Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du jeudi 7 septembre 2023

RTL RTL 9/7/23 - Episode Page - 1h 44m - PDF Transcript

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Vous n'avez pas encore rencontré tout le monde,

Monsieur Visorek.

Alors laissez-moi...

Voilà.

Laissez-moi vous présenter la grosse tête reine de l'information

avec qui on n'est jamais déchus.

Une compatriote amoureuse.

Christé Lecrenze.

...

Vous n'avez pas encore rencontré non plus la grosse tête

qui porte la culotte de Froufrou

jusqu'au jupôme d'histoire.

Christy Le Bravo.

Bonjour !

...

La rentrée aussi d'une grosse tête qui a gardé l'esprit canal

comme peut-être vous avez gardé l'esprit inter,

mais vous avez tous les deux désormais la tête à RTL.

Arielle Vichemade.

Bonjour !

...

Vous parliez du pire, le voici.

Non !

Non, c'est pas vrai.

Je vois très bien qui c'est.

Une grosse tête qui commente le foot sans les images

et prend des repins sans les légumes.

...

Yohan Dabillon.

Bonjour, Laurent !

...

Et...

Et...

Et...

...Une grosse tête que les écologistes

nous réclament de remettre à l'eau régulièrement.

...

Bernard Maby.

Bonjour !

...

Vous ne connaissez pas encore tout le monde, monsieur Visorel.

Vous avez entendu parler d'Yohan Rios ?

J'ai déjà entendu parler d'Yohan Rios, qui est encore pire.

Mais...

Il a été commentateur de foot en Belgique.

Il a commandé, on a la même métier.

C'est pas vrai.

Mais pas le même avenir.

...

En général, les gens qui connaissent le mieux,

Yohan Rios, sont des psychiatres.

Mais aujourd'hui, vous avez fait un truc vraiment par paire.

C'est-à-dire ?

Ah non, je suis pas une paire.

...

Non, non, non, il était belge !

Vous avez deviné, c'est ce que vous vouliez faire ?

On a deux anciennes stars des années 80 et 90 de la télé.

On a deux commentateurs de foot.

C'est qui, les anciennes stars ?

Christine et Christine !

On a le même cerveau, Laurent, parce que j'ai vraiment pensé à ça.

Yohan Rios, il est un alfalfaire.

...

Vous croyez que je pense à tout ça, pauvre Yohan ?

Non, on regarde qui est libre, les agendas.

On essaie de créer un équilibre, des gendrôles, des gendres cultivés.

Des couillons, des que-ce-tu ?

...

Vous, vous êtes dans la catégorie couillons, tête de turc.

Mais qui parle ?

Alors, j'ai besoin de gens qui meubles.

Vous soyez dans cette émission.

Alors, il y en a qui meubles avec élégance, comme M. Wiesmann.

Par exemple.

Moi, j'ai fait une formation de décorateur, je meubles très bien.

Il y a ceux qui meubles, on raconte en n'importe quoi, comme vous.

Mais c'est le Rios, voyez-vous ?

Et puis, il y a les autres.

...

Mais est-ce que vous vous connaissez les deux belges ?

Vous vous connaissez Christine et Alex ?

Moi, je connais Christine, qui ne connaît pas Christine.

Et qui ne connaît pas Alex ?

Vous vous êtes trompés, M. Blöck.

Mais vous, vous êtes jamais croisés.

Elle a bien fait de retenir le prénom, parce qu'elle n'avait pas le nom des autres.

Et vous, M. Wiesmann, qu'est-ce que vous faites vos vacances,

car nous ne nous sommes pas vus depuis...

Écoutez, j'étais dans un pays très singulier qui s'appelle l'Albanie,

où il y a 200 000 bunkers.

Donc, il est probable que s'il y a une guerre nucléaire,

grâce à un grand dictateur N. Verrodja qui a dirigé l'Albanie pendant 40 ans,

eh bien, les Albanais seront les seuls survivants.

Et c'est des gens très sympathiques, des physiques un peu à la Bernard-Mabie.

Oui, vous avez dit en coulisse, ils sont tous moches.

J'ai dit ça parce que je vais en vacances pour vous reposer.

Et quand vous avez un type qui a fait 4 heures de fitness,

qui passe devant vous avec sa nana, qui sort de Beverly Hills,

bah, c'est pas reposant.

Donc, je suis allé dans un pays de moche, c'est tout.

Oui, c'est vrai. C'est pareil, il ne fait jamais un Mykonos, vous voyez.

Ah oui, on ne peut pas.

Une première citation pour M. Verdin,

qui habite Marseille et non pas inversement.

Il habite dans les bouches du Rhône, M. Verdin.

Il espère un premier chèque, Ertel.

Il a peu de chance, c'est une première citation assez facile,

qui a dit Zorro, visuellement, c'est le pape en négatif.

Il est mort ?

Ah non, il est vivant.

Il était encore la guerre.

Les Français et les Français ?

Guéluc !

Philippe Guéluc, à bonne réponse de Bernard-Mabie.

Une citation maintenant pour M. Pignol, qui habite...

C'est à la vie !

C'est bien, pas grave, c'est bien.

Je l'ai rencontré ce matin.

Alors, pour M. Germain Pignol, qui habite Marseille, dans la Riaige,

qui a dit au pays de beaux-cuses, McDonald,

m'apparaît comme le moins utile des travailleurs immigrés.

Il est bouvant ?

Non, on n'est pas loin.

Jacques Martin.

On est de cette génération.

C'est chime.

Pas Jacques Martin, c'est pas cime.

C'est quelqu'un qui n'aime pas, vous l'aurez compris,

la restauration rapide.

Benissou.

Non, non, non.

Il vit toujours ?

Il vit toujours.

Il vit beaucoup.

Quand vous saurez qu'il est né à Lyon...

Est-ce qu'il vit debout ?

Laurent Irard.

Bernard Pivot.

Bernard Pivot, bonne réponse de Christine Autrène.

C'est Bernard Pivot.

Une autre citation, et cette fois, ce sera pour Virginie.

Qui a fait...

C'est Christine.

C'est Christine.

Ah, alors...

Non, c'est le pas trop cher, là.

Comment il s'en fait ?

Je me lâche un pari, parce qu'en pense que si je fais ça,

je me fais tirer dessus.

Je vous prête pour un sangly.

Tu fais ça, oui.

C'est la saison de la chasse.

Tu finis sur le capo avant de la bagnole.

Franchement, madame Bravo, c'est très agréable

pour nos auditeurs de vous entendre.

Si, ça leur rappelle leur jeunesse,

quand ils me regardaient à Foufrou.

Si, moi, les gens aiment beaucoup mes grosses...

Je faisais déjà ça dans Foufrou.

J'ai toujours fait ça, c'est dingue.

T'as toujours été distingué.

Une dernière citation avant qu'on passe aux choses sérieuses

pour Stéphanie Farghi.

Attention, plus difficile cette citation, plus culturelle.

Stéphanie Farghi habite messes en Moselle qui a dit

s'il ne se passe rien, écrivez-le pour le dire.

Oh, c'est beau.

Un intellectuel ?

Oui, oui, oui.

Samuel Beckett.

A l'époque, ce mot n'existait pas, voyez-vous.

Mao Tsetoun ?

Non, on n'est pas du tout en Asie.

Non, non, non, on est plutôt dans l'Antiquité romaine, bien sûr.

Si c'est rond, si c'est rond.

Si c'est rond, bon !

La réponse de Bernard Mabillé, c'est si c'est rond.

Une question pour Roselyne Imbert qui habite Croté, c'est dans l'un.

Et il y a un duel dans la presse aujourd'hui

que vous aurez sûrement remarqué,

et vous qui connaissez le monde de l'édition.

Normalement, vous devriez pouvoir répondre à ma question.

Ce duel, c'est un duel entre Robert Lafond, les éditions Robert Lafond

et les éditions Le Seuil.

Mais de quel duel s'agit-il ?

Des crèches.

Il y a deux livres qui sortent.

Chacun, c'est un éditeur différent

sur le sujet des scandales, des crèches.

Bonne réponse de Christine Drago.

Ça, c'est clair.

C'est net, c'est précis.

Je sais, mon fils de deux ans a prévu de l'acheter le jour.

Il y a un excellent dessin de Ranson, ce matin, dans le Parisien.

On voit deux petits vieux sur un banc,

puis il y en a un qui dit à l'autre,

c'est pas vraiment le moment de retomber en enfant.

S'il paraît que les crèches, c'est pas mieux que nos débates.

C'est drôle, mais c'est vrai que c'est curieux.

Il y a deux livres en même temps qui sortent sur le même sujet.

On voit bien qu'il y a une sorte de duel

par média interposé entre les deux éditeurs.

Là, Robert Lafon, l'autre, Le Seuil.

Alors, il y a un livre qui s'appelle Baby's Nest.

Effectivement, celui-ci, il est publié chez Robert Lafon.

Et celui du Seuil, le prix du berceau.

Oui, mais qui les a écrivent ?

Deux journalistes du Parisien pour un des deux livres.

C'est celui dont on parle forcément, dans le Parisien.

Malin, malin.

Et effectivement, dans Libé, c'est plutôt le prix du berceau.

Écrit par Mathieu Pérys, Daphné Gastaldiv, voilà.

Ce sont des journalistes, dans les deux cas,

les deux sont sûrement très, très bien.

Mais c'est vrai que c'est assez curieux.

On voit bien qu'il y a une course à savoir

qui a sorti le livre en premier depuis hier.

Ça se vend bien, ce genre de trucs.

Pardon, ça se vend bien, ce genre de trucs.

C'est les parents qui...

Les parents, les pâtes, ça s'est vendu terrible.

Ah oui, oui, bien sûr.

Mais par exemple, il y a deux livres qui sortent concurrentement

sur le harcèlement au gros stade.

C'est vraiment incroyable.

Ah, oui, oui, oui.

Je suis vapeau.

Peut-être même trois.

Vous avez tercelé par qui, vous, alors ?

Bah, par Mabye.

Oh, oui !

Tant que c'est pas par la mienne.

J'ai compris.

Non, mais c'est vrai qu'il y a une course au livre

le plus catastrophiste possible, quoi.

Ils sont dit, tiens, les épa...

Ah bah, on va faire les crèches, pourquoi pas.

Ce qui est drôle, c'est que c'est exactement la même chose.

En fait, il suffit de changer.

C'est vrai qu'outre mon enfance, quand on est âgé,

il suffit de changer les âges.

Mais c'est les mêmes livres, en fait, parce que les couches,

les économies sur les couches, c'est vrai.

Non, c'est pas les mêmes couches, je peux vous le dire.

Mais c'est vrai dans les deux cas, quoi.

C'est ça qui est fou.

Mais ma question suivante, parce que vous allez voir,

moi, j'aime aller plus loin encore, évidemment.

Qu'est-ce que vous pouvez lire dans la presse ?

C'est d'autre côté journaliste.

Mais bien sûr, et même, je vais vous aller voir,

et même, cher Christine, linguiste.

Puisque, et ce sera une question pour M. Didier Douche,

qui habite Béchand en mort et Moselle,

ma question est toute bête.

Que veut dire, dans un premier temps,

au premier sens du mot, le mot crèche ?

Qu'est-ce que ça veut dire, une crèche ?

Avant que ça devienne une garderie d'enfant.

C'est-à-dire, habiter la religion ?

Alors, rien à voir avec la religion.

Une étable ?

Une étable, non, mais on se rapproche.

Un berceau ?

Un berceau, pas un berceau, mais justement...

Un abri.

C'est l'inverse pour amour.

Qu'est-ce qui servait de berceau ?

Pardon, pour ceux qui ne sont pas...

Un abrivoire, un abrivoire.

Pas un abrivoire.

C'était un abrivoire.

Une bassine, une bassine.

Un abrivoire.

Vous êtes tout près de l'abrivoire.

Mais oui, c'est l'abrivoire.

Elle est souvent tout près de l'abrivoire, malheureusement.

Justine, c'est...

C'est bien de problème, c'est sa déformation.

Une mangeoire.

Une mangeoire.

Bonne réponse de Christine Opprens.

Elle pense qu'à voir.

Il n'y avait pas de berceau au moment du petit Jésus, vous voyez-vous ?

Donc on a utilisé une mangeoire.

Pour mettre, effectivement, le petit Jésus dans la mangeoire.

C'est devenu une crèche.

Le mot crèche vient du mot krippia, qui désigne la mangeoire.

Une mangeoire dans laquelle on déposait la ration des bêtes domestiques

dans une étable.

Ça vient de là, au départ.

La crèche, c'est la mangeoire.

Les bébés regardent les bébés en disant « on le bouffe, on le bouffe pas ».

Non, mais c'est intéressant.

C'est super.

C'est super.

Il y a eu des bébés avant Jésus.

C'est mécré, en fait.

Oui, bien sûr, mais c'est parce que tout le monde connaît la crèche,

vous voyez-vous, chère Christine ?

Et c'est vrai que...

Quand vous dites « chère Christine », vous vous adressez à qui ?

Ben...

Ben, tout est brif.

Chère Christine, c'est Christine O'Crain.

Christine, bon marché, c'est vous.

Mais moi, je suis très content d'être proche du peuple.

Ah ben, ou bien sûr.

Vous êtes proche du peuple.

Oui, oui.

Elle vit avec un lion d'encore.

Oui, je suis avec le peuple.

Elle a trois bateaux, quatre lézons.

Laurent, est-ce que je fais dire un truc ?

Est-ce qu'on fait travailler des gens ?

Parce que je comprends pas ce problème des crèches.

Parce que moi, par exemple, je suis allé à l'école le jour de mes deux ans.

A deux ans, mes parents, ils m'ont envoyé à l'école.

Je les comprends.

Il y avait plus de plat sur la mangeoire.

Il y avait plus de masseur, on s'est retrouvé.

Et d'ailleurs, j'ai beaucoup pleuré.

C'était après ou avant le divorce ?

Avant, largement, et tout.

Et pourquoi alors ?

Aujourd'hui, on va plus à l'école à deux ans.

Mais je vais vous dire, la différence, monsieur Ryu,

c'est que la société a évolué.

A l'époque, à votre époque, les femmes restaient un peu plus.

Et je suis pas en train de dire que c'était mieux avant.

C'est pas ça que je vous dis.

Mais c'est un constat, c'est comme ça.

Aujourd'hui, les femmes ne sont pas à la maison pour s'occuper des enfants.

Donc, il faut des crèches pour garder les enfants

avant que les enfants aient à l'école, vous voyez.

Éric, j'ai dit encore hier soir.

Il me disait, c'était mieux à l'époque du préfet,

du préfet, du ce qu'est...

Refléchissez un peu à ce que vous dire, vous voyez.

Vous l'avez pas engagé pour ça.

Excusez-moi, mais c'est vrai, c'est vrai.

En même temps, une question pour Charles Tellier,

maintenant qui habite de talents et s'étend gironde.

Qu'est-ce qui est dans la presse aujourd'hui

et qui a la forme d'un galet poli ?

Un galet poli ?

C'est pas un ballon de rugby.

Alors non, c'est pas un ballon de rugby.

C'est un photo dans la presse du jour, dans le Parisien, on va citer.

Ah, je sais ce que c'est.

Allez-y.

C'est pas la terrible histoire de l'entreprise NAFNAF.

Expliquez.

Vous, vous devez t'habiller en NAFNAF, en Nouff Nouff.

Moi, c'est Jules, moi je vais c'est Jules, moi je vais c'est Jules.

Et NAFNAF, c'est pas cette entreprise qui est en crise,

je crois, en cas rapports.

Ah, d'accord.

Est-ce que c'est en lien avec le sport ?

Pas du tout.

Est-ce que c'est la gueule de...

C'est pas une vue d'en haut de Yoann Riouf.

La gueule de Mick Jagger, après son jogging.

C'est une voiture.

C'est pas une voiture, mais on se rapproche.

Il faut se déplacer, il faut se déplacer.

Il faut se déplacer.

Oui, ça c'est vrai.

C'est la nouvelle trottinette.

La nouvelle trottinette, non.

Le nouveau tramway.

Le nouveau tramway, non, mais on se rapproche.

Ah, il est trouvé, il est trouvé.

Ah oui, c'est le nouveau train.

C'est le nouveau train.

TGV.

Et ça sera le...

Ça sera le nouveau siège du TGV.

Ce sont les nouveaux sièges du TGV.

Vain de réponse de Yoann Riouf.

Et oui, la SNCF a dévoilé hier les assises

qui pront les TGV à partir de 2025.

Et on nous dit d'ailleurs que, normalement, ces sièges

répondront aux besoins des clients jusqu'à 2060.

C'est-à-dire qu'il va y avoir du retard dans les TGV.

Ça, soit en 2025, qu'on arrive en 2060, dis-donc.

Quand nous sommes revenus de Chalon en Champagne,

nous sommes revenus entre un Corail, un TER, un Corail.

Et je veux dire, c'était très confortable.

Et c'est pas fou que c'était plus confortable,

même que dans le TGV, parfois.

Et là, on nous dit que...

C'était la première classe ou pas ?

C'était la première classe.

Eh bien, on s'emmerde pas.

C'est bien.

Je vais pas vous raconter d'histoire.

Je vais pas commencer à faire le pauvre pour l'antenne.

Mais il n'y a pas de première.

Tout le monde n'est pas Christophe Bravo.

À France Inter, on était obligés

de prendre la seconde classe pour aller en déplacement.

C'est pas vrai.

Du coup, Nagui voulait plus se déplacer.

Ah oui, c'est vrai.

Oui, c'est de l'argent public.

C'est de l'argent public.

Monsieur Vizorek, vous êtes ici depuis peu de temps.

Ne donnez pas de mauvaises idées à nos patrons.

Les grosses tests répondent aux éditeurs.

Et c'est Sébastien qui est dans le public aujourd'hui

qui ne peut peut-être pas parler.

Mais Monsieur Rieu, vous lui tendrez un micro

s'il est bien présent, comme il nous avait prévenu,

puisque Sébastien nous avait envoyé un mail pour nous dire

je vais assister à l'émission ce jeudi 7 septembre 2023.

Et je viens de voir que Christine Bravo serait présente.

Je voudrais juste lui rappeler

qu'elle me doit 20 euros de taxi

depuis plusieurs années.

Il est où, Sébastien ?

Bonjour, Sébastien.

C'est quoi cette histoire encore ?

Mais je veux d'épreuve.

Moi, ça remonte à longtemps.

On va plus faire court.

J'étais dans un hôtel place de la Concorde.

Tare le soir.

Et Christine est rentrée dans l'hôtel

en un petit peu titubant, on va dire.

Ça peut pas être elle.

Ça peut pas être elle.

Elle a beaucoup de choses-y, malheureusement.

Et qui a dit, il faut m'aider, je suis une célébrité.

Je suis une célébrité, il faut m'aider.

Alors là, c'est elle.

C'est pas possible.

Ça peut être elle.

Et donc, elle avait certainement perdu ses papiers.

Tout ça, elle avait besoin d'argent pour rentrer chez elle.

Et donc, il a été panier de 20 euros.

C'est en quelle année ?

Ça remonte, c'était début des années 2000.

20 euros, c'est beaucoup, elle.

J'étais habillé, comment ?

Alors, je me rappelais depuis, Christine.

20 euros pour une gâterie de Christine, c'est cher.

Quel hôtel, c'était, monsieur ?

C'était au client.

Au client, à carrément.

Alors, qu'est-ce qui nous prouve que c'est vrai ?

Est-ce que vous allez rendre les 20 euros à ce monsieur ?

Stéphane, oui, il est mon mari.

Juste à côté.

Vous allez vous arranger avec le monsieur, Jean-Michel Bleu, derrière.

Il y a les intérêts aussi, maintenant.

Non, non, non.

Oui, oui.

Vingt ans, c'est énorme.

On vous remercie, en tout cas, pour ce témoignage, monsieur.

Merci, je suis là, on va vous les rendre avant la fin.

C'est la vraie vie, tout à coup.

Sylvie, oui, monsieur.

Je vais dire à d'autres auditeurs qui nous écoutent,

si Christine Bravo vous doit de l'argent, écrivez-nous.

Enfin, c'est grave, mais non.

Ah, oui, oui, oui.

Mais oui, ça, c'est bon.

Excusez-moi, oui.

Sylvie, maintenant, est au téléphone.

Et Sylvie, c'est à Bernard-Mabye, en particulier, qu'elle veut...

Oh, j'étais sous, comme un cochon.

Bonjour, Sylvie.

Oui, bonjour, monsieur Routier.

D'abord, je tenais à vous dire que je suis très, très aimée

et de passion.

J'en fène.

Donc, je sais que j'ai très, très peu de temps,

donc, du coup, je voulais aussi faire un petit message à Mme Bravo,

alors qu'elle sera sûre que je lui ai réclamé rien du tout.

Mais je veux lui dire aussi que j'adore faire douce folie

et que je lui ressemble beaucoup.

Donc, voilà, j'adore ça.

En revanche.

En revanche.

En revanche.

Ta confession, je lui ressemble beaucoup.

Quelle désespoir.

En revanche.

En revanche.

En contraire, je suis fière.

Je suis fière.

J'aimerais avoir sa culture.

J'aimerais avoir sa répartie.

Enfin, je pense que je ne suis pas trop mal non plus.

Moi, je vous trouve très bien, en tout cas.

Et donc, vous avez un enfant caché de Bernard Mabille.

Non, pas tout à fait.

Vous lui en voulez un peu à Bernard,

parce qu'il a dit un truc pas sympa l'autre jour.

Qu'est-ce que je dis ?

Non, écoutez, je vous avoue qu'en fait,

il fallait avoir l'auraille très, très attentive

d'une auditrice particulièrement fidèle

pour entendre ces petits mots qui l'a prononcée en disant,

en rétorquant...

Enfin, en écoutant un auditeur qui venait parler d'un de ses livres,

on disait, oh là là, ça sent l'auto-édité.

Je voulais justement lui défendre un petit peu l'auto-édition,

parce que moi-même, je viens de sortir en roman.

J'ai réalisé un de mes rêves, voilà, de sortir en roman,

en auto-édition.

Et je voulais simplement dire qu'effectivement,

il y a peut-être des mauvaises choses en auto-édition,

comme des bonnes.

Mais je pense que, dans l'édition classique,

il y a aussi des très mauvaises choses.

Voilà, donc je voulais lui dire ça.

Moi qui parlais de voiture à l'origine.

Nous, on a raison, il y a autant de bons et de mauvais livres

que dans l'auto-édition, que dans les éditions...

Vous n'en pensez pas un mot, arrêtez.

Les éditeurs, c'est quand même des gens qui savent ce qu'ils font.

Vous avez sorti combien de livres, Visman ?

Bah, je prends une demi-dousaine.

Voilà.

C'est bien ce qu'on dit.

Sylvie, vous avez raison, en tout cas.

Et Bernard Mabye a été méchant avec les romanciers,

qui, effectivement, ont moins courage de s'auto-éditer.

Ils prennent un risque.

Et souvent, ils ne sont pas forcément remboursés pour leur talent,

parce que certains en ont, vous avez raison, Sylvie.

Et donc, on peut demander à Sylvie,

le titre de son roman auto-édité.

C'est très gentil, Madame Autrême, c'est très gentil.

Je crois que je vous m'en avais envoyé le livre.

Ça s'appelle « Ce qu'on de ma bille ».

Écoutons religieusement.

Écoutons le nom de l'auteur, le titre.

Alors, comment ça s'appelle ?

S'il vous plaît, en moins de 14 secondes.

Alors, c'est ma 49e année de Sylvie et Nody.

Eh ben, très bien.

Et par Amazon, excusez-moi, pour l'instant.

Mais bien sûr.

Et quel est le prix TTC ?

Franchement.

Donc, c'est 8,49 euros.

Je sais sur ce qu'on va faire, c'est que monsieur Mabye

va emprunter 20 euros à Christine Bravo.

Et il va en acheter deux.

Et il va commander votre livre, d'accord, Sylvie ?

On va en acheter deux, donc c'est magnifique.

Sophie, maintenant.

Bonjour, Sophie.

Bonjour, Laurent.

Alors Sophie est déçue.

Paris-Huanry, où vous êtes déçue ? C'est ça ?

Ah, encore une.

J'étais un peu sachée contre lui.

Parce qu'il a dit qu'il avait dépassé des vacances

seules sans compétite séminin.

Alors que moi, ça fait plusieurs mois que j'ai lui écrit

que je voudrais bien le rencontrer,

parce que je suis en planirmi.

Hop, hop, hop.

On en tient une.

On en tient une.

Ah, ça fait du bien d'en prendre ça.

Alors, en revanche, si vous le rencontrez...

On va s'échafler lourdement.

Si vous le rencontrez, soyez vraiment prêtes,

parce que je vous préviens, il a la dalle.

Sophie, qu'est-ce qui vous plaît, tant chez Huanry ?

Alors que plein d'autres célibataires en magasin ?

Ah, c'est gentil.

Je ne sais pas, il a une façon d'être...

Quand tu regardes l'amour et d'en prêts, on n'y croit pas.

Voilà la preuve !

Merci beaucoup !

Les grosses têtes avec Laurent Ruequier,

c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Cristiano Frant,

avec Vizorek, Bernard Mabille,

Ariel Wiesmann, Christine Bravo et Johanna Rue.

Une question pour Frédéric Muzot,

qui habite à Cebrouc, dans le Nord,

un marronnier, puisque chaque année, c'est le principe même,

et la définition de ce qu'on appelle un marronnier dans le journalisme,

chaque année, on a le droit à cette information dans les journaux,

et ça nous permet à chaque fois de lire le nom de Stéphanie Rapoport.

Mais quel est ce marronnier ?

Les hôpitaux, les cliniques...

La rentrée des classes.

C'est pas le classement des hôpitaux ?

Non, le réchauffement.

Les prénoms ?

Les prénoms ?

C'est-à-dire ?

C'est-à-dire que les prénoms, les prénoms les plus improbables,

sont donnés par les gens.

Et donc, chaque année,

elle sort le classement des prénoms ?

Le guide des prénoms, bonne réponse d'Alex Vizorek !

C'est un suivant, ça.

Et oui, chaque année, on vous donne le guide des prénoms,

ça s'appelle même l'officiel des prénoms,

c'est la 21ème édition.

D'ailleurs, on a une pensée pour Alba Ventura,

ils en ont parlé ce matin dans le 7-9,

mais Alba est le prénom féminin à la mode.

Je l'ignore.

Albal ?

Albal, non, pas Albal !

Non, parce que c'est pratique pour emballer.

Alba, Louise, Jade, voilà les 3 prénoms féminins sur le podium.

Ensuite, il y a Ambre et Maromy,

très à la mode, Rose, oui, Romy comme Romy Schneider.

J'ai les garçons, c'est Gabriel, Léo, Raphael, Noah,

en quatrième, Mel, ensuite Louis, Jules, Arthur, Adam et Lucas.

Il y a aussi Anne, Alice, chez les petites filles.

Mia, Mia, Mia, Mia, Mia, Mia, Mia, Mia, Mia, Mia, Mia.

Voilà, pour le guide des prénoms 2024,

c'est le marronnier, effectivement, de fume.

Elle fait un bouquin avec ça.

Ah ben oui, le guide des prénoms, elle n'a jamais acheté le guide des prénoms.

Non, je les ai trouvés sans guide.

Maintenant, il y a des prénoms.

Ça m'appelle vos enfants, Bernard.

Alexandra, Medina, Elena, Pauline, Pascal et Floron.

T'en as beaucoup, hein ?

Ah merde, c'est celui qui a plus que moi.

C'est pas possible, c'est rare, ça.

Oui, donc c'est beaucoup.

Combien de femmes, toi ?

Deux femmes, mais c'est un grand.

Voilà, c'est mieux que le contraire.

T'as fait deux, t'as fait cinq enfants avec les deux femmes.

Oui, oui, c'est ça.

Exactement.

Mais le bilan carbone de ces gens, c'est un gosse.

Ah oui, je sais que c'est très mal vu maintenant.

Mais c'est le pire, c'est le pire.

C'est bien, ça laisse beaucoup, je pensais pas.

Attends, j'expliquerais que c'est comme on fait, hein.

Et donc après, tu les mettais dans la mangeoire, dans la crêche.

Vous avez combien de rapoportes par semaine ?

En tout cas, Stéphanie Rapoport, son nom revient,

c'est elle qui fait le guide chaque année,

le guide des prénoms et son nom revient à peu près à la même époque,

chaque année, dans l'actualité.

Je vais vous en donner d'autres prénoms.

Tiens, Sana et Sarah B.

étaient à la une de l'actualité ces derniers jours,

mais pour quelles raisons ?

Ce sont des animaux ou ce sont des personnes ?

Ah, alors bravo !

Ce sont des orques.

Non, ce ne sont pas des orques.

Des moutons.

Mais c'est vrai que leurs prénoms ont été choisis par des internautes

via les réseaux sociaux.

Sana et Sarah B. ce ne sont pas des orques.

Ce sont...

Sana et Sarah B.

Non, des pandas.

Des pandas, non.

Des pandas, non.

C'est bien ou je ne s'en rappuie pas par rapport ?

Ce sont des animaux sauvages nés dans un zoo.

Oui, et donc ce sont des...

Des nigres blancs.

Un des délions ?

De l'amie fer.

Des lions sauts.

Bonne réponse collective.

C'est mignon.

C'est une question intéressante.

C'est à ToiRi.

C'est passionnant.

Madame Rapoport devrait faire un annulaire des...

Des prénoms de lions sauts.

Des noms d'animaux.

Non, mais c'est vrai.

Ça éviterait de faire des concours sur Internet

pour trouver leurs prénoms.

C'est le zoo de ToiRi.

Il existe toujours le zoo de ToiRi.

Bah oui, sinon, il n'y aurait pas de naissance.

Oui, c'est vrai, oui.

Oui, c'est vrai.

On peut faire ça dans le jardin du voisin ?

Vous vous êtes allé au zoo de ToiRi.

Il y a très longtemps.

Voir le marquis ou le duc de la panneuse.

Panneuse et de la panneuse.

C'est lui qui... Je crois que ce sont ses enfants qui continuent à diriger le zoo de ToiRi.

Vous avez pensé à un moment que c'était les orques,

parce que c'est vrai que dans la presse aussi,

on nous parle des orques d'antibes.

Ils vont se faire foutre.

Donc on ne sait pas quoi faire, parce que...

On les connaît.

Il y a eu une association de défense des animaux qui a dit

qu'il fallait enlever les orques, évidemment, du...

du Marine Land, ça s'appelle.

Ça sera le futur nom de la France.

En demie, 24...

24, ça va vite, je vois.

27, peut-être.

27.

Vous en avez très envie, Laurent, j'ai l'impression.

Il est sur BFM depuis trois semaines, déjà.

Le temps de passer à C-12.

Non, mais le Marine Land d'antibes,

oui, c'est vrai que la présidentielle, c'est dans...

J'ai l'impression.

Dans trois, quatre ans, maintenant, effectivement,

le Marine Land d'antibes dans les Alpes-Maritimes,

mais en tout cas, c'est pas quoi faire de ces orques,

parce que c'est bien gentil de dire, il faut plus d'orques,

mais où aller, où les maîtres ?

À Notre-Dame, les grandes orques de Notre-Dame.

Et pourquoi n'est-il pas dans l'eau, dans la mer ?

Est-ce qu'ils ne peuvent pas ? Ils ne savent pas chasser.

Ils ont toujours été...

Ils sont allergiques à l'eau de mer, c'est juste le jamais.

Il n'y a pas de solution, alors ?

Ils ont toujours été en captivité.

Si, l'idée, là, pour l'instant, c'est de les revendre

à, on va dire, un zoo aquatique japonais.

Mais...

Ils vont les bouffer.

Et le transport.

Oui, la balade.

Le transport, ça doit être sympa.

Dans les entraînes trop au transport,

là, on les fait faire plein de mouvements dans la journée, je crois.

En tout cas, écoutez, même Sarah, et là, Eric,

qui est secrétaire d'Etat chargé de la biodiversité,

est sur le dossier,

et c'est vrai que, d'un seul coup,

les associations de défense des animaux qui avaient demandé

à ce qu'on se débarrasse des orques dans ce parc aquatique,

disent, non, mais il ne faut pas en faire n'importe quoi, non plus.

Donc, en gros, on ne sait pas quoi en faire.

Vous avez été attaqué par des orques christlles.

Ah, ça explique beaucoup.

C'est toi qui a attaqué les orques.

T'as eu peur ici, non pas ?

Non, non, pas du tout. C'est le Saint-Franck qui a été attaqué.

C'est pas moi.

Ah, ils aiment le Saint-Franck ?

Oui, bien sûr.

Au large de Gibraltar, on s'est fait...

Ah, c'était le voyage.

Il y a de plus en plus d'attaques, effectivement, à cet endroit.

Mais pour quoi, là ?

Eh bien, alors, ça, on ne sait pas.

Mais ils sont cons, les voileurs.

Pourquoi ils passent par là ?

Mais le détroit de Gibraltar, ou quoi, elle ?

Il n'y a pas beaucoup de place, ouais.

Qu'est-ce qu'il y a à un moment ?

Sortir de Méditerranée, ce qu'il y a à savoir.

C'est très détroit.

Quand tu viens de l'Atlantique.

Bah, tu vas ailleurs.

Quand vous êtes sur le bateau, combien de temps vous restez sur le bateau

comme ça avec votre mariée, alors ?

Bah, ça dépend où on va.

J'imagine que votre mari, il est au commande.

Il est à la barre, comme on dit.

Oui, et moi, je ne fais rien.

C'est pas de manœuvre, Christine ?

Non, c'est pas de manœuvre.

Non, je ne touche rien.

Ça part pas un petit apéro.

Ah, bah, si.

Tu prépares à manger et tout, alors il y a vraiment de...

Ah oui, bien sûr, mais...

Et quand il y a une grosse tempête, vous faites comment ?

Il n'y a pas de grosse tempête.

Quand il y a une grosse tempête, on se met au port.

Mais vous croyez, mais c'est dingue.

Et votre père a bossé sur des bateaux.

Oui, enfin, sur les chantiers navals, vous savez...

C'est plus Gibraltar.

Son père n'a jamais vu la mer.

Il était chaud de renier sur les...

Sur les transasantiques.

Ah, si !

Il ne préparait pas l'apéro pour...

Pour les croisiéristes, vous voyez.

J'ai une autre question, mais c'est une vraie question sérieuse.

C'est quand on est sur un bateau et qu'on veut faire un câlin,

son amoureux, son amoureuse,

est-ce qu'il y a le roulis ?

Mais quand il y a le roulis...

Il y a deux hypothèses que vous n'affronterais jamais.

Donc, papa, pourquoi vous posez cette question ?

Samuel Bourdier nous appelle.

Bonjour, Samuel.

Bonjour, Laurent. Bonjour, et Grosstette.

Je dis que vous nous appelez.

C'est une vue d'esprit.

C'est nous qui vous avons rappelé,

parce que vous êtes inscrits, évidemment,

pour jouer à notre célèbre jeu,

que le monde entier nous envie des fake news.

Que faites-vous dans la vie, Samuel ?

Je suis responsable d'un garage de mécanicotos et de motocultures.

Bon, mais honnêtement, je veux dire.

Ha, ha, ha, ha, ha, ha, ha.

Ha, ha, ha, ha, ha.

Il est où votre garage, exactement, alors ?

À Chèrebourg.

Ah bah, ça tombe bien, venez !

Samuel, vous allez écouter mes six Grosstettes.

Chacune va vous donner une information.

Une seule Grosstette vous dira la vérité.

Vous connaissez le principe.

Attention, en jeu,

un joli week-end, dans un très bel hôtel,

cinq étoiles, le domaine de la Klaus,

j'en ai souvent parlé ici,

c'est au cœur du pays des trois frontières

entre Luxembourg, Allemagne et la France, un spa de 800 m2, une piscine chauffée à 34 degrés,

un restaurant gastronomique le K. Allez voir sur le site internet du domaine de la Klaos,

ça s'écrit K.L.A.U. avec S.S. à la fin.

Bien joué ! C'est vrai en plus ! La domaine de la Klaos, c'est quoi comme ? Voilà,

et vous aurez une junior suite, une chambre supérieure avec accès direct au spa pour

deux nuits. Les Allemands disent toujours ça pour deux personnes. Samuel !

Vous le vendez bien en tout cas, ils se reconnaissent. Vous changez de prénom et vous passerez un bon

week-end. Ah non, ils t'adorent les Samuel. Changer, prenez ça le monde. Samuel,

vous nous envez une carte postale pour nous dire comment c'était, vous nous raconterez.

Pour l'instant, écoutez plutôt mes grosses têtes, chacun va vous donner une info du jour,

vrai ou faux, ça vous de la savoir. Bernard Mabille. Nouvelle album de Rolling Stone,

qui sort aujourd'hui, il tire toujours la langue, mais c'est parce qu'il n'arrive plus à la rentrée.

Alex Vizorek. Candle dans les crèches, à peine sorti,

Jordan Bardella et Marion Maréchal sont candidats aux Européens.

Christine, bravo ! Après le livre choc de Victor Castanel et Foussoyeur dénonçant les

maltraitances, en n'est pas, c'est un nouveau livre choc qui sort aujourd'hui,

bas business, mais sur la maltraitance en crèche. Les établissements incriminés se sont

défendus en expliquant que leur but était de préparer, dès leur plus jeune âge,

les enfants à affronter la maison de retraite, 90 ans plus tard.

Arielle Vizmane. Alors écoutez, incroyable, mais peut-être vrai, Hugo Frey, à 94 ans,

Duel Benis, il est à la une de Paris Match cette semaine.

Plusieurs kiosquiers parisiens se sont faits agresser par leurs clients qui ont cru qu'on

leur refilait un vieux numéro.

Christine Okrint. La SNCF dévoile les nouveaux sièges qui

équipront les TGV à partir de 2025. Nouveautés, ces sièges seront éjectables afin que les

passagers puissent atterrir directement dans la gare de destination en cas de retard.

Duel Benis. Alors Christine, c'est bien, mais vous devriez oublier de dire Mme.

Bonsoir.

Christine Okrint. C'est vrai, non, mais comme ce sera votre tour, très bien.

M. Laurent, je vous le dis.

Duel Benis. Vous allez m'entraîner pour le dire. Faites-le-moi

une fois que j'essaye après vous.

Christine Okrint. Mme. Bonsoir.

Duel Benis. J'ai jusqu'en 25 septembre pour bien le faire.

Mme. Bonsoir.

Duel Benis. Non, il faut mieux articuler les premières

solMs.

Si on sait que les néosélandais sont triple champions du monde, on ignore que leur pays

a un autre record, celui d'avoir le nom du village le plus long du monde avec 85 lettres.

C'est parti !

Tomato, Akat, Anji, Angako, Ootomati, Turipu, Kaki, Papa, Manga, Oronuku, Pokai, Wenyu,

Akitana, Tataou !

Il est fort.

Attendez, au milieu, j'ai pas bien entendu, j'ai peur de me planter le village.

Il a oublié une, s'il l'a !

Alors Samuel, qui a dit la vérité ?

Ça c'est possible.

On va procéder par élimination.

Oui.

On va éliminer Christine, avec l'historcastané.

Laquelle ?

Christine Bravo.

Oui.

En général, c'est la première qu'on élimine.

Effectivement.

Dans les crèches, c'est pas du coaching pour les EHPAD.

Ensuite.

Bernard Maby avec les Rolling Stones qui tire la langue.

Mais c'est vrai que l'album sort aujourd'hui, on essaiera d'en parler tout à l'heure des

Stones.

Avec Phil Manoj, mon téléphone.

Ensuite.

Cariel Wiesmann avec Hugo Frey ?

Alors, ils sont pas ensemble.

Mais effectivement, Hugo Frey fait la une de Paris-Match.

Étonnant, quand même, que Match ait choisi le mariage du Hugo Frey en une.

Il me semble quand même que c'est des chansons que les gens ont redonné longtemps.

La clientèle de Paris-Match n'est pas non plus la plus jeune.

On peut pas avoir une star qui meurt chaque semaine pour Paris-Match.

C'est une belle histoire d'amour.

C'est une belle histoire d'amour.

95 ans, j'aimerais bien me marier aussi.

C'est beau.

Ne rêve pas.

Et puis, c'est une pub pour l'industrie pharmaceutique extraordinaire.

En tout cas, ce n'est pas la bonne info.

Il fait bien la une de Paris-Match.

Il n'y a pas des clients qui se sont pleins parce qu'on leur refilait un vieux numéro.

Alors, il vous reste qui, ça me mène ?

C'est Stine Ochrelle.

Ochrelle, le train avec un T, attention.

Mais vous l'éliminez.

Oui, ce n'est pas des sièges éjectables, les nouveaux sièges TGV.

Alors, il vous reste.

Alex Vizorzek et Yoann Riou.

Bon, alors ?

Et bien, du coup, je pense que c'est Yoann Riou qui a la bonne réponse.

Et oui, 85 lettres dans le nom du village le plus long.

Un village néo-Zélandais qui s'appelle effectivement

Tu vois la taille de l'enveloppe.

Et alors, par exemple, Salomon, c'est un tout petit village.

C'est vraiment tout petit.

Il y a à peine la pancarte.

L'avantage, tu peux sauter, si la personne s'en aperçoit.

Bravo, Samuel.

Une question pour Cédric Laravine, qui habite clairement fermement.

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, c'est quoi ?

Cédric, Laravine, qui habite clairement ferrand dans le Puy-de-Dôme.

Et ma question porte plutôt sur une information

donnée par la dépêche, la dépêche du midi

dans les pages Haute-Garonne.

Ce titre assez étonnant que je vous demande de compléter.

C'est un peu le jeu du ding-ding.

Je sais que, de temps en temps, vous m'arrêterez.

C'est drôle.

Ce jeu du ding-ding, j'enlève les mots d'un titre

et à vous de retrouver les mots qui manquent.

Je peux faire ding-ding ?

Si vous voulez, bien sûr, Bernard.

Ce n'est pas parce qu'il fait...

Ding-ding !

Je suis pas là.

Pas tout de suite.

Ce n'est pas parce qu'il fait chaud qu'on arrête de...

Ding-ding !

Ding-ding !

De blesser.

De travailler.

Non, non, non.

C'est effectivement un titre de la dépêche du midi aujourd'hui.

De manger du cassoulet.

Comment vous savez ça ?

Sérieux ?

Vous avez lu le journal ?

Non, vous montez.

Mais non, c'est exactement le titre.

Écoutez.

C'est le titre exact.

C'est la culture.

C'est la culture, c'est amontueux.

Ça permet de faire un peu de ventre.

Ce n'est pas parce qu'il fait chaud qu'on arrête de manger du cassoulet.

C'est dingue.

C'est le titre de cet article.

C'est incroyable.

Les 1700 cassoulets individuels

qui seront servis samedi prochain place du capital à Toulouse

ne sont pas annulés malgré la chaleur.

Parce qu'il y a le grand banquier, pardon.

Le grand banquier, c'est pour vous.

C'est après, ça, c'est après.

Le grand banquier de Toulouse à table.

J'imagine que c'est un événement annuel à Toulouse.

En tête du cassoulet froid.

Voilà.

Ça a été confectionné dans les restaurants de M. Goutte, Georges Goutte.

Le restaurant La Dîner a avignoné.

C'est lui qui a préparé les 1700 cassoulets

pour cette fête place du capital samedi soir.

Il n'annulait pas malgré la chaleur.

On continuera à manger du cassoulet place du capital.

C'est bon le cassoulet, c'est vrai que c'est chaud.

Il y a un truc très agaçant, c'est qu'on dit toujours

oh non, mais là, par cette chaleur,

je prends d'une salade de tomates, etc.

Alors que les plats les plus lourds ont été inventés

dans des pays chauds, sur les Troisets.

Couscous, cassoulet, choucroute.

Il y en a deux qui viennent des pays chauds.

Et d'ailleurs, quand il fait chaud, il faut boire chaud aussi.

C'est très important.

Il faut pas boire froid quand il fait chaud.

Parce que non, c'est vrai, c'est la vérité.

En tout, il faut prendre duté.

C'est pour ça qu'on prend duté et on a frais.

C'est vrai que tu te dis ben non, duté.

Une question littéraire pour remonter un peu le niveau.

Une question littéraire à destination de monsieur ou madame,

plutôt Candice Maurice qui habite,

j'ai vu Maurice, j'ai cru que c'était un monsieur,

mais Maurice est son nom de famille.

Candice, c'est bien après nom féminin, elle habite ville juive.

Candice Maurice.

La question concerne quelqu'un qui a épousé

la sœur de Maurice Leblanc.

Maurice Leblanc, vous le savez, c'est l'auteur d'Arsène Lupin,

mais qui a épousé la sœur de Maurice Leblanc ?

Un autre auteur.

Un écrivain.

Un écrivain, prix Nobel de littérature.

Français.

Français, non.

Non.

Nehru Da.

Nehru Da, non.

Est-ce qu'il est mort ?

Ah oui, il est mort, oui.

Anglais ?

Anglais ?

Alors écoutez, il a eu le prix Nobel de littérature en 1911

et il est mort en 1949.

Et très connu.

Un très très connu.

Et c'est vrai qu'il a été fou amoureux de la sœur,

Georgeette Leblanc, je peux vous donner son prénom.

Georgeette Leblanc.

Georgeette, c'est sûr que ça inspire comme prénom.

C'est la sœur de Maurice.

Il a un héros dans son écrivain.

Est-ce qu'il est britannique ?

Britannique, non.

Non, non, non.

Est-ce qu'il a fait une œuvre qui est dans la pléiade ?

Dans la pléiade, je ne crois pas,

mais en tout cas, au moins deux œuvres que tout le monde connaît

et manifestement, cette Georgeette aimait les Maurice.

Ah bon, pourquoi ?

C'est le cas de l'île Maurice.

Ah, l'île Maurice.

Maurice Barres, il n'a pas eu le prix Nobel.

Non, mais c'est vrai que

elle était la sœur de Maurice Leblanc

et elle a eu une histoire d'amour avec un autre Maurice.

C'est pas...

Matère l'Ink.

Maurice Matère l'Ink.

Bonne réponse.

Bravo.

Bravo.

Dalek Visorek.

Ben, c'est dans son jardin, là.

Ben oui, il faut dire que c'est effectivement un belge.

Oui, un belge.

Je n'étais pas un écrivain francophone

qui est mort chez nous en France à Nice.

Très beau, très beau.

Mais qui est née au départ à Ghent, en Belgique,

hauteur entre autres Maurice Matère l'Ink.

La vie des abeilles.

Bravo, la vie des abeilles.

L'oiseau bleu.

L'oiseau bleu aussi,

ou encore Pélias et Mélisandre.

Voilà trois œuvres de Maurice Matère l'Ink.

C'est une excellente réponse collective.

Il n'y a pas que le cassoulet.

Quand tu prends une plateforme de commerce,

tu as deux choix.

Oh, une pièce de...

Ou...

Ouais!

Je préfère...

n'est-ce pas?

C'est le son de vendre sur Shopify,

une plateforme de commerce all-in-one

qui supercharge votre vendre,

en ligne, en person,

sur les médias sociaux et tout le monde.

Pourquoi battre une plateforme inférieure

avec moins de tools?

Tu...

L'accès à la contrôle de la brand.

Ah, ça ressemble à...

Et les intégrations limitées.

Je n'aurais pas pu m'aider à savoir ça.

S'il te plaît.

Allez-y.

Allez-y.

Allez-y.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

Allez.

pas à s'appeler Smet, évidemment, mais on sait qu'il était plutôt SDF.

– Il n'avait rien à Smet. – Encore qu'aujourd'hui, la fille de Li à l'idée témoigne

dans le parisien et dit que le vrai père de Johnny n'était pas aussi pauvre qu'on

a bien voulu le dire. – Il n'était pas né dans la rue.

– Voilà, il n'était pas né dans la rue du tout et que Johnny a toujours fait partie

en fait d'une famille d'artistes et que c'était le cas, en tout cas de Li à l'idée.

En fait, son oncle par alliance, monsieur Mabin, il vous le sait.

– Absolument, il l'a fait tourner, il a été son agent. – Voilà, voilà.

Mais en tout cas, Li à l'idée, on avait quand même deux de moins que Johnny.

Quoi donc ? – Des Y.

– Excellent, réponse de Bernard Mabin. – J'ai répondu avant que ça dégénère.

– Expliquez. – Li à l'idée, c'est deux Y et Li à l'idée, c'est deux Y.

Exactement, parce que Li, c'est L-E-E. – Oui, lui, c'est pas matelas, oui.

– H, deux L, I-D-A-Y, il n'y a qu'un Y et qu'un I.

Et effectivement, quand il a donné son nom à Johnny pour faire son nom d'artiste en quelque sorte,

eh bien Johnny, il y a eu une erreur, en fait, ils ont mis un deuxième...

– Ils n'étaient peut-être pas le I.

– Ils ont mis un deuxième I à l'idée, alors que normalement c'est H-A, deux L, I-D-A-Y.

Lui, Johnny s'est appelé H-2L-I-D-A-Y, et avec son autre I-Grec de Johnny, ça me fait 3 au total.

Bravo Bernard, vous avez fait le bon compte.

Ah ben si à moi je vais vous demander comment s'appelle l'horlogé chronomètre officiel de la Coupe du monde de rugby.

– Oh ben d'où ? – Ah ben oui, il y a une...

– Tissot. – Longine.

– Comment vous dites ? – Tissot.

– Non, longine, tissot, non. Il y a une page entière dans le journal L'Équipe.

– Omega. – Omega.

– IWC.

– Extra business aujourd'hui. – Il s'en recherche quoi là ?

– C'est le nom d'un horlogé.

– Rolex ? – Oui, alors pas Rolex, justement, c'est intéressant.

– Ah, Frédéric. – Longine.

– Longine non plus. – Ah, c'est ça, c'est le nom d'un horlogé ?

– Ben oui, c'est un horlogé. – Ah, je croyais le nom d'un horlogé.

– On cherchait le nom d'un vrai horlogé. – Non, c'est Swatch.

– Et c'est le fait de vous chercher une montre.

– Mais...

– Je ne comprends pas. – Je sais pas de montre, j'ai la mienne.

– Ah ben c'est Richard Mille, là. Richard Mille, là.

– Non, non, non, non, non. – Est-ce que c'est une montre de luxe ?

– Oui, alors moins de luxe que Rolex, parce que c'est les mêmes propriétaires,

la même fondation, Hans-Wilzdorf, du nom du créateur des deux marques

au début du XXe siècle, en 1905, ils ont créé Rolex,

et en 1926, donc 21 ans plus tard,

l'industrie à l'anglais souhaitait fabriquer une montre à plus bas prix.

– Quelle tonne ? – Mais sans perdre en qualité,

et le marché de la montre brasslet s'étoffait.

Donc en plus de Rolex, ils ont créé...

– Blancin ? Blancin ? – Blancin, non, non, non.

– C'est une montre suisse. – Et c'est cet horlogé,

qui est le chronométreur officiel de la coupe du monde de rugby.

– Braking ? – Ils ont même une équipe, maintenant,

de vélo, une équipe cycliste, vous voyez.

– Ah, c'est pas... – Garmin ?

– Sur le tour de France. – Oui, sur le tour de France, madame.

– Ils ont l'heure. – Oui, ils ont l'heure, oui, ça, c'est sûr qu'ils ont l'heure.

– Si on vous en offrit, vous êtes contents, là, hein ?

– Oh, écoutez, j'ai ce qu'il faut, je ne fais pas collection de montres.

– Vous n'êtes pas contents. – Oh, j'ai une petite montre de quartier.

– Quelle est leur montre ?

Quelle est leur montre emblématique ?

– L'arrangeur, ça vous va, ça, voilà. – L'arrangeur.

– Ah, c'est Tudor ! – Voilà, ils ont une rangeur.

– Tudor ? – L'héritage rongeur, ça vous dit ça.

– Parce que tu n'as pas m'écouté, Tudor ?

– Qu'est-ce que vous avez dit ? – Tudor, oui.

– Eh ben oui, c'est Tudor !

– Ah ! – Ah, la réponse !

– Précis, Tudor, c'est eux qui vont chronométrer les matchs de rugby.

Combien de temps ça dure un match de rugby, monsieur Rio ?

– 80 minutes, mais ce qui est bien, c'est que ça s'arrête,

quand il y a un arrêt dieu, par exemple, ça s'arrête,

et donc, on joue beaucoup plus que 90 minutes.

– Vous allez commenter, vous, le rugby ? – Non, moi, c'est le foot.

Non, mais ce soir, on a un immense match de foot.

Ce soir, demain soir, on a un immense match de rugby.

Là, on va se régaler pendant 2 mois.

– Alex, on fait un match, ou pas ? On fait un match, Alex ?

– Eh ben, moi, je regarde que la Belgique, hein, je m'en fous.

– Elle m'a piqué. Alors, attends, attends.

Christian O'Cran, Christian O'Cran qui accélère sur le côté gauche.

Christian O'Cran qui drible vers l'Armabie, vers l'Armabie.

Le ballon pour Christian Bravo, Christian Bravo qui fait un grand pont.

Un petit fan, Christian Bravo qui est en train de battre.

Comment il s'appelle, Laurent Ruequier ? Laurent Ruequier, t'es pris !

Laurent Ruequier qui court après Christian Bravo !

Laurent Ruequier qui arrive, et quel tacle de Laurent Ruequier ?

C'est un carton, l'Army qui s'approche.

Carton rouge pour Laurent Ruequier, vous êtes viré, Laurent.

Vous allez au bestiaire, et je vais vous remplacer maintenant.

– C'est ce qu'il y a, Christian. – C'est ce que tu fais, Laurent Ruequier.

– Oui, ça marche en plus. – Mais, ça marche en plus.

– Mais on te voit, toi. – Mais non, mais non.

– Si, c'est ça le pire. – Mais on le voit, des années.

– On ne voit pas le match, on voit Ruequier, on regarde le match.

– Ouais, j'ai eu une promotion, Laurent.

Maintenant, je commente avec des matchs avec images.

– C'est pas vrai. – Mais surtout, est-ce que je suis fier d'un truc,

– Attends, attends, ça doit changer. – Ça doit changer.

– Vous savez, ça ne change rien. Pour vous, quelqu'un, vous avez toujours eu des images.

Autrement, vous ne pourriez pas les contenter.

C'est le téléspectateur qui n'a pas des images, c'est pas vous.

Ne me dites pas qu'en plus, je vais vous commenter.

Des matchs dont vous n'aviez pas vous, donc plus des images.

– Ça ne change rien pour vous.

– Ça change tout pour le téléspectateur.

Et là, depuis un an, on fait un match de League 2, donc c'est quand même énorme la League 2.

Chaque samedi à 19h, eh bien samedi, pendant la Val-Can,

on était notre petite chaîne, on était la cinquième chaîne de France.

On était juste un petit TF1, France 2, France 3 et M6.

Eh bien c'est beau, non ? Vous n'avez pas du tout, c'est pas ?

– Je comprends que ce soit une question que vous vous posez souvent, la Val-Can.

– Vous êtes un génie, putain.

– C'est quel conseiller ?

– Oh, l'emploi que vous avez proposé, ça.

– Laurent, d'ailleurs, je crois que vous allez parler vos pouces sports dans votre émission.

– À la montre tudeur, c'est l'heure des pubs, en tout cas.

– Ah bah tiens, on parlait, rugby, en rugby, il y a des en avant.

Je ne me trompe pas, monsieur Rilou.

Eh bien là, on va voir au téléphone un auteur philosophe qui nous propose,

justement, d'aller deux l'avant, pas en avant,

mais c'est un livre formidable.

Ce n'est pas un livre de développement personnel, comme il y en a beaucoup,

parce que ça, ce serait vraiment insulté ce bouquin que j'ai dans les mains.

– Charles Pépin, philosophe bien connu, à qui on doit de célèbres bandes dessinées,

avec Jules, le dessinateur.

Jules, Charles Pépin, publie VIVRE, avec son passé, une philosophie pour aller de l'avant,

comment parfois résoudre les problèmes qu'on trabale depuis des années,

mais vu effectivement de façon philosophique,

mais aussi avec les nouvelles méthodes d'aujourd'hui.

On va parler avec Charles Pépin dans un instant.

Mais d'abord, je vais vous demander,

et ce sera une question pour Sian Kress, qui habite Narbonne, dans l'Ode.

Je vais vous demander de retrouver le nom du philosophe qui le premier, justement,

à parler de la mémoire.

Parce qu'avant, le passé, il n'en était pas vraiment question chez les philosophes.

En tout cas, il pensait que ce passé était figé.

Quel est le premier philosophe à avoir vraiment, mis en avant, la mémoire ?

– C'est un français. – Un français ? Oui.

– Oui. – Oui, oui.

– Un philosophe ? – Thène.

– Thène, non. – Pascale, Descartes.

– Il est né à Paris, on ne pouvait pas être plus français,

et il est mort dans sa maison de campagne à Saint-Cyr-sur-Loire.

– Un grand philosophe français ? – Il est mort quand ?

– Il est mort en 1941. – Il ne s'en souvient pas ?

– Qu'est-ce qu'il a demandé ? – Berkson, Berkson, Berkson.

– Henri Berkson, bonne réponse !

– Célébre pour le western, mon nom est Berkson.

– Surtout auteur du rire qui nous écheirent,

mais c'est vrai qu'avant le rire, il y a la mémoire.

Bonjour, Charles Pépin. – Bonjour, bonjour.

– Une philosophie pour aller de l'avant, j'ai tout de suite dit qu'il n'était en aucun cas

question d'un livre de développement personnel, même si votre livre peut aider.

– Oui, bien sûr, l'idée du livre, c'est que vivre avec son passé,

ce n'est pas vivre dans le passé.

C'est qu'il y a des façons de combattre le ressentiment,

le ressacement, la rumination.

Et au fond, j'ai l'impression qu'on peut pas aller de l'avant

si on sait pas d'où on vient,

et si on sait pas exactement de quelle histoire on hérite.

Et finalement, il y a des nouvelles méthodes en psychothérapie

qui sont héritées des découvertes récentes sur le fonctionnement du cerveau,

qui nous montrent que les souvenirs peuvent être réinterprétés,

que les souvenirs ne sont pas figés.

Et comme vous le disiez très bien,

eh bien que finalement, on peut recédir son passé,

le réinterpréter pour aller de l'avant de façon nouvelle.

– Et donc Berkson, ça a vraiment été le premier philosophe de la mémoire.

– Alors évidemment, il y avait des philosophes qui avaient parlé du passé,

de la mémoire comme saint Augustin par exemple,

mais la grande nouveauté de Berkson, c'est qu'il nous dit

que le passé persiste indéfiniment à travers nos habitudes,

à travers nos perceptions.

Il y a une très jolie phrase de Berkson qui dit

qu'il n'y a pas de perception du présent qui ne soit imprégné de souvenir.

Et c'est vrai que dans une façon d'apprécier un plat,

dans une façon d'avoir une réaction humaine par rapport à quelqu'un,

en fait, on est l'ensemble de son passé.

Et donc si on veut se comprendre, et si on veut aller de l'avant,

et si on veut construire son avenir,

il faut savoir comment on a été constitué par son passé

et comment on hérite de son passé pour pouvoir aller de l'avant.

– Et Ariane Nietzsche qui lui a dit,

parce qu'évidemment, vous citez de nombreux philosophes

à va-t-ce dans votre livre,

Nietzsche qui lui a dit qu'il faut une dose d'oubli pour continuer à vivre.

– Alors c'est vrai qu'il y a une manière de se souvenir

qui permet d'aller de l'avant, il y a aussi une manière d'oublier.

Si on se souvenait de tout, on ne pourrait pas avancer,

on ne pourrait pas faire le tri,

et la grande nouveauté de Nietzsche dans mon livre,

« Je reviens à Nietzsche après Berkson »,

c'est-à-dire qu'il faut quelque part faire son marché dans son passé,

faire le tri dans son passé,

et savoir prendre ce qui est une sorte de force d'avenir,

et savoir effectivement parfois s'alléger.

Et c'est aussi valable pour faire un deuil,

jamais quand on fait le deuil de quelqu'un,

si on pense tout le temps à lui, si on est obsédé par cette personne,

et si on ne fait pas le tri entre les souvenirs

qui vont nous porter,

qui vont nous permettre de maintenir une relation spirituelle au dessin.

Et si on est comme ça,

si on vit dans un mausolé envahi par les souvenirs du dessin,

alors on ne pourra pas faire son deuil et aller de l'avant

dans une belle relation au dessin.

Et ça c'est ce que disait Nietzsche, c'est qu'il faut se souvenir,

mais il faut aussi une petite dose d'oubli.

– Alors votre livre est passionnant, autant le dire,

mais il y a quelque chose que je ne connaissais pas,

c'est une expérience qui s'appelle « L'effet ours blanc, racontez-nous ».

– Alors l'effet ours blanc, c'est une expérience qui a été développée

par des psychothérapeutes pour nous montrer

que quand on veut éviter un mauvais souvenir,

en fait il va y avoir un essai rebond, et tôt ou tard il reviendra.

Donc si on vous dit par exemple, avant de vous endormir,

ne pensez pas à un ours blanc,

ou si on vous dit pendant 11 jours, ne pensez jamais à un ours blanc,

eh bien vous avez évidemment, il pensait beaucoup plus.

Et en fait la leçon de vie est très intéressante,

c'est que dans la vie il faut éviter les dangers pour être heureux,

mais en revanche, il ne faut pas éviter de penser aux dangers.

Et plus on accueille les mauvais souvenirs,

plus on accueille ce qui nous effraie,

plus on se confronte mentalement à ce qui nous angoisse,

finalement moins ça va nous angoisser.

Et ça ça vient d'une phrase de Dostoyevski qui était très drôle,

qui a lancé toutes ses études de psychothérapie, et ça on ne le sait pas,

en disant voilà, essayez de ne pas penser à un ours blanc,

et vous verrez qu'il apparaîtra sur vos paupières tout le temps.

– C'est vraiment essayé de ne pas penser à moi quand je t'en veux.

– Charles, vous avez quel âge ?

– Alors je suis 50 ans, je viens d'avoir 50 ans.

– Et d'ailleurs ça a joué votre âge, je crois que c'est…

– Je vais vous raconter une histoire, ça vous fait rire.

– C'est au moins le mois dernier vous avez eu 50 ans.

– Ouais, j'ai ça, je me suis levé ce matin, mon livre est sorti ce matin,

et je me suis levé d'un pas rapide, et j'ai couru pour aller chercher une enveloppe,

et je me suis fait un claquage au mollet.

En fait, le livre se conclut là-dessus comment ne pas devenir un vieux con,

et ce que c'est un peu ça, le livre c'est une méthode,

pour avoir un rapport plus doux, plus souple à son passé.

Vous voyez, ne pas être en train tout le temps de ruminer tes échecs passés,

ne pas être accroché à ces gloires passés.

Et voilà, j'ai aussi écrit ce livre parce qu'arrivant en milieu de vie,

je me sentais guetté parce qu'ils nous menacent tous de venir un vieux con.

– Dans votre livre, il y a aussi un chapitre sur le passé socle de notre identité,

et là vous évoquez évidemment la maladie d'Alzheimer qui est assez symbolique,

parce qu'au fond c'est vrai que parfois, quelqu'un qui souffre d'Alzheimer

va se rappeler de choses très, très anciennes,

et c'est même souvent comme ça que ça se passe,

il n'y a rien d'immédiat évidemment.

– Oui, alors ce qui est aussi très intéressant dans la maladie d'Alzheimer,

c'est qu'on s'aperçoit que les patients qui en souffrent,

ils n'arrivent pas à se souvenir d'une grande partie de leur passé,

et ils n'arrivent pas non plus à se procher dans l'avenir.

Et ça c'est très intéressant parce que ça nous montre bien

qu'il y a une relation entre le rapport que j'ai au passé

et le rapport que j'ai à mon avenir.

Et vous voyez, un des défauts d'aujourd'hui,

c'est peut-être ça que vous évoquez aussi tout à l'heure,

c'est l'obsession du présent.

On nous dit qu'il faut vivre ici et maintenant,

il faut faire la méditation de pleine conscience, se concentrer sur le présent.

Mais c'est pas ça à un être humain.

Un être humain, c'est quelqu'un qui a une conscience du passé,

c'est quelqu'un qui hérite d'un passé et qui se soucie de l'avenir.

Et vous voyez, aujourd'hui, par rapport à la crise écologique et climatique,

ce dont on a surtout besoin, c'est de se tourner vers l'avenir.

Ce n'est pas d'être dans le présent.

Et pour ça, la bonne façon peut-être de se tourner vers l'avenir,

c'est de savoir se retourner vers le passé

et se demander ce que ce passé nous enseigne.

Parfois, le passé est plein d'indices sur ce qu'on pourrait devenir dans l'avenir.

Et c'est valable aussi bien pour l'individuel.

– Je le dis encore plus simplement. – Non, c'est pas vrai.

– Si vous voulez, en tant qu'individu, savoir ce qui compte pour vous,

ce qui est l'essentiel, ce qui vous ressemble,

ce qui vous permettra demain d'être heureux et au fond de réussir votre vie,

et bien la bonne de notre façon de s'interroger, c'est de se tourner vers le passé.

Parce que le passé vous dit qu'à tel moment, vous avez fait ça et ça vous a plu.

À tel autre moment, vous avez tenté autre chose, ça ne vous a pas plu.

Et c'est en se retournant sur son histoire

qu'on se connaît mieux, finalement, et qu'on peut mieux construire son avenir.

– Moi, j'ai parlé un peu de votre passé, du succès que vous avez eu

avec effectivement les bandes dessinées, la planète d'essages,

Platon-Lagaf ou même 50 nuances de grec,

autant de façon amusante d'aborder la philosophie en bandes dessinées.

Même en avis, ce livre-là devrait faire un carton séché à l'arrêt édition,

vivre avec son passé, et c'est signé Charles Pépin.

C'était notre livre du jour.

– Une question pour Martin Milovic, que lui, on bourre haut en Moselle.

– On bourre bas aussi, hein.

– Il y a tant d'aides. On bourre haut en peu, parce que voilà.

– On bourre l'arrière. – On en voit, alors, vraiment.

C'est une histoire d'amour, moi, d'en juge de vous parler.

Entre Adolf et Rose, magnifique histoire d'amour qui a commencé il y a 100 ans, 1923,

au fond du bassin minier dans le nord.

C'est la voix d'une heure qui nous raconte cette histoire aujourd'hui,

et que c'est l'enjournal régional, la voix d'une heure,

et nous racontent l'histoire d'Adolf et de Rose.

Mais vous connaissez mieux leur nom à Adolf et Rose.

Comment s'appelait-il ces deux amoureux ?

– Stone and Charbonne.

– Non, on connaît pas leur prénom, on connaît leur nom,

car leur nom est resté associé pour toujours.

– Les époux qui l'aident. – Eh oui.

– D'accord. – Des artistes ?

– Des artistes, non.

– Non, on ignore, en fait, qu'il s'agit de nom.

Tellement pour nous, ces deux noms sont associés depuis toujours.

– Zemmour et Nolo. – Adolf, Zemmour et Rose, c'est de l'autre !

– C'est devenu une marque, oui.

C'est devenu une marque.

– Bravo, monsieur Mabis, c'est devenu une marque.

– Jacob et de Lafounche.

– Non, Adolf et Rose ont associé leur nom pour créer une célèbre marque.

– Deux vêtements, deux vêtements. – Deux vêtements, non.

– De Bricolage. – Oui.

– Le roi Merlin, là. – Le roi Merlin, bonne !

– Oh, là !

– De Pristine, bravo. – Qui est le roi, alors c'est Adolf le roi ?

– Ça veut dire qu'il y en a un qui s'appelle le roi et l'autre Merlin.

– Exactement, Adolf le roi et Rose Merlin,

qui auraient imaginé on associe tellement le roi Merlin en un seul mot,

qu'en fait, il s'agit de deux personnes, Adolf le roi et Rose Merlin.

Pardon, monsieur Mabis.

– C'est courant non le Bricolage.

– Albert Castor et Jeanne Ramam. – Ramam.

– Et Blaqué des Caires. – Et Blaqué des Caires, oui.

– Judin Bricot et... – Oui, il y a que...

– Et Ramayad, bien sûr. Enfin, écoute, monsieur Mabis.

– Ah oui ! – Il n'y a que quand des noms enfin...

– Qu'est-ce qu'il y a ? – ...qui correspondaient à la question.

Les autres, j'étais là Bricorama, Castorama...

– Mais ton mari est très Bricoleur, je pense, non ?

– Il faut ! – T'as vu l'engin !

– Le problème, il a oublié quelques pièces. – Non, non, non !

– Avec la duplou, je vais te dire... – Bricolage, on l'a remonté, hein !

– Bah, il reste toujours trois cas de viste à la fin.

– Bah, je peux te dire qu'il a une grosse boîte à outils.

– Et est-ce qu'il a déclaré à plus ? – Je ne pensais pas qu'il n'y avait qu'une droite au but.

– On est passés de Nietzsche à la boîte à outils. – C'était très vite, c'était très vite.

– J'ai déstabilisé, j'étais. – On ne s'éternise pas à nous.

– En tout cas, écoutez, non, mais c'est une belle histoire qui raconte la voix d'une heure quand même,

qui eut cru, effectivement, qu'un monsieur Adolphe Le Roi et une mademoiselle Rose Merlin

s'étaient rencontrées il y a 100 ans et que leur histoire d'amour aurait donné naissance,

une des plus belles enseignes... – Mais c'est pas moi, j'adore Le Roi Merlin.

– Comment s'est passé dans les mains de M. Mullies ?

– Ah bah, ça c'est autre chose, ça c'est plus tard, mais c'est qu'il pense que la famille Mullies a racheté,

ça date de 1981, c'est bien après, mais au départ M. Le Roi était un épicier à Neulémine

et puis il a créé une entreprise de surplus de l'armée américaine

et puis après il a eu un fils qui s'est appelé Adolphe, qui lui a épousé Rose Merlin à Bruet en Artois,

une fille de commerçant et c'est là qu'ils ont repris l'affaire du père, parce que le père devait pâtissier.

Ils ont tout essayé ces gens-là. – Et c'est la seule entreprise française,

ou l'une des rares entreprises françaises, à être restée en Russie.

– Oui. – Absolument, on le reproche.

Mais en tout cas, Le Roi Merlin, derrière ces deux noms, se cache bien deux prénoms, Adolphe et Rose, bravo Christine.

Les grosses têtes de Laurent Ruquier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

– Toujours avec Christine Bravo, Bernard Maville, Alex Vizorek, Christine Autrante, Yohann Ryu et Ariel Wiesman.

– Une question à propos du nouvel album des Rolling Stones, question qui nous permettra d'avoir Philippe Manovre au téléphone dans un instant,

parce que c'est lui, évidemment, le plus doué pour nous parler.

Ça, il y a une photo dans Libération aujourd'hui, quand même, qui nous montre Ronny Hoode, Mick Jagger et Keith Richards,

à Londres hier, en train de présenter ce nouvel album.

C'était une conférence de presse bien huilée, paraît-il.

Toujours est-il qu'on voit Keith Richards avec son célèbre chapeau.

Mais comment s'appelle le chapeau de feutre à large bord que porte Keith Richards ?

– Ah, un Stenson. – Non, non, non.

– Un borsalino. – Alors, ça a été créé par borsalino, mais ce n'est pas le nom du chapeau.

– Un panama ? – Non, non, non. C'est le chapeau que porte Humphrey Bogart, c'est dans Casablanca.

– Ah ! – Fédora.

– Fédora, bonne réponse, Ariel Wiesman.

Eh oui. – Il ne l'a pas toujours.

– Ça s'appelle des Fédora. Bravo, bravo, Ariel. Bonjour, Philippe Manovre.

– Eh, bonjour Laurent. Salut les grosses têtes. – Ah oui !

– Il avait son Fédora alors, Keith Richards hier.

– Mais ouais, c'était assez émouvant, franchement.

D'abord, ça se passait au Acnei Empire, qui est un vieux théâtre art déco de musicaux l'anglais,

où il y a eu sur la scène de ce théâtre, il y a eu Charlie Chaplin, il y a eu Duke Ellington, et là...

– C'était là, il y a eu... – Mais oui, j'y étais, j'y étais.

– Et ça a l'air, et Ellingston, c'est Ronnie Wood, Mick Jagger, Keith Richards,

235 ans, à E3 quand même, hein, du coup là.

– C'est dommage de ne pas faire un petit debate à Charlie Watts, on ne va pas s'entendre.

– C'est con qu'ils aient pas engagé Hugo Frey pour entrer chez Charlie Watts.

– Non. Alors oui, alors il a été question de Charlie Watts, précisément,

qui fera sur deux morceaux du nouvel album.

Il avait commencé à enregistrer, car les Stones s'enregistrent depuis 8 ans pour préparer ce disque,

et donc il y aura Charlie Watts, et il faut savoir, un scoop incroyable,

c'est que Bill Weiman, le bassiste historique, est venu en studio faire la basse

sur les morceaux où il y a Charlie Watts et la batterie

pour reconstituer la bonne vieille rythmique historique des Rolling Stones.

– Alors les guest, c'est vrai, Lady Gaga, Paul McCartney ?

– Voilà, l'Orange savait, je savais que ça allait vous faire plaisir, Lady Gaga, voilà.

Peut-être Stevie Wonder, ils ont passé sous silence.

La participation de Paul McCartney, qui est très annoncé,

serait sur un morceau à la basse, ils n'en ont pas parlé hier,

ça fera partie des révélations qui arriveront ensuite.

– De peur, malgré tout de vous fâcher, je vais quand même vous poser une question

que je ne devrais peut-être pas vous poser, monsieur Manoff, mais est-ce que c'est bien utile ?

Parce que je suis en train de me dire, est-ce que vraiment depuis combien d'années

il n'y a pas eu au fond un tube, une chanson qu'on a retenue des Rolling Stones,

malgré tous les nouveaux albums ?

– C'est depuis, alors déjà, ils n'ont pas fait de nouvelles albums depuis 18 ans.

– D'accord, d'accord.

– Alors, leur dernier tube, c'était dans les années 90,

il y avait des morceaux, des morceaux qui ne sont pas franchement restés dans l'intelligence générale.

– Donc ce ne sont pas des tubes, alors ?

– Non, ce ne sont pas des tubes, mais je crois que là...

– Alors, les derniers tubes datent des années 60, 70 ?

– 70, voilà, le dernier, c'est Michio en 1979.

– Donc ça fait quand même 50 ans qu'ils ne nous ont pas fait un tube et ils continuent quand même !

– Oui, mais Laurent, alors justement, je crois qu'il y a une espèce de torgueuil

des Rolling Stones qui veulent faire un disque final, qui ferait sans doute aussi bien

que leurs albums glorieux des années 70.

– Mais ils ne m'ont pas peur de passer derrière Ayane Akamura.

– Ils ont besoin d'argent.

– Ils sont allés chercher un jeune producteur.

– Pardon de vous fâcher, monsieur Manon, parce que je sais que vous êtes fans, évidemment, des Stones.

Pardon de vous fâcher, mais c'est vrai, s'ils n'ont pas fait un tube depuis 50 ans,

ils n'ont pas fait mieux que les compagnons de la chanson, en fait.

– Oh, Jean-Jacques Planin !

– Ça, c'est bas !

– Et bien justement, là, ils ont mis tous les éléments de leur côté

pour réussir un album qui a annoncé pour le fin octobre, qui va s'appeler Acne et Diamote,

et qui, à mon avis, contiendra des morceaux cubesques.

Voilà, c'est, je pense...

– Il y a un collab avec Patrick Sébastien, qui serait très...

– Il va rappeler le nom de ce rocker de Patrick Sébastien.

– L'album sortira le 20 octobre, il faut attendre un peu.

Pour l'instant, on a un single, c'est ça, Philippe ?

– Voilà, il y a un single.

Moi, je voudrais dire que ça m'a vraiment fait une émotion incroyable

de revoir les Rolling Stones, très en forme,

échangeant des bourras d'amicales...

– Ils sont très échangeistes, toi.

– Ils vous reconnaissent ? Est-ce qu'ils vous reconnaissent ?

Est-ce qu'ils vous ont vu, Philippe ?

– Ah ben oui.

– J'étais au deuxième rang, qui, Frétien, m'a reconnu à un moment.

Oui, j'ai eu à droit un petit signe amical.

– Il avait du chumet !

– Non, mais je pense que vous avez autre chose à régler,

que de regarder la tête des journalistes dans la salle.

C'était retransmis en montée-audition sur Internet.

Il y avait Jimmy Fallone qui a fait un travail formidable

pendant une demi-heure avec un abattage...

C'est un peu le Laurent Ruequier américain.

– Non, non, c'est trop, c'est trop pour lui !

– Il y a ce nouveau morceau qui s'appelle Angry

et Ultimate Satisfaction.

C'est un Français qui a fait le clip.

– C'est pas vrai.

– C'est François Rousslet, qui avait été le réalisateur

des pubs de Jean-Paul Cotier et d'Akoradan

et qui, maintenant, est devenu vraiment

le réalisateur de clip No.1.

Il travaille avec Farrell Williams

et il a fait un clip pour les Rolling Stones

qui est absolument sublime

avec l'actrice Sidney Sweeney.

Franchement...

– Est-ce que ce sera ma dernière question ?

Pardon de vous interrompre,

mais à l'horloge ritu d'or,

on nous dit qu'il faut bientôt passer la pub, Philippe.

Et puis il faudra bien vous payer

pour venir un jour au Grosse Tête.

On fait des économies en attendant...

Mais quand même, là, vous étiez donc à Londres

pour cette conférence de presse des Stones.

Est-ce que vous avez prévu d'aller

à la dernière conférence de presse

des trois cafés gourmands ?

– D'écoutez, dès qu'ils nous disent

où c'est, je verrai ce que je peux fermer.

– Ils vont vous reconnaître tout de suite.

– En tout cas, c'est gentil d'avoir dit oui

pour répondre à nos questions.

– Ah, Philippe, vous nous manquez !

– Une question pour Sandrine Drugan,

qui habite clairement Ferrand,

et la question concerne les pommes de terre risolés

de chez Findust.

– Je me doutelais que ça allait arriver

à un moment, celle-là.

– Donc on est repassés de Nietzsche

aux pommes de terre risolés.

– Heureusement, j'ai tout préparé.

– On est tout public.

– Quoi ? Je me prépare pour la chaîne d'infos.

– Alors, qu'est-il arrivé à ces pommes de terre ?

– C'est ma question.

– Dans les épades ou dans les crèches ?

– Non, c'est trop cher pour les épades.

– Pour quelles raisons par le temps

des pommes de terre risolés de chez Findust

dans la presse aujourd'hui ?

– Elles sont devenues plus petites.

– Il y en a moins d'épades.

– Il y en a moins d'épades.

– On en est prêts, mais à une époque

où maintenant, il faut compter les petits pois

dans la boîte.

Avant, on disait qu'on va compter

combien de petits pois pour...

Mais au fond, on en est là, quoi.

Alors moi, j'ignorais ce terme.

Je l'ai appris depuis 48 heures.

Schringflation, une technique

qui consiste, effectivement,

à baisser le poids des articles

tout en augmentant son prix de vente.

On nous donne des tas d'exemples.

Effectivement, les pommes de terre risolés

de chez Findust, heureusement,

il y en a moins, vous voyez.

– Findust, Findust, tu l'as dans la nuce.

– Parce qu'ils baissent,

il a quantité, mais ils augmentent le prix

au kilo.

– Ma question, on avait compris.

– Battle de Christine.

– Mais qu'est-ce qu'elle a dans la poête-quelle ?

– C'est vrai qu'on avait compris, ça.

– Non, vous n'avez pas...

– Ils auraient pu baisser la quantité.

– Il faut bien risoler un peu.

– Ils auraient pu baisser la quantité,

mais ne pas augmenter le prix au kilo.

– Merci, c'est le but.

– Ils augmentaient le prix.

Effectivement, chez Findust,

la boîte est passée de 600 grammes

à 590 grammes.

C'est écrit, mais évidemment, on regarde pas,

c'est ça le problème.

La question que je me pose,

c'est que si la boîte est passée

à 590 grammes, ça fait seulement 10 grammes,

en moins 10 grammes, c'est quoi ?

C'est une pomme de terre isolée, 10 grammes.

– Mais sur des millions de pommes de terre, vous imaginez ?

– Oui, mais est-ce que vraiment, pommes de terre isolés,

ça pèse pas plus de 10 grammes ?

– Mais qu'est-ce que j'en sais, moi ?

– Mais je ne me promène pas

au supermarché avec ma balance,

de toute façon, c'est pas...

– Il faut acheter, en vrai.

– Les Français ont besoin de croire.

– Vous voulez acheter ? De ma ferme, on a plein de patates,

on a encore fait les patates récemment,

on a fait mon mail et je vous livre

gratuitement des patates. – Ils vendent ces patates

sur Ertel, maintenant. – C'est vrai !

Mais on a plein de chans de patates et tout,

et sur le bon point, on a un secret d'âge.

– Vous les avez surtout au fond du fil, les fois.

– C'est d'artien, je vais faire des frises,

j'appelle Ryu,

et il y a un site rural, si tu veux venir en vacances

et tout, chez ma maman, tu veux...

– Oh non, non, non, non !

– Bonne préboire et retour !

– Non, mais on a... Alors,

j'adore raconter de 3 cochons, il y a 3 cochons,

et puis on a des champs entiers. – Et où ?

– Eh bien, c'est à Quim Perguézenek,

à côté de Pontrilleux, à côté de Gingan.

Et ce qui est génial, je suis allé dans le champ, il y a 2 semaines,

et on a fait les patates.

– Vous n'avez pas répondu à ma question, tiens.

– Mais par contre, t'as les patates, mais t'as des problèmes de purée.

– Oh non !

– Oh non !

– J'ai pas assez de brumeaux !

– Moi, je pensais... Ecoutez, moi,

qui a invité le gratin ici.

Franchement, non, mais au moins

on n'a plus, c'est cher.

C'est le titre de libération aujourd'hui,

Schringflation.

Mais c'est vrai que je me pose la question

sur combien pèse une pomme de terre rissolée,

parce que 10 grammes en moins,

c'est pas grand chose,

et c'est vrai qu'au fond, on peut acheter en vrac,

comme ça, bon, on en est sûr.

– Mais pas les trucs rissolés !

– Et les petits pois en vrac,

eh bien, dans le cas dit, faut faire attention,

parce que ça parle à travers...

à travers les gris, mais...

– C'était le moment qu'on saut.

– C'est intéressant. – Oui, bien sûr.

– Vous faites bien les patates, Laurent,

parce que vous mangez beaucoup de patates.

– Bah j'essaye que non, parce que justement,

ça fait grosser, on va y aimer.

Mais en tout cas, pareil pour la glace,

la vanille de Madagascar,

chez Carte d'Or,

je vous donne les marques qui vous ont volé...

– Mais ta région, c'est Unilever.

– ...qui vous ont volé pendant des années.

– C'est le groupe.

– La vanille de Madagascar.

Alors là, c'était 472 grammes,

et ils sont passés à 367 grammes de glace.

– J'ai le prix.

– C'était énorme de différence.

– C'était énorme à Madagascar.

– Et pire encore, ça, c'est pour vous, Christine,

pire encore la version rum raisin des Antilles.

Ils sont passés...

Ils sont passés de 506 grammes

à 352 grammes.

– C'est en...

– Ah, la glace !

– Oui, la glace !

– C'est pareil pour les feuilles de PQ.

– Mais non,

ils vont pas diminuer la taille

de rouleau de PQ, mais le poids.

Tu croisais qu'ils allaient

rétrécir les feuilles ?

– Bah, c'est possible, tant...

– Bah, ils en rétréciront pas.

– Et déjà, je trouve que c'est pas ça normal

que tu payes le même prix

pour un rouleau de PQ que moi.

Par exemple, devrais y avoir des plus larges...

– C'est pas...

Moi, je prends beaucoup de papier-Q,

j'ai besoin de beaucoup, je dévoile beaucoup.

– Mais non, non !

– Je vous explique.

– Rendez-moi, Charles Pépin.

Le 20e, je lis l'équipe sur mon trône.

– Arrête !

– Et je le fais au moins 20 minutes.

– C'est pas comme ça, France Inter, hein.

– Ah non, non, non.

– Bah, mais c'est bien mieux, ici.

C'est différent.

– Une question pour Gilles,

parce qu'à la question qui nous emmène place

des vaux, je vous en peux trouver

mais qu'est-ce que la Petitère Bapou ?

– Ah, c'est l'héliotrop.

– Non.

– C'est pas ça, hein ?

– Non, c'est pas ça.

– C'est-à-dire avec beaucoup d'assurance.

– J'ai un café ?

– Il y a effectivement un lieu

qui porte le nom,

l'autre nom de la Petitère Bapou

dont on parle dans les journaux aujourd'hui

pour une raison bien précise.

– L'embroisie, l'embroisie.

– L'embroisie !

– Ah, c'est ça !

– Bonne réponse !

– Ah oui, je vous l'ai dit.

– Bonne réponse, Mr Bernhard Maby.

– Oui, oui, mon chéri.

– Ah bah, c'est pas mon chéri, c'est pas tout le monde.

– Ça se fait excellent.

– Oui, c'est l'embroisie, bien sûr.

– L'embroisie, un poison pour la santé,

alors pas le restant,

elle fait monter le nombre d'allergies.

– Mais on s'en fout des gens allergiques, je veux dire, c'est beau.

– En flèche ?

– Non, mais si, alors dans la nature,

il y a énormément de choses

qui rendent certaines personnes allergiques.

– Oh, que ça, oui !

13 départements sont en alerte rouge

à cause des quantités de pollènes

qui pourraient atteindre des records,

ce mois de septembre,

et particulièrement à cause de l'embroisie,

cette plante qui fait monter en flèche

le nombre d'allergies,

c'est une plante envahissante, en fait.

– C'est une mauvaise herbe, en fait.

– Elle est devenue la bête noire des médecins.

– Oui, c'est de pire en pire,

dans mes cricines,

ça va, il est à Paris,

c'est sur le point d'arriver à Paris.

– Mais on s'en fout, à Paris,

il y a une telle pollution.

Ce qui rend les gens allergiques,

c'est la pollution, la saloperie,

ça nous a complètement détruits.

– Qu'est-ce que tu parles bien ?

Qu'est-ce que tu parles bien ?

– Qu'est-ce qu'il dit ?

– J'adore.

– Comment ils disent les adolescents ?

Comment ils disent ?

– Quoi couper ?

– Quoi couper ?

– Qu'est-ce qu'ils disent ?

– Quoi couper ?

– Ah, tu connais pas ça, toi.

– Non.

– C'est pas arrivé encore, ça.

– Non.

– Bah, tu dis, par exemple,

quoi, et les gamins disent couper ?

Quoi couper ?

On n'a jamais su.

– Mais c'est nouveau.

– Non, non, non, c'est un jeu,

il faut filmer quelqu'un,

et tu poses sur TikTok.

– Et comment vous le savez,

vous, Laurent ?

– Parce que je suis Jones,

– Ah oui.

– Ça y est, j'ai quitté France 2.

Une question pour si...

une question pour Cyril El Scouty,

qui habite Saint-Georges-sur-Reyon,

c'est dans le Mène et le Loire,

pouvez-vous me citer,

puisqu'on parlait d'espèces envahissantes,

là, il s'agit d'animaux,

justement, de nuisibles.

Il y a beaucoup d'espèces invasives

Alors, les loups, ce n'est pas tout à fait les punaises de lits, alors vous avez les punaises et ce n'en voudrait deux autres.

Le frelon asiatique.

Alors, le frelon asiatique, parfait.

Il y a une espèce de nénuphare là.

C'est dans l'eau ou c'est sur terre ?

Alors, vous avez la punaise diabolique elle s'appelle, la punaise diabolique, le frelon asiatique.

Le nénuphare, le nénuphare de...

Oui, mais le nénuphare n'est pas un animal.

Ah vous voulez que des animaux d'accord.

Les crevices américaines.

Bravo, les crevices américaines.

Il y a le ragondin.

Et il y a le crabe bleu.

Le rat, hein, ou le ragondin aussi.

On aurait pu en parler, mais on va pas faire la liste entière des espèces.

Des écopains d'Hidalgo.

Je l'ai vu, elle a fait une vidéo hier sur le pont des arts.

Elles ont changé le bois du pont des arts.

Pourquoi ?

Parce qu'il était usé, j'imagine.

Et donc, il y a un nouveau bois sur le pont des arts.

Ça doit être ouest.

Alors, je dois avouer que c'était assez rigolo de voir la mère de Paris, mais...

Elle était heureuse, joyeuse.

Elle s'est jetée dans la scène.

Elle s'est tapée un petit cent mètres.

Il y a longtemps que je n'avais pas vu comme ça.

Elle était là, toute seule, sur le pont des arts.

Et puis elle a dit, oh, regardez-moi.

Elle est toujours comme ça.

Elle a vraiment oublié son score à la présidentielle.

Mais qu'est-ce qu'il a dit Charles Pépin ?

Il faut oublier des choses dans le passé.

Madame Hidalgo sur le pont des arts, c'est...

Vraiment, regardez la vidéo, c'est...

On aurait cru Emily Paris.

Ah ouais.

En tout cas, c'était...

Moi, écoutez, j'aime voir les gens heureux.

Et si on a une heureuse à Paris, c'est peut-être tant que pour elle.

Et on a envie d'avoir comme nager,

parce qu'il... Pourquoi elle se lance pas, franchement ?

Elle envoie ses adjoints.

Pour nager dans la scène, vous voulez dire ?

Ah oui ?

La Christine, elle pourrait nous dire.

T'as vu l'état dégueulasse de la scène ?

Mais ils ont nager...

Ils vont recevoir des médailles de bronze.

Mais il y a ces horribles poissons.

Ils montent, vous avez déjà vu ?

Ah ouais.

Ils sont méchants.

Ils ont des gueules horribles.

Ils mangent de petits canards.

Mais vous avez toujours l'apparise en plein ce moment,

parce que, ok, encore ça, on a compris,

vous vivez maintenant, on va dire,

10 mois sur 12, quasiment.

Mais quand vous êtes à Paris,

vous êtes sur votre péniche ?

Mais où tu veux que je sois ?

C'est chez moi.

Elle adore le péniche.

Enfin, vous pourriez être au crayon

en train de demander 20 ballons.

Vous pourriez louer votre péniche.

Et quand vous revenez,

vous êtes obligé d'aller à l'hôtel,

parce qu'il y a vos locataires sur la péniche.

Vous prenez ma question.

Ça se loue pas une péniche.

Ah, comment ça ?

Je voulais la nettoyer avant.

Mais non, mais parce que c'est...

C'est trop personnel.

Ouais, c'est personnel.

Puis il y a des trucs,

j'ai pas envie que ça...

Ils m'ont de voix.

Enfin, tu vois,

c'est des oeuvres d'art.

Des magnifiques bronze qu'à l'achouler.

Tout ce qu'on me refourgue,

qu'était dans la scène...

Non, non, je...

Vous êtes déjà allés,

sur la pénification.

Bien, c'est sûr.

Avec Jean-Luc Lemoine,

on avait fait une visite extraordinaire,

il y a 3-4 ans,

et on avait eu Champagne,

il y avait ta fille,

c'était un moment extraordinaire.

Tu parles pas de ma fille.

Qui est très mignonne

et très superjantique,

c'est vrai,

très homomentique.

Je l'avais dragouillé un peu.

Alors, comment elle s'appelle déjà ?

Je sais son nom.

Clara.

Clara, oui.

Elle est toute douce,

elle est très...

Franchement,

l'histoire de d'autres dames et tout.

Mais qu'est-ce que tu faisais

sur la pénification ?

En fait, est-ce que je faisais que la vérité ?

Moi, qui se trompe,

il confond un pénigre.

Ah oui, il confond mon yôte.

Ah oui, c'est ta déclin.

Ah, c'est différent.

Comment tu fais pour dragouiller, toi ?

Je voudrais savoir.

Bah, regarde, je suis Clara.

Oui.

Ah non, non, non.

C'est Clara.

Ouais, ma maman, c'est Christy.

Ah non, non, non, non, non.

C'est pas Clara.

J'ai dragué la fille

de Caroline Diamand,

de Van Caroline.

J'ai dragué ta fille devant toi et tout.

Oui.

Alors...

Est-ce que...

Je sais pas l'habitude,

vous savez de draguer ça, mon problème.

Là, je vais m'inscrire sur Raya.

Raya, c'est une...

C'est quoi, Raya ?

Raya, c'est une application

pour les vedettes.

Non, mais c'est pour des jours

un peu du spectacle.

Il passe de la péniche

à la vedette.

Et alors,

Clara,

est-ce que tu vas le restaurant

ce soir ?

Maman a préparé des tacos.

Je crois que je peux pas.

Ah, j'adore ta maman.

J'adore ta maman.

Elle est super gentille et tout.

Est-ce que ta maman

peut venir avec nous aussi ?

Ben, tu sais,

elle est souvent occupée, maman.

Rassurez-moi, vous avez parlé

chaud.

Non, est-ce que tu lui as dit ?

Est-ce que tu lui as dit ?

Écoute, maman est près de toi.

Viens, allez, on danse.

Allez, viens, on danse.

Viens, Clara,

viens, on danse, Clara.

Ça y est, je suis avec Clara.

Et là, on fait un slow.

Ah, c'est un slow.

Pierre, vache-les les corons.

Pierre, vache-les les corons.

Ah, c'est jamais aussi près d'un homme.

Ça y est, c'est ma révélation.

Évidemment au cul.

Attendez, je vous confirme

que Yoann Riou est bouillant.

Heureusement qu'on est cas d'un radio.

Qu'est-ce qu'elle dit ?

Qu'est-ce qu'elle dit de personne ?

Qu'est-ce qu'elle dit de la belle-mère ?

Elle dit...

L'espadre est né ta fille.

Elle dit, tu coupes la main au cul ou t'es mort ?

Une question pour monsieur Chèze, Marc Chèze,

qui habite Voreal dans le Val d'Oise,

qui en 1992, avait déchiré la photo

du pape Jean-Paul II.

Cinéa de Conor.

Oui.

Excellente réponse

de monsieur Wismann expliqué.

Bah écoutez, Cinéa de Conor,

elle a subi des abus sexuels très jeunes.

C'était une femme assez extraordinaire.

Elle est morte cet été, il faut rappeler.

Elle vient de mourir cet été, oui.

Et elle avait déchiré la photo du pape.

Elle est mort jeune.

Très jeune, très jeune.

Et ça a marqué un tournant dans sa carrière

parce que tout le monde lui a tourné le dos.

C'est quand même très curieux,

puisqu'elle dénonçait des faits qui se sont avérés.

Elle a déchiré effectivement

dans le Saturday Night Live,

la photo du pape Jean-Paul II.

C'était avant que le pape ne reconnaisse

les abus sexuels sur les enfants

au sein de l'institution catholique.

Elle a fait un énorme tube,

cette chanteuse quand même.

Alors on va plutôt parler d'un chanteur vivant,

mais qui lui aussi est un chanteur étranger.

Même s'il vit chez nous en France,

maintenant depuis quelques années,

il vit dans le Béharn même.

Mais c'est un chanteur britannique

qui va faire trois soirs au Bataclan,

la laissaisse, 17 et 19 septembre prochain.

C'est moi, je suis très heureux.

Courrette, parfait, bravo.

77 ans.

Je l'ai vu en concert

avec un soir anniversaire

de Georges Lang, il y a un mois ou deux.

Et il était là,

avec un autre chanteur britannique.

Est-ce que la fille de Georges Lang ?

Maman, il restait son enfant

qui était là au premier an.

Jack !

Elle est un peu facile,

ça, là, l'horreur.

Vous commentez les blagues des autres ?

Il est tranquille, il est tranquille.

Le roi de l'humour.

Elle a bailli au cas, il vous croit tout perdu.

Il est là-bas.

Il était avec Peter Kingsbury.

Les Hitler-Bixbury étaient au piano

et c'était une soirée merveilleuse.

Vous êtes capable de me donner une des chansons de meurerhead ?

One night in Bangkok, évidemment.

Il fait trois soirs appareils,

deux soirs au Bataclan

et un soir au Trianon 16, 17 et 19 septembre.

Il y a un autre tube,

si il n'y a pas que celui-là, vous connaissez l'autre ?

Oui, plus fort encore que One Night in Bangkok.

Pardon, Christine.

Elle se dit pas si je dis

si c'est une chose.

Répondez-lui couper dans ces cas-là.

Ah ben oui.

Attendez, il faut déclencher TikTok.

Laurent, on n'avait pas compris le jeu.

Il faut qu'elle dise quoi ?

Oui, mais elle a dit quoi ?

Elle a dit qu'est-ce qu'il dit ?

Du coup, ça marche pas.

Ça marche pas.

Il faut vraiment le quoi.

Du coup, quoi couper ?

Là, c'est bon. Il y a une autre manière aussi.

En Bretagne, on disait toujours,

posez-moi une question, Laurent.

N'importe là, je vais vous répondre.

Est-ce que vous allez rentrer bientôt chez vous ?

Normalement, il faut pas dire un,

il faut dire...

Oui, alors on fait l'inverse.

Attends, je vous pose une question.

Qu'est-ce que c'est ?

Quelles mauvaises images pour la Bretagne ?

Vous savez quand on dit un,

il faut répondre deux.

Vous comprenez ?

Un, deux.

J'ai bien compris ce que vous voulez dire.

C'est que le quoi couper est la version moderne

de ce qu'on pouvait faire avant quand quelqu'un

effectivement vous disait un,

les parents disaient non, on peut deux.

Il faut dire comment ?

Ça veut dire quoi couper ?

Ça ne veut rien dire, justement.

Mais d'où ça, il y a bien une origine ?

Je crois que ça veut rien dire.

Monsieur Vizorek, voilà.

Je suis votre trait d'union avec la jeune.

Je ne suis pas complètement le jeune,

donc je peux m'occuper.

Mais comme les jeunes n'écoutent pas, personne n'écrira.

Alors, détrompez-vous.

Ils sont obligés.

Quand j'étais petit, j'étais dans la voiture derrière

mon père et c'est lui qui mettaient la radio.

Donc il y a des jeunes qui évidemment sont séquestrés

dans des voitures parentales.

Comme je l'étais.

Coup A, cou B.

Donc quoi cou B ?

Cous C, c'est pour la prochaine fois.

Quoi ?

Notez-le.

C'est génial.

Il n'a pas compris Rio.

Alex, tu peux recommencer avec Nius.

C'est l'alphabet.

Cous A, cou B.

Donc quoi cou B ?

C'est vraiment un deux, c'est pareil.

C'est la version lettre de la version chiffre.

Voilà.

C'est compris.

Cous A, cou B.

Mais j'ai su, pourquoi vous savez ?

J'ai su parce que j'ai triché sur Christine

et Christine, elle a écrit cou A

et cou B, c'est Christine.

Christine et ma carotte.

J'adore Christine.

Je précise qu'il s'agit de Christine.

Bravo.

Vous avez raison, Christine Autrême.

À notre invité,

il y aura un nouvel album qui est sorti d'abord

en Australie, mais elle vient nous le présenter.

Elle est chez nous en France.

Et d'ailleurs, elle sera sur scène

tout bientôt chez nous en France.

Et évidemment, on va en parler avec elle

de ce concert unique salle-playale

en novembre 16, novembre, précisément.

Elle chantera aussi ses plus grands tubes,

les plus hauts et les autres.

Mais elle se rapproche.

La voici Tina Arena.

Je me rapproche.

C'est le nouveau single de Tina Arena.

Je me rapproche.

Je me rapproche, et bien rapprochez-vous.

Chéretine, bienvenue.

C'est la nouvelle chanson extraite de votre

nouvel album.

Ça veut dire que vous les avez traduits parce qu'elles étaient

évidemment en l'orgue originale au départ

d'abord en Australie, en anglais, j'imagine.

Tout à fait.

franchement ils étaient les plus faciles à traduire et je veux remercier à

François Belgrin qui a fait les textes, qui a été très soigneuse de toutes les

toits thèmes de ces chansons et ça je dis merci beaucoup parce que c'est pas

toujours le cas. Quand je vous entends ça me fait penser à

Gene Birkin à chaque fois. C'est doux accents et c'est faute qu'on

adore, rassurez-vous je parle pas mieux anglais que vous ne parlez français mais je trouve que ça

donne un charme exquis extraordinaire que vous avez tout comme Gene qui nous

manquera évidemment beaucoup et qui est parti pendant l'été tout comme Gene

Birkin l'avait elle aussi. Vous vivez vraiment la majeure partie du temps

en australien. J'ai vécu la 100% du temps en australien.

100% du temps. Où vous vivez ? À Melbourne.

J'adore cette ville. Vous êtes déjà allé à Melbourne ?

Évidemment. C'est une ville basse s'il n'y a pas de grands immeubles comme à

l'époque. Il y en a beaucoup. Et c'est très beau, ils ont construit.

Non mais c'est bon, c'est vrai Christine. Vous voulez vous, vous payez moi.

Il y avait que des maouris à l'époque, des aborigèdes.

Je suis d'accord. Ils sont tellement sympas. Ils sont gentils.

Il n'y avait pas d'immeubles mais petit à petit ils sont allés.

Oui, bravo.

C'est super beau.

Vous êtes obligé de les chanter vos tubes quand vous êtes sur scène.

La salle play elle en novembre. Vous chantez elle est plus haut.

Bien sûr, on ne peut pas venir faire toute cette distance.

Je vais chanter les chansons les plus évidents mais pas contre que je vais promener tout le monde en anglais.

C'est vrai que le nouvel album est en anglais. Il y a une chanson qui s'appelle Church aussi.

Église, je traduis.

Bravo.

C'est un bijou.

La prononciation.

On va prendre des trucs.

Je progresse.

C'est une traduction audacieuse.

Il y a une prise de risque.

Je pense à ceux qui ont fait aller en anglais.

Tout le monde n'a pas fait en anglais.

Et de quoi parlez-vous dans church?

Les choses que je parle en church, en fait c'est une chanson introspective.

C'est-à-dire qu'il y a des moments dans la vie où il faut se pardonner en fait.

J'imagine aussi que vous chantez cette chanson.

Vous aurez une pensée pour moi et pour Christine.

Bravo. Quand vous chantez.

Aimez jusqu'à l'impossible.

Aimez jusqu'à l'impossible.

Aimez jusqu'à l'impossible.

Aimez jusqu'à l'impossible.

Aimez jusqu'à l'impossible.

Aimez jusqu'à l'impossible.

C'est possible.

C'est une tournée internationale que vous nous faites.

Vous êtes fait nous deux passages en France,

mais je vois que vous avez des dates.

Donc forcément chez vous en Australie, à Sydennais, à Melbourne.

Mais vous allez aussi passer en novembre à Los Angeles,

sur a New York, aussi en octobre.

Washington, nos amis québécois.

Montréal le 11 novembre et puis Londres aussi le 24 novembre.

On a des auditeurs partout dans le monde.

Donc je donne les dates parce qu'il y a beaucoup de Français à Londres.

Et c'est bien qu'ils sachent que vous serez là-bas le 24 novembre à Londres.

Mais à Paris, ce sera le 16 novembre, ça, le Playale.

Alors est-ce que vous allez chanter aussi ?

Parce que ça, c'est un de vos grands succès internationaux aussi.

Le duo que vous faisiez en 1998,

qui était extrait du film Le Masque de Zorro.

Mais bien évidemment quand je vais chanter Zorro.

Ah oui !

...

Ça, c'est le passé.

Mais l'actualité, le présent pour Tina Arena,

c'est ce nouvel album Love Saves.

Il paraît que même vous pouvez nous interpréter,

nous fraudonner comme ça à Capellar,

en extrait du titre de l'album Love Saves.

...

...

C'est le titre de l'album.

Ah, vous retenez-le !

...

Il sort la séjourcie le 8 septembre.

Il existait déjà en version numérique

depuis le mois de juillet,

mais maintenant on peut l'acheter en version physique

le nouvel album de Tina Arena.

On aime le tactile, Laurent.

Vous avez raison.

C'est si grand que ça, le...

Pardon.

Il n'a pas rentré dans...

Maintenant, mais c'est un vinyl...

Ça, c'est le vinyl.

...

Manny.

On a la version de CD aussi.

Non, mais ça va.

Oui, il y a des CDs.

C'est plus petit, le CD, tu sais.

Oui, mais...

Christine, elle vit encore maintenant.

Elle vit encore, oui.

Comment vous savez...

Non, mais c'est cool, parce que je suis content pour toi.

Je suis très content pour votre parcours en bateau aussi.

J'ai bien yolé.

Mais...

Merci, merci beaucoup.

Mais Tina...

Non, mais je t'adore depuis longtemps.

Mais...

Mais moi aussi, alors...

Oh, la vie, Christine.

Tina, est-ce que vous saviez que la fille de Christine

est avec toi ?

Non, mais...

Oui.

J'ai d'autres messages pour vous.

Tina, Tina Arena.

Écoutez, un message de Patrick Bruel

qui l'a laissé sur notre répondeur.

Salut, Tina.

C'est Patrick Bruel.

C'était pour...

Pour te dire que, comme t'as sans doute vu

les restos du cœur, on peut s'en d'aide.

Et comme Tina, t'as fait partie de la troupe

des enfoirés pendant plusieurs années,

je ne sais pas, je me suis dit

que tu pourrais peut-être faire un petit don.

Tu peux donner ce que tu veux.

Tina, de l'argent pour les restos

ou des cartes vocales à l'aginifère.

Je vais vous avouer que c'était marquante.

Marc-Antoine Lebré, évidemment.

Marc-Antoine Lebré.

Et c'est pas guisé.

Qui...

Qu'est-ce que c'est ?

Qu'est-ce que c'est ?

Marc-Antoine Lebré, évidemment.

Marc-Antoine Lebré.

Et c'est pas guisé.

Qui imite Patrick Bruel.

C'est pas le vrai Patrick.

C'est comme François Hollande.

Lui aussi, vous allez laisser un message

François Hollande.

Oui.

Bonjour.

Madame Arenda, c'est François Hollande.

Je connais toutes vos chansons.

Elles sont la bande originale de ma vie.

La chanson allait plus haut,

qui me rappelle quand j'ai accédé

la présidence de la République.

Le titre, je m'appelle Bagdad.

C'était pendant mon quinquennat.

Et surtout, celle que j'adore,

aimé jusqu'à l'impossible.

Chanté par mes électeurs,

et qui s'évite de transformer

impossible de l'aimer jusqu'en 2017.

Au revoir.

Vous avez fait danse avec les stars,

aussi, Tina Arenda.

Il faut le rappeler.

Jean-Marc Vénéreux,

vous avez laissé un message.

Ah, c'est Jean-Marc Vénéreux.

Et ça, j'achète.

Tina, on a fait masque-singer ensemble.

C'était super.

Moi, un lama.

Toi, une planque carnivore.

Rien que dire pensée.

On était magnifique, magnifiquement ridicules.

Je te raconte pas, Marc-Antoine Lebrel

était déguisé en crocodile.

Ah, j'achète pas du tout.

Il est chaud.

Mike Horne,

aussi, vous avez laissé un message.

Le célèbre aventurier Mike Horne.

Salut, Tina.

C'est Mike Horne.

Tu sais, Tina, comme toi,

moi aussi, j'ai accent doux merde.

Comme toi, j'ai parcouru la monde entier.

J'ai vu endroit plus hostile de la Terre

comme le poule sud ou le poule emploi.

Mais il n'a jamais rien vu

d'aussi dangereux que Australie.

Là-bas, il y a araignées grandes

comme Johan Riou,

Kangaroo Big Pocket

et même serpents LGBT.

Mais le pire,

ce sont tous les touristes

en camping-cars dans la désert.

Ils sont brûlés comme la soleil,

comme Alex Vizorek

pendant une éclaircie à Bruxelles.

Oulou.

Voilà pour Mike Horne.

Nos auditeurs

ont reconnu Marc-Antoine Lebrel.

Mais vous restez avec nous encore un peu,

cher Tina Arena,

parce que nous allons vous confier la valise RTL,

et ce sera dans un instant

après la pub.

RTL.

La valise.

Avec notre invité du jour, Tina Arena

qui est venue nous présenter

son tout nouvel album Love Saves.

J'espère, Tina, que vous allez porter chance

à une auditrice ou un auditeur.

Si vous le voulez bien,

choisir un numéro de 1 à 21,

un 20.

Vous avez déjà dit 20.

20.

20.

20.

20.

OK.

20.

OK.

C'est très bien.

Vous voulez que je choisisse un numéro?

Oui, oui.

Vous devez choisir un numéro.

Vous devez choisir!

OK.

D'accord.

Alors je vais choisir le numéro.

11.

11.

11.

11, mesdames et messieurs.

11.

Bingo!

Alors.

Notez le nom.

Il s'appelle Selvinas Gorguluf.

Comment? Comment? Comment?

Arrête!

Parfait, bref.

Je vous jure.

Et c'est un oeuvre.

Et sa sœur, il habite un morto.

Monsieur Gorguluf a morto.

Morto, c'est dans le dos.

Gorguluf!

Réponds, Gorguluf!

Comment tu me mets dans cette position?

Vous êtes sur la métal.

Heureusement, il n'est pas là.

Il est en train de...

Il est dans son champ de saucisse.

Un autre numéro.

Ben, on va choisir, alors, le numéro 7.

Le 7.

Mister Thomas Rousseau.

Thomas Rousseau.

Yes.

From Longo in the bill, dans la somme.

Very good.

Pas mal, pas mal.

Impressionné, impressionné.

Ça sonne chez Monsieur Rousseau, dans la somme.

Non, non.

Messagerie.

Vous êtes bien sur le répandeur de Thomas Rousseau.

Oui, pas facile.

C'est moi le message.

Je vous rappelle.

Faites-lui ça, message ordinaire.

A la fin de votre message, si vous souhaitez le modifier, tapez Diez.

Bonjour, Monsieur Rousseau.

C'est Tina Arena, l'appareil.

Je vous appelle de la part de RTL.

Parce qu'on a voulu savoir, si vous savez exactement, qu'est-ce qu'elle...

Injustice.

Qu'est-ce que c'est le contenu dans la valise RTL.

Mais dommage que vous n'en êtes pas là pour prendre cet appel.

Mais en tout cas, on vous souhaite une très très bonne journée.

Et un gros bis de tout, de la part de tout le monde ici.

Les grosses têtes.

Surtout Bernard Mabille.

Oui, surtout Bernard.

Ça c'est déjà un bon cadeau, un message de Tina Arena quand même.

Il pourra y garder longtemps sur son téléphone.

Et moi j'ai encore un ou deux messages pour vous, Tina.

Écoutez, Nikos qui voulait vous parler sur notre répandeur.

Salut Lelou, salut Tina, c'est Nikos.

J'appelle pour te demander si tu veux venir bosser.

Pas en coach.

En présentatrice.

Parce que là j'en peux plus.

Attendez Lelou.

12 saison The Voice et 5 saison The Voice Kid.

J'ai été témoin de bien plus d'élimination que Vladimir Poutine.

Misez Lelou.

Et puis alors il n'y a pas que Nikos.

Il est en tournée en ce moment.

Monsieur Sarkozy a eu le temps quand même entre 2 librairies

et 3 mensonges de la télé.

Je sens bien celui-là.

De nous laisser un message sur notre répandeur.

C'est Nicolas Sarkozy.

Vous vous souvenez de moi ?

Vous aviez chanté à mon concert pour ma victoire en 2007.

D'ailleurs Mdama rena.

C'est vous direz, rechantez pour moi ?

Vous avez déjà fait le palais d'espoir ?

Moi je vous propose le palais de justice.

Bonne journée.

J'aime beaucoup celui-là.

Nous allons faire un message sur le répandeur d'un de nos orditeurs.

On vous offrira tous ces messages signés Marc-Antoine Lebré

qu'on retrouve dans un instant dans le 18-20

le RTL Bonsoir

et on va vous dire bonsoir à vous aussi Tina Réna

et merci en tout cas d'être venu nous présenter cet album.

Je vais le glisser dans la valise RTL.

Ce serait un cadeau pour les prochains gagnants de la valise.

C'est très beau.

Je mets l'album de Tina Réna dans la valise RTL.

Si y en a.

Et peut-être même 2 places si vous souhaitez 2 places pour la salle play.

On peut faire ça ?

Oui bien sûr qu'on peut faire ça.

Allez on met 2 places pour le 16 novembre salle play L

pour applaudir Tina Réna

et nous on se retrouve demain à 15h30

pour d'autres grosses têtes.

Bonsoir du mi-assayier.

Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org

Machine-generated transcript that may contain inaccuracies.

Avec Alex Vizorek, Christine Ockrent, Christine Bravo, Bernard Mabille, Ariel Wizman et Yoann Riou.

Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.