non !

Alors, on peut perdre la Coupe du Monde de rugby,

si franchement, là, on est les meilleurs en corneau, là, en Europe,

tant pis pour le rugby.

Écoutez, au moins, vous nous aurez appris ce qu'était ce sport.

J'étais, je dois dire, fort surpris de voir une page entière

sur le corneau dans le Figaro Magazine, ce week-end,

un trou de 15 cm à 8 mètres.

On doit lancer dedans des sacs de naïs.

Vous savez, dans les manèges dans les fêtes foraines,

quand on lance les boules, là, pour faire avancer les petits chevaux,

c'est le vieux manège, on dirait.

Il y a un peu de ça ?

Oui, eh bien, c'est pas du tout ça.

Je jouerai jamais à ton jeu !

J'aurais pu faire une story, t'aurais 3 000 vues !

Mais ça tombe bien, parce que la priorité n'aurait jamais réussi.

Monsieur Bourdin, président de la Fédération Française de corne,

oh, ça ne s'avante pas un titre pareil,

vous avez l'air d'avoir deux l'humour, en tout cas, il vaut mieux,

dans ces cas-là.

Bravo et merci, Axel Bourdin.

Une question sport pour Laurent Essel, qui habite à Argentoïque,

puisqu'on parle beaucoup de rugby quand même, parlons aussi de football.

On a gagné quand même contre les Irlandais, 2 à 0,

et en plus, on joue un match amical,

je crois que c'est demain soir,

contre l'Allemagne, justement, qui a quelques...

C'est jamais amical contre l'Allemagne.

Ah, c'est vrai, vous avez raison.

En 39, ça, allez !

C'est juste qu'on les a pas compris, c'est doux !

Bon, maintenant, question, il est tout bête,

parce que c'est vrai qu'on a changé de gardien de but en équipe de France.

Mike Mignan !

Mignan !

Bonne réponse !

T'as vite, hein !

Et il est super fort, hein !

Parce qu'on perdait beaucoup avec Loris quand même,

qui partait à la retraite, mais Mignan, il est fort.

Donc Mike Mignan, c'est le nouveau gardien de France ?

Oui, le nouveau...

Pas gardien de France, gardien de foot, vous voyez.

Ah oui, gardien de France, ça reste, monsieur...

Le gardien de foot, c'est monsieur Darmanin.

Le nouveau gardien de but, effectivement.

Restons dans le sport, puisque le football s'est allé très vite.

Je vous emmène maintenant aux États-Unis,

vous avez vu qu'il y a une jeune afro-américaine de 19 ans,

qui a...

Coco Goff !

Qui a remporté Coco Goff,

et exactement, c'est son nom,

elle a remporté son premier titre du Grand Chelem.

On dit que c'est la nouvelle, en quelque sorte...

Serena Williams ?

Mais en femme, mais en femme !

La nouvelle, Serena Williams !

Qui n'a jamais pris le steroïde !

En tout cas, elle perpétue l'héritage des Serena Williams.

Tout le stade, là-bas,

Flush & Mido était en liesse

pour la victoire de cette jeune Américaine de 19 ans.

Je dis tout le stade sans donner le nom du stade,

parce que, effectivement, c'est une US Open,

on appelle ça aussi Flush & Mido, si vous préférez,

mais il y a plusieurs, c'est comme un Roland Garot,

il y a plusieurs stades, évidemment, on joue.

Mais sur quel stade, comment s'appelle le stade ?

Où avait lieu la finale de ce tournoi ?

La finale féminine, évidemment, de ce tournoi.

Elle a gagné contre une biélorusse.

Arina Sabalinka, oui.

C'est le nom de celle qui a perdu, effectivement,

contre l'Américaine.

C'est pas le stade Arthur H ?

Bravo, c'est le stade Arthur H.

Ça c'est bien, mon petit Paul.

Une question pour Ludovic Rubata,

qu'habite Fethia en Haute-Vienne,

question qui concerne, évidemment,

l'absence de candidats ou de candidats naturels

à la succession d'Hélène Carrère-Dencauz.

Je sais pas si vous voulez être académicien.

Ah bah non, vous êtes académicien Goncourt,

vous ne pouvez pas être académicien français.

Exactement, dans les statuts de l'Académie Goncourt,

vous ne pouvez pas être académicien français en même temps.

Vraiment, vraiment, c'est impossible.

Mais on peut l'être après.

On peut l'être après, pour l'instant,

ça ne s'est jamais produit.

Donc la succession d'Hélène Carrère-Dencauz.

Donc vous ne serez pas candidat d'Académie Française,

alors, Philippe Claude.

Ah bah non, non, non, je suis très bien Goncourt.

C'est comme la star académie, on ne peut pas faire ça tout.

Exactement, en moins chantant.

C'est pas le star.

C'est pas le star.

On a fait la star académie, oui.

Et alors, je ne parle pas de l'Académie des Neufs.

C'était la guerre avec le Goncourt il y a 30 ans.

C'était l'enfer.

Pourquoi il s'est arrivé à monter dans les étages de l'Académie des Neufs ?

Lui, c'est tout le temps.

Vous saviez, vous le rendez ?

Vous connaissez tout le monde dans le métier.

Oui, oui.

Comment il faisait pour monter dans l'Académie des Neufs, là ?

Il y avait un escalier.

Il y avait un escalier derrière.

Il fallait un grand studio hyper haut de plafond.

Mais ça intéresse.

C'est moi, déjà.

Il y a des jeunes qui nous écoutent.

Mais il n'y a pas de jeunes qui nous écoutent pour vous ramener.

Oui.

Mais pas ce que c'est que l'Académie des Neufs.

On va regarder sur Youtube.

On attend, oui, la suite de la question.

Oui.

De quoi je me mêle, vous, là-bas ?

J'ai pris confiance parce que Christine me soutenait,

mais j'aurais dû rester à ma place, excusez-moi.

Effectivement, après le décès d'Helen,

d'Helen Carrère d'Encore.

Vous dis Helen ?

On cherche quelqu'un pour lui succéder.

Il faut quelqu'un qui soit déjà, vous l'imaginez bien,

à l'Académie.

À l'Académie.

Il n'est pas trop d'ennemis.

Exactement.

Alors voilà.

Voilà le problème.

C'est une lutte féroce.

Alors qui est pressantie ?

Vous pouvez vous me donner les deux ou trois noms.

Ah moi, je sais.

Qui sont ?

Ben écoutez.

Ruffin.

Alors, oui, bravo.

Daniel Afferrier.

Daniel Afferrier.

Et Monsieur Bourdin qui est un manmaï ?

Amine Malouf.

Vous avez dit.

Amine Malouf.

Oui.

Daniel Afferrier.

Oui, Stoff Ruffin.

Oui, mais il y en a un autre qui est encore plus favori.

Vincent Perot.

Oui.

Mes sources c'est dans l'expresse.

Etienne Girard a fait tout un papier

d'une sorte de game of thrones de l'académie française.

Puisque il y a des tas de rivalités.

Dominique Bonin.

Dominique Bernandez.

Dominique Bonin.

Il y a des tas de rivalités sous la coupole.

Et effectivement.

Pas partout.

Pas partout.

François François François.

A ou pas de game of thrones ?

Il y a un nain dedans.

André Macky.

Il y a un nain à l'académie française.

François Fureau.

Marc Lambron.

Non, il y a quelqu'un de mieux que ça.

Enfin, mieux que ça.

Il y a vraiment un favori.

Jean Michel Maire.

Non, non.

Mais il est âgé quand même ce monsieur.

Ah oui, oui, oui.

C'est pour être Fernandez.

Ah, de Chavane.

Non.

C'est un homme ou une femme.

Mais pour qui c'est pas de la télé, c'est pas possible.

Un homme ou une femme.

Alors, vous m'avez dit, c'était pas bête Jean-Christophe Ruffin.

Vous m'avez dit Amine Malouf.

C'est vrai que ce sont des candidats.

Des noms possibles.

Mais il y en a un au-dessus de cela dont on dit qu'il est...

Non, il y a Xavier d'Arcours.

Mais dont la candidature ou dont les chances sont assez compromises.

Voilà.

C'est pour ça que c'est même pas compromis.

Pourquoi ?

Donc il est le grand chancellier néanmoins...

Chancellier de l'institut.

Chancellier de l'institut.

Exact.

Fédéralement.

Mais il y aurait une affaire à laquelle la justice continue de s'intéresser.

Voilà pourquoi je me...

Je parle au conditionnel.

Voilà pourquoi vous ne donniez pas son nom.

Mais tout à fait.

Je vais le faire pour avoir la bonne réponse alors.

Est-ce que ce serait pas Daniel d'Arcours ?

C'est Daniel d'Arcours.

Ah, c'est...

Ah, c'est formidable.

C'est bien un belge, ça.

Écoute.

Finalement, le baragou offre, c'est une très bonne idée.

Même Steven n'aurait pas fait.

Ah, Steven.

Vous voyez, vous êtes en avance sur Etienne Girard dans l'expresse

qui lui estimait que Xavier d'Arcours était le favori

de toute l'académie française.

Heure, manifestement.

Regardez-les les deux, la Christine Lecrenque.

Mais non, parce que pour avoir lu cet excellent papier d'Etienne Girard,

il me semble au contraire qu'il mentionne ces difficultés

qui compromettraient...

Non, ils disent quand même que ça reste le favori, vous voyez-vous.

Ça reste le favori...

Eh bien tant mieux pour...

Tant mieux pour...

Tant mieux pour...

C'est imprévisible dans ce genre d'élection.

Pardon ?

Tout c'est imprévisible dans ce genre d'élection.

C'est un poste très important.

Alors ce qu'il faut savoir aussi, quand même,

c'est que le président de la République, à son mot, a dit...

Encore ? Mais pourquoi ?

Parce que c'est le protecteur de l'académie française

et il ne peut pas y avoir d'élection, en tout cas d'adoubement,

sans que le président donne son accord, me semble-t-il.

C'est plus sympathique à l'académie Goncourt, ou vous êtes ?

On mange mieux, déjà.

Puis on existe, donc c'est quand même plus sympathique aussi.

Vous faites quoi ? Faites-vous jouer des balles ?

On joue au boule et puis on joue au cornhole aussi.

Une question pour Monsieur Pierre Durand,

qui habite clairrois dans l'Oise,

et je vous emmène à New Delhi,

même si la plupart des chefs d'État sont rentrés du Gévin.

Vous avez du fichier, ça de près, j'imagine.

Ah, de très près.

Christine Okret.

Le Gévin, le supermarché ?

Non.

Ça s'est bien passé, le Gévin.

Donc je constate, avec regret,

que vous n'écoutez jamais mon émission de France culture,

le samedi de 11h00,

c'est ce qu'il y a,

c'est ce qu'il y a,

c'est ce qu'il y a,

c'est ce qu'il y a,

c'est ce qu'il y a,

que l'on va donc pouvoir Use culture,

le samedi de 11h30

parce que je suis obligé,

cher Christine,

par contra OKRT.

Qu'est ce qui s'est décidé au Gévin,

par rapport à l'Ukraine.

C'est une grande question

que pose monsieur Théhène.

Comme d'habitude.

Alors c'est très décevant pour les Ukrainiens

parce qu'il n'a pas été fait mention

de l'agression russe

contre l'Ukraine.

Il y a eu une formule

la Russie et qui dit simplement qu'il ne faut pas que les États essaient d'obtenir

des gains territoriaux par la force.

En tout cas, monsieur Biden a serré la main d'un indien qui a beaucoup fait parler en

publiant la photo de ce moment unique parce qu'effectivement c'est plutôt amusant ce

qui s'est passé. Peut-être que monsieur Biden ignorait le nom évidemment de cet indien

à qui il a serré la main, à qui Joe Biden a-t-il serré la main, personne qui a publié

cette photo sur les réseaux sociaux.

– Narendra Modi ?

– Non, non, ça c'est le premier ministre indien, monsieur Modi qui veut changer d'ailleurs

le nom de l'un en barate si ma mémoire est bonne, mais non, ça n'a rien à voir avec

ça.

– Mais là vous nous demandez la photographie ou le nom du photographe ?

– Alors non, ni le nom du photographe.

– Ni le modèle de la photo ?

– Je vous demande le nom de la personne qu'on voit sur la photo en train de serrer

la main de Joe Biden, personne qui s'est amusé évidemment à publier cette photo sur

les réseaux sociaux.

– Parce qu'on est à même Biden, on ne sait plus qui c'est.

– Ça c'est vrai, c'est pas Richie Sunak ?

– Non, je peux même vous dire d'ailleurs de qui s'agit, parce que ce qui est amusant

c'est son nom, voyez-vous, plus que sa fonction. C'est le ministre en chef de l'État

indien du Tamil Nadu, je ne sais pas si ça a beaucoup...

– Le Tamil Nadu aussi c'est à l'Est, si ça a beaucoup vous aidé, mais voilà.

– Si ça plaît Donald ?

– Non, il ne s'appelait pas Donald, mais c'est ça.

– Ah, c'est ça !

– Mais Joe Biden aussi ?

– Il s'appelle Vickage Trump.

– Non.

– Vickage Trump.

– Vickage Trump.

– Vickage poraceux.

– Vickage Trump.

– C'est le seul prénom que je connais indien, Vickage Trump.

– Vous, je vous dis, c'est vrai, vous êtes con, mais vous êtes drôle.

– C'est pas comme un grand piment.

– C'est pas comme un grand piment, c'est vrai.

– Et un jour, il me le dira aussi.

– Est-ce qu'il s'appelait Gévin ?

– Non, non, il s'appelait pas Gévin, mais effectivement, ce ministre indien, vu son nom,

s'est amusé à publier sa photo.

– Poutine ?

– Avec Joe Biden, pas poutine.

– Le Vladimir.

– Quel est dit ?

– Mais on se rapproche.

– Bouches !

– Alors, avant poutine.

– Avant poutine.

– Ex-y.

– Gorgoyom, Medvedev.

– Gorbachev.

– Ah, c'est ça que vous voulez.

– Crouchchev.

– Couchchev.

– Couchchev.

– Staline.

– Staline.

– Staline.

– Oui, c'est monsieur Staline, ministre en chef de l'État indien qui a publié cette

photo.

Il est né en 1953, monsieur Staline.

– Ah, l'année de la mort de Staline.

– L'année de la mort de Staline.

– Mais c'est exprès.

– Ah, les parents.

– Ah, les parents en désespoir.

– Quelques jours avant la mort de Joseph Staline, le père de ce monsieur a choisi de lui donner

le nom du dirigeant soviétique.

Voilà pourquoi il s'appelle Staline.

– Et Joseph en deuxième nom ?

– Non, je ne sais pas, mais toujours est-il, vous imaginez bien, qu'il s'est fait un malin

plaisir quand il a serré la main de monsieur Biden de publier cette photo en disant, voilà,

Staline qui sert la main du président américain, le président Biden, que je ne savais pas

à qui il s'est mis la main.

– C'est même pas où il était, lui.

Dans un restaurant indien, depuis le début, dans le diesel.

– Mais arrête, c'était végétarien, le diner, le déjeuner.

Madame, au crainte, vous le saviez, ça ?

– Non, mais maudit lui-même est végétarien.

– Ah bon, alors voilà, ça, c'est une bonne raison.

En tout cas, on a mangé végétarien pendant le G20, et monsieur Biden a effectivement

serré la main de monsieur Staline.

J'aimerais maintenant vous donner le nom d'un français qui a triomphé ce week-end,

et c'est le premier français sacré dans ce domaine.

Ce n'est pas le corps, non ?

– Oui.

– Et c'est une question pour Jean-Michel Godard, qui habite Saint-Louis en Charente-Maritime,

un français de 24 ans, a été impérial, nous dit-on, ce dimanche.

Tout au long des 8 heures, parce que ça a duré plus d'huit heures.

– Ah, c'est l'Ironman.

– L'Ironman, bonne réponse !

– Ah !

– De jeuil si on attend. Vous connaissez l'Ironman, alors ?

– Oui, mais c'est un triathlon, en effet, qui mêle à la fois la natation,

le vélo est un marathon.

– Un triathlon ?

– Oui, mais…

– Sur des distances…

– Sur des distances plus importantes.

– C'est-à-dire qu'on termine par un marathon.

Et on commence par 5 ou 6 kilomètres de natation.

– Alors je peux vous dire, 3,8 kilomètres de natation,

– 180 vélos, 200…

– 180 kilomètres de cyclisme.

– Et le marathon.

– Et puis, un marathon de 42 et quelques kilomètres.

– Ça ressemble à mes dimanches matin.

– Et tout ça, c'est une chaleur.

– Excusez-moi, les vieux, mais bon, voilà.

– Et tout ça, c'est une chaleur, quand c'est celui d'Hawaii, qui est…

– Et ce français a fini premier, ou c'est démarqué ?

– Ah non, c'est le français qui a gagné.

– J'allais d'Arcos ?

– Non.

Il a 24 ans, Sam Ledlow, c'est son nom.

– C'est des sur-hommes.

– Et il a passé…

La ligne d'arrivée, c'était un Nice.

– Ah, c'est celui de Nice, ça, d'accord.

– Il a passé la ligne d'arrivée de l'Ironman de Nice.

Et d'ailleurs, il y avait un français qu'on connaît bien,

l'orange à la berre, 54 ans.

– Ah, pendant.

– Qui, lui, courait dans la…

enfin, courait, nageait.

Et vous avez du vélo, puisque c'est les trois sports.

– Ça, il savait faire.

– Oui, alors le vélo, il savait, mais encore faut-il nager

et après faire le marathon.

– Qu'on courait, quoi ?

– Lui, il était dans la catégorie « Seigneur », voilà, « Vétéran ».

L'ex-champion de cyclisme, Laurent Gélabert,

a effectivement tenté cet Ironman.

C'est l'avocat, Arnaud Klerzfeld, qui faisait ce sport à une époque.

Je sais pas si vous savez ça.

– Oui, oui, absolument.

– Ironman, vous suivez ça, vous alors, Joyce ?

– Oui, mais parce que je voulais préparer l'émission,

donc j'ai lu quand même quelques revues.

– T'as lu des revues, mais non.

– N yellellellellellellellell.

– Euh, « Fire»…

– Je ne suis pas que chanteuse.

Et je lisais magazine, Nannus.

– Ça, c'est pas gentil.

C'est ma voix, ça ?

– mommy-crack-san, oui.

– Une question pour Alexandre emoji, qui habite bordeaux.

Question qui concerne les hymnes dont on parle beaucoup,

pendant cette coupe du monde de Rugby.

C'est un peu un ratage parce que c'est une chorale d'enfants qui chante.

Il n'y a même pas la musique.

Ah, il n'y a pas la musique ?

Non, il n'y a que les paroles.

Du coup, ça fait bizarre.

Et donc la Marseillaise...

Ça a capé la...

Capé la...

La Marseillaise, on a un peu souffert, parait-il.

Comme la cérémonie d'Ouvert.

Tout les hymnes.

C'est dommage qu'elle chante bien la chorale morandinée, d'habitude.

Ah, tous les hymnes sont horribles.

Non, il paraît qu'il y a eu crème hier.

C'est un peu plus réussi parce que les enfants ne chantaient pas.

En fait, le problème de la Marseillaise, c'est qu'ils l'ont chanté en canon.

Donc tout le monde était...

Ah ouais, comme il y a ce trois cafés gourmands, quoi.

Si vous voulez.

Le stade de France n'est pas fait pour ça non plus, quoi.

Mais quel est l'hymne national, parmi toutes les équipes qui sont présentes

pendant cette coupe du monde de rugby,

quel est l'hymne national le plus long ?

Fiji.

Non.

Samoa.

Ah, tu vas pas te le citer.

Non.

Portugal.

No.

Roumanie.

Chilean.

Normalement, si on donnait...

L'hymne en entier, mais je vous rassure, ce sera pas le cas.

C'est le français ?

Non.

Les Anglais ?

La Nouvelle-Zélon ?

Ça durerait près de six minutes.

C'est l'Australie ?

Non.

L'Afrique du Sud ?

Non plus.

Les Anglais ?

Les Val-de-Marne ?

Les Cosses.

Les Cosses.

L'Irlande.

Un pays européen.

Un pays européen.

Non.

L'Australie, la Nouvelle-Zélon.

L'hymne national le plus long ?

J'ai orgiens.

J'ai d'Africains.

Alors non.

Je crois qu'ils sont plutôt pas mauvais.

C'est François-Namibie ?

Non.

Pli-tali !

Mais c'est en Europe, Italie.

En Europe, Italie ? Ah !

Ah.

Les italiens, l'asporos sont pas très bons en rue que le Japon.

Non.

La pays Sud-Amérique.

La Alaska ?

Un pays sud-américain.

Un pays sud-amérique.

L'Argentine.

L'Argentine, non, mais on est tout près.

Le Chili ?

Brésil-Pérouche.

L'Uruguay.

Le Uruguay.

Bonne réponse.

C'est lui le primon.

De Christine O'Cranth.

L'hymne nationale le plus long est celui de l'Huruguay, dans 6 minutes, sachez que

l'hymne nationale le plus court du monde, mais ils ne sont pas présents.

C'est la Chine ! Chine, tant ! Mais non ! Ça existe encore, ça ?

Une plaque de 85 ! Comment j'ai fait ?

Je suis offert au micro-ondes.

Je vais faire passer un petit papier pour tous ceux qui veulent se dédouaner.

Justement, au G20, il aurait été tranquille, c'est l'hymne indien qui fait seulement 52 secondes.

Ah oui ? Vous voyez ?

Le belge ?

La Brabanson.

C'est sans parole.

La Brabanson.

Il y a des paroles ?

Mais en plusieurs langues même.

A l'époque, la TV belge avait demandé au premier ministre Yves le terme de chanter la Brabanson,

et il avait chanté la Marseillaise.

C'est pas vrai.

C'est vrai.

En Belgique, on n'a que des histoires comme ça, comme ces ouvriers qui avaient démoli la mauvaise maison.

Il y avait un ouvrier en Belgique qui en a demandé de démolir la numéro 14,

et il est parti tout confiant avec sa machine, et il a défoncé la 41.

Mais arrête de te suicider, on dirait, comme ça.

Arrête de faire du mal à tes compatriotes.

Maintenant, je suis très fière qu'on ait des histoires.

Après, quand ton métier s'est cassé, c'est que ton patron ne te fait pas confiance à 100% non plus.

Vous allez chanter la Marseillaise ou pendant l'ouverture du match ?

Ah, yeah, cotton tag.

Vous avez regardé le match, vous voilà ?

Absolument, puisqu'on me dit qu'on va être champion du monde.

Donc moi, un bon opportuniste, vous me connaissez.

Du coup, je regarde, et j'ai regardé, je trouve que ça joue vraiment bien.

Après, la Nouvelle-Zélande, c'est moins bien qu'avant.

La France, ils sont bien.

Vous avez trouvé la cérémonie d'ouverture, moi, qui ne l'ai pas vue, parce que je suis arrivé.

Ah, il y avait ziartiste, j'ai vu, là, mais en version bouffe.

Avec sa baguette et tout, là.

Alors voilà, vous allez vous faire traiter.

Bah moi, j'aime la France, donc moi, ça va pas choquer, et j'aime l'humour, donc...

Alors faudrait savoir, justement, parce que certains disent,

ah bah oui, c'était France, d'autres disent, bah non, c'est ça, la France.

Moi, je sais pas quoi penser, je l'ai pas vu.

Ce qui est marrant, c'est que là, avec la miche, là, ils jouent au rugby.

Après, pour le reste, ouais, c'est un délire, mais est-ce que c'est...

C'est Zaz, je crois, qui a chanté.

Pourquoi c'était pas vous, Joyce ?

Elle préparait les musiques.

Oui, je disais quelques revues.

C'était pas très moderne, ça faisait un peu les années 30.

Oui, c'était un peu en mode...

Je crois que c'était voulu, c'était les années 50,

parce que je crois que c'est la première fois qu'on avait gagné contre les...

Ah, c'est pour ça.

Oil Blacks, ça date des années 50 et que c'était la raison pour laquelle ils avaient choisi...

Il y avait des photos de Bourville et tout, pardonnelles.

Je sais pas s'il y avait des photos de Bourville,

mais serait que manifestement, moi, j'ai vu quelques images,

mais j'ai pas vu la cérémonie dans sa globalité.

C'est vrai qu'on représentait une France des années 50,

avec genre du jardin en Marseille, en Béré,

je sais pas s'il avait une baguette, il avait une baguette.

Il avait une baguette, parce qu'avec la miche, genre, ils jouent.

Ils faisaient des passes comme si c'était un ballon oval,

la miche de pain.

Ah oui ?

Eh oui, c'était vachement pensé.

C'est particulier quand même, hein.

Moi, j'ai l'impression de voir un numéro de jeu sans frontières

ou intervilles, mais bon...

Mais il paraît que pour la cérémonie de clôture,

Marine Le Pen arrive avec sa Volkswagen.

Bah voilà, ça, c'est bien, ça.

Ce qui mettra tout le monde d'accord.

RTL, c'était l'heure de l'invité du jour.

Alors, on va dire, les invités du jour,

on n'a pas changé le jingle pour autant.

Ils ont eu quatre mollières

de meilleurs spectacles privés,

meilleurs mises en scène, meilleurs comédiennes,

meilleurs comédiens.

Ah, Charlie Dino.

Non.

Ils ne sont pas prêts d'oublier ça-même.

Si la pièce parle d'un sujet grave,

ça s'appelle « Oublie-moi »

et je vous demande d'accueillir Marie-Julie Beaupétierry Lopez,

qui reprenne ce succès

au théâtre actuel La Brouillère,

après avoir triomphé

la saison dernière.

Vous êtes au bon endroit.

Au théâtre du petit Saint-Martin.

Ça a été un énorme succès,

cette pièce.

Marie-Julie Beaupétierry Lopez,

bienvenue, installez-vous, je vous en prie.

Oui, ce n'est pas prévu pour deux, normalement.

J'allais m'asseoir sur ces genoux.

Après tout, vous êtes en couple sur scène,

en tout cas.

Et dans la vie, il n'y a pas un petit coup parfois ?

Je vous préviens.

Il y a deux garçons qui parlent là-bas au bout,

vous faites comme s'ils n'étaient pas là.

Je suis ravi que vous soyez là, vous êtes les bienvenus.

Alors boing boing, ça commence quand ?

Je la sens que ça va être difficile.

Vous avez tort, parce que je suis allé la saison dernière

au petit Saint-Martin,

voir cette pièce, c'était au tout début.

On ne pouvait pas forcément imaginer

que ça allait triomphé à ce point-là,

même si on sentait que ça allait être un succès.

Mais là, on peut parler de triomphes,

quatre mollières,

et vous reprenez dans un autre théâtre.

Donc pour une deuxième saison, au Théâtre La Bruyère,

vous étiez à Avignon cet été ou pas ?

Non, n'y est partout en est cette année.

On a fait l'été d'avant, c'est là qu'on l'a créé.

Pour ouvrir et créer la pièce.

Cette pièce, il faut le dire, c'est une adaptation.

Vous avez signé tous les deux, Marie-Julie Beaupétiril.

C'est vous qui l'avez trouvée la pièce ?

Oui, c'est ça. Je l'ai trouvée à Londres

et je l'ai ramenée dans mes valises.

Comment on trouve une pièce à Londres ?

On lit, on ouvre.

Vous n'avez pas vu se jouer ?

Je l'ai vu simplement dans une librairie.

Je suis tombé dessus par hasard.

J'ai été ému, j'ai pleuré dans le restart.

J'ai appelé Marie-Julie au retour en lui disant

ok, j'ai quelque chose que pour nous,

je pense qu'il faut se lancer, il faut créer

et on y est allé.

Et ça a été un énorme succès toute la saison passée.

Ça reprend au La Bruyère.

Il faut expliquer qu'on l'insiste à la rencontre

d'un couple, un homme et une femme

plutôt jeune au fond.

Très jeune.

Quelle agis-on à l'ordre de la pièce ?

On va dire une fourchette large

de petits 40 nairs

ou de vieux 30 nairs, c'est au choix.

Et voilà pourquoi quand on ne connaît pas le sujet

avant d'aller voir la pièce,

on peut être surpris par le fait

que le garçon, l'homme, souffre d'Alzheimer.

Parce qu'on associe toujours

cette maladie plutôt à un âge très avancé.

Oui, or il y a des formes de maladie fréquence

et en l'occurrence là c'est le cas

d'Arthur qui commence

très doucement à perdre la mémoire

et ils apprennent le traitement, la maladie

au fur et à mesure de la pièce.

C'est un sujet qui peut paraître grave

dit comme ça, mais c'est

une très très jolie pièce, je dois dire en plus

il y a un deuxième sujet, c'est l'amour

que vous avez l'un pour l'autre dans cette pièce.

Un histoire des personnages bien sûr.

Oui mais au-delà des personnages même.

Mais c'est évidemment une pièce sur l'amour

c'est vraiment une histoire d'amour

avant toute chose.

C'est une comédie romantique, on commence

sur une comédie romantique, le tableau

de pop avec une boite rose

il y a beaucoup d'humour

l'adaptation faite par Marie-Julie

est très moderne, il y a beaucoup d'humour

il y a beaucoup de piquants, il y a une langue

du couple avec beaucoup de conneries

et vraiment on rit beaucoup

ça ouvre sur une explosion, une comédie romantique

et évidemment ça se ternit au fur et à mesure

du spectacle. Il y a cette musique aussi

c'est faire David, c'est sonérique.

Ça c'est vous qui l'avez trouvé

cette musique ou elle était déjà

dans la version originale ?

Non c'est nous qui l'avons trouvé celle là.

Il y a une grosse différence

entre la pièce originale

d'ailleurs on peut citer peut-être l'auteur.

Monsieur Cigur.

Et l'adaptation que vous en avez tirée ?

Oui on a rajouté beaucoup d'humour, beaucoup de conneries

beaucoup de modernité en fait

on voulait qu'ils nous ressemblent ces personnages.

Marie-Julie Bop et Thierry Lopez

ont triomphé toute la saison passée

avec cette pièce, oublie-moi

courez les applaudir à nouveau

si vous avez déjà vu à nouveau

mais si vous n'avez pas vu à l'ésil, profitez-en

pour cette nouvelle saison.

C'est un choc théâtral, dit le Figaro

une pièce qui touche au coeur, chique les critiques

dit le monde, l'émotion fait chavirer

les spectateurs, ça c'est pour Thélérama

exceptionnel à titrer le parisien

on peut pas faire mieux là franchement

je vois pas ce que je peux ajouter

C'est bien le prix des places peut-être

Je vois pas ce que je peux ajouter

ça s'appelle

oublie-moi au théâtre

l'abrière

il y a quelqu'un qu'on oublie pas et qui nous a rejoint

c'est Monsieur

Monsieur Marc-Antoine Lebré

je vais aller avoir un début d'Alzheimer

je vais oublier son nom

mais ce n'est pas Marc-Antoine Lebré

qui vous parle, c'est Dominique Bessner

Bonjour Laurent

et bon...

bon...

Coucou

série est Marie

on s'appelle Marie

ça ira plus vite

j'aime bien votre duo et du coup je voudrais vous proposer un truc

en ce moment je vais passer un casting

pour le grand bleu 2

et quand je dis en ce moment

c'est maintenant tout de suite

ça fait 5 minutes que je parle et vous n'êtes pas morts noyés

donc le rôle est pour vous

félicitations

allez salut c'est Bessner

l'homme fontaine

On embrasse au passage

Dominique Bessner

Thierry Lopez

vous avez joué avec Jean-Luc Reichman

je vous ai vu dans cette pièce

une autre version de Nuit d'Hivresse

et Jean-Luc Reichman est là

Salut les cons

salut les cons

salut les confrères d'Herdel

alors Thierry on a joué ensemble dans Nuit d'Hivresse

qui je le rappelle n'est pas un biopic

sur Christine Bravo

Bravo

en tout cas j'ai adoré monter sur les planches

à TTT

à tes côtés

blague humour rigolade

alors je vous propose maintenant de passer

à la question Co

la question In

ils sont morts dans le public

la question Coquine

sur

100 Français

combien ont déjà flashé sur un collègue

de travail

10 50

ou Jean-Marc Morandini

le médecin le plus célèbre de France

c'est là aussi

attention maintenant c'est Jimmy Mohamed

mais avant c'était Michel Simès

bonjour à tous

avec le titre de la pièce

j'en profite pour intervenir sur un sujet

qui concerne les téléspectateurs de Vivant Dimanche

je vais bien sûr parler

des pertes de mémoire

alors d'ailleurs j'ai un test

infaillible pour savoir si vous avez Alzheimer

si vous venez cette fois me consulter

pour faire mon test pour Alzheimer

vous avez Alzheimer

c'est logique

avant de partir Laurent j'ai une petite devinette

est-ce que vous connaissez la différence entre une rupture amoureuse

et une rupture d'anéivrisme

après une rupture d'anéivrisme

personne est obligé de partager la guerre des enfants

et après une rupture amoureuse

on peut faire une rupture d'anéivrisme

très bien Michel Simès

je vois que votre humour est toujours là

Gilbert Montagnier maintenant

bonjour

bonjour Laurent UK

vous êtes sur Hertel dans les grosses stages

Gilbert vous n'êtes pas sur BFM

pardon Philippe Bouvard

moi c'est Laurent Rouchier

Thierry moi je suis

votre carrière de très près

parce que de loin c'était compliqué

en liberté

moi je vous adore

car vous avez enregistré des livres audio

ça c'est cool

bien dansé

moi en général

quand on me demande comment j'ai trouvé un livre

je réponds rectangle

alors je suis venu vous voir au théâtre aussi

mais au bout d'une heure

sur un siège trouvé je me suis aperçu

que je n'étais pas dans la salle

en entendant la chasse d'eau juste à côté

oh non

en même temps

je me disais bien que le texte que j'entendais

depuis une heure c'était pas du mollière

allez au revoir tout le monde

au revoir Pascal le grand frère

merci Laurent

et évidemment

vous n'avez pas y couper

Marie-Julie Brop

Laurent Rouchier est avec nous aujourd'hui

ah ah coucou chéri

ah bah ça fait bizarre de soirée ici

si tu veux on est pas obligés de se parler en latin comme la maison

on peut faire ça en aramien si tu préfères

quand je te vois avec un collègue de théâtre

et que je me dis qu'on s'est connu comme ça

d'ailleurs chéri j'ai lu le pitch de ta pièce

oublie-moi et ça parle d'un couple qui bat de l'aile

sur moi c'est pas un message que tu essaies de me faire passer

si ça fait quatre ans qu'on est séparés

et bam

et bam

et bam

ah ouais

en merde

moi je le savais

tout le monde

encore une fois vous êtes en train de dire

que vous m'avez foutu dans la merde

ok d'accord bon sur wikipedia vous êtes toujours ensemble

donc ça compte alors

bon bah je vais vous imiter alors

j'ai mis le près

dans la merde

et bah voilà

vous pouvez applaudir Marc

Antoine Lebré que vous retrouverez dans RTL

bonsoir à partir de 18h

mais vous restez

mais vous restez avec nous

Thierry Lopez et Marie-Julie Bob parce que je vais vous demander

de faire la valise RTL

et peut-être même qu'on glissera

des places pour le théâtre La Bruyère

pour les prochains auditeurs

mais n'allons pas trop vite d'abord la valise dans un instant

la valise

Thierry Lopez et Marie-Julie Bob

sont avec nous

allez les applaudir au théâtre La Bruyère

oublie-moi

une pièce qui a triomphé toute la saison dernière

qui reprend pour cette saison

au théâtre actuel La Bruyère

mais je vous ai demandé de rester pour

la valise RTL qui clóne

autre émission je sais pas si vous connaissez le principe

Marie-Julie

vous allez donner un numéro

au hasard de 1 à 20

8

alors vous allez retenir

parce que vous êtes un peu différent

que des personnages que vous interprétez

j'imagine sur scène vous avez de la mémoire

Pierre Taudon c'est le nom du numéro 8

Monsieur Taudon habite Roubaix

voilà c'est facile à retenir

Pierre Taudon à Roubaix ça va sonner chez lui

il y a 5 choses

dans la valise

dans la valise en plus des 1082 euros

alors allô ?

Pierre Taudon c'est ça ?

oui bonjour

ici les grosses têtes RTL

c'est Julien Courbet

exactement avec Laurent Ruquet

toute son équipe

il y a Bigard aussi

il y a tout le monde

il y a Roselyne aussi

on vous appelle pour la valise

vous savez vous connaissez la règle du jeu

oui

parfait donc on va vous demander

il y a Laurent Dutch aussi

vous vous entendez

c'est Thierry Lopez

qui vous parle

c'est Marie-Julie Bopke qui a choisi votre numéro hasard

et maintenant l'un et l'autre vous posent la question fatidique

alors est-ce que vous savez

combien il y a dans la valise ?

j'espère que je suis à jour dans la valise

vous écoutez alors

Pierre c'est à vous ?

c'est bien 1082 euros

oui 1082 euros c'est bien ça

tout est note

alors j'ai aussi des Madeleine Colibri

combien ?

un assortiment

c'est important

ne perturbez pas notre auditeur

j'ai des classes sains pour aller voir la pièce

un train sain au théâtre de l'œuvre

oui effectivement

la pièce avec Samy Boijila

ensuite

pour aller avec les Madeleine du café

Black Idol

quand même dosette

ensuite

après j'ai un séjour à Orange

le festival d'Orange

et 2 nuits au grand hôtel

exact c'est un séjour pour découvrir

l'audice sonore au théâtre antique d'Orange

un spectacle nocturne immersif

ce sera un moment inoubliable

grâce à une expérience multisensorielle

inédite

2 nuits d'hôtels au grand hôtel d'Orange

et effectivement ce spectacle monumental

avec une ambiance sonore 3D

du jamais vu, jamais entendu

j'ai bien fait la retape

il manque quelque chose encore dans la valise

et j'avais entendu la semaine dernière

avec Tina Arena

des places pour aller la voir

à la salle Playale

2 places pour la salle Playale

pour applaudir Tina Arena

on peut dire que vous avez gagné la valise Ertelle

bravo

bravo

bravo

bravo

Marie-Julie Thierry

vous avez porté chance à notre auditeur

vous lui avez fait gagner la valise Ertelle

tout ça et c'est lui d'ailleurs qui va choisir

le nouveau montant de la valise Pierre

combien vous mettez dans la valise maintenant

on va rajouter 5 euros

1087

j'ai cru que vous metiez 5 euros seulement au départ

1087 euros

voilà le début d'une bonne valise

d'autant que j'ajoute en plus

2 places pour le théâtre actuel La Bruyère

pour applaudir cette pièce

qui a été récompensée par 4 mollières au total

vous aurez l'occasion

si vous gagnez la prochaine valise

d'aller applaudir Marie-Julie Bope et Thierry Lopez

dans Oublie-moi

une pièce qui a triomphé

voilà le contenu de la nouvelle valise Ertelle

bravo Pierre

et on remercie encore Thierry Lopez

et Marie-Julie Bope

à demain 15h30

pour d'autres grosses fêtes

je vous laisse en compagnie de Julien Sénier

et de Marc-François, vous le verrez bien sûr

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Avec GuiHome, Philippe Claudel, Sébastien Thoen, Paul El Kharrat, Joyce Jonathan et Christine Ockrent.

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