Les Grosses Têtes: L'INTÉGRALE - Émission du jeudi 5 octobre 2023

RTL RTL 10/5/23 - Episode Page - 1h 42m - PDF Transcript

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à Dieu.

Sans chacune pris !

Bonne réponse qui m'appelle Merlot !

Il y a des traditions dans cette émission et c'est sa seule réponse de toute l'année

pour Sabine Mortier.

Oh dis donc parce que tu as la côte avec ton voisin qui peut m'envoyer des bâmes.

T'as dit qu'on était solidaire jusqu'au bout de l'émission.

Non mais je vois que Yohann Rieu est très inquiet parce qu'il se dit qu'il y a quelqu'un

qui est bavard mais qui lui a des choses à dire.

Il est en pas du fait marrant !

Il y a une première question assez facile sur l'actualité, c'est en Paris Match qui

a une page entière consacrée à une photo, une photo prise le 28 septembre dernier.

Quelqu'un qui est en train de conduire sa 4êle blanche mais qui ? Brigitte Pardo ! Brigitte

Pardo ! Bonne réponse ! Ah oui c'est ton anniversaire !

C'est une photo volée, je suis pas sûr qu'elle soit très heureuse de cette photo mais…

Ouais souris pas, ouais.

Ça montre en tout cas qu'elle conduit elle-même sa vieille 4êle, évidemment on est loin

de l'époque de la fameuse Harley-Davidson où elle n'avait besoin de personne mais

en 4êle elle n'a besoin de personne non plus pour conduire sa vieille 4êle.

Surtout que les vitesses sont très dur à changer.

C'est vrai !

Les tableaux de bord, les vitesses.

Ah non, elles sont…

Les 4êles, elles sont incroyablement dur à changer.

Surtout la marche arrière, je suis sûr qu'il faut s'arquebouter pour la passer.

Comment vous savez ça ? Vous avez été postière ?

Non, c'est une 4êle.

C'est une 4êle.

On s'est par une mercedeste.

Qui une 4êle, c'est bien.

Bah comme toi, j'ai pas couché très jeune.

La 4êle est quand même plus jeune que Brigitte Bardot qui fêtait ce jour-là ses 89 ans.

Et elle n'a besoin de personne à bord de sa vieille 4êle blanche et la roulée de la madrague à la garige.

Et j'imagine qu'il y avait un paparazzi qui attendait bébé pour publier cette photo dans Paris Match.

Une question maintenant qui concerne la ville de Sanois.

Sanois, c'est dans le Val d'Oase.

Oui.

Pour quelle raison parle-t-on beaucoup du carrefour à Sanois ?

Il y a eu un accident célèbre ?

Non.

Il y a eu une arrestation célèbre ?

C'est une question pour Jennifer Barborini qui habite Ville-Bernier.

Il n'y a pas eu un client célèbre qui est venu ?

Non, non.

Il y a un rond-point.

Comment ça ?

Ils ont mis une œuvre d'art sur un rond-point.

C'est l'œuvre d'art, elle fait polémique parce que ça coûte cher.

Vous comprenez ce que dit...

Vous me doutez d'où il vient ?

C'est possible.

Il y a de l'air de sumer comme l'art, c'est subjectif.

Ça coûte cher.

Il y a de l'air ou de l'air ?

Je comprends pas.

Il y a de l'art sur le rond-point.

C'est artistique ou pas, Laurent ?

C'est artistique.

Vous avez un grand peintre qui s'est fait écraser là ?

Ah non.

Il n'y a pas une exposition dans ce carrefour ?

On voit une expo dans un carrefour.

Il n'y a pas un petit truc ?

Si, il y a des expositions dans les carrefours.

Je rappelle la question.

La question concerne la ville de Sanois

et effectivement, plus particulièrement,

d'un carrefour à Sanois.

Alors, ça a rapport à un artiste ?

Oui.

Un seul ou plusieurs ?

Il n'y a pas une érection de...

Oh, il y a longtemps qu'il n'y a plus d'érection.

Et c'est pas un carrefour.

Laurent, est-ce que ça a rapporté le mobilier urbain ?

Pardon ?

Ça a rapporté le mobilier urbain du carrefour

avec l'habillage du carrefour ?

Pas du tout, mais vous êtes...

Ça a rapport à un ou deux plusieurs artistes.

Vous êtes très, très loin.

Il a été peint.

Le carrefour a été peint.

Pardon ?

Le carrefour a été peint.

Ce carrefour a été peint.

Monet !

Monet !

Banski ?

Non, non, non, non.

Effectivement, ce carrefour.

C'est à vous de répondre là.

C'est très difficile, je veux dire.

Enfin, un carrefour de sa noix.

Mais c'est en ce moment, Laurent, où ces deux...

C'est-à-dire que...

Non, il n'y a pas quel cas que...

Est-ce que c'est pour commémorer, par exemple,

octobre-rose, ils n'ont pas en rose pour le...

Non, non, non, pas du tout, mais il est vrai que

j'ai trouvé cette question grâce à deux pages

dans l'hébdomadaire Le Point,

puisque un monsieur qui s'appelle David Zivy,

responsable de la mission de recherche

et de restitution des biens culturels

spoliés entre 1933 et 1945...

Ah, ça, alors ça m'appartient sur moi.

Ils vont lui donner un nom de quelqu'un

qui a habité sa noix, qui a été spolié,

une grande famille...

Non, non, non, tout simplement ce tableau,

parce que c'est le titre d'un tableau

carrefour à sa noix,

qui a été restitué à la famille...

J'ai en train de donner toute la réponse, tout seul.

À la famille d'Anne Sinclair.

Mais non, pas du tout.

Non, pas du tout.

À la famille à qui appartenait ce tableau.

Mais ma question est toute belle.

On ne comprend même plus la question.

De qui est ce tableau ?

De qui est ce tableau ?

Qui a pas ce tableau carrefour à sa noix ?

Peacock.

Ah, c'est le titre carrefour à sa noix ?

C'est le titre.

C'est un magasin carrefour à sa noix.

Donc le carrefour à sa noix existait...

Un impressionniste.

Un impressionniste.

Un post-impressionniste.

Un post-impressionniste.

Un post-impressionniste.

Je ne suis pas sûr qu'on puisse le classer

non parmi les apprécassos.

Un fou.

Un fou.

Un abstrait.

Non, pas abstrait.

Est-ce que c'est un français déjà ?

Alors, c'est les abstraits.

Ils peignent pas les carrefours.

Et non, ils peignent un visage.

Et on dirait un carrefour.

Il est relativement récent,

parce qu'il n'y avait pas des carrefours

à l'époque de Léonard de Vinci.

C'était Mahmoud.

Non, mais pas Léonard de Vinci.

Il est mort en 1955, ce peintre.

Laurent, il est français.

Buffet.

Chagal.

Il est mort dans les Landes.

D'ailleurs, il était lui-même le fils

d'une artiste peintre.

Ah bon ?

C'est une lignée.

Pardon.

C'est une lignée, donc.

Ah, Toulouse-Lotrec.

Non, non, non.

Bonne arrovie hier.

Non, non, non.

Il est mort à 71 ans,

à l'hôtel Splendid de Dax,

où il était en cure avec sa femme.

Von Dongen.

Von Dongen.

Von Dongen, non.

C'est un peintre, effectivement,

qui a peint ce carrefour de la ville

de Sanois, dans le Valdoise.

Un carrefour entre le boulevard Charles de Gaulle

et la rue Clémenceau.

Il fallait le dire tout de suite.

Mais ça va pas nous aider.

Car four, il a peint entre 36 et 37, vous voyez.

Il a peint entre 36 et 37 ans,

ou 1936 ?

Entre 1936 et 1937.

Il a peint un autre chose.

Albert Marquet.

Ah, il a peint plein d'autres choses.

Je ne l'avais jamais proposé.

Il a peint chasseur.

Il faut pas.

Est-ce qu'on sait pourquoi il a peint ça ?

Il a peint la rue Lepic,

le moulin de la galette.

Utrilo.

Pardon.

Utrilo.

Utrilo.

Bonne réponse de Laurent Dutch.

Il vous a piqué la réponse.

Vous aimez bien lui...

Non, il ne fait que des croutes.

Il ne fait que des croutes, Utrilo.

C'est horrible, Utrilo.

C'est le pire de tous.

Ah oui ?

C'est un laborieux.

Quand il fait un mur,

il est obligé d'y reprendre 14 fois.

Il n'y a pas d'élégance victoire.

C'est la toute la différence avec Marquet.

Ah oui ?

Ah non.

Utrilo, si on veut apprendre

ce que c'est que la mauvaise peinture,

on y va.

Tant qu'à faire, si je veux apprendre,

je préfère commencer par les bons.

Voilà.

Et tout d'un coup,

très vite, quand on ne se rend plus compte

que c'est si bon,

on met un nutriot.

Moi, souvent, j'ai un nutriot

d'ailleurs dans ma sacoche,

dans mes conférences,

pour dire, regardez la différence.

Et par exemple, sa mère, alors,

Suzanne Valladon.

C'est de la merde.

Ah, c'est le Jean-Pierre Cove de l'art.

Parce que sa mère n'était peintre aussi.

Oui, d'accord.

Ok.

D'accord.

Ça ne se transmet pas de mère en six ?

Non, ça ne se transmet pas.

Elle n'était pas bonne non plus.

Ah, mauvais joueur.

Et bien, si sa petite fille nous écoute,

on t'embrasse.

Donc, on a quand même rendu le tableau,

vous voyez ?

Peut-être qu'il l'a rendue

parce qu'il s'en voulait plus, alors.

Ah oui, donc...

Mais je trouve ça génial,

quand des années après,

des oeuvres spoilées

sont rendues aux personnes

auxquelles elles appartenaient.

Non, mais c'est formidable.

Spoilées.

Vous avez spoilées.

Spoilées.

Mais c'est pas spoilées.

C'est un mélange de spoilées

et spoilées.

Ben non, c'est vrai.

J'ai mélangé.

Mais j'ai amis.

Ah, fuck you.

Mais vous avez raison,

elle a déconné, vous avez raison.

Non, mais j'ai apprécilié.

Alors, on va commencer par Maxime,

qui veut parler à Caroline Diamand.

Bonjour, Maxime.

Bonjour.

C'est votre rayon de soleil.

M'écrivez-vous un plaisir

de l'entendre à chaque fois.

Une auto-dérision folle.

Vos plus grands fourrires,

c'est grâce à elle.

Et vous dites aussi

que vous avez même appris

à aimer Jean-Phi.

Oui, ah oui.

Ah oui.

Mais les deux sont pas liés.

Au début, c'était compliqué.

Au début, pourquoi c'était compliqué ?

C'est dur.

Au exubérant.

Oui, parce que Caroline,

elle est très sobre.

Oui.

Et d'ailleurs,

Caroline m'a appris l'élégance.

Alors moi, je suis beaucoup plus sobre,

mais c'est parce que je parle

le français de Paris.

Ah, c'est ça, vous n'y mets pas l'accent.

Je dis ça,

je suis de la même région que Jean-Phi.

Ah, bah ça t'entend,

à la fin de ta phrase.

Alors en tout cas,

on va vous envoyer

évidemment une photo

de Caroline Diamant

puisqu'elle est votre rayon de soleil.

Ça a un grand poster,

un photo à place.

Vous voyez Garnica ?

Eh ben, c'est un peu pas la même taille.

Vous trouvez qu'elle pourrait être

dans un tableau de Picasso,

Caroline Diamant avec ta robe alque ?

Non.

Non, pourquoi ?

Parce que je suis bien apportionné.

Bah voilà.

Eh oui.

Bah voilà.

Picasso, c'est un expressionniste

qui, après que les fauves

aient mis des couleurs un peu outre-cuidentes

en peignant des arbres violet

et des visages verts,

eh ben Picasso, il arrive

et il fait un dessin outre-cuident

qui est très fort,

très puissant.

Mais on ne peut pas dire que...

Il me fait un compliment ?

Oui, là-dessus.

Non.

Non, qui ne correspond pas

à ma voisine, c'est tout.

Il n'est pas outre-cuident ?

Non, parce que...

Non, parce que...

Non, mais franchement,

c'est une femme extrêmement belle.

Oui, oui, oui.

Non, mais oui.

Moi, je trouve.

Je ne peux pas le dire toute seule.

Elle vous fait penser

aux demoiselles d'Avignon,

du coup,

pour reprendre Picasso.

Et c'est la calcelle du centre.

Non, non, non, non, non, non, non.

Non, non, non.

Alors si c'est pour me sortir

un rubin, si j'étais gentil.

Non, non, non, non, non, non, non.

Pas un rubin.

Pourquoi pas un rubin, ça ?

A buffé !

Vous avez de la chance

à la panier en boudin.

Pierre est en téléphone maintenant.

Bonjour, Pierre.

Bonjour, Laurent.

Ah...

Vous avez...

Merci de me reprendre

après cet épisode

du Champagne.

Quel épisode du Champagne ?

Mais oui, c'est...

Il est venu.

Avant, Pierre,

je vous ai dit que

la ligue de Champagne

était un bain.

Ah, c'est vous, Pierre.

Vous êtes le même, Pierre.

Oui, c'est le même.

Ah, mais vous l'appelez maintenant.

Vous allez appeler tous les 2 jours,

alors, Pierre.

Bah, si on me prend tous les 2 jours,

bien sûr.

Ah, mais on peut un peu d'abserve

qui n'a plus de...

Non, mais...

Il n'y a plus d'un Pierre,

donc on peut pas savoir

si c'est le même Pierre

qui a 2 jours.

Oui, c'est bien moi.

J'avais appris

qu'il y avait Isabel Mergo

dans votre émission.

Elle est avant Pierre.

Oui.

Et puis,

alors, comme j'ai marqué

dans mon mail,

j'ai été frustré

de ne pas pouvoir lui parler,

parce que vraiment,

cette femme m'inspire beaucoup.

Oui.

Elle est intelligente.

Ah, pour le finale,

je vous inspire.

Non.

Non, non, non, non.

Et puis,

et puis moi,

j'ai un petit souci.

Enfin, non, pas un souci.

Je craque pour les femmes

avec un défaut de prononciation,

un accent,

des choses comme ça.

Toujours la belle.

Donc là,

elle couche toutes les cases,

cette dame.

Voilà.

Ah ouais.

Ah ouais.

Vous avez...

Vous avez entendu la phrase ?

Le fils...

Elle couche toutes les cases,

cette dame.

Elle couche,

enfin...

Elle couche.

Elle a dit,

elle couche.

Elle couche toutes les cases,

cette dame.

Alors,

écoutez,

rappelez-nous,

rappelez-nous,

et on couchera d'autres cases ensemble.

Marina, maintenant.

Bonjour Marina.

Oui, bonjour.

Bonjour à tous.

Alors Marina n'était pas contente,

parce qu'hier,

on a plaisanté

sur certains agriculteurs.

C'est ça, Marina ?

Oh, pas content,

pire grand bon, mais...

Ah bon, rassurez-moi.

Alors,

vous n'êtes pas fâchée, fâchée.

Pas fâchée,

mais je suis pénée

pour les agriculteurs

qui se sont peut-être

un petit blessé.

Ah, lesquelles ?

Qu'est-ce qu'on a dit ?

Qu'est-ce que j'ai dit ?

Peut-être, je vais assumer.

Eh bien,

certains étaient sous-titrés,

et qu'on ne les comprenait pas.

Mais c'est la vérité,

c'est vrai.

Oui.

Vous ne regardez pas les missions,

parce que je vous jure que,

dans l'amour et dans le prêt,

il y a parfois des agriculteurs

qui sont sous-titrés.

C'est vrai.

Je n'ai pas dit

sous les agriculteurs,

pas d'amalgame,

pas d'amalgame,

il y en a qui parlent,

comme vous et moi,

puis on dit...

Il y a les deux,

voyez,

et quand je le règle,

ils sont sous-titrés.

C'est vrai.

Voilà.

On n'a rien dit de plus que ça,

voyez.

C'est-à-dire, constat.

C'est constat,

mais on n'enlève rien à leur valeur.

On enlève rien,

on enlève rien,

on enlève rien,

Ok,

quand on est au plé,

il faut prendre des pratiques pour.

Non, mais bien sûr que ça,

n'enlève rien à leur valeur,

mais maintenant,

on ne peut plus rien dire,

c'est vrai que parfois,

pas bien les chants quand ils me parlent.

Les grosses têtes avec Laurent Ruquet, c'est tous les jours de 15h30 à 18h sur RTL.

Toujours avec Isabelle Merveau, Caroline Diamant, Héctoro Bals pour la première fois chez nous,

à toute Berzingue, c'est le livre de Laurent Dodges, qui est là aujourd'hui.

Yoann Riou, Jean-François Jansen, voilà vos grosses têtes du jour.

Pour Brigitte Langlois, Madame Langlois Abuteur, Roman Surisère,

pouvez-vous me donner le nom de cette ville, d'à peu près 60, 65 000 habitants,

ville qu'on trouve sur la rivière Avon ou Avon, si on prononce...

Ah c'est à Fontainebleau ça ?

Non, non, c'est en Angleterre.

C'est en Angleterre.

C'est Strenford.

Comment vous le dites ?

Strenford.

Non, pas du tout, Strenford.

Est-ce qu'il y a une université célèbre ?

Alors, il y a une université célèbre, c'est vrai, en tout cas une école célèbre.

Avon, c'est une rivière britannique ou Avon, si vous voulez le dire à la Française,

et il y a sur cette rivière une ville en Angleterre centrale, donc dans le...

Cambridge.

Dans le comté du Warquayshire.

Cotterbury.

Une ville qu'on pourrait appeler aussi d'ailleurs la ville du Seigle.

Je l'ai, c'est là.

Et d'ailleurs, on dit vraiment sur Avon, on dit...

Non, non, non.

La ville...

Rugby, monsieur Ruckier.

Comment vous le dites ?

Rugby.

Rugby.

Bonne réponse de Laurent D'Obsche.

Vous m'auriez déçu si vous n'aviez pas trouvé Laurent, parce que c'est dans votre livre.

J'ai trouvé effectivement que Rugby, c'est une ville anglaise.

J'avais oublié que c'était le nom d'une ville au départ.

Est-ce que c'est quand vous avez parlé de Warcrocs Rhymer ?

Je me suis revu en train de galérer à prononcer ce nom-là aussi.

Et effectivement, le rugby est né dans cette ville de Rugby.

En revanche, je ne sais pas pourquoi vous dites que ça signifie la ville du Seigle Rugby.

Oui, mais c'est un mot scandinave à la base.

Ah, c'est ça ?

Oui, football, c'est mot comme ville.

Football, c'est ailleurs.

Mais rugby...

Mais c'est vrai qu'on dit que le rugby, c'est 200 ans cette année, enfin en 1821,

donc 202 ans, et que ça serait né à partir de joueurs qui jouaient davantage aux pieds

à la main.

Donc le football serait antérieur au rugby.

Et vous parlez du rugby à l'occasion des pages consacrées à Brive-la-Guyard,

puisque vous avez choisi différentes villes de France sur lesquelles vous nous racontez

tout dans ce livre à toute Bersingue,

découvrez l'histoire des villes de France à fond, la caisse.

Je suis un peu triste, parce qu'à un moment donné, j'ai cru que vous parliez du Havre,

parce que j'ai vu une tour qui ressemblait.

Ah oui, la tourpérait à Amiens.

Exactement.

C'est la même qu'on a au Havre.

La partie était antérieure, elle la précède.

Mais on avait compris, on était en fait con.

On est comme un débit.

On ne connaît pas beaucoup de choses.

On ne connaît pas l'inguisste.

Je sais que je m'appelle Caroline, mais j'ai fait un cuis.

En terceur, on avait compris que c'était avant.

Mais c'est le même architecte Auguste Péré qui a fait les meurtures.

Je vais aller au Havre, Laurent, parce que la ville de France soit première quand même.

Ah oui, parce que là, pour ville Normande, vous avez choisi Rouen.

Alors comprenez, moi je suis un peu déçue.

C'est la ville de Roland, c'est quand même du Gdormandie.

En tout cas, une autre question à laquelle vous saurez surement répondre,

et les uns et les autres,

quel artiste est mort en mettant le pied sur une mine antipersonnelle

le 25 mai 1954 ?

Français ?

Un artiste, non, pas français au départ.

Mais qu'on avait adopté chez nous en France.

Un peintre ?

Et il est mort mort ou bien il a juste perdu une jambe ?

Ah non, il est mort mort.

Mais en Indochine, le 25 mai 1954, il met le pied sur une mine antipersonnelle.

C'est pas de bol.

Il va succomber à ses blessures.

La France lui décernera, d'ailleurs,

la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieures.

Mais il s'agit pourtant d'un artiste célèbre.

Un inoventura ?

Un inoventura.

Un inoventura.

Sur une mine antipersonnelle.

Attends.

Elle croit tout ce qu'elle voit dans un taxi pour Tobruk.

C'est un écrivain ?

Non.

C'est un acteur ?

Photographe ?

Photographe, oui.

Man Ray ?

Man Ray, non.

Quartier-Bresson ?

Quartier-Bresson.

C'est un américain ?

Alors...

De l'origine américaine.

Pas non, il est né à Budapest.

Et il est mort en Indochine.

Kappa ?

Robert Kappa.

Bonne réponse !

Le Laurent d'Otch,

qui est un ami d'Ernest et Mingwei.

Il a eu une relation amoureuse avec Ingrid Bergman.

C'est un des plus grands photographes et correspondants de guerre.

Est-ce que les photographes sont des artistes pour vous, monsieur ?

J'ai dit artiste et j'aurais peut-être pas dû.

Ils ont un succès fou auprès des actrices.

C'est fou ce qu'ils emballent ces photographes.

C'est plus difficile pour un peintre.

Pourquoi ?

Les photographes, c'est toujours plus flatteur.

Tout ça, oui, ce sont des artistes.

Bien sûr.

Encore même.

Mais un cuisinier, c'est aussi un artiste.

Je n'ai pas de problème.

Après, vous avez des arts mineurs et des arts majeurs.

Tout est art.

Mais oui, tout est art en quelque sorte.

Est-ce qu'il y a un art de faire des bouquets de fleurs aussi ?

Oui.

Vous savez pourquoi ?

L'art de faire des bouquets de fleurs serait inférieur à l'art de faire de la peinture.

Mais c'est très simple.

Parce que quand vous faites un bouquet de fleurs,

ça ne peut pas être moche.

La peinture, ça peut être une croûte.

Donc, c'est plus risqué de faire de la peinture.

Et donc, on risque plus aussi de faire du sublime

qu'on n'a aucune chance avec un bouquet de fleurs.

Ah, moi, j'ai déjà reçu des bouquets de fleurs.

Mais bien sûr, c'est plus risqué de faire de la peinture.

Et donc, on risque plus aussi de faire du sublime

qu'on n'a aucune chance avec un bouquet de fleurs.

Ah, moi, j'ai déjà reçu des bouquets de fleurs.

Mais bien sûr, c'est ce qui portait sentimentalement.

Mais honnêtement, vous mettez le bouquet de fleurs

puis vous mettez après votre nom.

Non, non.

Est-ce que vous voyez mon point ?

Mon point, ce n'est pas caricatural.

Ce n'est pas de dire qu'il y a les mauvais, il y a les bons, non.

Il y a ceux qui prennent des risques.

Et ceux qui en prennent moins.

Oui.

Et c'est normal.

Du coup, les uns soient dans un genre majeur.

Mais je préfère être un grand artiste,

dans un genre mineur, qu'une merde,

dans un genre majeur.

Et ça, on ne le dit jamais.

Ça, je l'ai tenté tellement de fois de le dire à l'université.

Personne ne m'écoute là-dessus.

Il fallait que je fasse les grosses têtes pour le dire.

Et oui.

Les grosses têtes indécidées que ce serait ma tribune de philosophie esthétique.

Et ça, personne n'ose le faire.

Personne ne dit matin.

Tu l'as dit où ça ?

Aux grosses têtes.

Et alors ?

On est un peu les scientifiques.

Bon, il y a une référence.

On apprend la France.

C'est pas ça. C'est que si ça passe aux grosses têtes, ça passe.

Mais ils écoutent pas à l'université.

Moi, trois fois, j'ai essayé le professeur à l'école des Beaux-Arts.

Ils écoutent pas.

Ils écoutent pas.

Oui.

Là, je sens que je suis écouté.

RTN.

Six grosses têtes.

Cinq, cinq mille.

Tom est au téléphone.

Bonjour, Tom.

Bonjour, Laurent.

Bonjour, les bonnes têtes.

Vous êtes dans le barin.

Vous avez 23 ans, un jeune auditeur.

Vous écoutez les grosses têtes depuis combien de temps, Tom ?

Ça fait 3-4 ans.

C'est vous, d'ailleurs, dont on a eu l'ami hier au téléphone, si ma mémoire est bonne.

Oui, c'est ça, exactement.

Et oui, il nous avait écrit pour passer avant son copain.

Il vous a grillé la politesse, en quelque sorte.

C'est ça, il m'a fait la surprise.

Et du coup, j'ai entendu hier soir.

Il vous fait souvent des surprises.

En tout cas, vous allez partir, ça tombe bien.

Bandele, tous les deux.

Bandele, il a fait tes plus feux.

Un hôtel quatre étoiles.

Fréga de Provence.

Un hôtel qui surplombe la Méditerranée.

Un lieu emprunt d'une atmosphère paisible.

Ou ses journées.

Prend toutes les couleurs de la Provence.

Pour nourrir le cœur, le corps et l'esprit.

Vivez une expérience enrichissante, vivifiante,

dans l'un des plus beaux hôtels de Saint-Cyr-sur-Mer et de Bandele.

Le fameux Fréga de Provence.

Dont vous pourrez voir évidemment les plus belles photos

sur le Fréga de Provence.com.

Pour ça, il faut évidemment bien écouter mes grosses têtes.

Une seule grosse tête va vous donner une vraie info.

Toutes les autres vont vous donner des fake news.

On commence tout de suite par Isabelle Mergoche.

Écoutez bien parce que je ne le répéterai pas.

Le journaliste Bruno Chaudy lance un nouveau journal dimanche prochain.

Mais ça ne s'appellera pas le journal du dimanche.

Et pas non plus l'événement du Chaudy.

Même si c'est Bruno Chaudy qui a choisi le dimanche.

Comme jour d'achat sur les marchands de Chaudy.

Vous avez l'air surpris Monsieur Ombac.

Oui, sa mère était linguiste.

Ah oui, mais elle était portophoniste.

Johann Rieu, votre information à vous.

Alors, défaite du Paris Saint-Germain 4 à 1 hier à Newcastle.

Les supporters de l'OM ont envoyé une lettre de remerciement

au pape François qui a réalisé leur prière.

Caroline Diamant.

Enquête dans les universités.

Il n'y a plus aucun poste à raccrocher dans les chambres des étudiants.

Depuis qu'on a supprimé toutes les punaises.

Jean-Phi Jansen.

Tourné Michel Sardou.

Le chanteur sera demain sur les chantiers de Saint-Lazaire

pour chanter le France.

Il enchaînera avec les plages du débarquement pour chanter les requins.

Au siège du site d'action pour chanter la maladie d'amour.

Avant de se rendre à Barbès pour chanter, je vole.

Héctor Obayek.

Je pense que c'est la seule vraie news.

Parce qu'elle n'a rien de drôle.

Des chercheurs de l'université de Stanford

ont mené une grande étude auprès de 70 000 personnes

afin de connaître les prénoms de ceux qui ont les cuites les plus faibles.

Résultat.

Ce sont, en tête, les Jonathan suivis par les Alice,

Hervé, Manuel, Louise, Olivier et Caroline.

Désolé.

Assisiel vérifié.

Il n'a pas inventé le prénom.

Vous êtes bien dans la liste, Caroline.

En dernier.

Laurent Doche.

Interrogé par un journaliste sur son choix de Bernadette Chirac

pour réaliser un biopic sur la première dame,

la réalisatrice Léa Domenac a répondu.

J'aurais fait un court-métrage.

J'aurais choisi Valérie Trier-Villard.

Alors, qui a dit la vérité parmi toutes les grosses têtes,

Tom, c'est assez facile.

J'en suis, je n'y crois pas.

Isabelle Mergo non plus.

Ça nous fait une belle tournée,

mais ce ne sont pas dans les lieux annoncés par Jean-Fy.

Isabelle Mergo, c'est vrai, en revanche,

qu'il y a un journal qui va sortir à nouveau,

un journal qui va sortir dimanche,

un journal du dimanche ni l'événement du jeudi.

Je crois que ça va être la tribune de dimanche.

Qui d'autre éliminez-vous ?

Caroline Diamand, les punesses de l'I, j'élimine aussi.

Il faut les éliminer, les punesses de l'I.

C'était un jeu de moins au début.

Ensuite.

Rios, il ne croit pas non plus.

On n'y croit pas non plus.

Ensuite.

Du coup, il me reste sur le bal.

Je n'ai pas bien compris l'histoire de Bal.

Qu'est-ce qui se passe ?

Elle a raché sur le caséau par le dé.

Avec un peu plus de rythme.

Je répète.

Les chercheurs de l'université de Stanford.

Stanford ?

Non.

Non, pourquoi non ?

Parce que soit vous dites Stanford, soit vous dites Stanford.

Ah !

Oui, oui.

Ça va, ça va, ça va.

J'essaye de me faire, de bien me faire voir, là.

Là, c'est horrible, c'est horrible.

Le type, je sais pas,

j'essaye le type qui cherchait l'amour partout

et à chaque fois, il arrive pas.

Je peux pas vous écrire un petit résumé de la raison pour elle.

Non, non, arrêtez.

Soyez indulgente.

Donc, à Stanford, ils ont mené une grande étude

auprès de 70 000 personnes

afin de connaître les prénoms de ceux qui ont

les cuites les plus faibles.

Donc en tête des cuites les plus faibles.

Bien, j'en attends.

Ce qui est une évidence.

Et puis les moins faibles, c'est-à-dire les plus forts.

C'est carré.

Il commence à comprendre comment ça fonctionne.

Voilà.

En fait, les cuites les plus faibles

seraient les personnes qui ont les prénoms je n'attends

à l'iservé Manuel-Louise-Olivier et Caroline.

Je pense que c'est la vraie news.

Mais oui, c'est la vraie news.

Et oui, les timotées, les Juliens,

ont un faible cuit aussi.

Et bien, Tom, lui, la preuve qu'il a intelligence,

qui part à Bandol à l'Hôtel Fréga de Provence

pour trois jours.

Bon, c'est jour là-bas.

Parlons maintenant d'un grand tableau.

Je suis sûr que vous ne me contredirez pas,

Monsieur Obalc.

Non.

Une œuvre de gêne de la Croix.

Non, la liberté guidant le peuple.

Tout le monde connaît évidemment

cette magnifique toile.

Une toile qui était absente du Louvre

pendant des années et qui va être absente

jusqu'au printemps 2024.

D'habitude, elle est exposée

dans une des grandes salles rouges du Louvre

aux côtés de deux autres grands tableaux de de la Croix.

Là, n'y aller pas en ce moment au Louvre

si vous voulez voir la liberté guidant le peuple,

puisque elle n'y est plus pour restauration.

Mais vous pourrez voir deux autres tableaux de de la Croix.

La prise de Constantinople par les croisés

et la mort de la mort de qui ?

Napoléon.

Je le dis ou pas ?

Bien sûr.

Parce que moi, c'est très facile.

Pour moi, c'est trop facile.

Je veux pas abuser à chaque fois que je connais un truc

et que je veux le dire.

Mais comme j'aime beaucoup madame,

je vais souffler la réponse.

Il me semble avoir compris Sartanapal.

Qu'est-ce que...

Sartanapal, la mort de Sartanapal.

Et c'est même pas répéter ce qu'il lui dit.

La mort de Sartanapal.

Bonne réponse.

C'est une très belle mort.

C'est une mort horrible et totalement inique

d'une créauté totale,

puisque le type ne fait pas que se suicider.

Il pense qu'il peut pas survivre à son royaume

et il décide que le royaume doit se suicider.

Donc il fait égorger toutes les femmes

qui l'entouvent par ses propres esclaves.

Les autres esclaves sont aussi égargés par les esclaves

et il se dit, avec moi, c'est fini.

Après moi, il déluge.

Après moi, il déluge.

Après moi, il déluge.

Après moi, il déluge.

Après moi, il déluge.

Après moi, il déluge.

Il segnait quelque ...

Sardanapal.

C'est d'ailleurs en ce même devenu

une question des grosses têtes mémorables,

parce qu'à l'époque, Jean Yann

et Jacques Martin, c'était beaucoup moqués

de Philippe Bouvard,

parce qu'il leur avait posé une question

sur ce que voulait dire le terme sardan.

ос, je n'arrive même pas à le dire,

sardanapalesque parce qu'il y a un objectif

qui est dérivé du nom de ce roi,

effectivement légendaire,

roi & légendaire d'Assyrie,

qui s'appelait Sardanapal

et aux gènes de lacroix à effectivement

pas la mort de Sardinia Pâle, c'est une excellente réponse de notre nouvelle grosse tête.

– Épée par Carole-Huigamand !

– Une autre question, et cette fois ce sera une question littéraire pour Sébastien Pito,

qui habite le Vigin en Haute-Vienne. En effet, vient de sortir un nouveau roman signé Luc Adrien,

alors il paraît qu'il est assez drôle, même si c'est une biographie, alors on a fait une biographie amusante,

c'est aux éditions Émanuelle, 310 pages consacrées aux Chevaliers sans armure.

C'est le titre de cette biographie, mais qui est le Chevalier sans armure,

que nous raconte Luc Adrien dans son nouveau roman ?

– Ils étaient tous sans armure une fois qu'il l'enlevait.

– Oui, d'accord, bon, enfin, alors là, vraiment, alors écoutez.

– Est-ce que c'était un prêtre, un homme d'église ?

– Pardon, un homme d'église.

– Un homme d'église, c'est quelqu'un qui voulait être chevalier,

qui était parti pour faire la guerre et qui a renoncé au dernier moment

et qui est devenu effectivement un homme d'église.

– Et on dit la bégnagnin ? – Non, on dit Mazarin.

– Mazarin, non.

– On est pas dans les croisades, on est XIIIe siècle ?

– Ah non, on n'est pas dans les croisades.

– On n'est pas dans les croisades. – Mais on est quand même au XIIIe siècle.

– Mais pas dans les croisades. – Il est sans armure, très bien.

– XIIIe siècle. – Il est connu sur...

– Oui, il a descendifié.

– Ah, oula là, Saint-François d'Assise.

– Saint-François d'Assise, bonne réponse !

– Il voulait être chevalier au départ, il était parti pour être chevalier

et puis finalement il a pris l'arôbe plutôt effectivement que...

– L'arôbe de Bure, il a pris finalement... – Oui, il a pris...

– On le reconnaît d'ailleurs dans les tableaux

parce que c'est le seul saint qu'à l'arôbe de Bure.

– Non mais il y a l'origine des ordres menduants surtout,

c'est lui qui est france-sacan et tout ça, c'est...

– Saint-Dominique, tout ce qui a renoncé aux richesses de l'épisme...

– Et d'ailleurs, on prête l'histoire de Saint-François à Saint-Dominique,

réciproquement, c'est de vous dire combien la géographie, c'est-à-dire la vie des saints,

c'est n'importe quoi à côté des évangiles qui, elles, sont sérieuses.

– Effectivement. – Ah mais moi je me suis arrêté à Moli.

– Et l'arôbe de Bure, c'est la cagoule, c'est ça, non ?

– Oui, c'est ça, et surtout les cagoules. – Des soirées privées, ne nous regardez pas.

– C'est la cagoule et le fouet, oui, c'est ça, t'as raison.

– Eh, moment. – C'est les claquettes sur les cartons.

– Il va voir le... – L'accord de les claquettes.

– Il y a deux histoires qui sont juste similaires, c'est trop drôle,

je voudrais créer l'ordre, l'ordre de, dans le cas de Saint-Dominique,

les Dominicains, dans le cas de... – Des Franciscains.

– De France et des Franciscains.

Et le pape, il y a autre chose à faire, il dit, je vais réfléchir au problème,

je vais dormir là-dessus, il dort là-dessus.

– Avec un enfant de caisse. – Et dans sa tête,

il y a son église qui s'écroule, son église s'écroule,

et dans son rêve, il voit Saint-Dominique qui retient l'église afin qu'elle tombe pas.

C'est vous dire que c'est naïf, comme histoire.

Là-dessus, il se réveille, il va voir Saint-Dominique, il dit, OK, c'est bon.

– C'est la chute.

– C'est incroyable.

– C'est incroyable. – Il s'est basé sur un rêve.

– Le niveau de naïveté de l'histoire des saints, c'est autre chose que celles des Évangiles.

– Mais c'est imaginaires, c'est important comme l'imaginaire et d'eux.

On sait très bien que ce sont des légendes, tout ça, les histoires de saints.

– Oui. – Non.

– Surtout pour vous.

– Alors que je les adore, on fait ça.

– Je les adore.

– Parce que le voile qu'on puisse dire, c'est,

vous n'avez pas dit au revoir beaucoup.

– Ça fait 5 ans, maintenant.

– Ça fait 7 ans.

– Ça fait...

– Ça fait 7 ans.

– Je suis content, parce qu'enfin, je vais pouvoir parler.

J'ai pas dit un mot depuis 45 minutes.

– Ça fait 5 ans que vous n'avez pas vu de poitrine.

– En fait, c'est extraordinaire, Laurent, parce que

j'ai démarré au Grosse-Tête vers le 22 ou 23 février 2019,

et en fait, ma dernière fois, c'était 10 jours avant, depuis que je suis au Grosse-Tête.

– Mais ça, ça portait la poids.

– Personne ne me veut.

– Ah, mon avis, il m'écoute trop, il ne se sait pas.

– C'est pas complètement de notre faute, hein.

– Je pense pas que les deux soient liés, tu sais.

– Je ne pense pas qu'il y ait que ça.

– Est-ce que Laurent...

– Cela dit, il est parti en vacances avec ta mère,

et vous avez partagé la chambre.

T'as pas vu cet été, hein ?

– Est-ce que Laurent, vous voulez me virer

pour que je retrouve l'amour ?

– Oh, s'il n'y a que ça !

Allez, on vote à malheure !

– Les places sont de plus en plus chères, ici.

– Alors, monsieur Obac, c'est très important.

Vous êtes la 51e grosse tête de la saison,

et Carlis Gamand est en tête avec 10 participations.

Alors, Philippe Geluc est deuxième, 7 participations,

Thoen, troisième, septième.

7 participations, mes recettes.

Alors, Isabelle, t'es pas mal, Isabelle.

6 participations pour l'instant,

avec Bère Larmaby, beau grand, et le carat.

Et moi, je suis 5...

– Oh, t'en as plus que moi.

– Avec...

Alors, moi, j'ai 5 comme vis-de-règle.

Attends, je n'arrive pas à me relire.

Madame Bachelot, monsieur Claudelle, As, et Jean-François Jancen,

on a 5...

– Vous comptabilisez.

– Et regardez, t'es...

– Il n'a pas de vie.

– Mais regardez.

– C'est vrai que tu ne touches pas de ça.

– Regardez, tous les jours, j'ai vous montré, l'homme.

– Le mec, depuis qu'il chopput, il compte.

– Comme les prisonniers, tu sais, je fais des petits croix.

Je fais des croix.

– Il est cinglé à ça.

Ça tueur en séries, je te dis.

Depuis là, rentrez.

– Alors, Yacube, il y a 3 croix.

– Je vais vous dire, il avait...

Là, j'en ai vu des écrits de cinglé.

Il a une vraie écriture de psychopathe.

Vous êtes un peu surpris, monsieur Obal.

– Dans la vie normale,

vous commentez le match de foot, c'est ça ?

– Oui, je commente le match de foot.

– Il commente les matchs.

Moi, je l'ai découvert à Yohan comme ça.

Il commente les matchs, mais on ne voit pas le match.

On voit Yohan commenter le match.

– Magnifique.

– Mais ça, c'est passionnant.

– C'est une oeuvre conceptuelle.

– C'est ça.

– C'est joli, il m'en dit.

– Mais moi, j'appelle ça un armajeur,

parce que si je t'ai bien écouté tout à l'heure,

il a pris un sacré risque pour faire ça.

– Ah oui, il commente les matchs,

sans les images.

Qu'est-ce que vous vouliez nous dire ?

– Pour être majeur, il faut deux choses.

Il faut d'abord le risque du ridicule,

et là, il l'appuie.

– Là, on est en...

– On est en avec des chansons.

– Et moi, je dis, bravo, s'il en a réchatté.

– Il veut si au balle qu'il faut...

– Attendez, c'est pas fini.

Il faut un deuxième point.

– Allez-y !

Allez-y, accouchez !

Je vous adore, mais...

– Il est ecstatique, parce qu'on parle de lui.

– C'est le fleur avec le sublime.

Et là, on en est loin.

– Une question maintenant pour Monsieur Coddy,

qui habite.

Morge, calmez-vous, Rio.

Il est jaloux de vous, j'ai l'impression.

– Oui, il est en contraire.

Non, parce que je le connais un petit peu.

– Monsieur O'Balc.

– Et vraiment, vous avez un art de...

Comment dire ?

Vous faites des vidéos extraordinaires sur des tableaux,

et vous nous faites aimer l'art,

parce que vous êtes didactique et pédagogique.

– Toi aussi, tu fais aimer l'art.

Mais non, c'est que vous n'êtes pas du tout pédant.

– Et il est plus bacon que Carpaccio.

– Qu'est-ce qu'on rigole, monsieur ?

– Ah oui !

– Monsieur, qu'est-ce qu'on rigole ?

– Qu'est-ce qu'on rigole, monsieur O'Balc ?

– On va oublier la peinture pour la comédie musicale.

– Ah !

– Tout le monde peut répondre.

Westside Story, exactement,

qui va être joué à nouveau au théâtre du Châtelet,

à partir du 20 octobre et jusqu'au 31 décembre,

profitez-en, il paraît que vraiment la nouvelle mise en scène

est extraordinaire, et surtout, elle est proche de l'original.

Donc, c'est vraiment Westside Story dans son jus,

évidemment, avec des nouveaux chanteurs, des nouveaux danseurs.

– Ah ben oui, parce que l'ancien d'origine...

– Mais si les chanteurs dans son jus...

– Le grand écart, je vais vous dire,

faut une grue pour les relais, à mon avis.

– Ben voilà, mais c'est en quelque sorte,

c'est Romeo et Juliette à New York,

hein, Westside Story.

– Oui, oui, oui.

– Moi, je connais Ad like to be in America.

Ad like to be in America.

Oui, ben ça, après, c'est pendant deux heures.

Je sais pas, j'ai toutes les missions pour.

– Ma question est toute simple.

Est-ce que vous vous rappellerez du nom des deux bandes ?

– Jets, les Jets contre les Charts.

– Les Jets contre les Charts.

Bonne réponse !

De Laurent Deutsch et de Caroline Diament.

Une autre question culturelle et cinématographique.

Il y a plusieurs pages consacrées à Jean Cocteau

dans Paris Match aujourd'hui.

Cocteau, dont on célébrera le 11 octobre prochain,

les soixante ans de la disparition,

puisqu'il est mort le 11 octobre 1963,

comme Piaf, effectivement, vous vous rappelez très bien,

que l'un et l'autre sont morts le même jour,

même si on a triché sur la date de la mort de Piaf.

– Puisque maintenant, on sait qu'on la ramenait morte

durant la nuit.

– Exactement, et les mortes en province,

et on la ramenait à Paris.

On a retenu la date, effectivement,

qui est le même jour que Cocteau,

alors que normalement, je crois, elle est morte la veille.

Le 11 octobre 1963 donc disparaissait Jean Cocteau.

Il y a des superbes photos dans Paris Match,

où on voit Cocteau, alors par exemple là,

avec Colette, l'écrivaine Colette,

avec Coco Chanel, là,

on le voit porter dans ses bras après le triomphe

des 400 coups de François Truffaut.

On est en 1959, il porte le jeune Jean-Pierre Léo en triomphe.

On le voit avec Salvador Dali,

avec Charlie Chaplin,

il y a une photo étonnante de Jean Cocteau avec Chaplin.

Et puis on le voit aussi sur le tournage de la belle et la bête,

avec Jean Marais, qu'on ne reconnaît pas,

parce qu'il a son costume de la bête.

Mais est-ce que vous souvenez du nom de l'actrice qui jouait la belle ?

– Oui.

– Elle n'a pas été une des épouses de sa jaguiterie ?

– Non, pas du tout.

– C'est pas une actrice majeure, alors qu'il y a fait...

– Oh, qu'est-ce que vous appelez une actrice majeure ?

– Il y a eu des films.

– Qu'est-ce que vous dites ?

– Qu'est-ce qu'il y a plus de 18 ans ?

– C'est pas Mylène de Mongeau, quoi, c'est pas...

– Oui, c'est vrai que c'est une bonne définition d'une actrice majeure.

– Myceline Prelle, Daniel Daryeux...

– Non, mais je pense qu'elle s'appelait Madeleine.

– Non, vous pensez à Madeleine Robinson,

ou Madeleine...

– Non, c'est pas une Giselle, ni une Madeleine.

– Une Françoise, peut-être ?

– Françoise, non plus, non.

– Une marguerie.

– Une Française, oui.

– Je vois un M.

– Non, non, non.

– Je vois un M.

– Morissette.

– Non, non, non.

– Est-ce qu'elle a gagné un grand...

– Elle a fait beaucoup de films après, ou pas ?

– Alors elle a fait pas mal de films, quand même.

– Elle a fait carrière.

– C'était pas une Daniel Daryeux.

– Elle n'a pas fait la même carrière

de Daniel Daryeux ou Michel Morgan.

– Je connaissais son nom, mais je vais vous dire,

quand j'ai recherché ça en voyant la photo, vous dites qui ?

– Fuziégir.

– Non, alors c'est pas elle.

– Je la connais pas, mais c'est pas elle.

– Fuzi.

– Quand j'ai vu son nom, je me suis dit,

ah ben oui, bien sûr, mais en revanche,

son nom ne me serait pas revenu.

La preuve, c'est qu'en voyant la photo dans Paris Match,

et celui qui aurait pu au moins mettre le nom de l'actrice,

je me suis dit, mais comment elle s'appelait

celle-là qui jouait la belle ?

– Je tente un truc.

– Allez-y.

– Jacqueline Sauvage, ou Jacqueline Quelquechose.

– C'est pas une Jacqueline.

– Jennifer Aniston.

– Non, non.

– C'est un prénom ancien, c'est un prénom un peu désolé.

– Ah oui, un prénom.

– Ah non, elle s'appelait Nabila.

Bien sûr que c'est un prénom.

C'est Kevinin, je crois.

– Elle a joué dans la pocharde en 1921.

– Ah oui, la belle, elle a pocharde.

– Elle a joué dans le muet,

puis après évidemment, elle est passée au parlant,

quand même.

– Elle s'appelait comment dans le muet ?

– Elle a joué dans les parents terribles aussi de cocteau, vous voyez.

– Ah mais oui.

– Il n'y a pas de fusil dans l'air.

– Du fusil de l'air.

– Ah non, il n'y a pas de fusil dans l'air, comme vous le dites.

– Est-ce qu'elle n'avait pas un énorme point de beauté sur le...

– Ah, pensez à Dani Quelquechose.

Non, non, non.

– Eh...

– Dani Robin.

– Dani Robin, non, non, non.

– J'ai le casat dessus.

– Elle a joué dans French Cancans avec Jean Gabin.

– Elle n'a pas joué dans French Cancans, je ne crois pas.

– Elle était vraiment belle.

– Elle a joué dans Bibi la purée, dans une...

– C'est quoi, Bibi la purée ?

– Non, non.

– Elle n'a pas le droit de regarder ces films-là quand j'étais pris, moi.

– Non, non, mais c'est une actrice.

– Elle a joué dans Lucresse Borgia d'Abalganse.

– Oui.

– Alors je vais vous la décrire, Laura, est-ce que ça va vous aider ?

– Elle est blonde.

– Elle a la peau diafane, même si c'était du noir et blanc.

– Elle est blonde, c'est vrai.

Elle a l'air blonde.

– Oui, elle est blonde.

Elle est blonde.

Elle a le visage un peu carré.

– Non, non.

– Ou elle...

– Ou elle...

– Tu te moques de moi ?

– Oui.

– Ça, ça peut vous aider beaucoup.

Elle est devenue la compagne de Marcel Pagnol jusqu'en 1944.

– Ah, donc il a créé un personnage à partir de son nom.

Donc elle s'appelle...

– Auraine de Basis.

– Ah, c'est pas mal parce que c'est vrai qu'elle a joué avec Pagnol,

mais ce n'est pas elle.

– Garance, quelque chose ?

– Garance.

– Ah non, ça, vous confondez avec Arléti, vous, évidemment.

Mais non, ce n'est pas Arléti, non.

– Garance, c'est le nom de...

– C'est très dur, le question.

Est-ce qu'elle est vraiment belle ?

– Oui, oui.

Mais elle a joué effectivement dans la fille du puisatier de Marcel Pagnol.

C'est normal, c'était sa compagne.

– Est-ce que son prénom est lié à une région ou peut-être liée à un petit peu ?

– Son prénom est un vieux prénom...

– Josette.

– Josette, oui.

– C'est Josette.

C'est Josette.

– C'est vrai que c'était Josette.

– Attendez, Josette Garcia.

– La paix de Josette.

– Josette Garcia.

– Josette Garcia ?

– Non.

– Alors Josette Garcia.

– Elle avait un nom à tourner dans le jour le plus long.

– Josette Tardive.

– Je vous aide.

– Non, sans fin.

– Josette Débarquement.

– Non, non.

– Josette Epilogue.

– Josette Normandie.

– Non, non, non.

– Ah, Josette.

– Josette.

– La 25e heure.

– Pourquoi vous dites « on trouvera pas » ?

Faut pas vous décourager comme ça, M. Elbac.

– Oui, nous on perd jamais espoir, hein.

– Ah, Josette Trépus.

– Elle aurait pu tourner dans le jour le plus long.

Il y a un lien qu'elle Normandie.

– On trouvera.

– Josette Douglas.

– On resrèche près huit heures.

C'est comme ça parce que c'est ça, le nouvel radio.

Pour les médias, vous voyez, c'est un truc où vraiment,

on cherche de trucs et on y reste.

Et toi, quand on n'a pas trouvé, on restera.

Pourquoi dites-vous ça, M. Obal ?

C'est quand même un croyant, quand même.

Vous n'avez pas compris que c'était sérieux ?

– Il nous met un gong.

– Oui, c'est juste.

– Il nous met un gong, il veut corriger.

Oui.

– J'allais lâcher ça.

– Non.

– Vous êtes Débarquement.

– J'ai aidé l'animateur, comme je pouvais.

Gentiment.

On ne trouvera pas.

Puis après, il dit, bon, allez, le gong, on va trouver.

Eh ben non.

– Il n'a pas compris que j'utendais la main.

Pas gentil, c'est vrai.

– Ben peut-être quelqu'un dans le public

aura la réponse.

Regardez des mains solaires.

– Je vous êtes auto-mayeur.

– Oui, ben non, on viendra tout de suite.

– Il n'y a pas beau bien.

– Je vous êtes clairement féroce.

On peut y aller, hein.

– Je vous êtes déparéé.

– On vient de donner 300 euros

et on va donner 100 euros de plus.

M. Rihoud, allez dans la salle.

– Bonjour, monsieur.

Comment vous vous appelez ?

– Christian.

– Alors Christian, c'est quoi votre réponse ?

– Je vous êtes Dé.

– Je vous êtes Dé.

Bonne réponse.

C'était la belle, dans la belle et la belle.

– C'est un pseudo.

– A l'FPL et le livre du jour.

– A le livre du jour, c'est un livre

auquel j'ai apporté une légère participation,

mais le véritable auteur,

il sera au téléphone dans un instant.

Il s'appelle Thomas Louis Novillo.

Et puisque votre maman est linguiste,

vecteur au balc,

eh bien lui aussi,

c'est quelqu'un qui est spécialiste

de la langue française

et plus particulièrement,

même des expressions de la langue française,

puisque le livre s'appelle

Bon pied, bon oeil,

150 drôles d'expression

pour amuser ou épater la galerie.

C'est aux éditions le Robert.

On aura monsieur Novillo

dans un instant au téléphone.

Mais par exemple,

on apprend dans ce livre

d'où vient l'expression

sans dormir sur le roti.

Expression qui n'a rien à voir

avec Geoffroy Terrage.

Mais qui était Geoffroy Terrage ?

– Je peux préférer répondre

sur le roti, moi.

Alors le roti, c'est une partie.

– Il était bouché ?

– Bouché, non.

– Ah, il était bouché ?

– Oui, oui.

– Un agriculteur ?

– Je sais ce qu'il était.

– Allez-y.

– Il était pas bouché,

mais il coupait la tête

des gens sur le bûcher.

– On se rapproche.

– Il était un bourreau.

– Il était un bourreau.

– Et qu'est-ce qu'il a fait Geoffroy Terrage ?

– Il a coupé la tête de Louis XVI.

– Non, non, non.

– Il a coupé le roti de...

– S'endormir sur le roti.

– Alors il s'est endormi.

– Ah, il n'a pas, justement,

il n'a pas coupé.

Il s'est endormi.

– Il s'est endormi.

– C'est pas lui qui a acheté Jeanne d'Arc, pardon.

– Il s'est reparé, il a eu le jouet.

– C'est lui qui a tué Jeanne d'Arc.

– C'est le bourreau de Jeanne d'Arc,

habane, réponse de Laurent Dott.

C'est lui qui, en 1431,

a allumé le feu du bûcher

sur lequel se trouvait Jeanne d'Arc.

Non, justement, c'est ce que je mets.

Ce n'est pas de jeunis à l'idée,

c'est Geoffroy Terrage.

Mais d'où vient la vraie expression

s'endormir sur le roti ?

Bonjour, Thomas Louis Novillo.

– Bonjour, Laurent.

Bonjour à toutes les grossesses.

– Bonjour.

– C'est Bill Zola qui l'utilise

dans le livre « L'achomoir », c'est ça ?

– Oui, exactement, oui.

Alors, Zola l'utilise dans « L'achomoir »,

mais on retrouve l'expression un peu au XIXe siècle.

Le roti, c'est le milieu du repas.

Donc, c'est vraiment le moment à le paraquer.

C'est la belle pièce de viande.

Et vers 1850, on commence à rencontrer l'expression

dans le sens d'un repos fautif après un succès.

Un peu comme s'endormir sur ses lauriers.

L'image du roti est un peu plus alléchante.

– Bon, alors, il y a des tas d'explications comme ça,

avec que parfois, il faut bien le dire,

des expressions plus désuètes qui ont totalement disparu.

Ce cahier-les-miches, ça, on le dit toujours, évidemment.

Vous souvenez de l'origine de ce cahier-les-miches ?

– Oui, ce cahier-les-miches, en fait, cahier, c'est coagulé.

C'est-à-dire, il faut imaginer le sang qui se signe,

tellement on a froid.

Et les miches, bien sûr, c'est l'image d'effaces.

– Ce qu'a c'est la nénette ?

– La nénette, ça daterait du début du XXe siècle.

On a le mouchis, notamment.

– Et vous dites que ça vient de comprenaître, peut-être ?

– Exactement.

– En fait, c'est se casser la comprenaître.

Et ça a été transformé en se casser la nénette.

Rien à voir.

Alors, ça, c'est moi qui ai ajouté ça.

Rien à voir avec le sexe féminin, monsieur.

Parce que je suis sûr que vous avez pensé à ça,

Jean-François Jansen.

Rien à voir avec le sexe féminin.

À ce point-là, vous préférez vous casser le cul, monsieur.

– Monsieur Jansen, que vous cassez la nénette.

C'est plus trivial.

Mais moi, c'est valable pour les deux sexes se casser le cul.

Le mieux étant encore de se fendre la gueule,

sans que qui que ce soit, vous casse les couilles.

Voilà, en gros, comment Monsieur Novillo et moi,

on essaie de revoir les expressions.

Mais vous, vous faites un vrai travail de recherche,

hein, quand même, Monsieur Novillo.

– Oui, bien sûr.

Ça demande pas mal de recherche dans psychopédie

d'aller voir des vieux dictionnaires.

Et c'est bien ça le problème.

Parce que quand on demande à Laurent Ruquier d'avoir une blague,

il en a trois, avant de même,

qu'on ait le temps de revoir un psychopédie

pour chercher l'origine de l'expression.

– Oui, mais moi, je dis que des conneries,

alors que vous nous donnez les vraies origines.

Ça, je connaissais pas celle-là.

Ça l'a pris comme un lavement.

Ce qui veut dire ça l'a pris brusquement.

– Oui, on en fait.

C'est brusque, ça.

– Ça vient d'où ça, ça l'a pris comme un lavement.

– Oh, bah ça vient de l'hôpital.

– On imagine l'image de la chose qui sort rapidement.

– Mais attendez, je n'ai jamais entendu ça.

– Ça l'a pris comme un lavement.

– Alors, moi, j'ai donné mon explication.

Moi, j'ai écrit, c'est une expression très courante.

Rester dans les annales,

parce qu'employé pour la première fois

dans le célèbre roman Les Clistères de Paris.

L'histoire d'un diariste interrompu en pleine écriture

par un ami médecin,

venu lui proposer de prendre une petite poire.

Mais ça, c'est la version fausse, évidemment.

Ça vient d'où, alors, ça l'a pris comme un lavement ?

– Eh bien, ça vient tout simplement de l'image

de la vitesse à laquelle le transit de la personne malade

ou de la personne qui suit un lavement

peut, on peut l'essayer d'imaginer, voilà.

– Honnêtement, je n'ai jamais entendu à l'envoi.

Autant, j'ai entendu l'expression un peu vulgaire.

Non, il est parti comme un paix sur une pensée,

qui n'est pas non plus très élégante,

mais qui est... – On a bien l'image, on a bien l'image aussi.

– Voilà, on a bien l'image.

Et par exemple, ne pas avoir les yeux en face des trous, c'est quoi ?

– Je peux te montrer.

– On va laisser...

On va laisser nos auditeurs...

– Oui, on va laisser une part d'imagination à nos auditeurs.

– On va laisser nos auditeurs découvrir Bon Pied Bonoil.

C'est aux éditions Le Robert, c'est le dictionnaire Le Robert

qui publie ses 150 drôles d'expression pour amuser la galerie.

Et c'est écrit essentiellement par Thomas Louis Novillo.

Ne loupez pas Bon Pied Bonoil qui sort aujourd'hui.

Une question qui devrait permettre à Laurent Deutsch et à Hector

au balt que de réunir leur science à l'un et à l'autre

pour trouver la réponse.

– Et non réunir quoi, non réunir.

Reunir autour d'un verre, là.

– Parce que c'est à la fois de l'histoire et de la peinture.

En effet, c'est un peintre à qui François 1er a confié une somme d'argent.

– Non, pour qu'il lui achète des oeuvres d'art.

Et finalement, une fois rentré chez lui en Italie,

il a retrouvé son épouse et puis avec l'argent,

plutôt qu'à acheter des oeuvres d'art pour François 1er,

il a dépensé tout l'argent pour se fabriquer

et pour se faire construire une maison à Florence dans sa ville

de quelle peintre s'agit-il.

– Alors ça doit être… – Michel Ange.

– Michel Ange, non.

– Le Caravage.

– Le Caravage, non.

– Titien.

– Titien, non.

– Raphaël.

– Grosfiens.

– Vous faites les tableaux de légumes, là.

– Pardon.

– Mais pas celui qui fait les tableaux de légumes.

– Archiboldo.

– Oui, pardon.

– C'est pas le même moment.

– Qu'est-ce que vous dites ?

– C'est un sec, putain.

– Oh, tabac.

Alors…

– Déjà, il dit un peintre.

Nous, on est très fiers de vos juges.

– Il dit les légumes et on comprend.

– Courage.

– Comment vous dites ?

– Courage.

– Non.

– Celui qui remettait le slibard.

– Comment ?

– El braguetto.

– El braguetto.

– Non, non, non.

– Il a fait quelques oeuvres, ça peut vous donner…

– Mais on est…

– Moi, ça m'aidera pas, mais ça aidera sûrement Hector et…

– Il a peint la Madone d'Harpie.

– Un sartot.

– Sartot.

– Bonne réponse.

– Ce mec, ça l'aidera.

– Andrea.

– Je vous explique très vite.

Andrea Del Sarto, c'est un peintre qu'on appelle maniériste.

Ça veut dire quoi, maniériste ?

Ça veut dire qui vient, après toute la renaissance,

où tout le monde sait tout faire et tout le monde sait très bien peindre.

À ce moment-là, chaque artiste se distingue autrement

que par un truc technique, mais par une manière.

Et la manière de Sarto, elle est floue.

Elle est floue trois siècles avant les Impressionnistes,

et elle est géniale.

Voilà Sarto.

– Ah bah écoutez, ça, c'est bien résumé.

– Moi, j'adore, je ressens son.

– Qu'est-ce que vous dites ?

– Les chansons de Sarto, je veux dire.

– Et Michel Sarto.

– C'est pas Michel Sarto, c'est Andrea Del Sarto,

de son vrai nom d'ailleurs.

Andrea Daniello di Francesco di Luca.

Andrea Daniello di Francesco di Luca di Paolo di Megli o Vanucci.

Il avait un nom à rallonge.

– On est d'accord, c'est un escrore, le mec.

– Pourquoi ?

– Il a pris de l'argent à François Ier.

Pour soi-disant acheter des oeuvres d'art, il se fait une maison rire.

– Non, c'est floue, il y a un loup.

– Victor, est-ce que vous allez oubliser quasiment tous les jours

pour ne pas refaire votre connaissance ?

– Tous les mardis, parce que sinon, il y a trop de monde.

– Tous les mardis.

– Pas le mardis s'est fermé ?

– Justement, c'est pas pour lui.

– J'ai passé 20 ans de ma vie, 20 ans de ma vie,

à passer tous les mardis,

au Louvre, au Musée d'Orsay, à Londres, à Chicago.

– Vous ouvre, exprès ?

– Pour filmer les tableaux.

– On vous ouvre pour les musées ?

– Oui, parce que je suis un chercheur.

– Non, mais d'accord, vous chercherez d'accord, mais de là.

– Et je fais aussi qu'au pédit des détails.

Et donc, j'ai besoin d'aller dans tous ces musées-là.

Et les images que je projette dans mon spectacle,

c'est pas des trucs que j'ai pris sur Internet.

– M'en violer pas !

– C'est des choses que j'ai filmé avec Amour, comprenez-moi.

Quand vous filmez un tableau,

vous avez toujours l'ombre du cadre à gauche à droite.

Du coup, on ne fait jamais une bonne photo.

Et donc, je ne fais jamais de photos.

Je ne fais que des détails.

Et je les superpose, les uns après les autres.

– Mais c'est génial !

– Oui, mais c'est ça, mon ma vie.

C'est ma passion, vous comprenez ou pas ?

Venez un jour.

– Oh, ça va, ça va, je sais que je ne suis pas caroline !

C'est quand même pas la peine de parler comme ça !

– Mais caroline Jamel m'aura interpellée comme ça.

Il a tout vu, dès les premières secondes,

j'ai senti que vous cherchiez la noise.

– Mais vous m'avez demandé mon prénom !

– Je me demandais gentiment.

Mais c'est quand votre prénom, vous l'avez mal pris !

Parce que j'ai dit comme prénom.

Alors on peut plus demander à une femme, parce que c'est une grosse tête.

Pardon, c'est quoi votre prénom ?

Je l'aurais vécu en mal.

Mais c'est quand même dingue.

Maman m'a dit, il soit gentil avec tout le monde.

J'ai dit, je vais être gentil d'abord avec caroline.

Et boum ! J'ai vite demandé son prénom et boum !

Je me fais goller !

– Vous êtes un phénomène !

– Je voudrais quand même préciser à Isabelle Bergault

parce que j'ai la chance.

J'espère.

Mais normalement, mon ami Franck Ferrand a vérifié

tout ce que j'ai écrit.

J'ai écrit une pièce sur la Joconde

qui sortira en février prochain

au Tête de l'Ouvre.

Et sachez, en étudiant sur la Joconde,

cher Isabelle, le mardi,

justement jour de fermeture du Louvre

et des autres musées,

il y a des tatjons dans le Louvre,

y compris d'autres peintres qui viennent faire des copies.

Alors il n'y a pas foule, mais il y a quelques personnes.

– Je ne le savais pas.

– D'ailleurs, le jour où la Joconde a été volée,

c'était un jour de fermeture du Louvre,

puisque c'est quelqu'un qui venait travailler

sur la Joconde pour la copier,

pour en faire un autre tableau,

une autre toile,

et bien c'est quelqu'un qui venant pour ça,

s'est aperçu que la Joconde avait disparu.

C'était un jour de fermeture du Louvre,

mais il n'empêche qu'il y avait un peu de monde ce jour-là.

Et vous, vous y allez tous les mardis alors.

Vous pourrez m'emmener parce que moi, justement,

j'aimerais bien aller voir la Joconde,

parce que depuis que j'ai écrit cette pièce,

je n'y suis pas retourné.

– Moi, je peux faire la queue.

– Mais ça doit être génial, hein.

– Il n'y a pas que le Louvre.

Vous avez le Prado à Madrid.

– Oui, bon bien, vous voulez.

– À Londres.

Vous avez un Francfort.

Vous avez un Berlin.

Vous avez de quoi faire ?

– J'amènerai en priorité Caroline.

– Les grosses têtes de Laurent Ruchier,

c'est de 15h30 à 18h sur RTL.

– Toujours avec Isabel Merlot.

Laurent Deutsch, qui vient de publier

à toute Bersingue,

toutes vos villes préférées,

racontées par Laurent Deutsch.

Il faut sortir chez Michel Lafontte.

Yoann Riou, Jean-Pierre Jancel.

Et le nouveau couple à la mode

que tous les musées nous ont vies.

Hector Ovalck et Caroline Diamant.

– Alors là, attention,

ça va être une question littéraire très difficile.

La question qui va nous permettre

d'avoir Mme Fabienne Alice au téléphone,

qui est journaliste et auteur,

est-elle qu'on doit, on va dire,

ce nouveau numéro,

parce que c'est une collection

qui s'appelle Le Gout de

et à chaque fois, évidemment,

c'est un sujet ou un thème différent.

Et là, c'est Le Gout de l'automne

que vient de publier.

Et ça tombe bien, Fabienne Alice,

d'où notre intérêt,

parce que nous y sommes dans cette saison

jusqu'au 21 décembre prochain.

Et dans Le Gout de l'automne,

on retrouve des textes,

Viginaouf, Jean Passe,

qui ont tous une façon, évidemment,

différente de décrire l'automne.

Parmi ces auteurs,

je vous demande d'identifier celui

qui a écrit « Mon âme vers ton front

ou rêve au calme sœur,

un autonne jonché de tâches

de rousseurs et vers le ciel

errant de ton oeil angélique

montent comme dans un jardin mélancolique. »

– C'est pas mal. – C'est pas mal.

– Un ragon. – Un ragon, non.

« Fidèle, un Blangédo,

vers l'azur, vers l'azur à Tendri,

d'octobre pas les pur »

– Musée. – Non, Kimi.

– Timi, je crois que ça ressemble

à du Jean Luclet.

« Kimi, au grand bassin,

sa longueur infini et laisse

sur l'eau morte, où le faux vagonie

des feuilles air au vent et creuse

un froid sillon se traînait le soleil

jaune d'un long rayon. »

– Josèque et celle. – Non, du bélet.

– C'est pas mal armé, ça. – Pardon ?

– C'est pas mal armé, ça. – Ah, c'est ou c'est pas ?

– Non, je pense que c'est mal armé. – C'est mal armé.

– C'est mal armé des toutes premières années.

– En tout cas, c'était bien Stéphane Malarmé.

Bonne réponse, Dr Ovaïque.

– Ah oui ?

– Alors vas-y.

Parce que dans le moment, c'est complètement hermétique,

Stéphane Malarmé, et là, vous voyez quelque chose

de très fruité, de très...

un engage très fleuri, et ça, c'est que le début

de Malarmé qui a profité. – Bon, là, c'est ça qui parle

du beau soleil.

– Mais la poésie, c'est ça. – C'est pas un peu la paname.

– Mais c'était la poésie.

– Soupir, c'est le titre du poème de Malarmé.

Fabien Alice, c'est le nom

de l'auteur qu'on a au téléphone maintenant,

qui a fait, évidemment, cette sélection

des textes et poèmes.

Il n'y a pas que des poèmes, il y a des textes

signés par différents grands écrivains ou poètes

à propos de l'automne.

Comment, d'ailleurs, on retrouve ?

Alors avec les ordinateurs aujourd'hui, j'imagine,

c'est bien plus facile, mais comment on fait

une sélection de tous ces écrivains

qui ont écrit sur l'automne ? Bonjour Fabien Alice.

J'ai mis de côté des textes

que j'avais lu auparavant,

et moi j'aime beaucoup l'automne aussi.

– Moi aussi, j'adore, c'est ma saison préférée.

Mais c'est vrai, ça se sent bon.

– Lesquels sont vos préférés dans le livre ?

– Reinhardt, Flaubert, Proust, Georges Sand.

Je n'aimais pas d'écrivains que je ne...

– Tu ne l'aimais pas ? – Non.

Un mot sur celui qui a écrit,

et je ne sais pas si mes camarades l'identifieront,

mais c'est un auteur de plus en plus apprécié,

de plus en plus cité par les temps qui courent,

c'est quelqu'un qui nous parle des feuilles d'automne,

qui sont généralement les feuilles les plus basses

et les plus vieilles, qui changent en premier.

Mais tout comme l'insecte aux ailes parfaites

et aux couleurs fréquemment vives,

à une existence éphémère,

ainsi les feuilles, elles, ne m'urissent que pour tomber.

En général, tout fruit bien mûre,

juste sur le point de tomber au moment

qu'il pense avoir une existence plus indépendante

et plus individuelle,

n'exigeant plus guère de nourriture externe

et encore moins de la terre par son pédoncule,

que du soleil et de l'air,

ce fruit prend alors une teinte plus vive,

ainsi font les feuilles.

Qui fait cette description incroyable

des feuilles d'un arbre ?

Non, c'est pas Proust.

Il est dans le livre, mais ce n'est pas Proust.

– C'est plus récent, c'est plus récent.

– Non, Ponge non plus.

Vous l'avez reconnu, vous évidemment,

en Fabian Alice.

– Pas bien.

– Non, mais on t'a tapé l'auteur du livre.

– Paul Valérie.

– Non, c'est traduit de l'anglais.

C'est Henri David Taureau

que tous les écologistes

que tous les écologistes adorent.

– Le feuille d'arbre, là.

– Voilà, c'est ce philosophe

qui s'était enfermé dans une cabane

pendant des mois et des mois.

– Mais qui a respiré into the wild.

– Exactement, et dans Couleur d'automne,

il décrit ainsi la forêt.

Proust, il est aussi dans ce livre

sur l'automne, c'est vrai que ça aurait pu être

du Proust, mais non, non, c'est...

– Non, mais ça pouvait peut-être sourire.

– Vous ne vous souveniez pas du nom.

– J'ai un peu intimidé, quand même.

– Ah, vous êtes intimidé.

Franchetteur Robert,

dites-vous quelque chose, vous qui connaissez bien

l'émission maintenant.

– Oui, dites-vous que c'est un art majeur.

La sélection de plusieurs...

– Oui, mais vous en sortez très bien.

– Ah, merci.

– Vous pleurez, là.

Il ne faut pas pleurer comme ça.

– C'est vrai qu'entre votre rire et vos pleurs.

– On ne sait pas tout.

– J'ai retrouvé Proust, en tout cas.

– Non, je sors pas souvent.

– Voilà ce qu'il est. – Mais vous habitez Paris

parce qu'on peut tout de suite se rejoindre.

– J'ai retrouvé Proust, un Proust écrit

« J'aimais surtout à m'arrêter sous les maronniers immenses

quand ils étaient jaunis par l'automne.

Que d'heure j'ai passé dans ces grottes mystérieuses

à regarder au-dessus de ma tête

les murmurantes cascades d'or pâle

qui versaient la fraîcheur et l'obscurité.

J'envie les rouges gorge et les écureuilles

d'habiter ces frêles et profonds pavillons

de verdure dans les branches,

ces antiques jardins suspendus

que chaque printemps depuis deux siècles

couvrent de fleurs blanches et parfumés,

les branches insensiblement courbées

descendaient noblement de l'arbre vers la terre,

comme d'autres arbres qui auraient été plantés

sur le tronc, la tête en bas.

Voilà ce qui écrit Proust.

Le goût de l'automne...

Et tout ça de sa chambre.

C'est ça qui est fou.

Le goût de l'automne des textes choisis

est présenté par Fabienne Alice.

Merci d'avoir répondu à nos questions

Fabienne Alice.

A une question forte intéressante

pour Thomas Leroux, question culturelle

mais je profite de cet assemblée

d'un niveau très haut, il faut le dire aujourd'hui.

Ah oui franchement là.

Assemblée c'est à partir de combien de sortes ?

C'est à partir de deux.

C'est un max de deux j'ai l'impression.

Pour monsieur Thomas Leroux,

en tout cas de ville Parisie,

retrouverait-vous le vrai nom de Raymond Theodor Bartelmes ?

En fait c'est son pseudonyme

qu'il faut trouver, on ne le connaît pas

sous son vrai nom Raymond Theodor Bartelmes

qui était journaliste,

écrivain, homme de radio.

Un homme qui est mort assez brusquement,

assez jeune d'ailleurs et deux jours

avant sa mort, il avait 52 ans,

il écrivait dans son agenda

c'est quelques mots émouvants,

c'est sur la peau de mon coeur

que l'on trouverait des rides,

je suis déjà un peu parti, absent.

Faites comme si je n'étais pas là,

ma voix ne porte plus très loin.

Mourir sans savoir

ce qu'est la mort ni la vie,

il faut se quitter déjà.

Je vais même vous donner son nom d'écrivain

parce qu'en fait la question,

elle doit être plus subtile que ça,

je vais vous demander quelle est la dernière phrase

qu'il écrit après ce que je viens de vous dire.

Henri Calais est souvent,

souvent je le prends

sa plus célèbre citation

au début de l'émission et c'est l'inverse

que je propose, je vous donne la phrase

et il faut retrouver le nom d'Henri Calais.

Vous pouvez répéter la question.

Mais bien sûr, c'est écrivain Henri Calais

qui était pas en pleine forme

moralement.

Non mais il était...

Il a écrit quelques bouquins

comme par exemple la belle lurette,

le tout sur le tout.

C'est dépressif, non ?

On va dire que t'as le coeur ridé

c'est que tu as eu un gros chagrin.

Il avait une forme de désespoir

on peut dire.

Et il est parti brusquement d'un suicide

ou brusquement d'une balle.

Non, il se passe suicidé.

Mais en tout cas, deux jours avant sa mort,

il écrivait ces quelques mots émouvants

c'est sur la peau de mon coeur

que l'on trouverait des rides,

je suis déjà un peu parti et absent,

comme si je n'étais pas là,

ce qu'est la mort ni la vie, il faut se quitter

déjà. Et là, il y a deux petites phrases

qui sont très célèbres,

qui conclut ce qu'il écrit.

Il ne faut pas que je meurs dans deux jours

parce que moi, sur « Mon Alexander »,

il marquait ne pas oublier liquide vaisselle.

Ça ferait pas le même effet.

Est-ce que c'est une expression, deux expressions courantes ?

C'est très joli.

Il est très malheureux,

il est très triste.

Oui, moi j'avais bien compris le malheur.

Et là il y a une expression qu'on utilise

qu'on lui doit, une très jolie expression.

Je vais mourir d'aimer.

Non, mais qu'on utilise quand on est très triste,

très malheureux.

C'est quoi, juste avant la dernière ?

J'ai été mauvais au Grosse-Tête.

Imaginez, imaginez.

Partir, c'est mourir un peu, mourir, c'est partir beaucoup.

Non, vous voyez ça, vous l'avez peut-être

lu sur un cendrier, mais c'est pas ça.

C'est un cendrier.

Quand je soumettais cette phrase

au Grosse-Tête, Pierre Benichou

était le seul à retrouver le nom

enricalé. Voilà pourquoi j'ai décidé

de faire différemment aujourd'hui.

Je vous donne son nom enricalé, je vous explique sa mort.

Et je vous demande de trouver

les deux dernières phrases qu'il écrit

ce jour-là.

Ah, c'est pas mal.

Mais non, mais il est vraiment

profondément triste, il est très malheureux.

Ah, si je pouvais mourir

demain.

N'attendons pas que là-bas on nous trouve du talent.

Non.

Si je n'est savais, si je n'est, si je n'est.

Vous pouvez redire la dernière.

Je ne serais jamais vieux peut-être.

Il demande quelque chose

à ceux qui l'entourent,

à ceux qui sont avec lui à ce moment-là.

Pleurez-moi comme vous m'avez aimé.

Non, non. Et bon, nous vivons.

Non, pof.

Oh non, il y a les coraux.

Non, non, il est là,

il est malheureux,

il est triste, profondément triste.

Et il dit à sa famille, à ses amis, il leur dit

Ne me pleurez pas.

Ne m'oubliez pas.

Ne me pleurez pas.

Non, mais ça commence par ne me.

Alors ne me...

Ne me faites pas chier.

Ne me fais pas chier.

Ne me...

Ne me jugez pas.

Ne me regrettez pas.

Ne me perturbez pas, ne me déranger pas.

Il y a deux phrases. Il y a ne me,

puis après il y a encore une autre phrase.

Je suis, ne me et je suis.

Ne me pensez pas si fort.

Ne me pleurez pas.

Non.

Ne me quittent pas.

Il y a ne me.

Ne me regrettez pas.

Il y a ne me, il y a deux mots derrière ne me.

Et après il y a je suis,

il y a trois mots derrière.

Ne me retenez pas.

Non, non plus.

Ne me consolez pas.

Merci acteur.

C'était joli ce qu'elle a trouvé.

C'était beaucoup mieux que ne me retenez pas.

Il ne me retenait pas.

C'est le spline de Vaudelaire qui m'a...

Moi, tu l'as fait tous rémuser,

en avoir...

Est-ce que d'abord, il le dit,

ne me... au pluriel ou au singulier,

est-ce qu'il s'adresse à une personne ou à plusieurs?

Il y aura plusieurs personnes.

Il pourrait s'adresser à quelqu'un qui vous voit.

Ça pourrait dire ne me consolez pas.

Il n'a pas dit ne m'enterrez pas.

Ah non, non, non.

Dans 300, dans 30 secondes,

on va donner 300 euros et pas l'inverse.

C'est très joli.

Et vous retiendrez cette phrase

et vous saurez désormais que c'est bien envie.

Attendez, quelqu'un désespéré.

Mettons-nous dans la peau de quelqu'un désespéré.

Mettons-nous dans la peau d'hier.

Allons voir une bière.

Le pire, c'est que vous la connaissez,

cette expression.

Il faut oublier.

Tout peut oublier.

300 euros pour notre auditeur,

Monsieur Le Roux de Ville Parisie.

Regardez, il y a quelqu'un qui lève la main dans la salle.

Bravo Monsieur ou Madame, si vous connaissez la réponse.

Alors moi, je vois un bras de Monsieur, mais...

Allez-y.

Comment vous vous appelez, Monsieur ?

C'est votre première fois en grosse tête.

Ne me pleurez pas, je suis juste de l'autre côté du chemin.

Pas du tout.

C'est l'évangile de Saint-Jean.

La réponse était

ne me secouez pas,

je suis plein de larmes.

Ah mais c'est prêt.

C'est très connu.

Ne me secouez pas,

je suis plein de larmes.

C'est signé Henri Calais.

Ne me secouez pas,

je suis plein de larmes.

On est partis là-dessus.

On remet là-dessus parce que c'est quand même

une belle phrase d'accord Hector Obalc.

Ne me secouez pas,

je suis plein de larmes.

Pierre Vénichois adorait cette expression.

Mais est-ce qu'il savait

qu'il allait mourir ?

Il était mourant.

Il y a deux jours avant.

Il avait une malade.

Il n'aurait pas mis comme moi

à acheter du liquide vaisselle.

Retournons en forêt si vous le voulez bien.

Pour Christine Bonnet

qui habite Cernay-la-Ville

dans les Yvelines,

une amende de 135€

est prévue à ceux qui viennent

avec leurs glaciers,

qui prennent l'apéritif,

qui tentent même de camper.

Et c'est interdit.

On leur interdit de s'installer,

de faire du bruit,

de claquer leurs portières

et même de parler, de chuchoter.

Pour quelle raison

on leur interdit ?

Pour ne pas faire fuir certains animaux.

Les risons.

Mais plus précisément,

qu'est-ce que viennent faire ces gens ?

Le brum du cerf.

Pour le brum du cerf, bonne réponse

de Laurent Dott.

On est en pleine période

où le roi de la forêt

va s'accoupler.

C'est pas le lion ?

Non.

Le lion, c'est le roi de la jungle.

Pour moi, vous savez qu'il suit Parisien.

La jungle, la forêt, tout ça.

C'est beau.

Là, c'est un cerf.

C'est le roi de la forêt.

Les gens viennent le soir vers 18-19h.

Ils passent la nuit

pour tenter d'entendre le brum du cerf.

Ils troublent la reproduction.

Vous connaissez écrit ?

Oui.

Mais les gens arrivent avec leurs glaciers,

leurs tentes...

Ah, c'est l'effet de cerf ?

Ils prennent l'apéritif.

Ils circulent dans la forêt.

Évidemment, ils troublent

les amours,

les servidés.

Sauf s'ils sont un peu exhibitionnistes.

Qui ça ?

Les cerfs.

On est d'accord,

en cerf, ça couche avec une biche ?

Qu'est-ce qui se passe ?

Comme si j'étais pas là,

j'ai obligé d'aller faire un petit besoin.

C'est un peu...

C'est un peu...

C'est un peu...

C'est un peu...

C'est un peu...

C'est un peu...

C'est un peu...

C'est un peu...

C'est...

Ah il a fait un pipi !

Pensation qu'il y ait peut-être dans le bouquet, il était au bout du boulot !

J'ai une vraie question, Laurence.

être que le cerf ne s'acoupe que la nuit ?

C'est que la nuit ?

Un certain jour, il ne veut pas être vu.

Le Bram, c'est surtout pour alerter les autres mâles qui l'est là.

Et qui va les défoncer s'ils s'approchent.

Avec cette heure, il faut que J.I.E. aille à l'heure.

Il va y avoir une comédie musiciale.

C'est aussi très bon ?

Notre Bram de Park.

C'est mon deuxième jeton de la saison.

La saison l'orange vous écoute religieusement. Le jeu de mots en six semaines, ça va quoi.

C'est nul, c'est nul. Moi, je suis content de moi.

Votre brame de Paris.

Vous êtes notre brame nationale, vous en tout cas.

C'est assez flippant, le brame du cerf.

On en a, je crois, des sons de brames.

Ah mais nous, on est des biches, ça va nous exciter.

Ah, c'est tort, Périve.

C'est tort, c'est bramé.

C'est bramé.

C'est gênant.

Voilà, là, vous avez des vrais bruits et des...

C'est pas très joli, puissant.

Mais les gens, ils sont fous de ça, je sais pas pourquoi.

Ah oui, mais c'est parce que c'est un bruit puissant.

Ah oui, les gens veulent voir ça, veulent entendre ça.

Non, mais les gens, les gens, en fait, vont la nuit dans le bois

et quand ils se font passer, ils disent, j'étais là pour écouter le cerf.

Il faut pas tout le temps t'apporter des diners.

Et ça fait balade du tout pour ça.

C'est un son d'entendre le brame de cerf.

Ça porte bonheur et ça donne la virilité aux hommes.

Le brame du cerf, c'est quelque chose de l'ugubre

qui renvoie à nos peurs d'enfants.

C'est la forêt, c'est la nuit, c'est l'obscurité.

Et vous entendez ce son-là, et moi, j'habite en forêt,

donc j'les entends souvent, et bien vous rentrez chez vous.

C'était la semaine dernière, j'étais en train de boire un café,

j'étais 23h.

Moi, je préfère le fromage.

J'avais mis un bon...

C'est du fromage ou des cerfs.

J'aime bien que vous, Laurent.

Aujourd'hui, malheureusement, on vit dans une société

où le cerf savoir est plus important que le savoir-serre.

Non, non !

Ne leur couragez pas, il va recommencer, je vous en prie.

Et que ça vous plaît, cette petite répartie.

Depuis que je suis parti au toilette, ça a baissé le...

Il a vu ce qu'on fait, le principe.

Justement, j'allais le faire remonter le niveau

parce que je me demandais quel peintre avait mieux peint des cerfs.

Il y en a un très connu, c'est le plus connu.

Celui qui, dans les reproductions,

dans toutes les loges de concierge de France et de Navarre,

c'est Courbet.

Courbet ?

Ah !

Ah, je l'ai courbé, félicitations !

Un excellent peintre extrêmement inventif.

Il se trouve que l'imagerie du cerf qui brame

a été reprise sur toutes les nappes brodées

et toutes les reproductions de mauvaise qualité qu'on trouve partout.

Et les canva, moi, j'ai fait un canva.

Les tapitoufs ?

Ah, c'est vrai ?

Les tapitoufs françaises.

Les quoi ?

Les tapitoufs de chez Fildard.

Ils faisaient les tablots de Courbet,

mais c'était avec des morceaux de gaines qu'il fallait faire,

t'as un tapitouf.

Est-ce que vous pensiez un jour ?

Un tapitouf !

Monsieur Ombari, qu'est-ce que vous pensiez un jour ?

En parlant de Courbet, on vous parlera des tapitoufs.

Est-ce que c'est les tapitoufs ?

Mais pas du tout, j'ai fait une belle compagnie.

Tu vois, moi, je ne fais pas plus de choses.

C'est une reproduction de tableau, mais sur une toile,

comme ça, avec des morceaux de gaines et une petite pince,

on me passait le morceau de gaines, alors tu avais des codes.

Vers, c'était un, du numéro un, il fallait mettre la laine verte,

numéro deux, il fallait mettre la laine orange,

et à la fin, quand tu allais tout faire du numéro,

ça devait être un tableau de serre en momout.

Enfin, avec... en laine.

C'est un tapitouf.

Tu voudrais bien en faire un pour entrer...

Si vous voulez, on vous en fait un, Monsieur Ombari.

Allez, c'est quand votre anniversaire, Hector ?

Allez !

Je pense que tout le monde peut trouver extrêmement beau

si vous êtes...

Vous avez peur, peut-être, face à un serre, disait notre ami...

C'est très impressionnant, oui.

C'est impressionnant, mais c'est beau.

Et toute chose belle, en général, donne des croûtes en peinture.

Regardez, par exemple, le coucher de soleil.

Le coucher de soleil, ça ne fait que des croûtes.

Et pourtant, il n'y a rien de plus beau,

il n'y a rien de plus cylindrant,

il n'y a rien de plus lumineux, etc., qu'un coucher de soleil.

Donc, c'est le lait qui...

Donc, je félicite tous les artistes qui ont le courage

de prendre le beau entre quatre yeux

et de mettre sur la table.

C'est pour ça que je n'ai jamais été peint !

Il y en a un, là, comme ça, qui fait...

Il y a une exposition que je vous conseille.

Je ne suis pas là pour ma promotion seulement.

Il y a une exposition que je vous conseille,

qui est Gilaillot, un peintre figuratif,

c'est assez rare pour qu'on puisse le mentionner,

et qui se trouve à Beaubourg.

Ça fait 40 ans qu'on attendait une exposition de lui.

C'est un des plus grands génies qui se font...

Et il vaut pas fermer la Beaubourg, il s'est foutu !

Ce qu'il paye, il peint des animaux dans les eaux.

Mais franchement, il le voit !

Ce qui est sûr, en tout cas, c'est que pour votre anniversaire,

Jean-Fier, moi, on vous prépare...

Un tapis ou un tapis ?

On va vous faire une farce, on va faire un neutrillo en tapis !

Une question pour Franck Benet, qui habite Torsi.

Question que j'ai trouvée dans l'hébdomadaire,

le poids, puisque c'est Gilles Denis,

qui consacre une page entière à une photo célèbre photo,

mais la retrouverait-vous cette photo ?

C'est une photo signée Jean-Louis Sief,

qui a été prise en 1970-1971,

et on voit quelqu'un entièrement nu sur cette photo.

Photo d'ailleurs qui fut interdite par Jour de France,

qui refusa le cliché au photograph.

C'est Vogue qui, finalement, publie à cette photo,

et même Bernard Pivot, à l'époque,

dans les pages du Figaro, avait parlé de provocations cyniques

à propos de ce nu.

Mais qui voit-on nu sur cette photo ?

Un homme.

Une actrice.

Un homme, oui.

Le don ?

Yves Saint-Laurent.

Bonne réponse de Jean-François Jansen.

Bravo Jean-François.

Oui, Yves Saint-Laurent a 36 ans,

ce jour-là, quand il franchit les portes du studio,

du photograph Jean-Louis Sief.

On est dans les années 70, début des années 70,

et il va sortir un scandale,

plutôt un parfum qui va faire scandale,

et pour lancer son parfum,

il imagine de poser lui-même

pour le lancement de son produit.

Et au cours de la séance,

il va progressivement avoir l'idée,

il n'a pas l'idée de départ,

mais l'idée de se dévettir au fur et à mesure,

il enlève à chaque fois une pièce,

et il ne garde, c'est une célèbre photo,

il ne garde que ses lunettes.

Il est nu avec ses lunettes.

Tu vois ce qu'il faut faire pour visiter les musées gratuitement ?

Je garde les lunettes.

Je pense qu'à mon âge,

maintenant, vaut mieux que je garde la robe,

et j'enlève les lunettes.

Et lui aussi.

Une question qui concerne le livre de Philippe Delerme,

qui vient de sortir les instants suspendus,

et c'est publié au seuil.

Les petites bières.

J'adore Philippe Delerme,

parce qu'il a une façon, effectivement,

de décrire des instants de nos vies,

que nous, évidemment,

on reconnaît quand on le lit,

on n'aurait pas su écrire, comme lui,

le décrit ces petits moments,

ces petits instants incroyables.

D'ailleurs, il y a un moment qu'il nous décrit

très, très bien dans un chapitre de solif.

C'est plein de petits chapitres consacrés

à des choses, des moments, des instants.

Et cet instant-là, il l'a appelé

« accablement différé ».

Mais qu'est-ce qu'il nous décrit si bien,

et je trouve fort juste,

dans ces quelques pages,

qu'il l'a appelé « accablement différé ».

Le troisième tiers.

Pardon ?

Le troisième tiers provisionnel.

Non, c'est pas le dimanche soir,

la mélancolie du dimanche soir.

Non, parce que c'est quelque chose que...

Pourquoi est-ce que c'est différent ?

C'est à ce qu'on l'oublie, et ça revient,

parce que c'est comme une fin de semaine.

Non, « accablement différé ».

C'est quelque chose qu'on peut voir régulièrement,

je vais vous aider un peu,

à la télévision.

« L'accablement différé ».

C'est à la fin d'une série.

C'est quand on regarde une série,

pas du tout.

C'est le contre-coup d'un malheur.

Ah, expliqué.

Ah ben voilà, je suis obligé d'expliquer.

Ça me permet de garder l'antenne.

Le contre-coup d'un malheur, et en effet,

quand un proche décède,

ça vous fait un sacré coup, vous voyez ?

C'est un accablement.

Et puis après, vous avez le contre-coup 3 mois plus tard.

Moi, je l'ai connu avec mon père.

C'est ça dont il a voulu parler.

Et s'il ne l'avoue pas,

c'est qu'il me manque.

Ce n'est pas ça du tout,

car l'accablement différé,

c'est ça qui est intéressant.

C'est que ça dure seulement 3 secondes.

C'est un instant très court,

cet accablement différé.

Est-ce que c'est quand un politique

dit quelque chose, et qui réalise

à quel point c'était idiot, et que...

Non, non, non.

Ce n'est plus fréquent que ça.

Ça montre 3 secondes.

Ça montre 3 secondes.

Ah oui, seulement 3 secondes.

La puissance sexuelle.

Non, non.

Non, mais ça a la télé surtout.

Pardon ?

C'est à la télé.

C'est qu'on zappe, qu'on zappe.

C'est, en tout cas, souvent filmé par la télévision.

Quand on voit ça, on le voit,

effectivement, on ne peut le voir qu'à la télé d'ailleurs.

La pub ?

Non, non, non.

La météo ?

Non, non.

Il n'y a qu'à la télé qu'on peut voir ça.

L'accablement différé.

Le match de foot qui rate.

Voilà, c'est le match de foot qui rate.

Expliqué.

C'est une petite mort.

Alors, c'est quoi l'accablement différé ?

C'est quand on a enregistré un match de foot.

Non, non, non, non.

C'est le mouchard, là.

Non, mais on est en plein match.

C'est la vidéo ?

Voilà.

C'est la vidéo qui prouve qu'un point...

Non, non, non.

C'est quand on croit qu'il a raté son but et qu'il a...

Non, on croit qu'il a raté son but et qu'il a raté son panne.

C'est les points qui s'affichent.

Non.

Mais pas tout de suite.

C'est bien différé.

En gros, c'est ça.

En gros, c'est ça, c'est pas loin.

Voilà, c'est bon.

Ah non, c'est pas du tout ça.

C'est simple, l'accablement différé.

C'est quand le commentateur crie.

C'est bon, il va la mettre, il va la mettre, il va la mettre.

Non, il l'a raté.

Non.

Quand ça se passe assez loin dans un autre pays,

il n'y a qu'un peu de...

Non, je sais, je crois que c'est...

C'est peut-être par rapport à l'Avar,

où maintenant il y a un but qui peut y avoir l'Avar.

Non, non, non, ça concerne.

Je vais vous aider un peu.

Ça concerne le public qui est dans les stars.

Oui.

C'est quand en général, ça, il y a les grands écrans.

Donc le réalisateur montre le visage d'un supporter.

Il fait ça vite fait.

Et malheureusement, ça dure une...

Il dit à son voisin, regarde, regarde, on est dans la télé.

Et en fait, il...

Bonne réponse de Yohan Riyou.

C'était vrai, Laurent.

J'ai jamais compris.

L'accablement différé, c'est vrai qu'on voit ça tout le temps.

Oui.

Vous avez un public qui est d'une triste testérie

parce que son équipe est en train de perdre.

Les gens sont tristes, ils sont accablés.

Puis d'un seul coup, ils s'aperçoivent

qu'ils sont filmés par les caméras de la télévision.

Et là, d'un seul coup, ils font des grands coucou,

des grands sourires à la caméra.

Et c'est ça, l'accablement différé.

C'est que d'un seul coup, le fait d'être filmé

leur fait oublier trois secondes

que leur équipe est en train de perdre.

Mais moi, je...

Ils ont un flash de lumière.

Ils ont d'un seul coup.

Mais moi, pour moi, j'avais compris que c'était l'accablement

qui était différé.

Alors que là...

Oui, il est différé parce que pendant trois secondes,

ils ne sont plus accablés.

Ah, mais différé, j'avais pas compris

dans l'acception de...

Je vois bien que vous n'avez pas compris.

Non !

J'avais pas compris.

Non, mais on peut passer une heure

pour que tu nous expliques pourquoi tu n'as pas compris.

Accablement différé, c'est effectivement

ce moment incroyable.

Tout le monde dans le stade est triste

et son équipe est en train de perdre.

Mais d'un seul coup,

les gens voient qu'il passe à la télé.

Alors ils ont le sourire,

ça dure trois secondes,

le temps de passer à la télé.

C'est ça.

L'accablement différé,

si bien décrit,

sur deux pages par Philippe Delherme

dans les instants suspendus.

Est-ce que c'est l'heure de l'invité du jour ?

L'invité du jour, c'est quelqu'un

qui publie un livre

qui intéressera tous les parents

et elle-même maman

de quatre enfants

qu'on voit d'ailleurs

dessiner au début de ce livre

puisque

sont des chroniques BD

sur sa famille,

sur ses joies, ses galères.

Vos familles, vos joies, vos galères.

Elle a appelé ça MAMS.

Peut-être que c'est ainsi

que ses enfants l'appellent.

Je vous demande d'accueillir

Hélodie Gossuin,

notre invité du jour.

Merci beaucoup.

Bonjour.

Encore Laurent, bonjour à tous.

Bonjour Hélodie.

C'est Fabu.

C'est chez Solar.

Hélodie Gossuin 16,

chronique en bande dessinée MAMS.

C'est ainsi qu'on vous appelle

à la maison.

Ouais, les grands,

c'est transformant en ça,

l'adolescence MAMS.

Je trouvais ça trop mignon.

Un peu pétillant,

joyeux.

Que l'agisant Rose et Jules

sont vos grands.

Ils vont avoir 16 ans déjà.

Parce qu'effectivement,

au début du livre,

on les voit dessinés.

D'abord, il y a vous et Bertrand.

Hélodie et Bertrand.

Très bien croqué.

Il y a même patate.

C'est vraiment votre chien

qui s'appelle patate.

Ouais, pour de vrai Hedile,

mais ça s'est transformé

en patate aussi, ouais.

Et il a neuf ans,

le chien patate

qu'on distingue

au pied du couple parental.

Et puis après, effectivement,

il y a les enfants

qui passent après le chien.

C'est normal.

Écoute, on assume.

Rose et Jules,

les plus grands jumeaux,

parce que vous avez

une paire de jumeaux,

c'est bien ça.

Deux.

Voilà.

Rose et Jules,

d'un côté,

les plus grands,

et Josephine et Léonard,

alors les plus petits.

Dix ans, ça y est.

Dix ans, lundi.

Dix ans.

Et vous dites d'ailleurs

que Josephine,

c'est une future Miss France ?

Ouais, elle aime bien.

Elle a ce côté un peu glamour.

Elle aime les paillettes,

mais elle rêve.

Ça fait rêver aussi, Miss France.

Elle fait partie des rêves

de petites filles,

qu'elle accomplisse ou pas.

Elle veut faire comme maman.

Alors, mâmes,

ça se font des conseils aussi,

évidemment,

pour les parents,

pour éduquer les enfants,

les ados,

quelque soit leur âge.

On a des règles d'or,

par exemple,

pour les réseaux sociaux,

l'utilisage du smartphone.

Je veux y arriver.

Pour la rentrée des classes.

Il y a une expression

que je ne connais pas,

à fort que vous me médiiez.

Ça veut dire quoi ?

Non, il y a...

Je connaissais pas l'utilisage.

Pardon ?

Je connaissais pas l'utilisage, moi.

J'ai dit quoi ?

L'utilisage.

L'utilisage.

Mais moi, je n'ai rien osé dire.

Non, mais l'usage.

L'utilisation ou l'usage ?

Mais pas l'utilisage.

J'ai dit l'utilisage.

Mais on aime beaucoup.

Mais on n'a pas...

Vous avez fourché.

C'était un néologisme intéressant.

Je trouve...

Valide.

Voilà.

On peut valider l'utilisage.

L'usage,

c'est surtout les parents

qui vont avoir l'usage de ce livre,

évidemment,

ça aidera

pour les moments

où les enfants

rentrent à l'école,

les moments

où les enfants peut-être

quittent le foyer.

Mais il y a aussi,

évidemment,

pour l'usage

des conseils.

Parce que c'est vrai que les enfants

sont un peu trop souvent

sur le téléphone portable,

j'imagine.

C'est une guerre au quotidien.

Je ne sais pas chez vous.

Moi, vraiment, je galère.

Je suis en conflit non-stop.

C'est qui est lié

quand même quelques règles

et de faire gaffe.

C'est paradoxal,

parce que mon métier

implique aussi d'être

sur les réseaux sociaux.

Mais justement,

on connaît peut-être

un petit peu les dérives.

Il faut les prévenir

sur le harcèlement et tout.

Mais ce qui est utile,

c'est que c'est pas moi

qui donne ces conseils.

C'est qu'il y a plein de professionnels

qui sont effectivement

porteurs pour tout le monde.

C'est plutôt cool.

Mais que veut dire

l'expression yes-monde et

non-sies-monde ?

Pour ceux qui ont vu

le film yes-d.

En fait,

c'est un peu le principe

de dire oui à tout

sur une journée

ou par moment.

Je n'en ai jamais fait.

J'adore.

On mange quoi ?

C'est votre démocratique pizza ?

Ok, ça m'arrange.

On y va, les gars.

C'est un peu sa l'idée.

Je ne connais pas ça du tout.

On voit ça

à la maison aussi.

Moi,

j'ai fait avec ma fille

les yes 5 minutes.

Pendant 5 minutes.

C'est déjà pas mal.

Une autre question

qui concerne évidemment

le livre et les règles d'or

et la réel life

par rapport à l'Instagram Life.

C'est aussi important

parce que c'est vrai qu'on ne doit pas

poster tout et n'importe quoi

sur Instagram.

C'est les conseils que vous donnez

à vos enfants vous-mêmes,

j'imagine.

Oui, et fidèle à la vie.

Forcément,

c'est des morceaux de vie.

On va dire que c'est tronqué

et parfois un petit peu factisme.

C'est d'être fidèle et vrai.

C'est-à-dire de ne pas

façonner une image

qu'on soit personnalité

ou juste adolescent

d'être sincère.

Sincère, même dans ce qu'on montre.

Est-ce que vos enfants

vous ont vraiment foutu la honte

comme on le voit?

Parfois.

Mais tellement de fois.

Votre fiston,

je crois que c'est Léonard.

Lui, le plus petit,

il est chez le quoi fort

et il fait une triste mine.

Alors vous lui demandez

bah t'aimes pas ta coupe,

mon bon gosse?

Il dit c'est pas ça,

c'est qu'elle sent mauvais la bouche,

la dame.

Mais il y en a eu plein,

celle-là est véridique,

mais véridique,

la honte, quoi.

C'est terrible,

parce qu'elle est là,

évidemment.

Autrement, elle ne purait pas du bec,

mais...

Mais ça, évidemment,

on a la honte,

à ce moment-là.

Il y a tellement de moments

comme ça,

qui rapportent.

MAMS,

c'est chez Solard,

édition 16 chroniques BD

sur la famille,

les joies, les galères.

Mais attention,

voici un autre Laurent Deutsch,

qui veut vous parler,

puisque le vrai Laurent Deutsch

a un livre qui sort aujourd'hui.

Alors il fallait en faire venir

deux Laurent Deutsch.

Ah ah!

Bonjour à tous,

bonjour Hélodi.

Bonjour Laurent.

Non mais, quand on sait

Hélodi que vous êtes de Picardie,

on se dit que 16 chroniques

sur la famille,

le hiver.

Alors, on parle de qui ?

De Didier Brougnan,

dit le tueur au paras plus d'Amiens,

ou du couple Pitouche

et des capitheurs de chantilly.

Bon, j'ai lu le livre.

Alors, ça parle.

16 chroniques BD

pour parler sans tabou

des défis des parents,

charge mentale,

éco-anxiété,

lâcher prise...

ou footer de ma gueule,

ou quoi, Hélodi ?

Qu'est-ce qu'on va penser

de la Picardie ?

Que les habitants

sont des gens bien ?

Qu'ils élèvent leurs enfants

normalement ?

L'auditeur d'RTL

n'est pas dup.

On ne tombe pas

– Bonjour. – Merci Marc-Ottoine.

– Bonjour. – Quel bonheur de le retrouver.

– Et oui, vous avez travaillé pendant des années ensemble. – Pendant des matinales ensemble.

– Exactement. – C'était sur RFM, c'est ça ?

– Exactement, pendant 7 ans, je crois, précisément.

– Et bien, voici un deuxième, comme si un sol ne nous suffisait pas, un deuxième, Yoann Riou.

– Oh, j'ai goutant, j'ai goutant, j'ai goutant !

Oh, j'ai goutant, j'ai goutant, j'ai goutant, j'ai goutant, j'ai goutant, j'ai goutant, j'ai goutant !

Ah, oh !

– Attendez, attendez, attendez. – C'est la consécration !

– Consécration…

– Ah, la consécration…

– Yeah, continue, continue ! L'hévitateur est plus connue que moi !

Ah, ouais, ouais !

– Ah, on l'a vu, Laurent, il faut que tu brinques contre quelque chose.

Et heu, an, et l'audi, et l'audi, et l'audi, et l'audi, et l'audi !

– Alors, contrée, dicaprio, on échelle les fous, Laurent, on échelle les fous !

Alors, dicaprio !

Elodie, elle a dit qu'elle a pris une accélération et que c'est l'homme entre les bimbo, il esquive un photographe de Paris Mages, il aperçoit Elodie, il y a un échange de regard, regarde un échange de regard, regarde un échange de regard !

Attention, le genre d'échange de regard qu'on peut finir, qui peut finir en cryptés sur canal !

Alors là bravo, c'est bien 2ème Yohan Ryou !

Bravo !

C'était très belle !

Et Elodie, n'y voyiez pas d'ironie, mais qui c'est ?

J'ai plus de voix, j'ai plus de voix non plus !

J'ai cru, j'ai cru, j'ai cru !

Mais qui c'est Augustin Traplard, va-t-il vous recevoir dans la Grande Libérie ?

Ah bah consécration !

Bonsoir à tous, bienvenue dans la Grande Libérie, l'émission qui donne aux gens qui aiment les livres l'envie d'aller voir un film.

Bonjour, bonjour Elodie Gossien, en tant que miss et en plus de Picardie, vous n'étiez doublement pas destiné à savoir écrire.

Ce qui m'amène à la question que tout le monde se pose, Elodie,

pour vous l'écriture est-elle une façon de mêler psychologie, résilience et cucurbitacé afin de décortiquer la parentalité parfois obsolète, absconde et stalaclite ?

Ou alors vous vous êtes juste dit, il faut que je trouve un vrai job pour ne pas finir comme l'autre vieille au chapeau ?

Jean-Pierre Foucault avec qui vous avez travaillé, évidemment.

Jean-Pierre Foucault, vous avez connu à votre tout début quand vous étiez miss France et là aussi il a tenu à passer pour votre visite chez nous aujourd'hui, Jean-Pierre.

Bonjour à tous et bienvenue à l'élection de Miss Grosse Tête.

Le principe est simple, Laurent Ruquier, Laurent Dutch, Hector Obalc et Ioenriou vont défiler en maillot.

Sous nos yeux et nos yeux vont chialer sous leurs yeux.

Laurent Ruquier, Miss Le Havre ouvre le défiler.

La démarche échaloupée, c'est la classe.

Arrive maintenant Hector Obalc.

La démarche échaloupée aussi, mais là c'est pas la classe, c'est l'apéro.

Voici Laurent Dutch, Miss Station Châtelet Léal.

Il pose un bout de quai avec son ticket métro.

Et pour que l'or se défile, on a Ioenriou, Miss Touquette.

Son bikini lui va comme un gant et pour cause, il a mis une mouffe sur sa Miss Touquette.

On peut applaudir Marc-Antoine Lebré et Lodi Gauchin.

Reste avec nous pour la Valise-Hertel dans un instant.

Vous connaissez le principe de la Valise, évidemment, et Lodi.

Il y a 1100 euros dans la Valise et 7 choses.

A vous de choisir un numéro de 20, qui voulez-vous, qu'on appelle ?

Eh bien le numéro 15, si elle vous plaît.

Oui c'est bon Jean-Pierre, merci beaucoup.

On va appeler Yacine Béramoune.

Donc vous retenez le prénom Yacine.

Vous avez raison la romaine.

C'est dans le vocluse, raison la romaine.

Ça va décrocher et je vous laisse faire le reste.

Vous savez faire ça très très bien.

Je signale d'ailleurs en même temps qu'on vous retrouvera chez Bruno Guillaume

dans le bon dimanche chaud, dimanche prochain à 14 heures sur Hertel.

Exactement.

Ça sonne pendant ce temps-là chez Yacine.

Allô ?

Allô Yacine ?

Oui ?

Oui, bonjour.

Je me permets de vous poser une petite question.

Est-ce que vous savez ce que contient la Valise-Hertel ?

J'y vais direct dans le cache.

Est-ce que vous avez reconnu ?

C'est Hélodie Gossin qui vous parle.

Eh ben non, malheureusement, quand ?

Mais enchanté, oui c'est Hélodie.

Ravie de vous parler, Yacine.

Alors est-ce que vous pouvez vous concentrer un petit peu

et vous nous rappeler ce que contient la Valise-Hertel ?

Allez Yacine, on croit en vous.

Putain, hier je suis rentré d'avion

et j'étais pas sur votre coute.

Vous avez pu raconter votre vie comme ça longtemps, hein ?

Vous n'avez pas tenté ?

Yacine, j'y vais, je dis ce qu'il y avait dans la Valise.

J'ai des punaces d'olives dans la Valise-Hertel.

Il y avait 1100 euros dans la Valise-Hertel,

un single Love Box de Marc Lavoine et Céron.

Je rappelle, pour ceux que nous appellerons demain

et les jours prochains, un appareil photo.

Un bon d'achat de 500 euros chez Contoir de la Mer,

l'album Rufflet de Grand-Cœur Malade,

une Valise Tucano, la marque italienne Tucano,

et deux places pour l'effet miroir au théâtre de l'oeuvre

avec François Vincent Télier.

Une tourneuse électrique pour le corps.

Je suis désolé.

Ah ben, moi non.

Ah ben oui, qu'est-ce que vous faites dans la vie, Yacine ?

Retraiter.

En plus, vous aviez le temps de noter tout ça.

Ah ben oui, mais hier on est descendu d'avion

et j'étais pas sur les coutes.

Comment ça vous êtes descendu d'avion ?

Vous veniez d'où ?

Zanzibar !

Oh !

Et les retraités en France.

Tout va bien.

Mais pourquoi vous parlez comme Jean-Den Lazzard ?

C'était beau, Zanzibar.

Je connais pas.

Moi, Zanzibar, vous êtes bien chanceux.

C'était bien ?

Impeccable, je vous le conseille.

Ah très bien.

Bon, parfait.

Combien d'or de vol entre Zanzibar et chez vous ?

Ah c'est bas.

Douze.

Ah ouais.

Bion.

Ah ouais.

Et puis après, hop.

Le lion d'Oubaille et d'Oubaille Zanzibar.

Ah, monsieur est influenceur.

Reneau, qu'on est bien le Zanzibar.

On va vous envoyer en tout cas une montre, Ertel.

Yacine, on vous embrasse et désolé,

ce sera pour la prochaine fois.

Bisous.

Et je vais ajouter...

Allez.

C'est quoi ?

J'ajoute trois livres dans la valise Ertel.

Le livre d'Elaudie Gossuin XVI,

chronique en BD publié chez Solar.

Le livre de monsieur Laurent Deutsch

à toute Berzingue chez Michel Lafond

et le livre de Thomas Louis Noville

Bon pied bon oeil aux éditions Le Robert

où j'ai eu la chance de signer

quelques expressions supplémentaires.

Les trois livres sont désormais eux aussi

dans la valise Ertel.

Élaudie Gossuin, merci d'être venu nous voir.

Merci Laurent,

merci les grosses têtes,

vraiment tout le monde.

Et merci aussi à Laurent Deutsch

et à Hector Obal,

qui a fait sa première aujourd'hui chez nous.

On se retrouve demain à 15h30

pour d'autres grosses têtes.

Dans un instant, Julien Seillet,

Marc-Antoine Lebré,

c'est à vous Julien, bonsoir.

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Avec Hector Obalk, Isabelle Mergault, Jeanfi Janssens, Yoann Riou, Caroline Diament et Lorànt Deutsch.

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